Tous droits réservé *. ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX DEUXIÈME
PARTIE
(suite) CHAPITRE VI FIBRES DE PROJECTION DE
oelle épinière. Dans ce chapitre, nous ne nous occuperons que de la
partie
supé- rieure de ce trajet, de celle qui apparti
au bord supérieur de la protubérance. Nous renvoyons à la troisième
partie
de cet ouvrage tout ce qui concerne le trajet,
ou terminales, à la formation du centre ovale de Vieussens. Dans la
partie
externe de ce centre ovale, partie que nous dés
ntre ovale de Vieussens. Dans la partie externe de ce centre ovale,
partie
que nous désignerons sous le nom de substance b
ion, les fi- bres calleuses et le** fibres s terminales dans la
partie
externe du centro ovale de Vieussens. 1 4
ation des fibres do projection en un faisceau com- pact dans la
partie
interne du centre ovale. Dans lo centre o
compact de la cou- ronno rayonnante après dissociation. A la
partie
interne du centre ovale, les fibres de projection
é dans nombre de traités, mais affectent un trajet distinct dans la
partie
externe et dans la partie interne du centre ovale
mais affectent un trajet distinct dans la partie externe et dans la
partie
interne du centre ovale. Cette disposi- tion es
rgent vers la grande circonférence du noyau lenticulaire. Seule, la
partie
antéro-infé- rieure du putamen, située en avant
gments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal, - OF',
partie
du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans la
rage de la substance grise sous-épendymaire (se), se concentrant à la
partie
interne du pied de la couronne rayonnante en un
e circonvolution frontale. - OF, faisceau occipito- frontal. - oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale.
rtie orbitaire de la première circonvolution frontale. - o ! %, (Gr),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
bitaire de la première circonvolution frontale (gyrus reclus). - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
l'aspect d'une couche coudée, dont l'angle saillant correspond à la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
volution frontale (F3) et s'arrête assez brusquement au niveau de la
partie
supérieure de cette même circonvolution. Le fai
ed du pédoncule cérébral. Coupe vertico-transversale sectionnant la
partie
moyenne du FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉR
ne (Cia); celle du faisceau occipito-frontal (OF) peut être suivie en
partie
- fibres d'association - dans la substance gris
ce grise sous-épendymaire (Sge) et dans la capsule externe (Ce), en
partie
- fibres de projection - dans la capsule interne
de projection - dans la capsule interne (segment antérieur (Cia) et
partie
adjacente du segment postérieur (Cip) voy. en par
de Turck et segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - FT',
partie
du faisceau de Tiirck, venant des deuxième et tro
nant des deuxième et troisième circonvolutions temporales. - 1'TT,,
partie
du faisceau de Turck venant de la première circon
en, A'7 ! , noyau rouge. - OF, faisceau occipito- frontal. - Opl'a,
partie
pariétale de l'opercule rolandique. - ol, sillon
. Son origine. Sa disposition en deux couches sagit- tales.
partie
moyenne de l'hémisphère, en particulier des circo
e, en particulier des circonvolutions rolan- diques (Fa, Pa), de la
partie
adjacente des circonvolutions pariétales et fro
frontales (Pi} P2' Fl, F,, F3), du lobule paracentral (Parc) et de la
partie
moyenne de la première circonvolution limbique
eure (P2), de la circonvolution marginale supérieure (Gsm) et de la
partie
postérieure des trois circonvolutions temporales
aux fibres de pro- jection. Dans la région occipitale et dans la
partie
postérieure du carrefour ventriculaire, les cou
uneus. - Ep, épendyme ventriculaire. - Fbi, faisceau basai interne ou
partie
inféro-interne de la couche sagittale externe d
UX. FIG. 9. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et la
partie
postérieure du segment supérieur de la couronne
e pilier postérieur du trigone, le bourrelet du corps calleux et la
partie
réfléchie de la queue du noyau caudé. - Méthode
apetum. Au voi- sinage du pied de la couronne rayonnante et dans la
partie
antérieure du carrefour ventriculaire, ces deux
férieure (P2) du gyrus siti) a-22îa2,9 zîia lis, (P [Gsm]) et de la
partie
postérieure des cir- convolutions temporales (r
ble à établir à ce niveau (Fig. 6). Ce segment est tributaire des
parties
postérieure, moyenne et anté- rieure du lobe te
oyau amygdalien (Fig. 2, 6, 11, et 32). Arrivées au voisinage de la
partie
recourbée de la queue du - Fus, lobule fusiform
Fig. 325), on les voit décrire une anse à convexité antérieure : la
partie
externe appartient au segment inférieur de la cou
ne appartient au segment inférieur de la couronne rayon- nante ; la
partie
interne au segment sous-lenticulaire de la capsul
a un même plan sagittal et sectionne le fais- ceau géniculé dans la
partie
inférieure de la région thalamique (i, i>, 6).
nt du segment sous-lenticulaire de la capsule interne et formant la
partie
externe du pied du pédoncule cérébral. - Arc, noy
psule interne, Nu sur une coupe vertico-transversale passant par la
partie
moyenne de la commissure anté- rieure. Méthode
o-lenticulaire (Cirl) et postérieur (Cip), se place en dehors de la
partie
postérieure du segment postérieur (Cip), puis fai
basale de la tête du noyau caudé (NC) (Fig. 213 et 281, T. 1er), la
partie
moyenne de la commissure antérieure (coa) (Fig. 1
de la région thalamique. tionne le stratum zonale du thalamus, la
partie
supérieure du putamen, la tête et la queue du n
ticulaire (lme, Imi). Ces fibres sont sur- tout nombreuses dans les
parties
inférieure, interne et postérieure du segment a
s coupes horizontales qui sectionnent le tronc du noyau caudé ou la
partie
supérieure de la couche optique, les segments ant
paraît qui dans la région t6a- lamique inférieure. Il occupe la
partie
antérieure du seg- ment postérieur de la ré
re du seg- ment postérieur de la région sous-thala- mique et la
partie
interne du pied du pédoncule. s'adosse à l'
lé dégénère à la suite de lésions de l'opercule rolandique et de la
partie
adjacente de l'opercule frontal (Voy. cas Schweig
(Fig. 116 à 122, p. 133 et suiv.), et que ses libres passent parla
partie
FIG. 22. - Coupe horizontale du genou de la cap
gdalien et intéresse le segment antérieur de la capsule interne, la
partie
antérieure du segment supé- rieur de la couronn
3, p. 536.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AU, avant-mur. - AU',
partie
de l'avant-mur mor- celée par les fibres du fai
deuxième segment du noyau lenticulaire, divisant ce segment en deux
parties
. - Imi, lame médullaire interne du noyau lentic
terne (Cia), puis descen- dent avec les fibres operculaires dans la
partie
antérieure du segment pos- térieur (Cip) et dan
dans la partie antérieure du segment pos- térieur (Cip) et dans la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral (Voy. cas
. Coupe horizontale intéressant la base du noyau lenticulaire et la
partie
supérieure de la région sous-thalamique et sect
nts du noyau lenticulaire, le segment interne est subdivisé en deux
parties
par la lame médullaire supplémentaire lnzi'. pC ?
rla (Zi) qui le sépare du faisceau thalamique de Forel (Fth) et des
parties
ventrales du thalamus; avec les fibres de l'anse
es fibres de l'anse du noyau lenticu- laire (Al) qui contournent sa
partie
interne; avec le faisceau lenticulaire de Forel
noyau rouge (NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28). Dans la
partie
moyenne de la région sous-thalamique (Fig. 24), l
son tiers moyen, et la zona incerta à son tiers postérieur. Dans la
partie
inférieure de la région sous- thalamique, le fa
effet, ici de fibres à direction plus ou moins horizontale dont une
partie
se rend au corps genouillé interne et à la part
izontale dont une partie se rend au corps genouillé interne et à la
partie
ventrale adjacente du thalamus, et dont l'autre
du thalamus, et dont l'autre se recourbe en bas et descend dans la
partie
externe du pied du pédoncule cérébral en forman
: dans la région thalamique (Fig. 21), elles proviennent en grande
partie
des fibres radiées du putamen et du globus pallid
ertico-transversale pas- sant par le bord postérieur du putamen, la
partie
postérieure du thalamus, le gan- glion de l'hab
est for- mé de fibres hori- Ion talcs qui s'irra- dient dans la
partie
postérieure du thala- mus. Son aspect et se
culaire. NR, noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi,
partie
de ce faisceau qui contient des fibres de proje
et occupe l'espace compris entre le tronc du noyau caudé (NC) et la
partie
recourbée de la queue (NC,) de ce noyau (Fig. 26)
sl). Grâce à la dis- position en éventail de la capsule interne, la
partie
supérieure de la coupe FIBRES DE PROJECTION DE
econnais- sable à l'obliquité de ses fibres en bas et en dedans; la
partie
moyenne riche en fibres transversales répond au
bres transversales répond au segment rétro-lenticulaire (Cirl) ; la
partie
inférieure appartient au segment sous-lenticulair
et fusiforme Fus)), du precuneus (PrC), du pli courbe (Pc) et de la
partie
postérieure des lobes pariétal et temporal, il
riétal et temporal, il envoie ses fibres dans le pulvinar (Pul) et la
partie
adjacente du thalamus, dans le corps genouillé
teint en avant le noyau amygdalien (NA); sa base est ados- sée à la
partie
inférieure du segment rétrolenticulaire de la cap
et croisée par les fibres du taenia semi-circularis (tsc) et par la
partie
recour- bée de la queue du noyau caudé (NC") (F
t (Sti); son bord interne est en rapport d'arrière en avant avec la
partie
postérieure du seg- ment postérieur de la capsu
-thalamique d'Arnold. Le faisceau de Tiirck (FT) Fig. 25) occupe la
partie
postérieure du segment sous-lenticulaire de l
ehors en dedans, longe la face inférieure du puta- men, aborde la
partie
pos- térieure du segment pos- térieur (Cip) d
ir abandonné des fibres au corps genouillé interne (RCgi) et à la
partie
ven- trale du thalamus (Fig. 29, p. 30). Le
. Toutes convergent vers le corps genouillé externe (Cge) et la
partie
postéro-inférieure du pulvinar (Pul) en se ré
t ses deux faisceaux dont l'un, faisceau de Tiirck (FT), forme la
partie
externe du pied du pédoncule cérébral, et dont
faisceau lenticu- laire de Forel. Coupe horizontale passant par la
partie
moyenne de la commissure antérieure. - Méthode
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 4 : i su e interne. - Ln, locus niger. -.VC'
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. - A7/.2,
nerf moteur oculaire commun. Il résulte de cette disposition que la
partie
postérieure du segment sous-lenticulaire de la
s Courrière, p. 108, Fig. 80 à 86). Al, anse lenticulaire. - AU',
partie
morcelée de l'avant-mur. - BrQa, bras du tubercul
s de la circonvolution du crochet. - noyau amygdalien. - A'C', NC",
partie
recourbée et extrémité antérieure de la queue du
endyme ventriculaire et situé entre le tænia semi- circularis et la
partie
recourbée de la queue du noyan caudé (Fig. 29,
nnante, forme une anse dont la convexité antérieure correspond à la
partie
externe du noyau amygda- lien (Fig. 31 et 32).
). Le faisceau de Tiirck, par contre, ne lire son origine que de la
partie
moyenne des deuxième et troisième circonvolutio
. 577), sectionnent le pied du pédoncule obliquement (Fig. 33) : La
partie
antérieure de sa surface de section, enclavée e
térieur (Cip) de la région sous-thalamique de lacapsule interne, la
partie
postérieure, libre, appartient seule au pied du p
it sur ces coupes une courbe à concavité interne et postérieure; sa
partie
interne est épaisse en connexion avec l'extrémité
ar les nombreuses fibres transversales du système strio-1uysien; sa
partie
postérieure est en con- nexion avec le locus ni
e du pied du pédoncule et qui sont particulièrement abondantes à sa
partie
interne. Sur les coupes voisines de la bandel
tie interne. Sur les coupes voisines de la bandelette optique, la
partie
antérieure et interne du pied du pédoncule est
ui se portent en arrière, dans la région sous-optique, pénètrent en
partie
dans la capsule du noyau rouge et en partie dan
s-optique, pénètrent en partie dans la capsule du noyau rouge et en
partie
dans la région anléro-ventrale du thalamus, mais
t le pied du pédoncule cérébral. - Coupe horizontale passant par la
partie
latérale de la commissure antérieure et sectionna
par les fibres transversales de la protubérance et s'accolent à la
partie
interne du ruban de Reil médian. Plus bas, elles
intermedium est coloré en rose (voy. description de celle coupe, 1110
partie
). Aq, aqueduc de Sylvius. - Flp. faisceau longi
ermedium est coloré en rose. (Voy. description de cette coupe, lll°
partie
.) Fiée, faisceau central de la calotte. - Flp,
escences du pied du pédoncule cérébral, en particulier celles de sa
partie
interne, on doit toujours avoir présent à l'esp
é d'un pes lemniscus superficiel (PLs) ainsi que les rapports de la
partie
supérieure du pied du pédoncule avec l'anse du
des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule céré- bral, de la
partie
correspondante du locus niger (Ln), du pes lemnis
CÉRÉBRALE. 55 FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral consécuti
gion pédonculaire supérieure (Fig. 39), la zone dégénérée occupe la
partie
moyenne du pied du pédoncule; dans la région pé
e dégénérée (P(cl) occupe dans la région pédonculaire supérieure la
partie
moyenne du pied du pédoncule (Fig. 39); elle est
aux segments de même nom de la couronne rayonnante, et forment une
partie
importante des différents segments de la capsule
lobe frontal entraînent une dégéné- rescence des fibres radiées des
parties
antérieures des noyaux interne et externe du th
. 137 et 140); les lésions des circonvolutions rolandiques et de la
partie
adjacente des circonvolu- Leur terminaison. L
l (cas Jouan, Leu- dot, p. 121, Fig. 96 à 105), retentissent sur la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus; celle
Heu- debert, Le Seguillon, Neumann), p. 137, Fig. 12 à 136) sur la
partie
ventrale et externe de la couche optique. 1.
sceau de Vicq d'Azyr (VA) traversent presque sagittalement toute la
partie
antérieure des noyaux externe et interne, ainsi
te la partie antérieure des noyaux externe et interne, ainsi que la
partie
correspondante de la lame médullaire interne (L
. 61 Fig. 42. - Coupe sagittale des ganglions de la base et de la
partie
adjacente du tronc encéphalique intéressant le
tico-thalamiques moyennes appartiennent à la zone rolandique et aux
parties
adjacentes des lobes frontal et pariétal. (Voy.
à la moitié postérieure du noyau externe (Ne) et proviennent de la
partie
antérieure du lobe pariétal, croisent le centre
antérieur de la capsule interne. - Coupe horizontale passant par la
partie
inférieure de la région thalamique et intéressa
es cortico-thalamiques postérieures relient le lobe occipital et la
partie
adjacente du lobe pariétal à l'extrémité postérie
orme, des trois circonvo- lutions occipitales, du pli courbe, de la
partie
adjacente des circonvolutions pariétales supéri
laire de la capsule inlerne (Cirl), puis abordent le pulvinar et la
partie
postérieure du noyau externe, dont elles forment
es unes, très nombreuses, se rendent ' ! ans le pulvinar et dans la
partie
ventrale adjacente de la couche optique. Le : T
le pédoncule in'éro-izatezne du thalamus de Meynert, et abordent la
partie
antéro-inlerne de la couche optique. 1. Les fib
unes suivent le trajet du faisceau de Tiirck (FT), traversent la
partie
postérieure du segment pos- térieur de la cap
pos- térieur de la capsule interne (Cip) et s'irradient dans la
partie
ventrale et postérieure du thalamus et dans le
térieure du lobe temporal, de la circonvolu- tion du crochet, de la
partie
adjacente de la circonvolution de l'hippo- camp
aisceau compact faiblement coloré par la laque hématoxylinique à la
partie
externe du noyau amygdalien (NA) où elles FiG.
arrière et en dedans, -passent entre le noyau amygdalien (NA) et la
partie
morcelée de l' avant-l1wl' (AM') (Fig. 23), par
et en dedans, contournent l'anse du noyau lenti- culaire (Al) et la
partie
inlerne du segment postérieur (Cip) de la région
fascicules onduleux, et abordent le corps genouillé externe par sa
partie
supérieure et externe. Elles comprennent à la foi
e T. Ier, Fig. 308, p. 60G.) Alv, alvéus. - AU, avant-mur. ? Lu',
partie
morcelée de l'avant-mur, se continuant avec l'é
ne réticulée ou grillagée. Marl feld m. [Wernicke]), qui entoure la
partie
externe du pulvinar et coiffe le corps genouill
rébral, le segment rétro-len- ticulaire de la capsule interne et la
partie
profonde du corps genouillé interne. - Cette co
tte région le trajet du faisceau de Turck et traversent avec lui la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
adiations du corps genouillé interne (RCgi) abordent à ce niveau la
partie
ventrale de la couche optique, entre le pulvinar
ique, entre le pulvinar et le noyau externe, et s'irradient dans la
partie
du corps genouillé interne, profon- dément encl
né sous le nom de région du ruban de Reil; il s'accole ensuite à la
partie
postérieure du ruban de Reil (Fig. 48), dont il
superficiel, se porte en bas, en dedans et en arrière, et aborde la
partie
externe du ganglion du tubercule quadrijumeau p
eur, dans lequel il se termine (Fig. 44). Il est recouvert dans une
partie
de son trajet par le bras du tubercule quadriju
t encore mal connus. Il est probable que ces radiations occupent la
partie
supérieure du segment postérieur de la couronne
us des radiations du corps genouillé interne passent en avant de la
partie
enclavée du corps genouillé interne, puis se port
la constitution des radiations de la calotte et s'irradient dans la
partie
supéro-anléro-externe du noyau rouge. Elles rep
, corlico-genouittées, cortico-rzcbrilzces, etc.). Les libres de la
partie
slts-s ! Jlvienne ou rolandique de ce secteur occ
tre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral, celles de la
partie
sous-sylvienne ou temporale en occupent le cinqui
a commodité de la description, diviser le pied du pédoncule en cinq
parties
égales. 1. La partie interne, cinquième inlerne
ption, diviser le pied du pédoncule en cinq parties égales. 1. La
partie
interne, cinquième inlerne ou faisceau interne du
oncule cérébral reçoit ses fibres de l'opercule rolandique et de la
partie
adjacente de l'opercule frontal, c'est-à-dire de
ig. 236). Elles passent dans la région thalamique supérieure par la
partie
postérieure du segment antérieur de la capsule
miques moyenne et inférieure, par le faisceau géniculé (Ci(g) et la
partie
antérieure du segment postérieur (Cip); dans la
postérieur (Cip); dans la région sous-thalamique, elles occupent la
partie
antérieure du segment postérieur (Cip), puis fo
t la partie antérieure du segment postérieur (Cip), puis forment la
partie
interne du pied du pé- doncule cérébral. (Voy.
pied du pédoncule cérébral s'accompagne d'une dégénérescence de la
partie
interne du locus niger et de la substance grise
'hui Betcherew et Zacher; il ne reçoit pas non plus de fibres de la
partie
an- térieure du lobe frontal, comme le pensaien
e le pensaient Meynert, Flechsig, Bris- saud, etc., mais bien de la
partie
postérieure de ce lobe, en particulier de l'ope
rieure de ce lobe, en particulier de l'opercule rolandique et de la
partie
adjacente de l'opercule frontal. Le faisceau in
cales qui se rendent au locus niger et les neurones corticaux d'une
partie
des nerfs moteurs crâniens. 11 contient en outr
fer) et après les lésions centrales, capsulaires qui intéressent la
partie
infé- rieure du segment antérieur de la capsule
ernier cas le faisceau geniculé (Ci[g]) est lésé; les lésions de la
partie
supérieure du segment antérieur de la capsule i
n faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. Les lésions de la
partie
antérieure du seg- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉC
ulaires, même lorsqu'elles siègent au lieu d'élection (Op R, Op F3,
partie
inférieure de Cia), n'en- traînent pas toujours
. Le singe possède en effet, en avant du sillon précentral, dans la
partie
antérieure du lobe frontal, une importante zone m
La topograplm capsulaire et pédon culaire de ses diffé rentes
parties
. Ses terminaisons cérébral au corps opto-stri
moins du secteur moyen de l'hémisphère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La
partie
moyenne, ou faisceau moyen du pied du pédoncule
rolandiques plus inférieures et plus antérieures. Les fibres de la
partie
moyenne de la zone rolandique (zone corticale du
internes Au pied du pédoncule cérébral (Fig. 49), et passent par la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule int
du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Les libres de la
partie
supérieure de la zone rolandique et du lobule p
ule paracentral (zone corticale du membre inférieur) passent par la
partie
postérieure du segment pos- térieur de la capsu
rieur (Qt) reçoivent le contingent des fibres du lobe occipital; la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus et la
- Qa, tubercule quadriju- meau antérieur. - 1, 2, 3, 4, 5, les cinq
parties
du segment sus-sylvien du secteur moyen de l'hé
apsule interne et le pied du pédoncule cérébral. Les fibres de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral con- tien
lles et des fibres pyramidales, elles contiennent en outre, dans la
partie
adjacente au faisceau interne, les neurones corti
que les fibres des nerfs moteurs crâniens se groupent surtout à la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral, tandis q
ut dans les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule. 5. - La
partie
externe ou faisceau externe du pied du pédoncule
pédoncule cérébral ou faisceau de Türck (FT)tire son origine de la
partie
moyenne du lobe temporal, et en particulier de
ne (Cip) dans la région sous-thalamique. Elles s'insinuent entre la
partie
infé- rieure du segment rétro-lenticulaire (Cir
e la partie infé- rieure du segment rétro-lenticulaire (Cirl) et la
partie
postérieure du seg- ment postérieur de la capsu
ge antérieur de la protubérance, et ses fibres se terminent dans la
partie
postéro-supérieure des noyaux politiques. Au- c
t à ce que les lésions de la région temporale, en particulier de la
partie
moyenne des deuxième et troisième circonvolutio
un fait bien connu que dans la région thalamique les lésions de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
interne (Cip) se traduisent par une dégénérescence secondaire de la
partie
du pied du pédoncule contigué au faisceau de Ti
is très rare, la lésion porte dans la région sous-thalamiquo sur la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
ce; d'autre part, les lésions protubéran- tielles qui détruisent la
partie
supéro-postéro-externe des noyaux pon- tiques n
nsi que nous avons pu le constater, une zone de dégénérescence à la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
et nombreux, puis pénètrent dans la calotte, et s'accolent dans une
partie
de leur trajet au ruban de Reil médian (Rm); elle
re que des fibres eorlico-protubérantielles, qui se terminent dans la
partie
supéro-postéro-externe des noyaux pontiques ; i
teurs crâniens) tirent leur origine de l'opercule rolandique et de la
partie
adjacente de l'opercule frontal, passentpar le
rsales à travers le cerveau et montra : 1° Que la destruction de la
partie
antérieure de la capsule interne entraîne une h
du bulbe du même côté, dégénérescence qui peut être suivie-dans la
partie
postérieure du cordon latéral du côté opposé de
de la capsule interne, entraîne la dégénérescence des fibres de la
partie
postéro-externe de la pyramide et celle des fibre
té. Tiirck établit ainsi, à tort du reste, une distinction entre la
partie
des voies pyramidales qui se rend dans le cordo
pyramidales qui se rend dans le cordon latéral du côté opposé et la
partie
non croisée qui aboutit au cordon anté- rieur d
au cordon anté- rieur de la moelle; 2° Que dans les lésions de la
partie
postérieure de lacapsule interne, l'hémiplégie et
la protubérance au-dessus de l'émergence du nerf facial; 4, par la
partie
moyenne des olives bulbaires; : i, par la partie
facial; 4, par la partie moyenne des olives bulbaires; : i, par la
partie
sous-olivaire du bulbe rachi- FIBRES DE PROJECT
du pédoncule cérébral (fibres de l'anse lenticulaire); il occupe la
partie
interne de la pyramide (coupe 5) et le cordon ant
l provient de l'écorce des lobes occipital et tem- poral, occupe la
partie
externe de la pyramide du bulbe (coupes 2, 3, 4)
forme gauche appartenant au stratum zonale, qui s'entre-croise à la
partie
antérieure du raphé avec une fibre de môme nom
p, cordon postérieur. - g, substance gélatineuse de Rolando,. - L, la
partie
antérieure du ruban de Reil, son origine dans l
le tubercule quadrijumeau antérieur (coupe 1). - La, (coupe 4), la
partie
antérieure du ruban de Reil dans la région bulbai
bulbe (coupe 5) et le cordon latéral de la moelle (coupe Cf. Lp, la
partie
postérieure du [ruban de Reil, son origine dans
a protubérance et le bulbe (coupes 3 et 4); sa continuation avec la
partie
postérieure du cordon latéral de la moelle (cou
descendaient dans l'étage antérieur de la protubérance, formaient la
partie
interne de la Contingent lenticu- lo-caudé de
elle épinière (Fig. 51). Outre le contingent strié qui occupait les
parties
interne et moyenne du pied du pédoncule cérébra
orce des lobes occipital et temporal. Ces dernières occupaient la
partie
externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 51,
ie externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 51, coupe 1, Cp), la
partie
externe de la pyramide du bulbe (coupe 4, Cp),
1), elles occupaient la couche profonde ou stratum intermedium des
parties
in- terne et moyenne du pied du pédoncule céréb
sque le foyer intéresse les deux circonvolutions rolandiques et les
parties
attenantes du lobe pariétal et du lobe frontal. C
cule cérébral (fibres du noyau caudé) non encore myélinisé. - d, la
partie
interne de la couche supérieure ou dor- sale du
oyau lenticulaire et du noyau caudé) non encore myélinisée. - b, la
partie
externe de la couche supérieure ou dorsale du p
irect et croisé de la moelle. Dans la capsule interne, il occupe la
partie
postérieure du segment postérieur, se rapproche d
e. Il fait suite au segment antérieur de la capsule interne et à la
partie
antérieure de son segment postérieur et contient
eur et contient des fibres du lobe frontal, du noyau caudé et de la
partie
antérieure du noyau lenticulaire. a) Les fibres
interne du pied du pédoncule cérébral, deviennent profondes dans la
partie
inférieure du pédoncule et occupent alors la pa
ofondes dans la partie inférieure du pédoncule et occupent alors la
partie
interne de la couche dorsale ou profonde; elles
comprendraient : 1° la région rolandique, le lobule paracenlral,la
partie
adjacente de la circonvolution du corps calleux e
nlral,la partie adjacente de la circonvolution du corps calleux et la
partie
posté- rieure des trois circonvolutions frontal
et la lèvre cal- carine du lobule lingual (sphère visuelle) ; 3° la
partie
moyenne de la première circon- volulion tempora
dans l'insula de Reil ; la troisième antérieure, localisée dans la
partie
antérieure du lobe frontal. D'après Flechsig, i
La nouvelle conception de Flechsig est donc erronée. Qu'une grande
partie
de l'écorce cérébrale soit encore dépourvue de
int de vue anatomique et physiolo- gique et une lésion d'une de ses
parties
constituantes retentit sur toutes les autres. N
vons que si l'on sépare le cylindre-axe de sa cellule d'origine, la
partie
de ce cylindre-axe située au-dessous de la sectio
nérescence rétrograde de la voie pédonculaire, en particulier de sa
partie
moyenne chez un homme de 44 ans, frappé à l'âge d
ant la moitié droite de la pro- tubérance. (Voy. cas Brichard, IIIe
partie
.) La dégénérescence rétrograde de la voie pédon
tout le seg- ment postérieur de la capsule interne, surtout dans sa
partie
moyenne. Le pied du pédoncule gauche, présente
u lenticulaire ayant sectionné dans la région thalamique moyenne la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule
de 7 ans chez un sujet mort il. l'âge de 84 ans. Plaque jaune de la
partie
moyenne des cir- convolutions frontale et parié
demi-centimètre d'épaisseur. FiG. 57. - Coupe trans- versale de la
partie
moyenne du bulbe. ^Dégénérescence de la pyramide
'heIl11- plégie cérébrale m- t'antilo gauche (pla- que jaune de
partie
moyenne des circon- volutions rolandiques d
al et de la voie pédon- culaire dans un cas de dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral. (Cas Biz
cule cérébral, - suivent, pour arriver à leur destination, dans une
partie
de leur trajet la voie de la capsule interne ou
faisceau pyramidal, bien que cantonnées spécialement dans certaines
parties
, sont accompa- gnées dans tout leur trajet par
rne du thalamus), et les corps genouil- lés externe et interne; une
partie
du noyau rouge et du tubercule quadri- Fig. 6.i
ophies indirectes (Fig. 61). L'écorce retentit indirectement sur la
partie
ventrale du thalamus, sur la bandelette optique
la partie ventrale du thalamus, sur la bandelette optique, sur une
partie
du noyau rouge et du tubercule quadrijumeau anté-
omplète de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la
partie
ventrale du noyau externe (Ne) du thalamus. Int
ntérieure (Fig. 65 et 79). La plaque jaune intéresse l'écorce et la
partie
adjacente de la substance blanche, mais respecte
67 et 68). FIG. 68. - Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la
partie
supérieure de la région sous-thalamique de la c
et antérieur (Cia) de la capsule interne, du pulvinar (Pul), de la
partie
interne du noyau interne (Ni) du thalamus (Th). D
omplète de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la
partie
ventrale du tha- lamus et du centre médian (Nm)
et des différents noyaux du thalamus; 3° une dégéné- rescence de la
partie
antéro-supérieure du noyau rouge (NU) (Fig. 70-72
la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NU) (Fig. 70-72) et de la
partie
supéro-externe de la capsule de ce noyau (CN13)
yau caudé et putamen) (NC, NL3), le globus pallidus (NL2, NI.)), la
partie
ventrale du thalamus (Fig. 67, 68), le centre méd
es directes de la corticalité cérébrale (Voy. Ruban de Reil, IIIe
partie
) ; 4° Ce cas montre en outre que le corps strié
ostérieur, la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule cérébral et la
partie
postérieure du thalamus (artères optiques). L'a
ibres de projection cortico-gerzouillées externes, desti- nées à la
partie
supérieure du corps genouillé externe. Ces fibres
ps calleux (Fm) et occupent dans le bourrelet un siège spécial : la
partie
ventrale, recourbée du bourrelet du corps calleux
'avons montré dès 1892. Les libres de la pointe occipitale et de la
partie
postérieure des lobules lingual et fusiforme af
aire (Fig. 8B). Cette dégénérescence se poursuit d'une part dans la
partie
inférieure du segment rétrolenticulaire de la cap
interne (Cirl), dans la zone de Wernicke (W), le pulvinar (Pul), la
partie
supérieure et postérieure du corps genouillé ex
orne sphénoïdale jusqu'au noyau amygdalien (NA) (Fig. 83 à 8)); une
partie
des fibres dégénérées du faisceau longitudinal in
0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. d'association) (Fig. 83), l'autre
partie
(fibres de projection) se recourbe en anse au n
mporo-thalamique d'Arnold (FTth) qu'elle concourt à former, dans la
partie
inférieure du pulvinar (Pul, Fig. 83 et 84). Le
') (Fig. 86). La dégénérescence du tapetum se continue surtout à la
partie
inférieure de la face externe de la corne occip
ale et du carrefour ventriculaire; sur les coupes sériées on voit une
partie
des fibres dégénérées longer la paroi inférieur
s hachures - de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la
partie
postérieure des lobules lingual et fusiforme et d
s par les fibres calleuses dégénérées du tapetum; elles occupent la
partie
inférieure du bourrelet, en particulier le bec et
occipital à la face supérieure de la région pariéto-occihilale est en
partie
masquée par le foyer de ramollissement récent (
horizontales passant par la région sous-optique (Fig. 82) et par la
partie
inférieure de cette région au voisi- nage de la
Courrière. Cécité verbale pure. Coupes horizontales passant par la
partie
inférieure de la région sous-optique au voisinage
Cas Courrière. Cécité verbale pure. Coupe vertico-transversale de la
partie
postérieure de l'hémisphère gauche. 3/2 grandeu
naturelle. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Les
parties
dégénérées sont teintées en jaune, le foyer anc
teintées en jaune, le foyer ancien en brun. La coupe passe par la
partie
postérieure du bourrelet du corps calleux et par
de la corne occipitale (Voc), la base du lobule fusiforme (Fus), la
partie
antérieure du foyer ancien datant de quatre ans (
e : on constate deux plaques jaunes anciennes, dont l'une occupe la
partie
centrale du cunéus et la lèvre supérieure de la
eux, pouvant être suivie dans le bourrelet du corps calleux dont la
partie
inférieure ou réfléchie (genou et bec postérieur)
le forceps major de l'hémi- sphère gauche qui est dégénéré dans sa
partie
interne, inférieure et supérieure (Fig. 92). 2°
iforme et de l'isthme de l'hippocampe. A gauche, plaque jaune de la
partie
postérieure du lobule lingual, de la partie adj
che, plaque jaune de la partie postérieure du lobule lingual, de la
partie
adjacente de la scissure calcarine et du pli cuné
ces secondaires sur une coupe vertico-transversale pas- sant par la
partie
moyenne du cunéus. La plaque jaune a détruit la
une a détruit la moitié interne du lobule fusiforme, la plus grande
partie
du lobule lingual; elle se prolonge sur l'écorce
temporal; la première et la deuxième circonvolution temporales, la
partie
inférieure de la capsule externe con- tiennent
la bandelette optique. qu'une plaque jaune limitée portant sur la
partie
postérieure du lobule lingual et la partie adja
e limitée portant sur la partie postérieure du lobule lingual et la
partie
adjacente de la scissure calcarine et s'étendant
t la partie adjacente de la scissure calcarine et s'étendant sur la
partie
postérieure du pli cunéo-limbique. Cette lésion
k, du pied du pédoncule cérébral et de la bandelette optique.
partie
interne du faisceau longitudinal inférieur, la pa
te optique. partie interne du faisceau longitudinal inférieur, la
partie
externe des radiations thalamiques. La coupe
Hémisphère gauche. Coupe oblique en bas et en dehors passant par la
partie
supérieure de la couche optique et la voûte de la
), du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (Cirl), de la
partie
supérieure de la zone de Wernicke (W) et du pulvi
intéressantes à noter étant donnée la lésion du pli courbe et de la
partie
adjacente du lobule pariétal inférieur. (Voy. l
médullaire externe (Lme) et des fibres radiées du thalamus dans la
partie
adjacente à la dégé- nérescence capsulaire. Cel
et du locus niger (Fig. 99, 100). Il existe enfin (Fig. 98) dans la
partie
inférieure et postérieure de la capsule externe
long sur 3 à 4 de haut et 2 de profondeur occupant le pli courbe, la
partie
postérieure et inférieure du pli marginal supér
les participent partiellement a la lésion primitive. Elle occupe la
partie
interne de la couche sagittale externe (se, Fli
e la partie interne de la couche sagittale externe (se, Fli), et la
partie
centrale de la couche sagittale interne (Sgi, H1'
'envoie pas de fibres à la voie pédonculaire. Coupes passant par la
partie
supérieure (Fig. 99) et la partie inférieure (F
pédonculaire. Coupes passant par la partie supérieure (Fig. 99) et la
partie
inférieure (Fig. 100) du pédoncule cérébral. Mé
volution pariétale ascendante, à la dégénérescence du pulvinar, de la
partie
supé- Fig. 101. - Cas Leudot. (Bicêtre 1890.)
ers in- férieurs de la circonvolution pariétale ascendante, de la
partie
postérieure des première et deuxième circonvolu
es sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante et la
partie
adjacente du segment rétrolenticulaire de la caps
nticulaire de la capsule interne, s'ajoute une dégénérescence de la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus (Ne),
. Cette dernière dégénérescence occupe dans la région thalamique la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
ns du lobe pariétal, on observe, en outre, une dégénérescenc( de la
partie
antéro-supérieure du noyau rouge (NR, Fig. 103 et
ntient donc des fibres de projection corlico-rubriques qui passent en
partie
par lE segment rétrolenticulaire (Cirl) de la c
par lE segment rétrolenticulaire (Cirl) de la capsule interne et en
partie
par son segment pose térieur (Cip). Cas Leudo
Lé- sion du pli courbe, du lobule pariétal infé- rieur ot de la
partie
adjacente de la cir- convolution pariétale
géné- rescence du segment ré t rolen t iculaire (Cirl) et de la
partie
postérieure du seg- ment postérieur(Cip), d
nt postérieur(Cip), de la capsule interne, du pulvinar et de la
partie
adjacente du noyau ovtcrne du thalamus (Pul),
Lé- sion du pli combe, du lobule pariétal infé- rieur et de la
partie
adjacente do la cir- convolution pariétale
e. Dégéné rescence du segment rétrolenticulairc (Cirl) et de la
partie
postérieure du seg- ment postérICUr(Clp), d
nt postérICUr(Clp), de la capsule interne- du pulvinar et de la
partie
adjacente du noyau externe du thalamus (Pul),
r la région thalamique moyenne de la capsule interne (Fig. 102), la
partie
inférieure de la région jthalamique (Fig. 103)
nterne. Dégénérescence du segment rétrolenticulaire (Cirl) et de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
tratum zonale'(Strz), des fibres radiées du pulvinar (Pul) et de la
partie
adjacente du noyau externe du thalamus. Dégénér
artie adjacente du noyau externe du thalamus. Dégénérescence (de la
partie
supéro-antérieure de la zone de Wernicke (W), du
Fig. 103) et du corps genouillé interne (Cgi). Dégénérescence de la
partie
supérieure des radiations de la calotte, de la
escence de la partie supérieure des radiations de la calotte, de la
partie
supéro-antérieure de la capsule du noyau rouge (C
rtie supéro-antérieure de la capsule du noyau rouge (CNII) et de la
partie
supéro-antérieure de ce noyau (,Nll). Dégénéresce
Lé- sion du ph courbe, du lobule pariétal infé- rieur et de la
partie
adjacente de la cir- convolution pariétale
Dégéné- rescence du segment t rétrolenticulaire (Cirl) et de la
partie
postérieure du seg- ntontpostérieur(Cip), d
fibres de projection cortico-thalamiques et cortico-rubriques ; sa
partie
postérieure n'envoie pas de fibres de projection
Tap) qui envoie ses fibres dégénérées, soit dans le bourrelet et la
partie
postérieure du tronc du corps calleux, soit dans
. Plaque jaune du pli courbe, du lobule pariétal inférieur et de la
partie
adjacente de la circonvolution pariétale ascend
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 129 .rolandique (OpR) et la
partie
adjacente de l'opercule frontal (Opl3), la zone d
s Scheule, Fig.100 à 112), elle occupera dans la région thalamique la
partie
posté- rieure du segment postérieure de la caps
cule cérébral le deuxième cinquième externe. Dans les lésions de la
partie
moyenne des circonvolutions pariétale et fronta
qui sont dégénérées (cas Schweigoffer, Fig. 119); si elle occupe la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
re du segment postérieur de la capsule interne (Cip), c'est dans la
partie
adjacente du thala- mus qu'il faut chercher les
e 74 ans. Topographie de la lésion corticale, lobule paracentral et
partie
supérieure des circonvolutions rolandiques. (Voy.
légie gauche. Ha- mollissement du lo- bule paracentral et de la
partie
supé- rieure des circonvo- lutions rolandique
rieure des circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la
partie
postérieure du segment poste- rieur do la cap
ontale ascendantes et du lobule paracentral. - Dégénérescence de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
e) etdes fibres radiées du noyau externe (Ne) du tha- lamus dans la
partie
adjacente à la dégénérescence capsulaire (Fig. 10
escence capsulaire (Fig. 108). Coupes hori- zontales passanl par la
partie
supérieure (Fig. 107) et la partie moyenne (Fig.
es hori- zontales passanl par la partie supérieure (Fig. 107) et la
partie
moyenne (Fig. 108) de la région tlialamique de
ant par la région sous-optique de la capsule interne (fin.109), les
parties
supérieure (Fig.110) et infé- rieure (Fig. 111)
110) et infé- rieure (Fig. 111) du pied du pédoncule cérébral et la
partie
moyenne du bulbe (Fig. 112). Dégénérescence du
miplégie gauche. Ra molhsscmcnt du lo bulo paracentral et de la
partie
stipe- rieure (les circonvo- lutions rolandiq
rieure (les circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la
partie
postérieure du segment posté- rieur de la cap
de l'angle antéro-interne du pariétal gauche. Com- pression de la
partie
supérieure de la zone rolandique par une esquil
(Zr), et des fibres radiées du noyau externe du thalamus dans la
partie
adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dégén
lobule paracentral s'accompagnent presque toujours d'une lésion de la
partie
supérieure de la face externe des circonvolutio
lobule paracentral ne représente en effet que la face interne de la
partie
supérieure des circonvolutions rolandiques. Les
nvolutions rolandiques. Les dégénérescences secondaires occupent la
partie
postérieure du segment moyen de la couronne ray
des fibres saines qui appartiennent au système de projection de la
partie
antérieure de la circonvolution pariétale inférie
bandonne chemin faisant des fibres à la zone réticulée (Zr) et à la
partie
adjacente du noyau externe du thalamus (Ne) (Fi
cas précédent, il existe une disparition des fibres radiées dans la
partie
du noyau externe du 'thalamus (Ne) (Fig. 1l4) a
pied d'insertion de la deuxième circonvolution frontale (1"2) et la
partie
postérieure de la troisième frontale (Fa) et s'
capsule externe. Dégénéres- cence du faisceau gé- niculé, de la
partie
antérieure du thala- mus, du faisceau inter
cédents. Elle occupe, dans la région thalamique moyenne (Cig.4), la
partie
du segment lenticulo-optique située en airière
che et troubles de la déglutition. Coupe vertico-transversale de la
partie
supérieure de l'hémisphère pas- sant par la lig
apsule externe. lJégéncrcs- cence du faisceau gé- niculé, de la
partie
antérieure du thala- mus, du faisceau inter
capsulo externe. Dégénéres- cence du faisceau gé- mculé, do la
partie
antérieure du thala- mus, du faisceau inter
ce du faisceau géniculé (Ci (g) et du bord lenti- culaire de la
partie
ad- jacente du segment pos- térieur de la cap
rière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 137 occupe la
partie
postérieure du segment antérieur de la couronne r
moyenne forme le faisceau géniculé et occupe le genou (Ci[g]) et la
partie
la plus antérieure du segment postérieur (Cip)
gion sous-thala- mique (Fig. 120,, le faisceau dégénéré occupe la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule
cérébral (P) (Fig.121). La dégénérescence, très ma- nifeste à la
partie
supérieure du pied du pédoncule, au voisinage d
les couches profondes du bord interne du pied du pédoncule et une
partie
s'épuisent dans le locus neiger (Ln). Il est pr
de meilleurs résultat s (Voy. Nerfs crâniens, Rhombencéphale, IIIe
partie
). Une partie des fibres du cin- quième interne
résultat s (Voy. Nerfs crâniens, Rhombencéphale, IIIe partie). Une
partie
des fibres du cin- quième interne du pied du pé
capsule externe. Dégénéres- cence du faisceau gé- mculé, do la
partie
antérieure du thala- mus, du faisceau inter
me de la pyra- mide bulbaire. 138 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
partie
postérieure et inférieure de ce lobe et relè\enl
u'elles atteignent le lobe temporal, s'étalent de préfé- rence à la
partie
postérieure et supérieure de ce lobe (Fig. 123).
ig.i2a) et sous-thalamique de la capsule interne (Fig. 126) et par la
partie
supérieure du pédoncule cérébral (Fig. 127).
ule interne, des fibres radiées et du stra- tum zonale (Strz) de la
partie
postéro-supérieure du noyau externe du thalamus
aque jaune ayant délruit la face externe du lobe occipital et les
parties
postérieure et moyenne des 2e et 3 cir- convolu
mpiète sur la face inféro-interne de l'hémis- phère au niveau de la
partie
moyenne du lo- bule fusiforme, mais n'intéresse
ennent au système des fibres lenticulo-caudées. Le pulvinar (Pul), la
partie
pos- térieure et supérieure du noyau interne du
) seul est lésé, le segment postérieur (Cip) est intact (sauf dans sa
partie
anté- rieure qui correspond à la lésion du 2° q
uxième cin- quième interne du pied du pédon- cule cérébral, de la
partie
adjacente du locus niger et du faisceau ex- t
ution temporale (T,) et de la pointe temporale relèvent au moins en
partie
de la dégénérescence du faisceau uncinatus. C
(Fig. 129 à 133) : il s'agit d'une lésion du pli courbe et de la
partie
inférieure de la circonvolution pa- riétale inf
ieure de la circonvolution pa- riétale inférieure (Fig. 129), de la
partie
postérieure de la 1 ? circonvolution tempo- r
131) la région rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), la
partie
adja- cente du segment postérieur (Cip), la par
terne (Cirl), la partie adja- cente du segment postérieur (Cip), la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus (Ne)
Cip), la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), la
partie
supérieure du pulvinar (Pul) dont les fibres radi
ys (Nm), dans cette région ventrale du thalamus qui correspond à la
partie
profonde du corps genouillé interne (Cgi) (Fig.
quadrijumeau postérieur (BrQp.), les radiations de la calotte et la
partie
supéro-posté- rieure du noyau rouge (Fig. 133).
combé à 59 ans à une pleurésie. Plaque jaune du pli courbe, de la
partie
inférieure de la circonvolution pariétale infér
rconvolution pariétale inférieure, du gyrus supra-marginalis, de la
partie
postérieure de la première circonvolu- tion t
Fig. 131). Cas Le Soguilloii. Plaque jaune du pli courbe, de la
partie
inférieure de il., de de la partie postérieur
e jaune du pli courbe, de la partie inférieure de il., de de la
partie
postérieure de T¡,de t)pP2Ct Ip i section des
les. 1>egûné- rescence du segment rétrolenticulatrc et de la
partie
posté- rieure du segment postérieur de la cap
- rieure du segment postérieur de la cap- sale interne, de la
partie
supérieure du pulvinar, de la partie postérie
a cap- sale interne, de la partie supérieure du pulvinar, de la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus, d
terne, du bras du tubercule quaùrl.1u- meau postérieur et do la
partie
postéro supérieure du noyau rouge. Dégénéres-
Dégénérescence du segment rétro-lenti- culaire (Cirl) et de la
partie
postérieure adja- cente du segment pos- 1 éri
- terne (Cip), de la zone réticulée et des fibres radiées de la
partie
postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES CENTR
ES NERVEUX. Cas Le Seguillon. Plaque jaune du pli courbe, do la
partie
infeiieiire do P., de la partie postérieure
aque jaune du pli courbe, do la partie infeiieiire do P., de la
partie
postérieure de T,,de 01)1'2 etlp; section des
ittales. Dégéné- rescence du segment retrolenticulaire et de la
partie
posté- rieure du segment postérieur de la cap
- rieure du segment postérieur de la cap- sule interne, de la
partie
supérieure du pulvinar, de la partie postérie
a cap- sule interne, de la partie supérieure du pulvinar, de la
partie
postérieure du no) au externe du thalamus,
nterne, du bras du tubercule quadriju- meau postérieur et de la
partie
postéro- supérieure du noyau rouge. Dégénéres
ne. Le champ dégénéré de la coupe précédente est divisé en deux
parties
par l'arrivée des fibres en grande partie sai
ence du corps genouillé in- terne (Cgi). Dégénéres- cence de la
partie
du segment postérieur de la capsule interne s
gi), du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et de la
partie
postéro-supérieure du noyau rouge (NI3). Il exi
scence des fibres cortico-thalamiques destinées au pulvinar et à la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus, une dég
rée occupe le segment rétrolenticulaire de la capsule interne et la
partie
adjacente du segment postérieur elle est divisé
postérieur elle est divisée dans la région sous-thalamique en deux
parties
pour l'arrivée du faisceau de Türcl : : une par
lamique en deux parties pour l'arrivée du faisceau de Türcl : : une
partie
postérieure rétrolenticulaire, qui s'épuise dans
ie postérieure rétrolenticulaire, qui s'épuise dans le pulvinar et la
partie
postérieure et ventrale du thalamus et une part
le pulvinar et la partie postérieure et ventrale du thalamus et une
partie
antérieure qui occupe le segment postérieur de
plaque jaune n'intéressant que le lobe temporal, et en particulier la
partie
moyenne des deuxième et troisième circonvolutio
ion. Le lobe temporal envoie donc ses fibres de /projection dans la
partie
inférieure de la couche optique, dans le pulvin
oncule céré- bral consécutive a une plaque jaune oc- cupant les
parties
moyenne et posté- rieure des deuxième et tr
'autopsie chez un homme mort à l'Age de 6 ans. - Plaque jaune des
parties
moyenne et postérieure des deuxième et troisi
des deuxième et troisième circon- volutions temporales et de la
partie
moyenne de la première temporale. Dégénérescenc
bulbaires. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. traversent la
partie
postérieure de Cip, aboutissent à la partie i
nature. traversent la partie postérieure de Cip, aboutissent à la
partie
inférieure et postérieure des noyaux externe
u pédoncule cérébral) et s'épuisent dans la substance grise de la
partie
postéro-supéro- externe de l'étage antérieur de
u'à la hauteur du tronc du noyau caudé (NC) ; d'autre part, dans la
partie
inférieure et postérieure du bourrelet du corps c
r peut être suivie, d'une part, jus- qu'à la pointe temporale et la
partie
inférieure de la capsule externe (Ce), et, d'autr
es à la pointe occipitale. Toutes ces fibres empruntent, dans une
partie
de leur trajet, la voie de la couche sagittale
toxylinique et s'accolent aux fascicules sains, qui les masquent en
partie
. Il en résulte que le segment antérieur de la cap
ne du lobe frontal se comportent donc comme le lobe occipital et la
partie
postérieure du lobe pariétal. Elles n'envoient
érescence soit des fibres du genou (Ce[g]), du bec (Cc[r]) ou de la
partie
antérieure 'du tronc du corps calleux (Fig. 137
r de la capsule interne (Cia) sont rares. Celles qui en occupent la
partie
supérieure (cas Racle, Fig. 165 à 173) empièten
supérieure (cas Racle, Fig. 165 à 173) empiètent en général sur la
partie
antérieure du segment moyen de la couronne rayo
est lésé (cas Cogery, Fig. 174 à 180), la dégénérescence occupe la
partie
interne du segment postérieur de la capsule inter
stérieur de la capsule interne (Cip) (région sous-thalamique) et la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral. Lorsque
rne (cas Séjalon, Fig. 182; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule inter
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) font dégénérer la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral (cas James,
pied du pédoncule cérébral (cas James, Fig. 184); les lésions de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
tentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral. Les lésions de la
partie
supérieure du segment rétro- lenticulaire (Cirl
gment rétro- lenticulaire (Cirl) empiètent, le plus souvent, sur la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
xterne du pied du pédoncule cérébral. Par contre, les lésions de la
partie
inférieure du segment rétro- lenticulaire (Cirl
ire les circonvolutions Tt, Gsm, Op l'a, Op R, Op Fj), le cap et la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- Lor
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
ic. 147, 148, 149. Cas Rivaud. Coupes horizontales passant par la
partie
inférieure de la région tha- lamique (Fig. lié7
rticulier le faisceau de' Turck (FT), abordent, sur la Fig. 149, la
partie
postérieure du segment postérieur (Cip) de la c
i-ci ne contient que de rares fibres saines, en particulier dans sa
partie
antérieure; sa dégénérescence est en grande parti
a zone de Wer- nicke (W), de la capsule du noyau rouge (CNR), de la
partie
antéro-supérieure du noyau rouge (NR), des corp
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du DO) au rouge, du locus niger.
r nature. FiG. 151. - Cas Rivaud. Coupe transversale sectionnant la
partie
supérieure de la protubérance et les noyaux du
toit du'quatrième ventricule. Le faisceau de Turck s'épuise dans la
partie
supéro-postéro-externe de la substance grise de l
e de la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. La
partie
antéro-interne de cet étage ne contient pas de
erne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, delà
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe. de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
de de Weigert. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la
partie
supérieure et postérieure du noyau rouge (\R) (fi
ne (lu thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
rno du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
inférieure du noyau rouge, du locus ni- ger
vaud. Coupes pas- sant par le collet du bulbe et intéressant la
partie
inférieure de l'en- tre-croisement moteur et
pyramide bulbaire droite s'entre-croise incomplètement; une petite
partie
se porte dans le cordon latéral du côté croisé
dement sur les coupes plus inférieures (Fig. 156 et 137); une autre
partie
, poursuivant son trajet descendant le long du s
s it.iva.uù.noupepassanL par le renllement cervical. 11 n existe à la
partie
postérieure du cordon antérieur droit et du cor
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
rne du thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
as Rivaud. Hémiplégie cérébrale infantile. Un fragment grossi de la
partie
antérieure du segment postérieur de la région tha
que la moitié gauche de la moelle épinièr(présente dans toutes ses
parties
une légère diminution de volume (Fig. 155 à 159
re dans le cas Rivaud, c'est la petitesse, l'atrophie extrême de la
partie
supérieure de la couche optique (pulvinar, noyaux
interne) (Fig. 1 15 et 46) et le développement presque normal de sa
partie
ventrale (centre médian de Luys ]Il), noyau sem
e. Ces faits mettent bien en évidence les connexions étroites de la
partie
supérieure du thalamus avec la corticalité cérébr
s anciennes, comme Fig. 161. - Cas Rivaud. Un fragment grossi de la
partie
antérieure du segment pos- térieur de la partie
agment grossi de la partie antérieure du segment pos- térieur de la
partie
inférieure de la région thalamique de la capsule
rne du thalamus, des coup- genouillés interne et externe, de la
partie
supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger
postérieure (Fig. lî). FIG. 162. - Cas Rivaud. Coupe passant par la
partie
inférieure de l'entre-croisement moteur des pyr
e orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales, la
partie
interne de l'espace perforé antérieur, la tète du
e interne de l'espace perforé antérieur, la tète du noyau caudé, la
partie
inférieure et antérieure du putamen, et les deux
ticulo- slriées et lenticule-optiques, colorées en bleu) irrigue la
partie
externe de l'espace perforé antérieur, les segm
cules mamillaires, la bandelette optique, la région du genou et de la
partie
adjacente e du segment postérieur de la capsule
tro-lenticulaire et sous lenticulaires de la capsule interne, et la
partie
supérieure du pied du pédoncule cérébral. Bib
ÉBRALE. 167 B. - Lésions centrales circonscrites. a. Lésion de la
partie
supérieure du segment antérieur (Cia) et de la pa
a. Lésion de la partie supérieure du segment antérieur (Cia) et de la
partie
adjacente du segment postérieur (Cip) de la cap
it le putamen et la face adjacente du globus pallidus, le tronc et la
partie
adja- cente de la tête du noyau caudé, sectionn
nc et la partie adja- cente de la tête du noyau caudé, sectionné la
partie
supérieure du segment antérieur (Cia) et les de
ieure du segment antérieur (Cia) et les deux tiers antérieurs de la
partie
supérieure du segment postérieur (Cip) de FiG.
e la lésion centrale qui a détruit le putamen, évidé le tronc et la
partie
supérieure de la tète du noyau caudé, sectionné l
tronc et la partie supérieure de la tète du noyau caudé, sectionné la
partie
supérieure du segment antérieur (Cia) et les de
les un peu obliques en bas, en arrière et en dedans, passant par la
partie
supérieure (Fig. 165) et la partie moyenne (Fig
rière et en dedans, passant par la partie supérieure (Fig. 165) et la
partie
moyenne (Fig. 166 et 167) de la région thalamiq
(Fig. 166 et 167) de la région thalamique de la capsule interne; la
partie
antérieure de la coupe appartient, par conséque
de la coupe appartient, par conséquent, à un plan plus élevé que la
partie
posté- rieure. Dans la partie postérieure du se
nséquent, à un plan plus élevé que la partie posté- rieure. Dans la
partie
postérieure du segment antérieur de la capsule in
s fibres saines du pédoncule antérieur de la couche optique dans la
partie
inférieure du segment antérieur de la capsule et
destruction du putamen, du tronc du noyau eau dé, section de la
partie
supé- rieure du segment antérieur et de, do
ment posté- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Intégrité par
struction du Il putamen, du tronc du noyau caudé, section de la
partie
supé- rieur du segment antérieur et des deu
ment posté- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Intégrité par
interne (Ne, Ni) du thalamus. Intégrité du noyau antérieur et de la
partie
postérieure du noyau externe. Dégénérescence part
a partie postérieure du noyau externe. Dégénérescence partielle de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
le interne, la moitié inférieure de la tôle du noyau caudé et de la
partie
adjacente du putamen (Fig. 169 et 170), irrigué
ans toute l'étendue des circonvolutions antérieures de l'insula. La
partie
lésée du noyau caudé ressemble à une coque, vid
le pariétal. lnc. 169, 170 et 171.-Cas Racle. Coupes passant par la
partie
inférieure de la région thalamique et par la ré
destruction du putamen, du tronc du noyau caudé, section de la
partie
supé- rieure du segment antérieur et des de
ment posté- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Intégrité par
struction du il putamen, du tronc du noyau caudé, soction de la
partie
supé- rieure du segment antérieur et des de
ment posté- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Intégrité par
eurs du segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans les
parties
supérieure el moyenne de la région thalamique
érieurs des noyaux externe et interne du thalamus (Ne, Ni). Dans la
partie
moyenne et inférieure de la région thalamique, de
gment antérieur de la capsule interne (Cia); ils appartiennent à la
partie
inférieure de ce segment, respectée par la lésion
antérieure du thalamus (Pa Th) (Fig. 167 et 169) et envoyer dans la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule
ulé (Ci(g)). Dans toute la hauteur de la région sous-thalamique, la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule
a topographie de la lésion qui correspond à une destruction de la
partie
supérieure du segment antérieur et des deux tie
nne rayonnante, on peut se demander si les libres respectées à la
partie
interne du pied du pédoncule ne représentent pa
orbitaire du faisceau interne. Ces fibres passent en effet par la
partie
inférieure du serment antérieur de la capsule i
randeur nature. FIG. 173. - Cas Racle. Coupe transver- sale de la
partie
inférieure de la protu- bérance. Dégénérescence
destruction du putamen, du tronc du noyau caudé, section do la
partie
supé- rieure du segment antérieur et des de
ment posté- rieur de la capsulo interne. Dégénéres- cence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Intégrité par
du pied du pédoncule avec les fibres que l'opercule rolandique et la
partie
adjacente de l'opercule frontal envoient dans l
et le faisceau interne du pied du pédoncule (Voy. p. 73). Dans les
parties
moyenne et inférieure de la région thalamique,
de la région thalamique, de nombreuses fibres radiées saines de la
partie
inférieure du segment antérieur de la capsule i
n sous-oplique elles sont si denses et serrées qu'elles masquent en
partie
la dégénérescence capsulaire; celle-ci ne redevie
partenant à un arc plus grand (Voy. p. ? 8 : i). b. Lésion de la
partie
inférieure du segment antérieur de la capsule i
e. Chez ce dernier il s'agit d'une lésion centrale qui sectionne la
partie
su- périeure du segment antérieur (Cia) et la
sectionne la partie su- périeure du segment antérieur (Cia) et la
partie
adjacente du segment postérieur (Cip) de la cap
éré que partiel- lement) ; chez Cogery il s'agit d'une lésion de la
partie
inférieure du segment antérieur FiG. 174. - Cas
hie de la lésion de déficit (porencéphalie super- ficielle) de la
partie
moyenne de la cir- convolution pariétale ascend
tale ascendante. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la
partie
antérieure du quart postérieur du segment posté
la région thalamique) de la lésion capsu- laire qui a sectionné la
partie
inférieure du segment antérieur de la capsule int
woccipito-frontal et de la capsule externe. 2° Dégénérescence de la
partie
antérieure du quart postérieur de Cip consécutive
ttales du segment postérieur de la capsule interne (CSgt), et de la
partie
postérieure de la capsule externe (Ce//) consécut
rie, paralysie linguale. Lésions multiples. Destruction delà.
partie
inférieure du segment antérieur de la capsule
a capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et de la
partie
interne du pied du pédoncule. Lésion de la ré
n de la région sous-lentICulaire de la capsule interne et de la
partie
adja- cente du segment postérieur. Dégéné z
ire de la capsule interne et détruisant le faisceau de Tiirck et la
partie
adjacente du segment postérieur de la capsule inl
rne. Dans le pre- mier cas (Racle) il existe une dégénérescence des
parties
moyenne et interne du pied du pédoncule cérébra
ésant le segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), la
partie
adjacente du segment postérieur, les corps genoui
s corps genouillés externe et interne, le ruban de Reil médian à la
partie
supérieure de la calotte pédonculaire et le pilie
Sgi et Sge-d) du segment postérieur à la couronne rayonnante, de la
partie
inférieure du segment rétro-lcn- 1 iculaire (Ci
consécutive à la lésion du segment sous-lenticulaire (Cisl) et de la
partie
adjacente du segment postérieur de la capsule i
RCE CÉRÉBRALE. 175 Fic. 177. - Cas Cogery. Coupe pas- sant par la
partie
inférieure du pé- doncule cérébral. 1° Dégénére
doncule cérébral. 1° Dégénérescence du faisceau de Turck et de la
partie
externe adjacente du pied du pédon- cule céré
ment externe du pied du pédoncule avec intégrité des fibres de sa
partie
moyenne. Le pied du pédoncule de Cogery représe
cérébral : Fig. 178, 179, 180. - Cas Cogery. Coupes passant par la
partie
moyenne de la protu- bérance et les parties moy
y. Coupes passant par la partie moyenne de la protu- bérance et les
parties
moyenne et inférieure du bulbe. 1° Dégénérescence
hrie, paralysie linguale Lésions multiples. Destruction do la
partie
inférieure du segmcnt antérieur de la capsule
a capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et de la
partie
interne du pied du pédoncule. Lésion de la ré
n de la région sous-lenticulaire de la capsule interne et de la
partie
adja- cente du segment postérieur. DL-6- né
ie, paralysie linguale. Lésions multiples.. Destruction de la
partie
inférieure du segment antérieur delà capsule
à capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et do la
partie
interne du pied du pédoncule Lésion do la rég
n do la région sous-lenticulaire de la capsule interne et de la
partie
adja- cente du segment postérieur. Dégé- né
corticale occupe dans la région tlialami- que et sous-thalamique la
partie
antérieure du quart postérieur de Cip. Dans le pi
cen- trale sectionne le segment sous-lenticulaire (Cisl) et la
partie
inférieure du seg- ment rélro - lenticulaire
nter- ne, les corps genouillés interne (C¡Ú) et externe (Ce),la
partie
postérieure et inférieure du pulvinar ( l'ul)
r de la cou- ronne rayonnante, intéressant plus particulièrement la
partie
externe de la couche sagittale externe et la pa
iculièrement la partie externe de la couche sagittale externe et la
partie
interne de la couche sagittale interne (Fig. t 7'
amus (Fig. 186) et sectionne, dans la région thalamique moyenne, la
partie
postérieure du segment pos- lu ieur de la capsu
la capsule interne (Cip). La première lésion respecte le genou et la
partie
adjacente du segment postérieur de la capsule i
). Dans le cas James (Fig. 183 à 185), la lésion centrale occupe la
partie
moyenne du segment postérieur delà capsule inte
rconvolution postérieure de l'insula. La dégé- nérescence occupe la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 181),
otalité (Fig. 18). TOME Il. 12 Cas Séjalon. Des- truction do la
partie
antérieure de Cip en arrière du genou. Dégé
ent posté- rieur de la capsule intenre ; dégénéres- cence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Fig. 181 et 1
pédoncule. Fig. 181 et 182. Cas Séjalon. Lésion centrale de la
partie
moyenne du globus pallidus et de l'extrémité
t de l'extrémité antérieure de la couche optique sectionnant la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule
du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et de la
partie
adja- cente du locus niger. Méthode de Weigert.
égie droite. Foyer du putamen détruisant le globus pallidus et la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule i
niger (Fig. 188). 2° Lésion destruc- Cas Carré. 1° Lé- sion de la
partie
an- térieure de Cip im- médiatement en arri
180 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Carre. 1° Lé- sion de la
partie
an. tenoure de Cip im. médla temen on arriè
ème externe du pied du pédonculo. Cas Lavigne. Lé- sion de la
partie
pos- térieure du segment postérieur do lacap-
n- cule cérébral Inté- grité du faisceau de Turck. tine de la
partie
antérieure du pulvinar (Pul) et de la partie po
Turck. tine de la partie antérieure du pulvinar (Pul) et de la
partie
postérieure du noyau externe du tha- lamus sect
9, 190 et 191) enfin, il s'agit d'une lésion centrale qui occupe la
partie
antérieure du pulvinar et la pallie postérieure d
stérieure du noyau externe du thalamus et détruit en particulier la
partie
profonde du corps genouillé interne, la ré- 1 i
. 189. - Cas Lavigne (Bicêtre, 1893). Hémiplégie droite. Lésion de la
partie
posté- rieure du segment postérieur de la capsu
médiatement en avant du segment rétro-lenticulaire, s'étendant à la
partie
adjacente de la couche optique et du globus pal
CÉRÉBRALE. 181 Le loyer pnmItlroccupe, dans la couche oplique, la
partie
antérieure du pulvinar (Pul), la partie postéri
ans la couche oplique, la partie antérieure du pulvinar (Pul), la
partie
postérieure et inférieure du noyau externe (Ne)
Pul), la partie postérieure et inférieure du noyau externe (Ne), la
partie
profonde du corps genouillé interne, et la régi
interne (Cip) en avant du segment L rétrolenticulaire (Cirl), et la
partie
posté- rieure du globus pallidus et du putamen
utamen (1\LI, KLa, NI,3, Fig. 189 et 190). Dégé- nérescence de la
partie
postérieure du seg- ment postérieur (Cip) delà
es. Dégénérescence partielle des radiations strio-luysiennes et de la
partie
postérieure du corps de Luys; intégrité de l'an
roite. Coupes horizon- tales obliques en arrière et en dehors de la
partie
inférieure (Fig. 190) de la région thalamique d
hode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Lavigne. Le- sion de la
partie
pos- térieure du segment postérieur de la cap
tement en avant du segment rétrolenticulaire (Cirl) et s'étend à la
partie
postérieure du globus pallidus et du putamen (F
oroïdienne antérieure : 1° lésion du globus pallidus sectionnant la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule inter
rigone et de la commissure antérieure (coa), Foyer primitif dans la
partie
moyenne du pied du pédoncule. Conservation relati
ar la région sous-thalamique de la capsulE interne (Fig. 193) et la
partie
supérieure du pédoncule aux confins de la région
e de l'artère choroïdienne anté- rieure. L'une sec- tionne la a
partie
moyenne du segment postérieur de 1 a capsul
e do l'arteie e choroidienne anté- rieure. L'une sec- tionne la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule
a vision. nérescence de faisceaux importants. L'une siège dans la
partie
postérieure du globus pallidus sectionne dans l
eur de la capsule interne en avant du faisceau de Turck, atteint la
partie
supérieure du pied du pédoncule cérébral et a e
u pied du pédoncule cérébral et a entraîné une dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule et du locus niger,
on occupe le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne et la
partie
adjacente du segment sous-lenticulaire qu'il ne d
ous-lenticulaire qu'il ne détruit pas com- plètement et respecte en
partie
le faisceau de Tiirck. Le faisceau externe du pie
frontale (Fig. 192 et 193). Le tapetum paraît intact dans toute la
partie
externe du carrefour ventriculaire et foi me une
où la lésion avait sectionné le pilier postérieur et empiété sur la
partie
externe du pédoncule cérébral. Il existe dans c
ncéphale est presque normal, mais le manteau cérébral est en grande
partie
réduit à une mince membrane transparente, tapissé
resque complètement développé sauf dans la région de l'insula et la
partie
adjacente de l'opercule sylvien, mais une vaste
ganglions de la base, lesquels ne sont reliés au manteau qu'à leurs
parties
antérieure, postérieure et inférieure. Les fibres
isphères, en bas par le corps du trigone, en bas et en avant par la
partie
inférieure, ganglionnaire ou basale du septum l
se rallie à l'opinion plus récente de Marchand d'après laquelle ces
parties
procèdent de la lame terminale embryonnaire épa
distingue en particulier la circonvolution de l'hippocampe avec la
partie
adjacente des lobules fusiforme et lingual, et
cipitales, la circonvolution de l'hippocampe avec son crochet et la
partie
adjacente du lobule fusi- forme, les scissures
ant par un repli falciforme saillant, correspon- dant au fond de la
partie
antérieure de la scissure interhémisphérique et e
ngement sphéno-occipilcrl de cette vaste cavité ventriculaire. A la
partie
antérieure des corps opto-striés, il exisle de
- Cas Longery. Coupe vertico-transversale passant : à droite, par la
partie
antérieure de la couche optique (Th) et du segm
u segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; à gauche, par la
partie
moyenne du thalamus et du segment postérieur de l
érieur de la capsule interne (Cip), par le corps de Luys (CL) et la
partie
antérieure du pied du pédoncule cérébral. Remar
ule cérébral (P), le noyau amygdalien (NA), le corps de Luys (CL), la
partie
moyenne du thalamus (Th) et du segment postérie
segment postérieur de la capsule interne (Cip), et à droite, par la
partie
postérieure du corps strié (NL3) et la corne d'Am
passant par le pédoncule céré- hral (P), les noyaux rouges (NR), la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
capsule interne (Cip), et le corps de Luys (CL) il droite, et par la
partie
postérieure de la couche optique à gauche. Méth
.1), le pied du pédoncule (P), le centre médian de Luys (i\m) et la
partie
postérieure du thalamus (Th). Mé- Iiiode de Wei
ry. Coupe vertico-transversale du pédoncule cérébral passant par la
partie
postérieure du thalamus et du corps du trigone, e
re (cop), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil médian (Ilm). La
partie
postérieure du thalamus (Th) est une masse info
éno-occipitales et forme à elle seule (soutenue par la pie-mère) la
partie
membraneuse des hémisphères. Il résulte de cette
complètement défaut. Le septum lucidum n'est développé que dans sa
partie
inférieure et antérieure, celle qui contient le g
- Pour la facilité de l'étude, on peut reporter sur un schéma les
parties
développées et agénésiées de cet hydrocéphale
ase. L'écorce du rhinencéphale (circonvolution de l'hip- pocampe,
partie
postérieure de la première circonvolution limbi
erminent dans les corps opto-striés. Les ganglions de la base et la
partie
adjacente de l'écorce cérébrale ont été débités
uoupe passant paries tubercules quadrijumeaux antérieurs (Qa), la
partie
supérieure de la protubérance (Po), et l'entre-
croisés, c'est- 'L-dire le long du sillon médian antérieur et à la
partie
postérieure du cordon latéral. La partie périph
n médian antérieur et à la partie postérieure du cordon latéral. La
partie
périphérique du cordon antéro-latéral paraît égal
par 'étroite cavité du troisième ventricule (V3) comprennent à leur
partie
antéro-externe le corps strié, à leur partie po
V3) comprennent à leur partie antéro-externe le corps strié, à leur
partie
postéro-interne la couche optique ! (Th), et à le
ié, à leur partie postéro-interne la couche optique ! (Th), et à leur
partie
inféro- externe le noyau amygdalien (NA). Le
et 204). Le globus pallidus est remarqua- blement développé dans sa
partie
antérieure (Fig. 202 et 203) et comprend deux et
oupe passant, par les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), la
partie
moyenne de la protubérance (Po), l'émergence du t
ec son faisceau rétroflexe (Fil), le centré médian de Luys (Nm). La
partie
postérieure du thalamus est par contre une mass
, ni corps genouillé interne ou externe (Fig. 206, 207). Quant à^la
partie
postérieure et ventrale du noyau externe du tha
brale. Elles existent FiG. 210. - Cas Longery. Coupe passant par la
partie
moyenne des olives bulbaires. Agénésie complète
nt rétro-lenticulaire de la capsule interne fait défaut, et dans la
partie
posté- rieure du thalamus, qui à l'état normal
noyau rouge (NR, Fig. 205, ` ? 00, 20G) contient toutefois, dans sa
partie
supérieure surtout, moins de fibres qu'à l'état
es cortico-rubriques. FIG. 211. - Cas Longery. Coupe passanl har la
partie
inféiieure du bulbe au-dessous des olives bulba
rantiel (Fig. 209) et pédonculaire (Fig. 208 et 209) jusque dans la
partie
ventrale du thalamus autour et en dehors du centr
ans le fond la mince membrane inter hémisphérique qui contient à sa
partie
antérieure un tronc calleux rudimentaire. Les l
inférieure, antérieure et postérieure des hémisphères (Fig. 213). Leb
parties
latérales des hémisphères font seules défaut, e
irconvolution frontale, la deuxième circonvolu- tions pariétale, la
partie
moyenne du .obe temporal, la partie externe de la
circonvolu- tions pariétale, la partie moyenne du .obe temporal, la
partie
externe de la circonvolu- lion de l'hippocampe
ule sylvien, la troisième circonvolution frontale, la pointe et les
parties
antérieure et moyenne du lobe temporal. Elle est,
é, beaucoup moins grande (fin.215) et n'intéresse que l'insula, une
partie
de la face profonde de l'opercule sylvien, la p
e partie de la face profonde de l'opercule sylvien, la pointe et la
partie
antérieure du lobe temporal; les circonvolutions
1). Le cerveau s'est aplati pendant le durcissement de sorte que la
partie
antérieure, étranglée (Etr) du manteau occupe la
la face infé- rieure du cerveau. - Flld, les circonvolutions de la
partie
inférieure repliée de la face externe de l'hémi
doncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'une'
partie
du fais- ceau interne du pied du pédoncule cé
qui ferme incomplète- ment ce vaste orifice recouvre, en outre, la
partie
repliée de l'écorce et la masque en Fic. 215. -
ation cérébrale. Face inférieure de l'encéphale. Étranglement de la
partie
antérieure du manteau cérébral (Etr), absence d
ncéphalie (po). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 201
partie
avant de tapisser la cavité ventriculaire. (Voy.
ntre les ganglions de la base (GB) et ses connexions en avant avec la
partie
infé- rieure, basale du septum lucidum (SI).
édoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied du pédoncule cé
incomplètement développé et n'existe à l'état rudim entaire qu'à la
partie
antéro-supérieure de la scissure interhé- misph
ions de la base ou corps opto-striés séparés l'un de l'autre à leur
partie
postérieure par le corps du trigone et les plexus
, cloison qui s'étend (Fig. 226) du sommet du corps du trigone à la
partie
an 1 éro-iuféricme du noyau caudé où un diverti
ganglions de la base avec la région oibitaire du lobe frontal et la
partie
adjacente de la circonvolution de l'hippocampe et
édoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied lu pédoncule cé
édoncnlc cérébral a l'exception du fais- ceau genicule et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied du pédoncule ce
ntricule par les radiations calleuses (RCc) qui pro- viennent de la
partie
recourbée du manteau; ces fibres sont situées sur
o-postérieur jusqu'aux ganglions de la base où il se divise en deux
parties
: l'une longe la paroi externe du putamen, forme
ires (Cisl) de la capsule interne et s'irradie dans le pulvinar et la
partie
ventrale du thalamus (Fig. 228, 229, 230). A so
g, cingulum. - Fc, le faisceau des fibres calleuses se concentre à la
partie
interne de l'hémisphère en un faisceau à direct
exité du manteau cérébral. Il diminue seulement d'épaisseur dans la
partie
moyenne de la convexité, en même temps que le pie
ste toujours grêle. Il n'augmente d'épaisseur qu'au voisinage de la
partie
étranglée du manteau cérébral. En comparant ave
sériées avec les coupes horizontales obliques on se convainc qu'une
partie
des fibres du' pied de la couronne rayonnante fra
édoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied du pédonculo cé
supérieure et externe du ventricule, puis elles se concentrent à la
partie
supéro-interne du carrefour ventriculaire en un f
Fic. ? ? G. - Cas Richard. Coupe vertico-transversale sectionnant la
partie
antérieure du manteau cérébral et passant par l
nteau cérébral et passant par la ligne de repère 1 de la Fig. 213. La
partie
inférieure de la coupe intéresse, l'écorce situ
zonale (Strz) et le noyau antérieur (ThXa) de la couche optique, la
partie
supérieure et antérieure du corps strié, en parti
bral arrivent à la capsule interne. Cette coupe sectionne encore la
partie
antéro-inférieure du segment antérieur (Cia) et l
encore la partie antéro-inférieure du segment antérieur (Cia) et la
partie
antéro-supérieure du segment postérieur de la c
où il existe de nombreux îlots hétérotopiques de substance grise. La
partie
inférieure, basale du septum lucidum (SI) sépar
noyaux caudés, et s'étend du pilier antérieur du trigone (Tge) à la
partie
inférieure de la tête du noyau caudé un diverti
édoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied du pédoncule cé
ur anormalement étiré par suite de l'agénésie du bourrelet et de la
partie
postérieure du tronc du corps calleux. Fig. 227
fibres (Ci(g) se détache du segment antérieur (Cia) et se place à la
partie
antérieure du segment postérieur (Cip). Celui-c
ui recouvre la face externe intraventriculaire du putamen (NLj). La
partie
antérieure de cette coupe sectionne le pédoncul
édoncule du septum lucidum (PSI) entre les deux noyaux caudés. A la
partie
[postérieure de la coupe, on voit le corps du t
ostérieur de la capsule interne 'dans la région sous-thalamique. La
partie
antérieure du segment) postérieur (Cip) de la Cap
édoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied du pédoncule cé
édoncule cérébral a l'exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau externe du pied du pédoncule cé
l), le centre médian de Luys (1\'111), le corps de Luys (CL), et la
partie
inférieure basale du noyau caudé (C ? sC). Ici
L ! ) et du corps de Luys (CL) et ne contient de fibres que dans sa
partie
antérieure (Ci(g). De la partic postérieure du
rayonnante se divisent en abordant les ganglions de la base en deux
parties
inégales : l'une se poi te en dedans, forme le se
a capsule interne (Cirl) et s'épanouit dans le pulvinar (Pul) et la
partie
adjacente du thalamus. l'autre concourt il former
niculé (Cig), Fig. 227), occupent dans la région sous-thalamique la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule in
eur de la capsule interne (Cig, Fig. 228, 229, 230), et plus bas la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral (Fi, Fig.
s(rio-luysiennes et ne contient de fibres descendantes que dans sa
partie
autéro- interne (Ci(g); celles-ci proviennent d
); celles-ci proviennent du faisceau géniculé et descendent dans la
partie
interne du pied du pédoncule. Méthode de Weigert-
utant plus probable que l'on peut suivre sur les coupes sériées une
partie
au moins des fibres de la couronne rayonnante du
on du genou de la capsule à la queue du noyau caudé; mais, comme la
partie
supérieure du segment rétrolenticulaire fait dé
icales sauf au niveau du genou; il n'est reconnaissable que dans sa
partie
antérieure, celte qui est adossée au segment inte
FIG. 233. - Cas Richard. Coupe transversale du bulbe passant par la
partie
moyenne des olives. Agénésie totale des pyramid
édoncule cérébral a 1 exception du fais- ceau géniculé et d'une
partie
du fais- ceau interne du pied du pédoncule cé
ied du pédoncule cérébral (Fig. 231) ne contient (à l'exception de sa
partie
interne) pas de fibres verticales descendantes;
tions motrices. - La zone excitable ou motrice du cerveau occupe la
partie
sus-sylvienne du secteur moyen de l'hémisphère cé
nvolutions frontale et pariétale et, d'après Horsle3 et Schafer, la
partie
moyenne de la première circonvolution limbique.
lIearn, Sachs et Gerster). Le centre du facial supérieur occupe la
partie
supérieure de la zone de la face, immédiatement a
ions corticales des mouvements de la cuisse et du genou occupent la
partie
anté- rieure de la zone, tandis que celle des p
ement par une monoplégie braclcio-cnuralc. Lorsqu'elle siège sur la
partie
inférieure de la circonvolution rolandique elle d
e Little suivie d'autopsie.) (C. R. Soc. Viol., 1897, p. 261.) la
partie
inférieure de la face - orbiculaire des lèvres, m
s mastica- teurs - dont le centre cortical siège chez le singe à la
partie
inférieure de la circonvolution frontale ascend
enu une déviation nette de la tête du côté opposé en électrisant la
partie
postérieure de la deuxième circon- volution fro
tal et l'opercule rolandique, et remontant' en s'atténuant jusqu'à la
partie
moyenne de la région rolandique. Dans les derni
Krauss (1884 et 1890), qui chez le chien localisa ce centre dans la
partie
antéro- externe du gyrus précrucial. Pour Masin
trèrent que, chez le singe, le centre cortical laryngé siège dans la
partie
infé- rieure de la frontale ascendante immédiat
siègent surtout sur la circonvolution frontale ascendante et sur les
parties
supé- rieure et inférieure de la circonvolution
oignet, doigts, index et pouce, les grandes articulations occupant la
partie
supérieure de la zone, tandis que les centres d
ticulations et des mouve- ments hautement différenciés siègent à la
partie
inférieure, au voisinage du centre moteur de la
e de làà la racine du membre ou à sa périphérie. L'excitation de la
partie
antéro-supérieure de la zone détermine une prog
des mouvements de la face proprement dite, mais encore celle de la
partie
supérieure du tube digestif (lan- gue, pharynx)
s actionne surtout les paupières du côté opposé. L'excitation de la
partie
prérolandique du centre détermine l'ouverture, l'
tie prérolandique du centre détermine l'ouverture, l'excitation de la
partie
rétro- rolandique, la fermeture des paupières.
re de la bouche. Le centre phonatoire du larynx, enfin, siège dans la
partie
anté- rieure du pied de la frontale ascendante;
890, B. p. 81). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 231
partie
antérieure de cette zone détermine la protrusion,
antérieure de cette zone détermine la protrusion, l'excitation de sa
partie
posté- rieure, la rétraction de la langue assoc
endante, au-dessous du genou du sillon de Rolando. L'excitation de la
partie
supérieure de la zone détermine la contraction
n de la partie supérieure de la zone détermine la contraction de la
partie
supérieure de l'orbiculaire des lèvres du côté
ation de la lèvre supérieure du côté opposé. Par l'excitation de la
partie
corresponclante;de la frontale ascendante, on obt
que Les mouvements de la langue s'obtiennent par l'excitation de la
partie
inférieure de la circonvolution frontale ascend
attitude est celle qu'on observe dans l'hémi- plégie de l'homme. Sa
partie
postérieure est aplatie lorsque l'électrode est a
e avec rotation vers la joue du côté opposé et épaississement de sa
partie
postérieure; enfin la rétraction légère de la lan
ments de la tête et des yeux occupent chez le macaque (Fig. 241) la
partie
postérieure des première et deuxième circonvolu
rieur occipital ou occipito-temporal des mouvements des yeux est en
partie
au moins sous la dépendance du centre antérieur o
gments antérieurs et postérieurs de la capsule, à l'exception de la
partie
tout à fait frontale du segment antérieur. Sur le
tale du segment antérieur. Sur les coupes suivantes (II et III), la
partie
inexcitable du segment antérieur augmente, une
du segment antérieur augmente, une région inexcitable apparaît à la
partie
postérieure du segment postérieur (III), de telle
psule interne se confine au genou de la capsule et à la plus grande
partie
de son segment postérieur. Sur les coupes qui int
nstituée par la lame médullaire externe du noyau lenticulaire. A la
partie
postérieure du segment postérieur, il existe donc
essort. Pour Charcot et Ballet, la zone sensitive comprend toute la
partie
postérieure de l'hémisphère (lobes occipital et p
est vrai - du lobe pariétal avec le ruban de Reil médian (Voyez IIe
partie
, Ruban de Iteil). Nous avons vu plus haut que l
la circonvolution pariétale ascendante participait à la lésion, sa
partie
postéro-inférieure est en effet irriguée par la
a fois dans les lésions de la région rolandique et dans celle de la
partie
antérieure du lobe pariétal ; mais il n'est pas
que le centre visuel ou sphère visuelle, siège chez le chien dans la
partie
posté- La sphère visuelle de Munk. 240 ANAT
cula lutea n'auraient que des connexions croisées. L'ablation de la
partie
externe de la sphère visuelle déterminerait non
ie temporale de l'oeil du même côté, tandis que l'extirpation de la
partie
interne de la sphère visuelle en- traînerait l'
xterne occu- perait un siège différent, suivant que l'on extirpe la
partie
externe ou la partie interne de la sphère visue
un siège différent, suivant que l'on extirpe la partie externe ou la
partie
interne de la sphère visuelle. Chez l'homme,
e ou d'autres troubles du champ visuel, à la suite de lésions de la
partie
antérieure de l'hémisphère, mais ces symptômes
onal : ow enfin, aucune région corticale du lobe occipital et de la
partie
postérieure du pli courbe ne serait dépourvue d
ccupent l'étendue tout entière du centre visuel, et la lésion d'une
partie
d'entre elles, n'empêche pas celles qui ont été
en secteur par le siège de la lésion. Quant au rétrécissement de la
partie
conservée du champ visuel, il relèverait, d'apr
nexions de la zone visuelle corticale avec la zone du langage. - La
partie
antérieure des hémisphères a été écartée afin d
dans la scissure calcarine, dans le cunéus tout entier, ou dans la
partie
antérieure de ce dernier, qu'elle détruise les lo
ment, mais crie et gémit lorsqu'on le maltraite. L'abla- tion de la
partie
centrale de cette sphère auditive détermine une s
e, les auteurs s'accordent pour localiser le centre auditif dans la
partie
moyenne de la première circonvolution temporale (
ale complète ou croisée, par lésion bilatérale ou unilatérale de la
partie
postérieure des premières circonvolutions tempora
BRALE. 247 chez le chien, la perception des sons élevés occupe la
partie
antérieure, celle des sons bas la partie postér
des sons élevés occupe la partie antérieure, celle des sons bas la
partie
postérieure de la zone auditive. Quoi qu'il en
de lésions bilatérales des lobes temporaux, et en particulier de la
partie
moyenne de ces lobes. Nous disons la partie moyen
et en particulier de la partie moyenne de ces lobes. Nous disons la
partie
moyenne, car il est aujour- d'hui bien démontré
ns la partie moyenne, car il est aujour- d'hui bien démontré que la
partie
postérieure du lobe temporal gauche chez les dr
la troisième circonvolution frontale au pli courbe, en englobant la
partie
postérieure de la première circonvolution tempora
s images audi- tives des mots, ou centre de Wernicke, siège dans la
partie
postérieure de la pre- mière circonvolution tem
ulation des sons. Le centre des images auditives des mots occupe la
partie
postérieure de la sphère de l'audilion générale
entre de Broca, la surdité verbale domine si la lésion a détruit la
partie
postérieure de la première circonvolution tempora
otrice et l'aphasie SCI1S0- rielle, suivant que la lésion occupe la
partie
antérieure ou la partie postérieure de la zone
S0- rielle, suivant que la lésion occupe la partie antérieure ou la
partie
postérieure de la zone du langage, suivant qu'e
e la vision générale; 3° avec les zones motrices des deux côtés. La
partie
anlérieure (teintée en gris) de cette figure ap
s images visuelles des lettres et des mots. On peut écrire avec une
partie
quelconque du corps, pourvu qu'elle soit suffi-
samment mobile; ceci montre, partant, que l'on peut écrire avec une
partie
quelconque de la corticalité motrice, et que, p
itié de la langue du côté opposé. C'est en effet par le genou et la
partie
adjacente du seg- ment postérieur de la capsule
s auteurs : Leresche (1890), Galavielle (1893), Les lésions de la
partie
antérieure Cip prodmsent uno mo- noplégie fac
ale et symétrique du noyau lenticulaire, a intéressé le genou et la
partie
adjacente du segment pos- térieur de la capsule
il existait une lésion en foyer du volume d'un haricot occupant la
partie
moyenne de Cip. Quant aux monoplégies cl'urales
plus intense du membre inférieur que dans les cas de lésions de la
partie
moyenne de Cip, se traduisant par une hémiplégi
contracturé, recouvrera, au bout d'un temps plus ou moins long, une
partie
de ses fonctions et le malade pourra marcher. Il
lle région de l'hémisphère. Charcot localisait l'hémichorée dans la
partie
postérieure du segment posté- rieur de la capsu
). En ISî9,Ifahler etPickmon- rèrent qu'une lésion siégeant sur une
partie
quelconque du trajet du faisceau pyramidal peut
p. 82) que L. Tiirck avait montré que les lésions siégeant dans la
partie
postérieure de la capsule interne se traduisaient
ales et spéciales de la moitié opposée du corps, passaient .dans la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
térieure du segment postérieur de la capsule interne. Lorsque cette
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
thésie sensitivo-sensorielle des hystériques. Charcot désigna cette
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
ot, tout le monde est d'accord pour reconnaître qu'une lésion de la
partie
postérieure du seg- ment postérieur de la capsu
ticaux venus de la première circonvolution temporale passent par la
partie
postérieure du segment sous-lenticulaire (Cisl) d
par contre pourra durer indéfiniment, dans les cas de lésion de la
partie
antéro-latérale de la protubérance, au niveau du
re, s'accompagne d'hémiplégie plus ou moins accusée. Ici encore les
parties
les plus paralysées sont aussi les plus aneslhé-
Il ressort donc de cette discussion que, lorsqu'une altération de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
spé- ciale de ce ganglion, à savoir, en avant du pulvinar, dans la
partie
postérieure et inférieure du noyau externe du t
bservations suivies d'autopsies et dans lesquelles une lésion de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
s troubles de la sensi- bilité générale que l'on observe lorsque la
partie
postérieure de Cip est lésée dans la région tha
truction des fibres de la sensibilité générale qui passent t par la
partie
postérieure de Cip ou bien relèvent-ils de la lés
nous arrêtons. En effet, s'il existait un faisceau sensitif dans la
partie
postérieure de Cip, les lésions de cette partie
au sensitif dans la partie postérieure de Cip, les lésions de cette
partie
de Cip dans la région thalamique supérieure devra
- lamus est lésé. Parfois, enfin, les lésions du thalamus dans sa
partie
inférieure, lorsqu'elles sont peu étendues, peu
directement dans la capsule interne, de même qu'il n'y a pas dans la
partie
postérieure du segment postérieur de cette dern
fonctions du cerveau (lobes cérébraux) en général et sur celles de sa
partie
antérieure en par- ticulier. Journ. de Phys. de
probablement les fonctions, elle envoie ses fibres de projection en
partie
dans le trigone cérébral et en partie dans la c
e ses fibres de projection en partie dans le trigone cérébral et en
partie
dans la capsule interne. FIBRES DE PROJECTION D
ion olfactive interne et le carrefour olfactif, puis se continue en
partie
avec les fibres de la strie de Lancisi, en part
is se continue en partie avec les fibres de la strie de Lancisi, en
partie
avec les fibres du pédoncule du septum lucidum et
ctive (Aol), c'est-à-dire les régions basales du cerveau antérieur (
partie
inférieure et basale de la tête du noyau caudé (C
). A ce niveau, les radiations olfactives profondes divergent : une
partie
se porte en haut, en arrière et en dedans, soit
en dedans, soit vers la commissure antérieure dont elles forment la
partie
olfactive, soit vers l'extrémité antérieure du
nia semicircularis et du tænia thalami (Fig. 253 et 234). Une autre
partie
des radiations Fin. 251. - Les radiations olfac
peu près au plan de la figure 311. Al, anse lenticulaire. - Aol, la
partie
de l'aire olfactive située en arrière du tubercul
noyau caudé. - iVL2, deuxième segment du noyau lenticulaire. 01'\,
partie
orbitaire de la première cir- convolution front
'un lobe olfactif à celles du côté opposé par l'intermédiaire de la
partie
olfactive de la commissure anté- rieure, ou enc
olfactive et du septum lucidum ; il traverse d'avant en arrière la
partie
inférieure du septum en convergeant vers la com
ami. Il s'irradie ensuite dans le ganglion de l'habenula et dans la
partie
moyenne et interne du thalamus, et unit par con
outre (méthode de Marchi) qu'il dégénère à la suite de lésion de la
partie
antérieure du septum lucidum, qu'il est simplem
ans du plan de la coupe, Fig. 251, intéressant l'aire olfactive, la
partie
antéro-interne du thalamus et de la région sous-t
yau amygdalicn. FiG. 254. - Les radiations olfactives profondes, la
partie
antérieure du taenia semicir- cularis, l'anse l
emicircularis émerge de la substance per- forée antérieure et de la
partie
adjacente du septum lucidum, sous l'aspect d'un
trémité antérieure du sillus opto-strié. Il est renforcé dans cette
partie
de son trajet par quelques fibres que lui envoic
ne couche très épaisse de la sub- stance grise sous-épendymaire des
parties
latérales de la corne frontale et correspond as
et dans toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il s'éloigne de la
partie
recourbée delà queue du noyau caudé, reste acco
nt dans le noyau amygdalien et le segmentent en plusieurs amas. Une
partie
de ces fibres s'y termine ou y prend ses origin
s'irradient dans l'écorce de la circonvolution du crochet, dans la
partie
morcelée de l'avant- mur, ou encore, comme Fovi
lée de l'avant- mur, ou encore, comme Foville le signalait, dans la
partie
postérieure de la substance perforée antérieure
ser, ce faisceau naîtrait, chez la taupe et le lapin, de toutes les
parties
du noyau amygdalien, entrerait en connexion int
circularis, s'effilent et se terminent en pointe au voisinage de la
partie
postérieure de la couche optique (Fig. 145), et
circonvolution godronnée, la circonvolution de l'hippocampe et une
partie
de la circonvolution du corps calleux, soit ent
reçoit ou qu'il émet, on peut diviser le trigone cérébral en quatre
parties
: la première occupe la corne sphénoïdale, s'ét
isthme de l'hippocampe et constitue Y alvéus et la finz- La seconde
partie
s'adosse au forceps major du corps calleux, occup
e carrefour ventriculaire et s'étend de l'isthme de l'hippocampe à la
partie
antérieure du bourre) et. du corps calleux : c'
ous-lenti- culaire de la capsule interne. - Ln, locus niger. - Ne',
partie
recourbée de la queue du noyau caudé,. - NL2, N
se entre le trou de Monro et le tubercule mamillaire; elle forme la
partie
antérieure du troisième ventricule, puis s'enfonc
son trajet hippocampique, la fimbria est un faisceau volumineux en
partie
extraventriculaire sur lequel s'insèrent les pl
. godronnée. On peut donc, avec llonegger, considérer ù l'alveus deux
parties
: l'alvells intraventriculaire et l'alvells exl
enforcent. L'alveus extravenlriculaire (Alvx) est constitué par une
partie
des cylindres-axes des cellules poly- morphes d
poly- morphes de la circonvolution godronnée qui se réunissent, tda
partie
interne du hile du fascia dentata, en un petit
et se continue avec les fibres intraventriculaircs de l'alvcus. Sa
partie
externe ou supérieure contient les libres de la
tion de l'hippocampe, où la corne d'Ammon cesse d'exister, vers les
parties
latérales du bourrelet du corps calleux où il s
érales du bourrelet du corps calleux où il se place à l'union de la
partie
ventrale ou réfléchie du splenium avec la parti
ce à l'union de la partie ventrale ou réfléchie du splenium avec la
partie
dorsale ou supérieure (Fig. 9, p. 14, 42 et 268).
e ou supérieure (Fig. 9, p. 14, 42 et 268). A ce niveau, une petite
partie
des fibres du pilier postérieur du trigone se p
201), il n'est développé dans le cas Richard (Fig. 22) que dans sa
partie
antérieure. Néan- moins, il existe dans les deu
ison verticale et antero-postérieure, peu élevée, qui sépare à leur
partie
antérieure les deux ganglions de la base. Cette c
ure les deux ganglions de la base. Cette cloison n'est autre que la
partie
inférieure, basale ou ganglionnaire du septum luc
riculaire. des piliers antérieurs du trigone et se fusionne avec la
partie
basale de la tête du noyau caudé (Fig. 220, p.
roïdienne, qu'un sillon profond divise sa face inférieure en deux
parties
droite et gauche, qui, accolées dans la région
Les fibres de l'alvezcs intraven- triculaire (Alv) occupent la
partie
inféro-interne du corps du trigone, la fimbria
sversales passant : 1° par le bourrelet du corps calleux; 2° par la
partie
postérieure du tronc du corps calleux; 3° par l
i se porte obliquement en dedans et en avant, et atteint bientôt la
partie
profonde du sillon médian du corps du trigone.
l (lobule lingual, lobule fusiforme, cuneus, pointe occipitale). La
partie
antérieure du bec postérieur (Spl) (r) contient
corps du trigone (11). Lorsqu'on examine des coupes sagittales des
parties
latérales du corps calleux (Fig. 2(il), on cons
nissent pas en fasci- Fig. 261. - Coupe sagittale passant par les
parties
latérales du genou et du bec du corps calleux.
um. Coupe sagittale passant par le septum lucidum et sectionnant la
partie
interne du thalamus le long du tamia thalami, l
nt, comme ces dernières, de la circonvolution godronnée. mais de sa
partie
antérieure, avortée, rudimentaire (strie de Lanci
dont les séparent le septum lucidum et les fibres perforantes de la
partie
moyenne du tronc du corps calleux. Au niveau du
'alveus et de la fimbria; les secondes perforent le bourrelet et la
partie
adjacente du tronc du corps calleux. Il est renfo
ps calleux. Il est renforcé en outre par les fibres perforantes des
parties
moyenne et antérieure du corps cal- leux. Toute
arrêtent ou y prennent leur origine, les autres convergent vers la
partie
antéro- inférieure du septum (SI), passent en a
se diriger vers les tubercules mamillaircs qu'ils abordent par leur
partie
anléro-supéro-extcrne. Les piliers antérieurs d
ais- ceau de Vicq d'Azyr. - ? bandelette optique sectionnée sur les
parties
latérales du chiasma. Il[, nerf moteur oculaire
ert qu'il croise, en dedans du genou de la capsule interne ci de la
partie
anté- rieure de la couche optique. Il croise da
outre, en rapport avec un petit amas gan- glionnaire situé sur les
parties
latérales du tuber cinereum entre le pédoncule
rrants ne se déta- chent du pilier antérieur du Irigone que dans la
partie
de son trajet située dans le tuber cinereum. To
s dans un petit amas ganglionnaire, ovoïde ou sphérique, situé à la
partie
antéro- supéro-externe du tubercule mamillaire
a une lésion très limitée (plaque jaune) du pli rétrolimbique de la
partie
adjacente du lobule lingual et de la circonvolu
du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence do la
partie
hémisphé- rique de la commis- sure antérieure
ongus, sont saines ainsi que le petit fascicule, qui provient de la
partie
extra-ventriculaire de l'alveus. La dégénérescenc
e la corne Fisc. 267. - Cas Chab Lésion du pli rétrolimbique, de la
partie
adjacente du lobule lingual et de la circonvolu
diminué de volume, son noyau externe est dégénéré; la capsule de la
partie
ventrale du noyau interne et son feutrage ont e
psule de la partie ventrale du noyau interne et son feutrage ont en
partie
disparu. Oulre la dégénérescence des fibres cOl
relet du corps calleux, le pilier postérieur du trigone (Tgp) et la
partie
postérieure recourbée du noyau caudé (ni). Dégé
du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence do la
partie
hémisphé- rique de la commis- suro antérieure
suivie sur les coupes verlico-lransvei- sales sériées au delà de la
partie
rentlée du thalamus. La partie postérieure du tae
ransvei- sales sériées au delà de la partie rentlée du thalamus. La
partie
postérieure du taenia thalami el le ganglion de
ceps occupent, conformément à ce que nous avons démontré (1892), la
partie
ventrale ou inférieure du splenium (Spl (i) (Fi
. 271) et sectionnant le pédoncule inféro-interne du thalamus et la
partie
olfactive de la commissure antérieure. Dégénéresc
gion adjacente au pilier antérieur du trigone. Dégénérescence de la
partie
hémisphé- rique de la commissure antérieure (co
misphé- rique de la commissure antérieure (coa) avec intégrité delà
partie
olfactive [coa(ol)]. Dégénérescence du faisceau
du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence de la
partie
himisplié- rique do la commis- sure antérieur
du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence de la
partie
hémisphé- rique de la commis- sure antérieure
atéral consécutive à une plaque jaune du pli rétrolim- bique, de la
partie
adjacente de lobule lingual et de la circonvoluti
volution de l'hippocampe. Coupe vertico-transversale passant par la
partie
moyenne de la couche optique. La dégénérescence
yonnante. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 293 puis la
partie
inférieure de la paroi externe de la corne sphéno
pris entre le toenia semicircularis et la queue du noyau caudé. Une
partie
des fibres dégénérées (celles qui proviennent du
tent en dedans et s'irradient dans le corps genouillé externe et la
partie
postérieure du thalamus. Les autres continuent
t sagittal le long de la voûte de la corne sphé- noidale jusqu'à la
partie
moyenne du noyau amygdalien où elles changent de
eint à peine la moitié du volume d'une commissure saine normale. La
partie
hémisphérique seule est lésée, la partie olfactiv
mmissure saine normale. La partie hémisphérique seule est lésée, la
partie
olfactive est intacte et peut être suivie avec
ivie avec beaucoup de netteté depuis le tubercule olfactif jusqu'à la
partie
moyenne de la commissure antérieure (Fig. 271).
rieur de la corne d'Ammon des mammifères ma- crosmatiques. La
partie
inférieure du trigone : Fimbria. Alveus int
et atteint presque en avant l'extrémité antérieure du thalamus et la
partie
moyenne du tronc du corps calleux. Il l'orme la
ne comprend donc en réalité chez les mammifères macrosmatiques deux
parties
: l'une inférieure, formée par la fimbria, l'alve
érieure, constituée par le fornix longus de Forel. L'une et l'autre
partie
envoient des fibres dans le septum lucidum et le
t à la foimation des piliers antérieurs ou co- lonnes du trigone.
Partie
inférieure du trigone (foinix inferior de Iüillik
re et psalterium. La fimbria est un volumineux faisceau ^situé à la
partie
supérieure du segment ven- tral et à la partie
faisceau ^situé à la partie supérieure du segment ven- tral et à la
partie
inférieure du segment dorsal de la corne d'Ammon.
tion de ses fibres par la laque hématoxylinique, puis il se rend en
partie
dans le pilier antérieur du trigone, en partie
, puis il se rend en partie dans le pilier antérieur du trigone, en
partie
dans le faisceau olfactif (Fol) de la cloison tra
Fig. 27t. Coupe sagittale du cerveau du lapin adulte passant par la
partie
interne de la couche optique, le tubercule mami
onvolution godronnée. - coa, commissure anté- rieure comprenant une
partie
antérieure ou olfactive fortement colorée par la
u olfactive fortement colorée par la laque héma- toxylinique et une
partie
postérieure pâle ou hémisphérique. - FG, faisceau
faisceau de Vicq d'Azyr. - II, le nerf optique et le chiasma dont la
partie
postérieure faiblement colorée par la laque hém
terium ven- tral de Ganser. Lo psalterium dor- sal le Ganser.
Partie
supérieure du trigone ou forni\ longus. Lo
montré que les fibres de l'alveus extraventricu- laire occupent la
partie
ventrale, les fibres de la fimbria la partie anté
icu- laire occupent la partie ventrale, les fibres de la fimbria la
partie
antéro-infèrieure, les fibres de l'alveus intra
tie antéro-infèrieure, les fibres de l'alveus intraventriculaire la
partie
antéro-supérieure du psalterium ventral. Le feu
) occupe chez les mammi- fères macrosmatiques comme chez l'homme la
partie
ventrale réfléchie du bourrelet du corps calleu
trale réfléchie du bourrelet du corps calleux ; il est séparé de la
partie
dorsale du bourrelet par le fornix longus. .Ni
ns antérieures du rhinencé- phale du côté opposé ou du même côté.
Partie
supérieure du trigone, fornix longus (forci), for
laque hématoxylinique; il occupe d'abord l'intervalle qui sépare la
partie
supérieure de la partie réfléchie du bourrelet du
l occupe d'abord l'intervalle qui sépare la partie supérieure de la
partie
réfléchie du bourrelet du corps, calleux (FI, F
de la corne d'Ammon, puis du psalterium venlral, et se continue en
partie
avec les fibres du septum lucidum, en partie av
ral, et se continue en partie avec les fibres du septum lucidum, en
partie
avec celles du pilier antérieur du trigone. Ses
um voisin du bourrelet du corps calleux. Elles appartiennent dans une
partie
de leur trajet au psalterium dorsal, puis se re
, proviennent du cingulum et du gyrus fornicatus ; elles perforent la
partie
dorsale du bourrelet du corps calleux et se con
le mamillaire avec des fibres homologues du côté opposé. Une petite
partie
concourt à former la capsule du tubercule mamilla
t dans le fais- ceau de la calotte de Gudden (Vogt). La plus grande
partie
entre dans la constitution de l'entre-croisemen
externe (Tm, Tml, Fig. 275). Le ganglion ou noyau interne l'orme la
partie
principale du tubercule ma- millaire ; c'est un
ar la substance grise centrale, mince sur la ligne médiane et il la
partie
interne du ganglion interne, beaucoup plus épaiss
e au-dessus de ce ganglion. Une capsule de libres plus épaisse a la
partie
supérieure et Fic. 273. - Les ganglions interne
orme, mesure 1,71 millimèlre de long sur 0,12 de large et occupe la
partie
antéro-supéro-ealernc du ganglion interne sur leq
du noyau interne. Le noyau externe est en rapport en dehors avec la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral, du corps d
u tubercule mamillaire et de sa capsule de fibres, et apparaît à sa
partie
posléro-supéro-interne sous l'aspect de trois à
de la calotte de Gudden Son trajet. Sa terminaison. et de la
partie
ventrale du thalamus, il se bifurque en deux fais
asse au-dessus du noyau rouge, entre dans la consti- tution de la
partie
postérieure el interne de la capsule de ce noya
principal (Fig. 277), le fais- ceau de Vicq d'Azyr est adossé à la
partie
antérieure et interne du fais- ceau thalamique
sceau de Vice; d'.lzyr. - Il, bandelette optique sectionnée sur les
parties
latérales du chiasma. ? nerf moteur oculaire comm
fecte dans l'espace inlerpédonculaire un trajet sagittal, occupe la
partie
superficielle de la calotte, passe en dedans du
laque hématoxylinique, divergent à leur entrée dans la calotte; une
partie
de ces fibres se portent en dehors, dans le loc
de ces fibres se portent en dehors, dans le locus niger, une autre
partie
croise le ruhan de Reil médian, une autre enfin
ype II de Golgi; elles sont en général volumineuses, occupent les
parties
profondes du corps strié et sont pourvues de
s cel- Iules avoisinantes, dans un des fascicules qui sillonnent la
partie
pro- fonde du corps strié. Grâce à son trajet o
des fibres du segment antérieur de la couronne rayonnante et de la
partie
antérieure du segment postérieur de la couronne
e l'angle externe du ventricule latéral. Ces fibres appartiennent, en
partie
au moins, au faisceau occipito-frontal et dégén
de la capsule interne sur des coupes horizontales pas- sant par les
parties
moyenne ou inférieure du thalamus (Fig. 295, RGp)
ramollissement de la substance blanche sous-corticale placée sous la
partie
moyenne des circonvolutions rolandiques, et sou
sous la partie moyenne des circonvolutions rolandiques, et sous la
partie
adjacente de la première circonvolution pariéta
ce. 2° Une dégénérescence du noyau externe du thalamus (Ne) dans la
partie
adjacente au champ dégénéré du segment postérie
Elle occupe en outre toute la hauteur du noyau externe, s'étend à la
partie
ventrale de ce noyau et au centre médian de Luy
yau et au centre médian de Luys (Nm),et occupe en particulier cette
partie
profonde du noyau externe que nous avons désignée
s; intégrité du putamen. 314 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la
partie
du ruban de Reil situées au-dessus des fibres dég
e au ruban de Reil médian; il existe enfin une dégénérescence de la
partie
externe du taenia thalami (Fig. 283). Fig. 283,
ant de 22 jours, relevant d'une lésion sous-corticale qui occupe la
partie
moyenne des circonvolu- lions rolandiques et la
rio-luysiennes (RsL), faisceau lenticulaire de Forel, et traverser la
partie
anlérieure non dégénérée de la capsule interne,
. III, p. 188). Le ramollissement cortical intéresse : A gauche, la
partie
antérieure de la première circonvolution temporal
e ramollissement s'étend, en traînée sur le gyrus supramarginal, la
partie
postérieure du sillon parallèle jusqu'à la face e
t à la première circonvolution pariétale, l'oper- cule pariétal, la
partie
postérieure et inférieure de la pariétale ascenda
la partie postérieure et inférieure de la pariétale ascendante, et la
partie
postérieure de la première circonvolution tempo
laque jaune du pli cnurbo, du lobule pariétal in- fériourotdela
partie
adjointe de l'a, T, ct T2. Dégénérescences
dela partie adjointe de l'a, T, ct T2. Dégénérescences de Cirl,
partie
posté- rieure Cip, Pul, Ne. Nm, Cgi, Cge, BrQ
de Cirl, partie posté- rieure Cip, Pul, Ne. Nm, Cgi, Cge, BrQa,
partie
moyenne du pied du pédoncule, pes lemniscus p
que jaune du pli courbe du lobule pariétal in- férieur et de la
partie
adjointe de Pa T et T2. Dégénérescences de
t de la partie adjointe de Pa T et T2. Dégénérescences de Cirl,
partie
posté- rieure Cip, Pul, Ne, ¡\111, Cgi, Cge,
Cirl, partie posté- rieure Cip, Pul, Ne, ¡\111, Cgi, Cge, BrQa,
partie
moyenne du pied du pédoncule, pes lcmmscus pr
médian de Luys (Nm); en bas, elle peut être suiv ie jusque dans la
partie
exlerne de la capsule du noyau rouge. Inc. ? 87
volution pariétale inférieure, le pli courbe, l'opercule pariétal, la
partie
posté- rieure de la première circonvolution tem
artie posté- rieure de la première circonvolution temporale et la
partie
postérieure et inférieure de la P,1l ié- tale a
gments rétrolenticulaire (Ciil), sous- lenticulaire (Cisl) et de la
partie
postérieuie du segment postérieur de la capsule
du globus pallidus; dans la région sous-thalamique (Fig. 288), une
partie
des fibres dégénérées du globus pallidus s'épui
s pallidus s'épuise dans la substance grise de ce ganglion, une autre
partie
entre dans la constitution des radiations strio
iques (en particulier du faisceau lenti- culaire de Forel) et de la
partie
antérieure des radiations strio-luysiennes et se
noyau lenticulaire, puis arrivent au corps de Luys en traversant la
partie
an- térieure du segment postérieur de la capsul
étroite avec l'appareil olfactif, n'est- elle l'homologue que d'une
partie
de l'écorce des mammifères; elle correspond au rh
x deux hémisphères et l'absence de soudure du manteau cérébral à la
partie
supérieure du corps strié. Dans l'un des cas (c
en- ticulo-caudées (Fie) la capsule interne, et convergent vers les
parties
antérieure, supérieure, postérieure et inférieu
ORTICAD : CORPS STRIÉ. 321 tionne le stratum zonale du thalamus, la
partie
supérieure du putamen, la tète et la queue du n
le noyau lenticu- laire ; un petit nombre, provenant surtout de la
partie
inférieure de la tête du noyau caudé, suit dans
tion cortico-thalamiques antérieures, et se rend avec elles dans la
partie
ventrale de l'extrémité antérieure du thalamus.
médullaire externe, ils s'enchevêtrent les uns avec les autres, une
partie
des fibres entrent dans la constitution de cett
us volumineux encore que ceux du putamen et convergent tous vers la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule inter
ette coupe intéresse les radial ions du noyau caudé et du putamen. La
partie
supé GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 32
érieur, postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne et la
partie
moyenne du thalamus. Méthode de Weigert. -'r/1 gr
genou (Ci[g]) au segment postérieur de la capsule interne (Cip); sa
partie
postérieure com- prend surtout des gros faiscea
tout des gros faisceaux enchevêtrés, à direction verticale, dans sa
partie
antérieure les fibres affectent une direction hor
ue et s'irradient dans luc. 292. - Coupe horizontale passant par la
partie
intérieure de la région thalamique et intéressa
u nombreuses sur les coupes horizontales sériées qui sectionnent la
partie
moyenne du thalamus (Fig. 91), mais deviennent
t d'autant plus denses et plus nombreuses que l'on s'approche de la
partie
inférieure de la région thalamique de la capsul
partenant au cas Rivaud est très démonstrative à cet égard. Dans la
partie
moyenne de la région thalamique (Fig. 293), les
ntrent dans la constitution des fibres radiées du thalamus. Dans la
partie
inférieure de la région thalamique (Fig. 294),
OIiPS STRIÉ. 327 triculaire. Cet auteur y distingue néanmoins trois
parties
(dorsale, moyenne et ventrale), correspondant à
Antheil der Linsenlcemschlinge, v. Monakow) relie le corps strié à la
partie
antéro-ventrale du thalamus. Il est surtout for
ntrale du 3e ventricule et au champ de Forel (F), c'est-à-dire à la
partie
antérieure et supérieure de la capsule du noyau
et supérieure de la capsule du noyau rouge, puis s'irradie dans la
partie
antéro-inférieure du thalamus. Les coupes horiz
s antérieurs du segment postérieur de la cap- sule interne et de la
partie
supérieure du pied du pédoncule cérébral en fas
t des radiations strio-luysiennes avec lesquelles il se fusionne en
partie
. Les fibres radiées et les lames médullaires exte
se portant horizontalement en dedans el un peu en avant. Dans celle
partie
de son trajet, elle longe la face inférieure du
T. le', Fig. 319 et 320, p. 639). Dans la région sous-optique, une
partie
des fibres de l'anse lenticulaire se porte en h
e partie des fibres de l'anse lenticulaire se porte en haut dans la
partie
antérieure et ventrale du thalamus où elle se t
ngues atteignent le plan du ganglion de l'habenula (Gh) ; une autre
partie
se porte en arrière, abandonne chemin faisant que
stance grise centrale du troisième ventricule, puis pénètre dans la
partie
antéro-interne de la capsule du noyau rouge (CNR)
rient alors suivant le siège de la lésion : ainsi les lésions de la
partie
supérieure et moyenne du noyau lenticulaire (doma
trio- luysiennes et strio-thalamiques tireraient leur origine de la
partie
supé- rieure et moyenne du corps strié, tandis
exemple (Fig. 165 à 173, p. 167 et suiv.), bien que le putamen, la
partie
adjacente du globus pallidus, le tronc et la part
ue le putamen, la partie adjacente du globus pallidus, le tronc et la
partie
supérieure de la tête du noyau caudé soient com
dense feutrage interradiaire et de nombreuses fibres radiées; et la
partie
adjacente du segment postérieur de la capsule i
. 181 et 182, p. 178), il existe une dégénérescence partielle de la
partie
antérieure du corps de Luys et de l'anse lentic
189 à 191, p. 180) et Carré (Fig. 186 à 188, p. 179) (section de la
partie
postérieure du noyau lenticulaire), la dégénére
, la dégénérescence respecte l'anse len- ticulaire, retentit sur la
partie
postérieure du corps de Luys et les radia- tion
manifeste et peul être suivie au-dessus du corps de Luys, dans les
parties
ventrales du thalamus et dans le champ de Forel.
de l'anse lenticulaire, elle est surtout facile à suivre dans cette
partie
de son trajet où elle contourne le segment postér
e le segment postérieur de la capsule interne, et s'irradie dans la
partie
anléro-ventrale du tha- lamus (Fig. 297) et la
radie dans la partie anléro-ventrale du tha- lamus (Fig. 297) et la
partie
antéro-inlerne de la capsule du noyau rouge. Ca
segment supérieur de la couronne rayonnante, empiète un peu sur la
partie
supérieure et postérieure du noyau externe de l
capsule interne (Cip) (Fig. 296 et 297) pouvant être suivie dans la
partie
moyenne du pied du pédoncule céré- bral (Fig. 2
. Les segments sous-lenti- culaire et rétrolenticulaire (Cirl), les
parties
postérieure et antérieure du segment posté- rie
298) sont respectées par la dégénérescence et il en est de même des
parties
interne et. GANGLIONS 1111ACORTICAUX : CORPS ST
egment supérieur de la cou- roiine rayonnante et empiété sur la
partie
supérieure do la a couclio optique. Dé- gén
ie supérieure do la a couclio optique. Dé- générescence do la
partie
moyenne do Cip et du pied du pédoncule. Degen
m- missure de Meynert. Dégénérescence du corps de Luys, de la
partie
antéro-infé- rieurs de la couche optique, du
segment supérieur de la cou- ronne-rayonnanto et empiété sur la
partie
supérieure de la couche optique. Dé- génére
artie supérieure de la couche optique. Dé- générescence de la
partie
moyenne de Cip et du pied du u pédoncule. Dég
om- missure do Meynert Dégénérescence du corps de Luys, de la
partie
antéro-infé- rieure de la couche optique, du
e du thalamus. Intégrité du segment rétrolenticulaire (Cirl) et des
parties
postérieure et antérieure du segment postérieur
rt (CM). Dégénérescence du corps de Luys (CL). Dégénérescence de la
partie
antéro-inférieure du thalamus dans la région du f
bres radiées du noyau externe (Ne) de la couche optique dans toute la
partie
adja- cente a la dégénérescence capsulaire (Fig
9G, 297, 298). Une dégénérescence particu- lièrement accusée de la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus (Fig. 29
est due très probablement à l'extension de la lésion primitive à la
partie
postérieure du thalamus. 2° La lésion centrale
que passant par la région sous-thalamique. Dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule (P), du lo- cus
culaire de la figure 297. Intégrité du faisceau de Turck, de la
partie
adja- cente du pied du pédoncule, du segment so
ostérieure consécutive à l'extension de la lésion sous-corticale à la
partie
supé- rieure de la couche optique. Dégénéresc
contiennent que quelques rares grains isolés. Dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral, qui, dan
la voie pédonculaire dans le ruban de Reil médian. Intégrité des
parties
interne et externe du pied du pé- doncule. Méth
artio supérieure de la couche optique. Dé- générescence do la
partie
moyenne de Cip et du pied du pédoncule. Dégén
m- missure de Meynert. Dégénérescence du corps de Luys, de la
partie
antéro - iuré- rieure de la couche optique, d
n occupée par le faisceau thalamique de Forel (Fth, Fig. 297). La
partie
antéro-supérieure du putamen et du globus pallidu
es dégénérées de la lame médullaire interne (Imi) qui traversent la
partie
antérieure non dégénérée du segment postérieur de
. 337 ticulier le faisceau géniculé (Cig), puis s'irradient dans la
partie
antérieure du thalamus (Fig. 296). Dans la pa
radient dans la partie antérieure du thalamus (Fig. 296). Dans la
partie
inférieure de la région thalamique (Fig. 297), au
es, suivent la voie de l'anse lenticu- laire (Al) et contournent la
partie
antérieure non dégénérée du segment postérieur de
t la dégénéres- cence est manifeste. Les autres s'irradient dans la
partie
antéro-inférieure du thalamus, entrent dans la
Luys; 2° une dégénéres- cence de la capsule du noyau rouge et de la
partie
externe de ce noyau (NR), qu. lfait suite à la
tive très probablement à l'extension de la lésion sous-corticale à la
partie
supérieure du thalamus. Il existe enfin une dég
ie supérieure du thalamus. Il existe enfin une dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule (P), du locus nige
ssure de Meynert. Ces fibres sont. destinées au corps de Luys, à la
partie
antéro-inférieure du thalamus, au noyau rouge,
le noyau lenticulaire et en aval dans le champ de Forel et dans la
partie
anléro- interne de la capsule du noyau rouge. N
ouge. Nous avons pu suivre cette dernière dégénérescence jusqu'à la
partie
moyenne de la calotte pédonculaire sans pouvoir
rconvolutions frontale et pariétale ascendantes, qui sec- tionne la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule inter
nt vers le thalamus. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule int
uperficiel (PLs) (Fig. 308 et 309). Ces fais- ceaux s'adossent à la
partie
externe et à la partie interne du ruban de Reil m
308 et 309). Ces fais- ceaux s'adossent à la partie externe et à la
partie
interne du ruban de Reil médian dans GANGLIONS
e la lésion de la couche optique. La lésion thalamique siège à la
partie
antéro-inféro-interne de la couche optique. C'e
que. C'est un foyer de ramollissement avec perte de substance de la
partie
antéro-ventrale du noyau externe du thalamus (F
l'osmium et entourés d'une zone de dégénérescence qui s'étend à la
partie
moyenne et postérieure du noyau externe du thalam
on du segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la
partie
moyenne du seg- ment postérieur de la capsule i
seg- ment postérieur de la capsule interne; 2° ramollissement de la
partie
antéro-inféro- interne du thalamus. Dégénéresce
gment moyen do la couronne rayon- nante. Dégénércs- cence de la
partie
moyenne du segment postérieur de la cap- su
tubérantiel bulbaire et médul- laire. 2C Lésion en foy er de la
partie
antéro-inféro-interno du thalamus. Dégé- né
gment moyen de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cence do la
partie
moyenne du segment postérieur de la cap- su
tubérantiel, bulbaire et médul- laire. 2° Lésion en foyer de la
partie
antéro-mféro-mterno du thalamus. Dégé- nére
cence de l'anse lenticulaire il n'existe de dégénérescence ni de la
partie
antérieure du segment posté- rieur de la capsul
osté- rieur de la capsule interne (Cip), (Fig. 30j et 30G) ni de la
partie
interne du pied du FiG. 304 et 305. - Cas Garde
yer thalamique et la région sous-thala- mique. Dégénérescence de la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule int
grité du corps de Luys (CL), des radiations strio-luysiennes, de la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule
llaires (lmi, lmi', lme) et le putamen (NL3); elle relève en grande
partie
de la dégénérescence des radiations strio-thalami
thala- mique de Forel (Fth) et du champ de Forci (1) (Fig. 30G). La
partie
interne de ce champ contient encore sur la figu
d'un assez grand nombre de corpuscules granuleux de Glugge. Dans la
partie
inférieure de la région sous-thalamique, cette
a capsule de fibres (C\C) (Fig. 307) ; elle se confine ensuite à la
partie
interne delà capsule du noyau rouge (CNR) (Fig. 3
30G et 307. - Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral et du loc
emi-lunaire de Flechsig (nif), du ganglion de l'habenula (Gh) de la
partie
interne du corps genouillé interne (Cgi) consécut
du corps genouillé interne (Cgi) consécutive à un foyer occupant la
partie
antéro-inféro-interne du thalamus et s'étendant j
ent mû,) en de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cence do la
partie
moyenne du segment postérieur dola cap- sul
ubérant ici, bulbaire et médul- laire. 2° Lésion en foyer de la
partie
antéro-mfcro-internc du thalamus. Dégé- nér
gment moyen de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cence de la
partie
moyenne du segment postérieur de la cap- su
otubéranticl, bulbaire et médul- lairc. 2° Lésion en lyer de la
partie
an tl' ra-mfé 1'0- i n tcr II e du thalamus.
du centre médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire (NF) et de la
partie
interne du corps genouillé interne (Cgi) (Fig.
aisceau lenticulaire de Forel) dégénèrent à la suite de lésions de la
partie
antéro-infé- rieure du thalamus. 2° Que les r
308 et 309. -- Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral (P, I), d
n particulier de sa pai Lie interne, consécutive à une lésion de la
partie
antéro-inféro-interne de la couche optique. Cet
que et du champ de Forel qui dégénèrent à la suite de lésions de la
partie
antéro-ventrale de la couche optique et qui entre
core à faire chez l'homme. Les lésions centrales qui détruisent une
partie
plus ou moins considérable du corps strié empiè
: >lIHU)1. On the degencmtion resulting from Los lésions de la
partie
antéro-inféro- interne du thalamus retentisse
t (1870), frappé par la diffé- rence d'aspect que présente dans ses
parties
supérieure et inférieure le thalamus vu sur une
ure le thalamus vu sur une coupe vertico-transversale, considéra sa
partie
ven- trale ou inférieure comme un noyau spécial
izontales et vertico-transversales montre, il est vrai, que dans la
partie
supérieure ou dorsale du noyau externe la substan
chesse en fibres verticales. Néanmoins la transition entre ces deux
parties
, qui toutes les deux sont en connexion avec la
ndue du thalamus ; les cellules pénicillées siègent surtout dans la
partie
interne du pulvinar et du noyau externe. Toutes
Noyau antérieur (noyau dorsal de Kolliker) (Na). Ce noyau occupe la
partie
antérieure et supérieure de la couche optique et
a) reçoit du segment antérieur de la capsule interne (Cia) et de la
partie
antérieure du segment postérieur (Cip) de nombr
ielles du noyau externe (Ne), puis abordent le noyau antérieur par sa
partie
externe(Fig. 291). L'origine et le lieu de term
e pro- jection passent du reste, comme nous l'avons indiqué, par la
partie
posté- rieure du segment postérieur de la capsu
missure molle ou moyenne (com). 11 aborde le noyau antérieur par sa
partie
postéro-externe (Fig. 310) et y pénètre sous fo
ibres radiées corticales. Le noyau antérieur reçoit encore, dans sa
partie
inféro-interne, quelques fibres du pédoncule in
RVEUX. FiG. 310.- Coupe sagittale-des ganglions de la base et de la
partie
adjacente du tronc encéphalique intéressant le
s (F2, F') et aux circonvolutions antérieures de l'insula. Par sa
partie
inférieure et interne, le noyau interne reçoit de
laire de Forel. Ces fibres dégé- nèrent à la suite de lésions de la
partie
antéro-inférieure des noyaux interne et externe
inlerne (Ni) et le noyau externe (Ne) du thalamus, au-dessus de la
partie
ventrale du noyau externe, en dedans de la lame
mant un feutrage très dense et particulièrement abon- dant dans les
parties
postéro-inférieures du centre médian. Il se confo
onfond à ce niveau avec cette épaisse couche de fibres situées à la
partie
postéro- inféro-externe du centre médian de Luy
c la corticalité cérébrale et avec la région de la calotte. Dans sa
partie
supérieure et moyenne s'irradient de nombreuses
moyenne s'irradient de nombreuses fibres radiées qui traversent la
partie
postérieure du noyau externe du thalamus, occup
ent la partie postérieure du noyau externe du thalamus, occupent la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
eure du segment postérieur de la capsule interne et proviennent des
parties
moyennes et supérieures des circonvolutions rol
es moyennes et supérieures des circonvolutions rolandiques et de la
partie
adjacente du lobe pariétal. Ces fibres appartie
ressent le tiers inférieur de la couche optique (Fig. 47, p. 69), la
partie
antérieure de la lame médullaire interne corres
nvoie de nombreuses fibres. Dans cette même région, la courbe de la
partie
postérieure de la lame médullaire interne s'acc
out verticale et de fibres à direction plus ou moins sagittale. Une
partie
de ces dernières traversent la commissure molle
plus volumineux des noyaux thalamiques, le noyau externe, occupe la
partie
supérieure et externe de la couche optique, corre
la région sous-thalamique de Forel et décrit une courbe autour des
parties
anté- rieure et externe du noyau interne (Ni).
(Fig. 290) et concourt à former la face supérieure du thalamus. Sa
partie
externe, recouverte par l'épendyme ventriculaire,
yme ventriculaire, appartient au plancher du ventricule latéral. Sa
partie
inlerne, située en dedans du sillon elioroidien
iers postérieur, enfin, est en rapport avec le locus niger (Ln), la
partie
postérieure du pied du pédoncule céré- bral (Fi
ns du noyau antérieur (Na), lui abandonnent des fibres, croisent la
partie
supérieure du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et l
ne, puis s'épuisent dans le noyau interne (Ni) auquel elles sont en
partie
destinées. Elles affectent une direction presqu
les coupes horizontales sec- tionnées parallèlement à leur axe. Une
partie
des fibres inférieures et postérieures passent
e cérébral, en particulier des circonvolutions rolandiques et de la
partie
adjacente des lobes pariétal et frontal, et dég
ujours dans le noyau externe des fibres radiées conservées. Dans la
partie
inférieure ou venlraledu noyau externe, partie qu
conservées. Dans la partie inférieure ou venlraledu noyau externe,
partie
qui corres- pond à la couche ventrale du thalam
êtrièr< GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge. Les fibr
rmé dans ces régions par un dense feutrage de fibres qui entoure la
partie
postérieure, inférieure et externe du centre mé
issent au faisceau thalamique de Forel (Flh) qu'elles concourent en
partie
à former. Dans la région du pulvinar (Pul), la
v. Monakow, noyau arqué, Kolliker). Le noyau semi-lunaire occupe la
partie
ventrale du noyau externe; il est situé en deho
iffer le corps genouillé externe (Câc), (Fig. 312 et 47, p. G9). La
partie
posté- GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQU
ganglion de l'habenula. Il, hippocampe. i, sillon insulaire. - la,
partie
antérieure de l'insula. - Ip, partie postérieure
pe. i, sillon insulaire. - la, partie antérieure de l'insula. - Ip,
partie
postérieure de l'insula. - le, lame cornée. - l
situé entre le corps genouillé externe, la bandelette optique et la
partie
postérieure du pied du pédoncule cérébral (v. Mon
n arrière et en dehors du centre médian de Luys et correspond à cette
partie
que nous avons désignée sous le nom de région d
Abschnitt der ventralen Kerngruppe, vent. ant.), n'est autre que la
partie
antéro-inférieure du noyau externe de Burdach.
au noyau externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar forme il la
partie
postérieure de la couche optique cette saillie vo
des animaux où il constitue un petit noyau mal délimité, situé à la
partie
supé- rieure du thalamus, en avant du corps gen
nt et en bas, le pulvinar se recourbe et embrasse dans sa courbe la
partie
posté- rieure du pied du pédoncule cérébral (P)
mbique ou circonvolution du corps calleux. Ne, noyau caudé ; Nc, la
partie
recourbée de sa queue. NJ.3, putamen. - OF, fai
du ventricule latéral. - PLs, pes lemniscus superficiel situé à la
partie
interne du ruban de Reil médian. - l'o, protubéra
il visuel antérieur (rétine, nerf et bandelette optique). Dans la
partie
supérieure du pulvinar s'irradient des fibres qui
ibres qui provien- nent de la face externe du lobe occipital, de la
partie
adjacente du lobe pa- riéto-temporal et du prec
du precuneus (Voy. p. 66). Mais le pulvinar reçoit en outre dans sa
partie
inférieure et postérieure le faisceau temporo-tha
la plupart dans le sens transversal. Le cylindre-axe se FiG. 31 L -
Partie
inférieure du corps genouillé externe du chat nou
es. -1 ? fibres se con- tinuant dans la bandelette optique. - L, la
partie
inférieure du corps genouillé externe. Structur
e beaucoup moins accusée que celle de ce dernier. Il est situé à la
partie
postérieure de la calotte du pédoncule cérébral
adrijumeau postérieur (BrQp) le limite en avant et le sépare .de la
partie
inférieure ou ventrale du noyau externe du tha-
ecouverte d'une mince couche de fibres zonales qui appartiennent en
partie
au bras du tubercule quadrijumeau antérieur. Sa
48, p. 71) (V. radiations cortico-genouillées internes, p. 70). Sa
partie
antérieure enfin affecte de simples rapports de
genouillé externe, traversent, avec le faisceau de Tiirck (FT), la
partie
postérieure du segment postérieur de la cap- su
onnexion avec la plupart des systèmes seisitivo-seisoi-iels. Par la
partie
ventrale du noyau externe et le centre médian d
e GANGLIONS INFRACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 371 4 lésion d'une
partie
quelconque de cette écorce retentit sur le thalam
icalité sont en rapports plus in- times que d'autres avec certaines
parties
déterminées du thalamus, par contre elle; n'éta
inférieures la dégénérescence se cantonne dans le pulvinar (Pul), la
partie
ventrale du noyau externe, le centre médian de
eau thalamique de Forel (Fth). Elle peut être suivie jusque dans la
partie
externe de la capsule du noyau rouge (CNR), mai
ui, empiétant sur le thalamus, intéressent plus particulièrement la
partie
ventrale du noyau externe elle centre médian de L
ndue du thalamus et une atrophie des fibres et des cellules dans la
partie
correspondante de l'écorce. Mais ici encore, du f
(cas Richard, p. 198, Fig. 213 à 231), l'écorce était développée en
partie
, mais par suite de l'absence de soudure du mant
on. Le faisceau thalamique de Forel (1 tlc), qui n'est autre que la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge, s'irra
a partie antérieure de la capsule du noyau rouge, s'irradie dans la
partie
antérieure et moyenne du thalamus. Les radiatio
e du thalamus. Les radiations de la calotte (nC) se détachent de la
partie
externe de la capsule du noyau rouge sous forme d
nnexions de la couche optique avec le cerveau moyen, situé à la
partie
postérieure et ventrale du noyau externe du thala
la région du ruban de Reil médian, qu'il se termine surtout dans la
partie
postérieure et ventrale du noyau externe en avant
ntre médian de Luys, mais qu'il envoie en outre des fibres dans les
parties
supérieures du noyau externe du thalamus. Il assu
ires externe et interne du thalamus, envoie quelques fibres dans la
partie
postérieure du noyau interne et dans le centre
croisée et avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. (Voy. IIIe
partie
. Formation réticulée, entre-croi- sement dorsal
e gouttière à convexité antérieure et inférieure, très épaisse à sa
partie
cen- trale, mince à ses bords. Les fascicules
commissure postérieure sont transversales et paral- lèles dans leur
partie
moyenne, située en arrière et au-dessus de l'aque
tubercule quadrijumeau antérieur et la couche oplique (pulvinar et
partie
postérieure des noyaux externe et interne du th
postérieure des noyaux externe et interne du thalamus), formant la
partie
dorsale de la commissure; les autres s'infléchi
la commissure; les autres s'infléchissent en avant, contournent les
parties
latérales de l'aque- duc de Sylvius et entrent
les de l'aque- duc de Sylvius et entrent dans la constitution de la
partie
postérieure de la calotte pédonculaire (parlie
eure. Situation et trajet delà la commissure postérieure. Ses
parties
dorsale et ventrale. 37C ANATOMIE DES CENTRES
delà de la région des tubercules quadrijumeaux antérieurs et de la
partie
adjacente de la couche optique et de la calotte
ue dans les lésions qui détruisent ou sectionnent le pulvinar et la
partie
adjacente du noyau externe du thalamus. Dans ce
m- missure postérieure peuvent être suivies (Méthode de Marchi), en
partie
dans le pulvinar du côté opposé et la partie ad
Méthode de Marchi), en partie dans le pulvinar du côté opposé et la
partie
adjacente du noyau externe du thalamus, représe
représentant ainsi une véritable commissure inlerlhala- mique ; en
partie
dans la couche profonde du tubercule quadrijumeau
le faisceau septo-tlaalanzique, (Voy. p. 262) qui pénètrent dans la
partie
antérieure, interne et ventrale du thalamus, co
tion simple. - c, arborisation double.- b, coupe transversale de la
partie
interne du tænia thalami. - e. origine du faisc
ué par de fines fibres granuleuses et ramifiées, fournies en grande
partie
par les fibres externes du lrenia thalami et en p
es en grande partie par les fibres externes du lrenia thalami et en
partie
par les fibres radiées du pulvinar et du centre
m zonale. Sur les coupes vertico-transversales qui inté- ressent la
partie
renflée du noyau antérieur du thalamus, le tænia
, l'appréciation de l'épaisseur de ce faisceau dans les différentes
parties
de son trajet. D'après li3llilci-, il diminuera
es origines sont loin d'être complètement élucidées. 1. Il tire une
partie
de ses fibres du stratum zonale des faces, supé-
u pédoncule inféro-interne du thalamus. Parmi ces fibres une petite
partie
est d'ori- gine corticale, dégénère à la suite
cences traitées par la méthode de Marchi montrent qu'elle occupe la
partie
externe du tænia thalami et qu'elle se termine
voy. aussi cas Caillot, Fig. 283, cas Hilaire, Fig. 287). Une autre
partie
provient des différents noyaux du thalamus, et ch
ance innominée sous-len- ticulaire, tubercule olfactif et peut-être
partie
ventrale du corps strié). Elles suivent le traj
admises par Lotheisen et Kôlliker. Fil. 320. - Dégénérescence de la
partie
inféro-externe du Renia thalami (th) de l'homme
nante et le noyau lenticulaire sans intéresser la couche optique. Une
partie
des fibres dégénérées se termine autour des noy
ellulaires du ganglion de l'habe- nula (Gh) du même côté, une autre
partie
s'entre-croise dans la commissure interha- bénu
nt avec elle le pied du pédoncule cérébral, atteindraient ainsi les
parties
latérales et postérieures du thalamus et parvie
thalamus et parviendraient au taenia thalami, soit en traversant la
partie
postérieure du thalamus, soit par l'intermédiaire
s, le pulvinar pour se rendre à la commissure pos- térieure et à la
partie
postérieure du ganglion de l'habenula. Cajal nie,
il prend son origine, au ganglion interpédonculaire dans lequel une
partie
de ses fibres se terminent. Chez les vertébrés
le noyau interne du thalamus aux confins du pulvinar, contourne la
partie
postérieure du troisième ventricule et embrasse
sse, dans sa concavité, le fais- ceau longitudinal postérieur et la
partie
supérieure du noyau de la troi- sième paire. La
verse de haut en bas, de dehors en dedans et d'arrière en avant, la
partie
postéro-interne du noyau rouge (NR), et sur les
onsidérée à tort par Luys comme le hile du noyau rouge. Arrivé à la
partie
inféro-interne du noyau rouge (Fig. 323, T. le ?
s colorées par la méthode de Weigert, chaque fascicule présente une
partie
périphérique foncée, formée par les fibres à my
les fibres à myéline fortement colorées par l'hématoxyline, et une
partie
centrale claire contenant les fibres dépourvues
'homme : 1° le faisceau de Meynert ne peut être suivi au delà de la
partie
antéro-interne de la capsule du noyau rouge; 2°
ire, se recourbent brusquement en bas et en dedans, pénètrent dans la
partie
anté- rieure et supérieure de ce ganglion et l'
re dans l'épaisseur du ganglion interpédonculaire. Dans la première
partie
de leur trajet intraganglionnaire, ces fibres n'é
e de Forel et se terminent dans la sub- stance grise centrale de la
partie
supérieure du quatrième ventricule et dans le gan
ètres d'épaisseur et 5 millimètres de largeur. Elle est située à la
partie
postérieure du troisième ventricule, en arrière d
ou névrogliques, les kystes, la commis- sure interhabénulaire et la
partie
adjacente de la toile choroïdienne renferment,
GION SOUS-OPTIQUE La région sous- optique. Elle représente la
partie
antérieure sous-thalamiquo de la région de la
tage postérieur ou calotte de la protubé- rance ; 1° La plus grande
partie
du bulbe rachidien. La région sous-optique n'es
ent par la GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 39 : 3
partie
inférieure du globus pallidus et la substance inn
ce innominée sous-lenti- culaire de Reichert, intéressent dans leur
partie
postérieure la calotte pédonculaire, tandis que
sure postérieure jusqu'à la commissure molle) sectionnent dans leur
partie
supérieure la région sous-thalamique, et dans l
dans leur partie supérieure la région sous-thalamique, et dans leur
partie
inférieure la calotte pédon- culaire. Ce sont l
ous-thalamique. Elle est en rapport d'avant en arrière : 1° avec la
partie
inférieure du pédon- cule antérieur et avec le
couche optique; 2° avec le faisceau de Vicq d'Azyr qui traverse la
partie
antérieure de la région sous-optique; 3° avec l
traverse la partie antérieure de la région sous-optique; 3° avec la
partie
inférieure de la lame médullaire externe et le
nterne du thalamus et le noyau semi-lunaire de Flechsig; 5° avec la
partie
ventrale du noyau interne et le faisceau rétrofle
otte pédonculaire. Elle ne comprend sur la Figure 44, p. 61, que la
partie
du pédoncule cérébral qui contient le corps de Lu
a partie du pédoncule cérébral qui contient le corps de Luys, et la
partie
du noyau rouge situé en avant du faisceau rétro
les de la calotte pédonculaire, et forme à elle seule (Fig. 323) la
partie
de la région sous-optique située en avant du pl
co-transversales sont particulièrement favorables à son étude. La
partie
antérieure de la couche dorsale est formée par le
sillonne la moitié ventrale de ce ganglion et n'est en réalité que la
partie
inférieure, épaissie, de ce feutrage. Les faisc
noyau interne de la couche optique. - NC, noyau caudé. - 1\'C', la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. - NL3, NL2,
éticulée du thalamus. Le champ de Fo- rel. Il représente la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge. ho
le long de la substance grise centrale du troisième ventricule, la
partie
supérieure et interne de la région sous- optiqu
le centre médian de Luys (Fig. 312, 324, 22); il reçoit en outre la
partie
postérieure et amincie du faisceau lenticulaire d
dernières fibres traversent la zona incerta et la divisent en deux
parties
: l'une interne, sus-mamillaire, qui s'adosse à
300 et Fig. 277). Ainsi constitué, le champ de Forel représente la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge. Au voi
de fibres au ruban de Reil médian (Voy. Région de la calotte, IIIe
partie
). 2. CORPS DE LUYS (Forel). - (Fig. 15, 16, 21,
ucleus amygdaliformis (Stilling). Le corps de Luys (CL) occupe la
partie
postérieure et externe de la région sous-optiqu
idus, au-dessus et en dedans du pied du pédoncule cérébral et de la
partie
supérieure du locus niger, au-dessus, en dehors
teint ses plus grandes dimensions sur les coupes qui passent par la
partie
moyenne des tubercules mamillaires (Fig. 321.),
es mamillaires (Fig. 321.), Corps de Luys, Sa situation à 1a la
partie
postéro - ex- terne de' la région sous-optiqu
es, il apparaît sur les coupes qui inlc- l.i'7nntlnC ? ressent la
partie
supérieure des commissures antérieure et postérie
veau, sous l'aspect d'un corps ovalaire en contact immédiat avec la
partie
moyenne du segment postérieur de la capsule inter
oupe vei tico-transversale passant par les tubercules mamillaires, la
partie
antérieure du segment sous-lenticulaire de la c
Plus bas il augmente en étendue, se rapproche en grandissant de la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule in
33, p. 48) et atteint ses plus grandes dimensions au-dessous de la
partie
moyenne de la com- missure antérieure, sur les
ite graduellement de volume tout en conservant ses rapports avec la
partie
antérieure du seg- ment postérieur de la capsul
au-dessus de cette capsule de fibres, sépare le corps de Luys de la
partie
ventrale du noyau externe du thalamus, et d'avant
, 24, p. 35) des radiations de la calotte (Fig. 28, p. 43) et de la
partie
antéro-externe du noyau rouge (Fig. 33, p. 49).
té- rieur de la capsule interne (région sous-thalamique) et dans la
partie
adjacente du pied du pédoncule cérébral. Les fi
missure molle ou moyenne. Le bord interne, situé à la hauteur de la
partie
pro- fonde du tubercule mamillaire, est en rapp
a partie pro- fonde du tubercule mamillaire, est en rapport avec la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 32
psule interne et du pied du pédoncule céré- bral, dont le sépare la
partie
supéro-externe du locus niger. L'extrémité anlé
passent par les lames médullaires du globus pallidus, perforent la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule in
du noyau rouge,se porte- rait en dehors vers le corps de Luys. Une
partie
de ses fibres s'y termi- nerait, assurant ainsi
rps et les noyaux des cordons de Goll et de Burdach; la plus grande
partie
contournerait les parties supérieure et externe
dons de Goll et de Burdach; la plus grande partie contournerait les
parties
supérieure et externe du corps de Luys et se cont
ma. traversent la région sous-thalamique de la capsule interne, une
partie
se recourberait en avant, entrerait dans la con
ne; 3° d'une section expérimentale de la commissure de Meynert à la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral. Or, les
confirmer cette manière de voir; les fibres qui se détachent de la
partie
postérieure du corps de Luys et qui perforent la
ement intacte. Sur une série de coupes ininterrompue on voyait à la
partie
postérieure de la région sous-optique les fasci
rmédiaire des fibres de la zona incerta, du champ de Forel et de la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge. En r
nculairc et relie entre elles les deux régions sous-op- iques et la
partie
adjacente des régions de la calotte. Elle forme l
e de Forel, qui appartient à la calotte pédoncu- laire et occupe la
partie
postérieure et ventrale du noyau rouge (Voy. Ré
érieure et ventrale du noyau rouge (Voy. Région de la calotte, IIIe
partie
). La commissure sous-thalamique postérieure (Fi
xe de Meynert; le pédoncule du tubercule mamillaire la sépare de la
partie
interne du pied du pédoncule, à sa limite avec
au champ de Forel du côté opposé. Les fibres luysiennes occupent la
partie
moyenne de la commissure sous-thalamique postér
la commissure sous-thalamique postérieure. Au-dessus d'elles, à la
partie
supérieure ou dorsale de la commissure sous-tha
gues; plus en arrière, on trouve des fibres qui, se détachant de la
partie
antérieure du faisceau longitudinal postérieur,lo
septo-thalamique et aux radiations olfactives profondes, longent la
partie
interne de la tête du noyau caudé et de la zona i
ercule mamillaire ou des fibres de la calotte pédonculaire (Voy. IIIe
partie
, Rhombencéphale, constitution de la calotte).
re de la bandelette optique, puis pénètre entre les faisceaux de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral (Voy. T. 1e
1, p. 326). Meynert, Forel, Gudden n'ont pu la suivre au delà de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral; Darksche
séparés les uns des autres par de la substance grise. Elle occupe la
partie
supérieure et interne du chiasma et de la bande
us et en dehors d'elle et se perd dans le feutrage des fibres de la
partie
inférieure du globus pallidus. Ce trajet est en
nt pas sa dégénérescence. Faisceau du tuber cinereum (fTc). Dans la
partie
antérieure du tuber cinereum, au voisinage du c
commissure qu'il décrit dans la substance grise centrale occupe la
partie
antérieure de la lame inter- pédonculaire ; ell
Le faisceau du tuber cinereum occupe le voisinage immédiat de la
partie
antérieure du troisième ventricule; il est formé
r cinereum proviendrait, d'après Darkschewitsch et Pribytkow, de la
partie
basale et postérieure du noyau lenticulaire; il
ux que ne le font les coupes horizontales obliques, le trajet de la
partie
croisée du faisceau du tuber cinereum. Celle-ci
elle-ci se porte en effet en haut et en arrière, occupe d'abord les
parties
latérales de l'infundibulum, passe en dedans du p
nère lorsqu'on sectionne, chez le chat, la bandelette optique et la
partie
GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE.
ives dont il tire son origine siègent dans la muqueuse qui revêt la
partie
supérieure des cornets et de la cloison des fosse
is et cylindrique se place dans les cannelures longitudinales de la
partie
supé- rieure des cellules épithéliales et arriv
ou cellulifuge est extrêmement grêle et variqueux ; il traverse la
partie
inférieure de l'épithélium et la couche sous-mu
. Les deux centres olfactifs primaires sont reliés entre eux par la
partie
, olfactive de la commissure antérieure (Rolp, 1
tuent' probablement la courte voie olfactive réflexe centrale. La
partie
hémisphérique de la commissure antérieure et la c
igone olfactif, l'aire olfactive (espace perforé anté- rieur) et la
partie
adjacente du septum lucidum ; ils émettent les ne
res concourent à former le tænia, thalami puis s'arborisent dans la
partie
moyenne du thalamus et dans le ganglion de l'ha
p, radiations olfactives profondes et leurs connexions : i, avec la
partie
olfactive de la com- missure antérieure; 2, ave
), le noyau amygdalien (NA), la circonvolution du crochet (U) et la
partie
antérieure de la circonvolution de l'hippocampe
c) (neurone de iiie ordre) et émettent le trigone cérébral (Tg), la
partie
hémisphérique de la commissure antérieure, et l
centre olfactif cortical donne en outre naissance aux fibres de la
partie
hémisphérique de la commissure antérieure qui, pr
s les cellules pyramidales de la circonvolution du crochet et de la
partie
adjacente de l'hippocampe, relient ces régions, s
eur et concourt il former les lames médullaires de ce ganglion. Une
partie
des fibres s'y termine ; une autre partie trave
aires de ce ganglion. Une partie des fibres s'y termine ; une autre
partie
traverse simplement le corps genouillé externe,
one visuelle corticale avec le pli courbe et la zone du langage. La
partie
antérieure des hémisphères a été écartée afin d
radiations du tubercule quadrijumeau antérieur qu suivent, dans une
partie
de leur trajet, la voie du bras du tubercule qua
leur ensemble les radiations optiques de Gratiolet, passent par la
partie
supérieure du seg- ment rétro-lenticulaire de l
t très rapidement et qui est particulièrement dense et épaisse à la
partie
externe et inférieure de la papille. Ce secteur p
correspond très exactement au pôle postérieur de l'oeil. Dans la
partie
centrale de la macula (fovea centralis), les cell
présente près du tiers des fibres du nerf optique. Les fibres de la
partie
inlerne ou nasale (N, Fig. 329), de la rétine c
la papille dont elles occupent le secteur interne. Les fibres de la
partie
temporale (T) ou externe de la rétine affectent
de la macula, à concavité maculaire, puis abordent, le supérieur la
partie
supé- rieure, l'inférieur la partie inférieure
puis abordent, le supérieur la partie supé- rieure, l'inférieur la
partie
inférieure de la papille. Ils n'atteignent pas la
férieur la partie inférieure de la papille. Ils n'atteignent pas la
partie
centrale de la papille, mais se cantonnent à sa p
e complètement, de sorte qu'à la périphérie du nerf optique et a sa
partie
centrale, les mailles du fin réticulum de soutè
s la papille (Fig. 329,1). Le faisceau maculaire (mn, mt) occupe la
partie
externe et inférieure du nerf optique et se pré
ules supérieur (ts) et inférieur (ti) du faisceau temporal. Dans la
partie
vasculaire du nerf optique le faisceau maculaire
som- met périphérique (Fig. 329,2). Plus en arrière encore, dans la
partie
non vasculaire du nerf optique, il abandonne co
tique (Fig. 329,4). Avec la migration du faisceau maculaire dans la
partie
centrale du nerf optique, les fascicules supéri
u temporal (ts, ti) se réunissent en un seul faisceau qui occupe la
partie
inféro-externe du nerf optique (Fig. 329, 3) et
eaux temporaux s'effectue en général immédiatement en arrière de la
partie
vasculaire du nerf optique (Jatzow), mais elle pe
LFACTIF ET OPTIQUE. 425 1" ! G. 329. - Le groupement des fibres des
parties
maculaire, temporale et nasale de la rétine : A
tique à son émergence du globe e oculaire ; la coupe 2 sectionne la
partie
vasculaire ; la coupe 3, la région non vascu- l
optique immédiatement en avant du chiasma. La coupe 5 passe par la
partie
moyenne du chiasma; les coupes G et 7 intéresse
par la partie moyenne du chiasma; les coupes G et 7 intéressent la
partie
antérieure (6) et la partie moyenne (1) de la ban
iasma; les coupes G et 7 intéressent la partie antérieure (6) et la
partie
moyenne (1) de la bandelette optique. - La haut
sur le schéma B'. Le faisceau maculaire teinté en gris comprend une
partie
temporale ou directe, qui se rend dans la bande
irecte, qui se rend dans la bandelette optique homolatérale, et une
partie
nasale ou croisée 426 ANATOMIE DES CENTRES NERV
la rétine. - T, le champ temporal. - Te, tuber cinereum. - mon, la
partie
nasale (croisée) du faisceau maculaire. - met,
- mon, la partie nasale (croisée) du faisceau maculaire. - met, la
partie
temporale (non croisée) du faisceau maculaire. -
nasal, il occupe, après la fusion des deux fascicules temporaux, la
partie
supérieure et interne du nerf optique (Jatzow, Si
. Dans le cas de Schlagenhaufer, il ne paraît correspondre qu'à une
partie
du faisceau temporal, au fascicule temporal infér
eux tiers des libres rétiniennes, à savoir le faisceau nasal et une
partie
du faisceau maculaire s'entre-croisent dans le ch
sé. Les autres fibres, c'est-à-dire le faisceau temporal et l'autre
partie
du faisceau maculaire, se continuent directemen
du côté opposé. Dans son ensemble, le faisceau nasal se rend de la
partie
supéro-interne du nerf optique a la partie infé
ceau nasal se rend de la partie supéro-interne du nerf optique a la
partie
inféro-interne de la bandelette croisée; il cha
rmée par Kellermann, Delbruck, IIenschen, Moeli, se détachent de la
partie
interne du faisceau nasal, se portent transversal
long du bord externe du chiasma; elles conver gent ensuite vers la
partie
inféro-interne de la bandelette en suivant soi
rajet dans le chiasma. Décussation du faisceau nasal el d'une
partie
du lais- ceau muculairc. Situation centrale
res fibres en anse se détachent, ainsi que Ploeli l'a montré, de la
partie
externe du faisceau nasal, se portent d'avant en
sma et se continuent, après entre-croisement, avec les fibres de la
partie
inféro-interne de la bandelette controlalérale.
es, le faisceau temporal occupe surtout, mais non exclusivement, la
partie
externe et périphérique du chiasma, puis la parti
xclusivement, la partie externe et périphérique du chiasma, puis la
partie
supérieure et externe de la bandelette. Une c
eure et externe de la bandelette. Une compression, portant sur la
partie
externe du chiasma, intéresse donc à la fois de
delette. Le faisceau croisé (ou nasal) toutefois occupe surtout la
partie
inféro-interne, le faisceau direct ou (temporal
rtout la partie inféro-interne, le faisceau direct ou (temporal) la
partie
supéro-externe de la bandelette. Il semble exis
pport avec les secteurs rétiniens dont elles proviennent : ainsi la
partie
inférieure ou ventrale de la bandelette paraît
r Uhthoff et par Henschen, montre en effet que la compression de la
partie
ventro-laté- rale de la bandelette, entraîne un
macula, un centre cortical de la vision distincte qui occuperait la
partie
antérieure de la scissure calcarine. Toutefois,
, si l'on a l'occasion de faire l'autopsie, on trouve qu'une petite
partie
de l'écorce occipitale interne, d'un côté ou de l
e. Bien au contraire, la dissociation des fibres maculaires dans la
partie
postérieure de la bandelette, leur dispersion dan
cule quadrijumeau antérieur; d'après Henschen elles occuperaient la
partie
dorso-latérale de la bandelette optique (p, Fig
yaux des nerfs moteurs de l'oeil sont indirectes et s'effectuent en
partie
par l'intermédiaire des fibres de l'entre-crois
d'elle. Elles ne font du reste, dans aucun segment de leur trajet,
partie
intégrante de la bandelette optique, mais sont
missure arquée postérieure, un petit faisceau de fibres qui occupe la
partie
interne de la bandelette, la partie postérieure
aisceau de fibres qui occupe la partie interne de la bandelette, la
partie
postérieure du chiasma, s'étend d'un corps genoui
Vossius. Graefes Arch. Optbalmol. vol. XXVIII, ? p. 201. TROISIÈME
PARTIE
CERVEAU RHOMBOÏDAL RHOMBENCÉPHALE Le cerveau
me vésicule encéphalique pri- mitive, et comprend le cervelet et la
partie
inférieure du tronc encéphalique , à savoir : l
dité de la description, peut-on diviser le rhom- bencéphale en deux
parties
: le cervelet d'une part, la région bulbo-protu-
béranlielle et l'isthme postérieur d'autre part. Situation. Ses
parties
consti- tuantes. Leurs rapports ré- ciproqu
Organe impair et médian le cervelet se développe aux dépens d'une
partie
de la voûte du cerveau postérieur ou quatrième vé
ieur ou quatrième vésicule encépha- lique. Il occupe la plus grande
partie
de la loge crânienne inférieure, repose sur les
rapport éloigné avec la gouttière basilaire sur laquelle repose la
partie
inférieure du tronc encéphalique. Chez l'homm
fférent de celui du cerveau. Le cervelet comprend chez l'homme deux
parties
latérales paires et symétriques, les hémisphère
s cérébelleux ou lobes (1-ICv, Fig. 331, 332 et 333) réunis par une
partie
médiane et impaire qui doit à son aspect strié
ue et ontogénétique, le lobe moyen ou vermis représente en effel la
partie
primitive et fondamentale du cervelet, il se déve
re les tubercules quadrijumeaux CI Valeur phylogéné- tique de ses
parties
constituantes. Configuration ex- térienrc.
ervelet (Fig. : 331, el 33G). On considère à la face supérieure une
partie
sagittale médiane et sail- lante, le vermis sup
érieur (Vs) ou face supérieure du lobe moyen du cer- velet, et deux
parties
latérales obliques en bas et en dehors el légè-
rG, veine de Galion. - )'6', vermis supérieur du cervelet masqué en
partie
par les plis de l'arachnoïde. MORPHOLOGIE DU RH
ond de l'échancrure marsupialc, divise leur face supérieure en deux
parties
inégales. La partie antérieure, la plus volu- m
arsupialc, divise leur face supérieure en deux parties inégales. La
partie
antérieure, la plus volu- mineuse, est quadrila
déclive) du vermis supérieur et forme le lobe supé- rieur (LS). La
partie
postérieure, beaucoup plus petite, est d'aspect s
ue en arrière avec l'échancrure marsupiale (em) ; elle loge dans sa
partie
postérieure la fanx du cervelet, et dans sa par
lle loge dans sa partie postérieure la fanx du cervelet, et dans sa
partie
antérieure le bulbe rachidien; son fond est occ
est occupé par le vermis inférieur (Vi). Pour apercevoir ce dernier
Parties
consti- tuantes. Hémisphères céré- belleux.
e de Reil. 440 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. \'rrmi infriear. ?
Parties
consti- tuantes. dans toute son étendue, il f
se présente alors sous l'aspect d'une éminence très convexe dont la
partie
postérieure se continue avec le vcrmis supérieu
la partie postérieure se continue avec le vcrmis supérieur, dont la
partie
anlérieure s'enfonce profondément entre les deu
l et au tubercule jugu- laire de l'occipital; elle commence sur les
parties
latérales de la vallée de Reil, en avant des ai
mine en arrière d'un petit lobule nettement circonscrit, situé à la
partie
antéro-inférieure du pédoncule cérébelleux moyen
sillon supérieur, divise la face inférieure de l'hémisphère en deux
parties
inégales : l'une postérieure, plus petite, qui
décrivent une courbe à convexité postérieure et correspondent à la
partie
horizontale du sinus latéral. Un profond sillon
ur, la protubérance et le bulbe rachidien. Celte face présente à sa
partie
centrale le diverticule angulaire du toit du qu
les limités par ces sillons sont loin d'être symétriques; tantôt la
partie
hémi- sphérique gauche d'un lobule du vermis es
limitent une circonvolution ou une lamelle, superficielle dans une
partie
de son trajet et qui s'enfonce ensuite dans la
ion postérieure du cervelet où les lobes très développés dans leurs
parties
hémisphériques possèdent une partie médiane trè
bes très développés dans leurs parties hémisphériques possèdent une
partie
médiane très réduite (Fig. 341 el 343). De cett
ur que peuvent présenter les lobes et lobules du cervelet dans leur
partie
hémisphérique et dans leur partie médiane : tel
et lobules du cervelet dans leur partie hémisphérique et dans leur
partie
médiane : tel lobe, très épais au niveau du vermi
ane : tel lobe, très épais au niveau du vermis, ne présente que des
parties
hémisphériques rudimentaires, comme la lingula et
tel lobe, très épais au niveau des hémi- sphères, se réduit dans sa
partie
médiane à un petit lobule insignifiant t ou enc
ères; cette particularité est surtout évidente pour les sillons des
parties
supérieure et inférieure du cervelet, elle l'es
érieure et inférieure du cervelet, elle l'est moins pour ceux de la
partie
postérieure. La partie postérieure des hémisphè
u cervelet, elle l'est moins pour ceux de la partie postérieure. La
partie
postérieure des hémisphères prend en effet un dév
orde en arrière, dans une étendue de deux à trois cen- timètres, la
partie
correspondante du vermis située dans le fond de
, d'aspect, de dimension et de volume, qui empruntent leur nom à la
partie
correspondante du vermis et qui com- prennent c
la partie correspondante du vermis et qui com- prennent chacun une
partie
médiane ou vermienne et deux parties laté- rale
et qui com- prennent chacun une partie médiane ou vermienne et deux
parties
laté- rales ou hémisphériques. Le tableau ci-
ogique du cer- velet en lobes primordiaux et lobes secondaires, les
parties
du vermis et des hémisphères appartenant à chac
lobe supérieur et du lobe postérieur par l'in- dépendance de leur
partie
médiane ou vermienne (V). Celle-ci se présent
illons lon- gitudinaux inférieurs droit et ! gauche et reliée aux
parties
hémisphériques (II) par une mince lamelle de
aspect variés. Celle indépendance presque complète du vermis et des
parties
hémisphériques correspondantes en- traîne un mo
s cérébelleuses qui ne passent jamais directement du vermis sur les
parties
latérales, mais se comportent dans' l'une et l'
LOBE DE LA MASSE PRINCIPALE DU VERMIS Le lobe supérieur comprend la
partie
du cervelet située au-dessus du quatrième ventr
ux qu'ils occupent une situation plus postérieure (Fig. 336). Leurs
parties
hémisphériques se fusionnent complètement et su
phériques se fusionnent complètement et sur toute leur hauteur à la
partie
correspon- dante du vermis. de telle sorte que
e blanche cen- trale du cervelet, et d'être plus profonds dans leur
partie
moyenne que dans leur parties hémisphériques (F
let, et d'être plus profonds dans leur partie moyenne que dans leur
parties
hémisphériques (Fig. 338 et 339). Le sillon pré
u lobe central (Fig. 336) et devient rapidement superficiel sur ses
parties
latérales, où il sépare les ailes du lobe central
tral des freins de la lingula. Il se termine de chaque côté dans la
partie
interne du sillon marginal antérieur et se cont
comme le sillon précédent, il devient rapidement superficiel dans ses
parties
hémisphériques et se termine en dehors dans le
rgeur 45 à 60 millimètres dans le sens transversal. Il comprend une
partie
médiane qui appartient au vermis et constitue l
ment à la base, des pédoncu- les cérébelleux su- périeurs et la
partie
correspondante des pédoncules céré- belleux
ces et décrit une courbe en N ou en L, d'autant plus accusée que la
partie
médiane est plus développée. Simple sur la lign
" pontis. IV, nerf pathétique. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 453
partie
supérieure de la valvule de Vieussens que des rap
ports intimes avec la base du pédoncule cérébelleux supérieur et la
partie
postérieure du pédoncule cérébelleux moyen, aux
i, cur- viligne, plus épais et plus étendu dans le sens vertical sa
partie
médiane qui appartient au vermis supérieur (lob
supérieur (lobule central proprement dit), mince et effilé dans ses
parties
hémisphériques qui s'étendent en forme d'aile j
antérieure (Fig. 331) recouvre, au niveau du vermis, la lingula, la
partie
supérieure de la valvule de Vieussens, l'émergenc
le sillon post-central. Le bord supérieur est libre et onduleux; sa
partie
moyenne est plus ou moins saillante suivant les
de chaque côté, une encoche légère qui sert de limite aux ailes ou
parties
hémisphériques du lobe central (Fig. 334, 339).
s, celles de la face postérieure ne dépassant guère le vermis ou la
partie
adjacente des ailes. Les variations individuelles
, 3u.2, 358, 359, 360.) Ce lobe occupe, comme son nom l'indique, la
partie
la plus élevée du vermis. Situé en arrière du l
ses dimensions plus considérables et le grand développement de ses
parties
hémisphériques. Il comprend une partie médiane,
grand développement de ses parties hémisphériques. Il comprend une
partie
médiane, le culmen, qui appartient au vermis su
ce postérieure du lobule suivant. Ce lobule ne comprend donc qu'une
partie
vermienne et qu'une seule partie hémisphérique.
Ce lobule ne comprend donc qu'une partie vermienne et qu'une seule
partie
hémisphérique. Le lobule suivant (2. 2) apparti
puis se rétrécit au delà du vermis, ses lamelles se fusionnant en une
partie
hémisphérique gauche rudimentaire qui s'enfonce
'aile gauche du lobe central. Le 3° lobule (3,3) ne présente pas de
partie
hémisphérique droite. Il commence au niveau du
implanté sur la face antérieure du lobule suivant, forme une petite
partie
du vermis, se rétrécit au niveau du sillon longit
ERVEUX. supérieur gauche, puis s'élargit brusquement en formant une
partie
hémisphérique gauche, large et bien développée,
re du sillon post-central gauche. Ce lobule ne présente donc qu'une
partie
vermienne et une partie hémisphérique gauche. L
l gauche. Ce lobule ne présente donc qu'une partie vermienne et une
partie
hémisphérique gauche. Le 4° lobule (t, 4) occup
4° lobule (t, 4) occupe toute la largeur du cervelet et présente une
partie
moyenne et deux parties hémisphériques bien dév
toute la largeur du cervelet et présente une partie moyenne et deux
parties
hémisphériques bien développées, quoique asymétri
eux parties hémisphériques bien développées, quoique asymétriques. La
partie
hémisphérique droite est large et formée de tro
PHALE. 159 Le 5° lobule (5,5) enfin n'est supei ficiel que dans ses
parties
hémisphériques. A droite, il occupe toute la lo
ral et des dimensions qui varient peu dans les grandes lignes : une
partie
hémisphé- rique absente ou rudimentaire étant g
u cervelet. Par la fusion de son vermis dans toute son étendue à la
partie
hémisphérique, ce lobe appartient bien au lobe
e plus saillant, le plus convexe et le plus postérieur du lobe. Les
parties
hémisphériques le débordent un peu en arrière et
hériques le débordent un peu en arrière et s'élar- gissent clans la
partie
adjacente du verrais; en dehors, elles s'effilent
ont le sommet tronqué atteint le sillon marginal antérieur. Dans sa
partie
médiane, qui représente à peu près la moitié post
mis, ce lobe forme le déclive, la pente ou revers du monticule; ses
parties
hémisphériques constituent le lobe quadrilatère p
posté- rieurs sont profonds dans la moitié exté- rieuro do leur
partie
hémisphérique. Base d'implanta- tion et bra
transverse antérieur (Fig. 336). Elle est tapissée, surtout dans sa
partie
médiane ou vermienne, de lobules profonds très
iles de chaque côté du vermis et se continuent avec les lames de la
partie
hémisphérique du lobe. La face supérieure est i
gitudinaux supérieurs sont plus profonds et le délimitent mieux des
parties
hémisphériques (Fig. 339). Trois à quatre sillons
omprend une parlie superficielle hémisphérique droite et une petite
partie
médiane ou vermienne, qui s'enfonce dans la pro
s postérieurs. Au nombre de deux a trois, ils présentent une petite
partie
médiane ou vermienne et une partie hémisphériqu
trois, ils présentent une petite partie médiane ou vermienne et une
partie
hémisphérique disposée en forme d'aile et qui s
que et sont la continuation directe des deux ou trois lobules de la
partie
postérieure de la surface du lobe du déclive. Les
nt, soit par l'intermédiaire d'une lamelle sagittale commune sur la
partie
externe du pédoncule cérébelleux moycn au voisina
u vermis; elle diminue dans la MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 461
partie
hémisphérique adjacente au vermis, puis se rétréc
ervelet. C'est un lobe volumineux, remarquable par l'exiguïté de sa
partie
moyenne et le développement considérable de ses
iguïté de sa partie moyenne et le développement considérable de ses
parties
hémisphériques. Séparé du lobe supérieur par le
r (scf) et le sillon inférieur (siV) du même auteur, subdivisent sa
partie
hémi- 1 ic. 3r0. - La face postérieure du cerve
au grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr le subdivise en deux
parties
inégales : La partie supérieure ,1a plus petite
férentiel de Vicq d'Azyr le subdivise en deux parties inégales : La
partie
supérieure ,1a plus petite, se réduit il une simp
urs, les lames transversales supérieures d'Arnold; il représente la
partie
la plus postérieure du vermis et se trouve situé
tubercule valvulaire ou des lames transversales inférieures dont la
partie
moyenne constitue le tubercule postérieur el dont
eur (sma) du ccrvelct(li. 3 ? ? ), appar- tient dans la plus grande
partie
de son trajet il la face inférieure du cer- vel
de l'hémisphère. Un sillon interlobulaire profond la sépare en deux
parties
sensiblement égales qui comprennent chacune deu
ourbes plus ou moins régulières, et sont souvent profonds dans leur
partie
moyenne, et super- ficiels à leurs extrémités (
e de volume variable suivant les sujets. Le tubercule valvulaire ou
partie
vermienne de ce grand lobe se fusionne ou non a
ire ou partie vermienne de ce grand lobe se fusionne ou non avec la
partie
vermienne du lobe précédent, c'est-à-dire avec le
où ils débordent, dans une étendue de 10 à 12 ou 1 millimètres, la
partie
posté- rieure du vermis, ils sont plus étroits
rieur de Vicq d'Azyr subdivise chaque segment hémisphérique en deux
parties
, donl l'antérieur constitue le lobe grêle, el l
re profond, que l'on peul désigner sous le nom Ses dimensions. Sa
partie
vcr micnne. Tuberculo valvulaire. ltrieveté
unaire (ssl), subdivise la face inférieure ou superficielle en deux
parties
inégales qui présentent généralement beaucoup d'a
ement beaucoup d'analogie avec les lobules du déclive (Fig. 31). La
partie
postérieure (1,1) comprend deux à trois lobules
, mince et aplati en lame de couteau, qui se jette en dehors sur la
partie
correspondante du lobe semi-lunaire supérieur (
côté gauche). En dedans, les nombreuses lames et lamelles de cette
partie
se fusionnent en une lame de concentration uniq
RPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 469 rieure du tubercule valvulaire. La
partie
antérieure du lobe semi-lunaire inférieur (Fig.
n- nent généralement au voisinage du sillon marginal antérieur à la
partie
postérieure du lobe grêle; en dedans, ils se co
lons longitudinaux inférieurs droit et gauche. La disposition de la
partie
antérieure du lobe semi-lunaire est en général
mi-lunaire est en général constante ; il n'en est pas de même de la
partie
postérieure qui peut présenter deux segments se
cus gracilis, sulcus interracilc'sde Schaffer), le dédouble en deux
parties
minces et d'égale épaisseur dans toute leur étend
ver- mis, où il sépare la pyramide du tubercule valvulaire et de la
partie
interne du lobe semi-lunaire inférieur (Fig. 33
e du lobe semi-lunaire inférieur (Fig. 336, 344). Il reçoit sur les
parties
latérales de la pyramide l'extrémité interne du s
rne qui sépare le lobe digastrique de l'amygdale (Fig. 344 345); sa
partie
concave embrasse l'amygdale et sert à délimiter l
pyramide est libre et arrondie en tubé- rosité ; elle constitue la
partie
la plus proéminente du vermis inférieur. On y d
nsions latérales ou ailes de la pyramide. La lamelle qui tapisse la
partie
la plus saillante du lobule postérieur forme le
einte jugulaire (Fig. 332) qui loge le rebord du trou occipital; sa
partie
externe est située dans la fosse occipitale infér
st située dans la fosse occipitale inférieure ou cérébel- leuse, sa
partie
interne pend avec le sommet de l'amygdale dans le
ntation dirigée obliquement en arrière et en dedans; elle occupe la
partie
interne de la substance blanche centrale des hé
ette ou uvula (Uv, Fig. 336, 341, 345, 408 et u10 à 413) forme- une
partie
considérable du vermis inférieur. Située entre la
ane qui occupe le fond de la gouttière du bulbe rachi- dien et deux
parties
latérales légèrement concaves, obliques en haut e
rent 10 à 12 millimètres dans le sens transversal et s'étendent des
parties
latérales de la luette au pédicule d'insertion de
in, une excavation profonde, sorte de loge ou de niche, située à la
partie
antérieure du sillon longitudinal inférieur et
luette, est adhérente au bile de l'olive cérébelleuse, tandis que la
partie
antérieure, formée par la valvule de Tarin, est
supérieur, les noyaux du toit, le bouchon, l'olive cérébelleuse, la
partie
antérieure du nodule et de la luette et le pédi
longe avec le bulbe rachidien dans le trou occipital, représente la
partie
la plus déclive du cer- velet et est recouverte
séparée que par une mince couche de fibres blanches appartenant en
partie
aux ailes de la luette. L'amygdale comprend dix
elet : 1° par sa petitesse; 2° par la grande distance qui sépare sa
partie
médiane Bords. Extrémité nitë- neurc. Ext
ule. Situation profonde. Faces. ou vermienne, le nodule, de ses
parties
hémisphériques qui forment les petits lobes du
rvelet (Fig. 336, 347). On constate alors que le nodule occupe la
partie
anlérieure du vermis infé- rieur, qu'il fait
lantation relativement large, située en avant de la luette à la
partie
antéro-inférieure de la substance blanche cen-
; une face inférieure ou inféro-antérieure, libre, qui constitue la
partie
la plus antérieure du vermis inférieur et sert de
ace supérieure, tapissée de lamelles cérébelleuses et recouverte en
partie
par la mem- Fig. 31Î. - Coupe sagittale du nodu
cervelet. Disposition irrégulière des cellules de Purkinje dans la
partie
intraventriculaire du nodule. - Plch, plexus ch
transversales groupées en deux ou trois lobules secondaires. Des
parties
latérales du nodule (Fig. 315) se détachent deux
ule et du nerf auditif, en arrière du nerf vague qui le recouvre en
partie
et auquel il doit son nom de lobule du nerf vague
il doit son nom de lobule du nerf vague ou pnewno- gastrique. Sa
partie
intra- ventriculaire. Expansions laté- rale
dedans, au niveau de son pédoncule (P Floc) qui se continue avec la
partie
externe de la valvule de Tarin (VT) (Fig. : H8).
occulus accessoire, sépare le floc- culus du lobe digastrique. La
partie
externe, épaisse et proéminente du flocculus comp
rieure est dépourvue d'écorce cérébelleuse, elle appartient dans sa
partie
externe à la surface extérieure du cervelet et
aspect d'une masse fusiforme, oblongue ou rhomboïdale, épaisse à sa
partie
moyenne qui se prolonge dans le cervelet, effilée
oïdien, le confluent basilaire, du liquide céphalo-rachi- dien ; sa
partie
inférieure est en rapport avec le rebord du trou
otu bérance. - Py, pyramide antérieure du bulbe recou verte il sa
partie
supérieure et à sa partie moyenn par les fibres
ide antérieure du bulbe recou verte il sa partie supérieure et à sa
partie
moyenn par les fibres arciformes superficielles
en bas les sillons qui limitent la protubérance, masquant ainsi en
partie
les pédoncules cérébraux et la partie supérieur
otubérance, masquant ainsi en partie les pédoncules cérébraux et la
partie
supérieure du bulbe. Ils s'incurvent en même te
rhombencéphale (Fig. 362 et 36.'i), on la voit constituée par deux
parties
: l'une postérieure ou supérieure, l'étage postér
ires de la troisième paire; plus rarement on le voit surgir vers la
partie
moyenne du sillon protubérantiel supérieur, ent
sceau détaché, aberrant des fibres trans- versales du pont. 2° La
partie
inférieure ou bulbaire de la face antérieure du c
riangulaire, médian et profond, le trou borgne de Vicq d'Azyr. A sa
partie
moyenne, ce sillon est le plus souvent interrompu
eure du bulbe un relief longitudinal très marqué. Etranglées à leur
partie
supérieure où elles se dégagent au-dessous des
ouvent recouvertes par des fibres arciformes, elles mesurent à leur
partie
moyenne G à 8 millimètres de largeur, puis s'effi
moyenne G à 8 millimètres de largeur, puis s'effilent en bas. De la
partie
inféro-interne de chaque pyramide se détachent 3
itue le faisceau pyramidal croisé. Un petit fascicule qui occupe la
partie
externe de la pyramide - et qu'un sillon longit
rendant dans le cordon antérieur homolatéral de la moelle (Voy. IVe
partie
, Moelle épinière). Lorsque le faisceau pyramida
sceau pyramidal est lésé dans son trajet de l'écorce cérébrale à la
partie
inférieure de la protubérance, la pyramide antéri
ur. l'olive, lui impriment un aspect bosselé ou la divisent en deux
parties
inégales. La saillie de l'olive est d'autant pl
us ou moins épaisse. La saillie olivaire ne constitue qu'une petite
partie
de ce corps qui s'enfonce dans l'épaisseur du b
gien et pneumogastrique (sillon des nerfs mixtes) et représente, eu
partie
, la continuation supérieure du faisceau de Gowers
ntiel, s'enfonce sous les fibres transversales du pont et occupe la
partie
antéro-externe de la calotte protubérantielle.
ans laquelle pénètre une volumineuse artériole; elle est comblée en
partie
par les fibres arciformes qui entourent l'extrémi
n- gula(Lig), qui se moulentsur la valvule de Vieussens et sur la
partie
inférieure des pédoncules cérébelleux supérieur
e central. Les pédoncules cérébelleux supérieurs (Pes) occupent les
parties
exler- nes de cette région et forment deux gros
lingula. Freins de la val- vule. Bulbe. Forme et aspect. Sa
partie
infé- rieure cylindrique Sa partie sup6- ri
Bulbe. Forme et aspect. Sa partie infé- rieure cylindrique Sa
partie
sup6- rieure évaséo et membraneuse. tantôt
an de Reil latéral. Ces fibres arquées de l'isthme appartiennent en
partie
aux fibres semi-circulaires in- ternes péripédo
e bulbe, on remarque que la face postérieure du bulbe présente deux
parties
bien distinctes, une partie inférieure, cylindriq
ace postérieure du bulbe présente deux parties bien distinctes, une
partie
inférieure, cylindrique qui se continue sans li
continue sans ligne de démarcation avec la moelle épinière, ci une
partie
supérieure, évasée, formée de chaque côté par deu
PHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 489 postérieure du bulbe rachidien, une
partie
inférieure fermée et une parlie supérieure ouve
éalité, le bulbe est fermé dans toute sa hauteur : il l'est dans sa
partie
cylindrique comme la moelle épinière, par l'a
ère, par l'apposition des cordons postérieurs; il l'est dans sa
partie
supérieure, par la membrane épendy- maire obt
pos- térieur (sillon longitudi- nal postérieur) appartient à la
partie
cylindrique du Il bulbe; il commence au somme
aire, le cordon de Goll (CG) (cordon grêle, funiculus gracilis). La
partie
renflée, désignée sous les noms de clava, d'émine
volumineux faisceaux cylindriques ou pyrami- daux, qui occupent les
parties
postérieure et latérale du bulbe entre la pyram
ire) et pneumogastrique (Xe paire) et qu'émergent les racines de la
partie
bulbaire du spinal (XIe paire). Au niveau du
férieure, immédiatement en arrière du ligament den- telé. Dans la
partie
inférieure, verticale du sillon latéral du bulbe
tiforme se détachent toutes les fibres arciformes qui entourent les
parties
antéro-latérales du bulbe, interrompent le sillon
s (Fig. 334); son sommet occupe l'angle du V et s'insinue entre les
parties
saillantes (clava) des pyramides postérieures. Se
remiers stades du développement. Chez l'adulte, elle se réduit à sa
partie
centrale à une couche d'épithélium épendymaire qu
rieure ou membraneuse du diverticule latéral (ri VI). A droite, la
partie
épendymairc de la membrane obturatrice a été en
s paires, fort irrégulières suivant les individus, qui occupent les
parties
latérales de la membrane obturatrice et se prolon
a fente cérébrale posté- rieure, et sépare le bulbe du cervelet. La
partie
postérieure de ce feuillet tapisse les valvules
, puis recouvre l'amyg- dale et le vermis inférieur du cervelet; la
partie
antérieure forme la toile choroïdienne inférieu
forme la toile choroïdienne inférieure, jetée comme un pont sur la
partie
postérieure et supérieure du bulbe et qui se co
ulbe et qui se continue en bas avec la 1)ic-mèrc qui re- couvre les
parties
latérale et postérieure du bulbe. Ces deux feui
endie et de trous de Luschka. Le trou de Magendie (TM) siège à la
partie
inférieure et médiane de la toile choroïdienne;
e, plus ou moins béant, de 4 à 6 millimètres de longueur, comblé en
partie
par les plexus choroïdes des diverticules latér
e croyait Bochdalek. Ce repli pie-mérien sous-tend plus ou moins la
partie
membraneuse et nerveuse du diverticule. Lorsque c
ne d'abondance ou d'une corbeille de fleurs (Bochdalek); lorsque la
partie
membraneuse est lâche et très étendue, on trouve
oile choroïdienne, s'insèrent au bord des valvules de Tarin et à la
partie
mem- braneuse des diverticules latéraux (Fig. 3
aneuse des diverticules latéraux (Fig. 3Si). Ils comblent en grande
partie
la cavité du pédicule et de l'extrémité renflée d
dymaire de la moelle épinière. Étroite en haut, elle s'élargit à sa
partie
moyenne, émet en arrière un diverticule angulai
ond sillon de même nom de l'aqueduc de Sylvius, s'élargit dans la
partie
supérieure ou protubéranlielle du plancher pour
(et); ils s'amincissent ensuite, occupent toute la largeur de la
partie
supérieure du plan- cher et se continuent dans
«Z,aile grise. ap, area tostrema. - apl, aile blanche interne; sa
partie
externe forme l'area plumiformis, sa partie int
e blanche interne; sa partie externe forme l'area plumiformis, sa
partie
interne, l'area medialis trigoni hypogloasi. -
désignée par Schwalbe sous le nom de tubercule acoustique. Toute la
partie
moyenne de la zone acoustique est en général re
u plancher des diverticules latéraux (Tub.ac, Fig. 439), reçoit une
partie
des fibres terminales du nerf cochléaire et ser
ie des fibres terminales du nerf cochléaire et sert d'origine à une
partie
des stries acoustiques. Les stries acoustiques,
e grise centrale; quelquefois, elles ne sont apparentes que dans la
partie
externe de leur trajet, dans la zone acoustique.
ui interrompt le sillon médian; d'autres fois elles émergent sur la
partie
convexe des funiculi teretes ou en dehors d'eux ;
trie affecter un trajet longitu- dinal, croiser très obliquement la
partie
supérieure des funiculi teretes et se perdre au
u tri- gone de l'hypoglosse). L'aile blanche exlerne n'est que la
partie
inférieure de la zone acous- tique ; elle forme
é inférieure, mince et effilée, plonge dans le bec du calamus et la
partie
fermée du bulbe; sa base n'atteint pas la ligne d
e provient des profondeurs du bec du calamus, s'étend le long de la
partie
effilée de la pyramide postérieure et est séparée
gone de l'hypoglosse, comprend, comme Retzius l'a figuré, une large
partie
externe, couverte par un nombre plus ou moins c
comme les pennes d'une plume (area yMW7/orM ? de Retzius) et une
partie
interne, petite et très étroite (area medialis tr
meaux postérieurs à la substance blanche centrale du vermis; sur la
partie
médiane, il est formé par la mince valvule de Vie
est coudé et présente : z10 un petit segment horizontal formé dans sa
partie
moyenne par la substance blanche du nodule, et
s sa partie moyenne par la substance blanche du nodule, et dans ses
parties
latérales par la valvule de Tarin; 2° un segmen
xus choroïdes transversaux du quatrième ventricule (Fig. 354). La
partie
horizontale limite avec la partie adjacente du ve
rième ventricule (Fig. 354). La partie horizontale limite avec la
partie
adjacente du versant supé- rieur le diverticule
e. des nerfs auditif, glossopha- ryngien et vague, au-dessous de la
partie
externe du sillon bulbo-prolu- bérantiel. Elles
her et la voûte du quatrième ventricule. La paroi épaisse occupe la
partie
supérieure et antérieure du diverticule; elle e
pas sa moitié externe. Le pédoncule du flocculus comprend ainsi une
partie
interne intra-diverticulaire et une partie extern
culus comprend ainsi une partie interne intra-diverticulaire et une
partie
externe libre à la surface du cervelet (Fig. 31
té renflée des diverticules est formée presque exclusivement par la
partie
membraneuse; elle présente un orifice plus ou moi
ricule, au hile du cer- velet et au sillon marginal antérieur. La
partie
supérieure, S2lS-vetl)'tC2llatt'e de celle ligne
le long de la lèvre supérieure' du sillon marginal antérieur. La
partie
inférieure, sous-venlriculaire de la ligne d'arrê
s postérieure et latérale du nid d'hirondelle et qui correspond aux
parties
latérales du nodule, de la luette, aux minces lam
du cervelet et n'est recouverte que par un feuillet pie-mérien. La
partie
la plus saillante du bourgeon terminal, la crêt
éralement dépourvues d'écorce cérébelleuse. 11 en est de même de la
partie
du lobe digastrique situé dans la profondeur du
ué dans la profondeur du sillon prédigastrique et de la plus grande
partie
de la face anlérieure du flocculus, où la substan
ssens du cerveau. La préparation de Reil divise le cervelet en deux
parties
d'inégale épaisseur : l'une, supérieure, mince,
autre, inférieure, beaucoup plus épaisse, comprenant la plus grande
partie
de la substance blanche centrale du cervelet, les
sillon supérieur de Vicq d'Azyr. La moitié droite représente une
partie
du centre ovale du cervelet après ablation des
urgeon terminal. - cEp, crête épendymaire qui recouvre l'écorce de la
partie
anté- rieure du nodule et sur laquelle s'insère
be médian. Sur les coupes vertico-traesve·.sales qui passent par la
partie
anté- rieure du cervelet (Fig. 316), la substan
t du i.e ventricule occupe de chaque côté de la ligne mé- diane une
partie
assez considérable de la substance blanche centra
es horizontales (coupes H6, C4, Fig. 429, 435) qui inté- ressent sa
partie
supérieure, le noyau du toit se présente sous l'a
au raphé de la protubérance et le long duquel s'entre-croisent une
partie
des fibres semi-circulaires internes du cervelet
que il pénètre dans le hile de l'olive cérébelleuse qu'il bouche en
partie
. C'est un noyau épais, compact, prismatique ou
yme ventricu- laire (coupes S 4 et S 5, Fig. 412, 360). Il siège en
partie
sur le même plan horizontal que le bouchon et s
(coupe C5, Fig. 361) et les coupes horizontales qui passent par sa
partie
moyenne et inférieure n'intéressent plus le bou
ne massue, à un champignon (coupes S 4, S 5, Fig. 412, 369) dont la
partie
inférieure arrondie et plus ou moins sphérique
plus ou moins sphérique se continue en un point très limité avec la
partie
inféro-poslérieure du hile de l'olive cérébelleus
avec la partie inféro-poslérieure du hile de l'olive cérébelleuse; la
partie
supérieure, mince, effilée et plus ou moins irr
elé ou ciliaire, appartient à l'hémisphère cérébelleux et occupe la
partie
interne et inférieure de sa substance blanche cen
e-mérien qui tapisse le nid d'hirondelle (coupe C 6, Fig. 437). Les
parties
externe, supérieure, inférieure et postérieure de
fibres, l'homologue de la substance - blanche intra-ciliaire. A la
partie
supérieure et externe de l'olive cérébel- leuse
-lobaire (fsl coupe C5, Fig. 361). 3. pédoncules cérébelleux. De la
partie
antéro-interne de la sub- stance blanche du cer
Pcm) sont deux faisceaux épais et volumineux qui se détachent de la
partie
antérieure de la substance blanche des hémisphère
ébelleux supérieurs (Pcs, Fig. 363 et 360,coupe S 5) émergent de la
partie
supéro-antérieure du bile du cervelet, concourent
artenant à l'olive cérébelleuse (Fig. 363). Ils forment ensuite les
parties
latérales, puis le toit du 4° ven- tricule, dis
live cérébelleuse jusqu'à son irradiation dans le noyau rouge et la
partie
inféro-exlerne du thalamus du côté opposé. Stil
eaux, l'entre-croisement répond à l'articulation des branches,' les
parties
libres et intra-cérébelleuses aux lames. De par
trajet, chaque pédoncule cérébelleux supérieur comprend donc trois
parties
: l'une inférieure ou intra-cérébelleuse, l'autre
e section piriforme, semi-lunaire ou en massue. Il est situé sur la
partie
latérale du quatrième ventricule ( ? ), en arri
réticulée de la calotte protubérantielle et se trouve séparée de la
partie
externe du ruban de Reil médian par un interval
cir- culaires inle1'Jtes pél'l}Jédollcu/ail'es) et appartiennent en
partie
au faisceau de Gowers (FG coupe H3, Fig. 362) e
s, abandonnent la paroi postérieure du qua- trième ventricule et la
partie
postéro-externe de la calotte protubcran- tiell
ie postéro-externe de la calotte protubcran- tielle pour occuper sa
partie
antéro-interne, en croisant à angle presque dro
ndiculairement ou obliquement a leur axe, tandis que, dans ceux des
parties
antérieures, les fibres infléchies vers le raph
fer à cheval dispa- raissent, grâce au transport des fibres dans la
partie
antéro-interne de la calotte (coupes P3, P2, Fi
dans les régions inférieures (coupes P3, P4, Fig. 368, 369) que la
partie
antérieure du raphé, voisine du ruban de Reil méd
ine du ruban de Reil médian, et dans les régions supérieures que la
partie
postérieure du raphé, celle qui avoisinc le fai
blancs de Stilling (Fig. 363 et 392, coupe n° 12 x bis); dans leurs
parties
antéro-externes apparaissent bientôt des amas d
es radiations de la calotte (RC) (Fig. 363) et se terminent dans la
partie
ventrale du thala- mus. (Voy. Constitution des
oflexe de Meynert (Fig. 34, p. 50). Ce dernier faisceau traverse la
partie
supéro-interne du noyau rouge (Fig. 321), de te
nt la calotte pédonculaire (Fig. 34), le noyau rouge présente, à sa
partie
interne, une sorte d'échancrure dans laquelle s
érieur, les fibres longitudi- nales de la formation réticulée et la
partie
inlerne du ruban de Reil mé- dian (Fig. 12, p.
amique de Forel (coupes sagittales, Fig. 253 et 254, p. 268). De sa
partie
externe, particulièrement épaisse, se détachent
res du pédoncule cérébelleux moyen qui leur sont parallèles dans la
partie
supérieure de leur trajet. Le pédoncule cérébel
es diverticules latéraux du 4° ventricule. Coupe transversale de la
partie
supérieure du bulbe passant par les tubercules
groupes principaux : regroupe exleme et antérieur se détache de la
partie
antéro-inlerne du corps resti- forme, passe en
cérébelleux inférieur est beaucoup plus restreint; il se place à la
partie
postéro-interne du corps restiforme (coupe H9,
s cellules du noyau de Deiters, les autres sont la continuation, en
partie
des fibres semi-circulaires in- ternes du cerve
n, en partie des fibres semi-circulaires in- ternes du cervelet, en
partie
des fibres radiculaires du nerf vestibulaire ;
guer de l'olive supérieure, petite ou protubérantielle. Située à la
partie
supérieure du bulbe, entre la pyramide antérieure
qu'un anneau gris complet. Sur toutes les coupes qui passent par sa
partie
moyenne (coupe H 9, Fig. 366), l'olive apparaît f
s internes; les fibres radi- culaires du nerf hypoglosse longent la
partie
interne de l'olive bulbaire et la traversent pa
le hile de l'olive du noyau juxta-olivaire interne et s'adossent en
partie
aux fibres de la couche inler-olivaire. Leurs ori
bre défibres verticales, abondantes plus particulièrement clans ses
parties
postérieure et externe et qui appartiennent surto
ient en outre un grand FIG.361. - Coupe transversale passant par la
partie
moyenne des olives bulbaires et les fibres radi
ique, forme l'étage postérieur de la protubérance et la plus grande
partie
du bulbe rachidien : c'est l'étage postérieur ou
yaux pontiques (coupe P 2, Fig. 393). La dissociation commence à la
partie
anléro-interne du pied du pédoncule cérébral, d
rgne supérieur (coupe P3, Fig. 368). Fig. 368. - Dissociation de la
partie
interne et profonde de la voie pédonculaire par
lvule de Vieussens. l'i, quatrième ventricule. Elle commence à la
partie
antéro-m- terne do la 1'O'l1ho- raneo. a3fi
en bas, et cle dedans en dehors, et se confine assez longtemps à la
partie
antéro-inlernc de la voie pédonculaire, sa part
ez longtemps à la partie antéro-inlernc de la voie pédonculaire, sa
partie
postéro-externe formant encore un faisceau compac
voie pédonculairc dans toute sa largeur, et pour se concentrer à sa
partie
externe en formant le pédoncule cérébelleux moyen
dian. Coupe horizon laie oblique en haut et en avant passant par la
partie
inférieure de la protubérance, par la valvule de
transversal, les petits sont arrondis et occupent de préférence la
partie
interne et postérieure de l'étage antérieur de la
co-protubérantielles, car toute dégénérescence, même limitée, de la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral, retentit
de l'étage antérieur de la protubérance, laquelle se condense à la
partie
supéro-antéro-inlerne de la pyramide en un noyau
érieure du faisceau pyramidal est plane ou légèrement concave. A la
partie
supérieure du bulbe(coupeH8,Fig.398, cûlé gauche,
s fibres aberrantes de la voie pédonculaire qui ont suivi, dans une
partie
plus ou moins longue de leur trajet, la voie du
gélatineuse de Rolando qu'ils refoulent en arrière, et forment à la
partie
postérieure du cordon latéral de la moelle le fai
décapitent la corne antérieure homola- térale et descendenl dans la
partie
postérieure du cordon latéral de la moelle. Ell
amidal conserve cet aspect au delà de sa décussation jusque dans la
partie
supé- rieure du cordon latéral de la moelle, où
du bulbe absentes. A leur place il existe un méplat répondant à la
partie
antérieure de la couche inter- olivaire (Fig. 1
es du raphé médian existent comme à l'état normal et proviennent en
partie
des fibres transversales de la protubérance. Qu
général le pes lemniscus superficiel en arrière et l'adossent à la
partie
interne du ruban de Reil médian. Quant aux fibr
Fpe) (Fig. 377, 37C, 375, 374), dans un cas de dégénérescence de la
partie
moyenne de la voie pédoncu- laire consécutive à
à un foyer capsulaire, ayant sectionné dans la région thalamique la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, et la
partie
adja- cente du segment rétro-lenticulaire. (Mét
pédonculaire ne con- courent pas à former ce tractus. Lorsque sa
partie
postérieure est seule visi- ])le à i exLei'Lo
s lemniscus profond, cl les fibres aberrantes postéro- externes aux
parties
externe et moyenne du ruban de Reil médian. La
ntes protubérantielles (Fap). Ces dernières s'incorporent dans la
partie
interne et moyen- ne du ruban de Reil (Rm, Fig.
s la région pro- tubéranlielle inférieure (Fig. 382), occupent la
partie
antéro- interne de la'couche inter-oli- vaire
olive (Fig. 383 et 384). La couche inlero- livaire contient dans sa
partie
antero-interne un certain nombre de]libres aberra
aisseur du noyau arqué (Narc). Au-dessous de l'olive bulbaire, à la
partie
inférieure de l'entre-croisement piniforme, les f
omolatérale et qui sont particulièrement nombreuses dans ce cas. la
partie
postérieure de la voie pédonculaire, se réunissen
transversales profondes de la protubérance. Les unes s'adossent à la
partie
externe du ruban de Reil médian au voisinage du
s latéraux pontiques de Schlesinger), les autres pénètrent dans ses
parties
moyenne ou interne et se fusionnent avec les fasc
ement sensitif, elles n'appartiennent au ruban de Reil que dans une
partie
de leur trajet et c'est là leur caractéristique.
ces fibres (voy. Entre-croise- ment pyramidal, Moelle épinière, IVe
partie
). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPH
me ventricule, et entoure complètement le canal épendymaire dans la
partie
fermée du bulbe. La région de la calotte est oc
n avant du précédent, au voisinage du trou borgne supé- rieur. A la
partie
antérieure et inférieure de la protubérance, il e
rêmement important qui forme le coips l1'apézoïde et se continue en
partie
dans le ruban de Reil latéral croisé. Le bulbe
ontinuent avec le ruban de Reil médian. D'autres encore occupent la
partie
postérieure de la calotte dans la région bulbo-
urs oculaire commun (IIIe paire) et pathétique (IVe paire); dans la
partie
inférieure de la protubérance, le noyau d'origine
rale, mais dans l'épaisseur même de la formation réticulée, dont la
partie
externe contient deux colonnes cellulaires long
noyaux des cordons de Goll et de Burdach qui servent d'origine à la
partie
principale du ruban de Reil médian, les noyaux
ment désignées. Dans le cerveau moyen, les amas gris occupent la
partie
antéro-exlernc de la formalion réticulée et se
r de la calotte pédonculaire. Située à son origine au-dessous de la
partie
ventrale et postérieure du thalamus, du centre
rt. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Lu, locus niger. - NIII,
partie
inférieure du noyau du nerf moteur oculaire commu
tance grise des tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur. La
partie
antéro-externe de la formation réticulée se log
dedans le raphé, puis se fusionne avec la zone anlérieure. Dans sa
partie
interne particu- Ses noyaux. La formation r5V
correspondant à l'entre-croi- sement des nerfs pathétiques et à la
partie
supérieure de la valvule de Vieussens(coupe H2
de Ileil médian et latéral, le noyau du ruban de Reil latéral et la
partie
supérieure du corps trapézoïde. - La dissociati
(coupe H2, Fig. 395), les trabécules,gris s'amassent en outre à la
partie
postéro-externe de la for- mation réticulée, où
t leur coloration plus intense par la laque hématoxylinique. A la
partie
externe de la formation réticulée, dans la région
yaux moteur (NVm) et sensitif (NVs) du triju- meau en arrière. A la
partie
antéro-interne de la formation réticulée appara
et jusque dans la substance grise de la protubérance. Il occupe la
partie
moyenne et inférieure de la calotte protubérantie
e nombreuses libres arciformes. f" A mesure que l'on approche de la
partie
inférieure de la protubé- rance et du sillon bu
ndeur ce qu'il perd en largeur et se concentre de plus en plus à la
partie
anléro-inlerne de la formation réticulée. Le fa
es longitudinales du segment externe sont assez clairsemées dans sa
partie
postéro-interne (coupe H7, Fig. 397); elles se co
ent en épais fascicules dans le noyau de Deiters et s'amassent à la
partie
antérieure de la calotte, entre la grosse racin
au de Deiters (Cj) et la substance gélatineuse de Rolando (SgR). La
partie
antéro-externe ou périphérique de la formation ré
us ou moins parallèles, l'un antérieur, l'autre postérieur. Dans la
partie
postérieure de la formation réticulée grise, on t
dach. - VG, noyau du cordon de Goll. - Nom, noyau de v. Monakow, ou
partie
externe du noyau de Burdach. - Vll, noyau latér
la substance grise de la moelle par un col plus ou moins étroit; sa
partie
postérieure présente toujours un aspect réticul
les fascicules onduleux du FIG. 401. - La formation réticulée à la
partie
supérieure de l'entre-croisement moteur du bulb
eil décrivit sous le nom de ruban (Schleife) un faisceau situé à la
partie
antérieure de la calotte protubérantielle, étendu
ment en haut, en arrière et en dehors, croise et contourne en anse la
partie
supé- rieure du pédoncule cérébelleux supérieur
superficiel, oblique et curviligne sous celui de laquais (lacet) : la
partie
infé- rieure ou bulbaire sous le nom de faiscea
té assignées par les différents auteurs, aux différents segments et
parties
de segments du ruban de Reil, n'ont pas peu contr
strànge (Stilling, Reichert, Forel, Flechsig, Edinger, Bechterew) ;
partie
sensitive des pyramides, faisceau sensitif (Sappe
s de la pni-tio supérieure du ruban de Rcl : Synonymies de la
partie
inférieure du ruban de Reil. latéral (Dejerin
llet tract (Ferrier et Turner) ; faisceau acoustique (Charpy). La
partie
du ruban de Reil qui s'irradie dans le tubercule
ieur, obères Schleifenblatt (Meynert) ; obere Schleife (Forel) ; La
partie
qui aborde le thalamus est appelée couche rubanée
Thalamus Schleife (Forel) ; médiate (obère) Schleife (Edinger). La
partie
enfin qui directement ou indirectement s'irradie
latéraux pontiques, latérale pontizxecx Bltitdel (Schlesinger). La
partie
inférieure ou bulbaire du ruban de Reil porte éga
nde partie avec le cordon latéral croisé de la moelle, et en petite
partie
avec le cordon antérieur du même côté; mais ils
arciformes externes du bulbe; pour Meynert, elles se plaçaient à la
partie
externe des pyramides antérieures du bulbe, mon
s la protubérance et le pédoncule cérébral dont elles occupaient la
partie
externe, puis s'iriadiaient dans le lobe occipita
s fibres des noyaux des cordons postérieurs à la constitution de la
partie
externe de la pyramide et de la partie externe
rieurs à la constitution de la partie externe de la pyramide et de la
partie
externe du pied du pédoncule cérébral. Mais ce
er-olivaire et du ruban de Reil, à la suite d'une hémisection de la
partie
inférieure du bulbe du côté opposé. De lous les
e épinière, contribue à former les fibres arciformes internes de la
partie
inférieure du bulbe, puis s'entre-croise en arr
direction, devient ascendant, parcourt la couche interolivaire, la
partie
antérieure de la calolle prolubéranlielle et .
peu à peu en dehors et en arrière et se termine finalemenl dans la
partie
postérieure et inférieure du noyau externe de l
0, 401, 403, 416 à 452), d'où procède le ruban de Reil, occupent la
partie
inférieure ou fermée du bulbe et s'étendent des c
orme et juxta-restiforme, les fibres arciformes interréticulées, la
partie
supérieure de l'entre- croisement piniforme et
ovenant des noyaux des cordons postérieurs et s'entre-croisant à la
partie
postérieure du raphé au niveau du bord supérieur
II, fibres radi- culaires de l'hypoglosse. de Rolando (SgR), à la
partie
postérieure de la formation réticulée (SR) et à
ert) adhère dans toute sa hau- tour à la formation réticulée; de sa
partie
postérieure et externe se détache un petit noya
origine le l'important système des fibres arciformes internes de la
partie
inférieure lu bulbe, ou fibres arciformes inler
arciformes inlernetictclées (fir). Ces dernières se détachent de la
partie
antérieure des noyaux de Goll et de Burdach sous
(Fig. 404), et en liauteur,del'entre-croise- ment pyramidal à la
partie
moyenne de l'olive bulbaire. Sa partie inféri
ise- ment pyramidal à la partie moyenne de l'olive bulbaire. Sa
partie
inférieure, large et épaisse, se fusionne si
élogénétique ou par celle des dégéné- rescences secondaires. Sa
partie
supérieure, mince et effilée, occupe dans les r
les ré- gions inférieures et moyen- nes de l'olive bulbaire la
partie
moyenne (coupes H13 àH1 ? 1 ij. u02,400 et 4H
pes H13 àH1 ? 1 ij. u02,400 et 4H à 446, p. 677 il 680) puis la
partie
postérieure du ra- pliC(coupesHl2 etH13, Fig.
cent en arrière de la pyramide antérieure, entre cette dernière, la
partie
fondamentale du cordon antérieur et le noyau ju
he ruba- liée et ses deux seg- ments Kuban de Iteil médian.
partie
antérieure, inter-olivaire de la formation blanch
traversée et cloi- sonnée par les nombreuses fibres arciformes des
parties
moyenne et supé- rieure du bulbe, fibres qui ap
sous celui de lemniscus. L'olive protubérantielle la divise en deux
parties
inégales : l'une, volumineuse et interne, qui c
e centrale du vermis au-dessus des noyaux du toit et sectionnant la
partie
moyenne de l'étage antérieur de la protubérance
s lemniscus profond ou des fibres aberrantes protubérantielles, les
parties
interne, moyenne ou externe du ruban de Reil mé
revêt la forme d'une corne d'abondance, dont le pavillon coiffe la
partie
externe du noyau rouge (NR) et se fusionne avec
uadrijumeau poslérieur (BrQp), le corps genouillé interne (Cgi), la
partie
postérieure du pied du pédoncule cérébral (P) e
dian (Ilg lim, Fig. 47, p. 69). Le ruban de Reil se termine dans la
partie
posté- rieure et inférieure du noyau externe du
p. 204). Faisceau longitudinal postérieur (Flp). S".\O : '\YJIlE :
partie
posté- rieure des cordons antérieurs de Gratiol
al de Schiitz.) Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) occupe la
partie
postéro- interne de la formation réticulée ; il
N INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 581 cérébral, la protubérance et la
partie
supérieure du bulbe, grâce à l'intense colorati
térieur apparaît comme un faisceau mince et aplati, appliqué sur la
partie
supéro-internc de la capsule du noyau rouge; sa
liqué sur la partie supéro-internc de la capsule du noyau rouge; sa
partie
supérieure et externe comprend sur les coupes h
ux antérieurs, le faisceau longitudinal postérieur est croisé et en
partie
dis- socié par les libres radiculaires de la II
pes n° 9 x à n° 11 x, T. ICI' Fig. 33 ti 326, p. 631 à 657). A la
partie
inférieure des noyaux de la IIIe paire (coupe n°
de section du faisceau longitudinal postérieur change de forme. Sa
partie
interne s'épaissit, sa parlie externe se creuse
nné avec les fibres de la formation réticulée blanche. Il occupe la
partie
postérieure de cette formation, et quoique ses li
ivre les fibres les plus postérieures de ce faisceau jusque dans la
partie
postérieure des cordons antérieurs do la moelle d
faisceau central de la calotte est le moins bien délimité; dans la
partie
supérieure ou pédonculaire de son trajet, il se
econdaires permet toutefois d'af- firmer qu'il concourt à former la
partie
postérieure de la capsule du noyau rouge et qu'
en avant du faisceau longitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille
partie
, chap. IV). Le faisceau central de la calotte (
5, 6H, Fig. à il 129, p. 628 à ti38), il s'adosse et se fusionne en
partie
avec le ruban de Reil médian se place en dedans d
CÉPHALE. 585 Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe donc la
partie
centrale de la calotte protubérantielle, et s'é
du vermis aux hémi- sphères. Les coupes horizontales montrent les
parties
constituantes des diffé- rents segments du tron
verticule angulaire dans le cervelet et elle est constituée dans sa
partie
supérieure par le cervelet, dans sa partie infé
e est constituée dans sa partie supérieure par le cervelet, dans sa
partie
inférieure, par la toile choroïdienne (Tch) et le
quatrième ventricule, et dont la face inférieure est tapissée à sa
partie
antérieure par l'épendyme du toit du quatrième
bv), remarquable par son épaisseur et sa brièveté, se détache de la
partie
supérieure du noyau blanc central et se porte obl
pissent les deux lèvres de ce profond sillon. Elle se détache de la
partie
postérieure du noyau blanc central, se porte ho
lc', Spic", substance grise centrale du tronc encéphalique et de la
partie
supérieure de la moelle. - spo, sillon postcent
u'un des lobules du monticule. L'axe de la lingula se détache de la
partie
antéro-supérieure du noyau blanc central, et pr
les superficiels de la luelte, concourant ainsi à former une grande
partie
du vermis inférieur. L'axe du nodule est le plu
euse de la face supérieure du nodule est recouverte dans une petite
partie
de son étendue, par l'épendyme ventriculaire qu
ERVEUX. longitudinal médian et du raphé. En bas, au voisinage de la
partie
inférieure, fermée du bulbe, elle s'épaissit, p
tubé- rantiel (tb), sépare complètement l'ÉTAGE antérieur en deux
parties
; la partie supérieure ou prolubé- ranlielle,
l (tb), sépare complètement l'ÉTAGE antérieur en deux parties; la
partie
supérieure ou prolubé- ranlielle, très épaisse,
(Narc) qui limile le trou borgne bulbo- protubérantiel (tb). A la
partie
in- férieure de la coupe, en arrière de la py
yngien (IXd), et se continue avec la substance grise centrale de la
partie
fermée du bulbe (Sgc') et de la moelle épinière
e fermée du bulbe (Sgc') et de la moelle épinière (Sgc"). Dans la
partie
postérieure et inférieure du bulbe, on aperçoit l
elleux supérieur (Pcs) et Intéresse, dans le tronc encéphalique, la
partie
fermée de l'olive bulbaire (Oi), le noyau du nerf
inuent déjà directement avec celles du tubercule valvulaire. A la
partie
antérieure et inférieure du vermis, on trouve l'a
iculée (SR). Le ruban de Reil médian (Rm) n'est intéressé que dans la
partie
pro- tubérantielle de son trajet et se place im
le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe (Nw). Dans la
partie
inférieure, fermée du bulbe, la formation réticul
nte [du 1W'f glosso-plta1'yn- gien (IXd). L'amas gris allongé de la
partie
inférieure de la coupe, compris entre le cordon
OPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 597 FIG. 411. - L'arbre de v ie des
parties
latérales du vermis, la face externe du noyau d
La coupe S 3 passe par lesparties latérales du vermis, sectionne la
partie
externe du noyau du toit (Nt), la valvule de Ta
anche horizontale de l'arbre de vie du vermis. Ils appartiennent à la
partie
externe du noyau du toit (Nt), plus accidentée
u toit (Nt), plus accidentée et moins nettement circonscrite que la
partie
interne. Des parties supérieure et postérieure
dentée et moins nettement circonscrite que la partie interne. Des
parties
supérieure et postérieure de la substance blanche
nce lamelle qui tapisse le sillon post-nodulaire et correspond à la
partie
postéro-externe de ce lobule; la substance blan
lamelles cérébelleuses, courtes, sessiles et peu saillantes. Les
parties
hémisphériques sont représentées dans cette coupe
, fortement colorées par la laque hématoxylinique, l'entoure; de la
partie
supé- rieure se détache le faisceau central de
UX. COUPES INTÉRESSANT LA RÉGION DE TRANSITION DU CERVELET ET LES
PARTIES
LATÉRALES DU TRONC ENCÉPHALIQUE (Coupes S4 et S
7, Fig. 414 et 415) qui fait suite à la ligne d'implantation de la
partie
hémisphérique du lobe du culmen (lobe quadri- l
région de transition, l'axe commun au tubercule valvulaire et à la
partie
postérieure du lobe grêle, de l'axe commun à la p
ion dans le cervelet, la valvule de Tarin, le nid d'hirondelle. - Les
parties
latérales du tronc encéphalique. Coupe sagittal
une branche richement ramifiée, destinée au lobe postérieur et à la
partie
postérieure du lobe supérieur du cer- velet ; e
es fibres semi-circulaires externes (fsme) du cervelet et recouvre la
partie
posté- rieure du pédoncule cérébelleux supérieu
' étage antérieur du tronc encéphalique n'est représenté que par sa
partie
protubérantielle. Les fibres dela couche superf
mas gris irrégulier, riche en fibres à myéline et qui représente la
partie
supérieure du noyau de Deiters, désignée encore s
Bechterew (NB). Les courts fascicules transversaux qui traversent la
partie
inférieure de la calotte protubérantielle appar
NTRES NERVEUX. qui la bordent en arrière et en bas appartiennent en
partie
à la grosse racine sensi z live descendante du
i- vaires qui se détachent du corps restiforme; le noyau gris de la
partie
inférieure de la coupe est le noyau de Monakow
partie inférieure de la coupe est le noyau de Monakow situé dans la
partie
supérieure des cordons postérieurs, aux confins
ieurs, aux confins du corps restiforme. La coupe intéresse enfin la
partie
externe de l'olive bulbaire (Oi), entourée d'une
413). Cette coupe est intéressante parce qu'elle sectionne dans une
partie
de son trajet la grosse racine sensitive descenda
qui aborde en haut un petit amas de substance grise représentant la
partie
supérieure de la substance gélatineuse de Rolan
e est sectionné aux confins du pédoncule cérébelleux moyen. Dans la
partie
supérieure de la coupe, on trouve encore quelqu
s (fsme) du cervelet. Ces coupes intéressent en effet le hile et la
partie
interne de l'olive cérébelleuse et appartiennen
(Nem) ; elle sectionne le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci), la
partie
externe de la valvule de Tarin (VT) et le diver
.). La coupe S 7 (Fig. li.15) située en dehors d'elle, passe par la
partie
interne de l'olive cérébelleuse (Oc), en dehors
ncule cérébelleux moyen (Pcm), les lamelles du flocculus (Floc), la
partie
antérieure du diverticule latéral du quatrième
pe S 5 (Fig. il 3) par un court et large monticule, a disparu et la
partie
hémisphérique 608 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
euls certaines particularités. Le lobe semi-lunaire inférieur et la
partie
postérieure du lobe grêle, s'implantent sur la
férieur et la partie postérieure du lobe grêle, s'implantent sur la
partie
postérieure de la substance blanche centrale pa
re des coupes plus externes (coupes S6 et S 7, Fig. 414 et 415). La
partie
antérieure du lobe grêle est encore sur la coupe
é- rieure et antérieure, est dépourvu d'écorce cérébelleuse dans la
partie
supé- rieure de sa face antérieure, et loge dan
ston de l'olive cérébelleuse, et son bord postérieur est relié à la
partie
postéro-interne de l'olive cérébelleuse par un mi
encore représentée sur cette coupe par un petit méandre situé à la
partie
antérieure du nid d'hiron- delle, au-dessus de
épendants et allongés dans le sens sagittal. Les den- telures de la
partie
postéro-inférieure de l'olive cérébelleuse sont e
. Le tronc encéphalique n'est intéressé sur ces coupes que dans ses
parties
externes, à sa limite avec le pédoncule cérébel
lanche centrale des hémisphères augmente de volume, surtout dans sa
partie
inférieure et affecte la forme assez régulière d'
id d'hÏ1'ondellle a complètement disparu et on trouve à sa place la
partie
inférieure de la substance blanche centrale, cons
essent le nerf pathétique (IV) à son émergence, ou section- nent la
partie
supérieure de la valvule de Vieussens (VV). Toute
et atteignent sur la ligne médiane un niveau plus élevé que sur les
parties
latérales, ces fibres protubérantielles ne se t
es, ces fibres protubérantielles ne se trouvent intéressées qu'à la
partie
interne de la coupe, la partie externe sectionn
s ne se trouvent intéressées qu'à la partie interne de la coupe, la
partie
externe sectionnant le pied du pédoncule au- de
(PLp) est très développé et forme un faisceau compact qui occupe la
partie
externe du pied et s'adosse au ruban de Reil mé
l'aqueduc de Sylvius (SgAq). Un petit nombre (xsPcs) se détache des
parties
antérieure et interne d'un des pédoncules cérébel
supérieur du côté opposé. Ce petit entre-croisement n'existe qu'a la
partie
supé- rieure et postérieure du pédoncule cérébe
avant au locus niger (Ln), au pes lemniscus profond (PLp), et à la
partie
externe de la voie pédonculaire (VP), et se fusio
uées de 10 en 10 coupes au-dessous de la précédente, intéressent la
partie
supérieure de la valvule de Vieussens et les prem
ce grise qui appartient déjà aux noyaux pontiques, et renforcent en
partie
le pes lemniscus profond (PLp) qui atteint, sur c
e pédonculaire. La dissociation de la voie pédonculaire commence sa
partie
interne et pro- fonde et s'effectue par les fib
ion des pédoncules céré- belleux supérieurs (xiPcs) n'occupe que la
partie
antérieure du raphé et les deux pédoncules form
étranglement voisin du sillon latéral de l'isthme le divise en deux
parties
: l'une interne, antérieure et volumineuse, le
au voisinage de la valvule de Vieussens (VV). (Coupes P2 et P3). La
partie
anté- rieure du ruban de Reil latéral (RI) est
ce en dedans. COUPES INTÉRESSANT LA RÉGION PROTUBÉRANTIELLE ET LA
PARTIE
ADJACENTE DU CERVELET Coupes Hl à H 7, (Fig. 12
nt le liers supérieur de la protubérance et sectionne en arrière la
partie
supérieure de la valvule de Vieussens et l'entr
complètement toute la voie pédonculaire (VP) et se réunissent à sa
partie
externe en formant le pédoncule cérébelleux moy
sversales, les fascicules les plus petits occupant le plus souvent la
partie
pos- térieure et interne du pont. Les fibres
éduit encore à une mince mais dense couche de fibres, qui occupe la
partie
latérale de l'étage antérieur et qui est encore
calotte (SR) ou s'y terminent. Les fibres arquées, qui occupent sa
partie
antérieure sont plus épaisses, plus fortement c
la calotte en avant. On y reconnaît avec facilité, surtout dans sa
partie
interne, les nombreux fascicules arrondis, aber
mbreux fascicules arrondis, aberrants de la voie pédonculaire ; cette
partie
con- tient en outre des amas diffus de substanc
part au refoulement du pédon- cule cérébelleux supérieur (Pcs) à la
partie
postérieure de la calotte. Un grand nombre de f
t particulièrement abondants de chaque côté du raphé, ainsi qu'à la
partie
postérieure et externe du pont en dedans du pédon
supérieurs (Pes) dont la surface de section semi-lunaire occupe la
partie
postéro-externe de la calolle; par le développe
du pédoncule cérébelleux spérieur(Pcs) en arrière, libère toute la
partie
antérieure et moyenne de la calotte occupée par l
- Nef, noyau circonllexe. - Ncs, noyau central supérieur. - Ncs', sa
partie
externe. - NRl, noyau du ruban de Iteil latéral
entoure un petit amas irrégulier de substance grise, qui occupe la
partie
externe du ruban de Reil et constitue le noyau
e (coupe Hl), des amas diffus de substance grise, qui segmentent sa
partie
postérieure en petits champs rectangulaires et
asse par les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et sectionne la
partie
supérieure de la subslance blanche centrale des
vec les fibres semi-circulaires externes (fsme) du cervelet. A la
partie
antéro-externe du pédoncule cérébelleux moyen (Pc
a coupe précédente. De nombreuses fibres arciformes qui dérivent en
partie
des fibres sagittales du raphé, sillonnent ce fai
dans son trajet longitudinal, étendu du tronc du trijumeau (Vs) à la
partie
supérieure de la moelle cervicale. Méthode de W
uent l'élément, nouveau, surajouté de cette coupe. Ils occupent les
parties
latérales de la calotte entre le ruban de Reil
res lon- gitudinales de la formation réticulée (SR). Il reçoit à sa
partie
postérieure et externe la petite racine motrice
e noyau moteur (NVm) du noyau sensitif (NVs). La coupe intéresse la
partie
supérieure du noyau sensitif qui appa- raît com
allongée, située en dehors et en avant du noyau moteur (NVm). A sa
partie
antérieure, il existe une sorte de croissant form
e ; arrivé aux confins de l'angle antéro-externe de la calotte, une
partie
de ses fibres se ter- mine dans le noyau sensit
elle passe au-dessus des noyaux du trijumeau. Elle intéresse sur les
parties
latérales du 4° ventricule la petite racine mot
la coupe H 3 qu'elle sectionne suivant un plan un peu oblique : la
partie
antérieure de la coupe H 4 passant au-dessus du
passant au-dessus du plan de la coupe H3 (Fig. 425), tandis que sa
partie
posté- rieure sectionne des régions plus inféri
tif situés dans la calotte. On reconnaît sur cette coupe toutes les
parties
constituantes de la coupe précédente : l'étage
sse irrégulière contenant un dense feutrage de fibres à myéline; sa
partie
antérieure est occupée par la surface de sectio
de la grosse racine descendante sensitive du triju- meau (Vsd); sa
partie
postérieure reçoit un petit fascicule de fibres q
eur (Flp), longer le plancher du 4e ventricule (V,,), puis aborder la
partie
postéro-interne du noyau sensitif du trijumeau
bres constituaient pour Meynert une des origines du trijumeau : une
partie
provenait du locus cændeus du côté opposé, une
u : une partie provenait du locus cændeus du côté opposé, une autre
partie
faisait suite aux fibres sagittales du raphé, p
par le pédon- cule cérébelleux moyen (Pcm) et qui contient, dans sa
partie
antérieure surtout, de nombreuses fibres sectio
et 609). Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) forme la plus grande
partie
de la substance blanche centrale des hémisphère
ie de la substance blanche centrale des hémisphères cérébelleux; sa
partie
interne, adossée au pédoncule cérébelleux infér
p), moyennes (FPom) et superficielles (FPoa) de la protubérance. La
partie
externe du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) es
en (Pcm) est formée de fibres entre-croisées dans tous les sens; sa
partie
posté- rieure contient les gros fascicules isol
iculée (SR) est pauvre en fibres et présente, dans cette région, la
partie
supérieure de la colonne d'origine du nerf faci
un noyau irrégulier, la subslance gélatineuse de Rolando (SgR); sa
partie
externe est traversée par les dernières fibres ra
vermis en formant l'entre-croisement des noyaux du toit (xNt). A la
partie
postéro-externe de la substance blanche centrale
ibres radiculaires décrivent de légères courbes, se détachent de la
partie
interne du noyau, puis traversent d'arrière en av
iaire (tic) et extra-ciliaire (fec). La coupe sectionne en effet la
partie
supérieure de l'olive et ce n'est que sur un plan
e l'olive et ce n'est que sur un plan plus inférieur passant sur la
partie
inférieure du hile de l'olive, que les extrémités
mbre de fibres cou- pées en travers que contient sur cette coupe la
partie
antérieure de ce faisceau. FiG. 429. - La régio
uées au voisinage et au-dessous du sillon bulbo-protubérantiel. Une
partie
des fibres semi-circulaires internes (fsmi) s'épu
l'esti{01'me connue sous le nom de noyau de Deiters (ND); une autre
partie
parcourt toute la hauteur du bulbe et descend jus
rf moteur oculaire externe (Vle paire). La coupe ne comprend que la
partie
antérieure du rhombencéphale; le plan de sectio
ricule; sur cette coupe elles ne peuvent être suivies au delà de la
partie
externe du noyau de la VIe paire (Nvi). Les fib
p. 635) intéresse le segment horizontal (VIIj), le plus élevé et la
partie
supérieure du genou (Vils) au point où il se cont
on avec le genou; la coupe H 8 (Fig. 438, p. 657), qui sectionne la
partie
inférieure du noyau du facial (NVII), intéresse s
(Nvi) est volumineux et ovalaire sur la coupe H 7 (Fig. 430); de sa
partie
interne se détachent les fibres radiculaires de
de Reil médian (Rm) et en dehors du faisceau pyramidal (Py). A la
partie
externe de la calotte, en dehors du noyau du faci
tif (VIIIv). Ces fibres aboutissent au noyau de Deiters; la majeure
partie
se coude, descend dans le bulbe, entre dans la
avant les recherches pratiquées par la méthode de Golgi). Une autre
partie
des fibres du nerf vestibulaire se termine dans l
la substance grise de l'angle latéral du 4e ventricule; une petite
partie
enfin se coude, à angle droit, se porte en arri
cervelet. Le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci) s'est porté à la
partie
externe de la calotte; il est sectionné à sa so
HIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 645 l'olive cérébelleuse, sectionnant la
partie
moyenne de la protubérance au niveau des noyaux
avant pour former le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci), dont la
partie
antérieure contient déjà un très grand nombre de
en deux groupes : l'un, externe (fsme), qui traverse la plus grande
partie
de la substance blanche centrale des hémisphère
res radiculaires du facial (VIIt) et du moteur oculaire externe; sa
partie
antérieure passe à peu près au même niveau que
eu près au même niveau que la coupe H 6 (Fig.'42 *9), tandis que sa
partie
cérébelleuse correspond à la coupe H 5 (Fig.lW8
w' par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV). Les lamelles de la
partie
postérieure du vermis appartiennent au déclive
ier autour du 4° ventricule comme sur la coupe C 1 (Fig.432) ; leur
partie
vermienne parait s'infléchir en a\ant et deveni
elle était; en réalité elle se modifie peu, reste fixe, et c'est la
partie
adjacente des libres semi-circu- laires externe
a forme pyramidale caractéristique; à gauche, il est sectionné à sa
partie
inférieure, à son point de fusion avec le globu
al, le sillon latéml du quatrième ventricule, les subdivise en deux
parties
, dont la postérieure appar- tient à la face ven
commissural (Eca). Coupe C 5 (Fig. 136). - Cette coupe passe par la
partie
inférieure de la protubérance, au voisinage du
t gauche. La substance blanche centrale du vermis, intéressée il sa
partie
postérieure, au voisinage de l'extrémité antérieu
ontale C 6 du rhombencéphale sec- tionnant le bourgeon terminal, la
partie
supérieure de la pyramide du vermis, les amygda
érieure de la pyramide du vermis, les amygdales, le flocculus et la
partie
supérieurè du bulbe rachidien et passant par la
en et de la substance blanche centrale du vermis. Elle intéresse la
partie
supérieure du bulbe rachidien, le diverticule l
en arrière de l'olive cérébelleuse (Oc), s'implantent les axes de la
partie
posté- rieure, volumineuse, du lobe semi-lunair
té- rieure, volumineuse, du lobe semi-lunaire inférieur; quant à la
partie
moyenne de la face postérieure de la substance
stance blanche centrale des hémisphères céré- belleux. A gauche, la
partie
postérieure du nid d'hirondelle est limitée comme
nce grise en connexion avec l'écorce de la luette et qui tapisse la
partie
interne du feutrage intra-ciliaire (fic); en de
res trans- versales du pont et l'affleurement de la calotte sur les
parties
latérales du bulbe; 2° par la fusion de la calo
erne du bulbe. Les coupes H 8 à H 13 (Fig. 438 à H3) sectionnent la
partie
supé- rieure du bulbe, c'est-à-dire la partie q
à H3) sectionnent la partie supé- rieure du bulbe, c'est-à-dire la
partie
qui concourt à former le plancher du quatrième
tuhérantiel. Les coupes H 14 à H 23 (Fig. 444 à 453) intéressent la
partie
infé- rieure, fermée, du bulbe, affectent une s
u-dessus des diverticules latéraux du quatrième ventricule et de la
partie
supérieure des pyramides antérieures du bulbe,
le trou borgne inférieur ou bulbo- protubérantiel (tb), et sur les
parties
latérales le sillon bulbo-protubéranliel (bp),
par le nerf vestibulaire (VIIIv) dont les fibres pénètrent dans les
parties
latérales du bulbe, passent entre le pédoncule cé
racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd), pour se rendre, en
partie
dans le corps juxta-restiforme (Cj) et le noyau d
partie dans le corps juxta-restiforme (Cj) et le noyau de Deiters, en
partie
dans un noyau triangulaire, le noyau triangulai
tibulaire; noyau postérieur de l'acoustique, (NVIIIV) situé sur les
parties
latérales du plancher du quatrième ventricule,
perd en largeur. Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe la
partie
externe de l'olive infé- rieure ou bulbaire (Oi
eaucoup plus épaisse et dense que sur la coupe H 7 (Fig. 430). La
partie
exlerne de la formation réticulée (SR) contient d
sitive du trijumeau (Vsd), le noyau du facial (Nvn) intéressé à sa
partie
infé- rieure ; les fibres radiculaires (VII), q
uvent être suivies jusqu'au plancher du quatrième ventricule. Cette
partie
du trajet du facial est nettement visible sur la
eil latéral et par quelques fibres du ruban de Reil médian. Dans la
partie
fermée du bulbe, reçoit le faisceau cérébelleux
La grosse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) occupe la
partie
externe de la calotte, et conserve dans le bulb
du quatrième ventricule, on trouve le corps juxta-resliforme (Cj); sa
partie
interne est riche en fibres longitudinales dens
ta-restiforme et constitue le noyau de Deiters (ND) est refoulée à la
partie
externe de ce corps et s'adosse au corps restif
niers s'infléchissent en dedans, se détachent en grand nombre de sa
partie
antérieure etconcourent former les fibres arcifor
ent du corps restiforme partent, comme le montre cette coupe, de la
partie
antérieure de ce volumineux faisceau. Elles pas
r a valu le nom de fibres arciformes pnélrigé- minales (fpt). Les
parties
moyenne et dorsale de la calotte sont traversées
gris de la formation réticulée (SR). Les dorsales (fad) occupent la
partie
postérieure de la calotte, tra- versent le fais
PH1QUE DU RHOMBENCÉPHALE. 661 gauche de la coupe n'intéresse que la
partie
supérieure de ce noyau (NVIIIc) qui sert de noy
s du pédoncule du flocculus (PFloc) et qui paraît subdivisé en deux
parties
par le tronc du nerf cochléaire (Ville). En réali
rties par le tronc du nerf cochléaire (Ville). En réalité, ces deux
parties
ne forment qu'une masse unique qui entoure d'une
n épendymaire divise la cavité du quatrième ventricule (V.J en deux
parties
: l'une interne, fermée par les plexus choroïdes
ure du diverticule latéral du quatrième ventricule (ri V J Ces deux
parties
paraissent t distinctes sur cette coupe; elles
strie acoustique. Coupe H 9 (Fig. /39). - Cette coupe intéresse la
partie
supérieure du bulbe au niveau des diverticules
uable : par le développement de l'olive bulbaire (Oi) qui occupe la
partie
antérieure de la calotte; le nombre et le volum
fecte avec l'olive bul- baire (Oi) permettent de la diviser en deux
parties
: l'une antérieure ou interoli- vaire, la couch
raux de la moelle; que la couche inte1'J'éticlllée con- tient, à sa
partie
postérieure, les fibres descendantes et ascendant
ongent dans le cordon antérieur de la moelle ou qui en dérivent; la
partie
antérieure de la couche inle1'1'éticlllée con-
eau du raphé et proviennent du corps juxta- resliforme (Cj), de^ la
partie
adjacente du corps restiforme (Crst) et du noyau
moyennes. Les fibres arciformes qui, sur cette coupe, traversent la
partie
postérieure de la couche interolitaire (SRa,cio
ers ce corps, par- courent en fascicules onduleux et enchevêtrés la
partie
périphérique de la /'or- ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU
t). Elles se réunissent ensuite en épais fascicules qui abordent la
partie
antéro-interne du corps resti- forme (Crst) et
ou les fibres sagittales du raphé. L'olive bulbaire (Oi) occupe la
partie
antérieure de la calotte bulbaire; elle est sit
ment épais, entoure l'olive d'une véritable capsule, renforcée à sa
partie
postérieure et externe par le faisceau central
ouche inierolivaire de la formation réticulée blanche (SRa(cio). La
partie
antéro-interne du faisceau pyramidal (Py) est rec
aisceau pyramidal (Py) est recouverte par le noyau arqué (Narc), sa
partie
antéro-externe par les fibres arciformes péri-
lonné par des fibres horizontales plus ou moins onduleuses dont une
partie
au moins appartient aux fibres arciformes pré-o
trie anormale, on trouve sur la coupe H9, la surface de section de la
partie
inférieure de la strie acoustiques (stac) de la
estibulaire est limité par le corps juxta-1'estifornte (Cj) dont la
partie
interne (fcv) contient des fascicules moins serré
les moins serrés et moins nombreux que sur la coupe précédente. Une
partie
des fibres descendantes de la racine de Roller
tance grise du noyau de Deiters (ND), particulièrement abondante à la
partie
externe du corps juxta-restiforme (Cj) au voisi
diculaires du nerf glosso-pha- ryngien ou de la IX° paire, dont une
partie
se coude en avant de la racine des- cendante de
Coupes H 10, Hll, H 12, H 13, H14, Fig. 440 à 444), où il occupe la
partie
antéro-interne du corps juxta- restiforme. La
uatrième ventricule et du tubercule acoustique; elle inté- resse la
partie
moyenne des olives (Oi) et les fibres radiculaire
avité du quatrième ventricule, le corps juxta-restiforme (Cj) et la
partie
adjacente de la substance grise centrale occu-
riphérie du bulbe. Çoupe H 11 (Fig. 441). -Celte coupe passe par la
partie
moyenne des olives (Oi) et sectionne la partie
e coupe passe par la partie moyenne des olives (Oi) et sectionne la
partie
supérieure du noyau de l'hypoglosse (Nxu), le n
nerf vague ou pneumogastrique (X). Le diamètre transversal de la
partie
postérieure du bulbe s'est encore réduit; la sa
(coupes H 11, H 12, H 13, Fig. 441 à 413). Il n'appartient qu'à la
partie
supérieure et moyenne de l'olive, atteint rarem
teinte visible sur les coupes H9 et H 10 (Fig. 439 et 440) dans la
partie
moyenne, sous-jacente au noyau cen- f-al inféri
nférieur. Le noyau du raphé (Nr) a presque complètement disparu, la
partie
postérieure de la formation réticulée blanche e
formation réticulée grise (SRg) est plus abondante en fibres dans sa
partie
moyenne; à sa partie externe, en dedans de la s
ise (SRg) est plus abondante en fibres dans sa partie moyenne; à sa
partie
externe, en dedans de la substance gélatineuse de
st situé par conséquent entre le noyau de l'hypoglosse (Nxii) et la
partie
inférieure du noyau du nerf vestibulaire (Nviiiv)
e (Nviiiv) en arrière et en dedans du faisceau solitaire (Fs). La
partie
interne du plancher du quatrième ventricule conti
, Fig. 440 et 439). Coupe H 12 (Fig. 442). Cette coupe intéresse la
partie
inférieure du corps restiforme (Crst), le noyau
s encore à la translation d'un certain nombre de ses fibres sur les
parties
latérales du bulbe. Ces fibres se détachent de l'
cules de fibres ont, en grande partie, disparu ou n'existent qu'à la
partie
interne de cette formation, le long de la subst
tiforme et contient un dense feutrage de fibres qui occupe toute la
partie
interne du corps resti- forme et dans laquelle
ulbaire moyenne. L'olive bulbaire et les noyaux juxta-olivaires. La
partie
inférieure du corps restiforme, les noyaux du cor
dans les noyaux du corps restiforme (ou en proviennent) et dans une
partie
des noyaux des cordons postérieurs qui leur son
t au spinal (XIe paire) celles qui passent en avant d'elle. Dans la
partie
antérieure de la formation réticulée grise (SRg),
fibres arci- formes cérébello-olivaires (fcb) qui s'y terminent en
partie
. Sur le plancher du quatrième ventricule, on tr
entricule, et intéresse le trou de Magendie (TM). Elle sectionne la
partie
inférieure de l'olive bulbaire (Oi), la partie su
). Elle sectionne la partie inférieure de l'olive bulbaire (Oi), la
partie
supérieure des noyaux des cordons postérieurs (
perpendiculairement à leur direction, qui se concentre surtout à sa
partie
postéro-externe dans la région adjacente il la
te du trijumeau et qui apparlient aux cordons postérieurs (Cp). Les
parties
externe et anlérieure de ces fibres peuvent êtr
térieurs (NCp), traversent en fascicules onduleux et enchevêtrés la
partie
postérieure des formations réticulées grise (SRg)
(SRg) et blanche (SRa), et s'entre-croisent en gros fascicules à la
partie
postérieure du raphé. Cet entre- croisement, qu
s régions olivaires inférieures et sous-olivaires. Il représente la
partie
supérieure de Y entre-croisement sensitif ou pi
ons postérieurs. Coupe H 14 (Fig. 44t.). - Cette coupe intéresse la
partie
inférieure, 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
izis (VAr). Elle passe par le tiers inférieur de l'olive (Oi) et la
partie
supérieure des noyaux des cordons postérieurs (
e interne (\oi) s'est en effet reporté en avant et s'est coudé, une
partie
s'adossant il la couche inler-olivaire (SRa), l
s est relative- ment faible. Ces fibres, qui n'existent que dans la
partie
antérieure de la forma- tion réticulée grise (S
iforme jusque dans le hile de l'olive du côté opposé, soit dans une
partie
seulement de leur trajet. Les coupes qui sectio
une partie seulement de leur trajet. Les coupes qui sectionnent la
partie
inférieure du bulbe peuvent donc n'intéresser q
ent la partie inférieure du bulbe peuvent donc n'intéresser que les
parties
antérieure et inférieure de leur courbe, et l'on
aux des cordons postérieurs (Ncp). Elles s'en- tre-croisent dans la
partie
postérieure du raphé, en arrière des fibres céréb
s fibres ascendantes du ruban de Reil médian, c'est-à-dire avec une
partie
des fibres de la couche inter-olivaire. Au sur et
H 17, Fig. 447). Coupe H 15 (Fig. i 15. - Cette coupe intéresse la
partie
fermée du bulbe et passe par l'extrémité inféri
té- rieure de la pyramide. Le noyau arqué (Narc), qui occupait à la
partie
supérieure du bulbe la face interne des pyramid
ello-olivaire, qui traversent le noyau juxta-olivaire interne et la
partie
antérieure de la couche inte2-olivaii-e. La for
iffère peu de celle de la coupe précédente. Elle est traversée à sa
partie
interne par les fibres radiculaires du nerf hypog
nterne par les fibres radiculaires du nerf hypoglosse (XII) et à sa
partie
moyenne par les fibres radiculaires de la portion
utrage de fines fibres à myéline qui se con- centrent sur certaines
parties
des noyaux, entourant des îlots ou des cylindres
au noyau de Burdach, mais encore, quoique moins accentuée, dans la
partie
interne, c'est-à-dire dans le noyau de Goll. On
osition fait complètement défaut dans les amas gris qui occupent la
partie
externe des cordons postérieurs, et qui d'aspec
de Burdach par quelques travées grises, sont connus sous le nom de
partie
externe du noyau de Burdach, de noyau de. Monak
bres arciformes interréticulées et l'entre-croisement piniforme. - La
partie
infé- rieure de l'oli, e bulbai L'e et le noyau
lance gélatineuse de Rolando (SgR) et dont les autres traversent la
partie
moyenne de la formation réticulée grise (SRg).
de fibres, elle intéresse le noyau juxta-olivaire inlerne (Noi), la
partie
moyenne de l'entre- croisement sensitif ou pini
couche inter-olivaire et du ruban de Reil médian. Les fibres de la
partie
antérieure de la formation réticulée blanche (SRa
s, et participent à l'entre- croisement piniforme. Les fibres de la
partie
postérieure de la formation réticulée blanche (
SRg) a changé d'aspect : les trabécules gris se concentrent dans la
partie
interne, qui se trouve ainsi plus riche en substa
tre-croise- ment des pyramides antérieures du bulbe et intéresse la
partie
inférieure de l'entre-croisement piniforme. L
du sillon médian antérieur, très rapprochés l'un de l'autre. De sa
partie
postéro- externe se détachent seules des fibres
fir) qui entourent la substance grise centrale et n'occupent que la
partie
adjacente de la formation réticulée grise (SRg)
acée en arrière, s'en- fonçant avec le sillon médian antérieur; une
partie
de ses fibres commence déjà iL s'infléchir, mai
Rolando de la périphérie du bulbe, et que ce tubercule comprend une
partie
périphérique claire, riche en névroglie, la subsl
e en névroglie, la subslance gélllti- neuse proprement dite, et une
partie
profonde parcourue par un dense et fin feutrage
19 et H20 (Fig. 419 et ? 0). - Les coupes H19 et H20 passent par la
partie
supérieure de l'entre-croisement pyramidal ou ent
ée par des fibres longitudinales. Nous n'avons pas à revenir sur la
partie
postérieure de la substance grise, sur les noyaux
x de Goll (NG) et de Burdach (NB) et la corne postérieure (Cop). La
partie
ansé- rieure permet de reconnaître la corne ant
XI) sont intéressées sur les coupes H19 et H20, elles traversent la
partie
postérieure de la corne latérale (Col) en avant d
2, 453). - Ces coupes passent par le collet du bulbe, au niveau des
parties
moyenne et inférieure de Y entre-croisement pyr
leur entre-croisement comme la coupe H20 (Fig. 450), mais encore la
partie
croisée de ces faisceaux (FPyc); on les voit se
ceaux (FPyc); on les voit se porter en dehors et en arrière dans la
partie
externe de la formation réticulée, puis occuper l
2) passe entre deux fascicules entre-croisés et l'on Fig. 431. - La
partie
inférieure de l'entre-croisement moteur et la rég
à gauche, des travées grises relier la corne antérieure (Coa) à la
partie
antérieure de la substance grise centrale; ces tr
ogliques plus abondantes qui les cloisonnent encore à ce niveau. La
partie
droite de la coupe ne contient en effet, que qu
fascicules onduleux la base d'insertion delà corne antérieure et la
partie
moyenne du cordon latéral (CI). Il ne faut pas,
de la racine postérieure de la première paire cervicale (CI). La
partie
gauche de la coupe H23 (Fig. 453) présente un asp
oins compacts et d'origines très diverses (Voy. Moelle épinière, Il
partie
). CHAPITRE IV STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBEN
des nids péri-cellu- laires. - np, nid péri-cellulaire constitué en
partie
par les arborisations cylindre-axiles d'une cel
cylindre-axiles d'une cellule étoilée de la couche moléculaire, en
partie
par les arborisations cylindre-axile ou collaté
ongement central ou cylindre-axile qui se détache de la base ou des
parties
latérales du corps cellulaire, traverse la couc
e développe lente- ment, elle atteint à peine chez le nouveau-né la
partie
moyenne de la couche moléculaire; elle se trouv
se divisent une ou deux fois dichotomiquement, puis s'arborisent en
partie
dans la couche interne, en partie dans les régi
tomiquement, puis s'arborisent en partie dans la couche interne, en
partie
dans les régions inférieures de la couche molé-
ze lIen, Korbzellende v. 1\01- liker) siègent de préférence dans la
partie
profonde de la zone molécu- laire, mesurent 10
hui9), comme les cellules de Purkinje. Les dendrites naissent de la
partie
supérieure de la cellule et atteignent en se rami
se trouve par conséquent sectionné suivant sa longueur. Il longe la
partie
supérieure des corps des cellules de Purkinje,
empanachées de Cajal (ce, Fig. 456), dont les corps siègent dans la
partie
supérieure de la couche STRUCTURE ET TEXTURE DU
nent en parlie aux fibres parallèles de Cajal, comme les fibres des
parties
internes de la couche moléculaire. La couche
adiées de la couche moléculaire qui se coudent en l'abordant. De sa
partie
inférieure se détachent de nombreuses fibres à my
ffilent dans la région des cellules de Purkinje et se prolongent en
partie
dans la couche moléculaire. D'après c-- U -
es des lamelles avoisinantes, s'enchevêtrent avec elles, forment la
partie
centrale des ramuscules. rameaux et branches pr
é- rablement en avant et en dehors des olives cérébelleuses dans la
partie
antéro-exlerne des hémisphères. C'est dans cell
s ou en faisceaux - relient les faces supérieure et inférieure, les
parties
externe et interne d'un même hémisphère ou les
parties externe et interne d'un même hémisphère ou les différentes
parties
du vermis. L'existence de ces fibres est bien m
ente deux systèmes de libres nettement différenciés, ali- mentés en
partie
par les fibres dendriliques purl;injienncs, en pa
li- mentés en partie par les fibres dendriliques purl;injienncs, en
partie
par L'extrême enche- vêtrement do ses fibre
s et des connexions propres : La toison, plus épaisse au niveau des
parties
antérieure et externe du corps dentelé, se fusi
et qui relient ces organes au corps dentelé. Ces fibres abordent la
partie
anléro-interne du corps dentelé et pénètrent le
lleux supérieur; ces deux formations, intimement fusionnées dans la
partie
inférieure de l'olive cérébelleuse, sont faciles
stinguer l'une de l'autre sur toutes les coupes qui intéressent les
parties
moyenne et supé- rieure du corps dentelé, grâce
orps dentelé ou qui s'y terminent. Il est sillonné en outre dans la
partie
moyenne de l'olive cérébelleuse par des fibres ar
t la face externe, le bord supérieur, l'extrémilé postérieure el la
partie
supé- rieure de la face interne du corps dentel
436, p. 644. à 051). La pluparl de ces fibres s'enlre-croisent à la
partie
anlérieure du vermis : 1° dans toute la hauteur
substance blanche centrale du vermis (Fig. 465, p. 720). Une petite
partie
des fibres se porte directement en dedans et en a
des libres cesse sur les coupes plus inférieures qui intéressent la
partie
supérieure du corps dentelé et le bouchon (Nem).
emi-circulaires externes, iL la manière dont elles s'étalent sur la
partie
supérieure du noyau dentelé, à la courbe à concav
croise- ment commissural (Eca). Sur les coupes qui intéressent la
partie
moyenne de l'olive cérébelleuse (coupe C5,Fig.
SOUS-OPTIQUE TABLE DES .MATIÈRES. TABLE DES MATIÈRES. TROISIÈME
PARTIE
RHOMBENCÉPHALE CHAPITRE PREMIER MORPHOLOGIE
.E. Logé dans la cavité osseuse cranio-rachidienne, il comprend une
partie
considérablement renflée, l'ENCÉPHALE, située d
ue les produits et les manifestations de l'activité des différentes
parties
de ce système. Or, cette activité fonctionnelle
de l'homme adulte. Ces différents chapitres constitueront la première
partie
de l'ouvrage. La deuxième partie sera consacrée
hapitres constitueront la première partie de l'ouvrage. La deuxième
partie
sera consacrée au cerveau dont nous étu- dieron
e de Fore/ et de la calotte du pédoncule, et sera décrit avec cette
partie
du système nerveux central. La troisième part
décrit avec cette partie du système nerveux central. La troisième
partie
de cet ouvrage comprendra : le cervelet, l'isthme
sé la morphologie, puis l'élude analytique et la struc- ture de ces
parties
à l'aide de coupes microscopiques sériées, nous a
aisceaux, ainsi que l'origine de leurs nerfs respectifs. PREMIÈRE
PARTIE
CHAPITRE 1 MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES
développer, n'apporta point, tout d'abord, un grand secours à cette
partie
de l'anatomie. Quoique z Rolando, en 1824, eût
ganglion spinal est le centre trop/tique du nerf sensitif et que la
partie
antérieure de la moelle épinière nous savons au
. i il La méthode des dégénérescences permet de suivro la
partie
fondamentale d'un faisceau beau- coup mieux q
ême très nette- ment constaté chez les nouveau-nés, au niveau de la
partie
postérieure des cordons latéraux de la moelle e
echsig traitait ses préparations par l'acide osmique, et toutes les
parties
des coupes correspondant à des faisceaux non en
e myéline), tranchaient par leur coloration blanche, sur les autres
parties
déjà développées et colorées en noir. Les nouvell
ie est un système composé de fibres longues, il peut arriver que la
partie
de ces fibres, voisine de leurs cellules d'origin
ourvue et on pourrait par conséquent être amené à croire, que cette
partie
périphérique n'ap- partient pas au même système
le développement des organes périphériques, et le développement des
parties
du système nerveux central, auxquelles aboutiss
éveloppement et en étudiant la manière dont se forment les diverses
parties
qui le constituent, on peut arriver à étudier cer
, fait défaut à la suite d'arrêt de développement de telle ou telle
partie
de l'encéphale. A cette méthode sont attachés les
nue soulevée à l'aide d'un billot, qui embrasse par sa concavité la
partie
postérieure de la nuque, le cuir chevelu est in
sant environ il un centimètre, au-dessus de la ligne d'incision des
parties
molles. L'enlèvement de la calotte à l'aide du
elle épinière. Le cadavre étant couché sur le ventre, on soulève la
partie
supérieure du tronc à l'aide d'un billot placé
e vertèbre lombaire et on sectionne transversalement à ce niveau la
partie
supérieure de la vertèbre. Puis, passant le croch
coupes sériées. Lorsque l'on présume l'existence d'une lésion de la
partie
supérieure de la moelle, ou lorsque l'on veut étu
employée par Meynert dans le but de peser isolément les différentes
parties
du tronc encéphalique (llirnstamm) d'une part,
a lame mince du septum ucidum en avant; il suffit de sectionner ces
parties
pour l'en séparer. On obtient ainsi et séparés
pes histologiques sériées, de tout ce tronc encéphalique, depuis la
partie
inférieure du bulbe, jusqu'au niveau du pied de
de l'axe de ce tronc. Cet axe en effet, n'est vertical que dans sa
partie
inférieure, il se recourbe peu à peu en avant,
r, lobule orbitaire. - LT, Lobe temporal. - oFi (Gr), gyrus rectus (
partie
orbi- taire de la première circonvolution front
une coupe horizontale, passant par la tête du noyau caudé et par la
partie
moyenne de la couche optique, (lig. : i, ligne
u point de vue macroscopique, car, comme elle passe très près de la
partie
supérieure de la région sous-optique, elle n'est
tudier dans toute sa hauteur, la zone de transition située entre la
partie
thalami- que de la capsule interne et la ré-
e inférieure du cerveau. L'encéphale se trouve ainsi divisé en deux
parties
, l'une supérieure comprenant les deux hémisphères
ure comprenant les deux hémisphères, les pédon- cules cérébraux, la
partie
supérieure de la protubérance et les tuber- cul
DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 23 nant le lobe occipital et une
partie
du lobe pariétal; un antérieur compre- nant la
ipital et une partie du lobe pariétal; un antérieur compre- nant la
partie
antérieure du lobe frontal; un moyen plus volumin
plus volumineux que les autres, comprenant la région rolandique, la
partie
moyenne des circon- volutions temporales, le pi
onvolutions frontales, les ganglions de la base, le pédoncule et la
partie
correspondante de la protubérance. Les segments
normal. Protubérance et bulbe rachidien. - On peut faire durcir ces
parties
en bloc, et c'est le seul procédé à employer si
ra la protubérance à l'aide d'une coupe horizontale, passant par sa
partie
moyenne, et on pratiquera sur le hulbe rachidie
ion est de date récente, - la moelle a perdu sa consistance sur une
partie
plus ou moins grande de son étendue, et que la
grande de son étendue, et que la section de l'organe au niveau des
parties
malades, compromet gravement le durcissement ul
-quatre heures il huit jours suivant son volume - dans un mélange à
parties
égales d'éther et d'alcool absolu, en vase hermét
ues, fragmentées en petits cubes d'un centimètre, dans un mélange à
parties
égales d'éther et d'alcool absolu, pour obtenir
un certain volume, - puis de deux à quatre heures dans un mélange à
parties
égales de paraffine et xylol contenu dans un flac
'on fait il MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 29
parties
égales à l'étuve. Les pièces imprégnées il la par
cable qu'à de petites pièces. Les mélanges do cire et d'huile - une
partie
de cire pour trois parties d'huile-proposés pou
es. Les mélanges do cire et d'huile - une partie de cire pour trois
parties
d'huile-proposés pour les grands microtomes à c
tante. d'environ deux centimètres d'épaisseur, on pratique dans la
partie
inférieure de cette couche des incisions en dif
mpose (voy. fig. 7) d'un cylindre métallique creux, enchâssé par sa
partie
supérieure dans une cuve en zinc, de forme rect
rime à la roue correspond à un, quatre ou huit déclanchements. La
partie
supérieure du cylindre, celle qui est enchâssée d
xalique et de sulfure de potassium, à 1 p. z100, et de mélanger par
parties
égales, les deux liquides au moment d'en faire us
aite à froid. On coupe avec le microtome à congéla- tion. Certaines
parties
telles que la vessie, le péritoine, la langue, pe
, le péritoine, la langue, peuvent être examinées dans un mélange à
parties
égales de glycérine et d'eau, auquel on ajoute
ES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. : i3 étendue de quatre
parties
d'eau. Le séjour des coupes dans la solution de
d'une distance de 8 centimètres. Le support du corps (D) portant la
partie
optique, peut pivoter sur un axe situé dans la
de 14 centimètres. On peut donc examiner méthodiquement toutes les
parties
de la préparation et sans tou- cher à cette der
êtement épithélial du corps entier, donne naissance au niveau de sa
partie
axiale à l'axe neural ou encéplwlo-mérlullaÍ1'e
me heure de l'incubation, sans contribuer au développement d'aucune
partie
du corps de l'embryon. Le sillon neural est lim
(ap), sous l'aspect de deux bandes opaques (4), *), étroites à leur
partie
moyenne, qui correspond aux premières protover-
' Dans leur mouvement d'ascension les lames neurales entraînent la
partie
de l'ectoderme connue sous le nom de lame cornée,
re creux ouvert à ses deux extrémités, s'effectue d'abord dans la
partie
moyen- ne de la lame encéphalique, celle qui
des parois primitives; il se fait en grande partie au dépens de la
partie
de l'ectoderme adjacente aux bords de la fente;
ve peu à peu entraîné et transporté des bords de la fente, vers les
parties
latérales de la vésicule. C'est pour permettre
io postérieure du canal médullaire largement ouvert et encadrant la
partie
antérieure de la ligne primitive pp. Fig. 15. R
entraîne la cyclopie, se fait très prématurément, il se forme à la
partie
antérieure de la/vésicule encéphalique antérieure
'en séparent de bonne heure. Elles restent en communication avec la
partie
zizi de la vésicule encéphalique antérieure pri
creux, le pédicule oculaire, premier rudiment du nerf optique; leur
partie
supéro-postérieure est au contraire nettement s
us le nom de colobome. La fente oculaire primitive persiste dans la
partie
antérieure du pédon- cule oculaire, jusque vers
le segment postérieur de la vésicule oculaire, donne naissance à la
partie
temporale et le segment antérieur à la partie nas
donne naissance à la partie temporale et le segment antérieur à la
partie
nasale de la rétine et de son feuillet pigmenta
st nettement séparée de la deuxième vési- cule encéphalique par une
partie
rétrécie, comme étranglée, l'isthme du cerveau
aractérise surtout par l'amincissement et la forme losangique d'une
partie
de sa voûte, qui devient la membrane obturatric
lus tard en connexion avec l'oreille moyenne, formée aux dépens des
parties
latérales de la première fente branchiale. Si p
l'isthme du cerveau postérieur de Bis i Is), elle est séparée de la
partie
postérieure de la vésicule cérébrale antérieure p
era naissance à la couche optique, celle du cerveau antérieur à une
partie
du corps strié, et ainsi se trouve préparée dès
ire légèrement courbée sur son axe qui embrasse par sa concavité la
partie
antérieure et supérieure des vésicules oculaires
ntermédiaire. Le fond de la scissure interhémisphérique répond à la
partie
supérieure de la lame terminale embryonnaire; i
d'autre part, divisent donc la vésicule des hémi- sphères en trois
parties
: 1° une petite partie impaire et médiane, le tro
donc la vésicule des hémi- sphères en trois parties : 1° une petite
partie
impaire et médiane, le tronc, la base ou la por
au intermédiaire, et qui donnera naissance aux corps striés, et aux
parties
qui limitent le troisième ventricule en avant (
mitent le troisième ventricule en avant (lame sus-optique); 2° deux
parties
latérales, paires et symé- triques, d'aspect gl
Les vésicules des hémisphères sont larges et glolmleuses dans leurs
parties
supérieure et postérieure, où elles sont séparées
cules hémisphériques se rétrécissent, et, à l'intersection des deux
parties
, on trouve en général une dépression large mais
(fig. 18.) . La cavité du cerveau antérieur comprend de même trois
parties
, une partie antérieure médiane et axiale, limit
La cavité du cerveau antérieur comprend de même trois parties, une
partie
antérieure médiane et axiale, limitée en avant pa
re, et qui s'ouvre en arrière dans le troisième ventricule; et deux
parties
latérales et supérieures, les cavités des vésicul
primitifs.. . Vue de la cavité ventriculaire, après ablation de sa
partie
supérieure, la Cavité commune aux cerveaux inte
chiasma) et l'em- bouchure des deux pédicules optiques, séparent la
partie
qui appartient au cerveau intermédiaire, de cel
, La cavité du cer- veau antérieur com- prend également trois
parties
: une médiane et deux la- térales, les ventri
e continue directement et sans aucune ligne de démarcation, avec la
partie
basale de la vésicule des hémisphères. Les tr
imitifs, s'arrêtent bientôt dans leur développement, tandis que les
parties
environnantes, qui donnent naissance au corps str
onnent naissance au corps strié, s'accroissent considérablement; la
partie
basale de la cavité du cerveau antérieur, se ré
le, et il ne persistera de la cavité du cer- veau antérieur que les
parties
latérales, qui, sous le nom de ventricules laté
ural est rectiligne, et son extrémité antérieure correspond, -il la
partie
moyenne de la fente vertico- médiane de la prem
e la troisième semaine de la vie. embryonnaire ; il correspond à la
partie
moyenne de la deuxième vési- cule encéphalique,
° à la fin du deuxième mois. L'angle antérieur du vertex, occupe la
partie
antérieure du Dédoublement do la saillie du v
74 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. cerveau moyen, puis empiète sur la
partie
postérieure du cerveau inter- médiaire ; il s'o
pplique presque sur la voûte de l'arrière-cerveau (fig. 24), et les
parties
latérales du cerveau postérieur s'étirent en fo
par deux parois latérales épaisses, volumineuses, réunies par deux
parties
minces commissurales, les sutures ou com- missu
le ou plancher du canal neural, de date ancienne, appar- tient à la
partie
axiale des lames neurales, et relie les deux lame
is). Les cinq vésicules encéphaliques représentent donc, toutes les
parties
constituantes de l'axe encéphalique. Le cerveau
ire aux couches optiques, à la région sous- optique et à toutes les
parties
qui constituent le plancher et la voûte du troi
entricule. Avant de passer à l'étude du développement ultérieur des
parties
consti- tuantes de l'axe encéphalo-médullaire,
édullaire, nous résumerons dans le tableau suivant, les différentes
parties
qui se développent aux dépens de so plancher, d
et leurs transforma- tions ultérieures. TABLEAU DES DIFFÉRENTES
PARTIES
DU NÉVRAXE DÉRIVÉES DE CHAQUE VÉSICULE ENCÉPHAL
e alaire de His (Flugelplatte, hinteres Mark- prisma). Ces deux
parties
sont réunies l'une à l'autre par une. pièce int
(ca). à la comze aztéierc°e (CA), aux cordons antérieurs (Ca), à la
partie
antérieure des cordons latéraux (Cal) et à la moi
rdach. La nièce intermédiaire (Pi) est losans-ique ' elle occupe la
partie
antc- rieure élargie du canal central et s'é-
térieure, à la colonne de Clarke, au pro- cessus eticulai.s et à la
partie
postérieure du cordon latéral (IIinterseitenstr
nes motrices, non plus directement en dehors, mais en avant; leur
partie
postérieure, connue sous le nom de corne latéra
En même temps, se produisent des modifications importantes dans la
partie
postérieure du canal central. Celui-ci s'oblitère
es artères du sillon médian antérieur de la moelle, abor- dent la
partie
antérieure de la moelle; -elles divergentbien-
re plus tardivement, de même que les artères radiées, destinées aux
parties
latérales et postérieures de la moelle; elles ne
aractérisés par leur aspect losangique et par l'amincissement d'une
partie
de leur voûte, connue sous le nom de membrane o
rement losangiques (fig. 20, p. 67) ; on peut leur considérer trois
parties
: une partie moyenne (c), une partie supérieure
ques (fig. 20, p. 67) ; on peut leur considérer trois parties : une
partie
moyenne (c), une partie supérieure (a et b) et
on peut leur considérer trois parties : une partie moyenne (c), une
partie
supérieure (a et b) et une partie inférieure (d
ies : une partie moyenne (c), une partie supérieure (a et b) et une
partie
inférieure (d et e). Les bords sont parallèles
rtie inférieure (d et e). Les bords sont parallèles au niveau de la
partie
moyenne qui correspond à la plus grande largeur
rgeur le la cavité du quatrième ventricule (fig. 20 (c) ; dans leur
partie
supérieure les bords se portent transversalemen
isphères cérébelleux et aux pédoncules cérébelleux supérieurs. La
partie
inférieure des bords est beaucoup plus étendue qu
u-né et chez l'adulte il en est . séparé par toute la hauteur de la
partie
inférieure du bulbe. Lorsque la courbure du pon
téral du quatrième ventricule. Le plancher est alors divisé en deux
parties
inégales, triangulaires, opposées par leur base
en deux parties inégales, triangulaires, opposées par leur base. La
partie
inférieure ou bulbaire,, appartient à l'arrière-c
inférieure ou bulbaire,, appartient à l'arrière-cer- ..., veau; la
partie
supérieure ou protubérantielle, au cerveau postér
de la lame alaire située en dehors. Peu profond au niveau de la
partie
bulbaire, le sillon latéral s'élargit dans la p
niveau de la partie bulbaire, le sillon latéral s'élargit dans la
partie
protubérantielle, immédiate- ment au-dessus d
an, les funiculi tel'etes des anciens auteurs; elle affecte dans sa
partie
bulbaire, où elle est connue sous le nom d'aile
gle e.t répond au noyau d'origine du nerf grand hypoglosse. Dans sa
partie
protubérantielle, elle forme une saillie arrond
rantielle, le noyau d'origine du facial et le noyau d'origine de la
partie
motrice du trijumeau. Ces noyaux ne constituent d
es fibres qui naissent de cette couche, concourent à former une
partie
des fibres longitudi- nales de la substance
atio reticularis alba). , La lame alaire reçoit les racines de la
partie
sensitive des nerfs glosso- pharyngien, pneumo-
ents, l'un interne vertical en connexion avec la lame fondamentale (
Partie
jugalc, Wangcnthcil de His), l'autre externe, r
nthcil de His), l'autre externe, recourbé en forme de cro- chet, la
partie
labiale ou lèvre rhomboïdale deHis (Lippenlheil,
inférieur du quatrième ventricule, elle s'élargit rapide- ment à la
partie
moyenne du bulbe, diminue de nouveau au niveau de
perficielles du bulbe (fig. 35). Le corps restiforme apparaît il la
partie
externe de la lame alaire, vers la fin du deuxi
otte précède donc dans son développement le faisceau pyramidal. Les
parties
constituantes du bulbe et de la protubérance, son
a superficie. Développement du cervelet et de ses différentes
parties
constituantes. Vermis. en effet d'autant pl
les recessus latéraux du quatrième ven- tricule (fig. 36). ' 1 La
partie
moyenne de la lame céré- belleuse, donne naissa
e à la formation de la fente choroï- dienn, et entraîne avec lui la
partie
adjacente de la membrane obturatrice (fig. 44
e de la membrane obturatrice (fig. 44). Celle-ci se raccourcit à sa
partie
moyenne, par suite du développement considéra
développement considérable que prend le vermis, tan- dis que ses
parties
latérales forment deux petites valvules semi-lu
deuxième région enfin, à cheval sur les deux faces, correspond à la
partie
postérieure des hémisphères et des vermis. Au n
ce sous-arachnoï- dien. Un orifice analogue existe, au niveau de la
partie
moyenne de la mem- brane obturatrice du quatriè
ns crâniens; les ganglions crâniens se développent aux dépens de la
partie
supérieure du cordon ganglion- naire, lequel do
au d'origine du mo- teur oculaire commun; elle fournit en outre les
parties
constituantes de la calotte ou étage supérieur
érieurs et inférieurs, appelés encore antérieurs et postérieurs. La
partie
adjacente au cerveau intermédiaire, s'élève un
r les parois latérales du cerveau intermé- diaire (fig. 39, 40). La
partie
moyenne du fer à cheval répond au tubercule qua
umeau postérieur se réduit à une mince lamelle grise, qui occupe la
partie
inférieure de la lame des tubercule bijumeaux e
siCStr.). Elle représente l'axe autour duquel, se développeront les
parties
consti- tuantes de la vésicule des hémisphères,
rps genouillé externe; l'extrémité inférieure enfin, empiète sur la
partie
du cerveau intermédiaire que nous apprendrons à
arc thalamique finit par devenir horizontal, et par former toute la
partie
de la face supérieure de la couche optique, rec
s choroïdes des ventricules latéraux. Elle ne comprend donc, que la
partie
de la face supérieure, de la couche optique défin
ptique définitive, située en dedans du sillon choroïdien; la petite
partie
externe de la face supé- 7 Surface suturale
bouchure de la cavité du pédicule oculaire, et d'autre part avec la
partie
inférieure du trou de Monro rétréci. Le sillon
ventriculaire subit par la suite d'importantes modi- fications. La
partie
postérieure de la lame alaire, ou partie rétro-lh
tantes modi- fications. La partie postérieure de la lame alaire, ou
partie
rétro-lhala- mique du cerveau intermédiaire foe
ance au pulvinar et au corps genouillé externe (fig. 41-44, Rg); la
partie
antérieure ou partie tha- lamique proprement di
u corps genouillé externe (fig. 41-44, Rg); la partie antérieure ou
partie
tha- lamique proprement dite, donne naissance à
ransversale, le TOI'us inlermedius de His, qui fait saillie dans la
partie
postérieure du troisième ventricule, de telle s
rofond qui occupe la région rétro-thalamique et cor- respond à la
partie
la plus sail- lante de l'arc thalamique, c'est-
her du troisième ventricule est oblique en bas et en avant, et sa ,
partie
la plus déclive correspond à la paroi antérieure
stance perforée posté- - rieure, aux tubercules mamillaires et à la
partie
postérieure du tuber cine- .i Le plancher du
es nerfs optiques, qui sépare la lame terminale embryonnaire. de la
partie
antérieure du tuber cinereum,. il donne ainsi nai
éalité au plancher du cerveau antérieur, de même que la plus grande
partie
de la substance perforée postérieure, appartien
er la base du crâne, son développement précède en effet celui de la
partie
préchordiale de la base du crâne. Une fois arrivé
ent de la glande pinéale, et qui divise la paroi supérieure en deux
parties
inégales, l'une postérieure, l'autre antérieure
eux parties inégales, l'une postérieure, l'autre antérieure. - La
partie
postérieure ou rétro-pinéale est petite et forme
roductions secondaires et tardives, dues à un processus suturai. La
partie
antérieure ou prépinéale de la voûte, s'étend en
a participation de la Division de la pa- roi supérieure en deux
parties
inéga- les. Partie postérieure ou rétro-pin
Division de la pa- roi supérieure en deux parties inéga- les.
Partie
postérieure ou rétro-pinéale et formations qu
ostérieure ou rétro-pinéale et formations qui en dé- pendent.
Partie
antérieure ou prépÎ1ltalc. Rapports des ple
e Sylvius. Des fibres nerveuses apparaissent en outre dans toute la
partie
inférieure du processus pinéal, et donnent naissa
écédemment, que l'on doit considérer au cerveau anté- ' rieur trois
parties
: une petite partie impaire et médiane, la base o
doit considérer au cerveau anté- ' rieur trois parties : une petite
partie
impaire et médiane, la base ou portion DÉVELOPP
E NERVEUX. 10a ti Il 1 B : ) axiale du cerveau antérieur, et deux
parties
latérales beaucoup plus volumi- neuses, les hém
d'un canal presque circulaire la base du cerveau; il pré- sente une
partie
moyenne ou étage supérieur (cella média), une par
pré- sente une partie moyenne ou étage supérieur (cella média), une
partie
anté- rieure, la corne frontale, et une partie
r (cella média), une partie anté- rieure, la corne frontale, et une
partie
inférieure, la corne temporale ou sphénoïdale o
aroi interne de l'hémisphère du côté opposé, et correspond à toute la
partie
du cerveau antérieur située enlavant du trou de
le opto-striée (fig. 58 à 63) ; un repli mésodermique qui fait tjtt
partie
de la faux primitive, et qui donnera naissance au
dément en for- mant l'incisura prima de His, et qu'il divise en une
partie
antérieure, le lobe olfactif antérieur, et une
divise en une partie antérieure, le lobe olfactif antérieur, et une
partie
postérieure, le lobe olfactif postérieur. Pro-
44). Il divise la région préthalamique de la paroi interne, en deux
parties
inégales : l'une antérieure, l'autre postérieure.
n deux parties inégales : l'une antérieure, l'autre postérieure. La
partie
antérieure, la plus étendue, donnera naissance
, donnera naissance aux circonvolutions cérébrales de la région. La
partie
postérieure, plus étroite, est comprise entre le
rfs optiques (fig. 41, 42), à la voûte du cerveau intermédiaire. Sa
partie
inférieure, impaire et médiane, répond à la zon
la lame S1ls-optique qui ferme le troisième ventricule en avant. Sa
partie
supérieure correspond à la zone choroïdienne de
et l'homologue du nerf optique, le bulbe olfactif l'homologue d'une
partie
de la rétine (de la partie dite cérébrale). 2
que, le bulbe olfactif l'homologue d'une partie de la rétine (de la
partie
dite cérébrale). 2. - Développement des éminenc
iaire. Cette éminence ganglionnaire, qui n'est, par le fait, qu'une
partie
modifiée de l'écorce de la base du cerveau anté-
périeure de la fosse sylvienne; le bord pos- térieur, libre dans sa
partie
inférieure où il limite en avant le pédicule oc
eure où il limite en avant le pédicule oculaire, est séparé dans sa
partie
supérieure de la couche optique au niveau du tr
antérieur. 1 La face libre du corps strié et ses différentes
parties
. Via. 50. - Paroi interne de l'hémisphère céréb
le segment externe, il atteint la base du cerveau et comble en
partie
soit le recessus op- tique, soit la cavité du l
factif postérieur, et ce rapport persiste chez l'adulte, où cette
partie
libre du corps strié forme le collicuills du
le collicuills du noyau caudé. (Voy. noyau caudé.) La plus grande
partie
du segment interne s'unit in- timement au lob
llon choroïdien et le sillon o ? Go-.v6r·ic·. Elle se soude avec la
partie
externe de l'arc lhalamique et avec la surface ex
re et la suture primaire, il existe un espace faisant primitivement
partie
du sillon semi-lunaire (fig. 52 à 63, ssl), au
. La paroi interne de la vésicule des hémisphères, s'unit donc à la
partie
externe de l'arc thalamique, et le sillon choro
l'arc thalamique, et le sillon choroïdien divise ce dernier en deux
parties
, l'une interne, l'autre externe. La partie intern
vise ce dernier en deux parties, l'une interne, l'autre externe. La
partie
interne de l'arc tha- lamique, la plus large, c
est recouverte par la toile choroïdienne et le corps du trigone. La
partie
externe, plus petite, fait partie du plancher d
rayonnante affectent dans leur ensemble, comme du reste toutes les
parties
qui appartiennent au cerveau antérieur, la form
en dehors et le sillon marginal de l'insula, et, le divisent en une
partie
intra-ventnicu- laire, le noyau caudé et une pa
divisent en une partie intra-ventnicu- laire, le noyau caudé et une
partie
exlj,(i-veîil,icîilat*i-e, le noyau lenticulaire.
sous-optique de Forel, bandelette optique) est teinté en bleu ; la
partie
de la paroi externe du cerveau antérieur qui donn
rce de l'insula et à l'avant-mur est hachée et colorée en rouge; la
partie
de la paroi interne du cerveau antérieur, qui d
ique). Le cerveau intermédiaire(couche optique) est coloré en bleu la
partie
de la paroi externe du cerveau antérieure qui d
rce de l'insula et à l'avant-mur, est hachée et colorée en rouge ; la
partie
de la paroi interne qui donne naissance au glob
ent posté- rieur on lenticule- optique. Pied du pédoncule. La
partie
e.xtnu-ventoiczclaioe du corps strié, comprend pl
au putamen par de nombreux ponts de substance grise. L'union de ces
parties
est encore plus intime à la base du cerveau, où l
du manteau cérébral, se portent en avant et en dedans, abordent la
partie
externe du pulvinar et constituent la région ré
g. 52 à 63). Les fibres de la capsule interne qui proviennent de la
partie
moyenne du manteau cérébral, se portent en bas
dé "^ et la face inférieure du noyau lenticulaire, et atteignent la
partie
inférieure de la région sous-optique de la caps
dedans de la bande- \ lette optique. Elles se placent ensuite à la
partie
externe du pied du pédon- cule cérébral et form
es, et forment avec elles l'étage antérieur de la protubérance. Une
partie
de ces fibres forme ensuite la pyramide antérieur
inquième ventricule, ainsi qu'aux genou et bec du corps calleux. La
partie
ventrale du pli marginal donne naissance aux corp
l donne naissance aux corps et piliers pos- térieure du trigone; la
partie
dorsale à une circonvolution cérébrale avortée,
nt des zones choroïdiennes ne se fait qu'au niveau de ses bords; la
partie
moyenne reste libre, de telle sorte que les deux
ux. Le corps calleux ne comprend donc au début que le genou, la
partie
du corps calleux située en avant des trous de M
tudinales du trigone, naissent par différenciation cellulaire de la
partie
ventrale du pli marginal. En avant elles se conti
pas libres dans la cavité ventriculaire, ils en sont séparés par une
partie
de la paroi interne des hémisphères réduite à l
oroïdes des ventricules latéraux, décrivent une courbe autour de la
partie
supérieure et postérieure du noyau caudé. Ils ne
choroïdienne, celles du tronc et du bourrelet, le long de toute la
partie
fronto-pariétale du pli marginal. Ces dernières
pement de ces formations explique l'adhérence intime -1 de ces deux
parties
. Quelquefois cependant, le fornix transverse ne s
is d'une lésion patho- logique ayant entraîné la destruction de ces
parties
, lésion appartenant aux derniers mois de la vie
gnent les tubercules quadrijumeaux; ils les recouvrent ainsi qu'une
partie
du cervelet vers le sixième mois, et dépassent le
le foetus humain, le sillon ammonique est très peu profond dans sa
partie
fronto-pariétale, qui se transforme en sinus du c
d hémisphérique, qu'il incise plus ou moins . profondément. Dans sa
partie
horizontale, il délimite le gyrus fornicatus (c
a ci2-- convolution frontale in- terne (nzF,). En arrière de la
partie
verticale du sillon calloso-mar- ginal, le gy
esque complet, ouvert seulement en bas et en avant, au niveau de la
partie
basale du cerveau antérieur. Le lobe limbique e
rnicatus ou la circonvolution du corps calleux, en arrière, par une
partie
rétrécie, l'isthme du gyrus fornicatus, qu'inci
; cette sépa- ration est complète : il n'existe en effet entre ces
parties
aucun pli de pas- 1<'10. 67. - Face interne
issure pariéto-occipitale; dans la région sphénoïdale enfin, par la
partie
temporale de la scissure collatérale. La région
e de la scissure collatérale. La région périphérique, représente la
partie
interne des lobes de la face externe ou convexe
étendue. Vers la fin de la vie intra-utérine, apparaissent dans la
partie
de la circonvolution fron- tale interne située
lobule lingual; le lobe temporal fournit le lobule fusiforme et la
partie
inférieure de la troisième circonvolution tempo
on trouve la circonvolution godronnée, développée aux dépens de la
partie
dor- sale du pli marginal, et qui représente le
ne cérébral, elle est limitée en dehors par le sillon ammonique. La
partie
sphénoïdale de la circonvolution godronnée cons
lte, on la trouve située dans le fond du sillon de l'hippocampe; la
partie
fronto- pariétale au contraire, est séparée tar
te toujours chez l'homme, à l'état d'une circonvolution avortée. Sa
partie
originelle, étendue du vélum terminal à l'extrémi
tion godronnée est le vé- ritable limbe de l'hé- misphère. Sa
partie
origi- nollc forme la bau- de lette de Giacom
au- de lette de Giacomini. 128 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa
partie
sphé- noïdale devient le corps godronné. Ne
bandelette est désignée sous le nom de bandelette de Giacomini. Sa
partie
sphénoïdale est sinueuse, et sillonnée vers le ci
aison (bandelette diagonale de Broca, bandelette de Giacomini), des
parties
grises de l'hé- . misphère (circonvolution du c
e l'oper- cule en haut. L'insula est lisse pendant la plus grande
partie
de la vie foetale. Vers la lin du neuvième ou l
rrière, le , sillon de ou sillon insulaire, divise l'insula en deux
parties
, l'une postérieure ou temporale, qui forme la c
0). La circonvolution pariétale inférieure se subdivise en deux
parties
: l'une antérieure, l'autre postérieure. La par
ivise en deux parties : l'une antérieure, l'autre postérieure. La
partie
antérieure entoure la branche postérieure de
vec le lobe temporal en formant le gyrus marginal supé- rieur; la
partie
postérieure con- tourne la branche verticale de
il est toujours facile de distinguer dans le manteau cérébral deux
parties
: l'une, le manteau proprement dit, occupe toute
ent dit, occupe toute la face externe de l'hémisphère et une grande
partie
de la face interne chez les mammifères supérieu
es de lissezzc-p7actle et de 9Yl'encépltale ne s'appliquent qu'à la
partie
d'écorce située en dehors du <7«'HeHc/M'/OM.
e la membrane limitante externe que de l'interne (fig. 71). Dans la
partie
interne de la lame épithéliale, on trouve entre l
lame neurale, mais encore dans le cordon ganglionnaire, et dans la
partie
adjacente de la lame cornée désignée sous le no
rois, quatre, voire même six a huit couches strati- fiées sur les
parties
latérales du tube neural. Les noyaux des couches
lules épithé- liales de la gouttière neurale; il contient, comme la
partie
adjacente de la lame cornée, de nombreuses cell
HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 137 et disparaît au niveau de sa
partie
dorsale, et la la- me cornée se continue di-
borde, » d'après l'expression de v. Lenhossek, et recouvrent la
partie
dorsale du canal neural. L'occlusion des la-
idiells, situés à intervalles régu- liers et correspondant à la
partie
moyenne des proto- vertèbres. Nous allons pas
ordon ganglionnaire est coloré en rouge. a) Coupo provenant de la
partie
du tronc situéo au-dessous des protovertèbres.
rd. Myelospongium avec voile marginal et neuro- blastes. Toutes ces
parties
sont riches en pigments. (D'après W. His.)' 1
de la couche grise externe n'est pas partout la même. Large dans sa
partie
postérieure, elle s'amincit dans sa partie moyenn
t la même. Large dans sa partie postérieure, elle s'amincit dans sa
partie
moyenne, puis s'épaissit considérablement dans
it dans sa partie moyenne, puis s'épaissit considérablement dans sa
partie
antérieure. Cette partie anté- rieure, comprend
, puis s'épaissit considérablement dans sa partie antérieure. Cette
partie
anté- rieure, comprend la moitié de la largeur
le, et représente les premiers rudiments de la corne antérieure; la
partie
postérieure, don- nera naissance à la substance
atéraux cylindre-axe dans les régions antérieures de la moelle; une
partie
de ces derniers forment les fibres arquées (Bob
fibres arquées (Bobenschicht de His), forzzzatio arcuata; une autre
partie
se recourbe et se bifurque, pour former les fibre
s de la moelle. On'peut distinguer dans cette colonne de noyaux une
partie
médio- ventrale, la. zone de la corne antérie
ie médio- ventrale, la. zone de la corne antérieure,, ,. et une
partie
latéro- darsale, la zone de la corne latérale
eure ne sont donc pas exactement l'homologue des racines des autres
parties
de la moelle; il leur manque en effet le continge
arrière; elles s'entrecroisent sur la ligne médiane, traversent la
partie
supérieure de la valvule de Yieussens et devien
res situées de chaque côté du plancher, c'est-à- dire à l'union des
parties
antérieure et latérale du canal central, présente
du canal central épendymaire en une cavité circulaire, que toute la
partie
postéro-latérale de la moelle, celle qui correspo
cellules épendymaires qui en dérivent ne constituent qu'une minime
partie
de la charpente névroglique du système nerveux ce
la charpente névroglique du système nerveux central. La plus grande
partie
est formée en effet par les cellules névrogliques
re des prolongements protoplasmiques. La cellule présente alors une
partie
adulte et une partie embryonnaire. Cette diff
protoplasmiques. La cellule présente alors une partie adulte et une
partie
embryonnaire. Cette différenciation du protop
es cellules épendymaires se transforment, après l'oc- clusion de la
partie
postérieure du canal central, en cellules araigné
t du prolongement central des cellules ol- factives ( ? ,z). - e,
partie
supérieure do deux cellules de soutènement. -
for- tes à leur origine, où elles sont nettementformées par des
parties
du protoplasma cellulaire, elles se divisent
s, glomérules olfactifs et terminaisons centrales du nerf olfactif.
Partie
inférieure d'une coupe sagittale du bulbe olfacti
x dendrites un rôle purement nutritif, et excluait complètement ces
parties
de toute participa- tion dans la transmission d
ne doit pas être considérée comme un élément à part, mais comme une
partie
constituante de la cellule nerveuse, que celle-
ni surtout aussi complète que chez le nouveau-né. La résorption des
parties
nécrosées est en effet extrêmement rapide chez
lité beaucoup plus complexes, ainsi qu'on le verra dans la deuxième
partie
de cet ouvrage. Ncurohilumo de His. Les rés
bien dans la différence des connexions de ces fibres, tant avec les
parties
centrales qu'avec les parties périphériques. »
nnexions de ces fibres, tant avec les parties centrales qu'avec les
parties
périphériques. » (Leçons sur la physiologie, etc.
ongues cellules connec- tives .. A cet état de développement, les
parties
essentielles de la fibre nerveuse sont consti-
s cellules a son noyau en voie de di- vision, cette dernière est en
partie
détachée du faisceau. c, cellules connectives c
nerf s'accroisse avec le membre sans qu'il y ait déplacement de ses
parties
(Vignal). Segments courts intercalaires. - Rena
de ces substances varie suivant que l'on considère les différentes
parties
du système nerveux : ainsi le système nerveux p
e grise entoure les cavités ventriculaires, recouvre la plus grande
partie
de sa périphérie et forme des amas disséminés d
de conducteurs, de fibres, qui relient entre elles les différentes
parties
de la substance grise. Elle occupe la périphéri
de fibres d'association, et unissent entre elles les diffé- rentes
parties
de l'écorce d'un même hémisphère. Jusqu'à ces d
e de son prolongement cylindre-axile, prolongement qui constitue la
partie
la plus importante de la fibre nerveuse. L'ét
). 2° Les cellules de la névroglie, qui se montrent dans toutes les
parties
de la substance grise et de la substance blanch
arrivée à l'état adulte, est alors formée, d'après Ranvier, de deux
parties
: par des fibres de toute longueur qui s'entrecro
modi- fications exercées sur la myéline par les bichromates sont en
partie
cause du grand nombre de' ces formations concen
n pas au niveau d'un étranglement annulaire de mais au niveau de la
partie
moyenne d'un segment , intcrannulairc, soit ava
aire (fig. 124). La cellule des ganglions rachidiens occupe donc la
partie
centrale d'un segment intcr-annulaire, et les n
es cellules unipolaires des ganglions rachidiens, elles occupent la
partie
centrale d'un segment inter-annulaire, et la gain
les forment, avec les tubes nerveux en T qui en émanent, la majeure
partie
des éléments nerveux du ganglion. A côté de ces f
leg,-(i21îzîtlaiî,es de Ranvier, séparés les uns des autres par des
parties
rétrécies, qui constituent les étranglements an
section. 3. Cylindre-axe. - Quant au cylindre-axe, qui constitue la
partie
essen- tielle du tube nerveux, car les gaines q
hatique « qui baigne ainsi l'élément nerveux et peut en pénétrer la
partie
essentielle, le cylindre-axe, au niveau de chaque
corpuscule de Golgi. Le nerf aborde en général le corpuscule par sa
partie
médiane, plus rarement par l'une de ses extrémi
ère, généralement aplatis. Les arborisations terminales occupent la
partie
centrale du corpuscule, elles sont entourées d'un
92 et Journ. de l'Anat. et de la Physiol., 1893, p. 586. DEUXIÈME
PARTIE
ANATOMIE DU CERVEAU CHAPITRE I MORPHOLOGIE
CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR L'ENCÉPHALE L'encéphale représente la
partie
supérieure et considérablement modi- fiée du né
e moule, il comprend, au point de vue purement morphologique, trois
parties
: le cerveau, le cervelet et l'isthme de l'encéph
lui-ci à la moelle épinière. Le cerveau proprement dit constitue la
partie
antérieure et supérieure de l'encéphale, dont i
us important et le plus volumineux. Il est constitué par toutes les
parties
développées aux dépens de la vésicule encéphali
facilité de la description, nous ferons rentrer dans son étude les
parties
développées aux dépens de la vésicule encéphaliqu
alique primitive postérieure (Cerveau rhomboïdal), sont situés à la
partie
inférieure et postérieure de l'encéphale. , Le
occupe les fosses occipitales inférieures; il est recouvert par la
partie
postérieure du cerveau, dont il est séparé par un
le avec la capacité in- tellectuelle. Poids des dillé reiites
parties
cou- atituatttes de l'cncé- phale. 1 1
quantité. On a cherché à se rendre compte du poids des différentes
parties
consti- tuantes de l'encéphale : cerveau, cerve
ter-hémisphérigue (Sih), les sépare complètement au niveau de leurs
parties
supérieure, antérieure et posté- rieure. A leur
au de leurs parties supérieure, antérieure et posté- rieure. A leur
partie
moyenne, les deux hémisphères sont reliés entre e
tus longitudinaux médians. Le corps calleux se recourbe en bas à sa
partie
antérieure et à sa partie postérieure (fig. 151).
Le corps calleux se recourbe en bas à sa partie antérieure et à sa
partie
postérieure (fig. 151). En avant il forme le ge
es méninges avec l'os frontal, en arrière avec l'os occipital, à sa
partie
moyenne et supérieure avec l'os pariétal, à sa
cipital, à sa partie moyenne et supérieure avec l'os pariétal, à sa
partie
moyenne et inférieure avec l'os temporal. Ces r
l. Ces rapports ont servi de base, dans la division des différentes
parties
de la face externe ou convexe de l'hémisphère,
re inter-hémisphérique (fig. 131). Elle répond, dans la plus grande
partie
de son étendue, à la faux du cerveau et au sinu
cle Sylvius. Elle sépare la face inférieure de l'hémisphère en deux
parties
inégales, l'une antérieure, frontale, l'autre p
une antérieure, frontale, l'autre postérieure, sphéno-occipitale La
partie
anté- rieure de la face inférieure de l'hémisph
f optique. - 03, troisième circonvolution occipitale. - oF,, oFs, oF"
partie
orbitaire , des première, deuxième et troisième
n du crochet. 242 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. frontal (LOr). La
partie
postérieure- de la face inférieure de l'hémisphèr
llèle. - 12, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 2.M
partie
du bord externe des hémisphères, et se continue à
ou (rostrum) du corps calleux. - cm, sillon calloso-marginal. - cm',
partie
verti- cale du sillon calloso-marginal. - cola,
gual.)) ? face interne de la première circonvolution frontale. oF3,
partie
orbitaire delà troi- sième circonvolution front
astomoses des diffé- rents lobes entre eux, et sur leurs limites en
partie
artificielles, qu'il s'agit MORPHOLOGIE CÉRÉBRA
inspection simple de la surface ne pourrait le faire croire, car la
partie
de l'écorce située au fond des sillons est pres
pond au seuil ou limen de l'hémi- sphère, c'est-à-dire à toutes les
parties
qui réunissent les hémisphères céré- braux [cor
antérieur et le point de pénétration des pédoncules cérébraux. Les
parties
constituantes du seuil ou du limen de l'hémisphèr
sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - oF\¡oF ? oF3,
partie
orbitaire des première, deuxième et troisième cir
ntale antérieure, se dirige en haut et en avant, et pénètre dans la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron-
nom de cap de la troisième circonvo- lution frontale (F3 [c]). La
partie
de l'écorce cérébrale, comprise entre la branche
sont cons- tantes ; elles occupent la par- . tie supérieure et la
partie
infé- rieure de la scissure de Ro- lando, son
- j, incisure de Jensen. - oa, sillon occipital anté- rieur. osa,
partie
orbitaire de la troisième cir- convolution fron
upérieure de la scissure de Rolando, située un peu en arrière de la
partie
moyenne de l'hémisphère, est limitée par le pli
ccipitale d'Ecker (po) (fig. 150, 159, 161- à 1G91, à cheval sur la
partie
postérieure du bord supérieur de l'hémisphère, sé
arginalis. - ic, incisure du cap. - ip, sillon inter-pariétal. - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
percule. - ipop, incisure pariétale de l'opercule. - oF1, oPe, oF3,
partie
orbitaire des première, deuxième et troi- sième
urts, tantôt d'une seule venue, ils sont quelquefois constitués, en
partie
ou en totalité, par une série d'inci- sures iso
misphère, borde la grande scissure inter-hémisphérique et forme une
partie
des circonvolutions (le la face interne; la tro
e (fig. 183), bord le long duquel s'arrête l'écorce cérébrale. La
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale
ie orbitaire de la première circonvolution frontale (oF,) occupe la
partie
interne de la région, elle est dédoublée par un s
bulbe olfactifs. La direction rectiligne de la moitié interne de la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale
convolution frontale lui a valu le nom de gyrus reclus (oFJGr]). La
partie
externe est plus sinueuse, plus large et forme
\f5) d'Ecker, l'incisul'e en H de Broca (f,) (fig. 149, 183). Les
parties
moyenne et externe du sillon cruciforme sont form
parties moyenne et externe du sillon cruciforme sont formées par la
partie
orbitaire des deuxième et troisième circonvolutio
tion propre- ment dite, et se trouve généralement dédoublée dans sa
partie
antérieure. Le sillon frontal supérieur (f,) la
02. deuxième sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. -
partie
orbitaire de la troisième circon- volution fron
ANATOMIE DES. CENTRES NERVEUX. Pôle frontal. Division en trois
parties
de la troi- sième circonvolution frontale.
n en trois parties de la troi- sième circonvolution frontale.
Partie
orbitaire. La partie orbitaire forme le déser
la troi- sième circonvolution frontale. Partie orbitaire. La
partie
orbitaire forme le désert olfac- tif de Èroca
de nom- breuses flexuosités qui affectent la forme d'un M, à la
partie
tout fait in- férieure de la cZ1'convolu- tio
(S [a]), et verticale, ascendante (S[v]) de cette scissure, et' une
partie
postérieure, le pied ou partie operculaire (Op F
te (S[v]) de cette scissure, et' une partie postérieure, le pied ou
partie
operculaire (Op F 3)' situé en arrière de la br
de la branche verticale (fig. 150, 155, 160, 161, 162, 173). - La
partie
orbitaire, mince à ses deux extrémités, est large
té externe du sillon fronto-marginal (fm). Le bord postérieur de la
partie
orbitaire est longé par la «racine» olfactive e
(fig. 183) ;son extrémité interne s'unit à la moitié externe de la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale,
mite en avant le deuxième sillon frontal (fa) (fig. 155). Le cap ou
partie
triangulaire (F;; [c]), compris entre les deux br
rompt la continuité du second sillon frontal (fig. 155). Le pied ou
partie
operculaire (Op F 3)' se continue avec le cap de
finalement par un pli étroit, mince, court et souvent profond, à la
partie
tout à fait inférieure de la circonvolution fro
ou profonde de la troisième circonvolution frontale (fi forment la
partie
antérieure de la lèvre supé- rieure de la sciss
lobe de {insula (I) qu'ils recouvrent. La face profonde du cap et la
partie
adjacente de la partie orbitaire recouvrent la
ls recouvrent. La face profonde du cap et la partie adjacente de la
partie
orbitaire recouvrent la face antérieure de l'insu
es pithéciens. Ce n'est que chez Cap de Broca. Incisure du eap.
Partie
operculaire. Direction du pied. Sillon margin
illon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - oF,, oF ? 0F3,
partie
orbitaire des première, deuxième et troisième cir
ème sillon occipital. - oa, sillon occipital antérieur. - or., oF3,
partie
orbitaire des deuxième et troisième circonvolutio
olumineuse est, dans quelques cas rares (fig. 163), divisée en deux
parties
par le premier sillon, frontal (f,) qui s'abouc
sillon, frontal (f,) qui s'abouche dans la scissure de Rolando. La
partie
supérieure de la circonvolution frontale ascend
ce cas avec la première circonvolution frontale (F,), tandis que la
partie
inférieure reçoit les pieds d'insertion des deu
t à la face interne de ,. l'hémisphère où elle forme la plus grande
partie
du lobule paracentral (Parc) (fig. 177, 180, 18
pariétale au contraire est mince, étroite, comme du reste-toute la
partie
supérieure de la circonvolution par létale asce
incisure temporale de l'oper- cule. - j, incisure de Jensen. - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
, partie orbitaire de la troisième circonvolution frontale. - OpF3,
partie
operculaire de la troisième circonvolution fronta
, partie operculaire de la troisième circonvolution frontale. - OpP2,
partie
operculaire de la circonvolution pariétale infé
ificielles, en arrière de la scissure de Sylvius et au niveau de la
partie
postérieure de ce lobe, où il s'anastomose larg
scendante (]la).- Synonymie. Processi enlcooidei vertical di mezzo (
partie
postérieure) (Rolando). - Deuxième pli ascendant
uosités de la scissure de Rolando. Elle se continue en bas, avec la
partie
postérieure du pli de passage fronto-pariétal inf
ière, parallèlement à la scissure de Rolando qu'elle contourne à sa
partie
supérieure, en contribuant à former le pli de pas
gent frontal beaucoup plus volumineux (fig. 177, 180, 181, 182). La
partie
supérieure de la circonvo- lution pariétale asc
endante est en général très mince, et beaucoup moins épaisse que la
partie
correspondante de la circonvolution frontale asce
er (ip). Le sillon inlm7Hll'Ù ! lal (il)) commence en arrière de la
partie
postéro- inférieure de la circonvolution pariét
e externe cl se distingue ainsi nettement de celui de l'homme. La
partie
du sillon interpariétal, parallèle à la scissure
me circonvolution occipitale. - Os, deuxième sillon occipital. - oF3,
partie
orbi- taire de la troisième circonvolution fron
e circonvolutions occipitales. - 0" deuxième sillon occipital. - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
s sous le nom de plis verticaux de Gromier (fig. 164, 165). Dans sa
partie
courbe, il fournit presque constamment un ramea
, qui subdivise la circonvolution pariétale inférieure (P2) en deux
parties
: l'une antérieure, le pli 7zzar,irtal.ntpc-rinur
périeur) large en avant, étroite en arrière, n'occupe qu'une petite
partie
de la con- vexité de l'hémisphère, elle s'épano
e, est située au-dessous du sillon interpariétal et divisée en deux
parties
par le sillon intermédiaire de Jensen (j) (fig. 1
deux parties par le sillon intermédiaire de Jensen (j) (fig. 166). La
partie
antérieure naît de l'extrémité inférieure de la
ontourne l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius. - Celle
partie
antérieure de la circonvolution a reçu le nom de
tal. ipo, incisure pré-occipitale. - j, incisure de Jensen : - ol ?
partie
orbitaire de la troisième circonvolutionfrontale
Gyrlls desccndens. ! Première circon- volution occipitale. deux
parties
, l'une supérieure et postérieure, qui correspond
droit avec le sillon précédent (io), puis se porte en avant vers la
partie
horizontale du sillon parallèle (t,) (fig. 150, 1
erpendiculaire externe (po) au sillon occipital transverse o.,). Sa
partie
antérieure s'anastomose avec le lobule pariétal ,
ans l'étage moyen de la base du crâne, le lobe temporal occupe la
partie
inférieure de l'hémisphère. Il se présente sous
Sylvius et limite en bas la région de l'insula qu'elle recouvre en
partie
. La face externe de ce lobe présente à étudier
ourformer l'axe du pli courbe (t',). Il présente à considérer une
partie
anté- rieure ou horizontale etune partie post
sente à considérer une partie anté- rieure ou horizontale etune
partie
postérieure ou verti- cale. Sa partie antérieur
rieure ou horizontale etune partie postérieure ou verti- cale. Sa
partie
antérieure ou horizontale sépare la pre- mièr
fréquemment avec le sillon temporal moyen (t2) (fig. 1771). Dans sa
partie
verticale (t'1), le sillon parallèle présente de
de la scissure de Sylvius, et l'extrémité correspondante de la
partie
horizontale de la scissure parallèle, un petit
médius s~ive sectl1ulus (Wagner, Ilusclil;e). - Pli temporal moyen et
partie
descendante du pli courbe (Gratiolet). - Étage
al supérieur; Pli marginal postérieur ou inférieur (Gratio- let). -
Partie
inférieure de la circonvolution de l'enceinte (Fo
de la scissure de Sylvius. Cette face, lisse en avant, recouvre la
partie
inférieure de l'insula, dont elle est séparée (
al postérieur de l' in- sula ou rigole inférieure de Broca (mp). Sa
partie
postérieure s'élargit et donne naissance à un,
cipital. -oa, sillon occipital 'lntÓrieur de 'V ernicke. -oF"oF2,oF3,
partie
orbitaire des première,deuxiëmeettroisiëmecirco
érieur; il est court, presque vertical et sépare l'insula (I) de la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
li de passage fronto-temporal, qui relie la pointe tem- porale à la
partie
orbitaire du lobe frontal. Il est longé par la ra
s) (i) de Schnopfhagen, qui divise la convexité de l'insula en deux
parties
inégales. La base de l'insula n'est pas parallè
s le sillon marginal postérieur (mp). . Schnopfhagen distingue deux
parties
dans le lobule de l'insula : l'une antérieure,
ent plus ou moins l'un de l'autre, sans arriver se souder. Mais, la
partie
inférieure du sillon sépare toujours la région an
circonvolution pariétale (Op P,). Sa largeur est fort variable, sa
partie
culminante concourt à former en partie le pôle in
argeur est fort variable, sa partie culminante concourt à former en
partie
le pôle insulaire; cette circonvolution est en
interne de l'hémisphère le cuneus (c), du précunéus (Prc) et de la
partie
postérieure du lobe limbique (L,). Cette scissu
ou moins profondément au-dessous du bourrelet du corps calleux, la
partie
rétrécie du lobe limbique connue sous le nom d'
ipital interne et inférieur de Gratiolet, est constant et occupe la
partie
inférieure de la scissure pariéto-occipitale, qu'
même trois petits plis parallèles, étendus du sommet du cunéus à la
partie
postérieure du lobe ]imbique (fig. 182, 183). L
e (fig. 182, 183). Le pli supérieur, constant égale- ment, relie la
partie
moyenne de la face profonde du précunéus à l'angl
antéro-postérieurs du cunéus (fig. 183). Scissure calcarine (K).
Partie
postérieure de la scissure des hippocampes (Grati
bourrelet du corps calleux. - cm, sillon calloso-marginal; cm', sa
partie
verticale. - D, circonvolution descendante. - Fus
l; ce pli, exceptionnellement superficiel dans la lig. 17G, est. en
partie
superficiel et en partie profond dans la lig. i i
ment superficiel dans la lig. 17G, est. en partie superficiel et en
partie
profond dans la lig. i i; dans l'immense majorité
plis peut devenir superficiel soit dans la totalité, soit dans une
partie
de son trajet, et interrompre plus ou moins com
t du tronc (Ce) du corps calleux, et se porte en arrière jusqu'à la
partie
posté- rieure de ce tronc. A ce niveau, elle se
la circonvolution parié- tale ascendante (fig. 158, 159). Dans sa
partie
antérieure et convexe, la scissure calloso-margin
de Broca (L,) de la circonvolution frontale interne (m F,). Dans sa
partie
ascendante [scissure fronlo-pariétale de Pansch),
du corps calleux, se porte en avant, et sépare à la face interne la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
ne la partie orbitaire de la première circonvolution frontale de sa
partie
supérieure. C'est le sillon sus-orbitaire de Br
ascendante (Fa). Ce lobule, générale- ment déprimé en fossette à sa
partie
moyenne, est limité en avant par le sillon para
ar le sillon paracentral ou pré-ovalaire (pare), en arrière, par la
partie
ascendante de la scissure calloso-maryinale (cm
cel (Burdach). - Lobe carré, lobus quadratus (Gratiolet, Huxley). -
Partie
du gyrus cinguli (Pansch). - Notation : P, (Ecker
: P, (Ecker) ; P, (Broca); AC, (Charcot). Limité en avant par la
partie
verticale de la scissure calloso-marginale MORP
tion qnicule de Zuckerkandl. - cent, sillon calloso-marginal; on', sa
partie
verticale. Fus, lobule fusiforme. - {., sillon
entre la scissure calcarine (K) qui la sépare du cuneus (C), et la
partie
postérieure ou occipitale de la scissure collat
t par une incisure étoilée (fig. 182), qui peut communiquer avec la
partie
posté- rieure de la scissure collatérale, le si
-CI3, carrefour olfactif de Broca.-cm, sillon calloso-marginal. cm',
partie
verticale du sillon calloso-marginal. - f3, tro
du lobule lingual. - mFi, circonvolution frontale interne. - of : ,
partie
orbitaire de la deuxième circonvolution frontal
: , partie orbitaire de la deuxième circonvolution frontale. - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fron-
volution frontale. - mF, (Gr), face interne du gyrus reclus. - oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale.
); d'après Charcot (T0). Mince en avant et en arrière, épaisse à sa
partie
moyenne, limitée en dedans par la scissure coll
ctivcs complètent l'anneau en avant. Limites du lobe imbiquo.
Parties
constituan- tes du grand lobe limbique. exi
trouve à tort décrite dans tous les traités d'anatomie, soit comme
partie
constituante du prolongement sphénoïdal du ventri
du prolongement sphénoïdal du ventricule latéral, soit à propos des
parties
constituantes du seuil ou limen de l'hémisphère.
mbiqul ? (tt il [fig. 180); elle présente en outre, au niveau de la
partie
postérieure du tronc du corps calleux, trois cr
- cielles qui la sillonnent; elle est quelquefois dédoublée dans sa
partie
fron- tale, par un sillon parallèle au sillon c
g, circonvolution godronnée. - cm, sillon calloso-marginal; cm', sa
partie
verticale. - Csc, circonvolutions sous-calleuses.
de la première circonvolution frontale. - NC, noyait caudé. - oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale.
campe. w 4 Lorsqu'on enlève, à l'aide des ciseaux ou du scalpel, la
partie
superficielle de la circonvolution de l'hippoca
r avec une série de petites circonvolutions, qui toutes occupent la
partie
profonde du subiculum de la corne d'Ammon ; ell
orne d'Ammon ; elles sont formées d'une mince écorce grise et d'une
partie
blanche centrale, et reçoivent les radiations de
rizontales, fissura posterior sine occipito-horizontalis (H. Wagner).
Partie
antérieure de la scissure des hippocampes (Grat
corps calleux (Broca). Le sillon de l'hippocampe (h), vestige de la
partie
inférieure de la scis- sure ammonique du foetus
sinus ou à la rainure, du corps calleux (sec). Très profond à sa
partie
antérieure, où il déprime fortement la paroi ve
olution frontale. z , 11lF,(Gr), gyrus rectus. - nerf optique. oF,,
partie
orbitaire de la première circonvo- lution front
cta, les nerfs de Lancisi et Yinduseum griseum, qui représentent la
partie
fronto- pariétale de la circonvolution godronné
factif en deux par- tics, l'une antérieure, l'autre postérieure. La
partie
antérieure ou le lobe olfactif antérieur (Lola)
ol), le tri- gone (Toi) et le carrefour olfactifs de Broca (CB). La
partie
postérieure ou lobe olfactif postérieur (Lolp),
Lola). Le lobe olfactif antérieur (Lola), libre dans la plus grande
partie
de son étendue, est situé sous la face orbi- ta
. Il ne s'agit pas ici d'un nerf périphérique, mais d'une véritable
partie
du cerveau, développée aux dépens de la vésicul
ive interne et la bandelette diagonale, il est en connexion avec la
partie
interne de l'espace pevfové antérieur (Spa).
9). Sa surface, de coloration gris rosée, est criblée, surtout à sa
partie
antéro- externe, de larges orifices vasculaires
corne d'Ammon de Zuc1ccrkandl (Riechbündel des Ammonshornes). La
partie
antéro-inlerne de l'espace perforé antérieur fait
t horizontales microscopiques, fig. 280, 296, 314 et 319 à 322.) La
partie
postérieure de l'espace perforé antérieur répond
eur répond a la face infé- rieure du globus pallidus (NL,, NL2), la
partie
externe à la face inférieure du 3" segment du n
veau moyen; elles se dirigent t d'avant en arrière et traversent en
partie
lasub.stancc innommée de 7 ? e/c/« ? < et l'
oré antérieur. Les bandelettes diagonales de Broca représentent une
partie
diffé- renciée de l'écorce du cerveau antérieur
. mp, sillon marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. - oP,(G¡'),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale
re de la première circonvolution frontale ou gyrus reclus. 0F1. 03,
partie
orbitaire des deuxième et troisième circonvolutio
oca. Le bulbe volumineux gris-rosé, de consistance molle, occupe la
partie
la plus antérieure de la cavité crânienne. Le c
et à sa place on constate une région absolument lisse, qui occupe la
partie
postérieure du lobule orbitaire et que Broca a
que de Broca L. Sillons : i. Sillon calloso-marginal... cm . Sa
partie
verticale .... cm' 2. Scissure sous-pariétale..
ane grise, la commissure grise de la base de Ilenle, formée par une
partie
du plancher du cerveau antérieur, parle planche
cerveau intermédiaire (plancher du troisième ventricule) et par une
partie
du plancher du cerveau moyen. La commissure gri
nlluent inférieur du liquide céphalo-rachidien, par conséquent à la
partie
la plus déclive et la plus concave de la base,
eur face supérieure à la commissure grise de la base, dans toute la
partie
avoisinant le chiasma des nerfs optiques. Toutefo
versale la forme d'un croissant à concavité supérieure et occupe la
partie
interne et supé- rieure du nerf optique du côté
isuel croisé, atteint le bord externe de la bandelette et occupe la
partie
externe du nerf optique du même côté. Faiscoa
mmissure blanche antérieure, elle est un peu . plus épaisse sur ses
parties
latérales que sur la ligne médiane, où elle est
ntrale du troisième ventricule qu'il ferme en arrière et en bas. La
partie
proéminente donne insertion à l'infundi- bulum
ne cavité, le diverticule de l'infundibulum (rif) qui représente la
partie
la plus déclive du troisième ventricule (fig. 188
a.ns son diamètre vertical. Elle est essentiellement formée de deux
parties
ou lobes, l'un postérieur, l'autre antérieur (f
voisinage du chiasma '. des nerfs optiques. Plein et compacta à sa
partie
antérieure, le lobe anté- - rieur est à sa part
et compacta à sa partie antérieure, le lobe anté- - rieur est à sa
partie
postérieure, mou, presque spongieux, et présente
embryon- naire, a émigré dans la cavité crânienne, à l'union de la
partie
chordale et préchordale de la base du crâne.
base au trou borgne et le divise en deux moitiés symétriques. La
partie
médiane de l'espace inter-pédonculaire est seule
e du tuber- cule mamillaire latéral est traversé par la plus grande
partie
des faisceaux radiculaires de la troisième pair
ver- sale des pédoncules cérébraux. Ces derniers, comme du reste la
partie
posté- ' rieure du losange opto-pédonculaire, s
ouvement est beaucoup plus \ FiG. 189. - Coupe transversale de la
partie
inférieure du pédoncule cérébral passant au voi
de telle sorte que Gudden a pu diviser le pied du pédoncule en deux
parties
inégales, l'une interne, l'autre externe. La pa
oncule en deux parties inégales, l'une interne, l'autre externe. La
partie
interne est étroite au niveau de son origine pr
n rayonnant vers la bandelette optique et croisent en éven- tail la
partie
externe du pied du pédoncule, dont ils recouvrent
ié, soit les deux tiers, voire même les trois quarts. Dans ce cas, la
partie
externe, très large au niveau de la protubéranc
eynert n'apparaît jamais Lcpieduttpëdon- cule cOI.npl'cnd 11110
partie
interne et uno partie externe. Fais''caucn''c
Lcpieduttpëdon- cule cOI.npl'cnd 11110 partie interne et uno
partie
externe. Fais''caucn''ctmr- pe do Féré. Che
chat, etc., il n'apparaît le plus souvent chez l'homme que dans la
partie
postérieure de son trajet, sa partie antérieure é
uvent chez l'homme que dans la partie postérieure de son trajet, sa
partie
antérieure étant recouverte par les fibres du p
étant recouverte par les fibres du pied du pédoncule. Il occupe la
partie
moyenne du pédoncule, et se trouve situé à égal
un faisceau aberrant, plus ou moins volumineux et inconstant, de la
partie
interne du pied du pédoncule, tandis que le tra
aît au voisinage, du tubercule quadrijumeau antérieur, contourne la
partie
moyenne du pédoncule, et pénètre dans le sillon
otte ou de l'étage su- périeur dupédoncule(tey- mentum) occupe la
partie
centrale et externe de la coupe des pédoncule
au niveau du raphé, à celle du côté opposé, dans la plus grande
partie
de son éten- due. La face interne de l'étage
ieur du pé- donculen'esten effet libre que dans une très petite
partie
de son étendue, im- médiatement en dedans du si
ig. 189, 193). Cette substance réticulée occupe dans la calotte les
parties
antéro-latérales de l'aqueduc de Sylvius. On y tr
la section transversale semi-lunaire du ruban, de Reil (HI, Rm); sa
partie
antérieure ou interne est comprise entre le locus
ou interne est comprise entre le locus niger et le noyau rouge; sa
partie
postérieure ou externe apparaît à la surface exte
e (RI, fig. 189). Dans la région Fig. 193. Coupe transversale de la
partie
supérieure du pédoncule cérébral de l'homme au
érieur (13r(p). 3° La région des tubercules quadrijumeaux occupe la
partie
postérieure du pédoncule cérébral (fig. 194) ;
l des tubel'culesquadl'ijumeaux,s'élar- git en avant, et forme à la
partie
supéro-interne des tubercules quadriju- meaux a
nar de la couche optique. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; de sa
partie
externe se détache le bras du tubercule quadrij
e le pulvinar et le corps genouillé interne, et se continue avec la
partie
externe de la bandelette optique. Nettement sép
s genouillé externe et « , le tubercule quadrijumeau antérieur, une
partie
importante du système , visuel : les centres op
es quadrijumeaux antérieurs, et donnent naissance au niveau de leur
partie
externe à un petit cordon, le bras du tubercule q
tubercules dits trijumeaux. Chez les oiseaux, ils occupent toute la
partie
latérale du cerveau moyen, atteignent la base d
Vertébrés autres que les mammifères. On rencontre constamment, à la
partie
postéro-inférieure du cerveau moyen des Vertébr
stituer la toile choroïcliemte. Cette anfractuosité porte le nom de
partie
moyenne de la grande fente céré- grave de Bicha
le, par tous les organes qui constituent le seuil ou le limen de La
partie
moyenne do la grando l'ente ccrébralo do Bich
cérébrale des hémisphères, circonscrit autour de son seuil ou de sa
partie
centrale (fig. loi). Le seuil de l'hémisphère
igone cérébral (Tg), concourt à former dans son segment externe une
partie
du plancher des ventricules latéraux (VI) ou pr
Fio. 196. Coupe vertico-transversale du tubercules mamillaires et la
partie
antérieure de la corne sphénoïdale du ventricul
s, nous allons étudier dans l'ordre suivant, la configu- ration des
parties
constituantes du seuil de l'hémisphère et les ven
ormée uniquement de fibres blanches dirigées transversa- lement. La
partie
du corps calleux que l'on aperçoit dans le fond d
it dans le fond de la fente inter-hémisphérique (Sih), constitue sa
partie
libre ou moyenne, le tronc du corps calleux.
corps calleux. La coupe de Vieussens (fig. 199) montre que par ses
parties
latérales le corps calleux envoie dans chaque h
s calleux affecte la forme leux. . d'une voûte, plus recourbée à sa
partie
antérieure qu'à sapartie postérieure, plus rapp
re. du corps calleux est distant de trois centimètres environ de la
partie
la plus élevée du bord supérieur du cerveau. Sa
18 millimètres, il atteint à peine 1 centimètre d'épaisseur dans sa
partie
moyenne. Puis il s'épaissit de nouveau à sa par
paisseur dans sa partie moyenne. Puis il s'épaissit de nouveau à sa
partie
antérieure, en se réflé- chissant brusquement d
ne pièce durcie dans le bichromate.) AqS, aqueduc de Sylvius. -B,
partie
moyenne de la fente cérébrale de Bichat. -Cal, ca
le sillon de l'hippocampe au niveau du bourrelet; il fait du reste
partie
du sillon de l'hippocampe foetal (Voy p. 12'1).
(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Sih (a), Sih (p),
parties
an- térieure et postérieure de la scissure intc
adrijumeaux et de la glande pinéale, dont elle est sépa- rée par la
partie
moyenne delà grande fente cérébrale de Bichat. C'
ment du corps calleux sur lui-même, et on peut lui considérer trois
parties
: l'une supérieure, l'autre postérieure, la tro
l'une supérieure, l'autre postérieure, la troisième inférieure. La
partie
supérieure représente l'extrémité postérieure d
re représente l'extrémité postérieure du tronc du corps calleux; la
partie
infé- rieure constitue la partie réfléchie, le
eure du tronc du corps calleux; la partie infé- rieure constitue la
partie
réfléchie, le splenium proprement dit, qu'un minc
échie, le splenium proprement dit, qu'un mince sep tum sépare de la
partie
précédente, et qui se termine en avant par un bor
illi- mètres en avant de la limite postérieure du corps calleux. La
partie
posté- rieure constitue la pièce intermédiaire
e l'extrémité du tronc du corps calleux. Cette distinction en trois
parties
du bourrelet est importante il établir car, com
rémités antérieures et pos- térieures de l'hémisphère, et comme ces
parties
reçoivent néanmoins des fibres calleuses, il fa
sertion sur la ligne médiane au septum lucidum (SI), tandis que ses
parties
latérales forment de chaque côté le plancher du v
'ont montré, dans le noyau gris central de ce tubercule. Toute la
partie
des piliers antérieurs située au-dessous du trou
RPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 347 nait dans son tubercule antérieur (Na). La
partie
du pilier antérieur du tri- gone, compriseentre
effet un faisceau indépendant du tri- gone cérébral ; il nait de la
partie
antéro-interne du tubercule mamillaire (Tm), en
ent intimement à la corne d'Ammon, qu'ils accompagnent + jusqu'à la
partie
la plus antérieure du prolongement sphénoïdal du
en rapport par l'inter- médiaire de la toile choroïdienne, avec la
partie
postérieure de la couche optique (Th), la gland
trigone s'unit intimement au forceps major du corps calleux et à la
partie
postérieure de la corne d'Ammon (fig. 204) et s
érieure de la corne d'Ammon (fig. 204) et se divise ensuite en deux
parties
, l'une externe, l'autre interne. La partie exte
divise ensuite en deux parties, l'une externe, l'autre interne. La
partie
externe fait suite à la partie interne du corps d
, l'une externe, l'autre interne. La partie externe fait suite à la
partie
interne du corps du trigone et forme la couche
re ou l'cclveu.s (ais) de la corne d'Ammon (fig. 204, 205, 206); la
partie
interne est libre, elle fait suite à la partie
ig. 204, 205, 206); la partie interne est libre, elle fait suite à la
partie
externe du corps du trigone, et suit le bord co
d'un crochet à convexité interne (fig. 205), et que sa plus grande
partie
est située en réalité à l'extérieur de la cavité
s fibres longitudinales et des fibres transversales. Par la majeure
partie
de ses fibres longitudinales, le trigone cérébral
termédiaire (tuber- cules mamillaires, couche optique) : Une petite
partie
des fibres longitudi- Le trigone contient les
égion sous- ' optique, passant par le corps genouillé externe et la
partie
externe du pédoncule cérébral. Méthode de Weige
otubérance. Py, faisceau pyramidal. Rrrt, ruban de Reil médian. Rp,
partie
pédonculaire du ruban de Reil. -SR, substance r
u velum terminale, parla bandelette optique, le ruban de Reil et la
partie
moyenne du pédoncule cérébral. Méthode cie Weiger
e, jusqu'au.'pomt, très variable suivant les individus, où ces deux
parties
se fusionnent- Quelquefois même il se pro- long
on- nées sur tout leur pourtour, et juxtaposées simplement par leur
partie
cen- traie, qui forme le ventricule du septum l
et que le cinquième ventricule ne repré- sente, en réalité, qu'une
partie
de la grande fente inter-hémisphérique, enclavé
alogue à la courbe que décrivent, autour de ce même axe, toutes les
parties
constituantes de la vésicule des hémisphères. Ce
ment postérieur (fig. 209 et 204). Le point de réunion de ces trois
parties
, au niveau de l'extrémité posté- rieure de la c
du noyau caudé (NC); elle est d'aspect semi-lunaire, et répond à la
partie
la plus large de l'étage supérieur des ventricule
est situé très près de la base de la corne frontale, en avant de la
partie
recourbée de la tête du noyau caudé. La moitié
s cornes occipitale (Voc) et sphénoïdale (Vsph) et correspond il la
partie
moyenne du ventricule latéral (cella média des
ous la forme d'une masse grise, légèrement saillante, qui occupe la
partie
externe du plancher du ventricule latéral, et f
térieure du cerveau intermédiaire (Yoy. p. 113 et fig. 52 il gui). La
partie
Fie. 208. - Étage supérieur des ventricules lat
entuée, le tubercule antérieur de la couche optique, constitué par la
partie
saillante de son noyau antérieur (Na) (fig. 213
'illis (le), estun petit faisceau de libres nerveuses qui occupe la
partie
inféro-externe du sillon opto-strié et « embrasse
tion de l'épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la
partie
du noyau caudé entouré par la masse blanche du lo
ie du noyau caudé entouré par la masse blanche du lobe frontal, de sa
partie
intra- ventriculaire. - LF, lobe frontal. LO, l
amus. - NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - t'C",
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. pCR, pied d
ime avec le pilier postérieur du trigone (Tgp). La fimbria (Fi) ou la
partie
interne libre de ce pilier, s'insère en effet l
en effet le long du bord concave de la corne d'Ammon, tandis que la
partie
adhérente ou externe du pilier recouvre la I co
che blanche connue sous le nom d'alvéus (Alv) (fig. 205 et 206). La
partie
antérieure de la corne d'Ammon est plus courte,
rne d'Ammon est plus courte, mais plus large et plus épaisse que la
partie
postérieure; elle repose sur la circonvolution
it, le diverticule du subiculum (ds), sépare la corne d'Ammon de la
partie
plane du plancher de la corne sphénoïdale et de
. Sa voûte. lobe occipital est rudimentaire. Chez ces animaux, la
partie
fronto-pariétale du ventricule latéral se conti
a corne d'Ammon, ils n'occupent donc que la corne sphénoïdale et la
partie
postérieure de l'étage supérieur du ventricule
veloppés dans le tissu conjonctif (Roland, Albarran). '' Tantes les
parties
du ventricule latéral sont tapissées par l'épendy
rsale la manière dont se fait cette réflexion, on voit que, dans la
partie
fronto- pariétale du ventricule, le point de ré
est formé : 1° dans la région de l'infundibulum (fig. 211), par la
partie
antérieure du tuber cinereum, le chiasma des ne
uc de Sylvius, et qui sépare deux cordons latéraux appartenant à la
partie
intra-ventriculaire de la région sous-optique (ST
mmé par Meynert, forme une petite saillie triangulaire, située à la
partie
postéro-interne de la couche optique. Sur les t
rs du trigone. Obersteiner décrit dans le troisième ventricule deux
parties
: l'une ver- 'T" "™ ticale, comprise entre les
Wt$|j de la face supérieure de la couche optique. Cette soi-disant
partie
horizon- tale du troisième ventricule, étendue
aisseaux et tractus conjonctifs. La face inférieure repose, par ses
parties
latérales, sur la surface extra-ventriculaire de
la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv); par sa
partie
moyenne, elle forme la limite supé- rieure du t
se jettent dans la portion antérieure du sinus - droit. - . . La
partie
moyenne de la face( inférieure de la toile choroï
e - . recouvre là membrane obturatrice du troisième ventricule, ses
parties
Fil. 213. Corps opto-striés. Toile choroïdienne
mus. - NC, tête , du noyau caudé. -onc ? queue du noyau caudé. NC",
partie
recourbée delà queue du noyau caudé. - OF, faisce
rébrale de Bichat, grande fente en forme de fer il cheval, dont les
parties
latérales entoureraient les pédoncules cérébraux,
arties latérales entoureraient les pédoncules cérébraux, et dont la
partie
moyenne serait comprise entre le bourrelet du cor
bourrelet du corps cal- leux et les tubercules quadrijumeaux. Les
parties
latérales de la fente cérébrale de Bichat ne donn
horoïdes de- ce ventricule les ferme compte- . tement en dedans. La
partie
moyenne de la fente cérébrale de Bichat ne · "
liale qui coiffe les plexus éhoroïdes des ventricules latéraux. Les
parties
latérales . de la grande fente cérébrale de Bic
es . de la grande fente cérébrale de Bichat n'existent donc pas; sa
partie
moyenne est une anfractuosité profonde et étroi
ens ayant observé que les corps striés, les couches optiques et une
partie
des jambes ou pédoncules du cerveau étaient trave
triés proprement dits de Willis, qui correspondent à la plus grande
partie
du noyau caudé. 2° Les c01'pom slniata superior
la commissure blanche antérieure et qui semblent correspondre à la
partie
inférieure et sous-épendymaire de la tête du no
lacés au- dessous de la commissure antérieure et qui font peut-être
partie
de la couche optique. 6° Les corpora striata mé
tal ou temporal, et appa- raît à la base du cerveau au niveau de la
partie
antérieure de l'espace pen- j'orr' antérieur. S
s forme de stries ou de gros faisceaux blancs, et le divise en deux
parties
ou noyaux, l'un supérieur et interne, le noyau
nt au point de réflexion de l'épendyme ventriculaire et séparant la
partie
intra-ventriculaire de la tète du noyau caudé s
tra-ventriculaire de la tète du noyau caudé située au-dessus, de la
partie
extra-ventriculaire située au-dessous et qui este
s de la couche optique (fig. 215). Epais et arrondi au niveau de la
partie
frontale du cerveau, où il se renfle pour forme
u ventri- cule latéral. Il décrit, par conséquent, comme toutes les
parties
consti- tuantes de la vésicule des hémisphères,
le plancher; sa couleur grise contraste avec la couleur blanche des
parties
environnantes, elle est recouverte par l'épen-
tion de l'épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la
partie
du noyau caudé entouré par la masse blanche du lo
ie du noyau caudé entouré par la masse blanche du lobe frontal, de sa
partie
intra- ventriculaire. LF, lobe frontal. LO, lob
thalamus. NC, tête du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NC",
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. pCR, pied d
it saillie à la base du cerveau. La queue n'est visi- ble qu'en
partie
dans le ventricule latéral. Noyau lenticulair
grise. La face inférieure, presque horizontale, est creusée dans sa
partie
antérieure d'une gouttière destinée à loger la co
minée de Reichert (Sti) qui contient trois faisceaux importants : la
partie
externe de la commissure antérieure (coa), l'an
par les fibres les plus inférieures de la capsule externe et par la
partie
morcelée de l'avazzt-nzzcr,(fig. 281). Enfin au n
enticulaire apparaît sous la forme d'une lentille biconvexe dont la
partie
moyenne repose sur l'espace perforé antérieur. Le
utamen, et ne se rencontrent que sur les coupes qui intéressent les
parties
les plus larges du noyau lenticulaire. Ils formen
travée infé- rieure, la plus volumineuse, se soude directement à la
partie
inférieure de la tête du noyau caudé, et présen
ologique entre le cerveau antérieur et le cerveau intermédiaire. La
partie
de la face supérieure de la couche optique, situé
à base antérieure, et recouverte par l'épendyme ventriculaire. La
partie
de la face supérieure de la couche optique, situé
'extrémité postérieure, libre de la couche optique. En dedans de la
partie
postéro-interne du pulvinar, la face supérieure p
nternes des deux couches optiques sont reliées Toenia thalami. Sa
partie
intra- ventriculaire. Sa partie i .Sa parti
nt reliées Toenia thalami. Sa partie intra- ventriculaire. Sa
partie
i .Sa partie extra- 1 ventriculaire. j t
enia thalami. Sa partie intra- ventriculaire. Sa partie i .Sa
partie
extra- 1 ventriculaire. j t i 1 1 Tub
. térieure ou pulvinar. 1 1 entre elles un peu en avant de leur
partie
moyenne et immédiatement au- dessus du sillon d
lamus. - NC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. j NC",
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. - OF, faisc
ïdes du ventricule latéral et le corps bordant ou bordé. ' ' A sa
partie
externe et. inférieure, le pulvinar se renfle en
Le corps genouillé interne (Cgi), le plus petit, en rapport avec les
parties
latérales de l'isthme de l'encéphale, est uni a
optique affecte avec le pédoncule cérébral sont très importants; la
partie
postérieure de sa face inférieure repose en eff
neux, qui la sépare du noyau caudé et qui constitue la plus grande
partie
des fibres du segment antérieur de, la capsule
es faces externe et inférieure de la couche optique, adhérentes aux
parties
voisines, ne peuvent être étudiées que sur des co
plus en plus en avant. Elle affecte les rapports suivants : par sa
partie
antérieure, elle pénètre dans la substance grise
nt pas à la face externe; il naît sur la face interne, contourne la
partie
antérieure de la face inférieure, entre dans la
bres à direction oblique en bas et en dedans, qui proviennent de la
partie
postérieure du lobe frontal et du lobe pariétal
le sorte qu'elle présente à la coupe l'aspect d'un S italique. A sa
partie
supérieure et antérieure, elle donne un prolong
ité en de- dans par la lame médullaire interne, dans la plus grande
partie
de son étendue, le noyau externe se confond en
cé et de colo- '1 ration grisâtre. Cette coloration claire tient en
partie
à la pénétration de nombreuses stries blanches
é et la couche optique d'autre part. Pour Vicq d'Azyr, elle faisait
partie
des corps striés ou cannelés, dont elle constitua
isait partie des corps striés ou cannelés, dont elle constituait la
partie
moyenne, blanche et striée, celle qui se contin
stance blanche des hémisphères, en haut avec le centre ovale et les
parties
latérales du corps calleux, en bas avec le pédonc
ptique (fig. 248 à 252). On peut par conséquent lui considérer deux
parties
ou ré- gions : l'une supérieure ou thalamique,
, tandis que le noyau caudé et la couche optique sont situés sur sa
partie
convexe. Cet angle porte depuis Reil le nom de
nom de segment rétro-lenticulaire (Cirl) que nous avons donné à la
partie
la plus postérieure de ce segment. Le segment p
le nom de radiations optiques, se terminent pour la plupart dans la
partie
postérieure de la couche optique dont elles con
ures passent au-des- sous du noyau lenticulaire, se jettent dans la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
comprend donc, par suite de l'arrivée du fais- ceau de Tiire/e, les
parties
constituantes du pied du pédoncule cérébral. 11
a couronne rayonnante se dirige d'arrière en avant et repose sur la
partie
antérieure du corps strié, commune au noyau cau
soit avec la substance blanche, et nous permet de suivre, dans une
partie
plus ou moins grande de leur trajet principal, le
du corps calleux, gyrus fornicatus) (LJ, sectionnée dans une grande
partie
de sa longueur et limitée en arrière par le sillo
de Rolando (R), la circonvolution pariétale ascendante (Pa), enfin la
partie
antérieure du sillon z : irtn.rparie·tal (ip) e
r le sillon irrlerparic-tcal (ip, ip, ip); elle est divisée en deux
parties
par la partie verticale du sillon parallèle (t'
rrlerparic-tcal (ip, ip, ip); elle est divisée en deux parties par la
partie
verticale du sillon parallèle (t' 1) et les deu
parallèlement, les autres perpendiculairement il leur longueur. La
partie
interne du centre ovale nettement limitée en de
du cingulum, correspond aux radina- tions du corps calleux (Ce), la
partie
externe il la couronne rayonnante (CR); celle-c
supérieur. - Il, scissure de Rolando. sp, sillon sous-pariétal. li,
partie
verticale du sillon parallèle. 390 ANATOMIE DES
dente (lignes 41 des fig. 2'17 et 218). . Cette coupe intéressse la
partie
supérieure du tronc du corps calleux (Ce), l'ex
éresse la deuxième pariétale (P) dans une grande étendue, depuis la
partie
supérieure de son pied d'insertion sur la parié
de son pied d'insertion sur la pariétale ascendante (Pa) jusqu'à la
partie
supérieure de la première circonvolution occipi
du pli courbe (Pc), mais elle est en outre incisée en avant par la
partie
verticale de la branche postérieure de la scissur
xtrémité supérieure du cunéus (C) qui n'occupe encore qu'une petite
partie
de la face interne. En avant et en arrière, le
e. Substance blanche. - Le corps calleux (Ce) est sectionné dans sa
partie
supérieure., il est limité en dehors parle vent
pendymaire de la corne occipitale. - sp, sillon sous- pariétal. t ?
partie
verticale du sillon parallèle. -tec, tsenia tecta
né au niveau de son tronc; il forme dans cette coupe la plus grande
partie
de la paroi externe du 1'cnll'Îwle latéral. En de
COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 3 : 3 Cette coupe intéresse la
partie
inférieure du tronc du corps calleux (Ce), ['ex
(Th) et du segment externe du noyau lenticulaire (NLJ, ainsi qu'une
partie
du sillon marginal supérieur de l'insula (ms).
t par la pre- mière ébauche des circonvolutions de l'insula (1). La
partie
du lobe frontal et des circonvolutions frontale
uée en avant de la scissure de Sylvius (S[p]), correspond déjà à la
partie
supérieure de l'Opercule. En arrière de la scis
ventricule est limité par le corps calleux (Ce), qui présente à sa
partie
moyenne l'insertion du septum lucidum (SI), tandi
se et qui fait saillie dans le ventricule latéral, et au niveau de la
partie
recourbée de sa queue (\G'). Entre ces deux seg
s deux segments, on trouve la couche optique (Th), sectionnée il sa
partie
supérieure, et qui présente un noyau gris centr
il sa partie supérieure, et qui présente un noyau gris central, la
partie
supérieure du noyau externe entouré d'une capsule
les fibres du faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Arc), et la
partie
supérieure de Y avant-mur (AM), sous forme d'une
- dente (lignes 48 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la
partie
supérieure du septum lucidum (SI), le noyau ant
presque toute son étendue. Le corps calleux (Ce) est séparé en deux
parties
: une partie antérieure ou genou (Cc[g]) et une
son étendue. Le corps calleux (Ce) est séparé en deux parties : une
partie
antérieure ou genou (Cc[g]) et une partie posté
aré en deux parties : une partie antérieure ou genou (Cc[g]) et une
partie
postérieure ou bourrelet (Cc[Spl]). Ces deux part
(Cc[g]) et une partie postérieure ou bourrelet (Cc[Spl]). Ces deux
parties
sont reliées entre elles par le septum lucidum
lamelle; en dedans il est en rapport avec le tcetria tecta (tec), la
partie
posté- rieure du cingulum (Cing) et les fibres
circonvolutions temporales (Tp '1 ), séparées l'une de l'autre par la
partie
infé- rieure de la circonvolution pariétale inf
upe. En arrière de la deuxième circon- volution temporale (1'2)' la
partie
verticale du sillon parallèle, (t,') incise profo
(cl). En avant de la scissure pariéto-occipilale (po), on trouve la
partie
inférieure du , ]J/'écunéus représentée par le
uche optique (Th) est volumineuse et sectionnée il peu près dans sa
partie
moyenne; le noyau antérieur (Na) est très petit,
l ? 1·.=, première et deuxième circonvolutions tempo- rales. - t ?
partie
verticale du sillon parallèle. - Tap, tapetum. -
i N , . font partie du système du pied du pédoncule cérébral. De la
partie
postérieure de la couche optique, partent des f
xième et le troisième segment du noyau lenticulaire (NL=,NL3) et la
partie
moyenne de la couche optique (Th). Écorce. L'éc
de l'insu la (I). La région de l'insu la peut être divisée en deux
parties
inégales. La partie postérieure ou rétro-insulair
région de l'insu la peut être divisée en deux parties inégales. La
partie
postérieure ou rétro-insulaire est formée par la
e en avant par le ' sillon marginal postérieur de l'insula (mp). La
partie
antérieure ou insulaire, COUPES MACROSCOPIQUES
moyenne grise, Y avant-mur (AM), qui peut être considérée comme une
partie
détachée de l'écorce insulaire, dont elle suit le
ités, enfin une couche blanche interne, la capsule externe (Ce). A la
partie
postérieure de cette dernière, et touchant la c
rmé par quatre, quelquefois cinq circonvolutions, et séparé en deux
parties
inégales par un sillon constant, le sillon insula
ou (Cc[g]) et de son bourrelet (Cc[Spll). Ce dernier s'unit sur ses
parties
latérales au corps et au pilier postérieur du t
egment moyen (NL,) existe seul ici, ne fait pas à proprement parler
partie
du noyau lenticulaire, mais représente avec le
éborde en arrière le noyau lenticulaire, dans toute l'étendue de la
partie
postérieure de la couche optique qui correspond
s calleux, dans la région du trou de Monro (NIo); elle intéresse la
partie
moyenne de la rouclie optique (Th), la région t
par la deuxième ci,»- convolution occipitale (0,), qui concourt en
partie
à la formation de la pointe occipitale, et qui
e interne apparaît, entre la surface de section du cunéus (C) et la
partie
postérieure du lobe limbique (L,), un nouveau lob
(C) de la première occipitale (0,); une autre fois au niveau de sa
partie
moyenne qui subdivise la circonvolution leux. C
ENTRES NERVEUX. du cunéus; une troisième fois enfin au niveau de sa
partie
antérieure ; la scissure est ici très voisine d
particularités sont visibles à l'oeil nu. Elle est divisée en deux
parties
inégales par une raie blanche, connue sous le nom
e est intéressé au niveau de l'isthme anlécalcarinien (L,) et de la
partie
inférieure du pli P[l1'irJto-limbir¡ue postérieur
ïdes des ventricules latéraux (Voy. coupe précédente, fig. 324). La
partie
adhérente du trigone concourt à formel* l'alvéu
tapetum (Tap) et les couches sagittales du lobe occipital, dont la
partie
interne est formée par les radiations thalamiqu
artie interne est formée par les radiations thalamiques (RTh) et la
partie
externe par le faisceau longitu- COUPES MACROSC
nterne (Cip). La couche optique (Th) est intéressée au niveau de sa
partie
moyenne. Son bord interne est divisé en deux pa
au niveau de sa partie moyenne. Son bord interne est divisé en deux
parties
: l'antérieure est longée par le l se nia lltcc
ntales portant sur la sois sure calcarine (K) intéressent donc à la
partie
moyenne le lobule lingual, en avant de ce derni
pital ; il se divise au niveau de la région rétro-insulaire en deux
parties
, une partie externe, qui s'irradie dans la prem
se divise au niveau de la région rétro-insulaire en deux parties, une
partie
externe, qui s'irradie dans la première circonv
nt on peut suivre les faisceaux jusqu'à la pointe temporale, et une
partie
antérieure qui recouvre la face externe du noya
un faisceau d'association occipito-tezyoonal, qui dégénère dans sa
partie
temporale, à la suite des lésions du lobe occip
lobe occipital, ainsi que nous l'avons constaté plusieurs fois. La
partie
interne de la couche sagittale est formée par les
terne (Ne) et interne et le ganglion de l'habénula (Gh), situé à la
partie
interne de la couche optique qu'il divise en de
situé à la partie interne de la couche optique qu'il divise en deux
parties
. La partie antérieure est tapissée par la substan
artie interne de la couche optique qu'il divise en deux parties. La
partie
antérieure est tapissée par la substance grise
r la substance grise centrale (Sgc) du troisième ventricule (VJ. La
partie
postérieure est extraventri- culaire et apparti
La capsule interne est intéressée dans la plus grande étendue de sa
partie
l/tal(t7jtlq,te. C'est dans cette région qu'elle
sceau longitudinal inférieur (Fli). On peut donc le diviser en deux
parties
: l'une antérieure, la plus étendue ou lenticulo-
avec la zone réticulée (Zr) du noyau externe du thalamus (Ne). La
partie
lenticulo-optique (Cip) du segment postérieur de
e blanche antérieure (coa), par la commissure postérieure (cop), la
partie
inférieure de la couche optique (Th)et l'extrém
ue, et recouvre en avant le pilier antérieur du trigone (Tga) et la
partie
antérieure ou moyenne de la commissure aulérieu
entriculaire et de la corne occipitale (Voc) pré- sente en avant la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé (NC'), en ar
leur coloration pâle. La couche optique (Th) est intéressée dans sa
partie
inférieure. La lame 111 ? dullaire interne (Lmi
e il celle du côté opposé par la commis- sure postérieure (cop). La
partie
de la couche optique située en avant de la com-
r (Pul) qui est libre, et concourt à former la lèvre supérieure de la
partie
moyenne de la fente cérébrale de Bichant. Cou
passe par les commissures antérieure (coa) et postérieure (cop), la
partie
supérieure de la région sous- optique de la cap
e supérieure de la région sous- optique de la capsule interne et la
partie
inférieure de la circonvolution de l'hippocampe
res de l'insula (la), au nombre de trois à quatre, en rapport avec la
partie
operculaire de la troisième circonvolution fron
le l'extrémité antérieure du lobe limbique (L,), qu'il sépare de la
partie
profonde du genou du corps calleux (Ce). Le cor
entes, dans le noyau externe du thalamus, elles se réunissent il la
partie
antéro-interne du segment postérieur de la capsul
e le sillon triradié ou sillon eu H (f3), le pôle de l'insula et la
partie
profonde du sillon collatéral (ot). Elle passe pa
,). L'écorce de la face externe du lobe frontal est divisée en deux
parties
par un sillon profond, le sillon en H, sillon,
ceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphenoïdale du ventricule latéral.
partie
interne appartient aux etdeuxième circonvolutions
frontales (1; "r) séparées par le premier sillon frontal (f,). La
partie
externe de l'écorce est formée par la partie orbi
illon frontal (f,). La partie externe de l'écorce est formée par la
partie
orbilaire de la troisième circonvolution fronta
; puis viennent la deuxième circonvolution occipitale (0), enfin la
partie
inférieure de la première circonvolution occipi
continue avec la circonvolution de. l'hippocampe (H' qui déprime à sa
partie
externe la paroi ventriculaire , et produit la
ngue des couches blanches voisines par sa richesse en vaisseaux. A sa
partie
externe, on trouve encore les derniers vestiges
tal (OF) qui se confond avec la masse blanche du lobe frontal. A sa
partie
interne, appa- rait le genou du corps calleux (
e petite lamelle médul- laire, supplémentaire, mais constante. A la
partie
antéro-interne du segment moyen (NL.,), se trou
, qu'il sépare des derniers vestiges du segment antérieur (Cia). La
partie
la plus large de l'anse du noyau lenticulaire est
La couche optique a disparu, elle n'est plus représentée que par sa
partie
postérieure et libre, le pulvinar (Pul), dans l
nt postérieur de la capsule interne (Cip) et reçoit la plus grande.
partie
des fibres horizontales qui transversent cette de
nouillé interne (Cgi). , Le noyau rouge (NR) est arrondi, occupe la
partie
postéro-interne de la région : sous-optique et pr
a partie postéro-interne de la région : sous-optique et présente à sa
partie
interne un faisceau sectionné transversale- men
de Meynert (FM). Le corps genouillé interne (Cgi) fait saillie à la
partie
postérieure de la région sous-optique. Il se pr
s'étendant du noyau lenticulaire au corps de Luys et appartenant en
partie
au système du faisceau lenticulaire de 422 ANAT
y. Coupes microscopiques de la cahsccle inherne (ig. 309, 310]), en
partie
à celui du corps de Luys (CL). Fic.. 230. - Cou
COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 423 Mais il reçoit en outre à sa
partie
tout il fait postérieure des fibres hori- zonta
que l'un de nous l'a montré, à la suite de lésions limi- tées il la
partie
moyenne du lobe temporal. Coupe n° 70 (fig. 230
Cette coupe passe par la substance innommée de Reichert (Sti) et la
partie
supérieure du pédoncule cérébral (P). ' Écorce.
al délimité et morcelé par des fibres blanches qui appartiennent en
partie
au faisceau, uncinalus (Fuj. La substance grise
avec la capsule externe (Ce). Il n'est nettement circonscrit qu'à la
partie
posté- rieure de la corne sphénoïdale. Le tapet
érieur du trigone. TgV, tri- gons ou carrefour ventriculaire. - t ?
partie
verticale du sillon parallèle. - C ? incisure du
tance grise, et coiffé du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa). A la
partie
moyenne, le noyau rouge (NR), le ruban de 7M mé
e l'aqueduc de Sylvius, le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La
partie
antéro-externe de la région sous-optique est co
able grâce a son aspect lamel- laire et cordiforme. Au niveau de la
partie
externe du corps genouillé externe, partie qui
diforme. Au niveau de la partie externe du corps genouillé externe,
partie
qui répond à sa face dorsale, on trouve une régio
elà de la région pédonculaire supérieure, où ses libres entrent, en
partie
dans la capsule blanche qui entoure le noyau roug
partie dans la capsule blanche qui entoure le noyau rouge (NR), en
partie
se dirigent en arrière, parallèlement au raphé, d
t à la direction de leurs fibres. L'antérieur est constitué par les
parties
latérales de la commissure blanche nu 1(;- rieu
blanche nu 1(;- rieure (coa) que nous avons vue sectionnée dans sa
partie
moyenne sur les coupes n°5 63 et 65 (fig. 227 e
é rieure du putamen (NLJ ; un mince pédicule relie ce dernier à la
partie
recruta nee ae ia queue du noyau caudé Le noyau
es, disposés en trois ou quatre rangées, et qui correspondent il la
partie
externe de la substance perforée antérieure de
che grise située en dedans des orifices vasculaires correspond à la
partie
interne de la substance perforée antérieure (Sp
qui entre déjà dans la constitution du tuber cinereum (Te) et de la
partie
profonde du tubercule mamillaire (Tm). Dans la
ières fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contournent la
partie
antéro-interne du pied du pédoncule cérébral (P
e antéro-interne du pied du pédoncule cérébral (P), pour occuper la
partie
la plus antérieure de la calotte, en avant du n
la sub- stance perforée postérieure (Spp). Cette coupe intéresse la
partie
postérieure du tuber cinereum (Te) et par consé
e la partie postérieure du tuber cinereum (Te) et par conséquent la
partie
la plus déclive du troisième ven- tricule (Va),
détacher de la base du cerveau à laquelle il n'est relié que par sa
partie
antérieure, au niveau de la substance perforée
i s'irradie en arrière dans le corps genouillé externe (Cge). Les
parties
constituantes du pédoncule ne sont indiquées sur
sse par la bandelette optique (II), le noyau amygdalicoa (NA) et la
partie
inférieure du corps strié. Écorce. - L'écorce d
et 231) et auxquelles nous renvoyons. Il n'en est pas de même de la
partie
centrale. La bandelette optique (II) est ici sect
interne et externe, un bord inférieur et un bord supérieur. Dans sa
partie
antérieure, au contraire, la bandelette s'étale j
scissure de S ! Ilviiis; il réunit la pointe du lobe temporal à la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
, ) avec le premier vestige du sillon olfac- tir (fI), en dehors la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
porales (T T=, T), le sillon occipital anté- rieur (oa), une petite
partie
de la troisième circonvolution occipitale (p.) qu
ule lingual (Lg) du lobule fusiforme (Fus) et le subdivise en trois
parties
, une partie postérieure qui appartient à la point
Lg) du lobule fusiforme (Fus) et le subdivise en trois parties, une
partie
postérieure qui appartient à la pointe occipita
ond et largement ouvert en dehors. La coupe intéresse, en effet, la
partie
antérieure de ce sillon, immédiatement en arriè
u faisceau uncinatus (Fu), situées de chaque côté de l'écorce de la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
circonvolu- tions occipitales. o, deuxième sillon occipital. - or ?
partie
orbitaire de la troisième cir- convolution fron
éral. 432 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cette coupe sectionne les
parties
inférieures de l'hémisphère cérébral; elle rase
er orbitaire est intéressé au niveau du gyrus rectus (mF,) et de la
partie
orbitaire des première et troisième circonvolut
ofond, le troi- sième sillon frontal ou sillon en ff{i3), limite la
partie
orbitaire de la première cir- convolution front
la première cir- convolution frontale en dehors, et la sépare de la
partie
orbitaire de la deuxième circonvolution frontal
sillon en H, sépare la première circonvolution frontale (F,), de la
partie
orbitaire de la troisième frontale (F). Cette der
fig. 183) la limite antérieure de l'espace perforé antérieur. A la
partie
postérieure du sillon olfactif, on trouve une sur
ant, le faisceau uncinalus (Fu) le sépare de l'écorce temporale. La
partie
postérieure de la paroi externe de la corne sphé-
(Fli). La paroi interne de la corne sphénoïdale, est formée par la
partie
la plus large et la plus épaisse de la corne d'
rconvolution frontale (F3C) (fig. 238 et 239) est subdivisé en deux
parties
inégales par l'incisure du cap (ic) ; la partie s
subdivisé en deux parties inégales par l'incisure du cap (ic) ; la
partie
supérieure est en con- nexionaveclepied de la t
sur les coupes nos 40 et 43 (fis. 240, 241),-est séparée de la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fi'o
taire du lobe frontal. La moitié externe est consti- tuée par la
partie
orbitaire de la /1'oisÙhne cil'convolll- tion
isures du sillon en H (f3). La moitié interne est formée par la
partie
orbitaire de la pre- mÎl)l'e ch'convola/ion {1'
ig. 237), la face interne verticale du lobe frontal est formée à sa
partie
moyenne par la première cÏi'con- volution limbi
circonvolu- tion frontale. - OF, faisceau occipito-frontal. - oF,,
partie
orbitairc de la premièrc circonvolution 1 ? ont
taire de la première circonvolution frontale (gyrus reclus). - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolu- tion fron
DES CENTRES NERVEUX. divise la face interne du lobe frontal en deux
parties
inégales, qui comprennent chacune la surface de
, séparées par le sillon calloso-margillal (cm), peu marqué dans la
partie
inférieure de la face in- terne, mais qui en in
rieure de la face in- terne, mais qui en incise pro- fondément la
partie
supé- rieure. En haut, la face interne de la
lecttc (tec); cette disposition se retrouve aussi bien dans la
partie
supérieure, que dans la partie inférieure de la
n se retrouve aussi bien dans la partie supérieure, que dans la
partie
inférieure de la face in- terne du lobe frontal
noyaux gris de la base. La coupe n° 30 (fit. 237) passe par la
partie
antérieure du lobe frontal et n'intéresse pas
nvolution frontale ' interne. - OF, faisceau occipito-frontal. oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
e la première circonvolution frontale. oF,{Gr) gyrus recuis. - oF,,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
t seul noyau, le corps strié, que la capsule interne divise en deux
parties
, l'une interne, intra-veulriculairc ou noyau caud
l. mF,, face interne de la première circonvolution frontale. oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale.
,, partie orbitaire de la première circonvolution frontale. oF(Gr),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
taire de la première circonvolution frontale (gyrus reclus). - oF,,
partie
orbitaire de la troi- sième circonvolution fron
'une lame ver- licale,coudée, et dont le coude correspond il la
partie
orbitaire de la troisième ci ? convolution fr
de la troisième ci ? convolution frontale (oF3). Large dans sa
partie
supérieure , cette lame s'effile dans sa part
. Large dans sa partie supérieure , cette lame s'effile dans sa
partie
infé- rieure, décrit uuc courbe à concavité
fibres d'association qui entoure le sillon, olfactif '(fi). La
partie
inférieure de la cott- ronne rayonnante se
olution. - NC, noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. - oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
première circonvolution frontale. - oF,(Gr), gyrus rectus. - or.3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
oyau lenticulaire (putamen). - OF, faisceau occipito-frontal.- oF,,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
a première circonvolution frontale. - oF,(Go), gyrus reclus. - or ?
partie
orbitaire de la troisième cir- convolution fron
coupes intéressent le genou du corps calleux (Ce [g]), dont la
partie
interne est formée de fibres transversales
terne est formée de fibres transversales presque parallèles, la
partie
externe par des fibres qui s'infléchis- sent
43 et 46 (fig. 240-242) le genou du corps calleux comprend deux
parties
. La par- tic supérieure, épaisse, se continue
es coupes ultérieures avec le tronc du corps cal- leux (Ce), la
partie
in- férieure s'amincit et s'effile pour forme
noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. - oF,,
partie
orbi- taire de la première circonvolution front
tie orbi- taire de la première circonvolution frontale. - ol'i(Gr),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
taire de la première circonvolution frontale (gyrus rectus). - oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
I) et la face interne de la première circonvolution frontale (mF,),
parties
qui appartiennent toutes au manteau cérébral, et
corps calleux (Ce), le sommet correspond au lobe limbique (L,). La
partie
du cingulum qui correspond au bec du corps call
s'effile, s'atténue et disparaît sur la coupe n° 55 (fig. 243). La
partie
supérieure du cingulum forme dans toute la série
rise sOlls-ëpendymaÍt'e (Sge) (coupes nos 33 et 37, fig. 238-239). Sa
partie
inférieure ou orbitaire, se confond avec la par
ig. 238-239). Sa partie inférieure ou orbitaire, se confond avec la
partie
correspondante du pied de la couronne rayonnant
ncinalus (Fu) d'une part (coupes nos 40 et 43, ü ? t0-`3-li), et la
partie
supérieure de la capsule externe (C), d'autre par
uncinalus (Fu) constitue un faisceau fortement arqué, qui réunit la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
pes intéressent les circonvolutions antérieures de l'insula (1), la
partie
inférieure de la circonvolution frontale ascendan
(lit. 21n), au niveau de l'espace perforé antérieur (Spa) et de la
partie
moyenne de la commissure antérieure (coa) ; la
u lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-frontal. oF, (G,'),
partie
orbitaire de lapremièrecirconvo- lutin frontale
rbitaire de lapremièrecirconvo- lutin frontale (gyrus rectus). oh ?
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
x. - 17, ventricule latéral. \, pont de substance grise unissant la
partie
inférieure des noyaux caudé et lenticulaire. 44
s, ainsi que dans toutes celles qui suivront, jusqu'au niveau de la
partie
postérieure du bourrelet du corps calleux, le c
ps calleux, elle est légèrement oblique en bas et en dehors dans sa
partie
inférieure, qui correspond au lobe sphénoïdal ; l
s dans sa partie inférieure, qui correspond au lobe sphénoïdal ; la
partie
moyenne est occupée par les gros ganglions de l
inférieure de la cir- convolution frontale ascendante (Fa), dans la
partie
qui concourt à la formation de l'opercule rolan
enne, qui s'applique sur ]'ojJel'clrle,. une face externe, qui fait
partie
de la convexité de l'hémisphère, et une face infé
ments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - oI.1,
partie
orbi- taire de la troisième circonvolution fron
I.1, partie orbi- taire de la troisième circonvolution frontale.o/,
partie
olfactive do la commissure antérieure. OpR, ope
ale (mFj) ou gyrus reclus (oF1[Gr]); la coupe intéresse en outre la
partie
postérieure du lobule orbitaire et le tubercule
tubercule olfactif (Tol), qui sépare le gyrus reclus (oF,[Gr]) de la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
t intimement unis et présentent la forme d'un fer à cheval, dont la
partie
moyenne, située en dedans et en bas, est formée
laire, dont il représente d'après Meynert la cinquième couche; à sa
partie
inférieure il se fusionne avec le troi- sième s
CERVEAU. 449 calleux (Cc). Le noyau caudé (NC) ne forme plus que la
partie
supérieure de sa paroi interne; dans l'angle in
) le traverse obliquement en bas et en dehors, et le sépare en deux
parties
inégales. La commissure blanche antérieure est in
s. La commissure blanche antérieure est intéressée en effet dans sa
partie
antérieure, au niveau du large coude qu'elle form
e grise centrale (Sgc), tandis que son extrémité externe atteint la
partie
inférieure de la lame médullaire externe (lme) du
sculaires (ov) qui répondent aux artères lenticulo-striées, et à la
partie
externe de la substance perforée anté- rieure.(
. Cette coupe n° 60 (fig. 244) passe immédiatement en arrière-de la
partie
orbitaire du lobe frontal; elle intéresse dans sa
ière-de la partie orbitaire du lobe frontal; elle intéresse dans sa
partie
interne l'espace per- foré antérieur (Spa) et d
ans sa partie interne l'espace per- foré antérieur (Spa) et dans sa
partie
externe l'écorce grise de la troisième circon-
nt les fibres les plus supérieures entrent dans la constitution de la
partie
infé- rieure de la capsule exterzze (Ce), et do
s et internes de la couche optique (Th). Ces fibres qui viennent en
partie
du segment du lobe temporal, situé en avant de la
e du locus niger dans la région de la calotte, dont elles occupent la
partie
la plus antérieure. Le pédoncule inféro-interze
minaisons. La coupe intéresse en outre le tuber cinereum (Te) et la
partie
la plus déclive du troisième ventricule (Va), ' v
te sous l'aspect d'une fente étroite et verticale, divisée en 'deux
parties
par sillon de Monro (sM). La partie supérieure
et verticale, divisée en 'deux parties par sillon de Monro (sM). La
partie
supérieure ou thalamique estlimité'e îàr-le't ? n
lium qui recouvre les ple.xncschoroïdes du troisième ventricule. La
partie
inférieure appartient à la région sous-thalamique
69 passe par le noyau antérieur (Na) de la couche optique (Th), la
partie
antérieure du pédoncule cérébral (P), le tubercul
cule latéral (VI) est intéressé dans son étage supérieur et dans la
partie
antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph). L'étag
ps calleux (Ce), la paroi inférieure par le noyau caudé (NC ! et la
partie
attenante de la couche optique (Thi. Son bord e
on des plexus choroïdes (Pchl) du ventricule latéral divise en deux
parties
; la partie la scissure de Sylvius. - Sexe, surf
xus choroïdes (Pchl) du ventricule latéral divise en deux parties; la
partie
la scissure de Sylvius. - Sexe, surface extra-v
MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 457 cher du ventricule latéral (VI); la
partie
interne est extra-venlriculaire (Sevx); elle es
faisceau de Vicq d'Azyr (Va), que la coupe n° 69 intéresse dans sa
partie
supé- rieure et que la coupe n° 71 sectionne da
s par le lobule paracentral (Parc), le pédoncule cérébral (P) et la
partie
antérieure de la protubérance (Po). Écorce. - L
droits, à savoir : une première fois au niveau de son tronc dans la
partie
moyenne du ventricule latéral, en dehors de la
uillé externe (Cge) ou du pzz.lvinar (Pul); elle est séparée de ces
parties
par la lame cornée : 1c) et les libres du txnia s
ue, après avoir formé le pulvinar, se rétrécit et se réduit dans sa
partie
inférieure au corps genouillé externe, puis il
également, repose en dedans sur le locus niger (Ln), en dehors sur la
partie
.sous-tlcalataiqur, de la capsule interne (Cip)
venant du lobe telllp°l'o-occipital qui concourt il former toute sa
partie
inférieure. Il s'agit du faisceau longitudinal
la première circonvolution temporale (T,) et d'autre part, dans la
partie
inférieure de la capside externe (Ce). Ces co
- Il, bandelette optique. - Ill, fibres radiculaires de la troisième
partie
464 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (NL3), qui
z35 et 336. Ces coupes intéressent le lobule paracentral (Parc), la
partie
postérieure de la branche postérieure de la sci
la scissure de Sylvius S (p), le corps genouillé externe (Cge), la
partie
externe du pied du pédoncule cérébral (P) et la r
est très réduit de volume. Ces coupes n'intéressent en effet que la
partie
postérieure de son tronc (NC) au niveau de l'ét
u locus niger (Ln). Le noyau rouge (NR) a diminué égale- ment. A sa
partie
inféro-interne on trouve la section des fibres ra
erne (Cgi) apparaît sur la coupe n° 83 (fig. 252) où il recouvre la
partie
externe du pied du pédoncule (P). Sur les coupe
uillé externe (Cge), et les radiations thalamiques qui abordent les
parties
inférieures de la couche optique, s'entre-croisen
est encore visible sur la coupe n° 83 (fig. 252), qui intéresse la
partie
la plus postérieure de la capsule externe (Ce)
calleux (Ce), nous trouvons le trigone (Tg) qui lui est uni dans sa
partie
interne, et qui ne se distingue du corps calleux
ois dernières coupes (fig. 25 ? 25t et 255) intéressent en outre la
partie
postérieure de la calotte ou étage supérieur du p
xtrêmement rapprochées passent par le lobule paracentral (Parc), la
partie
supérieure des circonvolutions frontale et pariét
Pa) et la circonvolution pariétale inférieure (1\) au niveau de la
partie
antérieure du pli courbe (Pc). Elles intéressent
relet du corps calleux (Cc [Spl]), le pulvinar (Pul) et toutes les
parties
qui recouvrent en arrière la surface extra-vent
n"S 92. et 93 (fig. °356 et 357); les autres coupes intéressent sa
partie
supérieure. En dehors de la scissure de Rolando
circonvolution pariétale inférieure (P2) sectionnée au niveau de la
partie
antérieure du pli courbe (Pc), le sillon parallèl
Ii0), la face interne de la circonvolution de es[ divisée en trois
parties
; la partie supé- Fil;. 257. - Coupe vertico-tra
ce interne de la circonvolution de es[ divisée en trois parties; la
partie
supé- Fil;. 257. - Coupe vertico-transversale d
limbique. le, lame cornée. Lms, lame médullaire superficielle. NC,
partie
réfléchie de la queue du noyau caudé. - ot, sil
commune aux scissures calcarine et ]JOI'iélo-occipi/alc (K+po); la
partie
moyenne correspond au pied d'insertion du pli 1'é
ne correspond au pied d'insertion du pli 1'étl'o-limúiquc (-rl); la
partie
inférieure enfin, à la circonvolution de l'hippoc
in', forceps minor. - Fus, lobule fusiforme. - H, hippocampe. H(i;,
partie
inférieure ou hippocampique de l'isthme du lobe l
volution limbique. - Lms, lame médullaire super- ficielle. - z\'C',
partie
réfléchie de la queue du noyau caudé. - ot, sillo
circonvolution change de forme. La coupe intéresse en effet ici la
partie
postérieure du bourrelet du corps calleux (Ce [Sp
la partie postérieure du bourrelet du corps calleux (Ce [Spl]) et la
partie
correspondante du sillon de l'hippocampe (h), a
ctionné en effet au niveau de son bourrelet (Spl), c'est-à-dire de sa
partie
recour- bée ce qui explique son épaisseur consi
ier postérieur du trigone (Tgp) Ü son origine, c'est-à-dire dans la
partie
qui recouvre le pulvinar (Pul) et qui se porte
zorz (CA). Les coupes nos 95 et 97 (fig. 258 et 259) intéressent sa
partie
postérieure; le pilier ptostérieur (Tgp) forme su
rrefour ventriculaire; cette coupe présente par conséquent toutes les
parties
qui limitent le carrefour ventriculaire en avan
trigone (Tgp), la lame cornée (le) et la queue du noyau caudé (NC'),
parties
qui forment le plancher de l'étage supérieur du
259, 260) intéressent le carrefour ventriculaire, c'est-il-dire la
partie
commune aux cornes occipitale et sphénoïdale et
s 92 et 93 (fig. 256 et 257 intéres- sent le pulvinar (Pul) dans sa
partie
libre et extra-venlriculaire. Sa face supé- rie
est en rap- COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 'r7;i port avec sa
partie
interne. Sa face externe est séparée du noyau cau
Fin, forceps major. Fus, lobule fusiforme. - II, hippocampe. H(i),
partie
inférieure ou hippocampique de l'isthme du lobe h
EUX. coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93 (fig. 257) intéresse la
partie
postérieure de sa queue immédiatement en avant
phénoïdale (Vsph). La coupe n° 95 (fig. 258), enfin, inté- resse la
partie
la plus saillante de l'arc décrit par la queue du
dinal inférieur. Fm', forceps minor. Fus, lobule fusiforme. If (i),
partie
inférieure ou hippocampique de l'isthme du lobe l
ssous du diverli- cule du subiculum (ds), languette située comme la
partie
principale de ce fais- veau, entre le tapetum (
'une part, les fibres courtes d'association ,¡¡'autre part. Dans sa
partie
inférieure, sa limite est extrêmement netle. Il d
ressé que sur la coupe n° 92 (fit. 256), qui correspond encore à la
partie
la plus postérieure de la scissure sylvienne, a
re du bourrelet du corps calleux. Les deux premières passent par la
partie
postérieure du lobule paracentral (Parc), les a
nt où l'écorce est extrêmement réduite, point qui cor- respond à la
partie
profonde du bourrelet, du corps calleux (forceps
nvolutions du lobe limbique (L, et H). Le lobe limbique comprend deux
parties
, une partie supérieure qui se confond avec le p
obe limbique (L, et H). Le lobe limbique comprend deux parties, une
partie
supérieure qui se confond avec le précunéus (PrC)
(PrC), dont il est séparé par la scissure sous-pariétale (sp), une
partie
inférieure, l'isthme du lobe limbique (L (i)) q
l'isthme du lobe limbique (L (i)) qui se continue en avant avec la
partie
postérieure de la circonvolution de l'hippocamp
limbique et du précunéus, nous trouvons en contournant l'écorce, la
partie
verticale du sillon calloso-marginal (cm') et la
'écorce, la partie verticale du sillon calloso-marginal (cm') et la
partie
postérieure du lobule paracentral (Parc). La face
l (ip), la deuxième circonvolution pariétale (P2)' que subdivise la
partie
verticale du sillon parallèle (t',) dans la rég
30. (Grandeur naturelle.) Cc, corps calleux. Cing, cingulum. - cm'.
partie
verticale du sillon calloso-margiual. - CO, cen
allèlement à son trajet (coupe n° 116, fig. 263) la subdivise en deux
parties
: la partie inférieure de cette circonvolution
n trajet (coupe n° 116, fig. 263) la subdivise en deux parties : la
partie
inférieure de cette circonvolution appartient au
face interne du lobe occipital. Elles n'intéressent en effet que la
partie
antérieure du cunéus, celle qui est en rapport av
hors par la scis- sure collatérale (ot), le lobule lingual fait
partie
à la fois de la face interne et de la face in
faces répond, non pas à la scissure calcarine (K), " mais à la
partie
su- périeure du lobule lingual. La scissure
irection de ses fibres. Situé d'abord au-dessus du cunéus dans la
partie
infé- rieure du lobe limbique (L,) (coupe n°
(L,) (coupe n° 107), le forceps major se place bientôt dans la
partie
centrale du cunéus (itcl etC), au sur et il mes
n,zcr(>;li), ce dernier toujours très nettement délimité dans sa
partie
inférieure et externe. Dès que la scissure calc
essé sur la coupe n° 105 (fig. 261) où il est situé au niveau de la
partie
supérieure et interne du bourrelet du corps cal-
Dans la pointe occipitale (coupe n° 133, fig. 265), au niveau de la
partie
moyenne du CtliU : us (C), un faisceau foncé, rec
frontale (mu,,), se confond en bas par sa masse blan- che avec la
partie
anté- rieure de la première ci ? - convolutio
hère. Le lobule paracentral (Parc), bien délimité en arrière par la
partie
verticale du sillon calloso-marginal (cm'), l'e
nt en arrière avec le lobule paracentral, formé dans sa plus grande
partie
par la circonvolution frontale asceî ? - dante
la circonvolution frontale asceî ? - dante (Fa) et dans une petite
partie
par la circonvolution pariétale ascendante (Pa).
'Olandique supérieur (prs) et délimite ce lobule en avant. Entre la
partie
verticale du sillon calloso-1lwl'ginal (cm') et
é ici dans toute son étendue. La coupe ne sectionne en effet que la
partie
du lobule lingual qui appartient à la face inte
calleux (splénium).CM,cingu]uin.cn ! ,SiIIoncaUoso- ! )tnrgmal. -cm',
partie
COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 480 vertica
- Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolution occipitale. - oF,
partie
orbi- taire de la première circonvolution front
laire.- Uv, uvula (luette) ? JÕ'ù.\j,W¡";L"'\5'eq, d'Azyr. F (Czr),
partie
supérieure (culinen) du vermis. V (De), partiq'in
s plexus choroïdes (Pchl) séparent le ventricule latéral (VI) de la
partie
moyenne de la fente cérébrale de Bichat (B). Cett
a paroi inférieure du ventricule latéral (VI) la coupe intéresse la
partie
saillante de la tète du noyau caudé, unie au tr
au ovalaire très foncé. En arrière du corps strié et faisant encore
partie
du plancher du ven- utricule latéral, on trouve
l. La face supérieure de la couche optique (Th) est divisée en deux
parties
par l'in- sertion des plexus choroïdes des vent
n- sertion des plexus choroïdes des ventricules latéraux (Pchl). La
partie
antérieure est intra-ventriculaire et concourt
avec le noyau caudé a former le plancher du ventricule latéral; la
partie
postérieure est extra-ventriculaire ; elle se con
el (F). En arrière et au-dessous de la couche optique on trouve les
parties
constituantes du cerveau moyen, que le locus nige
stituantes du cerveau moyen, que le locus niger (Ln) divise en deux
parties
inégales : l'une antéro-inférieure, l'autre posté
négales : l'une antéro-inférieure, l'autre postéro-supé- rieure; la
partie
antéro-inférieure constitue l'étage inférieur ou
e constitue l'étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral (P); la
partie
postéro-supérieure, beaucoup plus considérable, f
i se dirige obliquement en haut et en arrière, et qui représente la
partie
supérieure du faisceau rétroflexe de Jfe ! JneJ't
figure 267. Cette coupe passe par le trigone olfactif (Toi), par la
partie
externe du tubercule mamillaire (Tm) et du tube
circonvolutions que la coupe précédente, mais comprend en outre la
partie
la plus interne de la circonvolution du crochet
ous du bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), on trouve également la
partie
inférieure du sinus du corps calleux (sec), qui
sentent la première ébauche de la séparation du corps strié en deux
parties
: noyau caudé (NC) et putamen (troi- sième segm
e noyau lenticulaire (\Ly), encore très réduit de volume, occupe la
partie
inférieure du corps strié; il est séparé de la
rise qui correspond à la première ébauche du globus pallidums, A la
partie
supérieure de la commissure antérieure (coa), on
trouve une veine volumi- gulum. cm, sillon calloso-marginal. - cm',
partie
verticale du sillon calloso-marginal. - coa, co
re circon- volution occipitale. Oc, olive cérébelleuse. - oF, (Gr),
partie
orbitaire de la première circon- volution front
ertion des plexus choroïdes (Pchl) divise la couche optique en deux
parties
: l'une intra, l'autre extra-venlri- culaire. D
En arrière du noyau interne, le pulvinar (Pul) fait saillie dans la
partie
moyenne de la fente cérébrale de l31claal. Au-d
commissure postérieure (cop) sectionnée perpen- diculairement et la
partie
externe du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa);
ramidal (Py). La prolubé- rance (Po) est sectionnée au niveau de sa
partie
externe et ne présente de parti- culier à noter
édoncule cérébelleux moyen (Pcm), au moment où elles contournent la
partie
externe de la protubérance. La calotte de la pr
cérébelleuse (Oc) et une petite dépression arrondie, appartenant la
partie
supérieure du quatrième ventricule (V ? ). La c
udé (NC) et les trois segments du noyau lenticulaire (NL, 2' ,), la
partie
moyenne du corps de COUPES MACROSCOPIQUES DU, C
isthme (i). La scissure calcarine (K) n'est représentée que par ses
parties
antérieure et postérieure. Le ruban, de Vicq d'Az
e (Vsph) est sectionnée il son extrémité antérieure. Entre ces deux
parties
on trouve sur cette coupe un espace compris ent
artient il la surface extérieure de l'encéphale et en particulier aux
parties
latérales de la fente cérébrale de Bichat Noy
0, première circonvolution occipitale. Ou, olive cérébelleuse. oF\,
partie
orbiLairc de la première circonvolution frontale.
VEUX. segment antérieur de la capsule interne (Cia), en avant de la
partie
antérieure du noyau externe (Ne) du thalamus (T
let ne présente rien de particulier il noter. La coupe intéresse la
partie
moyenne de Y hémisphère cérébelleux, la partie ex
a coupe intéresse la partie moyenne de Y hémisphère cérébelleux, la
partie
externe du corps rhomboïdal ou de l'olive céréb
s pariéto-occipitale (po) et calca- rine (K), et n'intéresse que la
partie
moyenne, c'est-à-dire la partie la plus profond
ca- rine (K), et n'intéresse que la partie moyenne, c'est-à-dire la
partie
la plus profonde de la branche commune aux scis
parallèlement à sa longueur, la circonvolution du crochet (U) et une
partie
du pôle temporal (T2)' Cette coupe montre, ains
llée de 6'y/f; ! M (VS) se continue directement en arrière avec les
parties
dites latérales de la fente cérébrale de Bichat,
t en avant, pour se continuer au niveau du seuil de Yinsula avec la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
allée de Sylvius (VS) les circonvolutions et sillons suivants : les
parties
li/'bitaÏ1'es des troisième, deuxième et première
r le sillon, collatéral (ot). Cette circonvolution correspond il la
partie
la plus interne du lobule fusiforme (Fus). En a
ée par la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) et la
partie
orbilaire de la troisième circonvolution fronta
orne d'.4ml/wl/ (CA). Cette dernière est intéressée au niveau de la
partie
profonde du sillon de l'hippocampe (h), lequel
ampe (H). Dans le fond du sillon de l'hippocampe (h) on aperçoit la
partie
supérieure de la circonvolution godronnée (Cg).
pculIL'ulution de l'hippocampe (H) el forme la lèvre inférieure des
parties
latérales de la fente cérébrale de lïichat. Au-de
es circonvolutions sous-cal- leuses (Csc), et se continuent avec la
partie
postérieure de la circonvolution godronnée (Cg)
ésente le faisceau inférieur ou minor (Fm'). Ventricule latéral. La
partie
moyenne du ventricule latéral n'est repré- sent
uettes de substance grise. Dans la concavité que décrivent ces deux
parties
du corps strié, se logent le segment antérieur
, au niveau de sa face extra-vcnlriculaire, elle fait saillie sur les
parties
latérales de la fente cérébrale de Bichat, et s
rébral (P), dont elle est séparée par la zone réticulée (zr). Les
parties
antérieures du pied du pédoncule céréGnal (P) se
0, première et deuxième circonvolutions occipitale ? oFt.oF.j, oF"
partie
orhitairc des première, deuxième et troisième cir
t an-dessous du noyau lenticulaire (NL3' NL,, \L,) avec celle de la
partie
orbilaire de la troisième circonvolution fronta
lume; la corne d'Ammon (CA) dimi- nue, son écorce se continue il la
partie
antérieure et il la partie postérieure du sillo
dimi- nue, son écorce se continue il la partie antérieure et il la
partie
postérieure du sillon de l'hippocampe (h) avec
cipitale (Voc) la saillie de V ergot de Jloraud (EM) (fig. 371). La
partie
l}'(l il tale du ventricule latéral a disparu,
CR). Le noyau caudé est sectionné une première fois au niveau de la
partie
re- courbée de la queue (NC'), au-dessus du pul
la queue (NC'), au-dessus du pulvinar (Pul); une seconde fois, à la
partie
supérieure de sa tête (NC), où il est réduit à qu
qui semblent s'irradier dans le putamen ne font que tra- verser sa
partie
supérieure. Ces fibres qui constituent le segment
n (NL3) et le segment externe du globus pallidus (NL,) ainsi que la
partie
externe du pulvinar (Pul). Elle sectionne dans
de substance blanche, l'alvéu.s (Alv) qui se continue au niveau des
parties
latérales de la fente céré- 1)J'ale de Bichat (
médullaire moyenne. Le ventricule latéral est encore formé par deux
parties
complètement séparées, la corne sphénoïdale (Vs
s segments. Oi, première circonvolution occipitale. oF,, oF ? 0l'3,
partie
orbitaire des pre- mière, deuxième et troisième
du pulvinar (Pul) est donc extra-ventriculaire,' et correspond aux
parties
latérales de la fente cérébrale de Bichat (B).
u noyau caudé (NC"). Le thalamus (Th) est sectionné au niveau de la
partie
externe du piulvinar (Pul); il est entouré en h
e d'Am- mon. NA, noyau amygdalien. 1VC', queue du noyau caudé. NC",
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. NL3, i'L,
lenticu- laire. 02, deuxième circonvolution occipitale. - oF2, OF3,
partie
orbitaire des deuxième et troisième circonvolut
ntricule latéral. Elle laisse par conséquent, au dedans d'elle, les
parties
latérales de la fente cérébrale de Bichat et tout
supérieur. NA, noyau amygdalien. - NC, queue du noyau caudé. - NC",
partie
recourbée de la queuc du noyau caudé. - NL,, pu
dé. - NL,, putamcn. - 0" deuxième circonvolution occipitale. oF" oF3,
partie
orbitaire des deuxième et troisième circonvolut
e circonvolutions temporales. - Th, couche optique (thalamus). - t'l,
partie
verti- cale du sillon parallèle. - T'oc, corne
au lenticulaire ou pédoncule du putamen (PNL3). Il se détache de la
partie
externe du putamen, au niveau de l'extrémité an
mzc (ANI) doublé du faisceau uncinatus (Fu) ; celui-ci, situé il la
partie
antérieure de Y in su la (la), relie la face or
trémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé (NC") et la
partie
de la queue du noyau caudé qui fait saillie dans
u- lière que sur les coupes précédentes, elle est interrompue il sa
partie
moyenne par le sillon marginal supérieur de l'i
lle se confond netternent avec les radiations thalamiques (RTh). Sa
partie
antéro-supérieure est embrassée par les fibres lé
Os, 0,; deuxième et troisième circonvolutions occipitales. oF2, oFs,
partie
orbitaire des deuxième et troisième circonvolut
. - Ti, T3, première et troisième circonvolutions temporales. - t\,
partie
verticale du sillon parallèle ? deuxième sillon t
r. 0,,03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - 0F3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
le segment antérieur est oblique en haut et en arrière, et dont la
partie
postérieure décrit une courbe assez accentuée. Ce
décrit une courbe assez accentuée. Ces fibres appar- tiennent il la
partie
inférieure du segment postérieur et au segment li
la région sous-optique supérieure, entre le noyau lenticulaire et la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé (NC') pour
ales, Y avant-mur n'est sectionné que sur les coupes passant par la
partie
externe de l'hémisphère, celles qui intéressent
oncée, un anneau ouvert en bas et en avant, au niveau 33 P,(Gsm),
partie
inférieure de la deuxième circonvolution pariétal
Il, l" 1 ? premier, deuxième et troisième sillons temporaux. - t ?
partie
verticale du sillon parallèle. Si4 Il ANATOMIE
olution pw'iélalelinlél'iew'c(P2' Gsm), (P.,) et le sillon (ip). La
partie
antérieure de la circonvolution pariétale inférie
Gsm) correspond il la base du gyrus supra-marginalis (OpP2,Gsm). La
partie
postérieure de la circon- volution pariétale in
cisure du sillon intel'-paJ>ÙJtal (ip) et par une incisure de la
partie
verticale du sillon parallèle (t',). Cette part
ne incisure de la partie verticale du sillon parallèle (t',). Cette
partie
postérieure de la circonvolution pariétale in fér
ant la branche verticale de la scissure de Sylvius (S [v],) et à sa
partie
moyenne le sillon insulaire (i), qui divise l'ins
eur (Fli). Ce dernier est particulièrement accentué au niveau de la
partie
postérieure de la corne sphénoïdale. Coupe n° 4
de la scissure de Sylvius (S [a]), est limitée par l'opercule de la
partie
orbitaire de la troisième cir- convolution fron
l'opercule sylvien proprement dit. Cet opercule est divisé en trois
parties
par deux incisures de la scissure de Sylvius, l
ec la région insulaire de la coupe n° 37 (fig. 276), on voit que la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
. - Os, 03, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. oF3,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
cette coupe passe par la deuxième circonvolution frontale (F.,) la
partie
moyenne des circonvolutions rolandique. (Fa, Pa),
ième circozzvolzc- tion temporale (T : ¡). En avant, l'écorce de la
partie
orbitaire de la troisième circonvo- lution fl'O
e la troisième circonvo- lution fl'Ontale (oF3) se continue avec la
partie
externe de cette même circonvo-. lution (F.,);
autrement nets et de donner une mise au point exacte de toutes les
parties
de la préparation. I. La première série de coup
t t instructives. 3° Le la capsule externe, le morcellement de la
partie
infé- rieure de l' avant-mur par les fibres du
ntre celles de la série I, soit sagittales, destinées à montrer une
partie
du trajet des fibres de ces régions, qui comptent
arallèlement a la direction de ses fibres; on le voit contourner la
partie
antérieure du segment posté- rieur de la région
tique de la capsule interne, pour entrer dans la constitution de la
partie
interne de la capsule du noyau rouge. La coupe
aux gris centraux, la capsule interne, la région sous-optique et la
partie
supérieure du pédoncule cérébral. La coupe supé
atoyline, constitué par les libres calleuses (Ce). Très épais il la
partie
interne et supérieure de la substance grise sou
e circonvolution frontale. - OF, faisceau occipito-frontal. - ouf.,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale.
artie orbitaire de la première circonvolution frontale. - ol', (G)'),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
taire de la première circonvolution frontale (gyrus reclus). - oFa,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution fronta
x (Voy. coupes suivantes). On les voit très nettement contourner la
partie
supérieure de la substance grise s01ls-épendymail
réfléchies et forment un faisceau allongé, qui se prolonge dans la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale
axe, qui forment un faisceau volumineux et allongé au niveau de la
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
as partout la même. Nous venons de voir qu'elle est formée clans sa
partie
supérieure par des fibres qui s'irradient dans la
circonvolution frontale (Fj) (face externe et face interne). Dans sa
partie
moyenne elle est formée de fibres sectionnées t
oupe, à savoir, dans la deuxième circonvolution frontale et dans la
partie
antérieure de la première circonvolution frontale
dans et s'irradient soit dans le gyrus reclus (oF,[Gr]), soit dans la
partie
adjacente de la face interne de la première cir
ion. Les fibres d'association sont particulièrement abondantes à la
partie
externe de la coupe; elles occu- pent l'espace
cérébrale, et s'entre-croisent avec les fibres tangentielles de la
partie
moyenne de l'écorce qui forment la ligne externe
e vertico-transversale n° 37, (hg. 239). Cette coupe passe par la
partie
antérieure du genou du corps calleux (Ce) et l'
s circonvolutions frontales à la face externe du lobe frontal et la
partie
orbitaire des première (oF,) et troisième circonv
ment un faisceau compacte, qui se coude brusquement au niveau de la
partie
orbitaire de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU.
ière circonvolution frontale. - OF, faisceau occipito-frontal. oFi,
partie
orbitaire do la première circonvolution frontale.
i, partie orbitaire do la première circonvolution frontale. oF, (Gr),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
itaire de la première circonvolution frontale (gyrus rectus). -oFa,
partie
orbitaire de la troisième circon- volution fron
s il myéline s'entre-croisant dans tous les sens, et appartenant en
partie
au faisceau occipito-frontal; elles dégé- nèren
oupée en gros fascicules. Ces couches se dédoublent au niveau de la
partie
supéro-externe de la corne frontale, les fibres
ontale (niF,), et dans la première circonvolution limbique (L,). La
partie
inféro-externe de la cou- ronne rayonnante (CR)
ronne rayonnante (CR) présente un premier coude, qui correspond à la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
a première circonvolution frontale (F,), (pal'lie interne [mu;], ou
partie
orbitaire [oF,]) on ne distingue pas de faiscea
ur axe, et l'on peut suivre quelques fibres qui s'irradient dans la
partie
adjacente de la face interne de la ]iI'e- mière
capsule interne (Cia). Le corps strié est intéressé au niveau de sa
partie
antérieure, ou partie commune au noyau caudé et
Le corps strié est intéressé au niveau de sa partie antérieure, ou
partie
commune au noyau caudé et au putamen. Le noyau
externe du ventricule latéral (VI); le putamen (NL .,) repose sur la
partie
antérieure de la capsule externe (Ce) et de Y a
ment antérieur de la capsule interne (Cia). Ils sont réunis il leur
partie
inféro-interne par un large pont de substance g
ochet, l'angle inférieur du ventricule latéral, mais sa plus grande
partie
se porte en dehors pour se réunir au puta- men
lairement à leur axe, fibres qui entrent dans la constitution de la
partie
inférieure du segment antérieur de la capsule i
ces fibres de projection du corps strié prédominent cependant dans la
partie
infé- rieure du segment antérieur de la capsule
es du segment antérieur de la capsule interne (Cia) font suite a la
partie
inférieure des fibres de la couronne rayonnante d
u parallèlement. L'écorce de l'insula (1) s'élargit au niveau de sa
partie
inférieure. Dans sa partie verticale, on voit s'i
e l'insula (1) s'élargit au niveau de sa partie inférieure. Dans sa
partie
verticale, on voit s'irra- dier des libres qui
ouve la section oblique du faisceau uncinalus (Vu); au niveau de sa
partie
inférieure, les fibres radiées sont clairsemées
S NERVEUX. trouve l'avant-mur (AM), qui se présente au niveau de la
partie
externe du pu- lumen (NL3), sous forme d'une la
forme d'une lame étroite et brisée qui se dédouble au niveau de sa
partie
supérieure et se perd au voisinage du sillon marg
nage du sillon marginal supérieur de l'insula (ms). Au niveau de la
partie
horizontale du putamen, l'avant-mur (AM') se pr
dedans, soit vers le faisceau occipito- frontal (OF), soit vers la
partie
recourbée des fibres calleuses (Ce). Quant au fai
onstitution du pied de la couronne rayonnante, dont elles occupent la
partie
interne. Ce sont elles qui forment la traînée d
nsversale macroscopique de la figure 244 Cette coupe passe par la
partie
moyenne de la commissure antérieure (coa), le s
s-épendymaire (Sge, Sgé). Celle-ci est très abondante au niveau de la
partie
inférieure de la tête du noyau caudé (NC) et de
s aborde le segment externe du globus pallidus (NL) au niveau de sa
partie
supérieure. Les fascicules volumineux qui apparai
méthodes de Pal ou de Weigerl. Ces libres sillonnent la plus grande
partie
du globus pallidus sous forme d'un feutrage trè
d'autant plus obliquement, que l'on se rapproche davan- tage de la
partie
inférieure de ce segment antérieur de la capsule
parallèlement il leur axe. Ces fibres, peu abondantes au niveau de la
partie
inférieure du putamen (I1 ? ) où elles dissocie
? ) où elles dissocient l'avant-mur (AM), reçoivent au niveau de la
partie
inférieure de l'insula (I) quelques fibres du fai
le externe (Ce) on trouve l'avant-mur (AM), morcelé au niveau de sa
partie
inférieure (AM') par le faisceau uncinalus (Fu) e
uncinatus (Fu) se pro- longe dans le lobe temporal et s'irradie en
partie
dans la première circonvolution temporale (tel)
tre ce sillon et l'écorce de la circon- volution du crochet (U), la
partie
inférieure du faisceau uncinalus (Fu) est disso-
s languettes de substance grise, qui appartiennent à l'écorce de la
partie
profonde et postérieure de la circonvolution du c
rd inférieur du ventricule latéral (VI), on trouve la section de la
partie
moyenne de la commissure antérieure (coa). Elle e
s III et IV), montre qu'elles se portent en arrière, contournent la
partie
sous-thalamique du segment postérieur de la capsu
vasculaires. Au-dessous de la commissure antérieure, au niveau de la
partie
la plus externe de l'espace perforé antérieur,
se por- tent en haut et en dedans. On les voit apparaître entre la
partie
morcelée de- Y avant-mur (AM') et le pédoncule
le du putamen (pal3) et on peut les suivre jus- qu'au-dessous de la
partie
postérieure de l'anse du noyau lenticulaire. Suiv
est divisée en deux par- ties par le sillon de Monro (sM). Dans la
partie
inférieure, ou région sous-optique, on trouve,
dans de l'anse du noyau lenticulaire (Al), la section oblique de la
partie
du pilier antérieur du trigone (Tga) qui s'enfonc
bres de l'anse du noyau lenticulaire (Al), fibres qui traversent la
partie
supérieure du pilier antérieur du trigone. Au-des
euses fibres du segment antérieur de la capsule interne (Cia). La
partie
supérieure du segment antérieur de la capsule int
2\'5, . Al, anse du noyau lenticulaire. - AJI, av;mt-rnur. - 1VI',
partie
de l'avant-mur morcelée COUPES MICROSCOPIQUES D
NL,), le segment antérieur de la capsule interne se divise en trois
parties
: la partie interne et supérieure forme le stmt
ent antérieur de la capsule interne se divise en trois parties : la
partie
interne et supérieure forme le stmtllm zonale d
supérieure forme le stmtllm zonale de la couche optique (strz); la
partie
moyenne forme un faisceau allongé et effilé qui
ette coupe on voit très nettement que l'avant-mur est formé de deux
parties
: une partie verticale (AM) qui côtoie la circonv
voit très nettement que l'avant-mur est formé de deux parties : une
partie
verticale (AM) qui côtoie la circonvolution de l'
verticale (AM) qui côtoie la circonvolution de l'insula (1), et une
partie
inférieure (AM'), morcelée par le faisceau uncina
ien (NA). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) est séparé de la
partie
morcelée de l'avant-mur (AM') par les fibres du
deuxième segment du noyau lenticulaire, divisant ce segment en deux
parties
. - lnzi, lame médullaire interne du noyau lenti
bas. Elle passe par le segment postérieur de la capsule interne, la
partie
antérieure du pied du pédoncule cérébral (P), l
interne, la partie antérieure du pied du pédoncule cérébral (P), la
partie
moyenne de la couche optique (Th) et intéresse la
al (P), la partie moyenne de la couche optique (Th) et intéresse la
partie
anté- rieure de la circonvolution frontale asce
et ne présente pas l'ampleur des coupes de la série précédente. La
partie
supérieure de la coupe ne présente rien de partic
dirigées obliquement en haut et en dedans et qui pénètrent dans la
partie
inférieure du putamen (nul,). Ces fibres appart
pallidus, partent un très grand nombre de libres qui traversent la
partie
sous-thalamique de la capsule interne et abordent
du sillon opto- slrié au taenia thalami (tth), est divisée en deux
parties
par une encoche qui cor- respond au sillon chor
x parties par une encoche qui cor- respond au sillon choroïdien. La
partie
externe de cette face appartient au ventricule
ment de dehors en dedans la recouvre ; ces fibres proviennent de la
partie
supérieure de la capsule interne et du pied de
t s'entre-croisent avec les fibres du système lenlicztlo-caztdé. La
partie
interne de la face supérieure de la couche opti
éticulée. (Zr), avec des faisceaux semblables venus des différentes
parties
de l'écorce cérébrale. Outre les fibres radiaires
e du thalamus, en dedans du pied du pédoncule cérébral (P) et de la
partie
inférieure du segment postérieur de la capsule
che optique au tubercule mamillaire. Du champ de Forel (F) et de la
partie
interne du corps de Luys, se détachent des fibr
sure de Forel (eF)(Voy. fig. 3)t, 3l6, 327). Ces fibres occupent la
partie
inférieure du troisième ventricule ou la voûte
se le segment postérieur de la capsule interne (Cip), formé de deux
parties
inégales, l'une supérieure, l'autre inférieure. L
a région lhalamique du segment postérieur de la capsule interne, la
partie
inférieure iL la région sous-thalamique de ce seg
nte (pCR) et affectent un trajet presque horizontal au niveau de la
partie
supérieure de la capsule interne. Les fibres radi
grand nombre va constituer le faisceau pyramidal du bulbe. Dans la
partie
supérieure de la région thalamique de la capsule,
on thalamiques; elles se grou- pent en faisceaux parallèles dans la
partie
inférieure, de telle sorte que l'enche- vêtreme
constituent les fibres de projection du. noyau caudé, traversent la
partie
supérieure de la capsule interne, s'entre-croisen
pied du pédoncule cérébral (J. Dejerine). Elles sont séparées de la
partie
interne du corps de Luys (CL) par la première éba
Cette coupe sectionne les circonvolutions rolandiques (Fa, Pa), la
partie
.postérieure de la circonvolution du crochet (U
(NR) et les radiations de la calotte (RC). Elle intéresse en outre la
partie
moyenne du pied du pédoncule cérébral (P) et de
cérébral (P) et de l'étage antérieur de la protubérance (Poa). La
partie
supérieure de cette coupe ne présente rien de par
ui, dépassant la lame médullaire interne du thalamus, atteignent la
partie
moyenne du noyau interne (Ni). Le noyau externe
noyau, qui, traversant la lame médullaire interne, pénètrent clans la
partie
supéro- externe du centre médian de Luys. Du ri
otte (RC) qui émergent du noyau rouge (NR), puis se portent dans la
partie
externe de la calotte du noyau rouge et entrent
médullaires du thalamus. Le noyau rouge (NR) occupe la plus grande
partie
de la région sous-optique et de la calotte du p
oupe sous la forme d'un noyau arrondi, très irrégulier, étranglé sa
partie
moyenne et sil- lonné par de très gros fascicul
allèle. Ces fascicules sont particulièrement serrés au niveau de la
partie
inféro-interne du noyau rouge, où ils font suite
(III) qui embrassent la convexité inférieure du noyau rouge. De la
partie
supéro-externe du noyau rouge (NR) se détachent l
éesles unes contre les autres et qui se rendent, pourla plus grande
partie
, dans le pied du pédoncule cérébral (P). Elles af
érébral (P) COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 347 au niveau de sa
partie
externe, formant ainsi le faisceau externe du péd
1 a même série que les coupes I, II, III, IV, V. Elle intéresse la
partie
moyenne de la couche optique (Th), le noyau ronge
qui se rendent dans la lame médullaire du noyau lenticulaire. De la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé (NC') situ
ule COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 549 interne au niveau de la
partie
supérieure de la région sous-thalamique, les supé
se portent en haut et en dehors et sont sectionnés au niveau de la
partie
inférieure de la lame médullaire externe du tha
ce sont les radiations de la calotte (HC), qui pénètrent en grande
partie
dans la couche optique dans un plan situé un peu
s antérieures de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tiit'ck. FT',
partie
du faisceau de Tiirck, venant des deuxième et t
putamen. A'R, noyau rouge. OF. faisceau occipito- frontal. - Coppa.
partie
pariétale de l'opercule rolandique. - ol, sillon
outre les fibres lenliculo-caudées qui tra- versent obliquement sa
partie
supérieure, puis des libres du putamen (NL.,) qui
tie supérieure, puis des libres du putamen (NL.,) qui traversent sa
partie
inférieure et se portent en dedans vers le locus
cette coupe en particulier, dans la première temporale (F1''1\). La
partie
du faisceau de Tiirck, qui vient des deuxième e
sent la région thalamique de la capsule interne et se rendent il la
partie
inférieure de la couche optique. Les fibres du fa
(1893), que les fibres qui dégénèrent à la suite d'une lésion de la
partie
moyenne du lobe temporal; occupent le sixième e
uche de libres foncées, nettement sectionnées en travers et dont la
partie
supérieure est traversée par le faisceau de 7'ü
par le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), la
partie
postérieure de la couche optique (Th), la coiii-
e-croisement du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), ainsi que la
partie
postérieure du pied du pédoncule cérébral (P)et
radiées. Celle pénétration est particulièrement nette au niveau de la
partie
supé- rieure et de la partie inférieure de la c
particulièrement nette au niveau de la partie supé- rieure et de la
partie
inférieure de la capsule interne. Les fibres radi
laris et du corps genouillé exter»e (Cge), puis s'irradient dans la
partie
inférieure de la couche optique et dans le corps
ns thalamiques formant le pédoncule postérieur du thalamus. . S(p),
partie
postérieure de la scissure de Sylvius. - sec, sin
la zone claire, située entre le corps genouillé externe (Cge) et la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé (NC, La co
édul- laire externe (Lme) se présentent, au moins au niveau de leur
partie
supérieure, comme sur les coupes précédentes. D
e leur partie supérieure, comme sur les coupes précédentes. Dans la
partie
inférieure du thalamus, au voisinage du corps g
erne. (Cge) on trouve le corps genouillé interne (Cgi), situé il la
partie
inférieure de la couche optique et qui envoie de
r le locus niger (Ln).Ces libres deviennent très ondu- leuses il la
partie
inférieure du pédoncule, où elles pénètrent, dans
substance grise centrale de l'aqueduc divisent cette région en deux
parties
: la partie antérieure est surtout constituée p
rise centrale de l'aqueduc divisent cette région en deux parties : la
partie
antérieure est surtout constituée par l'entre-c
face d'insertion, la coupe les intéresse en effet au niveau de leur
partie
postérieure. Le ventricule est tapissé par la s
sse : elle est sectionnée en effet immé- diatement en arrière de la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé. Le bourre
e divise au niveau de l'angle externe du ventricule latéral en deux
parties
: la partie supérieure contourne, comme sur les c
iveau de l'angle externe du ventricule latéral en deux parties : la
partie
supérieure contourne, comme sur les coupes précéd
pour constituer le forceps major ou postérieur du corps calleux. La
partie
infé- rieure du bourrelet du corps calleux se p
pré- sente un coude qui correspond au lobule lingual (Lg); toute la
partie
de la face interne située au-dessus est vertica
cale et correspond il la scissure znleo-Iézn.i.vlrlcé- l'iqlll', la
partie
située au-dessous est oblique en bas et en dehors
un anneau complet la corne occipitale. Très épaisse au niveau de la
partie
inférieure et de l'angle inféro-externe, celte
t de l'angle inféro-externe, celte couche se réduit au niveau de la
partie
supérieure et interne de la corne occipitale, l
ne du cunéus (C), le faisceau de Sachs (ftcS) passe au-dessus de la
partie
supérieure du faisceau longitudinal inférieur (Fl
au niveau du diverticule de la corne occipitale. Elle passe par la
partie
infé- rieure du corps calleux (Ce), l'extrémité
cipitale (Voc) ne se prolongent guère sur cette coupe au delà de la
partie
moyenne de Yergol de 111ol'and,. de ce point ju
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 363 s'épaissit au niveau de la
partie
postérieure de ce diverticule. La substance blan-
ne. Cex, capsule cxtrème. - Cg, circonvolution godronnée. - Cge(d),
partie
dorsale du corps genouillé externe. Cge(v), parti
onnée. - Cge(d), partie dorsale du corps genouillé externe. Cge(v),
partie
ventrale du corps genouillé externe. COUPES MIC
Intimement uni au bourrelet du corps calleux le trigone entoure la
partie
supérieure de la corne d'Azmon (CA) dont il forme
93) passant par la ligne B de la fig. 291. Cette coupe intéresse la
partie
inférieure du lobule lingual (Lg), les trois ci
sceau de Tiirck (FT), faisceau qui entre dans la constitution de la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
gments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. OF',
partie
du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans lt
lle intéresse deux segments du noyau lenticulaire (NL3' NL2), et la
partie
moyenne de la couche optique (Th). Cette coupe
llaire interne (Lmi) du thalamus et peuvent être suivies jusqu'à la
partie
moyenne du noyau interne (Ni) du thalamus. Ce m
contact immédiat avec la substance grise sous-épendymaire (Sge). Une
partie
des fibres du faisceau occipilo-fronlal (OF') s
nante, et s'ir- radie dans les circonvolutions frontales; une autre
partie
située en dedans des fibres de la couronne rayo
te du lobe temporal. Il n'est sectionné sur cette coupe que dans sa
partie
antérieure, celle qui contourne le sillon margina
297) il s'unit au faisceau longitu- dinal inférieur et morcelle la
partie
horizontale de l'avant-mur. En dehors du sillon
nage des sillons, marginaux antérieur et postérieur de l'insula. La
partie
postérieure de la capsule externe (Ce) reçoit,
Fu) (Voy. coupe E, fig. 297). Les fibres fortement colorées de la
partie
antérieure de la capsule externe appartiennent
es fibres de la couronne rayonnante (CR) puis s'irra- dient dans la
partie
orbitaire de la première circonvolution, frontale
dus (lmi,lmi') se porter horizontalement en dedans et contourner la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule il
dedans du corps de Luys (CL), puis se confond avec les fibres de la
partie
interne de la capsule du noyau rouge (NR). La p
s fibres de la partie interne de la capsule du noyau rouge (NR). La
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
issent le globus pallidus (NL,, NL,) au corps de Luys (CL). De la
partie
externe de la capsule du noyau rouge on voit se d
des première et troisième circonvolutions frontales (oF,, oF3), la
partie
morcelée de l'avant-mur (AM) et le crochet de l
ue (II), le corps genouillé externe (Cge) le noyau rouge (NR) et la
partie
moyenne du tubercule mamillaire (Tm). Elle sectio
aris. - Ln, locus niger. ma, sillon marginal antérieur. - mF, (Gr),
partie
orbitaire de la face interne de la première cir
r oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau rouge. - oF,, oF,,
partie
orbitaire des première et troisième circonvolutio
de fascicules fortement colorés, un peu ondulés, qui traversent la
partie
inférieure du corps strié (CNC) et appartiennent
s des artères lenli- culo-slriées. Ces amas gris appartiennent à la
partie
horizontale et morcelée de l'avant-mur (AM), et
sposées en gros fascicules, que l'on voit s'irradier en avant dans la
partie
orbitaire les première et troisième circonvolut
latéral (Tml). De ce ganglion partent des fibres qui contournent la
partie
antéro-interne du pied du pédoncule cérébral (P
576 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gros fascicules qui morcellent sa
partie
externe, ainsi que la partie contiguë de l'avan
EUX. gros fascicules qui morcellent sa partie externe, ainsi que la
partie
contiguë de l'avant-mur (AM) uni à l'écorce tem
t il con- tourne les radiations llaalanaiqucs(IT1), s'enchevêtre en
partie
avec elles, embrasse le noyau amygdalien. (NA)
s'irradie dans l'écorce adjacente. Les faisceaux qui sillonnent les
parties
morcelées de l'avant-mur (AM) appartiennent au fa
ette de ? MtH'. III. COUPES HORIZONTALES MICROSCOPIQUES Sériée LA
PARTIE
SUPERIEURE DU TRONC ENCEPHALIQUE (CAP- SULE INT
ig. 299. Celte coupe intéresse le centre ovale (CO) et passe par la
partie
supé- rieure de la première circonvolution limb
toute son étendue; elle sectionne en outre le fond des sillons et la
partie
pro- fonde de la plupart des circonvolutions de
la masse blanche; celles qui proviennent du fond des sillons et des
parties
avoisinantes forment les fibres d'association cou
s fibres blanches, dès qu'elles ont dépassé le fond des sillons. La
partie
externe et postérieure de la masse blanche est
ulement quelques fibres, mais même des groupes de fibres. Dans la
partie
centrale seule de la coupe, il existe de véritabl
é par l'hématoxyline, constitue le cingulum (Cing), qui lic. 299. -
Partie
moyenne de la face interne de l'hémisphère gauche
corps calleux. - Cing, cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. cm',
partie
verti- cale du sillon calloso-marôinal. - F" F3
delà elles se perdent dans la couche des fibres d'associafion..A la
partie
moyenne des radiations du corps calleux, il exi
bstance grise sozt.c-r%per7cl,znaire (Sge) n'est intéressée qu'à sa
partie
moyenne. La troisième couche de fibres différen
) qui tapisse l'angle externe du ventricule latéral (VI) est par la
partie
inférieure de la première circonvolution limbiq
de particulier à noter. Le fond du sillon inter-pariétal (ip) a en
partie
disparu. La circonvolu- tiou pariétale ascendan
résente au - COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 581 ' niveau de sa
partie
moyenne un aspect un peu particulier; elle est in
toxyline, et qui appartiennent au cingulum (Cing). Très mince il sa
partie
moyenne où il est refoulé par les radiations du
ssit en avant et en arrière, au niveau du point où il contourne les
parties
antérieure et postérieure du sinus du corps cal
elles se présentent toujours sous la forme d'un faisceau large il sa
partie
moyenne, effilé à ses extrémités, nettement dél
xtrémités, nettement délimité du cingulum en dedans au niveau de sa
partie
moyenne, et de l'enchevêtrement des fibres sous-c
, passant par la ligne 3 de la ligure 299. Cette coupe passe par la
partie
supérieure du noyau caudé (NC), le tronc du cor
ce interne, la coupe intéresse le tronc du corps calleux (Ce) dans sa
partie
supérieure. L'écorce grise de la première circo
ee grise à direction antéro-postérieure, et qui appartiennent à cette
partie
de l'écorce rudimentaire et avortée, qui consti
sur les coupes plus infé- rieures, et qui se dirigent tous vers la
partie
supérieure du noyau lenticulaire, reste au-dess
03), passant par la ligne de la figure 299. Cette coupe passe parla
partie
moyenne du tronc du corps calleux (Ce), par le
sociation, d'avec le système des fibres de projection qui occupe la
partie
moyenne de la coupe. Le corps calleux (Ce) est
in. 303) la capsule interne (Cia, Cip) se confond en dehors avec la
partie
supérieure de la capsule externe (Ce). Elle est s
sillons marginaux supérieur (ms) et postérieur (mp) de l'insula, la
partie
supérieure du noyau lenticulaire (NL3), le noyau
rginal supérieur (l11s). Le corps calleux (Ce) est divisé en deux
parties
par le septum (SI), la partie antérieure appart
orps calleux (Ce) est divisé en deux parties par le septum (SI), la
partie
antérieure appartient au genou du corps calleux,
(SI), la partie antérieure appartient au genou du corps calleux, \a
partie
postérieure au tronc (Ce) qui forme la voûte du
optique, par la lame médullaire externe du thalamus (Lme). Dans sa
partie
moyenne, cette lame est formée par des fascicules
e, mais il contours très accidentés en dedans, et qui représente la
partie
supérieure du troisième segment COUPES MICROSCO
ant un certain nombre de fibres horizontales, qui pénètrent dans la
partie
moyenne de la couche optique (Th), et d'autres fi
ualité bien nette; en dehors et en avant, elle se confond encore en
partie
, avec le pied de la couronne rayonnante (pCR),
de la capsule externe (Ce). Celle-ci ne présente qu'au niveau de sa
partie
moyenne les caractères qui lui sont propres et
, passant par la ligne 6 de la figure 299. Cette coupe passe par la
partie
postérieure de la couche optique (Th), intéress
lenticulaire (NLa)' L'insula (la, Ip), sectionné au niveau de sa
partie
supérieure, est séparé de l'opercule de la troi
ens, les libres à direction radiaire prédominent toutefois dans les
parties
centrales des circonvolutions, de même que les fi
érieure et postérieure du troisième segment du noyau lenticulaire. La
partie
postérieure de la capsule externe (Ce) et la pa
enticulaire. La partie postérieure de la capsule externe (Ce) et la
partie
correspondante du troisième segment du noyau le
es fibres pâles du fond de la capsule externe, et qui traversent la
partie
postérieure du noyau lenticulaire pour aborder
qui appartiennent au faisceau longitudinal inférieur (Fli). Dans la
partie
antérieure de la capsule externe (Ce), on trouve
iblement colorées par la méthode de Weigerl. Elles se groupent à la
partie
postérieure du noyau caudé, traver- sent le seg
du putamen (L.,). Quelques-unes entrent dans la constitution de la
partie
postérieure de la capsule exlerne (Ce). Cette c
constitution de la lame médullaire externe du thalamus (Lme). Dans la
partie
adjacente au segment postérieur de la capsule i
èlement à sa longueur, semble présenter les mêmes dimensions que sa
partie
antérieure. On se rend facilement compte de la fo
a partie antérieure. On se rend facilement compte de la forme de la
partie
postérieure de ce noyau antérieur, en examinant s
isceaux, sectionnés per- pendiculairement ; il forme la plus grande
partie
de la couche optique et reçoit, en avant et en
sépare du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; mais sa
partie
postérieure reste néanmoins en connexion avec c
anmoins en connexion avec cette dernière. Cette coupe intéresse une
partie
assez consi- dérable du deuxième segment du noy
s internes chemi- nent sous la forme d'un gros faisceau, jusqu'à la
partie
antérieure de ce noyau externe, puis divergent
le-ci. Le genou (Ci[g]) marque une limite très nette entre ces deux
parties
. Toute la partie (Cia) située en avant du genou e
i[g]) marque une limite très nette entre ces deux parties. Toute la
partie
(Cia) située en avant du genou est formée de libr
de libres horizontales et appartient a la couche optique; toute la
partie
(Cip) étendue du genou au segment rétro-lenticu
à la région sous-optique et au pied du pédoncule cérébral, toute la
partie
enfin située dans la région rétro-lenticulaire
circularis situées dans la lame cornée (le), puis pénètrent dans la
partie
postérieure de la couche optique, dans toute la
ligures sous le nom de champ de Wernicke (W). Ce champ embrasse la
partie
externe adhérente du pulvinar (Pul), en avant il
u- dent au niveau de la première circonvolution temporale (T,). Une
partie
de ces libres s'irradie dans cette circonvoluti
partie de ces libres s'irradie dans cette circonvolution, une autre
partie
se porte en avant et en dedans, entoure l'extré
fascicules de libres, sectionnés transversalement, surtout dans sa
partie
moyenne. Dans le tiers moyen du noyau externe d
couche optique sous forme d'un pinceau, dont les fibres embrassent la
partie
pro- fonde de son noyau antérieur (Na). De la p
embrassent la partie pro- fonde de son noyau antérieur (Na). De la
partie
posléro-externe de ce noyau. 600 ANATOMIE DES C
\'L2) s'est étendu et recourbé ; il em- brasse dans sa concavité la
partie
supérieure du premier segment (NL,), dont il es
diverses, parmi les- quelles on trouve, surtout au voisinage de la
partie
postérieure du segment interne (NL,), quelques
oupés transversalement. Ce noyau est généralement subdivisé en deux
parties
, par une lame médullaire supplémentaire (Imé),
ivre et qui appartiennent à des régions plus inférieures. Les trois
parties
qui constituent la capside interne : le segment
bliquement en avant et en dedans, et forment les fibres radiées de la
partie
du noyau externe du thalamus (Ne) qui touche au
interne (Cia), et sont subdivisées en gros fascicules de libres, en
partie
par les fibres de la lame médullaire interne (l
ibres de la lame médullaire interne (lmi) du noyau lenticulaire, en
partie
également par les fibres qui relient le deuxièm
aisceau, dit du genou de la capsule, ne dépasse guère en hauteur la
partie
inférieure de la région, thalaniique. COUPES MI
lésion localisée à l'opercule rolandique, avec participation de la
partie
adjacente de l'opercule frontal l'un de nous a
très fines et se colorent faiblement par le Weigert ou le Pal. A la
partie
pos- térieure de la couché optique (Th), entre
rnière est formée par les noyaux externe (Ne) el interne (Ni). A la
partie
antérieure du noyau externe, toujours facile à di
yau interne (Ni), en arrière, du pulvinar (Pul), et au niveau de sa
partie
moyenne, du centre médian de Luys (Nm). Le noya
sale), et affecte par conséquent une forme sphérique. Il occupe les
parties
inférieures de la couche optique (Th) et se tro
ntre les faces intl'a et c.rtm- ventriculaire du thalamus. Toute la
partie
de la couche optique située en avant de ce gang
la suivante (fig. 308), passe en effet par le trou de J/01/l'o. La
partie
de la couche optique située en arrière du gangl
ps du trigone (Tg), et concourt il former la lèvre inférieure de la
partie
moyenne de la fente cérébrale de Bichal. Coup
erne et externe (Cgi, Cge), la com- missure postérieure (cop) et la
partie
supérieure du tubercule quadrijumeau antérieur
ule externe (Ce) est toujours très réduite, surtout au niveau de sa
partie
moyenne. Le noyau lenticulaire (NL3,NL2,;\;L¡)
a (Gh) divise la couche optique (Th) en deux par. lies inégales. La
partie
antérieure est tapissée par une épaisse couche de
l'habénula (Gh) jusqu'au pilier antérieur du trigone (Tga). Vers la
partie
moyenne du troisième ventricule, la substance g
ques fibres de la lame médullaire interne du thalamus (Lmi). Celte
partie
antérieure du thalamus comprend le noyau interne
dente n" 8 (fig. 307), le corps genouillé interne (ci). . Vers la
partie
moyenne du noyau externe (Ne), les fibres radiair
erons sous le nom de faisceau lhalamique de, Forel (fla), occupe la
partie
moyenne du noyau externe (Ne), et se présente sur
aisceau 1'étJ'Oflexe de Meynert (FM) (fasciculus retroflexus). La
partie
de la couche optique située en arrière An ganglio
uar (Pul), les corps geuouillés interne et externe (Cgi, Cge) et la
partie
supérieure du tubercule quadrijunicau antériettr·
upe il la place qu'occupait ce champ sur les coupes précédentes. Sa
partie
postérieure donne naissance il de nombreuses fibr
ées horizontalement, qui s'ir- radient dans la couche optique. A sa
partie
externe, il présente, au niveau de la lame médu
s, du moins, clans ses cinq sixièmes antérieurs environ. Dans cette
partie
antérieure du segment postérieur en effet, nous
décrit dans le genou de la capsule (CiCes fibres horizontales de la
partie
postérieure du si'Ullll'nl pos- térieur constit
ales zut=, T3]), passent au-dessous du pulamen (NLJ, et abordent la
partie
postérieure de la capsule (Cip) dans la ré- gio
610 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. portant sur la corlicalilé de la
partie
moyenne et inférieure du lobe temporal (T ? T3),
au f'aiscerczt lonzritztdizzal itr fét·ieur (1 li), la plus grande
partie
de ces fibres se rend à la première circonvolut
gment antérieur (Cia) disparaît en effet, dès que l'on sectionne la
partie
supérieure du corps de Luys (CL). Quant au seg-
laire de la capsule (Cirl), il n'existe plus désormais que dans une
partie
excentrique par rapport au' segment postérieur (C
e fort incomplètement les deux noyaux du 'C01'}JS strié. - . A la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule i
ne grandit. La couche optique (Th) n'est représentée ici que par sa
partie
antérieure dans laquelle s'irradie le pédoncule
. Gh, ganglion de l'habénula. H, hippocampe. i, sillon insulaire. la,
partie
antérieure de l'insula. Ip, partie postérieure
ocampe. i, sillon insulaire. la, partie antérieure de l'insula. Ip,
partie
postérieure de l'insula. lc, lame cornée et taeni
st recouvert d'une couche de substance grise superficielle; dans sa
partie
centrale, on reconnaît déjà l'exis- tence de se
stituera sur les coupes inférieures (voy. coupe n° 12, fig. 3tl) la
partie
dorsale de la commissure postérieure. La paro
uent. En dedans, on trouve les premières fibres transversales de la
partie
moyenne de la commissure antérieure (coa); le pil
coupe intéresse la région sous-thalamique de Forel et passe par la
partie
supérieure du corps de Luys (CL) et la partie moy
Forel et passe par la partie supérieure du corps de Luys (CL) et la
partie
moyenne de la com- missure antérieure (coa).
aire (NL,). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Ces au niveau de sa
partie
externe et postérieure, et de même que sur les co
éduite il son segment postérieur (Cip), ou en d'autres termes il sa
partie
pédonculaire. Les derniers restes du segment an
ssent guère la commissure antérieure (coa). Ces fibres viennent des
parties
inférieures du lobe frontal, très probablement de
s-optique ; il atteint son plus grand développement au niveau de la
partie
supérieure du noyau rouge (NR), puis disparait pr
e faisceau lenticulaire de Forel (FI), dont nous avons vu naître la
partie
supérieure sur la coupe précédente (n° 10, suri.
t le corps genouillé externe (Cge). Ce faisceau (Rc), représente la
partie
corticale des radiations de la calotte des- tin
cette coupe n° 11 (fig. 310) un faisceau irrégulier, aplati dans sa
partie
postérieure, comprise entre le corps genouillé
cette région, par des fibres il direction horizontale appartenant en
partie
au bras du tubercule quadrijumeau postérieur (B
tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp). En avant et en dedans de la
partie
aplatie du ruban de Reil, on trouve un champ ir
ervalle. Sur les coupes suivantes, ce champ s'unit intimement il la
partie
postérieure du ruban de Reil, et ce dernier pré
culaire , une forme curviligne, semi-lunaire et caractéristique. La
partie
antérieure du ruban de Reil (Rm) est sillonnée de
e extérieure du cerveau, et n'est plus recouvert que par une petite
partie
du nulvinar (Pul). Le corps aenouillé interne (
antérieure (coa) dans presque toute sa longueur, elle passe par la
partie
moyenne du corps de Luys (CL), les couches supé
ne présente pas le même aspect sur toute sa longueur; au niveau de sa
partie
moyenne, située en arrière de la lame terminale
res, se portent obliquement en arrière et en dedans, pour former la
partie
postérieure et externe de la commissure antérie
ieure et externe de la commissure antérieure. Horizontale dans sa
partie
moyenne, et dirigée transversalement de dedans
iculo-opliques. La commissure antérieure (coa) divise ainsi en deux
parties
, le troisième segment du noyau lenticulaire (putu
enticulaire de la capsule interne (Cirl); en dehors, cette deuxième
partie
du pulmnen est en rapport avec la capsule externe
e limite la bandelette optique (II) en dehors et forme la voûte de la
partie
antérieure du prolongement sphénoïdal du ventri
de fibres sectionnées parallèlement à leur axe, qui émergent de la
partie
postérieure du troisième segment 1 du noyau lenti
zone de substance grise qui fait suite à la zona in- cala. De la
partie
antérieure du segment interne du noyau lenticulai
elles constituent les radiations de la. calotte (RC), et forment la
partie
supérieure de la cajisule du noyau, rouge. En a
jà à la substance grise de l'aqueduc de, Sylvius, la divise en deux
parties
: la partie ventrale, se porte en dehors et forme
ance grise de l'aqueduc de, Sylvius, la divise en deux parties : la
partie
ventrale, se porte en dehors et forme dans la c
isceau 1'1 ! II'oflexc de Oletl- lied (FM), et entre celui-ci et la
partie
ventrale de la commissure postérieure (cop), le
e est encore adhérent à la base, il répond par sa face interne à la
partie
sous-thalamique du troisième ventricule (Y.,).
érieure (coa) est encore intéressée dans une petite por- tion de sa
partie
moyenne, et dans presque toute l'étendue de sa pa
r- tion de sa partie moyenne, et dans presque toute l'étendue de sa
partie
latérale. On la suit en effet, de la base du no
ale. On la suit en effet, de la base du noyau caudé (NC) jusqu'à la
partie
antérieure du 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
e troisième segment du noyau lenticulaire (nul.) en deuxparties. La
partie
antérieure, intimement unie au noyau caudé (NC),
cal appartenant au carrefour olfactif de Broca (CB). En arrière des
parties
latérales de la commissure antérieure (coa), on t
porte en avant dans la capsule externe (Ce), s'entre-croise avec la
partie
temporale de la commissure antérieure (Coa) et mo
noyau lenticulaire (Al). Quelques- unes de ces fibres traversent la
partie
interne du pied du pédoncule cc·rr%Grczl (l'),
c·rr%Grczl (l'), pour aboutir au corps (1( Lity.(CL).La plus grande
partie
contourne le bord interne du pédoncule cérébral
MIE DES CENTRES NERVEUX. quelques fibres peuvent être suivies il la
partie
externe du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), le lon
pied du pédoncule cérébral (P) est limité en dehors au niveau de sa
partie
postérieure par la bandelette optique (II) bifide
résente les derniers vestiges du corps genouillé, externe (Cge). A sa
partie
postérieure, la bandelette optique est libre, e
s de Lu ys (CL), nettement délimité par une couche de fibres il ses
parties
interne et externe. En dedans du corps de Luys, a
s calibre, entourées d'une gaine épaisse de myéline, qui forment la
partie
externe (lit de Reil médian et représentent l'u
Cette coupe passe par la substance innominée de Reichert (Sti) et la
partie
supérieure de la circonvolution du crochet (U);
e, et s'unit en dehors par de nombreux ponts de substance grise aux
parties
morcelées de l'/luanl-11wI' (AM). La queue du noy
est intimement unie au noyau amygdalien(NA), qui fait saillie dans la
partie
antérieure de la corne splereoïdale (Vsph). Sa
u de Vicq d ? l;.r/r(VA) et le noyau rouge (NR), et se perd dans la
partie
interne de la capsule de ce noyau. Quelques fibre
al postérieur (Fin). En dehors de l'allse du noyau lenticulaire, la
partie
interne du pied du pédon- 40 626 ANATOMIE,D
es disposées en fascicules très rap- prochés le subdivisent en deux
parties
, l'une antérieure, l'autre postérieure, et lui
slratum zonale.. Le ruban de Reil médian (Rm) s'est allongé dans sa
partie
postérieure, et donne naissance il des libres sec
space perforé antérieur (Epa), la région du tuber cinereum (Te), la
partie
supérieure du tubercule mamillaire, la circonvo
oins nette, et la cil'convo- lution antérieure (la), qui regarde la
partie
OI,bilaÍ1'e de la troisième circonvolution fron
it un diverticule, le diverticille du subiculum (ds), qui occupe sa
partie
centrale, et autour duquel se réfléchissent t l
t parallèles et il direction antéro-postérieuro dans la plus grande
partie
de leur trajet. En avant elles s'infléchissent, p
n des couches inférieures de la capsule externe (Ce), traversent la
partie
morcelée de l'avant-mur (AM), mais ne peuvent g
are la circonvolution godronnée de l'écorce de la corne d'Ammon. La
partie
étalée de la circonvolution godronnée (Cg) est
al(P)ne lient plus Ü la base du cerveau que par le luter (Te) et la
partie
supérieure du tubercule mamillaire. Lalillllrlell
'est intéressé que COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 631 dans ses
parties
tout à fait supérieures, et n'est pas indiqué par
t céré- bral. Le pilier antérieur du trigone (Tga) l'aborde dans sa
partie
antéro-externe, le faisceau de Vicq d'Azyr (VA)
stance réticulée (SR) de la région de la calotte est constituée. La
partie
postérieure du ruban de Reil médian (Rm) aborde,
l et III), les noyaux gris centraux, la capsule interne et toutes les
parties
constituantes de la 1'égion 's{s-t/l(llam¡r¡u('
passant par la ligne 1 x de la figure 315. Cette coupe sectionne la
partie
inférieure de la commissure antérieure (coa), l
continuation du noyau externe (Ne) avec le pulvinar (Pul). Toute la
partie
externe de la couche optique (Th) est sillonnée
e (strz). La lame médullaire interne du thalamus (Lmi), renflée il sa
partie
pos- térieure, qui correspond a sa partie supér
amus (Lmi), renflée il sa partie pos- térieure, qui correspond a sa
partie
supérieure du centre médian de, Ato/.s'nette- m
re externe supplémentaire du noyau lenticulaire, divi- sant en deux
parties
(NU. le segment moyen. Lz>zi, lame médullaire
iveau du genou, en formant un angle obtus d'environ 110 degrés. Une
partie
des fascicules se porte, en avant, jusqu'au nivea
(1). En avant de la commissure antérieure (coa), sectionnée dans sa
partie
moyenne, on trouve la section transversale d'un
dernier forme, un petit triangle de substance grise situé entre les
parties
extra et intm-vent1'iculaÍl'es de la couche optiq
les parties extra et intm-vent1'iculaÍl'es de la couche optique. A sa
partie
postéro-interne se trouve la section du terzia
ie postéro-interne se trouve la section du terzia thalami (tth), sa
partie
anté- rieure présente des nids de substance gri
commissure antérieure (coa), sectionnée obliquement, siège dans la
partie
externe du deuxième segment du noyau lenticulaire
e la commissure molle, passe par le ganglion de l'habénula (Gh), la
partie
inférieure, de la commissure postérieure (cop),
U. G37 du pulvinar (Pul), et cet épaississenient correspond il la
partie
supérieure de la zone ou du champ de Wernicke,
émentaire divisant le segment interne du noyau lenticulaire en deux
parties
(nez, \'L,'). lt, lame terminale embryonnaire.
r seg- ments du noyau lenticulaire, le premier étant divisé en deux
parties
(i, i'), par la lame mé- dullaire supplémentair
nt par la ligne 4 x de la ligure : 31 : i. Cette coupe intéresse la
partie
supérieure de la substance parorée pos- térieur
plémentaire divisant le segment interne du noyau lenticulaire en deux
parties
NL,, NL ? It, lame terminale embryonnaire. mF,,
ents du noyau lenticulaire, le. premier, segment est divisé en deux
parties
NL,, NL ? par la lame médullaire interne supplé-
ire lmi'. Nvz, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). oF,,
partie
or- bitaire de la première circonvolution front
d'autres, traversant ce dernier, forment une couche de libres il sa
partie
postérieure, et se rendent par la zona incerta (Z
radiations de la calotte. Le champ de Forel (F) formé, en effet, la
partie
supérieure de la capsule du noyau 1'(lUge, et n
ntre médian de Luys (Nm), le faisceau rétroflexe de Meynert, (FM), la
partie
inférieure du ganglion de l'habénula et les fib
cessus pinealis)(rp) divise la commissure postérieure (cop) en deux
parties
: l'une antérieure ou ventrale, dont les fibres
et pénètre dans le pulvinar (Pul), dont elle concourt il former une
partie
du stratum zonale (strz). La zone de Wernicke (
t'- mement nombreuses, ainsi que les fibres du stratum zonale. A la
partie
posté- rieure de la zone de Wernicke (W) et de
. 41 G43 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cette coupe passe par la
partie
supérieure du tubercule quadrijumeau antérieur
r la partie supérieure du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la
partie
supérieure du noyau rouge (NR) et par la commis-
is (rp) et la séparation de la commissure postérieure (cop) en deux
parties
sont toujours très accentués. Entre la commissure
ynert (FM) sectionné obliquement et qui traverse le noyau rouge. La
partie
posléro-in terne de la capsule du noyau rouge est
t formée de faisceaux de fibres sectionnées perpendiculairement; la
partie
interne, par des fibres à direction antéro-post
ie interne, par des fibres à direction antéro-postérieure, enfin la
partie
externe reçoit le faisceau thalamique de Forel
partie externe reçoit le faisceau thalamique de Forel (Fth); de la
partie
centrale et antérieure de la capsule du noyau r
culaire (Al) a diminué de volume; on la voit toujours contourner la
partie
interne du segment postérieur de la capsule. En
par- lie interne du segment postérieur de la capsule (Cip), puis la
partie
externe du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et se
e diagonale de Broca (bd) a augmenté d'épaisseur et de longueur. La
partie
saillante du noyau caudé (colliculus du noyau cau
agrandie, et la tête du noyau caudé (NC) se confond en avant avec la
partie
morcelée de l'avanl-azeccr (AM), limité en deho
passant par la ligne 6 x de la figure 313. Cette coupe passe par la
partie
supérieure du tubercule î2îaî ? îlllcii)-e(Tm) et
u tubercule î2îaî ? îlllcii)-e(Tm) et du noyau rouge (NR) et par la
partie
inférieure du centre médian de Luys (Nm). Au su
e l'aqueduc de Sylvius. L'espace triangulaire, situé en avant de la
partie
ventrale de la commissure postérieure, correspond
oflexe de Meynert (FM), tou- jours sectionné obliquement, occupe la
partie
centrale du noyau rouge. Le corps de Luys (CL)
ations thalamiques (RTh), des fibres qui l'abordent obliquement. La
partie
interne du segment postérieur de la capsule app
interne (Cip) au niveau U44 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de sa
partie
moyenne, et pénètrent dans l'extrémité postérieur
r subdivisé en deux du noyau lenticulaire. NI ? , noyau rouge. or,,
partie
nrbitairc de la première circon- volution front
e dans ses couches les plus superficielles. Elle est formée de deux
parties
: l'une postérieure, riche en fibres obliques e
ombreux orifices vasculaires. Cette substance grise correspond à la
partie
inférieure de la tête du noyau caudé (colliculus
f (Toi). Plus superficiellement on trouve le gurus reclus (mF,), ou
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale
la figure 315. Cette coupe passe par la bandelette optique (II), la
partie
moyenne du tubercule mamillaire (Tm) et le corp
le corps genouillé interne (Cgi). Nous abordons sur celte coupe la
partie
inférieure de la région sous- optique. Le centr
),Ie commencement du ruban de Reil médian (Rm), uni au niveau de sa
partie
postérieure à des fibres à direction transversale
eure du corps genouillé interne (Cgi), profondément enclavé dans la
partie
inférieure de la couche optique (Th). Les fibre
de Reil (BrQp + Rm) se portent transversalement en dehors, entre la
partie
postérieure de la capsule interne (Cip) et la z
rétroflexe de Meynert (FM), qui sur la coupe précédente occupait la
partie
moyenne du noyau rouge, s'est porté en avant et
ras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), et en dehors par la
partie
élargie de la zone de Wernicke (W). Le pulvinar
rovenant des radiations thalamiques postérieures (RTh), abordent la
partie
postérieure de la couche optique (Th); elles sont
, et traversent en diagonale cette région de la capsule; elles font
partie
des fibres lenticulo-caudées. Les autres appartie
des lésions corticales des régions rolandiques supé- rieures et des
parties
antérieures du lobe pariétal. Elles descendent de
eaucoup plus accentuée, et elles entrent dans la constitution de la
partie
postérieure du segment pédonculaire de Fit;. 32
e en avant et de dehors en dedans; quelques-unes se perdent dans la
partie
postérieure de la capsule externe (Ce); le plus
étage inférieur ou pied du pédoncule (P) est déjà constitué dans sa
partie
interne. Nous nous trouvons ici en effet à la lim
optique (II), qui s'entre-croise en avant du tuber cinereum. Toute la
partie
en con- nexion avec la bandelette optique appar
de la commissure de Meynert (CM), qui traversent horizontalement la
partie
sous-thalamique de la capsule pour aborder le c
15. Cette coupe intéresse le chiasma des nerfs optiques (xll) et la
partie
supérieure du noyau de la troisième paire (Nm).
iculaire (NL3) s'est encore réduit, et se continue en avant avec la
partie
supérieure du noyau amggdalien (NA). Dans l'ang
utres groupes cel- lulaires : l'un est situé assez en avant dans la
partie
rétrécie de la substance grise de. l'aqueduc (A
olume du corps de Luys (CL), l'apparition du locus niger (Ln) il la
partie
interne du pédoncule cérébral et la disposition
315. Cette coupe passe par le chiasma des nerfs optiques (xll), la
partie
supé- rieure du corps genouillé interne (Cgi) e
»tr·nir.ac>·(f3rQa). La zone de Wernicke (W) s'est accrue. Dans sa
partie
antérieure et COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU.
NERVEUX. les corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), de la
partie
postérieure du pied Au pédoncule cérébral (P).
bres du faisceau longitudinal postérieur (Flp), avec les fibres de la
partie
interne de la capsule du noyau rouge, puis avec
n trans- versale de ce pédoncule doit être cherchée au niveau de la
partie
libre de la face interne du pied du pédoncule c
ceau de Tiil'ck aborde le segment postérieur de. la capsule dans la
partie
supérieure de la région sous-optique, sépare ce s
ne et externe (Cgi, Cge), et par des fibres qui, se détachant de la
partie
postérieure de la bandelette optique (II), traver
roisent le champ de Wernicke (W). Celui-ci s'est encore élargi ; sa
partie
antérieure, concave, embrasse le corjis genouil
(II); il en est séparé par la commissure de Meynert (CM) et par la
partie
postérieure de la substance innominée de Reiche
e la capsule interne (Cirl) est intéressant à étudier, ainsi que sa
partie
adjacente, riche en fibres et qui appartient à la
tion corticale du globus pallidus, RTht, fibres de projection de la
partie
antérieure du lobe temporal destinées au pulvinar
stance innominée de Reichert (Sti). Ces fibres (RTht) proviennent des
parties
antérieures du lobe temporal. Elles sont croisé
cules serrées et d'aspect caractéristique, fibres dont la plus grande
partie
, entre dans la constitution de la capsule exter
° 9 x, fig. 324) et sont disposées en gros fascicules au niveau de la
partie
postérieure du locus niger. Les fibres du pied
de fibres pédonculaires de la bandelette optique. Au niveau de sa
partie
antérieure, cette coupe intéresse en outre le chi
olfactif (Toi) avec sa couche de fibres nerveuses. Au niveau de sa
partie
postérieure, on trouve : un petit segment de la
trêmement facile sur cette série de coupes la com- préhension de la
partie
extra-vent riculaire de la couche optique. 6 :
passant par la ligne dix de la figure 315. Cette coupe passe par la
partie
inférieure du noyau rouge (NR), les corps genou
cke (V) et s'irradient dans le pulvinar (Pul); elles viennent de la
partie
antérieure du lobe temporal (faces externe et inf
ge) est très augmenté de volume; il donne naissance au niveau de sa
partie
postérieure, aux libres de la zone de Wernicke (W
roiser à angle très aigu avec celles du côté opposé au niveau de la
partie
antérieure du raphé. Les fibres de la couche moye
ement en dehors et en avant et que l'on retrouve seulement dans les
parties
postérieures du tubercule quadrijumeau antérieu
s parties postérieures du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les
parties
latérales de ce tubercule, elles sont remplacées
Fcop). Le noyau rouge (NR) a diminué de volume, il est refoulé à la
partie
anté- rieure et externe de l'étage moyen du péd
s très serrées, sectionnées transversalement, et qui constituent la
partie
supérieure du 1)(doil- cule cérébelleux supérie
n° 12 x (fig. 327), passant par la ligne 12 x de la figure 31b. La
partie
antérieure de cette coupe passe par la partie inf
de la figure 31b. La partie antérieure de cette coupe passe par la
partie
inférieure du noyau rouge (NR); la partie posté
cette coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR); la
partie
postérieure intéresse le sillon intermédiaire e
i envoie dans le raphé des fascicules de fibres atteignant presque la
partie
moyenne de ce raphé. Le bord postérieur de ce f
ord postérieur de ce faisceau est légèrement excavé, et embrasse la
partie
inférieure et très réduite du noyau de la troisiè
ces grosses cellules vésiculeuses. Ces cellules appartiennent à la
partie
motrice du trijumeau. Coupe n° 13 x (fig. 328
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 66t occupe toujours en effet les
parties
postérieures et externes du ruban de Reil, tand
ruban de Reil, tandis que le ruban de Reil médian (Rm) en occupe la
partie
antéro-interne et se trouve constitué par de gr
nère presque immédiatement après son origine, formant ainsi dans la
partie
ventrale de l'étage supérieur, ou calotte Au pédo
rieur, tra- versent le raphé en fascicules presque parallèles. A la
partie
postérieure du raphé, on observe un second entr
i ces derniers constituent-ils un simple pont médian, qui réunit la
partie
antérieure des fais- ceaux longitudinaux postér
ion oblique en dehors et en avant et dont quelques-unes traversent la
partie
interne du ruban de Reil médian (Rm). Le locu
s protubérantielles plus profondes ont refoulées en arrière dans la
partie
antero- interne de la calotte. Ces fibres persi
ouche ou couche des grandes cellules pyramidales est parcourue à sa
partie
moyenne par la strie externe de Baillarger. Cette
'existence de couches nettement tranchées, divise l'écorce en trois
parties
égales, superficielle, moyenne et profonde. STR
llules polymorphes des couches sous-jacentes, et que la plus grande
partie
de ses fibres horizontales se ramifiait comme des
librement. D'autres cylindres-axes surnuméraires nais- sent de la
partie
ascendante des dendrites po- aires ou de rameau
trajet à travers la substance grise, le cylindre-axe, émet dans la
partie
supérieure de son trajet de fines collatérales (c
rement serré au STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 677 niveau de la
partie
moyenne de la couche des grandes cellules pyramid
r places. Cette large bande de fibres tangentielles s'épaissit à sa
partie
externe, à sa partie moyenne et à sa partie int
bande de fibres tangentielles s'épaissit à sa partie externe, à sa
partie
moyenne et à sa partie interne, pour former en de
tielles s'épaissit à sa partie externe, à sa partie moyenne et à sa
partie
interne, pour former en dehors le réseau il'T·.
a partie interne, pour former en dehors le réseau il'T·..xaen, à sa
partie
moyenne la strie externe de Baillarger, et en ded
inger, qui occupe la couche des petites cellules pyramidales et une
partie
de celle des grandes cellules pyramidales; 3° L
AfMy ? qui occupe la couche des grandes cellules pyramidales et une
partie
de la couche des cellules polymorphes; 5° Les f
e, l'épaisseur de cette couche s'accroît avec l'âge, tandis que les
parties
profondes de cette même couche subissent une sort
on ; d'après Kaes ces fibres de fort calibre apparaîtraient dans la
partie
moyenne et interne du feutrage super-radiaire.
es pyramidales. Elle mesure en moyenne 0,11,11,46 (Kaes), occupe la
partie
moyenne de l'écorce cérébrale et se délimite ma
an- diques, la première circonvolution pariétale, le pli courbe, la
partie
pos- térieure des circonvolutions temporales ;
que la strie externe. La strie externe conserve sa situation dans la
partie
Leur accroisse- ment avec 1 ? Strie de ncch
les collatérales des cellules polymorphes, principale- ment dans sa
partie
profonde; y, les arborisations terminales des cel
, les arborisations terminales des cellules du type Il de Golgi. La
partie
moyenne de ce feutrage présente, en parti- culi
2 et fig. 347, fAc). Bien décrites par Kaes, ces fibres occupent la
partie
pro- fonde de la couche des cellules polymorphe
ro- fonde de la couche des cellules polymorphes, et représentent la
partie
la plus inférieure et la plus dense du feutrage
u moins obliquement en bas et dont le cylindre-axe se détache de la
partie
inférieure de la cellule ; pour Mondino, ce cylin
l'on se rapproche davantage de la cou- che sous-jacente. * ' La
partie
profonde de la cou- che moléculaire (sous-zone
ce en général. Finesse de ses fi- bres tangentielles. Dans la
partie
pro- fonde do la couche moléculaire, le feu-
a multiplicité de leurs cylindres-axes et le ' Fie 340. Coupe de la
partie
inférieure de l'écorce occipitale d'un cobaye de
astes de la rétine. Les cellules de Cajal sont très rares dans la
partie
superficielle de la couche moléculaire [sous-zo
es autres régions de l'écorce. Cette couche qui représente, Dans la
partie
superficielle de la couche moléculaire, le
l'anatomie seule nous conduit déjà à admettre, que les différentes
parties
de l'écorce jouis- sent de propriétés physiolog
profondeur de cette couche. Il résulte de cette disposition que la
partie
moyenne de la 3C couche, pauvre en cel- lules,
e le nerf de Lancisi, ou strie longitudinale in- ou médiane. L&
partie
externe de l'induseum griseum, en général un peu
uxième circonvolution limbique varie, suivant que l'on considère la
partie
de la circonvolution qui appar- tient au subicu
ne d'Ammon proprement dite. ,in Subiculum de la corne d'Ammon. La
partie
de l'écorce de la circonvolution de l'hippocamp
e d'Ammon. Ces modifications portent surtout sur la richesse de ces
parties
en fibres tangentielles et sur la dimi- nution
qui peuvent atteindre 401x de longueur et qui occupent surtout les
parties
profondes de cette couche. Leurs dendrites asce
ico-transversale de l'hémisphère (fig. 3â9 ), pour constater que la
partie
de la corne d'Ammon adjacente à la circonvolution
à la circonvolution godronnée constitue la région supérieure, et la
partie
en connexion avec le subiculum la région inféri
. moyennes disparaissent, les grandes cellules s'accumulent dans la
partie
profonde de la couche des cellules pyramidales. L
ngues den- drites ascendantes traversent ainsi, avant d'aborder les
parties
supérieures de la couche moléculaire, une zone
éante de la région godronnée de la corne d'Ammon, - provenant de la
partie
superficielle de la couche des cellules pyramidal
de la région godronnée de la corne d'Am- mon et appartenant à la
partie
superfi- cielle de la couche des cellules pyra-
par Cajal, est la plus fréquente, le cylindre-axe se détache de la
partie
supérieure de la cel- lule, traverse la couche
ou moins horizontal. Les autres se détachent à angle droit de la
partie
ascendante du cylindre- axe, affectent un long
dronnée) ne se revêt en général de sa gaine de myéline, que vers la
partie
moyenne du stratum oriens. Les collatérales qu'
les communications, à courte ou à longue distance, des différentes
parties
constituantes des cellules pyramidales des régi
rigine de ces fibres à myéline est très complexe. 1. La plus grande
partie
est formée, d'après Sch;iffer, par les épaisses
rs plexus superposés; chacun d'eux se mettant en connexion avec des
parties
distinctes de la tige ascendante et du panache
A, couche moléculaire. B, couche des grains. C, zone plexiforme ou
partie
supérieure de la couche des cellules polymorphe
ant du prolongement central des cellules olfactives ( ? ? ). - e,
partie
supérieure de deux cellules de sotitèneiiieiit.
s, glomérules olfactifs et terminaisons centrales du nerf olfactif.
Partie
inférieure d'une coupe sagittale du bulbe olfacti
. 737 Iules d'origine sont encore inconnues. Ces fibres occupent la
partie
pro- fonde du pédoncule et du tubercule olfacti
es fibres des cel- lules pyramidales de la région, et traversent la
partie
inférieure du corps strié pour former les radia
ntale; elles se joignent aux nombreux fais- ceaux qui traversent la
partie
inférieure du corps strié, au niveau de l'espac
encore élucidé. Cette couche grise est plus épaisse au niveau de la
partie
inférieure du septum lucidum qu'au niveau de sa b
ec les autres. La substance blanche sous-jacente à n'importe quelle
partie
de l'écorce, soit du manteau cérébral, soit du
elles, et n'appartenant au long faisceau d'association que dans une
partie
de leur trajet. Si la préparation des courtes
s fibres calleuses et de projection se présentent dans une certaine
partie
de leur trajet à l'état de faisceaux compactes, i
fibres tangentielles qui occupent la deuxième, la troisième et une
partie
de la quatrième couche. Cajal a même pu suivre
volutions, telles que les circon- volutions courtes de l'insula, la
partie
orbitaire des circonvolutions frontales qui bor
bres en U est parallèle au plan vertico-transversal au niveau de la
partie
hori- zontale des sillons, et parallèle au plan
zontale des sillons, et parallèle au plan horizontal au niveau de la
partie
verticale des sillons. Les fibres en Uqui tapis
asses blanches des circonvolutions environ- nantes, et qui dans une
partie
de leur trajet font seules partie du cingulum d
environ- nantes, et qui dans une partie de leur trajet font seules
partie
du cingulum de Burdach. Ce faisceau reçoit et é
lingual (Lg); au niveau de l'isthme anté-cal- carinien (L [i] ) la
partie
rétrécie du cingulum est en rapport avec les fibr
sceau postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso- marginal. -cm',
partie
verticale du sillon calloso-marginal. Fbi, faisce
au, Beevor constata une dégénérescence portant sur les fibres de la
partie
postérieure du faisceau horizontal; toutes les
rtie postérieure du faisceau horizontal; toutes les fibres de cette
partie
n'étaient pas dégénérées, et ce fait vient à l'ap
non pas des fibres de toute longueur, mais des fibres qui, dans une
partie
seulement de leur trajet, appartiennent à ce fa
(mp), avec le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et morcelle la
partie
horizontale de l'avant-mur (api'). A leur extré
avec les libres du genou du corps calleux, puis se terminent dans la
partie
interne de la première circonvolution frontale
trontal. i 754 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les autres dans la
partie
orbitaire des première et troisième circonvola-
e orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales, la
partie
morcelée de l'avant-mur, le faisceau uncinatus
moteur oculaire commun. NL" putamen. NR, noyau rouge. - oF 11, 0F3,
partie
orbitaire des première et troisième circonvolut
rps calleux et se ter- minent avec ces dernières, dans la crête des
parties
orbitaire et externe de la troisième circonvolu
, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - oF,, oF2, oF3,
partie
orbitaire des première, deuxième et troisième c
a circonvo- lution du crochet (U), dans le pôle temporal et dans la
partie
antérieure des première et deuxième circonvolut
es dégénérées peuvent être suivies dans le pôle temporal et dans la
partie
orbitaire du lobc frontal (Yoy. chap. suiv., t.
fibres du pied de la couronne rayonnante, et concourent a former la
partie
supé- rieure de la capsule externe. Au niveau d
rs le faisceau unci- natus (fut, et s'irradient dans la crète de la
partie
antérieure de la pre- mière circonvolution temp
ales. oa, sillon occipital antérieur de \'erniclce. oF,, 07 ? opta,
partie
orbitaire des première, deuxième et troisième c
couronne rayonnante, puis se porterait en avant et en dedans vers la
partie
antérieure du corps calleux, traverserait la li
e le noyau caudé et le bord su- périeur du putamen, au niveau de la
partie
moyenne de la couche optique; ce faisceau ne
au niveau de la tète et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en
partie
dissocié au niveau de la queue de ce dernier, p
C(T), tronc du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. 0(7'f7),
partie
du fais- ceau occipito-frontal formant tapetum.
er antérieur du trigone. Tle, thalamus (couche optique). - 1'h(Va),
partie
de la couche optique formant la paroi du troisièm
pital, on voit en outre, les fibres dégénérées du tapetum entrer en
partie
dans la consti- tution du forceps major (lig. 3
RES NERVEUX. FiG. 382. - Coupe vertico-transversale, passant par la
partie
moyenne de la commis- sure antérieure et l'extr
est formé de fibres d'iné- gale longueur n'appartenant que dans une
partie
de leur trajet au faisceau occiht.'lo-fiotztal
; elle répond Fie. 384. - Coupe vertico-transversale passant par la
partie
postérieure du précunéus, parles scissures pari
ule latéral. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7G ! ) à la
partie
inféro-interne du faisceau longitudinal inférieur
incte, que dans les régions situées en arrière et au-dessous de- la
partie
recourbée de la queue du noyau caudé (Voy. séries
fig. 385), puis contourne la corne sphénoïdale (Vsph) et atteint la
partie
externe du noyau amygdalien (NA), où il mor- ce
des cornes occipitale et sphénoïdale, les fibres qui naissent de la
partie
supéro-externe de ce lobe se portent très obliq
ne, appartiennent-elles au faisceau longitudinal inférieur dont une
partie
entrerait dans la constitution de la couronne r
aires, de l'anatomie com- parée ou d'autres méthodes. Pour nous, la
partie
inférieure du faisceau longitudinal inférieur c
ur constitue exclusivement un faisceau d'association; ([liant il sa
partie
supérieure, intimement unie au segment rétro-lent
inférieur est exclusivement un faisceau d'associa- tion dans sa
partie
inférieure. 774 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
87. - Coupe vertico-transversale de l'hémisphère droit passant par la
partie
moyenne de la couche optique, le noyau rouge et
antérieures de la protubé- rance. - FT, faisceau de Tlirck. - FT',
partie
du faisceau de Tiirck. venant des deuxième et t
enant des deuxième et troisième circonvolutions temporales. - FTTt,
partie
du faisceau de Tiirck, venant de la pre- mière
utamen. - NR, noyau rouge. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpPa,
partie
pariétale de l'opercule rolandique. - ot, sillon
que le faisceau longitudinal inférieur est traversé, dans toute sa
partie
occipitale, par les fibres qui de l'écorce occi
radia- tions thalamiques. Nous croyons qu'il en est de même dans la
partie
tem- porale de ce faisceau, et que la plupart d
érébral, etc., etc. ; elle doit donc nécessai- rement. traverser la
partie
supérieure du faisceau longitudinal inférieur a
e de lésions localisées de l'écorce temporale, en particulier de la
partie
moyenne des deuxième et troisième circonvolutions
mporales, et dans ces cas, on voit ses fibres dégénérées traverser la
partie
supérieure du faisceau longitudinal inférieur,
e le faisceau lon- gitudinal inférieur et contribuent à donner à sa
partie
antérieure son aspect spécial. Les radiations d
le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, et aborder la
partie
du corps genouillé interne qui est profondément
é antérieure de ce lobe au pulvinar. Ces fibres se rassemblent à la
partie
externe et supérieure du noyau amygdalielt, s'e
doa. Coupe horizontale d'un cerveau de singe macaque, passant par la
partie
supérieure de la région sous-thalamique. Méthod
oupes plus élevées, intéressant les corps opto-striés, la plus grande
partie
des fibres du faisceau longitudinal inférieur s
n particulier dans la première circonvolution temporale; une petite
partie
coiffe l'extrémité postérieure du putamen et se
noyau lenticulaire et ses trois segments. - 0, lobe occipital. - off,
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
d'inégale lon- gueur qui n'appartiennent à ce faisceau que dans une
partie
de leur trajet; il en résulte donc que les dégé
néus sont formés de libres plus ou moins verticales, qui relient la
partie
supérieure du lobe occipital à ses parties moye
erticales, qui relient la partie supérieure du lobe occipital à ses
parties
moyenne et inférieure; les fibres des faisceaux t
férieure ; les plus courtes et les plus superficielles unissent les
parties
profondes des deux lèvres de la scissure calcarin
se recourbent en haut, passent au-dessus du cône creux formé par la
partie
occipitale du faisceau longitudinal inférieur, pu
re cir- convolution frontale. OF, faisceau occipito-frontal. - oF,,
partie
orbitaire de la première | circonvolution front
rtie orbitaire de la première | circonvolution frontale. - ol, Gr),
partie
orbitaire de la première circonvolution frontale
taire de la première circonvolution frontale (gyrus reclus). - oF,,
partie
orbitaire de la troisième circonvolution frontale
m, immédiatement en avant du genou du corps calleux. Les fibres des
parties
orbitaires et externe de la couronne rayonnante
ont sectionnées perpendiculairement à leur longueur. Les fibres des
parties
supérieures de la couronne rayonnante, se trouven
rapidement leur individualité, de telle sorte que la || plus grande
partie
de la masse blanche du lobe frontal est formée pa
jection. C'est le long du sillon olfactif, dans le gyrus reclus et la
partie
orbitaire de la première circonvolution frontal
projection se fait suivant un plan oblique. Elles proviennent de la
partie
postérieure du lobe frontal, de tout le lobe pa
partie postérieure du lobe frontal, de tout le lobe pariétal, de la
partie
postérieure du lobe temporal et peut-être de l'in
ace externe de l'hémisphère (deuxième circonvolution frontale (F2),
partie
moyenne des circonvolutions roland irllles (l'a
rps calleux. lutions de l'opercule sylvien (OpFz, OpR, OpP2), de la
partie
postérieure du lobe temporal (première et deuxi
de Bur- dach (Arc), le pied de la couronne rayonnante (pCR) et une
partie
du fais- ceau occipito-frontal (OF) (fig. 387,
misphères, il ramène il l'unité le manteHu cérélJl'aldivisé en deux
parties
par la scissme inter-hémisphéri (lue». (Schnopf
phère droit et passant au-dessous du genou du corps calleux, par la
partie
moyenne de la couche optique et les deux segmen
diations du forceps. Le , bourrelet du corps calleux comprend trois
parties
, ainsi que nous l'avons vu plus haut (p. 343).
nd trois parties, ainsi que nous l'avons vu plus haut (p. 343). Une
partie
supérieure, qui n'est autre que l'extré- mité p
autre que l'extré- mité postérieure du tronc du corps calleux, une
partie
inférieure ou réflé- chie, qui constitue le spl
é- chie, qui constitue le splénium proprement dit (Cc[Spl]), et une
partie
pos- térieure ou intermédiaire, véritable genou
ronc du corps calleux. Il n'en est pas de mème des radiations des .
parties
postérieures et réfléchies; nées de toute l'écorc
es et réfléchies; nées de toute l'écorce du lobe occipital et de la
partie
postérieure du lobe pariétal, ces dernières entou
ompactes, l'un inférieur, plus petit, qui reçoit les radiations de la
partie
inféro-interne du lobe occipital, l'autre supér
gments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. - OF',
partie
du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans le
CENTRES NERVEUX. forceps major et forceps miner. }11lll'e de la
partie
inférieure ou minor du forceps. V faiscea
de Reil et de Burdach. Le faisceau inférieur porte le nom de petite
partie
, faisceau accessoire ou minor du forceps (Fm') ;
e ou minor du forceps (Fm') ; le faisceau supérieur celui de grande
partie
, faisceau principal ou major du forceps (Fm). C
ncipal ou major du forceps (Fm). Ce dernier faisceau détermine à la
partie
supéro-interne de la corne occipitale la produc
ndit, et que l'ergot de Morand s'accuse davantage, les fibres de la
partie
inférieure ou minor du forceps (Fm'), tri- buta
nférieur (Fli). Par sa base, le cône creux du forceps s'adosse à la
partie
supérieure du bourrelet du corps calleux. Les f
du corps calleux. Nous avons dit plus haut que les radiations de la
partie
supé- rieure du bourrelet se comportent comme c
circonvo- lutions pariétales [P,, P,]), du précunéus (Prc) et de la
partie
postérieure de la première circonvolution limbi
hénoïdale et occipitale; cette couche se continuait en haut avec la
partie
^ postérieure du tronc et du bourrelet du corps
mne à la suite de la section du corps calleux, pourvu que Fibres de
partie
supérieure major du forceps. Origine et tra
eure major du forceps. Origine et trajet des radiations de la
partie
supérieure du bourrelet. Tapetum. Le tapetu
énérées de la pointe occipitale et de la base du cunéus revêtent la
partie
postérieure de la corne occipitale d'un anneau
et 398), la dégénéres- cence des fibres calleuses occupe encore la
partie
inférieure du ventricule, mais elle se cantonne
érieur du forceps ou forceps minor, et occupe dans le bourrelet les
parties
inféro-postérieures, en particulier le bec et l
ésions de la scissure pariéto- occipitale (po) (fig. 395). et de la
partie
postérieure de la scissure calcarine (K) (fig. 39
ntissent sur le forceps major, et la dégénérescence occupe alors la
partie
profonde du bourrelet. Dans les lésions de la p
ccupe alors la partie profonde du bourrelet. Dans les lésions de la
partie
occipitale de la scissure collaté- rale (ot), d
tale de la scissure collaté- rale (ot), du pli cunéo-limbique de la
partie
antérieure de la scissure Différences de to-
Fm'), et efileure la surface libre du bourrelet, dont elle occupe les
parties
postéro-inférieures, c'est-à-dire le bec et le
masse blanche du cunéus et la zone de dégénérescence qui occupe la
partie
supéro-interne des radiations Fie. 394. Coupe v
), la scissure pariéto-occipitale (po), la base du cunéus (C) et la
partie
moyenne du lobule lingual (Lg). Méthode de Pal.
m se cantonne (grâce à l'apport incessant de nouvelles fibres) à la
partie
externe et supérieure du ventricule et à la face
t sur les fibres radiées du pulvinar, sur la zone de Wernicke et la
partie
postéro-externe du corps genouillé externe (Pour
nce se- condaire des radiations thalami- ques, du pulvinar, de la
partie
pos- téro-supéro-extcrne du corps ge- nouillé
a suite de toute ldsion ten- due de l'écorce. des lésions de la
partie
moyenne du lobe temporal et en particulier des
des hachures-de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la
partie
postérieure des lobules lingual et fusiforme et d
érique. 800 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La coupe passe par la
partie
postérieure du bourrelet du corps calleux et par
la corne occipitale (Voc), à la base du lobule fusiforme (Fus), la
partie
antérieure du foyer ancien datant de quatre ans.
rer intimement au niveau lnc. 398. Coupe vertico-transversale de la
partie
postérieure de l'hémisphère gauche dans un cas
naturelle. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Les
parties
dégénérées sont teintées en jaune. FAISCEAUX D'
rieur au voisinage du sillon collatéral (ot). 71n, forceps major ou
partie
principale du forceps. Fnt', forceps minor ou pet
ajor ou partie principale du forceps. Fnt', forceps minor ou petite
partie
d ïorceps, dont on peut suivre les faisceaux dégé
pouvait VA I Fig. 399. Plaque jaune ancienne occupant une grande
partie
de la face externe de l'hémisphère gauche, ayan
isphère sain du cas précédent (fig. 399), montrant l'atrophie de la
partie
postérieure du tronc du corps calleux ainsi que
naturelle. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Les
parties
dégénérées sont teintées en jaune. Pour se rend
ux (splénium). Cing, cingulum. cm, sillon calloso-marinal. - cnz', sa
partie
verticale. fAe, fibres d'association externes d
e en avant et dont les deux extrémités sont étalées en éventail. Sa
partie
moyenne est libre et appartient au bord antérie
antérieure n'est libre qu'au niveau de la face posté- rieure de sa
partie
moyenne. Ses parties latérales s'enfoncent dans l
bre qu'au niveau de la face posté- rieure de sa partie moyenne. Ses
parties
latérales s'enfoncent dans la substance perforé
uite ce noyau en dehors (fig. 231, 312, 40')), concourt à former la
partie
postéro-infé- rieure de la capsule externe (fig
ment des fibres du faisceau longitudinal inférieur. Au niveau de la
partie
moyenne de la commissure antérieure, les fibres s
raisemblablement de véritables fibres commissurales ; au niveau des
parties
latérales, les fibres subissent une torsion, de
supérieures, puis internes. La commissure antérieure comprend deux
parties
: l'une hémisphérique, l'autre olfactive. La
omprend deux parties : l'une hémisphérique, l'autre olfactive. La
partie
olfactive de la commissure antérieure, bien décri
d développe- ment chez les animaux osmatiques. Elle appartient à la
partie
moyenne de la commissure antérieure, se détache
n côté au lobe temporal du côté opposé. L'origine corticale de la
partie
hémisphérique de la commissure anté- rieure est
ro-occipitaux; pour Gan- Texture de la com- missure antérieure.
Partie
olfactive, Me la commissure au- tdricurc. P
antérieure. Partie olfactive, Me la commissure au- tdricurc.
Partie
hemisphcpi- Ilue de la commiSSU1'6 antérieure
aux (de là le nom départie temporale, sous lequel Ganser désigne la
partie
hémisphérique de la commissure antérieure) ; po
la commissure antérieure comme la commissure du rhinencéphalon : sa
partie
olfactive relierait les deux lobes olfactifs, s
phalon : sa partie olfactive relierait les deux lobes olfactifs, sa
partie
hémisphérique unirait entre elles les deux circ
commissure antérieure posséderait en outre chez les mammifères une
partie
ascendante, qui relierait entre elles les deux pr
, consécutive à une lésion bilatérale du lobule lingual (Lg), de la
partie
adjacente du cunéus (C), du lobule fusiforme (F
partie adjacente du cunéus (C), du lobule fusiforme (Fus) et de la
partie
postérieure de l'hippocampe (H). Dans le cas de
(C), la pointe occipitale (0,, 0,), le lobule fusiforme (Fus) et la
partie
postérieure de la circonvolution de l'hippo- ca
de la commissure antérieure, mais l'auteur dit expressément que sa
partie
postérieure était intéressée dans le foyer prim
térieure était intéressée dans le foyer primitif, qui atteignait la
partie
postérieure du putamen. Quant à notre expérienc
prise dans les foyers hémorrhagiques de la capsule externe et de la
partie
pos- térieure du putamen, ou dans les plaques j
ns pu suivre les fibres dégénérées jusqu'à la capsule externe et la
partie
postérieure du putamen de l'hémisphère opposé a
le de ces recherches, il résulte donc que l'origine corticale de la
partie
hémisphérique de la commissure antérieure, reste
t le sommet correspond à la commissure antérieure. Les libres de la
partie
moyenne de la capsule externe se dirigent verti
de la capsule externe se dirigent verticalement en haut, celles des
parties
antérieure et postérieure se portent obliquement
eures. Ses fibres ont des origines fort complexes. Les libres de la
partie
moyenne proviennent probablement du faisceau oc
enne proviennent probablement du faisceau occipito-frontal et de la
partie
moyenne du tronc du corps calleux (Schnopfhagen),
psule externe située au-dessous du pôle de l'insula, et morcelle la
partie
horizontale de l'avant- mur. Un certain nombr
de l'insula. D'autres fibres se rendent dans la substance grise des
parties
verticale ou morcelée de l'avant- mur. Les fi
e l'avant- mur. Les fibres de la capsule externe forment donc une
partie
des libres de la capsule extrême (Cex); celle-c
e la vision. Th. de Paris, 1893. Du même. Note sur l'existence à la
partie
inférieure du lobe occipital d'un faisceau d'as
vant, jusqu'au quart postérieur en arrière. Il est composé en majeure
partie
de fibres transversales. Sur ses côtés, on voit d
u est, dans son ensemble, légèrement concave. Mais elle comprend deux
parties
bien distinctes : une antérieure, plane (celle qu
(celle qui répond à la fosse temporale et à la tente du cervelet). La
partie
antérieure ne représente que le tiers de la parti
e du cervelet). La partie antérieure ne représente que le tiers de la
partie
postérieure dans le sens antéro-postérieur. Ici
postérieur. Ici la scissure interhémisphérique n'existe que dans la
partie
antérieure ou orbitaire et dans la partie postéri
érique n'existe que dans la partie antérieure ou orbitaire et dans la
partie
postérieure ou occipitale. Le corps calleux (ce)
es, paires et symétriques, les tubercules mamillaires, émergent de la
partie
postérieure du tuber cinereum, au devant de l'esp
cerveau. Base du cerveau. La base du cerveau comprend toutes les
parties
de la face inférieure qui n'appartiennent pas aux
ement interne du nerf olfactif (OLI). Le nerf olfactif en effet, à sa
partie
postérieure, se divise en deux branches, une inte
racine olfactive externe se porte en dehors, où elle se termine à la
partie
antérieure des circonvolutions sphénoïdales. Ces
ppo- En arrière du rostrum (ROS), deux lames blanches, venues de la
partie
latérale du corps calleux (ce) et dirigées d'avan
elette diagonale (psp) divise donc l'espace perforé antérieur en deux
parties
distinctes : une antérieure, occupée par la pyram
ns la selle turcique et elle fixe le cerveau à la base du crâne. A la
partie
postérieure du tuber cinereum proéminent les deux
ubérance. La protubérance annulaire ou pont de Varole présente à sa
partie
antérieure une disposition bilobée qui correspond
s (AQ). Sur les côtés, les tubercules quadri-jumeaux se confondent en
partie
avec les corps genouillés internes (GI). D'autre
ur; psp, bandelette diagonale divisant obliquement cet espace en deux
parties
; GS, pyramide grise de Sœmmering; cette pyramide
arties; GS, pyramide grise de Sœmmering; cette pyramide représente la
partie
antérieure de l'espace perforé à la surface ; plu
la lame terminale, qui sera étudiée plus loin et qui appartient à la
partie
postérieure de l'espace perforé (première figure)
s, on aperçoit les fibres transversales du corps calleux, qui, à leur
partie
postérieure, portent le nom de splenium (SPL). En
e la bandelette diagonale divisait l'espace perforé antérieur en deux
parties
: une antérieure, grise, occupée par la pyramide
ace perforé où la bandelette diagonale s'étend si uniformément sur la
partie
postérieure du quadrilatère, qu'elle se confond a
edans en dehors (TP). Il émerge de la lame perforée postérieure, à la
partie
la plus interne du pied, et le plus souvent au co
s du pédoncule, susceptibles de dégénération, peuvent être masqués en
partie
par le tractus transversus, surtout si ce dernier
BO). Elles se jetaient directement dans la bandelette elle-même, à la
partie
inférieure et interne de son extrémité postérieur
ue, on étudie les hémisphères cérébraux isolément. Presque toutes les
parties
constituantes des centres encéphaliques étant pai
ête du sujet, on introduit un bistouri dans le canal rachidien par la
partie
antérieure du trou occipital et l'on divise la mo
aut la masse cérébelleuse, on constate que le cervelet est relié à la
partie
postérieure de la protubérance par deux pédoncule
convexe, et une face interne assez régulièrement plane. Toutes les
parties
que nous avons sommairement décrites comme appar-
osse extrémité de l'hémisphère ou extrémité frontale est entamée i sa
partie
inférieure par une profonde dépression qui sépare
écorce grise, la face interne ne présente pas de circonvolutions à sa
partie
moyenne. Cette partie où les circonvolutions manq
interne ne présente pas de circonvolutions à sa partie moyenne. Cette
partie
où les circonvolutions manquent répond d'abord au
les rapports sont la clef de la structure de l'hémisphère. Toutes ces
parties
(y compris le corps calleux) qui n'appartiennent
tre le Schéma 8. A. Face interne d'un hémispère droit. Toutes les
parties
foncées appartiennent à l'écorce. Les parties cen
spère droit. Toutes les parties foncées appartiennent à l'écorce. Les
parties
centrales claires représentent le seuil ou limen.
en (Fil/); allongé d"avant en arrière, il a pour parois latérales une
partie
de la surface du limen ; en avant et en bas, il s
ule latéral est creusé dans la substance blanche qui forme la majeure
partie
de l'hémisphère. Cette substance blanche est dési
sseur réelle. De là les différences qu'on observe sur les différentes
parties
de l'écorce selon le sens et l'obliquité du plan
y. schéma 8, B). § IV Seuil ou limen. Pour étudier les nombreuses
parties
constituantes de la région arbitraire à laquelle
rps calleux. — Nous avons dit que le corps calleux (ce) représente la
partie
supérieure du seuil. Le corps calleux est une voû
e ou bourrelet, ou splenium (SPL) se réfléchit d'arrière en avant. La
partie
du genou qui se réfléchit d'avant en arrière s'ap
ubstance réticulaire d'Arnold (LMV). Les fibres transversales de la
partie
moyenne du corps calleux passent au-dessus du ven
ment convexe à sa face supérieure et concave à sa face inférieure, la
partie
moyenne du corps calleux a une épaisseur à peu pr
men de l'liémis))lière droit. Cette figure représente le détail de la
partie
ménagée en blanc sur le schéma 8 (A), F, côté f
l'hémisphère droit, et l'intervalle qui sépare le corps calleux de la
partie
antérieure du trigone est un espace vide qui appa
e tubercule mamillaire (TM). Couche optique, thalamus. — Toutes les
parties
situées au-dessous du trigone (TRI) appartiennent
essous du trigone (TRI) appartiennent au ventricule moyen. Toutes les
parties
situées au-dessus appartiennent au ventricule lat
ge supérieur, revêtu par la couche blanche du stratum zonale. Vers sa
partie
moyenne, la substance grise de la paroi du troisi
ni). L'étage inférieur du thalamus n'est pas moins bien limité à sa
partie
inférieure qu'à sa partie supérieure. Son bord in
u thalamus n'est pas moins bien limité à sa partie inférieure qu'à sa
partie
supérieure. Son bord inférieur, en effet, est rep
s dont elle est parfois très nettement séparée. En effet, si ces deux
parties
blanches sont difficiles à distinguer l'une de l'
foré antérieur. — psp, bandelette diagonale: elle est située ici à la
partie
la plus postérieure du quadrilatère, au contact d
e qui permet surtout de le reconnaître c'est que, dans cette dernière
partie
de son trajet, il est presque absolument parallèl
voisinage de la circonvolution en crochet. Là on le perd de vue ; une
partie
de ses fibres se mêle à la substance blanche de l
s fibres se mêle à la substance blanche de l'espace perforé ; l'autre
partie
se jette dans la substance grise du lobe temporal
du cerveau, mais dont on conçoit facilement la forme et les rapports.
Partie
de la région postérieure du chiasma optique, où e
st intimement adhérente. Le seuil ou limen comprend encore d'autres
parties
qu'il est impossible de voir sur la face interne
onfond. En arrière du pédoncule, une éininencc arrondie, convexe à sa
partie
inférieure, représente le corps genouillé externe
efour ventriculaire (CV) : cette tuberosità est le pulvinar (Pul), en
partie
constitué par le noyau interne de la couche optiq
imité en bas et en dedans par le sillon pravuncique (PRU). Toutes ces
parties
sont de l'écorce des circonvolutions; elles n'app
s cas, et d'avoir ainsi rendu possible la détermination de toutes les
parties
de l'écorce, conformément au desideratum du philo
la période vraiment scientifique de l'histoire des localisations. La
partie
anatomique de leurs observations est tout à fait
de leurs observations est tout à fait remarquable; malheureusement la
partie
physiologique ne compte pas; c'est pure rêverie.
s vertébrés; mais il ne l'acheva pas. Gratiolct, à qui il légua cette
partie
de son héritage scientifique, sut en tirer un par
e tous les autres animaux, affirme déjà son individualité. Seules les
parties
centrales, celles qui correspondent à la base ou
isième mois ou dans le courant du quatrième, on voit apparaître, à la
partie
postérieure de l'hémisphère, une incisure horizon
région frontale (F) et qui présente, à son extrémité antérieure, une
partie
renflée. Ce prolongement nerveux est le lobe olfa
une partie renflée. Ce prolongement nerveux est le lobe olfactif; la
partie
renflée est le bulbe olfactif (OLE). Le fond de
is mois et demi; grandeur naturelle). dure est la fimbria (FI) ; la
partie
amincie en avant est l'ébauche du corp calleux (c
e du seuil de l'hémisphère. Le seuil de l'hémisphère se compose des
parties
que nous avons déjà K, scissure calcarine Oi,
ale. Cette sixième circonvolution occipitale représente en réalité la
partie
essentielle du lobe occipital à la face interne d
e les circonvolutions temporales (T4, T3) et la région occipitale. La
partie
la plus reculée de la cinquième circonvolution te
ipital a une autonomie parfaite. Dans la nomenclature allemande cette
partie
postérieure de la cinquième temporale est appelée
atteint le bord supérieur de l'hémisphère. Tout ce qui est situé à sa
partie
postérieure appartient au lobe pariétal (P1). L'e
té antérieure se rapproche du genou du corps calleux, et se perd à la
partie
inférieure de ce genou, sans rejoindre le grand s
jonction (TJ), au-dessus et en avant de la vallée de Sylvius (S). La
partie
du lobe frontal qui est en arrière du grand sillo
Enfin la première circonvolution frontale (F1) est entaillée, vers sa
partie
moyenne et sur le bord libre de l'hémisphère, par
sous-frontal (s/) plus petit que le premier divise en deux étages la
partie
réfléchie de la première frontale. Entre les deux
épendants. Le plus antérieur des trois est lui-même subdivisé en deux
parties
par le prolongement d'un sillon (pt), venu de la
de limite antérieure et interne au crochet, ou, pour mieux dire, à la
partie
renflée de l'hippocampe, qui se Schéma 17. — Fa
e gyrus soHS-frontal ; GR, gyrus rectus. termine par un crochet. La
partie
renflée dont il s'agit est le lobule de l'hippoca
mmence à être entamé par des en-ailles plus ou moins profondes : à la
partie
postérieure du lobule para-central (Pa), c'est l'
hales (schéma 48). L'hémisphère est un ovoïde assez régulier, dont la
partie
antero-inférieure est échancréepar une cavité peu
s lors, le lobe frontal est constitué; il est représenté par toute la
partie
de la convexité de l'hémisphère qui se trouve en
roupe de circonvolutions qui sera étudié plus loin (schéma 23). Les
parties
de l'écorce adjacentes à la scissure de Sylvius e
igé, dans son ensemble, d'avant en arrière, divise, en deux étages la
partie
supérieure de la région pariétale. Ce sillon, app
ux-mêmes ultérieurement. Déjà le lobule inférieur se compose de trois
parties
: la circonvolution pariétale inférieure (P2), le
quer que les incisures des opercules sont plus prononcées. Toutes les
parties
constituantes du lobe frontal ont la disposition
formé de plis rayonnants dont le centre de convergence (PI) est à la
partie
inférieure de la fosse, se compose de deux divisi
Une rigole antérieure (IRA), dirigée en bas et en arrière, sépare la
partie
antérieure de l'insula de la partie postérieure d
e en bas et en arrière, sépare la partie antérieure de l'insula de la
partie
postérieure du lobe frontal. Une rigole postérieu
rrière sur toute la longueur de la base du lobule. brissaud. d La
partie
la plus postérieure de la fosse de Sylvius est en
circonvolution temporale transverse. Nous avons dit que toutes les
parties
constituantes du manteau pouvaient s.7, sillon
e une région parfaitement limitée. La surface orbitaire présente à sa
partie
moyenne un sillon en II (H) ; ses deux jambages l
aire réfléchie de la première frontale (F1), qui, dans cette dernière
partie
de son trajet, s'appelle gyrus reclus (GB). Un si
H, s'étale une surface, généralement dépourvue d'incisures et dont la
partie
posté- EPA, espace perforé antérieur; iS, val
est facile à reconnaître sur le schéma 25. On aperçoit en effet, à la
partie
externe de la région orbitaire, le pied de la tro
premier sillon sous-frontal (sF) et le second (sf) sont confondus en
partie
. 11 en résulte que le petit pli de passage fronto
he postéro-inférieure ; deuxième sillon temporal. s'enfonce dans la
partie
la plus inférieure de la circonvolution frontale
ra à l'explication de la planche T de l'atlas, où le détail de chaque
partie
nous paraît suffisamment commenté. Nous avons d
parcourent, rendent presque impossible la désignation de beaucoup des
parties
qu'on y découvre. De semblables spécimens sont ra
olution temporale. qu'on retrouve et détermine aisément chacune des
parties
constituantes de la troisième circonvolution fron
les; branche inféiieure du sillon parallèle. du cap, est relié à la
partie
moyenne de la première circonvolution frontale. P
exte que le centre des mouvements du membre supérieur gauche siège en
partie
; sur le pied de la deuxième frontale droite? Assu
dier les suppléances et les compensations réciproques des différentes
parties
de l'écorce, dans les cas où les circonvolutions
. § YIII Suppléances et compensations réciproques des difFerentes
parties
On a beaucoup écrit et beaucoup disputé sur les
ssent les premières sur l'écorce encore lisse de l'hémisphère; or les
parties
du centre ovale qui leur sont sous-jacentes ne su
te le lieu géométrique des connexions du centre de l'aphasie avec les
parties
sous-jacentes. La situation de ce centre cortical
relativement aux centres profonds; il ne change que relativement aux
parties
de Vécorce qui Venvironnent. La difficulté de loc
tre changera à la surface, mais elle ne changera pas relativement aux
parties
profondes ; il restera sur la même verticale, c'e
; il restera sur la même verticale, c'est-à-dire qu'il fera toujours
partie
du même système de projection. La comparaison p
es ces anomalies tiennent évidemment à l'accroissement excessif de la
partie
supérieure du lobule pariétal inférieur, qui a ef
Méthode des coupes. Jusqu'à présent nous n'avons envisagé que les
parties
du cerveau qui sont visibles à l'extérieur, soit
la ligne médiane et divisées par la section inter-hémisphérique. Les
parties
profondes ne sont accessibles que par la méthode
do l'hémisphère droit (voy. page suiv.). d'aborder directement les
parties
profondes représentées sur chaque figure. Au cont
olutions, ne donnent que des renseignements très insuffisants sur les
parties
sous-jacentes. Les figures des planches XXXIV,
la plupart de ses fibres au centre ovale de l'hémisphère. Mais, de sa
partie
moyenne, on voit partir un gros faisceau (FOm) di
de-sac profond refoule au-dessus de lui le plancher ventriculaire. La
partie
supérieure de l'hippocampe est désignée quelquefo
un hémisphère droit). Le corps calleux (ce), dont on ne voit que la
partie
postérieure, se réfléchit sur lui-môme d'arrière
ps calleux, où on lui donne le nom de fasciola cinerea (Fci). De la
partie
inférieure du corps calleux, au-dessus de la tubé
hippocampe (voy. schéma 47). Mais, pour voir dans leur ensemble les
parties
profondes de l'hémisphère, le mieux est de pratiq
tique, répond nécessairement aussi, sur les coupes horizontales, à la
partie
profonde du tamia; le lamia, en effet, est la lig
moelle de l'insula ou capsule extrême {capsula extrema). Toutes ces
parties
seront étudiées en détail. Mais avant d'entrepren
cendante (P). Ces deux incisures limitent, en avant et en arrière, la
partie
de l'opercule qui se trouve à l'extrémité inférie
actif (DO), comme elle le limite en haut; elle le circonscrit sur une
partie
de son étendue antéro-postérieure. S'"* La bran
ouve place le pied de la deuxième circonvolution frontale (pF2). A sa
partie
moyenne, c'est-à-dire juste au sommet du genou in
ncore une forme étoiléc. soe. Le sillon orbitaire externe sépare la
partie
la plus inférieure de la troisième frontale (FO3)
ne (soe). En réalité il est sur le même plan horizontal et situé à sa
partie
interne. pr Le sillon post-rolandique supérieur
u cerveau, d'un sillon qui prend naissance à la face-interne, vers la
partie
moyenne du lobe carré. Il divise en deux portions
o-occipital (mOT). Par conséquent le sillon parallèle se divise, à sa
partie
postérieure, en deux branches, une supérieure (tl
avant et en dedans de la troisième occipitale (03). Il se confond en
partie
à ce niveau avec la partie postérieure du deuxièm
roisième occipitale (03). Il se confond en partie à ce niveau avec la
partie
postérieure du deuxième sillon temporal (Q. L.
inférieure ou orbitaire du lobe frontal, où elle constitue la majeure
partie
du lobule orbitaire; elle constitue, en d'autres
rrière de la branche transversale du sillon en H. Dans cette dernière
partie
de son trajet, on la voit limitée en dehors et en
dessus et en dehors du sillon orbitaire externe (soe). Cette dernière
partie
dtWrajet de la troisième circonvolution frontale
paré du pli courbe par l'incisure du lobule du pli courbe (ipc). A sa
partie
moyenne on voit l'incisure profonde (igp) que nou
) qui vient de la face interne de l'hémisphère. Il est divisé en deux
parties
à peu près égales par cette scissure. Sa limite p
du faible prolongement de la scissure de Sylvius (S") entre ces deux
parties
de l'écorce. Mais nous avons vu d'autre })art, (}
le pôle occipital (PO) est à droite. ce. Le corps calleux occupe la
partie
moyenne de la face interne de l'hémisphère. Il es
us du corps calleux représente la ligne de démarcation qui sépare les
parties
médullaires de l'encéphale et les parties cortica
démarcation qui sépare les parties médullaires de l'encéphale et les
parties
corticales : c'est le sillon où commence l'hémisp
ge qui fait communiquer l'origine de la circonvolution limbique et la
partie
de l'écorce frontale située au-dessus de la sciss
rière en avant, depuis le bord supérieur de l'hémisphère jusqu'à la
partie
la plus postérieure de la circonvolution limbique
nvolution temporale (T'*) et la cinquième (T^). Il se compose de deux
parties
: une postérieure, horizontale, qui va en avant s
) ; une antérieure, oblique en bas et en avant, qui se branche sur la
partie
postérieure. Ce point de branchement est là repri
l, jusqu'au-dessous du gyrus métopique postérieur (GMP). Arrivée à la
partie
moyenne du corps calleux, la circonvolution limbi
us postérieur (GQP) par le sillon pariétal transverse (pt), sauf à sa
partie
inférieure. Il appartient au lobe pariétal ainsi
en arrière par l'incisure métopique postérieure {imp), présente à sa
partie
moyenne une petite incisure étoilée {sme) qui est
l'interruption momentanée de la scissure limbique {L). C'est dans la
partie
postérieure de ce lobule que la scissure de Rolan
sure de Rolande {R) vient mordre sur le bord d'hémisphère. La majeure
partie
du lobule paracentral appartient donc vraiment, a
ent au-dessous de la scissure calcarine (7il), il est volumineux à sa
partie
postérieure, où il s'enroule autour du sillon (si
par une section médiane, mais par une section sagittale tangente à la
partie
supérieure de la face interne. Le couteau a donc
s deux branches de bifurcation s'étend le bourrelet (BQ) ; enfin à sa
partie
inférieure est le pentagone (PEN). Mais, comme ce
n conformés, en forme de pignon (PEA, PSO, PEN), divisés chacun, à sa
partie
inférieure, par une incisure perpendiculaire au s
rieur (p^) communiquent largement l'un avec l'autre, et forment, à la
partie
postérieure de la pariétale ascendante (P), une e
réalité elles ne modifient rien à la signification absolue de chaque
partie
de l'écorce. Il vaut mieux reconnaître qu'on pour
La scissure de Rolando est peu profonde ; elle laisse entrevoir, à sa
partie
moyenne, au-dessus du genou inférieur de la parié
inférieur dédoublé {pri). p. Le sillon pariétal est interrompu à sa
partie
moyenne par un pli d'anastomose (xCP) entre le pl
rbe (PC) et le pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P'i). A sa
partie
antérieure, il est interrompu par un pli d'anasto
est bdurquée en deux branches : la branche postérieure se confond en
partie
avec le deuxième sillon temporal {t^), pour forme
ure au niveau de la scissure occipitale externe [Oe). Cependant, à sa
partie
moyenne, on voit saillir un petit pli mamelonné q
elle des figures de la planche 2, pour se rendre compte que les mêmes
parties
, non-seulement ne sont pas siiperposables, mais m
ité en haut; l'incisure pra^-ovalaire (pro) entame ce lobule par sa
partie
moyenne au lieu de le circonscrire et de le sépar
re du lobule (io) dans la petite dépression étoilée qu'on voit ' à sa
partie
moyenne. Nous allons passer rapidement en revue l
mbique, né de la première circonvolution sous-frontale et confondu en
partie
avec la circonvolution limbique (C), se relève, u
racentral en avant du sillon prae-ovalaire (pro). Dans cette dernière
partie
de son trajet il contribue à la formation du gyru
que ; mais, comme il est possible de retrouver à l'état d'ébauche les
parties
qui, à première vue, semblent faire défaut sur ce
e à la surface de l'hémisphère. ramifications. Elle occupe, dans la
partie
antérieure du lobe carré, la place du sillon pari
ure du lobe carré, la place du sillon pariétal transverse; et dans la
partie
postérieure, elle se subdivise en deux tronçons.
r la première circonvolution sous-frontale (GSF), où elle recouvre la
partie
postéro-supérieure du tubercule de jonction. Cela
circonscrite par la scissure limbique (L). Arrivée au-dessus de la
partie
moyenne du corps calleux (ce), la circonvolution
érieur se confond ainsi en arrière avec le lobule paracentral. A sa
partie
postérieure le lobule paracentral (Pa) se confond
comme particularité, que l'absence du petit sillon métopique dans la
partie
la plus antérieure. Encore cette absence est-elle
présente alors comme une volumineuse excroissance, développée sur la
partie
externe du pédoncule (PP) et des tubercules quadr
e la scissure occipitale interne. C'est uniquement à l'étude de ces
parties
qu'est destinée la figure 1 de la planche VIII.
clle doit être suffisante pour qu'on puisse insinuer le cou teau à la
partie
externe de celle-ci, de façon à séparer le corps
gcnouillé interne et le pulvinar (Pul). On sectionne alors toutes les
parties
qui se présentent sous le couteau à partir du cor
Lorsque cette préparation est faite avec soin, on a sous les yeux les
parties
que représente la figure 2 de la planche VIII.
atement derrière le tubercule du fascia dentata (Fd). Elle tapisse la
partie
la plus interne de la circonvolution de l'hippoca
scissure calcarine {K) à l'intérieur du ventricule. Telles sont les
parties
qu'on reconnaît au-dessous et en avant du , splen
s en dehors; mais bientôt il change de direction, rebrousse chemin en
partie
, se porte en dehors et en arrière sous le faiscea
séparée de la calcarine {!() par la pointe du cuneus (0"). Toutes ces
parties
sont vues, pour ainsi dire, en profil perdu, atte
munique en arrière avec la troisième circonvolution occipitale ; à sa
partie
moyenne il présente une incisure longitudinale, d
rigone (Fi) en arrière. Elles partagent le corps calleux lui-inôme en
parties
a peu près égales, au niveau du genou et au nivea
voir le prolongement frontal. Le prolongement occipital passe sous la
partie
la plus externe du corps calleux (ce) en dehors d
e guère que dans la région supérieure du thalamus. Elle est formée en
partie
par la lame médullaire externe (LML), recourbée d
ment de la ligne médiane à l'écorce. Les fibres frontales, en majeure
partie
, se réfléchissent en bas et en dehors; un grand n
vale, dans le lobe frontal, est la masse de fibres qui émergent de la
partie
supérieure et antérieure du corps calleux, pour s
ronne rayonnante du noyau caudé (RNC), se porter du lobe frontal à la
partie
interne de l'insula. Ce faisceau sera étudié ulté
is une étendue aussi grande qu'on pourrait le supposer. En effet, une
partie
de la surface de section de ces taches correspond
), les trois circonvolutions frontales (F*, F^ F^) forment la majeure
partie
du lobe frontal. La troisième circonvolution est
droite ligne la première sous-frontale (GSF) : elle est limitée à sa
partie
postérieure par l'extrémité de la scissure limbiq
a, de dedans en dehors, s'ouvrir dans la cavité ventriculaire. A la
partie
postérieure de la fente de Bichat se succèdent, d
onnante du noyau caudé (RNC). Cette couronne rayonnante s'insinue, en
partie
, dans le corps calleux (ce), placé plus en dedans
en font qu'un seul ; mais ils sont séparés l'un de l'autre, dans leur
partie
supérieure, par la capsule interne qui s'y creuse
résentent la forme d'un triangle dont le sommet est représenté par la
partie
, amincie en dedans, du giobus medialis, la base e
e que la couronne rayonnante du thalamus (Rth) ; mais ce n'est qu'une
partie
de cette couronne rayonnante. NCC. La queue du
, la couronne rayonnante du thalamus (Rth); mais il provient aussi de
parties
grises situées au-dessous du pulvinar et qui sont
ibres antéro-postérieures réunissant d'étape en étape les dilTércntes
parties
de la quatrième circonvolution occipito-temporale
de l'écorce est représentée par le lobule de l'hippocampe (IIL), à la
partie
interne duquel on reconnaît la substance grise du
du noyau amygdalien (NA). Le lobule de l'hippocampe se termine, à sa
partie
postérieure, par le crochet (Une); le crochet fer
nte du crochet (Une) et la corne d'Ammon, désignée ici par une de ses
parties
constituantes, le fascia dentata (Fd). Dans cet
e s'insinue, sans contracter de connexions étroites avec l'écorce, la
partie
externe du pont de Varole (PV). On voit, en efl'e
une masse parfaitement distincte de l'hémisphère proprement dit. A sa
partie
moyenne on reconnaît la région du noyau rouge de
inférieur (pri) s'enfonce entre le pied de cette circonvolution et sa
partie
moyenne; il se jette dans le deuxième sillon fron
onvolution frontale et à la troisième. La scissure de Sylvius {S'),
partie
de la surface de l'hémisphère, entre la troisième
'entame ici que la portion sphénoïdale du ventricule latéral. Dans sa
partie
antérieure, ce ventricule présente une surface bo
mbée qui correspond à la face supérieure de la corne d'Ammon. Dans sa
partie
postérieure, on ne voit que sa paroi postérieure
t formée par le noyau amygdalien (NA). j La paroi interne, libre à sa
partie
moyenne, où s'enfonce la fente de Bichat, est rep
voy. NA, Pl. XXIX et XXX). Il est même séparé du crochet, au moins en
partie
, par une petite cloison blanche qu'on peut reconn
a coupe, et qui est l'extrême prolongement antérieur du taenia ; à la
partie
externe et postérieure de ce prolongement médulla
upes comme une région de substance grise dont les connexions avec les
parties
voisines sont des plus importantes à connaître.
ule, se reconnaît, malgré la disparition de la corne occipitale, à la
partie
externe du sillon occipito-temporal dePansch (ot^
périeur, une face interne, un bord inférieur et une face externe. Ces
parties
seront étudiées, pour chaque préparation, dans le
us du pli de passage de Gratiolet (tcP) en dehors. C'est donc dans la
partie
la plus inférieure et postérieure du gyrus lingua
que les faisceaux n'y sont pas renfermés dans leur totalité. Venus de
parties
situées plus en avant, ils ont abandonné, chemin
s sur le plan de section, c'est-à-dire qu'elles parcourent en majeure
partie
le plan vertico-transversal. Mais au milieu de ce
nc du bord supérieur du lobule lingual (0^) au bord inférieur et à la
partie
moyenne du cuneus (0^) en circonscrivant le fond
aisceau sensitif (FS) et la substance grise du cuneus. La plus grande
partie
du faisceau sensitif s'enfonce d'ailleurs dans le
uelle est, comme nous le savons (voy. Pl. Il, fig. 1 et 2), formée en
partie
par le gyrus lingual. La séparation du faisceau s
u cerveau : c'est le faisceau compact du fornix. Celui-ci s'épuise en
partie
dans l'écorce grise du cuneus, à laquelle on le v
ujette à varier que la précédente. Elle présente d'ailleurs les mêmes
parties
essentielles, mais elle en diffère par l'appariti
lequel est entaillé par une incisure profonde et constante [sCu) à sa
partie
moyenne. Au-dessous, la scissure calcarine {K) sé
st ici plus étroit qu'en arrière. Cela tient à ce qu'il se confond en
partie
avec la troisième circonvolution occi-pito-tempor
uccessivement : le premier pli de passage pariéto-occipital [r.O), en
partie
confondu avec le lobule pariétal supérieur (P'),
ssous duquel on reconnaît la coupe du pli courbe (PC). Le pli courbe,
partie
la plus reculée du lobule pariétal inférieur, s'a
t à mesure qu'on examine des coupes plus antérieures, est rejeté à la
partie
externe du ventricule {VO). Il est plus allongé d
ormé d'une masse compacte de fibres dirigées d'avant en arrière. A sa
partie
inférieure il contourne l'angle inféro-externe du
fibres sous la paroi du ventricule ; celles-ci vont se jeter dans la
partie
moyenne et inférieure de l'écorce du gyrus lingua
orce du gyrus lingual (0^), par conséquent au-dessous du cuneus. A sa
partie
supérieure, le faisceau sensitif semble se confon
aisceau sensitif est plus épais ; il semble encore se confondre, à,sa
partie
supérieure, avec le faisceau compact du farnix
orce du pli courbe (PC); mais toute l'écorce du sillon pariétal et la
partie
inférieure du lobule pariétal supérieur (P^) lui
cavité ventriculaire. La coupe le fait voir toujours plus foncé à sa
partie
inférieure. Ce sont donc les fibres supérieures q
ntant un trousseau lamelleux de fibres émanées du pli courbe et de la
partie
inférieure du lobule pariétal supérieur (P*). É
ance blanche. FS. Le faisceau sensitif s'isole plus nettement, à sa
partie
supérieure, du faisceau compact du fornix (FCF).
noïdale du ventricule latéral n'ont rien de régulier, surtout dans sa
partie
postérieure. Le calibre du prisme quadrangulaire
acentes, mais aussi selon la dilatation progressive du cerveau, de la
partie
postérieure à la partie moyenne. Substance blan
n la dilatation progressive du cerveau, de la partie postérieure à la
partie
moyenne. Substance blanche. FS. Le faisceau s
toujours très foncé, augmente d'importance. Il est composé en majeure
partie
de fibres dirigées d'avant en arrière. Mais sa co
eaucoup plus prononcée en dehors qu'en dedans. Il renferme donc, à sa
partie
externe, des fibres exclusivement antéro-postérie
l (0'). Les fibres externes, au contraire, vont en arrière jusqu'à la
partie
la plus reculée du lobe occipital. FCF. Le fais
sCu). Mais comme il fournit à la substance grise du cuneus la majeure
partie
de ses fibres, il occupe surtout la partie supéri
grise du cuneus la majeure partie de ses fibres, il occupe surtout la
partie
supérieure de cette circonvolution. 11 est encore
ans, est situé en dedans et au-dessus du faisceau sensitif (FS). A sa
partie
inférieure, il paraît se continuer insensiblement
foncées, antéro-postérieures, du faisceau sensitif (FS), situées à sa
partie
interne. BKISS.VUD. 7 Figurée. ' COUPE VERT
sensitif présente la même disposition générale. : Ici on voit que sa
partie
supérieure, effilée, est nettement séparée : du f
es par les fibres inférieures du forceps (FOi). Elles se jettent i en
partie
dans la substance grise du cuneus, où elles perde
emps, d'avant en arrière, leur direction antéro-postérieure; mais une
partie
d'entre elles, arrivées à l'angle inféro-interiie
e interne, le lobe carré présente déjà une dépression qui répond à la
partie
postérieure de la scissure sous-pariétale (sP). P
carré est pénétré par la scissure perpendiculaire interne (Oi). Cette
partie
du lobe carré répond exactement à ce que nous avo
arré forme, comme on le voit sur la figure, un véritable opercule, en
partie
couché sur le coin (0^). Ici, le coin représente
lution temporale (T") forme le bord inférieur de l'hémisphère. A la
partie
externe de la coupe, en dessous du bord supérieur
me le faisceau sensitif dont ils émanent, absolument indépendants des
parties
avoisinantes ; ils aboutissent manifestement au g
à la substance grise du recessus, pour aller se porter en masse à la
partie
la plus interne de l'hémisphère. Il est arrêté da
re la voûte du ventricule sous la fornn^ d'un arc où les fibres de la
partie
ext(iriic sont plus nombreuses que celles de la p
s fibres de la partie ext(iriic sont plus nombreuses que celles de la
partie
interne. Les fibres externes contournent la paroi
cissure. — Le faisceau occipital-vertical (FOV) est bien isolé à la
partie
externe du faisceau sensitif (FS), luais ses deux
, foncée, compacte, dirigée d'avant en arrière, et qui provient de la
partie
la plus interne du faisceau sensitif (FS) ; une m
) ; une moyenne (FL2), blanche, à fibres transversales, émanées de la
partie
moyenne du faisceau sensitif (FS); une inférieure
enne du faisceau sensitif (FS); une inférieure (FLs), dont la majeure
partie
provient de la partie externe du faisceau sensiti
tif (FS); une inférieure (FLs), dont la majeure partie provient de la
partie
externe du faisceau sensitif FS. Cette disposit
comme nous l'avons déjà dit, de fibres nerveuses qui, faisant d'abord
partie
du faisceau sensitif (FS), à la partie externe du
nerveuses qui, faisant d'abord partie du faisceau sensitif (FS), à la
partie
externe du ventricule, s'irudinent de dehors en d
us lingual (0"). Celles qu'on retrouve au-dessous du ventricule, à la
partie
la plus postérieure du faisceau longitudinal infé
on de la scissure limbique (L), au-devant de laquelle on reconnaît la
partie
postérieure de la circonvolution pariétale ascend
apparaissant que tout à fait en arrière, cela signifie que la majeure
partie
du faisceau qu'elles contribuent à former, se dir
elle sorte que le manteau est divisé, dans toute son étendue, en deux
parties
: l'une, la supé-i rieurc, qui renferme les fibre
Le faisceau sensitif, toujours compact et bien circonscrit, sauf à sa
partie
supérieure, se divise après sa réflexion sous le
lame de fibres coupées perpendiculairement à leur axe. La plus grande
partie
ont passé plus haut et plus en dedans, au contact
gmente d'importance au fur et à mesure que les coupes intéressent des
parties
plus antérieures (voy. fig. 12 et 15, FOi); cela
férieur du forceps abandonne, chemin faisant, d'avant en arrière, une
partie
de ses fibres. Il est certain que le plus grand n
les se jettent (comme on peut le voir sur les figures 8 et 9) dans la
partie
supérieure du gyrus lingual (0'). Mais ce qui con
ie supérieure du gyrus lingual (0'). Mais ce qui constitue la majeure
partie
du faisceau inférieur du forceps arrive et se ter
tes le démontrent. Le faisceau inférieur du forceps se confond à sa
partie
supérieure avec le faisceau moyen (FOm). Au nivea
ceau moyen du forceps major forme la voûte du ventricule latéral. Une
partie
seulement des fibres situées à sa partie la plus
e du ventricule latéral. Une partie seulement des fibres situées à sa
partie
la plus externe passent en dehors du ventricule,
. FOm. Le faisceau moyen du forceps major est nettement limité à sa
partie
supérieure par une ligne oblique en haut et en de
faisceau compact du fornix (FCF). Nous venons de voir que la majeure
partie
des fibres de ce dernier faisceau s'est déviée, e
atement en dehors d'un nouveau faisceau [Cin), qui n'est autre qu'une
partie
du faisceau de la circonvolution du corps calleux
ce dernier affecte la forme représentée sur la figure 8, la maj(Hire
partie
de ses fibres appartenant au manteau du cuneus ou
éalité, il vient du bourrelet du corps calleux, dont il représente la
partie
supérieure; il passe en avant et au-dessus du rec
ompact du fornix (FCF), au moment où ces deux faisceaux passent de la
partie
inférieure à la partie supérieure du recessus de
au moment où ces deux faisceaux passent de la partie inférieure à la
partie
supérieure du recessus de la scissure occipitale.
ieur du forceps (FOs.) Ce dernier faisceau, n'étant coupé que dans sa
partie
postérieure semble, sur ce schéma, être situé au-
s rapprochés. On ne trouvera donc pas une grande différence entre les
parties
similaires de l'écorce que le couteau a divisées,
(15) jusqu'à la dernière (18). Mais il n'en est pas de môme pour les
parties
centrales. Ici, malgré les faibles distances qui
ONE DU LOBE CARRÉ Écorce. Le bord supérieur est représenté par la
partie
la plus élevée de la circonvolution pariétale asc
abord cinquième occipitale, puis cinquième temporale) est bornée à sa
partie
inférieure et dans toute sa longueur par le quatr
essous et à gauche de la circonvolution pariétale ascendante (P), les
parties
qu'on rencontre de haut en bas sont les suivantes
ro-postérieur. ipi. L'incisure du lobule pariétal inférieur. Sur la
partie
moyenne du lobule pariétal inférieur est l'incisu
mpact, il est aisément pénétré par des fibres venues d'ailleurs. A sa
partie
interne il est toujours aussi nettement isolé du
triculaire, est formée des fibres du faisceau sensitif (FS) qui, à la
partie
externe du ventricule, sont les plus voisines du
descend en eflet jusque dans le lobule fusiforme (T*) et s'épuise en
partie
dans cette circonvolution. Mais le plus grand nom
sente sous l'aspect d'un faisceau aplati, dout ou ne distingue qu'une
partie
très faible, confondue avec ce qui reste, en ce p
ns le sens vertical, décrivant une courbe à convexité postérieure; la
partie
supérieure de la courbe se dirige vers la partie
xité postérieure; la partie supérieure de la courbe se dirige vers la
partie
la plus inférieure du lobe carré, et plus loin ve
lobe carré, et plus loin vers la face supérieure du corps calleux. Sa
partie
inférieure se porte en bas, tout le long de l'éco
s fibres inférieures du forceps major paraissent encore confondues en
partie
avec les fibres moyennes (FOm) ; et cette séparat
ujours la paroi supérieure ou voûte de la corne sphénoïdale, est à sa
partie
interne étroitement adhérent au faisceau inférieu
de fibres qu'en arrière. Cela tient à ce que ses fibres s'épuisent en
partie
dans la paroi externe du ventricule ou tapetum, d
rieur du forceps. FOs. Le faisceau supérieur du forceps, venu de la
partie
la plus supérieure et la plus postérieure du bour
e direction sensiblement parallèle à celle du plan de section. — A la
partie
externe du ventricule, il se place en dehors du f
l point où ses fibres inférieures ne soient pas nettement isolées des
parties
avoisinantes. FPF. Le faisceau pariéto-frontal,
Cavité ventriculaire. L'angle supéro-externe est émoussé par une
partie
des fibres du faisceau supérieur du forceps qui l
ent de direction des fibres du faisceau inférieur du forceps, dont la
partie
la plus interne, d'abord dirigée d'avant en arriè
lé. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, peu compact à sa
partie
supérieure, se condense à sa partie inférieure. A
isceau sensitif, peu compact à sa partie supérieure, se condense à sa
partie
inférieure. Au-dessous de la couche moyenne du fa
substance blanche de la quatrième circonvolution temporale (T4). Une
partie
des fibres renfermées dans ce faisceau doit en êt
rieures. Puis, elles se portent obliquement en bas et en dehors, à la
partie
externe du faisceau supérieur du forceps (FOs), p
à la partie externe du faisceau supérieur du forceps (FOs), puis à la
partie
externe du faisceau sensitif (FS). Devenues verti
es coupes suivantes. FCF. Le faisceau compact du fornix, venu de la
partie
infé- 1. Ici la section verticale de l'hémisphè
ection verticale de l'hémisphère intéresse le gyrus lingual (03) à sa
partie
antérieure; c'est déjà la cinquième temporale (Ts
n'est plus reconnaissable. Au moment précis où la coupe a dépassé la
partie
la plus antérieure de la gouttière de la scissure
dehors. Elles étaient jusqu'à présent très nettement limitées à leur
partie
supéro-interne Actuellement elles se confondent a
à concavité dirigée en bas et en dedans. En haut, il se porte vers la
partie
la plus inférieure du lobe carré, c'est-à-dire ve
lle diminue de profondeur; la pariétale ascendante (P) s'aplatit; une
partie
du lobule pariétal supérieur (P1) se confond avec
aisceau sensitif garde les mêmes dimensions et les mêmes rapports. Sa
partie
externe est moins arrêtée que dans la figure préc
ffus du fornix (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix s'isole des
parties
adjacentes. 11 est limité en dehors par le faisce
fig. 9, pl. XII), s'insinue obliquement en haut et en dedans vers la
partie
la plus inférieure du lobe carré. FOi. Le faisc
supéro-externe de la cavité ventriculairc et l'émoussent. Une faible
partie
du faisceau moyen du forceps contribue donc à for
donc à former le lapetum. Nous retrouvons d'ailleurs ces fibres à la
partie
inférieure du tapetum, où elles reprennent une te
tent d'arrière en avant. FOs. Le faisceau supérieur du forceps à sa
partie
supérieure s'incline en avant en dedans; à sa par
du forceps à sa partie supérieure s'incline en avant en dedans; à sa
partie
inférieure, parvenu au niveau de l'angle inféro-e
à s'amincir, ce qui est dû au voisinage de la corne d'Ammon, dont la
partie
postérieure repousse vers la partie externe tous
nage de la corne d'Ammon, dont la partie postérieure repousse vers la
partie
externe tous les faisceaux attenant à l'écorce. L
ure 16. COUPE PASSANT A UN DEMI-MILLIMÈTRE DE LA PRÉCÉDENTE, PAR LA
PARTIE
LA PLUS INFÉRIEURE DU PENTAGONE DU LOBE CARRÉ
res de la même planche. Deux points seulement sont à signaler: A la
partie
inférieure du pentagone du lobe carré (PEN), on d
ite incisurc (sC), qui n'est autre que le sinus du corps calleux à sa
partie
la plus postérieure, c'est-à-dire au voisinage de
face inférieure. Nous la retrouverons plus eu avant dans une grande
partie
de la longueur du cerveau, jusqu'au genou du corp
était sur la précédente coupe que par l'isolement plus prononcé de sa
partie
interne, surtout au voisinage de son point de réf
fus du fornix s'isole mieux encore que sur la figure 15, surtout à sa
partie
moyenne. Limité en dedans, d'une façon très nette
f (FS), il se dirige verticalement, au milieu du centre ovale vers la
partie
inférieure du cerveau. Là, juste au contact du fa
calleux (sC), sa teinte devient plus foncée. A ce niveau il môle une
partie
de ses fibres avec celles du faisceau compact du
des stries en spirales, plus visibles sur les figures 17 et 18. Cette
partie
blanche n'est cependant autre chose que le faisce
arrière, presque verticalement. Elles s'étalent ainsi en voûte sur la
partie
postérieure de la corne d'Ammon, que nous allons
et, beaucoup plus franchement claire, étant plus transversale. — A sa
partie
interne, il redevient oblique en avant et en deda
mincie, intercalée entre le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la
partie
la plus interne du faisceau longitudinal inférieu
PASSANT A UN DEMI-MILLIMETRE EN AVANT DE LA PRÉCÉDENTE, TANGENTE A LA
PARTIE
LA PLUS POSTÉRIEURE DU BOURRELET DU CORPS CALLEUX
ndo (jR) est toujours peu profonde. La pariétale ascendante (P) et la
partie
supérieure du lobule pariétal supérieur (P1) se r
tique à ce que nous l'avons vu précédemment, paraît se confondre à sa
partie
inférieure, au voisinage de l'angle inféro-extern
ne seule couche ; cette couche inférieure (FL3) est formée en majeure
partie
des fibres du faisceau sensitif (FS), et spéciale
hemin plus loin en arrière. FDF. Le faisceau diffus du fornix, à sa
partie
antéro-supérieurc, se dirige assez exactement dan
concavité antérieure, embrassant le splenium ; il remonte donc de la
partie
inférieure du splenium à sa partie supérieure; et
e splenium ; il remonte donc de la partie inférieure du splenium à sa
partie
supérieure; et, dans ce trajet, ses fibres sont a
t par une petite masse grise (Fci), le fasciola cinerea, accolée à la
partie
postérieure du corps calleux. Puis elles se porte
FOm. Le faisceau moyen du forceps, momentanément confondu avec les
parties
blanches adjacentes (fig. 15), redevient un faisc
ventriculaire cesse donc, sur cette coupe, de s'appuyer sur les deux
parties
latérales. Elle s'avance dans la cavité échancrée
re le forceps et le cingulum (Cin). De là elle remonte encore, à la
partie
externe d'une tache grise (Fci), le fasciola cine
ique (C). Fci. La bandelette cendrée (fasciolacinerea) apparaît àia
partie
la plus postérieure du splcnium, où la coupe 17 e
ps calleux est reconnaissable au-dessus et au-dessous de celui-ci. La
partie
foncée qu'on aperçoit au-dessous de l'incisure su
inférieur, réduit à sa couche inférieure, est formé des fibres de la
partie
externe du faisceau sensitif (FS) et des fibres d
diffus du fornix se compose de fibres anléro-postérieures, en majeure
partie
accumulées au pourtour et spécialement à la parti
ieures, en majeure partie accumulées au pourtour et spécialement à la
partie
supérieure de la grande scissure limbi que. En ba
cette circonvolution. FCF. Le faisceau compact du fornix se mêle en
partie
avec le cinguluin. De celle fusion au voisinage d
ne augmentation de la masse des libres antéro-posté-rieures qui, à la
partie
inférieure de la circonvolution limbique, s'accus
circonvolution limbique, s'accuse par une coloration très foncée. Une
partie
des libres du faisceau compact du fornix (FCF) pa
eau compact du fornix (FCF) passe également dans le corps calleux. La
partie
la plus reculée du corps calleux, qui est ici ent
. L'extrémité supérieure de l'arc s'adosse à la substance grise de la
partie
la plus inférieure du gyrus fornica tus ou circon
tant du côté interne au côté externe, en arrière et en dehors. A sa
partie
interne, le faisceau moyen du forceps (FOm) est p
ie interne, le faisceau moyen du forceps (FOm) est plus foncé qu'à sa
partie
externe. Il est nettement séparé de la lame festo
profonde. La tache blanche allongée qui occupe, sur la figure 18, sa
partie
centrale, correspond à la portion blanche du mant
le assez importante (sP) de la scissure sous-pariétale divise en deux
parties
le lobe carré; une supérieure, appartenant au pli
t suiv.); il n'est que la continuation du sinus du corps calleux à la
partie
inférieure du splenium (sC). En examinant les fig
as dès le premier examen, c'est que le sillon supérieur, parvenu à la
partie
postérieure du splenium, se porte tout d'un coup
t spécial de la circonvolution cendrée (Fci). C'est au niveau de la
partie
postérieure du splcnium que la cavité du ventricu
suivante, les deux plus externes se confondent. Elles représentent la
partie
saillante de la circonvolution godrormée à son ex
ntera d'importance; mais on le voit aussi se mouler exactement sur la
partie
inférieure de cette dernière. Substance blanche
sur la planche précédente. Il est très homogène et assez compact à sa
partie
moyenne; il est plus diffus à sa partie supérieur
omogène et assez compact à sa partie moyenne; il est plus diffus à sa
partie
supérieure, où il enveloppe le faisceau supérieur
il enveloppe le faisceau supérieur du forceps (FOs, 23); enfin, à sa
partie
inférieure, il tend déjà à se diviser en deux cou
terne (FSi) est dirigé d'avant en arrière, directement, du moins à la
partie
la plus postérieure (fig. 19). La délimitation du
eau externe (FSc) se confond insensiblement en dehors avec les autres
parties
du centre ovale, particulièrement avec le faiscea
celle qui renferme les fibres antéro-postérieures, venues en majeure
partie
du faisceau sensitif externe. La couche moyenne (
és inférieures, après avoir contourné le forceps de haut en bas, à la
partie
postérieure de celui-ci, s'épanouissent dans les
t 24) s'interposer entre le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la
partie
la plus interne du faisceau longitudinal inférieu
i restent antéro-postérieures sur tout leur trajet, sont celles de la
partie
externe de la corne d'Ammon. Quant à celles qui e
coupes sa coloration est franchement claire et uniforme dans toute la
partie
contiguë à la paroi externe du ventricule. Ses fi
Profil du faisceau supérieur du forceps (FOs) à son insertion sur la
partie
postérieure du corps calleux (ce). Les fibres de
lTICO-TRANSVERSALES (COUPES DE 25 A 30) PASSANT PAR LE LORE CARRÉ, LA
PARTIE
POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, ET TANGENTES A LA FACE S
ué immédiatement au-dessous de la base de la corne d'Ammon, réunit la
partie
antérieure du lobule lingual (Ts) et la partie mo
rne d'Ammon, réunit la partie antérieure du lobule lingual (Ts) et la
partie
moyenne du lobule fusiforme (V), dans la moitié d
, 26). La face externe revêtue du tapetum (FOs) occupe la plus grande
partie
du pourtour de la cavité. La face interne se mont
érieure du ventricule, que momentanément (fîg. 13, 14 et suiv.), à la
partie
la plus reculée de la corne d'Ammon. Il régnera d
structure plus complexe. Mais en somme elle ne se compose que de deux
parties
fondamentales : une bandelette grise (fig. 25, Fc
ar les signes Fci., LMA, etc., qui correspondent respectivement à ses
parties
constituantes. La portion grise (Fci) se présen
e trajet sont disposées de telle sorte, qu'au point de rencontre, une
partie
àe substance blanche reste à la périphérie d'un
lle provient de la substance blanche du corps calleux, réfléchie à la
partie
antérieure de la fasciola cinerea (fig. 30). Se
ressant le fasciola cinerea et le corps godronné (Fd) au niveau de la
partie
postérieure et inférieure du corps calleux. Les s
eps (FOs) et des deux faisceaux moyen et inférieur (FOm, FOi). A la
partie
inférieure et externe du corps calleux, au milieu
tie formée des fibres du faisceau sensitif externe (FSe) et en faible
partie
des fibres du faisceau diffus du fornix (FDF). Ma
e : il est en effet dans le plan vertical de section ; il passe de la
partie
supérieure à la partie inférieure du corps calleu
s le plan vertical de section ; il passe de la partie supérieure à la
partie
inférieure du corps calleux, mais peu à peu, ses
tuées au-dessus sont des fibres antéro-postérieures, appartenant à la
partie
la plus inférieure du c°rps calleux ; elles se po
inmon leur ferme le passage en arrière, elles se rejettent en majeure
partie
vers sa face externe, formant, sous le nom iïalve
t représenté (fig. 27, 28) par le bulbe de la corne postérieure, à la
partie
supérieure et interne du ventricule ; et aussi à
eure, à la partie supérieure et interne du ventricule ; et aussi à la
partie
inférieure du tapetum, par un petit faisceau de f
remières en avant. Elles ne conservent pas cette direction jusqu'à la
partie
antérieure de la paroi ventriculaire externe. Une
à la partie antérieure de la paroi ventriculaire externe. Une notable
partie
d'entre elles se réfléchissent sous la paroi infé
COUPES VERTICO-TRANSVERSALES (31-36) PASSANT PAR LE LOBE CARRÉ, LA
PARTIE
POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, TANGENTES A LA FACE POST
nsemble. Nous avons déjà étudié séparément dans la corne d'Ammon deux
parties
, une grise, prolongement de la bandelette cendrée
prolongement de la substance blanche du corps calleux (LMA). Ces deux
parties
fondamentales doivent toujours être décrites l'un
tous leurs détours, et nous la voyons s'insinuer partout où ces deux
parties
grises se développent et s'enroulent. Sur les fig
cinérea ; et il n'est plus séparé du tubercule (Tf). Donc toutes les
parties
grises de la corne d'Ammon sont en continuité ini
te planche (35 et 56), ces deux îlots gris (Fd et Tf) représentent la
partie
la plus antérieure de la substance grise de la co
ulaire d'Arnold (LMA) établit un large trait d'union entre toutes ces
parties
. 62. du fasciola cinerea (Tf). Cette lente es
ssus de la paroi ventri-culaire, et qu'elles se recourbent en majeure
partie
de haut en bas et de dedans en dehors, au contact
au sensitif qui jusqu'à présent n'avait pas été nettement arrêté à sa
partie
externe, s'isole avec une très grande précision,
eure) répondent toujours au faisceau sensitif interne (FSi), et à une
partie
du faisceau sensitif externe (FSe). Il y a d'ai
u, coupées perpendiculairement à leur axe, au moment où, venues de la
partie
inférieure et postérieure du lobe carré et du c
utre part ses fibres inférieures s'épanouissent en divergeant dans la
partie
inférieure de la circonvo- 33 Coupe 55 ( verl
ampe, il ne faut pas s'attendre à trouver son épaisseur égale dans sa
partie
supérieure et dans sa partie inférieure. On le vo
re à trouver son épaisseur égale dans sa partie supérieure et dans sa
partie
inférieure. On le voit (fig. 35), au-dessus du co
mment dirigées en bas et en avant, se portent en dehors et forment la
partie
la plus supérieure du manteau du subiculum (Ilip)
. FOi. Le faisceau inférieur du forceps (fig. 52, 54, 56) occupe la
partie
la plus inférieure et externe du corps calleux. M
u inférieur du forceps, dans ce trajet, est accolé immédiatement à la
partie
externe du fasciola cinerea (Fci). Il le suit jus
grise de l'hippocampe (Hip, fig. 54), et peu à peu se perd dans cette
partie
de l'écorce sphénoïdale. On peut remarquer que
mais elle représente l'ancienne voûte horizontale du ventricule. Une
partie
de ses fibres, après avoir recouvert la voûte du
s vu que le faisceau scnsitif externe, dirigé d'avant en arrière à sa
partie
inférieure, s'incline en haut et en dedans à sa p
n arrière à sa partie inférieure, s'incline en haut et en dedans à sa
partie
supérieure. Au-dessus du ventricule (dont il est
zontalement en dedans vers la circonvolution limbique. Cette dernière
partie
de son trajet, assez mal déterminée sur les coupe
'incidence diffèrent selon l'inclinaison de la substance grise sur la
partie
blanche du manteau. 6. mais beaucoup plus sim
LE LOBULE PARACENTRAL, LE PENTAGONE DE LA CIRCONVOLUTION LIMBIQUE, LA
PARTIE
ANTÉRIEURE DU SPLENIUM ET LA PARTIE MOYENNE DU TU
a entamé un repli de la substance grise, qui appar tient en majeure
partie
à la première circonvolution frontale (F1). Puis,
P), on remarque (fig. 57) un diverticulum gris (S), qui représente la
partie
la plus reculée de l'écorce de la scissure de Syl
De plus en plus haute, de plus en plus étroite et même resserrée à sa
partie
moyenne (fig. 42), elle n'est plus reconnaissable
iane, et sa face supé- BRISSAUD. H rieure est représentée par une
partie
de sa face externe, d'abord inclinée en dedans, p
à montrer les changements survenus dans les rapports réciproques des
parties
constituantes de la corne d'Ammon (fig. 37). Fc
un fragment de celui qui le suit ou qui le précède (schéma 67). A,
partie
antérieure de l'hémisphère. P, partie postérieu
le précède (schéma 67). A, partie antérieure de l'hémisphère. P,
partie
postérieure. XX, coupe vcrtico-transversale du
d'avant en arrière, les inférieures allant d'arrière en avant. Cette
partie
blanche striée, issue de la face inférieure du co
'une couche de substance grise d'une extrême minceur, représentant sa
partie
la plus antérieure. En bas, c'est l'ensemble des
ne, décrivant un arc à concavité antérieure. Ses fibres émanent de la
partie
la plus inférieure du corps calleux (fig. 37, FI)
39, 40, etc., permet de constater qu'elles ne se continuent pas, à la
partie
inférieure, avec la substance blanche qui recouvr
dedans, laisse soupçonner que les fibres de la fimbria s'épuisent en
partie
, surtout en dedans, sur le fascia dentata (Fd), l
imbria s'épuise, en effet, progressivement sur la corne d'Ammon, à sa
partie
interne. Mais un grand nombre de ses fibres conse
nombre de ses fibres conservent leur groupement compact jusqu'à la
partie
antérieure de la corne d'Ammon. Nous allons, égal
fibres proviennent du corps calleux, où elles sont plus foncées à la
partie
inférieure et externe du splenium (fig. 41). Elle
I). C'est la coupe très fine de la mince lamelle blanche qui revêt la
partie
la plus antérieure du fasciola cinérea. Sur la fi
'œil nu. Th. Couche optique. Les premières entailles faites dans la
partie
la plus reculée de la couche optique apparaissent
à il passe en grande partie sous le plancher du ventricule ; mais une
partie
(TAP, fig. 37, 42) se réfléchit d'arrière en avan
les fibres du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 42) rejoignent la
partie
supérieure du corps calleux. FS. Le faisceau se
terminer. On constatera d'abord sur les coupes horizontales que cette
partie
interne du faisceau sensitif n'est pas moins clai
tte partie interne du faisceau sensitif n'est pas moins claire que la
partie
externe. Donc ses fibres se rapprochent de la dir
n arrière. Une section vertico-transversale suivant x y laissera à la
partie
horizontale (h) (qui est dans le plan de la cou
Cette hypothèse serait acceptable en totalité (elle ne l'est qu'en
partie
), si la transition entre la partie externe foncée
e en totalité (elle ne l'est qu'en partie), si la transition entre la
partie
externe foncée et la partie interne claire s'effe
qu'en partie), si la transition entre la partie externe foncée et la
partie
interne claire s'effectuait insensiblement. Il n'
sceau interne. Les coupes horizontales démontrent môme que la majeure
partie
des fibres du faisceau externe, venues de beaucou
orme de croissant; elle reste maintenant invariablement la même. A sa
partie
supérieure et interne, la coloration accentuée qu
LOBULE PARACENTRAL, LE PENTAGONE DE LA CIRCONVOLUTION LIMBIQUE ET LA
PARTIE
ANTERIEURE DU TUBERCULE QUADRIJUMEAU POSTÉRIEUR
éduite à une lame blanche qu'on voit se rétrécir de plus en plus à sa
partie
inférieure ; elle flotte en quelque sorte, n'étan
uite à une distance d'un quart de millimètre. LMA. Au-dessous de la
partie
inféro-externe du corps calleux et lui adhérant,
re à la retrouver sur le segment inférieur de cette couche grise à la
partie
supérieure de la corne d'Ammon. Elle y forme en e
e au-dessus du fascia den-tata (Fd', fig. 44), et se continue avec la
partie
interne de la fim-bria, mais sans mélanger ses fi
our aller s'adosser à la fimbria (FI). Fd. Le fascia dentata est la
partie
la plus profonde de la corne d'Ammon. Toutes les
la circonvolution limbique. Réflexion du fascia dénia ta (Fd) à la
partie
postérieure du corps calleux (ce). Il devient l
ubiculum. Il est important de désigner par un nom spécial chacune des
parties
de cette courbe. La portion verticale interne, gr
oulement de la substance corticale sur le bord libre de ces dernières
parties
. La figure schématique ci-dessus permet de compre
de la corne d'Ammon. FI. La fimbria (fig. 44, 45, 46, 48) occupe la
partie
inférieure et externe du corps calleux, où ses fi
tiers externe est occupé par l'ai vous dont il va être question. A sa
partie
supérieure la fimbria est donc dirigée d'avant en
hors (45, 44, 45) se présente ici comme un îlot, séparé de toutes les
parties
avoisinantes par ia grande fente de Bichat (Bf, 4
e pulvinar (Pul, 46) ou noyau postérieur du thalamus. 11 reçoit de la
partie
externe trois ou quatre bandes de substanèe blanc
(44, 45, 47) consiste surtout en fibres transversales dont la majeure
partie
forme le tapetum. Il en est ainsi dans toute la r
um se fait progressivement, à mesure que les sections intéressent des
parties
de plus en plus antérieures du corps calleux. Cel
it pour s'en assurer, de jeter les yeux sur les figures 44 et 45 : la
partie
supérieure du tapetum se continue manifestement a
ur la planche précédente. On remarquera seulement qu'une plus notable
partie
des fibres du faisceau externe semble s'épuiser d
interne de la circonvolution de l'hippocampe, on le voit mélanger en
partie
ses fibres avec celles du faisceau longitudinal i
la même disposition que sur la précédente ; le forceps comprend deux
parties
: une interne (fig. 45), située dans l'angle et a
s du lobe sphénoïdal (voir plus loin). Sur les figures 46, 47, 48, la
partie
interne du faisceau inférieur du forceps, réduite
u inférieur du forceps va disparaître. Il n'en subsistera plus que la
partie
externe ou fimbria (FI). — FOm (fig. 45) représen
s (49 à 54) n'intéressent plus, à la face interne, qu'une très faible
partie
du pli de passage parié to-limbique (dL). Celui-c
comme particu larité essentielle le rétrécissement progressif de sa
partie
moyenne. Ce rétrécissement est dû à l'apparition
se porte en dehors à la rencontre du noyau caudé (fig. 54). Dans sa
partie
supérieure comme dans sa partie inférieure, la ca
e du noyau caudé (fig. 54). Dans sa partie supérieure comme dans sa
partie
inférieure, la cavité ventriculaire ne subit pas
t de plus en plus mince; au fur et à mesure que le couteau divise des
parties
plus antérieures, elle se réduit; un mince pont d
blanche (fig. 51, 52, 55) établit encore line communication entre la
partie
inférieure du corps calleux (ce) et la lame médul
on supérieur (TRI, 51, 54) poursuit son trajet postéro-antérieur à la
partie
inférieure et externe du corps calleux : c'est le
irection de ses fibres, présente l'aspect d'un croissant, coiffant en
partie
le fascia dentata (fig. 55, FI). C'est la fimbria
te de Bichat. Th. La couche optique, complètement isolée encore des
parties
avoisinantes, est formée de substance grise homog
voisinantes, est formée de substance grise homogène, plus foncée à sa
partie
interne, et traversée de dehors en dedans par les
ié, tout au plus, des fibres supérieures de celui-ci. Une autre bonne
partie
des fibres calleuses s'insinue de dedans en dehor
dans la substance blanche du tapetum : c'est le noyau caudé, c'est la
partie
la plus reculée de la convexité du noyau caudé, e
de largeur et surtout de hauteur. Elle refoule dans le ventricule une
partie
du tapetum (fig. 50, 51, 52). Mais elle est toujo
composé de fibres plus franchement antéro-postérieurcs, remonte à la
partie
externe du tapetum (TAP) jusqu'au voisinage de l'
du noyau caudé (NC). Sur les figures 52, 55 on distingue encore, à sa
partie
inférieure, la coloration foncée qui correspond à
ehors en dedans au-devant du noyau caudé, pour aller se jeter dans la
partie
postérieure de la couche optique ou pulvinar (Pul
s déjà vu que le faisceau longitudinal inférieur ne représente qu'une
partie
des fibres du faisceau sensitif, réfléchie sous l
ère en avant, au dessus et en dehors du fascia dentata (Fd). Entre la
partie
supérieure et la partie inférieure de la fimbria
et en dehors du fascia dentata (Fd). Entre la partie supérieure et la
partie
inférieure de la fimbria les deux coupes 53 et 54
-calleux (TSC). Le triangle sous-calleux n'est pas autre chose que la
partie
la plus antérieure du faisceau inférieur du force
en dedans ; la masse du corps calleux se trouve ainsi divisée en deux
parties
: la supérieure correspond au corps calleux propr
superficiel ; un moyen ou profond. Tous les trois convergent vers la
partie
interne du thalamus. Le faisceau inférieur (fig.
(fig. 54), clair au-dessous de la couche optique, devient foncé à sa
partie
externe, où il change de nom ; ses fibres, Proj
IÌSO, la bandelette sous-optique qui continue le straluni zonale à la
partie
postero-interne de la couche optique est sectionn
ique, du changement de coloration du stratum zonale (ZS), lorsqu'à la
partie
externe de la couche optique il devient la bandel
oit chemin en arrière jusqu'à la surface du pulvinar (Th). Foncé à sa
partie
inférieure (fig. 54), qui est encore dirigée d'av
nférieure de la région pédonculo-protubérantielle, où l'on voit, à la
partie
postérieure du pédoncule cérébral gauche (PP), la
cindée (fig. 56). Simple en arrière, elle se bifurque au niveau de la
partie
postérieure de la couche optique : un prolongemen
Th. Le thalamus (fig. 55, 56,60), toujours d'un gris homogène à sa
partie
interne, est parcouru maintenant par des fibres b
ment dit et de la queue du noyau caudé au niveau du point où ces deux
parties
se confondent ; 60, section du noyau caudé et d
0) apparaît ici pour la première fois. Il n'est sectionné que dans sa
partie
supérieure. Sa moitié inférieure a été séparée tr
Introd.). Il se compose de fibres horizontales appartenant en majeure
partie
au pédoncule cérébelleux moyen. Elles sont légère
tion de celui-là. Il n'y a entre eux aucune démarcation. Ce sont deux
parties
d'un seul et même faisceau. Seulement les fibres
n dedans. La couche de Reil (Lem) a une épaisseur considérable à sa
partie
inférieure, lorsqu'elle passe de la région bulbai
e par un plan de fibres transversales. Projection horizontale de la
partie
postérieure de la couche optique : insertion de l
aut, en dehors du tapetum (fig. 58, 60). Il est bien moins foncé à sa
partie
inférieure, qui jusqu'à présent avait tranché net
re, qui jusqu'à présent avait tranché nettement par sa teinte sur les
parties
avoisinantes. Donc il tend à se diriger dans le s
ite au faisceau sensitif externe, se porte en dehors et en avant à la
partie
inférieure de la circonvolution de l'hippocampe.
faisceau sensitif interne, directement transversal, se jette dans la
partie
supérieure de l'étage inférieur de l'hippocampe,
du forceps (FOi). FOi. Le faisceau inférieur du forceps a formé une
partie
de l'alveus. L'autre partie émane de la fimbria
isceau inférieur du forceps a formé une partie de l'alveus. L'autre
partie
émane de la fimbria. On peut suivre (fig. 59) la
du tapetum (TAP, fig. 57, 60), est oblique en bas et en arrière, à la
partie
externe du ventricule. Là il se continue de plus
iculaire. Le ventricule latéral ne présente rien de spécial dans sa
partie
frontale. La corne sphénoïdale s'ouvre dans la fe
plus claire et plus diffuse au-dessous, se distingue très bien, à sa
partie
externe, du faisceau de Reil (Laq, 65, 65). A sa
ès bien, à sa partie externe, du faisceau de Reil (Laq, 65, 65). A sa
partie
inférieure, qui se termine en pointe, elle est ar
ntouré de tous côtés par de la substance blanche, sauf toutefois à sa
partie
antérieure, ainsi que nous le verrons un peu plus
es fibres blanches, franchement trans- Projection horizontale de la
partie
postérieure du corps genouillé interne (GI) revêt
bercule quadrijumeau postérieur. versales. Celles-ci proviennent en
partie
du stratum zonale du pulvinar, de dehors en dedan
interne (FSi). Le plus grand nombre de ces fibres se dirigent vers la
partie
la plus interne du thalamus, située juste au-dess
r que représente la couche optique vue par sa face supérieure. Or, la
partie
inférieure et externe du thalamus ou pulvinar (fi
ne du thalamus ou pulvinar (fig. 66, 66) reçoit, elle aussi, comme la
partie
supérieure et interne, des fibres issues du faisc
llé interne, pour aller se perdre dans ce corps ge-îouillé et dans la
partie
supérieure et interne du pulvinar. Ces ibres (TRO
buent à former, en dehors de la région protubérantielle (fig. 65), la
partie
visible à l'extérieur du ruban de Reil (RR) ou fa
eux de la région latérale de la substance grise de l'aqueduc (SG), sa
partie
supérieure est plus claire et sa partie inférieur
e grise de l'aqueduc (SG), sa partie supérieure est plus claire et sa
partie
inférieure est plus foncée. Sur les coupes durcie
claires. Sur la coupe passant par la ligne B, on trouvera encore une
partie
du faisceau foncée, la partie inférieure. Il résu
par la ligne B, on trouvera encore une partie du faisceau foncée, la
partie
inférieure. Il résulte de là que plus BRISSAUD.
ée du lemnisque. C'est ce qui a lieu, en effet. Mais, en tout cas, la
partie
la plus inférieure ne s'épuise jamais en totalité
peut-être. C'est là, à proprement parler, la couche deReil (Lem). La
partie
latérale ou laqueus est le ruban de Reil (Laq). L
es besoins de la démonstration, nous conserverons toutefois — mais en
partie
seulement — la division admise. Au lieu de deux f
a substance grise, le faisceau longitudinal postérieur (FLP). De la
partie
inférieure montent cinq rubans superposés, sectio
a commissure postérieure (FCP). C'est lui, en effet, qui va former la
partie
la plus antérieure de cette sorte de raphe, qui e
r, on peut lui donner le nom de bras du pulvinar (BP). Il recouvre la
partie
la plus postérieure et inférieure du ganglion de
n dehors, alors que les trois premières se sont déjà portées vers les
parties
externes et supérieures de l'isthme. Elle leur es
et symétrique), le ganglion interpédonculaire, les reçoit en majeure
partie
. Cette dernière couche porte un nom spécial : on
ondre avec les fibres du faisceau propre de la calotte (TEG), dans la
partie
postérieure de la capsule interne, où elles se pl
par conséquent vers la surface de l'isthme, où elles représentent la
partie
superficielle du ruban de Reil ou laqueus (Laq, f
r leur coloration claire. Le faisceau qu'elles constituent se mêle en
partie
à la substance grise du tubercule quadrijumeau an
ce grise du tubercule quadrijumeau antérieur (QA) ; mais leur majeure
partie
se porte en dehors et en bas, s'insinue sous la c
edans du corps genouillé interne (GI) ; le laqueus (Laq) situé à leur
partie
interne (fig. 64, 65, 66) est précisément le fais
marcation tranchée avec la couche de Reil (Lem). Sur la coupe 65, une
partie
de cette couche se confond, en dehors avec le rub
rigées en haut et en dehors, puis en haut et en dedans, adossées à la
partie
interne du laqueus, et vont ainsi, jusqu'au-dessu
66 et schéma 99), d'un côté à l'autre de l'hémisphère en reliant des
parties
homologues. Il en sera question plus loin, à l'oc
erveau de la planche 5, figures 2, 3 (Lm). Elles sont' tangentes à la
partie
la plus inférieure du pédoncule cérébelleux (fig.
delette optique au moment même où celle-ci se divise pour envoyer une
partie
de ses fibres au corps genouillé externe et une a
oyer une partie de ses fibres au corps genouillé externe et une autre
partie
au corps genouillé interne. Elles se perdent dans
res de cette planche, l'aspect d'un faisceau compact. Mais déjà, à sa
partie
externe, il perd peu à peu sa coloration franchem
r d'ailleurs que les fibres réfléchies du tsenia occupent toujours la
partie
la plus externe de la bandelette sous-optique. Ma
ettement, grâce à la coloration foncée de ses fibres réfléchies, à la
partie
externe du ventricule sphénoïdal. Il est situé im
nsversales : de là leur coloration blanche. Elles représentent ici la
partie
antérieure (Je ce champ de fibres horizontales qu
itif interne ne sont donc qu'une seule et même chose, du moins J à la
partie
postérieure de la couche optique. FLl. Le faisc
choroïdienne, qui englobe la base de la glande pinéale (G. 68) et la
partie
la plus interne du ganglion de l'habé-nule (GH, 7
les plus superficielles de son extrémité postérieure, qui forment une
partie
de sa couronne rayonnante (RGE, 71). Mais déjà l'
cuneus est bien développé, on peut reconnaître qu'il est limité à sa
partie
supérieure par le bras du tubercule quadrijumeau
s, à la base de la glande pinéale. On n'en aperçoit encore ici que la
partie
la plus postérieure. Ce ganglion sera étudié à l'
Meynert (FM) et qu'on appelle en Allemagne faisceau de Tiirck. RR.
Partie
la plus antérieure du ruban de Reil proprement di
Meynert, au niveau de laquelle s'entre-croi sent des fibres nerveuses
parties
de la calotte (TEG) et destinées à la région sous
et parallèles au plan de section. Il doit donc se composer en majeure
partie
de fibres courtes s'entrc-croisant au-dessous de
ore plus antérieure (71) elle se compose de fibres qui vont former la
partie
la plus inférieure du tegmentum (TEG). Tout à fai
5 et 97). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure, issu de la
partie
inférieure du tegmentum (fig. 67) contribue, avon
oin encore (fig. 72), il Coupe vertico-transversale au niveau de la
partie
antérieure de la commissure postérieure *(CP), de
ganglion de l'iiabé-nule, dont le stratum zc-nale fournit la majeure
partie
du fasciculus retroflexus. semble changer de di
(voy. plus loin, CTE). Le faisceau de la commissure (FCP) fait donc
partie
surtout de l'ensemble des fibres qui constituent
ure, puisque les fibres dont il se compose ne semblent pas réunir des
parties
homologues des deux hémisphères. C'est ce que nou
re postérieure n'est pas, à vrai dire, une commissure. La plus grande
partie
de ses éléments franchissent en effet la ligne mé
ux. Ce sont, en d'autres termes, des fibres qui ne réunissent pas des
parties
homologues des deux moitiés du cerveau. C'est un
série verticale semblent démontrer que l'opinion d'Arnold n'est qu'en
partie
fondée. Le nom de commissure ne convient donc qu'
sse de fibres dirigées en haut, en avant et en dehors, foncées à leur
partie
interne (Lmd, 67), plus claires à leur partie ext
dehors, foncées à leur partie interne (Lmd, 67), plus claires à leur
partie
externe. Cette masse de fibres représente In la
peu plus en avant (fig. 69), s'ajoutera à la lame latérale (Lmd). La
partie
la plus postérieure du pied du pédoncule est repr
A) qui passe, avec le bras du pulvinar et avec la lame latérale, à la
partie
antérieure du corps genouillé interne. ¦ Al. La
éparation des deux groupes de ces fibres se fait au voisinage et à la
partie
externe de l'extrémité antérieure du corps genoui
de l'habénule, empruntant au stratum zonale de ce ganglion la majeure
partie
de ses fibres; il se porte en bas, en dehors et e
ne distingue que la portion initiale de ce faisceau, c'est-à-dire la
partie
de son trajet où il se dirige d'arrière en avant
rt (FM), la portion des fibres du pied du pédoncule qui, situées à la
partie
la plus postérieure de l'étage inférieur, juste a
71) c'est le pied du pédoncule qui limite la surface de section. Une
partie
des fibres de ce faisceau se confond avec le stra
se confond avec le stratum zonale du corps genouillé, mais la majeure
partie
s'enfonce en dehors de la lamina terminalis, en d
'elle va immédiatement se réfléchir en arrière, après avoir doublé la
partie
antérieure des deux corps genouillés. BSO. La b
t saillie à la face inférieure du thalamus, son stratum zonale est en
partie
intéressé par la section (schéma 106). Mais un pe
urs en dedans du tsenia dont les fibres transversales se mélangent en
partie
avec les siennes. Tœ. Le taenia semi-circularis
du thalamus (Th). La bandelette sous-optique (BSO), au niveau de la
partie
postérieure du corps genouillé, perd sa direction
intenant bien plus franchement en dehors, où elles forment la majeure
partie
du centre ovale (CO, fig. 69). Très peu d'entre e
. Il est facile de constater que ce faisceau du centre ovale, dans la
partie
supérieure de l'hémisphère, appartient surtout, à
rme triangulaire que nous retrouverons ultérieurement dans une grande
partie
de l'étendue antéro-postérieure de l'hémisphère.
ondus avec la substance grise de la glande pinéale, au niveau de la
partie
postérieure de leur face interne. La coupe 73 pas
du côté gauche : les deux ganglions de l'habénule Ibrment donc à leur
partie
postéro-interne une véritable commissure grise au
us du noyau interne (NiC) et du noyau externe (NeC) et seulement à la
partie
postérieure de ces deux noyaux. Les coupes succes
eau issu de la calotte. Pul. Le pulvinar est, avons-nous dit, cette
partie
de la couche optique qu'on voit proéminer en arri
interne du thalamus, si parfaitement distincts l'un de l'autre à leur
partie
antérieure, paraissent se confondre en arrière :
ent de ce ganglion, moins évident à sa surface. On peut voir que la
partie
posléro-externe du ganglion de l'habénule (GH, fi
e apparence un peu compliquée. Le schéma MO rendra Riijipoils do la
partie
iiostérieiire du ganglion de l'habénule (Gll). 1°
postérieure (CP). Au-dessvis de la comuaissure postérieure on voit la
partie
la plus reculée du ganglion de l'habénule (GH), c
icule moyen. Ce ventricule envoie un diverticule ( VM) entre les deux
parties
du ganglion do l'habénule (GH, GU), qui vont se f
l'apparition des fibres transversales de la protubérance (PVT) à la
partie
interne du faisceau de Tiïrck-Meynert (FM, fig. 7
al. A gauche, on aperçoit par transi)aronce les libres venues de la
partie
droite du pont et destinées au lemnisque. les p
. Elles s'inclinent immédiatement en haut et en dehors pour former la
partie
la plus antérieure du laqueus (Laq, fig. 74, 75)
întrod., schéni. 5 et 6), sans préciser son point de terminaison à la
partie
interne du pédoncule. Il n'est pas très facile de
tractus transversus pedunculi avec la lamina lateralis (fig. 75) à la
partie
externe du pédoncule. Le faisceau en question n'e
de la lamina lateralis, qui, au lieu de suivre son trajet normal à la
partie
inférieure et postérieure de la calotte, passe ac
et aboutissant sont les mêmes. Il faut supposer qu'il représente une
partie
de la lamina lateralis, qui se développe tardivem
ve qui plaide en faveur d'une anomalie dans le développement de cette
partie
de la lamina lateralis. On constate tous les degr
de la périphérie s'explique par le fait que les fibres, arrivées à la
partie
la plus externe, changent de direction pour se po
us pedunculi s'étend ici depuis l'espace interpédonculaire jusqu'à la
partie
antéro-interne du corps genouillé externe (GE) ;
iques, (;MT, la commissure de. Mey-nert, sur la ligne mcdiane, à la
partie
la plus interne des deux faisceaux du teg-irientu
dirigées en avant et en dehors. Elles sont destinées à accompagner la
partie
interne et supérieure du pédoncule cérébelleux ju
uite l'adjonction aux fibres déjà existantes de celles qui forment la
partie
la plus antérieure du lemniscus (Lem) et du laque
dans du faisceau de la commissure et faisant d'abord, comme celui-ci,
partie
intégrante du faisceau de la calotte. Elles sont
a ligne médiane, le faisceau de la décussation antérieure s'épuise en
partie
dans la substance grise de l'aqueduc, soit en ava
ieures (74, 75). Mais nous venons de dire qu'elle se renforçait (à la
partie
inférieure et externe du tegmentum) des fibres le
ganglion. Lm. La lamina medialis (lig. 74, 75) fait de plus en plus
partie
intégrante du pédoncule cérébelleux supérieur (Pc
un de ces amincissements que nous avons déjà signalés. Il reçoit à sa
partie
externe (fig. 78) les fibres de la couronne rayon
ans le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 76), il traverse la
partie
inférieure de la capsule interne, où il constitue
noyau externe du thalamus (NeC, fig. 77). En réalité, elle sort de la
partie
antérieure du centre médian. Quant aux fibres du
ette raison, souvent tronqué, prend son insertion dans l'écorce de la
partie
externe de l'opercule. Lorsqu'on fait des coupes
hémisphérique. Schnopfhagen a consacré une étude intéressante à cette
partie
du manteau cortical. LML. La lame médullaire ex
ML. La lame médullaire externe du thalamus (fîg. 76, 78) reçoit, à sa
partie
inférieure, les fibres du faisceau sensitif inter
rtie inférieure, les fibres du faisceau sensitif interne (FSi) et une
partie
des fibres du faisceau sensitif externe (FSe). En
nt de la face inférieure de ce noyau (NG, fig. 77) sur la plus grande
partie
de son étendue antéro-posté-rieure. Elles se port
et en dehors vers le corps calleux. Mais bientôt elle est comblée en
partie
(fig. 84) par le grand pli de passage fronto-lim-
rochet se continue avec le corps godronné situé BaiSSAUD. 17 à sa
partie
externe; il en est séparé par une cavité anfractu
ps genouillé externe (fig. 79) est encore sectionné seulement dans sa
partie
postérieure. Mais déjà apparaît, en haut et en de
ours superposée à la bandelette sous-optique (RSO), s'entre-croise en
partie
avec le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 83), déjà
interne de cette saillie. En revanche, elle empiète en dedans sur la
partie
la plus inférieure du thalamus (fig. 83). Le corp
Mais on est toujours sûr de couper le noyau rouge aux environs de sa
partie
postérieure en faisant une section vertico-transv
iger de Sœmmering. La coupe vertico-transversale 79 n'entame que la
partie
externe du locus niger. rieur (FP). Le locus ni
u pédoncule. En dehors, le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) et même une
partie
du faisceau pyramidal (FP) ne sont pas séparés pa
avant, les coupes vertico-transversales n'intéressent d'abord que la
partie
externe de sa substance (fig. 79). Plus en avant
s fibres externes se relèvent en haut et en dehors, se confondant, en
partie
avec le laqueus (Laq), à la rencontre du noyau ro
Section vertico-transversale de l'étage supérieur du pédoncule à la
partie
postérieure du noyau rouge de la calotte (NR). PV
) ; 2" les Pédoncules de la glande pinéale. Le schéma représente la
partie
postérieure do la couche optique (Th) et les tube
t au-dessous du pulvinar (Th). pédoncules inférieurs qui émanent en
partie
de l'habénule, et qui forment, comme nous le savo
de l'habénule (GH), représentant dans ce trajet postéro-antérieur une
partie
du pédoncule antérieur de la glande pinéale (HAB,
es, le centre de renforcement des fibres du lemniscus. Et en eifet la
partie
inférieure et extérieure du tegmentum donne ici n
roit; BOP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche, formé en
partie
par des libres venues directement de la couche su
partient pas au tegmentum quoiqu'il semble en faire partie : c'est la
partie
postérieure du pédoncule cérébelleux, qui se perd
t la partie postérieure du pédoncule cérébelleux, qui se perd dans la
partie
inférieure du thalamus. Déjà il était reconnaissa
rées des fibres de la calotte, avec lesquelles elles se confondent en
partie
à leur terminaison antérieure. LTE. La lamina t
stance noire de Sœmmering et de ce faisceau est chose impossible. Une
partie
d'entre elles au moins continuent leur chemin d'a
on bord supérieur avec le pédoncule cérébelleux supérieur, envoie une
partie
de ses libres dans le faisceau du laqueus; mais,
'est pas en contact immédiat avec le locus niger. Il en est séparé en
partie
par des fibres du fais-' ceau pyramidal (FP) que
genouillé externe (GE); un certain nombre d'entre elles passent à la
partie
interne de ce noyau et se fondent dans le faiscea
optique. Nous avons dit précédemment (Lmd), qu'elle est constituée en
partie
par l'expansion de la lame latérale de Reil, c'es
s avec le crochet (Une, fig. 85, 87, 89). Celui-ci, sectionné sur des
parties
de plus en plus larges, mais toujours séparé de l
les plus inférieures du corps calleux, se mélange intimement avec la
partie
externe de la fimbria. La crête épendymaire qui l
nt au système de l'anse du noyau caudé (ANC, voy. plus loin) ; à leur
partie
externe se trouvent les fibres, déjà décrites, de
che optique n'est abordée par les faisceaux de la calotte que dans sa
partie
postérieure. Chaque bande ne représente donc en r
ouge de la calotte, il abandonne un assez grand nombre de fibres à sa
partie
externe, lesquelles passeront en dehors de ce noy
pédoncule cérébelleux supérieur dont les fibres se jettent en majeure
partie
dans le noyau rouge ; CEO, faisceau cérébello-tha
c et de la gouttière de Monro (M), dans lesquels s'arrêtent une n
partie
des fibres du faisceau longitudinal postérieur
arque alors que sa coloration est plus foncée. Cela tient à ce qu'une
partie
de ses fibres s'interrompent, d'étage en étage, a
n; au milieu, parallèlement à leur direction. Itu tàalâm.m. cette
partie
de leur trajet en retour. La portion intermédiair
plan de section, entre le faisceau longitudinal postérieur situé à sa
partie
interne, et le noyau rouge de la calotte (NR) sit
à sa partie interne, et le noyau rouge de la calotte (NR) situé à sa
partie
externe. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP
eil (Lamina lateralis) (fig. 85, 86) se perd définitivement dans la
partie
inférieure du thalamus, en dedans de la lame médu
roire, sur les coupes suivantes (86, 89), que la section intéresse sa
partie
la plus large. Il n'en est rien. La convexité pos
ex (FRF, %• 88). Celles qui passent en dehors représentent la majeure
partie
, et l'on pourrait môme dire la presque totalité d
ssance dans les amas cellulaires du tegmentum et qui \ont se mêler en
partie
à la couronne rayonnante, au-dessus du corps geno
) viennent en effet directement de la ligne médiane, au-dessous de la
partie
la plus antérieure des pédoncules cérébelleux déj
nte, foncée en dedans, claire en dehors (fig. 89). Il pénètre dans la
partie
la plus reculée de la capsule interne, au-dessus
e indique le contour de la couche optique (Th) à travers laquelle les
parties
décrites sont censées visibles ; LML, lame extern
re. Sur les figures 86, 88, le signe FP indique la place exacte de la
partie
la plus postérieure du faisceau pyramidal. Mais d
es blanches appartiennent au faisceau pyramidal et correspondent à la
partie
la plus superficielle de l'étage inférieur. Les s
se perdre dans le centre ovale; le groupe inférieur forme une notable
partie
de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fi
ent un ensemble fibreux très compact, — et toujours plus compact à la
partie
inférieure qu'à la partie supérieure du faisceau
ès compact, — et toujours plus compact à la partie inférieure qu'à la
partie
supérieure du faisceau sensitif. Nous allons voir
ar sa face inférieure, s'y répandant en lamelles superposées, dont la
partie
externe se perd dans la lame médullaire latérale
commence à augmenter de largeur à mesure que les coupes arrivent à la
partie
postérieure du putamen. Elle s'étale de bas en ha
avec le claustrum (CL), c'est-à-dire qu'il y prend une insertion. Sa
partie
interne se continue avec les fibres du faisceau p
is une insertion sur le claustrum. Il se confond en apparence avec la
partie
inférieure du claustrum, comme le faisceau ûrqué
du claustrum, comme le faisceau ûrqué se confond en apparence avec la
partie
supérieure de cette lame grise. Nous verrons pl
-jacentcs. Un nouvel arc de fibres prend donc une insertion sur cette
partie
de l'écorce et se porte d'arrière en avant. Mais
ère frontale. CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 88), fondu à sa
partie
interne dans la masse des fibres du corps calleux
Rolando {R, 96) entre la deuxième circonvolution frontale (F^) et la
partie
moyenne de la frontale ascendante (F). La scissur
res. Parmi ces bandes claires, il en est une qui occupe en général la
partie
moyenne du thalamus et qui correspond à ce qu'on
re. Sur dos coupes plus antérieures (94, 96), le couteau entame des
parties
du pont plus voisines de sa face antérieure ; par
ur ont terminé leur décussation, la lamina medialis se dédouble : une
partie
passe au-dessus des dernières fibres du pédoncule
ie passe au-dessus des dernières fibres du pédoncule cérébelleux, une
partie
passe au-dessous. La partie supérieure est la vér
ères fibres du pédoncule cérébelleux, une partie passe au-dessous. La
partie
supérieure est la véritable continuation de la la
ielle; obliquement dirigé de haut en bas et de dehors en dedans, à la
partie
antérieure du pédoncule, il arrive, de la face po
de la lamina lateralis. LTE. La lamina tegmenti occupe en dehors la
partie
externe du locus niger (LN, fig. 91). A sa colora
ceau tegmento-thalamique, qui s'étend de la région de la calotte à la
partie
inférieure de la couche optique, est une lamelle
xterne (GE). Bo. Bandelette optique finissant d'avant en arrière à la
partie
inférieure du corps genouillé externe. FP, faisce
, on peut en outre constater que le faisceau pyramidal (FP) est, à sa
partie
interne, très nettement isolé du faisceau génicul
le discus lentiformis (DL) et changeant brusquement de direction à la
partie
postérieure de ce noyau. La coupe 96 intéresse
formis. BSO. La bandelette sous-optique, de plus en plus isolée des
parties
adjacentes, s'étale transversalement, au fur et à
e faisceau sensitif externe est de plus en plus neltement arrêté à sa
partie
externe, sur toutes les figures de cette planche
çoit aussi de l'écorce une grande quantité de fibres qui font d'abord
partie
du faisceau arqué (ARC). 11 y a tout lieu d'admet
ition est visible sur la coupe 96. Il est même certain que la majeure
partie
de la capsule interne, lorsqu'elle pénètre dans l
ariéto-frontal (FPF). En dedans il se dédouble; c'est-à-dire qu'une
partie
de ses libres (ARC) se jettent dans la capsule in
audé (NCC, fig. 102); sa face supérieure est formée, en dehors par la
partie
la plus postérieure du noyau amygdalien (NA, fig.
paré par une fissure réelle, il adhère intimement à toutes les autres
parties
qui l'environnent. Sa forme est celle d'un trapèz
et celles du globus pallidus convergent, dans leur ensemble, vers la
partie
inférieure du faisceau pyramidal (FP, fig. 102).
i (LTE), la région de la calotte, où il s'entre-croise en formant une
partie
importante de la commissure de Meynert. La diffic
onçon protubérantiel n'est pas représenté. Les coupes s'arrêtent à la
partie
inférieure du noyau rouge de la calotte (NR), au
lentiformis (PL, fig. 101, 102) avec lequel il parait se confondre en
partie
. Le faisceau longitudinal postérieur, grâce à ce
aisceau tegmento-tha-lamique (CAO). miquc (CAO). Du moins c'est une
partie
importante de ce faisceau, la plus interne, celle
8) n'est plus représentée que par son faisceau supérieur, accolé à la
partie
interne du noyau rouge (NR) ; elle sépare, à ce n
amus (NiC, fig. 99), il enveloppe en bas le noyau rouge, s'étale à sa
partie
interne (fig. 101, CAO), où il n'est séparé de la
usivement par des libres issues du noyau rouge et non pas d'une autre
partie
de la région de la calotte. Lorsque le faisceau c
du pédoncule cérébelleux supérieur, a dépassé, d'arrière en avant, la
partie
moyenne du noyau rouge à la face externe duquel i
L'anse du noyau lenticulaire, venue, comme nous le savons déjà de la
partie
la plus antérieure de la capsule interne, se port
ersales ou obliques en haut et en dedans ; ces fibres représentent la
partie
postérieure de la racine inférieure du thalamus (
rnières, qui ne font que la frôler; on peut en effet constater que sa
partie
interne est toujours arrêtée par un contour net e
un contour net et foncé, ce qui démontre que les fibres venues de sa
partie
externe ne s'entre-croisent pas avec elle. Elles
ement au-dessus de la queue du noyau caudé (NCC). D'abord placée à sa
partie
interne, la voici placée à sa partie supérieure;
caudé (NCC). D'abord placée à sa partie interne, la voici placée à sa
partie
supérieure; un peu plus loin, c'est-à-dire plus e
e; un peu plus loin, c'est-à-dire plus en avant, elle se placera à sa
partie
externe. Sur la figure 101 on voit une partie du
t, elle se placera à sa partie externe. Sur la figure 101 on voit une
partie
du faisceau foncé (BSO) s'épuiser dans la queue d
couvre la On doit supposer que la queue du noyau caudé (NCC) est en
partie
visible par transparence au-dessous de la racine
c horizontale. Le noyau caudé (Ncc) s'avance d'arrière en avant, à la
partie
externe du ventricule sphénoïdal, vers le noyau a
u caudé, et suivant approximativement le même parcours, se place à sa
partie
supérieure, puis à sa partie externe, et s'épanou
tivement le même parcours, se place à sa partie supérieure, puis à sa
partie
externe, et s'épanouit en éventail sur la convexi
u lobe sphénoïdal. La deuxième portion, horizontale appartient à la
partie
la plus reculée de l'espace perforé antérieur (EP
, au-dessus de la bandelette optique (BO, fig. 101). C'est dans cette
partie
de son trajet qu'elle mérite bien le nom d'anse p
ssible du putamen (PUT, fig. 100, 101), dans lequel il s'enfonce en
partie
. Sur toutes les coupes vertico-transversaies qu'o
noyau lenticulaire. CE. La capsule externe (fig. 101) présente à sa
partie
inférieure la teinte foncée qui correspond, ainsi
inercum (SG, fig. 108); et, en dedans de celle-ci, la coupe entame la
partie
la plus postérieure du tubercule mamillaire, cons
(fig. 108), enveloppe de toutes parts la lamina convoluta, sauf à sa
partie
interne, où la substance grise se confond avec ce
est sur la convexité supérieure du noyau amygdalien que s'applique la
partie
postérieure de l'anse pédonculaire de Gratiolet (
er ces deux noyaux. PUT. Le putamen (fig. 103) présente encore à sa
partie
inférieure et externe les fibres antéro-postérieu
ement à leur direction antéro-posté-rieure. Elles vont se placer à la
partie
externe du faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA). Ainsi l
es corticales destinées au noyau externe du thalamus aboutissent à la
partie
interne de ce noyau. La partie externe, au contra
u externe du thalamus aboutissent à la partie interne de ce noyau. La
partie
externe, au contraire, est occupée par les fibres
gencement analogue des faisceaux qui les abordent sur les différentes
parties
de leur surface. Il n'est pas jusqu'à l'écorce cé
e celui qui lui est attribué d'ordinaire. On remarque en outre que sa
partie
interne est moins nettement circulaire que sa par
en outre que sa partie interne est moins nettement circulaire que sa
partie
externe. C'est en effet par sa partie interne que
ins nettement circulaire que sa partie externe. C'est en effet par sa
partie
interne que la lamina tegmenti et le fasciculus r
pas totalement dans le corps de Luys (DL) ; il abandonne une certaine
partie
de ses fibres à la substance grise de l'espace pe
ceaux de l'anse du noyau lenticulaire (AjNL), qui vont se placer à sa
partie
interne, tout contre la ligne médiane, immédiatem
endant du pilier antérieur (DF) se réfléchissant en 8 de chiffre à la
partie
postérieure du tubercule). Le fascicuîus retrol
'un côté à l'autre de la ligne médiane, des fibres commissurales à la
partie
la plus antérieure du pont de Varole (PV), c'est-
e à reconnaître sur les coupes 104 et 105, alors qu'elle chemine à la
partie
externe de la substance grise centrale de l'espac
miner avec beaucoup d'exactitude, môme à l'état frais, cette dernière
partie
du trajet de la lamina tegmenti, le long du bord
du pédoncule gauche (vu à droite) ; LTE, lamina tegmenti, située à la
partie
la plus interne du pied du pédoncule, en dedans d
oient constituées par des fibres pédonculaires, et que ces fibres, en
partie
recouvertes par l'anse du noyau lenti- Fl\ Le f
que (fig. 104, 106); les fibres les plus internes s'enfoncent dans la
partie
inférieure du noyau thalamiquc interne, dans l'an
Stilling, que nous avons vues émerger de la région de la calotte à la
partie
antéro-externe du noyau rouge, glissent obliqueme
rforé postérieur (EPP, fig. 104) dont elle forme le bord externe à la
partie
antérieure de la protubérance. Le mélange de ses
ce dans le discus lentifonnis (DL). lera en laines superposées à la
partie
la plus inférieure du thalamus. La portion supéri
iformis (DL). 11 s'agirait de savoir avec quelque précision de quelle
partie
de la couche optique descend le faisceau capsu-la
ssent à la face supérieure du discus lentiformis et même à travers la
partie
supérieure de ce noyau, vont former dans la capsu
couronne rayonnante, probablement jusqu'à l'écorce cérébrale. A sa
partie
inférieure le faisceau capsulairc affecte des rap
nt postérieur est constitué par les fibres de l'étage inférieur, à la
partie
interne desquelles on reconnaît la lame médullair
briquées. Les uns sont larges, les autres étroits. Tous se perdent en
partie
dans le thalamus; tous rayonnent en partie dans l
troits. Tous se perdent en partie dans le thalamus; tous rayonnent en
partie
dans la capsule interne. Mais le faisceau capsula
ection explique le changement de coloration qu'on peut constater à la
partie
interne du môme faisceau sur les coupes 107 et 10
e, s'incurvent, à un moment donné, de haut en bas, pour envelopper la
partie
externe de la queue du noyau caudé. A mesure que
s-optique (BSO). Celle-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa
partie
supérieure. La partie inférieure du noyau amygdal
-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa partie supérieure. La
partie
inférieure du noyau amygdalien (NA) est au contra
ur des coupes beaucoup plus antérieures, attendu que pour passer à la
partie
postérieure de l'espace perforé, le faisceau (Thl
le sens général des fibres capsulaircs, et vont se mélanger, dans la
partie
interne de la capsule, avec les fibres du faiscea
alité, qu'un seul et même noyau, ininterrompu, creusé seulement, à sa
partie
supérieure, d'une gouttière où se loge la capsule
yau lenticulaire. CE. La capsule externe (fig. 106), renforcée à sa
partie
inférieure par les fibres externes du faisceau se
onlal (FPF, fig. 105, 108), connue il l'était dès son apparition à la
partie
postérieure de l'opercule. C'est un rapport qui n
puisque nous voyons cette couche se confondre insensiblement avec les
parties
sombres du môme faisceau sur des coupes toutes vo
n à lui constituer une véritable capsule blanche, arrivent jusqu'à la
partie
postérieure de ce ganglion. Un grand nombre d'ent
, 111, 112, 115, 114). Lorsque cette fissure elle-même a disparu, les
parties
qui constituaient ses deux parois, restent encore
e petite masse grise, ovalaire, allongée transversalement (CAM), à la
partie
interne de la cavité ventriculairc. Elle est enve
ique (BSO, 110, 111). PUT. Le putamen (fig. 110, 111) présente à sa
partie
inférieure et externe une teinte foncée dont nous
Schéma 171. postérieur (5). Le noyau interne recevrait une faible
partie
seulement des fibres du pilier (2). Ces fibres (7
sur la substance grise du tuber cinereuin, et l'anse est encore à sa
partie
externe. 11 n'est pas moins inexact de considér
les deux lames blanches ne sont superposées que dans une très faible
partie
de leur surface. La lame supérieure ou anse du no
mistes d'ailleurs ne sont pas tous d'accord sur ses rapports avec les
parties
voisines. On peut se figurer la substance grise
que l'expansion transversale de la substance grise interpédonculaire,
partie
du tuber cinereum; celle-ci, sur ses bords latéra
paraît se continuer avec lui de la façon suivante. Le putamen, à sa
partie
postérieure, ne repose pas sur les fibres blanche
s et d'arrière en avant, et il va se confondre insensiblement avec la
partie
la plus inférieure du noyau caudé. Lorsque, tou
— D'autre part, nous avons vu que le faisceau géniculé se confond en
partie
, dans la région interne du pédoncule, avec l'anse
nsversales (lîg. 114). Les coupes horizontales, pour l'étude de cette
partie
de la capsule seulement, sont au contraire tout à
la substance grise (fig. 111) du ganglion lui-même. Dans la première
partie
de son trajet de bas en haut, il est média-tement
la racine inférieure de la couche optique (ThI). Sur la fig. 112, une
partie
de ses fibres d'origine dans le tubercule mamil-l
ueue du noyau caudé de façon à être située maintenant (fig. 109) à la
partie
supérieure et externe de ce ganglion. Puis, lorsq
Puis, lorsque le noyau caudé a disparu (fig. 110), elle se place à la
partie
externe du ganglion amygdalien (NA), hermétiqueme
ieure du ganglion, avec les lames à convexité supérieure venues de la
partie
supéro-externe. Ainsi le ganglion amygdalien se t
ThI. La racine inférieure du thalamus (fig. 109, 110), accolée à la
partie
interne du faisceau de Vicq d'Azyr, se porte en a
ette optique sans s'y arrêter (fig. 113, 114); elles sont, dans cette
partie
de leur trajet, séparées des trois segments du no
enticulaire par la substance grise de Vanse (GAP, fig. 114); à leur
partie
externe on voit la commissure antérieure (CA, 114
vons être le noyau de l'anse lenticulaire (GAP, fig. 114). Dans cette
partie
de son trajet ascendant et oblique en dedans, ell
rnit des fibres au centre ovale ; un étage inférieur qui contient une
partie
des fibres de la couronne rayonnante du noyau cau
décrivant une courbe à convexité antérieure, pour aller se perdre en
partie
dans la capsule externe (CE). FSe. Le faisceau
bord Vue de profil du faisceau sensitif externe (FSe) arrivant à la
partie
postérieure du noyau lenticulaire (NLe) et s'entr
(PS). Le fasciculus uncinates (FU) reçoit ses libres de toutes les
parties
profondes de l'écorce de ce pôle, et se recourbe
couche optique a disparu, augmente tout à coup de hauteur. La majeure
partie
de sa paroi inférieure est formée par le corps st
et la racine inférieure du thalamus (ThI). En dedans il se confond en
partie
avec la substance grise du tuber cinereum (TC,
sale explique la teinte claire de ce faisceau, au moins dans toute la
partie
qui est sous-jacente au globus medialis. Mais, ve
s fibres les plus internes de ce faisceau qui se rendent dans cette
partie
de la couche optique. Les plus externes, ainsi qu
fibres externes et postérieures du faisceau précédent jusque dans la
partie
postérieure et inférieure du thalamus. (fig. 11
entrer dans l'espace perforé antérieur (EPA), dont elles formeront la
partie
la plus reculée. Plus en avant encore (fig. 120),
x est une commissure transversale qui ne réunit entre elles que des
parties
homologues de l'écorce. Mais l'écorce, à vrai dir
halique ; et il est inévitable que là, où le corps calleux réunit des
parties
homologues de l'écorce, il réunisse des parties h
ps calleux réunit des parties homologues de l'écorce, il réunisse des
parties
homologues du corps strié. Toutefois ces anastomo
suite en avant, et les plus supérieures d'entre elles se perdent à la
partie
externe du corps calleux (ce). exemple, à la li
l. LML. La lame médullaire externe du thalamus (fig. 119), mêlée en
partie
avec le faisceau d'Arnold (Ail) dont on ne peut l
putamen (PUT, 121) et la substance grise du tuber cinereum (SG). A sa
partie
externe, c'est-à-dire au niveau même de sa fusion
reporter à la coupe 121. Au-dessous du noyau de l'anse (GAP), à la
partie
la plus externe de l'espace perforé antérieur (EP
e du lobe sphénoïdal. Cette substance grise est celle qui recouvre la
partie
la plus antérieure du lobule de l'hippocampe. Ell
du lobe sphénoïdal dans le lobe frontal, l'intervalle entre les deux
parties
de l'écorce se rétrécit; enfin, sur la coupe 126,
ons préféré appeler Yisthme gris fronto-sphénoïdal (IFS). C'est de la
partie
interne de cet isthme gris que part l'avant-mur,
rtion du clau-strum sur l'écorce du lobe de l'hippocampe se fait à la
partie
la plus postérieure de l'isthme fronto-sphénoïdal
lis croisé à sa face interne par le faisceau géniculé (FG). dans sa
partie
la plus antérieure, c'est-à-dire au niveau de son
ssous d'elles comme une lamelle horizontale. On sait que la majeure
partie
des fibres de l'anse du noyau lenticulaire provie
térieure de la couche optique (fig. 121, 122, 125, 125, 126) forme la
partie
la plus inférieure et interne de la capsule int
rieure (ThA). Elles restent toutefois cantonnées (Tae, fig. 122) à la
partie
interne de cette racine. CA. La commissure anté
indrique dans la gouttière de Gratiolet, elle devient lamellaire à la
partie
interne, inférieure et externe du noyau amygdalie
fibres : c'est aussi à la capsule externe. Il faut reconnaître que la
partie
la plus inférieure de la capsule externe renferme
tes. Qui plus est, la véritable commissure antérieure n'en est qu'une
partie
, anatomiquement isolée et fonctionnellement spéci
m. CIA. Le segment antérieur de la capsule interne (fig. 122), à sa
partie
supérieure et externe, renferme les fibres de la
fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 122); à sa
partie
moyenne les fibres lenticulo-caudées (LCf, fig. 1
sa partie moyenne les fibres lenticulo-caudées (LCf, fig. 125); à sa
partie
inférieure et interne, la racine antérieure du th
(ThA) et au-dessous de la substance grise du septum. Elle traverse en
partie
la racine antérieure du thalamus. Elle sort du no
s fibres inférieures, dirigées d'arrière en avant, sont accolées à la
partie
externe du fasciculus uncinatus (FU) et se perden
123, 124) se porte d'avant en arrière et de dedans en dehors vers la
partie
la plus externe de l'espace perforé. PLANCHE XX
II coupes vertico-transversales passant par la lame terminale et la
partie
postérieure du rostrum Écorce, Dans la région
idum (PEL) pour former bientôt le rostrum (ROS, fig. 151). Toutes les
parties
qui se trouvaient au-dessus du corps calleux se r
nfond définitivement avec le noyau caudé (NC, fig. 150). Il est, à sa
partie
inférieure, toujours strictement limité par la ca
sième ventricule, à la base de la lame terminale (LAT) ; il fait même
partie
de la substance grise de la lame terminale : ce q
28) n'apparaît plus que sous l'aspect d'une petite crête blanche à la
partie
inférieure du putamen. Cette crête se compose de
contact de la racine antérieure du thalamus (ThA) ; c'est dans cette
partie
inférieure de la racine antérieure du thalamus qu
'anse du noyau lenticulaire et l'anse du noyau caudé, confondues à la
partie
inférieure du corps strié, ne forment pas la limi
la moitié du scptum lucidum. Sur la ligure 127 il se compose de deux
parties
: une inférieure, volumineuse et toute de substan
blanche du septum proprement dit (PEL, fig. 151), elle s'enfonce à la
partie
externe de l'écorce cérébrale en dehors du scptum
tudié le trajet à la surface du cerveau (voy. Introd.) provient de la
partie
la plus inférieure du septum (psp, fig. 131). Il
ilier descendant de la voûte ; GVE, gyrus vestibuli, recouvert à sa
partie
postérieure par la couche blanche de la substance
es les plus internes de la capsule externe (CE, fig. 127). Dans cette
partie
de son trajet (fig. 128 et 127) il est situé entr
e, puisque le couteau l'entame au-dessus et au-dessous du septum : la
partie
inférieure s'appelle le roslrum ou bec du corps c
rum ou bec du corps calleux (ROS, 152). En général on n'étudie que la
partie
superficielle du bec, celle qu'on aperçoit, lorsq
um lucidum. D'ailleurs le nom de roslrum ne peut s'appliquer qu'à une
partie
présentant une forme de bec; et telle est, en eff
'à une partie présentant une forme de bec; et telle est, en effet, la
partie
réfléchie du corps calleux, envisagée dans son en
dis que le bec du corps calleux s'insinue dans la profondeur, sur les
parties
latérale et supérieure de l'espace perforé, sans
erencialion devient à peu près impossible. Il est vrai que dans cette
partie
la plus postérieure du rostrum la véritable direc
dans en dehors, elles remontent à sa face externe et forment ainsi la
partie
la plus antérieure de cette lame blanche (CE).
euse recouvre l'entrée de la scissure de Sylvius et est séparée de la
partie
antérieure de l'insula (IN) par la rigole supérie
157). La face interne de Vhémisphère présente, de haut en bas, les
parties
suivantes : la première frontale (F'), le grand s
'une masse considérable de fibres transversales, qui se -divisent par
parties
égales pour se répandre au-dessus et au-dessous d
ssus du ventricule frontal, a doublé de hauteur : il se continue à la
partie
inférieure et interne de cette cavité, dont le pl
du corps calleux, ou rostrum, établit une commissure vraie entre les
parties
des deux hémisphères qui occupent le lobe frontal
entre les parties des deux hémisphères qui occupent le lobe frontal :
parties
corticales et parties ganglionnaires. Les surface
deux hémisphères qui occupent le lobe frontal : parties corticales et
parties
ganglionnaires. Les surfaces homologues de l'écor
doncule du septum lucidum. Les coupes 13i, 136, 137 intéressent des
parties
de moins en moins épaisses du corps calleux propr
134 et suiv.) est, ainsi que nous l'avons déjà dit, formée en majeure
partie
des fibres du rostrum, et en faible partie des fi
éjà dit, formée en majeure partie des fibres du rostrum, et en faible
partie
des fibres les plus antérieures du corps calleux.
u genou du corps calleux et du rostrum, en arrière et en dehors, à la
partie
externe du putamen. CoroUairement on peut considé
. 154) composée de fibres arquées reliant entre elles les différentes
parties
de l'insula, se perd dans la substance grise du p
passant par les mêmes points de repère, ne peut pas diviser les mêmes
parties
de cet hémisphère au même niveau., Et malgré tout
e compte de leur disposition générale et de leurs connexions avec les
parties
profondes. On remarquera seulement que, en raison
e (GI). GL Le corps genouillé interne, sectionné au voisinage de sa
partie
inférieure sur la figure 1, reçoit (fig. 2) le tr
tit faisceau foncé, oblique en avant et en dehors qui l'aborde par sa
partie
postérieure : c'est le fasciculus retroflexus, de
et il en est toujours de même lorsque le plan de section passe par la
partie
la plus inférieure du noyau caudé, — la substance
la cavité du ventricule latéral {VF). . PUT. Le putamen, même à sa
partie
la plus inférieure (fig. 1) est limité en dehors
'anse pédonculaire est une couche grise très mince, étendue depuis la
partie
inférieure et interne du putamen jusqu'à la subst
la capsule externe (CE) qui le sépare du putamen (PUT, fig. 3). A sa
partie
inférieure (fig. 1), il est dissocié par les fibr
te (fig. 2 et 3), en dehors de l'aqueduc, se dirige en avant, vers la
partie
externe du noyau rouge (NR), où, par l'intermédia
upérieur; elles ne traversent pas le noyau rouge; elles glissent à sa
partie
postérieure et externe. ANL. L'anse du noyau le
antérieure (CA). CA. La commissure antérieure (fig.l), diffuse à la
partie
externe et postérieure du putamen (PUT), se réflé
ît ici, sur le plan de section horizontal, au moment où elle forme la
partie
postérieure de l'espace perforé antérieur. Elle e
ourt d'avant en arrière toute la région temporo-occipitale, depuis la
partie
postérieure du putamen jusqu'au pôle occipital; i
avec la substance grise du septum lucidum (GSL). On voit encore à sa
partie
postérieure, en dedans de la commissure antérieur
La substance grise du septum lucidum se confond non seulement avec la
partie
postérieure du noyau caudé, mais avec la substanc
lle s'avance dans le septum lucidum (fig. 5) de manière à tapisser la
partie
postérieure de la face externe de cette cloison.
ette cloison. Si le septum lucidum présente une teinte foncée dans sa
partie
antérieure (fig. 5 et 6), cela tient à ce que ses
fig. 5). Seulement il est, sur la première coupe (fig. 4), séparé en
partie
du globus pallidus par la commissure antérieure (
que l'existence du segment accessoire ne peut être constatée qu'à la
partie
la plus inférieure et interne du noyau lenticulai
capsule sont immédiats; mais ce noyau n'est jamais en contact avec la
partie
la plus reculée de la capsule, celle qui renferme
caudé (NCC, fig. 5). 11 se compose d'une grosse masse grise qui, à sa
partie
inférieure, est séparée du centre médian (NmC) pa
séparée du centre médian (NmC) par le bras du pulvinar (BP) et, à sa
partie
supérieure (fig. 5), se confond avec le noyau int
orps calleux (ce) s'insinue entre l'écorce et la masse ammonique. Une
partie
du splenium, la plus petite et la plus antérieure
nt le pied du pédoncule. 11 est strié par les fibres du tegmentum. Sa
partie
moyenne est occupée par le faisceau pyramidal (FP
. Sa partie moyenne est occupée par le faisceau pyramidal (FP), et sa
partie
antérieure par le faisceau géniculé (FG, fîg. 6)
amus et l'extrémité antérieure renflée du globus medialis. Toutes les
parties
blanches situées en arrière et en dedans du segme
) de la région sous-lenticulaire, remonte et se porte en dehors, à la
partie
externe du pilier de la voûte, et va se terminer
yaux interne et externe (NiC, NeC, fig. 8), émet en dehors la majeure
partie
des fibres de la couronne rayonnante du thalamus
e ces fibres représentent la couronne rayonnante du thalamus pour les
parties
supérieures de l'hémisphère. Il faut compter comm
La substance grise du septum lucidum (fig. 7) occupe exclusivement la
partie
postéro-cxterne du septum. Elle n'est que la réfl
corps calleux, se continue avec le fascia dentata (Fd). C'est ici la
partie
la plus supérieure de la corne d'Ammon. Ce n'est
e faisceau d'Arnold, qui occupe, comme nous l'avons dit souvent, la
partie
externe du segment antérieur de la capsule, est d
ù elle se croise avec la racine inférieure (Thï), qui est placée à sa
partie
interne. Elle s'accole, en dehors, au faisceau gé
les; elles ont une coloration foncée qui se continue avec celle de la
partie
postérieure du noyau caudé. Le tsenia, confondu q
a couronne rayonnante du thalamus. On voit cependant qu'elle gagne la
partie
interne du faisceau sensitif, en avant du noyau c
ux. Le thalamus (Th) est constitué par une masse grise uniforme, à la
partie
antérieure de laquelle le corpus cdbum sub-7'o^im
deux portions du même noyau, la tête et la queue, se confondent. La
partie
antérieure correspondant à la lète est la plus vo
tie antérieure correspondant à la lète est la plus voluniincuse; ' la
partie
postérieure, correspondant à la queue, s'allonge
par quelques fibres transversales du genou de la capsule (Gci). Cette
partie
postérieure, n'entrant pas I immédiatement en con
au carrefour ventriculaire (Cl). Elle s'étend du carrefour (G F) à la
partie
postérieure de la corne frontale (VF); elle est p
du noyau caudé (RNC, fig. il et 12). ARC. Le faisceau arqué dont la
partie
antérieure seulement est verticale sur la figure
isceau arqué sur les coupes il et 12. On observera également que la
partie
postérieure de ce faisceau (composé de fibres ver
lleux (ce). FOA. Le forceps antérieur ou forceps minor, accolé à la
partie
antérieure de la couronne rayonnante du noyau cau
SSURES BLANCHES Écorc3. GR. Le gyrus rectus occupe la plus grande
partie
de la face interne du lobe frontal; il est coupé
a substance réticulaire par un nodule gris (tec), représentant ici la
partie
la plus postérieure du taenia tecta. tec. Le ts
ent de l'écorce grise au-dessous du sinus du corps calleux. Mais à la
partie
postérieure du corps calleux il est l'origine du
Fci. Le fasciola cinerea est donc la portion de l'écorce grise qui,
partie
du lobe carré avec le taenia tecta, s'enfonce de
et, en abondance, des fibres transversales qui constituent la majeure
partie
de la couronne rayonnante du thalamus (Rth). Il e
du pulvinar (BP) qui s'épuise dans sa région antérieure. Les autres
parties
du thalamus qu'on observe sur cette coupe apparti
u lenticulaire. LML. La lame médullaire latérale du thalamus est en
partie
confondue avec le segment postérieur de la capsul
ternes du noyau lenticulaire (GLP, GLM), formant, dans cette dernière
partie
de leur trajet, le système des fibres lenticulo-c
interne, mais bien distincte des fibres striées qui en occupaient la
partie
moyenne. Cette lame blanche représente les fibres
sième circonvolution occipitale (0") et la quatrième (0^). La majeure
partie
de ses fibres aboutissent ici h ces deux circonvo
Figure 3. COUPE HORIZONTALE DE L'ilÉMISPnÈRE DROIT PASSANT PAR LA
PARTIE
MOYENNE DU SEPTUM LUCIDUM Cette figure est dest
ètre environ au-dessus de la précédente, ne divine plus qu'une faible
partie
des éléments du faisceau d'Arnold (AR). Les fibre
le interne (Oi). PLANCHE XXXIX COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA
PARTIE
INFÉRIEURE DE LA RÉGION OPTO-STRiÉE Ces quatre
ches précédentes. Il est cependant facile de reconnaître toutes les
parties
que nous avons déjà énumérées et décrites. Mais c
ction du faisceau d'Arnold (AR, fig. 1) qui, à lui seul, constitue la
partie
la plus inférieure du segment antérieur de la cap
sous-optique ; 8° La disposition du tœnia tecta (tec, fig. 2) à la
partie
antéro-inférieure du splenium, en avant du faisce
rieur (EPA) où aboutit de dehors en dedans la vallée de Sylvius. A la
partie
la plus postérieure de l'espace perforé, une traî
de la face interne (psp), se porte en dehors et en arrière jusqu'à la
partie
la plus interne et la plus antérieure du lobule d
ure (CA). Figure 5. Cette dernière coupe horizontale passe par la
partie
la plus supérieure du noyau amygdalien, presque t
rienter, en somme, assez aisément. Ces coupes donnent le détail des
parties
grises et blanches dont on trouve déjà un aperçu
(Tse). Enfin, on retiendra la disposition du noyau amygdalien à la
partie
la plus inférieure du cul-de-sac antérieur du ven
quée sur le schéma suivant : l Ces quatre coupes convergent vers la
partie
la plus antérieure du pont de Varolc (PV, schéma
corps calleux ; PV, pont do Varole. Les coupes convergent vers la
partie
la plus antérieure du pont. supérieur de l'hémi
u bourrelet du lobe carré; la seconde (2) traverse le lobe carré à sa
partie
moyenne; la troisième (5) glisse au devant de la
de la scissure de l'hippocampe on reconnaît le tœnia tecta (tec). La
partie
de l'écorce grise au niveau de laquelle le fascio
masse grise est recouverte par l'alveus (ALV), lequel provient de la
partie
inférieure du corps calleux, c'est-à-dire du fais
réciproquement le trigone (TRI) et la fimbria (FI). Ici toutes les
parties
de la corne d'Ammon sont constituées de la façon
igure 3 passe par le milieu du corps genouillé externe (GE) et par la
partie
postérieure du crochet (Une). On voit le fascia d
nterne du crochet où il se perd en s'amincissant. Toutes les autres
parties
qui figurent sur ces quatre coupes n'ont pas beso
ST. Stratum lacunosum. LTE. Lamina tegmenti, libres directes de ^la
partie
inférieure du tegmentum, participant à la formati
la couche latérale de Reil (Lmd)........ 251 Fibres directes de la
partie
inférieure du tegmentum {lamina tegmenti) partici
TAIRES DE SGLÉROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC. PREMIÈRE
PARTIE
TEXTES GÉNÉRAUX L. GUÉRIN, ÉDITEUR dépôt et
usceptible de former une branche spéciale d'enseignement. Fondée en
partie
sur l'incapacité de notre esprit à tout comprendr
, et trop communément partagée, de croire qu'on sait l'anatomie d'une
partie
seulement parce qu'on l'a souvent disséquée. Le n
de l'exagéré. Dès le début, pour ce travail, comme dans toutes les
parties
de notre ouvrage, laissant de côté les questions
s et les faits qui s'y rapportent ayant été longuementexposés dans la
partie
descriptive, avec leurs applications physiologiqu
tre compris et retenu, a besoin d'être figuré par le dessin. C'est la
partie
mécanique, et en quelque sorte anatomique, delà t
e ultérieure, on conçoit qu'elle sera déterminée par la structure des
parties
voisines et la concomitance des phénomènes nerveu
eurs connexions et leur corrélation entre elles, la subordination des
parties
les plus simples à l'égard des groupes ou des fra
anatoinie des régions, donnant rémunération, par plans superposés,des
parties
qui les composent, dans leurs rapports, des consi
que les résultats nécessairesde l'action des causes générales sur les
parties
de l'organisme; mais, si elles entrent comme élé-
s; puis celles qui se font sur des organes, et, enfin, sur de grandes
parties
du corps. Certes, il s'en faut bien que cette cla
e plusieurs des opérations similaires, déjà décrites dans la première
partie
, manquent icidans leur lieu. Pour les détails, un
erminé, quant aux opérations en elles-mêmes le texte comprendra trois
parties
: i° un rapide exposé de l'historique de l'opérat
sidération qui nous soit personnelle. ICONOGRAPHIE OPÉRATOIRE. La
partie
iconologique de notre ouvrage pouvant être consid
bilité où s'est trouvé l'auteur de donner assez de développemens à la
partie
iconologique. Souvent aussi il semble que l'on n'
pratiquée par un tiers, ce qui change absolument le point de vue des
parties
, et nécessite de la part de l'élèveune sorte de t
ar la figure : i° La position clinique du malade ; 2° Celle de la
partie
sur laquelle on opère ; 3° La place occupée par
pérateur étant déterminée, la ligure donne la position relative de la
partie
opérée, et par conséquent celle du malade; la sit
s que nous donnerons sur la même planche l'anatomie topographique des
parties
sur lesquelles elle s'exerce, au point de vue spé
, au point de vue spécial de l'opération elle-même. L'énumération des
parties
, et les diverses considérations anatomiques seron
dû se faire chirurgiens. Tel est, en résumé, le cadre de la seconde
partie
de notre ouvrage, la plus difficile peut-être, en
ouvrage, la plus difficile peut-être, en ce double sens, que c'est la
partie
d'application, où, sans aucune intention malveill
n lieu spécial, le limite dans sa forme et son volume, et l'isole des
parties
voisines. La texture de l'enveloppe, d'abord très
De cette disposition anatomique générale il résulte que les diverses
parties
, supportées, contenues et séparées entre elles, f
eloppe. Mais le corps animal n'aurait présenté qu'une agrégation de
parties
hétérogènes, il aurait manqué d'une harmonie géné
it existé des moyens généraux de liaison et de coordination entre ses
parties
. Ces moyens existent: ce sont l'appareil vasculai
siège primitif; et, palles altérations que subissent les nerfs de la
partie
malade, le système nerveux, ébranlé tout entier,
par l'enveloppe commune tégumentaire. Dans ce système, où nombre de
parties
jouent alternativement les unes à l'égard des aut
nissent en faisceaux, et organes de séparation de ces canaux avec les
parties
voisines. 3° Les memrranes séreuses, organes sp
ines. 3° Les memrranes séreuses, organes spéciaux de glissement des
parties
susceptibles de mobilité ou de déplacement les un
usages, de ses connexions ou des associations qu'elle forme avec les
parties
voisines. Étendue. L'étendue s'applique aux lim
s nerfs. Le bassin ne forme une cavité, ou mieux,un cylindre, qu'à sa
partie
inférieure, où même il est intercepté en bas par
est intercepté en bas par la cloison fibro-musculaire du périnée. Sa
partie
supérieure, évasée, est plutôt une surface de sus
ou des fragmens de cylindres. Comme cylindres, elles se coniposentde
parties
séparées, distinctes pour la texture, mais confon
antagonistes. Connexions, structure. Les os occupent en général les
parties
profondes; les cavités qu'ils forment sont isolée
forme de chacun d'eux; mais elle est pourtant homogène, eu égard aux
parties
composantes. Les fibres de la substance compacte
t injectés avec une matière colorante. Ce fait, qui assimile l'os aux
parties
molles, donne la raison de ses actes vitaux en ph
es réunissant en faisceaux les canaux vasculaires ctu'ils isolent des
parties
voisines. Les nerfs renfermés dans la gaîne commu
ibreux. Par leur circonférence, les gaines vasculaires sont unies aux
parties
voisines par un tissu cellulaire lâche dans lcc|u
, la caisse du tympan, où elle forme également une poche ouvrant à la
partie
postérieure des fosses nasales par la trompe d'Eu
aisseaux sanguins, et de nombreuses glandules mucipares encastrées en
partie
dans de petites loges à la surface des os. La m
nse, quoique mince; par sa surface interne, elle adhère fortement aux
parties
sous-ja-centes. Le réseau vasculaire sous-muqueux
lite le glissement du bol alimentaire. Dans l'état de vacuité, où les
parties
sont revenues sur elles-mêmes, elle forme des rid
es, aux tumeurs sanguines et aux transformations de tissus dont cette
partie
est si fréquemment le siège. La membrane muqueu
aniques. Dans les points où elle est sujette à des glissemens sur des
parties
dures, il s'organise , en vue de la mobilité, une
ceinte de ses cavités. La seule différence consiste dans la forme des
parties
composantes organisées au point de vue de leurs f
difications nécessitées parles spécialités fonctionnelles , les mêmes
parties
composantes : ainsi, à la couche dermique, corres
ge et dans leurs rapports , les loges organiques qui composent chaque
partie
. LOGES ET CAVITÉS DU TRONC. 1° TÊTE. Les cavi
r ses muscles et ses coussinets graisseux. Composé lui-même, dans ses
parties
essentielles, d'une expansion nerveuse, molle et
ue, très dense, la sclérotique, qui détermine sa forme et protège les
parties
délicates qu'il renferme. Dans son intérieur, des
les sont renfermées dans la profondeur du rocher de l'os temporal. La
partie
la plus profonde, ou le labyrinthe, qui loge l'ex
ieure; en haut le limite du cou est formée par la base du crâne et la
partie
inférieure de la face; en bas le cou est séparé d
le rachis et le sternum, par l'aponévrose cervico-thoracique. Sur les
parties
latérales et postérieures, il se confond avec la
nx, enveloppés par l'aponévrose pharyngienne postérieure. Chacune des
parties
latérales antérieures forme un nouveau groupe ren
ures forme un nouveau groupe ren fermant les gros vaisseaux, et, à la
partie
inférieure du cou , les lobes thyroïdes ; ces rég
n fait que de la colonne lombaire du rachis, point d'appui commun des
parties
molles. Toutefois, et par extension, il faut cons
. Les limites-dela cavité abdominale, outre l'enceinte formée par les
parties
molles, sont déterminées en haut parle diaphragme
bas, ces limites sont formées par la surface du bassin revêtu de ses
parties
molles; de chaque côté les fosses iliaques, et en
n. Au point de vue des enveloppes, la paroi abdominale se compose des
parties
suivantes : i° La peau, mince en avant, épaisse e
non moins bien arrêtées que dans le squelette. Il se divise en quatre
parties
: l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main. L'
postérieur. 4° Pied. (Pl. 1 2 et 13. ) Il est constitué en majeure
partie
par la voûte osseuse du taise et du métatarse, in
du tissu osseux en une coque lamellaire très volumineuse, isolée des
parties
voisines, (d) Le ramollissement ou ostéo-malacie.
vahissent tous les tissus, l'affection est nettement circonscrite des
parties
environnantes par la membrane d'enveloppe, et se
t les limites du périoste, se forment, dans les sillons celluleux des
parties
voisines, des trajets fistuleux pour être expulsé
t de leur formation, elles peuvent amener mécaniquement la lésion des
parties
voisines. Mais, après un certain laps de temps, d
a intérieur qui maintiennent la continuité de l'os et le séparent des
parties
voisines, jusqu'au travail définitif de formation
l'organisme, si l'os luxé n'est point réduit, il se trouve isolé des
parties
voisines, dans une cavité spéciale ostéo-fibreuse
amas plus ou moins considérables par le dépôt de l'élément solide, la
partie
aqueuse étant enlevée par l'imbibition. Elles se
les surfaces tégu-mentaires, partout ailleurs, dans la profondeur des
parties
, les organes étant toujours isolés les uns des au
et des nerfs, d'où il résulte que les moyens généraux de liaison des
parties
de l'organisme sont les deux appareils vasculaire
uses seules sont susceptibles d'être enlevées par transsudation ; les
parties
solides, au contraire, se déposent, comme nous l'
Pour le sang, en raison de sa plasticité et de la transsudation de sa
partie
séreuse, l'infiltration tendra à se circonscrire
tour des gaines vasculaires, qui, dans l'état normal, contiennent les
parties
et s'opposent à tout déplacement. Ce cas est effe
isions générales des appareils vasculaire et nerveux, qui relient les
parties
avec l'ensemble, et d'indiquer le mode de distrib
oïdiennes du diaphragme, et vient former collection sous la peau à la
partie
supérieure de l'abdomen. Enfin, clans les affecti
dans le canal, près de sa terminaison. Dans l'un et l'autre cas, les
parties
déplacées, poussant devant elles le péritoine, qu
iliaques, et viennent ordinairement former tumeur sous la peau de la
partie
interne et supérieure de la cuisse. Les épancliem
ont sont criblées les parois osseuses, de manière à rendre toutes les
parties
solidaires les unes des autres. Cette observation
cas, il soit nécessaire de pratiquer des incisions pour atteindre les
parties
malades, En effet, les limites des cavités de f
éterminées parla nature, tant dans la charpente osseuse que clans les
parties
molles de revêtement, les maladies et les opérati
l devient nécessaire de pratiquer une plaie extérieure aux dépens des
parties
de revêtement, qui d'ailleurs sont elles-mêmes en
qui établissent ses communications avec les cavités de la face et la
partie
supérieure ducou ; mais comme ces orifices, de mê
que Fart puisse rien faire pour prévenir un effet aussi fâcheux. A sa
partie
inférieure, le crâne ouvre largement dans le cana
atomie chirurgicale dans son ensemble, eu égard à la coordination des
parties
composantes et au rôle que chacune d'elles joue d
lus que de montrer les liens généraux qui coordonnent les différentes
parties
d'un même système pour l'exercice des fonctions ;
leux ou les adossemens des muscles. C'est de la réunion de toutes ces
parties
, de leurs connexions et de leurs superpositions d
. Ainsi une région quelle qu'elle soit se compose nécessairement de
parties
hétérogènes, des os, des muscles, des aponévroses
e sont jamais si précises qu'elles ne renferment un certain nombre de
parties
qui n'y entrent que par fractions ou par l'une de
n petit organisme à part, tandis qu'elle ne se compose en fait que de
parties
hétérogènes, sans aucun lien fonctionnel, et retr
e que l'étude artificielle du corps par régions, isolant les diverses
parties
de l'ensemble et forçant à morceler les organes,
es modifications qu'elle entraîne dans la texture et les rapports des
parties
voisines. Ainsi, une région étant déterminée, l'a
on étant déterminée, l'aîne ou l'aisselle, par exemple, la nature des
parties
composantes suffit déjà pour mettre sur la voie d
laquelle commence la courbe du crâne, fuyant en haut et en arrière.
Parties
constituantes. i° Peau. Lisse chez les jeunes suj
ION OCCIPITALE. Situation, délimitation, configuration. Située à la
partie
inférieure et postérieure du crâne, convexe suiva
de l'apophyse mastoïde au milieu de la hauteur du crâne en arrière.
Parties
constituantes. i° Peau. Épaisse et lisse, elle fa
l'une des moitiés de l'os occipital, et n'est sous-cutané que dans sa
partie
supérieure, l'inférieure étant masquée par les at
ON TEMPORALE. Situation, configuration, délimitation. Située sur la
partie
moyenne latérale et inférieure du crâne, de forme
ire externe; en haut et en arrière, par la circonférence du muscle.
Parties
constituantes. i° La peau. Mince, lisse, peu adhé
6° Squelette. Il est formé par la portion écailleuse du temporal, la
partie
inférieure du pariétal, une petite portion du fro
ndue de l'os pariétal; sans limites bien déterminées à l'extérieur.
Parties
composantes, i °Lapeau. Elle appartient en totali
lette est formé par le pariétal. RÉGION MASTOÏDIENNE. Située à la
partie
inférieure, latérale et postérieure du crâne, der
érale et postérieure du crâne, derrière et au-dessous de l'oreille.
Parties
composantes. i° La peau. Lisse et dépourvue de ch
sipèles phlegmoneux, et la denudation par infiltration purulente à la
partie
déclive des plaies, même sans perte de substance.
la fréquence et la gravité des compressions cérébrales, font de cette
partie
le siège le plus ordinaire de l'opération du trép
GION NASALE. Situation, configuration , délimitation. — Située à la
partie
supérieure et moyenne de la face, constituée par
dans les sinus sphénoïdaux , et en avant, dans les sinus frontaux.
Parties
composantes. A. Appendice nasal. Peau. — Elle ne
ellulo-vasculaire.Lâche à la racine du nez, sur les os, elle est à la
partie
inférieure d'une texture serrée. 3°Muscles. Au no
RÉGION LARIALE. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
moyenne et inférieure de la face, limitée en haut
férieure, circonscrivant la fente transversale de l'orifice buccal.
Parties
composantes. i° Peau. Mince, garnie de bulbes pil
enfermées dans la cavité buccale. RÉGION MENTONNIÈRE. Située à la
partie
médiane inférieure de la face, dont elle forme l'
. Nettement circonscrite de chaque côté par la cavité orbitaire, à la
partie
supérieure et latérale de la face, elle se compos
terne de l'orbite et parla saillie de la pommette ou de l'os jugal.
Parties
composantes. Elle est formée à L'extérieur par le
l, dont la forme est un des caractères de races les plus prononcés.
Parties
composantes. i° Peau. Lisse, fine, d'une colorati
ÉGION GÉNIENNE. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
moyenne et latérale de la face, de forme quadrila
gion labiale, en arrière par la région massétérine et parotidienne.
Parties
composantes. i° Peau. Lisse, unie, intimement adh
ET MASSÉTÉRINE. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
latérale, postérieure et inférieure de la face, d
oitié postérieure se confondant au-dehors avec la naissance du cou.
Parties
composantes. i° Peau. Peu adhérente dans toute l'
AURICULAIRE. Situation, configuration, délimitation. Située sur la
partie
médiane et latérale de la tête, à l'union du crân
par la région mastoïdienne ; et en bas, par la région parotidienne.
Parties
composantes. Ce sont celles qui forment le pavill
e, sans communication à la surface cutanée, s'ouvre latéralement à la
partie
supérieure du pharynx par la trompe d'Eustache, q
Situation, configuration, délimitation. Située de chaque côté à la
partie
médiane et supérieure du cou, limitée en haut par
es muscles abaisseurs de la mâchoire, ou élévateurs de l'os hyoïde.
Parties
constituantes. i° Peau. Mince, garnie de bulbes p
^Aponévrose cervicale. Très mince, quoique assez dense, elle forme la
partie
supérieure de l'aponévrose antérieure commune, ci
'en formant que les limites. Toutefois les connexions des différentes
parties
sont maintenues par trois aponévroses, l'une médi
Situation, configuration, délimitation. Située de chaque côté à la
partie
antérieure et moyenne du cou, dont elle forme pre
ondant à la trachée, qui constitue en bas la fossette sus-sternale.
Parties
constituantes. i° Peau. Mince, lisse, et glabre d
Situation, configuration, délimitation. Située de chaque côté sur la
partie
latérale du cou, elle n'est bien circonscrite qu'
e région, suivant que le muscle doit être relevé, abaissé ou coupé.
Parties
constituantes. i° Peau. Lisse, mince, et unie, pe
eurs origines : (a) les rameaux du plexus cervical, situés en majeure
partie
sous le sterno-mas-toïdien, et dont font partie d
OSTÉRIEURE '. Situation, configuration, délimitation. Formée par la
partie
postérieure du cou constituant la nuque, elle se
les apophyses épineuses sont peu sensibles en dehors; c'est -lans la
partie
moyenne de la nuque que l'on pratique ordinaireme
inairement les sétons. ' Planche i, n° 17; et planche 10, fig. 1.
Parties
constituantes, i 0 Peau. D'une épaisseur considér
uantes, i 0 Peau. D'une épaisseur considérable, comme en général à la
partie
postérieure du tronc, sa texture est fibreuse et
telles que le furoncle et l'anthrax. Recouverte par les cheveux à la
partie
supérieure, elle est glabre inférieurement. 20 Co
ÉGION STERNALE'. Situation, configuration, délimitation. Situéeà la
partie
moyenne et supérieure du thorax, en regard du ste
par les attaches des deux muscles pectoraux. 1 Planche 1, n° 18.
Parties
constituantes. Peau. Lisse, glabre, et fortement
diaphragmatique est indiquée par la ligne des deux dernières côtes.
Parties
constituantes. Cette région n'étant constituée qu
es et pathologiques entre les viscères thoraciques et abdominaux, les
parties
composantes, sauf le diaphragme lui-même, n'ayant
t d'en présenter une rapide énumération. Aucun caractère, quant aux
parties
molles, n'indique au-dehors la transition entre l
GION MAMMAIRE1. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
latérale et antérieure de la poitrine, inscrite d
pectoral, sur laquelle s'applique la glande mammaire dans la femme.
Parties
constituantes. i° Peau. Lisse, fine, principaleme
Situation, configuration, délimitation. Située de chaque côté à la
partie
médiane et postérieure du dos, séparée de sa cong
délimitation. Située verticalement de chaque côté du plan moyen, à la
partie
supérieure de l'abdomen, séparée de sa congénère
e, chez les sujets obèses et dans l'état de plénitude de l'estomac.
Parties
constituantes. i°Peau. Lisse, fine et très sensib
de l'estomac. Dans les cas où l'éraillcment a une grande étendue à la
partie
inférieure de l'épigastre, Lapeyronie a vu la her
aillie des cartilages costaux, de la dépression et de la mobilité des
parties
molles. RÉGION HYPOCHONDRALE'. Situation, con
intérieur, c'est-à-dire dans la cavité abdominale dont ils forment la
partie
supérieure, ils sont bornés en haut par le diaphr
a hernie que ce grand chirurgien y a observée. Le peu d'épaisseur des
parties
molles en ce point, où la cavité abdominale n'est
ION LOMRAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
postérieure et inférieure du tronc, de forme rect
blique, ou le feuillet postérieur du transverse , qui se confond à sa
partie
supé- ' Planche 1, n° 27 ; et planche 5. rieu
HYPOGASTRIQUE'. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
moyenne et inférieure de la paroi abdominale anté
les sillons latéraux indiquant les bords externes des deux muscles.
Parties
constituantes. i° Peau. Lisse, unie et garnie au
lus loin le pli inguinal en lui-même comme une région particulière.
Parties
constituantes. i° Peau. Lisse et fine, garnie de
communication, (b) Le second et le troisième plan sont formés par la
partie
inférieure du petit oblique et du transverse ; to
dans le fascia superficialis, reçoivent les rameaux superficiels des
parties
génitales, et vont se jeter dans la rangée supéri
on, configuration, délimitation. Située au-dessous de l'abdomen, à la
partie
médiane antérieure ou pubienne du bassin ; limité
la région ano-périnéale. La région pubienne, dont le pénil occupe la
partie
supérieure, tire son importance des organes génit
a verge, le scrotum et les organes qu'il renferme ; chez la femme, la
partie
supérieure de la vulve, dont la moitié inférieure
idérable des pubis et du diamètre antéro-postérieur du bassin , cette
partie
forme une éminence triangulaire sensible à l'exté
bacés, sans toutefois que cette dernière opinion soit bien prouvée.
parties
génitales dans l'homme. i° Pénis. Appendu au pu
caverneux est très dense, quoique extensible. Les vaisseaux de cette
partie
sont les branches profondes, dites caverneuses, d
scrotal. 3° Testicule. Organe essentiel de la fécondation, dont les
parties
que nous venons cl cnumérer ne sont que les envel
nale, forgane conducteur de la hernie inguinale. Dans la femme, les
parties
génitales externes, par leur situation plus en ar
NO-PÈRINÉALE 1. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
inférieure du bassin, elle ferme en bas la grande
etráctiles sorte de diaphragme inférieur composé d'un grand nombre de
parties
molles, superposées et variables de direction, po
de quatre pouces, est déjà singulièrement rétréci par la présence des
parties
molles et l'augmentation d'épaisseur résultant de
de très grandes difficultés par l'intrication et le grand nombre des
parties
qu'il faut ménager, et par l'impossibilité d'évit
ang, et qu'il est souvent très difficile d'en arrêter l'écoulement.
Parties
constituantes. D'après l'idée générale que nous a
es tubérosités sciatiques avec la ligne médiane antéro-postérieure.
Parties
constituantes de la cloison périnéale. \° Peau. M
isme des plans de section se trouve détruit des qu'on abandonne les
parties
à elles-mêmes. L'extrême laxité du fascia sous-cu
et le rectum. 2° région ano-périnéale chez la femme. Composée de
parties
analogues plutôt qu'identiques avec celles du pér
très élargie dans le squelette, est occupée par l'épanouissement des
parties
génitales externes, disposition coordonnée par la
ue de l'accouchement et facilitée par la singulière extensibilité des
parties
molles, qui reculent les bornes de la dilatation
es de la dilatation possible jusqu'à la ceinture osseuse elle-même.
Parties
constituantes analogues. Elles se composent de to
situation, des rapports cle la plus haute importance en chirurgie.
Parties
composantes. La peau mince, fine, cle couleur bru
O-COCCYG1ENNE'. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
médiane postérieure du bassin, où elle termine in
z la femme, en raison de la saillie plus grande du sacrum. C'est à sa
partie
moyenne et supérieure d'une part, et cle l'autres
rt à mesurer dans la femme le diamètre antéro-postérieur du bassin.
Parties
composantes : La peau fait suite à celledes lombe
ischiatiques. Le petit volume de ces vaisseaux, la texture serrée des
parties
molles et la pression déterminée par le voisinage
ION FESSIÈRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
externe et postérieure du bassin où elle constitu
ur la face externe par la saillie sous-cutanée du grand trochanter.
Parties
composantes. i° Peau. Garnie de follicules sébacé
la cavité cotyloïde; mais la cause la plus ordinaire pour toutes les
parties
de l'os est le choc d'un projectile dans les plai
in le creux de l'aisselle, est située au-dessous de la clavicule à la
partie
antérieure et latérale supérieure du thorax. Diri
iangulaire limité en dehors par la saillie de l'apophyse coracoide.
Parties
composantes. i° Peau : Fine, souple et peu adhére
paux, et, en bas, la naissance des vaisseaux thoraciques longs ; à la
partie
supérieure s'abouche la veine céphalique. Les lym
mbre thoracique et participant aux maladies des unes et de l'autre.
Parties
composantes. i° Peau. Fine, molle, très extensibl
névroses d'enveloppe, qui séparent le creux axillaire sous-cutané des
parties
profondes. Le sommet est fermé par l'aponévrose b
chaque côté par les deux bords antérieur et postérieur du deltoïde.
Parties
composantes. i" Peau. D'une texture serrée, adhér
ies composantes. i" Peau. D'une texture serrée, adhérente aux os à la
partie
supérieure, elle en est séparée sur l'articulatio
out ailleurs, fondés sur les rapports bien déterminés des os avec les
parties
molles et les vaisseaux. RÉGION SCAPULAIRE '.
N SCAPULAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la
partie
postérieure de l'épaule et du thorax, formée par
gative comme coussin protecteur de la cavité thoracique en arrière.
Parties
composantes. i° Peau. Épaisse et dense comme en g
humérus. Mais au pointde vue de la topographie chirurgicale, toute la
partie
scapulo-thoracique du membre se trouvant divisée
e, formée par les d eux portions interne et postérieure du triceps.
Parties
composantes. i° Peau. Mince, fine, très sensible,
articulaire. Outre certaines opérations communes à toutes sortes de
parties
, le sillon brachial est particulièrement importan
rs en dehors, et de celle des pronateurs et fléchisseurs en dedans.
Parties
composantes. i° Peau. Lisse, fine et unie, parsem
aux ligamens latéraux qui maintiennent les os en rapport. Quant aux
parties
composantes, la peau, soumise à des pressions fré
articulation radio-carpienne. De la superficie vers la profondeur les
parties
composantes sont : i0 La peau, lisse 1 Planche
n. RÉGION PALMAIRE'. Portion métacarpienne. Elle se compose de la
partie
médiane ou creux palmaire, flanquée sur les côtés
itation. Portion inférieure de la grande région de faîne, située à la
partie
antérieure et supérieure de la cuisse, de forme t
en bas et de dehors en dedans, de l'épine iLaque vers le milieu de la
partie
interne de la cuisse ; dans cet espace est une lé
on des gros vaisseaux. 1 Planche 1 , n° '\g ; et planches 7 et 8.
Parties
composantes. i° Peau. Continuation de celle du pl
à diverses profondeurs. 3° Couche musculaire. Formée en dehors par la
partie
supérieure du couturier et la portion fémorale co
ngestion et les luxations de la tête du fémur en bas et en dedans. La
partie
supérieure est l'un des points où se pratique l'i
LE ANTÉRIEURE Situation, configuration, délimitation. Formée par la
partie
antérieure de la cuisse, elle est vaguement limit
culaires séparées par celle du droit antérieur au milieu. Quant aux
parties
composantes , la peau est épaisse, garnie de foll
en bas, où les muscles longs s'amincissent pour devenir tendineux.
Parties
composantes. i° Peau. Mince, lisse, extensible, g
e, extensible, garnie de follicules sébacés et de quelques poils à la
partie
supérieure, sur-tout dans le pli périnéal. 2° Cou
ds, écartée du trajet de l'incision pour la ligature de l'artère à la
partie
moyenne de la cuisse. Au plan vasculaire profond
ction oblique de ce muscle; de sorte qu'ils se correspondent par leur
partie
moyenne au tiers supérieur de la cuisse. A la par
pondent par leur partie moyenne au tiers supérieur de la cuisse. A la
partie
inférieure, les rapports redeviennent les mêmes,
nd trochanter et les attaches du grand fessier et du fascia-lata à la
partie
supérieure, et la naissance du genou à la partie
du fascia-lata à la partie supérieure, et la naissance du genou à la
partie
inférieure; transversalement, entre les deux sill
nutives, de résections et de nécroses du fémur. RÉGION DU GENOU \
Partie
antérieure de l'articulation fémoro-tibiale et ro
nées par les tendons des muscles et les ligamens de l'articulation.
Parties
composantes. i° Peau. Épaisse, rugueuse et ridée
inférieure, indiquant le pli de flexion de la jambe sur la cuisse.
Parties
composantes. i° Peau. Lisse, fine, garnie de foll
ibiale, elle s'isole néanmoins, en théorie, de la région du genou, la
partie
antérieure, vu la position superficielle des os,
e, La jambe se divise en six régions, dont deux constituées par les
parties
molles, les régions antérieure externe et postéri
lati en avant et en dedans, décroissant de haut en bas et renflé à sa
partie
moyenne. Sa limite est déterminée supérieurement
saillies musculaires, séparées par des sillons d'insertion commune.
Parties
composantes. i° Peau. Épaisse et dense, couverte
onévro-tique externe et du péroné au tibia. En second plan, mais à la
partie
supérieure seulement, existe l'aponévrose d'inser
es deux péroniers latéraux, qui se détachent du groupe précédent à la
partie
inférieure de la jambe pour passer derrière le pé
rès obliquement la direction de haut en bas; de sorte qu'externe à la
partie
supérieure, il passe au-devant de l'artère et des
u-devant de l'artère et des veines tibiales pour devenir interne à la
partie
inférieure, où il côtoie en ce sens les vaisseaux
l'écartement de la plaie, très profonde, sur-tout quand on agit à la
partie
supérieure. RÉGION JAMBIÈRE POSTÉRIEURE1. Sit
saillie des muscles péroniers et la portion malléolaire du péroné.
Parties
composantes. i° Peau. Fine et lisse en haut, reco
nte dilatation variqueuse. 3° Aponévrose superficielle. Elle forme la
partie
postérieure de l'aponévrose jambière, capsule de
aires du jam-bier antérieur et des muscles postérieurs de la jambe.
Parties
composantes. i° Peau. Épaisse, d'une texture serr
acilité de mettre l'os à découvert sans intéresser un grand nombre de
parties
. RÉGION DU COUDE-PIED'. Comprise entre les de
urue par la saillie verticale des tendons fléchisseurs du pied. Les
parties
composantes sont : i° La peau, coupée de plis de
édieux sur la face dorsale du pied. 5° Squelette. Il est formé par la
partie
antérieure de l'articulation tibio-tarsienne ; en
que la fréquence des fractures de l'extrémité inférieure du péroné.
Parties
composantes. La peau plus épaisse qu'en dedans, e
terne et le nerf du même nom, dont le trajet est vertical. Toutes ces
parties
donnent lieu aux mêmes considérations que celles
ndon d'Achille. Déprimée cle haut en bas et saillante au milieu, à la
partie
supérieure, par le relief du tendon, elle présent
héroïde dans l'extrémité terminale formant proprement le talon. Les
parties
composantes sont : i° La peau, âpre et rugueuse d
talon n'est pas sans intérêt en chirurgie. La résection d'une grande
partie
du calcanéum est aujourd'hui admise. Cet os est é
palmées des tendons fléchisseurs du pied ou extenseurs des orteils.
Parties
composantes. Portion tarso-métatarsienne. i° Peau
. 6° Squelette. Constitué en arrière par les os du tarse, et, dans la
partie
moyenne, par les cinq os métatarsiens maintenus e
sée sur le bord interne, tandis que l'externe porte presque à plat.
Parties
composantes. Portion tarso-métatarsienne. i° Peau
isolante très épaisse, destinée à protéger de la pression du sol les
parties
molles sous-plantaires; de fortes lamelles fibreu
ement de lien pour le squelette et d'enveloppe de protection pour les
parties
molles sous-plantaires. 4° Couche musculaire. Ell
médiate ou immédiate de la main à la structure pathologique, dans les
parties
que leur situation et leurs usages rendent, sans
s ou de manœuvres ayant pour objet de diviser, emporter, détruire les
parties
malades par divers agens, ou seulement de les com
modifier leurs rapports, et enfin de réunir, après leur ablation, les
parties
saines qui ont été conservées. Ces actions variée
inquiète le malade; physiquement, par les lésions qu'elle imprime aux
parties
, elle est nécessairement douloureuse, change ou m
é à tel autre, se déduisent de la nature de la maladie, de l'état des
parties
, du plus ou moins de facilité à exécuter un mode
grands chirurgiens, ou qui, en qualité d'internes, ont été eux-mêmes
parties
agissantes dans le service des hôpitaux. Les aide
celle des parens et des assistans. (c) Lumière. L'an d'éclairer la
partie
sur laquelle on opère a une grande importance sur
, pour servir à la fois à l'opérateur et aux aides, et que souvent la
partie
sur laquelle on opère ne peut être présentée sous
directement à l'opération. Il présente au trajet de l'instrument les
parties
à enlever, écarte celles que l'on doit ménager, é
ner ses mouvemens et de répandre des gouttes de cire brûlante sur les
parties
. Aussi est-il besoin de beaucoup de précision, d'
st de contenir les mouvemens de ïopèrè. Les mouvemens partiels sur la
partie
malade sont réprimés par les aides principaux et
consistent à arrêter le cours du sang et à procéder à la réunion des
parties
et au pansement. h'hémorrhagie est arrêtée par
ansement consiste dans l'application méthodique que l'on fait, sur la
partie
malade, des moyens propres à en amener la guéri-s
moyens propres à en amener la guéri-son. Les pansements sont une des
parties
les plus importantes de la chirurgie; c'est de le
grandes opérations chirurgicales. Leurs usages sont de maintenir les
parties
dans une situation convenable, de les abriter du
aux. Les indications que remplissent les pansemens, par rapport aux
parties
lésées, sont au nombre de quatre : la réunion, Xé
evée du premier appareil, les pansemens consécutifs, la situation des
parties
la plus convenable pour chaque cas déterminé, les
s opérations simples, qui se pratiquent indifféremment sur toutes les
parties
, sont au nombre de sept : la division, la cautéri
xes, il s'y joint deux indica DIVISION. La division mécanique des
parties
s'obtient par l'action des instrumens tranchans o
ar constriction. SECTIONS. A ce chapitre se rapportent : pour les
parties
molles, Y incision et la dissection ; pour les os
LEUR MODE D ACTION '. Les instrumens de section diffèrent pour les
parties
molles et pour les os. Les premiers, dits instrum
ce aux couronnes de trépan, perforateurs, pinces incisives, etc. La
partie
nommée le tranchant, dans tous les instrumens qui
tel point, cpie, si l'on se contente d'appliquer un tranchant sur une
partie
en appuyant avec lenteur, les tissus se refoulero
ion la plus légère, on tire l'instrument clans un sens parallèle, les
parties
seront immédiatement divisées. L'art consiste à s
e d'agir les autres instrumens de section. Les ciseaux qui fixent les
parties
, par la rencontre angulaire de deux lames dans un
en anatomie et en pathologie, toute solution de continuité faite aux
parties
molles par un instrument tranchant. L'incision, e
e sections, ouvertures d'abcès, dissections, excisions, résections de
parties
malades, etc. En outre, elle entre comme un éléme
pérations, que la pratique de ces dernières ne se compose, en majeure
partie
, que d'une suite d'incisions plus ou moins variab
ins variables par la forme, l'étendue, la direction, et la nature des
parties
lésées. 18 INSTRUMENS. Les incisions se pra
trument soit bien fait, son tranchant posé sur un plan horizontal, la
partie
élargie ou le ventre doit porter, tandis que la p
ointe du bistouri droit ordinaire pourrait léser des vaisseaux ou des
parties
qu'il importe de ménager, comme dans les hernies.
difficile à manier par l'inconvénient qu'il a de circonscrire trop de
parties
à-la-fois; (b) les bistouris boutonnés, à lame ou
le qui a rapport aux difformités qui résultent des cicatrices sur les
parties
exposées à l'air. Si l'on doit opérer à la face,
cation. On a classé depuis long-temps les incisions par rapport aux
parties
divisées, suivant qu'elles se font de la surface
oins d'effet sur la marche de l'instrument que sur la sensibilité des
parties
où l'on évite le contact désagréable du froid de
mêmes, sont néanmoins peu usitées dans la pratique. •2° Tension des
parties
. Avant d'inciser, il faut tendre les parties clan
tique. •2° Tension des parties. Avant d'inciser, il faut tendre les
parties
clans le sens opposé à la marche de l'instrument.
diverses régions, depuis l'extrême délicatesse de celle qui revêt la
partie
antérieure du cou jusqu'à la consistance presque
s diverses circonstances pour y proportionner la tension à donner aux
parties
et la pression exercée sur l'instrument. 3° App
pplication du bistouri. On doit présenter le tranchant couché sur les
parties
et perpendiculairement à leur surface : on évite
s divers degrés d'inclinaison sous lesquels on offre l'instrument aux
parties
permettent de varier à volonté la profondeur et l
fondeur de l'incision; l'annulaire et le petit doigt, étendus sur les
parties
voisines, fournissent un point d'appui à la main.
tiquer des incisions étendues. L'instrument, présenté obliquement aux
parties
, n'offre dans chaque point à diviser qu'une étend
la manœuvre dans ce cas est assez difficile, l'opérateur agissant en
partie
à main levée. Voici en quoi consiste le procédé.
e ce que l'on fait ordinairement, c'est-à-dire le dos tourné vers les
parties
à inciser, et le tranchant vers la paume de la ma
ésenter et faire manœuvrer avec la même facilité l'instrument sur les
parties
, soit directement, soit à plat. On applique le
faible épaisseur de tissus à la fois, dans la crainte de blesser des
parties
importantes en pénétrant trop profondément. La lé
rument convient le mieux sont tous ceux où il s'agit de découvrir une
partie
sans la léser , comme une artère dont on doit fai
r des résections, des excisions, des ablations de tumeurs. Lorsque la
partie
à enlever est d'un volume considérable, comme une
nt. Pour cela, il est nécessaire que la lame puisse se présenter «aux
parties
plus ou moins obliquement, ou tout-à-fait à plat.
uger nécessaire. La septième position est indispensable lorsque les
parties
délicates sur lesquelles on agit sont situées pro
ue des surfaces voisines de la plaie. Dans le cas au contraire où les
parties
sont situées superficiellement ou largement décou
rs doigts, demi fléchis, fixent l'extrémité libre du manche contre la
partie
supérieure et interne de l'éminence hypothénar. C
n dedans, ou en pressant; et de dedans en dehors, ou en soulevant les
parties
. INCISIONS DE DEHORS EN DEDANS ET DE GAUCHE A D
s. 5° Enfin, le chirurgien peut faire tendre la peau ou écarter les
parties
par des aides, dans les cas où il a besoin de gar
n ; 20 abaissement de la lame, plus ou moins oblique ou parallèle aux
parties
; 3° section en tirant; 4° élévation perpendiculai
veuille ouvrir un abcès, ou découvrir, dans une certaine étendue, des
parties
situées à une grande profondeur : la tension étan
n première position, on en présente la pointe perpendiculairement aux
parties
dans l'espace compris entre le pouce et l'indicat
es; et, par un mouvement de la main de gauche à droite, on incise les
parties
en graduant la pression suivant la profondeur à l
n conçoit qu'il y aurait du danger à le faire toutes les fois que des
parties
importantes sont situées à quelques lignes de pro
du sommet à sa base. On peut, si l'on redoute encore d'intéresser les
parties
sous-jacentes, présenter la pointe de l'instrumen
on saisit les tissus à inciser, et on les soulève pour les isoler des
parties
sous-jacentes ; puis, la lame du bistouri présent
en avant ou devant soi. Pour l'exécution de la première, on tend les
parties
avec le bord radial de la main gauche, dont le do
ame du bistouri du milieu vers la pointe, en conservant à la peau une
partie
de son tissu cellulaire L'instrument est tenu en
oie dans un grand nombre de circonstances : à la tétc et sur d'autres
parties
, pour appliquer le trépan ; au-devant des tumeurs
en T, clans le cas où l'on devrait mettre à découvert une étendue de
parties
assez grande pour que l'angle formé excédât 45 de
aisse le manche du bistouri pour couper obliquement, en soulevant les
parties
avec le tranchant, et poussant devant soi. Le d
faces, il ne fait qu'une incision superficielle, et souvent même, les
parties
étant affaissées au-devant de la pointe, celle-ci
t mieux pour inciser à une profondeur égale dans tous les points. Les
parties
, soulevées obliquement, glissent avec facilité, a
ns en dehors, on ne court pas risque de blesser le fond du foyer, les
parties
à inciser, molles et flottantes, étant soulevées
ession nécessaire pour la continuer mettrait en danger de blesser les
parties
sous-jacentes. 1 Planche 16, %. 3. 1 Planche i/
tous les cas d'extirpation où l'on juge convenable d'enlever avec les
parties
malades une portion des tégumens qui les recouvre
gueur et la position perpendiculaire de son tranchant par rapport aux
parties
; 3° la persistance à suivre le trajet courbe que
bistouri avec la précision nécessaire dans ce cas, surtout lorsque la
partie
que l'on enlève est une tumeur volumineuse qui ca
encore à corriger les difformités causées par des cicatrices sur les
parties
exposées à la vue, telles que le cou et le visage
t pénétrer profondément, de lui fournir un guide qui le rapproche des
parties
à inciser et l'éloigné de celles cpù doivent être
un bistouri boutonné offert à plat; on redresse l'instrument vers les
parties
à inciser, lorsque l'on est parvenu au point où l
de telle sorte qu'amené au parallélisme avec la peau, il soulève les
parties
sous lesquelles il est placé. Prenant ensuite le
donnant une inclinaison de 3o degrés, la plus favorable pour que les
parties
, à mesure qu'elles glissent sur le tranchant, se
es retire ensemble de la plaie, pour être plu s certain qu'aucune des
parties
situées entre la sonde et la surface cutanée n'a
à s'amasser dans un point, ou plus déclive quant à la position de la
partie
, ou séparé de l'ouverture par des sinuosités qui
décrivant un mouvement de bascule, son extrémité effilée soulève les
parties
de dedans en dehors. On peut alors apercevoir ou
entir la saillie qu'il forme au-dessous des tégu-mens, pourvu que les
parties
situées entre la peau et la paroi correspondante
bistouri, en glissant sur les côtés de la sonde, n'aille blesser les
parties
situées au-dessous, il est préférable d'inciser e
en deux ou trois fois, sur-tout lorsqu'il y a une grande épaisseur de
parties
à couper. On fait ensuite sortir la sonde par l'o
ducteurs, on doit toujours faire tendre au-dessus de la cannelure les
parties
qui doivent être divisées, et que, toutes les foi
successivement par les denticules correspondans. Mais pour que les
parties
soient incisées, il faut qu'elles se prêtent à la
t la suite de cette manière d'inciser est d'autant plus forte que les
parties
comprises entre les mors ont plus d'épaisseur. Ce
l'on ait fait aux ciseaux, considérés comme instrumens tranchans des
parties
vivantes. Aussi MM. Percy et Laurent en condamnen
ns le même sens donne un instrument très commode pour glisser sur les
parties
en se prêtant ' Planche 66, %. 16, 17. à leur
'inclinaison latérale des deux lames, est suivie de la distension des
parties
à inciser, qui se glissent entre les lames, et so
eur étendu, en appuyant sur la rosette, gouverne l'instrument. Si les
parties
offrent une certaine résistance, et que l'on ne p
une cavité hors de la vue, et que l'on ait à craindre de blesser des
parties
importantes, l'indicateur, introduit entre les tr
iter en incisant d'engager entre les mors une trop grande quantité de
parties
: il en résulte un mouvement de recul des branche
se garantira du premier de ces deux inconvéniens en ne présentant aux
parties
que les deux tiers de la longueur des lames, et d
vités : la sonde cannelée sert alors de conducteur. Les excisions des
parties
membraneuses, telles que la luette, le frein de l
s que le bistouri, en ce que, pour agir, ils n'ont pas besoin que les
parties
soient tendues. Enfin, les ciseaux courbés ou cou
seul coup ; mais ce mode de section a l'inconvénient de contendré les
parties
, et, sous ce rapport, est plus irritant que l'aut
us irritant que l'autre. On doit donc éviter d'en faire usage sur les
parties
déjà très irritées ou douées d'une vive sensibili
ces ou les liens fibreux, quand il s'agit d'isoler ou de détacher une
partie
quelconque autour de laquelle tourne l'instrument
tes les autres variétés de sections, on doit tendre préalablement les
parties
au-devant du trajet de l'instrument, en les faisa
s modifications dans le manuel opératoire, nécessitées par l'état des
parties
, réclament l'emploi de diverses positions du bist
section de tissus lâches. Si l'on opère largement à découvert sur des
parties
dont le tissu cellulaire est abondant et peu serr
ve. Si, au contraire, l'on agit dans un espace étroit pour isoler des
parties
qui se recouvrent, on fait préalablement écarter
portion de tissu déjà endurcie doit être englobée avec la masse des
parties
à enlever. 3° Dissection en dédolant. Ce n'est
'entend, en chirurgie, de l'action par laquelle on introduit dans les
parties
molles un instrument piquant. Les ponctions dif
en troisième2 position, suivant que l'épaisseur et la résistance des
parties
exigent une pression plus ou moins forte, on piqu
vant la nature et la quantité du liquide à évacuer et l'épaisseur des
parties
(pic l'on doit traverser. Toutefois on n'emploie
e cette dernière pour qu'elle ne soit pas expulsée par le retrait des
parties
. L'opération terminée, le chirurgien, pour extr
u graduée, directe ou accompagnée de torsion, que l'on fait subir aux
parties
molles pour en déterminer la rupture par un along
inent et sans effusion de sang à isoler, dans une grande étendue, les
parties
sur lesquelles on opère. On évite, par ce procédé
, offre de grands dangers quand on est contraint d'agir au travers de
parties
abondamment pourvues de vaisseaux et de nerfs qu'
ticulier. Considéré comme manœuvre opératoire dans les maladies des
parties
molles, l'arrachement s'applique de préférence au
nscrites par du tissu cellulaire qui peut être déchiré sans léser les
parties
voisines, et, par exemple, à l'aisselle, à l'aine
es d'abréger la durée des opérations, et de permettre la division des
parties
sans avoir à redouter l'hémor-rhagic par suite de
s'opère par ligature, à l'aide d'un lien dont on entoure la base des
parties
à détacher. Le lien est porté directement avec la
s que l'on tire des aloès et du phormium lenax. Suivant le volume des
parties
, on emploie les fils simples ou réunis en cordonn
ligature d'une force proportionnée à la masse et à la résistance des
parties
qu'elle doit embrasser. 20 Si la tumeur est d'un
volume et que l'on puisse craindre de ne pas serrer suffisamment les
parties
situées au centre, scinder et multiplier la ligat
te deux sortes de ligature, simple ou composée, suivant le volume des
parties
à embrasser. La ligature simple est celle qui ne
ns qu'il soit besoin de renouveler l'opération. Si, au contraire, les
parties
embrassées ont un volume trop considérable, la di
volume trop considérable, la division commencée et la rétraction des
parties
par flétrissure relâchant le lien, on réapplique
raisonnablement applicable qu'à des tumeurs d'un médiocre volume, les
parties
situées dans le centre du cercle embrassé par l'a
la longueur du trajet à parcourir, et par conséquent à la niasse des
parties
à embrasser. Dans le mode opératoire indiqué par
e son double fil. Soit donc une tumeur que l'on veut diviser en trois
parties
, on y emploie deux aiguilles, que l'on insinue le
nt les extrémités libres, la tumeur se trouve liée isolément en trois
parties
: le tiers moyen entre les trajets des fils et le
on veut agir, de manière à séparer le plus complètement possible les
parties
que l'on veut détruire de la surface d'où elles s
ompu. Dès que la ligature est faite, toute sensibilité cesse dans les
parties
qu'elle enferme ; les tissus, d'abord tuméfiés ,
raticables ou insuffisans ; 4° ranimer les fonctions vitales dans les
parties
où elles languissent, et par exemple les tissus f
t après, certaines conditions qui en assurent le succès, i0 Mettre la
partie
sur laquelle on opère en situation convenable pou
rait inutilement le calorique ; 3° préserver de l'action chimique les
parties
voisines par des substances absorbantes, telles q
° l'opération effectuée, enlever, dans la cautérisation actuelle, les
parties
carbonisées non adhérentes, dont la présence irri
nce irriterait mécaniquement sans utilité ; mais laissera demeure les
parties
adhérentes qui se détacheront en escharre, et se
simple, de manière à en former une pâte molle que l'on étend sur les
parties
malades. De ce nombre sont divers onguens, les sa
ce et de couleur, suivant les affinités chimiques du caustique et des
parties
sur lesquelles il a porté son action. Ainsi, elle
, le formation d'une aréole inflammatoire au-dessous et autour de la
partie
morte. La congestion a pour effet d'opérer la sép
ie morte. La congestion a pour effet d'opérer la séparation entre les
parties
vivantes et l'escharre devenue corps étranger. Qu
l'on trempe dans la substance cautérisante, et que l'on dépose sur la
partie
malade en exprimant le liquide par pression, et p
et dans chacune des petites cavités qui s'y ouvrent. Si la couche des
parties
molles à cautériser est considérable, il est prud
Caustiques mous. Pommade ammoniacale de Gondret. Elle est formée à
parties
égales d'axonge et d'ammoniaque concentrée. Comme
ans cette opération , avoir soin de circonscrire le caustique sur les
parties
qu'il doit détruire, et prendre garde que la pâte
inutilement pour effet la cautérisation ou au moins la vésication des
parties
environnantes. Le caustique étant appliqué, on le
toiles d'araignée qui lui adhèrent plus fortement, et on préserve les
parties
des chocs extérieurs par un léger bandage. L'ac
u zinc en poudre et de farine dans des proportions variées, une seule
partie
de chlorure formant trois composés dont l'action
plus faible, suivant qu'elle est mélangée avec deux, trois ou quatre
parties
de farine. Quelques praticiens ont cru devoir ren
re : on l'applique en rondelles proportionnées en étendue à celle des
parties
malades, et en épaisseur au degré d'activité de l
git nettement dans les limites de son application sans intéresser les
parties
voisines. Avec un peu d'expérience, on peut gradu
e. (a) Application à la surface de la peau. On étend d'abord sur la
partie
un emplâtre de diachylum percé à son centre d'un
émité d'un long porte-crayon, et qu'il appliquait par la base sur les
parties
saillantes ou unies, et par le sommet dans les en
ssité d'en surveiller les effets, en garantissant de leur contact les
parties
déclives. Appliquée ainsi par grandes masses su
cédé du grand hôpital de Vienne.) Ce caustique se compose de cinq
parties
de potasse, mêlées peu-à-peu dans un mortier avec
de cinq parties de potasse, mêlées peu-à-peu dans un mortier avec six
parties
de chaux vive en poudre, et que l'on conserve hor
es trochisques à la surface, ou on les insinue dans la profondeur des
parties
que l'on veut détruire, en graduant par la pressi
alorique et de sa grande conductibilité, convertirait en escharre les
parties
qu'il a touchées dans un temps cinq fois moindre
e en est l'extrémité libre. Cet instrument donne lieu, aux dépens des
parties
à travers lesquelles il pénètre, à une perte de s
autériser à plat. La face inférieure, qui doit être appliquée sur les
parties
, est légèrement convexe, ce qui en facilite le gl
érente. Elle s'effectue par l'application soutenue du cautère sur les
parties
malades; elle a pour effet une désorganisation br
dition est cl etancher ou assécher la surface de la plaie. Lorsque la
partie
est abreuvée de fluides, dix secondes suffisent p
e l'on avait d'abord appliqué au rouge blanc. Aussi, pour peu que les
parties
que l'on veut cautériser soient étendues, on doit
de température, l'opérateur doit exercer une moindre pression sur les
parties
, dans la crainte cpie, par leur dessiccation, les
ue le cautère actuel doit pénétrer dans le voisinage ou au travers de
parties
qu'il importe d'épargner ou qu'il est inutile d'i
r ou qu'il est inutile d'intéresser, on a recours, pour préserver ces
parties
, à des canules de feutre ou 23 carton imprégn
dans les plaies, étant formées de corps non conducteurs, isolent les
parties
du contact de la chaleur, et permettent par leur
endue, à la profondeur, à l'importance et au degré de sensibilité des
parties
intéressées : une fièvre générale avec ou sans sy
os des exutoires. On emploie la cautérisation transcurrente sur les
parties
affectées d'inflammations chroniques, telles que
ive. Elle consiste dans l'application , à une certaine distance d'une
partie
malade, d'un charbon ardent ou d'un corps métalli
le corps qui en fait office, est tenu ordinairement à un pouce de la
partie
affectée : son éloignement, du reste, doit être p
our satisfaire à diverses indications : pour contenir ou soutenir les
parties
, exprimer les fluides qu'elles contiennent, en gê
t clans des cavités naturelles ou artificielles, la résistance, ou la
partie
comprimée, se trouve comprise entre deux puissanc
comme un moyen de réunion clans tous les pansemens pour contenir les
parties
et les pièces d'appareil, et, à un degré plus for
lans tous les cas de hernies réductibles, pour empêcher la sortie des
parties
déplacées par les orifices dilatés qui leur donne
endre et à ralentir le cours du sang dans le vaisseau principal de la
partie
sur laquelle on opère ; à oblitérer provisoiremen
m. Dans l'absence de ces instrumens, on fait écarter et distendre les
parties
par les doigts d'aides intelligens. 2° Pour évi
oigts d'aides intelligens. 2° Pour éviter une division exagérée des
parties
. Dans l'ancienne chirurgie, on faisait un fréquen
lieu à des acci-, dens graves par la contusion et la dilacération des
parties
. Aujourd'hui la dilatation ou l'écartement n'est
opératoires ont pour objet commun d'enlever, au sein des organes, des
parties
dont la présence est nuisible; mais la désignatio
enlever. Le mot ablation s'applique essentiellement aux tissus et aux
parties
vivantes plus ou moins affectées de dégénérations
Ablation. Dans son sens le plus général, toutes les soustractions de
parties
, même les résections et les amputations, sont vir
. Quant à Y origine, les uns sont le produit de l'organisme, soit une
partie
séparée violemment de la vie, un séquestre, une e
ie, un séquestre, une esquille, un lambeau fibreux ou une escharre de
parties
molles ; soit une hypertrophie, une végétation va
n éprouve de la résistance, il faut savoir attendre que le spasme des
parties
soit un peu dissipé avant de reprendre la pressio
N. La réduction consiste à rétablir dans leur situation normale les
parties
accidentellement déplacées. Elle constitue des op
es, aux fragmens détournés de la ligne de continuité de l'os. Poulies
parties
molles, elle se rapporte essentiellement aux hern
s viscères. La réduction exige deux conditions premières : placer les
parties
dans le relâchement, et diriger, suivant une lign
nt une ligne déterminée, les efforts du chirurgien. Relâchement des
parties
. Ce précepte s'applique sur-tout aux muscles dont
opposent une vive résistance au manuel opératoire. Le relâchement des
parties
molles s'obtient sur-tout par la situation conven
s parties molles s'obtient sur-tout par la situation convenable de la
partie
malade. On y joint l'em ploi des divers moyens
ues précises, et consiste à refouler, avec lenteur et ménagement, les
parties
en sens inverse du trajet qu'elles ont parcouru,
gonflement inflammatoire, cesse de lui-même, avec l'affaissement des
parties
, par la résorption , sans nécessiter aucune manœu
, le résultat du travail de la nature, qui amène la cicatrisation des
parties
divisées. Par extension, on comprend, sous cette
r l'adhésion des tissus, l'action du chirurgien se borne à mettre les
parties
dans les conditions convenables. i0 Pour que le
e condition à remplir et la plus essentielle. En principe général, la
partie
malade doit être soutenue mollement, et l'attitud
oit au moins s'en rapprocher autant que le permet l'extensibilité des
parties
; l'espace intermédiaire, ordinairement de peu d'
acile, ne réunirait qu'à la superficie. Conséquemment, l'épaisseur de
parties
à embrasser est déterminée par celle des lèvres d
s de la plaie, aucun espace vide ne devant être laissé au-dessous des
parties
affrontées. 3° Pour agir de dehors en dedans, l
contraire, pénètre de dedans en dehors, les mêmes doigts tendent les
parties
de chaque côté de l'espace par où elle doit sorti
tes ou inégales, suivant la texture et les conditions anatomiques des
parties
qu'elles renferment. Toutefois il est rare que l'
re en masse, dont la conséquence est l'étranglement et la section des
parties
comprises clans l'anse du lien. Quand ces parties
t et la section des parties comprises clans l'anse du lien. Quand ces
parties
ont assez d'épaisseur ou sont soumises à des trac
hors en dedans, la pointe doit être présentée perpendiculairement aux
parties
, et le mouvement qu'on imprime à l'aiguille est u
la plaie serait la tangente, de manière à comprendre une épaisseur de
parties
décroissante de la surface vers la profondeur. Le
à un aide qui doit exercer dessus une traction légère pour tendre les
parties
. On place ensuite, avec les mêmes précautions, un
plus; seulement, s'il y en a plusieurs, on doit affronter d'abord la
partie
moyenne, puis l'angle supérieur de la plaie, avan
ueur et la largeur qu'on leur donne, sont proportionnés au volume des
parties
lésées, à l'étendue et à la profondeur des plaies
l'emporte sur leur largeur, et plus solidement elles maintiennent les
parties
en contact. Ordinairement, pour les membres, elle
égèrement et avec lenteur pour amener le plus possible en contact les
parties
profondes, en même temps qu'il les recouvre de té
en se rencontrant, et que la bandelette maintienne immédiatement les
parties
accolées à mesure que les doigts du chirurgien se
n'a pas encore recouvert, afin qu'aussitôt qu'elle est abaissée, les
parties
se trouvent maintenues dans un rapport parfait.
rapport parfait. Cette première bandelette doit toujours occuper la
partie
moyenne de la solution de continuité ; puis on en
rgeur et d'une longueur double de la circonférence du membre ou de la
partie
qui est le siège de la plaie. Chaque bandelette é
re saillie à la surface d'un moignon imparfaitement recouvert par les
parties
molles, pour donner de la longueur aux muscles et
ais si l'affrontement n'a lieu qu'après quelques jours et lorsque les
parties
lés 'es sont à l'état de congestion , ou , comme
emps continuée, suivant les conditions dans lesquelles se trouvent la
partie
malade et l'organisme en général, dans certains c
lité soit de l'organisme en général, mais plus particulièrement de la
partie
sur laquelle on opère. Divers moyens ont été tent
ur, on avait pu songer, clans les amputations, à couper à travers les
parties
sphacélées, comme l'ont.fait, dans l'antiquité, P
amené par l'ensemble des causes dont chacun d'eux n'a entrevu qu'une
partie
. Ainsi, J.-L. Petit attribue la cessation des hém
de consistance pour fermer la blessure artérielle, unir l'artère aux
parties
environnantes, et l'isoler de la plaie dont elle
ntre les lèvres de la division, et, de l'autre, entre l'artère et les
parties
environnantes. Enfin, quand la blessure est trans
elle cesse d'elle-même lorsque l'inflammation amène le gonflement des
parties
divisées; mais si plusieurs de ces artères ont ét
certains cas spéciaux, lorsque l'opération , pratiquée au travers de
parties
très vasculaires , et devant durer un temps assez
reconnaissable à ses battemens. 2° Déterminer, dans l'épaisseur des
parties
, la profondeur et la direction relative du levier
a cuisse, éloignés des leviers osseux et roulant dans l'épaisseur des
parties
molles, l'absence d'un point de contact osseux ne
ntenir sur un même plan la pulpe des quatre doigts, la résistance des
parties
molles, sur-tout à la cuisse, fait que les doigts
urface qu'il exige, de ne pouvoir s appliquer avec efficacité qu'à la
partie
moyenne des membres ; (b) de s'opposer à la rétra
ficielles de médiocre calibre; au besoin, on empêche la striction des
parties
en éloignant le lacs de la peau par l'application
e pouvant atteindre les branches artérielles du cou situées entre des
parties
molles très mobiles et pourvues seulement de l'un
e pour la compression, que l'on emploie de préférence pour les autres
parties
du corps dans les cas analogues. Toutefois, la li
as le but pour lequel il a été inventé. 3° Artère humerak. (a) A sa
partie
supérieure , au-dessous du tendon du grand pector
aissent pas applicables en ce point. (b) Au tiers supérieur ou à la
partie
moyenne de la cuisse, la compression est facile e
ir, entre le pouce et les deux ou trois premiers doigts opposans, les
parties
qui renferment les vaisseaux au moment où ils von
au moment où ils vont être divisés. Ce moyen s'applique à toutes les
parties
isolées , soit les replis musculo-cu-tanés, les l
rminer l'oblitération par adhésion des parois entre elles et avec les
parties
voisines. Les procédés d'application des ligatu
orme le lien ; 2° les in- t. vi. strumens dont on se sert; 3° les
parties
comprises dans l'anse; 4° la manière de lier ; 5°
lums, assez indifféremment, celui de Bell ou celui de Bromfield. 3°
Parties
compulses dans l'anse. Depuis que la ligature en
n les circonscrivant par une anse qui étranglait en commun toutes les
parties
situées entre le faisceau vasculaire et les tégum
pilée, dont alternativement on réitère ou suspend le contact sur les
parties
pour éviter leur congélation. Il est clair que, p
raction du calorique, les réfrigérans ralentissent la circulation des
parties
sur lesquelles on les applique, et par conséquent
es, survenus à la suite dune petite opération de cette nature, où les
parties
avaient été long-temps titillées et dilacéreos pa
st presque qu épidermique ; au contraire, la verrue ancienne dans les
parties
très vasculaires , comme le nez, tourne à l'état
ion de l'ongle incarnée , cause des douleurs et de l'inflammation des
parties
molles. Suivant le cas et le degré de la maladie,
par arrachement la section, pour séparer complètement l'ongle en deux
parties
; suspendre l'opération et recommencer à plusieur
la main gauche, introduire à plat sous le bord libre de l'ongle, à sa
partie
moyenne, l'extrémité d'une branche de ciseaux dro
me et en situation proportionnés à la masse et à la configuration des
parties
molles exubérantes qui doivent être détruites en
face. L'emploi des instrumens diffère suivant l'espèce de dent et la
partie
de leur contour sur laquelle on agit. i ° Pour
frottant avec une tige effilée de bois, trempée dans un mélange d'une
partie
d'acide hydrochlorique étendue dans cinq parties
dans un mélange d'une partie d'acide hydrochlorique étendue dans cinq
parties
d'eau, et on lave immédiatement à l'eau pure pour
s sans importance quand une dent fracturée ou hors de rang blesse les
parties
molles et surtout la langue; 2° Enlever une carie
'on s'approche du collet delà dent, il est important de ménager cette
partie
, dont le volume empêche le rapprochement des den
s moyens mécaniques. L'objet de son application étant de détruire les
parties
molles enflammées et fongueuses, elle convient ég
par petits fragmens, la potasse, la pâte de M. Cancoinou un mélange à
parties
égales de nitrate d'argent et d'acétate de plomb.
cristalline et glutineuse ; mais, après quelques instans, lorsqu'une
partie
de l'eau commence à s'évaporer, il s'y opère un r
on le prendra pour inoculer. On peut encore, en rayant le verre à sa
partie
moyenne avec le tranchant d'une pierre à fusil, u
a pointe de l'aiguille. Lieu d'élection. On peut vacciner sur toute
partie
quelconque de la peau. Néanmoins le bras, à sa fa
d'un coup sec et assez fort pour que la tige traverse l'épaisseur des
parties
et s'enfonce encore de l'autre côté dans le bouch
es oreilles; pour le cou, à la nuque; pour le tronc, sur les diverses
parties
de la poitrine, en regard des points douloureux,
e indication particulière pour le choix du lieu, le bras gauche, à la
partie
moyenne de sa face externe, est le point le plus
ours, par le fait de leur écoulement, l'inconvénient de tracer sur la
partie
des sillons enflammés qui gênent le malade dans s
rer le moyen suivant. 2° Procédé d'Anthony Carlisle. Appliquer sur la
partie
un linge double mouillé sur lequel on promène un
e aussi rapide que celui de l'eau bouillante. Pour cela, on couvre la
partie
d'un morceau de toile de diachylum, percée à son
rps, en évitant seulement les saillies osseuses et tendineuses et les
parties
peu pourvues de tissu cellulaire. Par-tout le lie
rebelles; dans un espace intercostal, en avant ou en arrière de la
partie
inférieure de la poitrine, dans les pleurésies ou
s les cas les plus variés. Pour la cuisse, le lieu délection est à sa
partie
inférieure et interne, un peu au-dessus du genou
'ensuit (pie l'on ne saurait l'appliquer sur un aussi grand nombre de
parties
que le cautère. Les lieux que l'on doit éviter so
ation convenable, étendu sur un lit de manière à présenter en haut la
partie
sur laquelle on doit opérer, on aplatit d'abord a
s pour en former un pli vertical, à large base, dont il fait tenir la
partie
supérieure par un aide. Dans ce premier temps, on
deux plis cle peau juxta-posés , s'assurer qu'il n'y a point d'autre
partie
pincée clanslanse; puis, le chirurgien traverse l
que ou à la peau , mais qui parfois intéresse une grande épaisseur de
parties
, empruntant alors son nom de l'indication thérape
Lieu d'élection. Les mouchetures se pratiquent sur presque toutes les
parties
du corps, en cas de collections liquides, mais su
conjonctives, affectées d'œdème ou d'engor-gemens chroniques; 4° les
parties
latérales supérieures et postérieures du cou, dan
, dans les cas d'infiltration purulente ou de spbacèle; 7° enfin, les
parties
génitales dans les deux sexes, pour des indicatio
LASTIQUE CHIRURCtICALE. En général, dans les opérations, l'état des
parties
laisse la facilité de recouvrir la plaie soit par
étendue, et présente une solution de continuité considérable dans une
partie
où le tégument adhère aux parties sous-jacentes c
de continuité considérable dans une partie où le tégument adhère aux
parties
sous-jacentes comme à la face, l'emploi d'un nouv
'art a imaginé de suppléer à ce qui manque, en empruntant à une autre
partie
un lambeau cutané que l'on taille dans la forme e
le au composé. L'extensibilité de la peau qui permet de recouvrir une
partie
avec un lambeau insuffisant de lui-même, a dû fai
u'un pas à franchir pour tailler décidément un lambeau aux dépens des
parties
voisines. Ce moyen, pratiqué déjà dans l'antiquit
succès, la chirurgie moderne a osé aller chercher un lambeau sur une
partie
éloignée, ce qui constitue la méthode de Tagliaco
ien. Pour remédier à une perte de substance de l'aile du nez et de la
partie
supérieure de la joue, M. Roux tailla aux dépens
lèvre supérieure, comme un intermédiaire obligé de passage entre; des
parties
qui ne peuvent se rapprocher. Puis, lorsque les a
autre, et lui trouve physiologiquemeiit un point de repos entre deux
parties
éloignées et incapables de se déplacer. L'autop
s conditions supposent qu'elle est assez épaisse et peu adhérente aux
parties
sous-jacentes. La peau très mince et qui roule au
devais-seaux pour pouvoir être isolée impunément dans la plus grande
partie
de son contour. Celle au contraire qui est à-la-f
la taille du lambeau, il faut, autant qu'on le peut, réserver pour la
partie
adhérente, base ou pédicule, le point probable pa
ille du lambeau exige plusieurs conditions ; sa forme est celle de la
partie
qu'il doit recouvrir; mais son étendue sera plus
age la rétraction. En épaisseur, il vaut mieux laisser un peu plus de
parties
qu'un peu moins , mais surtout conserver au lambe
besoin , on aide à ce résultat par une légère compression graduée des
parties
voisines vers la plaie. Procédés opératoires.
rence avec les tissus sous-jacens étant conservée dans la plus grande
partie
de la hauteur et dans toute Tétendue des surfaces
rtement ne peut pas excéder l'angle droit. Si même la disposition des
parties
le permet, il vaut mieux rétrécir les angles des
ie en entier; dans le cas contraire, et autant que la disposition des
parties
le permet, on prolonge de l'autre côté les incisi
t, suivant la forme, la disposition et les conditions anatomiques des
parties
. Procédé de M. Lisfranc. Il s'applique égalemen
ords mêmes de la solution de continuité, mais emprunté et détaché des
parties
voisines et renversé sur lui-même, par la demi-to
orsion beaucoup moindre est même presque nulle, si la disposition des
parties
a pu permettre détailler, presque au parallélisme
son pédicule comme centre. Ce procédé, entant que la disposition des
parties
en permet l'application, est donc préférable à to
thode italienne. Dans ce mode opératoire, le lambeau est pris sur une
partie
très éloignée de la perte de substance à réparer.
lanc mat, parsemé de stries violacées, fixe et fortement adhérent aux
parties
sous-jacentes. Si on dissèque une ancienne cicatr
ux, les tissus sous-jacens qui y adhèrent. Il fixe ainsi à jamais les
parties
voisines dans une situation anormale qui en gêne
une situation anormale qui en gêne les fonctions, et cause, pour les
parties
exposées à l'air, des difformités plus ou moins l
pouvant s'opposer à la rétraction en maintenant, par la position des
parties
, la plaie dans un état habituel de dilatation. C'
en rasant à plat avec l'instrument tranchant de manière à enlever les
parties
proéminentes. Au besoin, on arrête l'hémorragie p
ort pendant le travail delà réunion, et condamnent inévitablement les
parties
à garder la même position une fois la cicatrisati
ortes brides fibreuses qui tendent fortement la peau, et par elle les
parties
sous-jaecntes , et rendent le redressement imposs
nent la rétraction ; puis étendre largement, autant que possible, les
parties
en direction opposée, et les fixer en position pa
tement jusqu'où il peut aller sans douleur, et, au lieu de donner aux
parties
des points d'appui inflexibles, on les fixe sur d
ésirable, on peut y suppléer, autant que le permet la disposition des
parties
, par une incision à la peau en regard du point où
cicatrices accidentelles qui réunissent, d'une manière anormale, des
parties
que la nature a séparées : telles sont les adhére
sont les adhérences cutanées des doigts et des orteils, celles de la
partie
interne du bras avec le tronc, du bras avec lavan
t-bras, de la jambe avec la cuisse à l'état de flexion forcée ; de la
partie
latérale du cou avec l'épaule, qui maintient la t
la peau, à chacune d'elles, pour en obtenir la réunion isolée. Si les
parties
intéressées sont des fractions du corps différent
d'aponévroses et de tendons , en précepte général il faut tendre les
parties
dans une direction inverse à celle qui causait la
nsinue la lame du bistouri qui les divise. Ce procédé, employé sur la
partie
moyenne du muscle, peut être appliqué pour tout a
ns le second. Le malade est couché sur un lit relevé en pente sous la
partie
supérieure du corps. Un aide maintient la tête in
, les doigts fixés par des aides, le chirurgien consulte l'aspect des
parties
pour s'assurer dans quel point a lieu la rétracti
craindre et pas assez ce que l'on peut obtenir, pour oser priver une
partie
considérable de ses nerfs du mouvement et du sent
r-sourcilière et la fontanelle antérieure : M. Malgaigne a préféré la
partie
latérale de la suture fronto-pariétale, comme le
uloureux. 2°Isolerle nerf des tissus voisins en le dénudant, puis, la
partie
étant mise dans le relâchement, le soulever et s'
ble à l'extérieur, à sa sortie par le trou sous-orbitaire, situé à la
partie
supérieure de la fosse canine, à quatre lignes au
re interne et l'artère carotide interne. La simple énumération de ces
parties
suffit pour montrer la gravité de l'opération en
angère aux vaisseaux eux-mêmes, par soustraction ou déplacement d'une
partie
de la masse sanguine : dans le premier cas l'art
ute ventouse a pour effet de déterminer l'afflux des liquides sur une
partie
, en la soustrayant plus ou moins complètement à l
le rectum, le vagin et le col de l'utérus. Cependant il est certaines
parties
dont on doit les écarter avec soin : de ce nombre
fois les plus graves incon-véniens, tels que le refroidissement de la
partie
sur laquelle on opère, l'irritation et la fatigue
détacher prématurément. Il convient aussi de maintenir chaudement la
partie
malade, dont l'exposition prolongée à l'air a sou
sens inverse. L'une, par le vide imparfait ou par soustraction d'une
partie
de l'air dans l'intérieur de l'appareil ; c'est p
l'air intérieur contenu dans une cloche appliquée à la surface d'une
partie
, la pression atmosphérique n'ayant pas varié sur
n n'est que l'application sur une plus grande échelle , c'est dans la
partie
renfermée sous la cloche que se fait la congestio
ir extérieur; les liquides alors sont en quelque sorte exprimés de la
partie
renfermée sous la cloche et refoulés vers la mass
ion par le vide attire les liquides des centres circulatoires vers la
partie
contenue dans l'appareil, et la pression par refo
la pression par refoulement au contraire chasse les liquides de cette
partie
vers les centres circulatoires. Pression généra
e sang voulue. Comme réunissant plus complètement ces conditions, les
parties
où se pratiquent presque exclusivement la phlébot
eptionnels, à la face dorsale de la main. 2° Le membre abdominal à sa
partie
inférieure sur les deux saphènes, dans le but ass
é, incliné sur le bord du lit. On ira à la recherche des veines de la
partie
que l'on veut saigner, préférant celles qui sont
de ces moyens avant d'y renoncer; et on y ajoute même, autant que la
partie
le permet, de légères frictions à sa surface, ou
essions légères des rameaux vers les troncs, refoule le sang vers les
parties
supérieures; le pouce alors s'abaisse à deux pouc
térieure et de la médiane commune, excepté, pour cette dernière, à sa
partie
supérieure, au point de bifurcation, où l'on risq
roisée en avant par le principal courant lymphatique rubané, et, à sa
partie
supérieure, elle croise en arrière les rameaux du
ian. Procédé opératoire. Découvrir préalablement le bras jusqu'à sa
partie
moyenne, en relevant les inanches en bourrelet ci
e bas en haut sur la plaie, en laissant pendante une extrémité sur la
partie
externe supérieure de l'avant-bras. On environne
t cette veine au-dessous de la malléole. C'est donc au milieu ou à la
partie
supérieure de cette apophyse, et vers le bord ext
peut être employé, de saigner les veines qui rapportent le sang d'une
partie
enflammée; toutefois si ce précepte est louable é
es difficultés dans ses applications particulières. Dans toutes les
parties
il existe deux sortes de veines superficielles et
été employé. Ce chirurgien propose d'ouvrir la veine céphalique à sa
partie
supérieure, par une incision clans le sillon comp
rpie avec interposition d'une compresse fenêtrée, en contact avec les
parties
lésées. L'inflammation s'empare de la plaie, on e
bas, le tiers moyen de la jambe, et, pour le point le plus élevé, la
partie
inférieure de la cuisse: 3° il faut appliquer deu
s de retour amène inévitablement la stase sanguine et lymphatique des
parties
situées au-dessous. Pour conclure, il n'y a donc
ans toute l'étendue de la plaie, afin de découvrir successivement les
parties
par plans ou par couches superposés et prévus à l
avec une sage lenteur , en ayant soin de reconnaître à chaque pas les
parties
que l'on écarte de manière à suivre rigoureusemen
on des interstices et saillies musculaires et la présence de diverses
parties
, soit une aponévrose, un tendon ou un nerf, etc.,
s la plaie et de causer des désordres qui augmentent la confusion des
parties
il vaut mieux rapprocher momentanément les bords
n, son volume, au nombre, au caractère et à la situation relative des
parties
, artère , veines et nerfs, qui le composent. Is
e de faire agir l'instrument en amenant vers soi, et, par rapport aux
parties
contenues dans la gaîne, s il 11 y a, comme pou
econd os métatarsien. Cette plaie, qui laisse l'artère en dedans à sa
partie
antérieure, ne convient que pour la ligature de l
faciliter l'ouverture de la plaie. Alors, suivant que l'on agit à la
partie
moyenne ou à la partie supérieure de la jambe, ch
de la plaie. Alors, suivant que l'on agit à la partie moyenne ou à la
partie
supérieure de la jambe, chercher, à l'œil ou au t
seur et l'espèce des tissus. Ces considérations se résument sur trois
parties
, supérieure, moyenne et inférieure, constituant l
eu au-dessus du tiers supérieur de la jambe et un peu en dedans de la
partie
moyenne du diamètre transverse. Renfermée en ce p
de ce muscle et du court péronier latéral, on ne la lie guère qu'à la
partie
moyenne cle la jambe, au-dessous des jumeaux, ent
une aiguille à suture, la ligature médiate de l'artère péronière à sa
partie
supérieure. Artère poplitée (pl. 38) '. Situa
vantage en haut, et sera plus longue, si l'artère doit être liée à sa
partie
supérieure, où sa profondeur est d'environ cinq c
face antérieure ; le chirurgien est placé en dehors. Ligature à la
partie
inférieure. Procédé de M. Lisfranc. Avec la pul
ongueur de dix centimètres avec une légère inclinaison en dedans à la
partie
supérieure. M. Marshal recommande une incision de
11 est inutile d'insister sur le procédé de ligature déjà connu à la
partie
inférieure de cette même plaie ; et quanta la par
déjà connu à la partie inférieure de cette même plaie ; et quanta la
partie
moyenne, la principale difficulté est due à la ve
re. Il est clair que, par ce procédé, on peut lier avec facilité la
partie
la plus inférieure du tronc poplité, ou même, en
es internes, qui se rencontrent vers l'angle déclive de la plaie. Ces
parties
étant reconnues, les isoler clans une étendue suf
is quarts supérieurs de la cuisse avec une demi-torsion spirale de la
partie
moyenne et antérieure en haut, en suivant le plan
moyenne et antérieure en haut, en suivant le plan interne, jusqu'à la
partie
postérieure en bas. Appliquée profondément dans l
équente de toutes parmi les grandes artères. C'est de préférence à la
partie
moyenne, où elle est plus facile à atteindre avec
la profondeur du vaisseau, son mode dencastrement et l'épaisseur des
parties
, n'a pour ainsi dire pas d'indications spéciales.
faire écarter en arrière par un aide. Ouvrir alors par une piqûre la
partie
moyenne de cette gaîne et prolonger la division a
du grand adducteur, au fond duquel est le faisceau vasculaire fémoral
partie
au -dessus et partie dans l'intérieur du canal fé
u fond duquel est le faisceau vasculaire fémoral partie au -dessus et
partie
dans l'intérieur du canal fémoro-poplité. Avant d
der et le recevoir sur l'ongle de l'indicateur gauche qui déprime les
parties
molles sur le bord antérieur. Enfin introduire de
roit pour sa grande profondeur. 2° Ligature sous le couturier, à la
partie
moyenne ou au tiers supérieur (pl. 39, fig. 2 et
une modification d'une même opération, de lier l'artère fémorale à la
partie
moyenne ou au tiers supérieur de la cuisse. Sans
urier ou indifféremment sur l'un ou l'autre de ses bords ; enfin à la
partie
inférieure du même espace, correspondant au plan
les préceptes. A. Partie inférieure de l'espace sous le couturier (
partie
moyenne de la cuisse). Procédé de M. Roux. Déprim
e mis à découvert dans la plaie, se conduire comme précédemment. C.
Partie
supérieure de l'espace sous le couturier (quart s
rois ou quatre centimètres près la même que celle qui s'effectue à la
partie
supérieure de l'espace sous le couturier. Nous n'
Artère fessière. Situation. L'artère fessière sort du bassin parla
partie
supérieure de la grande échancrure sciatique, pla
être liée en plusieurs points : au poignet, au tiers inférieur, à la
partie
moyenne ou au tiers supérieur de lavant-bras. i
uille ou la sonde de dehors en dedans ou vers soi. y Ligature cï la
partie
moyenne ou au tiers supérieur de l'avant-bras.
règles ultérieures varient, suivant le lieu de la ligature. A. A la
partie
moyenne de l'avant-bras. Déprimer et refouler e
e cannelée quand on a atteint la face postérieure. B. Ligature à la
partie
supérieure de l'avant-bras. Pratiquée une fois
où existe la lésion : le pli du bras au-dessus de sa bifurcation, sa
partie
moyenne, et son extrémité supérieure à la sortie
soi, puis faire la ligature comme à l'ordinaire. 2" Ligature ¿1 la
partie
moyenne du bras (pl. /\a ). Le membre placé comme
reportée plus haut, soit à 1 axillaire en pressant sur l'humérus à la
partie
inférieure de l'aisselle, soit, ce qui offre plus
ent de dedans en dehors en évitant le nerf médian. 3° Ligature à la
partie
supérieure du bras (pl. 42, fig. 1 ) '. Procédé
pour relâcher les muscles. Dans l'examen de la situation relative des
parties
contenues dans la plaie, à partir du coraco-brach
tronc et tourner l'humérus vers l'adduction pour mettre toutes les
parties
dans le relâchement, puis insinuer dans la plaie
t en arrière sont les nerfs médian, musculo-cutané et radial, et à la
partie
supérieure est la veine céphalique qui traverse l
e soin que l'on mette à absterger, le sang néanmoins qui recouvre les
parties
en rend la distinction très vague: enfin, pour pe
r qui la sépare de l'artère. De la superficie vers la profondeur, les
parties
que l'on rencontre en incisant sont : i° la peau
ire absterger avec soin la plaie pour pouvoir toujours distinguer les
parties
qui s'y présentent. Parvenu sur l'aponévrose de r
claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien saillante dans la plaie. Les
parties
écartées comme il a été dit. plus haut, reconnaît
s inverse , mais à très petits coups , de manière à voir toujours les
parties
avant de les diviser, et préalablement reconnaîtr
, qui la recouvre à l'extérieur , au-dessous du nerf hypoglosse, ces
parties
elles-mêmes étant recouvertes par le ventre masto
le nerf grand hypoglosse et le tronc veineux linguo-facial, puis, ces
parties
étant fixées par la pulpe de l'indicateur, avec l
omme lieu habituel d'élection on choisit, comme étant plus facile, la
partie
supérieure sur le côté du cartilage thyroïde : ma
té, en cas de tumeur anévrismale, on a souvent besoin de la lier à sa
partie
inférieure, au plus près de son origine. Manuel
au plus près de son origine. Manuel opératoire. i° Ligature à la
partie
supérieure (pl. 45 , fig. i. A et A3). Le malad
chapper au dehors quand le parallélisme est détruit par le retour des
parties
à leur situation. En réalité il n'y a d'autre ang
n dehors, le trajet est direct d'avant en arrière. 2° Ligature à la
partie
inférieure. Procédé de M. Sédillot (pl. fig. 2.
2. G et G 2 ). L'objet de l'auteur est d'aller chercher l'artère à la
partie
inférieure clu cou, derrière le faisceau sternal
de de léser les nerfs cardiaques et le récurrent; puis, contenant ces
parties
avec l'extrémité du doigt, insinuer dans ce sens
rsant le plan moyen, nous paraît la meilleure , en ce qu'elle met les
parties
mieux à découvert et permet de voir dans la plaie
f pneumo-gastrique, le récurrent et les filets cardiaques. Toutes ces
parties
doivent être écartées en dehors de la plaie: si,
éterminer par le toucher le bord externe du muscle sterno-pubien à sa
partie
inférieure. Dans ce sillon, à cinq centimètres au
r lieu qu'aux accidens généraux de suspension de circulation dans les
parties
situées au-dessous; et l'isolement du membre lui-
ns la masse intestinale. Un aide est chargé de comprimer 1 aorte à sa
partie
inférieure, et le chirurgien est placé, en dehors
nsVersalis étant mis à nu, ne faire que l'entr ouvrir sur un pli à la
partie
inférieure, le séparer en dessous du péritoine av
ation de M. Roux a plutôt pour objet de permettre la ligature vers la
partie
moyenne ou supérieure. Le procédé de sir A. Coope
océdé de sir A. Cooper ne permet de lier avec facilité que jusqu'à la
partie
moyenne, et enfin celui de Bogros limite son acti
'à la partie moyenne, et enfin celui de Bogros limite son action à la
partie
inférieure au-dessus de l'arcade crurale. D'où il
ce. Enfin M. Malgaigne propose une modification pour la ligature à la
partie
supérieure , mais elle nous paraît comprise clans
se garde d'ouvrir les anévrismes si elles ne sont fort petites et en
partie
non dangereuses; coupant le cuir au-dessus, le sé
n, enseignant au chirurgien de « découvrir l'artère vers sa racine et
partie
supérieure, et la lier sans autre cérémonie (in-f
l'hémorragie, et se débarrasser de la tumeur dont le volume gêne les
parties
. Toutefois Guy de Chauliac, le premier, ose négli
t de mettre les muscles dans le relâchement par la demi-flexion de la
partie
malade. Enfin le meilleur argument contre le proc
mes énoncées pour chaque lieu , inciser parallèlement, par plans, les
parties
qui recouvrent la tumeur, en étendant la division
en place, comme il a été dit précédemment, aux deux extrémités de la
partie
ou de la région que l'on veut faire traverser par
ppareil étant chargé, d'en offrir les deux pôles aux extrémités de la
partie
sur laquelle on veut agir. Naguère M. Coster a fa
hénomènes très variés, suivant sa forme, sa situation par rapport aux
parties
lésées, le degré de sensibilité, le nombre et la
et des biscaïens encastrés depuis longues années dans l'épaisseur des
parties
molles. Nous avons vu fréquemment Dupuytrcn extra
c force dans la direction de son axe, en faisant fixer et contenir la
partie
malade parties aides ou, si l'on est seul, en la
a direction de son axe, en faisant fixer et contenir la partie malade
parties
aides ou, si l'on est seul, en la repoussant soi-
auf toutes les précautions que commande la composition anatomique des
parties
. Si, au contraire, sa position est ignorée, sonde
u'avec ces précautions on n'arrive pas sur le corps étranger. 2° La
partie
mise en situation convenable, procéder à l'extrac
gé de stries de sang en quantité proportionnée à la vascularité de la
partie
. On aide à la sortie du liquide par de légères pr
incision de manière à ce que l'une de ses extrémités corresponde à la
partie
déclive de la plaie. 3° Si l'abcès communique au
ent des tissus. Armé d'un bistouri convexe, diviser plan par plan les
parties
qui recouvrent le foyer en reconnaissant par le t
inctement à toute proéminence et à toute augmentation de volume d'une
partie
quelconque, comme il s'y applique encore aujourd'
su affecté. Mettant à part les maladies causées par un déplacement de
parties
(luxations, hernies, déviations), les inflammatio
oints de la face; aux membres, elles se trouvent plus souvent sur les
parties
exposées à des frottemens : au membre thoracique,
le grisâtre ou à des grumeaux caséeux. On en rencontre sur toutes les
parties
du corps, mais ils sont surtout communs au crâne.
aisserait, en l'extirpant, une plaie d'une grande surface, faire à la
partie
déclive de la tumeur une large ponction par laque
es orteils. Dans l'un comme dans l'autre cas ils sont divisés en deux
parties
et comme étranglés par le ligament annulaire soit
rement sans cause connue, on rencontre de ces tumeurs dans toutes les
parties
du corps. Indolentes, dures, de forme globuleuse
ormité produite par le naevus. Voici en quoi consiste son procédé. La
partie
étant lavée à l'eau de savon, on irrite le naevus
onc artériel principal, de manière à suspendre la circulation dans la
partie
malade, diviser la tumeur dans l'étendue de son p
ine aussitôt l'affaissement de toute la masse. Si, par exception, une
partie
de la tumeur restait à l'état de turgescence, l'o
les nombreuses anastomoses de ces tumeurs, qui en rendent toutes les
parties
solidaires, nous n'aurions pas une grande confian
eté, d'en enlever une certaine épaisseur. 3° Dans la dissection des
parties
, pour abréger la douleur on incise à grands coups
ible d'opérer immédiatement sur les os sans diviser en même temps les
parties
molles qui les recouvrent. Ainsi, cette observati
s non consolidées, dans lesquelles les fonctions du membre étaient en
partie
conservées, avaient pu instruire le chirurgien su
u genou en dedans. M. Barton (pl. 5o, fig. 4) pratiqua d'abord sur la
partie
la plus saillante du grand trochanter une incisio
20 le heu de la section sera soigneusement dénudé du périoste et des
parties
molles environnantes, parce cpie, outre les accid
ertains os spongieux, de forts scalpels, qui ne diffèrent de ceux des
parties
molles que parce qu'ils sont plus solides et plus
ves (pl. 55, fig. 20, 21, 22) sont aux os ce que les ciseaux sont aux
parties
molles; en effet, ce sont de véritables ciseaux b
deux bouts de la fracture ont été mis à découvert par la division des
parties
molles, qu'ils ont été séparés de leurs moyens d'
l s'en servit pour conduire un bistouri boutonné destiné à couper les
parties
molles incomplètement divisées et mettre à nu le
sur les deux extrémités du membre, il fallut agrandir l'incision des
parties
molles et scier los plus avant. Une seconde tenta
ige fine d'acier montée sur un vilebrequin. Il pénétra au travers des
parties
molles à un pouce (vingt-sept millimètres) en deh
ente de l'exostose, mais par suite de la disposition particulière des
parties
qui environnent ou supportent la tumeur. Ces diff
ire à une exos-tosc profondément située, la nécessité de protéger les
parties
voisines augmentant la difficulté de l'opération,
ion. La tumeur ayant été préalablement mise à découvert, plonger à sa
partie
la plus déclive un bistouri épais et solide pour
oduits de la suppuration sont expulsés vers les trajets fistulcux des
parties
molles par des orifices de l'os nouveau improprem
os nécrosé pour en faciliter l'extraction. Le malade étant couché, la
partie
sur laquelle on opère appuyée sur un plan solide
lide et fixée par des aides, on choisit, pour inciser, le lieu où les
parties
molles ont le moins d'épaisseur, puis on met à nu
. Manœuvres préparatoires. Une incision préalable étant faite sur les
parties
, en V ou enT, cruciale ou elliptique, suivant le
du tissu osseux indiquent que l'on a atteint la limite du mal. Si les
parties
molles qui recouvraient la carie paraissent à un
. Le chirurgien est continuellement obligé d'absterger, d'écarter les
parties
molles, et, malgré toutes ces précautions, il lui
mencer, l'essentiel est de bien protéger de l'action du calorique les
parties
voisines que le cautère ne doit pas toucher. Le m
e canule dont il est facile d'adapter la forme à la configuration des
parties
; on en renverse les bords pour protéger les lambe
ation a pour but d'enlever entièrement par l'instrument tranchant les
parties
affectées de carie. Pour les petites résections p
a à cette découverte. Chez les Grecs l'art de trépaner constituait la
partie
principale du traitement des plaies de tête, et a
nis à ceux de Guillaume de Salicet et du célèbre Lanfranc sont-ils en
partie
infructueux ; et l'opération du trépan, comme dés
lans le mérite facile d'inventer des instrumens nouveaux. Une fois la
partie
mécanique de l'opération perfectionnée, les espri
néral de ne pas porter le trépan au niveau des sinus frontaux, sur la
partie
moyenne du frontal, sur les sutures des os du crâ
sible sur le vivant à cause du sang qui s'écoule et rougit toutes les
parties
. Il convient donc de retirer de temps en temps la
à ce qu'il trouve que le sillon pénètre en plusieurs points et que la
partie
osseuse circonscrite est mobile sous la pression
rtain que la table interne de l'os est séparée. 3° Extraction de la
partie
osseuse détachée par' le trépan. Lorsque le disqu
es; Blégny, Saviard, La Vauguyon en rapportent d'autres où une grande
partie
de la voûte du crâne avait été enlevée. Enfin il
la solution de continuité de l'os. On rabat ensuite les lambeaux des
parties
molles en relevant entre les lèvres de la plaie l
la poitrine, se confond presque partout avec les résections, dont la
partie
instrumentale est maintenant parvenue à un si hau
ins considérable d'un ou de plusieurs os dans le but de conserver les
parties
restées saines, et d'éviter au malade les grandes
d'un membre ou de l'une de ses fractions. Historique. Conserver en
partie
les leviers que les os prêtent à l'appareil locom
de chirurgie, que « lorsqu'une maladie réside principalement dans la
partie
supérieure de l'humérus on ne doit dénuder et sci
lorsque le fémur est seul affecté, on mette à nu l'articulation et la
partie
malade, en pratiquant une incision longitudinale
et la partie malade, en pratiquant une incision longitudinale sur les
parties
latérales du genou, afin de faire sortir la tête
n France, en Angleterre et en Allemagne, qu'il est aujourd'hui peu de
parties
de la médecine opératoire aussi riches en matéria
ion rapide : la douleur causée par la section franche et complète des
parties
finit avec l'opération. En outre, à la suite d'un
d'une amputation , la plaie qui en résulte est régulière; l'état des
parties
, ordinairement saines et nettement divisées, la p
courcissement existe également; et si le membre a conservé une grande
partie
de ses mouvemens, ce n'est toutefois qu'aux dépen
varient encore suivant le siège de l'opération et suivant l'état des
parties
molles. Dans la continuité de la diaphyse des os
re que les surfaces osseuses réséquées sont plus étendues. Etat des
parties
molles. Moieau père jugeait l'opération possible
amené l'épuisement et même la mort des malades. Il faut donc que les
parties
molles ne soient pas trop gravement altérées, et
vexes, les pinces à dissection, pour la dissection et la division des
parties
molles; le bistouri boutonné, qui sert à dénuder
ui doivent être glissées entre les os et les chairs pour protéger les
parties
voisines pendant qu'on fait la section de l'os.
our qu'ils puissent encore, après l'opération, transmettre la vie aux
parties
situées au-dessous. C'est ainsi cpie dans la cont
en dehors, les vaisseaux et les nerfs étant généralement situés à la
partie
interne des membres ; dans les articulations g in
ions plus ou moins stériles et difficiles à retenir. Dissection des
parties
molles, dénudation des os. Ce temps opératoire s'
ison de l'altération des os, de l'indu ration et de l'engorgement des
parties
molles au milieu desquelles il faudra trouver et
le volume et la disposition des os. Si la carie se prolonge dans les
parties
spongieuses de l'os, au delà de la section on enl
atteint par la carie. Il est inutile de dire qu'il faut protéger les
parties
molles contre l'action des instrumens en glissant
sang et gêneraient l'opérateur. Pansement. Il consiste à mettre la
partie
opérée dans les conditions les plus favorables po
n laissant les os légèrement écartés. La solution de continuité des
parties
molles sera réunie à l'aide de quelques points de
llée; mais, comme on doit s'attendre à une suppuration inévitable, la
partie
la plus déclive de la plaie sera laissée béante p
cuper. RÉSECTIONS EN PARTICULIER. MEMBRE THORACIQUE. Toutes les
parties
de la main sont si importantes pour les mouveinen
alange en arrière et circonscrire, aussi exactement que possible, les
parties
altérées. L'opération à ce point, pratiquer la se
au-dessous de l'os une plaque de bois ou de carton pour protéger les
parties
molles. Si la tête du métacarpien était malade, o
ongitudinale ou cruciale sur la face dorsale de l'os, au niveau de la
partie
que l'on veut enlever : les tendons extenseurs, m
la moitié inférieure de l'os. Après avoir convenablement protégé les
parties
molles au moyen d'une petite compresse longue pas
longue passée au-dessous clu métacarpien, on fait la résection de la
partie
malade avec la pince cle M. Liston ou avec la sci
ent cle l'os réséqué d'avant en arrière en achevant de le séparer des
parties
molles. Lorsque l'ablation porte sur le premier
e de maintenir le doigt et de le rendre susceptible cle recouvrer une
partie
cle ses mouvemens. 4° EXTIRPATION DES OS DU CAR
ssé dans l'espace inter-osseux une compresse longue pour protéger les
parties
molles. La section cle l'os étant opérée de dedan
plaies résultant cle ces deux temps opératoires sont séparées par une
partie
de peau intacte qui occupe le dos du poignet et p
bord interne clu cubitus; séparer ensuite avec précaution les os des
parties
molles : attaquer d'abord le cubitus en divisant
vers l'avant-bras et la main, de les isoler clans toute l'étendue des
parties
malades. Pour isoler la masse dermo-tendineuse
souvent d'en ménager les extrémités articulaires en n'enlevant que la
partie
moyenne de son corps, lorsqu'elle est fracassée p
s, les chairs étant convenablement écartées par des aides, dénuder la
partie
moyenne de l'os, glisser, à l'aide d'un conducteu
ous de la saillie olécranienne; au travers de cette plaie, isoler des
parties
molles et enlever les trois extrémités osseuses d
aintenu relevé par un aide. Détacher ensuite avec précaution, sur les
parties
latérales et sur la face antérieure de l'humérus,
sur les parties latérales et sur la face antérieure de l'humérus, les
parties
molles jusqu'à une hauteur déterminée par l'étend
eau lambeau quadrilatère qui en résulte; puis isoler entre eux et des
parties
environnantes le radius et le cubitus, passer au-
inq à sept centimètres (deux pouces à deux pouces et demi) et dont la
partie
moyenne tombe sur le condyle interne. Le nerf cub
s os. On résèque les surfaces articulaires malades, en totalité ou en
partie
, suivant le besoin, au moyen d'incisions longitud
forcer de se luxer en dehors à travers la solution de continuité des
parties
molles. L'issue de la tête de l'os opérée, détrui
des altérations pathologiques. Comme c'est le plus souvent l'état des
parties
molles qui commande la forme de l'incision ou du
de. Sabatier. Le malade convenablement disposé, tracer le long de la
partie
antérieure et de la partie externe de l'épaule de
nvenablement disposé, tracer le long de la partie antérieure et de la
partie
externe de l'épaule deux incisions de cinq à six
ose un autre procédé par incision simple, qui consiste à faire sur la
partie
interne du moignon de l'épaule une incision verti
sser une incision nu! se dirige parallèlement à l'axe du bras vers la
partie
antérieure du moignon de l'épaule. Du premier cou
avec un couteau inter-osseux, saisi cle la main droite, pointer à la
partie
postérieure de l'articulation de l'épaule, à quat
ermo-musculaire externe et supérieur, formé par la peau et la majeure
partie
de la masse charnue du deltoïde. — Second temps.
du creux axil-laire et de tous les vaisseaux et nerfs importans. Les
parties
ainsi protégées et écartées laissent dans la plai
ant et fit chevaucher l'extrémité interne de la clavicule derrière la
partie
supérieure du sternum, de manière à comprimer l'œ
centimètres) de sa surface articulaire, et, pour éviter la lésion des
parties
voisines, il plaça une lame de cuir battu au-dess
lation comme un levier, soulever l'os malade et le détacher ainsi des
parties
saines. S il eût offert trop de résistance, une s
posant qu'il fût trop enfoncé, il faudrait l'isoler soigneusement des
parties
molles en avant et en arrière, glisser sous sa fa
suivante : une incision longitudinale fut faite sur la clavicule; les
parties
molles environnantes furent isolées, et avec la s
ineuse et dépendante de l'os, M. Janson fit la résection d'une grande
partie
de l'omoplate «par le procédé suivant. Il circons
olidité, il n'est guère possible de réséquer ou d'extraire une de ses
parties
sans nuire considérablement à la station; d'un au
ment à la station; d'un autre côté le tarse, qui forme la plus grande
partie
du pied, est composé d'os courts dont la structur
SECTION DU PREMIER OS MÉTATARSIEN. On peut faire la résection d'une
partie
ou pratiquer l'ablation complète cle cet os. Les
, attirer et luxer la tête de l'os, et en même temps l'isoler sur les
parties
latérales avec le bistouri. Il ne reste plus alor
le bistouri. Il ne reste plus alors qu'à protéger convenablement les
parties
molles et à pratiquer, au moyen d'une scie cultel
d'une scie cultellaire ou mieux de la scie à chaîne, l'ablation de la
partie
malade en sciant l'os perpendiculairement à son a
ifiée; c'est ainsi qu'en raison des adhérences et de l'induration des
parties
molles qui recouvraient l'os M. Barbottin fit une
s. Un jeune homme de seize ans portait un engorgement chronique de la
partie
externe du pied, au niveau de la jonction du tars
s du pied, et donnaient issue à une suppuration assez abondante : les
parties
molles de la plante du pied étaient saines. M. Ve
externe, et enleva également la base du cinquième métatarsien et une
partie
de celle du quatrième. L'opération fut rapidement
sculpter son tissu avec la gouge et le maillet afin de conserver, en
partie
au moins, les insertions fibreuses du tendon d'Ac
autre procédé qui consiste à tailler un large lambeau semi-lunaire de
parties
molles, de direction variable selon que la maladi
extrémités inférieures des deux os de la jambe conjointement avec la
partie
supérieure de l'astragale, ou bien se borner à l'
et permettra de scier le péroné de dedans en dehors en ménageant les
parties
voisines. Il ne reste plus qu'à faire basculer le
nalogue à la précédente et renversé le lambeau, on détache les os des
parties
molles antérieures qui forment un pont sous leque
nt, avec le bistouri, la face antérieure du péroné, et on dénudera la
partie
antérieure de l'articulation aussi loin que possi
de se rencontrer. L'opération à ce point, glisser entre les os et les
parties
molles détachées une petite compresse longuette q
présente pas d'altération, autrement il serait facile d'en enlever la
partie
supérieure à l'aide du ciseau et du maillet ou pr
s de la jambe, cette condition permet d'enlever sans inconvénient une
partie
considérable de sa diaphyse ou son extrémité supé
arter les lèvres de la plaie pendant que le chirurgien isole l'os des
parties
molles en avant, en arrière et en dedans, afin de
terminé Moreau à leur appliquer le même procédé de résection. Sur les
parties
latérales du genou tracer deux incisions longitud
ce antérieure du fémur à découvert. On porte alors le bistouri sur la
partie
postérieure, et on divise les chairs en rasant ex
e plaque protectrice de bois ou de cuir bouilli est glissée entre les
parties
molles et la face postérieure du fémur, dont ont
Procédé de White. Suivant Briot, ce procédé consiste à pratiquer à la
partie
supérieure et externe de la cuisse une grande inc
er une seconde incision transversale et profonde se dirigeant vers la
partie
postérieure et interne de la cuisse. On obtient a
incipes généraux qu'on ne doit pas perdre de vue. Ainsi on évitera en
partie
la section des filets clu nerf facial, qui donnen
nent le mouvement aux muscles de la face, en dirigeant l'incision des
parties
molles parallèlement aux rameaux cle ce nerf. Par
e et conséquemment la paralysie du sentiment et du mouvement dans une
partie
plus ou moins considérable cle la face : c'est po
la région postérieure de la joue, cet auteur prescrit d'attaquer les
parties
qu'on veut extirper en faisant une incision sur l
ême manière l'os unguis et l'apophyse montante, 4° dénuder toutes les
parties
molles qui unissent l'aile du nez à la mâchoire,
opérer facilement la disjonction de ces os entre eux, 5° détacher les
parties
molles du plancher de l'orbite et porter les cise
c un bistouri ou des ciseaux courbes le voile du palais et les autres
parties
molles qui maintiendraient encore le maxillaire.
4)- artères qui fournissent du sang ayant été tordues ou liées et la
partie
convenablement nettoyée, on laisse dégorger les t
terne de l'orbite, il fit une autre incision verticale qui divisa les
parties
recouvrant le dos du nez, ouvrit la narine de ce
ez, ouvrit la narine de ce côté et sépara la lèvre supérieure en deux
parties
: joignant alors ces deux incisions, il abaissa l
adie détermine la quantité d'os qu'on excisera ; on pourra enlever la
partie
moyenne du corps, la branche ascendante ou la tot
ine dans une assez grande étendue, afin de recouvrir complètement les
parties
d'os réséquées; que les glandes du cou et de la r
énéral les opérations minutieuses et délicates. 111 Résection de la
partie
moyenne du corps de la mâchoire (pl. 65, fig. 1).
vec le bistouri boutonné, sur la face interne de l'os, une étendue de
parties
molles suffisante pour le passage de la scie, qui
ée, il ne s'agit plus que de nettoyer la plaie en enlevant toutes les
parties
altérées qui auraient échappé. Les vaisseaux des
t toutes les parties altérées qui auraient échappé. Les vaisseaux des
parties
molles sont tordus ou liés; si l'artère dentaire
Les deux lambeaux sont rapprochés sur la ligne médiane et réunis à la
partie
supérieure par la suture entortillée et à la part
ne et réunis à la partie supérieure par la suture entortillée et à la
partie
inférieure avec une suture à points séparés, en m
rieure avec une suture à points séparés, en ménageant toutefois, à la
partie
la plus déclive, une petite ouverture où l'on pla
rive plus sur la ligne médiane, et déplace ainsi la cicatrice sur les
parties
latérales. 2° Résection avec désarticulation du
culation dune moitié de l'os maxillaire. La forme de l'incision des
parties
molles devra varier suivant le volume de la tumeu
près cette opération, les attaches des muscles génio-glosses étant en
partie
conservées, on n'a pas à craindre la rétraction d
evé en haut et confié à un aide. Après avoir détaché les chairs de la
partie
postérieure, le chirurgien pratique de chaque côt
oyen d'une nouvelle section qui diviserait la lèvre inférieure sur la
partie
moyenne. On obtiendrait de cette façon deux lambe
lement, pour avoir plus de facilité, de commencer à scier l'os sur la
partie
moyenne: ce qui transforme ce procédé en une doub
chirurgien la pratiqua pour un cancer du thorax. Il eut à enlever la
partie
moyenne de quatre côtes dans l'étendue de plusieu
iser par des topiques de toute espèce. Ces séparations naturelles des
parties
mirent donc peu à peu sur la voie d'une opération
odore expose toute une théorie des amputations, combat l'incision des
parties
molles d'un seul coup, et veut qu'on coupe en der
arties molles d'un seul coup, et veut qu'on coupe en dernier lieu les
parties
qui contiennent les gros vaisseaux. Galien commen
troduisit l'usage du stylet (tenta) pour s'assurer de la vitalité des
parties
; Guy ne fit donc qu'appliquer aux amputations cet
es Latins) est généralement définie : l'ablation d'un membre ou d'une
partie
|de membre, clans la continuité ou la contiguïté,
, de son exécution, et de ce qui la suit. La première et la troisième
partie
sont entièrement du ressort de la chirurgie, nous
ci dans une certaine étendue et le sciait plus haut que le niveau des
parties
molles, afin qu'elles pussent le recouvrir. La
lement, au lieu de les pratiquer aux dépens cle toute l'épaisseur des
parties
molles, M. Sédillot, suivi par d'autres chirurgie
la continuité, les deux lambeaux doivent être achevés, et toutes les
parties
molles coupées, avant d'attaquer l'os. Dans les d
n le premier lambeau : cette règle est appuyée sur la disposition des
parties
molles, et sur la plus grande facilité qui en rés
ons, pour opérer sur des fractions cle membre inégalement pourvues de
parties
molles, ou dont la forme est un peu plate, comme
d'inciser cle dehors en dedans; d'une autre, de conserver autant cle
parties
molles qu'il est nécessaire: enfin, elle procure
sur la face du membre qui est le moins garnie de muscles, afin que la
partie
la plus épaisse soit plus solidement assujettie p
tre espèce d'amputation. La forme aplatie des doigts, l'épaisseur des
parties
molles à la face palmaire, font que dans la mét
On met en usage la méthode circulaire ou à lambeau suivant l'état des
parties
molles. Des bistouris, une pince, une petite scie
s intéresse spécialement à cause de la disposition correspondante des
parties
molles; s'il en résulte inoins de simplicité dans
est mis à nu, puis scié ou excisé. Nous croyons que, si la lésion des
parties
molles l'exigeait, on pourrait très bien former u
liquer la méthode ovalaire, en dirigeant la pointe de l'ovale sur les
parties
molles qui l'unissent au premier métacarpien. T
rement à l'axe clu métacarpien, diviser d'arrière en avant toutes les
parties
molles jusqu'à la commissure, reporterie bistouri
suivant cette même incision, couper, comme dans le premier temps, les
parties
molles jusqu'à l'autre commissure, scier ou excis
doit exposer aux accidens les plus graves à cause de l'épaisseur des
parties
intéressées. Du reste la cicatrisation est longue
, nous paraît inexécutable. Effrayés par la présence cle tendons à la
partie
inférieure, J.-L. Petit, Garengeot et M. Larrey p
tation cle l'avant-bras le plus bas possible. L'artère radiale à la
partie
inférieure de l'avant-bras se trouve au côté exte
la peau, et couper du même coup jusqu'aux os, en incisant toutes les
parties
molles qui dépassent la fosse inter-osseuse. On
ligament inter-osseux, tournent le tranchant en haut et divisent les
parties
molles profondes, perpendiculairement du centre à
diviser toutes les chairs adhérentes, retirer le couteau, inciser les
parties
molles attachées au radius, reporter sous le memb
, taille un lambeau antérieur et coupe circulairement les chairs à la
partie
postérieure. Vermale, au contraire, suivi par Le-
section des chairs et scie les os. M. Baudens, au contraire, pour la
partie
inférieure de l'avant-bras divise la peau circula
ouvaient les malades. L'amputation circulaire bien faite donne à la
partie
inférieure une quantité suffisante de peau pour b
s os et les tendons, et former u::c cicatrice prompte et solide. A la
partie
supérieure on a des chairs en assez grande quanti
si c'est à la région dcltoïdiennc. Un aide est chargé de retirer les
parties
molles après leur section, un autre soutient la f
la peau tirée en haut, le couteau porté par-dessous le membre sur la
partie
moyenne du biceps, inciser circulaircnicnt et d'u
auche pour le bras droit et de la main droite pour le bras gauche, la
partie
inférieure du membre. De la main restée libre il
quelques procédés qui reviennent en définitive à se procurer assez de
parties
molles pour avoir un moignon régulier : le prin
e disséquer, le relever, couper circulairement à sa base le reste des
parties
molles et scier l'os. On pourrait, du reste, ét
sur l'humérus, entre les fléchisseurs et le triceps. En haut et à la
partie
moyenne il faut lier aussi la collatérale externe
et la sécrétion de la sueur, et enfin l'abondance et la vitalité des
parties
molles de cette région,font une règle bien positi
parce qu'il faut se réserver la latitude de n'enlever au pied que les
parties
absolument impossibles à conserver, et qu'ensuite
i, d'un côté, l'union du premier métatarsien avec les autres, par des
parties
molles resserrées dans un étroit espace, rend son
aisir avec le pouce, l'indicateur et le médius de la main gauche, les
parties
molles du côté interne et les attirer fortement e
rs de la plaie par une incision circulaire qui intéressait toutes les
parties
molles, sciait l'os d'après l'ancienne méthode, c
s en avant du point où les os seront sciés; et intéressant toutes les
parties
molles j usqu'aux os, disséquer et relever le lam
re qu'un interne; en un mot combiner les incisions suivant l'état des
parties
molles, pour en conserver la plus grande quantité
doit être linéaire. Amputation ovalaire du premier métatarsien. Les
parties
molles incisées comme il vient d'être dit, abaiss
atarse tout entier. On conforme la largeur de l'ovale à l'étendue des
parties
qu'il doit embrasser; cle la pointe on fait parti
er toujours et partout la scie, sans s'inquiéter des petits os et des
parties
ligamenteuses qu'elle aura à diviser. Manuel op
'abord la présence de deux os dont les rapports entre eux et avec les
parties
molles entraînent des particularités opératoires
bordent, et qui nécessitent l'emploi d'un instrument particulier. Les
parties
molles, réduites aux tégumens sur l'arête du tibi
le moins d'épaisseur et de résistance, tant à cause de la rareté des
parties
molles que du rapprochement et du peu de volume d
diviser les chairs inter-osseuses, passer le rétracteur, remonter les
parties
molles à une égale hauteur et scier les os sans s
réunion de la plaie doit autant que possible remédier à l'absence des
parties
molles en avant; inconvénient qui se trouve encor
e des os (Richerand), en laissant la peau retomber sans effort sur la
partie
antérieure du tibia, en facilitant l'issue du pus
e chiffre, passer la compresse-rétracteur, scier les os, rabattre les
parties
molles, appliquer le lambeau sur toute la surface
e bord interne du tibia, l'autre sur le péroné, comprenant toutes les
parties
molles : disséquer les lambeaux de bas en haut, c
ption d'après lui : ce chirurgien attire fortement les tégumens de la
partie
antérieure et. plonge son couteau du bord antérie
cuté sur le vivant. Incision circulaire comprenant Sfa toutes les
parties
molles, à quatorze millimètres en dedans de la cr
a nécessité de les recouvrir en grande partie d'avant en arrière, les
parties
molles ayant plus d'espace à parcourir dans ce se
atéraux, qui, d'une part, ne fournissent pas de chairs sur une grande
partie
du tibia, et qui, d'une autre, exposent cet os à
aperçus cliniques, que nous regardons comme les seuls valables. Cette
partie
delà question a été sagement discutée par M, Gara
question a été sagement discutée par M, Garavel, qui nous fournit une
partie
de nos argumens. Au lieu d'élection, sans parle
édés doit être réglé sur la nature et la hauteur de la lésion. Si les
parties
molles antérieures étaient altérées, on pourrait
surtout délabrés en arrière, on inclinerait fortement la scie vers la
partie
postérieure des tubérosités. La méthode circula
is. Enfin V. Onsenort propose de couper d'abord et d'un seul coup les
parties
molles de la face interne et postérieure de la cu
ravail de cicatrisation ; il faut alors laisser après les muscles une
partie
de cette graisse. La longueur du lambeau périphér
, et, la pointe toujours en contact avec l'os, achever la section des
parties
molles de la même manière. Procédé de Valentin.
ur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse, couper les chairs de la
partie
antérieure et interne; le membre dans l'adduction
se fléchie sur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse, diviser les
parties
molles des faces externe et postérieure. Procéd
haut pour inciser circulairement, au-dessous de la rotule, toutes les
parties
molles , comme pour entrer dans l'articulation à
. Du reste on peut, suivant les indications fournies par l'état des
parties
molles surtout, ou par la hauteur de la lésion du
de M. Malgaigne. Il est fondé sur ce principe : que les muscles de la
partie
interne et postérieure étant plus retráctiles que
érée en trois temps, figure un ovale dont une extrémité repose sur la
partie
antérieure et externe, et l'autre sur la face pos
t postérieurs qu'il faut se prémunir, mais contre celle de toutes les
parties
molles qui entourent le membre. AMPUTATIONS DAN
ielle c'est la séparation des surfaces osseuses, et les incisions des
parties
molles ont dû être calculées, avant tout, pour fa
formes variées que prend le membre, les dispositions irrégulières des
parties
molles au niveau des jointures, la diversité des
faire quelques groupes généraux. C'est ainsi qu'on simplifiera cette
partie
delà médecine opératoire en comparant entre elles
que dans la première la forme du membre est autant déterminée par les
parties
molles que par l'articulation elle-même, et que d
ont difficulté de couper en la jointure ou près d'icelle, à cause des
parties
nerveuses; toutes fois, d'autant qu'on les coupe
i°surla difficulté de trouver le joint, à cause de la tuméfaction des
parties
, et de le bien traverser, vu la mutuelle réceptio
pe en la jointure; si elle est plus bas, qu'on tranche plus bas en la
partie
saine. » Fienius de Chir. contr. (tract. XI), t
lation de l'épaule et de la hanche quand la corruption gagnait les
parties
supérieures de la cuisse (fenioris) et du bras (b
de la forme de l'articulation, et son peu de profondeur au milieu des
parties
molles.. Autrement les méthodes à lambeaux ou ova
oute si sûre au couteau, nous devons en même temps reconnaître que la
partie
chirurgicale des désarticulations a surtout été é
on précise n'est pas moins nécessaire pour ménager convenablement les
parties
molles que pour faciliter l'ouverture de l'articu
herche là où elles sont le plus évidentes, en déprimant fortement les
parties
molles saines ou engorgées. 2° Assigner les pli
ulation que par des temps successifs et calculés sur la structure des
parties
. Marquer du pouce et de l'indicateur les deux e
l'opérateur pour traverser sûrement l'articulation. 3° Ménager les
parties
molles. La méthode circulaire donne, pour recou
re sur les surfaces cartilagineuses, quand même il n'y a pas assez de
parties
molles pour les recouvrir; mais pour les désartic
conséqueinment avec bénéfice pour les mouvemens, une soustraction de
parties
qu'il faudrait étendre à la fraction supérieure d
, reçoit son application spéciale dans les cas où le mauvais état des
parties
sur la face palmaire ne permet pas de tailler un
nécessité toutes les fois qu'il existe sur une des faces un dégât des
parties
molles qui force à revêtir la plaie avec un lambe
gts delà main gauche, et attire en avant, la plus grande épaisseur de
parties
molles, puis, par une ponction de la face dorsale
doit diviser du premier coup la peau, le tendon long extenseur et une
partie
du premier muscle inter-osseux. L'articulation ét
stouri derrière et séparer cet os de I'éminence thénar en coupant les
parties
molles d'arrière en avant et de dedans en dehors.
de l'apophyse de l'os crochu, le tranchant du bistouri dirigé vers la
partie
moyenne du second os métacarpien. Méthode a un
arrière, en regard de la base du lambeau, diviser horizontalement les
parties
molles sur la face postérieure. 3° Le membre rapp
tendons rotateurs, luxer la tête humérale, et terminer la section des
parties
molles par celle de la moitié postérieure du memb
tion des chairs sur le bord axillaire. Afin de ne pas envahir sur les
parties
molles du thorax, il est utile de les tailler ass
'un aide entre les chairs et terminer en coupant transversalement les
parties
molles au niveau des angles inférieurs des deux i
chairs de recouvrement sont intactes, ou du moins si le désordre des
parties
molles est peu étendu et récent, comme il arrive
s comminutives de l'articulation de l'épaule avec désorganisation des
parties
molles, les caries et les tumeurs avec dégénéresc
x, ils doivent être réservés pour les cas exceptionnels où l'état des
parties
ne permet pas d'appliquer l'un des trois autres.
lation la plus rapprochée du tronc, la plus abondamment environnée de
parties
molles, et celle par conséquent qui donne lieu à
lui de Pérault, chirurgien de Touraine, pour un cas d'attrition de la
partie
supérieure de la cuisse par un timon de voiture;
e pratiquer la désarticulation coxo-fémorale sont : l'attrition de la
partie
supérieure de la cuisse par un projectile ou à la
lie sur le corps de l'os d'un centimètre et demi. 6° Enfin, quant aux
parties
molles en avant : leur épaisseur au-devant de l'a
long couteau droit pratiquer tune incision demi-circulaire qui, delà
partie
externe et supérieure du grand trochanter, descen
t. Pour le second temps: diviser par une incision demi-circulaire les
parties
molles externes et postérieures, puis désarticule
ération. 2° Pour le lambeau interne, refouler avec la main gauche les
parties
molles en dedans, reporter la pointe du couteau à
s deux premières incisions, et terminer d'un seul coup la section des
parties
molles sur la lace externe. Modification de M.
r, en avant et en arrière, les deux incisions obliques qui forment la
partie
supérieure de l'ovale : le reste de l'opération s
TAIRES DE SCLEROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC. PREMIÈRE
PARTIE
PLANCHES L. GUÉRIN, ÉDITEUR DÉPÔT ET VENTE
TION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGURE 1. COUCHE PROFONDE DE LA
PARTIE
LATERALE DU COU, ET DE l/EXTREMITE INFÉRIEURE DE
A FACE. 1° TÊTE. A. Os malaire. 13. Os maxillaire inférieur, la
partie
supérieure de la branche étant enlevée pour montr
gauche, plan musculaire superficiel. Figure i. Même disposition des
parties
au contour. Au centre, on a enlevé les extrémités
figures. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGURES \ ET %
Parties
accessoires. Côté droit : a. Feuillet fibro-cel
uvertes par le péritoine. Du côté gauche le péritoine est enlevé, Les
parties
sont seulement revêtues par leurs aponévroses d'e
. L'objet principal de cette figure est de montrer les rapports des
parties
profondes de la cavité pelvienne, siège de nombre
en arriere. La figure développe l'aisselle proprement dite, et les
parties
cir-convoisines , comprenant, 1° le creux axillai
ET DU MEMBRE THORACIQUE, A DIVERSES HAUTEURS. Figure 1. Plan de la
partie
moyenne cervicale. — Figure 2. Section du bras, a
e l'attache du deltoïde. —- Figure 3. Section de l'avant-bras dans sa
partie
supérieure la plus large. — Figure 4. Section de
s fournies par les vaisseaux péroniers. C. Loge dusoléaire vue à la
partie
supérieure, au profil. D. Loge du jumeau extern
. Portion interne de la loge du jumeau interne, vue au profil. A la
partie
inférieure de la jambe se voient : 1° En dedans :
dessous du fascia-lata. Figure i. — Plan de section horizontale de la
partie
moyenne de la jambe. Figure 3. — Plan de section
. Fig. 7. Troisième position des ciseaux, pour diviser avec force les
parties
épaisses. Pl. 14 . Dessiné d'après nature par
que, portant à plat, le manche puisse s'élever un peu au-dessus de la
partie
où l'on opère. Figure 2. Bistouri convexe. La l
ais souvent en cuivre ou en tout autre métal dans quelqu'une de leurs
parties
, se composent d'une tige ou hampe cylindrique, or
anatomie chirurgicale (tome 6, pl. 10). L'instrument se compose des
parties
suivantes : 1° D'un quart de cercle d'acier (D),
LA SOUS-CLAVIERE, FIGURES 1 ET 2, L'instrument se compose de quatre
parties
principales : Io Une pelotte fixe d'appui (A),
u'elle renferme sert de passage à la pelotte mobile. 4° La dernière
partie
de l'appareil est le levier-coudé qui supporte la
FIGURES I, 2 ET 3. Figure 1. Compression de l'artère numérale, à sa
partie
moyenne, par le tourniquet ou compresseur de J. L
commune fig. 4.) Figure 2. Compression de T artère numérale, ci sa
partie
moyenne, par le garrot. Cet instrument est représ
nterposée entre elle et la plaque. Figure 3. (A) Compression cle la
partie
inférieure de l'artère /minérale, par un petit co
et que produirait ici le biceps si le compresseur était appliqué à la
partie
moyenne du bras. Cette même erreur de principe es
La figure représente la compression de l'artère en deux points : à sa
partie
supérieure et à sa partie moyenne. COMPRESSION
mpression de l'artère en deux points : à sa partie supérieure et à sa
partie
moyenne. COMPRESSION PUBIENNE. L'artère fémor
ION FÉMORALE. DÉTATLS DU COMPRESSEUR DE DUPUYTREN. L'artère, à sa
partie
moyenne, est comprimée sur le corps du fémur par
'espace entre le bord alvéolaire et l'apophyse coronoïde, revêtue des
parties
molles, est insuffisant pour loger le panneton.
ainsi être adaptée à plusieurs cloches répandues sur la surface de la
partie
où l'on exerce le vide. Dans cet appareil, le vid
igure 2 montre, avec les veines superficielles mises à nu, toutes les
parties
sus-aponévrotiques qui peuvent être lésées en tra
moins la médiane basilique, conservées en premier plan au-devant des
parties
profondes. indication commune aux figures 2 et
breux. Il n'existe nulle part de plaques crétacées. ÉNUMÉRATION DES
PARTIES
CONSTITUANTES. A. Crosse de l'aorte anévrismati
L Cavité de la tumeur anévrismale principale, dont la disposition des
parties
molles a permis la dilatation plus considérable,
ement causé par la veine basilique. M. Dilatation commençante de la
partie
supérieure de l'artère brachiale au-dessous du co
meur, et l'artère brachiale étant saine au-dessous. ÉNUMÉRATION DES
PARTIES
. A. Tumeur anévrismale, recouverte et bridée pa
use fémoro-poplitée, et, en bas, l'arcade vasculairedu soléaire. A sa
partie
moyenne elle est rétrécie par les tendons des jum
upérieure par les tendons fléchisseurs de la jambe. énumération des
parties
. A. Tumeur anévrismale principale. Elle est rec
u procédé employé par la nature pour rétablir la circulation dans une
partie
, par la dilatation des moindres branches latérale
ches anastomotiques d'un fort volume. 8. Branche de terminaison de la
partie
supérieure du tronc poplité, oblitérée inférieure
rend l'artère iliaque externe et le tronc de la fémorale jusqu'à la
partie
moyenne de la cuisse. B. Artère hypogasirique.
ion est le plus important, en ce qu'il s'agit de ne point blesser les
parties
voisines, veines ou nerfs, ni l'artère elle-même,
8. Artère poplitée. 9. Aiguille anglaise, passée sous l'artère à la
partie
supérieure de la plaie. 10. Sonde cannelée, pas
ues, figure 3. Les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 indiquent les mêmes
parties
déjà énoncées et visibles sur la plaie opératoire
ATOMIQUES, FIGURE 5. Les chiffres 1, 2, 3, 4, 5 indiquent les mêmes
parties
déjà énoncées et visibles sur la plaie opératoire
comprime, avec les doigts de la main gauche, l'artère numérale sur la
partie
moyenne du corps de l'humérus. La lumière est don
e, au pli du coude ; 2° Artère cubitale, dans trois points ; (B) à la
partie
supérieure de sa portion antibrachiale ; (C) dans
es de bifurcation de son arcade palmaire; 3° (E) Artère radiale, à la
partie
inférieure de sa portion antibrachiale. Ftgure
des plaies opératoires de la fig. ], reproduit pour le numérotage des
parties
, sans nuire à l'effet du dessin. OPERATIONS.
l'anatomie chirurgicale, la figure (G2). 2° (F) Artère radiale, à la
partie
supérieure de l'avant-bras. 3° Artère cubitale, d
eure de l'avant-bras. 3° Artère cubitale, dans deux points : (C) à sa
partie
inférieure antibrachiale; (H) à la naissance de l
s (C et C2) Fig. 1, et Pl.40. LIGATURE DE L'ARTÈRE CUBITALE, a sa
partie
inférieure antibrachiale. 1. Section de la peau
te la ligature de l'artère axillo-brachiale, ou plus exactement de la
partie
supérieure de l'humérale, par le creux de l'aisse
—8. Veine jugulaire antérieure, dont le trajet est peu normalici à sa
partie
supérieure. —9. Veine jugulaire externe, trop en
LE. Figure 1. Elle représente la ligature de l'artère carotide à la
partie
moyenne du cou, et celle de l'artère faciale à so
ssu fibreux jaune qui fortifie la gaîne des vaisseaux fémoraux à leur
partie
supérieure. 6. Veine fémorale. 7. Section de
vers du tibia pour le cas représenté fig. 5. Entre deux incisions des
parties
molles qui se correspondent de l'une à l'autre fa
de la scie à molette. (Pl. 55, fig. 17.) Figure 4. Séquestre de la
partie
moyenne du radius. Une ouverture suffisante étant
NCHE 52. Figure L Séquestre du fémur. La plaie étant pratiquée à la
partie
externe de la cuisse, et le fémur de nouvelle for
et 6. Nécroses de l'humérus. Dans \a\fig. 6, où la nécrose occupe la
partie
moyenne de l'os, le séquestre a été enlevé; l'os
e normale t. IV. pag. 144-146 et pl. 51-54.) Figure 13. Carie de la
partie
supérieure de la diaphyse du tibia. Figure 14.
en une masse de canaux aréolaires, qui rappelle le tissu érectile des
parties
molles, et semble n'en être qu'une modification a
qui établissent la circulation, de l'intérieur de la tumeur dans les
parties
molles environnantes. FIGURE 45. SPINA-VENTOSA
u cutané triangulaire. Un crochet (a) écarte en dehors un faisceau de
parties
molles comprenant : l'aponévrose, la veine céphal
adiaux (a) étant écartés en avant, le radius a été isolé et scié à la
partie
moyenne ; le fragment inférieur a été enlevé aprè
ous-épineux et petit rond. E. Tendon coupé du sous-scapulaire et en
partie
du grand pec- toral. F. Fond de la plaie form
'ostéotome de M. Heine, ou même la voûte acromiale. Enumération des
parties
molles. M, section du deltoïde. — Q, longue porti
e de ces deux os, séparément ou coïncidemment avec la résection de la
partie
supérieure de l'astragale. Indépendamment des dif
causes l'isolement des tendons, la dissection et la dilacération des
parties
molles, des vaisseaux et des nerfs, et leur expos
scie, la résection des extrémités cariées en plein air, au milieu des
parties
molles, les os étant préalablement isolés des cha
ncisions latérales longitudinales. Dans cette manière d'opérer, les
parties
molles sont séparées en deux masses, antérieure e
nse formée par une bande qui soulève et détache en masse toutes les
parties
molles de la région antérieure. B. Anse postéri
n antérieure. B. Anse postérieure qui écarte et isole également les
parties
molles en ce sens. C. Scie à chaîne occupée à
n radio-carpienne en totalité et non ouverte. Figuue 3. Réunion des
parties
après la section opérés. L'opération, au pansemen
une incision longitudinale , pratiquée de chaque côté, le long de la
partie
moyenne du tibia et du péroné, a permis d'isoler
ieure, une bande ployée en double et enduite de cérat, qui écarte les
parties
molles et les préserve de l'action de la scie. Le
opère d'un seul trait la section du péroné et du tibia. Les seules
parties
en vue sont les tendons péroniers, G. Figure 5. R
re G. Réunion. Comme pour l'opération radio-carpienne, l'aspect des
parties
est celui des deux plaies d'un séton. Dessiné d
face de l'os mis à nu, un premier trait de scie a divisé l'os dans sa
partie
moyenne (e); un second trait de scie a enlevé le
superficiels. Le cuboïde étant déjà enlevé sur la figure, voici les
parties
qui composent la plaie : (c) . Tendon du court
ticulaires au pourtour de l'excavation. FIGURE 2. RÉSECTION DE LA
PARTIE
POSTÉRIEURE DU CALCANÉUM. Une incision en T a p
tient de la main droite le talon, la gauche (c) servant à contenir la
partie
moyenne de la jambe. L'opération étant supposée
des cas de tumeurs cancéreuses qui, par les changemens de rapport des
parties
, ajoutaient beaucoup aux difficultés de l'opérati
lation de la moitié du corps de la mâchoire à partir de la canine, la
partie
supérieure de la branche étant conservée. Une inc
base de la mâchoire. Une autre incision (b), partant en arrière de la
partie
moyenne du bord postérieur de la branche de la mâ
(e). Le lambeau étant relevé en entier sur la face, de manière que la
partie
moyenne de son bord libre est formée par la lèvre
la langue (i). Le corps de la mâchoire étant isolé, il est scié à sa
partie
moyenne (k) pour faciliter la désarticulation de
litée, pour laisser voir les vaisseaux et les nerfs. INDICATION DES
PARTIES
COMPRISES SUR LA FIGURE. A. Extrémité inférieur
FIGURE. A. Extrémité inférieure de la cuisse, renfermant toutes ses
parties
molles et recouverte de tégumens. B. Surface
n par première intention. C. Surface de la plaie. Elle renferme les
parties
suivantes : 1, 1. Extrémité condylienne des deux
bes que décriraient le dos du pied et le coussin sous-métatarsien des
parties
molles. Ce cas offre un exemple remarquable des
manière à effectuer encore, autant que le permet la soustraction des
parties
, une flexion et une extension réelles, et contre-
ar l'autre, de la portion du pied qui est conservée. INDICATION DES
PARTIES
. A. Tibia. B. Calcanéum. C. Astragale. D.
, cubitale et interosseuse antérieure, rassemblés en faisceau vers la
partie
inférieure de la plaie. La figure 3 représente le
âne. FIGURES 2, 3 ET 4. amputation du bras dans sa continuité. (
Partie
moyenne du bras gauche.) Figure 2. Section des
humérale. b, Main gauche du chirurgien qui soulève les chairs de la
partie
antérieure du bras pour faciliter la taille du
ature de l'artère humérale. FIGURE 4. amputation a lambeaux de la
partie
supérieure du bras. ( Membre droit. ) ( Procédé
Main de l'aide de face de l'opérateur, qui soulève et rétracte les
parties
molles sur le trajet du couteau. c, Main gauche
anche de l'artère circonflexe postérieure. f. Artère axillaire à sa
partie
inférieure, dont le chirurgien, aidé d'un aide,
pour faciliter, parl'écar-tement des articulations et la tension des
parties
, la manœuvre du couteau. d, Main droite du chir
inférieure de la jambe. g, Main gauche du chirurgien qui fixe la
partie
supérieure de la jambe au-dessus de la section, e
S 4 ET 5. xVMPUTATION A UN LAMBEAU. (Au-dessous du lieu d'élection.) (
Partie
inférieure de la jambe. — Membre droit.) FIGURE
a face dorsale du pied en avant, et par celle qui revêt en arrière la
partie
supérieure du talon, et sur les côtés les malléol
e lambeau dermo-musculaire taillé aux dépens de la face externe et en
partie
de la face postérieure. Figure 11. Réunion liné
ui n'est autre chose qu'une boîte de réception du moignon jambier. La
partie
supérieure de l'appareil est une autre boîte de r
I -NATL1 \\Iv PLANCHE 85. AMPUTATION CIRCULAIRE DE LA CUISSE A SA
PARTIE
INFÉRIEURE. (MEMBRE DB OIT.) figure \. La p
re \. La peau, ayant été coupée par une incision ovalaire (a) de la
partie
externe et antérieure, à la partie interne et pos
ar une incision ovalaire (a) de la partie externe et antérieure, à la
partie
interne et postérieure, pour avoir un lambeau cut
bandelettes AG GLU TI NATIVES. m. Eils à ligature rassemblés à la
partie
déclive de la plaie. Tome 6. Pl.85. Dessiné
ayant qu'à suivre la ligne ( n ) pour revenir au point de départ. Les
parties
génitales sont relevées vers l'aine opposée pat-u
t représenté sur la figure, la lame, qui a déjà taillé la plus grande
partie
du vaste lambeau ovalaire interne, est inclinée e
sous de l'articulation. Les muscles, coupés un peu longs, revêtent en
partie
la surface articulaire numérale et la section de
ns de l'encé-phale. I. Messieurs, Nous consacrerons la première
partie
du cours de cette année à Xétude anatomo-patholog
ltés distinctes. Or, les propriétés physiologiques de cha-cune de ces
parties
étant connues, il deviendrait possible d'en dédui
est recouvert et comme enveloppé d'une couche de substance grise. La
partie
centrale est formée par une masse de subs-tance b
mon; — B, centre ovale. saillant dans la disposition réciproque des
parties
centrales {Fig. i). Immédiatement au-dessus de
le verrons, des pyramides antérieures bulbaires. En re-montant, à la
partie
inférieure et médiane de la coupe, vous découvrez
x grand tractus blancs (P, P.) qui se diri-gent en divergeant vers la
partie
corticale des hémi-sphères. Ils sont compris entr
'extrémité occipitale. Dans la nomenclature de Burdach, on désigne la
partie
aplatie, inter-ganglionnaire, des pédoncules sous
doncule, et, pour le clinicien qui doit déterminer avec précision les
parties
lésées. Je vous décrirai l'aspect de ces coupes
es pédoncules cérébraux. (Fig. 1). Vous reconnaissez ici, en PP, la
partie
aplatie des pé-doncules, la capsule interne. En d
plis et des sillons sur la substance grise du lobe pariétal et des
parties
postérieures du lobe frontal ? Combien d'observat
urées sans valeur, parce que, faute d'une connaissance suffisante des
parties
altérées, la dénomination exacte de ces parties n
ssance suffisante des parties altérées, la dénomination exacte de ces
parties
n'a pu être donnée ! Aussi, afin d'obvier dans la
dont l'excitation fait mouvoir la tête. — 2° Selon le même auteur, la
partie
postérieure du deuxième étage serait le centre de
isole de ces lobules la circonvolution pariétale ascendante. Dans une
partie
de ce lobule réside le centre moteur du membre su
ple, à ce point de vue, l'étage inférieur du lobe occipital. Dans les
parties
de ce lobe qui entourent la corne postérieure des
vous voulez. Vicq d'Azyr, en effet, avait déjà observé que, dans ces
parties
du lobe occi-pital, la substance grise des circon
ant d'exposer les caractères distinctifs. On peut dire que toutes les
parties
de l'écorce grise sont composées des mêmes élémen
lles-ci, plus espacées que celles-là, sont situées de préférence à la
partie
la plus in-férieure de cette couche, et pénètrent
rrière, la région comprend tout le lobe sphénoïdal, l'occipital et la
partie
médiane jusqu'au bord antérieur du lobe quadrilat
lution pariétale antérieure dans son extrémité su-périeure, enfin une
partie
que nous étudierons prochainement sous le nom de
par Fritsch et Uitzig comme centres moteurs, autrement dit dans les
parties
quiavoisinent le sulcus crucia-tus. Ce qui augmen
62, 163 A, 163 B. Charcot. Œuvres complètes, t, iv, Localisations 3
partie
des lobes pariétaux, mal délimitée encore du côté
ns un instant que ce type se montre très notablement modifié dans les
parties
postérieures de l'encéphale comprenant : 1° tout
: 1° tout le lobe sphénoïdal ; 2° le lobe occipital, et 3° enfin les
parties
de l'écorce grise de la face interne qui sont cir
ascendante, la circonvolution pariétale ascendante, surtout dans leur
partie
supérieure; enfin, un petit lobule situé à la fac
lleux; — 2, Cavité du ventri-cule latéral : — 3, Couche optique ; —4,
Partie
antérieure et externe du pé-doncule cérébral: — 5
lée ? Laissez-moi aussi revenir sur ce fait que, chez le chien, les
parties
réputées excito-motrices par les expériences de M
en arrière la circonvolution pariétale ascen-dante) ; en bas, par la
partie
horizontale du sillon calloso-marginal (Scm), sil
uant parfois sur la face externe de l'hémisphère, dessine en avant la
partie
interne de la circonvolution frontale ascendante
s le répète, le lobe occipital tout entier, le lobe sphénoïdal et les
parties
postérieures et médianes de l'hémis-phère jusqu'a
e cer-veau est placé sous un autre régime pathologique que les autres
parties
du névraxe : rareté des localisations. — Différen
is ainsi m'exprimer sous un au-tre régime pathologique que les autres
parties
du névraxe. On peut dire, en effet, d'une façon g
re à l'intelligence d'un bon nombre de lésions anatomiques dont cette
partie
des centres nerveux peut être le siège. . Vous-
érébrales antérieures. Les artérioles qui le composent nourrissent la
partie
antérieure de la tête du noyau caudé. Le second
s, qui naissent de la sylvienne, vascularisent les corps striés et la
partie
antérieure de la couche optique. Le cinquième e
s ont contourné les pédoncules cérébraux; ils nourris-sent une grande
partie
des couches optiques. Une ligne circulaire, tra
cérébrale antérieure contourne le corps calleux et se répand sur une
partie
de la face inférieure du lobe antérieur ou fronta
rales; coin; lobuluslingualis). Uartère sylvienne se distribue à la
partie
du lobe frontal qui n'est pas vascularisée par la
. Duret a publié une note dans le Mouvement médical (1) concernant la
partie
de ses recherches ayant trait également à la circ
rtères du sommet sont verticales ; l'une d'elles occupe en général la
partie
médiane de la circonvolution; les artères du vers
grise et la substance blanche souffriront simul- tanémenl dans les
parties
correspondantes, et pourront subir cette sorte de
le ramollissement cérébral ischémique. La disposition réciproque des
parties
permet de vous donner un schéma du ramollissement
ourriciers. Ils se dirigent parallèlement les uns aux autres vers les
parties
centrales comme autant de rayons. La région blanc
t vers la surface de l'encéphale et le sommet tronqué dirigé vers les
parties
centrales. C'est, en effet, la forme qu'affectent
l'effondrement concomitant de la substance blanche sous-jacente. La
partie
superficielle du foyer forme ce qu'on appelle une
se de toute l'écorce grise et de l'écorce blanche sous-jacente. Les
parties
centrales seraient totalement épargnées si l'obli
s dans lesquels, la mort étant survenue, la pulpe cérébrale, dans les
parties
correspondantes à l'obli- téralion, n'a présent
onc principal a souvent pour conséquence le ra-mollissement isolé des
parties
centrales du territoire, les par-ties périphériqu
onvolution de Broca du côté gauche atrophiée danH. sions normales. sa
partie
postérieure. F. circonvolution frontale transve
Ferrier,-du centre des mouvements du membre supérieur et, pour une
partie
, du membre inférieur. Dans ce cas, la circon-volu
ale. primée. La circonvolution frontale ascendante est respectée en
partie
, mais manifestement atrophiée. Or, bien que la co
tres observations re-latives à des lésions étendues occupant d'autres
parties
de l'écorce grise du cerveau. C'est ainsi que, da
tables, la doctrine des localisations en ce qui concerne du moins les
parties
superficielles du cerveau. Après les développem
ations graves que ne l'est la sylvienne. Cette particularité tient en
partie
, sans doute, à sa direction par rapporta la carot
ces artères se rend à la circonvolution du crochet ; la deuxième à la
partie
inférieure du lobe sphénoïdal, compre-nant la cir
gie intra-encéphalique. — Différences analomo-pathologiques entre les
parties
périphériques et les parties centrales du cerveau
férences analomo-pathologiques entre les parties périphériques et les
parties
centrales du cerveau. — Rareté relative de l'hé-m
es du cerveau. — Rareté relative de l'hé-morrhagie cérébrale dans les
parties
périphériques ; sa fréquence dans les parties cen
agie cérébrale dans les parties périphériques ; sa fréquence dans les
parties
centrales. Origine des arlèpes du système centr
ons centraux. — Leur mode d'origine explique la prédominance danc ces
parties
des ruptures artérielles. — Les branches qui comp
orme et leurs rapports. — Considérations sur la capsule interne : ses
parties
constituantes (faisceaux pédonculaires di-rects;
en rien par leur importance clinique, à ceux qui surviennent dans les
parties
superficielles de l'hémisphère à la suite des alt
ion assez intéressante à relever entre lesparties périphériques etles
parties
centrales du cerveau. Dans celles-là, l'hémorrhag
prédomine, suivant la remarque judicieuse de Durand-Fardel, dans les
parties
péri-phériques. Les faits que j'ai recueillis à l
er une à une chacune des petites artères qui se rendent aux di-verses
parties
du corps strié ou de la couche optique. Malgré to
sous le rapport du mode d'origine des ar-tères nourricières entre les
parties
basilaires de l'encéphale et la protubérance, voi
e basilaire qui est un tronc volumineux, et elles pénètrent jusqu'aux
parties
postérieures, parallèlement les unes aux autres,
ons d'ordre mécanique, capables d'expliquer la prédominance de :s ces
parties
des ruptures artérielles. Rappelez-vous que, à
s, d'envisager de plus près que nous ne l'avons fait jusqu'ici, les
parties
aux-quelles ils vont se distribuer. Dans l'exposé
é qui précède, nous nous sommes bornés, pour ainsi dire, à nommer ces
parties
et à indiquer, d'une façon sommaire, ce qu'il y a
n raison de ses connexions très multipliées et très étroites avec les
parties
contiguës. 2° Le noyau caudé a la forme d'une v
que recouvert dans toute sa périphérie, peut être aisément isolé des
parties
avoisinan-tes, sans trop d'artifice, comme nous l
rieure, l'autre postérieure. On distingue, dans sa compo-sition, deux
parties
: ^a) Le tiers antérieur, plus obtus et constitué
de substance grise forment donc comme un système distinct des autres
parties
du cerveau, tant par leurs connexions que par leu
coupes verticales vous feront sans peine comprendre les rapports des
parties
centrales. Je n'insisterai pas, pour le moment, s
la voûte. — Substance grise du troisième ventricule. G 0 L et G 0 E,
parties
interne et externe de la couche optique. — N C, i
du pédoncule, se rendent aux noyaux gris centraux, succèdent dans la
partie
supérieure de la capsule interne des faisceaux qu
ienne que revient la prédominance. Elle fournit : 1° à la plus grande
partie
du noyait caudé, 2° au noyau lenticulaire tout en
ce qui concerne les masses centrales, aux régions suivantes : Io à la
partie
externe et postérieure de la couche optique ; 2°
is une préparation fort sim-ple permet de les suivre dans la première
partie
de leur trajet intra-cérébral. J'appelle votre at
au bien injecté, — et cette préparation est facile parce que, dans sa
partie
frontale au moins, le noyau lenticulaire est, pou
rellement détaché de la capsule externe, — on peut suivre la première
partie
de la distribution des principales ar-tères strié
nt dans les deux premiers segments du noyau lenticu-laire et dans les
parties
attenantes de la capsule interne. D'un intérêt
grand sont les artères striées externes, celles qui, dans la première
partie
de leur trajet, rampent sur la face externe du no
rale. Après avoir pénétré dans le troisième segment, elle traverse la
partie
supérieure de la capsule interne, puis arrive dan
ont disposées sur le même modèle ; seulement, après avoir traversé la
partie
la plus pos-térieure de la capsule interne, elles
partie la plus pos-térieure de la capsule interne, elles abordent la
partie
externe t antérieure de la couche optique où elle
e sang ne manque jamais de produire, à une certaine distance, sur les
parties
voisines, pour peu qu'il ait quelque étendue. C'e
ts acquis définitivement, relatifs audiagnostic régional des diverses
parties
qui entrent dans la composition des masses gangli
e fonc-tionnelle pouvant s'établir au besoin, soit entre les diverses
parties
du noyau caudé, soit entre le noyau caudé et les
Fig. 23. — Foyer cl'he'morrhagie extra-lenticulaire au niveau de la
partie
postérieure de la couche optique; — hémianeslhési
u moins à titre de phénomène permanent dans le cas par exemple où les
parties
les plus reculées, les plus postérieures de la ca
le mode de formation et d'extension des liémorrhagies répondant à la
partie
antérieure de la capsule interne. (Hémiplégies.)
ne. — T, avant-mur. — 1, foyer primitif (au lieu d'élection), dans la
partie
antérieure de la capsule interne (hémiplégie).— 1
noyau lenticulaire autrement dit put a- men sera le plus souvent en
partie
dilacéré. Je vous ai dit comment, en pareille occ
le mode de formation et d'extension des hémorrhagies r 'pondant à la
partie
postérieure de la capsule interne. (Hémianesthési
r. — G, noyau caudé. — I, foyer primitif (au lieu d'élection) dans la
partie
postérieure de la capsule interne (hémianesthésie
se présenter. 2334 Tantôt le foyer sanguin reste circonscrit aux
parties
du noyau lenticulaire qui correspond à la moitié
st-à-dire au domaine de l'artère lenticulo-striée. En conséquence, la
partie
antérieure de la capsule interne sera seule intér
n proche, d'avant en arrière, le foyer se sera répandu jusque sur les
parties
les plus postérieures du noyau lenticulaire , la
res du noyau lenticulaire , la compression portant alors aussi sur la
partie
postérieure de la capsule interne, les symptômes
anesthésie et même la paralysie motrice, mal-gré la destruction d'une
partie
du noyau lenticulaire, auraient sans doute dispar
pplique également aux hémorrhagies qui se font dans l'épaisseur de la
partie
postérieure de la cou- che optique. Ces hémorrh
d'ailleurs, de citer nombre de faits où une lésion des tractus de la
partie
postérieure de la couche optique, déterminée par
t mis en relief que, dans le diagnostic régional relatif aux diverses
parties
des masses centrales du cerveau, c'est la partici
périeure des masses centrales, celles-ci attenant encore aux diverses
parties
de l'isthme; après quoi, à l'aide d'une dis-secti
us et en dehors du faisceau précédent. En observant avec attention la
partie
la plus interne et la plus postérieure de l'évent
édoncule cérébral (pied, étage inférieur), dont elles occuperaient la
partie
la plus externe. Parvenues à la protubérance, ell
a plus externe. Parvenues à la protubérance, elles se placeraient àla
partie
postérieure du faisceau pyramidal, et conserverai
en ce qui concerne ce faisceau postérieur (Note de la 2e éd.) nière
partie
du trajet assigné par M. Meynert aux fibres qui c
e partie du trajet assigné par M. Meynert aux fibres qui composent la
partie
la plus postérieure de la capsule interne. Tel
cas où, respectant cette région, les lésions intéressent seulement la
partie
de la capsule comprise entre le noyau lenticulair
On parvient ainsi, avec un peu d'ha-bitude, aléser isolément les deux
parties
de la capsule interne. Si, dans les expériences
re ou lenticulo-optique. — A, A, cornes d'Ammon, — x, section de la
partie
postérieure ou lenticulo-optique de la cap-sule,
urt, vous le voyez d'après ce qui précède, à faire connaître, dans la
partie
postérieure de la capsule interne, l'existence de
on de la couronne rayonnante. Près de leur origine, c'est-à-dire à la
partie
inférieure de la capsule, ces faisceaux, resserré
ieu de reconnaître, dès à présent, que les faisceaux qui composent la
partie
postérieure de la capsule interne et leurs émanat
il s'agit, se trouvent toutes représentées avant de diverger vers les
parties
superfi-cielles du cerveau. DIXIÈME LEÇON De
simultanément obnubilées ou supprimées. L'insensibilité s'étend aux
parties
profondes ; elle affecte les muscles qui peuvent
e, puis l'o rangé, le vert ; enfin, le violet n'est perçu que par les
partie
les plus centrales de la rétine. Or, Messieurs, d
es, l'hémiopie latérale développée en conséquence d'une lé-sion de la
partie
postérieure de la capsule interne ou du pied de l
nséquence de lésions — hémorrhagies ou tumeurs — développées dans les
parties
qui sont en rapport plus ou moins immédiat avec c
Une lésion, une tumeur par exemple, située en T, c'est-à-dire sur la
partie
médiane du chiasma, de façon à intéresser seuleme
raire, l'hémiopie dite nasale, caractérisée par la sup-pression de la
partie
médiane du champ visuel se produirait si le cours
ndelettes optiques, tandis que les faits existent où une lésion de la
partie
postérieure de la capsule interne ou du pied de l
xes révélés par l'observation clinique. ONZIÈME LEÇON Origine des
parties
cérébrales des nerfs optiques. Sommaire. — Rapp
stence de Y am-blyopic croisée, comme symptôme de lésions occupant la
partie
postérieure de la capsule interne ou les irradiat
asses centrales et qui, à l'issue de la capsule interne, formerait la
partie
la plus postérieure du pied de la couronne rayonn
instant sur quelques dispo-sitions relatives à la constitution d'une
partie
delà couronne rayonnante de Reil (1). (1) Les d
— Les uns consistent en commissures qui unissent l'une à l'autre des
parties
homologues des hémisphères cérébraux. Tels sont,
nseignements préliminaires, concernant l'ar-chitecture extérieure des
parties
que nous devons considérer, me paraissent devoir
qui est le corps genouillé externe. . En arrière et au-dessus de ces
parties
se voient la ganse de Reil, les processus cerebel
ractus optiques ou bandelettes optiques et comment celles-ci, dans la
partie
qui correspond aux deux tiers postérieurs, sont d
n reconnaît que l'atrophie consécutive porte, en ce qui con-cerne les
parties
centrales, sur les tubercules quadrijumeauN antér
e je l'ai fait pressentir, par un sys-tème de fibres qui constitue la
partie
la plus postérieure des radiations de la couche o
du noyau lenticulaire. — Na, tête et Ne, queue du noyau caudé. Th,
partie
de la couche optique située en avant des corps ge
oût et de l'ouïe, font, au même titre que l'amblyopie, habituellement
partie
intégrante du syndrome hémianesthésie cérébrale (
on de l'encéphale que je signale à votre attention et qui répond à la
partie
la plus postérieure du pied de la cou-ronne rayon
s les régions profondes de l'hémisphère, ou bien s'étendait jusqu'aux
parties
basilaires, de façon à intéresser plus ou moins d
la relation anatomique qui existe en-tre les bandelettes et certaines
parties
de l'isthme, telles, en-tre autres, que les pédon
u'un foyer hémorrhagique brusquement développé dans l'épaisseur de la
partie
postérieure des couches optiques, pourrait, elle
qui ont été rapportés, il en est un certain nombre qui échap-pent, en
partie
, à l'interprétation que je viens de proposer. Tel
umaine. — Différence entre les lésions du noyau caudé et celles de la
partie
antérieure de la capsule interne. Des dégénérat
apsule externe. — I, insula. —L, foyer de ramollissement ancien de la
partie
moyenne du noyau caudé et de la capsule interne.
outes les lésions, même minimes, qui s'établis-sent dans les diverses
parties
que je viens d'énumérer, à la condition toutefois
peu accentuée portant sur la capsule interne, prin-cipalement sur la
partie
la plus inférieure, au voisinage, du pied du pédo
hez la plupart des animaux par la destruction méthodique des diverses
parties
de l'encéphale, du cerveau en particulier, s'éloi
l'homme, en conséquence des lésions que la maladie détermine dans les
parties
correspondantes. Dans l'interprétation de ces f
qui, chez cet animal, succèdent à l'ablation méthodique des diverses
parties
du cerveau, se rapprocheraient beaucoup de ceux q
a pu être effectuée (1); 3° si la lésion porte, au contrai-re, sur la
partie
inférieure de la capsule interne, il se produit d
e qu'on observe chez l'homme en conséquence de la lésion de ces mêmes
parties
. (Fig. 35.) Tenu suspendu par la peau du dos, l'a
e entre les animauxet rhomme,relativement à l'influence des di-verses
parties
d'un hé- L mi sphère du cerveau sur le mouvement
Carville et Duret et de celles M. de Veyssière, — les lé-sions de la
partie
postérieure de la capsule interne produisent, ain
re ou lcnticulo-oplique. — A, A, cornes d'Ammon. — x, section de la
partie
postérieure ou lenticulo-optique de la cap-sule,
a relation entre l'un quelconque des centres gris en question, et les
parties
périphériques, tandis que cela ne saurait plus av
eulement entre les divers noyaux gris, mais encore entre les diverses
parties
d'un même noyau gris. Il est démontré, tout au mo
cet égard, aucune différence à relever entre la tête, la queue et la
partie
moyenne du noyau caudé. Il semble, d'après cela,
es mouvements dis-sociés, localisés par exemple dans un membre ou une
partie
d'un membre (1). Dans le cas d'une lésion destr
upent. Il faut également, à mon avis, leur rapporter, pour la majeure
partie
, la contracture perma-nente, dite tardive (1), qu
au-nes) étendus, lorsqu'ils occupent soit le lobe occipital, soit les
parties
postérieures du lobe temporal ou encore le lobe s
utions ascendantes (pariétale ascendante, frontale ascendante) et les
parties
atte-nantes du lobe pariétal et du lobe frontal.
e partie de la circonvolution frontale as-cendante, et la plus grande
partie
de la circonvolution de l'insula. Les mas-ses cen
é opposé. De plus, on y remarquera une bande grisâtre siégeant sur la
partie
moyenne du pédon-cule (1) et qui, sur une coupe a
n voit la sclérose descendante occuper dans le renflement cervical la
partie
cervicale du faisceau latéral et devenir superfic
épinière pas- transversale passant versale passant par k sont par la
partie
moyenne par le milieu de la milieu du renflement
xterne de la corne postérieure. (Fig. 39.) Dans la région dorsale, la
partie
sclérosée diminue progressivement de diamètre et
aisceau de fibres nerveuses, peut-être sensitives, qui constituent la
partie
profonde des faisceaux latéraux. (Voir Fig. 42, 4
idérant ce qui précède, que la sclérose consé-cutive n'affecte qu'une
partie
des fibres nerveuses qui forment les faisceaux la
chez de très jeunes animaux, on voit, huit mois iaprès l'ablation des
parties
antérieures d'un hémisphère, — les masses central
(1), une lésion qui avait détruit la substance blanche de toutes les
parties
frontalesd'un lobe, sans affecter directement les
nne partie de la circonvolution frontal ascendante, et la plus grande
partie
de la circonvolution de l'insula. Les mas ses cen
s plaques jaunes occupaient l'une des régions suivantes, savoir : une
partie
quelconque des lo-bes sphénoïdaux, le lobe carré,
e contient les cellules pyramidales les plus volumineuses. DEUXIÈME
PARTIE
Des localisations spinales, (Anatomie et phys
— Faisceaux de Goll et de Burdach. —Celte décomposition des diverses
parties
de la moelle s'annonce dès la période de développ
éminent, et alors peu connu, que jouent les. altérations de certaines
parties
des centres nerveux sur le développement de diver
n analyse de? fonctions des divers faisceaux blancs et des diverses
parties
de la substance grise. Elle a distingué les propr
au contraire, divisés nettement par l'a-natomie pathologique en deux
parties
bien distinctes. C'est ainsi que la partie voisin
omie pathologique en deux parties bien distinctes. C'est ainsi que la
partie
voisine du sillon postérieur, à savoir les cordon
de lésions cervicales de siège déterminé, on voit apparaître dans la
partie
anté- (1) Voir cependant le travail de Woroschi
toujours accompagnée d'une lé- sion du même genre et qui occupe la
partie
postérieure du faisceau latéral du côté opposé da
47. (D'après Flechsig).— F. p. d., faisceau pyramidal direct. — P. f.
partie
fondamentale. — F. c. d., faisceau cérébelleux di
r ici, parce qu'elles seront l'objet d'un exposé en règle, toutes les
parties
de la moelle ne sont pas encore définitivement co
u-né, vous pouvez constater les particularités suivantes : Toutes les
parties
tein-tées en noir sont les parties développées :
ticularités suivantes : Toutes les parties tein-tées en noir sont les
parties
développées : le cylindre-axe est entouré de sa g
développées : le cylindre-axe est entouré de sa gaine de myéline. Les
parties
non développées, en raison du mode de préparation
, la gaine de myéline fait encore défaut (1 ). Or, quelles sont les
parties
demeurées claires? Par le fait d'une coïncidence
raient être consi-dérés comme une sorte de commissure, réunissant les
parties
du cerveau, présidant aux déterminations motrices
u cerveau, présidant aux déterminations motrices volontaires avec les
parties
de la moelle présidante la vie automatique. Voi
he l'expérimentateur, lorsqu'il s'efforce de reproduire la lésion des
parties
qu'il suppose avoir les fonctions spéciales dont
s compliquée en général par ces phé-nomènes de retentissement sur les
parties
voisines, phéno-mènes qu'occasionnent à peu près
tirés de l'anatomie normale permettent de reconnaître comme autant de
parties
distinctes, anatomiquement et physiologiquement,
aire ; mais qu'il suffit de considérer l'état anatomique des diverses
parties
du névraxe, tel qu'il se présente chez l'enfant q
sychomotrices détermine des mouvements dans les membres ou les autres
parties
du côté opposé du corps ; et l'ablation de ces mê
h bien, Messieurs, il résulte des recherches de M. Solt-mann, que les
parties
excitables de l'écorce du cerveau n'existent pas
l s'agit mainte-nant de faire ressortir, — l'organisation de ces deux
parties
du névraxe est encore bien imparfaite. Pour vous
faire ressortir immédiatement les différences qui existent entre les
parties
développées et celles qui ne le sont pas. L'acide
tion qu'ils ne quitteront plus, attendu qu'on peut les suivre dans la
partie
inférieure de la moelle épinière jusqu'à la deuxi
daux bulbaires. Soit une coupe transversale du bulbe pratiquée à la
partie
moyenne des olives. On reconnaît immédiatement le
au cor-respondant qui se détache de l'autre pyramide, et va gagner la
partie
postérieure du faisceau antéro-latéral où il occu
-nière et indiquer les rapports qu'ils affectent à l'égard des autres
parties
constituantes de cet organe complexe entre tous.
tant que possible, le trajet des faisceaux pyramidaux dans les autres
parties
de l'isthme, c'est-à-dire dans la protubérance et
coupe de ce genre. Le pédoncule est divisé par les auteurs en deux
parties
(1) : 1« l'étage inférieur qu'on appelle encore l
um, autrement dit, la calotte (Haube des Allemands). Au-dessus de ces
parties
, se voit sur la coupe en question la section vert
ion verticale des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Enfin, vers la
partie
médiane, vous voyez la lumière de l'aqueduc de Sy
int, on distingue les prolongements des faisceaux antérieurs spinaux (
partie
fondamentale des fais-ceaux antéro-latéraux) ; ce
marquer que la région du faisceau pyraminal n'occupe que la quatrième
partie
environ de l'étage inférieur (troisième quart en
us la forme de noyaux rouges (Rothe Kerne, V. Stilling.) Ces diverses
parties
, qui consti-tuent à proprement parler le tegmentu
circonscrit dans le segment postérieur de la capsule et occupant une
partie
du trajet intra-hémis-phérique du faisceau pyrami
trajet intra-hémis-phérique du faisceau pyramidal. l'adulte, cette
partie
est nettement séparée du tegmentum par une bande
le bulbe du nouveau-né les faisceaux pyramidaux se distinguaient des
parties
voisines en raison même de l'état rudimentaire au
avancé, et c'est cette circonstance qui les fait contraster avec les
parties
avoisinantes. Voilà, Messieurs, un fait inconte
n'ayant pas encore eu l'occasion de contrôler de visu cette dernière
partie
de ses recherches. 3° Suivant M. Flechsig, vous
'on appelle la capsule interne et qui, en somme, pour une assez bonne
partie
au moins, n'est autre que l'expansion des faiscea
i n'est autre que la capsule interne, c'est-à-dire pour une cer-taine
partie
, l'expansion pédonculaire. Vous reconnaissez, M
sieurs, d'après la disposition topo-graphique de ce tractus, que deux
parties
bien distinctes le composent : 1° une partie anté
de ce tractus, que deux parties bien distinctes le composent : 1° une
partie
antérieure comprise entre la face interne et anté
t antérieure du noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé ; 2° une
partie
postérieure, intermédiaire à la face externe de l
e optique et au bord postéro-interne du noyau len-ticulaire. Ces deux
parties
se réunissent sous la forme d'un an-gle obtus que
ge-nou de la capsule interne». Eh ! bien, Messieurs, c'est dans la
partie
postérieure de la capsule qu'il faut, d'après M.
us l'aspect d'un espace elliptique, tranchant par son opacité sur les
parties
voisines ; composé par conséquent de fibres ner-v
ganglionnaires adjacentes ; et si, par la pensée, vous partagez cette
partie
postérieure de la capsule interne en trois région
vers le but que nous venons de signaler. En somme, Messieurs, cette
partie
de l'écorce grise dans laquelle vont se perdre le
s le bulbe, et successivement, suivant les progrès de l'âge, dans les
parties
plus inférieures du névraxe. S0 Mais c'est ici,
nt fournir des indications relatives au développement des différentes
parties
des hémisphères. Les parties grises, transparente
latives au développement des différentes parties des hémisphères. Les
parties
grises, transparentes en effet, peuvent être cons
es grises, transparentes en effet, peuvent être considérées comme les
parties
fœtales, embryonnaires, tandis que les parties bl
considérées comme les parties fœtales, embryonnaires, tandis que les
parties
blanches sont développées, adultes. La coloration
peu en dehors de la face in terne de l'hémisphère. On y reconnaît des
parties
diversement colorées, les unes blanches, les autr
heurte aux résultats obtenus par M. Parrot, il exis-terait pour cette
partie
du faisceau pyramidal, deux centres de formation
en foyer le plus souvent, développée primitivement dans dif-férentes
parties
du névraxe, cerveau proprement dit, bulbe, moelle
à-dire celles qui procè-dent d'une lésion en foyer occupant certaines
parties
de l'en-céphale. Ainsi les lésions de ce groupe p
lité, descendre de l'encéphale, où elles ont pris naissance, vers les
parties
périphériques. 2° Dans son second groupe, on do
1° Dans le pédoncule, et c'est là un fait intéressant à rele-ver, la
partie
dégénérée est grisâtre et se présente sous la for
re et se présente sous la forme d'un espace triangulaire, occupant la
partie
médiane de l'étage inférieur. La base de ce trian
e section normale, sous la forme d'un espace quadrilatère occupant la
partie
moyenne du pied, s'étendant depuis la substance g
e rouge bien franche contrastant avec l'aspect relati-vement pâle des
parties
voisines, ce qui permet la détermina-tion topogra
peut être considéré d'une façon très gé-nérale comme composé de deux
parties
jusqu'àun certain point anatomiquement, fonctionn
iculièrement pour ce qui concerne le noyau lenticulaire et surtout la
partie
externe de ce noyau. C'est là que siègent le plus
xiste donc, suivant toute vraisemblance, en dedans U) Yoy. Première
Partie
, Leçon VlII, p. 103. du faisceau des fibres pyr
ule. Si vous divisez d'avant en arrière ce segment antérieur en trois
parties
à peu près égales, — on ne saurait en pareille ma
d'établir la circonscription, et ainsi se trouve terminée la première
partie
de notre démonstration. CINQUIÈME LEÇON Dégén
ans son grand Traité cV anatomie et de physiologie (l)Voy. première
partie
, p. 16, (1785, pl. IH). « Elles sont, dil Vicq
a petite espèce). Il en est de plusvolii- mineuses, qui occupent la
partie
moyenne de la substance grise. Enfin, il existe d
cerveau dont la lésion occasionne des troubles moteurs dans certaines
parties
déterminées du côté opposé du corps. Ici se ter
n). de cause cérébrale. 11 n'en est rien cependant. En effet, cette
partie
de l'écorce grise dont j'ai voulu faire ressortir
ire un mot sur ce qui touche aux foyers limités à Tune quelconque des
parties
de l'isthme. Vous trouverez, consignés dans la mo
utres re-lations que des relations de contiguïté avec les différentes
parties
de l'encéphale et du bulbe qu'elles traversent. O
ue. L'atrophie musculaire était unifor-mément répandue sur toutes les
parties
des membres paralysés et elle s'accompagnait d'un
corne antérieure gauche ? les cellules motrices ont disparu, sauf la
partie
la plus externe et à la partic antéro-interne. —
ransverse est partielle, c'est-à-dire quand elle ne porte que sur une
partie
de l'étendue transversale de l'organe. Mais, ains
nération ne se produirait pas si la lésion en foyer siégeait dans les
parties
inférieures de la moelle dor-sale ou au-dessous.
B. Mais plus haut, la lésion semble s'effiler et n'occupe plus que la
partie
médiane, qui, dans les régions supérieures delà m
ure antérieure. — M, Racine antérieure. — S, Racine postérieure. — V,
Partie
postérieure du cordon antérieur (ou cordon latéra
ler que les développements qui vont suivre ne seront, pour une grande
partie
, que l'ex- posé de recherches très importantes
pe transversale d'un embryon de huit semaines (Grosslss» 50). — H, H,
Partie
saillante des cordons postérieurs. — H, H, qui pl
— E, Epithélium du canal central. — E, Obli-tération de ce canal, sa
partie
postérieure. — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'
s faisceaux de Burdach qui, eux, au contraire, sont traversés par une
partie
des fibres émanant des racines postérieures. Des
que c'est dans cette région qu'ils sont le plus nettement isolés des
parties
avoisinantes, grâce à la plus grande profondeur d
igine ; elle s'étend de proche en proche, dans toutes les directions,
partie
suivant le trajet des fibres nerveuses, partie su
toutes les directions, partie suivant le trajet des fibres nerveuses,
partie
suivant les tractus conjonctifs, et gagne ainsi,
n est que les fibres des faisceaux de Goll, étant intéressées dans la
partie
inférieure de leur trajet, dégénèrent de bas en h
e même pour les racines postérieures? Non assurément; et c'est ici la
partie
la plus originale et la plus inattendue de la déc
La section étant pra-tiquée sur le trajet de la racine postérieure la
partie
qui dégé-nère est non pas la périphérie de la rac
a racine, c'est-à-dire 14 portion attenante au ganglion, mais bien la
partie
centrale, celle qui tient à la moelle, et la dégé
cas, à savoir, dégénération ascendante des faisceaux de Goll et de la
partie
postéro-latérale des faisceaux latéraux qui corre
on de la sclérose descendante dans le cordon antéro-latéral sauf à la
partie
antérieure où la dégénération est bien circonscri
déjà dit des circonvolutions motrices de cet animal. Quelles sont les
parties
homologues des régions rolandiques de l'homme? C'
secondaires, chez le chien, n'ont guère porté que sur l'écorce et la
partie
atte-nante du manteau. Mais, il est on ne peut pl
du gy- (1) Voy. thèse inaugurale dlssartier, 1878. rus sigmoïde,
partie
excitable de l'écorce, il existe dans le manteau
, répond aux excitations expérimentales, tandis que toutes les autres
parties
du manteau sont privées de cette propriété. Or,
lées à prononcer, en dernier ressort, sur la physiologie des diverses
parties
du système nerveux, en ce qui concerne l'homme;
toire anatomo-pathologique des dégénérations secondai-res jusiifie en
partie
cette proposition. Pour ce qui a trait à l'arrang
es longues, c'est-à-dire parcourant, d'une seule traite,; de» longues
parties
du névraxe. Celles-là sont le siège des dég€k; né
lement par un axe gris autour duquel sont grou-pées toutes les autres
parties
. Les parties fondamentales de cet axe, c'est-à-di
axe gris autour duquel sont grou-pées toutes les autres parties. Les
parties
fondamentales de cet axe, c'est-à-dire les élémen
ans les faisceaux antéro-latéraux, il y a également à con-sidérer des
parties
intrinsèques etdes parties extrinsèques. Les prem
téraux, il y a également à con-sidérer des parties intrinsèques etdes
parties
extrinsèques. Les premières sont représentées par
pement et l'anatomie pathologique nous ont appris à isoler dans cette
partie
du manteau spinal. Malheureusement, l'expérimenta
directe. On sait aujour-d'hui (il s'agit des animaux), qu'elle est en
partie
directe et en partie croisée. Quand vous coupez l
ur-d'hui (il s'agit des animaux), qu'elle est en partie directe et en
partie
croisée. Quand vous coupez la moitié latérale d
du lapin des sections très variées, quant au siège età l'étendue des
parties
intéressées, et il est arrivé ainsi à produire de
d. Gesellsh. d. Wissensh, zu Leipzig, 1874. (2) Sur ces schémas, la
partie
foncée représente 1 étendue de la section mé-dull
ie des dégénérations secondaires en est, incontestablement, l'une des
parties
les plus originales. A plusieurs reprises, dans
des symptômes liés aux dégénérations secondaires, et, pour la majeure
partie
, toujours conformément à celui qu'en a donné M. B
uivante : le malade vivra, il recouvrera, sans doute, pour la majeure
partie
, l'activité de ses facultés intellectuelles; mais
ux agir, je crois, qu'en l'imitant; représentous-nous donc l'état des
parties
lésées chez le ma-lade qui est là sous nos yeux,
sentant dans sa forme la plus vulgaire. — Où siège le foyer ? Quelles
parties
a-t-il détruites? 95 fois sur 100, peut-être, les
ir pénétré dans la profondeur du troi-sième segment, elle traverse la
partie
supérieure de la capsule interne et arrive jusqu'
de l'insula. Vous voyez donc que, si les choses en restent là, aucune
partie
importante ne sera détruite ; la capsule interne
tte même trépidation du pied, qui, quel-quefois, s'étend à toutes les
parties
du membre, peut se ma-nifester à l'occasion d'un
, confirmées par celles de M. Erb (2), l'excitation vive de certaines
parties
plus ou moins éloignées du lieu où se produit le
au se l'in-dique dans son Traité de Vanatomie dulapin, àlaplus grande
partie
du nerf crural. Si donc vous coupez les racines p
l'épaisseur du tendon du triceps et particulièrement à la limite des
parties
tendi-neuses et des parties charnues. Ce sont ces
iceps et particulièrement à la limite des parties tendi-neuses et des
parties
charnues. Ce sont ces nerfs qui, distendus au mom
en tout comparables à celui qui vient d'être décrit, sur les diverses
parties
du mem-bre supérieur. Seulement, autant que j'en
dé-terminer la contraction des muscles paralysés, sans atteindre les
parties
saines. Prise à dose convenable, elle n'agit que
les parties saines. Prise à dose convenable, elle n'agit que sur les
parties
malades. Il semble que celles-ci ressentent d'au-
tant fléchies et ainsi se fit une contusion, d'ailleurs légère, de la
partie
antérieure de (1) Voy. Revue mensuelle de Médec
dire correspondant à la paralysie, étaitdevenu rigide dans toutes ses
parties
; on pou-vait le soulever tout d'une pièce, le pi
ronation. Successive-ment, cette contracture peut affecter toutes les
parties
para-lysées, et même la face, bien que le fait so
s attitudes trop longtemps gardées peuvent persis-ter encore, car les
parties
ligamenteuses s'étant raccourcies, les surfaces a
urs ; sans doute quelques modifications sont alors survenues dans les
parties
lésées, permettant non seulement la disparition d
t les lésions musculaires, alors même que ces membres remplissent une
partie
de leurs fonctions, tandis que ce racourcissement
j'appelle l'attention. A l'état nor-mal, les incitations volontaires,
parties
de la substance grise des hémisphères, sont trans
ns leur texture et présentent une émaciation extrême. D'ailleurs, les
parties
ligamenteuses se sont adaptées à la situation cré
, tendrait à expliquer l'exagération des propriétés réflexes dans les
parties
de la moelle situées au-dessous de la section.
es. Une exagération du pouvoir réflexe, dans tous ces modes, dans les
parties
correspondantes de l'axe gris, serait naturelleme
, se montrera, toutes choses égales d'ailleurs, plus intense dans les
parties
de l'axe gris préalablement excitées. 2° L'infl
te de l'irritation des tubes médullaires restés inaltérés au sein des
parties
sclé-rosées. Ces tubes étant fort rares et quelqu
nésodiques et les cellules sensitives on œsthésodiques constituent la
partie
centrale des divers systèmes diastaltiques, par l
t, en conséquence de la lésion supposée, les pro-priétés des diverses
parties
de ce système doivent être exal-tées. S'il en est
moindres excitations venant de la périphérie, en retentissant sur les
parties
centrales des arcs diastaltiques doivent se tradu
sur la substance grise des cornes antérieures de la moelle et sur les
parties
grises analogues du bulbe rachidiem, et elle se f
émanant des régions ainsi lésées de la substance grise. Dans d'autres
parties
, c'estune simple lésion fonctionnelle irritalive.
irritalive. des éléments ganglionnaires. Il en résulte que, dans ce»
parties
, outre la paralysie plus ou moins prononcée, il y
dégénére-raient pas, mais resteraient simplement irrités au sein des
parties
sclérosées. Je ferai remarquer que les tubes de c
ations. 23 quefois on ne trouve pas un seul tube sain au milieu des
parties
sclérosées, et que,d'ailleurs, en supposant que c
tion particulière, par exemple lorsque la-compression s'exerce sur la
partie
la plus inférieure du renfle-ment lombaire. Dans
ent à ceux dans lesquels la lésion transverse s'est localisée sur une
partie
seulement de l'épaisseur de la moelle épinière, d
es fibres de chacun des faisceaux pyramidaux, déjà entrecroisées à la
partie
du bulbe, subissent dans la moelle une seconde dé
vec beaucoup de soin, prétend avoir reconnu des fibres nerveuses qui,
parties
du faisceau latéral droit, se porteraient directe
t aujourd'hui que, si elle est surtout directe, elle est cependant en
partie
croisée. En d'autres termes, la section d'une moi
appeler que les foyers scléreux disposés sans ordre dans les diverses
parties
du névraxe, dominent gé-néralement dans la moelle
la substance grise est cependant, au point de vue physiologique , la
partie
la plus importante du centre spinal. Il suffira d
outre, il semble aujourd'hui péremptoirement dé-montré que toutes les
parties
de la substance grise ne sont pas indistinctement
s complète; mais — et ceci est le fait fondamental, — les muscles des
parties
affectées sont en outre le siège de lésions troph
u-res. Et celle-ci n'est pas accidentelle, elle fait en quelque sorte
partie
intégrante de la maladie, bien qu'elle se dévelop
ansmettent le mouvement. C'est qu'en effet, Messieurs, les diverses
parties
qui vien-nent d'être énumérées sont en quelque so
es nerfs moteurs , de telle sorte que le tube nerveux moteur, dans sa
partie
essentielle qui est le cylindre axile, n'est qu'u
indispensable pour se rendre compte de l'état relatif des différentes
parties
du corps. En ce qui concerne les membres inféri
iès caractéristique ; rides transversales du front, contracture de la
partie
inférieure de la face, soulèvement des commissure
égère. D'ailleurs, cette propagation de l'altération systématique aux
parties
voisines, n'a pas même échappé aux anatomo-pathol
ne sont pas saines, et il est probable que leur lésion a amené, à la
partie
antérieure des cornes de substance grise, cette a
servation dont la par-tie clinique a été résumée plus haut: « Dans la
partie
externe du tiers moyen de l'étage inférieur des p
jours abolie sur tout le côté gauche de la langue. L'olfaction est en
partie
récupérée. L'odeur de l'ammoniaque est perçue, ma
s complètes, t. iv. Localisations. 27 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Localisations cérébrales PREMIÈRE LEÇON. De l
e cer-veau est placé sous un autre régime pathologique que les autres
parties
du névraxe : rareté des localisations. —Différenc
gie intra-encéphalique. — Différences analomo-pathologiques entre les
parties
périphériques et les parties centrales du cerveau
férences analomo-pathologiques entre les parties périphériques et les
parties
centrales du cerveau. — Rareté relative de l'hé-m
es du cerveau. — Rareté relative de l'hé-morrhagie cérébrale dans les
parties
périphériques; sa fréquence dans les parties cent
hagie cérébrale dans les parties périphériques; sa fréquence dans les
parties
centrales. Origine des artères du système centr
ons centraux. — Leur mode d'origine explique la prédominance dans ces
parties
des ruptures artérielles. —Les branches qui compo
orme et leurs rapports. — Considérations sur la capsule interne : ses
parties
constituantes (faisceaux pédonculaires di-rects;
.............................. 118 ONZIÈME LEÇON. f Origine des
parties
cérébrales des nerfs optiques. Sommaire. — Rapp
maine. •— Différence entre les lésions du noyau caudé et celles de la
partie
antérieure delà capsule interne. Des degenerati
au siège des centres dits psycho-moteurs.............. 150 DEUXIÈME
PARTIE
Localisations spinales PREMIÈRE LEÇON. Introd
— Faisceaux de Goll et de Burdach. —Cette décomposition des diverses
parties
de la moelle s'annonce dès la période de développ
mites, 4. Hémorrhagie cérébrale, 79 : — sa rareté relative dans les
parties
pé-riphériques, 79 ; — Artères de 1'—, 96 ; — Siè
. Ramollissement général par isché-mie, 64; — Sa fréquence dans les
parties
périphériques de l'encé-phale, 79. — Foyers local
rs fractures, savoir : une fracture à la jambe droite, une autre à la
partie
supérieure du fémur gauche, deux ou trois à presq
rure de la gaine fibro-séreuse du col, ceux de fractures obliques, en
partie
intra et en partie extra-capsulaires; mais il pos
bro-séreuse du col, ceux de fractures obliques, en partie intra et en
partie
extra-capsulaires; mais il pose en principe génér
tière osseuse, qui, d'après cet excellent observateur, se dépose à la
partie
supérieure ainsi qu'à la partie inférieure du col
excellent observateur, se dépose à la partie supérieure ainsi qu'à la
partie
inférieure du col de l'os, au niveau du rebord de
suffisante de l'un des fragmens contre l'autre, ce qu'il attribue en
partie
à l'absence de muscles propres à rapprocher les d
e fait au moyen d'une substance ligamenteuse. D'accord, au moins en
partie
, avec le grand praticien que je viens de citer su
ais que ces bouts des fragmens sont enveloppés par l'ossification des
parties
envi-« ronnantes, en sorte que, tout le temps que
tion toutefois ne se fait pas sans déchirure, et il faut emporter une
partie
du « cartilage pour avoir le cal cartilagineux pa
oduit par le passage à l'état cartilagineux, puis à l'état osseux des
parties
molles qui sont en contact avec les bouts fractur
ue s'il arrivait que les os ne fussent entourés que d'un côté par les
parties
molles, c'est d'un côté seulement qu'aurait lieu
u la consolidation; que s'ils n'étaient entourés d'aucun côté par les
parties
molles, la consolidation serait impossible. La fr
fractures intracapsulaires, les fragmens ne sont entourés par aucune
partie
molle; dans les fractures extracapsulaires, les f
ioste du col et le feuillet synovial qui le revêt ont été au moins en
partie
respectés. Le seul mode de consolidation dont s
us le grand fessier; que des caillots de sang infiltraient toutes les
parties
molles quientouraient la fracture. La pièce déb
parties molles quientouraient la fracture. La pièce débarrassée des
parties
molles et du sang, nous avons vu que la fracture
lique, étendue du grand au petit trochanter. On remarque aussi que la
partie
supérieure du grand trochanter est séparée de l'i
xterne. La fig. 3 représente la fracture du col du fémur vue par la
partie
postérieure avec séparation des fragmens, lesquel
e(1). Bien plus souvent encore, le grand trochanter, affaibli dans sa
partie
supérieure et postérieure par l'excavation, connu
la verge. On peut le considérer en totalité dans le jeune âge, et en
partie
chez l'adulte et chez le vieillard, comme un tiss
et écoulement de sang est généralement peu considérable, peut-être en
partie
, parce que les fragmens peu distans l'un de l'aut
sang. Rien ne s'opposait donc à ce que les (1) Toute fracture de la
partie
supérieure du fémur qui a lieu au-dessous du peti
La figure 2 représente la fracture vue par derrière. On voit que la
partie
postérieure du grand trochanter GT, c'est-à-dire
oit que la partie postérieure du grand trochanter GT, c'est-à-dire la
partie
qui répond à la cavité digitale, est séparée de l
t-à-dire la partie qui répond à la cavité digitale, est séparée de la
partie
antérieure de cette éminence par une section obli
le sommet du grand trochanter, un pour le corps de l'os et pour la
partie
antérieure du grand trochanter* un pour le petit
nière d'un clou dans l'épaisseur du grand trochanter, ou même dans la
partie
supérieure du corps du fémur. 11 n'est pas rare d
ieux qui s'était enfoncée dans l'épaisseur du fémur et jusque dans la
partie
supérieure du cylindre du corps de cet os, si bie
t-ou cette fracture, fracture du col du fémur, ou bien fracture de la
partie
supérieure du corps de cet os? Les signes ordinai
ion des os se fait alors suivant le même mécanisme que la réunion des
parties
molles. MALADIES DES OS Jrac/urfr dit ca/du,
ice. Un cal, c'est une virole osseuse formée aux dépens de toutes les
parties
déchirées qui environnent les fragmens; virole os
les autres fractures, c'est-à-dire que les fragmens sont entourés de
parties
molles dont l'ossification constitue la virole os
-dire d'une quantité égale à celle du raccourcissement. Saillie de la
partie
antérieure de l'articulation coxo-fémorale. Le
ense, très peu extensible. —Une coupe dirigée transversalement, de la
partie
moyenne de la tête sur le grand trochanter, a per
yez xxni6 livraison), savoir, que cette déviation dépend, au moins en
partie
, des rapports que contractent les fragmens : ici,
fournit pas son contingent de vitalité, qu elle ne se soude pas aux
parties
voisines : tous les jours ne voit-on pas des esqu
esque complètement séparées, peut-être même complètement séparées des
parties
voisines , englobées au milieu du cal ; n'est-ce
ure intra-capsulaire m'a constamment présenté la persistance dans une
partie
de sa circonférence, du repli fibro-synovial qui
ces mouvemens est non-seulement la surface de la tête, mais encore la
partie
supérieure du pourtour de la cavité cotyloïde.
usieurs fragmens osseux FO, FO étaient restés adhérens à ce repli. La
partie
inférieure et la partie postérieure du col du fém
FO, FO étaient restés adhérens à ce repli. La partie inférieure et la
partie
postérieure du col du fémur étaient dépourvues de
J'aurais cru que l'intervalle qui séparait la symphyse pubienne de la
partie
la plus excentrique de cette saillie avait plusie
l est très considérable ; on peut en juger en prenant le niveau de la
partie
la plus élevée de la tête du fémur TF qui est de
de la tête du fémur TF qui est de beaucoup au-dessous du niveau de la
partie
la plus élevée du grand trochanter. Il y a engr
t les chocs transmis au bassin par le fémur. Atrophie de toutes les
parties
du bassin qui ne concourent plus aussi activement
de s'étant effacée, il a bien fallu que le diamètre transversal de la
partie
pubienne de l'os devînt plus considérable. Atro
sule fibreuse. — L'ancienne capsule fibreuse, qui a été déchirée à sa
partie
supérieure, au voisinage du rebord de la cavité e
été déchirée au voisinage du rebord de la cavité eotyloïde, toute la
partie
supérieure de cette capsule se trouve refoulée su
sule en haut et en dehors à son insertion cotyloïdienne, et résout en
partie
le problème de la fréquence des luxations en haut
ives hardies. Muscles.—Le muscle petit fessier subit, dans toute la
partie
qui est en rapport avec la tète (1) Anatomie de
uée la capsule articulaire de l'articulation nouvelle; c'est aussi en
partie
aux dépens de ce muscle, qui se pénètre successiv
eur formée par le grand trochanter, la tête et le col du fémur. Les
parties
molles enlevées, nous avons pu voir à découvert (
emment sollicité à la contraction, d'où, la flexion de la cuisse : la
partie
de l'action de ce muscle qui a pour résultat la r
de la nouvelle articulation ; la saillie de la nouvelle cavité, à la
partie
supérieure de laquelle vient se terminer le tendo
rens ; la fig. 2 représente l'os coxal vu par derrière : on y voit la
partie
postérieure de la nouvelle cavité eotyloïde NCC,
la nouvelle cavité eotyloïde NCC, sa profondeur, ses rapports avec la
partie
la plus élevée de l'échancrure sciarique, avec la
eure de la capsule fibreuse est de nouvelle formation et me paraît en
partie
constituée par les fibres du petit fessier. La mo
ancienne articulation étendue du pourtour de la cavité eotyloïde à la
partie
inférieure du col du fémur. Cette moitié inférieu
entre le petit trochanter qui regardait directement en arrière et la
partie
postérieure du pourtour de cette cavité. MALADI
I, XXIXe LIVRAISON.) Luxation du fémur en haut et en dehors, sur la
partie
antérieure de la fosse iliaque externe. J'ai fa
é cotyloïde, à raison du peu d'épaisseur de cette insection, toute la
partie
supérieure de cette ancienne capsule se trouve re
trer l'ancienne et la nouvelle cavité eotyloïde et la disposition des
parties
intermédiaires. ACC est l'ancienne cavité eotyloï
évasée, superficielle, tapissée par un cartilage dans la plus grande
partie
de son étendue, entourée de tubercules osseux. Un
bercule frottant TF était très remarquable. La fig. 4 représente la
partie
supérieure du fémur dont la tête TF était aplatie
nnait à cette tête et à ce col, l'aspect d'un cep dont la tige est en
partie
recouverte par le chapiteau. Les tubercules T,T d
istes donnent quelquefois trop légèrement le nom de tissu jaune à des
parties
fibreuses qui n'ont avec le tissu jaune élastique
, plissée sur le col, que les tiraillemens auxquels est soumise cette
partie
supérieure de la capsule, les frottemens qu'elle
ation exacte des conditions nouvelles dans lesquelles se trouvent les
parties
déjà luxées. MALADIES DES OS 29 Livraison P
e les ligamens occipito-axoïdiens postérieurs, et qui rétrécissent la
partie
supérieure du canal. Cette saillie tient à-la-foi
moelle, en sorte que mon attention ne se portait nullement sur cette
partie
de l'axe céphalo-rachidien. Je vis une hémiplégie
Bien convaincu que la maladie consistait dans une compression de la
partie
supérieure de la moelle épinière, que cette compr
des ligamens et des muscles vertébraux antérieurs, et se termine à la
partie
supérieure du thorax par un cul-de-sac qui soulèv
té est long-temps continuée, si les ligamens, les tendons, toutes les
parties
qui entourent l'articulation , se rétractent et s
re aussi instantanée; car, je ne saurais assez le répéter, toutes les
parties
molles qui entourent une articulation rigide, et
M. Girardin, Emery, etc. ; une incision cruciale ayant été faite à la
partie
supérieure de la tête, on disséqua les lambeaux,
eaux, puis on scia verticalement le crâne, ce qui permit d'enlever la
partie
postérieure de cette boîte osseuse, en laissant s
térieure de cette boîte osseuse, en laissant sur le devant toutes les
parties
qui étaient malades. Le cerveau était à l'état
. On fendit verticalement la tumeur : le scalpel divisa facilement la
partie
antérieure du crâne et de la face jusqu'à l'apoph
nt déclarée dans les os, semblait avoir fini par se répandre dans les
parties
molles voisines. Les organes de la poitrine éta
cellules fibreuses. Le phosphate calcaire a complètement disparu; les
parties
osseuses dégénérées se coupent à la manière des p
disparu; les parties osseuses dégénérées se coupent à la manière des
parties
molles. Les granulations sont formées par une m
'étaient pas comprimés d'une manière sensible au milieu de toutes ces
parties
dégénérées. La membrane pituitaire, qui avait é
des os ne doit pas plus étonner que la forme aréolaire du cancer des
parties
molles. Quel que soit, en effet, le siège du canc
fection cancéreuse n'aurait pas tardé, sans doute, à envahir d'autres
parties
du corps. Cependant, ici comme dans la phlébite,
s, remplis de tissu fibreux. La surface de la tumeur n'était unie aux
parties
voisines qu'à l'aide d'un tissu cellulaire extrêm
ngue fibro-celluleuse,très dense, d'inégale épaisseur, qui remplit en
partie
les intervalles des lobules, et masque la saillie
t au centre de cette tumeur. Cette même coupe, qui a été figurée à la
partie
inférieure de la tumeur, permet de voir que la po
à la circonférence, calcaires au centre C, C, C. A l'exception de la
partie
osseuse centrale, bien évidemment constituée par
uche cartilagineuse qui la revêt; la mollesse élastique de celles des
parties
de cette tumeur dans lesquelles dominait le carti
vers le centre de la « dilatation. De toute la circonférence de cette
partie
dégénérée du fémur partaient des jetées « plus ou
isaient à «f l'infini et en se confondant entre elles. La plus grande
partie
de la tumeur était formée par « la substance cart
de véritables foyers, contenant une matière sanguinolente. « Vers la
partie
postérieure, on en voyait plusieurs autres, et no
a, dis-je, dans tous les détails descriptifs de cette tumeur, dont la
partie
centrale présentait le tissu du fémur épanoui et
devient stalactiforme qu'à la circonférence. C'est au milieu de cette
partie
stalactiforme qu'on rencontre des cellules, des g
ant la vie, devaient être remplies, soit par un liquide, soit par des
parties
molles, qui se sont effacées par suite de la dess
hée, je ne puis déterminer à quelle nature de tissu appartenaient les
parties
molles : ce n'est que par analogie que je crois p
ir: que l'exostose est un développement de toute l'épaisseur ou d'une
partie
de l'épaisseur de l'os, qu'elle est en quelque so
e d'olive, sans en avoir la nature, car il était miscible à l'eau; la
partie
non divisée de la tumeur avait la même texture qu
la couche la plus superficielle de .xxie livraison. 1 Los; que la
partie
aréolaire ou celluleuse est constituée par des ve
atidiformes placentaires n'ont point une autre étiologie. 3° Que la
partie
compacte de la tumeur est formée par des veines o
se plaignait depuis quelque temps d'une douleur vive et continue à la
partie
supérieure du bras droit, et là existait, au nive
lade dit, en outre, ressentir depuis un an une douleur très vive à la
partie
interne et inférieure delà cuisse gauche. Là exis
sont étrangères aux os,développées dans l'épaisseur et aux dépens des
parties
molles. La tumeur costale, les tumeurs de l'épaul
à distinguer des os du crâne, et qui semblent destinées à réparer en
partie
les pertes de substance. Les tumeurs des autres
à réparer en partie les pertes de substance. Les tumeurs des autres
parties
du corps, soit qu'elles fussent implantées sur le
e tibiale grossie et rompue, les chairs du mollet désorganisées et la
partie
postérieure des os de la jambe plus ou moins prof
vices de conformation. — lésion des mains et des pieds ( absence des
parties
). Les figures i , 2, 2', 3, 3', /i( demi-grand
la formation de la pince. Le petit orteil était pourvu de toute la
partie
de l'extenseur commun qui ne concourait pas à la
s à la formation de l'anse tendineuse, c'est-à-dire de la plus grande
partie
de cet extenseur, lequel venait s'épanouir sur le
par fusion, et de l'adhésion par fusion à la disparition complète des
parties
. Ainsi la réunion des doigts peut se faire par
açon qu'à l'exception de la soudure, on puisse reconnaître toutes les
parties
constituantes de la main ; i° ankylose par fusion
que la main ne présente plus que quelques vestiges des doigts ou des
parties
en défaut ; par exemple, plusieurs ongles ou un s
uéales; 3° ankylose par fusion avec disparition complète de plusieurs
parties
. La soudure des os du squelette fœtal dans certai
ette dernière espèce d'ankylose. Ainsi ankylose, atrophie, absence de
parties
, tels sont les divers degrés successifs,quelquefo
n plus souvent accompagnées d'atrophie et de disparition complète des
parties
, que les ankyloses postérieures à la naissance.
'étude des vices de conformation par ankylose, atrophie ou absence de
parties
, de ne pas confondre l'atrophie avec le défaut co
de parties, de ne pas confondre l'atrophie avec le défaut complet des
parties
: ainsi, j'avais dans mes salles un jeune homme qu
par fusion congèniale, avec ou sans atrophie, avec ou sans absence de
parties
, je considère ces ankyloses non comme des vices d
e sur des organes aussi délicats doive atrophier, détruire toutes les
parties
sur lesquelles elle porte, etl'atrophier si bien
t toujours tenté de se demander si cette atrophie ou cette absence de
parties
n'entre pas dans le plan primordial de l'organisa
llement d'admettre que la pression exercée sur l'ovule fécondé par la
partie
étroite de la trompe utérine soit la cause premiè
Il est malheureux que nous n'ayons aucun renseignement sur l'état des
parties
molles de ces deux sujets. Sur celui qui était l'
mme. Le colon est plus ou moins mal conformé. Le rectum manque à sa
partie
inférieure : il est imparfait. Un mot sur la th
us ou moins considérable, leur réunion supposerait la destruction des
parties
intermédiaires, et c'est pour cette raison que le
ident que, ce qu'il faudrait expliquer, ce serait, non la réunion des
parties
, mais leur défaut de réunion ; car enfin, et touj
éfaut de réunion ; car enfin, et toujours dans cet ordre d'idées, les
parties
médianes et impaires seraient les seules qui parc
arcourraient normalement toutes les phases de leur développement; les
parties
paires et latérales seraient des parties arrêtées
s de leur développement; les parties paires et latérales seraient des
parties
arrêtées dans leur développement ; elles ont en e
, la fusion sera plus ou moins complèle, avec ou sans disparition des
parties
: on conçoit très bien, d'ailleurs, que l'inversio
adhésion avec fusion, adhésion avec disparition complète de certaines
parties
. Le fait représenté pl. 5 vient à l'appui des c
uche. On voit : i° la courbure à concavité antérieure que présente la
partie
sous-ombilicale de son corps ; a° sur la partie l
ieure que présente la partie sous-ombilicale de son corps ; a° sur la
partie
latérale gauche de la colonne lombaire, une ouver
. le docteur Bleynie a appris qu'une masse considérable d'intestin en
partie
pleine de méconium sortait par cette ouverture, e
revenir tout-à-l'heure. La fig.3, grandeur naturelle, représente la
partie
sous-ombilicale du tronc, vue par la région posté
sous-ombilicale du tronc, vue par la région postérieure. On voit à la
partie
inférieure deux plis qui répondent aux articulati
ttitude bipède, les membres supérieurs ne peuvent s'appliquer sur les
parties
latérales du tronc, sans effort,sans traction con
ccipital : il n'existe de l'occipital que la portion basilaire et les
parties
latérales. Il y a absence des (i) Consultez , p
st immédiatement sous-cutanée. Le canal vertébral ne commence qu'à la
partie
inférieure delà région lombaire, et se continue s
e, et se continue sans interruption jusqu'à la fin du canal sacré. La
partie
supérieure de la colonne vertébrale se trouve ren
partie supérieure de la colonne vertébrale se trouve renversée sur sa
partie
inférieure, de manière à former un angle extrêmem
mbrane lisse comme une séreuse, à travers laquelle faisait hernie une
partie
de la tumeur. Cette membrane formait en arrière u
avité crânienne et la cavité spinale. Il paraît constant que toute la
partie
cervico-dorsale de la moelle manquait entièrement
lace, surface lisse occupant tout l'intervalle compris entre ces deux
parties
; conformation régulière de tout le reste du corp
imensions. 3e variété. Un seul orbite, un seul œil, dont toutes les
parties
sont simples; mais la fusion des deux globes ocul
s cas de cyclopie dans lesquels l'atrophie porte non-seulement sur la
partie
supérieure delà face, mais encore sur la partie i
non-seulement sur la partie supérieure delà face, mais encore sur la
partie
inférieure, si bien que les mâchoires, devenant r
vice de conformation qui consiste essentiellement dans l'atrophie des
parties
situées sur la ligne médiane avec fusion des part
s l'atrophie des parties situées sur la ligne médiane avec fusion des
parties
latérales, il me semble qu'une pression latérale,
ntent, de grandeur naturelle, les détails de dissection de celles des
parties
molles du fœtus, qui offraient des dispositions a
du vagin. Le petit tubercule, en forme d'ergot CR,seul vestige des
parties
génitales externes, me paraît un clitoris rudimen
fessier droit est confondu avec le grand fessier gauche dans toute la
partie
de ces muscles qui est située au dessous de l'anu
bassin et sur les grands trochanters, écraserait en quelque sorte la
partie
pubienne et ischiatique du bassin, et en même tem
sion des membres inférieurs n'ait jamais lieu que parla rencontre des
parties
homologues: ainsi le péroné ne se confond jamais
vai que la grande tuméfaction de la région parotidienne était due, en
partie
, à l'œdème, en partie à la parotide elle-même, do
faction de la région parotidienne était due, en partie, à l'œdème, en
partie
à la parotide elle-même, dont le tissu était marb
nce, dans un espace oblong, du volume d'une olive. Au centre de cette
partie
infiltrée de pus, se voyait une espèce de foyer,
spongieuse, pénétrée de pus, qui me paraît constituer la plus grande
partie
de la parotide. Un creux très considérable existe
de la mâchoire inférieure ; la peau s'affaisse, le vide se remplit en
partie
, et, au moment de la mort de la malade , la cicat
es organes. Le champignon parotidien était exclusivement formé par la
partie
superficielle de la glande parotide. La partie pr
usivement formé par la partie superficielle de la glande parotide. La
partie
profonde de cette glande avait également subi la
locale avec amincissement de la sclérotique, qu'en supposant que les
parties
amincies ont été le siège d'une distension à laqu
lque érosion superficielle? Fig. 4, 4' et 4-" Cancer niélanique des
parties
contenues dans la cavité orbitaire. Les figures
Au premier abord, on aurait cru que les bosselures que présentait la
partie
antérieure de l'œil appartenaient au globe lui-mê
lta , dit-il , une inflammation de la bouche qui s'étendit aux autres
parties
du canal alimentaire et détermina pendant plusieu
s difficultés ; souvent le malade faisait de légères frictions sur la
partie
inférieure du col, comme pour accélérer le passag
qui allait insensiblement en s'élargissant de manière à « offrir à sa
partie
inférieure, un diamètre de trois lignes. » Les
notablement dilaté et la membrane musculaire un peu épaissie dans la
partie
située immédiatement au-dessus de ce point. Quant
, un tissu de cicatrice, a rapidement détruit la faible épaisseur des
parties
qui le séparait du péritoine. Or, on sait que le
, et même dans quelques cas, que ces bords sont libres et séparés des
parties
subjacentes par une sorte de rainure; que la cica
remarque sur ces deux figures. Les taches et cicatrices de toutes ces
parties
appartenaient évidemment à une lésion identique.
ons, faites comme avec un emporte-pièce, se voyaient dans la première
partie
du duodénum, immédiatement au-dessous du pylore;
spèces de bosselures, ainsi qu'on peut le voir sur la figure, dans la
partie
de la surface externe de l'estomac qui avoisine l
et le commencement de l'intestin grêle. La planche 3 représente la
partie
inférieure de ce même intestin grêle et le gros i
autres, qu'on ne pouvait, dans leur intervalle, apercevoir la moindre
partie
des parois intestinales. Du reste, ces granulatio
s particularités si remarquables, figurées pl. 2 et 3, ne sont qu'une
partie
de celles qu'a présentées l'autopsie du sujet de
de l'une à l'autre oreille. Nombreux ganglions sur les côtés et à la
partie
postérieure et supérieure du col. Ces ganglions s
lactés. ce Les ganglions lymphatiques qui sont annexés aux diverses
parties
du tube digestif offrent un développement remarqu
le dans les mailles de ce tissu, et quelques fausses membranes sur la
partie
correspondante du poumon. Ces organes sont résist
lammation se sera portée plutôt sur les follicules que sur les autres
parties
de la muqueuse, et, ce qui le prouve, c'est que l
ande de l'estomac est un phénomène fort remarquable qui s'explique en
partie
par l'intermittence des vomissemens. On se demand
Fistule gastro-duodénale.—Les ganglions lymphatiques qui entourent la
partie
supérieure de l'aorte abdominale sont indurés, —
rieure une grande perte de substance ULC : le pancréas remplaçait les
parties
détruites. L'extrémité inférieure de la rate conc
out aussi bien qu'à l'orifice pylorique ; bien plus, elle a envahi la
partie
inférieure de l'œsophage OE et la portion voisine
rizontalement le long de la grande courbure de l'estomac, obturait en
partie
la perte de substance de la face postérieure : el
et une incision pratiquée à leur niveau a montré que, dans une grande
partie
de son étendue, le tissu de la rate était devenu
c'est que l'hypertrophie ait franchi la limite du cardia et envahi la
partie
inférieure de l'œsophage; il ne l'est pas moins q
e l'estomac s'est étendue au diaphragme comme elle s'est étendue à la
partie
inférieure de l'œsophage. Il est presque certai
bre dans la cavité péritonéale, ou bien il peut n'avoir pénétré qu'en
partie
dans cette cavité, et être resté adhérent à l'ova
lui-même, si bien que le placenta, qui certainement n'occupait qu'une
partie
de la circonférence de l'œuf avant la rupture, fo
à l'appui de cette manière de voir ; que le placenta, greffé sur des
parties
qui lui fournissaient tous les matériaux de sa nu
t trois mois pour des douleurs de ventre très aiguës, qui cédèrent en
partie
aux caïmans et aux bains. Cette femme ne sentit p
on cartilage paraît ossifié; l'oreille droite est à peine visible. La
partie
médiane et occipitale de la tête donne insertion
que la tête, surtout dans les points où se trouvent naturellement les
parties
molles. L'ombilic est très visible, mais le cordo
ue nous avons plusieurs fois indiquées. On en retrouve encore sur les
parties
génitales; après les avoir enlevées avec le plus
de la graisse humaine, et se composait ; comme cette substance, d'une
partie
solide et d'un liquide huileux analogue à l'oléin
une partie solide et d'un liquide huileux analogue à l'oléine. « La
partie
solide, dégagée de l'oléine par une pression grad
e F est moins volumineux de moitié que celui d'un enfant à terme ; sa
partie
supérieure gauche est convertie en une masse grai
veines et nerfs présentent tous leurs caractères normaux ; toutes ces
parties
sont unies par un tissu cellulaire assez chargé d
té, mais flottait librement dans la cavité péritonéale, ne tenant aux
parties
voisines que par des liens celluleux très nombreu
qu'on ne pouvait les en séparer, et, d'une autre part, adhérentes aux
parties
voisines. Ces membranes, kyste naturel du fœtus,
ion avec la surface muqueuse de l'intestin. L'orifice O qui occupe la
partie
inférieure de la tumeur est circulaire. La fi
vagin. On voit que la hernie du rectum HR est une invagination de la
partie
supérieure de l'intestin dans la partie inférieur
HR est une invagination de la partie supérieure de l'intestin dans la
partie
inférieure. Le point de réflexion du péritoine a
re, où l'on voit qu'il est très élevé; 20 en avant, où il a lieu à la
partie
inférieure de la tumeur: deux airignes écartent l
eur: deux airignes écartent les surfaces péritonéales contiguës de la
partie
invaginée et de la partie invaginante : en avant,
t les surfaces péritonéales contiguës de la partie invaginée et de la
partie
invaginante : en avant, le cul-de-sac péritonéal
cul-de-sac péritonéal CSP est le lieu le plus déclive; en arrière, la
partie
invaginante est unie à la partie invaginée à l'ai
lieu le plus déclive; en arrière, la partie invaginante est unie à la
partie
invaginée à l'aide du tissu cellulaire adipeux.
t au devant du sac herniaire, derrière lequel étaient éparpillées les
parties
constituantes du cordon spermatique. Poitrine.
n au dedans de lui-même. Elles diffèrent des invaginations des autres
parties
du canal intestinal, i°par la présence au dehors
renversé sur lui-même, tandis que dans l'invagination ordinaire, la
partie
invaginée qui forme deux doubles d'intestin, est
ns la chute ou invagination du rectum, le déplacement commence par la
partie
du rectum la plus voisine de l'anus, c'est la por
t avoir lieu par le mécanisme des invaginations ordinaires : alors la
partie
supérieure du rectum ou inférieure du colon s'enf
tie supérieure du rectum ou inférieure du colon s'enfoncerait dans la
partie
moyenne, et ces deux doubles s'enfonceraient eux-
partie moyenne, et ces deux doubles s'enfonceraient eux-mêmes dans la
partie
inférieure de l'intestin; c'est dans ce cas qu'il
rigole circulaire plus ou moins profonde entre l'orifice anal et les
parties
déplacées. Invagination de la fin de l'intestin
malade se roulait dans son lit ; en même temps, il se dessinait, à la
partie
inférieure de l'hypocondre droit une tumeur du vo
endice vermiculaire. Le cylindre le plus extérieur est formé par la
partie
la plus élevée du colon ascendant et par le colon
a plus élevée du colon ascendant et par le colon transverse, c'est la
partie
contenante; le cylindre moyen, qui forme la surfa
n qui avoisine la valvule iléo-cœcale et les invaginations des autres
parties
du canal alimentaire. (1) L'incision de la part
tions des autres parties du canal alimentaire. (1) L'incision de la
partie
postérieure de l'intestin était nécessaire pour m
admettre, avec J. L. Petit, que les cris, les efforts, s'opposent en
partie
au resserrement de l'anneau en faisant refluer le
atrice, présente un tissu beaucoup plus dense, plus résistant que les
parties
voisines; et cet autre fait, que chez les femmes
es muscles droits, et dans laquelle peut être contenue la plus grande
partie
des intestins. L'éventration peut être appelée om
e sont quelquefois si grands, surtout chez les femmes, que toute la «
partie
extérieure du ventre , depuis le cartilage xyphoï
vides. D'autres fois, la dilatation « de la ligne blanche est dans la
partie
inférieure, c'est-à-dire depuis le nombril jusqu'
sentère qui-sortent, et quelquefois la matrice et presque toujours la
partie
supérieure « de la vessie lorsqu'elle est pleine
une tumeur énorme qui paraissait formée aux dépens de la plus grande
partie
des viscères abdominaux. La peau qui la recouvrai
, d'une part, formait la tumeur droite, d'une autre part, occupait la
partie
supérieure de la tumeur gauche. Je me demandai,
s ombilicales, dont l'une s étrangle. — Incision longitudinale sur la
partie
de la tumeur herniaire qui offre une fluctuation
e. Le sac offrait des cellulosités dans lesquelles étaient reçues les
parties
déplacées, c'était un sac à collets. La planche
qui établissait la ligne de démarcation entre les deux tumeurs : les
parties
contenues sous plusieurs circonvolutions de l'int
onnaissable à son volume et à ses appendices graisseux qui forment la
partie
supérieure de la grande tumeur et la presque tota
ligamenteux, qui la remplace chez l'adulte, venait s'engager dans la
partie
supérieure de l'anneau. Quant aux petits cordons
n'en ai trouvé de vestige autre qu'un petit cordon qui pénètre par la
partie
inférieure du même anneau: je ferai remarquer que
déplacemens se subdibise en deux sous-classes : i° Déplacemens des
parties
molles ; i° Déplacemens des parties dures. Ch
-classes : i° Déplacemens des parties molles ; i° Déplacemens des
parties
dures. Chacune de ces sous-classes présente à c
lui subordonne toutes les autres circonstances. Les déplacemens des
parties
molles présentent à considérer deux ordres bien d
i° la disposition canaliculée; i° une surface libre en totalité ou en
partie
. Les hernies, dont le caractère le plus général
he, s'était portée obliquement de gauche à droite, et avait envahi en
partie
la bourse droite. Le scrotum est une enveloppe co
les adhérences morbides que cette appendice peut contracter avec les
parties
voisines. On conçoit, par exemple, que, si l'extr
efois on peut appeler guérison ce mode de terminaison dans lequel les
parties
déplacées sont devenues adhérentes au sac herniai
vaincus que cet enfant ne tarderait pas à succomber. Le réduction des
parties
déplacées, d'ailleurs facile et complète, était s
coupé ; lavemens émolliens. « Le 29, la surface de la tumeur est en
partie
noire comme le cordon ombilical. La hernie n'a pa
on du cordon ombilical n'a pas lieu au centre de la tumeur, mais à la
partie
inférieure et gauche de cette tumeur, et quand on
e, était situé dans l'épaisseur de ses parois ; 20 que la plus grande
partie
de l'intestin grêle et du gros intestin, et une b
permette à l'anneau cutané de revenir sur lui-même, à mesure que les
parties
déplacées rentrent dans l'abdomen. Je crois la ré
de ce fait, que, dans l'éventration ombilicale, il n'y pas absence de
parties
dans les parois abdominales, mais solution de con
tenir: il faudrait réduire avec ou sans débridement, et maintenir les
parties
réduites à l'aide de points de suture. Je réprouv
étrangère la question pratique; car enfin il importe de savoir si les
parties
déplacées ont été primitivement contenues dans la
du cordon; en un mot, s'il y a eu déplacement ou défaut de rentrée de
parties
, déplacement ou arrêt de développement. Rappelo
i° Le cordon ombilical ne naît pas du centre de la tumeur, mais de la
partie
inférieure et latérale gauche. 3° La poche, malgr
oint de réunion de la peau et de la poche. 6° Dans l'éventration, les
parties
déplacées sont logées dans l'épaisseur de la base
rtébrale, il en est cependant bien plus « éloigné dans la plus grande
partie
de son étendue, durant les premiers temps de la v
intestinal rentre entièrement « dans la cavité du bas-ventre, où la
partie
inférieure de l'intestin grêle est la dernière à
té de l'abdomen, « fermée alors antérieurement aussi bien que sur ses
parties
latérales, et ne communiquant « plus avec l'intér
longerait que par ses extrémités supérieure « et inférieure. Toute la
partie
intermédiaire, c'est-à-dire la presque totalité d
ause; car cette éventration, qui contenait tout l'intestin grêle, une
partie
du gros intestin et la presque totalité du foie,
Imp.de- Lemercier,SenarcC C"^ Invagination (i) ayant son siège à la
partie
supérieure de l'intestin grêle. (Planches iv, v,
obable que le point I répond au commencement du jéjunum, que toute la
partie
dilatée DD qui surmonte l'invagination appartient
. vi, xxie livr.) la valvule iléo-cœcale limiter l'invagination de la
partie
inférieure de l'intestin grêle, de même, dans le
e même, dans le cas actuel, le duodénum a limité l'invagination de la
partie
supérieure de cet intestin. Le péritoine n'est
par l'intestin invaginé. Cette tumeur recourbée en arc présente à sa
partie
inférieure une ouverture O, qui est le lieu de ré
ente deux tumeurs polypeuses : l'une PM plus considérable occupant la
partie
supérieure; l'autre, plus petite P', occupant la
e occupant la partie supérieure; l'autre, plus petite P', occupant la
partie
inférieure de l'intestin central. Ces tumeurs son
dans l'intestin invaginant I". Le cylindre central I appartient à la
partie
la plus élevée de l'intestin grêle; le cylindre m
suite, et le cylindre périphérique, ou invaginant I", appartient à la
partie
la plus inférieure. Les polypes n'ont pas concour
elui dont le poids aurait pu produire le déplacement, n'occupe pas la
partie
inférieure, mais bien la partie supérieure du cyl
duire le déplacement, n'occupe pas la partie inférieure, mais bien la
partie
supérieure du cylindre central; or c'est la parti
eure, mais bien la partie supérieure du cylindre central; or c'est la
partie
inférieure de ce cylindre central qui a dû se dép
formé par le cylindre moyen et par le cylindre central : il occupe la
partie
inférieure de la tumeur; 2° un cul-de-sac muqueux
par le cylindre moyen et par le cylindre périphérique : il occupe la
partie
la plus élevée de la tumeur. Le cylindre le plu
ement aux circulations lymphatique et veineuse, un épaississement des
parties
comprimées, et par suite l'étranglement, la gangr
ules conniventes aurait pu faire reconnaître si elle appartenait à la
partie
supérieure ou bien à la partie inférieure de l'in
e reconnaître si elle appartenait à la partie supérieure ou bien à la
partie
inférieure de l'intestin grêle. Cet examen ne fut
la longueur de la portion invaginée restante; » et j'ajoutai «qu'une
partie
plus ou moins considérable de cet intestin invagi
um et à l'iléon trois fois, à l'iléon seul onze fois, cinq fois à une
partie
non déterminée de l'intestin grêle); elle apparte
x pouces et quarante : rarement l'intestin se trouvait divisé en deux
parties
; presque toujours il entraînait avec lui un lamb
altération considérée en elle-même. En effet, à raison de l'issue des
parties
à travers l'anus, l'invagination est constatée pa
l'orifice inférieur de l'espèce de boudin qu'elle représentait. A la
partie
interne et un peu postérieure de ce boudin, exist
la catégorie des hernies qui sont dépourvues de sac herniaire à leur
partie
antérieure (1), et que ce sac herniaire occupait
ire à leur partie antérieure (1), et que ce sac herniaire occupait la
partie
postérieure de l'intestin, c'est-à-dire toute la
e occupait la partie postérieure de l'intestin, c'est-à-dire toute la
partie
qui avait échappé à la gangrène. Aussi n'ai-je tr
vent aux dépens du cylindre externe, qu'il peut cependant s'opérer en
partie
aux dépens du cylindre central; 3° que le collier
ion qui annonçait qu'elle commençait à participer à la phlegmasie des
parties
subjacentes. Derrière l'ombilic, tumeur dure, q
ait plus considérable que le diamètre vertical, était divisée en deux
parties
, l'une antérieure et l'autre postérieure aux musc
cerises, qui remplissaient le cœcum, le colon ascendant et une petite
partie
du colon transverse (pl. vi, 26e livr.); que la c
oitrine à l'aide de l'auscultation, la pression de ma tête contre les
parties
emphysémateuses déterminait un bruit très distinc
, qui formait un bourrelet plus considérable que de coutume. Toute la
partie
du gros intestin qui était au-delà du rétrécissem
ique, un seul cas de tumeur adipeuse du volume d'une fève occupant la
partie
supérieure de l'intestin grêle. La membrane muque
ont remarquables en ce que la couleur ardoisée n'occupe qu'une petite
partie
de leur étendue. Sur la portion d'intestin grêl
n eût pu arrêter le flux diarrhéique. A l'ouverture, on trouva que la
partie
moyenne de l'intestin grêle adhérait à la fin du
ns pouvaient passer directement du milieu de l'intestin grêle dans la
partie
inférieure du gros intestin. De même, les alimens
neemens radiés, preuve non équivoque, qu'il y avait eu attraction des
parties
voisines de la perte de substance. On ne saurait
re sanguin, les follicules sébacés et pileux qui font essentiellement
partie
de la peau, et qui constituent même ses élémens c
ns de membrane muqueuse, qu'en ce sens qu'il protège efficacement les
parties
qu'il revêt contre l'atteinte du liquide avec leq
out aussi bien que l'intestin grêle. Cette altération commence à la
partie
inférieure du colon ascendant, et va en augmentan
mesure qu'on s'approche de l'anus. La portion la plus altérée est la
partie
supérieure du rectum, dont toute la circonférence
lon de certaines pertes de substance marquées SU, SU, qu'on voit à la
partie
inférieure du rectum et au niveau de l'arc du col
s souvent la forme erratique, qu'il envahit successivement toutes les
parties
du corps; qu'il est d'autant plus redoutable, que
morcelée, blanchâtre dans la figure 2, qui représente le rectum et la
partie
voisine de l'S iliaque; vert sale dans la figure
d'une maladie qui paraissait avoir été très aiguë, j'ai trouvé que la
partie
inférieure de l'intestin grêle présentait, au voi
s'imbibe à travers les parois de la poche biliaire, pour colorer les
parties
contiguës, puis se mêler à la sérosité péritonéal
eprésente un échantillon d'une altération qui occupait la plus grande
partie
de l'intestin grêle : cet intestin était rempli d
encore la moitié inférieure de l'intestin grêle. Gros intestin. La
partie
la moins altérée est le cœcum et le colon ascenda
in. La partie la moins altérée est le cœcum et le colon ascendant. La
partie
la plus profondément altérée est le rectum et sur
la valvule iléo-cœcale, et envahit les derniers pieds, la plus grande
partie
de la longueur de l'intestin grêle. Une particula
queuse par zones plus ou moins irrégulières, en laissant intactes les
parties
intermédiaires. 3. Quant au caractère de la phl
est dans le réseau capillaire; phlegmasie qui, lorsqu'elle atteint la
partie
inférieure du rectum, a pour résultat ce besoin i
cer du rectum ; que , conséquemment à cette croyance, on a extirpé la
partie
inférieure du rectum ou dilaté l'intestin par des
sans épreintes, suivant que l'inflammation occupe ou n'occupe pas la
partie
inférieure du rectum, par des selles sanglantes o
de toute l'épaisseur de l'intestin, et que ce renversement occupe la
partie
inférieure du rectum, qui s'est déplacé de bas en
e fig. i et i ' n'est donc rien autre chose qu'une invagination de la
partie
inférieure du rectum avec hypertrophie très consi
du déplacement de l'intestin, de la contraction du sphincter sur les
parties
déplacées, de l'irritation exercée par le contact
nces, l'expliquent surabondamment. Les fig. 2 et 2' représentent la
partie
inférieure de l'intestin rectum d'une femme dont
s'assura par l'introduction du doigt que le cancer n'occupait qu'une
partie
de la circonférence du rectum; un suintement puru
u rectum. A l'ouverture, je trouvai que la dégénération occupait la
partie
inférieure de l'intestin, qu'elle était parfaitem
me ulcéreuse, et détruit successivement couche par couche, toutes les
parties
environnantes. Souvent une inflammation phlegmone
on légère du tissu cellulaire sous-cutané de la face et de toutes les
parties
du corps; l'oppression au moindre exercice; le po
mbrane muqueuse. Plusieurs ulcérations avec perte de substance, et en
partie
cicatrisées, se voyaient de distance en distance
n circulaire du diamètre d'une pièce d'un franc entre le rectum et la
partie
inférieure du vagin, au-dessus de la commissure p
l'intermédiaire d'un clapier qui se prolongeait dans l'épaisseur delà
partie
postérieure de la grande lèvre droite et qui s'ou
ente cette région. La muqueuse du rectum était détruite dans toute la
partie
de l'intestin qui est plongée au milieu des grais
de brides circulaires et longitudinales, disposition qui donnait à la
partie
inférieure du rectum l'aspect aréolaire. 11 résul
est introduit dans l'intestin rectum peuvent abaisser suffisamment la
partie
malade pour permettre d'établir le diagnostic. J'
marquable d'extension à la vessie du cancer du rectum. Cancer de la
partie
supérieure du rectum. Tous les symptômes de la ré
néanmoins constant qu'il existait un rétrécissement considérable à la
partie
supérieure de cet intestin ou à la fin de l'S ili
une dégénérescence cancéreuse avec rétrécissement considérable de la
partie
supérieure du rectum. La dégénérescence s'était p
tion de l'intestin colon dans un rétrécissement dur, annulaire, de la
partie
inférieure de l'intestin rectum ; rétrécissement
ai seulement dit, dans mes notes : rétrécissement sguirrhosité, de la
partie
inférieure du rectum. La rupture de l'intestin
cicatrice circulaire de 3 pouces de diamètre occupant le pylore et la
partie
voisine du petit cul-de-sac de l'estomac. Le 'rét
e de la rétention; et le curage, si l'on peut s exprimer ainsi, de la
partie
inférieure de l'intestin, fait cesser immédiateme
ns organiques du rectum, comme d'ailleurs celles de toutes les autres
parties
du canal alimentaire, intéressent sous deux point
; voici ces accidens: douleurs extrêmement vives qu'elle rapporte aux
parties
génitales externes et principalement à la commiss
e totalité de la hauteur du rectum. Il n'en reste que des débris à sa
partie
inférieure et à sa partie supérieure. La surface
u rectum. Il n'en reste que des débris à sa partie inférieure et à sa
partie
supérieure. La surface interne de l'intestin offr
ent détruite, se voit un clapier anfractueux, qui communique avec les
parties
génitales. La figure 1' donne une idée parfaite
sidérable. Voici du reste la description fidèle de cet intestin. La
partie
inférieure du rectum est revêtue de membrane muqu
des bords coupés à pic et sont libres de toute conti- nuitéavec les
parties
voisines. Ces pertes de substance de la muqueuse
té pratiquée. Inflammation chronique âu rectum. —Eaftirpation de la
partie
inférieure de cet intestin.— Incontinence des m
e contraction. Aucun suintement purulent n'avait lieu par l'anus. Les
parties
voisines étaient d'ailleurs parfaitement exemptes
présente un exemple d'une inflammation chronique du rectum; que la
partie
inférieure de cet intestin indurée et rétrécie, a
e cette incision, il eut besoin d'employer beaucoup de force; car les
parties
avaient une dureté presque cartilagineuse. Le tra
as dire impossible, vu la profondeur de la plaie et l'engorgement des
parties
environnantes. On remplit donc de charpie cette p
as. Un abcès, qui s'était manifesté du côté interne de cette dernière
partie
, se vida, le 3i, par la plaie du cautère. Le soir
a une cause de maladie se jeter, heureusement pour la malade, sur des
parties
extérieures qu'elle quitte et envahit alternative
be; mais ce cautère ayant été appliqué par un élève peu instruit à la
partie
postérieure de la jambe, on le fit supprimer et a
dans l'ouverture du cautère, et parvint jusqu'au foyer purulent à la
partie
interne du bras. Une sonde cannelée fut substitué
érations faites en plusieurs temps. Les incisions qui portent sur des
parties
déjà enflammées par une opération antérieure font
Cancer gélatiniforme du rectum. Le rectum , comme toutes les autres
parties
du canal alimentaire est sujet au cancer gélatini
orps de cet organe, le col étant intact , et plus particulièrement la
partie
postérieure du corps et se serait dirigé vers le
infiltration qui avait débutée par les jambes, s'étendit à toutes les
parties
du corps, et même au col. La malade fut saignée s
paisses, à canal extrêmement étroit, ayant 3 pouces de hauteur. Cette
partie
dégénérée adhérait à l'utérus et au vagin : la co
t des efforts auxquels la malade se livrait pour leur expulsion. La
partie
inférieure du rectum est quelquefois le siège du
ncer gélatiniforme. Voici la description anatomique d'un cancer de la
partie
inférieure du rectum, qui a été observé chez une
le était profonde, avait détruit toute l'épaisseur du rectum dans une
partie
de sa circonférence et communiquait avec des clap
t interrompue par l'accroissement illimité et souvent très prompt des
parties
dégénérées, en sorte qu'aux accidens les plus gra
ui donne une bonne idée de la manière dont procède la destruction des
parties
qui en sont le siège. Cancer aréolaire gélatini
substance qu'on croyait consécutive à l'abcès. L'examen attentif des
parties
me fit reconnaître que la grosse extrémité de l'e
ité de l'estomac était le siège d'un ulcère chronique, en très grande
partie
cicatrisé et cerné par un rebord circulaire, coup
on qui avait détruit toute l'épaisseur de l'estomac, et que, dans les
parties
détruites, la rate faisait l'office d'un véritabl
é que les kystes acéphalocystes peuvent se développer dans toutes les
parties
du corps qu'il a porté le diagnostic suivant qui
que ce tissu propre eût subi la transformation fibreuse dans toute la
partie
qui répondait à la moitié interne du kyste. Les
malité dans toute l'étendue de la moitié gauche du thorax et dans la
partie
inférieure de la moitié droite, absence du bruit
ne orangé de la nuance la plus belle et la plus vive possible. A sa
partie
supérieure, ce vaste kyste présentait une arrière
ette boue plâtreuse, caséiforme, tuberculiforme qui la remplissait en
partie
. Les accidens qui ont précédé et amené la mort
on qui s'est terminée par gangrène, qui s'est étendue de la poche aux
parties
adjacentes et a produit cet arrière-foyer gangren
t assez rare, le cancer utérin dépasse les limites de l'utérus et des
parties
envahies par continuité de tissu, c'est dans le f
sphère séreuse dont le foie est environné, me paraissent expliquer en
partie
l'isolement des lésions orga- niques de cet org
s ne consistent pas purement et simplement dans le ramollissement des
parties
dégénérées, et il y a erreur évidente dans la doc
cancer n'engendre donc « pas nécessairement un cancer dans toutes les
parties
qu'il touche ou avec lesquelles il se « continue.
es dès leur première apparition; elle a révélé leur influence sur les
parties
environnantes et sur l'économie en général ; leur
pénétrées d'incrustations calcaires, jamais facilement séparables des
parties
voisines. Du reste, cette altération présente l
t complet. Du reste, ici comme dans les cas analogues, la plus grande
partie
des tubercules et masses cancéreuses occupait la
nombre de tubercules et de masses que le lobe droit. La plus grande
partie
de ces masses et tubercules était très dense et à
ux granulations. Chez ce sujet, la vésicule du fiel ne faisait plus
partie
des voies biliaires dont elle était séparée par l
es bords soient coupés à pic, une cicatrice de bonne nature couvre sa
partie
interne. Il paraît en voie de guérison. Tout auto
icielles ont beaucoup plus de densité et moins de vas-cularité que sa
partie
centrale. Les ovaires ont deux ou trois fois le
taient sains, c'était le foie qui avait attiré sur lui la plus grande
partie
de la diathèse cancéreuse. Cancer mammaire ; ex
CALCULS BILIAIRES. EXPLICATION DES FIGURES. La fig. i représente la
partie
inférieure de la face convexe du foie. La douzièm
zième côte est marquée sur la figure par une ligne ponctuée. Toute la
partie
du foie qui est au-dessous de ce sillon débordait
blanche très prononcée, qui résulte de la transformation fibreuse des
parties
du foie comprimées. Cette transformation se fait
côté droit, tandis que le moyen lobe déborde à peine le thorax. La
partie
du foie qui est restée à sa place accoutumée part
subis la portion déplacée : elle soulève le diaphragme ; en outre, sa
partie
supérieure est sillonnée d'une, de deux,de trois
phragme. Dans quelques cas, le corset étant fortement serré dans sa
partie
inférieure, le foie est refoulé entièrement en ha
ccidens. La vésicule du fiel et le canal cystique sont, en effet, des
parties
surajoutées aux voies biliaires, à travers lesque
dans les parois adossées de la vésicule et de l'une ou l'autre de ces
parties
, et le pus est évacué par l'une ou l'autre de ces
dans le duodénum et réciproquement. La vésicule biliaire faisait donc
partie
intégrante des voies alimentaires. Aucun accident
ise. A l'ouverture, je trouvai un gros calcul biliaire engagé dans la
partie
inférieure de l'intestin grêle, où il était comme
t comme étranglé, des cicatrices circulaires qui se voyaient dans des
parties
plus élevées de l'intestin grêle, et une escarre
rconscrite à la région du foie. Après avoir suffisamment étudié les
parties
, en place, j'enlevai le foie avec précaution, et
a vésicule s'était faite par le fond de cette vésicule et même par la
partie
la plus élevée de ce fond, en sorte que l'épanche
t sanieux , se réduit de plus en plus. L'exploration du foie et de la
partie
voisine de l'abdomen n'occasionne aucune douleur.
e, couche hépatique qui a dégénéré en tissu fibreux dans une certaine
partie
de son étendue. Le même lobe droit du foie prés
nens par phlegmasie ? Piien de plus facile. Dans ce dernier cas, la
partie
du foie proéminente est sphéroïdale, tandis que,
qu'il fallut une dissection très longue pour isoler du milieu de ces
parties
la vésicule sous la forme d'un petit kyste à paro
llement cadavérique. Sa couleur était jaune-serin dans la plus grande
partie
de son étendue. Sa surface présentait des taches
mons, et comment le cancer se montre par masses isolées, au milieu de
parties
qui sont dans l'état le plus parfait d'intégrité.
e remplie de pus. La figure i' représente la trachée ouverte par sa
partie
postérieure. On voit que le corps thyroïde formai
formait autour de la trachée les deux tiers d'un cylindre, et que la
partie
membraneuse de cette trachée était seule exempte
ne jugulaire ait exercé quelque influence sur la mort; car le pus, en
partie
concret, en partie liquide, était parfaitement ci
ercé quelque influence sur la mort; car le pus, en partie concret, en
partie
liquide, était parfaitement circonscrit par des c
mais à une de ces tumeurs adipeuses et fibreuses, si fréquentes à la
partie
latérale du col. Il est vrai que le goitre occupa
ateuse, à laquelle elle succomba, le 17 mai. Cette femme portait à la
partie
latérale droite du col une tumeur étendue depuis
e dégénération encéphaloïde, passée à l'état de désorganisation. La
partie
superficielle de la tumeur, qui présentait çà et
i transparente, très dense, comme cornée, que la suppuration avait en
partie
détachée du kyste. Au centre de la tumeur, j'ai
, au fond de laquelle on sentait les cartilages dénudés. En effet, la
partie
supérieure du cartilage cricoïde était ossifiée e
'est accompagnée d'aucune trace de fluxion sanguine ou autre dans les
parties
environnantes, ce qui a donné l'idée que cette dé
on. La poche fibreuse qui les contenait et qui faisait nécessairement
partie
des voies aériennes serait revenue sur elle-même
r d'une ouverture très considérable (fig. 2), qui donnait passage aux
parties
déplacées. Sous la peau, on trouvait : i° une c
cles grand et petit pectoraux manquaient au niveau de la tumeur. La
partie
du poumon déplacé n'avait subi aucune altération
ème côte, pour se réfléchir en formant un cul-de-sac ou rigole sur la
partie
correspondante du poumon : après avoir revêtu cet
ole sur la partie correspondante du poumon : après avoir revêtu cette
partie
correspondante et toute la portion de poumon dépl
alade toussait, la main de l'observateur était soulevée comme par une
partie
déplacée; on aurait pu croire à une hernie du pou
ille de Lutzen : une pièce de canon lui passa transversalement sur la
partie
supérieure de l'abdomen. Les accidens les plus fo
uis en juin 1819, dans le service de M. Richerand. On remarqua sur la
partie
latérale gauche et inférieure de la poitrine une
re la huitième côte de la neuvième, à la réunion du cartilage avec la
partie
osseuse. Elle ne peut être réduite par le taxis q
cté d'une pneumonie à laquelle il succomba, m'offrit, au niveau de la
partie
inférieure gauche du thorax, une tumeur très volu
onsidérable (i). Il disait entendre parfois un gargouillement dans la
partie
antérieure de la tumeur qui était du reste indole
on, mais non de réduction complète. La tumeur était divisée en deux
parties
bien distinctes, l'une sous-cutanée, l'autre sous
e sous-musculaire. La dissection de la tumeur m'a montré que, dans sa
partie
la plus profonde, elle était recouverte par le mu
'intervalle qui sépare la huitième de la neuvième côte. Séparée des
parties
environnantes, la tumeur présentait à l'extérieur
es abdominales paraîtra toute naturelle, si Ton considère : i° que la
partie
inférieure de la cage thoracique est destinée à l
n. N'oublions pas que, dans la pneumonie, l'état local n'est qu'une
partie
de la maladie, que l'état général est la source d
peler envahissantes, parce qu'elles affectent successivement diverses
parties
des poumons. Vous explorez un poumon affecté d'in
ce côté, la respiration et la voix tubaire dans les mêmes régions. La
partie
antérieure du poumon gauche avait seule conservé
occupant la totalité du poumon gauche, moins le bord antérieur et la
partie
antérieure ou claviculaire du sommet et mon prono
avec ventouses sur divers points du thorax, et deux vésicatoires à la
partie
interne d'en bas. Les 28, 29, 3o, suspension du
idérable: il était enveloppé par une fausse membrane très épaisse. La
partie
supérieure du lobe supérieur adhérait intimement
épanchement considérable. La base était profondément excavée. Aucune
partie
de ce poumon n'était perméable à l'air. Je ne cro
Dans la caverne, dont les parois étaient extrêmement minces dans une
partie
de son étendue , aboutissaient plusieurs tuyaux b
, et qu'une inflammation , survenant dans xxxiie livraison. 1 ces
parties
indurées, avait déterminé la séparation incomplèt
pleurésie a été consécutive à la formation de cette caverne, dont une
partie
paraissait n'avoir pour parois que la plèvre épai
alablement induré. On conçoit que, dans cette circoustance, certaines
parties
indurées résistent à l'espèce de dissociation qui
oint d'origine au sommet du poumon, et son orifice de sortie sur la
partie
latérale gauche du larynx. La pièce représentée
jet fistuleux très large TF,conduisait directement de ce foyer sur la
partie
latérale gauche du col où il s'ouvrait par un ori
it, je rapporterai une observation de fistule pulmonaire, occupant la
partie
latérale droite du sternum , et survenue à la sui
mammaire gangrené, avec carie 'du sternum. — Orifice de sortie à la
partie
latérale droite du sternum. Marie Poteau , 55 a
itué à droite du sternum , sur lequel il empiète, et ayant détruit la
partie
supérieure de la mamelle, dont les deux tiers inf
au gnn gréné. Plus tard un second foyer gangreneux s'établit sur la
partie
inférieure de l'ulcère. Les ganglions axillaires
rmées par une matière, semblable à du mastic de vitrier, condensé, en
partie
déposée, en partie infiltrée. Une membrane mince
re, semblable à du mastic de vitrier, condensé, en partie déposée, en
partie
infiltrée. Une membrane mince la cernait de tous
On voit que les tumeurs sanguines occupent le voisinage du coude, la
partie
inférieure de l'avant-bras et la face antérieure
ster sur un grand nombre de points à-la-fois en laissant intactes les
parties
intermédiaires. C'est aussi la première fois qu
r, elle peut s'étendre et s'étend en effet à une plus ou moins grande
partie
du système veineux utérin, de là dans les veines
cielle et profonde. Du côté gauche la phlébite se continue dans une
partie
de la longueur de la veine saphène VS, en présent
de la résorption purulente; ou bien le pus aurait été éliminé dans sa
partie
la plus liquide par les lois ordinaires de la rés
aire. Les artères pulmonaires, qui représentent les veines des autres
parties
du corps, sont parfaitement saines. Veines du m
le est oblitérée par des caillots adhérens. Je trouve, en outre, à sa
partie
supérieure, au centre du caillot, une matière bla
s oblitérées par des concrétions ossiformes qui occupaient une grande
partie
de la longueur du vaisseau. Du reste, la distin
n, d'ailleurs inévitable', de la maladie. A l'ouverture du cadavre,
partie
supérieure du vagin gangrenée communiquant largem
forme de petites masses bleuâtres, molles, flétries, s'affaissant en
partie
sous le doigt qui les comprime, et donnant la sen
ce niveau, l'humérus privé de son périoste est érodé. Le long de la
partie
inférieure du nerf cubital on voit une série de t
quables parleurs flexuosités alternes à la manière d'un serpent. La
partie
supérieure de la veine saphène présente une dilat
ts sanguins, ainsi qu'on le voit en VO. La fig. l'montre ouverte la
partie
supérieure de la veine saphène. On y voit que la
omme une phlébite) était limitée aux veines sous-cutanées. Toutes les
parties
sous-aponévrotiques étaient parfaitement saines,
nvahi aucune division collatérale, aucun capillaire: aussi toutes les
parties
environnantes étaient-elles parfaitement saines.
muqueuse trachéale et bronchique ; induration molle et flasque de la
partie
du poumon dans laquelle j'avais entendu la crépit
ed en entier, toute la région antérieure et externe de la jambe et la
partie
inférieure des régions postérieure et interne. El
s ont une couleur livide, mais ils ont de la cohérence, et toutes les
parties
peuvent être reconnues et disséquées. On voit sur
du pied. Les artères fémorale et poplitée et leurs divisions sont en
partie
ossifiées; elles restent cylindriques, après la s
ère fémorale libre dans toute sa longueur. Caillots non adhérens à la
partie
inférieure de cette artère, au moment de son pass
nière étaient distendues par du sang coagulé. Le cœur et les autres
parties
du système artériel étaient parfaitement sains.
ssez complète pour qu'il y ait interruption du sang artériel dans une
partie
, a pour résultat la gangrène de cette partie, et
u sang artériel dans une partie, a pour résultat la gangrène de cette
partie
, et c'est pour cette raison qu'il conviendrait de
grène; « j'en fis l'amputation au-dessous du cercle de séparation des
parties
mortes d'avec les parties « vivantes, et j'ai vu
tion au-dessous du cercle de séparation des parties mortes d'avec les
parties
« vivantes, et j'ai vu que les muscles de la cuis
é collé aux os.» J'ai pensé que la différence qui existait entre la
partie
supérieure et la partie inférieure du membre gang
pensé que la différence qui existait entre la partie supérieure et la
partie
inférieure du membre gangrené, sous le rapport de
cture ; que c'était en raison de cette différence de structure que la
partie
supérieure avait été le siège d'une gangrène humi
ie supérieure avait été le siège d'une gangrène humide, tandis que la
partie
inférieure avait été le siège d'une gangrène sèch
cules faciles à reconnaître par le toucher, à travers la mollesse des
parties
voisines : ces tubercules n'étaient autre chose q
e, les cartilages avaient été corrodés à leur circonférence; mais les
parties
restantes étaient parfaitement saines et la synov
une artérite latérale, je veux dire une artérite qui n'occupe qu'une
partie
de la circonférence du vaisseau, en sorte que la
plètement le vaisseau; quelques-uns de ces caillots répondaient à des
parties
de l'artère dilatées et pétrifiées. Une matière p
i dans un cas présenté à la Société anatomique par M. Maisonneuve, la
partie
inférieure de l'aorte, les artères iliaques primi
'une véritable inflammation. Quant à la douleur atroce qui occupe les
parties
qui vont être frappées de gangrène, et que souven
frappées de gangrène, et que souvent aussi les malades rapportent aux
parties
gangrenées elles-mêmes, douleur que la moindre pr
s d'une sorte de lutte qui s'établit entre la vie et la mort dans les
parties
privées de leurs matériaux de nutrition. Je l'ai
tion ne s'opposerait pas à l'extension de la gangrène dans toutes les
parties
qui sont le siège de l'oblitération. La nature s'
séparation entre le vif et le mort s'étant établie, la cicatrice des
parties
mortes se fit parfaitement, et ce ne fut qu'alors
ureux, l'inflammation artérielle adhésive a pour résultat la mort des
parties
, lorsqu'elle envahit les artères capillaires; je
res du membre d'un cadavre dans un commencement de putréfaction : les
parties
de peau dépouillées d'épiderme par le pincement d
nts de sa circonférence, en sorte que la circulation a pu se faire en
partie
entre le caillot et les parois artérielles. Les a
résente trois variétés : savoir la momification ou gangrène sèche des
parties
molles, la gangrène humide, et la putréfaction ca
nsensibilité et au refroidissement se joignit la couleur noirâtre des
parties
: on évitera toujours l'erreur si on se rappelle
e. J'ai admiré dans ce cas la rapidité extrême de la dessiccation des
parties
frappées de mort. On conçoit que, d'une part, les
ci doivent pomper en quelque sorte tous les liquides contenus dans la
partie
morte et la dessécher avec une extrême rapidité.
que toutes les causes qui empêchent l'abord du sang artériel dans une
partie
sont cause de gangrène: ainsi la faiblesse de con
deux artères coronaires, droite ACD, et gauche ACG, naissaient de la
partie
la plus élevé de ces sinus. La longueur du tron
lise en quelque sorte la surface interne de ce vaisseau dans toute la
partie
correspondante à la dilatation; et comme la circo
ivement s'ajouter et le tissu cellulaire extérieur au vaisseau et les
parties
ambiantes. A cette doctrine, que toute tumeur a
emière n'était qu'une appendice. La tumeur superficielle ou plutôt la
partie
superficielle du sac avait pour parois une membra
erficielle du sac avait pour parois une membrane celluleuse mince; la
partie
profonde du sac offrait au contraire l'aspect que
eur « est brusque dans la circonférence de l'éperon, excepté dans une
partie
que nous ferons « connaître plus bas. Il faut obs
« et l'examen le plus attentif à la loupe ne peut faire distinguer la
partie
qui appartient au « sac de celle qui dépend de 1
la poche pouvant céder plus tôt ou plus tard, il en résultait qu'une
partie
plus ou moins considérable de la poche anévrysmal
les artères, se présentent , A. sous l'aspect d'ampoules occupant une
partie
plus ou moins considérable de la circonférence du
nt l'aorte ascendante naissent de l'ampoule et même quelquefois de la
partie
la plus ample de cette ampoule. J'ai vu, dans un
ang était parfaitement libre du côté de la concavité du vaisseau : la
partie
renflée de l'anévrysme était remplie par un caill
mplie par un caillot très cohérent et lamelleux, qui manquait dans la
partie
rétrécie du demi-ovoïde, formé par l'anévrysme. L
° Anévrysmes en bosselures.—Lorsque l'anévrysme ampullaire occupe une
partie
moins considérable de la circonférence de l'artèr
sacs, l'un primitif, l'autre secondaire. Le sac primitif occupait la
partie
ascendante de la crosse de l'aorte : sa limite, d
issait, par un collet ou bride circulaire extrêmement prononcé ,de la
partie
antérieure du sac primitif. Le collet du sac pr
troisième côte, qui entrait dans la composition des parois, était en
partie
seulement dépouillée de son périchondre ; mais la
lle sorte que les trois troncs de l'aorte ascendante naissaient de la
partie
la plus élevée de l'ampoule anévrysmale. Cette am
use était évidemment formée parles trois membranes artérielles. De la
partie
antérieure de cette coque osseuse naissait une tu
cette espèce, s'il est possible de diagnostiquer une lésion de cette
partie
si importante du centre céphalo-rachidien, il est
complète en bas des deux côtés; matité complète en arrière et sur les
parties
latérales. 20 A la palpation, sensation de batt
culation qui résulte de la compression que cette poche exercé sur les
parties
voisines, puisse être une cause d'épanchement dan
par la tumeur, s'étaient en quelque sorte éparpillés sur elle, et en
partie
transformés en tissu fibreux. La figure 1, plan
brale. On voit que la poche anévrysmale a été formée aux dépens d'une
partie
seulement de la circonférence de l'aorte, savoir
anche u, par le plissement et l'affaissement de ses parois; que cette
partie
, simplement dilatée, était tout-à-fait perméable
on voit même, en examinant l'aorte par sa surface extérieure, que la
partie
saine de ce vaisseau se continue avec un tissu ar
ues artérielles existent, dans leur état d'intégrité, au niveau de la
partie
simplement dilatée: les trois tuniques sont encor
rne de la poche droite SIP n'adhérait aux lamelles décolorées qu'à la
partie
supérieure; en bas, il n'y avait pas d'adhérence;
sorte qu'il n'y avait réellement de libre pour la circulation, que la
partie
de la circonférence du vaisseau qui n'avait pas s
e la vie peut se maintenir malgré la destruction,l'annihilation d'une
partie
considérable de l'organe respiratoire, doit soute
la position verticale. Il lui semble que le tronc est divisé en deux
parties
superposées, et que la moitié supérieure n'est pa
ourant avec le doigt tous les points de sa longueur, je reconnus à la
partie
supérieure et latérale gauche de la région dorsal
a cause de la paraplégie. Il était évident que lanévrysme occupait la
partie
la plus élevée de l'aorte thoracique ou la fin de
u côté de la colonne vertébrale, usé les vertèbres et probablement la
partie
voisine des côtes, pénétré jusque dans le canal r
e; 20 poche anévrysmale du volume des deux poings réunis, occupant la
partie
descendante de la crosse aortique ; cette poche é
osse aortique ; cette poche était, en quelque sorte, implantée sur la
partie
latérale gauche des quatre premières vertèbres do
e dans la fig. 2, ce qui tient à ce que, vue par ce côté, elle est en
partie
obstruée par les concrétions stratifiées qui tapi
t l'avantage ne saurait être contesté, cette épreuve se compose d'une
partie
pratique et d'une partie théorique. On avait dési
tre contesté, cette épreuve se compose d'une partie pratique et d'une
partie
théorique. On avait désigné pour sujet chirurgica
écissement. La dissection la plus attentive ne fit découvrir dans les
parties
situées autour de l'aorte aucune tumeur à laquell
rcouru leur trajet accoutumé , en diminuant un peu de calibre vers la
partie
inférieure du thorax, augmentaient ensuite sensib
al de Sténon. Poitrine. Poumon droit sain; hépatisation rouge d'une
partie
du lobe inférieur du poumon gauche. Cœur. (Fig.
e est le siège d'un travail morbide, de même, dans le cas actuel, une
partie
du caillot était détachée de la surface interne d
artères me paraît jeter un grand jour sur cette question : lorsqu'une
partie
circonscrite du cylindre crue représente une artè
int en tumeur conoïde ou hémisphérique; le sang se coagule dans cette
partie
dilatée et enflammée, car la coagulation du sang
ulsion trop vive et trop soutenue, et alors l'artère présente sur une
partie
de sa circonférence une espèce d'appendice conoïd
he anévrysmale se fortifie par l'application successive de toutes les
parties
voisines qui viennent en quelque sorte au secours
tes les parties voisines qui viennent en quelque sorte au secours des
parties
usées, subissent la transformation fibreuse et fo
lexe constituée par les débris du tissu propre de l'artère et par les
parties
nouvelles accidentellement appelées à faire parti
ng est comme exprimé, tamisé, de telle façon qu'il a perdu une grande
partie
de sa quantité de mouvement quand il frappe la po
ause qui diminuera la force de résistance des parois du cœur dans une
partie
de ses parois deviendra donc une cause d'anévrysm
t si le sommet du cœur en est si souvent le siège, c'est qu'il est la
partie
la moins forte du ventricule gauche; c'est que, p
la vie la moindre altération du côté du cœur. Dans d'autres cas, la
partie
transformée se dilate en poche surajoutée au vent
rrhagie mortelle, que des adhérences au péricarde et du péricarde aux
parties
voisines peuvent empêcher ou retarder cette ruptu
poumon fut entrepris. J'entendis d'abord de la crépitation sèche à la
partie
postérieure et latérale gauche du thorax , puis d
dans l'hydropériearde, c'est précisément la pointe du cœur qui est la
partie
la plus éloignée des parois du thorax; et si quel
ois de ce ventricule.— Transformation fibreuse de ces parois dans une
partie
de leur étendue.—Travail inflammatoire probable a
s avons vu, avec des caillots récens, un petit caillot plus dense, en
partie
décoloré, adhérent aux parois du cœur et creusé d
s quelques points toute l'épaisseur du cœur, dans d'autres points une
partie
seulement de cette épaisseur, et se prolongeait d
it jusqu'auprès de la déchirure, et contrastait avec la fragilité des
parties
voisines. Dans l'observation qu'on vient de lir
r rétablir l'équilibre. Il y avait habituellement un léger œdème à la
partie
inférieure des jambes derrière les malléoles. (
érent des concrétions pierreuses et une matière pultacée semblable en
partie
à du lait de chaux, en partie à du pus concret. L
es et une matière pultacée semblable en partie à du lait de chaux, en
partie
à du pus concret. L'artère aorte était parsemée d
édée d'un catarrhe pulmonaire qui, probablement, enleva au poumon une
partie
de son ressort; une exhalation séreuse se fit en
ontenait avec un caillot sanguin décoloré et condensé qui occupait la
partie
supérieure de la cavité , un caillot sanguin ordi
ble remarque n'avaitpoint échappé àMorgagni, qui fait observer que la
partie
inférieure du ventricule gauche est moins épaisse
u ventricule gauche du cœur est en raison inverse de celle des autres
parties
de ce ventricule, ce qui revient à dire que la po
tion très étendue sur les érosions cutanées dont la cause attaque les
parties
internes lorsqu'elles sont chassées de l'extérieu
tissu du cœur avait subi la transformation fibreuse dans une certaine
partie
de ses fibres. La fragilité du cœur une fois su
ste dans lequel il est contenu est d'abord rudimentaire, et le pus en
partie
infiltré; puis il se forme une poche à parois gre
s membranes se produisent tout autour pour l'enkyster et l'isoler des
parties
voisines. Il y a donc cette différence entre les
de leur surface, elles ne le sont en général que par une très petite
partie
, souvent même elles sont pédiculées; et, quelque
raison, les caillots sanguins du cœur peuvent être détachés dans une
partie
de leur circonférence. L'analogie me porte donc
faire soupape à la manière d'une bille sphéroïdale et intercepter en
partie
la circulation, et que, détachée du cœur, cette c
dans les quatre veines pulmonaires. Cette concrétion offrait sur une
partie
de sa surface une disposition granuleuse (fig. i'
concrétions pierreuses, tuberculeuses, dont la surface inégale est en
partie
libre et en partie recouverte par la membrane int
ses, tuberculeuses, dont la surface inégale est en partie libre et en
partie
recouverte par la membrane interne. Le rétrécisse
très faible , presque insensible. La respiration ne s'entend qu'à la
partie
supérieure de la poitrine. Vomissemens pendant le
res, surtout à gauche. Le poumon, de ce côté, n'offre pas la huitième
partie
de son volume. Augmentation de volume et couleur
oppés et comme pressés de toutes XXIXe LIVRAISON. 1 parts par les
parties
dégénérées. L'artère axillaire était saine. La ve
fait d'une inflammation adhésive accidentellement contractée avec les
parties
saines du vaisseau. Quant aux racines, elles nais
parties saines du vaisseau. Quant aux racines, elles naissaient d'une
partie
dégénérée de ce vaisseau, et il fut facile de voi
ire. Une tumeur] carcinomateuse s'était développée au voisinage de la
partie
supérieure de la veine jugulaire interne et avait
atif de Schelestadt (Bas-Rhin) venant d'Alger, a passé la plus grande
partie
de son service militaire en prison, au cachot et
su cellulaire sous-séreux qui recouvre la veine cave ascendante et la
partie
ascendante de la crosse de l'aorte. Ces tubercule
oints. La tumeur adhère intimement à la veine cave supérieure et à la
partie
postérieure de l'oreillette ; un gros tubercule c
atement mortels; mais la tumeur s'étant développée graduellement, les
parties
se sont graduellement habituées aux nouvelles con
le pus disséminé dans l'épaisseur des adhérences est absorbé dans ses
parties
les plus liquides et réduit à sa partie compacte.
érences est absorbé dans ses parties les plus liquides et réduit à sa
partie
compacte. Le fait représenté fig. 2,pl. 3,xxixe
itement: vingt sangsues derrière les oreilles, deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses, tartre stibié en lavage; pot
sse du malade, petite saignée de quatre onces, deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses. Le sang est aussi couenneux
ans à l'épanchement , c'est-à-dire dans son lobe inférieur et dans la
partie
inférieure de son lobe supérieur. La poche formée
eure du cœur, libre dans toute son étendue, l'apparence mamelonnée.La
partie
supérieure du péricarde adhérait aux gros vaissea
halique : on voit qu'elle exerce une compression considérable sur les
parties
précédemment énumérées. Les filets des nerfs pneu
eçue. Le nerf de la cinquième paire (5e P.) présentait, dans toute la
partie
qui répondait à la tumeur, une disposition rubané
i sont soumis à la compression; i° Un effet indirect sur toutes les
parties
contenues dans le crâne. Eh bien! dans le fait
dessous de la tente du cervelet soulevait cette tente et avec elle la
partie
postérieure du cerveau ; et Létat de tension de c
ne des corps genouillés externes, des couches optiques, ni de quelque
partie
que ce soit du cerveau. Jamais je n'ai vu les tub
; d'autres fois, elles présentent la dégénération cancéreuse dans une
partie
de leur étendue. La description des tumeurs du ro
te tumeur s'était creusé une cavité, i° aux dépens du cerveau, par la
partie
de cette tumeur qui naissait de la face supérieur
ait de la face supérieure du rocher, 20 aux dépens du cervelet par la
partie
de cette tumeur qui naissait de la face postérieu
clérotique, qui livre passage au nerf, du côté du cerveau, jusqu'à la
partie
rétrécie des corps genouillés externes qui d'aill
de la gouttière ethmoidale, et pour ne pas les rompre et laisser les
parties
en place, on avait divisé le cerveau à une certai
la lame criblée détruite, et constituaient une poche conoïde, dont la
partie
rétrécie répondait à la perforation du crâne. Cet
e déprimait fortement et qui était converti en bouillie dans toute la
partie
qui entourait la tumeur. Cette partie du cerveau
verti en bouillie dans toute la partie qui entourait la tumeur. Cette
partie
du cerveau était la paroi inférieure de la portio
naissait de la face supérieure du rocher, et plus exactement , de la
partie
du rocher qui répond à la paroi supérieure de la
la tumeur décrite de la face postérieure du rocher. Enfin, dans la
partie
de la fosse temporo-sphénoïdale qui appartient à
eut se concilier avec une pression aussi considérable exercée sur des
parties
aussi indispensables à la vie. Ici les effets de
e tissu cellulaire cérébral sous-arachnoïdien. Cerveau, cervelet et
partie
supérieure de la moelle parfaitement sains. Le po
r le sentiment. La tumeur occupait, non la région lombaire, mais la
partie
supérieure de la région dorsale. Dans les paraplé
ment douloureux. L'action de la moelle n'était donc interceptée qu'en
partie
, et cependant le cordon médullaire était comprimé
ui lui formaient une espèce de gaine. L'autre tumeur, qui occupait la
partie
supérieure et postérieure de la région dorsale ,
on. Chez ce sujet, la moelle épinière était comprimée au niveau de la
partie
moyenne de la région dorsale par une tumeur oliva
droite,puis à la cuisse gauche, le long des nerfs sciatiques, et à la
partie
interne des cuisses. Les jambes et les pieds, d'a
Tout le lobe supérieur du poumon gauche, sauf le bord antérieur, la
partie
supérieure du lobe inférieur du même côté, étaien
écales furent rendues involontairement. Pour traitement, moxas à la
partie
supérieure de la région dorsale, saignées répétée
succès. Du moment où le premier mouvement put être exécuté dans les
parties
jusque-là paralysées , la guérison ne se fit pas
pour ainsi parler, la malade recouvrait la faculté de mouvoir quelque
partie
de son corps. Les mouvemens, d'abord incertains,
ngourdissement occupent surtout la jambe droite. Borné d'abord à la
partie
inférieure de la jambe droite, l'engourdissement
et des vésicatoires. Traitement. Frictions , deux vésicatoires à la
partie
interne des jambes. Le 27mai,la paralysie doulo
alysie par méningite rachidienne. Le 5 juin, elle occupait toute la
partie
inférieure du tronc jusqu'au niveau de la mamelle
ent des piqûres d'épingle, et ces élancemens douloureux partent de la
partie
inférieure du col, pour s'étendre jusqu'au milieu
s servirions-nous pour dire que la sensibilité est affaiblie dans une
partie
, mais n'est pas encore abolie. Plus loin, lorsq
eau du cou échauffée fournit un suintement purulent fétide, comme aux
parties
contiguës qui sont dans un état habituel de malpr
concentré. Protubérance un peu déformée ; ligne médiane saillante;
parties
latérales déprimées. Petit foyer celluleux dans l
qu'à la région dorsale. La sensibilité était parfaite dans toutes les
parties
situées au-dessus de cette ligne. La transition é
es mortifiées, le sacrum et les tubérosités de l'ischion dénudés. Les
parties
latérales du (t) Observation recueillie par M.
inière. Vue postérieurement (tig. i , pl. 0,1a moelle présente à sa
partie
inférieure, au milieu des nerfs qui constituent l
t avec beaucoup d'attention la gaîne névrilématique, j'ai trouvé à la
partie
antérieure de cette gaîne quelques filamens blanc
tanciés. explication oes figures. La figure 1 et 1' représente la
partie
supérieure de la moelle et la protubérance d'une
e heures. J'ai déjà dit que les muscles faciaux se contractaient en
partie
volontairement, en partie involontairement , d'où
que les muscles faciaux se contractaient en partie volontairement, en
partie
involontairement , d'où les grimaces les plus sin
dans une flexion exagérée. L'articulation est largement ouverte à la
partie
supérieure , et cependant la malade n'y a jamais
tôt qui est identique avec cette altération , sauf la consistance des
parties
. Les deux cordons médians et postérieurs de la mo
-dessous du bec du calamus. Cette altération était plus profonde à la
partie
inférieure qu'à la partie supérieure de la moelle
. Cette altération était plus profonde à la partie inférieure qu'à la
partie
supérieure de la moelle. A la partie inférieure,
e à la partie inférieure qu'à la partie supérieure de la moelle. A la
partie
inférieure, l'altération avait commencé à envahir
es faisceaux latéraux avaient commencé à subir la transformation à la
partie
inférieure de la moelle; mais cette circonstance
ette transformation grise. Le premier, quoique fort incomplet pour la
partie
historique, est bien remarquable ; car il y avait
es nerfs optiques, avant et après le chiasma , coloration grise de la
partie
du corps genouillé externe, à laquelle ils font s
iste jusqu'au dernier moment. J avais diagnostiqué une lésion de la
partie
supérieure de la moelle. J'avais même été tenté,
r la l'ace antérieure de la moelle dans l'étendue de deux pouces; les
parties
grises étaient très denses et fasciculées. On voi
avec le tiers inférieur de la moelle. La fig. 4'? qui représente la
partie
inférieure de la moelle vue antérieurement, offre
ui a beaucoup de rapport avec celle du bulbe rachidien. Tandis que la
partie
moyenne de la moelle est molle, diffluente et com
yenne de la moelle est molle, diffluente et comme désorganisée, cette
partie
inférieure est très dense et fàsciculée, bien qu'
premier abord, avoir subi la transformation grise dans la plus grande
partie
de sa face supérieure. Cependant, en examinant av
èces d'îles d'inégale dimension ; elles occupent presque toujours une
partie
seulement de l'épaisseur de ce corps ; plusieurs
une transformation de tissu; car, dans un grand nombre de points, les
parties
grises étaient fasciculées et représentaient parf
ient fasciculées et représentaient parfaitement, sauf la couleur, les
parties
blanches qu'elles remplaçaient. De nouveaux faits
ngourdie. La malade ne sent très bien que la peau de la face et de la
partie
supérieure du col : urines et selles involontaire
ertébrale; je promène le doigt le long des apophyses épineuses, seule
partie
de cette colonne accessible à nos moyens d'observ
muscles soulevés et qui occupait les deux gouttières vertébrales. La
partie
de tumeur qui occupait la gouttière gauche était
lus considérable que celle qui occupait la gouttière droite. Ces deux
parties
, réunies par une espèce d'isthme au niveau des ap
épinière incisée au niveau du kyste hydatique et au-dessous. Toute la
partie
de moelle, inférieure au kyste, était convertie e
t même se manifester sous forme hémiplégique, par exemple, lorsque la
partie
supérieure de la moelle est comprimée et que la c
ppement de la portion intra-rachidienne de la tumeur a dû se faire en
partie
indépendamment de la portion extra-rachidienne, e
on frotte rudement cette plante. La 7?iyotilitévolontaire existe en
partie
dans les membres inférieurs, surtout à droite. La
ensibilité de la peau et la sensibilité exquise des muscles et autres
parties
subjacentes, qui me firent penser à I'arachnitis
g-matique, toute la surface du lobe inférieur du poumon gauche, et la
partie
correspondante de la plèvre pariétale et médiasti
u lobe supérieur du poumon était exempte d'inflammation, excepté à la
partie
inférieure de la face externe de ce lobe. Les fau
de sang. Du reste, le poumon est affaissé, flétri, mais dans toute la
partie
seulement qui a été comprimée par Vépanchement. D
tent qu'un très petit nombre d'îles grises, qui n'interceptent qu'une
partie
des fibres de ces cordons. Les colonnes postérieu
troncs nerveux d'où résulte une lésion paralytique ou douloureuse des
parties
auxquelles ils se distribuent ; 3° sur la moelle
érieure à l'invasion de la douleur, enlevait à ce symptôme une grande
partie
de son importance, en même temps que sa circonscr
oiement, altération profonde des traits. Je soupçonne la gangrène des
parties
envahies par le cancer. Les jours suivans , la fa
ssin, je trouve une poche gangreneuse formée aux dépens de toutes les
parties
dégénérées. Ces parties sont les deux tiers supér
e gangreneuse formée aux dépens de toutes les parties dégénérées. Ces
parties
sont les deux tiers supérieurs de la paroi postér
trophie, qu'à droite. Les nerfs qui se détachent au niveau de cette
partie
altérée de la moelle n'ont pas notablement diminu
génération grise, et qu'ils étaient confondus à ce niveau, comme à la
partie
inférieure de la moelle. La protubérance annula
remarquer la coïncidence d'un cancer vaginal et d'une atrophie de la
partie
inférieure de la moelle. L'influence de l'action
et j'ai vu que les vertèbres envahies par la carie présentaient deux
parties
bien distinctes : i" une partie infiltrée de pus
ahies par la carie présentaient deux parties bien distinctes : i" une
partie
infiltrée de pus demi concret ; 2° une partie tra
ien distinctes : i" une partie infiltrée de pus demi concret ; 2° une
partie
transformée en tissu compacte. La partie infilt
pus demi concret ; 2° une partie transformée en tissu compacte. La
partie
infiltrée de pus présente toutes les variétés pos
gmens irréguliers, détachés ou non détachés et mêlés au pus. Toute la
partie
du corps des vertèbres qui n'était pas infiltrées
je n'y vois que du pus concret infiltré; de plus, la compacité de la
partie
des vertèbres qui avait échappé à la suppuration,
les côtes du côté gauche. Cette pleurésie purulente n'occupait qu'une
partie
de l'étendue de la plèvre; des adhérences antérie
. Toute sensibilité tactile peut avoir été abolie en totalité ou en
partie
et, cependant, les malades percevoir dans les mem
ogie expérimentale, que de la conclure des mouvemens exécutés par une
partie
sous Paction de tel ou tel stimulant. La moelle
i le paralyse. J'étais convaincu que la moelle était comprimée à la
partie
supérieure de la région dorsale, et je tâchais de
ur celui de la production en forme de gaîne fibreuse qui entourait la
partie
supérieure de la moelle, si la tumeur du foie n'é
divisée nous a présenté un foyer sanguin, qui occupait la plus grande
partie
de la hauteur de la moelle et était limité à la m
lement. La couleur du sang était lie-de-vin foncé dans la plus grande
partie
de la hauteur de la moelle. En bas, cette couleur
lie par du sang noir à sa surface, présente une teinte violacée. A sa
partie
latérale droite, est une petite déchirure qui fai
un foyer qui envoyait deux prolongemens oblongs dans l'épaisseur des
parties
saines de la protubérance; on voyait encore quelq
fait d'effrayans progrès sans qu'on puisse l'arrêter; le coccyx et la
partie
inférieure du sacrum sont à nu ; la peau de la ré
inférieure du sacrum sont à nu ; la peau de la région fessière et une
partie
des muscles fessiers sont envahis; respiration fr
a paru que la substance grise de quelques circonvolutions occupant la
partie
postérieure et supérieure de l'hémisphère droit,
orte pectorale. Cet anévrysme avait trois pouces de long, occupait la
partie
latérale droite du vaisseau : sa surface, était b
carre du sacrum est considérable. Toute la peau correspondante et une
partie
des muscles fessiers ont été détruits. Réflexio
il y avait destruction complète de la couche optique gauche, et de la
partie
correspondante du corps strié, et un kyste ancien
ble de volume et ramollissement blanc, sans changement de couleur des
parties
malades. Il y a donc à-la-fois, chez ce sujet, ap
st très difficile , surtout celle des liquides , dont une très petite
partie
parvient jusque dans l'estomac, et dont le reste
reste de la masse encéphalique était sain. Je ne pus examiner que la
partie
de moelle qu'on peut enlever par le trou occipita
diagnostic de ces tumeurs cérébrales, c'est la présence dans d'autres
parties
du corps d'une maladie cancéreuse ou tuberculeuse
A l'ouvertuire, je trouvai la dure-mère adhérente au cerveau sur la
partie
moyenne de l'hémisphère gauche, au voisinage du s
La cavité dite digitale avait à elle seule autant de longueur que la
partie
supérieure du ventricule latéral. Peut-on guéri
aiitopsie, on trouva plusieurs tubercules superficiels qui étaient en
partie
logés dans l'épaisseur de la substance grise : ce
l'apoplexie capillaire s'accompagne en général du ramollissement des
parties
qui en sont le siège, si bien que , dans le degré
qui en sont le siège, si bien que , dans le degré le plus élevé, les
parties
affectées sont converties en une espèce de pulpe
externe sub-jacent aux circonvolutions du lobule ; destruction d'une
partie
de la couche optique, dont il ne reste que le tie
'est que les circonvolutions occipitales sont peut-être de toutes les
parties
du cerveau celles qui sont le plus sujettes au ra
ation de la presque totalité du lobe inférieur du poumon gauche. A la
partie
antérieure de ce lobe inférieur, se voyaient plus
qui séparent le corps strié externe du corps strié interne, et d'une
partie
de ce corps strié interne. Un foyer sanguin sphér
Le corps calleux offrait à sa face supérieure, surtout au niveau delà
partie
qui est recouverte par les hémisphères une multit
t ordinaire de l'injection de matières irritantes dans les veines des
parties
correspondantes et j'avais conclu par analogie qu
i, xxxvie livraison, on voit de petits foyers sanguins au milieu des
parties
ramollies par apoplexie capillaire. Le cerveau
us longitudinal supérieur. — Le ramollissement est borné a toutes les
parties
du cerveau qui répondent aux veines cérébrales en
cavité du crâne. Phlébite du sinus longitudinal supérieur et de la
partie
attenante des sinus latéraux. Cette phlébite est
ieures sont également distendues par du sang coagulé , adhérent et en
partie
décoloré. La phlébite n'occupe pas toute la longu
ns plusieurs points, une couche de bouillie cérébrale appartenant aux
parties
ramollies. Les deux grosses circonvolutions parié
osses circonvolutions pariétales qui occupent le bord antérieur et la
partie
supérieure de la scissure de Sylvius, ont subi le
ire est curable lorsqu'elle n'a pas envahi une trop grande étendue de
parties
. (1) C'est ce même cerveau qui a été modelé en
ps strié. PC sont les plexus choroïdes; F la faux du cerveau, dont la
partie
antérieure est renversée et sur laquelle se voien
ne manquait, à proprement parler, que les hémisphères cérébraux: les
parties
centrales avaient été conservées; dans le cas rep
e épinière était d'ailleurs parfaitement intacte. Bien que toute la
partie
intra-crânienne des nerfs olfactifs, optiques, tr
uatrième, cinquième, sixième, septième paires, manque entièrement, la
partie
extra-crânienne de ces nerfs était intacte. La fi
ourbe supérieure des carnassiers, mais qui n'était autre chose que la
partie
supérieure de l'écaillé occipitale brusquement et
qu'il y a une sorte de solidarité de développement entre ces diverses
parties
. Les tubercules quadrijumeaux,les olives, les péd
es corps striés n'avaient nullement participé à l'atrophie des autres
parties
, en sorte qu'on peut considérer ces diverses part
ophie des autres parties, en sorte qu'on peut considérer ces diverses
parties
comme ayant également des connexions entre elles.
t renversée en arrière, paraissait implantée aux deux épaules et à la
partie
supérieure du sternum , on a cherché la raison de
r les faire représenter. Le cysticerque offre sur la figure 3"', deux
parties
bien distinctes, l'une inférieure, formée par la
re supérieure , qui répond au corps du cysticerque. On voit que cette
partie
supérieure est formée de deux corps inégaux en fo
aisseur du cerveau, mais toujours superficiels, de telle façon qu'une
partie
de la surface de la vésicule proémine ou apparaît
enkystés, c'est-à-dire pourvus d'un kyste fibreux, qui les isole des
parties
environnantes, tantôt dépourvus de kyste et libre
guérir, avec ou sans paralysie des membres inférieurs, suivant que la
partie
inférieure de la moelle serait comprise ou non da
ns ses salles, âgée de 17 ans, fortement constituée, qui portait à la
partie
inférieure de la région lombaire , au niveau de l
'était manifestée depuis quelques jours à la peau de la tumeur et des
parties
voisines : le moindre contact était douloureux.
e verdâtre n'occupait que l'épaisseur de la substance grise: toute la
partie
du cerveau qui était postérieure au kyste du cerv
. Le malade sent la douleur des sinapismes ; mais il ne sait à quelle
partie
du corps la rapporter.il avait vomi tout ce qu'il
phalique tout entière, et locaux, c'est-à-dire qu'ils portent sur une
partie
de cette masse encéphalique; que ces effets génér
mme si un fer chaud ou de l'acide nitrique avait été appliqué sur les
parties
détruites , en laissant intactes les portions voi
entre les apoplexies des circonvolutions et les apoplexies des autres
parties
du cerveau, je ne pourrais déterminer si les unes
pneumonie latente à laquelle elle succomba. La pneumonie occupait la
partie
postérieure du poumon droit. La face inférieure
ncore distinctes par un sillon très superficiel. Du reste, dans cette
partie
indurée, qui conservait incomplètement la forme p
achés à la peau. Un commencement de canal existe au centre de cette «
partie
, mais peu profond et comme engorgé, obstrué par d
inférieure de sa corne avec les dents ou avec un canif. Aucune autre
partie
du corps n'était le siège d'une production sembla
re et lisse. C'est de cette extrémité que M. Landouzy a retranché une
partie
pour en faire l'analyse. L'analyse chimique a d
pas démontrée, et je croirais plutôt à la transformation fibreuse des
parties
irritées par les ébranlemens qu'occasion aient et
ce dans la sécrétion de l'organe formateur de la matière cornée et en
partie
à la dessiccation de cette matière. Du reste, c
qui s'applique bien évidemment aux productions cartilagineuses de ces
parties
. N'est-ce pas à une hernie du cerveau enveloppé p
casmum dicilur. Un chirurgien consulté ayant excisé sans douleur la
partie
la plus excentrique de la tumeur, crut qu'il pouv
a Société de médecine, ne fût adhérente au périoste et à l'os par une
partie
de sa base. On ne saurait révoquer en doute l'i
, sur une femme de Tournay, laquelle portait une espèce de corne à la
partie
postérieure de la cuisse gauche. La peau qui su
, tom. xiv, p. i/f5), âgée de 66 ans, qui portait depuis 16 ans, à la
partie
postérieure et interne de la cuisse droite, une p
rt remarquable, c'est qu'on les rencontre au moins aussi souvent à la
partie
postérieure et interne des cuisses, au-dessus du
nce (1) m'a confirmé dans cette idée, car les exemples de cornes à la
partie
interne des cuisses ont été fournies pour la plup
s une étendue assez considérable. Alex. Beneditti dit avoir vu à la
partie
interne du genou, par suite d'une blessure, une c
as où ces productions se manifestent à-la-fois sur un grand nombre de
parties
, indépendamment de toute lésion locale. Ainsi les
e. Ingrassias (1) raconte qu'une jeune fille portait sur toutes les
parties
du corps, mais principalement sur les mains, sur
Un des cas les plus curieux de productions cornées occupant diverses
parties
du corps est celui qui a été pLiblié par Ash en i
individu dont le prépuce cancéreux avait été extirpé et dont quelques
parties
affectées du gland avaient été cautérisées, on vi
résulte de la présence de ces productions, lorsqu'elles siègent à une
partie
habituellement découverte, ou bien que la douleur
mités à la région antérieure du tronc; un certain nombre se voit à la
partie
inférieure du cou, quelques-uns aux membres supér
inférieure du cou, quelques-uns aux membres supérieurs, d'autres à la
partie
supérieure de la cuisse droite. Quelle était la n
rconférence. C'est surtout dans le tissu cellulaire sous-cutané de la
partie
supérieure de la cuisse qu'abondent ces dégénérat
u cancer mammaire, je veux dire au voisinage delà mamelle et dans des
parties
liées avec la mamelle de circulation et d'innerva
céreuse sous forme tuberculeuse pouvait se manifester dans toutes les
parties
du corps. Du reste, la forme tuberculeuse du ca
n d'une cicatrice résultant de l'amputation du bras, au-dessous de sa
partie
moyenne. La cicatrice C de la peau P, P, adhéra
é. Il est probable que c'est à un cancer siégeant dans telle ou telle
partie
du corps et que la tumeur décrite n'était qu'un d
pièce présentait un grand nombre de tumeurs cancéreuses dans diverses
parties
du corps. Réflexions. L'anatomie pathologique d
même, par une disposition bien peu fréquente, la prostate manquait en
partie
à la moitié inférieure de ce canal, ou plutôt ell
présentait une perte de substance assez considérable au niveau de la
partie
antérieure du scrotum, juste au niveau du ligamen
dinaire des calculs, par les lobules qui occupent presque toujours la
partie
inférieure de l'orifice vésical de l'urètre. Cepe
ons. Il ne serait pas impossible que l'hypertrophie des lobules de la
partie
inférieure fît, en quelque sorte, refluer vers la
férieure fît, en quelque sorte, refluer vers la moitié supérieure une
partie
des grains glanduleux de la moitié inférieure de
u tabulaires : celles-ci peuvent coexister avec l'atrophie des autres
parties
de la prostate. L'absence de prostate autour de
ment du canal de l'urètre. Il y a même plus : le rétrécissement de la
partie
membraneuse du canal de l'urètre est presque touj
trouvé un rétrécissement du canal de l'urètre occupant le bulbe et la
partie
attenante de la portion membraneuse. Ce rétréciss
ueuse, le tissu spongieux avait été respecté. Le rétrécissement et la
partie
voisine du canal de l'urètre représentaient deux
en apparence, était convertie en une poche purulente divisée en deux
parties
par une cloison incomplète : cette poche était tr
qui occupait le niveau de la symphyse du pubis, et par conséquent la
partie
membraneuse de ce canal. Il nous fut impossible d
pait la tête de cet organe. Réflexions__Ainsi, rétrécissement de la
partie
membraneuse du canal de l'urètre; rétention d'uri
nter une matière purulente. Plusieurs de ces ouvertures occupaient la
partie
renflée du veru-montanum. La prostate volumineu
nait à uriner assez bien en introduisant une grosse bougie jusqu'à la
partie
moyenne de la verge. Cet individu, qui n'avait pa
cancer du col utérin, le bas-fond de la vessie, qui est adhérent aux
parties
malades, participe à la dégénération, et l'on con
l'hémisphère opposé (hémisphère gauche). Du reste, toutes les autres
parties
du cerveau étaient saines, et, en particulier, le
l des voies urinaires constituent la plus large et la plus importante
partie
des maladies de cet appareil si compliqué : elles
ivant que les causes de compression ou de distension agissent sur une
partie
ou sur la totalité du rein. Ainsi, dans quelques
al de médecine, par Corvisart. Leroux et Boyer, tome vir. page 38j.
partie
du côté gauche. L'extrémité supérieure refoulait
ision de la tumeur donna issue à sept pintes d'un liquide trouble, en
partie
rougeâtre, en partie jaunâtre, mêlé de flocons bl
nna issue à sept pintes d'un liquide trouble, en partie rougeâtre, en
partie
jaunâtre, mêlé de flocons blancs, jaunes et verts
maire) sont carnifiées dans la moitié antérieure de leur longueur. La
partie
carnifiée a la même forme et un peu plus de gross
La partie carnifiée a la même forme et un peu plus de grosseur que la
partie
non carnifiée. Les cartilages costaux ont été res
n'a éprouvé aucun changement ni dans sa forme ni dans son volume; sa
partie
moyenne est carnifiée dans toute son épaisseur. A
mputation du fungus cancéreux : le grand pectoral, qui adhérait à une
partie
delà base de la tumeur, fut emporté bien au-delà
tion eût été aussi complète que possible, et pratiquée aux dépens des
parties
saines; bien que les glandes de l'aisselle fussen
gal volume, dont la plupart sont gangrenés à leur surface ou dans une
partie
de leur épaisseur. Quelques-uns de ces mamelons s
omme constituant la suppuration des tissus cancéreux. Du reste, les
parties
envahies par le cancer étaient la peau, la glande
ux sous-cutané : le grand pectoral, quoique adhérant intimement à une
partie
de la tumeur, n'était pas encore envahi. On voit
ur est fluctuante, à la manière d'une collection de liquide, dans une
partie
de son étendue, dans celle où se voient des ramif
ig. i' représente la tumeur divisée. La portion K, qui répondait à la
partie
fluctuante de la tumeur appartenait à un kyste re
empli d'une matière visqueuse, filante à la manière de la synovie. La
partie
inférieure TA de ce kyste présentait une disposit
mens noueux étaient remplies par un liquide d'apparence synoviale. La
partie
supérieure du kyste était parcourue par des vaiss
éroïdale, leur consistance, leur mobilité, leur isolement parfait des
parties
voisines, permettent de les distinguer du tissu d
. A la place du mamelon, tumeur cancéreuse rouge, moins dense que les
parties
voisines. Des deux côtés, masses tuberculeuses ét
t est le siège d'un oedème dur, éléphantiasique. L'œdème s'étend à la
partie
latéralp du tronc. Une multitude de tubercules
quelques jours. A Vouverture : pleurésie pseudo - membraneuse, à la
partie
postérieure du poumon droit; œdème considérable d
à la partie postérieure du poumon droit; œdème considérable de cette
partie
postérieure. La glande mammaire a dégénéré en u
lectique ; dans d'autres une boue sanguinolente ; dans la plus grande
partie
de la tumeur, c'était l'image du cerveau parcouru
entre était une dépression ou creux triangulaire, avec attraction des
parties
voisines, assez semblable à la dépression qui rés
lle que l'épaisseur la plus grande de la tumeur formée par toutes ces
parties
dégénérées, n'était que de 6 lignes environ. On p
ofonde de la peau. Ce cas est un type de cancer dur atrophique; les
parties
atrophiées sont transformées en tissu dense, blan
nés ; et que dans un grand nombre de cas la maladie reste limitée aux
parties
primitivement envahies : utérus, mamelles, etc.,
les, etc., ou dans leur atmosphère (ganglions, lymphatiques, peau des
parties
voisines). Il semble, parfois, qu'on me passe ce
es ganglions axillaires, tubercules cancéreux à la peau de toutes les
parties
voisines et même en arrière dans la région de l'o
i. Demi-grandeur naturelle. Aspect des deux glandes mammaires et des
parties
voisines. Mamelle droite largement ulcérée; circo
ses E,E; coloration violacée au pourtour; gros tubercules occupant la
partie
supérieure de la glande. Mamelle gauche non déf
tredit la propagation du cancer à l'autre mamelle, avec intégrité des
parties
intermédiaires. Ainsi j'ai en ce moment, dans le
anes intérieurs semblent préservés par suite de cette propagation aux
parties
externes, il semblerait, d'après un certain nombr
rison temporaire apparente ; développement du cancer dans la peau des
parties
voisines et dans l'épaisseur de la cicatrice.—Env
haut. Le tissu du poumon est sain. Des plaques cireuses occupent la
partie
de la surface du poumon, qui n'est pas le siège d
uinter du suc cancéreux. Réflexions. i° La gangrène spontanée d'une
partie
affectée de cancer ne peut donc pas prévenir la r
e-ci, elle s'étend bien au-delà de la dégénération et empiète sur les
parties
saines. Cette gangrène peut se faire graduellemen
Le périoste est intact. Le sternum se laisse couper à la manière des
parties
molles :il est pénétré de suc cancéreux, contenu
avec le col utérin ; la paroi postérieure n'était altérée que dans la
partie
qui avoisinait le col. Cette malade fut soumise
'un support ; le bras et la jambe conservent néanmoins la plus grande
partie
de leurs mouvemens. Le 5 novembre, la malade ép
t rapide. Mort le 8 décembre. Ouverture du cadavre. — Cerveau. A la
partie
moyenne de la convexité de l'hémisphère gauche, a
ces insensibles conduisaient de l'altération la plus considérable aux
parties
saines ; et il était bien évident que nous avions
e cette paroi antérieure CV, CV. La pression exercée sur la coupe des
parties
altérées en faisait suinter une matière de consis
videmment il ne pouvait naître que de l'une ou l'autre lèvre de cette
partie
. Or, en examinant avec soin la face postérieure d
ec soin la face postérieure du polype PP (fig. i), je reconnus que sa
partie
supérieure était recouverte par une espèce de val
tion complète de vrait consister dans une incision verticale sur la
partie
antérieure de la tumeur; lenu-cléation incomplète
ince au niveau du col. Je fus alors invité à faire la ponction sur la
partie
la plus fluctuante de la tumeur; mais rien ne s'é
sous les couches les plus superficielles de l'utérus, qui ont été en
partie
rejetées sur les cotés, en partie allongées en pé
cielles de l'utérus, qui ont été en partie rejetées sur les cotés, en
partie
allongées en pédicule, de telle façon que la tume
plus complet. L'altération occupait la paroi antérieure du vagin, la
partie
la plus élevée de la paroi postérieure de ce cond
ons considérée comme atteinte de cancer utérin. Le col avait été en
partie
dévoré par la gangrène : un détritus gangreneux r
partie dévoré par la gangrène : un détritus gangreneux remplissait la
partie
supérieure du vagin qui avait lui-même participé
égénération cancéreuse : les couches du col utérin qui a voisinent la
partie
gangrenée sont maculées de sang. Le reste de l'ut
re. Si „ dans ce genre de cancer, on étudie avec soin une coupe des
parties
altérées, on voit (figure i) qu'elles offrent une
tissus cancéreux couche par couche; tantôt elle envahit en masse les
parties
dégénérées. Dans l'un et l'autre cas, l'écoulem
ieux comparer qu'à la pourriture d'hôpital. Or, cette destruction des
parties
par couches successives se fait tantôt avec une g
dens. Dans d'autres circonstances, la gangrène envahit en masse les
parties
dégénérées, au point qu'il reste à peine vestig
vomissemens, froid des extrémités, suppression du pouls. Gangrène des
parties
envahies. Inflammation de Vartère iliaque interne
l'utérus, dont on ne trouve plus quelquefois que le corps ou même une
partie
de ce corps, sa paroi postérieure, son fond : des
mes destructions : tantôt elle envahit en masse une grande étendue de
parties
. La fig. i est le type de la gangrène par couch
e trouvai l'utérus réduit à son corps, le vagin détruit dans toute la
partie
attenant au col utérin, en sorte qu'il existait e
le, limité en haut par le corps de l'utérus et en bas par le vagin en
partie
détruit; ce qui restait de l'utérus était sain et
utérus était sain et ne présentait pas vestige de tissu cancéreux; la
partie
la plus inférieure du moignon utérin, celle qui a
A l'ouverture, péritonite pseudo-membraneuse. Le col utérin et la
partie
supérieure du vagin ont été complètement détruits
r à l'Hôtel-Dieu, et de là à la Pitié, où M. Velpeau trouva le col en
partie
détruit. Il cautérisa néanmoins trois fois avec l
et organe. Le col de l'utérus, les deux tiers inférieurs du corps, la
partie
supérieure du vagin étaient détruits. Une escharr
tration séreuse de ses parois. Aucune trace de tissu cancéreux. Les
parties
qui avoisinaient la gangrène étaient parfaitement
eurs expul-sives semblables à celles de l'accouchement. Douleurs à la
partie
interne des cuisses. Besoin de manger ; soif. C
ches successives ou qu'elle envahit à-la-fois une grande épaisseur de
parties
: dans ce dernier cas, les accidens les plus grav
, ont pour but d'établir les changemens de rapports que subissent les
parties
déplacées dans le renversement du vagin ou prolap
meur et du bassin, rendra bien plus sensibles encore les rapports des
parties
déplacées. En procédant d'avant en arrière, on
On voit manifestement par la présence des orifices d'uretères que la
partie
déplacée est le bas-fond de la vessie. Il ne pouv
e dans toute sa hauteur, la paroi postérieure a résisté dans toute sa
partie
inférieure, et conserve les rapports qu'elle affe
lapsus de l'utérus, une invagination à trois doubles, savoir : i° une
partie
centrale invaginée, c'est l'utérus; i° deux doubl
a plus que deux doubles, comme dans les chutes du rectum, savoir : la
partie
centrale, qui est l'utérus, invaginée dans le vag
agin et l'utérus de l'autre part, que le déplacement de ces dernières
parties
ne peut s'effectuer sans entraîner et le canal de
s du rectum et de la face postérieure du vagin étant immédiats à leur
partie
inférieure, on aurait lieu de s'étonner que le re
vessie suit la paroi antérieure de ce canal, si on ne savait que la
partie
inférieure du rectum est plus fixe que le bas-fon
mment de l'allongement que subit l'utérus, son museau de tanche et la
partie
voisine du col éprouvent de remarquables modifica
e du col éprouvent de remarquables modifications. Presque toujours la
partie
inférieure du col utérin devient très volumineuse
ée d'un ramollissement notable avec développement vasculaire de cette
partie
. L'orifice inférieur du museau de tanche est pl
et peu épaisses, remplie d'une sorte de boue blanchâtre, micacée. La
partie
micacée est évidemment formée par des cristaux de
que le plexus veineux si considérable de cette région. J'ai vidé une
partie
de ces veines du suc cancéreux qui les remplissai
rtie de ces veines du suc cancéreux qui les remplissait VV. Une autre
partie
est encore distendue par ce même suc qui a la con
sur son fond auquel il était intimement uni pour venir s'accoler à la
partie
supérieure de la face postérieure de la vessie. L
e rein correspondant atrophié. Il y avait oblitération complète de la
partie
inférieure de l'uretère. La fig. 3 représente u
un peu plus de fragilité , un peu moins de force de cohésion dans la
partie
de tissu aréolaire qui avait appartenu au cancer
urtout deux ganglions situés l'un à droite, l'autre à gauche, sur les
parties
latérales du bassin, au niveau de la partie la pl
'autre à gauche, sur les parties latérales du bassin, au niveau de la
partie
la plus élevée de l'échancrure sciatique, et qui
s inguinaux ne sont cancéreux que lorsque la dégénération affecte les
parties
génitales externes ou l'orifice du vagin. Certes,
r se jeter dans les veines jugulaires. Les ganglions qui longent la
partie
lombaire de la colonne vertébrale étaient volumin
vec atrophie du rein correspondant. Les rapports de l'uretère avec la
partie
latérale et supérieure du vagin et avec le bas-fo
nt la difficulté du passage des urines à travers les uretères dont la
partie
inférieure est souvent enveloppée de masses cancé
n'eût pas été en mauvais état, pour déterminer ses rapports avec les
parties
déplacées. La figure 2 montre la hernie, vue pa
porte très obliquement en haut et à gauche. On voit, en outre, que la
partie
déplacée est exclusivement formée par le corps de
u côté droit. L'autre ovaire et sa trompe étaient appliqués contre la
partie
externe de l'anneau. Le vagin, entraîné par la ma
la vessie urinaire, dont la capacité parut moindre que de coutume. La
partie
supérieure de ce canal et le museau de tanche qu'
t l'arcade crurale. A la dissection de la tumeur, on reconnut que les
parties
qui la formaient étaient situées derrière le liga
qui la formaient étaient situées derrière le ligament de Fallope. Ces
parties
étaient la matrice, les ovaires, les trompes utér
es parties étaient la matrice, les ovaires, les trompes utérines, une
partie
du vagin, deux cordons distincts de l'épiploon ,
ient, d'où il résulte que l'accroissement du sac herniaire se fait en
partie
aux dépens du ligament large, nouvelle source d'a
même chez quelques femmes avancées en âge, me paraissent expliquer en
partie
non-seulement la fréquence de la hernie inguinale
é complètement détruit par la gangrène. Destruction gangreneuse de la
partie
supérieure de la paroi postérieure du vagin. Il r
postérieure du vagin. Il résulte de cette destruction du col et de la
partie
supérieure du vagin, un foyer gangreneux sous-pér
enversés en avant entre la vessie et l'utérus, et intimement unis aux
parties
voisines, concouraient à limiter en haut le foyer
e foyer gangreneux. La destruction gangreneuse du col utérin et de la
partie
supérieure de la paroi antérieure du vagin, s'est
tuberculeuse, mais un mode de guérison d'abcès multiples du rein. La
partie
liquide du pus a été absorbée, les résidus solide
la gangrène, tantôt détruit successivement et couches par couches les
parties
envahies par le cancer, tantôt s'empare en masse
arties envahies par le cancer, tantôt s'empare en masse de toutes les
parties
dégénérées,si bien qu'il reste à peine vestige de
avait lieu à une période peu avancée, si elle envahissait toutes les
parties
dégénérées, elle pourrait être suivie d'une guéri
ancéreuse du tissu cellulaire du bassin. — Gangrène par érosion de la
partie
supérieure du vagin. Dubois, trente-six ans, co
ux coupes latérales, j'ai fait enlever cette symphyse avec toutes les
parties
contenues dans le bassin, en rasant les os, et j'
xus sacré et les vaisseaux hypogastriques. Le rectum, le vagin, et en
partie
l'utérus, étaient enveloppés par cette masse indu
rane grisâtre, mais d'ailleurs sans altération de tissu. Cependant la
partie
inférieure et postérieure du col m'a paru plus
e et postérieure du col m'a paru plus dense et plus blanche que les
parties
voisines, et je ne répondrais pas qu'elle ne fût
ssu cellulaire du bassin. L'altération portait essentiellement sur la
partie
supérieure du vagin, qui offrait une érosion très
la veine iliaque externe, à la veine iliaque primitive, et même à la
partie
inférieure de la veine-cave. Je ferai remarquer
euses qui unissaient la face postérieure de l'utérus au rectum et aux
parties
voisines, ne permirent que difficilement d'attein
r une matière cancéreuse demi transparente, qui voile dans une grande
partie
de leur étendue la direction des fibres utérines.
e corps de l'utérus désorganisé par le cancer, alors que le col ou la
partie
inférieure du col était parfaitement saine; dans
c cancéreux dans ses couches les plus internes, et seulement dans une
partie
de la circonférence de cet organe; mais que ses c
isissais, pour ainsi dire, la dégénération cancéreuse à son début; la
partie
malade était comme infiltrée d'un suc cancéreux e
nche extirpé. C'est pour l'intelligence de la chose qu'on a figuré la
partie
inférieure de l'utérus et la partie supérieure du
nce de la chose qu'on a figuré la partie inférieure de l'utérus et la
partie
supérieure du vagin. On voit sur ce museau de tan
signe de dégénération cancéreuse; du reste, la base qui supportait la
partie
ramollie était dense et offrait tous les caractèr
aposés, dont quelques-uns étaient pénétrés de pus. Du reste, toute la
partie
dégénérée avait été extirpée; car la base de la v
istouri ne put atteindre les limites supérieures du mal. Du reste, la
partie
extirpée par ce dernier opérateur présente la mêm
de paraître la continuation de l'utérus lui-même : elle contourne la
partie
supérieure de la tumeur, se moule en y adhérant s
nd gauche LR était hypertrophié. La tumeur ovarique présentait deux
parties
bien distinctes : i° un grand kyste uniloculaire
roïdales plus ou moins considérables à structure aréolaire : dans une
partie
de leur étendue, les parois du kyste présentaient
a ponction. L'exploration de l'abdomen permit de reconnaître que la
partie
inférieure de la poche offrait des masses bosselé
divisé UO, l'ovaire droit ouvert ODO. Cet ovaire droit présente à sa
partie
interne et inférieure une cavité à surface parfai
et même la trace de l'œil, à une surface déprimée plus noire que les
parties
voisines : là se voyait une pellicule noirâtre, d
a main droite, l'os coxal, le fémur droit FD, le fémur gauche FG, une
partie
de la jambe gauche JG, et enfin une partie de l'a
D, le fémur gauche FG, une partie de la jambe gauche JG, et enfin une
partie
de l'avant-bras gauche ABG, qui déborde en bas le
ne de l'adhésion pouvait s'accomplir non-seulement entre les diverses
parties
d'un même individu, mais encore d'individu à indi
s adhésions congénitales se divisent en celles qui ont lieu entre les
parties
contiguës d'un même fœtus et celles qui ont lieu
n des individus, plus ou moins informe, est contenu en totalité ou en
partie
dans un autre individu ordinairement complet, ce
acé la ligne de démarcation qui séparait les monstruosités des autres
parties
de l'histoire naturelle et élevé la tératologie a
abdominale. Quant aux membres, ils suivent en général le sort de la
partie
à laquelle ils correspondent : ainsi les membres
ion. La fig. i, pl. v, représente le fœtus double femelle vu par sa
partie
antérieure (demi-grandeur). L'adhésion a lieu p
onc. Elle est limitée à la région sus-ombilicale de l'abdomen et à la
partie
inférieure du thorax. On pourrait donner aux mons
intestin commun en CD, lequel se bifurque à-peu-près au niveau de la
partie
moyenne de l'intestin grêle ; que chaque branche
canal digestif double supérieurement, devient commun au niveau de la
partie
de l'intestin grêle qui porte le nom de jéjunum p
intestin grêle qui porte le nom de jéjunum pour redevenir double à sa
partie
inférieure. La fig. i, pl. vi (grandeur naturel
ies réunis; mais en renversant le paquet intestinal, j'ai trouvé à la
partie
postérieure de la cavité abdominale un foie tout-
ure. Une cloison incomplète établit la ligne de démarcation entre les
parties
aortiques, et les parties pulmonaires du ventricu
e établit la ligne de démarcation entre les parties aortiques, et les
parties
pulmonaires du ventricule; la cavité qui avoisina
cée dont le fond est criblé de trous; à gauche un trou de Botal; à la
partie
moyenne, il y a absence complète de cloison. Cett
a ) , qu'aucun organe ne se moule plus exactement que le foie sur les
parties
environnantes, et ne subit plus impunément que lu
ssie , donne une idée aussi parfaite que possible de la structure des
parties
dégénérées, structure qui consiste dans une trame
d'une graisse aussi pure que celle qui est sécrétée dans toute autre
partie
du corps. Des tubercules et granulations du gra
et qui a subi la dégénération gélatiniforme. Cet épiploon adhère en
partie
au sac herniaire S, qui présente lui-même des tub
arois abdominales ; et cependant le sac herniaire, dépendant de cette
partie
du péritoine, en contenait plusieurs. Je ne puis
milieu de la masse encéphaloïde énorme qui remplissait la plus grande
partie
de l'abdomen. Ascite hémorrhagique consécutive
fond de l'utérus, avait lui-même subi la dégénération dans toutes les
parties
de cet épiploon qui répondaient à la tumeur. Au
s cancéreux. Les deux poumons étaient œdémateux dans la plus grande
partie
de leur étendue, et c'est à cet œdème subitement
tions générales. . . -Luxation du fémur en haut et en dehors sur la
partie
antérieure de la fosse iliaque externe.........
conformation. Lésions congeniales des mains et des pieds (absence de
parties
). Syndactylies.—Ankyloses congeniales . ---Vice
partielle avec amincissement de la sclérotique.—Cancer mélanique des
parties
contenues dans la cavité orbitaire...............
ntanée : guérison apparente. Développement du cancer dans la peau des
parties
voisines et dans l'épaisseur de la cicatrice. Env
u vagin. Gangrène de l'utérus et du vagin. Gangrène par érosion de la
partie
supérieure du vagin........... Maladies de l'ut
p. 8 ACCOUCHÉE. La femme qui vient d'accoucher n'a échappé qu'à une
partie
des dangers qui la menacent dans l'accomplissemen
lose congéniale avec ou sans atrophie et avec disparition complète de
parties
. 38e liv., pl. 1, p. 2. — Théorie des anky-loses
us; longitudinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes; les
parties
du cerveau qui répondent aux veines enflammées. 3
ème jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la
partie
postérieure du corps trié en voie de guérison. Fl
l. m, iv, p. 4,3.—Apoplexie capillaire de la substance grise et d'une
partie
de la substance blanche du cerveau. 20e liv., pl.
niforme du pylore. 12e liv., pl. vi, p. /. — Cancer au pylore et à la
partie
voisine de l'esiomac. 12e liv., pl. vi, p. 3. — C
minées et le cancer non circonscrit. Propagation du cancer des os aux
parties
molles et réciproquement. 20e liv., pl. 1, p. 2.
omis-semens, froid des extrémités, suppression du pouls. Gangrène des
parties
envahies. Inflammation de l'artère iliaque intern
liv., pl. m, p. 4- — Formes et effets du cancer rectal.=Cancer de la
partie
supérieure du rectum. Tous les symptômes de la ré
Fislule gaslro-duodénale. Les ganglions lymphatiques qui entourent la
partie
supérieure de l'aorte abdominale sont endurcis. R
érison temporaire apparente. Développement du cancer dans la peau des
parties
voisines et dans l'épaisseur de la cicatrice. Env
ncer mammaire gangrené, avec carie du sternum. Orifice de sortie à la
partie
latérale droite du sternum. 32e liv., pl. v, p. 3
élatiniforme du colon ascendant. = Cancer gélatiniforme enkysté de la
partie
inférieure du rectum. 33e liv., pl. 1, p. g. — Su
37eliv. pl.iv,p..5. —Cancer utérin coïncidant avec une atruphie de la
partie
inférieure de la moelle. 38e liv., pl. v,p. 4, —C
lions sous-maxillaires. 39e liv., pl. v, p. 3. — Cancer mélanique des
parties
contenues dans la cavité orbilaire. 39e liv., pl.
ÉTÉRISME. Difficulté qu'apporte aucathétérisme le développement de la
partie
moyenne de la prostate. 17e liv., pl. n, p. 2. —
ème jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la
partie
postérieure du corps strié en voie de gué-rison.
vi, p. /. — Tout vice de conformation du cerveau, quelle que soit la
partie
de cet organe sur lequel il porte plus spécialeme
nduration du tissu cérébral, perte de substance, transformation d'une
partie
ou de la totalité des hémisphères en une membrane
ui y aboutissent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une
partie
de la substance blanche. 20e liv., pl. ni, iv, p.
inus longitudinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes les
parties
du cerveau qui répondent aux veines cérébrales en
omiques. Leur coïncidence fréquente avec des tubercules dans d'auires
parties
du corps. Symptômes. 18e liv., pl. 11 , p. 4. — M
x tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramollissement de toutes les
parties
centrales de l'hémisphère correspondant. 28e liv.
rois de ce ventricule. Transformation fibreuse de ces parois dans une
partie
de leur étendue. Travail inflammatoire probable a
na-bifida. 16e liv., pl. iv, p. 4- — Hémiplégie par compression de la
partie
supérieure de la moelle. 25e liv., pl. iv,p. 2.
NFORMATION. Les vices de conformation sont les seules altérations des
parties
molles représentées dans le Museum ana-tomicum de
l. y,p. i. — Tout vice de conformation du cerveau, quelle que soit la
partie
de cet organe sur laquelle il porte plus spéciale
liv., pl. v, vi, jp. y. — Lésions des mains et des pieds; absence des
parties
. 38e liv., pl. i, p. i. — Les vices de conformati
niale par fusion avec et sans atrophie ; avec disparition complète de
parties
. 38e liv., pl. 1, p. s. DOS. Sympathie entre la
miques; leur coïncidence fréquente avec des tubercules dans d'autres-
parties
du corps; symptômes. 18e liv., pl. 11, p. 4. — Ma
x tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramollissement de toutes les
parties
centrales de l'hémisphère correspondant. 18e liv.
ie. 4e liv., pl. 1, p. 3.—L'estomac peut être détruit dans une grande
partie
de son étendue sans qu'aucun symptôme révèle celt
semens du pylore. 12e liv., pl. vi, p. 2. — Cancer du pylore et de la
partie
voisine de l'estomac. 12e liv., pl. vi, p. 3. — U
Fislule gastro-duodénale. Les ganglions lymphatiques qui entourent la
partie
supérieure de l'aorte abdominale sont indurés. Ra
e liv., pl. vi, p. 2.— Luxation du fémur en haut et en dehors, sur la
partie
antérieure de la fosse iliaque externe. — Deux es
on point d'origine au sommet du poumon, et son orifice de sortie sut*
partie
latérale gauche du larynx. == Fistule pulmonaire,
ncer mammaire gangrené, avec carie du sternum. Orifice de sortie à la
partie
latérale droite du sternum. 32e liv., pl. v, p. 3
r. Hernie cervicale du poumon. Hernie thoracique des intestins, d'une
partie
du foie, et de l'estomac, lequel était situé dans
ie. 16e liv., pl. vi, p. 5. — Acéphalocystes^ Hernie thoracique d'une
partie
du foie. 19e liv., pl. v, vi, p. i. — Sur la coal
cancéreuse du tissu cellulaire du bassin. Gangrène par érosion de la
partie
supérieure du vagin. 37e liv., pl. n, p. 3. —Poin
lles. 17e liv., pl. y, p. 2. — Hernie thoracique des intestins, d'une
partie
du foie et de l'estomac, lequel était situé dans
ies ombilicales, dont l'une s'élrangle. Incision longitudinale sur la
partie
de la tumeur herniaire qui offre une fluctuation
2. — Observation d'hydrocéphalie avec disparition de la plus grande
partie
du cerveau et intégrité du cervelet, de la protub
vi, p. 1. — Tout vice de conformation du cerveau, quelle que soit la
partie
de cet organe sur laquelle il porte plus spéciale
rnies ombilicales, dont une s'étrangle. Incision longitudinale sur la
partie
de la tumeur herniaire qui offre une fluctuation
tin grêle. 21e liv., pl. vi, p. 3,— Invagination ayant son siège à la
partie
supérieure de l'intestin grêle. 22e liv., pl. i
rmittens. 21e liv., pl. vi, p. 4. — Invagination ayant son siège à la
partie
supérieure de l'intestin grêle. 22e liv., pl. iv,
e liv., pl. vi, p. 2. — Luxation du fémur en haut et en dehors sur la
partie
antérieure de la fosse iliaque externe. 29e liv.,
éplacement consécutif des doigts. 34e liv., pl. 1, p. 1.— Absence des
parties
. W liv., pl. 1, p. 1. MA1SONNABE (M.). Son opin
on temporaire apparente ; développement du cancer de la peau dans les
parties
voisines et dans Fépaisseur de la cicatrice. Enva
ur. Hernie cervicale du poumon. Hernie thoracique des intestins d'une
partie
du foie et de l'estomac, lequel était situé dans
ssez complète pour qu'il y ait interruption du sang artériel dans une
partie
, a pour résultat la gangrène de celle partie. 27e
u sang artériel dans une partie, a pour résultat la gangrène de celle
partie
. 27e liv., pl. v, p. 2. — L'étendue de la gangrèn
artielle avec amincissement de la sclérotique. = Cancer mélanique des
parties
contenues dans la cavité or-bilaire. 39e liv-, pl
es os et le cancer non circonscrit. Propa galion du cancer des os aux
parties
molles, et réciproquement. 20e liv., pl. 1, p. 2.
28e liv., pl. vi,p. /.—Luxation du fémur en haut et en dehors, sur la
partie
antérieure de la fosse iliaque externe. 29e liv.,
on observés dans les os en supposent de correspondans dans les autres
parties
de l'économie. 33e liv., pl. v, vi, p. 3. — Exosl
elle-même n'est pas plus dangereuse que l'inflammation de toute autre
partie
du corps : ce qui constitue son danger, c'est l'i
inus longitudinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes les
parties
du cerveau qui répondent aux veines cérébrales en
17e liv., pl. ni, p. 2. — Vice de conformation du pied par absence de
parties
. 38e liv. pl. 1, p. 1. PIE-MERE. Etat de la pie
un cas de grossesse double. — Indépendance réciproque des différentes
parties
du placenta. 6e liv., pl. \i,p. 1 ¦ — Le placen
n point d'origine au sommet du poumon et sou orifice de sortie sur la
partie
latérale gauche du larynx. = Fistule pulmonaire,
ancer mammaire gangrené avec carie du sternum. Orifice de sortie à la
partie
latérale droite du sternum. 32e liv., pl. v, p. 3
p. 3. — Conséquences pratiques des nouveaux rapports qu'affectent les
parties
dans le prolapsus. 16e liv., pl. v, p. 4. (Voyez
rtée à la formation de la pierre vésicale, par le développement de la
partie
moyenne de la prostate ; difficulté que celle dis
ssement du pylore. 12e liv., pl. vi, p. 2. — Cancer au pylore et à la
partie
voisine de l'estomac. 12e liv., pl. vi, p. 3. — H
inus longitudinal supérieur. Le ramollissement est borné à toutes les
parties
du cerveau qui répondent aux veines cérébrales en
liv., pl. m, p. 4-— Formes et effets du cancer rectal. = Cancer de la
partie
supérieure du reclum. Tous les symplôrnes de la r
., pl. 1, p. 3. — Inflammation chronique du rectum. Extirpation de la
partie
inférieure de cet iniestin. Incontinence des mati
couchement. 33e liv., pl. 1, p. 7.—Cancer gélaiiniforme enkysté de la
partie
inférieure du rectum. 33e liv., pl. 1, p. p. RÉ
omiques, leur coïncidence fréquente avec des tubercules dans d'autres
parties
du corps; symptômes. 18e liv., pl. n, p. 4. — Mar
x tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramollissement de toutes les
parties
centrales de l'hémisphère correspondant. 18e liv-
p. 2.— Conséquences pratiques des nouveaux rapports qu'affectent les
parties
dans le prolapsus. 16e liv., pl. v, p. 4. — Cance
vomissemens, froid des extrémités, suppression du pouls. Gangrène des
parties
envahies. Inflammation de la veine iliaque intern
cancéreuse du tissu cellulaire, du bassin. Gangrène par érosion delà
partie
supérieure du vagin. 37e liv., pl. n, p. 3. VAI
ortée à la formation de la pierre vésicale par le développement de la
partie
moyenne de la prostate; difficulté que cette disp
onformation dans les os en supposent de correspondans dans les autres
parties
de l'éco " nomie. 33e liv., pl. v, vi, p. 3. —Con
3e liv., pl. v, vi, y-y- — Lésion des mains et des pieds (absence des
parties
). 38e liv-, pl. 1, p. u — Les vices de conformati
'adulte, au contraire, le foyer tuberculeux peut ne détruire qu'une
partie
de l'épaisseur des corps vertébraux, et se pro-
va sans dire que les troncs nerveux, dans leur trajet à travers des
parties
ainsi altérées de la dure- mère sont, à leur to
de les corps vertébraux, la compres- sion s'exerçait surtout sur la
partie
antérieure de la moelle, ce qui expli- que, dis
médullaire. Il en est de même pour l'anesthésie étendue à toute la
partie
du corps sous-jacente au point de compression :
issu épi- dural ; de plus, traînée inflammatoire étendue à toute la
partie
sous-jacente du tissu épidural, englobant les r
astérien et abdominal nuls. Hypoestbésie pour tous les modes sur la
partie
antérieure des genoux et des cuisses ; léger oe
objectifs de la sensibilité, hyperesthésie ou anesthésie, de toute la
partie
inférieure du corps, souvent limitée en haut pa
ra-rachidienne siégeant au-dessus du rentle- ment lombaire, ou à la
partie
supérieure de celui-ci. Faisons observer que l'
ce et légère rétention des urines, une constipation opi- niâtre. La
partie
inférieure du rachis est douloureuse, jusqu'au ni
llaire.» La contracture musculaire, la douleur à la pression sur la
partie
latérale gauche de la 3e vertèbre cervicale per
urs, le domaine du plexus brachial inférieur, et étendue à toute la
partie
sous-jacente du corps. Près de ans après le début
à gauche ; diminution de la sensibilité à la douleur dans toute la
partie
inférieure du corps, mais remontant moins haut
nes après son entrée à l'hôpi- tal. A l'autopsie, intégrité de la
partie
postérieure des arcs vertébraux : mal de Pott c
pagation du foyer au corps de la VIIe, et carie superficielle de la
partie
antéro- latérale des Ive, Ve et Vlle cervicales
é- bral, à ce niveau : d'autre part, le pus caséeux se propage à la
partie
anté- rieure de l'espace épidural, bridé par de
bles sensitifs aux membres supérieurs, sans troubles notables de la
partie
inférieure du corps. 2e Presque toujours la sym
ux précédentes. Elles déno- tent que la compression s'exerce sur la
partie
supérieuredu segmentcervical et sur les origine
possibles en pareil cas, car il faudrait passer en revue une grande
partie
de la pathologie de la moelle. Par exemple, nou
eux épidural doit ne comprimer la moelle et les racines que dans la
partie
du segment cervical, située au-dessus de LES PR
gie des affections chroniques du rachis, comme de toutes les autres
parties
de l'économie, autre chose que des variétés de
s voisines. Enfin un mince pont osseux réunissant incomplètement la
partie
antérieure de quelques corps vertébraux semblait
nt plus acccusée au niveau de la région cervico-dorsale comme si la
partie
supérieure du rachis était en- traînée par le p
exemple au niveau de la cyphose dorsale étaient ossifiés ceux de la
partie
postérieure, les ligaments jaunes, les ligament
tie postérieure, les ligaments jaunes, les ligaments surépineux, la
partie
postérieure des disques ; à la lordose lom- bai
à la lordose lom- baire répondait au contraire l'ossification de la
partie
antérieure des dis- ques avec intégrité relativ
es, à la lordose des deux premières cervicales l'ossification de la
partie
toute antérieure aussi des disques avec intégri
laires. Inc. a. - En A pièce de spnndylnse t-/jnH ! cy<MC ; en B
partie
correspondante de la pince 69 dit 7lfrrsée DI/puy
ance du ligament vertébral commun antérieur et non pas plutôt de la
partie
antérieure des disques. A la région cervicale i
avant les vertèbres voisines ; mais, sauf un léger pont reliant la
partie
gauche des 3° et 4" cervicales, tous ces ponts
é moins faciles à dépouiller complètement des dernières portions de
parties
molles. Les ligaments jaunes paraissent beaucou
ouvrir le canal rachidien, nous n'avons pu juger de l'état de leur
partie
profonde. Pour la même raison nous n'avons pu a
seul ossifié au niveau de certaines côtes. Les têtes des côtes et la
partie
voisine des corps vertébraux paraissent très po
malement saillantes et il existait une ossification manifeste de la
partie
externe des ligaments sacro-sciatiques (PI. IX,
n n'en voit plus au-dessous de l'articulation sacro-lombaire que la
partie
tout à fait infé- rieure (comparer les fig. 3 e
ne de la crête iliaque aux insertions du moyen fes- sier, et sur la
partie
inférieure du pubis aux insertions des adducteurs
de la saillie, tantôt s'enfonce vers sa base du côté du cotyle. La
partie
coxale est interrompue au niveau de l'échancrure
ncrure ischio-pubienne par le passage du ligament rond conservé, la
partie
fémorale se continue à ce niveau, plus forte à
du trochanter ne contenait pour ainsi dire pas de tissu compact. La
partie
supérieure de ce fémur est restée adhérente à l'i
La partie supérieure de ce fémur est restée adhérente à l'iléon, la
partie
inférieure s'est détachée de l'ischion et du pu
paraissaient pas assez importantes pour immobiliser l'article; ces
parties
présentaient en- core du cartilage. Le bourrele
ral est sans doute en rapport plutôt avec l'irritation continue des
parties
du fémur continuellement en contact immédiat av
mpreinte iliaque, qui est précisément due au contact répété avec la
partie
saillante du sourcil cotyloïdien dans la position
ns observées dans notre première autopsie : ligaments surépi- neux,
partie
antérieure des disques, ligaments articulaires, l
tre nouveau cas l'ossification des ligaments sacro- iliaques, d'une
partie
des petits ligaments sacro-sciatiques, de l'origi
out sur la convexité des courbures LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 45 (
partie
antérieure des disques à la région lombaire, liga
X PI. Si CYPHOSE HÉRÉDO-TRAUMATIQUE (Pierre Marie et A. Léri). (
Partie
altérée de la colonne représentée Pl. VIII, fig.
, a, l'ossification du ligament vertébral commun antérieur et de la
partie
antérieure des corps et disques vertébraux écrasé
istants pour redresser certaines déformations ou donner à certaines
parties
plus ou moins ankylosées une position favorable.
ance dans ce que je vais exposer, il me semble utile d'ouvrir cette
partie
de mon ^observation par un ensemble de données
les obèses, le tissu adipeux s'est développé de préférence dans la
partie
antérieure et latérale de l'abdomen : lombes,fess
nu plus au moins informe dans son en- semble et dans chacune de ses
parties
. En auscultant le coeur, on entend à la base un
LISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 67 meuse, ce qui peut être dû, en
partie
au moins, à la diminution des sécré- tions sudo
émités augmentaient plus en longueur et en largeur que les au- tres
parties
du corps. Il ne commença pas tard à marcher, et l
t notre malade plus exactement et de plus près. A l'ex- ception des
parties
du corps hypertrophiées, sa taille est plutôt dél
a musculature est molle, même atrophiée en comparaison d'une grande
partie
du squelette. La peau, et surtout celle des ext
oire inférieure sont PETITS, surtout en comparaison avec les autres
parties
du corps ; l'occiput seul est un peu proé- mine
E PARTIELLE AVEC INFANTILISME 79 80 ' PEL semble, que surtout les
parties
osseuses, l'humérus, mais encore plus le radius,
ies osseuses, l'humérus, mais encore plus le radius, le cubitus, la
partie
métacarpo-phalangienne ont augmenté de volume, ce
enne ont augmenté de volume, ce qui n'est pas ou à peine le cas des
parties
molles. La musculature est peu dévelop- pée et
yers (PI. XV et XVI)..Vous voyez nettement, que ce sont surtout les
parties
osseuses, qui ont augmenté en longueur et en larg
grandissement monstrueux, dû surtout à l'augmentation de volume des
parties
osseuses et, contrastant avec celle-ci, l'asthé
ance des extrémités, surtout un agrandissement excessif de quelques
parties
du corps, et que la dermographie est un symptôm
osseuse symétrique aux extrémités supérieures et inférieures, à la
partie
inférieure du sternum et des côtes correspondante
normes des extrémités « in toto », à « l'hypervolume assez égal des
parties
osseuses, au manque des phalangettes en baguette
et dans une de celles-ci l'hypertrophie est restreinte à certaines
parties
du corps. Comme dans notre cas la tête ne (1) R
appareils glandu- laires y jouent. un rôle, que ce sont tantôt les
parties
osseuses, tantôt les par- ties molles (la peau
eviennent plus tard des acromégales. On a même observé qu'une seule
partie
du corps était hypertrophiée depuis la (1) Zur
XI, Hell, 1 n. 2. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME 89 ques
parties
du corps, spécialement du squelette, par exemple
L'augmentation de volume se limite en général aux extrémités et aux
parties
proéminentes de la face (phalangettes, nez, men
Vous pouvez facilement vous con- vaincre, que ce sont seulement les
parties
molles, qui ont augmenté de vo- lume. 4° Dans
chimiques (toxines) circulant dans le sang, agissent sur certaines
parties
du corps, en guise d'irritation formative, ains
'aspect de deux poteaux arron- dis. Mais entre le dos du pied et la
partie
inférieure de la jambe, au niveau de l'articula
rânienne OEDÈME DES PIEDS 99 et faciale, oreilles désourlées à la
partie
moyenne, strabisme convergent, pro- gnathisme é
en dehors la cou- ronne rayonnante et en avant se divisait en deux
parties
, dont l'une accompa- gnée du cingulum se rendai
ndait au tapetum, dont l'autre entrait dans la constitu- tion de la
partie
inférieure de la capsule externe,puis se poursuiv
l'écorce des première et deuxième circonvolutions tempo- rales. La
partie
interne de ce faisceau se confond avec le cingulu
ales. La partie interne de ce faisceau se confond avec le cingulum et
partie
supérieure avec les fibres de la couronne rayon
f ce serait un faisceau de la sensibilité générale qui formerait la
partie
externe du pied du pédoncule et qui se terminerai
nférieur du putamen, contourne la corne sphénoï- dale et atteint la
partie
externe du noyau amygdalien où il morcelle avec l
l, elles ne font que le traverser avant d'arriver à destination. La
partie
inférieure du faisceau longitudinal constitue exc
particulièrement dans la sphère visuelle. Ce faisceau provient de la
partie
inférieure du noyau'latéral de la couche optiqu
t endroit ses fibres croisent d'autres fibres qui proviennent de la
partie
supérieure du corps genouillé externe et qui entr
de fibres ayant leur origine dans le corps genouillé interné et en
partie
dans la coupe optique et qui se rendent au lobe
pulvinar de la couche optique. Ces ganglions fournissent une grande
partie
des radiations sagittales qui se rendent au lob
surtout la couche sa- gittale interne, mais elles occupent aussi la
partie
dorsale du faisceau longitu- dinal inférieur. D
de l'atrophie consi- rable des grosses cellules multipolaires de la
partie
dorsale du corps genouillé externe, la dégénére
carrefour ventriculaire les radiations optiques occupent surtout la
partie
moyenne des couches sagittales profondes, aussi b
itale, peut-être aussi aux autres circonvolutions occipitales et à la
partie
postérieure du pli courbe. Le faisceau longit
rtout de la sphère visuelle et qui se rend au lobe temporal ; mais la
partie
supérieure de ce faisceau renferme des fibres q
e supérieure de ce faisceau renferme des fibres qui passent dans la
partie
posté- rieure de la capsule interne. ' Sehell
rieure de la capsule interne. ' Sehellenberg pense que la majeure
partie
du faisceau longitudinal repré- sente un faisce
rconvolutions du lobe piriforme et de l'opercule sylvien. Une autre
partie
représente le pédoncule (Stiel) du corps genoui
ulvinar, aux corps genouillés externe et interne, au noyau latéral (
partie
supérieure) de la couche optique et aux couches s
- cielles du corps quadrijumeau antérieur. D'une façon générale, la
partie
infé- rieure de cette couche sagittale (commune
rps genouillé externe et au noyau latéral de la couche optique ; la
partie
supérieure renfer- merait les tibres des circon
iennent du pulvinar et du corps genouillé externe (dans ce cas, ces
parties
ne sont pas atteintes par lésion), et d'autres qu
oyau lenticulaire. Le faisceau longitudinal inférieur est en grande
partie
dégénéré ; cette dégénérescence tient à la destru
r entrer dans la constitu- tion de la couche sagittale externe. Une
partie
du faisceau longitudinal, allant au lobe occipi
. Ces fibres mésencéphaliques ou pédonculaires proviendraient de la
partie
latérale du ruban de Reil médian (lemniscus) et
cal- carine, mais reçoivent un contingent, du pôle occipital, de la
partie
la plus postérieure, du, lobule fusiforme et de
tions optiques primaires et secondaires sont en relation avec cette
partie
de l'écorce occipitale délimitée par la strie de
faisceau lon- gitudinal inférieur, un caractère mixte. Pour lui, la
partie
dorsale ou supé- rieure de ce faisceau renferme
niveau des ganglions de la base, des fibres de projection, mais la
partie
inférieure de son segment vertical ainsi que la
d'association se terminent dans l'écorce temporale, surtout dans la
partie
antérieure du lobule fusiforme et dans la circonv
n des noyaux centraux, un bon nombre de fibres se détachent z de la
partie
supérieure du segment vertical du faisceau longit
ecevrait aucun contingent de l'écorce occipitale, ne fait nullement
partie
du faisceau longitudinal, mais le traverse tout
libres de projection que renferme le faisceau longitudinal dans la
partie
supérieure de son segment vertical (au niveau des
de la bandelette optique après la terminaison de celle-ci ` dans la
partie
ventrale du corps genouillé externe. Schaffer (
chez les animaux. Le faisceau longitudinal inférieur représente en
partie
la voie visuelle cen- trale ; il se termine dan
occipital, des circonvolutions inférieures du lobe occipital et en
partie
dans l'écorce des cir- convolutions supérieures
e aux circonvolutions dont il constitue la substance profonde. La
partie
dorsale de ce faisceau se confond avec les radiat
us-corticaux et l'écorce des circonvolutions de l'hippocampe et de la
partie
(1) STOSEL, Uber die Markreifung der sogenannte
t antérieure du lobe temporal. En tout cas, Redlich pense que cette
partie
de la couche externe se termine dans le voisinage
couche optique sont beaucoup moins accusées. Dans ce même cas cette
partie
du faisceau longitudinal qui s'engage dans la p
at XIX 8 114 LA SALLE ARCHAMBAULT inféro-interne fait également
partie
de la couronne rayonnante, qu'il ne peut guère
urface polie ou peinte, la fente palpébrale largement ouverte et en
partie
entourant l'oeil complètement négligées, voilà ce
e, de moyenne grandeur, l'arc orbitaire d'une courbure aplatie, les
parties
entourant l'oeil légèrement tracées (Pl. XIX).
rès considérable se fait remarquer ; les artistes s'intéressent aux
parties
qui environnent l'oeil ; ils tâchent d'exécuter l
o) et venus d'après Praxitèle (M. Vaticano). Le globe est poli, les
parties
entourant l'oeil et la fente palpébrale sont dans
ien le croissant forment l'iris et la fente, la saillie ou bien des
parties
peu creusées imitent le reflet de lumière de la
eprésentatiou de l'expression des yeux il suffit de représenter les
parties
environnant l'oeil. Magnus (2) en parle dans so
ession plus accentuée de la figure par un tra- vail minutieux de la
partie
antérieure du globe. Schmidt-Rimpler (1) estdu
er (1) estdu même avis, en disant qu'il est nécessaire de tracer la
partie
moyenne du globe oculaire pour indiquer la direct
tion des yeux ; en même temps il approuve un mode d'exécution de la
partie
anté- rieure de l'oeil, qui d'après lui est le
'artiste ; mais au point de vue de l'oculiste la reproduction de la
partie
antérieure de l'oeil, autant que le permettent le
choisissant une ma- nière moins compliquée, réussit à reproduire la
partie
antérieure du globe oculaire de la façon qui se
a déterminé une déformation accusée des côtes; et tout à fait à la
partie
supé- rieure, l'hémi thorax droit présente une
ne diminution du thorax du même côté. Tous les tissus composant les
parties
en question sont atteints de la même façon et c
esté en infériorité notoire par rapport au développement des autres
parties
. Certains doigts des mains et des pieds présent
pas admettre en même temps la possibilité d'une régénération de ces
parties
! La peau qui revêt les extrémités est libre de
d'aspect extérieur, relativement volumineux par rapport aux autres
parties
du membre inférieur, leur bord externe est très é
mme nous le verrons tout à l'heure, sur le bord externe du pied, la
partie
externe de la voûte s'est affaissée pendant que
pied, la partie externe de la voûte s'est affaissée pendant que la
partie
interne se creusait. La voûte, de plus, présent
uril- lons qui témoignent des points d'appui du pied sur le sol. La
partie
antérieure du pied est fortement' augmentée de
es les plus profondes. Une bande d'hy- poalgésie est apparue sur la
partie
supérieure de la poitrine entre les clavicules
e petits points pigmentaires noirs. 3) La troisième, à droite de la
partie
supérieure du pli interfessier, du volume d'une
fesses ; une à la face, à la lèvre supérieure droite, recouverte à sa
partie
infé- rieure par la moustache ; une au cuir che
res chez les chiens âgés. Ils se développent principalement sur les
parties
supérieures du corps, la tête, le cou, le dos o
es inférieurs une éruption de furoncles. Mais sur toutes les autres
parties
du corps la peau était intacte, ses cheveux et
rs jours de juillet plusieurs égratignures avec des pierres sur les
parties
glabres, notamment sur les épaules, et aussi sur
de même que les sourcils ; mais le grattage persiste dans les autres
parties
du corps bien qu'il ne reste pas de traces de f
thésie paraissant plus marquée à la face interne de l'avant-bras et
partie
du bras. Le bras gau- che n'était d'ailleurs pa
cquis la conviction que, si la théorie de Hérard et Capuron est en'
partie
-vraie, elle n'est pourtant que très peu en mes
it une bandelette d'anesthésie à la face interne de l'avant-bras et
partie
du bras, distribution qui n'est pas davantage c
rée du trou de conjugaison ou avant, tout le reste de la racine, sa
partie
inter-transverse et la partie extra-rachidienne d
avant, tout le reste de la racine, sa partie inter-transverse et la
partie
extra-rachidienne de la 8e paire cervi- cale et
n est tout autrement dans le lobe temporal, surtout au niveau de sa
partie
moyenne où l'on aborde le segment rétro-lenticula
n ; il représente pour nous la Fra. 1. Coupe frontale normale de la
partie
antérieure du lobe occipital. Fs : faisceau du
corticale des deuxième et troisième circonvolutions occipitales, la
partie
postéro-inférieure de la circonvolution pariétale
circonvolution pariétale supérieure, la totalité du pli courbe, la
partie
postéro-inférieure du gyrus supramarginalis et le
en avant la lésion diminue rapidement de volume et se cantonne à la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fronta
égénérée se dessine net- tement au niveau du noyau lenticulaire. La
partie
antérieure du lobe temporal n'est reliée au lob
campe. Dilatation ventriculaire énorme. Le ramollissement atteint une
partie
de la frontale ascendante, la totalité de la pa
emière circonvolution temporale. La capsule externe et la plus grande
partie
du noyau lenticulaire ont disparu. La couche op
teté remarquable. Au dehors de la bandelette optique et longeant la
partie
supérieure de la paroi ventriculaire on reconna
senterait le contingent de radia- tions thalamiques provenant de la
partie
antérieure du lobe temporal et serait accompagn
partie respecté sur cette coupe, malgré les lésions étendues de la
partie
antérieure du lobe temporal (PI. XXXII, 16). No
s fibres sont sectionnées directement par la lésion au niveau de la
partie
moyenne de la paroi ventriculaire (sphénoïdale) e
dyme bien qu'il semble en être ainsi; la décoloration est en grande
partie
l'effet de la dégénérescence. On voit s'engager d
ssement des première et deuxième circonvolutions occipitales, de la
partie
inférieure du pli courbe, des 3/4 postérieurs de
gyrus supramarginalis, du lobule fusiforme (lésion corticale de sa
partie
occipitale) et de la partie postérieure de la cir
obule fusiforme (lésion corticale de sa partie occipitale) et de la
partie
postérieure de la circonvolution pariétale supé
En outre, il existe une lacune du pulvinar avec infiltration de la
partie
supérieure du corps genouillé externe, mais ce no
corps du noyau caudé et du pied de la couronne rayonnante et de la
partie
supérieure du noyau lenticulaire. Toutes ces lé
li courbe, la Schéma n* II. - Cas Ro... 184 LASALLE-ARCHAMBAULT
partie
postérieure des deuxième et troisième circonvolut
s, les lobules fusiforme et lingual. Le ramollissement détruit la
partie
inférieure du pli courbe et la deuxième tempora
e Vialet et de Wernicke (pâleur de la pariétale supérieure et de la
partie
adjacente du pli courbe, de la partie inférieur
pariétale supérieure et de la partie adjacente du pli courbe, de la
partie
inférieure du lobule lingual). Plus en avant (P
e, la lésion de la face externe est plus considérable et atteint la
partie
inférieure du gyrus supramarginalis, la totalit
s supramarginalis, la totalité de la première temporale et la majeure
partie
de la deuxième temporale. Les autres circonvolu
région du segment rétrolenticulaire de la capsule in- terne, de la
partie
postérieure de la couche optique. Une lacune cons
INAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 185 appréciable de la
partie
inférieure de la couche sagittale externe de lobe
ent une petite lésion de la couche optique avec participation de la
partie
attenante du corps genouillé et là aussi on con
genouillé et là aussi on constate une dégénérescence diffuse de la
partie
supérieure de la couche sagittale externe. Dans
le territoire qu'occupe le faisceau optique central au niveau de la
partie
moyenne du lobe temporal. Sur la coupe que nous d
dégénérescence considérable du segment sous- lenticulaire et de la
partie
inférieure du segment rétro-lenticulaire de la ca
ompliqué. En premier lieu, elle renferme les fibres provenant de la
partie
supérieure lésée du corps genouillé, ces fibres
circonvolution temporale destinées au corps genouillé interne. (La
partie
inférieure de cette circonvolution est encore lés
e sont pas toutes de même date. Le ramollissement ancien détruit la
partie
supérieure du gyrus supra- margiualis, la majeu
détruit la partie supérieure du gyrus supra- margiualis, la majeure
partie
du pli courbe et la totalité des trois circonvo-
la scissure calca- rine ; de tout le lobe occipital il n'y a que la
partie
supérieure du lobule lin- gual et la partie adj
cipital il n'y a que la partie supérieure du lobule lin- gual et la
partie
adjacente du lobule fusiforme qui soient respecté
e fusiforme qui soient respectées. Des lésions récentes occupent la
partie
postérieure de la deuxième circonvolution front
la partie postérieure de la deuxième circonvolution frontale et la
partie
attenante de la frontale ascendante, la partie su
ution frontale et la partie attenante de la frontale ascendante, la
partie
supérieure des 186 1.ASAL LE-A ItCHAMBAULT fr
AL LE-A ItCHAMBAULT frontale et pariétale ascendantes et la majeure
partie
de la circonvolution pariétale supérieure. Il e
Il existe en outre des foyers récents qui lèsent profon- dément la
partie
temporale du lobule fusiforme et la moitié intern
nt détruit la totalité de l'écorce occipitale à l'ex- ception d'une
partie
du lobule lingual ; cependant il existe un faisce
tal, le faisceau longitudinal inférieur des auteurs classiques.- La
partie
interne de ce faisceau a disparu avec les autres
est lui-même légèrement touché par un foyer profond au niveau de sa
partie
moyenne. Entre cette coupe et la prochaine, un
la couronne rayonnante du lobe occipital et, en particulier, à une
partie
du faisceau optique central. A priori, cette co
otalement disparu ; un foyer profond le sec- tionne au niveau de sa
partie
moyenne, mais il se reconstitue intégralement s
tionné les fibres provenant du corps genouillé et qui traversent la
partie
inférieure du noyau lenticulaire avant d'entrer
escence considérable de la couche * sagittale interne, mais dans sa
partie
inférieure cette couche contient un bon nombre
188 LASALLE-ARCHAMBAULT les circonvolutions du bord inférieur, la
partie
inférieure de la circonvolution de l'hippocampe
a circonvolution de l'hippocampe, le lobule fusiforme et une grande
partie
de la troisième tem- porale, et détruit la tota
Au microscope on constate que cette strie renferme les fibres de la
partie
supérieure de la couche sagittale interne, c'es
aire. Enfin (Planche XXIX, 6) cette dégénérescence s'engage dans la
partie
infé- rieure de ce noyau en passant par la caps
, 19, 20, 21). Ramollissement datant de quelques mois qui occupe la
partie
antérieure de la deuxième circonvolution occipi
rque une strie d'une extrême blancheur qui se détache nettement des
parties
environnantes et qui se porte LE FAISCEAU LONGI
le lobule paracen- tral, la circonvolution pariétale supérieure, la
partie
antérieure du pli courbe. la partie postérieure
lution pariétale supérieure, la partie antérieure du pli courbe. la
partie
postérieure des deuxième et troisième circonvolut
tie isolée. La lésion est beaucoup plus restreinte, elle atteint la
partie
inférieure du gyrus supramarginalis,mais se canto
lus à la première circonvolution temporale. Au-dessous du foyer, la
partie
supérieure (du segment inférieur) de la couche
externe et la couche interne, mais elle s'est déjà rapprochée de la
partie
moyenne de la Schéma n° IV. - Cas Tavern... 1
é. La coupe suivante (Planche XXXIII, 21) est prise au niveau de la
partie
postérieure de la couche optique et du corps qu
ion de l'hip- pocampe." Une zone dégénérée considérable occupe la
partie
inférieure du segment rétro-lenticulaire de la
lésées, mais elle contient aussi des radiations qui proviennent de
parties
saines et qui, dans leur trajet antérieur, ont ét
La dégéné- rescence s'efface petit à petit et déjà au niveau de la
partie
antérieure du corps genouillé externe, là où ce
(Schéma n° V ; Planche XXX, 7, 8, 9). Ramollissement qui atteint la
partie
temporale du lobule fusiforme et les deux tiers
à l'état nor- mal, ne font que la traverser (et n'en font nullement
partie
) existe à l'état de Schéma n° V. Cas Roll...
s le lobe temporal elles n'occupent que le segment horizontal et la
partie
inférieure du segment vertical de la couche sagit
occipital du ramollissement. La totalité du lobule fusiforme et une
partie
de la troisième temporale sont atteintes. La dégé
ittale externe occupe l'angle interne de son segment inférieur. Cette
partie
de la couche [sagittale interne située au-desso
8) la lésion détruit la totalité du lobule fusiforme et la majeure
partie
de la troisième circonvolu- tion temporale. Il
uche sagittale externe a abandonné sa position médiane et occupe la
partie
moyenne du segment horizontal de cette couche,
a 111 ba ! llt) Foc. Faisceau optique central. Cg. Cingulum. - Cgi.
Partie
enclavée du corps genouillé interne entourée de s
qui détruit la moitié postérieure du lobule lingual et toute cette
partie
du lobule fusiforme comprise entre le pôle occipi
se entre le pôle occipital et une ligne imagi- naire passant par la
partie
antérieure du splénium. Un petit foyer de désinté
sement détruit la totalité de la première temporale (excepté cette
partie
située au fond de la scissure de Sylvius, la te
des régions postérieures, on voit que le segment horizon- tal et la
partie
inférieure du segment vertical (les régions desti
t reconstituées. On note bien cependant la pâleur appréciable de la
partie
inférieure du seg- ment vertical, mais il faut
décoloration du pulvinar. De petits foyers de ramollissement de la
partie
inférieure et interne de la circonvolution de l
e l'hippocampe d'autre part ont assuré la disparition de la majeure
partie
des Schéma n° VI. Cas Gir... LE FAISCEAU LONG
retenti sur'la couche sa- gittale interne, sur le tapetum et sur la
partie
supérieure de la couche sagit- tale externe (ra
de la couche sagit- tale externe (radiations genouillées), mais la
partie
inférieure (exception faite de la pâleur que no
orticipète de la couronne rayonnante nette- ment isolé ; la majeure
partie
des fibres dont il est constitué appartiennent, p
us étudions, ces dernières fibres forment la presque totalité de la
partie
respectée de la couche sagittale externe et cer
rrespond à la réalité Grâce à la dégénérescence du tapetum et de la
partie
inférieure du segment rétro-lenticulaire de la
du noyau coudé un petit fascicule rond qui se détache nettement des
parties
voisines et qui se continue en bas avec des fib
e sagittale interne et se confondent avec la masse des fibres de la
partie
inférieure de la couche sagit- tale externe. Ce
faisceau optique central et renferme des fibres qui naissent de la
partie
postérieure du corps genouillé externe. A ce ni
et la couche interne ; une ligne imaginaire reliant le noyau coudé (
partie
sphéuoïdale) à l'angle inféro-externe de la couch
la deuxième circonvolution temporale, mais elle atteint la majeure
partie
de la temporale profonde. Le tapetum est encore g
qu'elles abandonnent petit à petit leur position au- dessous de la
partie
interne de la paroi, ventriculaire inférieure.
, ventriculaire inférieure. La zone dégénérée s'est déjà épuisée en
partie
dans ce pulvinar et occupe maintenant surtout l
épuisée en partie dans ce pulvinar et occupe maintenant surtout la
partie
inférieure de la couche optique, qu'elle traverse
e corps quadrijumeau, dont l'autre se recourbe en bas et entoure la
partie
dn corps genouillé interne, profondément enclav
que sur les coupes postérieures. La zone dégénérée n'occupe que la
partie
inférieure du segment rétro-lenticulaire de la
es que nous avons étudiées sur la coupe précédente. Au niveau de la
partie
inférieure du segment rétro-lenticulaire de la
marque un bon nombre de fibres saines ; ces fibres appartiennent en
partie
au faisceau optique, en partie au fais- ceau de
saines ; ces fibres appartiennent en partie au faisceau optique, en
partie
au fais- ceau de Tilrck. La partie inférieure d
n partie au faisceau optique, en partie au fais- ceau de Tilrck. La
partie
inférieure du champ triangulaire de Wernicke est
est normale et renferme surtout des fibres du faisceau optique ; sa
partie
inférieure est grandement dégénérée et conlient
sidération de cette couche, de ce faisceau qui a réclamé la majeure
partie
de notre attention; nous ferons plus loin l'ana
ite de lésions du lobe occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la
partie
postérieure du lobe pariéto-lemporal ; quel que s
tes les circonvolutions occipitales, ainsi que du pli courbe, de la
partie
postérieure des deuxième et troisième circonvol
ieure des deuxième et troisième circonvolutions temporales et de la
partie
temporale du lobule fusiforme. Nous nous servon
ures (temporo-occipitales) se terminent dans le pulvinar et dans la
partie
postérieure de la couche optique, à l'exception d
pédoncule inféro-interne de Meynert et qui sont en relation avec la
partie
antérieure du noyau interne de la couche optique.
Les radiations thalamiques occipitales se terminent surtout dans la
partie
inférieure du pulvinar. Les radiations thalam
la partie inférieure du pulvinar. Les radiations thalamiques des
parties
postérieures du lobe pariétal et des première e
première et deuxième circonvolutions temporales s'irradient dans la
partie
supérieure et externe du pulvinar et dans la pa
radient dans la partie supérieure et externe du pulvinar et dans la
partie
postérieure du noyau LE FAISCEAU LONGITUDINAL I
siforme, circonvo- lution de l'hippocampe) sont en relation avec la
partie
interne du pulvinar et le noyau interne de la c
de Türck. Nous croyons donc que ce faisceau provient surtout de la
partie
moyenne de la deuxième circonvolution temporale
de la partie moyenne de la deuxième circonvolution temporale, et en
partie
de la troisième tempo- rale. Quant au faiscea
m de développement. Les fibres de ce faisceau proviennent en grande
partie
du pli courbe et du gyrus supramarginalis, elles
gyrus supramarginalis). A la suite de lésions occipitales et de la
partie
postérieure des lobes tempo- ral et pariétal, o
énérescence se rend au corps calleux, c'est-à-dire au splénim et à la
partie
postérieure du tronc du corps calleux. Dans les
ure du tronc du corps calleux. Dans les cas de ramollissement de la
partie
antérieure du lobe temporal, on constate la dégén
nstate la dégénérescence de la commissure antérieure et aussi de la
partie
moyenne du corps calleux ; le tape- tum partici
lacunes qui siègent au niveau de la couche optique,surtout dans sa
partie
supérieure. On constate alors la dégénérescence
la profondeur et sectionne complètement toutes les connexions de la
partie
antérieure du lobe temporal. En dépit de cette
tudinal inférieur n'accuse qu'une légère dégénérescence occupant la
partie
interne de son segment borizontal.(PI.XXXII, 15
rme, la couche, sagittale externe est normale), ou de lésions de la
partie
antérieure du lobe temporal (à condition que ces
n profonde du pied de la première temporale, du pli courbe et de la
partie
adja- cente de la deuxième circonvolution occip
sions du noyau lenticulaire, du corps genouillé ex- terne, de cette
partie
de la couche optique immédiatement attenante. N
he sagittale externe du lobe occipital et,selon qu'il siège dans la
partie
supérieure ou inférieure de cette couche, on le v
e central ». Le faisceau^ optique central prend son origine dans la
partie
supérieure et externe du corps genouillé extern
e et externe du corps genouillé externe. Les fibres provenant de la
partie
antérieure de ce noyau se portent obliquement e
dirigent horizontalement en arrière et légèrement en dedans, sous la
partie
externe de la paroi ventriculaire inférieure.
ventriculaire inférieure. Les fibres qui tirent leur origine de la
partie
moyenne du corps genouillé entrent dans la cons
artie moyenne du corps genouillé entrent dans la constitution de la
partie
inférieure du segment postérieur de la capsule
troisième segment du noyau lenticulaire, se coudent au niveau de la
partie
postérieure et inférieure de la cap- sule exter
le externe, se dirigent obliquement en bas et en dedans et passent en
partie
dans la couche sagittale externe, en partie dan
en dedans et passent en partie dans la couche sagittale externe, en
partie
dans la couche sagittale interne, elles s'enche
la première circonvolution temporale. Les fibres qui naissent de la
partie
postérieure du corps genouillé concourent à for
en dedans et se réunissent en fascicules compacts qui embrassent la
partie
inférieure et le bord externe du noyau caudé sp
voyons donc que ce faisceau optique central, à l'exemple des autres
parties
de la couronne rayonnante, ne reconnaît aucune di
missure antérieure et aussi quel- ques radiations thalamiques de la
partie
antérieure du lobe temporal. Suivons maintenant
t le faisceau optique central depuis le lobe occipital jus- qu'à la
partie
antérieure du lobe temporal et voyons quelle disp
inuel- lement des fibres qui vont s'irradier dans l'écorce de cette
partie
du cunéus et du lobe lingual qui constitue la s
Au-dessous du ventricule, le faisceau optique central se confond en
partie
avec le faisceau de Vialet ; le faisceau de Via
surtout de fibres d'association c'est indubitable ; il provient en
partie
de la lèvre supérieure de la scissure calcarine
con- vexité occipitale, mais il contient en outre les fibres de la
partie
supérieure de la couche sagittale externe qui v
rente (fig. 1 et 6). Au niveau du carrefour ventriculaire, de cette
partie
du lobe temporal où la corne sphénoïdale attein
à se porter en haut et en dedans, et plus loin en avant, dès que la
partie
recourbée du noyau caudé apparaît le long de la p
isceau optique se groupent en fascicules com- pacts et entourent sa
partie
inférieure. Quelques fibres éparses du faisceau
s fibres éparses du faisceau optique, cependant, occupent encore la
partie
moyenne de la couche sagittale externe. Nous
sition de nos idées sur la réparti- tion des fibres au niveau de la
partie
postérieure du lobe temporal, résumer de la faç
d'interpré- tation que celui dont nous nous entretenons. Dans la
partie
moyenne du lobe temporal, au niveau du pulvinar,
partie moyenne du lobe temporal, au niveau du pulvinar, une grande
partie
des fibres du faisceau optique central s'est port
vertical de la couche sagittale externe; quelques fibres occupent la
partie
la plus supérieure ou dorsale de la couche sagi
terne du noyau caudé sphénoïdal, puis s'arrê- tent brusquement à la
partie
inférieure du champ de Wernicke. Elles sont par-
s du faisceau optique central, se cuudent fortement au niveau de la
partie
interne du segment rétro-lenticulaire de la capsu
r les fibres du faisceau deTürck ; et sur les coupes intéressant la
partie
antérieure dû corps genouillé externe,c'est ce
orps genouillé externe,c'est ce faisceau qui constitue la plus grande
partie
e du segment vertical de la couche sagittale in
être ce qui a porté Flechig à considérer ce faisceau de Türck comme
partie
des radiations optiques. Il est indubitable q
paraît quelque peu exagéré ; qu'il en soit ainsi au ni- veau de la
partie
moyenne du lobe temporal,cela est indubitable; ma
à petit leur position, deviennent verti- cales, se portent vers la
partie
inférieure de la capsule externe (fig. 3),traver-
lingual pour constituer la circonvolution de l'hippocampe, les deux
parties
du cingulum,occupant exactement les régions sous-
sont fusionnées, s'enchevêtrent plus ou moins ; mais la plus grande
partie
du cingu- lum horizontal conserve son individua
ers et sur la longeur ; ces dernières sont surtout situées vers les
parties
médianes et se délimitent assez bien des fibres d
e abandonne des fibres à la scissure calcarine. Par contre vers les
parties
moyennes et latérales, les faisceaux de Vialet et
étudiant les relations du faisceau optique central au niveau de la
partie
antérieure du lobe temporal, nous voyons qu'ici
e minceur (fig. 3) et nous disions que les fibres d'association des
parties
internes se dessinent plus nettement que les fi
our ventricu- laire. Il s'agit d'un ramollissement ayaut atteint la
partie
postérieure du gyrus FiG. 7. - Coupe frontale d
lum. 212 LASALLE-ARCHAMBAULT . supramarginalis, le pli courbe, la
partie
postérieure des. deuxième et troisième circonvo
ndeur et sectionne les couches sagittales profondes au niveau de la
partie
supérieure de la paroi ventriculaire externe. O
trait à une lésion de la troisième circonvolution frontale et de la
partie
inférieure de la frontale ascendante. Sur cette c
du corps calleux, on constate également une dégénérescence des deux
parties
du cingulum, c'est-à-dire au-dessus et au-dessous
circonvolution lim- bique,doivent traverser toute la largeur de la
partie
supérieure de l'hémisphère, . et cela à des niv
LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 213 nombre la
partie
inférieure du segment vertical de la couche sagit
lobus pallidus du noyau lenticulaire, elles n'occupent guère que la
partie
supérieure de la couche verticale peu différencié
e continuer avec le seg- ment vertical, mais il n'en fait nullement
partie
.11 contient des fibres qui appar- tiennent surt
mais aussi au faisceau uncina- tus ; il représente au niveau de la
partie
antérieure du lobe temporal le faisceau de Vial
traverser le faisceau longitudinal et qu'elles n'en font nullement
partie
. Il est évident que ces deux dénominations ne son
tal ; exception faite, bien entendu, de ces lésions situées dans la
partie
postérieure et inférieure de la couche optique et
IONS 1) Il existe un faisceau qui, dans le lobe temporal, occupe en
partie
la couche sagittale externe, en partie la couch
le lobe temporal, occupe en partie la couche sagittale externe, en
partie
la couche sagittale interne et qui, dans le lobe
lésion du lobe occipital, tout rentre dans l'ordre au niveau de la
partie
antérieure du lobe temporal et nous n'admettons
toutes les circonvolutions des lobes temporal et occipital et de la
partie
postérieure du lobe pariétal. 8) Le tapetum est
e envoient au pédoncule proviennent du lobe temporal, surtout de la
partie
moyenne de la deuxième circonvolution temporale
de la partie moyenne de la deuxième circonvolution temporale, et en
partie
de la troisième circonvolution temporale. Ces f
e dans l'observation III que dans les points que j'ai indiqués : la
partie
su- périeure de la racine antérieure est complè
cette résistance et à pénétrer dans le nerf radicu- laire, sont en
partie
destinées à disparaître et provoquent à leur tour
dans la régénération collatérale les fibres nouvelles naissent des
parties
du neurone qui sont les plus rapprochées de son c
rniers qui présen- tent des traces de souffrance au niveau de leurs
parties
les moins résis- tantes, c'est-à-dire au niveau
plus volumineux que le droit, est nettement fluctuant, surtout à sa
partie
moyenne. Une série de coupes frontales parallèl
frontal gauche, empiétant sur la substance grise de l'écorce de la
partie
orbitaire et interne du lobe. Le contenu en est l
tion avec cinq cellules en réseau. B. - Paroi de l'abcès. 2e zone ;
partie
voisine de la zone de nécrose ; plasmazellen et d
it sensément à nos questions, l'obnubilation avait disparu en bonne
partie
. Phénomènes somatiques. - B... fut sujet à de f
ès ouverture du ventricule le cerveau fit l'effet d'un sac en bonne
partie
vidé. Les indices habituels de la pression exag
où il prit peut-être son origine. Au cervelet on rencontre dans les
parties
blanches avoisinant la tumeur des fibres variqu
XL en indique la répartition. La relation entre ces lésions et une
partie
des symptômes corpo- rels présentés par B... me
manque de réaction à la lumière est peu en accord avec le fait quela
partie
postérieure du noyau de la 3° paire fut directe
; 3 intéressent les deux substances. Ces 11 dernières atteignent en
partie
la grandeur d'un pois. Reste enfin la grande tu
rées, variqueuses, et d'innombrables vacuoles arrondies, en majeure
partie
vides, quelquefois remplies de masses amorphes. E
ement une gomme pariéto-temporale où les cornes occipitales sont en
partie
soudées, je me réserve de revenir plus tard sur c
ce raccourcissement en flexion des membres inférieurs peut être en
partie
corrigé par une traction lente et continue, mais
'une amyotrophie considérable portant surtout sur les mollets et la
partie
inférieure des cuisses, permettront d'exclure une
ux.Geluirci, peu abondant sous l'aponévrose, prolifère surtout à la
partie
centrale des muscles. Formant là de larges plac
ssous, montre une exostose volumineuse apparaissant au niveau de la
partie
inférieure et interne du fémur ; un épais- siss
ervention ; un autre chirurgien de Reims lui réséqua la plus grande
partie
de cette masse pendante. Cette opération eut lieu
uite au niveau du pli du coude un noevus pilaire,et recouverts à la
partie
moyenne et en haut par des placards de peau exc
ibres élastiques ; le glissement des téguments de l'épaule et de la
partie
supérieure du bras vers les régions les plus dé
e côté, à droite. Comment expliquer ce fait ? Il faut admettre en
partie
ici l'influence du système nerveux central. Les
r un terrain présentant des tares héréditaires manifestes et sur la
partie
en état d'infériorité de cet organisme, a évolu
vertébrales enlevées avec une forte pince coupante. Pen- dant cette
partie
de l'opération, nous avons eu souvent à lutter co
pposé, pour contrôle, et quelques-uns des filets cutanés des autres
parties
du corps. Pour les fixations, nous avons fait g
and usage du réactif de Thomas- Hauser, c'est-à-dire d'un mélange à
parties
égales de solution aqueuse saturée de sublimé,
ieures- gauches dans leur trajet extradural). On re- marque dans la
partie
supérieure de la coupe, une zone en croissant où
efférentes du pôle périphé- rique étaient faiblement colorées et en
partie
atrophiées. ' ' L'année suivante Kleist (5) dev
s les adhérences cicatricielles. Les ganglions prélevés ont été, en
partie
, fixés par l'alcool faible, coupés à la paraffi
soit par la méthode de Nissl, soit par l'hématéine éosine. L'autre
partie
a été fixée au sublimé osmique, puis lavée avec s
icile de com- prendre comment ces fibres peuvent se trouver dans la
partie
de la racine com- prise entre le ganglion et le
llérien et reste localisée aux terminaisons les plus lointaines, la
partie
voisine de la cellule restant indemne. La dégénér
anglion pour fusionner avec la racine antérieure. 2° La plus grande
partie
de ces fibres centrifuges passe par les rameaux c
nettement visibles sur les coupes transversales. 3° Une plus faible
partie
de ces fibres se dirige vers les nerfs périphériq
rds du canal rachidien ouvert ; il faut la rouvrir à la pince. A la
partie
supérieure où les bourgeons n'adhèrent pas, ils s
s. Canal rachidien complètement fermé par un pont osseux, sauf à la
partie
tout à fait supérieure de la brèche pratiquée 8
canal rachi- dien est refermé presque complètement au niveau de la
partie
inférieure de la brèche osseuse. Nous reconna
t aux ganglions de ces mêmes racines est également prélevée dans sa
partie
extradurale. Nous gar- dons également comme com
e ma- nière, et choisie comme celle du côté gauche, au niveau de la
partie
moyenne du ganglion sectionné. L'examen de ch
upes des ganglions du côté droit, non plus que sur les coupes de la
partie
y attenante de la racine postérieure, au- cune
es sont assez difficiles à apercevoir, étant donné qu'elles sont en
partie
masquées par des débris de myéline non encore r
en anatomo-pa,tliologique on trouva : moelle petite au niveau de la
partie
supérieure et moyenne, épaississement des méninge
cke dans son Traité sur les maladies du cerveau admet qu'une petite
partie
des cas de sclérose en plaques repose sur l'infec
ont trouvé des vaisseaux à paroi très épaissie ou oblitérée dans la
partie
centrale de presque toutes les plaques. Enfin R
à celles de l'acné iodique. On trouve quelques éléments jusqu'à la
partie
supérieure du thorax. La jambe gauche présente
La méninge postérieure est très épaissie sur- tout au niveau de sa
partie
dorso-lombaire. Examen microscopique. Région pr
an, de la toenia pontis et de la substance réticulée grise sauf une
partie
comprise entre le ruban- de Reil médian, le pédon
le cérébel- leux supérieur et le faisceau central de Bechterew. Une
partie
aussi du lem- niscus latéral est conservée. A d
uction est limitée au coude formé par le ruban de Reil médian et sa
partie
latérale, à une partie du faisceau cen- tral de
oude formé par le ruban de Reil médian et sa partie latérale, à une
partie
du faisceau cen- tral de la calotte et du pédon
descendante du trijumeau est conservée de même que la IVe paire.
Partie
antérieure. A gauche, existe une zone scléreuse q
et le stratum superficiale des fibres transversales du pont et une
partie
de la voie pédonculaire. A droite elle occupe s
. La moitié gauche de la pro- tubérance est profondément lésée. Les
parties
restées indemnes de sclérose sont, en résumé, l
quelques fibres du corps trapézoïde et du ruban de Reil médian, une
partie
des fibres du stratum superficiale et du pédonc
entent un tiers environ de fibres normales : des autres fibres, une
partie
est constituée par des fibres à gaine myéliniqu
es à gaine myélinique non colorée par la laque hématoxylinique, une
partie
par des cy- lindraxes très clairs et un peu gon
al. A partir de ce niveau il n'y a plus que quelques fibres dans la
partie
périphérique du cordon antérieur. Les racines ant
roupe de fibres nerveuses normales situées à peu près au niveau de la
partie
postérieure du faisceau de Burdach. La moitié d
latéral gauche est presque complètement normal ainsi qu'une grande
partie
du cordon de Burdach des deux côtés : tout le r
ieurs sont pres- que normaux. A gauche est bien conservée aussi une
partie
du cordon antéro- latéral, tandis qu'à droite i
es éléments polynucléaires sont très nombreux dans la méninge de la
partie
inférieure de la moelle, tandis que dans les part
a méninge de la partie inférieure de la moelle, tandis que dans les
parties
supé- rieures on trouve presque exclusivement d
nt ou non le cylindraxe encore bien visi- ble à leur intérieur. Une
partie
des fibres ainsi transformées présente un degré
o- cytes et par des éléments polynucléaires, assez nombreux dans la
partie
inférieure de la moelle. Quelques plaques de sc
ans les pédoncules et la protubérance. Le bulbe et la moelle sont les
parties
les plus atteintes. A partir de la région bulba
u cervelet avec lésions vasculaires, conservation de la plus grande
partie
des cylindraxes et des cellules ganglionnaires da
la moelle, la com- missure, les cordons de Goll et de Burdach et la
partie
médiane du cordon antérieur du côté gauche sont
ense et contient un plus grand nombre de noyaux que dans les autres
parties
des pla- ques. Au niveau de la grande plaque de
ème nerveux central. Léger épais- sissement méningé surtout dans la
partie
postérieure de la moelle et au niveau des zones
te syphilitique, qui présentent la plus 356 GIUlVIO CATOLA grande
partie
des caractères histologiques essentiels décrits d
. ' Fio. 2. Idem dans sa moitié inférieure. FiG. 3. Bulbe dans sa
partie
moyenne. FiG. 4. Moelle au niveau de la T'-8° r
totale. En même temps le malade ne reconnaissait pas la plus grande
partie
.des notes, il était incapable de tenir son viol
exacte. Elle est claire et simple ; nous l'adopterons dans toute la
partie
clinique de cette monographie. 1° La perturbati
u langage, mais par leur déviation de la forme ordinaire. Font donc
partie
de ce groupe les goûts pour les sons désagréabl
et une bouillie pulpeuse : c'est là ce qui reste de la plus grande
partie
des faisceaux moteurs. Nulle part le foyer hémo
le volume. Elle siège dans l'hémipont droit, intéressant surtout la
partie
postérieure du faisceau moteur, laissant libre
r il a facilement des vertiges, et nous devons étudier les diverses
parties
de son corps par le détail. A la tête on consta
es parties de son corps par le détail. A la tête on constate que la
partie
supérieure est plus réduite que la face, le fro
asie glandulaire épithéliale manifeste qui s'étend à la plus grande
partie
de la glande. Les cellules proliférées et très so
t entraînant l'oblitération d'une grande UN CAS d'acromégalie 395
partie
des capillaires interalvéolaires. Ces amas cellul
rmation adéno- mateuse de la pituitaire. La sclérose active d'une
partie
de la glande et la transformation adénomateuse
s an- térieur avec aplatissement latéral, projection en avant de la
partie
anté- térieure de façon à réaliser la double bo
vions pas le signe caractérique de la com- pression du chiasma à sa
partie
postérieure, c'est-à-dire l'hémianopsie bitempo
sont encore visibles, mais beaucoup plus étroits qu'en 1903, et les
parties
moyennes de ces cartilages sont déjà complèteme
s centaines de pas des positions ennemies, le crâne ouvert, vidé en
partie
de sa pulpe cérébrale. La guerre actuelle est-t
rare originalité, où l'on ne sait s'il convient de louer davantage la
partie
purement scientifique ou la partie artistique.
l convient de louer davantage la partie purement scientifique ou la
partie
artistique. Pour nous, médecins, c'est, inconte
a section, puis, petit il petit, il pénètre dans la profondeur. Une
partie
des fibroblastes provenant des grosses cellules d
la pie-mère. Il y a par conséquent une régénérescence double, l'une
partie
des racines postérieures et l'autre de la subst
ion d'avec le centre trophique La cicatrice est constituée par deux
parties
bien distinctes ; l'une, conjonctive formée par
es à la suite de la section de la moelle pratiquée depuis 7 jours. La
partie
dessinée avoisine la cicatrice. On y voit une f
t effectuée au voisi- nage des bouts sectionnés, tandis que dans la
partie
centrale elle est consti- tuée en grande partie
ranuleuse ; l'autre, centrale très colorée et d'aspect réticulé. La
partie
centrale est parfois représentée comme une espè
illes plus ou moins larges, quelquefois ce réseau occupe une grande
partie
de la massue et ses travées sont grossières. Le
ne sorte de capuchon.Ensuite, elle paraît étranglée au niveau de sa
partie
moyenne là où pénètre le tissu graisseux au nivea
nérées et disséminées par ci, par là, dans la substance blanche. La
partie
moyenne de la cicatrice est excavée en entonnoi
veau. Dans le bout supérieur situé au-dessus de la compression, la
partie
cen- trale de la section est excavée et contien
tif très lâche dans les mailles du- quel il y a des macrophages. La
partie
moyenne de la cicatrice contient un grand nombr
effet, elles se com- posent de segments assez épais, réunis par des
parties
beaucoup plus fines. Ce n'est pas là à propreme
que nous avons décrits dans la cicatrice et particulièrement dans sa
partie
moyenne ? Evidemment qu'elles proviennent des r
udinale, parfois oblique (Fig H). A mesure qn'on se rapproche de la
partie
supérieure, ces faisceaux se réunis- sent par g
es provenant probable- ment de la dégénérescence des cylindraxes en
partie
disparus. Fia. 12. Même cas que la figure précé
s montre que la peau est comme infiltrée, épaissie et adhérente aux
parties
profondes dans toute son étendue ; en palpant les
ntérieures dans toute la hauteur de la moelie, plus marquée dans la
partie
inférieure de celle-ci, atrophie très intense d
ET BOUDET que. 6 mois après, la paralysie avait progressé vers les
parties
supérieures du corps et en particulier au tronc
muets sur ce point. D'autre part, l'aspect de la peau au niveau des
parties
dé- pourvues de poils et anesthésiques n'est pa
lement mal colorées par la laque hématoxylinique et dégé- nérées en
partie
. Il existe d'ailleurs, à ce niveau, une sclérose
rière à la tumeur (fiâ. 3). Les cellules néoplasi- ques gagnent les
parties
voisines en faisant le tour du sillon et n'attaqu
ux lèvres des circonvolutions sont intimement soudées. Les autres
parties
du cortex ne présentent que de très fines lésions
donné lieu à l'état de stupeur. Les lésions présentées par les autres
parties
du cortexsont trop peu accentuées pour qu'onpui
ques-unes d'entre elles. Les fibres à myéline, au contraire, ont en
partie
disparu dans la tumeur et celles qui ont persisté
tre cas, comme le fait a été déjà observé, le néoplasme a gagné les
parties
voisines du cortex en contournant les sillons. Ma
rés. La peau, brune, présente quel- ques naevi pigmentaires. Sur la
partie
droite du thorax, on constate les traces cicatr
e médiane. La langue est normale. Les dents, cariées et absentes en
partie
, n'ont pas l'ap- parence hérédo-syphilitique. L
'être humain caractérisé par une diminution de volume de toutes les
parties
du corps et par l'exiguïté de la taille ? Lorsq
uration générale de son corps, l'évolution défectueuse de certaines
parties
accu- sent chez elle non pas un arrêt de dévelo
TE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 481 la
partie
postérieure des côtes du côté droit, qui bombent
reporte la sensation à la moitié supérieure de la cuisse. Dans les
parties
où la sensibilité tactile commence à être perçue,
ui très altérée. Lorsqu'on lui dit de toucher, les yeux fermés, une
partie
quelconque de l'un ou l'autre de ses membres, i
s- 4Sô' ' ' . - DEJERINE ET ANDIiG-'l'Ii0111AS culaire, certaines
parties
sont malades alors que les parties adjacentes ne
G-'l'Ii0111AS culaire, certaines parties sont malades alors que les
parties
adjacentes ne sont nullement altérées ; on voit
altérations qui, d'une façon générale, sont plus marquées dans les
parties
terminales et vont en diminuant à mesure que l'on
i qu'un petit triangle à l'extrémité postérieure du septum. Dans la
partie
externe du cordon postérieur la raréfaction est b
e faisceau de Burdach, la dégéné- ration prédomine toujours dans la
partie
moyenne ; mais elle n'est pas très franchement
- cales), les dégénérescences se cantonnent de plus en plus dans la
partie
pos- térieure du cordon de Goll ; dans les cord
lement par des fibrilles et au milieu de laquelle, du moins dans la
partie
cen- trale du cordon postérieur, on ne trouve q
a tête du premier et du cinquième métatar- siens, il existe dans la
partie
moyenne une véritable rigole à diamètre antéro-
u sur la pommette. Si on dit aux sujets de toucher avec l'index une
partie
quelconque de leur corps, les yeux étant fermés
la lésion osseu- se, après que se sont effectués l'effondrement des
parties
détruites, et le tassement du rachis. Tantôt, l
rement des parties détruites, et le tassement du rachis. Tantôt, la
partie
postérieure des corps vertébraux sus- jacents à
euse et lymphatique, une autre cause d'oedème ; celui-ci serait, en
partie
, tout au moins, un oedème actif, d'origine toxi
ienne avec effondrement des VIe et Vile corps vertébraux dorsaux.La
partie
postérieure du VI" fait une saillie accusée dans
légèrement coudée. De la in paire dorsale jusqu'à la 1 ? sacrée, la
partie
anté- rieure de la dure-mère est recouverte de
. Aucune adhérence entre la dure-mère et les ménin- ges molles : la
partie
antérieure de la moelle est légèrement aplatie au
réfaction des fibres ner- veuses, diffuse avec prédominance dans la
partie
antérieure des cordons an- téro-latéraux, et da
dans la partie antérieure des cordons an- téro-latéraux, et dans la
partie
centrale des postérieurs ; léger épaississement d
détruisant le disque séparant les IVe et Ve vertèbres dorsales,et les
parties
adjacentes de ces dernières, communiquant avec
te à son niveau qu'un léger épaississement de la névroglie, dans la
partie
profonde des cordons latéraux et postérieurs, a
ro-lombaire, la face externe de la dure-mère est recouverte, sur sa
partie
antérieure, de masses irrégulières, fongueuses,
en arrière qu'en avant ; elles augmentent en descen- dant, et, à la
partie
inférieure, deviennent une symphyse complète engl
lules des olives et des noyaux du plancher du' IVe ventricule. A la
partie
inférieure, dislocation et oblitération du cana
résentent un peu de chromatolyse discrète, sans pigmentation. Dans la
partie
centrale des cordons latéraux et postérieurs, g
qu'une trame névroglique irrégulière, nécrosée, sur- tout dans les
parties
centrales, avec vestiges des gatnes myéliniques t
esque complètement détruite, est repoussé en arrière, comprimant la
partie
antérieure de la moelle, qui est coudée sur lui.
rs, le foyer épidural comprime nettement la moelle : aplatissant sa
partie
antérieure (obs. V),l'étranglant latéralement (
peu de pigmentation avec chromatolyse des cellules nerveuses. De la
partie
supérieure du 1er segment lombaire jusqu'à la p
rveuses. De la partie supérieure du 1er segment lombaire jusqu'à la
partie
inférieure du 4" le canal épendymaire présente
e 1 à 2 millimètres d'épaisseur. Au niveau de cette dilatation, les
parties
voisines de la substance grise sont ra- réfiées
avec dissociation syringomyélique (thermo-anesthésie de toutes les
parties
si- tuées au-dessous d'une ligne circulaire pas
ale ; en arrière, masse lardacée occupant l'espace épidural dans sa
partie
antérieure et englobant les racines cervicales in
' ALQUIER A distance, on trouve, au-dessus,une pâleur diffuse de la
partie
centrale des cordons postérieurs, disparaissant
c signe de Babinski bi- latéral ; à droite,hypoesthésie de toute la
partie
du corps située au-dessous d'une horizontale pa
ce très légère du pyramidal croisé particulière- ment nette dans la
partie
inférieure (lombo-sacrée) du faisceau. Dans ces
ux s'ouvrant en plusieurs endroits dans le canal rachidien ; sur la
partie
postérieure du VIe corps,foyer tuberculeux en act
le est atteinte de sclérose névroglique dif- fuse,prédominante à la
partie
antérieure des cordons antérieurs et postérieurs.
dila- tées avec cylindres-axes tuméfiés semblent avoir repoussé les
parties
voisines et refoulé l'une contre l'autre les co
e les cornes postérieures. Mêmes lésions, mais plus légères,dans la
partie
superficielle des cordons postérieurs. Canal cent
térieurs, dégénération nette, respectant la zone commissurale et la
partie
marginale des cordons postérieurs. Dans la régi
au des cordons pos- térieurs, deux zones dégénérées : 1° l'une à la
partie
interne des cordons de Bnr- dach, semble corres
aires situées en regard du foyer tuberculeux ; 2° l'autre occupe la
partie
médiane des cordons de Goll ; séparée par une b
coudure et la compression de la moelle sont nettes, et déforment la
partie
antérieure de la moelle. Mais il est impossible
myélomalacie complète (V. pl. LXXVII, fig. 1). Obs. V, IX, X : la
partie
antérieure ou inléi-o-Iiléralegauclie est plus
médullaires et radiculaires permet 538 1 ALQUIER de comprendre en
partie
, la multiplicité des troubles moteurs sensitifs e
sur elle pour le diagnos- tic des caries vertébrales limitées à une
partie
seulement de l'épaisseur des corps vertébraux.
upe horizontale du cervelet, passant parles olives, montrait que la
partie
postéro-externe de la substance blanche de l'hémi
ment un foyer hémorrhagiquequi avait détruit la moitié droite de la
partie
ventrale. Pour tirer quelques déductions anatom
n- culo-protubérantiel. Il occupe la moitié antérieure droite de la
partie
ven- trale de la protubérance. Mesurant 18 mill
couche transversale superficielle de l'étage antérieur du pont, la
partie
antérieure du pédoncule cérébelleux moyen et le
térieure du pont. Il s'arrête sur la ligne médiane. Il a détruit la
partie
profonde de la couche transversale superficiell
couche transversale superficielle de l'étage antérieur du pont, la
partie
antérieure de la couche transversale moyenne et
liquat d'une vieille lésion. En hauteur, ce foyer s'étend depuis la
partie
inférieure de la région pédon- culaire, où il c
ocytaires ou noyaux névro- gliques. Sur les coupes passant par la
partie
moyenne de la protubérance, le foyer hémorrhagi
coupes,traitées par le procédé de Pal. La protubérance,le bulbe et la
partie
su- périence de la moelle cervicale ont été de
édoncule céré- belleux inférieur et de grosses granulations dans la
partie
inférieure et la moitié postérieure de l'arbre
aux fibres semi-circu- laires internes. Immédiatement au-dessus la
partie
de l'arbre de vie précédant la branche horizont
circulaires externes (FSCE) et l'absence de dégénérescence dans la
partie
moyenne de leur trajet met en évidence la courb
fibres semi-circulaires externes (FSCE) ; l'autre, inférieur, dans la
partie
moyenne du feutrage intra-ciliaire (FIC). b)
au-dessous du laye/' dest1'11C- li/, dont un prolongement occupe la
partie
postéro-externe de la substance blanche, on voi
acarne (FPM), dans un croissant à concavité antérieure allant de la
partie
postérieure de l'olive au feutrage sous- lobair
, au-dessus et au-dessous du cervelet. Sur les coupes comprenant la
partie
supérieure de la protubérance et l'origine des
rébraux, il est facile de suivre la dégénérescence ascendante d'une
partie
des fibres du pédoncule cérébelleux supérieur.
un croissant transversal à concavité antéro-interne correspond à la
partie
postéro-externe du pédoncule cérébelleux supéri
fibres pré,inter et rétro- trigéminales, puis vont se grouper à la
partie
profonde des corps resti- formes, avec lesquels
grouper dans leur angle postérieur. Elles montent ainsi jusqu'à la
partie
supérieure du corps ci- liai're et se recourben
. » Or, sur nos coupes on voit, d'une part, la dégénérescence d'une
partie
du feutrage intra-ciliaire dans sa moitié posté
TREN ET ARTERIOSCLEROSE MÉDULLAIRE 553 positifs n'est qu'une faible
partie
des cas qui donnèrent lieu à un étude anatomo-p
s,. sont amaigris, notamment les 4e et e S54 JARDIN ! espaces. La
partie
extérieure de la région hypothénar est aplanie et
égion postéro-externe. La région épitrochléenne est aplanie dans sa
partie
la plus latérale et la plus externe t (Pl. LXXX
. . Sensibilité : Il y a anesthésie tactile et hypoalgésie dans les
parties
dorsale et ventrale des deux derniers doigts et
l nu, mais avec le microscope on voit qu'elle occupe la plus grande
partie
de la commissure et qu'elle est la cause de sa
ENTRAL PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (Albany, New-York'. Première
partie
. Nous avons en le privilège, grâce au précieux
s notes dans lesquelles se trouvent habilement condensée la majeure
partie
de la question des dégéné- rescences secondaire
ttale externe tout entière du lobe occipito-temporal provient de la
partie
externe du corps ge- nouillé externe. » Il su
s elles sont intimement unies . » De plus (p. 65) « ces fibres font
partie
intégrante des couches sagittales, en particulier
ronne rayonnante, que les libres d'association n'en font aucunement
partie
intégrante. » En terminant la première critique
a suite de lésions intéressant les centres optiques primaires ou la
partie
inférieure du segment sous-lenticulaire de la c
EAU OPTIQUE CENTRAL 565 Nous ne parlons, bien entendu, que de cette
partie
de la couche sagittale externe qu'implique la d
r de la cou- ronne rayonnante, intéressant plus particulièrement la
partie
externe de la couche sagittale externe, et la p
culièrement la partie externe de la couche sagittale externe, et la
partie
interne de la couche sagittale interne. Cette d
aires, dont l'une occupe le segment rétrolenticulaire et l'autre la
partie
moyenne du segment t postérieur de la capsule i
e, une union de foyers prédestinée presque à interrompre la majeure
partie
des fibres géniculo-calca- riniennes). On obs
plancher de la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygda- lien ; une
partie
des fibres dégénérées du faisceau longitudinal in
lanche est très dégé- nérée (fibres longues d'association), l'autre
partie
se recourbe ? et s'irradie... dans la partie in
'association), l'autre partie se recourbe ? et s'irradie... dans la
partie
inférieure du pulvinar. » L'inspection du schém
iation de provenance occipitale), en admettant que nous sommes à la
partie
antérieure du foyer ancien (p. 114) et que ce t
la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, répond en grande
partie
à l'interruption des fibres dont elles sont const
un grand nombre. Sur cette coupe (p. 44.) on voit au niveau de la
partie
moyenne de la pa- roi ventriculaire externe, un
ormales, sont au contraire des fibres corticipètes et qu'elles'font
partie
du faisceau optique central que nous avons décrit
ne la lui connaissions pas. Nous nous permettrons de l'assimiler en
partie
aux fibres de projection et de lui proposer com
- sidérer que la plaque jaune ancienne sert de trait d'union à deux
parties
sai- nes d'un seul et même faisceau qui exister
e la couronne rayonnante postérieure ; elles constituent la majeure
partie
des fibres sagitta- les respectées. C'est au fo
st vrai) de la sylvienne et l'on peut se demander s'il n'est pas en
partie
responsable de cette grosse dégénérescence des
: « On constate deux plaques jaunes anciennes dont l'une occupe la
partie
centrale du cunéus et la lèvre supérieure de la
lisé) se cantonne au seg- ment horizontal (coupe frontale), et à la
partie
inférieure du segment vertical de la couche sag
aque jaune n'intéressant que le lobe temporal, et en particulier la
partie
moyenne des deuxième et troisième circonvolutions
x tiers postérieurs de la troisième circonvolution temporale et de la
partie
temporale du lobule fusiforme, sans participati
ttale externe) peut être suivie jusqu'à la pointe temporale et à la
partie
inférieure de la capsule externe. « Nous savons
cence du faisceau longi- 570 LASALLE ARCHAMBAULT tudiual (dans'sa
partie
antérieure) ; et évidemment la lésion est trop ra
sont respectés, mais deux foyers siègent conforta- blement dans la
partie
moyenne du segment postérieur et dans le segment
drait constater, sur une coupe prise, disons-nous, au niveau de la
partie
posté- rieure du carrefour ventriculaire,et pas
e l'hémisphère de l'état réel du prolongement cylindraxile. Seconde
partie
La constitution de l'étage antérieur du tronc e
optique central ». Il suffit de se le représenter(au ni- veau de la
partie
moyenne du lobe temporal) sous forme de trait d'u
is comme étant « ex- clusivement un faisceau d'association », et la
partie
supérieure « intimement unie au segment rétro-l
d'union n'emprunte qu'un certain contingent à l'une et l'autre des
parties
que l'on avait cloisonnées ; non pas la totalité,
rayonnante il a le champ triangulaire de Wernicke dont il occupe la
partie
antérieure, et dans le sens vertical environ le t
e toutes les fibres du cerveau) grande- ment dissocié. - C'est la
partie
antérieure (un peu moins que la moitié) du lobe t
yau lenticulaire ou qui relient l'avant-mur au noyau amygdalien; la
partie
recourbée du noyau caudé y est aussi pour une b
de notre faisceau optique central, que nous em- prunterons à cette
partie
du lobe temporal comprise entre le pulvinar et le
s- cription, le faisceau optique est grandement dissocié dans cette
partie
de son trajet : par les fibres calleuses de rég
: par les fibres calleuses de régions antérieures qui se rendent à la
partie
postérieure du tronc du corps calleux ; par les
endrons plus loin. La bandelette optique se termine surtout dans la
partie
inférieure du corps genouillé externe ; ce noya
voies motrices. Mais cette écorce rétinienne étant sensorielle, la
partie
inférieure du corps genouillé externe devient com
quadrijumeau antérieur ; la voie acoustique centrale se termine en
partie
dans le corps quadrijumeau postérieur. Or, nous
s. C'est de la sphère visuelle cependant que proviennent la majeure
partie
de ces radiations. 584 LASALLE ARCHAMBAULT T
fibres prennent naissance dans la couche optique et se rendent à la
partie
postérieure de la région rolandique, ce sont de
qu'il suit. Ce centre ganglionnaire de la vision reçoit la majeure
partie
des fibres ré- tiniennes, mais nous avons vu qu
s qu'il est très probable que le corps genouillé externe supplée en
partie
à ce déficit, qu'il joue le même rôle que l'écorc
i la rendent assez vraisemblable. La zone rolandique reçoit dans sa
partie
postérieure les fibres thalamo-cor- ticales des
est le noyau d'origine du faisceau optique central et c'est dans sa
partie
postérieure et supérieure que s'épuisent les ra
upérieure que s'épuisent les radiations cortico-genouillées ; dans sa
partie
inférieure et antérieure que pénètrent les fibr
elle se retrouve dans le lobe occipital ; elle constitue la majeure
partie
du splénium calleux. 586 LASALLE AItCIIA\II3AUL
n dans la gamme des niveaux, le sillon bulbo-protu- bérantiel ou la
partie
moyenne du pont de Varole, de même la voie visuel
intégrité. Il est au niveau du lobe occipital ce qu'il est dans la
partie
moyenne du lobe temporal ; il change d'aspect m
e, est la commissure antérieure de la moelle, et qu'il n'est aucune
partie
du corps calleux aussi directement commissurale q
rieur de la couche externe temporale, passent par la capsule externe (
partie
postéro-inférieure) et se retrouvent encore par
roisé, de même une lésion circonscrite des noyaux centraux ou de la
partie
antérieure du lobe temporal ne détermine que la
armi les autres Arabes aliénés de ce pays; Que deviennent-ils ? Une
partie
meurent dans les quartiers de gâteux, comme le
x, comme le font les paralytiques généraux dans tous les pays ; une
partie
, dans l'état de démence calme, sans cachexie tr
fort n'est vraiment riche qu'en maladies des os; on n'y voit, sur les
parties
(4) Muséum anatomicum, Academ. Lugd.-Bat. , 179
c les vais-saux environnans; ici se bornant à gêner mécaniquement les
parties
au milieu desquelles ils sont placés, là envahiss
es au milieu desquelles ils sont placés, là envahissant peu à peu les
parties
voisines, et se substituant en quelque sorte aux
u moins altérées dans l'al-cohol, tenant essentiellement à ce que les
parties
fussent dessinées fraîches avec leurs teintes nat
uera ce double arrangement définitif. Le texte se composera de deux
parties
: i° d'une description pure et simple, lorsqu'il
ondément versé dans l'anatomie, veut bien aussi attacher son nom à la
partie
iconographique de cet ouvrage, et surtout m'aider
contre les autres et présentent un si grand nombre de différences. La
partie
supérieure de cette surface CC avait conservé l'a
grappes de vésicules extrêmement petites, affaissées, extraites de la
partie
supérieure Ce de la masse commune ( fig. 1 ) ; ce
aissant du chorion, et la figure 4 ? une très-belle grappe isolée des
parties
environnantes. planche ii. Arrivé au chorion,
te-ment. Au chorion a sont comme suspendus des rameaux bbb, libres en
partie
, isolés les uns des autres, ici plus dilatés, là
erceptée, les valvules devenaient adhérentes par leur bord libre, les
parties
intermédiaires étaient dilatées en vésicules, et
art hydatique dont les suites furent excessivement graves. Une petite
partie
du placenta avait seule subi la transformation vé
entaire : donc elle s'était déclarée successivement dans ses diverses
parties
; donc la cause inconnue qui l'a produite pouvait
uleur et cette densité étaient dus à du sang concret, décoloré, et en
partie
résorbé, contenu dans les cellules du placenta. L
qualité de nerf. Fig. i. Au-devant de la colonne cervicale, sur la
partie
latérale gauche, il existe une série de tumeurs o
ervical supérieur accessoire. Ce ganglion reçoit en effet et émet une
partie
des branches que reçoit et qu'émet le ganglion ce
r aller communiquer avec la tumeur 3G, ganglion cervical inférieur en
partie
masqué par l'artère vertébrale AV et l'artère sou
u cadavre. —L'abdomen ouvert, on aperçoit la tumeur ( fig. i ) RC, en
partie
cachée par le colon descendant CD, qui occupe sa
g. i ) RC, en partie cachée par le colon descendant CD, qui occupe sa
partie
latérale gauche, et en partie par la fin du duodé
r le colon descendant CD, qui occupe sa partie latérale gauche, et en
partie
par la fin du duodénum et le commencement de l'in
s et très-volumineux (cancer encéphaloïde cru) EEEE ; très-mince à la
partie
inférieure, cette couche encéphaloïde devient bea
érieure, cette couche encéphaloïde devient beaucoup plus épaisse à la
partie
supérieure. 4° Enfin, pour mieux voir la circonfé
ant parfaitement les caractères du tissu propre de cet organe qu'à la
partie
supérieure ; là on retrouvait le tissu granuleux
le et noirâtre, se voyaient en grand nombre dans l'épaisseur de cette
partie
supérieure. C'étaient évidemment les calices dila
différentes couches et de leur coloration. L'uretère naissait de la
partie
interne antérieure et supérieure de la tumeur; do
tumeur; donc l'altération avait principalement lieu aux dépens de la
partie
inférieure du rein. Le bassinet B et l'uretère U,
sympathique, je prescris de nouveau 20 sangsues, 2 vésicatoires, à la
partie
interne des cuisses. Potion calmante avec 1 grain
sinet se voit un foyer purulent récent A, dont le pus était encore en
partie
infiltré dans les mailles du tissu cellulaire. Ce
Le rein droit était complètement atrophié et n'avait pas la huitième
partie
du volume de l'autre rein, qui d'ailleurs ne dépa
ices et le bassinet, ont-ils été dans le cas actuel en totalité ou en
partie
cause de l'inflammation? Il est probable qu'ils l
ause de l'inflammation? Il est probable qu'ils l'ont été, au moins en
partie
, bien que par leur présence ils n'apportassent au
re rassemblé en foyer ? J'ai vu le ramollissement gélatiniforme d'une
partie
du rein gauche, chez un enfant dont le colon desc
-dense; je l'ouvre : il était décoloré et offrait dans la plus grande
partie
de son étendue une couleur d'un blanc jaunâtre, a
opsie cadavérique. Fig. 6. La figure 6 représente le périnée et les
parties
génitales de l'enfant. L'ouverture A, qui existe
ait dans le rectum d'une part et sous le gland de l'autre. D'autres
parties
devaient fixer notre attention. On ne pouvait en
a bouche et les narines. Voici la description très-circonstanciée des
parties
: Fig. i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l
issement. Au nombre de deux pour chaque poumon, elles sortaient de la
partie
inférieure de cet organe pour aller se jeter dans
ion existait à gauche. Ici le poumon droit, dont on n'a laissé qu'une
partie
, de même que sur les autres figures, est renversé
re au lobe inférieur du poumon ; une troisième artère AD naître de la
partie
supérieure de l'aorte abdominale par un tronc com
cavités du cœur ouvertes; la fig. 5, le ventricule gauche, et à la la
partie
supérieure de la cloison C une ouverture CP établ
ement, mais dans un phénomène pathologique. Or, s'il est vrai que les
parties
molles, comme les parties dures, situées sur la l
ène pathologique. Or, s'il est vrai que les parties molles, comme les
parties
dures, situées sur la ligne médiane, se développe
érence que les branchies des poissons reçoivent le sang de toutes les
parties
du corps ; tandis qu'ici les très-petites artères
res aorti eo-pu 1 mon aires ne portaient au poumon qu'une très-petite
partie
du sang de l'aorte. Enfin, de même que dans les p
comme un second cœur, chargé, non de pousser le sang dans toutes les
parties
du corps, mais seulement de régulariser la circul
Note suivante : « Dans les reptiles, les poumons ne reçoivent qu'une
partie
du » sang provenant de l'aorte, et les branches a
videmment atrophiés. A la jambe, l'atrophie portait davantage sur les
parties
molles que sur les parties dures, et néanmoins on
ambe, l'atrophie portait davantage sur les parties molles que sur les
parties
dures, et néanmoins on pouvait constater dans les
ns. La figure 5 représente une coupe du bassin contenant encore les
parties
molles ; V la vessie; R le rectum, qui va s'ouvri
tatique du canal. La figure 6 représente le rectum R s'ouvrant à la
partie
postérieure du bas-fond de la vessie par une ouve
res que contient la planche 3 sont destinées à représenter l'état des
parties
molles et dures de la jambe et du pied d'un adult
rs un assez long trajet à pied. Je voulus connaître à fond l'état des
parties
molles. Une injection assez ténue fut poussée par
injection assez ténue fut poussée par l'artère poplitée : toutes les
parties
molles et dures, artères, veines, nerfs, aponévro
la jambe était beaucoup plus mince que de coutume et avait perdu une
partie
de cet aspect nacré qui la caractérise. Les nerfs
ie TA que forme la tète de l'astragale, tubérosité et tête qui ont en
partie
abandonné leurs surfaces articulaires corresponda
out son jour; TA tubérosité de nouvelle formation de l'astragale ; PA
partie
de la poulie astragalienne. Il n'existait pas de
dente. On voit la poulie astragalienne PA^ dont le cartilage est en
partie
détruit; FE la facette articulaire externe de l'a
ment que le cartilage CAT de la surface articulaire du tibia a été en
partie
détruit comme le cartilage correspondant de l'ast
son.) Fig. i (*). Elle représente le squelette du pied-bot et de la
partie
inférieure de la jambe d'un vieillard. MI mallé
ment de sa face postérieure ; déjà l'ossification s'est emparée d'une
partie
de cet os. Il s'en fallait bien que l'ossificatio
peu déformé , présente une ossification anguleuse dans la plus grande
partie
de son corps. Les autres os du tarse sont parfait
, qui, dans les trois dernières petites figures, est partagée en deux
parties
bien distinctes dont le volume est en raison inve
néral diminué de volume, de même que le calcanéum, le scaphoïde et la
partie
postérieure du cuboïde. Quelquefois même l'astrag
toniques et actives, agir d'une manière fâcheuse sur une ou plusieurs
parties
du fœtus. Mais, d'une part, on a vu des pieds-bot
it : cette cause est dans le fœtus, qui devient pour une ou plusieurs
parties
de lui-même un corps résistant, inflexible : ains
n arrière sur les cuisses, sont restées étendues et appliquées sur la
partie
antérieure du tronc ; il en est résulté que les p
bia un angle droit rentrant en dedans. Tantôt le malade marche sur la
partie
externe de la plante du pied, tantôt sur le bord
la plante du pied, tantôt sur le bord externe ; d'autres fois sur une
partie
de la face dorsale. Deux plans verticaux et paral
e conformation du pied se rattache cette déviation? La dissection des
parties
va nous l'apprendre : examinons successivement i°
e de gravité du corps était transmis au bord externe du pied et à une
partie
de sa face dorsale. Devons-nous en conclure, avec
ement est plus complet. Dans quelques cas rares, la marche se fait en
partie
sur cette tête de l'astragale, devenue, par une t
ole interne, regarde en dedans ; sa facette antérieure a abandonné en
partie
la facette correspondante du cuboïde ; de là la s
conditions déterminées, nous pourrions déformer, reformer toutes les
parties
de l'appareil osseux. Je sim M^^s ^uc le» nommes
ai observés, l'aponévrose plantaire avait suivi le sort de toutes les
parties
aponévrotiques du pied et de la jambe, c'est-à-di
la facette articulaire de la malléole interne tronquée, et même d'une
partie
de cette facette, naissait (planche m, fig. 4) un
comprimées dans un autre. D'ailleurs, une fois que le membre a été en
partie
ramené à sa direction naturelle, les muscles rend
'astragale était porté en avant, et que le tibia s'articulait avec la
partie
postérieure de sa face supérieure ; mais nous pen
ences notables dans la consistance, laquelle était naturelle dans les
parties
qui avaient conservé leur coloration rouge et bea
oloration rouge et beaucoup plus considérable que de coutume dans les
parties
décolorées ou noirâtres. Ces observations préli
j'ai trouvé un petit foyer pisiforme FP de pus liquide. Du reste, la
partie
saine du tissu de la rate est couleur lie de vin
dans les mains est un parenchyme fibreux qui fait à peine la huitième
partie
de l'organe, bien que l'expression soit loin d'êt
ouvé aucune altération de texture. La pie-mère intacte recouvrait ces
parties
comme de coutume, et conséquemment les séparait d
racines décrivaient une courbe manifeste pour arriver jusqu'à eux. La
partie
antérieure de la tumeur TP repoussait en avant et
urel; le nerf optique gauche NO' étaitcomme épanoui. On voyait i° une
partie
des fibres de ce nerf NO' se continuer avec la mo
la moitié gauche 11° livraison. i de la commissure ; %° une autre
partie
naître du cliiasma lui-même; 3° une troisième par
e ; %° une autre partie naître du cliiasma lui-même; 3° une troisième
partie
semblait venir de la moitié droite de la commissu
Machis. Le prolongement rachidien paraît peu volumineux, surtout à sa
partie
inférieure. Cerveau. Sérosité sous l'arachnoïde q
phale, elle en occupe environ le tiers, et prend naissance dans cette
partie
, qui « est comprimée et refoulée à droite. L'orig
elet présente, vers son bord antérieur, un enfoncement moulé sur la «
partie
la plus externe de la tumeur; sa substance dans c
égèrement ramollie, comparati-« vement au côté opposé. Du reste cette
partie
de l'encéphale ne présente dans tous ses points a
raire, la graisse altérée, une matière grasse est rencontrée dans les
parties
les plus étrangères à cette sécrétion-, ainsi, il
antes comme le mica ; j'en ai vu dans des kystes situés dans d'autres
parties
du corps; on a même trouvé la cholestérine dans l
jonctive, les ecchymoses spontanées de la peau de la face ou d'autres
parties
du corps : dans les muscles, ce sont des foyers s
née, qu'on ne pouvait l'en séparer qu'avec beau-« coup de peine et en
partie
. » Ici la mort fut instantanée comme dans l'apo
uinolente, et une livre environ de caillots de sang noirâtre dont une
partie
était contenue dans L'épaisseur de la base du pou
entraîne alors une mort instantanée, s'est faite ici aux dépens d'une
partie
seulement de l'épaisseur des parois : il s'est re
le, vif et résistant: la poitrine percutée rendait un son mat dans la
partie
postérieure du côté droit : l'auscultation faisai
cadavre, je trouve la cavité droite de la poitrine remplie de sang en
partie
coagulé et présentant tous les caractères d'un ép
is étaient denses, comme fibreuses, d'un rouge-brun dans une certaine
partie
de son étendue; point de lambeaux gangreneux prop
ier cas, la circulation est interrompue dans tous les vaisseaux de la
partie
; dans le second cas, le sang n'arrive ni par le t
ougeâtre, mais sans présenter aucune fétidité. La poche était formée,
partie
par le tissu propre du poumon inégal et déchiré,
résentant çà et là les orifices des tuyaux bronchiques coupés à pics,
partie
par la plèvre et le péricarde épaissis. C'est là
e du sommet du poumon, un fragment induré de cet organe ne tenant aux
parties
voisines que par un pédicule extrêmement mince qu
cès, vit paraître il y a deux ans, sans cause connue, une tumeur à la
partie
supérieure du sternum. Avant cette époque, santé
iscères contenus dans la cavité thoracique, nous avons vu (fig. 2) la
partie
sous-sternale de la tumeur TA, du bas de laquelle
ous les détails de l'intérieur de la poche anévrysmale ouverte par la
partie
postérieure. Presque immédiatement au-dessus de
'C'; elle n'en diffère que par son énorme volume. Elle naissait de la
partie
la plus élevée de l'ampoule AT), entre l'origin
rtébrale et sous-clavière gauches. Cette tumeur était divisée en deux
parties
, l'une sous-sternaleplus volumineuse, l'autre pré
entamée ou plutôt accrue par l'agglomération successive et inégale de
parties
concrètes formées aux dépens du sang. Je ne puis
t dans les parois des tumeurs anévrysmalcs. Déjà cette poche était en
partie
décollée au voisinage du sternum ; le sang s'insi
comme les points les plus susceptibles de se laisser déchirer : i° la
partie
d'aorte qui répond en arrière à la trachée et à l
ie d'aorte qui répond en arrière à la trachée et à l'œsophage ; i° la
partie
supérieure de la crosse entre l'origine du tronc
l'obligeance de M. Honoré, médecin de l'hôpital Necker, c'était de la
partie
supérieure de la crosse de l'aorte, entre les ori
us long-temps après la perforation. S'il existe une couche épaisse de
parties
molles entre la poche anévrysmale et les surfaces
volume, aucun organe ne se moule plus facilement que le foie sur les
parties
voisines. Ainsi, tantôt il s'allonge de manière à
l pourrait se faire que cette atrophie ne fut qu'apparente, et que la
partie
du foie qui le constitue ait été refoulée à droit
e cause semblable. La contusion et la commotion développent, dans les
parties
qui en sont le siège, des modifications de vita
quatrième vertèbres cervicales, avec abolition des mouvemens de cette
partie
; puis dans l'espace de trois ou quatre jours, cet
oelle ne présentait rien de particulier, excepté inférieurement où la
partie
inférieure de la queue de cheval était entourée d
llement de la pie - mère qui recouvre le foyer sanguin FAP, et que la
partie
la plus liquide du sang s'est épanchée dans le ti
ui pourra elle-même se déchirer. C'est ce qui paraît avoir eu lieu en
partie
pour le foyer FAP (fig. i), FAA (fig. 2), car les
la coloration du tissu cellulaire sous-arachnoïdien (fig. 1'), que la
partie
la plus liquide du sang s'est fait jour dans le t
a paralysie du sentiment et du mouvement fut complète dans toutes les
parties
placées au-dessous de l'altération. Je ne saura
te substance blanche, dont les vaisseaux ne lui arrivent, au moins en
partie
, qu'après qu'ils ont traversé la substance grise.
influence du ventricule gauche du cœur? L'indépendance des diverses
parties
de la moelle les unes des autres, l'indépendance
de ce liquide à l'extérieur de la gaine méningienne ; la plus grande
partie
s'était écoulée pendant que la « scie agissait. J
mme une bouillie d'un rouge sang de bœuf « et qui se voyait depuis la
partie
inférieure de l'os sacrum jusqu'à la deuxième ou
a promptitude de la mort; la désorganisation s'est faite d'abord à la
partie
inférieure de la moelle, d'où paralysie complète
t du mouvement avait envahi la totalité des parois abdominales et une
partie
des parois thoraciques, jusqu'aux mamelles, en so
aussi complète que possible du sentiment et du mouvement de toute la
partie
du corps qui est au-dessous d'une ligne qui passe
ette énorme perte de substance. A l'ouverture, nous avons trouvé la
partie
inférieure de la moelle cervicale et le commencem
dépens de la septième vertèbre cervicale complètement détruite, de la
partie
inférieure de la sixième ( la substance intervert
postérieures des premières côtes. Cette tumeur soulevait en avant la
partie
inférieure des muscles longs du cou et en arrière
avant la partie inférieure des muscles longs du cou et en arrière la
partie
correspondante des muscles spinaux du côté gauche
ux connues dans leur siège immédiat. N'oublions jamais que toutes les
parties
de l'arbre nerveux sont solidaires; que les doule
érythème. La paume des mains , la plante des pieds, c'est-à-dire les
parties
les plus exposées à l'action directe des suppress
e inférieur droit tout entier, puis le membre inférieur gauche, et en
partie
les parois de l'abdomen; la douleur, fixée d'abor
e terminaison, s'est étendue le long de la moelle épinière jusqu'à la
partie
moyenne de la région dorsale, et s'est propagée l
de déliquium, de magma; des adhérences se seraient établies avec les
parties
voisines, qui elles-mêmes auraient été successive
queuse vaginale, dans le cas de cancer du col de l'utérus étendu à la
partie
voisine du vagin; et, en coupant en dcdolant cett
re de maladies : mais tantôt elle use lentement couche par couche les
parties
qu'elle affecte ; c'est le cas le plus ordinaire
éfiées ; tantôt la gangrène envahit à la fois une grande épaisseur de
parties
, lorsque l'altération s'est étendue à des vaissea
l contre-indiquent les évacuations sanguines. (Deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses.) —Le 2, pouls excessivement
lusieurs ouvertures petites, inégalement déchirées, qui occupaient la
partie
moyenne de l'arc du colon. Il existait trois peti
malade. La maladie essentielle était donc bornée à une très-petite
partie
de l'arc du colon, à deux ou trois cellulosités.
la matière plâtreuse le pénétrait en IVe LIVRAISON. 1 très-grande
partie
. La figure 4, qui présente une coupe de l'astraga
és, comme corrodés ; les deux os sésamoïdes eux-mêmes OS, OS, sont en
partie
usés ; une grande quantité de matière goutteuse e
hisseur du gros orteil est parsemé de concrétions crétacées, déposées
partie
sur sa face supérieure, partie sur sa face inféri
emé de concrétions crétacées, déposées partie sur sa face supérieure,
partie
sur sa face inférieure. La fig. 6" représente l
iale. Au-devant de la surface articulaire du tibia, entre l'os et les
parties
ligamenteuses, couche plâtreuse épaisse d'un pouc
aires couvertes d'un enduit plâtreux lisse; encroûtement plâtreux des
parties
fibreuses environnantes. La tumeur du coude droit
gros comme une noisette et entouré d'une membrane celluleuse. — A la
partie
interne de la jambe j entre l'aponévrose et les m
fesseur au Muséum d'histoire naturelle, a donné pour résultat, sur 11
parties
: eau enlevée parla dessiccation, i ; matière anim
ombinée avec l'acide urique, i ; hydrochlorate de soude, i ; perte, 2
parties
. Dans le cas représenté planche ni, les concrétio
La portion de membre sur laquelle se trouvent ces concrétions est une
partie
du pied; Sur les surfaces articulaires se trouv
et sous-cutanées et jusqu'au centre des os, en un mot dans toutes les
parties
qui concourent au système de la locomotion. Reste
érieur n'a plus d'inconvenions, vu la transformation qu'ont subie ses
parties
constituantes. La grande différence qui existe
loi que j'ai cru devoir établir, attendu que les cartilages sont les
parties
de l'articulation qui éprouvent les chocs les plu
es trous de conjugaison : la présence d'un nerf et d'un vaisseau, ces
parties
fondamentales de l'organisation, semblent en quel
té qui forme la trame de tout organe vivant s'hypertrophie et devient
partie
intégrante de la poche. L'abcès caséiforme se pro
é, et forme la base inclinée de l'espèce de pyramide que constitue la
partie
supérieure de la colonne vertébrale. Une portion
ntérieure avec les apophyses transverse et articulaires droites et la
partie
du corps qui les soutient ; les apophyses transve
ragmens eux-mêmes qui travaillent à leur consolidation, mais bien les
parties
environnantes, tissu cellulaire, tissu fibreux, m
ont très-volumineuses, plusieurs remplies de concrétions sanguines en
partie
décolorées. Les ovaires sont mous, spongieux, p
e visqueux. Il y a réellement deux vagins adossés dans la plus grande
partie
de leur étendue. La cloison s'arrête à un pouce a
eure et la face postérieure de l'utérus (fig. 4) sont séparés en deux
parties
parfaitement égales par une dépression ou rainure
rdinaire, bien que les ovaires plus volumineux soient séparés en deux
parties
,tpar un rétrécissement circulaire, par cela seul
il n'offrait rien de particulier, mais son corps était divisé en deux
parties
égales par une cloison qui s'arrêtait juste au co
identiques. Toutefois je ne pense pas qu'il y ait défaut, absence des
parties
situées sur la ligne médiane; car, dans tous les
es divers élémens qui le constituent : il est d'abord dépouillé de la
partie
la plus liquide; sa partie la plus solide n'est a
nstituent : il est d'abord dépouillé de la partie la plus liquide; sa
partie
la plus solide n'est absorbée que plus tard et so
igure 2 représente une coupe de ce testicule, qui est composé de deux
parties
bien distinctes; l'une ve livraison. 1 supéri
dépens de la septième vertèbre cervicale complètement détruite, de la
partie
inférieure de la sixième ( la substance intervert
ibreux, dont elle est séparée par une couche épaisse de liquide. A la
partie
supérieure de la tumeur, il existe une bouillie b
cule que j'avais soumise à cette épreuve était réduite à la vingtième
partie
en poids et en volume. Indépendamment de cette tr
s deux gouttières profondes latérales de cette région postérieure, la
partie
voisine du pharynx, la base de la langue, la face
rière existe un petit pertuis pour le passage de l'air. La glotte, la
partie
sous-glottique du larynx , étaient dans l'état le
: la face antérieure de l'épiglotte était couverte d'escarres, et sa
partie
inférieure refoulée en arrière contribuait encore
cellulaire sous-muqueux de la portion sus-glottique du larynx et des
parties
voisines : l'altération morbide rend un compte au
s voiles membraneux les fait se tuméfier beaucoup plus que les autres
parties
de la face ; l'une et l'autre paupières forment u
importance à l'inspection de l'épiglotte qu'on peut toujours voir en
partie
, par une exploration convenable, et qui révèle pa
leur ou d'infiltration, la rougeur, la pâleur ou l'infiltration de la
partie
sus-glottique du larynx , aux maladies de laquell
ostérieure, présente une saillie au niveau du cartilage cricoïde; les
parties
molles qui le recouvraient ayant été divisées, on
a nécrose et l'érosion du cartilage cricoïde ne se bornaient pas à la
partie
postérieure, elles s'étendaient de chaque côté, m
ège d'une tuméfaction mortelle : on peut mourir de suffocation par la
partie
sous-glottique, comme par la glotte, comme par la
ation par la partie sous-glottique, comme par la glotte, comme par la
partie
sus-glottique. Mais à quoi attribuer cette nécros
ales , i8a5 , tome XIX , page 3. Ouverture du cadavre. « Abcès à la
partie
postérieure du larynx et sur ses côtés, qui, vidé
e cricoïde est dénudé et pour ainsi dire disséqué. « En examinant les
parties
avec le plus grand soin, nous avons vu que l'abcè
e; la base du cartilage aryténoïde droit CA était dénudée, érodée, en
partie
osseuse. Du reste, les ganglions lymphatiques s
t l'orifice supérieur du larynx, le défaut de souplesse de toutes les
parties
indurées, devaient s'opposer au mouvement si comp
cacher sous l'épiglotte. Je n'ai pas trouvé dans la tuméfaction des
parties
la raison suffisante de la mort subite, et comme
l'ovaire, et cet isolement de ses maladies appelle ,justifie même en
partie
les tentatives hardies qui ont été faites dans ce
u bien ils sont réunis en un certain nombre de groupes, mais dont les
parties
constituantes communiquent entre elles. 4°- Kyste
n'arrive aux doigts explorateurs qu'à travers une grande épaisseur de
parties
: membres abdominaux très-infiltrés ; état généra
libre de toutes parts, excepté du côté de l'utérus U, qui occupait la
partie
antérieure et supérieure de la tumeur; il était d
rond LR, la trompe utérine T verticalement dirigée, et sillonnant la
partie
antérieure de la tumeur. On distingue même toutes
rappant de vérité. La figure 1 représente de grandeur naturelle une
partie
de la tumeur ouverte : on voit que le kyste est d
lagineux. Le péritoine était granuleux sur l'intestin grêle et sur la
partie
postérieure de la tumeur. Le foie, la rate, les r
e sont les suivans : i° dans l'ascite, le liquide occupe toujours les
parties
les plus déclives; en conséquence, dans le décubi
g. 2), il s'est échappé une grande quantité de sérosité limpide, dont
partie
était ramassée dans des espèces de kystes, et par
té limpide, dont partie était ramassée dans des espèces de kystes, et
partie
infiltrée dans un tissu cellulaire extrêmement dé
atrophiée du cerveau ne formait pas en poids et en volume la dixième
partie
de la moitié saine. Réflexions. — Il est malheu
re sous le rapport de la corrélation qui existe entre les différentes
parties
du cerveau sous le rapport de l'atrophie. Les cir
ois piliers, les commissures, la protubérance annulaire, ou plutôt la
partie
de cette protubérance saillante à la face inférie
(figure 2), une bandelette de substance médullaire LM qui obturait en
partie
l'ouverture de communication indiquée. Il y avait
artie l'ouverture de communication indiquée. Il y avait absence de la
partie
inférieure ou réfléchie du ventricule latéral. Pa
dans un tissu cel-luloso - vasculaire extrêmement délié MCV, dont une
partie
offre une coloration jaune orangé , jaune serin,
offre une coloration jaune orangé , jaune serin, tandis qu'une autre
partie
semble encore imbibée de sang, comme dans le foye
noyau celluloso-fibreux CA très-dense, brun jaunâtre, qui occupait la
partie
postérieure du corps strié. Ce noyau appartient é
un vaste foyer creusé dans l'épaisseur de la couche optique et de la
partie
voisine du centre médullaire. La figure i et i' r
ème jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la
partie
postérieure du corps strié en voie de guérison. F
auche nous a présenté le foyer apoplectique FA (fig. 3); il occupe la
partie
postérieure du corps strié CS et externe de la co
llot. Ayant ensuite divisé le cerveau de haut en bas, au niveau de la
partie
moyenne du foyer, j'ai vu que ce foyer était parf
ôtel-Dieu le 22 février 1829, pour un phlegmon circonscrit situé à la
partie
antérieure et inférieure de l'avant-bras droit :
itué à la partie antérieure et inférieure de l'avant-bras droit : les
parties
voisines sont rouges et œdémateuses. Le malade se
atome de sérosité dans sa cavité , bien que le poumon affaissé et en
partie
splénifié ne remplit pas la totalité de la cavité
ie-mère sont très-injectés. Les ventricules latéraux ouverts par leur
partie
antérieure donnent issue à une grande quantité de
rapporte la légère douleur ou plutôt l'embarras qu'elle éprouve à la
partie
supérieure du frontal; cet embarras cesse par mom
t pas ; mais quand on lui demande ce qui lui fait mal, elle montre la
partie
supérieure du frontal où elle dit éprouver des ba
s-arachnoïdienne de la base. (Saignée au bras; deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses.) Le lendemain, la sensibil
'hospice des Enfans-Trouvés. Faible et grêle, cet enfant portait à la
partie
inférieure de la région lombaire, sur la ligne mé
ion dans la sensibilité et la myotilité. Ouverture du cadavre. A la
partie
inférieure de la région lombaire, large ouverture
e. Ces ventricules contenaient un pus trouble et floconneux, dont une
partie
plus cohérente est restée attachée autour des cou
ET t\ (*). Les figures 3 et 4 représentent la région lombaire et la
partie
inférieure de la région dorsale d'un autre enfant
commençait à paraître qu'au voisinage du bulbe raehidien. En outre la
partie
supérieure de la région cervicale, largement dila
n cervicale, largement dilatée, contenait et le bulbe raehidien et la
partie
correspondante du cervelet qui se prolongeait en
cette espèce de descente de la moelle allongée et du cervelet dans la
partie
supérieure du canal raehidien. Les ventricules du
n ne peut se développer, un kyste ne peut se former qu'aux dépens des
parties
voisines dont il envahit la place. Aussi, lorsqu'
l en est incapable; mais bien la cellulosité qui environne toutes nos
parties
, qui les pénètre et forme comme une atmosphère au
. Larrey a adopté pour cette amputation. La figure i représente les
parties
disséquées. C la clavicule ; iC, 2C, 3C, les troi
nvexe. La figure 4 représente le ganglion nerveux GN divisé en deux
parties
égales par une section verticale. On voit les fil
phie du fœtus. Ce fait prouve en outre l'indépendance des différentes
parties
du placenta. Barbe, âgée de trente-un ans, d'un
au travail désorganisateur ; d'autres fois, ces vaisseaux ont été en
partie
détruits. Entre ces larges ulcérations se voient
à la non-existence de la douleur. L'anatomie pathologique explique en
partie
ce fait en montrant que, chez le plus grand nombr
me nerveux ganglionnaire, qui se distribue en si grande abondance aux
parties
malades, explique ici comme dans les hernies étra
nsité peut-être sur la classe riche que sur la classe pauvre, dans la
partie
élevée que dans la partie basse de la ville ; les
sse riche que sur la classe pauvre, dans la partie élevée que dans la
partie
basse de la ville ; les causes parurent agir de d
addition de laudanum, et surtout des sinapismes promenés sur diverses
parties
du corps, des vésicatoires volans ou à demeure m'
ai parlé, j'ai eu beaucoup à me louer des vésicatoires appliqués à la
partie
interne des cuisses; et, depuis cette époque, cet
'imprime d'altérations que dans de petites glandules placées dans une
partie
circonscrite du canal alimentaire, qui tue par le
arres comme tuberculeuses , jaunâtres (FAU, F AU, FAU), morcelées, en
partie
détruites, fortement adhérentes ; au fond des per
e valvule qui appartient à l'intestin grêle; or cette plaque était en
partie
détruite. Les fibres musculaires qui occupent l'é
ots; pilules de camphre, de musc et de nitre ; deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses.) Le 27 , il est moins mal; o
té faite que trente-six heures après la mort); des escarres jaunes en
partie
détachées naissaient du fond de larges ulcération
t teint d'un jaune foncé. La rate volumineuse était ramollie dans une
partie
de son étendue. Le foie sain. La vésicule du fiel
s modernes disent que les papilles ou villosités vont diminuant de la
partie
supérieure vers la partie inférieure de l'intesti
papilles ou villosités vont diminuant de la partie supérieure vers la
partie
inférieure de l'intestin grêle. au lieu d'être
ment mes soupçons. (Deux sinapismes aux pieds; deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses. Potion camphrée nitrée.) Mor
manifestée par une couche pseudo-membraneuse entourant le cœcum et la
partie
voisine de l'intestin grêle : sous elle la séreus
car les membranes muqueuse et fibreuse désorganisées font évidemment
partie
de ces escarres, et même ont été détruites bien a
sous forme ulcéreuse, tendant à la péritonite. Deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses; gomme arabique édul-corée ,
quent. J'explorai le thorax, et je reconnus une pleuro-pneumonie à la
partie
antérieure du poumon droit. Le malade mourut la n
dernier mois de sa vie sur la production de la pleuro-pneumonie à la
partie
antérieure du poumon droit (le lobe moyen et la m
nférieur droit). Je suis persuadé que l'inflammation aurait envahi la
partie
postérieure du poumon, si le malade était resté e
ne trompe utérine dont le pavillon avait contracté adhérence avec les
parties
voisines. Hernie ombilicale congéniale. (fig. 2
j'avais dans mes salles, à la Salpêtrière, une femme qui portait à la
partie
interne des cuisses 5 ou 6 productions cornées co
e et sillonnée par des stries parallèles, à concavité postérieure. La
partie
de la face palmaire de l'ongle qui apparaît prése
eurs. Ainsi, tantôt la dégénération cancéreuse ne forme qu'une petite
partie
de la tumeur, tantôt elle en constitue la portion
ement diminuent, puis s'éteignent dans les membres correspondans à la
partie
du cerveau comprimée : les facultés intellectuell
ce, de diminution dans le sentiment et le mouvement de telle ou telle
partie
du corps. Mais il est des cas dans lesquels l'err
ig. 2), dont quelques-unes ne tenaient aux os du crâne qu'à l'aide de
parties
molles, végétations dont la réunion constituait u
a été soumis à une coupe verticale antéro-postérieure au niveau de la
partie
moyenne de la tumeur la plus volumineuse. Sous el
ont développées du côté du cerveau, qui, lentement comprimé, s'est en
partie
atrophié. Je ne saurais trop appeler l'attention
absorption dans la résolution d'un phlegmon suppuré en totalité ou en
partie
; mais cette absorption du pus, un des phénomènes
gauche s'était vidé à l'extérieur par le conduit auditif externe. La
partie
d'os qui répondait à l'abcès commençait à se cari
itions est sans doute imparfait; mais enfin il existe avec toutes ses
parties
constituantes qui remplissent tant bien que mal l
ce du lobe antérieur, l'hémisphère gauche remplissait complètement la
partie
correspondante du crâne; tandis que l'hémisphère
s étaient sains. On voit sur cette même figure i l'imperfection de la
partie
postérieure de l'hémisphère droit HD, une large p
le latéral de ce côté et la cavité de l'arachnoïde. On voit encore la
partie
supérieure de l'ouverture OA que présente le lobe
passant que Gall a placé les plus nobles facultés précisément dans la
partie
du crâne où « les protubérances extérieures ne pr
at avec le fait représenté planche vi, vme livraison ? Le voici : nos
parties
sont organisées les unes pour les autres, leurs f
antérieurs. Tout vice de conformation du cerveau, quelle que soit la
partie
de cet organe sur laquelle il porte plus spéciale
fluence nerveuse locale, intégrité du cordon nerveux, intégrité de la
partie
de l'axe cérébro-spinal, avec lequel il communiqu
pendant la durée de ce traitement, une fluctuation se manifeste à la
partie
antérieure du scrotum. Quelques grains de potasse
elui représenté figure i a été divisé par une coupe verticale en deux
parties
égales, de l'épididyme vers le corps du testicule
e creusée çà et là de petits foyers ; le principal foyer se voit à la
partie
supérieure en ET. Du reste le corps du testicule
ns l'état normal. Le testicule représenté fig. 2 a été divisé en deux
parties
égales de son bord convexe vers l'épididyme. Sous
nt du quatrième mois, deux points fluctuans se manifestent, l'un à la
partie
supérieure, l'autre à la partie inférieure de la
s fluctuans se manifestent, l'un à la partie supérieure, l'autre à la
partie
inférieure de la tumeur. Une ouverture pratiquée
nomonique de l'hydrocèfe, et je découvris un peu de transparence à la
partie
supérieure ; tout le reste était opaque. J'en con
térieur. Une fluctuation aussi manifeste que possible se déclare à la
partie
antérieure de la tumeur; cette fluctuation s'éten
malade. Le malade marche tout courbé, et reste au lit la plus grande
partie
du jour. Il est évident qu'un travail intérieur a
double de celui qu'il présentait lors de la première opération. A la
partie
antérieure, fluctuation extrêmement manifeste; d'
n'a présenté de remarquable que l'excessive adhérence de la peau aux
parties
subja-centes, en sorte qu'au lieu d'une énucléati
n tissu encéphaloïde altéré? La substance du testicule, refoulée à la
partie
supérieure de la poche, se moulait sur elle; la c
médiatement les parois de la poche indiquée, était grisâtre, lobulée,
partie
pénétrée de vaisseaux sanguins, partie complèteme
quée, était grisâtre, lobulée, partie pénétrée de vaisseaux sanguins,
partie
complètement exsangue. Les deux feuillets de la t
la poche, à laquelle elle adhérait intimement, et avait déjà subi en
partie
cette infiltration séreuse qui précède la con-ixe
e tumeur formée par l'épididyme. Cette tumeur adhérait intimement aux
parties
voisines. La figure 4 représente le testicule e
ières que revêtent les lésions qui leur sont communes avec les autres
parties
du corps. Ainsi, les articulations étant l'abouti
e par fusion. DES LUXATIONS EN GÉNÉRAL. Il n'est peut-être aucune
partie
de la chirurgie dont l'histoire approche davantag
r, cette anatomie pathologique devra comprendre : i° les rapports des
parties
dures et l'état des parties molles, ligamens, ten
ue devra comprendre : i° les rapports des parties dures et l'état des
parties
molles, ligamens, tendons, muscles, tissu cellula
sseaux et nerfs, immédiatement après la luxation; i° les rapports des
parties
dures et l'état des parties molles, huit, quinze
nt après la luxation; i° les rapports des parties dures et l'état des
parties
molles, huit, quinze jours, un mois, deux mois, t
n mois, deux mois, trois mois après la luxation; 3° enfin, l'état des
parties
molles et des os lorsqu'une articulation nouvelle
t plus ou moins fléchis; le carpe fait une « saillie remarquable à la
partie
antérieure de l'articulation; on voit en arrière,
vec extension de la main. La figure 2 représente l'avant-bras et la
partie
voisine de la main disséqués et vus de profil du
n crut reconnaître une luxation de la main sur l'avant-bras; mais les
parties
molles ayant été disséquées, il vit qu'il existai
elles attirent les tégumens de toutes parts, et avec les tégumens les
parties
dures aussi-bien que les parties molles. Le chiru
utes parts, et avec les tégumens les parties dures aussi-bien que les
parties
molles. Le chirurgien doit lutter incessamment co
ubitus. Dans ces deux cas, le radius et le cubitus se croisent à leur
partie
supérieure comme dans une forte pronation. Dans l
pens de la face inférieure de l'apophyse sygmoïde du cubitus et de la
partie
voisine du'plan antérieur du même os. Immédiateme
ius, déformée et déjetée en dehors et en arrière, est divisée en deux
parties
, l'une qui répond encore à la petite tête de l'hu
e d'une nutrition plus active, d'où des végétations osseuses; que les
parties
molles elles-mêmes subissent la transformation os
sformation osseuse pour compléter la cavité articulaire; que d'autres
parties
molles ambiantes distendues subissent la transfor
quefois il arrive qu'au lieu de subir la transformation fibreuse, les
parties
molles environnantes éprouvent la transformation
e du tibia, que porte principalement l'usure, parce que c'est à cette
partie
interne de l'articulation qu'est transmis plus sp
a longue portion du biceps se terminait en s'y fixant au niveau de la
partie
inférieure de cette gouttière. Un cartilage de no
ormation recouvrait toute la surface usée, tandis qu'une assez grande
partie
de la tête de l'humérus était dépourvue de cartil
clavicule et de l'acromion. L'extrémité externe de la clavicule et la
partie
voisine de l'acromion étaient détruites en grande
actes dans celle-ci. L'usure de la tête portait principalement sur la
partie
inférieure et interne de cette tête ; à la partie
incipalement sur la partie inférieure et interne de cette tête ; à la
partie
supérieure existaient des végétations recouvert
ités; point de trace des ligamens inter-articulaires; et à gauche, la
partie
externe du rebord cotyloïdien était amincie, usée
col, et que celui-ci s'était aplati. La cavité glénoïde, ou plutôt la
partie
vraiment articulaire qui borne en avant cette cav
. On y voit une lame éburnée TE, rayée dans le sens des mouvemens. La
partie
inférieure du condyle externe est parsemée des ca
synoviales, circonstance trop négligée peut-être, et qui explique en
partie
et les douleurs atroces qu'ils occasionnent et la
te de mucus gélatineux, sans aucune trace de travail morbide dans les
parties
environnantes , durent penser que cette altératio
contré dans divers points de l'intestin grêle, du gros intestin, à la
partie
inférieure de l'œsophage. Ce ramollissement procè
en tube ou en portion de tube. Si la transformation est complète, les
parties
désorganisées sont entraînées couche par couche,
envahi lui-même, il s'use, se déchire, et la perforation a lieu. Les
parties
, ainsi transformées, sont décolorées, transparent
putréfaction, ni de gangrène. Un fait digne d'intérêt, c'est que les
parties
ramollies se décomposent beaucoup moins prompteme
s parties ramollies se décomposent beaucoup moins promptement que les
parties
non altérées dans leur organisation. L'ébulli-tio
inent l'altération, couleur que je n'ai jamais rencontrée ni dans les
parties
désorganisées ni dans les liquides contenus. Je r
complètement détruite au niveau des plis, parce que ces plis étant la
partie
la plus saillante plongeaient dans le liquide don
seulement à travers les parois vasculaires, mais encore à travers les
parties
molles environnantes. XVI. Or, le ramollissemen
te folliculeuse. Je crois donc que nous pouvons regarder, au moins en
partie
, cette agitation continuelle , ces mouvemens déso
grande courbure, la grosse tubérosité, l'orifice cardiaque, voilà les
parties
qui sont les moins exposées à la dégénération. En
érosité limpide. Les poumons, refoulés contre le médiastin et vers la
partie
supérieure du thorax, étaient tellement petits, q
st moins considérable, la digestion gastrique s'accomplit au moins en
partie
, la morosité est moindre; l'obstruction du pylore
ches 5 et 6 et les réflexions qui les accompagnent peuvent remplir en
partie
la lacune qui existe à cet égard. I. Anatomique
areil ulcère à traiter à l'extérieur ? Nous condamnerions au repos la
partie
du corps qui en serait affectée. S'il occupait le
g. 1, pl. 6, les trois tuniques ont été détruites dans la plus grande
partie
de l'ulcère U, en sorte que le péritoine seul en
nue dans leur cavité. L'estomac présentait comme un étranglement à sa
partie
moyenne, et cet étranglement était produit par un
ion tout-à-fait semblable à celui des ulcères des autres organes. Les
parties
saines voisines sont d'abord attirées pour diminu
ulcère U, et comme aucune adhérence n'existait entre l'estomac et les
parties
environnantes, il est probable que, si le malade
pleines de sang concret, tandis que les veinules correspondantes aux
parties
saines sont libres. Si l'animal survit à l'expéri
n loin d'être une démonstration), elles forment encore la plus grande
partie
de ce système capillaire que Bichat ne voyait que
illaire et déterminer des inflammations circonscrites dans toutes les
parties
du corps. XXVII. Maintenant il se présente une
la plèvre, du péritoine, enlevées par l'absorption en totalité ou en
partie
; et cependant l'économie n'en est nullement trou
difie peut-être. Le pus en particulier parait d'abord dépouillé de sa
partie
la plus liquide; sa partie solide n'est absorbée
particulier parait d'abord dépouillé de sa partie la plus liquide; sa
partie
solide n'est absorbée que plus tard, et souvent a
formation des abcès viscéraux, l'intégrité ordinairement parfaite des
parties
voisines, ne me paraissent pas des objectionspére
ent celles qui avoisinent la plaie, mais encore les veines des autres
parties
du corps, nulle part on ne trouve de traces de ph
et enfin, chez le vieillard, le tissu adipeux a envahi la plus grande
partie
des aréoles. Or, on conçoit que l'inflammation de
certaine étendue, et intercepte plus ou moins la circulation dans les
parties
correspondantes. Ainsi la phlébite des sinus de l
n résultat avantageux : elles soustraient sans doute avec le sang une
partie
de la cause matérielle de la maladie, mais cette
alle et frappèrent le bras droit d'avant en arrière, au-dessous de la
partie
moyenne du bras. L'une d'elles traversa le membre
via de sa direction première et vint faire saillie sous la peau, à la
partie
interne du membre. Ce malade entre à l'hôpital Be
'auraient été par une injection. Le tissu cellulaire qui les unit aux
parties
voisines est très-dense, ce qui rend leur dissect
e VB présente au contraire tous les degrés de la phlébite. Ainsi à sa
partie
inférieure, c'est du pus P ; à sa partie moyenne,
s de la phlébite. Ainsi à sa partie inférieure, c'est du pus P ; à sa
partie
moyenne, c'est un caillot sanguin au centre duque
saine; ne trouvant pas la veine, j'introduisis un gros stylet dans la
partie
supérieure de la veine fémorale, et je vis à mon
es se continuaient jusqu'à l'arcade fémorale d'une part et jusqu'à la
partie
inférieure des vaisseaux tibiaux et péroniers pos
ver l'autre bout. Deux foyers considérables existaient autour de la
partie
supérieure des vaisseaux péroniers entre le muscl
e appréciable et sans lésion correspondante ou analogue dans d'autres
parties
du corps. Enfin, il est des phlébites consécutive
ingulièrement exposés à la répétition de cette phlébite dans d'autres
parties
du corps; ainsi les saignées pratiquées pour les
elle-même n'est pas plus dangereuse que V inflammation de toute autre
partie
du corps ; ce qui constitue son danger, c'est Vin
ans cesse renaissant. Mais, de même qu'on rencontre dans toutes les
parties
du corps et des phlébites capillaires et des phlé
par conséquent, représente sous ce point de vue les veines des autres
parties
du corps. La fig. i, pl. 2, xie livr., fournira
plus en plus fréquente ; expectoration nulle : deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses. Mort le 9, vingt-huit jours
ncrétions des petits vaisseaux n'existaient guère qu'au voisinage des
parties
du poumon affectées de pneumonie lobulaire. Dan
e de tous les accidens. Mais les veines du moignon, celles des autres
parties
du corps, examinées avec le plus grand soin dans
mortelles. Cependant, tandis que la gangrène diffuse, envahissant une
partie
plus ou moins considérable d'un poumon, s'accompa
plein; face rouge; sueur générale. Râle crépitant dans la plus grande
partie
du poumon droit ; son mat du même côté ; intégrit
de dix-huit onces, sans amendement. Le 17, matité considérable à la
partie
postérieure droite du thorax; à la crépitation av
oulu faire la section du polype sur le pédicule, on aurait emporté la
partie
du fond de l'utérus sur laquelle ce polype était
ement décider delà nature d'un polype utérin par les caractères de la
partie
de ce polype qui a franchi le col utérin ou qui e
prolongemens à travers les orifices antérieurs des narines. Toute la
partie
de ces polypes qui déborde les narines présente e
tourne presque toujours de l'opération le praticien prudent. Toute la
partie
de la tumeur qui est encore contenue dans les nar
n du col qui est au dessus; que cette déchirure, souvent bornée à une
partie
de l'épaisseur, peut s'étendre à toute l'épaisseu
ux sans ascite, le foie conserve généralement son volume naturel; une
partie
seulement du foie a subi la transformation, encor
ubstances à la fois. Ce qui a pu en imposer à cet égard, c'est que la
partie
centrale de chaque granulation répond au radicule
ule biliaire, et conséquemment est souvent teinte en jaune, et que la
partie
excentrique répond à l'élément vasculaire, et con
répond à l'élément vasculaire, et conséquemment est plus rouge que la
partie
centrale. Dans la Cyrrhose, on trouve à côté de g
reste, lorsque la tumeur superficielle est volumineuse , elle perd en
partie
sa forme sphéroïdale et se creuse en godet au cen
tonéaux se développer , des adhérences s'établir entre le foie et les
parties
voisines : on conçoit que ce travail d'irritation
le siège habituel des masses cancéreuses les plus volumineuses, cette
partie
du foie qui répond au ligament suspenseur, et par
masses disséminées. Plusieurs masses cancéreuses offraient, dans une
partie
de leur étendue, une trame érectile tout-à-fait a
totalité du péritoine, qui revêt le foie, tantôt elle est bornée à la
partie
du péritoine qui recouvre les tumeurs. 11 en résu
umons; un cancer de l'extrémité gauche du pancréas et un cancer de la
partie
supérieure du rein gauche; dans un autre cas, le
mier abord, complètement isolée et sans aucune communication avec les
parties
voisines, cependant j'ai pu m'assurer que cette c
hissent un grand nombre de points à la fois, en laissant intactes les
parties
intermédiaires; les uns et les autres affectent u
scope fait reconnaître une impulsion forte et étendue dans toute là »
partie
gauche du thorax et en même temps un bruit de sif
st alors réduite à un petit cordon celluleux; sa fossette s'efface en
partie
, et c'est dans des cas de cette espèce, dont plus
r, un pouce deux lignes de diamètre à sa base, légèrement renflé à sa
partie
moyenne, était engagé dans le jéjunum, immédiatem
r cet intestin, que les liquides ne pouvaient franchir l'obstacle; la
partie
de Pintestin, supérieure au calcul, avait un pouc
tin, supérieure au calcul, avait un pouce huit lignes de diamètre; la
partie
inférieure avait un pouce de diamètre. La muqueus
onduit cholédoque était libre; le conduit cystique, très étroit et en
partie
obstrué, ne permettait pas l'introduction d'un st
l'attention sur un petit cordon CL étendu verticalement du foie à la
partie
du duodénum qui avoisine le pylore P; ce cordon d
uodénum qui avoisine le pylore P; ce cordon dilaté et bosselé dans sa
partie
supérieure se continuait manifestement avec les c
ssible de décider si ces faisceaux étaient fibreux ou musculaires; la
partie
postérieure des poumons était hépatisée; tous les
ment considérable qui occupait non-seulement le pylore mais encore la
partie
adjacente de l'estomac dans une hauteur de 18 lig
ble de ses parois. Il n'y avait aucune lésion au pylore, mais dans la
partie
du duodénum qui lui fait suite se voyait une cica
rt au niveau de la petite courbure de l'estomac, c'est-à-dire dans la
partie
de la circonférence du pylore qui était simplemen
erne est bosselée et présente une érosion E qui est couverte dans une
partie
de son étendue par une escarrhe noire. Les bord
Guérison d'ulcère chronique aux narines. — Cancer au pylore et à la
partie
voisine de l'estomac. La femme Pichon, âgée de
tomac ouvert du côté de la petite courbure permet de constater que la
partie
malade est profondément excavée à sa partie moyen
ermet de constater que la partie malade est profondément excavée à sa
partie
moyenne, et très rétrécie à ses extrémités, en so
usculeuse. L'intestin grêle présentait une rougeur par plaques à sa
partie
inférieure. Tous les autres organes étaient sains
particulier. L La femme qui vient d'accoucher n'a échappé qu'à une
partie
des dangers qui la menacent dans l'accomplissemen
n de continuité : car l'œuf n'adhère pas seulement à l'utérus par ses
parties
placentaires, mais bien par toute sa surface : la
turelle, permettent de saisir parfaitement les rapports de toutes les
parties
représentées sur cette figure. La partie latéra
es rapports de toutes les parties représentées sur cette figure. La
partie
latérale droite de la face postérieure de l'utéru
étaient enveloppées par une fausse membrane mince, PM, PM, qui est en
partie
enlevée sur la figure. Leur coupe fig. 2, présent
n du pus : il a pour sujet une femme âgée de 55 ans, qui portait à la
partie
supérieure et interne de la cuisse, un lipome éno
cique n'en présentaient aucune trace. Comme la peau qui recouvrait la
partie
interne de la tumeur avait été le siège d'un érys
-il pas possible que ce pus ait été produit par inflammation dans une
partie
de ces vaisseaux antérieure dans l'ordre de la ci
vaisseau, il y a infection du sang; le pus arrêté dans telle ou telle
partie
du système capillaire, agit à la manière d'un cor
, au bout d'une heure , avec de lafarine de moutarde ; frictions à la
partie
interne des cuisses et sur l'abdomen, avec une on
ctuelles dans Pétat le plus parfait d'intégrité. F'ésicatoires à la
partie
interne des cuisses. Synapismes. Frictions avec t
Je prescrivis, pour l'acquit de ma conscience, deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses, huit grains de kermès minéra
nne ceux cpii précèdent. Prescription : Cataplasmes synapisés ci la
partie
interne des cuisses. Potion avec camphre et éther
r foyers entre les circonvolutions intestinales et entre les diverses
parties
du mésentère, entre le diaphragme et le foie et d
isseaux lymphatiques commençait à se concréter par l'absorption de sa
partie
la plus séreuse. Dans d'autres cas, les femmes
Potion avec sulfate de quinine, 12 grains. Deux vésicatoires ci la
partie
interne des cuisses. Le 13, délire violent qui
e tanche part un long canal qui, au premier coup d'œil, représente la
partie
spongieuse de l'urètre, c'est le col utérin C U p
é non-seulement aux dépens de son corps, mais encore aux dépens de la
partie
supérieure de son col. Fig. 2. L'utérus représe
e d'arrière en avant, comprend la paroi postérieure et la plus grande
partie
de l'épaisseur de la tumeur. L'utérus, par l'ép
emment dans les grands sinus utérins ouverts, VO, VO, qui occupent la
partie
inférieure de cette tumeur. L Toute tumeur fibr
ne autre part, l'identité du choléra épidémique qui désole encore une
partie
de l'ancien et du nouveau continent, i° avec le c
épidémique qu'un si petit nombre d'individus, cela tient peut-être en
partie
à une foule de circonstances étrangères au fond d
oute boisson et pour tout aliment, et sur-tout deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses : c'est à ce dernier moyen qu
des; plaintes toute la nuit. Prescription : Deux vésicatoires ci La
partie
interne des cuisses. Décoction blanche. Un quart
narticulés. Le traitement consiste en de nouveaux vésicatoires à La
partie
interne des cuisses. Décoction blanche. Synapisme
A l'intérieur, l'estomac présente du pointillé rouge dans Une grande
partie
de son étendue. Les intestins grêles contiennen
de qui a triomphé de la période de concentration n'a échappé qu'à une
partie
des dangers de sa position. XX. Souvent l'état
ire. Les phénomènes chimiques de la respiration s'exécutent encore en
partie
; le froid n'est pas algide. Nous désignons cette
rps, et principalement de la face et des extrémités, c'est-à-dire des
parties
les plus riches en vaisseaux capillaires, une sup
; quand on lui demande ce qui lui fait mal, il montre l'épigastre, la
partie
antérieure du thorax, et repousse les couvertures
son summum, le malade parait réduit à l'état de cadavre; les yeux, en
partie
découverts, s'affaissent, soit par l'absorption d
ters. Les malades poussent des cris de douleur, la crampe passe d'une
partie
du corps à une autre, et la mort peut les surpren
e, l'injection n'est pas uniforme , elle est beaucoup moindre dans la
partie
de l'intestin grêle contenue dans la cavité pelvi
rement coloré en rouge et semblable à de la lavure de chair, revêt la
partie
inférieure de ce même intestin. Les follicules
sur toute la surface du corps. Vésicatoire le long du rachis et ci la
partie
interne des cuisses. Sangsues et ventouses à l'ép
rence ; plus haut , dans le colon descendant , elle n'occupait qu'une
partie
de la circonférence; au-dessus, étaient des porti
s l'estomac ni dans les deux tiers supérieurs de l'intestin grêle. La
partie
inférieure présente une plaque de Peyer énorme P,
vient sanguinolente, et même sanglante, à mesure qu'on approche de la
partie
inférieure de l'intestin grêle. La muqueuse est f
e dans toute l'étendue de cet intestin. La rougeur va croissant de la
partie
supérieure à la partie inférieure. Les gros int
de cet intestin. La rougeur va croissant de la partie supérieure à la
partie
inférieure. Les gros intestins contiennent des
sistance naturelles. Il n'y a de rougeur que dans le cœcum et dans la
partie
voisine du colon. La vésicule du fiel est diste
olérique a triomphé de la période asphyxique, il n'a échappé qu'à une
partie
des dangers de sa position ; ce n'est qu'à la sui
sont à demi-ouverts, chassieux , renversés en haut, injectés dans la
partie
qui est à découvert; somnolence dont on retire tr
rale , plus prononcée à la face, aux pieds et aux mains qu'aux autres
parties
du corps ; absence du pouls ; voix presque éteint
ostration. Boisson et la glace. Bain entier. Deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses. Sinapisme sur V épigastre.
urines, application de douze sangsues avec ventouses, qui enlèvent en
partie
l'étouffement. La nuit du 7 au 8 se passe bien.
anal alimentaire et plus particulièrement dans le gros intestin et la
partie
inférieure de l'intestin grêle; que ces lésions c
ïus nous a conservé l'histoire. Cette maladie, qui ravagea une grande
partie
de l'Europe, sous le titre de peste britannique,
ement à ces grandes épidémies qui ont ravagé, à diverses époques, une
partie
du monde, mais encore à ces petites épidémies, à
d'un tuyau flexible que l'on dirigeait à volonté vers telle ou telle
partie
du corps. Je dois dire que la caléfaction est imp
appliqué le long du rachis, moyen auquel j'ai cru devoir, au moins en
partie
, rapporter quelques succès. 5U Bains. Les bains
ur ont également échoué. Les douches de vapeur, dirigées sur diverses
parties
du corps, sont un moyen rationnel exempt de toute
pt mois. La hg. 2 représente les deux ventricules, ouverts par leur
partie
supérieure : le ventricule droit est distendu par
ot a été renversé d'avant en arrière : ce caillot se continue dans la
partie
inférieure ou réfléchie du même ventricule ; la s
fant, soit par le cordon ombilical, soit par le col utérin et par les
parties
molles extérieures, après la sortie de la tête, d
mère, se portent sur l'oeuf, dont elles peuvent attaquer les diverses
parties
. Nous avons parlé ailleurs de l'apoplexie placent
différente capacité, et pleines de pus visqueux ; les cellules de la
partie
inférieure sont plus considérables que celles du
rable; il n'existait du trou de botai qu'une petite fente située à la
partie
supérieure de la fosse : un caillot était engagé
ue l'économie peut s'habituer lentement à se passer de la plus grande
partie
de cet organe. Une seconde remarque non moins i
environ de leur étendue; cette imperméabilité s'observe sur-tout à la
partie
postérieure et à la base : elle consiste dans une
la naissance. Les poumons ont subi l'induration grise dans la majeure
partie
de leur étendue. Tous les autres organes sont par
fant à terme, peu développé, vient avec des pustules dans différentes
parties
du corps. L'épiderme de la plante des pieds et de
é qui en écartait les mailles. Les os dénudés étaient érodés dans une
partie
de leur épaisseur. Le périoste qui répondait à la
é, au lieu du cerveau, une poche remplie de sérosité limpide. Dans la
partie
qui tapissait la voûte , cette poche était formée
us souvent cette lamelle est plus ou moins complètement déchirée à sa
partie
moyenne? et la communication existe. Observatio
ste. Observation d'hydrocéphalie avec disparition de la plus grande
partie
du cerveau et intégrité du cervelet, de la prot
nse de l'arrière-bouche; toux sèche ; cris voilés (4 sangsues sur les
parties
latérales du col) ; le 15, même état ; mort le 16
cadavre, vingt-quatre heures après la mort. Hépatisation rouge à la
partie
postérieure du poumon droit. Petits noyaux hépati
argement ouvert par l'ablation du pariétal, du frontal droit et de la
partie
supérieure de l'occipital. La faux cérébrale, F,
ce qui reste des deux hémisphères cérébraux. La fig. 4 reproduit la
partie
antérieure de la fig. 1, avec ses détails : la vo
nts lui firent observer que l'enfant portait sans cesse les mains aux
parties
génitales. Elle fut admise le 12 janvier 1830 à
rveau, la formation des commissures est subordonnée à l'existence des
parties
latérales; mais autre chose est ce qui se passe a
ervées sur la figure, permettent de saisir les rapports de toutes ces
parties
entre elles. La fig. 1 représente la hernie sou
rrière: le muscle obturateur externe ayant été divisé, j'ai vu que la
partie
la plus considérable de la tumeur était située en
fication des matériaux nutritifs étant interceptées en totalité ou en
partie
, l'enfant arrive mort ou prodigieusement affaibli
acts peut suffire à maintenir la vie, lorsque l'atrophie des diverses
parties
du placenta a été successive. 3° Inflammation d
e, plusieurs abcès dans l'épaisseur du foie; le principal occupait la
partie
de cet organe qui est situé immédiatement au-dess
. Les selles et les urines sont involontaires. Deux vésicatoires à la
partie
interne des cuisses ; décoction de cpiinquina.
dale, non ouverte, mais ulcérée superficiellement dans la plus grande
partie
de son étendue. Elle occupe le niveau des deux de
e couleur rosacée à sa circonférence, ulcérée en U , et perforée à sa
partie
inférieure P. La tumeur lombaire (fig. 3 ) occu
ion commençante. Or une perforation récente située au centre de cette
partie
à demi-cicatrisée, peut en imposer pour une ouver
e quelquefois saine, d'autres fois atrophiée ou ramollie , et devenue
partie
constituante de la tumeur , naissaient les nerfs,
ns toute sa longueur, excepté dans le cas représenté fig. 3 ' , où sa
partie
inférieure était ramollie dans l'espace de quelqu
, tendront à se développer, à se rapprocher et à remplir, au moins en
partie
, la perte de substance. On ne saurait trop se r
te transversale MT du museau de tanche. Cette fente est déprimée à sa
partie
moyenne par une petite tumeur qui n'est autre cho
le renversement du vagin est donc aussi complet que possible. A la
partie
supérieure et antérieure de la tumeur, méat urina
ineuse déborde le détroit supérieur. Son bas-fond, et peut-être une
partie
de sa paroi postérieure, ont été entraînés par l'
de la tumeur. L'orificevésicalOV n'occupe pas, comme de coutume, la
partie
inférieure de la paroi antérieure delà vessie, ma
cavité formée par le vagin renversé et tapissée par le péritoine. La
partie
de cette cavité comprise entre l'utérus et la ves
son diamètre vertical; 2° par le rétrécissement ou étranglement de sa
partie
moyenne? 3° par le développement de son corps et
t de sa partie moyenne? 3° par le développement de son corps et de la
partie
inférieure de son col; 4° par l'échancrure que pr
quelconque. xvie livraison. i Le développement considérable de la
partie
du col proéminente dans le vagin MTT, qui, comme
proéminente dans le vagin MTT, qui, comme on le conçoit, occupait la
partie
inférieure de la tumeur, est dû à son ramollissem
enfin les parois de ce canal ramollies et moins solidement unies aux
parties
voisines se laissent déprimer et renverser avec l
un prolongement considérable digité, qui allait s'introduire dans la
partie
postérieure et inférieure du sac formé par le vag
n'est jamais complète ; i° des escarres plus ou moins profondes à la
partie
la plus déclive de la tumeur; or, cette partie la
u moins profondes à la partie la plus déclive de la tumeur; or, cette
partie
la plus déclive, est formée par le col utérin. Si
. Comme conséquences pratiques des nouveaux rapports qu'affectent les
parties
dans le prolapsus, nous pouvons noter: i° la poss
une cure radicale par des procédés particuliers : la dilatation de la
partie
supérieure du vagin, son relâchement, son défaut
récissement du vagin et plus particulièrement du rétrécissement de sa
partie
supérieure, qu'on pourrait obtenir par une cautér
u'il suit: trois, quatre, cinq excisions de la muqueuse et même d'une
partie
de l'épaisseur des parois du vagin, seraient prat
se dirigeait d'abord obliquement en haut et en dehors pour gagner la
partie
latérale de l'abdomen, puis verticalement sur la
our gagner la partie latérale de l'abdomen, puis verticalement sur la
partie
latérale du thorax pour aller se jeter dans la ve
une veine du volume de l'index, qui se détachait à angle droit, de la
partie
inférieure et interne delà veine iliaque externe,
larités remarquables. Une veine naissant par une double origine de la
partie
inférieure et interne de la veine iliaque externe
age des circonvolutions atrophiées, la couleur jaune-brun de quelques
parties
du cerveau , sembleraient dénoter un mouvement fl
noix, et se portant » dans l'intérieur de la vessie, non point par la
partie
antérieure, mais par celle qui » répond au rectum
if qu'aucune ligne de démarcation ne sépare cette portion moyenne des
parties
latérales, la dénomination de lobe moyen, admise
être remplacée par celle de portion moyenne. Le développement de la
partie
moyenne de la prostate peut coïncider avec l'engo
vec le tissu prostatique par une large base. Ce développement de la
partie
moyenne de la prostate est quelquefois considérab
conçoit d'ailleurs la difficulté qu'une végétation considérable de la
partie
moyenne de la prostate peut apporter au diagnosti
qu'on eut jamais soupçonné l'existence de la pierre, il trouva sur la
partie
inférieure du contour de l'urètre une excroissanc
volumineuse qu'un œuf de poule. Par le fait du développement de la
partie
moyenne de la prostate, le cathétérisme devient d
vient à pénétrer dans la vessie. Dans certains cas, ce n'est pas la
partie
moyenne de la prostate, mais bien les parties lat
ins cas, ce n'est pas la partie moyenne de la prostate, mais bien les
parties
latérales ou lobes latéraux qui proéminent dans l
Elle a pour sujet un individu taillé par la méthode sus-pubienne. La
partie
moyenne était proportionnellement plus volumineus
La partie moyenne était proportionnellement plus volumineuse que les
parties
latérales. Cette prostate entourait de toutes p
. Cette prostate entourait de toutes parts le canal de l'urètre, la
partie
supérieure de cette glande était, relativement, a
périeure de cette glande était, relativement, aussi développée que la
partie
inférieure, en sorte que l'incision faite à la pa
veloppée que la partie inférieure, en sorte que l'incision faite à la
partie
antérieure de la vessie arrivait jusqu'à la prost
rostate. Dans ce cas, comme de coutume, cette glande avait acquis une
partie
de son développement du coté de la vessie ; elle
ier moment ; il augmenta beaucoup pendant la nuit; le sang coulait en
partie
par la sonde, en partie entre la sonde et le cana
beaucoup pendant la nuit; le sang coulait en partie par la sonde, en
partie
entre la sonde et le canal. Des caillots obstruai
obable que l'obstacle que j'avais surmonté n'était autre chose que la
partie
moyenne de cette glande considérablement développ
eru-motanum. Il vit la route qu'il avait faite dans l'épaisseur de la
partie
latérale gauche de la tumeur. sonde à demeure m
surfaces; de petite concrétions ossiformes (phlébolites) occupent les
parties
latérales. Everard Home avait noté le développeme
la prostate CP, CP, le véru-montanum VM, la bride B M constituant la
partie
inférieure de l'orifice vésical. Une sonde indiqu
n des urines; car l'orifice naturel de la vessie était couvert par la
partie
la plus volumineuse de la tumeur. La bride minc
formé dans l'épaisseur de ses parois , affaiblit la résistance de la
partie
correspondante, et amène sa déchirure. Joignez à
es dans l'épaisseur des muscles, les unes formées par du sang noir en
partie
coagulé, d'autres par du sang lie devin, d'autres
e indéfinie, en sorte qu'il envahit successivement un grand nombre de
parties
sans abandonner les premières; double caractère q
XVIIe LIVRAISON. f occupait toute la région hypogastrique et une
partie
de la région ombilicale. L'arc du colon flexueux
re. Le 14 mars, l'œdème gagne tout le membre abdominal gauche : les
parties
tuméfiées sont douloureuses. Comme il existait en
u est à peine de couleur rosée. La toux provoque des douleurs dans la
partie
latérale droite du thorax. Dépérissement, malaise
circonscrite, du volume d'une noix. Infiltration séreuse d'une grande
partie
des poumons. Bronchite. Abdomen. Dans l'épaisse
les ganglions lymphatiques situés au niveau du trou obturateur. La
partie
inférieure de la veine iliaque externe et toute l
nts, friction avec axonge camphrée. Bains de siège; 12 sangsues ¿1 la
partie
interne des cuisses, potion calmante. Le 25, po
de pus. Depuis quelques jours, la malade accusait une douleur à la
partie
inférieure de la jambe et au pied : mais l'examen
r et hypothénar. La fluctuation manifeste que j'avais observée à la
partie
supérieure et postérieure de l'avant-bras était d
adhéraient par des filaments celluleux ; le cœcum adhère à toutes les
parties
voisines par des brides celluleuses. Le long du
eux jours, les nuances de coloration que présente le muscle depuis sa
partie
supérieure, qui est infiltrée de pus, PI, jusqu'à
depuis sa partie supérieure, qui est infiltrée de pus, PI, jusqu'à sa
partie
inférieure, qui est dans l'état naturel, indiquen
ce à l'artère pulmonaire. (1) La crosse de l'aorte présente dans sa
partie
ascendante, c'est-à-dire en deçà de la naissance
male dans la cavité de l'artère pulmonaire. La fig. 2 représente la
partie
ascendante de la crosse de l'aorte ouverte, on vo
de la crosse de l'aorte ouverte, on voit : i° la dilatation de cette
partie
ascendante ; 20 les plaques crétacées jaunâtres d
large et terminée en cône mousse qui contenait l'estomac, une grande
partie
du colon et presque tout l'épiploon, avait pour s
idère que les organes qui répondent au diaphragme dans la plus grande
partie
de son étendue sont le foie, l'estomac, la rate,
le sont en effet, si le diaphragme était en rapport immédiat avec des
parties
aussi mobiles et aussi susceptibles de s'insinuer
après l'ablation de la bouillie : cette ablation a été faite ici à la
partie
inférieure de l'organe. Les parois des cellules
i les séparent sont extrêmement denses, presque cartilagineuses. La
partie
supérieure du rein présentait une matière encépha
daires, tels qu'épanchement de sang, suppuration, décomposition d'une
partie
des liquides épanchés-Dans le cas représenté pl.I
a portion de rein respectée par la maladie avait été refoulée vers la
partie
supérieure de la tumeur : ici la totalité des lob
isseur de cet organe. Subjacentes aux membranes, elles ont déprimé la
partie
correspondante du cervelet qui n'a point subi d'a
tion , soif assez vive. Il y a de l'appétit ; ventre saillant sur les
parties
latérales : sa paroi antérieure molle , flasque ,
3e tubercule considérable, du volume d'une noix aplatie, occupait la
partie
médiane du cervelet, et se voyait dans le 4e vent
densité assez grande; ils sont tantôt pleins, tantôt ramollis à leur
partie
centrale où ils présentent une multitude de cavit
ïncident le plus souvent avec la présence de tubercules dans d'autres
parties
du corps, sur-tout dans les poumons ou les gangli
s l'organisation; et ces ressources sont quelquefois l'élimination de
parties
nuisibles, dans d'autres cas la substitution d'un
ination de parties nuisibles, dans d'autres cas la substitution d'une
partie
à une autre : cette étude peut encore profiter à
x tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramollissèment de toutes les
parties
centrales de Vhémisphère correspondant. Je suis
rande partie ses douleurs à des vésicatoires appliqués la veille à la
partie
interne des cuisses. La persistance des acciden
hémiplégie était à droite) déprimé, fluctuant, d'où je conclus que sa
partie
centrale était ramollie. Et en effet, cet hémisph
ente, parcourue par des vaisseaux et analogue au blanc-manger. Sur la
partie
latérale gauche de l'hémisphère, au niveau de la
cun soin, en sorte que je n'ai pas pu déterminer aux dépens de quelle
partie
le kyste était formé; mais il est probable que c'
une mèche bien peignée dont la couleur était d'un châtain foncé. La
partie
du kyste d'où naît la mèche TC, TC, et le voisina
l'autre par un sillon vertical; 2° elle est criblée de trous; 5° une
partie
de cette surface est dégarnie de poils; mais sur
us; 5° une partie de cette surface est dégarnie de poils; mais sur la
partie
qui en est pourvue, on les voit sortir du fond de
ule déborde et qui est pointue. La fig. 3 représente, disséquée ,1a
partie
delà tumeur d'où naissait la mèche de cheveux, le
charpente osseuse DO, DO, de forme fort irrégulière, dont toutes les
parties
sont continues et soudées entre elles, et au mili
ssible de déterminer non-seulement un os , mais encore la plus petite
partie
d'un os. La substance cornée S C , S C, emboîte
arablement plus fréquents dans les ovaires que dans toutes les autres
parties
du corps réunies. Après l'ovaire, c'est dans le t
uterai le suivant : une petite fille , âgée de 9 ans, portait, sur la
partie
moyenne du nez une croûte du volume de la tête d'
fistuleux et les fosses nasales. Avant d'en venir à l'incision de la
partie
sous-cutanée du trajet fistuleux, je conseillai u
issent avec la plus grande facilité; i° dans une plus ou moins grande
partie
de leur longueur, à l'aide d'une couche très ténu
présenté pl. V; mais au milieu de cette masse osseuse dont toutes les
parties
étaient soudées entre elles, il m'a été impossibl
ores, desquels on voit naître les poils. Le cuir chevelu est la seule
partie
de la peau où cette disposition soit aussi pronon
l inflammatoire : des adhérences peuvent s'établir entre elles et les
parties
environnantes; et, suivant q ne l'adhérence aura
Alors seulement l'art pourra intervenir pour faciliter la sortie des
parties
contenues dans la poche et obtenir l'adhésion des
elette ont échappé à la destruction et alors on trouve des dents, des
parties
osseuses du tissu cellulaire, sous-cutané, des on
ge du cordon ombilical : toute la surface du corps, dont les diverses
parties
sont parfaitement distinctes, est recouverte d'un
n° 12, contenus dans la gaine fibreuse formée par la dure-mère. La
partie
supérieure de la colonne vertébrale est très fort
ent la coupe de la jambe. On voit le tibia et le péroné au centre des
parties
molles desséchées. Considérations générales sur
s. Les téguments, les muscles, tous les membres, en un mot toutes les
parties
extérieures étaient ossifiés, la tête qui était m
582. (a) Acta Academiae Josephinae , tome i , p. 201, avec figures.
partie
le kyste s'était formé; et, s'il y avait eu ruptu
ncisives prêtes à percer à chaque mâchoire. )) L'enveloppe était en
partie
osseuse et en partie cartilagineuse; elle avait p
cer à chaque mâchoire. )) L'enveloppe était en partie osseuse et en
partie
cartilagineuse; elle avait presque par-tout deux
e avait presque par-tout deux lignes )) d'épaisseur et quatre dans la
partie
contiguè à l'arrière-faix, lequel avait la même c
leuses et inégales : la surface interne était comme )) moulée sur les
parties
de l'enfant qu'elle embrassait étroitement ; une
mbril, )) comme si on y eût fait une ligature. D'ailleurs, toutes les
parties
de la mère, et notamment la matrice, » étaient tr
lcaire plus ou moins épaisse qui enveloppe le fœtus en totalité ou en
partie
. Tous les tissus, tous les organes sont desséchés
morbide auxquelles le foie est exposé. Dans l'épaisseur du foie, à sa
partie
antérieure et gauche, était un kyste assez consid
cystes non altérés se voient le long du bord droit du foie et sont en
partie
logés dans son épaisseur. La rate R présente qu
systèmes. La fig. 2 (grandeur naturelle) représente une coupe de la
partie
supérieure de la tumeur. On voit 1° la couleur ar
passait par une espèce de détroit que formait la tumeur autour de la
partie
sous-diaphragmatique de ce canal. L'aspect géné
L'acéphalocyste représentée fig. 7 remplissait un kyste étranglé à sa
partie
moyenne : les trois têtes sphêroïdales de son ext
noirs. La Fig. 2 représente le cancer mélanique disséqué, isolé des
parties
voisines, et divisé par une coupe verticale antér
ue des vestiges. Une seule côte avait subi la même altération dans la
partie
moyenne de sa longueur. Les vertèbres étaient sai
un œuf de pigeon, occupaient la surface convexe du foie et étaient en
partie
logées dans son épaissseur. Un grand nombre de
usieurs de ces tumeurs étaient assez volumineuses pour intercepter en
partie
le cours des matières, et avaient déterminé l'inv
rtie le cours des matières, et avaient déterminé l'invagination de la
partie
d'intestin sur laquelle elles prenaient naissance
la partie d'intestin sur laquelle elles prenaient naissance, dans la
partie
d'intestin placée immé-daitement au-dessous. Co
r. Hernie cervicale du poumon. Hernie ihoracique des intestins, d'une
partie
du foie et de Vestomac lequel était situé dans Vé
a bouche, aurait enfoncé dans la cavité buccale les commissures et la
partie
voisine des joues. Les joues déprimées se continu
le crâne était un cerveau et un cervelet qui ne remplissaient qu'une
partie
de la cavité : une sérosité sanglante occupait le
ensation d'un corps élastique, je parcourus la face; je reconnus à la
partie
moyenne, un tubercule « que je pins pour le nez,
bdominales sont largement ouvertes. Tous les intestins grêles et la
partie
du gros intestin qui l'avoisine sont contenus dan
oumon droit P s'élève au-dessus de la clavicule jusqu'au niveau de la
partie
supérieure du larynx en dehors delà glande thyroï
du larynx en dehors delà glande thyroïde TD: le thym us TM occupe la
partie
inférieure de la région cervicale. Le diaphragm
ivant pour ainsi dire en contact avec la région supérieure du dos, la
partie
postérieure ou écaille use de l'occipital ne pour
la situation de la région cervicale qui est devenue en quelque sorte
partie
intégrante de la base du crâne : on conçoit que l
e la disposition de la bouche, la dépression des commissures et de la
partie
voisine des joues, l'adhérence des joues avec le
os sont sujets à toutes les formes de cancer qui peuvent affecter les
parties
molles. Les dénominations de spina ventosa, d'ost
ôt et le plus souvent il est consécutif à un cancer siégeant dans les
parties
molles. C'est surtout dans le cas de cancer mam
et peu régulières sont déterminées par les conditions mécaniques des
parties
au milieu desquelles elles se développent. Ainsi
7e vertèbre cervicale, laquelle avait été complètement détruite, delà
partie
inférieure de la 6e (le disque intervertébral ava
érieures des deux premières côtes. Cette tumeur soulevait en avant la
partie
inférieure des muscles longs du col, et en arrièr
avant la partie inférieure des muscles longs du col, et en arrière la
partie
correspondante des muscles spinaux du côté gauche
ngué du cancer des os non circonscrit qui en général est limité à une
partie
d'os ou à un seul os. Il y a, entre ces deux form
rconscrit porte tantôt exclusivement sur Fun ou sur l'autre des trois
parties
constituantes des os, périoste, tissu osseux, tis
après l'ablation de la mamelle gauche cancéreuse, vit se former à la
partie
supérieure du sternum, une tumeur qui augmenta pr
Le sternum était carnifié, et se laissait diviser à la manière des
parties
molles. Sa trame était fibreuse, et le suc cancér
trame était fibreuse, et le suc cancéreux infiltrait ses mailles; la
partie
du grand pectoral qui revêt le sternum et la peau
nvahis. Ce fait prouve en outre que le cancer des os se propage aux
parties
environnantes lorsqu'il a franchi le périoste, de
franchi le périoste, de même que dans certains cas il se propage des
parties
molles aux os. Comme exemple d'altération simul
eil des fractures de cuisse, on sentit une crépitation manifeste à la
partie
supérieure du fémur gauche. En même temps la mala
gauche au-dessous du grand trochanter. Du reste, les fragmens et les
parties
molles environnantes étaient identiquement dans l
s les organes, et revêtir toutes les formes qu'ils affectent dans les
parties
molles. Le fait suivant que j'ai observé à la S
uteur à trente-huit ans, et depuis lors douleurs vagues dans diverses
parties
du corps. A trente-neuf ans, efforts violens et i
e mouvoir. A la même époque, parurent plusieurs tumeurs, deux sur les
parties
latérales et supérieures du crâne ; une troisième
ur les parties latérales et supérieures du crâne ; une troisième à la
partie
moyenne de la clavicule droite, une quatrième au
la clavicule droite, une quatrième au bras gauche et deux autres à la
partie
antérieure droite de la poitrine, sur les septièm
nerfs maxillaires supérieur et inférieur de la cinquième paire, et la
partie
correspondante du cœur qui était ramollie dans l'
r produit une fracture; ajoutez à cela que la malade, en désignant la
partie
interne du membre comme le point le plus douloure
fracture FR (fig. v, pl. 1, xxe livr.) était située au-dessous de la
partie
moyenne de l'humérus H. Les bouts des fragmens ét
me infiltrée de sérosité. A l'union de la première avec la deuxième
partie
du sternum, on a trouvé une tumeur cancéreuse cir
niveau de la cloison ventriculaire. Cette rupture est divisée en deux
parties
inégales R, R par une petite languette charnue. U
frait à son centre une petite ouverture. Ces ecchymoses occupaient la
partie
supérieure du sillon postérieur du cœur, un peu à
n siège sur la paroi postérieure du ventricule gauche, au niveau delà
partie
moyenne de cette paroi, en sorte qu'avant de s'ép
au voisinage du sommet du ventricule gauche, l'ouverture occupait la
partie
inférieure d'un foyer sanguin creusé dans l'épais
é. La cause de sa mort fut une gangrène spontanée qui se déclara à la
partie
antérieure et supérieure de la cuisse, et qui, d'
ement qui a lieu tantôt autour de la cicatrice, tantôt dans une autre
partie
du cerveau. Quelques observations viendront à l
vaisseaux sanguins et du tissu cellulaire lâche. Cervelet.- - A la
partie
postérieure de l'hémisphère droit existe une pert
ui y aboutissent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une
partie
de la substance planche, (i) (Fig. i.) Une jeun
t de cinq à dix minutes, et auquel succède la résolution complète des
parties
. Le côté droit du corps reste étranger à ces alte
res tantôt groupées, tantôt irrégulièrement disséminées. Les autres
parties
du cerveau sont saines. La moelle n'a pas été exa
s les extrémités déterminait la formation de foyers sanguins dans les
parties
correspondantes, j'en avais conclu que la même ch
par l'étendue du ramollissement, bien que la nuance de la couleur des
parties
ramollies ne fût pas exactement la même que celle
tives, c'est-à-dire le résultat des changemens qui s'opèrent dans les
parties
ramollies par suite d'un travail de résorption ou
A côté delà scissure médiane, les circonvolutions qui répondent à la
partie
la plus élevée du cerveau ont été en partie détru
utions qui répondent à la partie la plus élevée du cerveau ont été en
partie
détruites. Couleur jaune-serin de la cicatrice qu
lement dans sa couche la plus superficielle. Les circonvolutions en
partie
détruites et cicatrisées appartenaient à un vaste
aine étendue, infiltré avec induration ou hépatisation dans une autre
partie
de son étendue. Reflexions.—La mort dans ce cas
entanée de la parole, un engourdissement temporaire de telle ou telle
partie
du corps, dont les facultés s'affaiblissent à cha
épaisseur de la substance grise du corps strié droit, au niveau de la
partie
moyenne de la couche optique; 3° un petit foyer é
ait les circonvolutions de la base du cerveau. La corne d'Ammon et la
partie
gauche de la voûte à trois piliers étaient atroph
ire de plusieurs lignes de profondeur qui le détache complètement des
parties
voisines. Au milieu de cette cicatrice, les par
figure, l'artère splénique AO, est représentée ouverte dans toute la
partie
de son trajet qui était subjacente à la cicatrice
NTAIRES de SCLEROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC DEUXIÈME
PARTIE
TEXTES GENERAUX L. GUÉRIN, ÉDITEUR DÉPÔT ET
adre restreint, tout l'intérêt philosophique qui peut ressortir de la
partie
opératoire de la chirurgie. Scientifiquement, il
de l'œil; 3° le globe oculaire; 4° l'orhite osseux et l'ensemble des
parties
qu'il renferme. t. vii. ORGANES DE L'APPAREIL
omie opératoire ( i ). L'appareil lacrymal se compose de toutes les
parties
qui con-1 Planche i, fig. i et i bis; et aussi fi
êt au point de vue de la médecine opératoire. Elle se compose de deux
parties
: i° les conduits lacrymaux situés à l'angle inte
direction horizon-tale ; 2° un grand conduit vertical composé de deux
parties
: à la région oculaire, le réservoir ou sac lacry
forment à peu près exactement chacun la moitié. Le diamètre, avec les
parties
molles, est, pour le sac, d'environ quatre millim
nal, de trois millimètres à ses ex-trémités et de deux seulement à sa
partie
moyenne, point le plus rétréci : en sorte que le
eu dilaté à son orifice sous le cornet inférieur, il se rétrécit à sa
partie
moyenne pour se dilater de nouveau vers le sac la
oit être prévue à l'avance par le chirurgien d'après l'inspection des
parties
, est commune aux divers modes de traitement où il
intue de haut en bas, de dehors en dedans et d'avant en arrière, à la
partie
in-férieure de la gouttière lacrymale; puis y int
ue, temporaire, que l'on remplace par une canule d'or, étranglée à sa
partie
moyenne , sur laquelle on fait cicatriser la plai
le doute qu'avec un dard élastique porté au loin dans l'épaisseur des
parties
, à l'extrémité d'une sonde, le chirurgien fût par
lutifs , le calomel, les oxides de zinc et de bis-muth porphyrisés, à
parties
égales, avec le sucre candi, dont on instille mat
et constitue l'imperforation de la fente palpébrale. Dans ce cas les
parties
sont accolées par une membrane mince qui laisse u
aucun moyen de main-tenir isolées les surfaces, et la sensibilité des
parties
ne permet-tant pas l'interposition d'un corps étr
Rien de plus simple que le procédé : il consiste dans une piqûre à la
partie
inférieure de la circonférence delà cornée (pl. 8
as pour tracer une voie dans le corps vitré ; ramener l'aiguille à la
partie
externe, infé-rieure et postérieure du cristallin
cette pointe elle-même dirigée de telle sorte qu'elle pénètre dans la
partie
postérieure et inférieure du cristallin; glisser
equel on a piqué la cornée. i° Piqûre en Aa*. Remonter la pointe à la
partie
supérieure du cristallin, l'embrasser, et, portan
e. La section terminée, l'humeur aqueuse, qui déjà s'était écoulée en
partie
le long de la lame, achève de s'évacuer en entier
ar une opacité de la cornée, ou par des lésions combinées de ces deux
parties
. Cette opération, toujours très délicate en ell
ariqueux général; 2" Que la cornée soit diaphane, au moins dans une
partie
de son étendue : qu'elle ne présente pas de staph
fuse. — 5° Cas compliqués. Quand la cornée est opaque dans une grande
partie
de sa surface, c'est sur la partie opaque elle-mê
cornée est opaque dans une grande partie de sa surface, c'est sur la
partie
opaque elle-même qu'il faut pratiquer la section;
ment courbes et très fins, les ouvrir ensuite doucement, percer, à sa
partie
la plus déclive, l'iris avec la branche inférieur
nt de départ d'une double incision divergente qu'il pratiquait sur la
partie
inférieure de l'iris jusqu'au ligament ciliaire.
ostérieure comme pour l'abaissement du cristallin; la diriger vers la
partie
supérieure et interne de la circonférence de l'ir
ent dans le cancer on les fongus qui envahissent bien-tôt, toutes les
parties
situées dans l'orbite et en nécessitent l'ex-tirp
he avec soin, en introduisant le doigt, s'il n'est pas resté quelques
parties
altérées. Si la glande lacrymale n'a pas été enle
la supé-rieure. Circonscrit par l'os temporal, et inflexible dans sa
partie
profonde, ce conduit est fibro-cartilagineux clan
cin-quante-cinq millimètres, communiquant de la caisse du tympan à la
partie
supéreure et latérale du pharynx, suivant une dir
llimètres à ses deux extrémités, réduit à un seul mil-limètre dans sa
partie
moyenne, sa cavité est elliptique en tra-vers. So
s. La force imprimée doit être assez grande pour que, l'épaisseur des
parties
étant immédiatement traversée, sa tige s'enfonce
tance du pavillon de l'oreille en empruntant des lambeaux de peau aux
parties
voisines. Procédé de M. Dieffenbach. Tenté par
par lui avec succès dans un cas de perte de substance, siégeant à la
partie
postérieure du pavillon. Le bord de l'oreille q
uite de cérat au-des-sous du lambeau pour empêcher ses adhérences aux
parties
voisines. Au bout de cinq ou six jours on enlève
unes proviennent des os et sont incurables, les autres affectent les
parties
molles et peuvent résulter d'un resserrement des
il-limètres d'épaisseur. Lorsque l'anse parvient à être placée sur la
partie
du pédicule la plus rapprochée des parois du cond
pointe tout-à-fait rentrée dans la canule : alors le diriger vers la
partie
antérieure et infé-rieure de la membrane tympaniq
s sa canule, faire arriver l'extrémité de celle-ci en contact avec la
partie
anté-rieure et inférieure du tympan, comme dans l
la paroi inférieure du conduit auditif, de manière à arriver vers la
partie
antérieure et inférieure du tym-pan, à environ un
l'extrémité dépasse celle de la sonde, et l'intro-duire seul dans la
partie
la plus rétrécie du canal. Lorsqu'on j uge le man
ant glisser le long du bord inférieur de la cloison nasale jusqu'à sa
partie
postérieure; alors on imprime un mouvement de rot
lcau, pratiquer le ca-thétérisme par la narine opposée; mais alors la
partie
courbe du cathéter devrait être allongée proporti
uire assez souvent le dé-lire (Fabrizj); la compression de toutes les
parties
de l'oreille interne ; enfin parfois même la rupt
es, elles s'ouvrent, en arrière et un peu obliquement en bas, dans la
partie
supérieure du pharynx. Hautes dedetix centimètres
es qui rendent l'ulcération ou les polypes très rares. La cloison, en
partie
osseuse, en partie cartilagineuse, est quelquefoi
cération ou les polypes très rares. La cloison, en partie osseuse, en
partie
cartilagineuse, est quelquefois dejetée à droite
liquement en avant, où la voûte est formée par les os du nez. Dans sa
partie
moyenne elle est horizontale et répond aux goutti
Les polypes vésiculeux ont presque constamment leur siège dans cette
partie
, à cause de la finesse de la muqueuse qui la tapi
dans la fosse pté-jygo-maxillaire, au-dessous du masseter. Toutes ces
parties
sont revêtues par la muqueuse plus rouge, molle,
atron de cuir ou de carton, la mesure du lambeau, qu'on taille sur la
partie
interne du bras, absolument comme dans le procédé
ati, il convient, à l'exemple de M. Dieffenbach, de pratiquer sur ses
parties
latérales deux inci-sions verticales pénétrant ju
fin de pouvoir les soulever en avant, on détache également des os les
parties
limi-trophes de la joue dans l'étendue de cinq ou
iégeant sur le nez, son ablation s'exécute de même que sur les autres
parties
du corps. Seulement il faut avoir soin, pendant l
ies du corps. Seulement il faut avoir soin, pendant la dissection des
parties
, d'introduire un doigt dans la narine, afin de di
eau, on met en usage le procédé de M. Rigal, qui consiste à cerner la
partie
malade par deux incisions latérales, réunies en a
teindre la substance corrosive, et l'em-pêcher de se répandre sur les
parties
saines au voisinage du polype. Cette application,
d'une méthode où l'irritation produite appelle l'inflammation sur les
parties
voisines, et tend, le plus souvent, à activer le
boule métallique de pâte caustique, et la porte immédiate-ment sur la
partie
saillante du polype. Une injection alumincuse a d
es les cavités profondes, afin de limiter l'action du calo-rique à la
partie
malade, on se sert d'un cautère droit, terminé pa
deaux est parvenu également à extraire en entier un énorme po-lype en
partie
par la narine antérieure et en partie par la nari
en entier un énorme po-lype en partie par la narine antérieure et en
partie
par la narine postérieure. En résumé, c'est en pa
e corde à boyau. C'est surtout dans la modification ap-portée à cette
partie
de l'appareil que consiste le procédé suivant.
x, très mous, qui se déchirent facilement en laissant leur racine, la
partie
la plus résistante. Vexcision en elle-même est, e
un malade qui depuis long-temps portait une fistule de ce genre à la
partie
supérieure et interne de l'orbite. Les ouvertur
isit la sonde dans la narine correspondant au côté affecté , porta la
partie
la plus déliée au-dessous du cornet moyen ; et ay
ou que la déviation de ses parois a détruit les rapports normaux des
parties
. 11 est alors beaucoup plus simple et sans aucun
fixer la théorie. Déjà on le voit préoccupé d'ob-tenir la réunion des
parties
divisées par l'avivement de leur: bords avec l'in
ien ont tendu à obtenir la cicatrice la moins visible et l'aspect des
parties
le moins désagréa-ble après l'opération ; ausji p
rofessait que la division étant toujours sans perte de substance, les
parties
molles étaient aussi toujours assez abon-dantes p
rser au milieu par une anse defil, pour le tendre, et de conserver sa
partie
médiane pour servir de tubercule moyen de la lèvr
on prennent a lois une forme différente suivant la confi-guration des
parties
avant l'opération. Si le tubercule médian était t
la scissure latérale, on se contente de pratiquer l'opération sur les
parties
molles, l'expérience ayant appris qu'une fois la
isif de niveau avec les os maxillaires. L'avivcmcnt et la réunion des
parties
molles furent ensuite pratiqués. Le même procédé
eize ans, après avoir disséqué et renversé vers le nez le lambeau des
parties
molles, puis arraché les dents incisives, M. Gens
re la dent canine droitedéviée en avant, pratiqua l'opération sur les
parties
molles comme à l'ordinaire, avivenient et sutures
lèvres et la commissure intermédiaire, avec une étendue variable des
parties
molles de la joue, que se rapportent les di-verse
verti-cale ou oblique, suivant la direction de la maladie; isoler la
partie
malade par une seconde incision interne partagée
ns longitudinales un lambeau quadrilatère que l'on détache jusqu'à sa
partie
inférieure pour le remonter par tiraillement jusq
la ligne génienne, puis la ligne verticale externe, l'interne où les
parties
ont été le plus tiraillées étant moins difficile
pératoire semble offrir l'avantage de ménager autant que possible les
parties
saines; mais il a le grand inconvénient de ne per
combiné que la manière de ré-parer la perte de substance d'une grande
partie
de la légion buc-cale imaginée parce chirurgien,
ladie en dehors. Ces deux incisions intéressant toute l'épaisseur des
parties
molles, il est nécessaire de faire immédiatement
ière incision verticale sur la lèvre infé-rieure achève d'enlever les
parties
altérées. Les incisions étant terminées, et la ma
s causer de grands désordres ni intervertir les rapports naturels des
parties
. Des bords de lèvres formés par des plans de sect
vec des fragmens de muscles séparés de leurs insertions, privés d'une
partie
de leurs nerfs et de leurs vaisseaux naturels, et
ière dans la bouche. On a donc profondément une anse qui embrasse les
parties
molles au fond de la fistule , dont le sommet cor
portion, siège des fistules, qui peut être comprimée efficacement. La
partie
profonde, continue avec la première, est encastré
s de cancer où l'on craindrait que la maladie n'eût attaqué l'une des
parties
osseuses au con-tour. Tout étant disposé, la fo
on en T ou l'incision cruciale, qui donnent la facilité de mettre les
parties
largement à découvert, doivent être préférées, en
rès vasculaire, s'opère du sixième au dixième jour. 1" Cancer de la
partie
postérieure de la langue, (a) Cancer latéral. Dan
ranc, après avoir fait tirer fortement la langue au-dehors, saisit la
partie
malade avec les pinces de Mu-seux, entama le bord
r les anastomoses avec la moitié saine. Mais, dans un cas où toute la
partie
antérieure de la langue était malade et nécessita
de la voûte palatine. Dans ce dernier cas, la scissure des os et des
parties
molles, est complète d'arrière en avant dans tout
légère en sciant obliquement de manière à diviser d'un seul coup les
parties
molles; pour l'autre côté, l'avivement est commen
che, et, après avoir fait agir le caustique, délaver et abs-terger la
partie
malade avant de la laisser revenir en son lieu
uée par les anciens. Aétius établit en pré-cepte de n'enlever cpie la
partie
proéminente, et blâme l'extir-pation totale, qui
e simple à doubles crochets (Velpeau), il ac-croche l'amygdale par sa
partie
postérieure, et, par un mouve-ment de traction gr
ers, d'abord de haut en bas, puis de bas en haut, et terminait par la
partie
moyenne. On ne saurait mettre aucune importance à
état plus avancé si l'on a reconnu que la tumeur doit la plus grande
partie
de son volume, à une collection séreuse ou purule
à découvert par une double incision elliptique, l'isoler ensuite des
parties
sous-jacentes en détruisant ses adhérences avec l
e. l'on a sous les yeux, de la fractionner par la pensée en plusieurs
parties
, ordi-nairement trois qui donneront lieu à autant
, c'est avec raison que M. Velpeau con-seille de détacher d'abord les
parties
le plus loin qu' il est possible, de manière à n'
nte, on ôte le soufflet pour permettre l'expiration qui s'effectue en
partie
d'elle-même par l'élasticité des parois tho-raciq
ner à l'air atmosphérique un passage artificiel quand il existe, à la
partie
supérieure du tube aérifère, quelque obstacle méc
crivent. Leur procédé est simple et consiste à diviser en travers les
parties
molles , et à ouvrir la trachée entre les troisiè
fférentes qui se suivent à-peu-près dans un ordre chronologique de la
partie
infé-rieure vers l'extrémité supérieure du canal
ivant la taille du sujet, une hauteur de cinq à sept centimètres. Les
parties
qui la recouvrent sont : 1" la peau et l'aponévro
liqué ordinairement sur les quatre premiers ar- (1) Voyez, première
partie
, tome VI, Anatomie chirurgicale, région sous-hyoï
cartilage cricoïde et les premiers an-neaux de la trachée. Quant aux
parties
molles, on les divise comme il a été dit plus hau
l'inventeur de cette opération, dont, la nécessité, pour agir dans la
partie
supérieure du tube aérien , est aussi évi-dente q
ube aérien , est aussi évi-dente que celle de la trachéotomie pour la
partie
inférieure. En effet, la section médiane du carti
à travers la membrane hyo-thyroïdienne et la base de l'épiglotte. Les
parties
qu'il importe d'éviter sont les vaisseaux et le n
mune et la plus simple, se pra-tique pour elle-même, et fait en outre
partie
de toutes les autres pour explorer les voies, pén
aut, le corps étranger, comme le ferait le piston d'une pompe pour la
partie
du canal située au-dessus. Ces instrumens, par le
labourer et blesser les parois de l'œsophage et du pharynx. C'est en
partie
pour remédier à cet inconvénient que l'instrument
st d'un volume as-sez considérable pour faire proéminer au-debors les
parties
qui le recouvrent. Appareil instrumental. Outre
le bord de la trachée et de la glande thyroïde, et, au-dessous de ces
parties
, le bord de l'œsophage reconnaissable à la légère
r à laquelle atteint la ma-ladie, il faut les ruginer, en enlever une
partie
avec la scie à crête de coq ou la tenaille incisi
cès par la méthode autoplastique, en empruntant un lambeau cutané aux
parties
voisines. Enfin, dans ces derniers temps, en guis
es, dans le trajet nouveau, se détruise de lui-même par le retour des
parties
dans leur situation naturelle ; inciser avec préc
aennec , MM. Lallemand, Piorry et tant d'autres qui ont éclairé cette
partie
du diagnostic, on peut préciser avec la plus gran
ide est devenu fétide. 2" Pyothorax. Evacuer d'abord la plus grande
partie
, sinon la totalité du pus, ou si l'on adopte les
ralement par les artères épigastriques. Cepen-dant il faut choisir la
partie
la plus déclive. Les chirurgiens fran-çais, depui
e proposé comme lieu d'élection de pé-nétrer , chez la femme , par la
partie
postérieure et supérieure du vagin, pour arriver
iquée de dedans en dehors. Lâchant alors le pli dermo-musculaire, les
parties
molles, en reprenant leur position, viennent s'ét
é d'une énorme ascite avec un œdème considérable des membres et de la
partie
inférieure du tronc, et menace perpétuelle de suf
, même de très grand volume, soient avalés et s'arrêtent dans quelque
partie
du tube digestif, soit l'estomac ou un point quel
es ou des gaz se soient accumulés dans l'intestin , et que toutes les
parties
herniées se soient gonflées par l'afflux des liqu
inférieur de la plaie pour ne pas blesser l'épi-ploon tendu entre la
partie
supérieure de la plaie et les atta-ches gastro-co
sentent : diminuer le volume de l'intestin ou élargir l'ouverture des
parties
molles. La diminution du volume de l'intestin ne
t entre les lèvres de la tunique muqueuse, qui ne font ultérieurement
partie
de la cicatrice que par leurs adhérences avec la
tes les autres. Au reste, comme les adhérences péri-tonéales avec les
parties
voisines ne sont point empêchées par la présence
es après, d'une autre affection, Rhamdor put s'as-surer de l'état des
parties
, et envoya la pièce à un chirurgien qui la montra
ré parles anses de fil pour l'invaginer dans l'inférieur, dispose les
parties
dans les rapports convenables et termine enfin pa
on a été bien comprise, les bouts de l'intestin étant affrontés , les
parties
superposées sont : i° à l'intérieur, la longue vi
séparer. Car l'incertitude de la continuation des rapports entre les
parties
aurait suffi pour annuler le bénéfice du procédé,
n nomme aujourd'hui hernie, une tumeur formée par un organe sorti, en
partie
ou en totalité de son lieu naturel, à travers une
uper. Nous dirons donc qu'il y a hernie, lorsque l'une quelconque des
parties
qui sont contenues dans le ventre s'est échappée
anatomiques que l'on rencontre, tant dans les enve-loppes que dans la
partie
herniée, et par suite des moyens de trai-tement q
livres hippo-cratiques un passage qui soit relatif aux ruptures de la
partie
in-férieure du ventre, ou de la région ombilicale
en usage à son époque. Après avoir fait rentrer dans le ventre les
parties
herniées, on cherchait à dé-truire la peau et à o
et pouvant varier en raison de la masse des viscères, présente une
partie
plus étroite cpii se confond avec la paroi abdomi
hoses sont à considérer dans l'étude anatomique de la hernie : A. les
parties
contenues, B. les enveloppes. A. On peut prévoi
n songe qu'on y a vu également l'estomac, la vessie, les ovaires, une
partie
du foie , une partie de la rate , le rein et même
également l'estomac, la vessie, les ovaires, une partie du foie , une
partie
de la rate , le rein et même l'utérus, il est per
conçoit facilement, le déplacement de quelques-unes de ces dernières
parties
con- t. vii. stitue des espèces rares, observ
nt plus de facilité à sortir par les ouvertures qui sont situées à la
partie
inférieure de l'abdomen. Il faut remarquer aussi
omposée, par l'arrivée secon-daire et successive d'un grand nombre de
parties
, ainsi qu'on le voit dans ces énormes descentes q
voit dans ces énormes descentes qui ont fini par accaparer la majeure
partie
des viscères du bas-ventre. Il y aurait à parle
est l'enveloppe péritonéale, c'est-à-dire le sac ; car le sac est une
partie
commune à presque toutes les her-nies, sinon à to
pour constituer un sac qui se moule sur le volume et sur la forme des
parties
déplacées. Toutes les fois que l'organe hernie re
rapport avec le volume des organes hernies. Exactement moulé sur les
parties
déplacées et n'étant qu'un prolongement de la gra
nfundibu-lum représenté par le sac, se nomme col ou collet, l'une des
parties
les plus importantes à considérer. C'est lui en e
enues dans son intérieur, il n'exer-cera point de constriction sur la
partie
herniée, ou bien il amè-nera cet état particulier
t venu se loger. Cette face externe, d'abord assez lâchement unie aux
parties
environnantes pour permettre à la poche de rentre
orme, son amplitude et son épaisseur varient en raison du vo-lume des
parties
contenues et de l'ancienneté delà hernie. A son i
de l'étran-glement. Nous devons, après cet exposé succinct sur les
parties
consti-tuantes de la hernie, mentionner les états
mentionner les états différais sous lesquels peuvent se présenter ces
parties
. On peut les ranger sous les quatre chefs suivans
ement entre eux, ou bien des adhérences se forment entre les diverses
parties
qui sont contenues à l'intérieur du sac. Mais, au
ominale, rétrécie par suite du séjour habituel au dehors d'une grande
partie
de ses viscères, n'étant plus assez large pour re
de partie de ses viscères, n'étant plus assez large pour recevoir les
parties
dé-placées , celles-ci avaient en quelque sorte p
lequel il résulte d'une constric-tion qui resserre à son pédicule la
partie
herniée. Deux causes différentes amènent cette co
secondaire. Dans l'étranglement, il y a tou-jours inflammation de la
partie
herniée, et cette inflammation, qui reconnaît pou
ières différentes. Mais il consiste toujours en un resserrement de la
partie
herniée, soit à l'orifice du sac, soit à l'intéri
tranglement et de l'inflammation qui l'accompagne est la gangrène des
parties
con-tenues dans le sac. Après la réaction inflamm
s dans l'intestin ou dans l'épiploon , arrive la mortification de ces
parties
par le double effet et de l'inflammation et de la
s ni aussi faciles à saisir ; on peut re-marquer cependant cpie cette
partie
est alors fortement engorgée, molle et très friab
de son étendue. Tantôt elle se présente sous forme de pla-que sur la
partie
renflée de l'organe, et cela arrive dans les cas
e lieu, il faut toujours qu'il y ait eu solution de l'intestin et des
parties
molles qui le recouvrent, à l'occasion, soit d'un
re, que l'intestin ait été détruit par la gangrène , dans une notable
partie
de son calibre , alors les deux bouts seront obli
c'est-à-dire le grand oblique, est entièrement aponévrotique dans sa
partie
inférieure : les bandelettes fibreuses de ce musc
ons variables aussi pour l'anneau. Si maintenant nous examinons les
parties
qui doublent ou avoisinent le canal inguinal, nou
Le canal inguinal, chez l'homme , contient à son intérieur di-verses
parties
. On y trouve le cordon testiculaire avec ses élé-
ivent avoir de la faci-lité à parcourir un trajet tracé d'avance, les
parties
composantes de la hernie se trouveront en contact
it une mauvaise idée en examinant l'intervalle compris entre ces deux
parties
sur le squelette. Cet intervalle est séparé en de
du avec le ligament de Fal-lope, et son bord postérieur inséré sur la
partie
la plus interne de la crête du pubis ; son sommet
geur de l'anneau crural ; elle s'amincit aussi et se continue avec la
partie
interne et supérieure de ce que nous avons décrit
i-blement ce vaisseau. L'artère épigastrique côtoie de bas en haut la
partie
externe de l'anneau, et envoie un petit rameau qu
la tumeur sur son pédi-cule et sa déviation, en dehors, est causée en
partie
par la rési-stance que lui oppose le fond de l'en
ui oppose le fond de l'entonnoir membraneux, où elle est logée, et en
partie
aussi par les mouvemens de la cuisse sur le bassi
ulé en dedans par le noyau qui remplit cet anneau. Tel est l'état des
parties
lorsque la cicatrice ombilicale a achevé de par-c
rnier temps, la main appliquée sur la racine de la hernie empêche les
parties
refoulées de venir se présenter en trop grande qu
-pulsion des organes en la graduant, et il faut agir en sorte que les
parties
rentrent dans l'ordre inverse de celui suivant le
s, on sent la tumeur diminuer de volume et se vider dans le ventre en
partie
ou en totalité. Quelquefois la tumeur échappe tou
pédicule. Il faut encore ajouter que l'orifice du sac répondant à la
partie
interne de l'anneau, on devra diriger les viscère
conservent encore toute leur violence, si la tumeur ne cède point en
partie
sous l'effort d'une nouvelle tenta-tive de taxis,
ont pour premier, et le plus souvent pour unique but, de contenir les
parties
réduites. On peut donc très bien placer ici leur
ud , en voulant rendre l'arc métallique trop flexible, lui enleva une
partie
de son utilité, et retomba dans les inconvéniens
re épo-que , sans apporter des modifications bien importantes à cette
partie
de l'art du bandagiste, on a du moins perfectionn
cier flexible et pouvant s'accommoder à la forme et aux mouvemens des
parties
qu'ils embrassent et qu'ils pressent. Depuis long
e généralement sous le nom de bandages élastiques ou ci ressort. Deux
parties
importantes entrent dans leur composition : le re
rtir de l'anneau, de manière qu'elle porte bien à plat sur toutes les
parties
et qu'elle les embrasse avec une précision parfai
coucher le malade : on opère par le taxis la réduction de toutes les
parties
déplacées ; puis , mettant une main sur l'anneau
aut toujours, au reste, examiner ensuite l'instrument dans toutes ses
parties
, s'assurer que le ressort passe au-dessus du gran
ssait sous le bandage, pour être étranglée par lui, ou la peau et les
parties
sous-jacentes, continuellement contuses, finis-sa
circocèle; une fois même il arriva une inflammation violente dans la
partie
qui se termina par suppuration, et qui heureuseme
er à la pelote. Fréquemment l'exomphale est irréductible, au moins en
partie
, et alors il faut creuser la pelote en gouttière
scapulaires et de sous-cuisses. Dans la hernie qui s'échappe par la
partie
supérieure de la ligne blanche , et que l'on appe
gue et avec une compression méthodique à faire rentrer, en tout ou en
partie
, un assez grand nombre de ces her-nies. Nous diro
âton, puis on faisait rentrer les intestins en repoussant d'abord les
parties
qui étaient les plus voisines du ventre ; une sut
s de l'opération du dé-bridement, et, à partir de cette époque, cette
partie
importante de la chirurgie herniaire s'est perfec
on en parcourt la cavité dans tous les sens, on ar-rive en haut à une
partie
étroite, et on s'assure que ce point ré-pond à la
eux. 4" Temps. Ablation de la cause d'étranglement et réduction des
parties
. Après avoir ouvert le sac dans une assez grande
encontre ni adhérences ni gan-grène, doit procéder à la réduction des
parties
. Trois manœuvres sont nécessaires pour y parvenir
opérer la réduction. Voyons ces trois points. Attirer au dehors une
partie
des organes du ventre a pour avantage : i° de dis
a traction, en ame-nant avec lui le collet, il est clair que ces deux
parties
jouent li-brement dans l'anneau aponévrotique, et
randit par degrés l'ou-verture suffisamment, pour y faire rentrer les
parties
sorties. Leblanc et Hoin rapportent un grand nomb
aucune espèce de risque à courir, tant cpie l'on n'agit cpie sur des
parties
visibles. L'index gauche du chirurgien sera condu
xe doivent être rejetés, en général, comme exposant à la blessure des
parties
. Le bistouri boutonné peut être manié avec plus d
rur-gien, avec le doigt qui sert de guide à l'instrument, protège les
parties
contenues dans la hernie et surtout l'intestin, e
de et soit décidément coupée. Alors il ne reste plus qu'à réduire les
parties
. Lorsque, pour conduire le bistouri, on veut se
ainsi les gaz et les matières, et on exécute un taxis véritable, les
parties
étant sous les yeux. Il est commode au chirurgien
n porte son doigt à travers l'anneau, afin de se bien assurer que les
parties
sont véritablement rentrées dans le ventre, et no
laie. Comme il est rare qu'il n'adhère pas à sa face externe avec les
parties
sous-jacentes, on ne pourrait en général exécuter
pût être refoulé dans le ventre : on doit se contenter de laisser les
parties
au dehors, et insensible-ment l'intestin, tiraill
e le soin d'éliminer tout ce cpii est frappé de gan-grène, on met les
parties
dans de meilleures conditions pour l'établissemen
ortelles. Au contraire, on évite ces accidens en retranchant toute la
partie
de l'épiploon qui est irréductible, et, pour arri
pourrait résulter de l'ouverture des artères cpii se rendent à cette
partie
. Sans doute il n'est pas tou-jours besoin de lier
endra une source de gêne que si on a été obligé d'emporter une grande
partie
de l'épiploon, et enfin qu'en laissant séjourner
maire de l'indicateur gauche, après avoir ramené au dehors toutes les
parties
qui formaient la hernie. On arrive ainsi jusqu'au
bridement, une première tumeur qui contenait une anse de l'iléon, une
partie
du cœcum, et une masse considérable d'épiploon. A
u aponévrotique est assez large, et le sac libre d'adhérence avec les
parties
voisines. Ensuite on opérera comme dans une herni
n ouvert, il faut s'attendre à un anus contre nature. On laissera les
parties
au dehors sans pratiquer la réduction, à moins qu
une hernie étranglée, il est de précepte rigoureux cle ne réduire les
parties
qui sont dans la tumeur que si elles sont en bon
résulte d'une part que l'é-tranglement, causé plus fréquemment parles
parties
fibreuses, marche avec plus d'acuité , et d'autre
et on pousse l'aiguille à travers le sac en la faisant entrer dans la
partie
la plus éloi-gnée de son col, et la faisant sorti
avec le pouce le curseur qui pousse l'aiguille, celle-ci traverse les
parties
, de la couche profonde à la surface, d'abord la l
le pour être bien sûr qu'elle ne se fourvoie pas dans l'épaisseur des
parties
; un aide soutenant à l'extérieur le bouton de pea
anse de fil embrasse le cul-de-sac du doigt de gant invaginé, dans la
partie
la plus élevée du canal. Il ne reste plus qu'à fi
région opérée des compresses imbibées d'eau froide, et on soutient la
partie
avec un simple bandage en T. Un purgatif aura été
dans l'intérieur du sac et au pourtour du collet, faisant à ces deux
parties
de petites scarifications (pl. /|o, fig. 6). Exéc
rture lorsqu'à existe quelque obstacle au trajet des matières dans la
partie
inférieure du gros intestin. Ces deux cas représe
on toute autre qu'une hernie, et, d'autre part, l'état anatomique des
parties
offre, suivant les cas, de nombreuses modificatio
ces puissent trouver leur cours par le bout inférieur, resserré ou en
partie
oblitéré, comme clans le cas observé parDelpech,
breux exemples. Car de supposer, cpiel que soit l'état anatomique des
parties
, que l'on forcera les matières à reprendre leur c
fermer une fistule opiniâtre avec un lambeau de tégument détaché des
parties
voisines, et fixé par des sutures sur les bords a
es du forceps. Sa longueur totale est de 20 centimètres, et celle des
parties
qui doivent pincer l'intestin est de 10 à 12 cent
pression qu'ils exercent, jus-qu'au point d'éteindre la vie dans les
parties
qu'ils embrassent, comme étant le plus sûr moyen
éales des deux bouts étant en contact s'enflamment aux environs de la
partie
comprimée, et contractent des adhérences qui empê
ent la communication du ventre et de l'intestin, après la chute de la
partie
mortifiée. Lorsque l'instrument est détaché, on t
aissée, large de quelques millimètres, et d'une longueur double de la
partie
de l'éperon qu'ils embras-saient, puis, à la plac
chever la guérison, qu'à en déterminer la cicatrisation entière Cette
partie
de la tâche du chirurgien est la plus longue et l
nite stercorale déterminée par l'obstruction du rectum ou d'une autre
partie
du gros intestin. Que l'étranglement soit produ
cessivement, et couche par couche, sur la sonde can-nelée, toutes les
parties
qui constituent la paroi abdominale en ce point,
llisen, chi-rurgien de Copenhague, avait pour but d'aller chercher la
partie
gauche du colon clans son trajet le long cle la r
es enfans nés avec une imperforation de l'anus , et a réussi dans une
partie
des cas; il est donc parvenu, par ses modificatio
. Procède de M. Amussat. Anatomie opératoire. C'est à l'étude de la
partie
postérieure du flanc, dans les limites cle laquel
et à celle de l'intestin colon avec le péritoine qui l'accole à cette
partie
, cpie nous devons nous borner. Nous em-pruntons ,
cpie nous devons nous borner. Nous em-pruntons , en la modifiant, une
partie
de cette description au mémoire de M. Amussat, cp
ut étudiée sous le rapport pratique (Voy. t. V, pl. 5, 6, 7, 8). La
partie
postérieure du flanc est un espace quadrilatère c
ussins liés ensemble. Souvent alors l'intestin vient faire saillir la
partie
postérieure du flanc. On fait à la peau une incis
Amussat lui-même hésiter long-temps, toucher à plusieurs reprises la
partie
découverte, engager les assistans à en faire auta
, serait ramené d'arrière en avant sur le plan moyen, en divisant les
parties
jusqu'à i centi-mètre du coccyx. Une canule de ca
n'est pas certain qu'on pût obtenir la cicatrisation. arsence de la
partie
inférieure du rectum. Un seul moyen se présente
t seulement à imiter la nature en replaçant, autant que possible, les
parties
dans la disposition et les rapports qu'elles aura
ituer l'anus dans son lieu naturel dans les cas d'imperforation de la
partie
inférieure du rectum chez les nouveau-nés, est as
sa-crum; et il a soin , avant chaque nouvelle incision, de sonder les
parties
avec l'extrémité de l'indicateur gauche qui doit
doux, l'huile d'olives, les sucs de rhubarbe et demorelle mé-langés à
parties
égales. Dupuytren a mis en usage avec succès l'ax
. Velpeau a réussi deux ou trois fois avec une pommade composée d'une
partie
de calomélas pour huit parties d'axonge. Enfin, p
is fois avec une pommade composée d'une partie de calomélas pour huit
parties
d'axonge. Enfin, pour la fissure comme pour les h
plusieurs jours sans aller à la selle; comme aussi pour assouplir les
parties
, il est bon cle faire pren-dre au patient quelque
précautions sont à prendre pendant l'incision. Boyer incisait sur la
partie
moyenne du sphincter, sans s'oc-cuper de la fissu
l'école d'Alexandrie le procépéde l'excision, et enlevait toutes les
parties
décollées entre deux incisions. Galien employait
e l'on retirait par l'anus et qui servait à couper d'un seul coup les
parties
comprises dans l'anse dont le tranchant occu-pait
ment, le tran-chant en dehors, et opère d'un seul coup la section des
parties
contenues dans l'anse de la soude, la peau, l'int
nnelure tournée vers la fistule, et la sonde étant glissée jusqu'à la
partie
supérieure du foyer : on met en rapport les deux
assez long pour qu'elles puissent être délayées, au moins en majeure
partie
. La canule interne, qui sert de bouchon, est succ
un autre appareil également destiné à vaincre les coarctations de la
partie
moyenne ou de l'extrémité supérieure du rectum. 1
ment; le rectum , la vessie , et, en général , t. vii. toutes les
parties
voisines ne sont ni tiraillées ni distendues; la
dans un engorge-ment plus ou moins périodique du plexus veineux de la
partie
inférieure du rectum ou plexus hémorrhoïdal, qui
rtion de l'intestin. Cette maladie a pour cause le relâ-chement de la
partie
inférieure du rectum et des parties molles de l'o
a pour cause le relâ-chement de la partie inférieure du rectum et des
parties
molles de l'orifice de l'anus, et survient par le
r lui-même. Pendant cette manœuvre la main gauche aide à contenir les
parties
invaginées à mesure qu'elles rentrent, et peu-à-p
timètres, et garni de tubercules mous et violacés. D'après l'état des
parties
, l'idée lui vint cpie la maladie tenait à un relâ
parties, l'idée lui vint cpie la maladie tenait à un relâchement des
parties
mol-les et en particulier du sphincter, et qu'en
ù elle est indépendante d'une désorganisation du rectum ou des autres
parties
contenues dans le bassin et dans son voisinage.
et le sphincter à nu par l'inci-sion de la muqueuse, et en excise une
partie
plus ou moins large, suivant le. besoin , puis il
vec un petit cautère en olive, il touche toute la circonférence de la
partie
du bourrelet qui adhère à la peau. Appliquée de
stouri ou des ciseaux courbes sur le plat; Sabatier n'enlevait que la
partie
la plus saillante. Henstis soulève tout le bourre
ns de ses pré-décesseurs. CANCER DU RECTUM. C'est surtout dans la
partie
inférieure du rectum que le cancer se développe l
ECTOM. Qu'une pareille affection occupe le rectum, ou toute autre
partie
du corps, comme la maladie, abandonnée à elle-mêm
a-t-on en extirper avec plus de facilité et avec moins de crainte une
partie
plus considérable qu'en avant. Sur la paroi antér
vagin chez la femme est assez adhérent à l'intestin, surtout dans la
partie
inférieure, à cause des fibres musculaires des sp
qu'on est arrivé sur le tissu cellulaire sous-jacent, on dissèque les
parties
en dirigeant le tranchant de l'instrument vers le
tirer le tout avec des érignes confiées à des aides, et on emporte la
partie
du rectum dénudée et toute la partie de la muqueu
es à des aides, et on emporte la partie du rectum dénudée et toute la
partie
de la muqueuse qui forme une pro-cidence, avec de
gane , con-tinue la dissection et l'isolement du rectum de toutes les
parties
environnantes, jusqu'au dessus du mal, en compren
i et avertir l'opérateur si cela est nécessaire. D'ailleurs, dans ces
parties
, on se sert autant qu'on le peut des doigts pour
se guidant avec le doigt indicateur, tandis que des aides tendent les
parties
à couper avec des érignes. Ce chirur-gien est ain
l'aide du doigt porté dans la plaie, s'il ne reste pas encore quelque
partie
désorganisée, et s'empresser de l'enlever dans
'avait remarqué Faget. Une muqueuse de nouvelle formation remplace la
partie
extirpée, et les fibres musculaires du rectum, d'
de côté. On la pratiquait à l'aide d'escharotiques, placés soit à la
partie
supérieure, soit à la partie inférieure de la tum
l'aide d'escharotiques, placés soit à la partie supérieure, soit à la
partie
inférieure de la tumeur, ou bien avec un fer inca
andait d'y mettre une tente de charpie après avoir laissé écouler une
partie
du li-quide ; Monro employait la canule qui lui s
derrière le testicule qu'il embrasse et qu'il sou-tient, fait, sur la
partie
inférieure du scrotum , une incision d'un pouce e
se servant ensuite de ciseaux courbes sur le plat, circonscrit sur la
partie
disséquée un lambeau de peau ovalaire , qu'il enl
sans prendre la peine de disséquer un lambeau de peau , excisait une
partie
du kyste avec son lam-beau ovalaire ( Pl. 47, fig
uait la tunique vaginale et recommandait surtout de ne laisser aucune
partie
du kyste, car, disait-il, cela suffit pour que la
le scrotum, avec une lancette ou un bistouri ; le liquide s'écoule en
partie
, puis avec une pince, on cherche à saisir une par
uide s'écoule en partie, puis avec une pince, on cherche à saisir une
partie
du kyste que l'on attire hors de la plaie pour l'
te; ce qui est assez dire qu'il ne faut enfoncer l'instrument qu'à la
partie
inférieure et antéro-externe du scrotum. Dans tou
ue sur des hydrocèles volumineuses dont on était parvenu à obtenir en
partie
la résolution, que M. Velpeau eut l'idée de l'inj
ée de son dard, est introduite doucement dans le sac, toujours par la
partie
antéro-externe (pl. 4?, fig. 4)-Parvenue dans la
u dans le sac, s'écoule par le trou dont est percée cette tige , à sa
partie
médiane. On fixe la canule, à l'aide d'un fil jet
océdé de Figuerie. Ce chirurgien pensant, avec raison, que la majeure
partie
du liquide vaginal, à cet âge, pro-vient de l'exh
fin la castra-tion ; toutes ces méthodes dites anciennes , qui ont en
partie
été mises en usage jusqu'à nous, sont en grande p
se vers la cloison , tandis que l'on attire le paquet veineux vers la
partie
externe du scrotum. L'opérateur maintient lui - m
ndouzy , un aide ou bien le chirurgien place la première pince sur la
partie
, trans-versalement et le plus haut possible, mais
ien qui tient éloigné le canal déférent. On étend ou l'on rétrécit la
partie
du scrotum comprise entre les branches, selon que
entre les branches, selon que cela est nécessaire, pour conservera la
partie
externe, hors l'action des mors, un pédicule de p
, et les branches offrent une rainure médiane qui va se terminer à la
partie
moyenne du corps , où se trouve un treuil percé d
employé, si la méthode sous-cutanée n'était venue envahir aussi cette
partie
de la chirurgie. Pour les deux autres procédés de
iquait les mêmes opérations qu'à ces dernières, soit l'excision d'une
partie
plus ou moins considérable de la tunique vaginale
u de toute autre injection irritante. Incisions. Lorsque la majeure
partie
des substances contenues dans la tunique sont con
ure dans la plaie, une mè-che de linge enduite de cérat, recouvre les
parties
de compres-ses émollientes, et en soutient le tou
u'il continue jusqu'à ce que les phé-nomènes inflammatoires soient en
partie
dissipés et que l'écou-lement du pus soit beaucou
pendant le traitement on s'apercevait que du pus stagnât dans quelque
partie
de la poche, il faudrait lui donner issue par de
ance varie suivant les points où on les exa-mine; dures dans quelques
parties
, molles dans d'autres , elles sont indolentes, la
t bosselée ; elle avait 43 centimètres de hauteur, et de largeur à sa
partie
in-férieure. Sa circonférence était de 1 mètre 17
extérieure épaissie et à l'exciser. Mais si le doigt reconnaît que la
partie
de la tunique qui enveloppe la glande séminale, e
vais-seaux, a eu l'idée de parvenir au même résultat en réséquant une
partie
du canal déférent. Ces chirurgiens prétendent éga
com-presses longuettes et un bandage en T. Après avoir bien rasé les
parties
, on procède à l'opération. Procédé ordinaire. I
placé à sa droite, em-s brasse la tumeur avec la main gauche, par sa
partie
antérieure , le pouce d'un côté et les quatre doi
té-gumens participent à la maladie, il faut absolument en enlever la
partie
altérée , et pour cela substituer à l'incision lo
édé ne peut être employé, parce qu'il ne permettrait pas d'isoler les
parties
. Pour y parvenir plus aisément , tandis qu'un aid
re, d'abord avec «les pinces, puis avec les doigts, pour tendre les
parties
et les disséquer soit avec le bistouri, soit avec
, il faut avoir soin de tourner le tranchant de l'instrument vers les
parties
profondes afin d'éviter de pratiquer des boutonni
s qui en résultaient. De cette façon la ligature étreignait mieux les
parties
qu'elle embras-sait , et courait moins de risques
qu'il les coupe à petits coups, et n'achève la section de la dernière
partie
du cordon qu'après s'être assuré que cette portio
encore cet oubli serait-il rarement préjudiciable. La rétraction des
parties
constituantes du cordon peut arriver lorsque la t
interstice des muscles du bas-ventre; qu'elle pouvait glisser sur les
parties
peu après son application ; qu'elle était longue
u'elle était longue à se détacher, et qu'à mesure qu'elle coupait les
parties
elle se desserrait, et pou-vait permettre au sang
et tire doucement à lui. Le testicule sain se trouve compris dans la
partie
du scrotum qu'il tient dans ses mains. Un autre a
t de passer aisément entre lui et les doigts de l'aide de face. Les
parties
étant ainsi disposées, le chirurgien enfonce hori
s la face interne du testicule qu'il rase et détache complètement des
parties
situées au-dessous de lui, de la même manière qu'
; l'un d'eux, plié en quatre, est placé sous le cordon, au-dessus des
parties
malades, pour le lier d'avance sur une compresse.
au inguinal. Certains sarco-cèles débutent par le cordon, soit par la
partie
qui est au dehors du canal inguinal, soit par cel
égumenteuse abdominale, si elle est coupée, et l'on incise toutes les
parties
de la paroi du ventre, couche par couche, sur une
s'agit est fréquemment accompagnée de tumeurs de même nature dans les
parties
internes. L'opéra-lion terminée, il faut procéder
ice pour don-« ner issue au sang ou au pus épanché; d'autres fois une
partie
« de la plaie s'est réunie exactement, mais le re
ne inflammation très intense du scrotum, du cordon spermatique et des
parties
contiguës. On oppose à cet accident les antiphlog
r avec un bis-touri , une lancette ou des ciseaux, et en excisant une
partie
du prépuce, lorsqu'il a trop de longueur; le pass
en même temps l'in-strument de derrière en devant, il coupe toute la
partie
du frein comprise entre son bord libre et l'endro
s gouttes clans la cavité du gland; ce liquide s'altère et irrite les
parties
avec lesquelles il est en contact, alors on voit
l faut avoir un bistouri extrêmement étroit sous peine de blesser les
parties
,'tandis qu'a-vec la sonde cannelée tous les bist
-trer entre le gland et le prépuce, et que de faibles mâcheraient les
parties
, au lieu de les couper. Si, après que la division
es, quatre, six ou plus, sui-vant, le besoin, et sont situées sur les
parties
latérales et dorsales. Procédé de M. Malapert.
du bord antérieur et dorsal du prépuce. Pour y parvenir il saisit la
partie
à couper avec des pinces, l'écarte du gland et l'
ec de l'encre ou du nitrate d'ar-gent, une ligne qui doit limiter les
parties
qu'il veut inciser. Puis il abandonne la peau à e
vant. Enfin il termine en régulari-sant l'incision et en emportant la
partie
de membrane muqueuse en excès ; pour exécuter cet
tte dernière section , il saisit la mem-brane avec des pinces dans sa
partie
dorsale, la fend d'avant en arrière jusqu'au nive
e ciseaux courbes sur le plat, fait une incision oblique partant delà
partie
la plus voisine du frein, et la conduit jusqu'au
é d'enlever les pièces de l'appareil ; il faut ensuite assujettir ces
parties
avec une bande étroite et longue de i mètre 20 ce
urrelet avec de l'huile ou du cérat, pour faciliter le glissement des
parties
, il embrasse la verge avec l'indicateur et le méd
la seul que la maladie dure depuis douze ou quinze heures, et que les
parties
sont déjà enflammées et dou-loureuses; il dit y a
étruire les adhérences commen-çantes qui pourraient exister entre ces
parties
, recouvre la verge d'un linge fin, la saisit avec
tours seront uniformément serrés, et en pressant entre les doigts les
parties
infiltrées chaque fois qu'on renouvelle ce ban-da
crotum, le pubis et le périnée , d'une couche de pommade, composée de
parties
égales d'extrait de belladone, de camphre et d'on
. Les chancres guériront mieux à découvert que cachés, et lorsque les
parties
seront dé-gorgées, ou le prépuce reviendra sur le
mité du gland avec un fil; on incisait circulairement la peau vers la
partie
supérieure de la verge, avec la précaution de n'o
garder plus de peau; mais s'il est malade ne garder absolument que la
partie
saine. Ce premier temps achevé, on retire en ar
rmique avec laquelle toute adhérence est impossible. On maintient les
parties
clans cette position au moyen de fils de coton ép
Procédé de M. Dufresse. Si l'adhérence n'existe qu'en un point, à la
partie
dorsale, par exemple, s'étendît-elle depuis le mé
e méat urinaire jusqu'à la couronne du gland, on circonscrit toute la
partie
adhérente entre deux incisions se réunissant en f
a base correspond au bord libre du prépuce et le sommet au-delà de la
partie
adhérente. On a ainsi trois lambeaux, dont le méd
cas observé parDupuytren, c'étaitdans une bobec.be de chandelier. Les
parties
réagissent bientôt sur de pareils obstacles, qui
suite de leur inextensibilité causent un gonflement considérable des
parties
, la perfora-tion de l'urètre, l'ulcération des co
ie. Avant de limer ou de scier il est important de faire dégorger les
parties
étranglées par des mouchetures et scarifications,
ne plaque de carton mince ou une compresse fine entre l'anneau et les
parties
molles pour les préserver de l'action de la lime
le cancer, et la verge est conservée ; mais si elle présente quelques
parties
malades, comme cela arrive assez ordinairement da
on doit en con-server le plus possible, en coupant toutefois dans les
parties
saines. Lorsque c'est dans un cas de gangrène, on
ie , ont eu l'idée de détacher le pénis en le liant fortement dans sa
partie
saine , avec un cordonnet de fil de soie , après
e la verge est coupée près de sa racine, on ris-querait d'enlever une
partie
de la peau des bourses, et de don-ner à la plaie
ie une étendue beaucoup plus grande que celle qu'elle doit avoir. Les
parties
étant ainsi disposées, le chirurgien coupe d'un s
é de la couper en un point rapproché du pubis, on a à craindre que la
partie
postérieure du tube ne s'échappe dans la vessie.
métal, destinée à diriger le cours de l'urine, en s'ap-pliquantpar sa
partie
la plus large sur le pubis, pour éviter que le sc
dispen-sable de connaître exactement l'anatomie chirurgicale de cette
partie
importante des voies urinaires, car c'est sur cet
courbure sous-pubienne peut aussi diminuer beaucoup et disparaître en
partie
lorsqu'on tire convenablement sur le pénis. Pour
use, membraneuse et prostatique. L'angle d'incurvation existe dans la
partie
bulbeuse près du point où elle se réunit à la mem
u point où elle se réunit à la membraneuse ; il est presque droit. La
partie
de cette courbure qui est en avant de cet angle e
n peu obliquement en haut et directement en avant, tandis que l'autre
partie
de la même courbure, qui est en arrière de l'angl
rge, ce qui produirait un allongement plus ou moins considérable delà
partie
du canal située entre le gland et le rétrécisseme
gland et le rétrécissement. Or si ce rétrécissement siégeait dans la
partie
prostatique, il pourrait bien se faire que la son
l'étudier dans ses diverses régions. On a divisé l'u-rètre en quatre
parties
qu'on a appelées prostatique, membra-neuse , bulb
e celle qui est au-dessous, de là vient que la paroi supérieure de la
partie
prostatique de l'urètre est beaucoup plus extensi
paroi inférieure. Quelquefois, cependant, on a vu l'urètre occuper la
partie
infé-rieure de la prostate et n'être séparé du re
cédés de taille périnéale. Dans les cas ordinaires, l'épaisseur de la
partie
de la prostate située au-dessous du canal urétral
es. Dans la figure 2 de la planche f2 elle a 18 à 20 millimè-tres. La
partie
de l'urètre que nous examinons a les mêmes rap-po
une dilatation olivaire qui se resserre là où elle se réunit avec la
partie
mem-braneuse; de manière qu'on peut en quelque so
rcure du baromètre ordinaire. La paroi inférieure est divisée en deux
parties
égales par une émi-nence qui porte le nom de crét
crête uretrale. Dans toute l'é-tendue de la paroi inférieure de cette
partie
de l'urètre que nous étudions, il est facile de v
Velpeau a observé trois fois des val-vules semblables naissant de la
partie
antérieure de la créte ure-trale; niais dans ces
état n'existe pas. Enfin, pour terminer ce qui est relatif à celte
partie
de l'urè-tre, nous dirons que, du côté de la vess
¦à" Portion membraneuse ou musculeuse de Vurètre. Située, entre la
partie
prostatique et la partie bulbeuse, dirigée en hau
e ou musculeuse de Vurètre. Située, entre la partie prostatique et la
partie
bulbeuse, dirigée en haut et en avant, la partie
ie prostatique et la partie bulbeuse, dirigée en haut et en avant, la
partie
membraneuse est placée sous l'arcade pu-bienne do
dans la plupart des procédés de taille perineale. La longueur de la
partie
membraneuse de l'urèthre varie entre 11 et 18 mil
i sont au-dessous, s'avancent inférieurement l'un vers l'autre. Cette
partie
de l'u-rètre est encore enveloppée par un prolong
traverse l'aponévrose moyenne du périnée. Examinée à l'intérieur, la
partie
membraneuse ne présente rien de remar-quable, si
stance de l'arcade pubienne, entre les racines du corps caverneux. Sa
partie
infé-rieure présente un renflement considérable q
n renflement considérable qui porte le. nom de bulbe : d'où le nom de
partie
bulbeuse; son volume varie sui-vant les individus
inférieurement le niveau de la portion membraneuse qu'il recouvre en
partie
dans ce sens. La direction du bulbe est l'un des
orps caverneux. 4° Portion spongieuse. La plus longue de toutes les
parties
de l'urètre, elle fait suite à la précédente, n'e
donne tout le temps d'attendre à un âge plus avancé pour rétablir les
parties
dans leurs conditions naturelles. Mais quand l'ob
la paroi inférieure de l'urètre, presque tou-jours avec absence de la
partie
du canal située au-devant de cette fistule. On en
. Mais si l'urètre se termine à la fistule et. manque dans toute la
partie
qui est au devant, on ne peut y remédier qu'en cr
ocart de petite dimension, et construit exprès, fut enfoncé depuis la
partie
anté-rieure et inférieure du gland , le long du t
rapporte l'histoire d'un enfant chez lequel il est parvenu à créer la
partie
du canal qui manquait. Cet enfant n'urinait que p
t parvenue en avant de la sym-physe ; toujours elle se répand sur les
parties
voisines et les vête-mens, parle défaut du canal
ngée et réunie sur une sonde, soit à l'aide d'un lambeau emprunté aux
parties
voisines et rabattu sur la verge. RÉTRÉCISSEMEN
iaux qui servent à cautériser plus profondément. Enfin comme toute la
partie
de la sonde, qui serait placée dans l'urètre au-d
est obligé de presser fortement sur sa paroi inférieure soit dans la
partie
membraneuse, soit dans la partie prostatique pour
sur sa paroi inférieure soit dans la partie membraneuse, soit dans la
partie
prostatique pour en opérer le redressement ; il l
ule devant lui et court le risque d'y opérer défausses routes. Si ces
parties
profondes du canal sont irritées, le cathétérisme
ême causer de graves accidens par la pression qu'elle exerçait sur la
partie
pro-statique de Eurètre, surtout si sa courbure é
On a vu des sondes en gomme élastique se rompre dans la vessie, et la
partie
qui y était restée devenir le noyau d'un calcul q
ue portent à leur extrémité ou-verte une virole de cire creusée, à sa
partie
moyenne, d'une gouttière qui sert à attacher les
'on appuie contre la paroi supérieure dans la crainte de froisser les
parties
; il recommande, lorsqu'on com-mence à faire basc
t-il trop élevé ? il faut redresser l'instrument, l'appliquer par une
partie
plus étendue de sa concavité contre le bas de la
eur nature, et surtout des rapports de l'instrument avec les diverses
parties
du canal. Voilà comment on y procède. Si la verge
eur du trajet parcouru par la sonde fera reconnaître si c'est dans la
partie
membraneuse ou dans la partie prostatique, ou bie
sonde fera reconnaître si c'est dans la partie membraneuse ou dans la
partie
prostatique, ou bien à la valvule pilorique; alor
ression capable d'en augmenter la courbure. Si le veru montanum ou la
partie
vésicale de la prostate étaient assez développés
é-ce gion hypogastrique , à la facilité avec laquelle on déprime la «
partie
inférieure de la paroi abdominale, derrière le pu
pourrait continuer à le faire cheminer, sans s'exposer à blesser les
parties
; en pareil cas on se trouve bien de suivre le pro
n mètre (3 pieds) environ, et on les attache l'un et l'autre par leur
partie
moyenne et par un double nœud près du pavillon de
deux à deux , on les conduit sur les côtés de la verge jusque vers sa
partie
moyenne ; on passe ceux qui sont du même côté l'u
action spasmodiqne des fibres t. vu. musculaires qui environnent la
partie
de l'urètre située entre le bulbe et la prostate.
ue , d'où résultent des indurations, des callosités, des nodus de ces
parties
. Lorsque le canal est ouvert dans toute son étend
plus prolongé dans la vessie et les uretères, et l'absorption de ses
parties
aqueuses qui en résulte , rendent son odeur plus
en fût-il filiforme, du moins existe-t-il une communication entre les
parties
antérieure et postérieure à l'obstacle. Si cette
ue la moitié de celui de son ou-verture postérieure. Pour disposer la
partie
qui doit servir à supporter l'empreinte , on se s
très fin et très doux. » Ducamp le trempait dans un mélange fait avec
parties
égales de cire jaune, de diachylum , de poix de B
e environ en contact avec lui, afin cpie, ramollie par la chaleur des
parties
, au sein desquelles elle se trouve, la cire puiss
'elle fléchisse trop facile-ment, ni qu'elle oppose à la courbure des
parties
une raideur trop prononcée. Mais les chirurgiens
ccord sur la valeur de ces empreintes, qu'elles soient prises dans la
partie
droite ou dans la partie courbe du canal. Et même
s empreintes, qu'elles soient prises dans la partie droite ou dans la
partie
courbe du canal. Et même, quelques-uns, tels que
, en la retirant, on trouve à son extrémité une rainure formée par la
partie
saillante du canal. Mais, outre qu'il est souvent
souvent difficile de pénétrer avec cette sonde dans l'ouverture de la
partie
rétrécie, l'empreinte qu'elle rap-porte est loin
n conducteur portant un renflement plus ou moins considérable sur une
partie
de la circonférence de l'extrémité qui doit péné-
en pous-sant le mandrin, et, en tirant à soi, on le ramène jusqu'à la
partie
postérieure du rétrécissement où il se trouve ret
mens et faire apprécier leur étendue par l'arrêt qu'il éprouve à leur
partie
antérieure, en allant vers la vessie, et par celu
antérieure, en allant vers la vessie, et par celui qu'il subit à leur
partie
postérieure, en revenant vers le gland ; des divi
e sans difficulté. On a pour but, dans cette méthode, de comprimer la
partie
du canal hypertrophiée et de l'obliger à s'affais
ont de la tendance à s'échapper du canal, et compriment davan-tage la
partie
du rétrécissement qui est en contact avec leur ba
om, espèce de petit sac de toile fine qui enveloppe en même temps une
partie
de la verge. Enfin la sonde en gomme élastiq u se
n est celui où l'on juge qu'une sonde du n° 3 ou 4 pourra franchir la
partie
de l'urètre qui est rétrécie et pénétrer dans la
latateurs. Pour éviter l'usage dessondes, qui agissent autant sur les
parties
saines que sur les parties malades, on a proposé
age dessondes, qui agissent autant sur les parties saines que sur les
parties
malades, on a proposé di-vers instrumens auxquels
pensait que cette poche ainsi distendue n'a-vait d'action que sur la
partie
rétrécie du canal; mais il n'en est pas ainsi : e
rétrécie du canal; mais il n'en est pas ainsi : elle se moule sur les
parties
et proémine au-delà et en deçà. M. Costallat pens
re qui est courbe et à trois branches, pour dilater l'urètre dans ses
parties
membraneuse et prostatique ( fig. 21 ), et qui ag
extrémités. Il l'enfonçait jusqu'à ce qu'elle fût en rapport avec la
partie
malade sur laquelle il portait, à tra-vers la cav
itrate d'argent, qu'on laissait environ une minute en contact avec la
partie
rétrécie du canal ; puis on la retirait, et on in
tôt de l'eau par la même canule , pour entraîner au-dehors toutes les
parties
du caustique en excès qui auraient pu être dissou
mais qu'il expose surtout à cautériser, très inutilement, toutes les
parties
saines du canal qui sont au-devant du rétrécissem
procédait à la cautérisation. Ayant pour but de ne jamais toucher aux
parties
saines, il pénétrait dans le rétrécissement afin
t afin de pouvoir cauté- riser du centre à la circonférence, ou des
parties
profondes vers les parties saines; l'instrument d
riser du centre à la circonférence, ou des parties profondes vers les
parties
saines; l'instrument dont il se servait était app
flamme d'une bougie, le sel fond, se répand également dans toutes les
parties
de la cu-vette, et s'y attache solidement; il ne
l se répandait dans l'urètre au-devant de l'obstacle, cautérisait les
parties
saines, et lorsque le cylindre était parvenu dans
e, l'a fait le point à cautériser et limiter la cautérisation dans la
partie
rétrécie, a imaginé à cet effet, deux porte-caust
nt des marques qui servent de points de rapport entre les différentes
parties
de l'instrument quand on le fait agir. Le mandr
te sur un des cotés de la circonférence d'une lentille mousse dont la
partie
saillante doit correspondre, au caustique, et s'a
s presque insensibles, et que dans d'autres le caustique touchant des
parties
saines ou lé-gèrement excoriées, cause plus de do
orme de lan-cette qu'il conduisait à travers une canule jusque sur la
partie
rétrécie du canal; Physick se servait d'un instru
n ouvrage, deux instrumens destinés au même usage, l'un droit pour la
partie
droite du canal, et l'autre légèrement recourbé v
ur inciser ou scarifier les rétrécissemens situés vers le bulbe et la
partie
membraneuse. Ces instrumens étaient ceux que préf
de 15 à 18 millimètres près de son extrémité , pour n'inciser que la
partie
coarctée en pressant sur une bascule située à l'e
scarificateur de M. Tan-chou est un mandrin légèrement courbe dont la
partie
profonde, porte, à 4 ou 5 millimètres de sa point
n en a fait faire trois, deux droits et un courbe, pour agir dans les
parties
bulbeuse , membraneuse et prostatique. La constru
tués entre les lames du scarificateur pour les empêcher de couper les
parties
saines, il in-troduit ce mandrin danssacanulepour
du scarifica-teur est arrivée au méat urinaire, pour ne pas léser la
partie
saine du canal, pendant qu'on tient le gland de l
faut bien s'assurer, par des tractions lé-gères, que la division des
parties
attaquées a été complète; autre-ment si on le fai
le fait rentrer dans la canule qu'on retire aisément sans blesser les
parties
saines. Appréciation. L'incision des rétrécisse
a saignée locale, qui résulte de son emploi, dégorge di-rectement les
parties
irritées et diminuel'intensitédeleurphlogose; la
rinaire, qui peut varier sous l'in-fluence de l'état pathologique des
parties
; car il s'agit de se créer pour ainsi dire une ro
s usitée à Livourne. Plus tard on se borna à inciser le canal dans sa
partie
malade. C'est ainsi qu'agissait J. L. Petit et La
acle et fixé par un aide. Ue chirurgien relève les bourses , tend les
parties
avec la main gauche, et fait avec la main droite
. Procédé de M. Groniger. Lorsque le rétrécissement existe dans les
parties
membraneuse ou prostatique, et qu'il y a oblitéra
écis-sementavait sonsiégedans lapartie membraneuse du canal oudans sa
partie
prostatique, comme il serait plus difficile de dé
de résistance, et qui quelquefois confondent en une masse informe les
parties
qu'elles occupent, comme on l'observe fréquemment
on sait, à prendre 55 un lambeau de peau dans le voisinage de la
partie
à restaurer, soit sur le pénis, le scrotum, dans
rtie à restaurer, soit sur le pénis, le scrotum, dans l'aine, ou à la
partie
interne de la cuisse, a été employée par Earle et
rrespondait par sept points de su-ture. Une bougie fut placée dans la
partie
du canal opérée; elle sortait par le gland et le
é qui sert de guide pour pratiquer une incision longitudinale dans la
partie
musculeusede l'urètre. Le calcul étant accessible
éralisée; puis, se guidant sur la cannelure du cathéter, on incise la
partie
membraneuse et la partie prostatique de l'u-rètre
t sur la cannelure du cathéter, on incise la partie membraneuse et la
partie
prostatique de l'u-rètre dans une étendue suffisa
s, la manoeuvre de ces instrumens offrant plus de difficultés dans la
partie
courbe de l'urètre que dans la partie droite ou s
ant plus de difficultés dans la partie courbe de l'urètre que dans la
partie
droite ou spongieuse. L'extraction est rarement s
nsidérable; aussi, serait-il convenable de creuser une gouttière à la
partie
latérale du cylindre d'épongé, afin de favoriser
en existe une courbe (fig. 56), destinée, à retirer les calculs de la
partie
courbe de l'urètre, mais elle est moins usitée qu
uvait être détruite de la sorte, et qu'il en restât encore une petite
partie
dans la cellule, on chercherait à l'ébranler et à
sans faire des efforts qui pourraient produire des désordres dans les
parties
. Pour re-médier à cet inconvénient M. Ri gai, pui
oduction, et ne se montre au de-hors qu'alors qu'on est arrivé sur la
partie
de la prostate engorgée. 4" Ligature. Lorsque l
orps, et en dirige ensuite la pointe un peu en dedans, pour percer la
partie
du bas-fond de la vessie comprise entre la base d
après avoir dis-tendu la vessie avec de l'eau, et qu'on dissèque les
parties
en maintenant la canule en place, on trouve qu'el
avec l'indicateur gauche, disséquait le tissu cellulaire , coupait la
partie
des releveurs de l'anus qui va à la prostate , re
reconnaître les changemens survenus dans la forme et la direction des
parties
sous l'influence delà maladie; si l'on envisage l
l'avantage de placer l'ou-verture artiiiciellesur un point situé à la
partie
déclive delà vessie, de ne pas exposer aux fistul
er, donnant un passage facile à l'urine, parce qu'elle existe dans la
partie
la plus déclive de la vessie, et, comme la précéd
tion hypogastrique est la plus facile de toutes. Car, en général, les
parties
à traverser sont assez minces. Si toutefois l'épa
s parties à traverser sont assez minces. Si toutefois l'épaisseur des
parties
était considérable, comme dans le cas cité par Fr
des points les plus élevés de la vessie, de ne donner issue qu'à une
partie
de l'urine contenue dans ce viscère et par conséq
tête ; ceux-ci pour les dents, ceux-Jà pour les maux de ventre et des
parties
voisines; d'autres enfin pour les maladies intern
n'opérer aucune personne atteinte de la pierre, et à abandonner cette
partie
de la pratique aux mercenaires qui s'y adonnent.
re est d'un grand volume et très pesante, ou si elle est encastrée en
partie
dans une loge vésicale, il peut se faire que tout
ens chimiques, paraît avoir été aussi ancienne que la médecine. Cette
partie
de l'histoire de l'art offre un grand intérêt phi
s du temps, ce remède modifié graduellement et composé à la fin d'une
partie
de chaux vive et de 24 parties de savon d'alicant
graduellement et composé à la fin d'une partie de chaux vive et de 24
parties
de savon d'alicante pris en solution trois fois p
ette formule : « que le sous-carbonate de soude en excès décompose en
partie
le phosphate de chaux, et que, par un double écha
de dépasser les branches du litholabe et de blesser la vessie. Cette
partie
vésicale du stylet forme une espèce de tête arron
upporte, et armée de plusieurs dentelures. Les chiffres placés sur la
partie
de son extrémité externe qui dépasse le litholabe
fixée dans le point qu'on désire au moyen d'une vis, présente dans sa
partie
supérieure un canal cylindrique horizontal dans l
faut tâtonner. Ce qui embarrasse surtout, c'est de savoir par quelle
partie
du litholabe on touche la pierre ; si c'est par l
deux mains (Pl. 58, fig. i, a et b), la gau-che en avant, près de sa
partie
recourbé et en supination, la droite en arrière e
nt la main sur le périnée, appuie-rait la canule extérieure contre la
partie
inférieure de la symphyse des pubis, pour borner
courbe aussi faciles que ceux du foret droit, M. Pravaz a remplacé la
partie
de la tige rigide qui constitue le quart profond
de Paris, a de même exécuté une pince à trois branches offrant à leur
partie
interne une surface dentée, destinée à s'applique
, « et l'action de la vis continuant, elle devait se rompre dans la «
partie
moyenne, comme en effet cela eut lieu. » (Histoir
externe, et d'un écrouailé. Enfin, cette branche présentait, dans sa
partie
courbe, deux pièces arti-culées entre elles par d
de l'ouvrir clans le col de la vessie, et de pincer quelques-unes des
parties
cpii s'y trouvent. Aussi, après quelques applicat
; puis une rondelle pour appuyer les doigts pendant la percussion. La
partie
de la branche mâle, sur laquelle doit frapper le
résultent des coups de marteau et vont se répéter avec force sur les
parties
intérieures dans lesquelles il est à craindre que
au moyen d'une griffe, l'étau sur le rebord d'une table ordinaire. La
partie
destinée à saisir l'instrument s'allonge et se ra
e métallique (Pl. 61, fig. 23), fixée solidement par un collet sur la
partie
renflée de la branche femelle du percu-teur; la b
pue, afin d'en ressaisir les fragmens, il suffisait de la dévisser en
partie
pour obtenir l'écartement des deux mors. Goutti
er les injections dans la vessie et les y retenir. Le broiement de la
partie
des calculs qui fait saillie à travers les yeux s
un mandrin flexible et articulé qui repousse, comme le précédent, les
parties
broyées dans le magasin, d'où on les re-tire de l
ent y déterminer les sail-lies que font les fragmens pierreux sur les
parties
latérales de l'instrument; puis il a fait creuser
el que la glande acquière le volume du poing. Il peut en affecter les
parties
latérales, le lobe moyen, ou la to-talité. Dans t
l abandonnât le cul-de-sac où il était logé, et fût se placer dans la
partie
postérieure de la vessie devenue sa partie la plu
, et fût se placer dans la partie postérieure de la vessie devenue sa
partie
la plus déclive, où il serait à la portée de l'in
. Cependant M. Civiale a opéré avec succès plusieurs malades fai-sant
partie
de cette série, et qui étaient affectés d'bypospa
de, qu'on rencontre surtout chez les enfans, et qui se développent en
partie
dans le col de la vessie où leur extrémité antéri
s au broiement, en ce qui concerne l'enveloppe pier reuse; quant à la
partie
métallique, on doit tenter son extraction avec le
l'action de l'opérateur; i° l'étroilesse de leur canal dans toute sa
partie
antérieure, ne permet d'employer que des instru-m
idé par l'expérience que c'est dans l'âge adulte et clans la première
partie
de la vieillesse que la lithotritie donne les mei
tion sanglante, tandis que l'instrument de Jacobson étant articulé la
partie
bri-sée se développera et sera entraînée à l'exté
trument et lui donner un point d'appui, l'expose plus que toute autre
partie
à être contuse et meurtrie , d'où il résulte une
ue les instrumens lithotriteurs, quels qu'ils soient, font subir à la
partie
courbe du canal. 11° Des accidens nerveux. Ces
nières principales, de pratiquer la taille, qui ont tiré leur nom des
parties
qu'on traverse, savoir : la taille périnéale, la
à 9 cent, de longueur, et sa base 8 cent. Le raphé le divise en deux
parties
symétriques, dont l'une, la gauche, est le siège
ésente la base d'une pyramide triangulaire, dont (1) Voyez première
Partie
: Analomic chirurgicale, pages 43-45,et pl. 3 et 4
entielles à connaître, afin de ne pas blesser, en les traversant, les
parties
importantes qu'elles con-tiennent. En procédant d
ncipaux vaisseaux sanguins; 5o l'apo-névrose périnéale moyenne; 6° la
partie
antérieure des muscles releveurs de l'anus, l'apo
s de l'anus, l'aponévrose profonde, et la prostate qui en-veloppe une
partie
de l'urètre , soutient le col de la vessie et s'a
met à la base de ce triangle, distance qui représente l'épaisseur des
parties
à traverser lorsqu'on pratique la taille périnéal
ètres. i° Cloison périnéale. En reprenant succinctement chacune des
parties
qui constituent le périnée en particulier, nous t
l'embonpoint des sujets ; elle est beaucoup plus considérable sur les
parties
latérales que sur la ligne médiane; 3° Lfaponévro
que la couche mus-culaire, existe sur la ligne médiane le bulbe et la
partie
membra-neuse de l'urètre, puis encore au-dessus,
uillet aponévrotique est traversé par l'urètre qu'il soutient dans sa
partie
membraneuse. Il paraît aussi destiné à résister à
cellulo-graisseuse; 6° au-dessus de l'aponévrose moyenne se trouve la
partie
antérieure des releveurs de lanus, dont les fibre
i est divisé dans les tailles péri-néales et permet la dilatation des
parties
; 7° Laponévrose pel-vienne , surface interne de l
s fibres musculaires qui viennent aussi y prendre attache. Toutes ces
parties
forment un plancher solide et résistant qui sou-t
qu'elle ne ressemble en rien , quant à l'incision des tégumens et des
parties
molles, à celle dont Celse nous a laissé la descr
l'anus. Après avoir divisé la peau il continuait à inciser toutes les
parties
profondes qui recouvraient le calcul,jusqu'à ce q
autres, afin de les extraire de la même manière. Suivant Boyer, les
parties
divisées dans cette méthode sont la peau , le tis
ate et le col de la vessie qu'elle em-brasse, et quelquefois même une
partie
du bas-fond de ce viscère. M. Velpeau pense au co
ne. GRAND APPAREIL OU TAILLE MÉDIANE. Elle consiste à inciser les
parties
directement d'avant en arrière, un peu à gauche,
n peu élevées. Il était lié de façon que les mêmes liens, placés à la
partie
postérieure du cou et conduits autour des aissell
ur-ses; puis après avoir senti la cannelure à travers l'épaisseur des
parties
, il incisait avec le lithotome tenu de la main dr
, toujours sans abandonner la can-nelure du cathéter, jusque vers la
partie
supérieure de la plaie. Ainsi placé , le lithotom
levant le poignet, et divisait, clans ce mouvement, la prostate et la
partie
membraneuse dans le sens du diamètre antéro-posté
rin de Bordeaux. Lorsque ce chirurgien avait ouvert l'urètre dans ses
parties
bulbeuse et membraneuse, comme dans le procédé de
uels on est exposé par la dilatation et la déchirure con-sécutive des
parties
. Au contraire, pratiquée par les procédés de Maré
lique ou latéralisée consiste essentiel-lement dans la division de la
partie
membraneuse de l'urètre prolongée au travers de l
nde courbe et cannelée sur sa convexité, puis, après avoir incisé les
parties
molles extérieures dans une direction oblique, on
ent de bas en haut en « profondant, il divisa tout ce qu'il trouva de
parties
, depuis la « tubérosité de l'ischion jusqu'à la s
ierre fût grosse « comme un œuf de poule. » L'examen anatomique des
parties
, fait en présence des méde-cins et chirurgiens de
es, et que faute d'avoir un guide sûr, il tombait quelquefois sur des
parties
qu'il était important de ménager, Méry fit sur so
aires; les treize autres furent parfaitement guéris. En examinant les
parties
divisées sur les ca-davres de ceux qui avaient su
agir toujours sur les mêmes points, s'égarait sou-vent et coupait des
parties
qu'il aurait fallu ménager. Frère Jac-ques, ennuy
d'expériences sur le cadavre. Duverney qui faisait la dissection des
parties
divisées, reconnut, lui aussi, que la méthode du
ué de cette ville, un habile directeur qui lui apprit à connaître les
parties
qu'il coupait. Aussi, muni de son cathéter cannel
ce célèbre lithotomiste ne divisait pas toujours exactement les mêmes
parties
de la vessie, cela tenait uniquement à l'absence
ette description. Albinus ne dit pas positivement quelles étaient les
parties
de la vessie qu'incisait Raw, et il serait diffi-
bientôt que, par ce pro-cédé, on ne pouvait s'empêcher de diviser la
partie
membraneuse de l'urètre et le col de la vessie, e
à droite et en arrière avec le doigt indicateur gau-che placé dans la
partie
postérieure cle la plaie, faisait glisser sur l'o
, Ledran introduisait dans la vessie le cathéter cannelé, faisait aux
parties
extérieures une incision commençant vis-à-vis de
isait aux parties extérieures une incision commençant vis-à-vis de la
partie
infé-rieure du pubis, et se terminant à 4 centimè
espace qui sépare l'anus de la tubérosité de l'ischion et divisait la
partie
membraneuse de l'urètre , la prostate et le col d
l de la vessie. Lorsque le défaut de résistance lui annonçait que ces
parties
étaient incisées, il abaissait le poignet de mani
intéresser, en sortant, que la peau et les graisses, et à laisser les
parties
intermédiaires intactes; en agissant ainsi, Morea
et le tissu cellulaire pour éviter l'infiltration de l'urine dans ces
parties
; de ménager les parties intermédiaires, parce qu
ur éviter l'infiltration de l'urine dans ces parties ; de ménager les
parties
intermédiaires, parce qu'elles contiennent les pr
uliers. En 1733 il inventa deux instrumens, l'un destiné à couper les
parties
extérieures et à inciser l'urètre, raison pour la
schion gauche. Lorsque l'urètre était découvert il l'incisait dans sa
partie
membraneuse, puis, faisant glisser le cystotome d
surer que sa cannelure était bien placée, il continuait à inciser les
parties
profondes couche par couche, en ayant le soin de
pénétrer la lame plus profondément, et divisait dans ce mou-vement la
partie
membraneuse de l'urètre et la plus grande par-tie
possible et proportionné à l'âge de son ma-lade. Puis il incisait les
parties
extérieures comme dans les pro-cédés précédons (P
ur l'enfoncer plus profondément, puis il les abaissait pour fendre la
partie
membraneuse du canal, dans l'étendue de 20 à 25 m
le point où elle s'unissait au manche, la fixait solidement contre la
partie
du pubis que nous avons indi-T. vu. quée, press
ment, jusqu'au moment où le défaut de résistance et la longueur de la
partie
qui était ramenée à l'extérieur lui indi-quaient
e et le col de la vessie dans une étendue proportionnelle à celle des
parties
extérieures. Si on le portait trop en dehors on s
ord une grande incision dans laquelle je pourrais compro-« mettre des
parties
qu'il est essentiel de ménager; au lieu de ce por
u lithotome contre l'arcade des os pubis, je l'ap-te plique contre la
partie
inférieure du col de la vessie pour la ce rapproc
ce rapprocher du point le plus large de cette arcade : j'appuie la ce
partie
concave de cette tige contre la branche du pubis
u'elle est faite de dedans en dehors et sans saccade pen-dant que les
parties
sont tendues, tandis qu'avec le bistouri elle se
ec les opérations, et ne con-naissent pas parfaitement l'anatomie des
parties
sur lesquelles les circonstances peuvent les appe
ordinaires; seulement une fois qu'elle a formé son coude arrondi, la
partie
courbe redevient presque droite, la branche b est
erminée par un étau e dans lequel glisse un tro-cart f cannelé sur la
partie
inférieure qui traverse le périnée, et vient tomb
on extérieure, et pour conduire le lithotome dans la vessie. Ces deux
parties
de l'opération s'exécutent comme dans les autres
suivant les règles établies plus haut, soit pour faire l'incision des
parties
extérieures, soit pour inciser la prostate et le
te et le col de la vessie. Un autre instrument propre à inciser les
parties
profondes, c'est-à-dire la prostate et le col de
s le rectum. Pour se servir de cet instrument, après avoir incisé les
parties
ex-térieures dans la direction ordinaire, et ouve
sé les parties ex-térieures dans la direction ordinaire, et ouvert la
partie
membra-neuse de l'urètre, on place le bord droit
inconvéniens : ainsi en agissant d'avant en arrière, et refoulant les
parties
devant soi, on est exposé à ne pas les diviser, o
s, nécessitent l'emploi du bistouri; par-fois aussi la résistance des
parties
oblige à employer une certaine force : or si cett
eur, par suite du plus ou moins d'élas- ticité et de résistance des
parties
, et du plus ou moins d'éléva-tion ou d'abaissemen
p moins prononcée, plaça le bouton sur le bord mousse, cl rétrécit la
partie
émoussée de son extrémité : ces corrections loin
t de Hawldns, on en est revenu à l'emploi du bistouri pour inciser la
partie
profonde dans la taille. A. Dubois employait une
cisait en le retirant, la prostate, le col de la vessie et toutes les
parties
extérieures dans la direction ordinaire. Le doc-t
assurer en l'expérimentant sur le cadavre. Cependant, l'épaisseur des
parties
constituantes du périnée , peut nécessiter de la
cpii le fassent agir par saccade, et soient suivis d'une division des
parties
pro-fondes qui dépasserait les limites de la pros
de la vessie. —Procédé de Thompson (1808). Il consiste à inciser les
parties
profondes en haut et en dehors avec le lithotome,
côté, Dupujtren avait pensé qu'il éviterait encore plus sûre-ment les
parties
importantes en terminant son incision directe-men
rvenir, lorsqu'il était arrivé dans la vessie , après avoir divisé la
partie
membraneuse de l'urètre et un peu la prostate, il
latéralisée qui ont succédé à celui du Frère Jacques, on voit que les
parties
molles sont à-peu-près divisées de la même façon,
prostate et le col de la vessie. Le point essentiel, en incisant ces
parties
, est de les diviser dans la plus grande étendue p
On a donné le nom de taille latérale à une méthode dans la-quelle les
parties
extérieures sont le plus souvent incisées comme d
lle latéralisée, mais où la section profonde, au lieu d'intéresser la
partie
prostatique de l'urètre et le col de la vessie, e
olut d'ouvrir la poche urinaire dans le point où elle correspond à la
partie
la plus large de l'arcade pubienne. Pour cela il
cadavre avec de la cire molle, et découvrit qu'il correspondait à la
partie
inférieure et latérale du périnée; puis il poncti
était destinée à diriger la pointe du couteau qui devait diviser les
parties
. Avant de mettre son procédé en usage, il injec
te , en engageait la pointe dans la cannelure et l'enfonçait dans les
parties
jusqu'à ce qu'elle trouvât l'obstacle formé par l
e et le retirait tout entier en élevant le poignet et en incisant les
parties
extérieures de bas en haut, à-peu-près comme dans
ant disposé, Thomas enfonçait horizontalement son in-strument dans la
partie
latérale gauche du périnée, à un travers de doigt
ait forte-ment le poignet pour agrandir la plaie des tégumens vers la
partie
inférieure du périnée, et pour éviter la lésion d
ice essentiel est qu'elle ne permet pas de diviser toujours les mêmes
parties
; ainsi, d'après la direction de l'instrument ou l
e. Dans ce cas, il vaudrait beaucoup mieux commen-cer par inciser les
parties
extérieures, couche par couche, et arriver à la v
rit dans la thèse de M. Morland : on y lit que Chaussier incisait les
parties
molles situées entre l'anus et le bulbe de l'urèt
rètre avec un bistouri pointu; qu'après avoir divisé l'urètre dans sa
partie
membra-neuse, il pensait qu'une sonde cannelée po
incision semi-lunaire, qui circonscrivait l'anus, et avoir ouvert la
partie
membraneuse de l'urètre , Béclard employait, pour
nairement; il est évidé aux extrémités de sa cannelure et renflé à sa
partie
moyenne à l'endroit de sa plus grande courbure da
plus grande courbure dans l'étendue de 5 centimètres; en sorte que la
partie
de la cannelure qui correspond au point oû l'urèt
'ouvrait longitudinalement dans l'é-tendue de 9 à 1 1 millim. dans sa
partie
membraneuse ; on intro-duisait, dans la rainure d
que les autres méthodes. On a l'avantage d'inciser le périnée dans la
partie
la plus large du triangle périnéal, et conséquemm
lique à gau-che de la prostate, plus une incision transversale sur la
partie
droite de cette glande, méritent la préférence, p
alement à gauche et à droite. La pl. 63, fig. 9., montre le bulbe, la
partie
membraneuse de l'urètre et la prostate à découver
cathéters assez volumineux, proportionnellement au développement des
parties
du malade, attendu qu'ils distendent mieux l'urèt
, parce qu'il sera plus facile de la sentir à travers l'incision des
parties
extérieures et d'y enfoncer le bistouri ou les li
it très défavorable en ce sens qu'elles étaient plus écartées dans la
partie
qui correspon-dait à la plaie, que ne l'étaient l
çait les pieds de l'opéré. On lui prescrivait en outred'embrasser les
parties
inférieures de ses jam-bes à pleine main, au nive
'avec l'autre main, il saisira le pied par son bord interne et par sa
partie
supérieure. Le troisième maintiendra les épaules;
lors, avec la main droite, un bistouri droit ou convexe, il étend les
parties
avec les doigts de la main gauche et fait, au côt
vant l'âge et la taille des individus. L'opérateur divise ensuite les
parties
intermédiaires à la peau et à l'urètre, en se gui
cilité; ensuite on porte la tenette fermée dans tous les sens, sur la
partie
inférieure de la vessie, car c'est ordinairement
orts qu'on doit exercer avec les in-strumens exposent à contondre les
parties
, et que toutes les fois t. vii. que le calcul
faites avec adresse et patience, on ne parvînt pas à faire céder les
parties
molles sans les contondre ou les dilacérer, il va
de la vessie et don-ner du jeu à l'instrument, d'enferrer ensuite la
partie
de la pierre qui se présente, et, avec des demi-t
égager les mors. Pendant ces mouvemens, il faut appuyer un peu sur la
partie
inférieure pour s'éloigner au-tant que possible d
ans la cavité urinaire pour reconnaître exactement la disposition des
parties
à l'égard du calcul qu'elles retiennent. Si l'ind
hercher la pierre avec la sonde et le doigt, et de tâ-cher d'user les
parties
qui la recouvrent par des mouvemens de va et vien
n en fait saillie dans la vessie hors du chaton, on peut saisir cette
partie
sail-lante avec des tenettes, et chercher à l'ébr
sang; quant à la pierre, elle avait la forme d'une callebasse dont la
partie
renfermée dans le chaton, et la plus volumineuse,
conseille d'y remédier en instillant dans l'urètre un mélange fait de
parties
égales d'huile d'amandes douces, de baume tranqui
aire qui s'oppose efficacement au développement de l'inflammation des
parties
, tandis que pour les vieillards et les individus
dans la vessie et que la charpie ou l'agaric soit en contact avec les
parties
qui fournissent le sang. Chez les sujets maigres,
ang est profond , car la compression s'exerce plus fortement dans les
parties
superficielles que dans les parties pro-fondes qu
s'exerce plus fortement dans les parties superficielles que dans les
parties
pro-fondes qui, souvent même, lui échappent compl
on extrémité, la fit pénétrer dans la vessie, de manière que toute la
partie
qui n'était pas entourée de linge y plongeât, et
uytren enfonçait son appareil dans la plaie , jusqu'à ce que toute la
partie
libre de la canule pénétrât dans la vessie. Il la
ois on l'observait beaucoup plus souvent lorsqu'au lieu de couper les
parties
on les confondait ou on les déchirait avec des in
trumens dilatateurs; elle succédait ordinai-rement, à la gangrène des
parties
froissées. Cette maladie est incu-rable toutes le
rsque l'incontinence de l'urine est incomplète, de telle sorte qu'une
partie
du liquide passe par l'urètre et l'autre par la p
vessie, et que la couche de tissu cellulaire qui se trouve entre ces
parties
et le rectum est plus ou moins épaisse. Si la pla
as, il considère la maladie comme incurable. L'incision de toute la
partie
de l'intestin comprise entre la blessure et l'anu
te espèce de taille, nous allons indiquer brièvement les rapports des
parties
sur les-quelles on doit agir. Anatomie opératoi
nous occupe, il n'y a d'important à étudier dans cet intestin que sa
partie
moyenne et sa partie infé-rieure, à cause de leur
a d'important à étudier dans cet intestin que sa partie moyenne et sa
partie
infé-rieure, à cause de leurs rapports avec la ve
é-rieure, à cause de leurs rapports avec la vessie et la prostate. La
partie
moyenne qui a, suivant Sanson, une longueur d'env
le-même. Elle offre en avant une concavité qui est en rapport avec la
partie
postérieure et infé-rieure de la vessie, dont ell
stin et la vessie ne s'étend pas ordinairement au-delà du point où la
partie
moyenne et la partie supérieure se réunissent. Ce
s'étend pas ordinairement au-delà du point où la partie moyenne et la
partie
supérieure se réunissent. Cependant, comme il pou
toujours assez large pour donner passage aux plus gros calculs. La
partie
inférieure du rectum, qui s'étend depuis la base
e périnéal dont le bord antérieur est représenté par la prostate , la
partie
membra-neuse et le bulbe de l'urètre. Sa longueur
et d'autant plus épais qu'on les considère plus inférieurement. La
partie
de la vessie qui correspond au rectum est compris
t environnés par du tissu cellulaire. En résumé, si l'on examíneles
parties
qui sont superposées entre le rectum et la vessie
r les vésicules séminales les canaux éjacu-lateurs et la prostate. La
partie
inférieure de l'intestin est séparée de la prosta
e dans la vessie par son col, en divisant seulement la prostate et la
partie
inférieure du rectum; dans le second on y pénètre
che et pique à cette hauteur, que l'mcision ne doit pas dé-passer, la
partie
la plus inférieure de la paroi antérieure du rec-
l'instrument étant alors relevé, son tranchant fortement appliqué aux
parties
, on incise du bas en haut, ou vers soi, le sphinc
, on incise du bas en haut, ou vers soi, le sphincter de l'anus et la
partie
postérieure du périnée. Cette pre-mière incision
nnelure du cathéter, et sert à y conduire le bistouri qui pique cette
partie
de l'urètre, le tranchant tourné en bas vers le r
cision. En pratiquant cette opération sur le cadavre , l'examen des
parties
démontre qu'on a divisé le rectum dans toute l'ét
, ne favorisent l'extraction du calcul. Ce ne sont pas, en effet, les
parties
extérieures qui opposent de la difficulté à sa so
rempli par du tissu cellulaire qui l'unit à la ligne blanche et à ses
parties
latérales. C'est par là qu'on doit arriver sur la
du au point de saillira l'hypogastre. Comme Dou-glas, il incisait les
parties
extérieures avec un bistouri convexe, ponctionnai
direction que pour la taille latéralisée. Lorsqu'il avait mis à nu la
partie
membraneuse de l'urètre, il l'incisait jusqu'à la
ira l'aide d'une vis ou d'une bascule (fig. 39), et incisait ainsi la
partie
in-férieure de la ligne blanche. Pour agrandir ce
la plaie faite au périnée, afin de fournir une issue à l'urine par la
partie
la plus déclive de l'organe et l'empêcher de sort
, en même temps qu'elle repousse en haut le péri-toine. Cette seconde
partie
présente , à son extrémité libre, un bourrelet sa
l'éten-due et la direction des incisions, le nombre et la variété des
parties
divisées. Aussi les procédés sont-ils bien distin
pour empêcher le liquide de sortir, et l'on procède à l'incision des
parties
extérieures. Incision ik i.a l'Aitoi abd jimina
ellulaire; ensuite on fait une incision de 27 millim. (un pouce) à la
partie
inférieure de la ligne blanche, soit avec le bist
vers l'ombilic (Pl. (56, fig. 3), et on en appuie l'extrémité sur la
partie
de la vessie qu'on veut ponctionner. Alors faisan
rps médiocrement serré. Quelques opérateurs veulent qu'on réunisse la
partie
supérieure de la plaie avec des bandelettes agglu
dans l'angle inférieur de la plaie; après son introduction, toute la
partie
de la division, qui est au-dessus, doit être exac
e il a donné la forme d'un siphon qu'il appelle siphon aspirateur. La
partie
extérieure, plus longue que celle qui est dans la
long-temps la canule, jusqu'au quatrième ou cinquième jour, toute la
partie
supérieure de la plaie se trouverait réunie, et i
çue, quoique par cette méthode on parvienne à la vessie à travers des
parties
peu épaisses, dont la division n'est presque jama
r le calcul au col de la vessie, puis de diviser transversalement les
parties
molles entre le conduit de l'urine et les os pubi
rectum, qu'on amène de même le calcul au col de la vessie jusqu'à la
partie
inférieure gauche de la vulve, et qu'on incise de
re l'urètre et le cli-toris , de manière à atteindre la vessie par sa
partie
supérieure près du point où elle s'unit à l'urètr
le de prolonger l'in-cision sur le côté gauche delà vulve, jusqu'à sa
partie
inférieure. Le procédé recommandé par Albucasis
re saillie près de la tubérosité de l'ischion, et inciser sur lui les
parties
molles. F. Jacques opérait d'une manière peu diff
Jacques opérait d'une manière peu différente. Il faisait saillir les
parties
avec son cathéter, qui lui servait de guide pour
l'anus pour que sa convexité , tournée en haut, refoule en avant les
parties
qu'il doit inciser. Puis, cédant la plaque à un a
onduit et les racines du clitoris. Pour cette incision, il divise les
parties
profondes par couches dans la même direction, en
ise, parce qu'en la mettant en pra-tique, on divise la vessie dans la
partie
la plus étroite de l'arcade pubienne, et qu'on ne
nsistait, à faire une incision simple, dirigée un peu à gauche sur la
partie
infé-rieure de l'urètre; mais Dionis ayant observ
irurgiens. Procédé ordinaire. Il consiste à faire une incision à la
partie
inférieure et latérale gauche de l'urètre et du c
point. Les uretères divisent la face inférieure de la vessie en trois
parties
, une moyenne et deux latérales; la moyenne qui es
sico-vaginale, puis incisait cette cloison d'avant en arrière dans la
partie
qui correspondait à la sonde, et retirait la pier
née en avant; on en abaisse le manche afin de repousser en arrière la
partie
postérieure de la vulve et que son autre extrémit
us grandes sans qu'on ait à redouter la contusion et la déchirure des
parties
pen-dant l'extraction de la pierre. M. Faure qui
ONS QUI ONT POUR SIÈGE LES ORGANES EXTÉRIEURS DE LA GÉNÉRATION. A
partie
cathétérisme et les causes qui en réclament l'emp
vagin, ne diffèrent cpie fort peu de ce qu'elles sont dans les autres
parties
du corps, nous en parlerons aussi brièvement que
ngueur. Celles qui se trouvent dans les trousses sont formées avec la
partie
droite de la sonde d'homme sur laquelle on visse
chir un peu les cuisses. Le chirurgien, placé à droite, dé-couvre les
parties
avec les doigts de la main gauche qu'il porte sur
erait des efforts de la femme et de la pression de la tête contre les
parties
environnantes. Bueff avait donné l'exemple d'inci
s ou autres, en tout semblables à celles qu'on observe sur les autres
parties
d u corps, et qui nécessitent abso-lument les mêm
état normal; on sait, en effet, que les femmes des Hottentots ont ces
parties
si développées , qu'elles portent le nom de tabli
toute leur étendue : si elles n'étaient altérées que dans une petite
partie
de leur surface, ou si elles étaient seulement le
culées, fibreuses, ou de végétations, etc., il suffirait d'exciser la
partie
malade, en ayant le soin d'enlever toute la racin
un bistouri; mais lors-qu'elles soni développées dans l'épaisseur des
parties
qui con-stituent la vulve , il faut les dissé'que
erne et le col de l'utérus, ou enfin à ce qu'il est remplacé dans une
partie
ou dans la totalité de son étendue par une substa
fera bien de détruire, au moyen d'une incision, l'union anormale des
parties
. Mais il convient de la pratiquer avant l'époque
ur l'opération de la taille, s'il exis-lail une petite ouverture à la
partie
supérieure des organes soudés, on s'en servirait
ette sonde ; mais si l'occlusion était complète, on ferait tendre les
parties
, et on les diviserait couche par couche, avec un
les douleurs augmentent par suite de l'accumula-tion du sang dans les
parties
, l'utérus se distend, le volume du ventre s'accro
le ou totale, soit par absence du vagin. Pour s'assurer de l'état des
parties
, on intro-duit une sonde dans la vessie et un ou
choisir une route différente de celle par où il s'échappe lorsque les
parties
sont bien conformées, telle que le rectum par exe
ffisante et n'a pas besoin d'être agran-die dans quelques-unes de ses
parties
. Si l'on s'était servi du tro-cart, le sang qui s
qu'elles permettent aux matières accumulées dans l'utérus ou dans la
partie
supérieure du vagin de s'écouler au dehors, en mê
était alors facile de sentir la fluctuation du sang accumulé dans la
partie
supérieure du vagin, car on n'en était pas séparé
pportée par Dehaen. Boyer dit que l'inflammation de la matrice et des
parties
voisines peut encore faire périr les sujets , et
d'autant pins à craindre que la femme est relativement plus âgée, les
parties
ayant beaucoup perdu de la souplesse qu'elles off
échi-rure, la suture ne réussirait pas, à cause du boursouflement des
parties
et de leur état inflammatoire, et pourrait même e
9 à 10 centimètres et de 5 à 6 centimètres de large pendait hors des
parties
génitales; il était formé parla paroi postérieure
s venons de la décrire, le chirurgien de Berlin, s'apercevant que les
parties
étaient fortement tiraillées, et couraient le ris
, une incision semi-lunaire à concavité interne, s'élendant depuis la
partie
inférieure de la grande lèvre jusqu'auprès de l'a
re, comme elle ne peut réunir les lèvres de la division que dans leur
partie
la plus rapprochée du périnée, elle expose à lais
endre le sphincter de l'anus en arrière , dans le but de relâcher les
parties
, de faciliter la sortie des matières fécales et d
as complète, et après la guérison il reste une petite fistule dans la
partie
inférieure de la cloison. M. Roux qui a eu l'occa
fois par semaine, j'ai cru que la fente se fermerait par degré de sa
partie
supérieure vers les tégumens.... Ainsi traitée, l
indicateur droit, dontl'ongle sera assez court pour ne pasblesser les
parties
, d'un corps gras ou mucilagineux, pour faciliter
nitaux pour-raient être infectés; puis on présente ce doigt seul à la
partie
postérieure de la vulve, la main étant entre la p
rivait que le vagin fût trop long pour que le doigt pût atteindre les
parties
qu'il veut toucher, on pourrait recommander à la
employer la main droite ou la main gauche. On peut porter la main aux
parties
soit direc-tement entre les cuisses, soit en pass
Du spéculum uteri. Le spéculum dont on se sert pour examiner les
parties
de la gé-nération , a la forme d'un cône tronqué
qui devait varier suivant la largeur et le degré d'extensi-bilité des
parties
sexuelles ; il avait la forme d'un cône tronqué ;
ant aussi des portions de cylindre; ces trois valves se recouvrent en
partie
, et peuvent s'écarter lorsqu'on presse sur les br
eurs valves écartées, la muqueuse vaginale qui masquait le col et les
parties
malades; pour y ob-vier, M. Charrière y ajouta de
e quelquefois à introduire le spécu-lum, ou la crainte de blesser les
parties
, a fait imaginer d'y ajou-ter un embout en ébène
aucoup suivant les âges : très dilatables chez les jeunes femmes, ces
parties
le sont déjà beaucoup moins vers 4o ans; après ce
, de manière à déplisser le fond du vagin et à mettre à nu toutes les
parties
malades. Quand on se sert du spéculum cylindrique
t des femmes chez lesquelles le contact permanent de l'urine avec les
parties
génitales les irrite, les enflamme, et donne lieu
lamme, et donne lieu à des exco-riations et des boutons ulcéreux à la
partie
interne des cuisses , des fesses et des organes g
la fistule seront saisies entre les deux plaques, on fera rentrer une
partie
des érignes; la compres-sion exercée par les plaq
être assez modérée pour ne pas interrompre la circulation dans les
parties
; une sonde en gomme sera placée dans la vessie et
leur extrémité prenante, et glissent l'une sur l'autre comme les deux
parties
d'un pied de cordonnier, ou par un mécanisme anal
ie en contact, il est certain aussi que ses crochets, placés dans des
parties
enflammées d'avance, tirent sur elles de manière
nt plutôt suivies d'abcès, de nouvelles fistules ou de déchirures des
parties
, que celles faites par l'instrument qui agit de l
n froide, ou placer un linge mouillé dans le vagin, afin de laver les
parties
de nitrate d'argent non combinées, dans la craint
le quatrième jour, elle re-commence à couler, en raison du retour des
parties
à leur état or-dinaire; mais elle est moins abond
ie en poussant la tige, et on fait sortir la pointe qui tra-verse les
parties
(pl. 70 f. ire); le fil est ensuite dégagé du cha
près de sa pointe; dans l'emploi de la seconde, après avoir saisi la
partie
qu'on veut perforer avec les mors élas-tiques de
urs plus tard. On ne devra jamais chercher à s'assurer de. l'état des
parties
, soit par le toucher soit parle spéculum, avant q
par le toucher, puis à l'aide d'une gouttière, chercher à mettre les
parties
à décou-vert pour les examiner, mais en procédant
s de la cicatrice et faire, au besoin , ce que réclamerait l'état des
parties
. ÉLYTROPLASTIE. Voyant que les méthodes précé
nd sur la grande lèvre ou sur la fesse, quelquefois même sur les deux
parties
à-la-fois, afin de proportionner son étendue à ce
mmet à sa base, et de dehors en de-dans, en se rapprochant plutôt des
parties
profondes que delà peau. Il s'agit alors d'intr
de garder le repos le plus complet, afin d'éviter le? dérangemens des
parties
. Bien que les fils tombent ordinairement dans l
autre côté au même niveau , de sorte qu'il y eut deux anses entre les
parties
; l'anse gauche fut placée dans la droite qui lui
ient passer par l'urètre, on doit plutôt penser que ce n'était qu'une
partie
des règles, et que l'autre partie, retenue dans l
plutôt penser que ce n'était qu'une partie des règles, et que l'autre
partie
, retenue dans le vagin, tendait à y former des ca
ent dans son rectum l'obligèrent à pousser avec tant de force que les
parties
cousues furent dé-chirées, et que beaucoup de mat
tir, s'échapperaient librement, et sans amener de déchirures dans les
parties
fixées par les sutures. 3° L'anaplastie ou Vèly
riction nécessaire, à l'aide d'une vis de rappel qui tra-versait leur
partie
externe. Ces branches sont tellement construi-tes
rées que possible l'une contre l'autre. Au bout de quelques jours, la
partie
des deux intestins, comprise entre les plaques, é
hé-rences, on retira les branches ; les matières fécales reprirent en
partie
leur cours naturel, et l'on avait la plus grande
onvient pour les tumeurs concrètes. Celles qui se développent sur les
parties
latérales du vagin sont plus faciles à enlever qu
ela se ren-contrait, d'avoir recours à la ponction de la vessie, à la
partie
antérieure de la tumeur, avec un trocart, et, apr
baisse dans toute sa circonférence , et in-complète s'il n'y a qu'une
partie
de l'une de ses parois qui soit relâchée. La chut
néral, cpiand l'affection est récente , il est facile de refouler les
parties
renver-sées ; il suffit de faire coucher la femme
va avoir acquis assez de rigidité et de résis-tance pour contenir les
parties
qui avaient coutume de sortir. Plusieurs fois, de
er sur ce point. Au bout de cinq à six jours, le tissu cellulaire des
parties
traversées par les fils, s'était suffisamment con
le, par suite d'une dégénéres-cence, Richter a proposé d'extirper une
partie
ou la totalité de la tunique interne du vagin, so
t gangrenée. Dans ce dernier cas, Sabatier conseillait de laisser les
parties
gangrenées tomber d'elles-mêmes, en employant les
n'a pas franchi la vulve, et n'a pas contracté d'adhérences avec les
parties
environnantes, il est facile de le réduire : il s
en la dirigeant suivant l'axe du détroit inférieur, et un peu vers la
partie
postérieure de la vulve dont les tissus sont plus
par-tie se réduit sans peine. Si la chute était ancienne, et si les
parties
durcies et engorgées ne cédaient pas à un taxis c
à un taxis convenablement prolongé, il vaudrait mieux abandonner les
parties
à elles-mêmes pour y revenir plus tard, lorsqu'on
suppuration, un tissu modu-laire assez solide pour fixer le vagin aux
parties
voisines. Pour pratiquer l'opération on place,
prolapso ; en resserrant la coulisse on « étrangle et on mortifie une
partie
du vagin , d'où résulte un « resserrement de ce c
dont il s'agit, et qu'on en triomphe en remettant, par la suture, les
parties
dans l'état où elles étaient avant la déchirure.
tres. La cire, employée seule, devenait trop molle par la chaleur des
parties
, et le pessaire se déformait; unie à la résine e
arler, manquent cependant de souplesse , et doivent être re-tirés des
parties
, et nettoyés assez souvent pour éviter qu'ils ne
ur les côtés par un angle arrondi, qui prend un point d'appui sur les
parties
latérales du vagin, un peu au-dessus des grandes
ce convexe en ar-rière. Leur forme s'accommode très bien à celle tics
parties
; mais, comme ils sont très lourds, ils fatiguent
-tent de matières calcaires, qui irritent et ulcèrent quelquefois les
parties
voisines. 11 existe dans la science un grand nomb
tus à terme. Enfin les sécrétions qui résultent de l'inflammation des
parties
peuvent s'altérer, être résorbées, et donner lieu
ee s'il yen a. » La tige courbe peut être déplacée et appliquée ;i la
partie
antérieure du cercle pour aller d'avant en arrièr
ler d'avant en arrière com-primer le périnée, au lieu de partir de sa
partie
postérieure, ce qui était gênant pour les malades
aidée de la compression périnéale, peuvent suffire pour contenir les
parties
. Quelques chirurgiens ayant reconnu combien les
n'est pas facile d'introduire en même temps les doigts dans ces deux
parties
, et d'exécuter avec leur aide les niouvemens néce
t parvenir à dégager la matrice qu'après avoir scié le bassin en deux
parties
. EXTRACTION DES CORPS ÉTRANGERS CONTENUS DANS L
mandrin flexible et pointu, pour ouvrir les membranes ou détruire les
parties
qui bouchent le col; si cet instrument est insuff
un petit œuf, et se prolongeait par un pédicule distinct jus-qu'à la
partie
supérieure du col. 6" Polypes cancéreux. On voit
fois plus épaisse, et formée à-la-fois par cette muqueuse et par une
partie
plus ou moins épaisse du tissu utérin , suivant q
ans les premiers temps; mais qui se condense peu-à-peu , d'abord à sa
partie
inférieure, puis dans toute son étendue, et se la
et qui a continué de vivre et de croître par imbibition au milieu des
parties
environ-nantes. Depuis les travaux de Bayle, Du
il tira dessus, mais il le déchira et ne réussit qu'à en extraire une
partie
; pour enlever ce qui restait, il intro-duisit la
icule, qui céda facilement après; et dans un autre, il en détacha une
partie
qui avait la forme d'une tranche de melon, et don
lieu d'employer le forceps ou des crochets qui pourraient blesser les
parties
saines s'ils venaient à déchirer tout-à-coup la s
ssait d'un polype ayant le volume du gros orteil, qui s'insérait à la
partie
supérieure du col, et fai-fait saillie dans le va
ligature autour de son pédicule, tandis que le peu de cohésion de ses
parties
, permettrait de le broyer , ils l'étreignirent en
ourrait éviter la lésion du tissu de l'utérus, en faisant fixer, à sa
partie
supérieure, l'origine de la tumeur avec une pince
des polypes encore contenus dans le vagin , et qui s'inséraient à sa
partie
tout-à-fait supérieure, ou même jusque dans le co
ulve, sur ceux qui sont dans le vagin, et sur ceux qui sont encore en
partie
contenus dans la matrice. i0 Ligature des polyp
de la main gauche le bistouri bou-tonné ou les ciseaux, jusque sur la
partie
la plus rétrécie de son pédicule, et d'en faire l
ns, on parvienne à le détacher, comme on sépare un noyau de fruit des
parties
qui l'enveloppent (ISouv. élérn. de méd. opér., i
avec le doigt, de détruire ce qu'il croyait être ses adhérences à la
partie
postérieure du col. Un temps considé-rable se tro
dissoudre le caustique en excès, et l'empêcher de se répandre sur les
parties
saines; puis, on retire le spéculum. Les cautér
ulcérée. Ici, il ne s'agit plus seulement de modifier la vitalité des
parties
, mais bien de dé-truire toute l'épaisseur du tis
icatrice. Après avoir placé le spéculum et soigneusement absterge les
parties
, on interpose entre la lèvre postérieure du col e
pie, pour absorber le caustique et l'empê-cher de se répandre sur les
parties
saines; puis on cautérise , soit avec la potasse
une minute environ , afin qu'il ait le temps de se combiner avec les
parties
, et de former une es-chare. Si cependant la mala
est le plus sûr moyen d'éviter que Je caustique ne se répande sur les
parties
voisines, et ne dé-termine des ulcérations, des p
angle obtus; chacune de ces branches est enfoncée séparément dans la
partie
supérieure du col utérin, au-dessus de la partie
e séparément dans la partie supérieure du col utérin, au-dessus de la
partie
malade. L'instrument en position, on fait glisser
, avec la callosité d'où elle prenait naissance, coupa jusque dans la
partie
saine, et que la malade guérit parfaitement. Suiv
la cautérisation ; 20 quand la maladie ne s'étend pas au-dessus de la
partie
supérieure de l'insertion utérine du vagin ; 3° l
nt difficile, sinon impossible, de s'assurer exactement de l'état des
parties
. Et d'abord, quels sont les signes qui indiquent
ment de forme et de volume, qui se montrent si fréquem-ment sur cette
partie
? Mais on en rencontre beaucoup qui dépen-dent de
t manifeste, soit ul-céré en un mot, on s'exposera à n'enlever qu'une
partie
du mal, et à le voir repulluler; et, d'ailleurs,
puytren. Le chirurgien de l'IIôiel-Dieu com-mençait par découvrir les
parties
à l'aide du spéculum, et sub-stituait aux rubans
ans leur concavité et en les faisant agir autant que possible sur les
parties
saines au-delà des limites du cancer. Procédé d
valve, qui a l'avantage de mieux embrasser la tumeur et de ten-dre la
partie
supérieure du vagin, M. Lisfranc absterge soigneu
ever les érignes, pour faire un peu basculer la matrice, et rendre la
partie
postérieure du col plus saillante, porte son doig
aduellement afin d'en faire saillir successive-ment toutes les autres
parties
, et cela, d'autant plus, qu'elles sont envahies p
ibue la résis-tance à l'aponévrose pelvienne, et principalement à ses
parties
latérales et un peu postérieures; au reste, quell
portait la section jusque clans les parois de la cavité uté-rine. Les
parties
cernées que la cuiller n'avait pas pu détacher co
n à ne pouvoir plus en être re-tirée; on devait ensuite retrancher la
partie
malade, à l'aide d'une espèce de forceps, dont le
'hémorrhagie, la péritonite, la phlébite uté-rine, lesphlegmasies des
parties
contenues dans le bassin, la per-foration du rect
il n'y en a pour aban-donner l'amputation des cancers dans les autres
parties
du corps, soumises aux mêmes chances. Que si les
térin, ainsi qu'on l'a toujours fait, on n'a réellement enlevé qu'une
partie
de la matrice. M. Malgaigne est le seul qui, dans
s vers le diaphragme; comprimer doucement la tumeur, pour chasser les
parties
contenues d ans son intérieur, s'il y en a; puis
genbeck. Après avoir incisé circulaire-ment le vagin au-dessous de sa
partie
malade, on arrive avec précaution jusqu'au périto
r sur leurs résultats. Par la ligature on emporte nécessai-rement une
partie
du vagin en même temps que l'utérus. Malgré cet i
igamens larges, et termina en séparant l'organe de la vessie et de la
partie
antérieure du vagin. Sous-procédé de M. Bécamie
le , mais quelquefois aussi elles contractent des adhérences avec les
parties
voisines; leur surface externe est ordinairement
paracentèse abdominale; on a le soin de plonger l'instru-ment dans la
partie
la plus saillante de la tumeur. La guérison peut
onseillait d'inciser longitudinalement les parois de l'abdomen sur la
partie
la plus déclive de la tumeur. Cette incision deva
our oser tenter l'extirpation de la tumeur, il l'ouvrit et évacua une
partie
du liquide qu'elle contenait; le doigt, porté par
er dans le ventre, plaça de la charpie dans l'intérieur, et réunit en
partie
la plaie de l'abdomen par quelques points de sutu
doit être préférée toutes les fois que le kyste a contracté avec les
parties
voisines des adhérences si étendues qu'il serait
t du premier coup, soit peu-à-peu, tout ce qui n'est pas adhérent aux
parties
voisines, et à abandonner l'expulsion de la parti
pas adhérent aux parties voisines, et à abandonner l'expulsion de la
partie
adhérente aux efforts de la nature. Quoique cette
i l'ont ten-tée , à M. Deneux, qui dit avoir enlevé, avec succès, une
partie
d'ovaire qui faisait partie d'une hernie, nous pe
in dans tous les sens, pour s'assurer si elle n'est pas adhérente aux
parties
voisines, en d'autres points que celui de son ins
es. Après avoir divisé la peau , on incise succes-sivement toutes les
parties
molles qui recouvrent l'os; quelques personnes co
diviser: les uns ont conseillé de le couper d'arrière en avant,ou des
parties
profondes vers les parties superficielles , dans
llé de le couper d'arrière en avant,ou des parties profondes vers les
parties
superficielles , dans le but d'éviter plus sûreme
la ligne médiane, et qu'elle ne se trouve pas derrière l'incision des
parties
molles, mais bien à droite ou à gauche. Il faut d
viciés. Si un cas pareil se présen-tait et qu'on eût déjà incisé les
parties
molles, on a à se deman-der s'il ne vaudrait pas
'autant qu'el-les seraient assez volumineuses pour remplir une grande
partie
de l'excavation pelvienne. D'ailleurs, on aurait
e, ce procédé offre par compensation l'avantage de ne diviser que des
parties
indolentes, minces, faciles à reconnaître, et ent
rencontrer les artèresépigas-triques ; 3° d'ouvrir la matrice par sa
partie
supérieure, de manière à favoriser l'écoulement d
les delà récurrente iliaque; 3" que la matrice, étant divisée dans la
partie
où elle contient le plus de vaisseaux, pouvait au
ur s'était proposé de décoller et repousser la séreuse , découvrir la
partie
supérieure du vagin , l'inciser sur la partie lat
séreuse , découvrir la partie supérieure du vagin , l'inciser sur la
partie
latérale, introduire le doigt dans le col utérin
me, s'il pouvait y revenir, exercerait sur le vagin et sur toutes les
parties
voisines des tiraillemens très forts, et insuppor
uvemens brusques que pourrait lui arracher la douleur. Incision des
parties
. Les poils qui se trouvent entre le pubis et l'om
ant. S'il présente la tète ou le siège, on l'extrait par l'une de ces
parties
, en tirant dessus avec les indicateurs recourbés
e son diamètre vertical, il se présentait par toute T. VII. autre
partie
, il faudrait enfoncer la main tout entière dans l
est la suture enchevillée, parce qu'elle réunit plus profondément les
parties
. Il ne faut pas coudre toute l'étendue de la plai
dant avec les plus grandes précautions dans la crainte de blesser les
parties
de l'enfant qui se présentent. Nous disons qu'il
ite que dans le cas où l'on sent, au travers des parois du vagin, les
parties
que l'on veut extraire. M. Paul Dubois, dans une
on de l'anus, 1 47- — Mtius anormal congénial, 148. — Absence de la
partie
inférieure du rectum, 148, 14g__Fissures à l'an
vaux. Aujourd'hui même les débats sont loin d'être terminés entre les
parties
intéressées : heureusement que les faits et les r
l'œil, le grand oblique, fixé en arrière à la gaîne fibreuse et à la
partie
supérieure du trou optique, logé suivant sa longu
il prenait une portion de la con-« jonctive de l'oeil louche, vers la
partie
inférieure du globe, et « ayant fait une anse de
« Pour consta-« ter, dit-il, cet état, nous séparons la face en deux
parties
, en « plaçant sur la ligne médiane une cloison ;
l à mesure qu'il chemine ; large à son talon, pour que l'incision des
parties
à diviser soit presque accomplie au mo-ment où la
e. « Dans ce premier temps opératoire, la gaine est ouverte, et une
partie
du muscle lui-même a été coupée; nous engageons a
aissable à sa couleur d'un blanc mat qui contraste avec la teinte des
parties
environnantes. L'extrémité du crochet mousse à de
re, à moins que l'on ne fasse immédiatement une contre-ouverture à la
partie
infé-rieure; cette contre-ouverture n'offre aucun
De cet énoncé il résulte que le procédé opératoire de M. Amus-sat, en
partie
sous-conjonctival, est intermédiaire de la méthod
tanée. 11 suffit, pour opérer cette section, de faire une piqûre à la
partie
moyenne de la paupière inférieure. A travers cett
ment doit pénétrer à une grande profondeur, et peut léser toute autre
partie
que celle que l'on veut couper; il peut même arri
river qu'un chirurgien inexpéri-menté, après avoir blessé différentes
parties
, manque cependant Indivision du muscle, objet d
tions des procédés opératoires l'ayant emporté jusqu'à présent sur la
partie
dogmatique. Toutefois nous allons essayer de reno
et en dépit des moindres notions d'une saine physiologie, toutes les
parties
les plus essentielles à la vie d'un organe aussi
ation profonde compli-querait encore l'opération. Hyo-glosses. Leur
partie
postérieure ou les kérato-glosses, à moins de dég
ur libre, et à l'apophyse géni; mais nous rejetons la section de leur
partie
inojenne et profonde , car là encore se trouvent
icture provient de quelque cicatrice, transperçant avec un crochet la
partie
supérieure de la callosité pour l'attirer à soi,
i-gation de la langue, avec le soin toutefois de ne point inciser les
parties
profondes, car une hémorrhagie, qu'on ne peut ar-
charlatan fit dégager la langue par une incision pro-fonde qui, de la
partie
antérieure, s'étendait à droite et à gauche de ce
nt la langue, afin de s'opposer à l'agglutination et à la réunion des
parties
divisées. » (3) (1) Fabrice de Hilden , Observa
; je fis tirer la langue autant que possible, puis la saisis dans la
partie
antérieure avec une pince de Muzeux, de manière q
lame de mon bis-touri dont le taillant était dirigé en haut, dans la
partie
gauche de la racine de la langue, et après avoir
ilection du chirurgien, si, aussitôt que la langue est coupée en deux
parties
, on n'a le soin d'accrocher avec une érigne le mo
rriver immédiatement une suffocation mortelle. Ajoutons encore que la
partie
antérieure de cet organe, confiée à un aide, peut
jeune chirurgien d'avoir déchiqueté des langues, mais de les avoir en
partie
paralysées, si même il n'a produit des suites enc
il a mis d'éviter les veines et les artères qui se présentent sur les
parties
latérales des deux muscles Nous n'avons aucune ob
verte, à couper perpendiculairement avec des ciseaux la muqueuse à la
partie
in-férieure du frein ou filet, entre les deux can
ette nouvelle manière d'opérer, c'est que, quel que soit l'aspect des
parties
, le chirurgien ne doit couper qu'à plusieurs repr
st le soin qu'il a d'empêcher la for-mation d'une cicatrice entre les
parties
divisées, pour empêcher la récidive de se produir
la formation d'une fausse membrane muqueuse accidentelle, qui met les
parties
dans l'impossibilité de se réunir à l'avenir. Le
ultat de l'infiltration sanguine dans l'épaisseur de la langue et des
parties
environ-nantes ; il a surtout lieu dans les procé
iens et Fabrice de Hilden auraient obtenu de la section du frein, des
parties
latérales de la muqueuse et de quelques fibres ch
nom de sclérotomie, les nombreuses sections qui se pratiquent sur les
parties
scléreuses de l'appareil locomoteur, à l'état de
liés. Deux grands faits dominent la théorie des difformités : d'une
parties
altérations du squelette syndesmologique, os et l
dent la rétraction de ces orga-nes, touj ours est-il, qu'une fois les
parties
fixées dans une position anormale, la condition d
développe-ment exagéré qui se traduit par la coloration violacée des
parties
affectées de difformité et la tendance des tissus
ppareils si variés que l'on emploie pour les rétractions des diverses
parties
du corps, il nous suffira d'indiquer les conditio
pondre les centres des mouvemens de l'appareil à ceux du pied, ou des
parties
du pied à mobiliser, faire correspondre la plus g
nt réussi dans un grand nombre de cas à vain-cre les contractures des
parties
molles, et à corriger ou même guérir presque comp
ant quelques modifications empruntées des conditions anatomi-ques des
parties
, trouvent partout leurs applications , il n'est p
sibles, l'opération se compose de plusieurs temps : i" la tension des
parties
sur lesquelles on opère ; 20 la ponction de la pe
séries de dimensions différentes, proportionnel-lement au volume des
parties
à diviser. Premier temps. Tension des parties.
-lement au volume des parties à diviser. Premier temps. Tension des
parties
. La première condition, dans toute section tendin
dition, dans toute section tendineuse ou musculaire, est de tendre la
partie
sur laquelle on opère pour la faire saillir, comm
le cou ; la meilleure manière d'opérer la tension est de disposer la
partie
comme pour lui rendre sa position normale. Pour l
né, retombe et vient recouvrir le talon arrondi du ténotome. Quand la
partie
sur laquelle on opère a une large surface, la pla
on sur lequel on agit, pour ne pas ramasser sur la lame quelque autre
partie
, un nerf, par exemple, qui se trouverait coupé av
e de petit sabre. La section sous-musculaire est préférée, lorsque la
partie
à couper ayant une grande étendue, la surface pro
te du résultat produit en essayant, sans trop d'effort, de ramener la
partie
à sa position normale. L'arrêt, s'il s'en présent
ente, et la saillie des cordons qui empêchent le retour complet de la
partie
à sa direction, indiquent quels sont les nouveaux
hui assez avancée pour qu'on puisse déterminer à l'avance tou-tes les
parties
qu'on devra couper. Enfin quand la déviation est
ien ne doit point se proposer d'obtenir le redressement complet de la
partie
difforme, ce qui l'engagerait à pratiquer de proc
plante du pied en dedans, de manière que le pied pose obliquement en
partie
sur le bord externe, c'est l'équin varus. a0 Pi
l'aide d'un ciseau, on brise avec le plus de ménagement possible une
partie
du moule , et alors, si la pression du plâtre ava
pédie. En effet, toutes les variétés des difformités des dif-férentes
parties
du tronc, qu'elles soient primitives ou consécu-t
, sont également vraies, quel qu'en soit le point de départ, soit les
parties
molles, soit le système osseux. Ainsi, tantôt la
des dangers auxquels pourrait donner lieu des sections au travers des
parties
molles abondamment fournies de vaisseaux et de ne
ire saillir en avant le muscle sterno-mastoï-dien, de le détacher des
parties
sous-jacentes, en transportant son insertion mast
cette condition qu'il est complètement séparé de plusieurslignes des
parties
profondes, et qu'on peut l'embrasser en totalité
u. Pour la ponction, afin d'iso-ler avec plus de sûreté le muscle des
parties
sous-jacentes, à l'i-mitation de M. Bouvier, il g
pliqua les doigts de chaque côté du sterno-cléido-mastoïdien, dans sa
partie
su-périeure, pour en mieux dessiner la saillie. J
oi la rétraction musculaire, étant prouvée à-peu-près pour toutes les
parties
de l'appareil locomoteur, et la nécessité de la m
s qu'il laisse sous la peau , au fur et à mesure de la résorption des
parties
épanchées, la continuité de la circulation; chimi
tion immédiate du kyste. 5° L'enlèvement d'une petite exostose à la
partie
supérieure et antérieure du tibia, suivi de résor
, la nature de la maladie, leur siège et la composition organique des
parties
, toutes notions qui ne peuvent être acquises qu
-frir de l'intérêt ont rapport au siège de la tumeur, à la nature des
parties
environnantes et de celles qui doivent se rencont
s maxillaire, dont la paroi osseuse antérieure est enlevée avec les
parties
molles. 22. Saillie de la gouttière nasale ouve
hyoïde; f, de la cage cartylagineuse du larynx. Plan de section des
parties
molles, g, le nez ; h, la lèvre supérieure ; i, l
te boutonnée : c'est ce bouton que l'on présente d'abord en avant aux
parties
pour ne pas les piquer. 33. Pinces fines à exci
la capsule cristalline jusqu'à la ligne e, f, où elle se trouve à la
partie
supérieure du cristallin. Figure 7. Abaissement
de par décollement. Figure 9 (procédé de Scàrpa). Décollement de la
partie
interne et supérieure de l'iris avec l'aiguille à
e étant enlevée. Figure 2. Même aspect des voies auditives avec les
parties
molles; les deux conduits auriculaires isolés, ma
rieure du pharynx, jusque dans la caisse. Ce canal se compose de deux
parties
: l'une fibro-cartilagineuse, et l'autre osseuse.
res supérieurs et, au mi-lieu, par la cloison médiane, le vomer. A la
partie
supérieure (b) on voit le lambeau taillé sur le f
tié refaite du nez. (1) Torsion du pédicule. Figure 6. Aspect des
parties
après la section du pédicule. Figures 7 et 8. R
) pour l'appliquer sur la surface de la plaie. Figure 2. Aspect des
parties
après la réunion par des sutures. e. Sommet du
4. Réunion par une triple suture entortillée. Figure 5. Aspect des
parties
plusieurs mois après (a cicatrice effec-tuée. F
8,9, 10. Bec-de-lièvre simple chez un enfant. Figure 8. Aspect des
parties
vues perpendiculairement de face. L'intervalle de
ctions dans les cavités de la face et en particulier pour enlever une
partie
d'os malade. Figure 12. Porte-caustique des fos
s glandes parotide et sous-maxillaire et leurs conduits excréteurs.
Parties
accessoires. 1 Extrémité supérieure du sterno-m
ection longitudinale a été faite avec des ciseaux jusqu'au delà de la
partie
malade de la langue; au moment choisi de l'opérat
, à l'angle de jonction des deux sections. Figure 2. Ablation de la
partie
antérieure de la langue (modi-fication du procédé
plus qu'à la dégager. Rien de plus facile que cette manœuvre, où les
parties
sont toujours traversées d'arrière en avant. Fi
extraction du corps étranger, l'instrument étant retiré ou remonté.
Parties
composantes de la plaie. a. Indicateur du chiru
scle sterno-inastoïdien. f. Artère carotide primitive. Toutes ces
parties
sont déprimées par l'indicateur du chi-rurgien.
es té-gumens et les chairs de telle sorte, qu'après l'évacuation, les
parties
abandonnées à elles-mêmes revenant à leur situati
é de M. Skielderup. Une incision cruciale étant faite en regard de la
partie
inférieure du sternum, une couronne de trépan a é
upérieur de l'intestin dans le bout inférieur. Figure 2. Aspect des
parties
après l'invagination. Il ne s'agit que de réunir
un tampon. Elle représentait comme une sorte d'anus acciden-tel de la
partie
initiale du tube digestif, et donnait à volonté i
ncore réductible. La hernie gauche, irréductible, loge la plus grande
partie
de la masse intestinale. L'abdomen, presque vide,
pl. fig. 4. Le sac herniaire du côté droit contient, avec une grande
partie
de l'intestin grêle et de l'é-pi ploon, une porti
formant, sous les tégumens de la cuisse, l'entrée du sac herniaire.
Parties
accessoires vues en transparence sous le péritoin
ique avec la pince et le bistouri convexe. Figure 4. Excision de la
partie
inférieure du rectum (procédé de M. Lisfranc). L'
les tégumens étant trop abondans, il est nécessaire d'en enlever une
partie
. Le temps choisi est celui où le sac séreux ayant
ature à l'hôpital du Gros-Caillou dans le service de M. Baudens. A la
partie
supérieure se voit une ulcération qui forme l'ori
se proposait d'y remédier par une autoplastie.—La figure 6 montre les
parties
dans leur position normale. Un appendice cutané e
s ces trois figures dessinées en grandeur réelle, d'après nature, les
parties
étant disséquées sur le plan de section verticale
ux opérations sont représentées au profil, sur le plan de section des
parties
. Leur but est de tracer un canal dans l'épaisse
rétral à trois fragmens articulés, (a) Main d'un aide qui soulève les
parties
génitales; (b, c) doigts d'un aide qui écartent l
Figure \. Calcul dans sa position, dessiné sur le plan de section des
parties
. Figure 5. Calcul dessiné d'après nature. Fig
e.) Section de la prostate. Représentée cadavé-rique sur le profd des
parties
disséquées. A. Plan de section de la symphyse d
(Grandeur naturelle.) L'opération est représentée cadavérique sur les
parties
disséquées. La portion antérieure des deux sphinc
e 3. (Grandeur naturelle.) Celle figure représente, sur le profil des
parties
disséquées , l'incision du segment supérieur delà
ection de la prostate avec le lithotome double, représentée , sur les
parties
disséquées , la portion antérieure du sphincter a
ntérieurs delà vessie et le repli du péritoine, et qu'elle s'opère en
partie
par déchirure, les dimensions el la direction , f
culaire de la section de la prostate, représentée cadavérique sur les
parties
disséquées. A. Bulbe de l'urèthre.—B. Orifice d
. (Grandeur naturelle.) Incision de lu prostate vue sur le profil des
parties
disséquées. A. Plan de section de la symphyse p
ors courbes. Figure 3. Ponction de la vessie, vue sur le profil des
parties
disséquées. A. Plan de section de la symphyse p
avons préféré la faire représenter cadavérique \ ne sur le profil des
parties
disséquées. Indication commune aux deux figures
l de l'orbite, la paupière inférieure est dissé-quée pour monlrer les
parties
à découvert. Figure 6. Section du petit oblique
e i . L'objet de cette figure est de montrer sur le profil toutes les
parties
intéressées dans les diverses sections que l'on p
n que se permette l'auteur, c'est-à-dire à moins d'un centimètre à la
partie
supé-rieure du génio-glosse et sans rien léser d'
d'une fausse membrane mu-queuse qui empêche à l'avenir la réunion des
parties
divisées.—Figure i i : aspect de la fausse membra
mplet lorsque le tendon aura été divisé. — Figure 5. Dissection de la
partie
sur le cadavre après la section du tendon d'Achil
vers le doigt médius de l'opérateur dont l'interposition éloigne les
parties
situées sur le plan profond; puis ce doigt s'éloi
st tourne en avant, la largeur de la lame maintenant l'écartement des
parties
pro-fondes; puis, en retirant l'instrument parall
ppuyant vers soi de manière à soulever le muscle et à le détacher des
parties
profondes, le glissement de la lame opère la sect
un ensemble de modifications qui ne pourrait permettre le retour des
parties
à leur état normal, comme on en pourra juger par
rement modifiée; son apophyse est hypertrophiée pour faire, en avant,
partie
de la base de sustentation. Les os de la seconde
e de sa main gauche (a) appuie avec les trois derniers doigts sur les
parties
molles pour déprimer l'artère avec les deux veine
nière à ce que le tendon fasse une saillie très avancée au devant des
parties
profondes. Dans le moment choisi de l'opération,
suivant le besoin ( fig. 4 et 5 ). Cet instrument se com-pose de deux
parties
; (a) une tige plate terminée par un fer de lance
i la ferme hermétiquement. Pour s'adapter à la forme et au volume des
parties
, il y a des trocarts droits (fig. 4) et courbes (
on d'un abcès profond de la face externe de la cuisse. Ee retrait des
parties
molles indique que la succion vient d'être opérée
ieure, qui avait détruit la région de la scis- sure calcarine et la
partie
voisine du pôle occipital ; en outre un petit ram
utions 01 et 0. Dans l'hémisphère gauche, un kyste avait détruit la
partie
antérieure du coin. Les circonvolutions occipit
orme. Ce der- nier est presque complètement détruit. L'écorce de la
partie
supérieure du lobe lingual, qui borne la lèvre
partiellement rempla- cée par le tissu conjonctif. L'écorce de la
partie
inférieure et interne du lobe lingual est détruit
inférieure et interne du lobe lingual est détruite, la plus grande
partie
de la substance blanche dece lobule est conservée
lobe fusiforme est presque complètement détruit, excepté une petite
partie
qui se trouve sous la paroi inférieure de la co
paroi externe de la corne postérieure, sont sclérosées dans leur
partie
supérieure et dans la par- tie qui se trouve so
roi inférieure de la corne postérieure près de la lésion. Dans la
partie
intermédiaire de la couche sagittale, les fibre
amollissement, de même que ia parue interne au lobe lusitorme et la
partie
intérieure de la circonvolu- tion limbique. La
iforme. - lg, linguale. - K, calcarine. - Vc, ven- tricule. - (La
partie
blanche indique le siège de la sclérose.) 4 J
substance nerveuse de la paroi interne de la corne postérieure. Une
partie
de la couche sagittale et des fibres du tapetum,
oi inférieure de la corne postérieure, sont sclérosés. Dans l'autre
partie
de la couche sagittale interne les fibres sont
La circonvolution de l'hippocampe est principalement détruite dans sa
partie
interne : la corne d'Ammon est aussi détruite.
du pôle occipital et à 9 cent. 1/2 du pôle frontal, on voit que la
partie
interne de la circonvolution de l'hippocampe est
on voit la sclérose des libres. Cette sclérose se continue sur la
partie
inférieure de la capsule interne ré- trolenticu
rtie inférieure de la capsule interne ré- trolenticulaire et sur la
partie
inféro-postérieure des couches systiques (Fig. 4)
L, linguale. - K, calcarine, - T, temporale. Th, couche optique. (La
partie
en blanc indique le siège de la sclérose.) AN
occipital et à 8 centimètres du pôle frontal- et qui traversent la
partie
postérieure du noyau lenticulaire : La corne
lérose des fibres des radiations de Gratiolet, de la sclérose de la
partie
inférieure de la capsule interne rétro- lenticu
artie inférieure de la capsule interne rétro- lenticulaire et de la
partie
inféro-postérieure des couches optiques. Cette
dégénérescence secondaire proprement dite. On voit partout sur les
parties
sclérosées des petits foyers de ramollisse- men
l visuel il existe une hémianopsie double avec con- servation d'une
partie
centrale du champ visuel. 5) Quant à la sensibi
rale, qui est modifiée sur toute son étendue, sauf peut-être dans sa
partie
ex- trême antérieure. Plus en arrière la lésion
ance blanche du coin, du lobe lingual et du lobe fusiforme (dans la
partie
interne de ce dernier) est complètement détru
ès à quatre centimètres du pôle occi- pital, on trouve : Toute la
partie
de la substance blanche du coin, qui aboutit à
de la scissure calcarine, est détruite par le ramollissement ; la
partie
supérieure de la substance blanche du coin est
vre supérieure de la scissure calcarine est conservée, ainsi que la
partie
de l'écorce du lobe lingual qui constitue la lèvr
he de la substance nerveuse de la corne postérieure. L'écorce de la
partie
intéro-supérieure de ce lobe est conservée ; sur
très mince couche de l'é- corce cérébrale, qui limite la lésion. La
partie
interne du lobe fusiforme est aussi détruite. O
il se sépare par une mince couche de la substance ner- veuse. La
partie
interne du corps calleux, qui se trouve près de l
plénium du corps calleux, on remarque : La lésion occupe toute la
partie
qui se trouve sous la paroi inférieure de la co
nvolution de l'hippocampe, le lobe lingual, le lobe fusiforme et la
partie
interne de la troisième temporale. Le foyer du ra
mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. Une
partie
de l'écorce du lobe fusiforme est conser- vée
e, qui passe près de la paroi externe de la corne postérieure. La
partie
de la couche sagittale, qui se trouve dans la p
uite. 5° Sur les coupes situées plus en avant, qui passent par la
partie
posté- rieure des couches optiques, on voit de
QUE DE L'HÉMIANOPSIE D'ORIGINE INTRA-CÉRÉBRALE 9 pariétale et d'une
partie
de la troisième temporale, est détruite par le ra
isceau longitudinal inférieur et celles du tapetum, surtout dans leur
partie
inféro-externe. Une partie des radiations de
t celles du tapetum, surtout dans leur partie inféro-externe. Une
partie
des radiations de Gratiolet qui se trouve immédia
us la pa- roi inférieure de la corne postérieure est sclérosée. Une
partie
du faisceau longi- tudinal inférieur, qui se tr
trouve dans la même région, est conservée, mais sclé- rosée dans la
partie
qui se trouve près du foyer du ramollissement.
ngi- tudinal inférieur, ainsi que les fibres du tapetum dans leur
partie
externe (Fig.8). . 3° Sur les coupes horizont
se du pulvinar des couches optiques. En outre, on remarque que la
partie
postérieure de la capsule in- terne est plus bl
re gauche et qui occupait la substance blanche du pli courbe et des
parties
voisines du lobe temporal et du lobe pariétal.
corps calleux. - Vc, ventricule. L, limbique. 10 , JOUKOWSKY
partie
inféro-externe. Cette lésion était accompagnée de
de sclérose des fibres de la couche sagittale, du pulvinar et de la
partie
postérieure de la,capsule interne. L'hémianopsi
e à son mal chronique. Les principaux troubles se trouvent sur la
partie
inférieure de la face ; le voisinage de la bouc
ration des muscles orbiculaires de la bouche; cet effort donne à la
partie
inférieure de la face un aspect pleurard (Fig. 1)
est assez épaisse, elle contraste ainsi avec la supérieure, dont la
partie
gauche surtout est mince. Le muscle orbiculaire d
elle elle essaye d'avaler les liquides. Pourtant assez souvent, une
partie
des aliments tombe de sa bouche et encore presq
rtie des aliments tombe de sa bouche et encore presque toujours une
partie
des liquides passe par le nez, ou tombe dans le
as perçu. Cette hypoesthésie s'étend- dans la [même largeur vers la
partie
interne delà lèvre et de la gencive jusqu'aux d
poesthésie moins étendue se trouve environ à la même hauteur sur la
partie
gauche de la lèvre et de la gencive supérieures
. On constate ensuite une hypoesthésie légère de la luette et de la
partie
antérieure du voile du palais, tandis que la part
luette et de la partie antérieure du voile du palais, tandis que la
partie
postérieure de celui-ci et le pharynx ne sont s
sible aux impressions tactiles sauf à quelques petites places de la
partie
antérieure surtout du côté droit. La sensibilité
nt réflexe du voile du pa- lais, il faut une excitation forte de la
partie
postérieure de la langue pour obte- nir la dégl
pas de trouble de la sensibilité, ni de la motilité dans les autres
parties
du corps. Pendant les deux mois, qu'elle a pass
eur de la paupière démontre que l'oculo-moteur commun gauche est en
partie
touché. L'hypoesthésie de la partie gauche de l
o-moteur commun gauche est en partie touché. L'hypoesthésie de la
partie
gauche de la lèvre et de la gencive supérieures
'une lésion de la deuxième branche du trijumeau gauche, celle de la
partie
gauche de la gencive inférieure est la conséquenc
la troisième branche gauche du trijumeau, la perte du goût ' de la
partie
antérieure de la langue est en correspondance ave
et du nerf vague. Le nerf accessoire également touché contribue en
partie
à la difficulté de la déglutition. Le nerf hy
lle ne dura que peu de jours et occasionna une destruction dans une
partie
des éléments moteurs, et sensoriels du système
gue perdit sa motilité. Une salivation cons- tante fut observée. La
partie
antérieure de la langue s'atrophia, le voile du
du palais était aminci, les muscles de la face étaient paralysés, une
partie
des aliments passait par le nez. L'excitabilité
s un peu bombées (ventouses); au-dessous de cette extrémité est une
partie
fortement plissée transversalement, même en dilac
n bour- geonnement du pivscolex, c'est-à-dire de l'adjonction d'une
partie
nouvelle. Le mot cystique désigne d'une façon g
ot a trouvé 4 kystes dont le plus volumineux pesait 510 grammes. La
partie
supérieure et postérieure du lobe droit, s'étant
plus difficile, elles ne se laissent pas enlever, sans déchirer une
partie
du tissu voisin. Il s'agit de cysticerque mort,
tre ventouses symétriquement disposées. A cette tête fait suite une
partie
rétrécie, le cou qui l'unit au reste de la vé-
hie (Th. 1880) que le siège de prédilection des cysticerques est la
partie
périphérique des hémisphè- res du cerveau, nos
it pour les échinocoques. Ceux-ci se développent toujours, dans les
parties
centrales du cerveau. Quant aux rapports,avec l
etits vaisseaux où ils sont charriés jusqu'aux organes des diverses
parties
du corps. Dans notre observation, nous sommes f
inocoques, qui arrivent par la même voie, ne se logent que dans les
parties
centrales du cerveau. Peut-être l'embryon hexac
nous trouvons (Fig. 1) : 1° Au fond du premier sillon frontal, à sa
partie
antérieure, à un centimè- tre en avant d'une co
2° Sur la coupe préfrontale, nous voyons au fond d'un sillon et à la
partie
supérieure de F3, dont il intéresse la substanc
-frontale), un kyste à contenu solide, gros comme un pois ; 4° A la
partie
supérieure du pied de F2 au fond d'un sillon, et
e, également solidifié, gros comme une petite noisette. , 5° A la
partie
inférieure du sillon séparant P A. de la deuxième
un kyste gros comme un petitjpois (coutenu solide). - 7° Dans la
partie
antérieure du sillon calloso-marginal, kyste gros
riétal, mais à la hauteur de la scissure pa- riéto-occipitale, à la
partie
postérieure du pli courbe, kyste gros comme une
substance grise, bien visible sur la coupe occipi- tale ; 7° A la
partie
antérieure de FI interne, kyste gros comme un poi
pe, et intéressant substance blanche et substance grise. 12° A la
partie
antérieure du 3" sillon temporal, kyste dégénéré
muscles du membre est excellent ; en particulier les muscles de la
partie
postérieure de la cuisse et de la jambe sont bien
eurs ; le sujet de M. Potel res- tait debout pendant la plus grande
partie
de la journée et faisait de plus au moins 3 kil
, sur notre sujet, le rôle joué par celui-ci, puisqu'il existe à la
partie
supérieure de la cuisse gauche une pseudo- hern
estinée à s'opposer à la déviation du genou en maintenant tendue la
partie
antéro-externe de l'aponévrose fémorale. La seu
n n'eut rien en soi que d'accidentel et peut par conséquent être en
partie
ou totalement réparée. » Et devançant nos conna
drese et Henr. Hort. Anno 1742. La dissertation est divisée en deux
parties
d'inégale étendue ; elle est précédée d'unè let
s spécialement de l'haleine des jeunes filles. C'est là en somme la
partie
sé- rieuse de son livre, la base scientifique (
cause la mort d'un grand nombre de princes de l'Asie. La première
partie
du livre se termine par la description d'une des
oumons du vieillard. Hermippus passait dans ce lieu, la plus grande
partie
du jour, racontant aux enfants des histoires ag
tait mille sottises pour char- mer ses chères enfants. La seconde
partie
de l'ouvrage a pour but de montrer que la vieille
t remarquer qu'étant due à la circulation dusang,il s'ensuitque les
parties
rejetées parle'sang, doivent participer de la m
re de la cathédrale de Salerne. Ce devant d'autel se divise en deux
parties
, chacune formée de trente'com- partiments. Il s
i se termine à hauteur de poitrine par une barre horizontale ; à sa
partie
moyenne, se trouve une sorte d'anneau où repose
hes rondes, bien rouges, qui s'étendent uniformément sur toutes les
parties
découvertes. Il semble manquer un ou deux doigts
billé, alors qu'à Monreale, nous l'avions trouvé à peu près nu. Les
parties
découvertes, c'est-à-dire les jambes, la face et
es et une lumière rétrécie. Ces lésions se retrouvent même dans les
parties
des cordons latéraux qui ne sont pas atteintes pa
ment de la moelle, on ne le retrouve pas dans le segment suivant.
Partie
supérieure du 5° segment dorsal. Ici on voit repa
omme plus haut, disséminées. La pie-mère reste légèrement épaissie.
Partie
inférieure du, 5e segment dorsal. - Le cordon de
don de Goll droit contient encore plus de fibres saines que dans la
partie
supérieure de ce segment. Le cordon de Goll gau
elle normale, même niveau. Fig. 5. - 48 segment dorsal. Fig. 6. -
Partie
supérieure du 5» segment dorsal. 110 LONG ET
olonne de Clarke y est presque complète- ment détruite. Fig. 7. -
Partie
inférieure du 5° segment dorsal. Fig. 8. - Mo
r le cordon de Goll droit, on trouve le maximum des lésions dans la
partie
supérieure du 5° seg- ment dorsal, d'où est par
rescence du faisceau pyramidal croisé gauche est au maximum dans la
partie
inférieure du 5° segment dorsal (fig. 7) et cel
érébraux, du cervelet, de la région cervicale de la moelle et de la
partie
du bulbe rachidien dans un cas d'ouverture de la
rachidien dans un cas d'ouverture de la colonne vertébrale dans sa
partie
inférieure. Le cerveau est bien déve- loppé, ma
bien déve- loppé, mais le cervelet est changé considérablement : sa
partie
moyenne est absente et les deux hémisphères se
nt nous le tableau représenté par la phot. n°2 (PI. XI). Toutes les
parties
du tronc cérébral se trouvant devant le cervelet
de liquide peu considérable. Le cervelet est privé de vermis. De la
partie
inférieure du cervelet part un prolongement en
allongée, aplatie d'arrière en avant, abaissée et saillante sur la
partie
cer- vicale de la moelle épinière; cette derniè
n- cher au 4° ventricule. Ainsi le 4e ventricule descendait dans la
partie
cervicale du canal vertébral et les membranes é
branes épaissies, le couvrant sur une longueur considérable dans sa
partie
inférieure, correspondent à la valvule de Tarin
au analogue à celui du cas I. Le cervelet est mal développé dans sa
partie
médiane ; à sa partie inférieure se joint la va
cas I. Le cervelet est mal développé dans sa partie médiane ; à sa
partie
inférieure se joint la valvule de Tarin,coupée de
de la région cervicale de la moelle épi- fière ; c'est seulement la
partie
antérieure de cette dernière qui passe directem
t ; dans nos cas il est tellement abaissé, qu'on l'aperçoit dans la
partie
cervicale du canal rachidien. Avec l'allongement
on observe : 2°, la dislocation de la moelle allongée. De ce fait la
partie
cervicale de la moelle est épaissie ; voilà pou
la moelle est épaissie ; voilà pourquoi le canal rachidien dans sa
partie
cervicale est trop élargi. 3° Dans la moelle norm
haut par le cervelet dans toute son étendue et dans nos deux cas la
partie
abaissée du 4° ventricule est couverte seulement
t; aussi le cervelet'estaminci dans la direction transversale. A la
partie
inférieure du cervelet on voit un prolongement
de forme conique, comprimé d'arrière en avant et correspondant à la
partie
inférieure de la moelle allongée, la- 120 SOLOV
fort épaississement de la moelle dans la région cervicale, dans sa
partie
postérieure. Pareil épaississement de la moelle
précédents, se produisait aux dépens delà dislocation en bas de la
partie
postérieure de la moelle allon- gée, laquelle p
entaire, mais nous ne trouvons même pas la simple dislocation de la
partie
postérieure de la moelle allongée, comme dans le
te aux yeux surtout en la comparant avec la moelle normale. Dans la
partie
cervicale (Phot. 5 Pl. XI) la moelle s'épaissit
lle allongée, mais une dislocation qui ne dépend pas seulement delà
partie
postérieure comme dans les cas précédents. Ce d
e la moelle allongée explique le grossissement de la moelle dans la
partie
cervicale, de sorte que dans la région cervical
ns la région cervicale on ne trouve pas la moelle épinière, mais la
partie
inférieure de la moelle allongée. Après cette c
rieure, n'a pas une direction droite en avant et se dirige dans les
parties
latérales, entourant en avant les cordons latérau
ection d'avant en arrière, mais en même temps s'élargissent dans la
partie
dorsale. Après, dans une coupe à la distance de
tres en arrière de la moelle épinière, on commence à rencontrer des
parties
abaissées de la moelle allongée, n'ayant pas au c
dans la direction d'avant en arrière et sont étendus de côté dans la
partie
postérieure ; leur subdivision en faisceaux de
ère s'aplatit d'avant en arrière. Les cordons postérieurs dans leur
partie
dorsale sont mal développés, pâles et étendus d
lo-spinal, grâce à la com- pression de la moelle, se trouve dans la
partie
postérieure de la moelle épinière et entoure le
e à la dure-mère ; ces fibres entourent dans la périphérie toute la
partie
antérieure et les côtés de la moelle allongée e
nt d'arriver au plancher du 4e ventricule se dirigent en dedans. La
partie
restante de la moelle allongée, à l'exception d
ure de la moelle épinière est modifiée seulement en ce sens, qu'une
partie
des fibres myéliniques des cordons postérieurs es
stérieurs passant dans la moelle allongée constituent un isthme. La
partie
médiane de cet isthme plus pâle, contient les fib
les sont conservées dans les cordons postérieurs, seulement dans la
partie
anté- rieure, elles sont séparées des fibres ho
r le bord antérieur, un peu en dehors de l'isthme, sont disposées les
parties
pâles et fusiformes. Phot. 10. La moelle allo
s fibres myéliniques bien colorées et seulement horizon- tales ; la
partie
qui se trouve au milieu, se dirige directement en
trouve au milieu, se dirige directement en arrière, mais une grande
partie
, placée sur les côtés, va vers le bord antérieur
devant se rencontrent des deux côtés des zones pâles et fusiformes (
partie
de la substance gélatineuse de Rolando) ; de ce
coupes précé- dentes la quantité de fibres myéliniques couvrant la
partie
antérieure de la moelle allongée est un peu ami
rd extrême de la face postérieure de la moelle épinière et passe en
partie
dans l'isthme, déplaçant lés fibres myéliniques
moelle al- longée. La substance gélatineuse de Rolando, couvrant la
partie
dorsale de la (null) LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈ
INA BIFIDA 123 moelle épinière dans la coupe précédente, a passé en
partie
dans l'isthme, déplaçant les cordons postérieur
sur les bords de la moelle allon- gée. Dans la moelle épinière les
parties
antérieures et latérales sont restées sans chan
ière et situés dans la moelle allongée. Toute la substance entre la
partie
antérieure des cordons postérieurs et entre les
après son apparition. Des deux côtés de la moelle allongée, dans la
partie
dorsale, et à la périphérie, sont placées des lam
fibres myé- liniques sont marquées plus fortement, surtout dans la
partie
dorsale, c'est-à- dire près du plancher du 4° v
elle allongée : c'est le nerf accessoire de Willis. Dans les autres
parties
de la moelle, il faut remarquer que les fibres
ume. Les fibres du faisceau fondamental du cordon antérieur dans sa
partie
postérieure se sont rapprochées et contiennent
us de la moelle épinière. L'examen microscopique démontre que cette
partie
suspendue dans sa région inférieure possède la st
pourquoi l'isthme d'abord est assez étroit ; là passe seulement la
partie
postérieure des cordons de Goll ; mais après il
large, et bientôt passent en lui aussi les cordons de Burdach et la
partie
antérieure des cordons postérieurs de la moelle é
res des cordons postérieurs ont une direction verticale et comme la
partie
dorsale de la moelle allongée est placée dans c
et chacune se développe indé- pendamment de l'autre ; du reste, la
partie
antérieure de la moelle épinière reste longtemp
cule se produit la dislocation de la moelle allongée, surtout de sa
partie
postérieure. Et sur toute la distance de la moe
inférieure de l'olive, la moelle se compose de deux moitiés : de la
partie
antérieure de la moelle épinière et de la parti
ux moitiés : de la partie antérieure de la moelle épinière et de la
partie
postérieure de la moelle allongée. LES DIFFORMI
euse de Rolando, faisceau cérébelleux etc., enfin comment change la
partie
antérieure de la moelle épinière, les faisceaux f
ndo. Sur les côtés de la ligne médiane, plus en avant, apparaît une
partie
triangulaire, correspondant à la couche des fib
s qui sont familières à ce sujet. Les épaules et les bras dans leur
partie
supérieure sont bien conformés; les NOUV. ICONO
nt fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les
parties
molles du bras se réflé- chissent sur l'avant-b
1/2 il droite et 17 centimètres à gauche, sur la face antérieure la
partie
libre de l'avant-bras ne mesure jus- qu'au poig
centimètres à droite et 4 centimètres à gauche. La ré- flexion des
parties
molles du bras sur l'avant-bras se fait donc à un
bras se trouve beaucoup plus réduit encore qu'en longueur ; dans sa
partie
libre il atteint à peine le volume de l'avant-bra
paraissent sensiblement normales comme forme et comme volume ; les
parties
molles qui les recouvrent, ainsi que l'ongle, s
ngé. Les doigts, d'ailleurs, se limitent à deux, et parais- sent en
partie
fusionnés. Ils n'ont que de faibles dimensions ;
plus étalés qu'à gauche, et parais- sant formés pour la plus grande
partie
par les muscles de l'éminence thénar. 130 HUET
râce aux rayons de Roentgen, on peut se rendre compte à travers les
parties
molles et sur le vivant de l'état du squelette
e squelette du thorax, la clavicule, l'omoplate dans ses di- verses
parties
, notamment l'acromion, sont bien conformés. L'hum
tions ; ainsi il est à peu près aussi épais, sinon plus épais, à sa
partie
supérieure qu'à sa partie inférieure; mais dans
près aussi épais, sinon plus épais, à sa partie supérieure qu'à sa
partie
inférieure; mais dans sa partie supérieure il pré
ais, à sa partie supérieure qu'à sa partie inférieure; mais dans sa
partie
supérieure il présente une tubérosité qui Corre
emblable ; elle est d'un volume plus petit, elle s'articule avec la
partie
interne de l'extré- mité humérale en se mettant
de l'extré- mité humérale en se mettant en contact avec elle par sa
partie
externe. Dans les divers mouvements du coude el
externe. Dans les divers mouvements du coude elle glisse sur cette
partie
interne de l'humé- rus, en conservant avec elle
t au scapboide. Les doigts sont au nombre de deux, mais ils sont en
partie
soudés et mon- 132 IIUET ET INFROIT trent une
dans s'en détache à angle droit une apophyse qui représenterait une
partie
de la première phalange de l'autre doigt, notable
hiée aussi. Elle s'articule à angle droit sur le côté externe de la
partie
libre de la première phalange, de sorte que son
alement paraît normal à son extrémité supérieure et dans une grande
partie
de sa dia- physe. A son extrémité inférieure il
limité par le mode d'articulation du coude que par la présence des
parties
molles que nous avons vu se réfléchir du bras sur
le triceps est moins développé que le biceps surtout dans ses deux
parties
inférieures, interne et externe. Les mouvements
és s'étend en sautoir de l'extrémité inférieure de l'hu- mérus à la
partie
supérieure et externe de l'os de l'avant-bras ; i
s- pondre soit au court supinateur, soit plutôt à l'anconé ou à une
partie
du vaste externe ; il se contracte surtout à l'
de l'avant- bras sur le bras. Un autre muscle étalé est situé à la
partie
interne du pli du coude dans le sens de la flex
lexion et il est étendu de l'extrémité inférieure de l'humérus à la
partie
supérieure de l'os de l'avant-bras ; il correspon
ndu longitudinalement de l'extré- mité inférieure de l'humérus à la
partie
externe du poignet ; il paraît bien correspondr
nuls. La dernière pha- lange, dans sa situation de repos, reste en
partie
fléchie sur la première pha- lange ; cette flex
la même qu'à droite. A l'avant-bras on reconnaît facilement à la
partie
externe le long supinateur, et on trouve à la p
acilement à la partie externe le long supinateur, et on trouve à la
partie
interne un muscle qui doit correspondre au grand
ouvent des dents ou encore du menton, qu'il vient appuyer contre la
partie
supérieure du sternum. Ainsi, dans le cas que n
l'os unique qui forme le squelette de l'avant-bras correspond à la
partie
interne de l'humérus, et, à cette hauteur, sa for
ieure qui présentent au contraire de grandes ressemblances avec les
parties
similaires d'un radius normal. De plus, les par
lances avec les parties similaires d'un radius normal. De plus, les
parties
de la main qui se sont développées, premier métac
s de l'avant- DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 139 bras à la
partie
interne du coude peut-on admettre qu'il y a eu co
à gauche première côte ru- dimentaire ; à droite ire et 2e côtes en
partie
unies. Rein en fer à cheval. Hypospadias. Vésic
llée, avec conformation anormale. - De l'autre côté le radius et la
partie
supérieure du cubitus sont unis l'un à l'autre
érus ; absence du trapèze et du pouce. - Absence du palais et de la
partie
antérieure de l'arcade zygomatique ; à droite le
849 (5). Vieillard, mort. - D'un seul côté, à droite, absence de la
partie
moyenne du cubitus ; il n'existe que son extrémit
NFTLEBEN, 1869 (6). Homme de 21 ans. - D'un seul côté, à gauche, la
partie
moyenne du cubitus manque ; la main est normale.
cubitus manque d'un seul côté, à gauche. Le radius est luxé snr la
partie
pos- térieure et externe de l'humérus ; le cond
métacarpien tandis que les autres doigts manquent en totalité ou en
partie
; plus rarement le pouce manque, tandis que tous
ien développés mais pa- raissent directement attachés au tronc, les
parties
intermédiaires, avant- bras et bras, ou jambe e
membre, bras ou cuisse, est plus ou moins bien développé, mais les
parties
périphériques, avant-bras et main, ou jambe et
e, hémimèles proprement dits, l'avant-bras manque en totalité ou en
partie
, la main peut manquer également ou bien n'être
main peut manquer également ou bien n'être représentée que par une
partie
des doigts ou par des vestiges plus ou moins (1
ariétés dont nous avons parlé précédemment. Dans la variété type la
partie
radiale de la main, premier métacarpien et pouce
urs d'entre eux manquent en môme temps que le cubitus et une grande
partie
du carpe et du métacarpe. Dans le troisième gro
une quinzaine d'années, un ectromélien qui, privé de la plus grande
partie
des quatre membres, était montré dans les foires
développement. On a toutefois opposé à cette opinion des cas où les
parties
existantes étaient assez complètement formées p
développement des bourgeons embryonnaires qui devaient produire les
parties
avortées,tandis quedes parties voisines,échap-
ryonnaires qui devaient produire les parties avortées,tandis quedes
parties
voisines,échap- pant il l'action de la compress
et Chabry, en détruisant expérimentalement par des traumatismes des
parties
de l'ovule au moment de sa segmentation ont pro
nexes de l'embryon ; elles peuvent être produites notamment par des
parties
de l'embryon serrées les unes contre les autres
r une influence du système nerveux central sur le développement des
parties
malformées. Mais, comme on l'a fait re- marquer
ssent nulles encore et où il ne se trouve pas en connexion avec les
parties
périphériques. Aussi lorsqu'à l'autopsie de sujet
ités congénitales on trouve des lésions du système nerveux dans les
parties
correspondant aux régions de la périphérie malfor
il existait d'un côté un pouce et un autre doigt ; celui-ci est en
partie
réuni par syndactylie avec le pouce, il a plutô
produire non seu- lement l'arrêt de développement du cubitus et des
parties
correspondan- tes de la main, mais encore une d
iation dans le développement donnant naissance à ces deux doigts en
partie
syndacti les et fusionnés. Quelle est la nature
s de ce groupe musculaire. Il y a aussi une légère anesthésie de la
partie
dorsale du pouce. L'engourdissement est particu
nt due à la contraction excessive de la totalité ou seulement d'une
partie
du mus- cle ; c'est, en un mot, une crampe. San
points différents ; soit dans le muscle lui : même, soit dans cette
partie
du système nerveux qui comprend la cellule multip
lioration dans notre cas de crampe des télégraphistes semhle due en
partie
au salicylate de soude, car les progrès étaient m
aucun stig- mate de lèpre, il n'a ni taches ni ulcérations sur les
parties
découvertes, mais l'individu que l'artiste a co
es de l'Athos (xne siècle) ; la guérison du lépreux, représenté les
parties
nues couvertes de taches rouges. Ici non plus,
es fresques ont été refaites plusieurs fois, et en dernier lieu, en
partie
, après la dévasta- tion française de 1812. Or
té automatique : le malade mange et dort bien ; il passe une grande
partie
de son temps à fumer : à d'autres moments, il s
par- ticulier. A l'ablation du cerveau, se révèle, à la base de la
partie
antérieure de l'hémisphère gauche, la lésion, s
.) Fin. 9. - Cellule nerveuse de l'écorce dont le protoplasma, en
partie
détruit, ren- ferme un noyau contenant un leuco
cularisée de la région fronto-temporale inférieure. Au niveau de la
partie
externe de la fosse cérébrale antérieure, une z
lée de l'histologie et de l'histogénie de la tumeur pour la seconde
partie
de ce mémoire, nous donnons ici seulement le ré
e malade bêtifie. Au premier abord, en effet, on peut croire, qu'en
partie
au moins, l'altitude et le ton sont simulés, ta
ntervention chirurgicale. ETUDE IIISTOLOGIQUE. Dans la première
partie
de ce travail, nous n'avons fait que signalerle
écise des lésions anatomiques, et nous comptons, dans cette seconde
partie
, exposer tout au long, les différentes constata
coupes ont porté au centre, tantôt à la périphérie, tantôt sur une
partie
intermédiaire. Le premier fait qui nous ait fra
longues, fusiformes, avec un noyau unique et volumineux occupant la
partie
médiane de la cellule ; ordonnées en tourbillon
t ; un degré de plus, les cellules avoisinantes se res- serrent, la
partie
centrale ne forme plus qu'une masse homogène, tan
extrémité ou à un bord de la cellule, celle-ci est divisée en deux
parties
, l'une claire et lisse, l'autre foncée et finem
que. - L'examen histologique des deux nerfs optiques a porté sur la
partie
avoisinant le chiasma. Quoique n'ayant pas été co
rsbordsdéformés, etquelque- fois le gonflement ne porte que sur une
partie
de la cellule. Il est d'au- tant plus accusé qu
EUR CÉRÉBRALE 199 Souvent aussi la cellule apparaît divisée en deux
parties
: d'un côté des grains chromatiques toujours pe
ésenter des fissures et être complètement dé- truite par une de ses
parties
, le noyau de son côté a complètement disparu. L
uit que, quand la substance chro- matique est dissoute, persiste la
partie
du réseau protoplasmique qui constituait la cha
lésions expérimentales) le bleu de méthylène commence à colorer la
partie
achromatique dans la cellule. Cette sensibilité
rer la partie achromatique dans la cellule. Cette sensibilité de la
partie
achromatique vis-à-vis du bleu de méthylène aug-
ous semble qu'en dehors de ces considérations très générales, et en
partie
hypothétiques, il n'est pas possible actuellement
oliférée pour combler les vides, peut achever le travail en majeure
partie
exécuté par les leucocytes et devenir macrophag
ration rouge très foncé, plus accusée à la face pos- térieure. A la
partie
antéro-externe, au niveau de l'apophyse styloide
froid par le malade : 1° A gauche. - Dans une région occupant la
partie
postérieure de la tête et limitée : en haut par
ille adhé- rent de l'embryon humain et des anthropopithèques, cette
partie
du pa- villon de l'oreille était d'ailleurs cel
erne de la jambe ; dos ; face antéro-externe de la cuisse ; thorax (
parties
supérieures de la face antérieure) ; paroi abdomi
ques) qui impression- nent les conducteurs centripètes des diverses
parties
du corps, les unes vont fixer leur énergie dans
iane. Cette vaso-paralysie cutanée congénitale résulte de ce qu'une
partie
des neurones qui président au tonus vaso-constr
et nous permet de constater de l'asymétrie faciale. Au niveau de la
partie
gauche du front nous relevons l'existence d'une
e d'une cicatrice longue de 5 centimètres environ, qui s'étend à la
partie
antérieure du cuir chevelu et qui est la marque
s ongles sont courts, fendillés, recou- verts par de la peau à leur
partie
supérieure. Du côté de la poitrine nous re- mar
inique de cette malade qui analysait d'une façon morbide une grande
partie
de ses états subjectifs, nous conduit à supposer
te : le canal central est dilaté et s'allonge eu ar- rière. Dans sa
partie
dorsale il est couvert d'une épaisse couche de fi
t les cordons postérieurs passent les racines postérieures. Dans la
partie
antérieure de la moelle épiniere existe le fais
istance de la moelle épinière, au milieu des membranes,se montre la
partie
abaissée de la moelle allongée, qui augmente co
s'agrandit, la moelle épinière diminue, jusqu'au moment où les deux
parties
s'unissent entre elles. PHOT. 22. Les cordons p
ns la par- tie antérieure il y en a cependant davantage que dans la
partie
postérieure. Les cordons postérieurs sont dimin
distance d'un 1/2 millimètre de sa surface postérieure est placée la
partie
abaissée de la moelle allongée ayant la forme d
moelle épinière à l'allongée commence à s'amoindrir, surtout dans sa
partie
au- LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL
e avec l'allongée, est devenu pâle. Ces fibres myéliniques, dans la
partie
postérieure et près de la périphérie, changent le
ticale. Des deux côtés des fibres horizontales myéliniques, dans la
partie
abaissée de la moelle allongée, est placée la sub
ont à présent parfaitement conservées. Elles sont disposées dans la
partie
postérieure de la moelle allongée et à sa périphé
indiquées, et on peut remarquer que la moelle a été formée de deux
parties
. La partie dorsale de la moelle allongée est re
et on peut remarquer que la moelle a été formée de deux parties. La
partie
dorsale de la moelle allongée est restée sans gra
des cordons antérieurs se dirigent en arrière et entre eux, dans sa
partie
dor- sale, apparaît l'entrecroisement sur la li
ux inférieurs, contenant des fibres myéliniques seulement dans leur
partie
médiane en forme de croissant ; ce sont surtout
mmençait à se montrer sur la moelle épi- nière, dans le le' cas, la
partie
abaissée du bulbe, à son bord supérieur existai
la région supérieure, mais dans celui-ci comme dans l'autre cas, la
partie
postérieure de la moelle allongée s'est abaissée
icroscopique tellement original, montrant les dif- formités dans la
partie
postérieure de la moelle épinière et de l'allongé
éparent de la moelle épinière par un petit faisceau ; après cela la
partie
antérieure des cordons postérieurs passe dans l
rès cela la partie antérieure des cordons postérieurs passe dans la
partie
abaissée de la moelle allongée; de cette manièr
gée; de cette manière se forme un isthme assez large entre les deux
parties
, isthme contenant des fibres horizontales. Aprè
DU SYSTÈME NERVEUX CEITRAL DANS LE SPINA BIFIDA 255 placent dans sa
partie
médiane. Avant que les cordons postérieurs de la
stérieurs de la moelle épinière ne se terminent dans les noyaux, la
partie
antérieure de la moelle reste sans modification
ns, mais au moment où apparaissent les fibres sensitives, alors les
parties
antérieures et postérieures de la moelle commen
e premier cas, ainsi que dans le second, outre la dislocation de la
partie
postérieure de la moelle allongée, abaissée sur l
ation en bas de tout le bulbe rachidien. de telle sorte que dans la
partie
dorsale de la colonne vertébrale nous trouvons dé
et de l'abaissement de la moelle allongée, le 4e ventricule dans sa
partie
inférieure est couvert seulement par les seules
8. A ce niveau commence seulement à se montrer dans les cou- pes la
partie
abaissée de la moelle allongée. On remarque les p
n côté que de l'autre. A la périphérie ils sont cou- verts dans les
parties
postérieures d'un mince faisceau, correspondant a
es cordons postérieurs de la moelle épinière d'un côté sonl dans la
partie
dorsale complètement pâles ; de l'autre côté auss
dans la coupe précédente était bien colorée, commence à pâlir dans la
partie
à laquelle appartient le sillon médian postérie
voisine les fibres myéliniques se sont conservées seulement dans la
partie
antérieure, en forme d'un angle assez petit. En
En échange la quantité des fibres myéliniques horizontales dans la
partie
abaissée de la moelle a nettement augmenté. Sous
e toute la formation sup- plémentaire, elles entourent en dehors la
partie
abaissée de la moelle allongée. Immédiatement à
ent de la substance gélatineuse de Rolando du côté auquel touche la
partie
abaissée de la moelle allongée. Phot. 31. - L
ure a un peu augmenté de volume.Comme dans la coupe précédente, une
partie
des fibres myéliniques horizontales passe sur u
aux cordons postérieurs. En dedans de ces fibres arciformes dans la
partie
postérieure se trouve la racine spinale du nerf t
éveloppée ; de l'autre côté, c'est-à-dire de celui auquel touche la
partie
abaissée de la moelle allongée, elle n'est presqu
mation supplémentaire, fusionnée déjà avec la moelle épinière. La
partie
antérieure de la moelle épinière qui est restée s
d'un côté, notamment du côté où se trouvent les pyramides et où la
partie
abaissée du bulbe est suspendue sur les cordons
passent dans la moelle allongée, par des libres horizontales ; une
partie
de celles-ci bientôt après leur apparition dispar
artie de celles-ci bientôt après leur apparition disparait et l'autre
partie
, en formant un faisceau horizontal, entoure du
ntal, entoure du côté de la périphérie la moelle allongée ; dans la
partie
postérieure les fibres myéliniques prennent de la
coupe est subitement changée. Jusqu'à présent nous avons vu que la
partie
abaissée de la moelle allongée, disposée d'un c
passé, se sont conservées et se sont placées dans la périphérie des
parties
postérieu- res de la moelle allongée, raréfiée,
énorme qui existait dans les coupes précédentes, et qui tenait à la
partie
abaissée de la moelle, est disposée d'un côté, et
u cérébelleux ; ce dernier est placé à l'extrémité antérieure de la
partie
suspendue de la moelle allongée. En son intérie
le allongée est suspendue au-dessus de la moelle épinière, entre la
partie
latérale de la moelle épinière et de l'allongée,
profonde s'est formée ; la racine postérieure y est placée. Dans la
partie
voisine de la moelle allongée, à son extrémité po
étaient visibles dans la coupe précédente et on peut distinguer les
parties
correspondant aux faisceaux de Goll et de Burda
2a9 contenant les racines postérieures, prouve encore ceci, que les
parties
anté- rieures de la moelle allongée se sont for
aussi plus haut. Ainsi sur la photographie 35 nous trouvons que la
partie
dorsale de la moelle n'a pas changé et une moit
postérieures y sont situées. , Phot. 36. Le canal central dans sa
partie
postérieure est élargi et trans- formé en quatr
, appartenant aux fibres de la voie pyramidale. La fissure dans les
parties
latérales a presque dis- paru. Les racines post
à l'oeil nu (Phot. 4) on 260 SOLOVTZOFF pouvait remarquer que la
partie
abaissée de la moelle allongée est pen- chée su
allongée (Phot. 32). Ensemble avec les cordons postérieurs dans la
partie
abaissée du bulbe rachidien nous trouvons aussi
arciformes ex- ternes ; du côté opposé nous rencontrons toutes ces
parties
(les cordons postérieurs, la substance gélatine
tés de la moelle et contenant les raci- nes postérieures, sépare la
partie
dorsale du bulbe rachidien de la partie antérie
nes postérieures, sépare la partie dorsale du bulbe rachidien de la
partie
antérieure, et les deux parties se développent
tie dorsale du bulbe rachidien de la partie antérieure, et les deux
parties
se développent indépendamment l'une de l'autre;
ts nous ne trouvons pas ici que sur la moelle épinière se trouve la
partie
abaissée de la moelle al- longée comme une form
longée comme une formation supplémentaire. Les changements dans la
partie
supérieure de la moelle épinière etde l'allongé
oppés. Le canal central est élargi. Les cordons postérieurs dans leur
partie
dor- sale sont mal développés, pâles et ne cont
ubstance gélatineuse de Rolando, qui est limitée en arrière par une
partie
des cordons postérieurs et par les racines post
rdons postérieurs et par les racines postérieures. PnoT. 38. - La
partie
antérieure de la moelle est restée sans changemen
dons postérieurs forment la lettre S dont le bord antérieur limite la
partie
dorsale des cordons latéraux. Ainsi, comme da
appelle la photographie 26 dans le cas IL Phot. 40.- Entre les deux
parties
de la moelle la fusion est achevée. Com- me dan
ux, les fissures, placées sur les côtés de la moelle et séparant la
partie
antérieure de la moelle de la partie postérieure,
és de la moelle et séparant la partie antérieure de la moelle de la
partie
postérieure, ont complètement dis- paru. Dans l
oelle de la partie postérieure, ont complètement dis- paru. Dans la
partie
postérieure de la moelle nous rencontrons les noy
ence principale de ce cas avec les précédents consiste en ce que la
partie
abaissée de la moelle allongée n'est pas suspendu
, ensuite les cordons postérieurs reculent (Phot. 38) et en- tre la
partie
antérieure et postérieure se forme un isthme (Pho
Phot. 39) ; mais dans ce dernier cas l'isthme est large. Ensuite la
partie
postérieure a augmenté de volume et surpasse la
. Ensuite la partie postérieure a augmenté de volume et surpasse la
partie
antérieure (Phot. 39) ; enfin les deux parties
volume et surpasse la partie antérieure (Phot. 39) ; enfin les deux
parties
se réunissent et les fissures,placées des deux cô
moelle épinière se soit placée la forma- tion supplémentaire de la
partie
abaissée du bulbe rachidien; ici nous ne trou-
idien; ici nous ne trou- vons pas non plus un tel abaissement de la
partie
postérieure de la moelle al- longée, que dans l
moelle épinière et l'allongée ont une structure normale dans leurs
parties
inférieures, mais dans les parties supé- rieure
une structure normale dans leurs parties inférieures, mais dans les
parties
supé- rieures, immédiatement au-dessus des oliv
e, s'est aussi abaissée considéra- blement, entraînant avec soi une
partie
du cervelet et se soudant avec les enveloppes q
elle rien ne périt, et il se produit seulement la dislocation de la
partie
postérieure de la moelle allongée dans la direc
la direction en arrière, ainsi dans l'hydropisie du 4" ventricule les
parties
de la moelle allongée, qui constituent le trian
côtés (Phot. 4). Grâce à l'a- baissement de la moelle allongée, la
partie
dorsale du canal vertébral dans sa partie supér
de la moelle allongée, la partie dorsale du canal vertébral dans sa
partie
supérieure doit s'élargir, et effectivement dans
la moelle allongée s'est abaissée 264 SOLOVTZOFF et de ce que sa
partie
dorsale est placée derrière la moelle épinière, l
etite quantité, puis de plus en plus, et ces fibres passent dans la
partie
postérieure de la moelle allongée, pla- cée der
pparitiondecesfibres sensitives aide aucommencement à la fusion des
parties
antérieures et postérieures du bulbe : le canal c
moelle normale. Grâce à l'abaisse- ment de la moelle allongée, ces
parties
, lesquelles dans la moelle nor- male sont couve
e s'abaisse et le cervelet reste à sa place et seulement une petite
partie
en forme de lame, ensemble avec la valvule de T
Quelquefois par l'hydropisie du 48 ventricule se déplace surtout la
partie
postérieure de la moelle allongée, laquelle est s
suspendue sur la moelle épinière. 4) Grâce à la dislocation de la
partie
postérieure de la moelle allongée, cette derniè
l'aplomb des membres inférieurs jurent avec la contrac- ture de la
partie
supérieure du corps. Et cependant cette figure
e de prendre la peine de reconstituer dans le pré- sent article une
partie
de cette étude. La Nouvelle Iconographie de la Sa
te iliaque du talon vaut 2 tê- tes 1/2 au lieu de 3 têtes 1/4, dont
partie
égale pour la cuisse et la jambe, NOUVELLE Icon
crocéphalie est due ici, non au développement exagéré de toutes les
parties
du crâne comme dans l'acromégalie, mais bien au
même race, mais cependant avec une juste proportion des différentes
parties
du corps, c'est l'homuncul us, c'est l'homme vu p
Un léger degré de lordose vertébrale amène un peu d'ensellure vers la
partie
supérieure de la région lombaire. 3° Du côté
rieur à l'épine iliaque du côté opposé. La colonne lombaire et la
partie
inférieure de la colonne dorsale offrent une co
par les tissus sous-jacents. Entre les deux doigts existe, dans la
partie
moyenne de leur longueur seulement, un sillon de
côté malade. La peau est de coloration normale, la consistance des
parties
molles, élasti- que ; au-dessous d'elles, on se
l'enfant s'est fait une petite coupure superficielle au niveau de la
partie
antéro- externe du pli de flexion de l'index :
e. En somme : augmentation de volume et de longueur portant sur les
parties
molles et sur le squelette de deux doigts accol
, localisée à la main gauche, est caractérisée par la sou- dure des
parties
molles de l'index du médius et par le volume et l
dans les tumeurs intra-crâniennes peuvent s'expliquer peut-être en
partie
par les influences d'ordre mécanique de la compre
aient été en- foncés par la chute et ne s'étaient pas relevés ; les
parties
contenues dans le crâne s'étaient habituées à l
e M. Saget fut présent à l'ouverture de son cadavre ; je trouvai la
partie
moyenne de son pariétal droit enfoncée, et la tab
mée par une coque épaisse d'un demi-millimètre environ, adhérant en
partie
au tissu cérébelleux qui l'entoure, et renfermant
ormation indiquant que la tumeur exerçait une compres- sion sur les
parties
voisines. Les ventricules du cerveau présentent u
ès visible au niveau du chiasma, mais qui disparaît rapidement à la
partie
antérieure des bande- lettes optiques ; aucune
; aucune autre altération ni dans les viscères, ni dans les autres
parties
du système nerveux. Examen histologique. - Tume
modifications suivantes : la frontale ascen- dante,intacte dans sa
partie
inférieure, est.dans sa moitié supérieure,comprim
dante, mais qui peut en être isolée, est évidemment un reste de la
partie
supé- rieure de la pariétale ascendante. La pre
aussi lisse et aplatie que celle qui forme le fond de la loge ; la
partie
postérieure du lobule paracentral est également c
s et de la forme d'une mandarine, présente un apla- tissement de sa
partie
externe, correspondant à l'adhérence de la dure-m
ait, en outre, un semis de taches jaunâtres irrégulières. Sur cette
partie
ainsi tachetée, on voyait un lacis vasculaire trè
eaucoup à celui de la pie-mère. De consistance générale ferme dans sa
partie
interne, elle donne une sensation plus élastiqu
s de Julio Romano, de P. Véronèse, etc.). La PI. XLVII reproduit la
partie
centrale d'une gravure hollandaise du début du
térieurs,les faisceaux de Goll sont le siège d'une sclérose. Dans les
parties
pos- térieures des cordons antéro-latéraux à la
clérose occupe dans les cordons postérieurs seulement les 2/3 de la
partie
postérieure des cordons de Goll, elle est large
otubérance les fibres du pédoncule cérébelleux moyen sont en grande
partie
disparues. Cette disparition des fibres est surto
mes étroites et mollasses. Les cellules du noyau dentelé étaient en
partie
ratatinées. La couche de substance blanche ento
de cellules. Les cel- lules persistantes étaient sans lésions. Les
parties
supérieures du cervelet étaientplus atrophiées
dans le nôtre les lésions de la substance blanche occupent plus les
parties
anté- rieures de la moelle que dans le cas de M
ons latéraux, celle des noyaux des nerfs glossopharyngiens et de la
partie
motrice du trijumeau, enfin une lésion des olives
e, ils ne peuvent plus suffisamment nourrir le système nerveux. Les
parties
résistantes ne réagissent pas sous l'influence de
e diminu- 386 SWITALSKI tion de nutrition, mais naturellement les
parties
débiles commencent à réa- gir. Dès le début les
admis, esta priori débile, mais elle peut atteindre aussi d'autres
parties
du système nerveux par suite des lésions des va
te lésion seule ne pouvait pas produire une atrophie d'une certaine
partie
du système nerveux. La partie atteinte doit avo
produire une atrophie d'une certaine partie du système nerveux. La
partie
atteinte doit avoir une certaine prédisposition,
-ataxie cérébelleuse avec celui d'un foetus, a pu constater que les
parties
les plus respectées étaient celles qui se déve-
au commencement une atrophie, ensuite une dégénérescence dans les
parties
moins résistantes du système nerveux. Ce processu
nerveux. Ce processus pathologique peut aussi se produire dans les
parties
non prédisposées, mais qui sont moins bien nour
scientifique et l'examen minutieux du tissu nerveux. Pour toute la
partie
historique nous renvoyons le lecteur aux magistra
oles plus ou moins abon- dantes qui parfois occupent la plus grande
partie
de la cellule. Dans ces con- ditions le protopl
estes. III Tel est l'état du neurone moteur périphérique et de la
partie
extra- médullaire du neurone sensitif. Regardon
aire du neurone sensitif. Regardons maintenant ce que deviennent la
partie
intra-médullaire du neurone sensitif et des neuro
scription du manteau blanc du névraxe. Nous le suivrons depuis la
partie
supérieure du système nerveux, qui correspond a
me nerveux, qui correspond aux tubercules quadrijumeaux, jusqu'à la
partie
inférieure de la moelle. Les méthodes employé
nsitif bien conservé situé latéralement. Des fi- bres partent de la
partie
latérale et viennent s'entrecroiser au niveau de
tent de la partie latérale et viennent s'entrecroiser au niveau de la
partie
médiane (Fig. 1). Nous ne constatons l'existenc
é- rantielle (Fig. 2). Nous remarquons le ruban de Reil médian à la
partie
supé- rieure duquel des fibres fines et grêles
. Ce faisceau est traversé de haut en bas et de dedans en dehors sa
partie
externe par des fibres plus grosses qui corresp
occupe normalement. Il n'existe pas. La troisième coupe porte à la
partie
inférieure de l'entrecroisement sensitif. Ici l
relativement, car il y a bien quelques fibres dégénérées surtout à la
partie
postéro-interne. Mais le plus grand nombre de f
décrivant ainsi un chemin sinueux pour venir s'en- trecroiser à la
partie
antérieure immédiatement en arrière du sillon ant
directe qui permet de suivre dans leur trajet les libres depuis la
partie
externe du faisceau de Burdach et de Goll jusqu
dyme qui occupe ordinairement le centre de la région est situé à la
partie
antérieure à très peu de distance du sillon ant
e l'absence et la dégénérescence d'un certain nombre de fibres à la
partie
postérieure, sur- tout postéro-interne. Sur une
lques rares fibres non myélinisées répandues çà et là, surtout à la
partie
postérieure et postéro-interne. Les cordons ant
ns postérieurs sont de volume égal et normalement développés ; à la
partie
pos- téro-externe surtout en arrière du point d
e d'une haute importance anatomiqne et physio- logique. Certaines
parties
propres au bulbe normalement font ici complètemen
complète de ces formations semble prouver l'étroite relation de ces
parties
bulbaires avec le cerveau ou le cervelet. Car e
lieu. Ces formations n'ont donc pas existé. Comme d'autre part les
parties
propres à la moelle et en dehors de la dépendan
iation, nous sommes conduits à supposer que, dans notre cas, si ces
parties
propres au bulbe n'existent pas c'est que leur
giques actuelles parlent en faveur d'une corrélation étroite de ces
parties
, principalement avec le cervelet. V Les prépa
ipalement avec le cervelet. V Les préparations qui intéressent la
partie
supérieure du système nerveux montrent qu'à ce
ieures du névraxe semblent de la sorte détruites sur la plus grande
partie
de leur surface par ces nombreuses et abondantes
res motrices centrales à long trajet. VII. - L'absence de certaines
parties
propres au bulbe comme les corps restiformes ou
YSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 401 tatation semblent placer ces
parties
bulbaires surtout sous la dépendance du cervele
: le pincement de la peau du sein lui-même reste sans effet. A la
partie
supérieure et un peu interne du sein on sent une
s d'hypertrophie simple, je dois rappeler ici qu'elle présente à la
partie
interne et supérieure du sein une petite tumeur
l'annulaire et le petit doigt. Douleur spontanée et par pression à la
partie
inférieure du bord interne du bras, à la partie
t par pression à la partie inférieure du bord interne du bras, à la
partie
interne de l'avant-bras, très in- tense au peti
ès sensibles, spécialement le premier ; l'éminence hypothénar et la
partie
antérieure du thénar perdirent leur relief, se
de son trajet et les désordres objectifs de la sensibilité sur une
partie
de sa zone cutanée, voilà des données plus que
poesthésie du côté gauche, bien que beaucoup plus considérable à la
partie
interne de la main. L'examen électrique me démo
que, consécutive à la paralysie du cubital, qui n'innerve que celte
partie
du muscle. Il resterait à expliquer pourquoi se
le patient raconte qu'il y a trente ans il reçut une balle dans la
partie
interne et inférieure du bras, qui lui pro- dui
e interne du coude droit. Infirmier. - Obs. XIV, par blessure de la
partie
interne de l'avant-bras droit, par instrument t
, contre un corps solide. Mécanicien. Obs. CXCVI, par blessure à la
partie
interne et inférieure dé l'avant-bras. EnB. - O
peau était dans ces régions d'un brun foncé, presque noir.Seules, les
parties
habituellement découvertes, face, pieds, mains
ules, les parties habituellement découvertes, face, pieds, mains et
partie
inférieure des avant- bras présentaient une col
ayant pas été réclamé, nous avons pu, deux jours après, enlever les
parties
du squelette les plus atteintes, c'est-à-dire les
rieure excavée et gonflée ; 2° Le bord interne est mousse dans sa
partie
supérieure. A ce niveau des couches d'os néofor
ement un peu plus court que la normale (20 cent. au lieu de 23), la
partie
supérieure est normale (4 cent. de tour), la part
u lieu de 23), la partie supérieure est normale (4 cent. de tour), la
partie
in- férieure très poreuse ; l'excavation de la
e ; l'excavation de la face antérieure est fortement exagérée. A sa
partie
moyenne, il forme en dehors une convexité marquée
tres de lon- gueur, 16 de circonférence au tiers inférieur, 20 à la
partie
moyenne. Le tibia seul, à son tiers supérieur a
'ostéophytes. La diaphyse, à peu près normale en haut, devient à sa
partie
moyenne irré- gulière, poreuse, creusée de trou
r les extenseurs ; quanta il la face postérieure, elle a disparu en
partie
derrière le péroné, soudé à elle. Le péroné est
espace interosseux. La face postérieure mesure 4 cen- timètres à sa
partie
moyenne, elle est très irrégulière et sans aucune
t soudé au tibia par fusion osseuse des surfaces articulaires, à sa
partie
moyenne, il est aplati d'avant en arrière. Sa fac
nous pouvons constater que les déformations osseuses sont en grande
partie
sous la dépendance des insertions musculaires. On
rquer un nombre considérable de travées transversales, surtout à la
partie
moyenne. Quant aux tibia el péroné droits, ils
les radiographies ci-jointes ont été prises sur des os dépouillés des
parties
molles. Il serait très important de savoir si,
us fins détails de structure de ces os pathologiques enveloppés des
parties
molles. Que conclure, sinon que l'ostéite déforma
ale. Les renflements cervical et lombaire ont été coupés et colorés,
partie
au Pal, partie au carmin. Les différentes coupe
ments cervical et lombaire ont été coupés et colorés,partie au Pal,
partie
au carmin. Les différentes coupes présentent sur
ils ont noté une raréfaction notable des fibres nerveuses, dans la
partie
moyenne des cordons postérieurs et dans la zone
t se montrer immédiatement ; l'influence des mouvements d'une autre
partie
du corps n'est pas moins évidente. Les faits que
st produit le plus souvent par une hypertrophie du squelette et des
parties
molles. Dans quelques cas plus rares la prolifé
ns nerveuses à la périphérie nous apprend, en effet, que toutes les
parties
de l'appareil chargé de recueillir les impres-
à la douleur est complètement abolie. L'anes- tbésie s'arrête à la
partie
supérieure de la cuisse, vers le tiers supérieur.
alité. Je n'ai noté aucun trouble de la sensibilité dans les autres
parties
du corps. Les réflexes rotuliens n'ont pu êtr
ullaires, on s'accordeà admettre que l'anesthésie comprend toute la
partie
inférieure des membres pelviens et est limitée en
r le tronc. J A la face l'hypertrophie est surtout marquée pour les
parties
molles, ' l pour la joue et pour la langue ; po
arties molles, ' l pour la joue et pour la langue ; pour les autres
parties
il n'y a pas de dif- ' férence appréciable. '
hémihypertrophie ne tienne à la fois au déve- loppement exagéré des
parties
molles et aux plus grandes dimensions des os. L
es molles et aux plus grandes dimensions des os. L'hypertrophie des
parties
molles est néanmoins beaucoup ptns accen- tuée
ou du corps se sont. atténuées très notablement, et pour certaines
parties
elles ont complète- ment disparu. Comment inter
ont complète- ment disparu. Comment interpréter ce phénomène ? Les
parties
qui étaient normales à la naissance ont-elles r
issance ont-elles rattrapé, par un développement plus ra- pide, les
parties
hypertrophiées, ou bien chez celles-ci le dévelop
phie est beaucoup plus appa- rente pour la main que pour les autres
parties
la face est d'ailleurs 516 ANDRÉ THOMAS indem
s dimensions, mais encore par sa difformité : l'hypertrophie de ses
parties
molles et du squelette est beaucoup plus sensible
lente à apparaître et l'amplitude de la courbe est moindre sur les
parties
hypertrophiées. Si pour notre première malade,
ins à une constitution un peu spéciale du tissu musculaire dans les
parties
hypertrophiées, de sorte que,suivant la re- mar
iennent pas seulement à un développement exagéré ou plus rapide des
parties
malades,mais encore à une modification dans la co
xe du thorax, de vertical,est devenu oblique en avant et en bas; la
partie
inférieure de la cage thoracique fait une forte s
e, sans qu'il y ait de ce côté rien à noter de particulier. z Les
parties
les plus intéressantes à examiner étaient le sque
otyloïde. De même, avec la colonne vertébrale, nous avons enlevé la
partie
postérieure des côtes et la partie postéro-infé
vertébrale, nous avons enlevé la partie postérieure des côtes et la
partie
postéro-inférieure du crâne, comprenant l'occipi-
tête et le col du fémur n'a pas du tout la direction normale de ces
parties
. Au lieu d'être dirigé de bas en haut et de deh
pointes aiguës en dent de scie ; il en résulte que le contour de la
partie
encroûtée de cartilage est très irrégulier. C
e mince et dé- chiquetée règne sur tout le bord anté- rieur de la
partie
antérieure du tibia et des deux malléoles. Sur
t de l'articulation, car la synoviale ne parait pas atteinte et des
parties
intra-articulaires, comme les fibro- cartilagin
use systématisée, épargnant le tissu compact, et frappant certaines
parties
bien spécifiées du système osseux, à savoir les
che LXXII sont celles d'un petit vase en électon (alliage de quatre
parties
d'or pour une d'argent) qui se trouve exposé da
que par la pression dont il est l'objet, il fait refluer le sang des
parties
profondes vers la veine ouverte (1). » Dans u
t l'on attribue aux différences de forme, de volume et de texture des
parties
qui composent ce système, les différences que l'o
rtébrés, la moelle épinière et l'encéphale. Ensuite, j'ai comparé ces
parties
les unes aux autres, et je les ai groupées d'aprè
des autres, dans les différentes classes d'animaux. Cette première
partie
de la tâche que j'avais entreprise une fois termi
it son pain pour acheter de la chandelle, afin de pouvoir étudier une
partie
des nuits dans un coin de la caserne, où on lui p
re condamnation qu'il mérite. C'est en 1829 que fut publié, en deux
parties
, le premier volume de VAnatomie comparée du systè
à la maison de traitement et aux malades de la ville, le soir et une
partie
de la nuit à l'étude. A peine venait-il de se met
épidémie du choléra-morbus qui a ravagé l'Inde, et qui règne dans une
partie
de l'Europe (Annales d'hygiène et de méd. lég. Pa
er œsophagien que l'on retrouve dans tous les invertébrés, et dont la
partie
supérieure, renflée latéralement, a été regardée
erfs, selon Cuvier, dépend plutôt de l'organisation différente de ces
parties
que de leur essence propre. » Cette proposition,
les bivalves pourvues, de pied. Il fournit beaucoup de filets à cette
partie
, et il communique par deux filets avec le ganglio
ions sont épars, et il n'en reste que deux qui sont alors situés à la
partie
supérieure de l'anneau, et fournissent des nerfs
s et quarante*et-un nerf (l). Malgré la forme spirée de l'animal, les
parties
centrales de son système nerveux ont une grande r
t autour de l'œsophage que sont placés les cinq ganglions : deux à la
partie
supérieure et latérale de l'anneau, ce sont les g
et latérale de l'anneau, ce sont les ganglions céphaliques; deux à sa
partie
inférieure et moyenne, ce sont les ganglions visc
se confondre, et qui en effet, sont réunis entre eux dans une grande
partie
de leur étendue, mais qui sont séparés l'un de l'
ure qui donne passage à l'artère aorte ; le cinquième est adossé à la
partie
inférieure de l'œsophage, il communique avec l'an
Les deux ganglions céphaliques réunis par une commissure , forment la
partie
supérieure ou sus-œsophagienne de l'anneau ; il p
pe. J'ai dit que la réunion des leux ganglions céphaliques forme la
partie
supérieure de l'anneau, j'ai essayé de déterminer
ure de l'anneau, j'ai essayé de déterminer le volume relatif de celte
partie
avec celui des nerfs qui en partent. Le double ga
ion à ces cordons est celui de.................... th. o,2ll A la
partie
inférieure de l'anneau œsophagien, se trouve le
'une manière assez intime, ces ganglions n'étant séparés que dans une
partie
de leur étendue,-par un vaisseau artériel. De ce
us l'œsophage. Ces deux ganglions donnent chacun plusieurs filets aux
parties
environnantes ; deux de ces filets, un de chaque
eur. Le premier est au-dessus de l'orifice œsophagien, le second à sa
partie
externe et supérieure, les deux autres au-dessous
ique est divisé transversalement par un sillon qui le partage en deux
parties
, l'une antérieure et l'autre postérieure. Cuvier
nerfs principaux qui en émanent sont au nombre de sept paires. A ces
parties
fondamentales du système nerveux du poulpe, il fa
lles des tubes rectilignes. J'ai examiné, avec grand soin, toutes les
parties
du système nerveux de l'escargot, et pour ne parl
, je me suis trouvé presque toujours d'accord avec M. Ehrenberg. La
partie
centrale de chaque ganglion de l'escargot, est fo
onctuée, globuleuse, sans arrangement appréciable. En dehors de cette
partie
, se trouvent des lignes d'abord éloignées les une
uelquefois une ligne qui en parcourt la longueur et la divise en deux
parties
égales; c'est la trace d'une division qui se comp
commune à chacune d'elle, c'est-à-dire depuis le ganglion, jusqu'à la
partie
à laquelle elle est destinée. Les nerfs de l'es
s des mollusques, avait découvert et injecté leurs nerfs. Dans quelle
partie
des nerfs l'injection avait-elle pu pénétrer? On
t tenté de croire que l'on est parvenu à séparer un nerf en plusieurs
parties
, on n'a pas fait autre chose que de séparer ce ne
m'ont paru se rapprocher, plus que les autres, de l'organisation des
parties
analogues appartenant à des animaux plus élevés.
ir compte de toutes les conditions organiques et fonctionnelles de la
partie
dont il s'agit d'établir la valeur. Ainsi, pour l
r situation, leur structure, voir quels nerfs en émanent et à quelles
parties
se rendent ces nerfs. Les ganglions du grand symp
ersalement sur le ganglion sus-œsophagien, sépare ce ganglion en deux
parties
: dont l'antérieure serait le cerveau, et la post
ou sus-œsophagien n'est aulre que le lobe optique des poissons, et la
partie
antérieure de ce ganglion est peut-être un rudime
de là cinquième paire, et de l'origine du nerf grand sympathique ; la
partie
inférieure du cercle œsophagien qui fournit les n
, puisse être désigné sous le nom de cerveau. Le cerveau n'est qu'une
partie
de l'encéphale des vertébrés ; il y a, en outre,
ganes constituais. Or, si chez les mollusques , il n'y a qu'une seule
partie
, à laquelle des quatre divisions de l'encéphale l
on avec l'encéphale des vertébrés tout entier, et non avec une de ses
parties
. Malgré l'exemple donné par Cuvier, je n'appeller
lgré l'exemple donné par Cuvier, je n'appellerai donc pas cervelet la
partie
postérieure du ganglion céphalique du poulpe, par
l. M. Carus a émis une idée théorique sur la valeur des différentes
parties
du système nerveux, considéré dans la série anima
sques; voici ce qu'il en dit (Hist, des anim, I. iv, chap. 2) : « Les
parties
de la tête sont la bouche, qui a deux dents, et a
r, représentent la moelle ra-chidienne des vertébrés. La forme de ces
parties
est, à la vérité, fort différente, pourtant on
servir de preuve. Ce système se compose d'une double chaîne, dont la
partie
antérieure représente l'anneau œsophagien des aut
elle, et forment la commissure moyenne qui joint entre elles les deux
parties
la^-térales, dont se composent les ganglions des
peu fondée. La moelle épinière et le cerveau ne sont pas les seules
parties
du système nerveux des vertébrés qui consistent e
l'animal, c'est-à-dire un ganglion et des nerfs qui vont à toutes les
parties
occupant l'anneau. 2° Annelides. J'ai soigneuse
'allongement de la moelle. Une ligne médiane sépare la moelle en deux
parties
et sur les côtés naissent les nerfs qui se porten
spiraux. La figure que je publie sur le même sujet montre toutes ces
parties
grossies à l'aide du microscope, parce qu'on ne l
t pas le seul qui s'observe dans les crustacés. En même temps que les
parties
latérales du système nerveux se rapprochent de la
anglions de l'abdomen répond à l'un des segmens dont se compose cette
partie
. Les nerfs fournis par la chaîne ganglionaire s
ne diffère pas sensiblement de celui de l'écrevisse, seulement les
parties
dont il se compose sont plus distinctes, en raiso
est des crustacés qui ont tout le système nerveux et même toutes les
parties
de leur corps, à l'exception des yeux, d'une tran
ns la tête et ainsi des autres mollusques, suivant que telle ou telle
partie
est chez eux plus ou moins développée. Il n'en es
des et des crustacés ; la masse nerveuse tend à s'agglomérer vers les
parties
antérieures. Ne donnons pas cependant à cette ten
quatre premiers espaces inter-ganglionaires, et séparés seulement en
partie
dans le reste de leur étendue. Les ganglions sont
ion sous-œsophagien , regardé par M. Strauss comme faisant réellement
partie
du cerveau, fournit des nerfs à la bouche et à pl
men, ils donnent des nerfs en très grand nombre qui vont à toutes les
parties
du corps. M. Strauss a vu deux ganglions impairs
r les différences que l'on observe portent seulement sur la somme des
parties
et non sur leur nature. On en aura la preuve dans
obuleuse et de filamens. Parmi ces filamens ceux qui sont situés à la
partie
interne se dirigent d'un mamelon à l'autre et f
ais pas l'affirmer. De ce que je viens d'exposer il résulte que les
parties
fondamentales du système nerveux du ver de terre
ques, lesquels ganglions sont réunis par des commissures. Sur quelles
parties
portent les principales différences? Sur les gang
gros vaisseaux, le tube digestif, sont au-dessus de la moelle dont la
partie
antérieure se bifurque pour laisser passer l'œsop
changée, n'ayant plus besoin de traverser la moelle pour arriver à la
partie
antérieure du corps, les deux côtés de cette moel
s a donné cette interprétation au sillon médian qui se trouve dans la
partie
moyenne du quatrième ventricule, et je suis plein
Chez la seiche, le nautile, lepoulpe, les nerfs auditifs naissent des
parties
latérales de l'anneau; si le quatrième ventricule
n prolongement rachidien, des ganglions et des nerfs; et les diverses
parties
paraissent avoir les mêmes attributions physiolog
ributions physiologiques que dans les êtres les mieux organisés. » En
partie
d'accord sur les choses avec M. Léon Dufour, je n
rachis. Jetez un coup-d'œil sur la figure (pl. lre) qui représente la
partie
supérieure du système nerveux du lombric de terre
ir à sa terminaison divergent dans tous les sens, pour s'y rendre des
parties
moyennes et inférieures de la larve ; ils forment
oque où elle se change en nymphe, l'axe nerveux descend le long de la
partie
inférieure de l'animal; à mesure que cette descen
us faibles et se font servir par elles. L'histoire des fourmis est en
partie
l'histoire de l'homme. Suivant de graves métaphys
t des étages souterrains; quelquefois il y a jusqu'à neuf étages à la
partie
supérieure et autant à la partie inférieure. Ces
fois il y a jusqu'à neuf étages à la partie supérieure et autant à la
partie
inférieure. Ces étages sont cloisonnés, voûtés, e
régularité parfaite, car l'architecte n'avait pas laissé, dans cette
partie
, un atome de trop. Le travail de cette fourmi éta
, il leur arrive quelquefois de ne pas faire coïncider exactement les
parties
d'un même objet : ces cas ne sont pas rares, mais
ésirent, en provoquer l'excrétion, en flattant avec leurs antennes la
partie
postérieure du corps des pucerons. On a cru que l
s petits et vont chercher la nourriture dont elles leur apportent une
partie
. Les fourmis amazones ne savent ni construire, ni
faisaient sortir de leur bouche une liqueur qu'elles versaient sur la
partie
blessée. (1) Op. cit. p. a4o. (2) Nouvelles r
ne laissent pas de faire le cercle autour (Telle et de lui brosser la
partie
postérieure du ventre qui reste à découvert. » Hu
ur une seule ruche, la reine doit quitter le domicile commun arec une
partie
des ouvrières. Alors, il faut de nouvelles'reines
yales, mais les ouvrières font bonne garde et la repoussent. La reine
partie
, s'il ne faut pas un nouvel essaim, la mouche roy
très marquée qui gagna insensiblement les ouvrières, dans toutes les
parties
de leur domicile. Quelques minutes après, elles s
xaminant attentivement, nous remarquâmes une petite ouverture dans la
partie
du bout de la coque que cette reine avait coupée
r engendrer; car les ouvrières sont aussi des femelles, mais dont les
parties
sexuelles sont atrophiées. Dans aucun cas, les ou
mme, il l'appelle raison, ce Ce qui man- (i) Traité des animaux, a"
partie
: Des facultés des animaux. que surtout aux bêl
fet, sans jamais les avoir apprises; l'homme au contraire apprend une
partie
de ce qu'il doit savoir ou faire par la suite, il
antennal; elles ont une espèce de bétail qui leur fournit une grande
partie
de la nourriture dont elles ont besoin. On trouve
en considérant le système nerveux non dans sa totalité, mais dans ses
parties
, que le rapport cherché existe, et qu'il est étab
stèmes nerveux des animaux à vertèbres} etc., in-8", Paris, i8a5, ire
partie
, p. 140. (13) Saggio sopra la vera strutlura de
t tout-à-fait à découvert; chez les raies et les squales, ils sont en
partie
cachés par un prolongement du cervelet. A la simp
ct est partout le même; mais à l'état frais, on peut suivre, sur leur
partie
interne et supérieure une des racines du nerf o
ie interne et supérieure une des racines du nerf optique, et à leur
partie
interne et inférieure, une seconde racine du même
fibreuse assez mince. La lame optique d'un côté est adhérente par sa
partie
interne , à la lame semblable du côté opposé, et
uvre, en avant, une commissure blanche qui réunit l'une à l'autre, la
partie
antérieure des deux lobes optiques; en arrière de
ase, laissant entre eux un écartement qui rappelle l'infundibulum, ou
partie
basse du troisième ventricule des mammifères; en
hez les poissons osseux ; ils sont en communication directe, par leur
partie
postérieure, avec le cervelet, et il y a là un vé
et, et il y a là un véritable processus cerebelli ad testes; par leur
partie
antérieure, ils se continuent en un longue lame p
érieure d'une cavité ventriculaire, et recouvrant en totalité ou en
partie
, d'autres tubercules. 6° Gang lions du nerf tri
uième paire; cependant comme on ne les rencontre jamais sans voir une
partie
du nerf de la cinquième paire s'y implanter, on n
t presque toujours uni à celui du côté gauche, sans qu'il existe à la
partie
médiane aucune trace de division. Ce ganglion a é
le cérébelleux ou quatrième ventricule, sont d'autres ganglions de la
partie
extérieure desquels naissent les nerfs pneumogast
en arrière du croisement des nerfs optiques; ils sont implantés à la
partie
inférieure des prolongemens antérieurs de la moel
e sujet : ce On n'a pas voulu dépouiller les poissons d'une seule des
parties
de l'encéphale des mammifères ; on leur a trouvé
lle ils sont destinés. 2e Paire, nerfs optiques. Ils naissent de la
partie
inférieure et antérieure des ganglions optiques,
re des ganglions optiques, £ar deux racines dont l'une s'étale sur la
partie
interne et supérieure du ganglion correspondant,
ie interne et supérieure du ganglion correspondant, et l'autre sur la
partie
inférieure et externe du même-ganglion. Ces nerfs
ortent des prolongemens de la moelle dans lesquels on peut suivre une
partie
de leurs fibres; ainsi ces nerfs appartiennent di
moelle elle-même. On suil cette dernière racine de chaque côté de la
partie
inférieure de la moelle, dans une étendue variabl
liques de l'homme, a aussi deux origines; mais ces origines y sont en
partie
cachées par les fibres du pont de varole. 6e Pa
re, on voit de chaque côté un petit filet nerveux qui s'implante à la
partie
inférieure de la moelle, et qui'va se rendre au m
gine, un ganglion plus ou moins considérable. Le ganglion, situé à la
partie
supérieure de la moelle, en ar rière du cervele
nner si beaucoup d'a-natomistes les ont niés. Ils sont implantés à la
partie
inférieure de la moelle, près du sillon médian. M
successives, de larges plaques huileuses. La substance de plusieurs
parties
encéphaliques se comporte d'une manière toute sem
elle, soit enfin que l'on ne reconnaisse de l'une à l'autre ces deux
parties
aucun rapport générateur, il n'en est pas moins f
r un long cordon médullaire qui s'étend depuis l'encéphale jusqu'à la
partie
extrême du rachis. Dans la plus grande partie de
l'encéphale jusqu'à la partie extrême du rachis. Dans la plus grande
partie
de son étendue, elle ne diminue pas sensiblement;
au quatrième ventricule. Par cette préparation qui n'a déchiré aucune
partie
nerveuse, car entre les bords du sillon dont il s
t à remarquer, car on aurait tort de croire qu'ils circonscrivent des
parties
bien distinctes les unes des autres, chaque faisc
chaque faisceau étant réuni aux faisceaux voisins dans la plus grande
partie
de son épaisseur, excepté toutefois les faisceaux
lir paraîtrait fondée ; mais si l'on étudie la structure comparée des
parties
dont il s'agit, on y découvre une différence comp
CTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES POISSONS. Plusieurs des
parties
de l'encéphale ou de la moelle épinière des poiss
onnées dans le pa ragraphe précédent, parce qu'on ne les voit qu'en
partie
sans pénétrer dans la substance de ces organes, s
ide visqueux. Il dit ces globules de dimensions variables suivant les
parties
d'où ils proviennent : très grands au cerveau, il
eins. ce Or, continuent les frères Wenzel, comme toute la trame des
parties
organisées est celluleuse, les corpuscules nerveu
les mammifères, les oiseaux, les reptiles et les poissons. Toutes les
parties
du système nerveux sont, d'après M. Milne Edwards
dits par les observations de M. Ehrenberg, observations dont j'ai, en
partie
; fait connaître la substance ; et celle d'un autr
n, on s'est privé de la connaissance des rapports que les différentes
parties
de l'encéphale ont entre elles. Pourtant cette ex
car, je le dis ici par avance, la moelle allongée de l'encéphale, les
parties
dans lesquelles on a trouvé des fibres variqueuse
chez les poissons, au contraire, la moelle épinière est seulement une
partie
du système cérébro-spinal, elle ne constitue pas
pas un organe indépendant, mais elle concourt à former un organe. La
partie
que je viens de décrire n'a, il est vrai, que des
exemple, fait parfaitement juger de la différence qu'il y a entre ces
parties
. Dans les ganglions de la sangsue, (i) Op, cit.
n de la moelle épinière des poissons, tendrait à faire regarder cette
partie
comme indiquant un état transitoire entre les aut
deux moitiés, l'une spinale, l'autre fulcrale, et que l'on place ces
parties
ainsi séparées, entre les lames du compresseur, o
rieure que j'examinais d'abord et ensuite j'en faisais autant pour la
partie
inférieure. Avec un peu d'habitude, ces petites o
ent ou se perdent dans la substance granulée dont ces organes sont en
partie
formés. Il en est de même de la plus grande parti
es organes sont en partie formés. Il en est de même de la plus grande
partie
des fibres du corps restiforme qui entrent dans l
cervelet ; cependant, quelques-unes de ces dernières dirigées vers la
partie
médiane de l'organe, s'unissent aux fibres corres
de couronne radiante, ourayonnée. L'isolement des fibres s'opère à la
partie
externe et supérieure de la lame optique. Les fib
nterne , et y forment deux faisceaux qui se joignent tout-à-fait à la
partie
antérieure du lobe optique, et de la jonction des
faisceau qui émane de la moelle, de façon que le ganglion placé à la
partie
inférieure de la lame optique est un ganglion de
par une sorte de raphé. Si l'on enlève ce raphé en même temps que la
partie
supérieure des lames optiques auxquelles il sert
t le nerf optique ; 4° D'une commissure. Cherchons maintenant les
parties
correspondantes à celles-ci dans les grands anima
e l'encéphale des poissons sont pourvus de fibres analogues. Toute la
partie
de la moelle sur laquelle sont implantés les tube
te, quand on a enlevé les lames optiques. Cette dernière, simple à sa
partie
moyenne, est double de chaque côté, c'est-à-dire
animaux articulés ? Ce ne peut être que les fibres transverses de la
partie
céphalique de la moelle ; mais ces fibres vont-el
ole, et leur trouvant une parfaite analogie, car ce sont en effet des
parties
d'un même tout, il combat l'opinion des anatomist
le diamètre des fibres nerveuses varie beaucoup, non-seulement d'une
partie
à l'autre, mais aussi dans la même partie. J'ai c
aucoup, non-seulement d'une partie à l'autre, mais aussi dans la même
partie
. J'ai constaté ce fait et j'en ai cherché la caus
intérieur des ganglions encéphaliques et les fibres transverses de la
partie
supérieure de la moelle, sont toujours très pe-
lanche qu'elles contiennent, et se vident, soit complètement, soit en
partie
. Tous les points qu'a laissés la matière blanche
t dans certains cas, la turgescence de l'encéphale ou des différentes
parties
de cet organe, m'avait toujours paru singulière*
té que l'on a éprouvée pour déterminer la valeur de quelques-unes des
parties
de ce système. Il n'en est pas ainsi des reptiles
unité que celui des poissons, et l'on peut facilement en comparer les
parties
, aux parties de l'encéphale des oiseaux et des ma
ui des poissons, et l'on peut facilement en comparer les parties, aux
parties
de l'encéphale des oiseaux et des mammifères. H
ne manière certaine, quels liens unissent entre elles les différentes
parties
dont les formes extérieures frappent nosveux. L
la moelle épinière est conformée d'une manière très analogue, et les
parties
qui composent l'encéphale sont en même nombre che
; diminution du système périphérique. Dans le système central, si les
parties
se rapprochent, elles ne se confondent pas, et, c
n'en fournit-elle aucun d'une manière directe, 1. Encéphale. Les
parties
principales dont se compose l'encéphale des repti
e des reptiles sont le cerveau, les lobes optiques, le cervelet ; les
parties
secondaires sont les ventricules, le corps calleu
sseaux sanguins. Les parois en sont minces, excepté cependant vers la
partie
externe et inférieure, où elles présentent un pet
vélé son existence et que si on ne l'aperçoit pas à l'œil nu et comme
partie
distincte de l'encéphale des repiiles, on peut au
en arrière de l'endroit où se croisent les nerfs optiques. C'est des
parties
latérales du noyau dont il s'agit, que naît la co
tue d'Europe , est un indice de la couche optique. Quant aux autres
parties
secondaires de l'encéphale des reptiles, telles q
offre une particularité importante à noter. C'est qu'elle s'étale en
partie
sur la petite saillie de substance blanche que Bo
mmune, depuis le moment de sa naissance jusqu'à son état parfait, Ire
partie
, Milan i836. moelle allongée, tout près du cerv
e très courte comme chez la baudroie, ou rester large dans une grande
partie
de son étendue, comme chez la grenouille. On obvi
artie de son étendue, comme chez la grenouille. On obvie, au moins en
partie
, aux chances d'erreur que je viens de signaler, e
ation organique tranchée, je dois dire dans quel lieu j'ai séparé ces
parties
, c'est immédiatement au-dessous de la naissance d
eu renflée à l'endroit où naissent les nerfs qui vont se rendre à ces
parties
. Quatre sillons la parcourent dans toute sa lon
fulcral, de même que chez les poissons, n'est interrompu dans aucune
partie
de son étendue par des fibres passant de l'un à l
e pénètre dans ce sillon et permet d'arriver, sans effort, jusqu'à la
partie
intérieure de la moelle qui est creusée par un ca
-dessus ou au-dessous de ce point. La circonscription des différentes
parties
de la moelle épinière en ganglions distincts, n'e
poissons. 5. La moelle allongée ne se présente pas encore comme une
partie
distincte de l'encéphale; elle n'a pas de pont de
poissons , pour former deux racines à chacun des nerfs optiques. Une
partie
des fibres de la lame optique croisant les racine
ux très fins, enlever d'un seul coup, les deux lobes optiques, à leur
partie
postérieure, car réunis en arrière par le corps c
séparés en avant, et laissent voir, à découvert, Vinfùndibulum. La
partie
la plus interne des prolongemens fulcraux se rend
evoir cet entrecroisement, il faut enlever le chiasma sans aucune des
parties
environnantes , le placer entre deux lames de ver
elle épinière et l'encéphale ; il ne l'est pas même dans l'une de ces
parties
considérée isolément ; cependant il ne faudrait p
ongée et de la moelle épînière des reptiles; qu'il faut soumettre ces
parties
à une faible pression et se servir d'abord d'un g
peu considérable Ce n'est qu'après avoir bien observé l'ensemble des
parties
et leurs relations mutuelles, que l'on pourra pas
e optique, du cerveau et des commissures qui unissent entre elles les
parties
de l'encéphale. IU. Dans un même nerf, les fibr
en rencontre ayant dans la bouche un animal qui n'a pu y entrer qu'en
partie
. Engourdis par l'acte de la digestion, embarras
ons à celui des reptiles, c'est la multiplicité et le balancement des
parties
qui composent le premier, et la tendance à l'unit
rrière duquel ils se trouvent placés. Le cerveau est de beaucoup la
partie
la plus considérable de l'encéphale des reptiles
s'ar-rêtant au niveau des tubercules optiques ou s'étendant jusqu'aux
parties
latérales de ces tubercules. Les reptiles les mie
es, la seule véritable passion, et cette passion aurait pour siège la
partie
de l'encéphale qui est le moins développée ! Cela
dans l'espèce humaine, et il donnait pour siégé à cette faculté, une
partie
du cerveau placée au-dessus de ce qu'il appelait
osmopolites. La ruse et la cruauté ont été placées par Gall sur les
parties
latérales du cerveau : si nous comparons le cerve
ensent les phrénologistes, d'une différence dans le développement des
parties
latérales des lobes cérébraux, ou bien du volume
latérales des lobes cérébraux, ou bien du volume variable de quelque
partie
intérieure? Si l'on incise la lame cérébrale, on
es facultés propres aux reptiles qui ont le cerveau développé sur les
parties
latérales. 5. Le développement latéral du cerve
nce des corps striés ; il a découvert dans le cerveau des oiseaux une
partie
restée inconnue à ses prédécesseurs, et il donne
x une partie restée inconnue à ses prédécesseurs, et il donne à cette
partie
le nom de corps strié. C'est un petit tubercule g
corps striés, (i) Op. cit., t. 2 , p. 162. formant la plus grande
partie
du lobe cérébral, une glande pinéale et une gland
nné une description plus complète que ses prédécesseurs de toutes les
parties
composant l'encéphale des oiseaux, paraît regarde
tubercule testes ou le tubercule nates. Ce n'est pas une addition de
parties
nouvelles, plutôt qu'une division de la même part
une addition de parties nouvelles, plutôt qu'une division de la même
partie
. Ceux qui soutiennent l'une ou l'autre opinion n'
e suivant : c'est que les fibres de la racine du nerf optique vont en
partie
s'épanouir à la surface postérieure delà couche o
pport. 1. Encéphale. L'encéphale des oiseaux se compose des mêmes
parties
que celui des reptiles, à l'exception toutefois d
pyriformes, parfaitement symétriques, réunis l'un à l'autre par leur
partie
inférieure et interne, mais libres dans tout le r
eur face supérieure et entièrement dépourvus de circonvolutions. A la
partie
inférieure de ces lobes, on voit chez presque tou
i indique plutôt qu'elle ne constitue la scissure de Sylvius, et à la
partie
supérieure et antérieure du cerveau, une dépressi
sation du lobe cérébral : ce sillon loge des vaisseaux sanguins. La
partie
interne de chaque lobe cérébral est plane : c'est
n reptile ni dans aucun poisson ; leur face inférieure , qui forme en
partie
la base du cerveau, un peu concave et entièrement
oncave et entièrement lisse , repose sur le crâne dans la plus grande
partie
de son étendue ; le reste de cette face est placé
ur les côtés de chaque lobe; il s'étend d'avant en arrière, depuis la
partie
la plus saillante du lobe, jusque tout près de la
La substance cérébrale, vue à l'intérieur, ne se sépare pas en deux
parties
distinctes par leur couleur et parfaitement isolé
rgane dans lequel se terminent les fibres de la moelle épinière. A sa
partie
antérieure, terminée en pointe, le lobe cérébral
optique. C'est un petit tubercule grisâtre, pair, comme implanté à la
partie
supérieure et interne des cuisses du cerveau, tra
l'encéphale, sont deux corps globuleux, grisâtres dans la plus grande
partie
de leur étendue, comme implantés sur la partie ex
es dans la plus grande partie de leur étendue, comme implantés sur la
partie
externe et supérieure de la moelle épinière. Ces
volume du cervelet. De même que les squales, les oiseaux n'ont que la
partie
centrale ou ver du cervelet, et des appendices la
res, le quatrième ventricule, dont le plancher montre, en relief, une
partie
des faisceaux fulcraux, l'aqueduc de Sylvius et l
ient pas moins très fondées. L'encéphale des oiseaux est composé de
parties
assez distinctes les unes des autres pour qu'on p
es pour qu'on puisse les peser séparément. Quel est le rapport de ces
parties
entre elles? (i) Voy. p. 2 34. (a)Voy. i53. P
toujours la moelle au-dessous du trou occipital, il est arrivé qu'une
partie
de cet organe a été écrasée et perdue, en"coupant
Je compare à ce volume, réduit en millimètres cubes, le volume d'une
partie
de la moelle et des nerfs égale en longueur à un
est pas de même de la moelle épinière que l'on isole complètement des
parties
environnantes et dont il est facile de déterminer
se, le pigeon et la poule; ceux dont les lobes en question restent en
partie
couverts sont le pluvier, le vanneau, le coucou,
l'endroit que je viens d'indiquer, et qui laisse voir à découvert la
partie
supérieure de la portion correspondante des faisc
uche optique : des commissures réunissent entre elles ces différentes
parties
. (i) Gall explique comment il s'y est pris pour
lement. 3. Le cerveau recouvre les lobes optiques en totalité ou en
partie
; il dépasse ces lobes, en arrière et latéralement
nt au cervelet, le cervelet produit des fibres transverses dont une
partie
seulement s'entrecroise avec les fibres longitudi
roise avec les fibres longitudinales de la moelle, tandis que l'autre
partie
reste en relief au dehors de la moelle : c'est le
r du quatrième ventricule, j'ai noté 0,01083. L'une et l'autre de ces
parties
sont des prolongemens de la moelle épinière qui,
s quel endroit se trouvait le cadavre du rat, il s'agissait d'enlever
partie
par partie le lambris de la chambre, lorsque M. d
oit se trouvait le cadavre du rat, il s'agissait d'enlever partie par
partie
le lambris de la chambre, lorsque M. d'Arcet eut
entoure le cou avec un anneau qui, sans gêner les mouvemens de cette
partie
, s'oppose néanmoins à ce que l'œsophage se dilate
i se trouvent le mieux partagés, l'encéphale est en poids la douzième
partie
du corps. Les oiseaux dont l'encéphale est compar
s. Comparons maintenant les oiseaux les uns aux autres. Dans quelle
partie
du tableau trouverons-nous les oiseaux les plus i
u cerveau du même oiseau, est comme 1 est à 466, tandis que les mêmes
parties
sont, chez la pie, dans le rapport de 1 à 1417. J
e la forme de la moelle épinière, ni de celle des lobes optiques, ces
parties
n'ayant pas une relation directe avec la producti
seaux : reste donc le cerveau considéré dans son ensemble et dans ses
parties
. Le tableau indiquant le rapport (2) qui existe
jusqu'à l'éléphant, etj'ai trouvé partout que, dans les femelles, la
partie
cérébrale qui correspond à l'organe de l'amour de
et plus bombé dans la région correspondante », puis il indique, à la
partie
supérieure du crâne de la dinde et de la poule, e
à l'endroit indiqué par Gall, n'est pas d'ailleurs en rapport avec la
partie
du cerveau que Gall et ses partisans regardent co
est en avant de la cavité crânienne et correspond par conséquent à la
partie
antérieure du cerveau, et non pas à sa partie pos
ond par conséquent à la partie antérieure du cerveau, et non pas à sa
partie
postérieure, comme il faudrait que cela fût pour
la invoquer une différence de développement relatif de telle ou telle
partie
du cerveau, parce qu'en réalité, on ne constate p
trouvé de différence entre le développement relatif de telle ou telle
partie
du cerveau chez les oiseaux, suivant qu'ils étaie
intelligence après le perroquet, comme la pie, le corbeau, ont, à la
partie
antérieure, le cerveau (i) V. page 489. prolo
ons intellectuelles. On voit que je veux parler du cerveau. Certaines
parties
du cerveau ont élé bien décrites, ce sont celles
e supériorité incontestable sur tout le reste du système nerveux, ses
parties
accessoires, telles que les couches optiques et l
ivant l'encéphale du chevreau, parle d'une circonvolution placée à la
partie
interne du corps calleux, et qui entoure cet orga
stérieure de la circonvolution qui entoure le corps calleux, dont une
partie
avait été décrite par Malacarne, et admise par le
eu d'importance à les examiner, que les auteurs qui ont découvert une
partie
de l'une d'elles, ne poursuivent pas leurs recher
qui attachent une si grande importance à la saillie de telle ou telle
partie
du crâne, ont négligé l'étude des circonvolutions
oir été imaginées tout exprès pour offrir un développement énorme des
parties
situées en arrière de la scissure de Sylvius, par
ment énorme des parties situées en arrière de la scissure de Sylvius,
parties
auxquelles Gall a donné pour fonctions, la destru
aliser les facultés, comment distinguer chaque circonvolution, chaque
partie
d'une circonvolution? On sent tout d'abord le vid
'a pour base que la conformation d'un seul organe et même d'une seule
partie
d'un organe, n'est pas assurément celui qu'il fau
e a des dépressions très faibles; le porc-épic en a trois, l'une à la
partie
latérale du cerveau, c'est l'indice de la scissur
, c'est l'indice de la scissure de Sylvius; les deux autres sont à la
partie
supérieure de chaque lobe cérébral : sur un cerve
description exacte. Mais les contours dont il s'agit ne sont que des
parties
secondaires, el en quelque sorte des accidens de
fin, au-dessus de toutes, une quatrième circonvolution , pourvue à sa
partie
antérieure A, de quelques sinuosités ou ondulatio
nom. Suit une sixième et dernière circonvolution I, dont on voit une
partie
seulement, celle qui forme le lobe d'hippocampe,
e complément de la quatrième circonvolution, dont la fig. 3 montre la
partie
interne et postérieure P, et que la figure 2 fait
lations, et, à sa surface, des dépressions qui la caractérisent. A la
partie
antérieure surtout, à seize millimètres environ d
convolution sus-orbitaire (fig. 2) n'est pas toujours distincte de la
partie
antérieure A A A A des circonvolutions externes.
, A), en arrière du sillon crucial, sillon que j'ai déjà signalé à la
partie
antérieure et supérieure du cerveau de la famille
ette scissure, elle se rétrécit beaucoup en se recourbant et reste en
partie
au-dessous de la partie antérieure de la seconde
étrécit beaucoup en se recourbant et reste en partie au-dessous de la
partie
antérieure de la seconde circonvolution. La même
rs. La seconde circonvolution est très remarquable; le volume de sa
partie
antérieure est en raison inverse de celui de la p
tion influe beaucoup sur l'ensemble du cerveau. Comme elle grossit la
partie
antérieure du cerveau, elle donne de l'obliquité
ble. Le cerveau ainsi porté en arrière à cause du développement de sa
partie
antérieure, recouvre le cervelet dans une plus gr
surtout en arrière. Il y a sur le cerveau de l'ours, et surtout à sa
partie
antérieure, des ondulations dont l'aspect rappell
rne s'élève jusqu'à la face supérieure du cerveau dans la plus grande
partie
de son étendue, il y a trois circonvolutions exte
vont sans interruption et même sans ondulations bien marquées, de la
partie
antérieure à la partie postérieure du cerveau. El
et même sans ondulations bien marquées, de la partie antérieure à la
partie
postérieure du cerveau. Elles ont, surtout chez l
mposant ce groupe, on ne rencontre le sillon crucial si constant à la
partie
antérieure et supérieure du cerveau, chez les ren
tions. Deux circonvolutions dirigées d'avant en arrière existent à la
partie
interne du cerveau de ces animaux, la première, c
ectement en arrière, en augmentant de largeur et en présentant à leur
partie
interne des ondulations très marquées ; puis entr
sous ce rapport, que par des modifications très faciles à saisir. La
partie
antérieure de la double circonvolution in et îv,
le daim, le chameau, etc., est bifide chez le mouton et le bœuf ; la
partie
postérieure de celte même circonvolution qui prés
hippocampe , se contourne sur le corps calleux et s'avance jusqu'à la
partie
antérieure et inférieure du cerveau. Au-dessus et
corps calleux, elle s'élève chez les renards et les chats jusqu'à la
partie
antérieure de la quatrième circonvolution à laque
esque depuis les piliers antérieurs de la voûte cérébrale, jusqu'à la
partie
externe du lobe d'hippocampe, au niveau de la sci
st doublement importante à noter; le défaut de communication entre la
partie
antérieure de la circonvolution interne et l'une
s dans les groupes précédens, et même de la plupart de ceux qui font;
partie
de la famille des moulons; le défaut de prolongem
roit où le chevreuil n'a qu'une dépression, et la continuité entre la
partie
antérieure et la partie postérieure de la circonv
qu'une dépression, et la continuité entre la partie antérieure et la
partie
postérieure de la circonvolution supérieure ne se
t quelques dépressions, et une fois, chez le sanglier, j'ai vu sur la
partie
antérieure de la circonvolution dont il s'agit, à
tion, celle qui, par sa forme, est propre aux cochons, se trouve à la
partie
externe et antérieure du cerveau : elle est au-de
écédens, sans toutefois ressembler parfaitement, dans aucune de leurs
parties
, ni aux unes ni aux autres. Celle qui se trouve p
s parties, ni aux unes ni aux autres. Celle qui se trouve placée à la
partie
supérieure du cerveau est triple en arrière (PPP,
s se continue avec la circonvolution interne I, qui fait saillie à la
partie
antérieure du cerveau ; l'externe, qui semble cou
scissure de Sylvius S S., fig. 1 et fig. 2, presque transversale à la
partie
inférieure du cerveau, est oblique à la partie la
sque transversale à la partie inférieure du cerveau, est oblique à la
partie
latérale de cet organe, et se dirige d'avant en a
acine du nerf olfactif (I, fig. 2).Dans ce trajet, et arrivée vers la
partie
moyenne du corps calleux, elle s'unit à la circon
e chez les autres animaux dont il a été question jusqu'ici, mais à sa
partie
antérieure. (On le voit, fig. 2, à l'extrémité an
, du dauphin et de la baleine. L'un (si, pl. xn, lig. 2), situé à la
partie
interne du lobe, au-dessus de la circonvolution l
calleux, sépare cette circonvolution de toutes les autres, depuis la
partie
antérieure du cerveau jusqu'au lobe d'hippocampe
fig. 3). La seconde circonvolution (II, fig. lre) est sillonnée à la
partie
postérieure et sous-divisée à la partie antérieur
fig. lre) est sillonnée à la partie postérieure et sous-divisée à la
partie
antérieure : c'est celle qui correspond à la seco
qui est superposée à l'interne (fig. 1 et fig. 2) est sillonnée à la
partie
postérieure P, et sous-divisée en avant (AA). Q
la plus considérable de toutes. En arrière, elle est formée de trois
parties
, dont l'une, la plus extérieure , est profondémen
avers du cerveau , coupant les circonvolutions longitudinales en deux
parties
et les divisant en circonvolutions antérieures et
que nous avons vues longitudinales, et continues à elles-mêmes de la
partie
antérieure à la partie postérieure du cerveau, so
ngitudinales, et continues à elles-mêmes de la partie antérieure à la
partie
postérieure du cerveau, sont, comme je l'ai indiq
appareil nouveau de circonvolutions , et cet appareil est situé à la
partie
supérieure du lobe cérébral. Quant aux sinuosit
ressemble assez, en avant, à celledu renard; elle se porte jusqu'à la
partie
antérieure du cerveau, où elle s'unit à la troi
ue l'antérieure fournit trois circonvolutions qui se dirigent vers la
partie
antérieure du cerveau ( I A, H A, III A, fig. 2 e
as une organisation arrêtée et aussi invariable que celles des autres
parties
? Chaque groupe de cerveaux a un type qui lui es
lutions cérébrales, je vais passer à la description de la base et des
parties
intérieures du cerveau. Chez les poissons, le c
eptiles, il est creusé d'une cavité et se prolonge en arrière, sur la
partie
antérieure des lobes optiques; chez les oiseaux,
'est lui-même dans un certain nombre de cas. Du rapprochement de la
partie
inférieure des deux lobes cérébraux, résulte une
sures, et chaque lobe a de plus une commissure qui met en relation sa
partie
antérieure avec sa partie postérieure. Les commis
plus une commissure qui met en relation sa partie antérieure avec sa
partie
postérieure. Les commissures qui vont d'un lobe à
du pédoncule cérébral, qui, reployé sur ce pédoncule, en recouvre les
parties
supérieure et latérale, a une disposition différe
me el le singe, et de deux cavités seulement chez les quadrupèdes. La
partie
antérieure de ce ventricule a été appelée corne a
artie antérieure de ce ventricule a été appelée corne antérieure ; la
partie
qui se recourbe derrière el en dessous du pédoncu
ppartient à l'homme, aux singes, aux phoques et aux marsouins (1). La
partie
la plus avancée de la corne antérieure s'ouvre da
zontale pratiquée au-dessous du niveau du corps calleux, on enlève la
partie
supérieure de la substance cérébrale. Corps str
une autre bandelette correspondante à celle-ci, mais qui adhère à la
partie
supérieure du pédoncule cérébral, et dont je vais
ampe, el c'est d'elle que vient le nom de celte circonvolution : à sa
partie
la plus inférieure, elle a quelques di-gitations
le, qui réunit l'une à l'autre les couches optiques dans une grande
partie
de leur étendue (on voit la section de celte comm
, fig. 3 du chat; pl. vu, fig. U du mouton, etc.). Entre les quatre
parties
dont je viens de parler, savoir : la commissure a
cerveau, avant leur entrée dans le corps strié ; c'est en très grande
partie
sur elle que repose la voûte à trois piliers, don
touche à la paire antérieure des tubercules quadrijumeaux, et sur sa
partie
interne et supérieure, l'on voit un faisceau de f
veilhier a vues, chez l'homme, se diriger verticalement en bas sur la
partie
la plus reculée de la paroi interne du ventricule
p. cit., t. rv, p. 683. Celle commissure réunit, l'un à l'autre, la
partie
supérieure de chacun des lobes cérébraux, elle se
trois piliers, les corps frangés et la cloison transparente sont des
parties
d'un même tout. Entre le corps calleux (c. c. pl.
puis la couche optique jusqu'à l'extrémité du pied d'hippocampe. A la
partie
inférieure et interne de la couche optique se tro
du corps calleux, par la cloison transparente, elles s'unissent à la
partie
postérieure du corps calleux, pour se porter sur
es; elles sont continues^ par leur base et constituent évidemment des
parties
d'un même tout. Fixées sur les cuisses du cerveau
lus avant, esl en rapport avec la racine du nerf optique. Entre ces
parties
intérieures du cerveau considérées chez tous les
glande pinéale et du corps pituitaire qui diminuent à mesure que les
parties
supérieures du cerveau se développent, et la réun
paire postérieure des tubercules quadrijumeaux, et il est lui-même en
partie
recouvert par l'extrémité postérieure des lobes c
issemblables de celles du mouton (pl. vu, fig. 4). Comparez les mêmes
parties
(i) Op. cit., p. 37. chez le mouton, le cheva
e et presque transparente de substance nerveuse qui sert de pont à la
partie
postérieure de l'aqueduc de Sylvius, et au commen
aux longitudinaux n'ayant pas augmenté dans la même proportion, une
partie
de ces fibres se trouve en saiilie et forme une d
s faciaux. Je me contenterai de faire ici la simple énumération des
parties
qui constituent la moelle allongée, me réservant,
des postérieures. C'est le nom que quelques au teurs ont donné à la
partie
supérieure ou céphalique des faisceaux spinaux de
t volume de l'encéphale des mammifères : rapport, que les différentes
parties
de cet organe ont entre elles,. Je vais m'attac
port du vo lume, de la configuration, et du développement relatif des
parties
dont il est composé, sans cependant revenir sur c
s, ou bien dépend-elle de l'infériorité relative de quelqu'une de ses
parties
. Le cerveau des étalons.... pèse 433 gram. Ce
aux hongres le sont plus que les uns et les autres. Si l'une des deux
parties
principales de l'encéphale s'est atrophiée chez l
ns analogues m'a empêché de partager cette erreur. La largeur de la
partie
antérieure ou frontale du cerveau est sujette à d
e du cerveau est sujette à de plus grandes variations que celle de la
partie
postérieure de cet organe; mince, effilée chez le
ant qu'en arrière. Faute de s'entendre sur ce que l'on doit appeler
partie
antérieure du cerveau, les phrénologistes ont com
s du nez, et ils ont conclu de cet abaissement à la disparition de la
partie
antérieure du cerveau, sans considérer que, chez
la face et non au-dessus (1). Pour déterminer le volume relatif de la
partie
antérieure du cerveau chez les animaux, il faut n
-même, un point fixe qui serve de départ pour diviser chaque lobe, en
partie
antérieure et en partie postérieure. (i) J'ai d
serve de départ pour diviser chaque lobe, en partie antérieure et en
partie
postérieure. (i) J'ai déjà fait cette objection
s de l'Académie royale de médecine, pour l'année Si l'on compare la
partie
antérieure du cerveau du chien, du loup, du renar
rtie antérieure du cerveau du chien, du loup, du renard, avec la même
partie
du cerveau du mouton, du daim, du bœuf, du cheval
aucune mensuration pour s'en assurer, un simple coup-d'œil suffît. La
partie
antérieure du cerveau, dans la famille des mouton
cette longueur avec exactitude, j'ai choisi pour point de départ une
partie
du cerveau qui est la même chez tous les mammifèr
mammifères et chez l'homme; ce point trouvé, j'ai mesuré également la
partie
postérieure, afin d'établir la dimension comparat
rtie postérieure, afin d'établir la dimension comparative de ces deux
parties
. Le point de départ dont je veux parler est le co
parler est le corps calleux : tout ce qui est en avant, je l'appelle
partie
antérieure; tout ce qui est en arrière, je l'appe
l'appelle partie antérieure; tout ce qui est en arrière, je l'appelle
partie
postérieure. Or, voici quelle est, chez un certai
in nombre de mammifères, la longueur comparée du corps calleux et des
parties
antérieure et postérieure du cerveau, le diamètre
ans le tableau suivant sont rangés d'après la longueur relative de la
partie
antérieure du cerveau. J; APPOIsr Iji.ini. Co
u cerveau. J; APPOIsr Iji.ini. Corps Pallie Partie du corps de la
partie
de la partie autéro- call. antér. poster. calle
J; APPOIsr Iji.ini. Corps Pallie Partie du corps de la partie de la
partie
autéro- call. antér. poster. calleux antérieure
Le lion. Le phoque. Le marsouin. Le maki. Le développement de la
partie
antérieure du cerveau et le volume des circonvolu
roupe, est très considérable, si on le compare au développement de la
partie
correspondante chez le chien, le renard, l'élépha
ase d'un système en vertu duquel l'intelligence aurait son siège à la
partie
postérieure du cerveau; je signalerai plus loin l
aplatis, tandis que d'autres sont très élevés. L'élargissement de la
partie
moyenne est ordinairement en raison inverse de ce
re par d'autres caractères tirés de la configuraiion et du volume des
parties
secondaires de l'encéphale. M. Tiedemann a établi
urtout remarquable par le développement relativement très grand de la
partie
postérieure du cerveau, l'absence presque complèt
glande pinéale, des tubercules quadrijumeaux de l'éléphant, avec les
parties
correspondantes du cerveau de l'homme, et il sign
sont entièrement recouverts; le cervelet l'est lui-même, au moins en
partie
, tandis que, dans les rongeurs, l'ornitho-rinque
lui du cervelet, et les tubercules quadrijumeaux ne sont plus que des
parties
accessoires de l'encéphale. 2. Le cerveau de la
s qui lui sont communes avec le singe et même avec l'homme. 18. Les
parties
intérieures du cerveau et celles qui se trouvent
cules quadrijumeaux chez tous les mammifères; il recouvre au moins en
partie
le cervelet chez la plupart d'entre eux; et il le
u contraire le plus grand. 31. Les ruminans et les solipèdes ont la
partie
antérieure du cerveau plus large que les carnassi
trouve dans le diamètre de ces fibres chez un même animal, suivant la
partie
du système nerveux cérébro-spinal où on les obser
es, ce qui n'arrive jamais aux fibres du cerveau, du cervelet, et des
parties
secondaires de ces organes, telle que les commiss
x, nous voyons qu'il est impossible qu'ils ne se communiquent pas une
partie
de leurs idées, et qu'ils ne le fassent pas par l
, et qu'il est suffisant pour qu'elles se communiquent la plus grande
partie
de leurs émotions. Ce (r) Op. cit., p. 84 et su
Musée possède maintenant un Uinkajou : cet animal dort la plus grande
partie
du jour, mais la nuit il est très éveillé et très
s aussi il n'a que faire de ramasser des alimens, puisqu'il passe une
partie
de la mauvaise saison sans manger, et dans un éta
elles l'avaient fait aux vieilles. La cause de leur migration d'une
partie
de la toiture à l'autre, pourrait être la différe
creuse un et s'y loge. Sa demeure est ordinairement composée de deux
parties
distinctes , l'une pour lui, l'autre pour ses pro
oin hauts de six ou sept pieds ; il habite, ainsi que la marmotte, la
partie
la plus élevée des montagnes. L'agouti et le pa
il est fort difficile de les décider à revenir. Us dorment une grande
partie
du jour et ne sortent guère que le soir. En parla
s'élancer en l'air, soit pour faire un soubresaut, l'on dirait qu'une
partie
de l'homme-cheval ou du cheval-homme se sépare de
n entier, et qu'au moment où le cavalier revient sur le cheval, celte
partie
de l'être animé rejoint son entier. a Que le ca
les facultés communes à l'homme et aux brutes ont leur siège dans les
parties
inférieures-postérieures et inférieures-antérieur
ltés, dont l'homme jouit exclusivement, ont leur siège au-dessous des
parties
antérieures-supérieure s et supérieures-antérieur
1) Gall, Sur les fonctions du cerveau et sur celles de chacune de ses
parties
, Paris, 1825, in-8°, t. 111, p. 208 et 209. (2)
, l'instinct carnassier et la ruse, ont chacun leur organe situé à la
partie
latérale externe du lobe cérébral; plus ils sont
l'auteur (1), ont cette région très large. » Tous les animaux ont la
partie
correspondante aux bosses pariétales de l'homme,
en cela rien de particulier. Quant à la loutre, l'élargissement de la
partie
postérieure de la tête et celui du cerveau, dans
rfectibilité, ou mémoire des choses, ason siège, suivantGail, dans la
partie
antérieure-inférieure du cerveau, immédiatement a
vers la ligne médiane et séparées seulement par l'interposition de la
partie
antérieure-inférieure de la faux, sont affectées
rfectibilité (1). Les animaux les moins capables d'éducation, ont ces
parties
plus petites que les autres animaux ». Un anima
arties plus petites que les autres animaux ». Un animal qui a cette
partie
peu développée, et qui est en même temps peu susc
es qui, inégalement étendues, masquent plus ou moins complètement, la
partie
antérieure du cerveau. Gall cite les jeunes ani
; mais quand son ossature se développe et se complète, elle cache des
parties
du crâne qu'auparavant elle laissait à découvert.
ent conséquens en agissant ainsi; car, le cerveau du mouton est, à sa
partie
antérieure, bien plus élargi, bien mieux développ
elligence. Mais la grandeur du front n'indique le développement de la
partie
antérieure du cerveau que d'une manière très impa
e du cerveau que d'une manière très imparfaite; il y a des cerveaux à
partie
antérieure bien développée, qui sont cachés derri
uelques-uns. Il s'y trouve deux modèles de cerveaux de chien, et à la
partie
antérieure de la troisième circonvolution, chez t
spèce différente, rien; sur la relation de la circonvolution dont une
partie
seulement est occupée par le sens de la localité,
e de cases à chacune desquelles il donne des facultés spéciales. A la
partie
supérieure du crâne d'un chat (pl. xcn), il place
ceux des carnassiers.... Je vis qu'il existe chez les carnassiers des
parties
cérébrales dont les frugivores sont privés. J'ai
ils verraient que Gall s'est dit : « Voilà au-dessus des oreilles des
parties
cérébrales qui existent chez les carnassiers et d
ez les carnassiers et dont les frugivores sont privés , il faut à ces
parties
une faculté qui soit propre, qui soit exclusive a
étermination de l'organe repose uniquement sur ce fait, que certaines
parties
cérébrales qui ne se rencontrent que chez les car
aux carnassiers et aux meurtriers : si donc on vient objecter que les
parties
cérébrales dont il s'agit se rencontrent chez les
étaux; l'âme intelligente ou l'esprit, au frontal, ou plutôt dans les
parties
du cerveau correspondantes à ces os. Et localisan
gion orbitaire et dans la région temporale; enfin la science, dans la
partie
supérieure du front. Puis pour démontrer que sa l
et le pont de varole donnent les passions et la volonté ; enfin, les
parties
postérieures de la moelle président aux mouvemens
al, de l'absence complète, chez presque tous les mammifères, de cette
partie
de l'occipital qui recouvre l'extrémité postérieu
sus du corps calleux, mérite d'être prise en grande considération. La
partie
antérieure du cerveau des herbivores, solipèdes,
s carnassiers, je l'ai déjà dit plus haut : je n'y reviendrai pas. La
partie
postérieure est plus longue et plus large chez l'
loutre, que chez la plupart des autres animaux. Tous ceux qui ont la
partie
postérieure du cerveau reposant sur le cervelet e
aucoup d'autres mammifères plus ou moins stupides, ont le cervelet en
partie
ou même en totalité découvert, et chez quelques-u
heval, le moufflon, etc., et celle différence porte aussi bien sur la
partie
antérieure que sur la partie postérieure du cerve
celle différence porte aussi bien sur la partie antérieure que sur la
partie
postérieure du cerveau. La multiplicité des ond
systèmes nerveux des animaux vertébrés, etc. Paris, f 8a: , ir.-S, 2e
partie
, pasr, 6ot . il s'ensuit qu'il a en réalité moi
faits avancés par Desmoulins seraient vrais, et ils ne le sont qu'en
partie
, la conclusion qu'il en lire n'en serait pas moin
ère circonvolution, un peu moindre en avant que celle de l'ours, a la
partie
antérieure de la seconde circonvolution, sillonné
lus chez le tigre que chez le chat. 14. Le système de Spix, fait en
partie
au rebours de celui de Gall, est basé, comme celu
même prouvé par un certain nombre de faits. 16. Ce ne sont pas les
parties
antérieures qui manquent au crâne des mammifères,
es parties antérieures qui manquent au crâne des mammifères, mais les
parties
postérieures. 17. Plusieurs circonvolutions cér
res du système osseux, chez l'enfant, sont des plus remarquables. Une
partie
du squelette est constituée par des cartilages qu
ant avec la même promptitude, d'autres fois anéantissant à jamais une
partie
des fonctions locomotrices. On comprend la fréque
'une collection formée de pus et de détritus osseux, et conservant en
partie
leurs propriétés physiques, telles que consistanc
l'intérieur de l'os. 2e période. Destruction. — La destruction des
parties
constituantes du rachis fait des progrès. Les exc
e solution de continuité, toutefois, n'existe que partiellement ; les
parties
postérieures de l'épine, les apophyses épineuses,
que j'appellerai la colonne postérieure, subsistent ; mais comme ces
parties
sont réunies par des ligaments flexibles, quelque
euses qui invitent le malade à contracter ses muscles pour mettre les
parties
dans les rapports les plus favorables à la cessat
r cette autre, où neuf disques osseux sont détruits en totalité ou en
partie
. De là une convexité postérieure, une concavité
ont détruites. Ordinairement aussi elle est anguleuse; elle offre une
partie
centrale formant une pointe, qui apparaît dès le
urbe peut encore être régulière, lorsque plusieurs vertèbres étant en
partie
détruites, aucune ne forme d'angle bien prononcé.
rononcé. Tel est l'aspect de la colonne vertébrale, considérée à sa
partie
postérieure. Vue par sa face antérieure, elle rep
pe au niveau du point malade. J'aurai à poursuivre la lésion dans les
parties
autres que la portion du rachis affectée; mais je
lle voie la nature arrive à produire une cicatrice solide au sein des
parties
lésées. Dans le mode de l'altération osseuse, t
sables : il faut deux extrémités saines, une élimination complète des
parties
altérées. Il faut, en outre, un rapprochement, un
que la face antérieure des vertèbres supérieures vient s'adosser à la
partie
supérieure du fragment inférieur. Ce dessin nous
ntact. Dans le second mode de coaptation, le fragment supérieur, en
partie
érodé à sa face antérieure, est renversé sur l'ex
le produit, c'est une inflammation adhésive, un plasma exhalé par les
parties
qui entourent l'excavation et s'organisant en tis
es apophyses transverses et des arcs vertébraux. Passons aux autres
parties
du tronc. Les côtes présentent des changements re
s saillantes sont situées, dans ce cas, tantôt au milieu, tantôt à la
partie
supérieure ou inférieure de la gibbosité. Cette v
tt : a. La courbure postérieure est produite par le relâchement des
parties
ligamenteuses et musculaires; c'est le cas le plu
e diminue seulement. Que trouve-t-on sur le cadavre de ces sujets? La
partie
antérieure des corps vertébraux est plus mince qu
ts? La partie antérieure des corps vertébraux est plus mince que leur
partie
postérieure; aussi n'y a-t-il pas moyen d'effacer
arie superficielle ; quand il y a déformation, c'est une affection en
partie
différente et profonde. Cette distinction ne me p
vec les faits. Constate-t-on l'existence de tubercules dans quelque
partie
du corps? il est presque certain que l'affection
Bourjot Saint-Hilaire, Tavignot, Nélaton, ont étudié avec soin cette
partie
de l'histoire des abcès par congestion. D'une man
edans ou en dehors du carré des lombes, et vient en dernier lieu à la
partie
postérieure du tronc, où il forme les abcès cervi
s. Le pus franchit la paroi thoracique, soit en arrière, soit sur les
parties
latérales ; on cite même un cas où il aurait paru
ur les parties latérales ; on cite même un cas où il aurait paru à la
partie
antérieure de la poitrine, en contournant les côt
faut rien moins que sa grande habitude de la plessimétrie pour tirer
partie
de ce signe. Nous n'admettons pas d'ailleurs, ave
du pus ou des tubercules, par le soulèvement et l'épaisbissement des
parties
molles correspondant au foyer du mal. Relativem
tuleux ; son orifice se fronce et se couvre de bourgeons charnus; les
parties
molles se dépriment circulairement et forment un
quefois combinée avec des contractures. La paralysie siège dans les
parties
inférieures au point de la moelle lésé ; elle var
rieurs seulement. La moelle, dans ces cas, devait être saine dans une
partie
de son épaisseur. Cette explication me paraît plu
dans le point malade. Le mouvement volontaire est seul aboli dans les
parties
situées au-dessous de ce point ; la fonction cond
r-le-champ des mou-vements involontaires très-prononcés de toutes les
parties
du membre. Il est à remarquer que, quel que soit
le siège de la lésion, la paralysie affecte une étendue différente de
parties
. Vous le comprenez facilement. Si l'extrémité inf
'abolition des mouvements volontaires, et coïncide avec la lésion des
parties
antérieures de la moelle. Vous savez, en effet, —
postérieurs présidant à la sensibilité. La lésion plus fréquente des
parties
antérieures du centre nerveux s'explique facileme
ns doute une opinion exagérée ; mais on ne peut nier que le poids des
parties
supérieures du corps n'augmente la courbure de l'
ment; leur action est alors amoindrie par le mélange des huiles. Neuf
parties
d'huile, une partie d'acide sulfu-rique, forment
alors amoindrie par le mélange des huiles. Neuf parties d'huile, une
partie
d'acide sulfu-rique, forment le Uniment de Brodie
a eu lieu. Plusieurs mois après, un second abcès s'est développé à la
partie
antérieure de la cuisse. Cet abcès est isolé ; no
par conséquent l'étendue plus grande de la membrane pyogénique et des
parties
affectées. Un autre inconvénient consiste dans l'
lonne présente de plus curieux, c'est un dépôt tuberculeux situé à la
partie
postérieure des corps des deux premières vertèbre
a colonne vertébrale pour en examiner les affections à part; c'est la
partie
supérieure ou les deux premières vertèbres du cou
les trouve épaissis, indurés ou ramollis, détruits en totalité ou en
partie
. On les a vus être le siège exclusif du mal. Les
occipital et de l'atlas, mais sans luxation, et une destruction de la
partie
moyenne de l'arc postérieur de l'atlas. Il y a un
ens, en avant, en arrière et sur les côtés, chose rare dans une autre
partie
du rachis ; mais vous avez vu que d'autres causes
aralysie du sentiment devrait être plus fréquente, la compression des
parties
postérieures de la moelle, qui président à la sen
is, si la maladie a duré plusieurs mois, il reste de la rigidité; une
partie
des mouvements est limitée, soit que des liens se
uës des os, mais même à l'aide d'ostéides, de ponts osseux, entre des
parties
maintenues à distance. Dans une pièce décrite par
lles occupent; elles en produisent de fort remarquables dans d'autres
parties
, la tête et le rachis. La nutrition et la forme
ifficulté de la déglutition. Pour bien se rendre compte de l'état des
parties
, il faudrait explorer le pharynx, voir si on sent
avec peine, et aujourd'hui l'enfant ne peut marcher, ce qui tient en
partie
à la maladie du cou, et probablement aussi à l'af
e la tête; il en existe une autre. Remarquez cette petite pointe à la
partie
inférieure du cou : c'est une gibbosité dépendant
'est la position des os. On peut souvent, en ayant égard à l'état des
parties
, présumer qu'il y a luxation ou subluxation. Supp
gré. Sur le côté du cou, cependant, existait une adénite; toute cette
partie
était gonflée et douloureuse; des sangsues sont a
ses et transverses dans les divers mouvements, qui se passent dans la
partie
inférieure du cou, et non dans les articulations
énéral, que l'on améliore constamment la lésion des os en rendant aux
parties
leur attitude normale. Ce principe m'a paru vrai
oints saillants , tels que l'axis, qu'on peut espérer de rétablir les
parties
dans leurs rapports physiologiques. Je serais peu
raux qui s'appliquent également aux maladies des os courts des autres
parties
du squelette. Nous avons en effet, dans cet hôpit
loïdienne. Deux luxations sont antérieures : le pubis partage en deux
parties
la région qui est au-devant du colyle; dans un ca
congénitales. J'aborde l'étude de ce sujet en examinant une à une les
parties
qui concourent à former l'articulation coxo-fémor
ation coxo-fémorale, et d'abord la capsule articulaire, qui en est la
partie
la plus importante , et de laquelle dépendent la
nt cette explication; on comprend que la tête fémorale abandonnant en
partie
la cavité de réception sous l'influence de certai
rse à double poche. D'abord assez largement ouverte chez l'enfant, la
partie
médiane se fronce ensuite, se plisse longitudinal
Plus tard, les plis s'effacent en adhérant ensemble , en sorte qu'une
partie
de la circonférence de la capsule se trouve épais
nne lombaire, et, par conséquent, sont dans la direction du poids des
parties
supérieures. Dans le cas que nous examinons, la t
Il semble que l'absence de cavité énarthrodiale devrait rendre les
parties
plus mobiles, plus vacillantes. La mobilité n'est
on libre de la capsule ; il est quelquefois détruit en totalité ou en
partie
, principalement lorsqu'un contact articulaire s'e
ux de ces mêmes pièces concourent à former chacun des trois bords. La
partie
supérieure du cotyle reste la plus profonde ; l'o
plus ou moins réduite. Les muscles, souvent atrophiés, deviennent en
partie
graisseux avec l'âge. Ceux qui sont en rapport im
xe du corps. Dans cette attitude, si la luxation est unilatérale, les
parties
semblables des deux membres, malléoles, rotules,
es iliaques. Si, au contraire, le sujet étant debout, ces différentes
parties
sont placées horizontalement, que d'ailleur s la
onne la préférence, parce qu'elle est facilement sentie à travers les
parties
molles. Les deux membres doivent être bien perp
u des lignes courbes que décrit le ruban en s'adaptant à la forme des
parties
molles intermédiaires aux points dont il s'agit d
la disposition des fémurs. Cet os se trouve caché dans la plus grande
partie
de son étendue; mais certains points sont accessi
fémur descend au-dessous des muscles qui la recouvrent et soulève les
parties
molles à travers lesquelles on la reconnaît facil
rotation en dedans, qui l'écarté de l'os iliaque ou la fait sortir en
partie
de la cavité où elle peut être renfermée. Ce cara
diffère dans sa totalité de celui du côté opposé : le refoulement des
parties
molles donne un volume plus considérable à sa par
refoulement des parties molles donne un volume plus considérable à sa
partie
supérieure ; inférieurement il est plus grêle. Ce
d toutefois qu'en raison des prévisions fondées sur la dissection des
parties
, on devra, dans cette seconde forme, s'expliquer
rieure que le trochanter gauche. La tête du fémur ne soulève plus les
parties
molles de l'aine; mais, en fléchissant la cuisse,
ôlel-Dieu. Il existait une paralysie étendue des muscles , tant de la
partie
antérieure que de la partie postérieure du tronc.
aralysie étendue des muscles , tant de la partie antérieure que de la
partie
postérieure du tronc. La malade offrait cette éno
un genre différent produit par une cause semblable. La résistance des
parties
fut telle que le col du fémur fut brisé, malgré l
arthrose véritable, il ne connaissait aucun exemple de dissection des
parties
dans la luxation congénitale du fémur. On est plu
ne autre part, que, le plus souvent, le cotyle est déformé, effacé en
partie
, de manière à ne pouvoir plus loger la tête osseu
l, d'examiner ces deux enfants, et, afin de réduire la résistance aux
parties
fibreuses, nous avons fait usage du chloroforme.
anière fâcheuse par le violent tiraillement qu'elles exercent sur les
parties
molles et par les inflammations profondes qui peu
s l'un des angles et s'y trouve caché en totalité, ou plus souvent en
partie
seulement. Il faut ajouter aux variétés du stra
lracturant, par une action analogue à celle que les inflammations des
parties
latérales du cou exercent sur les sterno-mastoïdi
rectement au pourtour de l'orbite en dedans et en dehors, et, dans sa
partie
moyenne, elle y est fixée par l'intermédiaire des
que, c'est que les rayons lumineux ne tombent directement que sur les
parties
latérales de la rétine, et frappent obliquement s
ue sur les parties latérales de la rétine, et frappent obliquement sa
partie
centrale. La vue, dans cet œil, peut être comparé
on, au contraire, peut être portée très-loin, l'iris disparaissant en
partie
dans le grand angle ; c'est un strabisme du deuxi
gle interne de l'œil. Dans l'adduction portée au plus haut degré, une
partie
de l'iris disparaît dans le grand angle, mais la
cé d'un seul petit trou pour le passage des rayons lumineux ; on tire
partie
ici de la direction forcée du regard. Les lunette
ation du strabisme, à savoir, la téno-tomie pratiquée dans les autres
parties
du système musculaire, est en partie vicieux, et
tomie pratiquée dans les autres parties du système musculaire, est en
partie
vicieux, et a conduit naturellement à des décepti
ion essentielle de succès, c'est que le muscle conserve , au moins en
partie
, son action après l'opération ; il faut que le
est interne ; on ignorait ce fait il y a quelques années, et c'est en
partie
de la sorte que s'expliquent les revers des chiru
u chez une comtesse opérée par Dieffenbach, et qui passa, dit-on, une
partie
de la nuit à écrire après l'opération. La plaie
achée sous les paupières est une fente ou boutonnière qui s'efface en
partie
par le rapprochement de ses bords, en partie par
tonnière qui s'efface en partie par le rapprochement de ses bords, en
partie
par la formation d'un nouveau tissu muqueux. Il r
i le malade les porte latéralement, ils sont d'accord dans une grande
partie
du regard, c'est-à-dire que leurs rapports resten
t en appparcnce satisfaisant, le strabisme se reproduit en tout ou en
partie
. Les sections multiples auxquelles on a eu reco
tivement insuffisante pour empêcher le droit externe de reproduire en
partie
le strabisme. IIe cas. — Cette jeune fille, âgé
diaslrophê de la cuisse, du rachis, pour désigner la courbure de ces
parties
. Un auteur contemporain s'est servi du verbe cx
étraction graduelle, qui peut entraîner les os et déformer toutes les
parties
du squelette. Vous jugerez des difformités que le
équilibre est rompu, les muscles prédominants inclinent, dévient les
parties
auxquelles ils s'insèrent. C'est surtout depuis l
i-même. Quoi qu'il en soit, le pied, plus peut-être que toute autre
partie
du corps, a besoin d'un parfait équilibre des pui
des contractures simples ou paralytiques, se répètent dans plusieurs
parties
du corps, et dans une étendue en rapport avec l
. Le scaphoïde et le cuboïde, en se portant en dedans, abandonnent en
partie
les deux premiers os, et laissent ainsi à nu leur
l'astragale est également abaissé en avant, sa poulie se découvre en
partie
et se trouve à nu sous les parties molles du cou-
en avant, sa poulie se découvre en partie et se trouve à nu sous les
parties
molles du cou-de-pied. Ce mouvement des os de l
et en dedans. Dans la station, le poids du corps ne porte que sur la
partie
antérieure du bord externe et sur le sommet de l'
nfonce et disparaît au-dessous de la malléole interne. La plus grande
partie
de la tête astraga-lienne est ainsi mise à nu sou
grande partie de la tête astraga-lienne est ainsi mise à nu sous les
parties
molles. Le cuboïde suit ce mouvement; il abandonn
le vivant ; le vide qu'il présente au bord externe est comblé par les
parties
molles de la plante du pied, et il en résulte une
le talon porte à peine; la base de sustentation est constituée par la
partie
antérieure du bord externe, sur lequel s'est déjà
resque le deuxième degré. Il est congcnial ; il y a abaissement de la
partie
antérieure du calcanéum, extension très-marquée d
corps tend à augmenter la déviation, parce qu'il ne porte que sur la
partie
antérieure du bord externe ; vous comprenez quell
araplégie; mais, avec le temps, le membre droit a recouvré une grande
partie
de ses mouvements. A gauche, la paralysie a persi
e mois : c'est une paralysie croisée. Mais le mouvement est revenu en
partie
dans le membre supérieur, tandis qu'au pied la pa
ransformations qu'il subit, il nous faut le considérer aussi dans ses
parties
constituantes, et d'abord dans le squelette. Dé
nés en sens contraire, font effort sur les deux malléoles; toutes ces
parties
se moulent les unes sur les autres; l'inclinaison
la distension qu'ils éprouvent, réagissent comme des ressorts sur les
parties
auxquelles ils s'insèrent, et produisent des dépl
des ortei s repliées sur elles-mêmes en forme d'S, ce qui était dû en
partie
à cette influence de la tonicité des muscles dist
iré en dedans, et il se réfléchit sur le tibia de manière à perdre en
partie
son action normale d'adduction; il tend plutôt al
de développement qui atteint un membre pied bot, porte sur toutes les
parties
de ce membre, os, muscles, vaisseaux, nerfs. Cet
rect. Ce pied est paralysé, et tout le membre est atrophié jusqu'à sa
partie
supérieure. Une bride très-large et très-solide,
mmence à se détacher du sol, et le bord interne appuie surtout par sa
partie
postérieure. Dans le troisième, l'angle est presq
contourné de manière que la concavité de sa voûte regarde en bas, la
partie
inférieure du talon en dehors. En outre, le grand
u calcanéum s'inclinent en avant ; le calcanéum est comme écrasé à sa
partie
antérieure. Il résulte de ce nouveau mode de jonc
ension exagérée du pied. Le,poids du corps tombant obliquement sur la
partie
antérieure du calcanéum, produit sans doute ce ch
anéum, produit sans doute ce changement en affaissant peu à peu celte
partie
de l'os et en lui donnant une coupe plus obliqu
, mais encore avec le péroné. M. Chassaignac l'a vu articulé avec la
partie
postérieure du péroné, et nous observons la même
ion sur une de nos pièces; on y voit l'astragale, chassé en avant, en
partie
luxé sur le calcanéum, dont la facette supéro-pos
uscle étendant son action jusqu'au métatarse, il en résulte que cette
partie
du pied participe aussi, quoique légèrement, à la
avant. Le pied, vu de côté, offre alors la forme d'une S. C'est cette
partie
antérieure, fortement convexe et saillante, qui c
ent ici les vues exposées récemment par M. Duchenne, dans la première
partie
de son mémoire sur les muscles moteurs du pied. L
ier orteil, qui, néanmoins, cède assez facilement. L'enfant marche en
partie
sur les orteils, dont les ongles sont usés. IIe
de l'innervation; le crâne est très-petit, déprimé, l'intelligence en
partie
détruite. Il y a chez elle plusieurs rétractions
'enfonce d'avant en arrière sous la mortaise tibiale ; il y cache une
partie
de son col. Sa poulie abandonne le tibia en arriè
artie de son col. Sa poulie abandonne le tibia en arrière et reste en
partie
à découvert sous les ligaments et les tendons de
pièce de talus pied creux. La facette postérieure du calcanéum est en
partie
à nu derrière l'astragale, et les axes des deux o
son plan inférieur, la tubérosité calcanlonne pose sur le sol par sa
partie
inféro-posté rieure, dans le point qui donne at
a ténotomie, poussée quelquefois même jusqu'à l'abus, est devenue une
partie
importante du traitement du pied bot. Ce traite
, « pour mieux adhérer à la peau, dit Galien, et pour mieux tenir les
parties
immobiles dans la position qu'on leur a donnée. »
ar une vis. L'une de ces plaques repousse le côté externe, l'autre la
partie
antéro-interne du pied. MM. d'Ivernois et Melle
ention et de priorité. Tout appareil de pied bot se compose de deux
parties
; l'une embrasse le pied comme une chaussure, c'es
placée le long de la jambe, c'est la pièce jambière ou tibiale. 1°
Partie
podale. — Dans l'appareil le plus simple, la pièc
e. Le pied est emboîté dans une chaussure à bords peu élevés, dont la
partie
postérieure est munie d'un épais bourrelet qui ma
aisser distendre par le tissu adipeux, comme cela est arrivé dans les
parties
voisines. Aux pieds, nous trouvons des pieds équi
n observe dans ce cas. Revenons à la description des machines. 2°
Partie
jambière. — Nous avons parlé de leur partie podal
iption des machines. 2° Partie jambière. — Nous avons parlé de leur
partie
podale ou pédienne. La partie jambière ou libiale
ie jambière. — Nous avons parlé de leur partie podale ou pédienne. La
partie
jambière ou libiale se compose d'une ou de deux t
des malléoles. Le levier lui-même est ordinairement divisé en deux
parties
articulées à peu de distance de sa jonction avec
ouvements, réglés par une vis, inclinent la sandale, par rapport à la
partie
supérieure du levier, sous un angle variable à vo
articulations. La vis est une vis sans fin ; elle fait marcher une
partie
dentée qui forme l'extrémité de la pièce opposée.
est réunie à un demi-cercle rembourré, prenant son point d'appui à la
partie
supérieure de la jambe, en arrière dans le pied é
Dieffenbach ; ceux-ci se moulent en effet très-exaclement autour des
parties
, leur pression est uniforme; mais nous avons vu q
z avancé, on commence à porter le pied dans la flexion. Cette seconde
partie
du traitement est plus longue que la première, pl
ation des appareils; 2° l'indocilité du malade ; 3° la résistance des
parties
. La douleur est en rapport avec la résistance d
mécanique capable d'amener une guérison aussi parfaite que l'état des
parties
le permet. Je n'ai guère rencontré ce courage que
: « Il faut coudre les bandes diversement, suivant la manière dont la
partie
doit être soutenue. » Ce qu'il y a de particuli
es, étendit ce procédé à d'autres tendons du pied, et même à d'autres
parties
du corps. C'est longtemps après lui que son idée
ndineuses, et quand l'instrument doit raser le? os. Il est bon que la
partie
tranchante soit très-courte, pour éviter d'agrand
pératoire à suivre, quand les tendons sont suffisamment distincts des
parties
qui les avoisinent (1). Le tendon d'Achille, le
sujet et des changements causés par la déviation. La petitesse des
parties
, considérablement réduites chez les enfants très-
à cet âge, place le tendon d'Achille presque sur le môme plan que les
parties
profondes. Dans le varus, le déplacement du calca
ultés; aussi vaut-il mieux l'attaquer plus haut, à la jambe. Aucune
partie
importante n'avoisine immédiatement ces muscles.
muscles précédents, des cordes nettement circonscrites; on coupe ces
parties
où elles font bride, et, autant que possible, du
ifférences qui tiennent aux tendons eux-mêmes et à la disposition des
parties
qui les entourent. Pour les péroniers latéraux,
ntôt elle commence à la petite plaie du tégument et s'étend de là aux
parties
profondes. Quelquefois enfin, la piqûre se ferme
Quelquefois seulement la réunion est précédée de l'exfolialion d'une
partie
du tendon , et après la guérison , la cicatrice c
, la cicatrice conserve en général des adhérences avec la peau et les
parties
profondes. D. Mode d'action de la ténotomie dan
es tissus cicatriciels, et la difformité est reproduite en tout ou en
partie
. Ce fait répond victorieusement à ceux qui repr
certain nombre de fois. On a divisé, dans le varus, non-seulement une
partie
du ligament interne ou deltoïdien, mais encore le
Si pourtant, après l'emploi des moyens mécaniques, l'extension de ces
parties
n'est pas suffisante, on sera toujours à temps de
même des moyens de traitement. Le pied équin creux peut conserver en
partie
sa courbure exagérée; le varus complètement redre
t; et quoiqu'il ne fût pas exact de dire qu'il désignât la principale
partie
affectée au début de la maladie, l'événement donn
locales; des courbures liées à l'arrêt de développement de certaines
parties
des os chez le fœtus, etc. J'écarte toutes ces
sont les lésions de texture qui en dérivent dans presque toutes les
parties
du squelette. C'est par l'examen de ce fait fonda
e dans la diaphyse des os longs; il se creuse de cellules et prend en
partie
l'aspect du tissu spongieux. La paroi du canal mé
ère période , des courbures plus ou moins considérables dans diverses
parties
du squelette. Peut-être aussi, comme je l'ai déjà
rai qu'elles se forment successivement à l'extérieur de l'os, dont la
partie
solide finit par se réduire à un mince étui du ca
tout dans certains os larges, aux omoplates, au bassin, dans quelques
parties
du crâne, etc. Voici une omoplate qui a subi cett
choses : d'une part, l'atrophie, la raréfaction, peuvent subsister en
partie
et l'os rester plus faible ; ces deux os de la ja
es os longs, on voit ces couches s'incruster de matière calcaire, des
parties
profondes à la superficie de la diaphyse. Vous vo
otypées par cette sorte de pétrification de leur moule organique. Les
parties
osseuses épaissies conservent leur excès de volum
ge auquel cette altération a eu lieu , et hors de proportion avec les
parties
du squelette qui en ont moins souffert. M. J. Gué
le cerveau continue de s'accroître, le crâne s'étend surtout dans ses
parties
membraneuses, qui sont plus larges proportionnell
oup de rachitiques, même abstraction faite de la petitesse des autres
parties
du corps, la saillie des protubérances et en part
rchez la place des fontanelles et des sutures, au lieu de trouver des
parties
molles et membraneuses, vous ne sentez sous les d
tion la plus fréquente est le relâchement des ligaments du rachis, en
partie
produit par la faiblesse des muscles, qui leur la
d les vertèbres elles-mêmes sont ramollies, elles s'affaissent à leur
partie
antérieure ou sur leurs côtés, et il se produit d
alors ce n'est point par l'influence directe du rachitisme sur cette
partie
du squelette, ou cette influence n'y concourt que
la maladie, ni au même degré. Glisson (1) avait déjà établi que les
parties
le plus fréquemment et le plus fortement atteinte
comme exemples : les vertèbres, ossifiées de si bonne heure dans leur
partie
centrale, et, d'un autre côté, le bassin qui s'ac
point de vue, il est évident qu'à égale diminution de résistance, les
parties
les plus altérées par le rachitisme sont celles q
d'un développement actif et d'efforts mécaniques puissants, sont les
parties
les plus maltraitées par la maladie. Le crâne se
sens à peu près constant. C'est ordinairement un peu au-dessous de sa
partie
moyenne , rarement plus haut, que se produit la c
ion du Cabinet , os difformes. (2) Musée Dupuytren. Paris, 1842, 2e
partie
, p. 676. courbure à la prédominance d'action de
ire. Cette situation de la tête fémorale, l'obliquité augmentée de la
partie
supérieure de la diaphyse, forcent le bassin de s
s remarquer dernièrement sur un de nos enfants. Les courbures de la
partie
inférieure du fémur, quand elles sont considérabl
compte, dans ce dernier cas, et même dans le premier, du poids de la
partie
inférieure du membre, lorsque la cuisse est soule
clavicules sont courbées presque angulairement des deux côtés, à leur
partie
interne. Au thorax, le chapelet est peu marqué. L
rs sont peu courbés; les membres supérieurs droits. II. Lésions des
parties
molles. — (1) Nous avons étudié les altérations q
su osseux et dans (1) Quatorzième leçon, 22 août 1856. toutes les
parties
du squelette; voyons ses effets dans les autres o
facette pé-ronière du tibia en avant et en dehors. Les tendons de la
partie
inférieure de la jambe décrivent, dans un cas par
ières côtes, dont le large évasement contraste avec la dépression des
parties
latérales du thorax. Les clavicules sont courbées
gauche. Les humérus offrent une courbure convexe en dehors dans leur
partie
inférieure, et les avant-bras une concavité du cô
qu'on privât les enfants du sein avant qu'ils eussent la plus grande
partie
de leurs dents. Cullen (6) ne voyait pas d'inconv
stérieure qu'on rencontre si fréquemment ; cette courbure s'efface en
partie
. Le ventre est volumineux. Les membres supérieurs
e dans les écrits d'Hippocrate et de Galien, mais l'inclinaison de la
partie
supérieure du corps en avant. C'est ce qu'en voit
v. ; et Galien, Comment, sur ce traité, édit. de Kiihn, t. XVIII, lre
partie
, p. 492 et suiv. (2) Chirurgie française, Lyon,
autres, et un instinct admirable, guidé par la sensation du poids des
parties
et par la perception de l'action musculaire, appr
ion tellement constante qua le poids porte toujours également sur les
parties
antérieure et postérieure des vertèbres dorsales
érieur, ne sont d'abord que des flexions passagères que subissent les
parties
flexibles de la colonne vertébrale. Elles dispara
in qu'il ne pût y avoir le moindre changement dans la disposition des
parties
. D'après les expériences de M. Ludovic Hirschfe
turelle : 1° L'intégrité de l'organisation et des propriétés de ses
parties
constituantes ; 2° L'activité normale des muscl
le plus mobile du ra-chis; 2° il a à supporter plus de poids que les
parties
situées au-dessus; 3° cet inconvénient n'est pas
isparaît complètement, tandis que la déformation persiste au moins en
partie
, quand on renverse avec précaution le bassin en a
rachis en avant, qui détermine une pression plus considérable sur la
partie
antérieure des vertèbres et des disques intervert
Mais si les causes morbides persistent, la déformation se produit, la
partie
antérieure des vertèbres et des disques intervert
u voisinage du cou. Les épaules sont élevées, portées en avant à leur
partie
supérieure, saillantes et soulevées vis-à-vis l'a
On voit des enfants rejeter le tronc en arrière, tout en inclinant sa
partie
supérieure en avant, de manière à présenter à la
'attitude que l'on veut détruire, indépendamment de la résistance des
parties
, lorsqu'il existe une déformation. On ne réussi
et en même temps de placer le corps dans la position horizontale une
partie
du jour. (1) Andry, l'Orthopédie. Bruxelles, 17
ue les exercices paraissent insuffisants à cause de la résistance des
parties
, ou bien lorsque leur effet n'est que momentané,
1° sur les épaules , en les tirant en arrière , en pressant sur leur
partie
inférieure ; 2° sur le rachis, en repoussant sa c
poussant sa convexité en avant; 3° sur tout le tronc, en soutenant sa
partie
antérieure et supérieure, et en la repoussant en
ontrée par M. L. Hirschfeld , et de plus, amincissement exagéré de la
partie
postérieure du corps des vertèbres lombaires et d
contraire, les corps vertébraux sont écartés par l'allongement de la
partie
antérieure des ligaments inter-vertébraux, et ils
einture pelvienne bascule sur les têtes des fémurs, de manière que sa
partie
postérieure s'élève en arrière, tandis que l'anté
qui arrive quand le bassin prend la position que j'ai indiquée. Les
parties
molles suivent ces divers déplacements ; le ventr
les fesses sont portées en arrière, relevées en forme de croupe; leur
partie
supérieure, presque horizontale, augmente encore
e penche (1) Wenzel, loc. cit., p. 331. davantage en avant par sa
partie
supérieure , et les femmes sont plus exposées à c
un et l'autre fait trouvent leur explication dans la résistance de la
partie
postérieure des vertèbres , qui ne se laisse pas
, qui ne se laisse pas affaisser ni déformer aussi aisément que leur
partie
antérieure , et qui n'est pas d'ailleurs exposée
comme dans la cyphose ; seulement, au lieu de faire effort contre la
partie
postérieure de la tête ou du tronc de l'enfant, c
pposent à un excès de courbure du dos en arrière, tout en effaçant en
partie
la courbure des lombes en avant. L'attitude du
Il suffit, pour s'en convaincre, de considérer la direction de cette
partie
du rachis successivement dans la station debout e
t assis, et en même temps le creux des lombes disparaît en tout ou en
partie
. L'effet est encore plus marqué et une convexité
oyen orthopédique. En soulageant les vertèbres lombaires du poids des
parties
supérieures, en faisant cesser les contractions m
du rachis. Vous savez déjà que la courbure normale s'efface ainsi en
partie
par le repos de chaque nuit. Pour ajouter à l'act
des membres supérieurs ou la poitrine, de l'autre, et exercer sur ces
parties
de légères tractions continues dirigées en sens o
re construits, dans la lordose, de manière à presser à la fois sur la
partie
antérieure du tronc, vis-à-vis la convexité lomba
artie antérieure du tronc, vis-à-vis la convexité lombaire, et sur sa
partie
postérieure, vis-à-vis des points les plus capabl
est-à-dire sur la région dorsale et les épaules d'une part, et sur la
partie
postérieure du bassin de l'autre. Je mets sous vo
saillie en avant ; les jugulaires externes sont gonflées ; toutes les
parties
molles de la région antérieure du cou sont tendue
tte nouvelle position. C'est ce que l'on voit sur ce squelette, où la
partie
inférieure du cou décrit une forte courbu/e perma
un une lordose lombaire ; chez l'un, elle est due à une cyphose de la
partie
supérieure du dos; chez l'autre, c'est la partie
à une cyphose de la partie supérieure du dos; chez l'autre, c'est la
partie
inférieure de cette région qui a été primitivemen
çu les soins de M. le docteur Duchenne pour une acinésie occupant une
partie
des muscles du tronc et, en particulier, ceux de
s. En effet, dans tous ces cas, la colonne vertébrale, ouverte à sa
partie
postérieure, est relevée en arrière et recourbée
elles un écarternent occupé par les vertèbres, qui forment ainsi une
partie
de la paroi crânienne. Le thorax , renversé en ar
partie de la paroi crânienne. Le thorax , renversé en arrière par sa
partie
inférieure, est sous la base du crâne. Les membre
crum. D'autres anomalies compliquent ces désordres. Le cerveau est en
partie
déplacé en arrière. C'est Yiniencéphale de M. Is.
ule renverser la courbure du sacrum et du coccyx, et les accoler à la
partie
postérieure du crâne. La pression du liquide céph
ncipales. A. La plus simple consiste dans la flexion latérale de la
partie
supérieure du tronc, à droite ou à gauche, toutes
a région dorso-lombaire, de sorte qu'il y a comme deux angles dans la
partie
inférieure de la courbe, angles très-peu marqués
Pl. 2, fig. 1 et 4. (5) Pl. 2, fig. 2. La flexion latérale de la
partie
supérieure du tronc est une attitude anormale dan
i repose ceux de l'autre côté, et aussi de ce que cette action est en
partie
supportée par la résistance des tissus fibreux.
arées par une portion intermédiaire, presque droite, qui répond à une
partie
de la région dorsale. La forme du tronc tient à
précisément à l'es pace dans lequel l'aorte est en contact avec la
partie
latérale du rachis ; telle est aussi la direction
u-dessus de son extrémité inférieure. La configuration spéciale des
parties
constituantes du rachis, au niveau de ces courbur
peut se trouver redressée au point d'être transformée, en tout ou en
partie
, en une ligne droite, de sorte qu'une surface tou
e : à l'état tout à fait normal, et dans les dorsales moyennes, cette
partie
médiane est le point le plus courbé et forme une
qui dérive uniquement d'un changement de configuration , produit à la
partie
antérieure du rachis la même apparence que si la
rence de hauteur dans leurs côtés droit et gauche, ainsi que dans les
parties
correspondantes des ligaments intervertébraux. De
si peu soumise à des règles fixes, qu'on est tenté de l'attribuer en
partie
à des anomalies indépendantes de l'influence des
plus constante, parce que ces vertèbres répondent ordinairement à la
partie
moyenne de la courbure. Les petites courbures s
que les vertèbres des extrémités de la courbure primitive revêtent en
partie
les caractères des vertèbres appartenant aux cour
raux. Quatre cas peuvent se présenter : Io La courbure légère de la
partie
antérieure ne se voit nullement en arrière, où le
s bien le produit d'un changement de configuration qui en déplace les
parties
principales et les dévie les unes à l'égard des a
d, celui de la concavité. Le thorax cesse donc d'être symétrique ; sa
partie
postérieure se bombe légèrement du côté convexe d
alors n'a pas lieu, ou bien elle est insuffisante, incomplète, et la
partie
supérieure du tronc reste inclinée et hors de la
ssemblance, cette quasi identité qui rappelle son origine, se perd en
partie
avec les progrès de la difformité. Nous ne sommes
ièces que je vous présente, les deux côtés de la courbure prennent en
partie
une direction horizontale. Ce n'est plus un arc d
rtiennent à la fois aux deux courbures inverses qu'elles séparent. La
partie
supérieure de la vertèbre est attirée d'un côté,
suite des différences survenues dans la direction et la longueur des
parties
qui en forment la circonférence ; il est oblique,
ve sont pressés les uns contre les autres dans un étroit espace ; les
parties
osseuses sont alors confondues, refoulées, déviée
as, p. 61. et suiv. Indépendamment des changements de situation des
parties
de la vertèbre les unes à l'égard des autres, cha
yse épineuse. Dans ce genre de torsion, que j'ai décrit plus haut, la
partie
antérieure de chaque vertèbre ne correspond plus
haut, la partie antérieure de chaque vertèbre ne correspond plus à sa
partie
postérieure ; mais l'anneau n'a pas tourné en tot
pineuses. Les corps, portés du côté de la convexité, sont en effet la
partie
la plus excentrique des courbures; les -apophyses
ssion qui tend plus tard à accroître les courbures. Cette colonne, en
partie
fibreuse ou ligamenteuse, cède en outre plus faci
cipent de moins en moins, à mesure qu'elles sont plus rapprochées des
parties
droites ou des courbes inverses. Ce mouvement n
essoires et articulaires; les fausses côtes s'ajoutent seulement à sa
partie
supérieure. Si la courbure était bi-dorsale, il
uvement à leurs cartilages, et ceux-ci changent de forme ainsi que la
partie
antérieure des côtes qui correspondent aux vertèb
quelquefois un peu à droite ou à gauche, du côté de la convexité des
parties
courbes. La cavité thoracique est profondément
imensions. Supposons une forte courbure dorsale droite principale. La
partie
moyenne de la colonne dorsale, en se rapprochant
parativement à l'état normal. Le peu de volume des membres dépend des
parties
molles. La brièveté et la courbure des membres in
liose n'est pas bornée au squelette; elle comprend encore l'étude des
parties
molles qui ressentent l'influence des courbures d
ser les courbures en agissant sur ses deux extrémités. J'y réussis en
partie
seulement, et il vous est facile de voir que le r
guration nouvelle du rachis. Les plus longs, parmi ces muscles, une
partie
du long dorsal, du sacro-lombaire, passant presqu
ire à augmenter la concavité de la courbure, dont ils représentent en
partie
la corde. On voit même, dans les courbures extrêm
ttiré du côté de la concavité par-dessus les apophyses épineuses; une
partie
des faisceaux compris dans le grand épineux du do
a diminution , et finalement à l'abolition de la mobilité des os à la
partie
moyenne des courbures, que sont dues l'atrophie,
i décrit, par cela seul, des courbures un peu moins prononcées que la
partie
antérieure des corps vertébraux. D'un autre côté,
é que ceux-ci finissent par diminuer de volume, du côté concave, à la
partie
moyenne des courbures principales. Il est extrême
s, on retrouve presque toujours, au milieu de la fusion de toutes les
parties
, des pertuis pénétrant dans le canal vertébral et
anes, perdent plus ou moins de leur volume presque en tous sens. Leur
partie
antérieure toutefois change peu : vous voyez sur
antérieur restant fixé au sternum ou se déplaçant beaucoup moins. La
partie
postérieure du poumon droit perd donc de son éten
ous la concavité de la courbure dorsale, derrière le médiastin, et en
partie
derrière le poumon droit. Son épaisseur est dimin
tho-racique antérieure, à la pression directe des vertèbres et de la
partie
postérieure des côtes; plus résistant que les pou
omme dans ce dessin, où il est fort élargi (2). Il est quelquefois en
partie
graisseux ; mais cet état ne m'a pas paru plus fr
irrégulière, des déformations parfois bizarres. Vu en avant, vers sa
partie
moyenne et sa face convexe, le foie paraît peu s'
nt. Quand elles décrivent une forte courbure à gauche, la plus grande
partie
du foie, mais surtout sa moitié droite, trouve pl
uche, qui loge son extrémité la plus renflée. La rate obéit donc en
partie
, comme le foie, aux influences mé- (1) Voy. les
en pointe, la pression et l'atrophie ayant porté davantage sur cette
partie
de l'organe. Cette disposition se voit aussi sur
t aussi sur des reins situés dans le sens de la concavité, quand leur
partie
supérieure a été soumise à quelque pression latér
pagnées de la saillie du côté opposé des lombes, du soulèvement de la
partie
inférieure du sacro-spinal gauche, et souvent d'u
sez fréquemment, au bas de la région cervicale gauche et visrà-vis la
partie
supérieure de l'omoplate, une troisième saillie à
exemple, la voussure costale inférieure gauche remonte jusque sous la
partie
inférieure de l'omoplate. D'autres fois, c'est la
sque sous la partie inférieure de l'omoplate. D'autres fois, c'est la
partie
supérieure du scapulum qui est plus soulevée qu'à
étriques et présentent des irrégularités en rapport avec celles de la
partie
postérieure. La clavicule gauche est ordinairemen
e, est plus bombée; elle soulève le sein et le rend plus saillant. La
partie
inférieure de cette région est quelquefois sailla
devenant prédominante, entraîne le tronc à droite et fait pencher sa
partie
inférieure dans ce sens. La difformité change alo
e montre la gibbosité proprement dite, formée aux dépens d'une grande
partie
du thorax, complètement défiguré. Jusque-là le su
plus ou moins haut vers la région cervicale, qui peut s'y trouver en
partie
comprise. Dans d'autres cas, ce côté du cou est a
Nous n'avons guère vu chez nos malades que le squelette revêtu de ses
parties
molles. Jetons maintenant un coup d'œil sur ce qu
° dans les mouvements passifs imprimés aux vertèbres par le poids des
parties
, par des pressions extérieures, etc. ; 2° dans le
rtébraux sont comprimés à la concavité des courbures par le poids des
parties
, par la pression des muscles qui font équilibre à
sens contraire et reprennent leurs rapports naturels. La position des
parties
sur un plan droit et résistant, la pesanteur, qui
ar la tête ou par les membres supérieurs, de manière que le poids des
parties
inférieures écarte les vertèbres du côté de la co
é de l'une ou l'autre courbure. Ces altitudes sont instinctives et en
partie
involontaires; elles résultent des tendances natu
t que se redresser un peu et reste plus ou moins fléchie à gauche; sa
partie
supérieure seule suit la direction des lombes et
née d'une influence générale de ces courbures sur les fonctions de la
partie
inférieure de la moelle ou des nerfs qui en émane
r E. Littré, t. IV, p. 181. (3) Galien, édit. de Kiihn, t. XII, l,e
partie
, p. 511. fiés depuis l'âge de deux ans. La scol
ation fait entendre le bruit respiratoire normal, dans la plus grande
partie
de la poitrine, excepté le long de la gibbosité.
ement ; il est plus à gauche qu'à l'ordinaire. Le poumon droit l'a en
partie
remplacé derrière le sternum , et la respiration
, au lieu de l'absence de respiration qui se remarque dans une grande
partie
du côté gauche, on trouve à droite une respiratio
e foie ne dépasse pas les fausses côtes; il trouve à se loger dans la
partie
inférieure du thorax. L'attitude habituelle de
je vous ai signalé : c'est une dyspnée considérable qui était due en
partie
à la compression mécanique des poumons, et qui a
s'il y a à la fois scoliose et affection douloureuse du rachis ou des
parties
voisines. C'est ce qui se rencontrait chez une je
r, par la contracture du rhomboïde dans un cas, du rhomboïde et de la
partie
supérieure du trapèze dans l'autre. L'épine dorsa
dans la vieillesse, que celles que lui im- posent la rencontre des
parties
solides étayées les unes sur les autres, et l'imm
atérales qui peuvent en altérer la forme. Celte hygiène constitue une
partie
importante de l'éducation physique des enfants. E
les. La position horizontale est quelquefois nécessaire pendant une
partie
des heures de repos; on la met en usage chez les
ge, etc. En déchargeant les vertèbres et leurs ligaments du poids des
parties
supérieures, la position horizontale les place da
terai que le traitement de la scoliose par flexion fait naturellement
partie
du traitement préservatif de la scoliose par défo
t certainement pas une des causes les moins actives de l'atrophie des
parties
à la concavité des courbures : elle précède et pr
e à l'une des indications du traitement de la scoliose, et remplir en
partie
l'autre indication en modifiant avantageusement l
e et pour l'exercice normal des fonctions, on leur procure une grande
partie
des avantages du décubitus, et on leur en sauve l
coussin, surtout chez les sujets prédisposés aux congestions vers les
parties
supérieures. Il est quelquefois avantageux de p
ison du corps sur les lits et les autres plans fait agir le poids des
parties
inférieures sur le rachis, retenu par le frotteme
s des parties inférieures sur le rachis, retenu par le frottement des
parties
supérieures, de manière à augmenter quelque peu l
te, si le corps, au lieu de poser sur les pieds, est suspendu par les
parties
supérieures ; mais cela n'est possible qu'autant
es gymnastiques orthopédiques : 1° les exercices avec station sur les
parties
inférieures du corps; 2°les exercices avec suspen
parties inférieures du corps; 2°les exercices avec suspension par les
parties
supérieures; 3° les exercices dans la position ho
courbures inverses qui pouvaient déjà s'être produites. On évite en
partie
l'inconvénient que je signale en combinant les mo
it lieu aux corps vertébraux, dont la courbure peut même n'être qu'en
partie
effacée. A l'égard de ce redressement, remarque
sible. Il n'y a point à cela d'utilité spéciale eu égard à l'état des
parties
dans la scoliose ; ces exercices rentrent donc da
us les jeux avec port de fardeaux, dont le poids s'ajoute à celui des
parties
supérieures. On devine qu'il en est de même de to
int d'appui sur le bassin du sujet lui-même, soulager le rachis d'une
partie
du (1) Orthom,, t. II, p. 182 et 211. poids q
l'effet orlhorachidique des exercices accompagnés de station sur les
parties
inférieures est assez borné, qu'il n'est pas supé
ont j'ai encore à vous parler. 2° Exercices avec suspension par les
parties
supérieures. — Un médecin allemand, Lentin (1), a
, de soustraire les vertèbres à la pression exercée sur elles par les
parties
supérieures. Elle le fait un peu moins complèteme
ettant l'épine à la traction, à l'extension produite par le poids des
parties
inférieures. Il en résulte une diminution très-no
n, à la convexité. La contraction musculaire peut bien neutraliser en
partie
ces effets; mais elle ne les détruit pas entièrem
is (4) a reproduit les dessins, ne nous montrent en effet, dans cette
partie
de l'ancienne gymnastique, que des tours de funam
de cette contraction pour nier l'extension du rachis par le poids des
parties
inférieures; j'ai.montré que ces deux faits n'éta
sion et pour exercer une traction sur le rachis au moyen du poids des
parties
inférieures. Les membres supérieurs sont alors em
ils sont violents, ils favorisent doublement les congestions vers les
parties
supérieures par l'attitude et par les efforts qui
s bras, la tête et les mains, pour étendre le rachis par le poids des
parties
inférieures, quelquefois augmenté par l'addition
ns de saillie; cela tient surtout à ce que le redressement se fait en
partie
dans le sens antéro-postérieur, ce qui relève les
ale et les exercices de suspension. Elle ne remplit donc encore qu'en
partie
l'une des indications de la scoliose. De plus,
es indications de la scoliose. De plus, l'extension agit peu sur la
partie
moyenne des courbures , parce que l'effort ne lui
oïdes. On a soin de surveiller la pression exercée sur la peau de ces
parties
, pour prévenir les excoriations. Les liens axil
alors comme liens contre-extenseurs; tantôt on y supplée par d'autres
parties
de l'appareil dont nous nous occuperons bientôt,
pas trop rapides. Le glissement du collier et de la ceinture sur les
parties
où ils sont appliqués, fait encore varier la tens
n même temps quelques centaines de milliers de coups de bûche sur les
parties
saillantes, si bien qu'au bout de ce temps, suiva
s pressions fournissent en outre un moyen de contre-extension pour la
partie
supérieure du tronc. Comme nous l'avons fait po
Werner, Grundznge, etc., on Principes d'orthopédie. Berlin, 1852, lre
partie
, p. 133. «m Miit. 32 pas, à coup sûr, donné a
ent d'cgir avec quelque efficacité sur les apophyses épineuses, seule
partie
des vertèbres accessible à l'extérieur, on est ob
es lombes, et même des viscères mous de l'abdomen. La mobilité de ces
parties
affaiblit l'effet des pressions, et la sensibilit
èrement, d'une manière moins imparfaite, l'indication de déprimer les
parties
constituantes du rachis du côté de la convexité d
iveau du thorax, viennent en aide à la contre-extension; en fixant la
partie
supérieure du tronc, elles le retiennent et l'emp
la partie supérieure du tronc, elles le retiennent et l'empêchent en
partie
d'obéir à la traction exercée sur le bassin. Elle
u moins bombées ou excavées, suivant l'âge des sujets, la forme de la
partie
et son degré de sensibilité. Les plus douces sont
, en raison de la mobilité des fausses côtes et de la sensibilité des
parties
molles qui la séparent du rachis. S'il y a deux
supporter le plus longtemps possible et, s'il se peut, la nuit ou une
partie
de la nuit, comme aux heures de coucher du jour,
é à produire , au moyen des appareils, une demi-suspension, celle des
parties
supérieures, à les attirer en haut, à les souleve
ssis. Il en résulte un léger redressement; l'épine est soulagée d'une
partie
du (1) Maladies des os, 1741, t. Ier, p. 66.
. Les uns sont effectivement des corsets d'étoffe , munis de quelques
parties
rigides qui changent peu la nature de ce vêtement
le nom de ceintures, parce qu'ils ont presque toujours pour base une
partie
circulaire fixée autour du bassin. Les corsets
e genre de tuteur. Quelle que soit la disposition des tuteurs, leur
partie
inférieure doit trouver un point d'appui solide s
ure doit être assez douce ou assez élastique pour ne pas froisser les
parties
molles de cette région. Les tuteurs sont ordina
rachis en transmettant directement au bassin une portion du poids des
parties
supérieures ; ils peuvent servir à relever une ép
L'excès de pression des croissants a aussi des inconvénients pour les
parties
molles de l'aisselle, et surtout pour la veine ax
de la tendance à remonter du côté gauche ; le tuteur, qui s'oppose en
partie
à ce mouvement, comprime l'aisselle gauche, gêne
On divisait, dans cette opération, le sacro-spinal en totalité ou' en
partie
, d'un côté ou des deux, tantôt plus haut, tantôt
né. La pression du squelette sur les viscères, sur les nerfs, sur les
parties
molles extérieures, cause de gêne, de douleurs, d
orps, l'étendre, le soulever outre mesure, de manière à tirailler des
parties
habituées depuis longtemps à leur situation vicie
gestation et de l'accouchement ; la position horizontale pendant une
partie
du jour leur sera prescrite dans les derniers moi
s la forme ordinaire de courbure dorsale principale. Elle entraîne la
partie
inférieure du tronc d'un côté, et sa partie supér
ncipale. Elle entraîne la partie inférieure du tronc d'un côté, et sa
partie
supérieure se rejette par compensation du côté op
u'instantané deviendra bientôt durable; les inclinaisons opposées des
parties
supérieure et inférieure du tronc disparaîtront p
ar, si la troisième période est plus avancée, si l'inclinaison est en
partie
maintenue par la forme des vertèbres et de leurs
feste des apophyses épineuses, résiste donc généralement, an moins en
partie
, aux moyens de traitement. Ramener la déviation d
. La première enfance, favorable au redressement par la souplesse des
parties
, s'oppose à ce qu'il soit durable en raison môme
és de ma collection. Ils représentent avec une parfaite exactitude la
partie
postérieure du tronc de quatre jeunes filles avan
toute la charge du corps et soulageaient les » vertèbres du poids des
parties
supérieures. » Mais, ajoute l'auteur, on ne put é
....................... C. Machines....................... 228 1°
Partie
podale.................... 229 2° Partie jambiè
................. 228 1° Partie podale.................... 229 2°
Partie
jambière................... 2 32 Mode d'applica
293 3° Effets des déformations.............. 296 II. Lésions des
parties
molles................. 298 III. Origine des lé
ûr les membres inférieurs. 476 2° Exercices avec suspension par les
parties
supérieures. 480 3° Exercices dans la position
aux par une étude approfondie de l'encéphale humain, et cette seconde
partie
de son travail devait comprendre le résumé d'obse
ssible un monument inachevé, et les vœux de l'auteur de cette seconde
partie
seraient comblés, si son œuvre, ajoutée à celle d
du bulbe et du noyau cérébral, un nouveau mode de description de ces
parties
, une meilleure manière de concevoir la formation
premier volume de cet ouvrage m'imposait le devoir d'ajouter, à cette
partie
purement anatomique et physiologique de mon iivre
. IV. Le corps est formé de deux moitiés symétriques, mais ces deux
parties
d'un même tout sont inséparables et unies sur u
y a certainement pour chaque anneau du segment vertébral une certaine
partie
de cette tige nerveuse; mais cette partie, ce seg
ment vertébral une certaine partie de cette tige nerveuse; mais cette
partie
, ce segment idéal, est-il un segment réel ? y a
airement. Ainsi, voyons-nous Le Gallois affirmer que la vie de chaque
partie
dépend spécialement de cette portion de la moelle
donne naissance au nerf sensoriel, et que l'ex-ce citation des autres
parties
de la moelle épinière et des nerfs « qui en provi
considère par exemple un segment vertébral complet choisi dans cette
partie
de la région caudale qui porte des os en V, on po
mpérieusement l'importance du sujet que nous traitons ici. PREMIÈRE
PARTIE
anatomie des centres nerveux cérébro-rachidiens
rts essentiels, et ne permet pas de juger du fond des choses; trop de
parties
sont déchirées, trop de rapports sont détruits. O
outre une charpente cellulo-vasculaire très-compliquée, comprend des
parties
élémentaires très-différentes les unes des autres
quant au nucléole, il est très-clair et très-brillant. De toutes les
parties
de la cellule nerveuse, c'est celle que l'œil déc
e dans la région qu'on étudie. Cet accroissement porte sur toutes les
parties
de la cellule. On peut en donner une idée par que
ais tous] ces segments attirés et condensés en quelque sorte vers les
parties
antérieures du corps ne sont plus en regard de la
de la moelle semble surtout en rapport avec la capacité sensitive des
parties
qu'elle anime. Il s'en faut de beaucoup que la
tré, que la moelle n'est en rapport avec le cerveau, surtout dans ses
parties
postérieures, que par le plus petit nombre de ses
devant de l'aqueduc de Sylvius, en décrivant un cercle complet. Cette
partie
du ventricule, enroulée dans un plan médian , est
lus loin qu'un mouvement d'enroulement semblable y modifie toutes les
parties
constituantes de l'axe (1). Quoi qu'il en soit,
ase est d'ailleurs purement idéale, le bulbe formant, avec les autres
parties
du noyau encéphalique, un tout continu. Elle est
s écarter l'une de l'autre. Cette séparation est assez facile vers la
partie
supérieure du bulbe, c'est-à-dire vers sa base, m
sous le nom de faisceau interne de la silique. Quant à la plus grande
partie
de ce cordon, elle passe au côté externe de l'oli
de l'autre, et rejetés en dehors, limitent en arrière l'ensemble des
parties
que l'on peut apercevoir en même temps que la fac
otubérance annulaire. Quand on étudie attentivement les différentes
parties
que figurées sur le bulbe du cabiai, dans les p
es, à l'olive, au faisceau latéral, et ne laissent à découvert que la
partie
inférieure du tubercule cendré de Rolande Leur ra
ongitudinaux de l'axe, et dont les extrémités s'épanouissent dans les
parties
latérales du cervelet. Willis, Yieussens, et to
t Sœmmerring, les premiers, ont apporté quelque perfection dans cette
partie
de l'iconographie anatomique. Us ont été dépass
ette assertion repose sur une illusion qu'un intime rapprochement des
parties
rendait d'ailleurs très-facile. Le ruban fibreu
ume total de la protubérance est en rapport avec le développement des
parties
latérales du cervelet. Elle manquait, suivant M.
scription, comme celle de tous les organes dont la distinction est en
partie
artificielle, est une œuvre difficile; pour la re
té énucléé pour ainsi dire, et mis à nu, par l'ablation de toutes les
parties
qui lui sont surajoutées. C'est cette préparation
ie le lecteur de prendre ici pour type, sans se préoccuper des autres
parties
que nous lui ferons plus tard connaître. En eff
t artificiel. C'est là un problème curieux de structure. La majeure
partie
du noyau d'enroulement est recouverte et comme en
eloppée par les couches propres aux hémisphères du cerveau. Une seule
partie
demeure à découvert, celle qui est immédiatement
eum. Quelques détails indispensables compléteront l'histoire de ces
parties
. Nous parlerons en premier lieu de l'espace int
cette cavité médiane le nom d'espace cendré perforé postérieur. La
partie
la plus profonde de cet espace répond au bord ant
on de la glande pituitaire. « Elle est, suivant lui, composée de deux
parties
de différente substance dont l'une est de couleur
'une est de couleur cendrée et l'autre de couleur rougeâtre,.. « La
partie
cendrée fait environ le tiers de la glande pituit
e de vésicules remplies d'une liqueur blanche et elle est située à la
partie
postérieure de la glande... « La partie rougeâtre
anche et elle est située à la partie postérieure de la glande... « La
partie
rougeâtre de la glande pituitaire est un peu apla
La partie rougeâtre de la glande pituitaire est un peu aplatie en sa
partie
supérieure, et convexe dans les autres. Elle est
aujourd'hui peu de partisans. § 3. Face supérieure du noyau. Les
parties
supérieures du noyau cérébral, la plupart envelop
parties supérieures du noyau cérébral, la plupart enveloppées par des
parties
surajoutées, n'apparaissent pas directement à l'œ
ance, nous découvrirons une troisième attache qui lie le cervelet aux
parties
antérieures de l'encéphale. Elle est établie par
rs du cervelet sont, comme nous le verrons mieux dans un instant, des
parties
surajoutées au système des faisceaux postérieurs.
et. Les autres sont les cornes latérales dont nous avons parlé. Les
parties
que recouvre la paroi antérieure du ventricule mé
lle modification des axes gris. L'étude de la structure intime de ces
parties
justifie cette comparaison. 3° Troisième région
x faisceaux qui naissent l'un à droite et l'autre à gauche de cette
partie
du bulbe qui répond à l'olive. Après avoir dépass
gorie des ganglions surajoutés, ils sont unis de tant de manières aux
parties
que nous allons maintenant décrire, qu'il serait
(1). (1) Les anciens anatomistes, considérant la disposition de ces
parties
, eurent une idée singulière. Si l'on admet avec e
ur des deux amas gris qu'elle réunit. Ces fibres, très-adhérentes aux
parties
sous-jacentes, forment Yécorce de la couche optiq
illé l'idée d'un entonnoir, de là le nom à'infundibulum donné à cette
partie
. Le second prolongement médian est fort petit,
ence, ce nom : ventricule de la glande pinéale. Dans la plus grande
partie
de son trajet, le ventricule intermédiaire , indé
om de ventricules latéraux. Peut-être pour mettre la nomenclature des
parties
, dans l'adulte, en correspondance avec celle du c
t des animaux mammifères. Mais dans l'homme et dans les singes, de la
partie
postérieure de l'arc du ventricule latéral se dét
es ventricules cérébraux sont presque tout le cerveau du fœtus. Les
parties
de la paroi propre du ventricule (membrane de Vép
e un signe (l'élévation, car il est beaucoup plus grand eu égard à la
partie
enroulée du ventricule dans les singes, où son dé
les singes, où son développement est énorme, que dans l'homme, où la
partie
enroulée l'emporte évidemment sur lui. Cette rema
nt le mieux se garantir, c'est de prendre dans leurs raisonnements la
partie
pour le tout. On pourrait supposer, en considér
êmement réduits, correspond un ventricule très-réduit dans toutes ses
parties
, tandis que le lobe postérieur, malgré la grandeu
iendrons en conséquence après avoir fait connaître la disposition des
parties
auxquelles elle est en quelque sorte appliquée.
, l'autre est circonscrite. La lèvre inscrite adhère intimement aux
parties
adjacentes, et suit le bord postérieur ou interne
ces couches. La lèvre circonscrite est libre et bordée par d'autres
parties
; la fente qui est entre ces deux lèvres donne pa
la voûte, du corps calleux et du septum lucidum. La première de ces
parties
est la voûte à trois piliers, Fornix, autrement a
ui existent entre la paroi supérieure des ventricules latéraux et les
parties
que nous venons de décrire. Disons d'abord que,
, et en tapisse la face supérieure sans s'avancer cependant jusqu'aux
parties
médianes qui demeurent libres. Arrivée à un milli
ent parfaitement développés. Telles sont d'une manière générale les
parties
qui entrent dans la composition du noyau de l'enc
expliquer plus au long; je veux parler de l'enroulement de toutes les
parties
de l'axe dans le crâne. § 5. Comparaison du noy
oit dans la tige vertébrale, soit dans le crâne, domine également les
parties
qui les enveloppent, et celles qu'ils enferment.
musculaires ; et la moelle, composée elle-même par une succession de
parties
similaires, se prolonge dans le crâne. Il est imp
me le nœud de l'explication générale des modifications subies par les
parties
qui sont annexées au ventricule. Le ventricule
mblable à celui qui a lieu dans le crâne, et supposons que toutes les
parties
de la commissure subissent ce mouvement; si l'enr
simple, reproduit, quant aux conditions générales, les relations des
parties
fondamentales qui composent la région intermédiai
t complète. Ce mouvement d'enroulement ne modifie pas seulement les
parties
médianes du noyau, il se retrouve encore dans les
ulement les parties médianes du noyau, il se retrouve encore dans les
parties
qui représentent dans le crâne les deux moitiés d
s dans le cœur. L'une, antérieure, comprend la pointe du cœur, et une
partie
de sa masse ; l'autre, postérieure, répond aux lo
émités, a pour fond les pédoncules moyens du cervelet. On donne aux
parties
latérales du cœur le nom d'hémisphères du cervele
e aux parties latérales du cœur le nom d'hémisphères du cervelet. Les
parties
médianes ont reçu des noms divers. Ainsi, la face
dont le sens est en général transversal, eu égard à la direction des
parties
. Ces sillons, très-rapprochés, séparent des feuil
e du premier lobule et à plus forte raison du lobule auriculaire. Ces
parties
atteignent dans les carnassiers, dans les ruminan
u'elle permet d'apprécier empirique nient l'importance relative des
parties
. Dans l'homme, d'une manière générale, on voit le
son vermis, comme cela a lieu dans YHypsi-prymnus murinus, enfin, les
parties
latérales s'atrophient en masse, ou laissent préd
ions donnent lieu à des observations nouvelles, savoir : 1° Que les
parties
médianes du cervelet antérieur et le système enti
mis d'essayer de pareils calculs en divisant le cervelet en plusieurs
parties
, et en comptant les feuilles sur les tranches. Ma
distingue au premier aspect le lobe semilunaire de toutes les autres
parties
du cervelet, et l'on peut le considérer comme l'é
les autres sapajous, il n'est plus possible de distinguer des autres
parties
du cervelet latéral, ce lobe exceptionnel. Reil
xterne qu'il recouvre très-exactement. Puis elle recouvre toute cette
partie
du noyau cérébral qui enferme le ventricule latér
corps calleux. Dans tout ce trajet, ce bord ceint fort exactement les
parties
qu'il embrasse. La région de la poche qui recou
frontal et le lobe sphenoidal. Ainsi le fond de la vallée répond aux
parties
inférieures du noyau cérébral et touche au champ
La face interne de l'hémisphère est plus* simple; elle est plane à sa
partie
supérieure qui touche à l'hémisphère opposé. Dans
lane à sa partie supérieure qui touche à l'hémisphère opposé. Dans sa
partie
inférieure, elle s'éloigne du plan médian de l'en
res animaux l'hémisphère laisse à découvert le cervelet en tout ou en
partie
. Nous avons décrit les rapports qu'ont les bord
auche les lobes sphénoïdaux. Entre ces deux saillies, on aperçoit les
parties
du noyau cérébral que ne recouvrent point les poc
mps olfactifs. Dans le fœtus humain, à partir du cinquième mois, la
partie
frontale des hémisphères est énorme et prédomine
conclu, comme s'il y avait toujours un même rapport entre toutes ces
parties
, quel que soit d'ailleurs le volume de l'encé p
aussi complète qu'elle pouvait l'être à son âge. Il faisait autrefois
partie
de la collection de Gall, qui l'a signalé dans so
audrait encore tenir compte dans chaque organe des proportions de ses
parties
composantes. Je ne connais point de sujet plus co
l'expression d'une similitude absolue? La forme, les proportions des
parties
seront-elles les mêmes? L'énergie intrinsèque, qu
cervelet ; or je ne connais aucun moyen d'opérer la séparation de ces
parties
avec assez d'exactitude pour arriver à des conséq
in, un homme blanc, dont l'un des hémisphères était atrophié dans ses
parties
frontales, nous a présenté, de ce côté, une dispo
aut d'équivalence que le cerveau sera moins développé dans toutes ses
parties
. La Vénus hottentote n'était point idiote, son ce
plus remarquable qu'il n'y a aucun rapport semblable entre les autres
parties
du cerveau et les parties postérieures du crâne.
a aucun rapport semblable entre les autres parties du cerveau et les
parties
postérieures du crâne. C. Du lobe pariétal. hi.
u lobe occipital. Il nous reste à étudier le lobe occipital, et les
parties
situées au fond de la scissure perpendiculaire ex
n habilement ménagée, Y opercule du lobe occipital, on découvrira les
parties
cachées au fond de la scissure. Ces parties son
ital, on découvrira les parties cachées au fond de la scissure. Ces
parties
sont : 1° Un pli qui du lobule du pli pariétal as
t de sa description le sillon de Rolando, on peut constater entre les
parties
antérieures du cerveau une sorte de symétrie. En
et le lobe occipital qui prédominent; dans l'homme, au contraire, les
parties
prédominantes sont : 1° le groupe de l'étage fron
ème lobe est compris entre la scissure perpendiculaire interne, et la
partie
postérieure de la scissure des Hippocampes. Ce lo
ont exception à cette règle parmi les primates. Mais entre les autres
parties
du crâne et les autres régions des hémisphères, i
traire, le lobe occipital, extrêmement réduit, n'occupe que la minime
partie
des fosses occipitales supérieures; en sorte que
un cas de ce genre (1), les corps striés, le corps calleux, toute la
partie
antérieure et supérieure des hémisphères manquait
t prudent de conclure rigoureusement de la forme du crâne à celle des
parties
qu'il enferme, et si les phré- (1) Ann. françai
dans les singes, il faut, avant tout, considérer attentivement cette
partie
du bord de la grande ouverture de l'hémisphère qu
triculaire, c'est-à-dire, des champs olfactifs. Ce bord, distinct des
parties
auxquelles il touche, leur est toutefois si intim
, mais lorsqu'elle a réussi, elle donne des résultats certains. Celte
partie
du bord libre de l'hémisphère est comprise entre
particulière du crâne, c'est-à-dire dans les fosses ethmoïdales. La
partie
grêle des lobes olfactifs a la forme d'un prisme
ales étaient nécessaires pour l'intelligence de la description de ces
parties
; mais il est indispensable de préciser les choses
er abord très-difficile la comparaison des axes de la moelle avec les
parties
grises du bulbe. Mais les détails dans lesquels n
nons de parler du bulbe, en tant qu'il résulte d'une modification des
parties
intrinsèques de la moelle épinière. Or, outre ces
res arciformes les faisceaux moyens sont surtout en relation avec les
parties
latérales du cervelet, tandis que par les fibre
nicule accessoire ils sont plus particulièrement en relation avec ses
parties
médianes. Les fibres areiformes sont très-rappr
dehors encore sont des fibres divergentes qu'on peut suivre jusqu'aux
parties
les plus externes des axes gris. Ces fibres sont
ec laquelle ils sont le plus souvent confondus, et font en même temps
partie
du système des fibres arciformes. Toutes ces fibr
ologie de la protubérance simplifie singulièrement la description des
parties
de l'axe qui sont situées au-dessus d'elle, descr
les corps restiformes, ne se retrouvent plus ici, puisque la majeure
partie
, sinon la totalité de leurs fibres, se sont détac
équence inspirer l'idée que les corps restiformes, je veux dire cette
partie
bien distincte des cordons postérieurs brachiaux
la moelle, se portent vers les pédoncules cérébraux? Il semble que la
partie
superficielle des cordons postérieurs s'arrête au
essous d'eux, et s'unit en voûte à celui du côté opposé. Dans cette
partie
de son trajet, le cordon postérieur a plusieurs s
est-à-dire les deux rubans de Reil. Toutes ces choses répondent, en
partie
, à la région de la protubérance, en partie à cell
s ces choses répondent, en partie, à la région de la protubérance, en
partie
à celle des pédoncules. Cette dernière région est
aux gris peuvent être considérés comme le centre de l'enroulement des
parties
qui occupent la face médiane de chaque pédoncule,
que le corps strié externe, est le centre d'enroulement de toutes les
parties
externes. 11 y a donc une sorte de correspondance
, on peut aisément apercevoir la disposition circulaire de toutes les
parties
qui l'enveloppent. Parmi ces parties, les unes fo
osition circulaire de toutes les parties qui l'enveloppent. Parmi ces
parties
, les unes font partie intrinsèque des deux axes r
e, les autres s'enroulent autour d'eux mais sans y adhérer. Parmi les
parties
intrinsèques nous distinguerons: l°un faisceau dé
ère avec cette écorce elle-même. 2° D'autres fibres, constituant en
partie
l'écorce des couches optiques, naissent de la par
, constituant en partie l'écorce des couches optiques, naissent de la
partie
la plus interne de l'anneau du pédoncule. Celles-
e la commissure postérieure et au-dessous de la glande pinéale. Les
parties
qui s'enroulent autour des couches optiques, mais
t dans la couche superficielle. Celle-ci n'a d'analogue dans aucune
partie
de l'encéphale. Elle est entièrement formée de tu
ssible à résoudre. B. Noyau du cervelet. Ce noyau est formé de deux
parties
, savoir : 1° l'olive du cervelet qui est au centr
ompris dans une enveloppe jaunâtre, et logé dans l'épaisseur de cette
partie
de la racine cérébelleuse qui dépend du pédoncule
un plus petit nombre des corps restiformes. Ces fibres traversent en
partie
l'olive pour se porter au delà. Une petite artère
ames et en feuilles pour se terminer plus particulièrement dans cette
partie
de fécorce du cervelet médian qui répond à la par
ement dans cette partie de fécorce du cervelet médian qui répond à la
partie
moyenne de son corps et à son vermis. Elles appar
ire de quelle source partent les fibres qui s'épanouissent dans les
parties
latérales du cervelet antérieur, et dans le corps
dirigent de chaque côté vers le cervelet, et s'épanouissent dans les
parties
latérales du corps du cervelet antérieur. Il y a
mais ils ne sont point indifféremment en rapport avec telle ou telle
partie
de la protubérance. Ainsi les masses du cervelet
avec le développement des plans superficiels du pont, tandis que les
parties
latérales du cervelet antérieur sont en relation
dans les Cétacés et dans les Éléphants. Or, dans tous ces animaux les
parties
latérales du cervelet l'emportent sur les parties
ous ces animaux les parties latérales du cervelet l'emportent sur les
parties
médianes, et parmi ces parties latérales, le corp
érales du cervelet l'emportent sur les parties médianes, et parmi ces
parties
latérales, le corps des cervelets latéraux sur le
r dans un instant des conséquences utiles. En nous résumant, 1° les
parties
médianes du cervelet antérieur, le vermis médian
rapport avec le développement du bulbe et des corps restiformes. Ces
parties
sont, si je puis le dire ainsi, les cervelets de
je puis le dire ainsi, les cervelets de la moelle épinière. 2° Les
parties
latérales du cervelet antérieur, et les cervelets
masses latérales du cervelet, et celui des hémisphères cérébraux. Ces
parties
latérales du cervelet constituent en conséquence
ucune relation directe ou inverse entre le développement des diverses
parties
du cervelet et celui des lobes olfactifs. 4° Le
t dit, est divisé en deux masses latérales appelées Hémisphères. Leur
partie
essentielle est ce que les anciens ont nommé écor
lque hypothèse probable sur le rôle et sur les connexions intimes des
parties
qu'on y a distinguées. Fracassati supposait que
t artères qui pénètrent profondément leur substance : il sort de leur
partie
interne une fibre blanche nerveuse, qui en est co
'analyse des faisceaux blancs des hémisphères, du moins seront-ils en
partie
plus intelligibles. Nous serons ici moins près de
unissant entre elles, par un vaste système de commissures, toutes les
parties
d'un mémo (\) Cf. p. Gratiolet, dans Y Institut
En abaissant un peu ce qui reste du pédoncule, on peut apercevoir une
partie
de la face supérieure des couches optiques. Le
sont des commissures propres qui unissent entre elles les différentes
parties
d'un même hémisphère. Dans l'homme, les fibres
en arrière au niveau de la scissure des Hippocampes, en sorte que les
parties
supérieures du plan des libres propres ne tiennen
les parties supérieures du plan des libres propres ne tiennent à ses
parties
inférieures que par cette partie de l'ourlet qui
es libres propres ne tiennent à ses parties inférieures que par cette
partie
de l'ourlet qui borde en arrière l'ouverture de l
Hippocampes. Toutefois, de même que l'ourlet, il communique avec les
parties
inférieures de l'hémisphère par un prolongement q
godronné et le pli unciforme forment les limites, c'est-à-dire cette
partie
de la scissure des Hippocampes qui se prolonge au
ternes et les corps genouillés antérieurs. Du côté interne de cette
partie
enroulée, au-devant du corps genouillé interne, n
ernes, qu'un mouvement de développement direct eût conduites vers les
parties
antérieures de l'hémisphère, se distribuent en ar
s de cette grande expansion cérébrale du nerf optique dans toutes les
parties
du bord supérieur de l'hémisphère qui sont en arr
optique a un volume médiocre. Il s'enroule comme à l'ordinaire sur la
partie
postérieure des couches optiques, où il se renfle
ux qui ont un grand lobe olfactif il n'en est point ainsi. La majeure
partie
de la commissure se porte dans ces lobes, et n'en
, émanées de l'anneau pédonculaire, pénètrent dans leur intérieur. La
partie
grise des couches corticales du cerveau se prolon
u lobe olfactif, se porte au sommet du lobe sphenoidal, en suivant la
partie
adhérente du bord de la grande ouverture cérébral
a distribution est fort simple. Toutes ces fibres se dirigent vers la
partie
antérieure du lobe, c'est-à-dire vers le cul de s
et Vulpian, ces racines du nerf facial d'un côté, s'entre-croisent en
partie
dans le plan médian du bulbe avec celles du côté
trajet dépendrait uniquement des modifications que subit la forme des
parties
environnantes. (c) Nerf moteur oculaire commun.
culaire. Ses radicules traversent obliquement toute l'épaisseur de la
partie
commissurale du pédoncule entre les faisceaux a
rieurs, proprement dits, et les faisceaux moyens, et se terminent, en
partie
, dans la substance grise qui forme le plancher de
n médian de l'axe, au-dessous du pédoncule cérébelleux supérieur. Une
partie
des fibres qui la composent, suivant MM. Philippe
t descend avec un prolongement du faisceau postérieur jusque dans les
parties
grises de l'anneau pédonculaire, d'où elle se pro
is des racines de l'hypoglosse. Ces habiles anatomistes ont employé
partie
antérieure du pédoncule du cervelet, l'autre plus
térieure du pédoncule du cervelet, l'autre plus grande qui naît de sa
partie
moyenne. Paletta a été plus loin. (De nervo crota
cations des radicules du nerf vague, atteignant à travers le bulbe la
partie
la plus externe du plancher du quatrième ventricu
ossopharyngien, le spinal, le facial et le pathétique font évidemment
partie
d'un même système anatomique, distinct de celui q
également. Il faut remarquer que le glossopharyngien est propre à la
partie
viscérale de la langue, de même que le pneumogast
z sans doute pour affirmer qu'ils vont aux hémisphères; mais à quelle
partie
des hémisphères? heureux l'a-natomiste qui pourra
'on observe dès le débutde la formation de l'embryon dans l'axe de la
partie
claire de Y area germinativa, est le point de dép
al central du tube. Ce tube est l'axe nerveux primitif; de toutes les
parties
du système nerveux central, celle-ci apparaît la
gouttière primitive soit complètement fermée, elle se renfle dans sa
partie
céphalique en trois dilatations successives. Nous
a dénomination de cerveau intermédiaire ; cette dilatation porte à sa
partie
antérieure deux excroissances symétriques ou lobe
ions dont nous venons de parler s'effectuent, l'embryon subit dans sa
partie
cépha-lique une forte courbure, et le tube nerveu
de B en C, est dans l'embryon Y arrière-cerveau ; elle répond à cette
partie
du quatrième ventricule qui, che2 l'adulte, est c
iques de l'axe nerveux est réduit, du moins quant aux apparences, aux
parties
qui, chez l'adulte, composent l'ensemble des vent
ne dirait pas grand'chose en enseignant avec Tiedemann que toutes ces
parties
sont successivement formées par des dépôts produi
. Tab. 22, f. xu, et Longet. Traité de physiologie, torn. H, deuxième
partie
, de la génération, page 195, fig. 22, B. borner
urité du problème. § 3. Perfectionnement successif des formes. La
partie
dominante de Yencéphale, pendant les premières ép
, saillant et complé tement découvert, domine sur toutes les autres
parties
de l'encéphale. On ne voit d'ailleurs aucune trac
édiane en divisait la surface en deux moitiés symétriques; toutes les
parties
de l'encéphale s'accroissaient, mais les lobes op
pare d'avec le cervelet et comprend, avec la valvule de Vieussens, la
partie
visible des pédoncules supérieurs du cervelet, n'
obes optiques avaient un peu perdu de leur grandeur relative , et les
parties
latérales du cervelet avaient une plus grande épa
t le plexus choroïde. Un si grand volume oblige de supposer que cette
partie
a dans le fœtus quelque rôle encore ignoré , mais
cervelet avaient beaucoup grandi. Déjà les lobes optiques étaient en
partie
recouverts. Dès cette époque d'ailleurs, bien qu'
de plis à sa surface, le cerveau avait acquis, sur toutes les autres
parties
de l'encéphale, une prédominance marquée, et ses
énoïdaux faisaient une saillie bien distincte. Quant au cervelet, ses
parties
latérales prédominaient encore sur ses parties mé
Quant au cervelet, ses parties latérales prédominaient encore sur ses
parties
médianes, si bien qu'à la place du vermis médian
t de l'homme, le développement des masses latérales devance celui des
parties
médianes. A partir de ce moment, l'accroissemen
nt bien changé. La marche du développement s'étant effectuée dans ces
parties
d'une manière fort inégale, maintenant c'est le c
la seizième semaine environ cet organe était parfaitement lisse. Ses
parties
latérales prédominaient sur les parties médianes,
était parfaitement lisse. Ses parties latérales prédominaient sur les
parties
médianes, qui présentaient une dépression manifes
de cette époque les choses changent rapidement. Ce développement des
parties
latérales, dont la marche avait tout devancé, se
ont la marche avait tout devancé, se ralentit; en revanche, celui des
parties
médianes s'accélère. Le culmen s'élève; le bord a
x, et l'on peut dès lors compter tous ses lobules. A cette époque les
parties
médianes ont devancé les parties latérales et l'e
tous ses lobules. A cette époque les parties médianes ont devancé les
parties
latérales et l'emporteront quelque temps sur elle
égions occipito-sphônoïdales s'étendent par degrés et font perdre aux
parties
frontales un peu de leur prédominance primitive.
est vers cette époque beaucoup plus long que large, surtout dans ses
parties
frontales. C'est seulement vers les derniers te
uadrijumeaux et le cervelet, de manière à cou-« vrir enfin toutes ces
parties
. On observe précisément le « même mode de formati
st pas moins affîrmatif, en ce qui touche le développement des autres
parties
de l'encéphale, du bulbe, du cervelet, des tuberc
n, de reptile, de mammifère, car les oiseaux ne feraient pas aisément
partie
de cette série. A bien considérer cette proposi
lui. Tiedemann a eu le tort de scinder la question et de prendre la
partie
pour le tout. 11 ne suffisait pas d'étudier le mo
réparent une forme future. ¦ § S. Dn développement de chacune des
parties
qui composent l'encéphale. Je vais essayer d'ét
s seconds. On retrouve, il est vrai, dans tous ces cerveaux les mêmes
parties
fondamentales ; mais autrement disposées, autreme
ppantes apparaissent quand on compare entre elles, non plus certaines
parties
détachées de cet ensemble, mais les harmonies qui
s de cet ensemble, mais les harmonies qui résultent de l'union de ces
parties
, telles que les montrent d'une part l'encéphale d
parfaitement distincts est complète. Enfin le cervelet, grand par ses
parties
médianes et réduit dans ses masses latérales, est
uit suivant les conditions de son type futur et porte dans toutes ses
parties
des sillons et des plis fort apparents (1). (1)
un d'eux soit précisément une fois moins long que l'autre, toutes les
parties
gardant dans tous les deux les mômes proportions
es nerveux sont compris sous une enveloppe immédiate. Une membrane en
partie
fibreuse, en partie vasculare, revêt immédiatemen
ris sous une enveloppe immédiate. Une membrane en partie fibreuse, en
partie
vasculare, revêt immédiatement l'extérieur de la
et du cerveau. Elle tapisse avec beaucoup d'exactitude la surface des
parties
qu'elle recouvre, et pénètre dans leurs moindres
a lieu plus particulièrement dans la moelle épinière; mais autour des
parties
grises de l'encéphale, c'est l'élément vasculaire
au fond de ses moindres anfractuosités. Cette disposition justifie en
partie
l'opinion des anciens qui voyaient dans ces anfra
936. se continue avec la pie-mère cérébelleuse. Dans le fœtus, les
parties
de la pie-mère qui recouvrent les dilatations lat
lie dans les ventricules latéraux et reçoivent quelques vaisseaux des
parties
voisines. Ces franges vasculaires, connues sous l
ée par M. Valentin (I). (1) Physiologie, deuxième édition, deuxième
partie
, page 22. Tous ces plexus sont fort réduits dan
ophyse crista galli; quant à sa base, elle tombe à angle droit sur la
partie
moyenne du repli horizontal. Ces deux replis sont
de la région dorsale, et deviennent peu à peu plus nombreuses vers la
partie
inférieure de cette région. Ces brides, fixées d'
'un grand sac, le cerveau et la moelle épinière, mais il recouvre ces
parties
sans y adhérer. Le deuxième feuillet, feuillet
il est refoulé par tous les prolongements qui unissent la moelle aux
parties
périphériques, et revêt ces prolongements d'une e
ubérance, se recourbe en dehors, puis en arrière, et se distribue aux
parties
postérieures des hémisphères sous le nom d'artère
e la protubérance, et en général toutes celles qui pénètrent dans des
parties
blanches qui recouvrent des noyaux de substance g
étreux supérieurs. 3° Les veines cérébrales antérieures. Nées de la
partie
inférieure des lobes antérieurs du cerveau, elles
nférieure des lobes antérieurs du cerveau, elles se terminent dans la
partie
antérieure du sinus caverneux, et dans certains c
oit. 5° Les veines cérébelleuses supérieures. Elles s'unissent à la
partie
moyenne du sinus droit. 6° Les veines cérébelle
sienne et Y arabe, plus que les familles teutonique et celtique, qui,
parties
d'une origine commune, luttent depuis des siècles
ont, en effet, les rapports des différentes régions du crâne avec les
parties
fondamentales de l'encéphale. Ainsi, quand le cer
nsibles. Le cerveau s'avance de plus en plus, et l'occupe, d'abord en
partie
, puis en totalité. En même temps il s'accroît, ma
énuent peu à peu. Enfin, les masses ethmoïdales qu'enveloppaient en
partie
les régions antérieures du frontal, sont à la fin
me, car chez eux la convexité des voûtes orbitaires occupe une grande
partie
de la loge frontale, en sorte que la face inférie
ahissement du frontal, la vertèbre pariétale loge toujours la majeure
partie
du cerveau, mais la prédominance typique de cette
la vertèbre frontale. Enfin, chez les primates, il usurpe la majeure
partie
de cette vertèbre et s'accroît en outre du côté d
ntale et pariétale correspond une proclivité singulière de toutes les
parties
de la face. Mais dans la race tasmanienne, où l'a
chez un Malais de l'île de Bali. Mais chez les Cafres, où toutes les
parties
du crâne sont à la fois plus grandes, le volume d
je signalerai plus particulièrement la suture pariéto-fronfale et la
partie
antérieure de la médio-pariétale dans les Alfouro
faciale, mais dans la race blanche elle s'incline davantage vers les
parties
postérieures. Cette inclinaison dépend d'une part
eloppement; à cet égard, on remarque une sorte d'antagonisme entre la
partie
antérieure et la partie postérieure du crâne; dan
on remarque une sorte d'antagonisme entre la partie antérieure et la
partie
postérieure du crâne; dans certains crânes où Y o
main. Nous ne le contestons point ; mais il ne s'ensuit pas que les
parties
occipitales du cerveau puissent se substituer à s
s que les parties occipitales du cerveau puissent se substituer à ses
parties
frontales. Or, l'observation démontrant qu'elles
yses orbitaires, s'élève sur chacun des côtés du frontal, séparant sa
partie
faciale d'avec ses parties temporales. Or, dans l
ur chacun des côtés du frontal, séparant sa partie faciale d'avec ses
parties
temporales. Or, dans les races inférieures, la la
ée de Sylvius. Ainsi la saillie temporale exprime la prédominance des
parties
qui sont situées au-dessous de la scissure de Syl
égale distance de ces deux bords. Ce fait indique clairement que les
parties
qui sont en avant du sommet de la scissure de Syl
celles qui sont situées en arrière de ce point. Cet accroissement des
parties
frontales est rendu bien sensible par la comparai
ant blanc la région cérébrale de l'occiput l'emporte beaucoup sur ses
parties
cérébelleuses. Elle est relativement fort grande,
ent de cette courbe importe, et se demander si une augmentation d'une
partie
quelconque du crâne ne pourrait pas avoir dc_ rés
es Weber (2). (1) Recherches sur l'encéphale. Paris, 183G. Première
partie
. (2) Elle est égale à 0», 176 suivant ces habil
ette réduction générale, la réduction la plus marquée portait sur les
parties
frontales. C'est d'ailleurs une remarque import
312 0,104 N.B. Si l'on divise le diamètre antéro-postérieur en deux
parties
égales par un diamètre transversal, on partage la
ns d'autres cas, le lien compresseur, noué sous le menton, divise les
parties
supérieures du crâne en deux lobes, comme M. le d
e à l'usage... En effet, la liqueur séminale provient de toutes les
parties
du corps, saine des parties saines, altérée des p
liqueur séminale provient de toutes les parties du corps, saine des
parties
saines, altérée des parties malades. Si donc de p
de toutes les parties du corps, saine des parties saines, altérée des
parties
malades. Si donc de parents chauves naissent souv
s certaine que celle des anciens. Suivant Avicenne, les lésions de la
partie
antérieure du cerveau altéraient le sens commun;
partie antérieure du cerveau altéraient le sens commun; celles de la
partie
moyenne, la raison; celles de la postérieure, la
isamment, dit Daniel Sennert, pourquoi le sens commun a pour siège la
partie
antérieure du cerveau. Il est vrai que tous les o
de la mémoire, de celle-ci et de la raison, logeant la raison dans la
partie
moyenne du cerveau, l'imagination dans son extrém
r en vertu des rapports de chacune de ces vertèbres avec une certaine
partie
primitive de la masse du cerveau, on observe que
e centre d'une activité supérieure? A cela je répondrai que certaines
parties
de la région pariétale du cerveau caractérisent a
e du cerveau caractérisent aussi bien l'encéphale humain que d'autres
parties
des lobes frontaux, et qu'en conséquence il serai
ux; cx-pliquera-t-on tout cela par le développement de telle ou telle
partie
du crâne? Les crânioscopistes le prétendent; mais
donc pas s'étonner si les races inférieures autochthones de certaines
parties
de l'Afrique, de l'Australie et de la Mélanésie,
t des primates. Paris, Arthus Bertrand, 1854. Pl. I et II. DEUXIÈME
PARTIE
. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENT
pe-t-on les secondes, le nerf devient insensible ainsi que toutes les
parties
où il se distribue. berg, t. II, liv. I des lie
le est le principe de ces deux facultés, et fait voir que chacune des
parties
de la moelle a le privilège d'animer toutes les p
e chacune des parties de la moelle a le privilège d'animer toutes les
parties
du corps auxquelles ses nerfs se distribuent. D
re ; l'animal n'en percevait aucune. » Loc. cit., p. 13. Cf. Deuxième
partie
. §3. pr. 3. d'intelligence, de spontanéité, de
'intelligence demeurent entières dans le segment antérieur, quant aux
parties
qui reçoivent leurs nerfs du segment postérieur,
nt spontané, ni mouvement coordonné, puisque « l'encéphale, siège des
parties
qui coordonnent et déterminent le mouve-« ment, e
t, est perdu. Mais du temps de Legallois, la délimitation entre les a
parties
qui veulent, les parties qui coordonnent et les p
ps de Legallois, la délimitation entre les a parties qui veulent, les
parties
qui coordonnent et les parties qui produisent « l
n entre les a parties qui veulent, les parties qui coordonnent et les
parties
qui produisent « le mouvement, n'était pas encord
amp une réaction opérée. » C'est là le mot propre. Loc. cit. Première
partie
, § 2. Pr. 1. vitio superioribus mutatur, et in
a moelle dans un plan médian sur un animal décapité, l'excitation des
parties
cutanées du côté droit fera contracter les muscle
es du côté droit fera contracter les muscles droits, l'excitation des
parties
gauches fera contracter les muscles gauches. Tout
s plus apparentes qu'après la décapitation. Un fragment détaché de la
partie
postérieure d'un ver est dans un état convulsif d
n'était rien qu'un nerf. Nous avons vu qu'elle est un centre par ses
parties
grises. Mais évidemment aussi elle est un conduct
ce. L'habile expérimentateur voyant la sensibilité persister dans les
parties
postérieures du corps après la section des cordon
a. Huit heures après, le lapin marchait comme dans l'état normal. Les
parties
postérieures à la blessure parurent alors plus se
ando coupa les cordons postérieurs. Le mouvement fut anéanti dans les
parties
situées en arrière de la section, mais le sentime
eposer l'animal, après quelques heures, ta plus légère excitation des
parties
postérieures suffisait pour faire donner à l'anim
isent jusqu'au cerveau, où elles déterminent le sentiment réel. Cette
partie
du travail de Van Deen est fort hypothétique. Il
Les observations anatomiques que nous avons résumées dans la première
partie
de cet ouvrage sont manifestement contraires à ce
moelle et remarque avec lui cette hypéresthésie singulière connue en
partie
de Fodera, qui affecte les parties postérieures à
hypéresthésie singulière connue en partie de Fodera, qui affecte les
parties
postérieures à la section du côté lésé, ce qu'il
susbtance grise. Il constate la diminution de la sensibilité dans les
parties
postérieures du côté sain, fait vu autrefois par
sensitives après avoir pénétré dans la moelle, se portent en majeure
partie
dans l'autre moitié de cet organe, à l'endroit mê
pose la conservation de la sensibilité. Il est probable qu'une grande
partie
de ces entrecroisements se font dans le cerveau.
é des lésions du bulbe n'est relatif, suivant lui, qu'aux lésions des
parties
antérieures du bulbe, et M. Longet se range à cet
es il est produit. D'après les expériences de Longet, confirmées en
partie
par celles de Schiff, ce mouvement résulte consta
molle, de la glande pinéale du corps pituitaire, et de la plupart des
parties
constituantes du noyau cérébral. Depuis que l'hyp
nts qui occupent toute l'étendue de la moelle allongée suppléaient en
partie
à l'absence de ce vaste système d'entrecroisement
résultats, et démontrent une pareille influence de l'ablation de ses
parties
antérieures sur les mouvements en avant, et de se
ion de ses parties antérieures sur les mouvements en avant, et de ses
parties
postérieures sur les mouvements en arrière. M. Fl
mple, entraîne l'atrophie de l'hémisphère gauche du cervelet et de la
partie
gauche de la moelle. Il se croit donc fondé à rep
nce est une, de même son organe immédiat est homogène dans toutes ses
parties
. M. Flourens a démontré que les facultés première
e imagine les choses et qu'elle en juge, et enfin qu'elle est dans la
partie
cendrée du cerveau parce qu'elle y exerce les act
ont pensé que les deux extrémités des hémisphères agissaient sur des
parties
différentes du corps. Les lobes postérieurs prési
ffuses qui déterminent l'apoplexie, de la multitude des réactions des
parties
malades sur les parties saines et réciproquement;
'apoplexie, de la multitude des réactions des parties malades sur les
parties
saines et réciproquement; en tenant compte d'autr
.1856.) thèses sur le rôle qu'on pourrait attribuer aux différentes
parties
des hémisphères cérébraux. Nous ne résoudrons pas
ands, si importants dans les vertébrés inférieurs, perdent une grande
partie
de cette importance dans les animaux les plus éle
rganes, soient absolument applicables à ceux chez lesquels la majeure
partie
des bandelettes optiques s'épanouissent directeme
sens, des raisons victorieuses. J'ai résumé rapidement, dans cette
partie
de mon livre, l'histoire physiologique du système
acultés peut être expliqué par l'organisation du cerveau. TROISIÈME
PARTIE
. DE L'INTELLIGENCE. CHAPITRE PREMIER. DE L'
il entend. Il sait même qu'en tant qu'il sait, il n'est pas certaines
parties
de son corps; il sait qu'il ne pense ni par ses b
n autre organe extérieur; enfin, à supposer qu'il pense par certaines
parties
intérieures, non-seulement il n'a aucune idée du
matière très-subtde. Pour Epicure d'ailleurs, les atomes étaient des
parties
animées de celte âme. Pour Démocrite au contraire
mêlée au corps est divisible comme lui; et s'il y a dans chacune des
parties
d'un tout divisé une raison suffisante de subsist
ng est pour ainsi dire la matière première de l'âme, du moins par ses
parties
les plus déliées, les plus subtiles et les plus a
ence des idées cartésiennes. Ainsi répandue, infuse dans toutes les
parties
du système nerveux, l'âme sensitive a pour forme
ibnitz, un monde de créatures, d'animaux, de vivants, dans la moindre
partie
de la matière. Chaque portion de la matière peut
é par Aristote et par Willis. En effet, si dans un corps vivant toute
partie
est vivante, le corps est une somme ordonnée d'un
st une somme ordonnée d'unités, et son unité est une harmonie. Chaque
partie
a donc une âme propre, soumise à la monade qui di
is cette dissociation n'entraîne pas nécessairement la destruction de
parties
dont chacune a son chef et son entéléchie particu
matière. Comme elle est, dit-il, une substance divisible composée de
parties
qui peuvent toujours être séparées les unes des a
certaines qualités qui ne résident ni dans chacune ni dans aucune des
parties
qui les composent, considérées en particulier et
té individuelle de penser peut se trouver dans la matière. Ainsi, les
parties
qui composent le cerveau humain peuvent avoir, pa
urelle, ou comme une vertu que Dieu ajoute à une telle combinaison de
parties
matérielles, quoique chacune, prise séparément ou
ée serait donc un phénomène qui n'aurait sa raison d'être dans aucune
partie
de la matière prise en particulier, mais dans une
tière prise en particulier, mais dans une certaine combinaison de ces
parties
. C'est une contradiction, disait Dodwell, de fair
ll, de faire le sens intérieur la somme des sentiments intérieurs des
parties
, de même que c'est une contradiction de faire con
t une contradiction de faire consister la rondeur dans la rondeur des
parties
. Clarke a combattu ces arguments avec beaucoup de
préconisée par Willis s'expliquerait naturellement. En effet, toute
partie
du corps a son âme ou son entéléchie, en tant que
t. Il y a des sentiments localisés que nous rapportons à une certaine
partie
de notre corps, et des sentiments généralisés qui
us touchons d'une manière distincte, et nous touchons surtout par ses
parties
superficielles. Cependant toute l'épaisseur de la
oins sensible, sente ici plus vivement? L'étude de l'organisation des
parties
explique aisément ce paradoxe. Nous avons dit q
'une pression un peu forte est exercée, elle est comprimée contre les
parties
sous-jacentes. De là une impression nouvelle qui
oussins graisseux la face profonde de la peau au contact immédiat des
parties
dures sous-jacentes. De là ces pelotes tactiles s
é de houppes nerveuses à l'extrémité des « doigts que dans les autres
parties
du corps ; ce n'est pas, « comme on le prétend vu
e « du toucher, on pourrait dire, au contraire, qu'il y a d'au-« très
parties
plus sensibles et dont le toucher est plus délica
c. Mais c'est uniquement « parce que la main est divisée en plusieurs
parties
toutes (1) Une idée innée n'est point une idée
s, on la trouvera « plus grande,à proportion que celle de toute autre
partie
du « corps, parce qu'il n'y en a aucune qui soit
sortes de surfaces, autre avantage qui suffirait pour « rendre cette
partie
l'organe de ce sentiment exact et précis « qui es
corps; et si nous supposions qu'elle fût « divisée en une infinité de
parties
toutes mobiles et flexibles, « et qui pussent s'a
d'offrir des perfections plus grandes, une pareille main dépourvue de
parties
dures serait fort inférieure à la nôtre. Ne voit-
ilité, qu'on me permette cette expression, dans les dimensions de ses
parties
constituantes. Qui a jamais songé à prendre pour
corps? N'est-ce pas d'ailleurs parce que les grandeurs de toutes ses
parties
sont précises, que l'âme peut acquérir la faculté
nstrument imparfait d'une Intelligence. Un corps mobile mais formé de
parties
dures à sa surface convient à un animal dont les
es sensations, parce que l'idée qui en résulte a trait à une certaine
partie
modifiée du corps, et ne représente en totalité r
d'ailleurs ces impressions de température peuvent s'éveiller dans une
partie
vivante, indépendamment de l'idée d'aucun corps e
une idée des choses par comparaison? Il vaut mieux dire dans quelles
parties
et dans quelles conditions se développent les imp
t les impressions qui nous occupent ici. Remarquons d'abord que les
parties
les plus chatouilleuses ne sont pas toujours les
lantaire des mains et des pieds l'est beaucoup plus. Parmi les autres
parties
les plus susceptibles de chatouillement, sont les
lus susceptibles de chatouillement, sont les environs des lèvres, les
parties
latérales du cou et du tronc, surtout chez les en
s tout cela se fait sans elle. Il y a une telle coordination dans les
parties
intérieures de l'automate, qu'ici les effets et l
ns de contact et même les impressions de température; d'ailleurs, des
parties
trop capables déplaisir ou de douleur touchent ma
à certains égards de l'autre, il y a cependant en chacune d'elles une
partie
semblable. Or, il est évident que dans la vision
, il est évident que dans la vision simultanée par les deux yeux, les
parties
dissemblables des deux images ne sont vues que pa
vues que par un seul œil, mais que les deux yeux voient à la fois les
parties
semblables, et que ces parties se superposent dan
que les deux yeux voient à la fois les parties semblables, et que ces
parties
se superposent dans l'image unique que perçoit l'
arriver par là à la con- (1) Rohault. Traité de physique. Première
partie
, chap, xxxi, art. 20. ception d'une vision simp
'esprit lui-même entre en jeu pour distinguer dans l'image totale ses
parties
constituantes. Vainement, en effet, tous les poin
plus en plus éloignés ; sur ces observations si simples est fondé en
partie
l'art de la perspective. Un troisième élément e
n'est-ce pas le chercher hors de soi? » Trailé des animaux. Première
partie
, ch, vi. sont inhérentes à la constitution natu
au. Dans Bulletin de l'Acad. de Belgique. 1849-1850. T. XVI, deuxième
partie
, p. 254. chose d'analogue, peut à priori être c
§ 1. Définition de l'imagination. Après avoir rapidement traité des
parties
de l'histoire des sensations qui ont avec notre s
onde extérieur, et la seconde de l'intelligence. Il en résulte que la
partie
automatique du système nerveux y est moins intére
continue, l'action prolongée de la chaleur ou du froid sur certaines
parties
, pourront éveiller des idées adéquates pendant le
contredit ailleurs. L'enfant nouveau-né, dit-il, dort la plus grande
partie
du temps, et pendant son sommeil on s'aperçoit qu
chées, si je puis ainsi dire, des idées particulières de toutes leurs
parties
; et de même que dans la veille nous pouvons imag
urs parties ; et de même que dans la veille nous pouvons imaginer ces
parties
isolément, par une abstraction spontanée et émine
es, et en général plus justes, pécheraient seulement en ceci, que les
parties
, constituant le composé, seraient tirées d'animau
De même, » disait-il, « que si l'on frappe de « l'air ou de l'eau, la
partie
ébranlée en pousse une autre, en « sorte que le m
cbat noir le mordait au côté. Le lendemain un anthrax existait sur la
partie
mordue. Le célèbre Conrad Gesner eut un rêve anal
confusion, égarant l'esprit, conduit à l'aliénation mentale. Quelle
partie
de l'encéphale est le siège de ces impressions si
impressions si vives, d'où résulte l'idée de sensation? Quelle autre
partie
est l'organe de l'imagination proprement dite? Ic
lever à sa volonté (l) Cf. E. Chevreul. De la baguette divinatoire,
partie
V, chap, il, p. 238. Paris, 1854. dans les airs
nte générosité, faisait un soir, avec quelques hommes de son âge, une
partie
de billard. Contre son ordinaire, il fut mauvais
s ordinaires de ces tristes maladies qui sont comme des émeutes de la
partie
matérielle de l'homme contre le pouvoir régulateu
d'un sentitnenl qui pénètre tout l'organisme, il n'est pas une seule
partie
qui ne s'associe à sa manière à l'action principa
lque grande plaie, les esprits se « transportent avec effort dans les
parties
de notre corps qui « correspondent à celles que l
n grand coup à la tête, nous portons symboliquement la main sur cette
partie
, en faisant un geste de douleur; voyons-nous quel
n spectacle effrayant, doit, suivant lui, se garder de toucher aucune
partie
de son corps. Ce contact déterminerait des marque
fois que ce scrotum était pincé, la mère se sentait blessée dans une
partie
qui, chez la femme, semble correspondre au scrotu
ps conservent avec lui une sympathie occulte, à plus forte raison des
parties
détachées d'un corps vivant, et conservées ailleu
fièvres, et enfin toutes les maladies. 11 guérissait en touchant les
parties
malades, et en éloignant par des passes le mal de
uchant les parties malades, et en éloignant par des passes le mal des
parties
les plus essentielles. Pechlin (2) a raconté son
quelle, au « moyen du coude, peut être appliquée directement sur la «
partie
malade. Une corde, placée autour de leur corps, l
bois, Histoire académique du Magnétisme animal. Paris, 1841, p. 30.
partie
intérieure du corps ne peut y exciter de légers m
bras, les jambes, les genoux, le ventre, et successivement toutes les
parties
de son corps; puis il disait: le mal est là. 11 s
nsus, une sympathie universelle, par laquelle l'affection d'une seule
partie
intéresse tout le système. Le corps, par exemple,
le maintenais malgré lui. A ce moment, le coati, qui grimpait dans la
partie
supérieure de la cage et paraissait d'abord indif
arrassaient la gorge, se gratter la tête, les lèvres ou quelque autre
partie
du corps, comme si des démangeaisons importunes c
indre implique celle de distinguer dans un objet toutes celles de ses
parties
et de ses propriétés qui peuvent être perçues par
jet par la représentation exclusive de son caractère dominant. Ici la
partie
est prise pour le tout. Cette sorte d'imitation m
t ou un vermisseau. En général, dans ce cas, le tout est pris pour la
partie
. sophic la morale el la médecine (mémoires de l
luantes, que nous avons plus haut rapportées, ont fait voir que celte
partie
du système nerveux qui préside immédiatement aux
ui préside immédiatement aux mouvements de l'automate, et celte autre
partie
par laquelle l'intelligence se manifeste par la p
i passent d'un pli à l'autre et relient en un même système toutes les
parties
, toutes les régions d'un même hémisphère. Par ell
....... vu Introduction............................... i PREMIÈRE
PARTIE
. AN ATOM IE DES CENTRES NERVEUX CÉRÉBRO-RACHIDI
s de Tiedeman............. 244 § 5. Du développement de chacune des
parties
qui composent l'encéphale......................
5. Des déformations du crâne................. 315 Pages DEUXIÈME
PARTIE
. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRA
§ 2. Fonctions des ganglions surajoutés............. 365 TROISIÈME
PARTIE
. DE L'INTELLIGENCE. CHAPITRE PREMIER. - »e l'âm
rale est cependant, au 4e ANNÉE. 1 point de vue physiologique, la
partie
la plus importante du centre spinal. Qu'il me suf
rendu impossible. Mais il semble aujourd'hui démontré que toutes les
parties
de la substance grise ne sont pas indistinctement
'enfance, à la première enfance, paralysie qui avait frappé certaines
parties
du corps, mais en n'empêchant pas le développemen
s-accusée à gauche. La colonne vertébrale forme un coude, depuis la
partie
moyenne de la région dorsale, jusqu'au sacrum; ce
de 0m,42. Examiné latérale-ment, le thorax paraît peu développé à la
partie
inférieure, relati-vement au diamètre de la parti
peu développé à la partie inférieure, relati-vement au diamètre de la
partie
supérieure; les côtes sont inéga-lement arquées d
anche I.) Cuisse droite. La cuisse est complètement atrophiée. A sa
partie
moyenne, elle peut être comprise aisément entre l
x doigts se touchant sans qu'il soit besoin de comprimer beaucoup les
parties
molles. Celles-ci n'exis-tent presque point pour
ète. A peine voit-on quelques contractions dans le droit interne à sa
partie
supérieure, dont le tendon fait saillie sous la p
la peau. Longueur de l'épine iliaque antérieure et supérieure à la
partie
inférieure des condyles fémoraux, 0m,37. Diamètre
rieure à la partie inférieure des condyles fémoraux, 0m,37. Diamètre (
partie
moyenne), 0'n,18. Genou complètement déformé. L
u-dessus de l'articulation tibio-tar-sienne, 0ra,17. Longueur de la
partie
inférieure des condyles fémoraux à l'ex-trémité i
ations ont donné : De l'épine iliaque antérieure et supérieure à la
partie
inférieure des condyles fémoraux..............
rieure des condyles fémoraux.............. 38 cent. Diamètre à la
partie
moyenne............ 20 — Diamètre au niveau du
......... 20 — Diamètre au niveau du genou............ 30 — De la
partie
inférieure des condyles fémoraux à l'extré-mité i
ement, à l'électricité, à la température sur la peau. Mouvements en
partie
détruits, en partie conservés, suivant l'atrophie
té, à la température sur la peau. Mouvements en partie détruits, en
partie
conservés, suivant l'atrophie musculaire plus ou
vint une paraplégie partielle. Il y avait une anesthésie complète des
parties
situées au-dessous des genoux, et il lui était to
elle fut prise de violentes convulsions dans les mus-cles de toute la
partie
latérale droite du corps. Elle entra à l'hô-pital
bres inférieurs. Ces douleurs se faisaient sentir aussi bien dans les
parties
profondes que dans les parties superficielles ; i
e faisaient sentir aussi bien dans les parties profondes que dans les
parties
superficielles ; il semblait à la malade que les
que les vieillir ; en un mot, elle en fait des microcytes. Comme une
partie
des globules rouges échappent naturellement à cet
ne fait que continuer l'œuvre commencée par la rate ; il emploie une
partie
des globules déchus à la fabrication de la bile e
l'élimineront en grande partie sous forme à'urophéine, mais une autre
partie
ne pourra aban-donner le sang qu'en se déposant d
ement parce que le parasite trouve dans les matières intestinales une
partie
de son aliment et n'est pas dans la nécessité de
intense des organes contenus dans le petit bassin, congestion due en
partie
à la rapidité de l'expulsion du corps de l'enfant
vérité. Ce travail, long et substantiel, se divise en deux grandes
parties
; la première comprend les maladies aiguës spontan
etc.), se rattachant à plusieurs de ces types à la fois. La seconde
partie
comprend les maladies aiguës accidentelles des or
dans les bronches ; 7° les perfo-rations pulmonaires. Cette seconde
partie
est de beaucoup la moins importante, bien qu'elle
mportante, bien qu'elle renferme des faits intéressants ; la première
partie
au con- 1 Traité élémentaire des maladies de l'
hôpatisation, mais aussi comme lésion concomitante occupant, soit les
parties
non hépali-sées du poumon enflammé, soit le poumo
ngestion comme la cause probable de la mort subite ou rapide dans une
partie
des cas où cette terminaison a été attribuée à la
r ces doctrines malgré leur intérêt et nous avons hâte d'arriver à la
partie
la plus utile et la plus importante de l'ouvrage,
12 millimètres de largeur. Elle est un peu affaissée par rapport à la
partie
saine de la peau avoisinante. Elle correspond sur
urait appliqué un caustique. Malgré cela, en vingt-quatre heures, les
parties
avoisinantes se seraient sphacélées et il s'est p
'étant absenté, M. B. Anger, son suppléant, tenta la restauration des
parties
, mais seulement avec un demi-succès. La commissur
de 2 centi-mètres de longueur et 1 centimètre et demi de largeur. Les
parties
molles correspondant à la mâchoire étaient aminci
édé que j'ai employé : J'avivai les bords de la plaie, je séparai les
parties
molles de la branche de la mâchoire. Ensuite, pou
, à l'aide de sutures métalliques, je parvins à mettre en contact les
parties
avivées. Les sutures métalliques lurent laissée
tablement moins développée que la droite. H résulte delà que toute la
partie
située au-dessous d'une ligne hori-zontale qui co
qu'explique l'adhérence delà peau, réduite à son derme, et privée de
parties
musculaires. A partir de cette même ligne, jusqu'
n peut. Le procédé employé ici était indiqué forcément par l'état des
parties
et par la tentative opératoire anté-rieure. CLI
directe des lésions du système nerveux central sur la nutri-tion des
parties
osseuses, puisqu'il est impossible d'invoquer dan
ligaments est extrême, et l'on peut facilement imprimer aux diverses
parties
du membre paralysé les attitudes les plus forcées
stologique des muscles font défaut. D'après ce qu'on sait, la majeure
partie
des faisceaux primitifs subirait dans celte premi
s, ont considéré l'affec-tion dont il s'agit, comme siégeant dans les
parties
périphériques, muscles ou nerfs ; d'autres ont vo
n interne, et moi, à propos d'un fait recueilli dans mon service, une
partie
des altérations spinales qui président au dévelop
ppement de la para-lysie infantile. Mais c'était, il faut le dire, la
partie
la moins impor-tante. Ainsi, nous avions constaté
rtains points les lésions de la névroglie envahis-sent la plus grande
partie
de la substance, grise et s'étendent même parfois
s grande partie de la substance, grise et s'étendent même parfois aux
parties
adjacentes des cordons antéro-latéraux, il n'en e
de la névro-glie pourront se montrer beaucoup plus accusées vers les
parties
centrales d'un agrégat de cellules nerveuses, que
es parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses, que dans les
parties
périphériques ; beaucoup plus accentuées égalemen
utre côté, que l'irritation se soit originellement développée sur les
parties
périphériques, et qu'elle ait remonté ensuite jus
r les parties périphériques, et qu'elle ait remonté ensuite jusqu'aux
parties
centrales par la voie des raci-nes antérieures de
ngle, que ces deux points étaient notablement moins sensibles que les
parties
environnantes. Action sur l'appareil musculaire
t-être parasitaire. La maladie, après avoir atteint les cheveux de la
partie
supérieure de la région fron-tale, s'étendit à ce
ent qu'à l'état ordinaire. Par-tout, ces tumeurs étaient séparées des
parties
adjacentes par le tissu cellulaire sous-cutané, e
davantage et dire : des couches superficielles de cette peau et d'une
partie
très-limitée de ces couches. » L'auteur termine
ubstances ont fait l'objet. M. Laurent a divisé son mémoire en deux
parties
: 1° action physiologique de ces deux alcaloïdes
gique de ces deux alcaloïdes ; 2° applications thérapeu-tiques. Ire
partie
. — M. Laurent a mis à profit les nombreuses obser
urine produit souvent des intermittences et des arrêts du cœur. IIe
partie
. — M. Laurent rapporte dix-huit observations déta
usions d'un mémoire ne pouvant être toujours que générales. Voici les
parties
principales de ces conclusions : ces deux alca-lo
ns loin en haut et vers l'axe de la main; il semble qu'un man-chon de
parties
molles emboite la racine du métacarpien; mais au
du métacarpien; mais au lieu d'une saillie qui gagne, en mourant, la
partie
moyenne de la main, c'est une sorte de gouttière
, nous a montré des fibres muscu-laires pâles, ayant perdu une grande
partie
de leurs stries et deve-nues surtout graisseuses.
op grand. Nous disons sous la plume de M. Brierre, bien qu'une grande
partie
, la plus grande peut-être de cette apprécia-tion,
ommune, etc. In-18 de 152 p. Germer-Bail-ière, éditeur. La première
partie
comprend l'étude du cathétérisme, la descrip-tion
étérisme avec les instruments flexibles, et là encore, comme pour les
parties
précédentes, d'excel-lentes figures rendent bien
pour porter les topiques dans l'urèthre, et nous arrivons ainsi à une
partie
bien importante : les opérations dirigées contre
e l'uréthrotomie interne. Nous signalerons encore, dans la première
partie
de l'ouvrage de M. Reliquet, quelques chapitres t
ces de conformation de l'urèthre, et nous arrivons ainsi à la seconde
partie
, qui comprend les opérations delà vessie. Dans
partie, qui comprend les opérations delà vessie. Dans cette seconde
partie
, deux sujets surtout priment tous les autres : la
ttardé si long-temps, mais nous avions à cœur d'indiquer au moins les
parties
principales de ce volumineux ouvrage; puissions-n
plus qu'à teñirnos lecteurs au courant du contenu des deux premières
parties
du tome second du môme ou-vrage, la troisième par
deux premières parties du tome second du môme ou-vrage, la troisième
partie
n'étant pas encore livrée à la publicité. Les m
volume inachevé comprend l'histoire des maladies de l'abdomen. Celte
partie
, une des plus importantes, résume convenablement
ou trois jours. Elle présentait une tumeur volumineuse siégeant à la
partie
postérieure du crâne et occupant en haut la régio
ur la peau qui recou-vre le segment antérieur de la tumeur ; toute la
partie
postérieure et inférieure en est dépourvue. (Voye
lendemain de la naissance par mon collègue et ami, Cornillon, sur la
partie
moyenne de la tumeur, en arrière, permit de const
he, elles sont plus étendues encore et envahissent la moitié de cette
partie
latérale de la tumeur. La section des méninges
dessous de la masse encéphalique extra-crânienne, masse formée par la
partie
moyenne et la partie postérieure des hémi-sphères
ncéphalique extra-crânienne, masse formée par la partie moyenne et la
partie
postérieure des hémi-sphères cérébraux, on cherch
es sont seules intactes. Dans cet orifice, on peut distinguer trois
parties
: une supérieure de beaucoup la plus considérab
de beaucoup la plus considérable, une moyenne et une inférieure. La
partie
supérieure forme un trou presque régulièrement ar
re transversal. Ce trou est constitué aux dépens de l'occipital. La
partie
inférieure donne un orifice terminé en pointe, ay
st formée aux dépens des 4e, 5e et 6e vertèbres dorsales. Quant à h
partie
moyenne qui comprend les vertèbres cervicales et
es vertèbres dorsales, elle n'établit que peu de séparation entre lés
parties
supérieure et inférieure qui, vues de loin, parai
es de loin, paraissent se continuer. Voici comment est composée cette
partie
moyenne, et quelle disposition présentent à ce ni
concavité postérieure (fig. 2). Cela explique pourquoi la troisième
partie
ou partie inférieure de l'orifice se trouve si vo
postérieure (fig. 2). Cela explique pourquoi la troisième partie ou
partie
inférieure de l'orifice se trouve si voisine de l
partie inférieure de l'orifice se trouve si voisine de la première ou
partie
formée aux dé-pens de l'occipital. L'occipital n'
érieure à la naissance, la tumeur contien-drait de la sérosité et des
parties
encéphaliques. Étudiant ensuite l'hydrencéphalo
e gauche. Cette tumeur donnait lieu à une notable déformation de la
partie
supérieure gauche du thorax; elle formait, à deux
difformité, qui ne l'a jamais ni gêné ni fait souffrir. Dégagée des
parties
molles qui l'entourent, la tumeur se pré-sente so
roisième côte gauche et à son cartilage par la face postérieure de sa
partie
interne ; en dehors de ce pédicule, elle est libr
stérieur : Au niveau du pédicule, côte comprise.... Au niveau de la
partie
moyenne...... Au niveau de la partie externe...
comprise.... Au niveau de la partie moyenne...... Au niveau de la
partie
externe....... 12 cent. 1/2 6 cent. 1/2 5 cen
oir (39°,4 au maximum). — Le li-quide, dont on n'avait extrait qu'une
partie
par la ponction, s'est vite reproduit : au bout d
elles et conclut ainsi : « Le tissu muqueux du cordon est, dans les
parties
riches en mucine, formé par un réseau de fibres c
n a recherché dans le rein du lapin, s'il était possible d'isoler les
parties
préposées à l'une et à l'autre fonction. 11 paraî
'étendre également aux os voisins à tra-vers les articulations et les
parties
molles ; ce qui prouve que l'in-filtration sangui
ntraire, le résultat d'une véritable commotion. Abordant ensuite la
partie
véritablement pratique de son mémoire» M. Muron s
mme que peu de désordres et la résection de toute l'épiphyse et d'une
partie
de la diaphyse dépassera certainement les limites
-même, mais nos lecteurs nous sauront gré de leur en montrer quelques
parties
, et de leur permettre ainsi déjuger le point de v
un danger double à cause de la difficulté du diagnostic. La seconde
partie
du travail de M. Armaingaud est l'exposition de s
ou devenaient limités et dou-loureux ; en même temps, en examinant la
partie
inférieure de la cuisse, il constata, pour la pre
, la présence de deux petites grosseurs : l'une d'elles siégeait à la
partie
externe de l'articula-tion, elle avait le volume
aractères, et continuant à grossir, finirent par se rejoindre vers la
partie
anléro-inférieure de la cuisse ; en même temps, c
léro-inférieure de la cuisse ; en même temps, celle qui siégeait à la
partie
externe se porta en haut, et gagna le tiers moyen
ement implantée sur le corps de l'os ; de là, elle s'étend jusqu'à la
partie
supérieure de la jambe, après avoir envahi l'arti
arrière, elle remplit complète-ment le creux poplité, et contourne la
partie
postérieure de l'os ; elle se continue également
EXTRÉMITÉ INFÉRIEURE DU FÉMUR La grande circonférence prise vers la
partie
moyenne est de Le diamètre vertical mesure.....
stance, elle est molle sur tous les points, excepté toutefois vers la
partie
interne, au voisinage de l'extrémité inférieure d
iquide qu'elle renferme. Cette fluctuation est sur-tout évidente à la
partie
interne, point qui correspond à la saillie kystiq
les efforts qu'il fait alors, on voit distinctement les muscles de la
partie
antérieure de la cuisse glisser à la surface de l
ètres au lieu de 10 (voy. Planche XIII). En même temps, la peau de la
partie
pos-térieure et externe sur laquelle reposait la
t devenir fatal au malade. M. Labbé, après avoir sectionné toutes les
parties
molles, et fait la ligature de la fémorale, s'app
le part. —- P. 84. 3 mars.— Pendant la nuit, il s'est écoulé par la
partie
postérieure du bandage une certaine quantité de
On attribue cet accident à la pression exercée par l'appareil sur la
partie
supérieure de la cuisse et le bassin ; en outre,
due de 1 centimètre environ ; la surface de section est recouverte en
partie
de bourgeons pâles et décolorés dont le point de
r. Examen de la tumeur. — On fait une incision longitudinale sur la
partie
antérieure et médiane de la tumeur. On dissèque a
tains points, molle et fluctuante dans quelques autres, surtout àla
partie
externe. On sent aussi très-bien avec le doigt de
âtre, on provoque la rupture du kyste volumineux qui se trouvait à la
partie
externe. Il en sort aussitôt environ trois litres
ibrineux, blanchâtres, adhérant fortement à la paroi, surtout vers la
partie
moyenne. Ces caillots ne forment pas une couche c
ons déjà dit que son épaisseur était très-inégale. Fort mince vers la
partie
médiane et antérieure, où elle mesure à peine que
peine quelques millimètres, elle s'épaissit considérablement vers la
partie
supé-rieure, point où elle se continue avec le fé
inue avec le fémur non altéré. La même chose existe inférieurement.La
partie
qui repose sur les condyles du tibia, c'est-à-dir
se ; il prend alors un aspect gris sale qui tranche nettement sur les
parties
blanches non altérées. Si maintenant nous retou
rt, jumeaux d'autre part), ne sont pas étalés comme les muscles de la
partie
antérieure de la cuisse, mais ont conservé leur f
vre la veine poplitée, en est distant de 1 centimètre et demi vers la
partie
externe. Le paquet vasculo-nerveux repose donc su
est fait aucun examen de la tumeur à l'état frais et par raclage. Les
parties
qu'on a voulu étudier ont été mises à durcir dans
on a voulu étudier ont été mises à durcir dans l'alcool, sauf pour la
partie
qui supportait le cartilage articulaire, qu'on a
d'un bouchon arrondi, faisait saillie dans la cavité médullaire de la
partie
sous-trochantérienne du fémur et au niveau de laq
fines traitées par le carmin et l'acide acétique font voir que cette
partie
de la tumeur est presque uniquement formée de g
ng rapide et abondante, il serait sage, aussitôt après la section des
parties
molles, de pratiquer la ligature de Vartère fémor
s irrégulières de consistances très-différentes; puis, tandis que ces
parties
se ramollissent et s'abcôdent, que les bourses de
la jambe de ce côté contraste avec eux par son petit volume. Vers sa
partie
moyenne, au niveau du point frac-turé, les fragme
aut et plus en avant, au bord inférieur du ligament annulaire et à la
partie
la plus supérieure du grand os; enfin, la directi
se, les infiltrations séreuses. Les globules du sang sont altérés; la
partie
séreuse de ce liquide est accrue notablement. La
e diriger vers la surface externe et l'angle de l'utérus. Ils sont en
partie
, au moins, dans ce trajet, sous-péritonéaux ; deu
pliquer la propagation au péritoine de l'inflammation des différentes
parties
de la matrice. Dans divers chapitres, M. Lucas-
Au lieu d'être placés au milieu du tissu musculaire utérin ou dans sa
partie
profonde, ils sont le plus souvent superficiels,
ur le même utérus, l'au-teur les attribue à la lymphangite. Mais la
partie
la plus importante de sa thèse, celle sur laquell
'il a observées, le traitement, etc. Cette brochure se divise en deux
parties
: Ire Partie : Relation rapide des différentes
le traitement, etc. Cette brochure se divise en deux parties : Ire
Partie
: Relation rapide des différentes étapes de l'amb
° en plaies compli-quées. 1° Ce sont des plaies n'intéressant que les
parties
molles, sans lésion d'organe important. Elles ne
peu sévère réduirait encore très-certainement ce chiffre. La majeure
partie
des observa-tions est très-ancienne (seizième et
à certains départements de l'encéphale, les reproduisent, au moins en
partie
. Un symptôme très-important que nous offre enco
on par M. H. Sal-ter1 dans le vomissement hystérique,— la plus grande
partie
des aliments qui s'y introduisaient. Eh bien, mal
prouva sur-le-champ une vive douleur. Une large ecchymose apparut aux
parties
génitales, et quinze jours après une tumeur gross
mars. Vomissements bilieux. Le lambeau interne est sphacélô dans une
partie
de son étendue ; on y remarque deux eschares larg
16 mars. Plusieurs vomissements dans la matinée ; on aperçoit à la
partie
postérieure et supérieure de la cuisse droite et
son tiers inférieur. Pouls petit, fréquent. Poudre d'amidon sur les
parties
rouges et tuméfiées. 20 mars. L'érysipèle blanc
. (Voy. planche XVII.) La portion de tissu rénal qui se trouve à la
partie
médiane et qui unit les deux reins était située a
ait située au niveau de la troisième vertèbre lombaire, recouvrant en
partie
la deuxième. Elle mesure k centi-mètres dans son
st de 2 cen-timètres environ. De ce point les reins remontent vers la
partie
supérieure de la paroi abdominale, couchés de cha
de 7 cen-timètres. Ils présentent un aspect lobule, surtout à leur
partie
inférieure, où l'on trouve cinq ou six sillons as
1 centi-timètre et demi environ de la ligne médiane, tout à fait à la
partie
inférieure du rein. L'anomalie, ici encore, est
umineux; l'uretère qui lui fait suite passe dans un sillon situé à la
partie
antérieure du rein à 2 centi-mètres de la ligne m
ètres de la ligne médiane. L'uretère droit passe comme le gauche à la
partie
antérieure du rein. Les deux uretères devenus sym
en y ajoutant quelques observations inédites, et faire de toutes ces
parties
un tout homogène, tel est le but que nous nous pr
1° la figure conique, dont le moindre volume était en bas; 2° qu'à la
partie
déclive de chacune d'elles était situé l'os tinca
sans renversement en ce que, quoique l'os tincae soit réellement à la
partie
déclive de la tumeur, si on introduit une sonde p
autour du museau de tanche. Nous n'avons pas à nous occuper ici de la
partie
supérieure, située au-dessus de celte insertion e
s, une saillie du volume d'une pomme d'api. Rouge dans la plus grande
partie
de son étendue, il était le siège d'une ulcératio
ndes lèvres, entraînant avec lui la moitié de la vessie et une grande
partie
du cul-de-sac péritonéal. Après avoir séparé avec
nde partie du cul-de-sac péritonéal. Après avoir séparé avec soin ces
parties
du col hypertrophié, M. Waren réséqua cet organe,
n baudruche. Quelques tours de fil et un nœud fixèrent en place cette
partie
du godet. Celui-ci fut ensuite retourné puis raba
int tout d'un coup. On envoya chercher la sage-femme, qui examina les
parties
génitales avec attention, parut fort décon-tenanc
, on a vu, il est vrai, la dilatation se faire parfois aux dépens des
parties
restées saines, mais le plus souvent l'interventi
e renvoyer le lecteur au travail de M. Chantreuil pour cette dernière
partie
si importante au chirurgien; on la trouvera bien
ncé, avec de nombreuses petites taches purpurines sur les pieds et la
partie
inférieure des jambes. Il y avait, en outre, depu
le front, la face et le dessus des mains, c'est-à-dire sur toutes les
parties
du tégument exposées à l'air. Ces bulles étaient
ne humaine, il est impossible à un malade de faire que telle ou telle
partie
de son poumon ne respire pas, tandis que telle au
é du Congrès. Les travaux du Congrès seront publiés en totalité ou en
partie
par les soins de la commission d'organisation.
uble de celui qu'il offrait auparavant. Au septième mois, la ma-lade,
partie
d'Angers, était sur le point d'arriver à Nantes,
ut, le développement aurait été considérable. Cette tumeur, née de la
partie
inférieure de la grande lèvre gauche, s'étend en
lèvre gauche, s'étend en arrière sur la fesse du même côté jusqu'à sa
partie
supé-rieure et en se rapprochant du sillon interf
sier dis-paraît, recouvert qu'il est par la tumeur, aussi bien qu'une
partie
de la fesse du côté opposé. (Voy. Planche XIX.)
'on place la femme debout, la tumeur pend, comme un sac charnu sur la
partie
postérieure et supérieure de la cuisse gauche.
st molle, flasque, terne, plissée et sans adhérence aucune avec les
parties
sous-jacentes. Considérée au contraire au niveau
es. Considérée au contraire au niveau de la circonférence, et dans la
partie
la plus convexe de la tumeur, l'enveloppe cutanée
Le poids total de la tumeur était de 3,700 grammes. Sur diverses
parties
du corps, et notamment aux membres infé-rieurs, o
peu moins violacée et moins tendue que la veille. — La malade est en
partie
sortie du coma ; elle ne parle pas, mais la sensi
étaux, comme une machine à feu ordinaire en brûlant du charbon. Une
partie
du travail actif de la pile consiste à surmonter
pt le circuit aussitôt que la dépêche est lancée, de faire revenir en
partie
la dépêche au poste de départ. — En même temps il
ns un état d'intégrité parfaite. L'arti-culation étant ouverte par sa
partie
antérieure, il devient évident que les parties mo
on étant ouverte par sa partie antérieure, il devient évident que les
parties
molles seules font obstacle à l'extension, et ce-
s nasales ; de M. E. Cruveilhier, sur la résorption progressive de la
partie
alvéolaire des maxillaires supérieurs; de M. Guyo
vrier, il procéda à l'opération. Il fit appliquer un sinapisme sur la
partie
externe du bras gauche, aviva le bord libre des d
compression. — Au bout de quatre jours, tout le lambeau tomba; aucune
partie
n'avait repris. Cette tentative infructueuse n'
ier, sur l'érysipèle traumatique. — L'étiologie de l'érysipèle est la
partie
la moins avancée de l'histoire de cette maladie.
précoces serait, suivant M. Verneuil, une opération pratiquée sur une
partie
en pleine suppuration ; on ouvre alors une série
Il en est de même lors-qu'on électrise les ganglions cervicaux ou la
partie
supérieure de la moelle : les syncopes ou les éto
s prononcée pour la pile où un autre courant était interposé dans une
partie
du circuit. On peut objecter à cette expérience
action très-considérable, ir-régulière, formée surtout aux dépens des
parties
molles et appa-raissant comme une masse flasque a
sur les deux jambes : Distance du bord supérieur de la rotule à la
partie
moyenne de la face plantaire........... Circo
on le voit, sur la Planche XXIII, qui représente très-bien l'état des
parties
, ce qui frappe tout d'abord, c'est une masse ul-c
, c'est une masse ul-cérée prenant naissance au niveau du pubis, à la
partie
inférieure du mont de Venus, s'étendant de là plu
et inférieurement, entre les bourses et la masse ulcérée, on voit une
partie
plus sombre que les précédentes, présentant de pe
répuce est complètement détruit par l'ulcération, du moins quant à sa
partie
supérieure ; nous avons vu ce qu'il en restait à
quant à sa partie supérieure ; nous avons vu ce qu'il en restait à la
partie
in-férieure. Il est impossible de savoir à la sim
ans; il fut caractérisé par une petite tumeur indurée siégeant sur la
partie
supérieure et libre du prépuce, au niveau du glan
e se développa bientôt un engorgement étendu et douloureux. — Sur les
parties
tuméfiées apparaissent de petites verrues, de pet
masse qui augmente rapidement de volume et finit par s'ul-cérer à la
partie
interne du prépuce, ce que M. P... constata un jo
par le passage de l'urine, soit sur l'urèthre enflammé, soit sur les
parties
ulcérées, engage le malade à retarder le plus pos
décide à opérer le 24 mai. Des incisions limitent de tous côtés les
parties
saines ; après ce premier temps de l'opération, l
lum; M. Demarquay enserre clans le nœud une assez grande quantité des
parties
environnantes. Celte manière de faire nous paraît
ent rien d'anormal. Voici, du reste, l'analyse microscopique de ces
parties
, ainsi que de celles enlevées par l'opération que
formes dont une des extrémités manque-rait et serait terminée par une
partie
arrondie : cellules en massue. Ces dernières prés
ente de volume petit à petit, en al-lant des portions saines vers les
parties
malades. L'épithélium cutané envoie des prolong
s épithéliaux et des perles d'épithélium. On peut reconnaître sur une
partie
de ces cellules les irrégularités de contour décr
eunes cellules lymphoïdes. Petit à petit, en- se dirigeant vers les
parties
centrales, on arrivait vers des points où l'épith
e qui s'était produit d'une façon si remarquable au niveau même de la
partie
ulcérée et spécialement dans les vaisseaux artéri
O^^ô 5° De l'épine iliaque antéro-supérieure à la malléole externe (
partie
inférieure de la malléole) : Côté droit........
ouva la sensation d'un déplacement ou de la chute d'un corps dans les
parties
. En arrivant chez elle, elle constata avec le doi
Visca, toute condition capable d'augmenter l'afflux sanguin vers une
partie
sera une cause suffi-sante pour élever sa tempéra
er par ce moyen toute la lèvre antérieure du col et une portion de la
partie
antérieure du corps de la matrice atteints d'épit
rt la gaine celluleuse en respectant les tuniques. Enfin, si dans une
partie
de l'épaisseur de l'artère, les tuniques moyenne
rrachement dans les cas rares où la rupture du vaisseau en laisse une
partie
saillante dans la plaie, et les projectiles tels
e bassin de vio-lentes et rapides convulsions cloniques projetant ces
parties
en avant, en arrière et de côté. La face devint c
ous revîmes ce malade, et quelques muscles, surtout les muscles de la
partie
supérieure de la face, étaient toujours paralysés
ans doute, dans tous les sens, principalement de haut en bas, sur les
parties
profondes. La consistance est rénitente, quoiqu
e l'ouverture de deux petites collections purulentes développées à la
partie
la plus saillante de la masse. Les bords on sont
l partent des bandes de peau, larges de quatre à cinq millimètres, en
partie
adhérentes, en partie libres, décollées et jetées
e peau, larges de quatre à cinq millimètres, en partie adhérentes, en
partie
libres, décollées et jetées comme des ponts d'un
nscrit la tumeur à sa base par un sillon qui intéresse la peau et les
parties
molles jusqu'à une profondeur de deux centimètres
Ce premier temps de l'opé-ration terminé,. la masse tient encore aux
parties
profondes par une base large de dix centimètres,
e à découvert une vaste plaie circulaire dont la surface présente les
parties
suivantes : 1° En avant, quelques fibres restan
deux ligatures préventives. L'une au-dessus, l'autre au-dessous de la
partie
dénudée du vaisseau. Il ne reste dans la plaie
curieuse malformation du pré-puce :il fait complètement défaut sur la
partie
antérieure du gland, de la base au sommet ; en re
la partie antérieure du gland, de la base au sommet ; en revanche, la
partie
inférieure est hyper-trophiée, épaisse d'un centi
lui dans mie lon-gueur d'un à deux centimètres ; en définitive, celte
partie
du pré-puce constitue une sorte de coussin sur le
mè-tres de hauteur, a une couleur jaunâtre qui tranche avec celle des
parties
environnantes. Au niveau du foyer et à sa périphé
ous faudra la cher-cher. Le refroidissement ou le réchauffement d'une
partie
se pré-sente sous une double forme : d'abord un p
us récentes distinguent dans le contenu musculaire du sarcolemne deux
parties
: les prismes musculaires et le plasma. Le plasma
ant la masse énorme du système musculaire, on com-prend qu'une grande
partie
de la chaleur animale doit provenir de cette sour
un appareil d'arrêt pour les phénomènes organiques. Il refroidit les
parties
qu'il énerve, d'où le nom de nerf frigorifique ;
à M. Cl. Bernard d'aborder le côté pathologique de son sujet, cette
partie
du cours est renvoyée à l'année prochaine. — Nous
M. Peet, le mot idée, par son étymologie même, indique qu'une grande
partie
au moins de nos idées ne sont que des images dans
t du tremblement mercuriel ; mais nous n'avons rempli que la première
partie
de la tâche que nous nous sommes imposée; il nous
lus éveillée ; malgré la dilatation des pupilles, il passe une grande
partie
de la journée à lire. Le tremblement a diminué; l
interprétation des faits pathologiques. Ce mémoire est divisé en neuf
parties
: I. Après avoir mentionné les Anomalies de la
e la rate n'ont rien de particulier à cet organe. III. La troisième
partie
est consacrée aux Lésions de nutrition : Io atr
marche extensive, a beaucoup augmenté de vo-lume et s'est étendue aux
parties
des téguments qui avoisinent le pavillon de l'ore
par une extension du tissu morbide aux par-ties avoisinantes. Cette
partie
surajoutée en dernier lieu est très-développée au
-tement les inflexions et les dilatations de l'artère qui forme cette
partie
de la tumeur totale. Le pavillon de l'oreille s
t d'expansion également synchrones au pouls radial. Au niveau de la
partie
supérieure du pavillon de l'oreille, et des bosse
rectement dans l'angle antérieur et tient sous sa dépendance toute la
partie
supérieure du pavillon de l'oreille et toutes les
atte-ments y ont également disparu et sont également diminués dans la
partie
de la tumeur qui est au-dessous. Les jours suivan
qué, surtout sur la paupière. %3 avril. Quatrième injection dans la
partie
de la tumeur avoisi-nante et formée par la partie
e injection dans la partie de la tumeur avoisi-nante et formée par la
partie
ascendante de l'hélix. Solidification de la parti
e et formée par la partie ascendante de l'hélix. Solidification de la
partie
et arrêt des battements. Les coagulations s'étend
on deviennent dou-loureux. 28 avril. L'œdème est tombé : toutes les
parties
de la tumeur qui se trouvent en dehors du pavillo
le lac vasculaire qui donne lieu à l'hémorrhagie. Coagulation dans la
partie
supérieure; on arrête l'écoulement de sang par un
n imbibé de perchlorure de fer. 1er mai. Septième injection dans la
partie
supérieure et antérieure du pavillon à l'origine
pavillon à l'origine de l'hélix dans la conque; durcissement de cette
partie
et disparition des battements. 5 mai. Huitième
ai. L'oreille est très-gonflée et œdémateuse. Dans presque toutes les
parties
, il n'y a plus de battements, on ne les retrouve
'assurer qu'il existe des battements assez faibles, il est vrai, à la
partie
supérieure de la circonférence du pavillon dans l
vrai, à la partie supérieure de la circonférence du pavillon dans la
partie
avoisinante de la tempe. Une neuvième injection d
oisinante de la tempe. Une neuvième injection durcit rapidement cette
partie
et fait dis-paraître les battements. Le soir, on
avité de la conque, et amenant l'oblitération des bosselures de cette
partie
, la deuxième dans la partie qui unit le lobule à
nt l'oblitération des bosselures de cette partie, la deuxième dans la
partie
qui unit le lobule à la terminaison de l'hélix et
mineuse qui seule entretient les battements et les soulèvements de la
partie
avoisinante du pavillon de l'oreille. Cette inj
du son timbre normal et la respiration est un peu gênée. On défait la
partie
du bandage qu'on supposait gêner cette fonction.
i fait une bonne compression. Sous l'influence de ce pansement, les
parties
ulcérées se recou-vrent de bourgeons charnus, le
on verticale et transver-sale, mais du moins en épaisseur; toutes les
parties
érectilesqui se trouvaient en dehors du pavillon
r. 21 juin. Embarras gastrique, constipation depuis cinq jours; les
parties
ulcérées sont recouvertes de très-beaux bourgeons
s les artères qui arrivent dans le pavillon de l'oreille, ou dans les
parties
avoisinantes. On en trouve trois. L'occipitale,
ordon fibroïde qui rem-place cette branche artérielle conduit dans la
partie
antérieure et supérieure du pavillon de l'oreille
ite branche artérielle, assez flexueuse néanmoins, qui contourne la
partie
antérieure du conduit auditif externe et se termi
assez improbable si nous nous en rapportons à l'examen anatomique des
parties
dans lesquelles, pendant la vie, on eût été porté
bistouri une incision triangulaire, et l'on retrancha la plus grande
partie
de la langue : la plaie guérit par première in-te
ieux et grisâtre, un tissu semblable sépare également la muqueuse des
parties
sous-jacentes, sous forme d'une mince couche gris
réticulée; les vaisseaux comprimés par l'épithélium disparaissent en
partie
, et il ne reste plus que quelques ramuscules cent
on de l'arthropathie. » Nous avons essayé de résumer cette première
partie
du mémoire qui est la partie clinique ; nous ment
s avons essayé de résumer cette première partie du mémoire qui est la
partie
clinique ; nous mentionnerons seulement la deuxiè
ecine, il faudrait pour cela nous étendre longuement sur les diverses
parties
de l'in-strument, et encore nous ne pourrions qu'
de la contre-extension laisse au praticien la facilité d'explorer les
parties
lésées à tous les temps de l'opéra-tion et lui pe
1872.) Taille, lm,30. Cheveux laineux roides, châtains, épais sur la
partie
antérieure, mais rares et dissé-minés ailleurs. C
..... 90 Courbe occipito-frontale totale............ 318 — — à sa
partie
antérieure..... 12s — horizontale totale.......
érieure..... 12s — horizontale totale............... 560 — — à sa
partie
antérieure....... 2G5 — transversale bi-auricul
ins, et laissent la malade dans une grande faiblesse. —A l'examen des
parties
gé-nitales, on trouve un col qui arrive jusqu'au
La muqueuse est lisse et exempte de toute espèce d'altération ; à sa
partie
antérieure, à 6 centimètres au-dessus de la marge
orme de pénis (Voy. planche XXXIII). L'orifice externe est normal; la
partie
inférieure de la muqueuse présente des érosions l
e la muqueuse présente des érosions légères et un aspect violacé : la
partie
supérieure de la mu-queuse est au contraire pâle,
ir et des agents intérieurs qui ont amené une inflammation légère des
parties
restant habituellement hors du vagin. La circon
'orifice par lequel elle s'est vidée se trouve placé tout à fait à la
partie
inférieure du rectum ; d'autre part, — et ce fait
it nous semble surtout démonstratif, — les annexes de l'utérus et les
parties
avoi-sinant le cul de sac péritonal ne sauraient
ajoutant des observations inédites. Son travail est divisé en trois
parties
. Dans la première, il montre que la grossesse app
idents des plaies pendant l'état puerpéral font l'objet de la seconde
partie
, et par état puerpéral l'auteur comprend avec le
pourra seule déterminer la guérison de l'enfant. Dans une dernière
partie
, les paralysies des membres inférieurs devraient
avail divisé en six chapitres peut être considéré comme formé de deux
parties
principales. Il comporte l'étude : 1° de la stati
ement l'un des points delà moitié postérieure du bassin. La seconde
partie
, qui est surtout clinique, est de beaucoup la plu
tinctivement, mais mécani-quement, être placé dans la position où les
parties
les plus volu-mineuses co/respondent aux points l
es pour pro-curer au médecin une certitude absolue. Dans la seconde
partie
de son mémoire, M. Sentex entre plus di-rectement
eur du travail, dans ces deux cas, vient du défaut de rapport que les
parties
qui se présentent ont avec les orifices qu'elles
savamment étudiés par M. Sentex. — Nous recommandons au lecteur cette
partie
de son travail dont il pourra tirer grand profit;
ent consciencieuse. On pourrait lui reprocher sa longueur : certaines
parties
sont de véri-tables chapitres de pathologie, bien
e-mère, irritée au voisinage de la lésion osseuse, s'enflamme dans sa
partie
superficielle et pousse de véritables bourgeons q
corps fusifoimes. Ces éléments sont en voie de dévelop-pement dans la
partie
profonde, en voie de régression granulo-graisseus
ssion granulo-graisseuse à la périphérie. Au lieu de se limiter aux
parties
superficielles de la dure-mère, l'inflammation pe
ntérieurs. Lorsque le malade meurt avec une paraplégie complète, la
partie
comprimée est le siège d'altérations profondes qu
nts. L'auteur désigne ainsi les phénomènes qui se produisent dans les
parties
situées au-dessus de la lésion et reconnaissant p
ions qui sont énumérées pour finir le chapitre. Voilà donc encore une
partie
de cet ouvrage qui con-tient un peu de chirurgie,
ur s'applicjue d'habitude s'est creusée assez profondément et, 1 La
partie
noire du bord inférieur de la tumeur — sur la pla
e col était déjà revenu sur lui-même, ensuite à cause du volume de la
partie
sus-ombilicale du produit. La sage-femme fut fort
tre, considéré dans son ensemble, paraît à première vue formé d'une
partie
sous-ombilicale normale, surmontée d'une grosse p
se prolongeant vers le périnée en forme de scrotum, et surmontée à sa
partie
anté-rieure par une autre saillie cylindrique res
bes sont terminées par des pieds bots valgus (voy, Pl. XXXV), dont la
partie
tarsienne est renversée en dehors et la partie mé
oy, Pl. XXXV), dont la partie tarsienne est renversée en dehors et la
partie
métatarso-phalangienne relevée c:i avant, de tell
forme par sa brisure un angle obtus ouvert en dehors et en haut. A la
partie
interne, le scapboïde fait une forte saillie. Les
premiers dans la REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX ACÉPHALI E
partie
plantaire de l'interstice et qui semble le rudime
isième est situé dans un plan inférieur aux trois autres. Vue parla
partie
postérieure, cette portion sous-ombilicale paraît
oche bilobée, plus grosse à gauche qu'à droite, de telle sorte que la
partie
gauche du haut du corps paraît, comme dans les me
les supérieurs semblent être ceux que l'on voit ordinairement sur la
partie
supérieure du dos des nouveau-nés. —, Ce bourgeon
directement par une colonne vertébrale facile à sentir, surtout à la
partie
supé-rieure. — Au-dessus du bourgeon cephalique s
parlé, qui se continue par une peau épaisse avec les téguments de la
partie
postérieure. La peau est partout as-sez opaque, e
fuites dans le tissu cellu-laire. Une incision verticale va depuis la
partie
supérieure jusqu'au pubis ; une autre transversal
brale, qu'elle déborde de moitié en haut. C'est elle qui donnait à la
partie
supérieure du corps la flaccidité dont nous avons
sse connective, après avoir dénudé la cage thoracique, on voit que la
partie
antérieure du tronc peut être divisée en deux rég
rénales. Les uretères sont volumineux, fiexueux ; ils se rendent à la
partie
inférieure d'une vessie qui est relativement volu
horizontal. De sa convexité supérieure, part un tronc commun pour la
partie
supérieure, veine cave supérieure, qui fournit bi
ité céphalique, les deux laté-raux pour chaque membre supérieur et la
partie
correspondante de la poche dorsale. De la cavité
relativement gros. Plusieurs ganglions sympathiques sontvisibles à la
partie
supérieure de la cavité thoracique. Le squelett
horacique. Le squelette ne nous présente rien d'intéressant dans la
partie
sous-ombilicale. La colonne vertébrale est incomp
recourbé, dont les deux extrémités s'insèrent sur la clavicule. De la
partie
médiane de cette omoplate part un ligament qui su
ligament qui supporte les téguments du membre supérieur; mais sur la
partie
moyenne de ce ligament se trouve un humérus rudim
repère pour l'appréciation de la hauteur de l'utérus. Or, ici, de la
partie
supérieure de la symphyse à l'anneau ombi-lical i
acé, mais le col a cependant encore de la longueur. On ne sent pas la
partie
fœtale, mais on entend les bruits du cœur dans la
ent la déformation de la symphyse, et l'on parcourt du côté droit une
partie
delà ligne innommée; la branche horizontale du pu
veloppement est surtout considérable à la base de la tumeur, dans les
parties
profon-des du tissu utérin. M. Huguier, qui a dis
ois teint de sang. Quand elle est assise, elle éprouve un malaise aux
parties
, et, quand elle est pendant quelque temps debout,
Le livre II comprend tout ce qui concerne l'anatomie des diffé-rentes
parties
topographiques extérieures du système nerveux. Au
donne le nom d'impressionnabilité et de motri-cité. Dans la seconde
partie
de son livre, M. Fournie cherche à établir la phy
t des lieux de promenade. L'établissement thermal se compose de six
parties
distinctes; ce sont ; le bain des Dames, le bain
sque partout, écrit avec soin, il mérite d'être consulté. La première
partie
est consacrée à l'étude comparative des eaux de S
uable de la végétation anormale : ergot de seigle. Il comprend quatre
parties
: historique, histoire pathologique de l'ergotism
ue. Un tableau détaillé de ces diverses épidémies termine la première
partie
du travail de M. Leteurtre. La deuxième partie
termine la première partie du travail de M. Leteurtre. La deuxième
partie
est consacrée à l'histoire pathologique de l'ergo
la clef delà physiologie pathologique de l'ergotisme. La troisième
partie
comprend l'histoire naturelle et l'action phy-sio
sser momentanément la pression dans les artères. Reste la quatrième
partie
, l'emploi de l'ergot de seigle en théra-peutique.
trième partie, l'emploi de l'ergot de seigle en théra-peutique. Cette
partie
n'est qu'ébauchée; on sait que, dans l'art des ac
mesure de la lui enlever. Les tentatives d'extraction ame-nèrent une
partie
de l'épine, et le médecin renvoya le petit malade
ces cas, il faut faire ce qu'a fait M. E. Martin : il faut exciser la
partie
de l'iris dans laquelle siège le kyste. G. P. B
éparation des adultes et des enfants. BOURNEVILLE. 4856. PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1886. » L
us allons exposer tous les faits relatifs au fonctionnement de la
partie
du service consacrée aux enfants. Ils ont occupé
concert dirigé par M. Peny, le maître de chant des enfants; qu'une
partie
des adultes, beaucoup plus restreinte que nous
sède au moins l'im- mense avantage de les occuper pendant une forte
partie
de la journée, d'éviter lo désoeuvrement avec t
pentir même passager paraît sincère, la puni- tion est supprimée en
partie
ou en totalité et, le len- demain, les enfants
iller à l'atelier commun de la maison et leur travail compensera en
partie
, et pen- dant de longues années, les dépenses d
e dorloirs et le bâ- timent des gâteux invalides. Il se trouve à la
partie
infé- rieure du terrain affecté à cette section
emboîtements. Par le fait de la déclivité très grande du sol, la
partie
nord de l'étage en soubassement a été distribuée
ement que possible à la propagation des maladies conta- gieuses. La
partie
centrale de cet étage renferme, du côté de l'en
eux moitiés absolu- ment distinctes et semblables, séparées par une
partie
centrale qui comprend la cage de l'escalier, le
que possible de l'habitation des malades. Le sol de ce caveau et la
partie
inférieure des murs sont revêtus en ciment pour
conduits de distri- bution partent de ce réservoir. Les différentes
parties
de ce pavillon sont éclairées au gaz. - La figu
ront aucune communication régulière avec le personnel des autres
parties
de la section. C'est par ce, pavillon, que de-
! AMÉLIORATIONS DIVERSES. libre, nous l'avons fait diviser en deux
parties
. Dans la première , on a aménagé quatre cellule
les de la 1" et de la 2e section, pratique détestable. La seconde
partie
du dortoir, contiguë à l'ancien chauffoir, dont
nous ne le pensions, et nous n'avions pu terminer l'examen d'une
partie
des adultes, les 72 épileptiques dits non alién
it M. le Dr Féré qui a pris rang à partir du 1 Cr février. DEUXIÈME
PARTIE
Clinique Bourneville, 1886. 1 De l'Idiotie
sommes donc amenés, naturellement, à diviser notre travail en deux
parties
: la première sera consa- crée à l'exposé des o
tuellement. Observation I. Aspect crétinoïde. - Gonflements sur les
parties
latérales du cou et en avant des aisselles. - P
en amas superficiels et non enkystés de graisse lâchement unie aux
parties
environnantes. M. Curling attribuait le dévelop
eau, sauf celle de la face, est rugueuse et présente par places des
parties
dures, de peu de dimension, de couleur brillant
u de l'humérale. La peau présente sur les membres et la plus grande
partie
du tronc des altérations qui rappellent un peu
les à de petits lipomes diffus ( ? ). L'une d'elles est située à la
partie
droite de la base du cou, au niveau même de la cl
s peu développée. - Les aisselles sont complètement glabres; à leur
partie
antérieure on trouve des masses adipeuses tremb
puce et du phimosis qu'on ne peut pas réduire. -Quelques poils à la
partie
inférieure de l'anus. Sensibilité très vive a
haut, le crâne présente ainsi une plagiocépltalie assez marquée. La
partie
posté- rieure du crâne est très développée, les
a lèvre inférieure reste pendante et laisse s'écouler au-dehors une
partie
de la salive et 24 IDIOTIE CRTINOÏDE. des ali
quelques pas; que, pour cela, il restait confiné au lit une grande
partie
de la journée, il parvient aujourd'hui, après a
s, cautérisation au nitrate d'argent. 23 mars. - On constate à la
partie
antérieure du cuir chevelu, laquelle est glabre
pèle a quitté la face pour devenir ambulant; il occupe, en effet la
partie
postérieure du cou et de l'épaule droite. La pl
on possible. T. R., 39o. J Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la
partie
inférieure du bras et supérieure de l'avant-bra
n vomitif. - T. R. 40°. 2. - La rougeur occupe aujourd'hui toute la
partie
inférieure de la joue droite, le menton, la par
urd'hui toute la partie inférieure de la joue droite, le menton, la
partie
inférieure de la joue gauche etle lobule de l'o
- La rougeur est limitée à la main et au poignet droits, les autres
parties
atteintes sont en voie de desquamation. T.R., 38°
nt abondants à la région occipitale; ils vont en diminuant sur la
partie
inférieure des pariétaux et la partie antérieure
ils vont en diminuant sur la partie inférieure des pariétaux et la
partie
antérieure du tem- poral. Sur la ligne médiane,
ontal en formant unehoupette; entre cette houpette médiane et les
parties
latérales il existe une calvitie presque complète
uelques mensurations supplémentaires : CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 37
partie
du ligament suspenseur du foie, qui constitue la
lx du péritoine, a acquis un grand développement en hauteur; à la
partie
moyenne, elle mesure 5 centimètres de largeur, sa
coecum se présente tout d'abord ; il est très dilaté, recouvre une
partie
du colon ascen- dant, du colon transverse et de
tres in. Le reste du colon ascendant et le colon transverse dans sa
partie
droite ne sont pas dilatés. La partie gauche du
t le colon transverse dans sa partie droite ne sont pas dilatés. La
partie
gauche du colon transverse, le colon descen- da
aux du cou, on trouve un peloton graisseux s'étendant jusque sur la
partie
antéro-supérieure du péricarde, ce peloton adipeu
A la coupe des bronches, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la
partie
postérieure du lobe inférieur gauche existe que
. Les nerfs grands splanchniques, les ganglions semi-lunaires, la
partie
inférieure du grand sympathique paraissent absolu
inférieure du grand sympathique paraissent absolument normaux; les
parties
supérieure et dorsale du grand sympa- thique so
assez grande quantité de sang et de liquide céphalo- rachidien. La
partie
qui reste au fond de la calotte est d'environ 4
erne; son tiers supérieur n'est pas ossifié et forme la plus grande
partie
de la fontanelle. Les sutures sont très apparen
La scissure de Sylvius (l'r.. II, Sc. S.) laisse à l'état frais une
partie
de l'insula à découvert; après un séjour de plu
ière etdeuième circonvolutions orbitaires sont bien développées. La
partie
moyenne du lobule orbitaire, surtout au niveau
olée de la deuxième circonvo- lution frontale et atteint à peine la
partie
antérieure de la scissure surcilière. Lobe fr
ur d'une lentille (t.), tumeur un peu surélevée, énucléable et à la
partie
supérieure de laquelle la pie-mère est adhérent
rconvolution frontale ascendante (F A) assez maigre, sauf f vers sa
partie
médiane, est coupée par deux sillons antéro-posté
ie médiane, est coupée par deux sillons antéro-posté- rieurs. Celte
partie
médiane isolée est reliée à la. deuxième cir- c
sillon de Ro- lando, sur la circonvolution pariétale ascendante. La
partie
infé- rieure de la circonvolution frontale asce
temporales se trouvent en retrait, c, sur le lobe occipital et les
parties
antérieures du lobe temporal. - La première circo
euxième circonvolution temporale (T.) est bien déve- loppée dans sa
partie
antérieure. - La deuxième scissure tempo- rale
tion temporale qui, elle aussi, est assez bien developpée dans ses
parties
antérieures. L'incisure préoccipitale (In. pré.)
ies antérieures. L'incisure préoccipitale (In. pré.) se réunit à la
partie
la plus postérieure de la deuxième scissure tempo
e de la deuxième scissure semble se continuer directement avec la
partie
antérieure de la première scissure. Face intern
rginale (Sc. c.m.) est assez profonde, normale dans ses différentes
parties
. La première cir- convolution frontale interne
.) avec la circonvolution du corps calleux, dont il est séparé à sa
partie
médiane par une scis- sure sous-pariétale (Se.
irconvolution pariétale ascendante (P. A.) est maigre, surtout à sa
partie
médiane. Le lobule pariétal supérieur (P,), irrég
de scissure parallèle pariétale. Au niveau de sa courbe. puis à sa
partie
médiane, elle est interrompue par les plis trans-
convolzt- CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 45 lion (T,) se confond avec la
partie
postérieure du lobule pariétal inférieur.-La sc
convolutions temporales (T" T3), sont bien développées, mais à leur
partie
postérieure elles sont un peu chagrinées et en
;, transverses ou plis de passage temporo-pariétaux, situées à la
partie
postérieure de l'insula, dont les circonvolutions
inale (Sc. c. m.), assez profonde, est normale dans ses différentes
parties
; elle communi- que par un sillon avec l'extrémi
tale et pariétale ascendantes. On remarque un peu en avant de sa
partie
médiane un sillon en y grec assez profond, et en
sinueuses, et ne permettent souvent que de limiter avec peine les
parties
appartenant à,telle ou telle circon- volution.
bien différent de celui de cet âge, et si la grosseur des diverses
parties
du corps, de la tête, du tronc, des membres, n'
très difficilement dans la bouche, aussi est-elle habituellement en
partie
hors de cette cavité. Les dents sont petites, mal
- Il est faible et très apathique, aussi reste-t-il la plus grande
partie
du temps assis et immobile. Il peut à peine mar
oedémateuse, ni aux mains, ni aux pieds, ni à la face. On enlève la
partie
antérieure du tho- rax et une poche globuleuse,
de la peau dimi- nuent à mesure que l'exploration remonle vers les
parties
supé- rieures de l'abdomen et n'existent plus a
igne axillaire postérieure. L'abdomen est pendant, ce qui est dû en
partie
au bassin qui est très bas. L'ombilic fait sail
rontale latérale et aussi au-devant de la fontanelle antérieure. La
partie
postérieure de la tête était petite. Les traits
r- tout à un développement irrégulier et asymétrique des diverses
parties
du corps dont les unes se développent avec excè
l'épiderme desquamme partout, (excepté sur la face), et surtout aux
parties
latérales du tronc. - Le corps parait atteint d
83 Les extrémités supérieures et inférieures sont déformées; les
parties
molles de la face sont épaissies, celle-ci a un a
couverte inférieurement de mucosités. Muqueuse un peu injectée, la
partie
inférieure de la trachée est rétrécie un peu la
miliaires atteignant quelquefois le volume d'une tête d'épingle, en
partie
confluents, scléreux ; il y en a aussi bien sur
res; tissu adipeux interstitiel abondant. - 4° La peau des diverses
parties
du corps (tête, tronc, membres, scrotum), est n
e une infiltratiou marquée des cellules hépatiques surtout dans les
parties
centrales des lobules, par des granula- tions p
a souvent des corpuscules pigmen- taires et beaucoup de noyaux. Les
parties
périphériques de l'écorce sont par place, surto
; mais, outre leur rareté, on peut se demander si, dans ce cas, les
parties
de la glande abandonnée étaient suffisamment sain
tômes myxoedémateux très accentués; l'intelligence est cependant en
partie
conservée. 36° Pietrzikowski-Gussenbauer *. - G
irpés; on comprend très bien qu'une glande thyroïde dont toutes les
parties
sont affectées puisse, fonctionnellement parlan
à la suite d'une résection de l'isthme. Ces cas se trou- vent en
partie
expliqués par l'observation que vient de rappor
ildrüse (Archiv. f. Exp. Pathologie u. 100 IDIOTIE CRÙTINOÏDE. en
partie
les expériences de M. Schiff. Les auteurs ita-
mie oedéma- teuse la peau, inégalement dure, offre dans certaines
parties
une résistance nullement comparable à celle du
l resta deux ans sans pouvoir bouger, avec les jambes raides ; la
partie
supérieure du corps était saine. Cette paraplégie
à droite, 5 centimètres à gauche. Cou, court ; circonférence à la
partie
moyenne 24 centi- mètres. Thorax bien conformé,
pertrophiés. Peau bistrée, assez épaisse; duvet assez abondant à la
partie
supérieure du dos; quelques poils à la partie e
t assez abondant à la partie supérieure du dos; quelques poils à la
partie
externe des jambes. Che- veux châtains ; sourci
coule que très peu de liquide. Les artères, les nerfs et les autres
parties
de la base de l'encéphale sont symétriques et s
r de la frontale ascendante droite où l'on en- traîne avec elle une
partie
de la substance grise. En- céphale : 1270 gr.Ce
s en dehors d'elle, le lobule orbitaire se présente dans ses autres
parties
sur un plan beaucoup plus élevé; la partie la p
résente dans ses autres parties sur un plan beaucoup plus élevé; la
partie
la plus profonde se trouve entre les deux branc
nte est dédoublée ; ce dédoublement est beaucoup plus net dans la
partie
moyenne. La scissure frontale supérieure, si- n
deux autres, son pied est maigre, contourné et en retrait sur les
parties
environnantes, le cap relevé est également peu
es environnantes, le cap relevé est également peu développé. A la
partie
antérieure, les trois frontales sont réunies en
e pli pariétal supérieur est assez développé, très découpé dans ses
parties
antérieures ; sa partie la plus postérieure est
t assez développé, très découpé dans ses parties antérieures ; sa
partie
la plus postérieure est très maigre, comme atro-
postérieure est très maigre, comme atro- phiée, en retrait sur les
parties
voisines; il en est de même du pli de passage q
porale, maigre et si- nueuse en avant,est assez volumineuse dans sa
partie
pos- térieure. La scissure parallèle est sinueu
eure. La scissure parallèle est sinueuse, profonde, bifurquée à ses
parties
supérieure et postérieure et com- munique en ba
lutions sont un peu maigres, et il paraît un peu en retrait sur les
parties
environnantes. Face interne. - La première fron
calleux. Le lobule paracentral, irrégulier, nette- ment séparé des
parties
environnantes est peu développé,. CIRCONVOLUTIO
tale à la troisième temporale, et un sillon profond revient vers la
partie
antérieure de la première scissure temporo-occi
re. Sur le lobule orbitaire, on trouve, comme à gauche, les mêmes
parties
situées sur un plan plus élevé, mais à un degré
ttement dédoublée dans ses trois cinquièmes posté- rieurs ; dans sa
partie
antérieure, un pli de passage allant à la 28 ci
ontale ascendante, est très irrégulière, peu développée; son cap,en
partie
, est comme relevé. A la partie antérieure, les
égulière, peu développée; son cap,en partie, est comme relevé. A la
partie
antérieure, les trois frontales sont net- temen
e par un sillon assez pro- fond et s'étendant, du bord interne à la
partie
la plus an- térieure de la scissure de Sylvius.
au- che ; il est un peu en retrait sur la face convexe et sur les
parties
environnantes. La première circonvolution tempo
auche. La scissure parallèle sinueuse, profonde, est bifurquée à sa
partie
postérieure et communique également avec un sil
la première, les deux scissures sont profondes et réunies à leur
partie
la plus antérieure par un sillon transverse. Le
esque fluctuante. Elle a une teinte rosée et même rougeâtre vers la
partie
moyenne (fig. 15). c La moitié droite est plu
iers que la moitié gauche et présente plusieurs bosselures : l°à sa
partie
supérieure un renflement de la grosseur d'un no
érieure un renflement de la grosseur d'un noyau de cerise ; 2° à sa
partie
inférieure, près de la ligne médiane, un renfle
ille. La moitié gauche de la protubérance est plus égale, sauf à sa
partie
inférieure où l'on remarque deux noyaux saillan
ulose intestinale et mésen- térique ; dans la moitié gauche et à la
partie
supérieure de la protubérance un tubercule cru,
en une masse caséeuse. A droite est une zone libre au niveau de la
partie
extérieure du pont et du fond du quatrième vent
e du pont et du fond du quatrième ventricule. De chaque côté, une
partie
des pyramides et du stratum superficiel du pont e
droite. La cornée est insensible de ce côté. Plus tard apparut à la
partie
inférieure de la cornée droite une opacité qui
s nerfs optiques et ceux de la 3'' et de la 4e paire sont sains. La
partie
sensitive de la 5° paire est moins blanche à dr
uche, complètement atrophiée à droite. La 7e paire, normale dans sa
partie
molle, est atrophiée et gélatineuse dans sa por
, bistrée, surtout sur l'abdomen. Cicatrice à la face interne de la
partie
inférieure de la jambe gauche (brûlure probable
âne pou épaiset présentant encore des traces de trans- parence à la
partie
moyenne et supérieure du frontal, à la partie s
trans- parence à la partie moyenne et supérieure du frontal, à la
partie
supérieure et antérieure des pariétaux. La base
a base une vascularisation fine très prononcée; de plus, toute la
partie
de la pie-mère située en avant de la protubé- r
ité présente une vascularisation très fine et plus prononcée sur la
partie
moyenne des hémisphères. Aspect louche d'un cer
tition du liquide céphalo- rachidien. Sur l'hémisphère gauche, à la
partie
inférieure du lobe carré, en arrière du corps c
sinueuse, envoie deux plis de passage à F2 et s'insère sur F A à sa
partie
supérieure. - 1<'2' aussi très sinueuse, off
mineuse, mais présente une encoche profonde, transver- sale, à sa
partie
moyenne. Sur l'extrémité postérieure de cette e
n. P A est sinueuse et assez volumineuse, mais est interrompue à la
partie
infé- rieure de son tiers moyen, au-dessous du
nte de nombreuses adhérences au sommet, surtout en avant et sur les
parties
latérales. Le gauche est également adhérent au
nt au sommet, mais sur- tout en arrière. Là on trouve un noyau, en.
partie
crétacé, mesurant 7 à 8 mm. de diamètre. Sur la
e poumon droit, on découvre une masse ca- séeuse sous-pleurale à la
partie
moyenne du lobe supérieur. Elle a 2 cent. sur 1
la pariétale ascendante gauche et un autre moins volumineux sur la
partie
moyenne de la frontale ascendante du même côté.
gion pariétale et le lobe occipital sont moins développés que les
parties
centrales et que le lobe temporal.- Sur toute la
que les parties centrales et que le lobe temporal.- Sur toute la
partie
postérieure de l'hémisphère, depuis la scissure i
cendante, la frontale 148 ! IlÉl\INGO-ENCÉPHALITE. ascendante, la
partie
postérieure de la deuxième circonvo- lution fro
la partie postérieure de la deuxième circonvo- lution frontale, la
partie
antérieure de la troisième cir- convolution fro
frontale. - La troisième circonvolution frontale est maigre à sa
partie
moyenne et postérieure, atrophiée dans sa parti
est maigre à sa partie moyenne et postérieure, atrophiée dans sa
partie
antérieure. Les sillons sont assez profonds. La
ale ascendante est très large dans son quart supérieur, maigre à sa
partie
moyenne, atrophiée dans son quart inférieur. Le
rière. L'atrophie porte aussi sur tout le lobe occipital et sur les
parties
postérieures de la première et de la deuxième c
orale. La première circonvolution temporale est atrophiée dans sa
partie
antérieure ; elle n'est bien développée qu'à sa
ée dans sa partie antérieure ; elle n'est bien développée qu'à sa
partie
moyenne. Elle envoie un pli de passage à la deu
anche n'est mise à nu. - Les portions les moins malades sont : la
partie
inférieure de la troisième circonvolution frontal
s au fond de la scissure de Sylvius ; elle est plus développée à sa
partie
postérieure qu'à sa partie antérieure. La deuxi
Sylvius ; elle est plus développée à sa partie postérieure qu'à sa
partie
antérieure. La deuxième circonvolution temporal
it. Sur cette face, il n'existait d'adhérences qu'au niveau de la
partie
antérieure de la première frontale, de la partie
qu'au niveau de la partie antérieure de la première frontale, de la
partie
supérieure du lobe quadrilatère, et un peu sur
aru. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en
partie
enlevée avec les méninges, surtout aux points d
au-dessous du sein gauche, tandis que le talon vient reposer sur la
partie
supérieure et interne do la cuisse droite et ré
a partie supérieure et interne do la cuisse droite et répondre à la
partie
moyenne de l'aine droite ; 2° à droite la cuiss
fréquente. Peu de diarrhée. Escharre du grand trochanter et de la
partie
supérieure de la crête sacrée. 29 Mars. Décédé
illots noirâtres. Le trou de Botal est perméable. Toutes les autres
parties
du coeur et du péricarde sont normales (valvule
disparition complète du tissu adipeux sous-cutané. Les différentes
parties
du crâne paraissent symétriques. Le trou occipi
e dans le pseudo-kyste le plus volumi- neux, elle est réduite à une
partie
de la lèvre antéro-supé- rieure du lobule orbit
seudo- kyste ; à son extrémité inférieure et antérieure elle fait
partie
, sur un centimètre environ, du même pseudo-kyste.
volutions fron- tales et celui qui est situé un peu en arrière à la
partie
médiane de la seconde frontale. La première fro
e. La première frontale est bien développée, sinueuse dans toute la
partie
située en dehors du kyste ; elle envoie deux pl
bien développée dans sos deux quarts postérieurs, atrophiée dans la
partie
compriso entre les deux kystes qui siègent à sa
hiée dans la partie compriso entre les deux kystes qui siègent à sa
partie
antérieure. - La scissure frontale inférieure e
t assez bien ATROPHIE CÉRÉBRALE. 163 développé et sinueux dans sa
partie
externe, mais le gyrus rectus est atrophié surt
tif. Face interne. - La première circonvolution frontale, dans sa
partie
antérieure, est comprise dans le pseudo- kyste
seudo-kysto ou dans la lésion environnante ; il est, par ses autres
parties
, presque réduit à une simple coque do substance
large- ment avec la poche du grand pseudo-kyste dont il forme une
partie
de la paroi. Hémisphère droit. - a) Scissures.
première circonvolution fron- tale, assez volumineuse, surtout à sa
partie
postérieure, est dédoublée dans ses quatre cinq
deuxième circonvolution frontale, sinueuse, bien déve- loppée à sa
partie
postérieure, grêle à sa partie moyenne et un pe
le, sinueuse, bien déve- loppée à sa partie postérieure, grêle à sa
partie
moyenne et un peu chagrinée à son extrémité ant
irconvolutions de ce lobule semblent un peu atrophiées surtout à la
partie
antérieure où elles ont un aspect cha- grincé.
ans son ensemble, est un peu grêle et légèrement chagriné dans la
partie
située au-dessus de la lèvre supérieure de la sci
pli courbe, surtout ce dernier, sont atrophiés et cha- grinés ; la
partie
du lobule pariétal inférieur située direc- ment
LE CONGÉNITALE. 167 bes frontaux ; - que les circonvolutions ou les
parties
de circonvolutions avoisinantes étaient atrophi
une congestion intense et des noyaux de broncho- pneumonie dans la
partie
inférieure du lobe droit. Abdomen : foie, 645 g
que les hémisphères cérébelleux. Il n'y a point, dans toutes ces
parties
, de différence de coloration. ' Cerveau. Hémisp
- fle un peu dans son tiers moyen et s'amincit de nouveau dans sa
partie
supérieure. Le pli pariétal supérieur est sinue
quatrième par deux plis de passage formant une sorte de masse à la
partie
moyenne. Les sillons qui séparent les circonvol
rtion la plus convexe des circonvolu- tions quelques adhérences, la
partie
la plus superficielle de la substance grise a é
nce blanche, parsemée de corps granuleux. La moelle cervicale a ses
parties
symétriques, mais il y a disparition à peu près
donc de l'atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en
partie
à l'oeil nu par la prolifération scléreuse. Ce
larynx et la trachée n'olfrent aucune lésion. Le thymus persiste en
partie
. - COi'PS thyroïde normal. -Poumons sains (gauc
hidien n'est pas exagérée. Encéphale (1.190 gr.). Les différentes
parties
de la base de l'encéphale (artères, nerfs, etc.
àla surface interne. Sur la face convexe, la pie-mère entraîne une
partie
de la substance grise qui se soulève par places
s ne semblent intéresser que la substance grise. Ils siègent sur la
partie
postérieure de la seconde et de la troisième fr
DE ramollissement. à l'extrémité de la frontale ascendante; sur la
partie
moyenne de la troisième frontale et sur le pli
oyers analogues à ceux du côté gauche, moins étendus, situés sur la
partie
moyenne des première et deuxième frontale et à
existe un creux d'un centimètre de diamètre qui se trouve comblé en
partie
par un mamelon sphérique dépendant de la deuxiè
sions légères qui donnent un aspect chagriné, marqué surtout à la
partie
inférieure du lobe frontal. La pariétale ascend
plis de passage à la troisième. Celle-ci est très sinueuse dans sa
partie
antérieure et communique avec la quatrième temp
t très irrégulier et présente un sillon en Y ; il se confond par sa
partie
moyenne avec la première circonvolution frontal
llons de cette face sont, au contraire, superficiels, sauf sur la
partie
antérieure de la circonvolution frontale. - Le ve
ntale, à son insertion sur la frontale ascen- dante, portait sur sa
partie
moyenne un foyer ocreux, allongé, parfaitement
dans la cavité. Si l'on suit cette paroi, ainsi constituée sur les
parties
latérales, on voit que les couches se perdent s
inhabité simulant une petite verge. Urèthre imper- méable clans une
partie
de son parcours. Cloaque (communication de la v
a vessie avec le rectum). -- Tu- meur congénitale du périnée et des
parties
environ- nantes (fibro-sarcome). Rat..., né l
assure-t-on, les excréments. Egalement t sur la ligne médiane, à la
partie
la plus saillante, on trouve une petite eschare
sistance est analogue à celle d'un mamelon. La peau du dos, dans sa
partie
supérieure, est souple ; à la région lombaire,
que cette interruption est due à une tumeur qui a envahi une grande
partie
du pénis, et sur laquelle nous reviendrons tout
et 22, 1,3), d'aspect sarcomateux. Cette tumeur a envahi toute la
partie
gaucho du bassin, les faces latérale et posté-
au toucher, et crie sous le couteau. Elle contourne le pubis à sa
partie
inférieure, envahit tout le périnée ; elle dépass
t, elle s'éLcnd jusqu'au bord infé- rieur du prépuce, puis gagne la
partie
inférieure do la cuisse; elle présente, du pubi
rtilagineux qui rappelle la rotule. Examen histologique. - Dans les
parties
de la tumeur siégeant autour du pubis on trouve
il diminue, et même cède le pas aux cellules embryonnaires dans les
parties
molles, jeunes, de la tumeur, telles que sur le
tions et de la tumeur observées sur l'enfant Rat... reste encore en
partie
obscure; si l'on s'explique assez facilement le
s 1885).-Tête de forme un peu carrée, élargie transversalement à sa
partie
supérieure, avec saillie considérable des deux
les autres récentes ; une autre linéaire, de 2 centimètres, à la
partie
supérieure de la tempe gauche. Les arcades orbi-
hors.- Le nez, large à sa base, présente quel- ques cicatrices à sa
partie
supérieure. Bouche grande, lèvres épaisses. Fac
igt porté profondément dans le fond de la gorge arrive presque à la
partie
supé- rieure du larynx sans avoir la sensation
trê- mes, et l'interne de garde pratique d'urgence la section des
parties
molles au thermocautère et, au bistouri, l'in-
tits fragments de viande d'abord, puis de deux gros mor- ceaux en
partie
tendineux, nullement mâchés, sans traces d'alté
tie cartilagi- neux ; le cartilage de la 7e côte s'insère sur cette
partie
cartilagineuse. Ce cartilage mesure 11 cent. 1/
ire dans l'espace sous-aortique. - Plèvre lisse et normale dans les
parties
214 ' autopsie. où on ne trouve pas d'adhéren
est moins développée dans ses deux tiers supérieurs, grêle vers sa
partie
moyenne. Le sillon de Rolando est profond et si
par un mince pli de passage, allant du pli pariétal inférieur à la
partie
médiane de la parié- tale ascendante; elle poss
millimètres, descend vers le lobule fusiforme, semble constituer en
partie
la première scissure temporo-occipitale, très s
préoccipilale (de Schwalbe) et forme, en s'en- trecroisant avec la
partie
antérieure de lapremière scissure temporale, un
inférieure. Ces deux scissures transverses constituent, avec une
partie
de la seconde scissure occipitale, une scis- su
sont bien développés, normaux. La première temporale envoie à la
partie
postérieure du lobule de l'insula un volumineux
aussi bien déve- loppée, présente des scissures assez marquées à sa
partie
postérieure et envoie deux plis de passage (ant
s fractures multiples soit des côtes, soit de différentes au- res
parties
du squelette ainsi qu'il arrive fréquemment dan
ante... Si l'on a négligé ce sujet, ajoute-t-il, la faute en est en
partie
probablement, aux indi- cations exagérées des a
tits points ecchymotiques. Légère congestion de la muqueuse de la
partie
moyenne de l'intestin. - Le foie (1.055 gr.) prés
, rien. Tête. Cuir chevelu sans ecchymoses. Os minces; sutures en
partie
ossifiées. Pas d'asymétrie de la base du crâne. D
volution frontale est bien développée,plissée,corume dédoublée à sa
partie
antérieure; elle s'insère à la circonvolution f
deuxième cil'convolution (¡'olltale,sinueuse,est confondue dans ses
parties
antérieure et moyenne avec la troisième cir- co
ion frontale. -La scissure frontale inférieure n'existe que dans sa
partie
la plus postérieure où elle forme une enco- che
, d'un développement moyen, est, en avant, complètement isolé de la
partie
antérioure par le rameau horizontal antérieur d
iste une scissure frontale parallèle, interrompue seulement vers sa
partie
moyenno par un pli de passage un peu en retrait
êle.- Le lobule orbitaire est bien conformé, normal dans toutes ses
parties
, scissures et circonvolutions ; il paraît plus
haut, un sillon profond, divisant le pli pariétal supérieur en deux
parties
; 2° en bas, un sillon qui se bifurque près de s
pli pariétal inférieur sont bien développés, nettement séparés des
parties
environ- nantes auxquelles ils sont reliés par
c la scissure interpariétale, divi- sant ainsi le pli courbe en uno
partie
antérieure et en une partie postérieure, plus d
, divi- sant ainsi le pli courbe en uno partie antérieure et en une
partie
postérieure, plus développée. Les circonvolutio
n, sont très sinueuses, un peu irrégulières. La première offre à sa
partie
moyenne une sur- face en retrait et chagrinée;
d de la troisième circonvolution fron- tale, qu'elle divise en deux
parties
, pour se terminer dans la scissure frontale sup
a deuxième circonvo- lution frontale, très développée, présente une
partie
postérieure isolée par les scissures de la régi
t inférieure ; un pli de passage grêle à niveau interrompt, vers sa
partie
moyenne, la continuité de la scissure frontale
périeure; deux autres plis de passage à niveau, larges, situés à la
partie
an- térieure de la deuxième et troisième circon
circonvolution temporale, assez développée, est sinueuse ; vers sa
partie
moyenne, sa continuité est interrompue par un s
éveloppée, est irrégulière, dédoublée en deux plis secondaires à sa
partie
antérieure, simple en arrière et séparés nettemen
chaque face convexe la séparation bien nette du lobe occipital des
parties
environnantes. Les lettres Sc. p. p. doivent êt
s la fissure calcarine. 1 ? 13 ? Les lettres Se. c. m. placées à la
partie
antérieure de L. Q. doivent être reportées à l'
e dans laquelle il y a paralysie des membres, de la langue et de la
partie
inférieure de la face, dans le côté du corps oppo
. 4 A. JOFFROY Le nerf grand hypoglosse ou 12e paire émerge de la
partie
antérieure du bulbe entre l'olive et la pyramid
ntrecroisement avec son con- génère, et qui ne l'effectuera qu'à la
partie
inférieure du bulbe, au-des- sous des olives. U
ien. soit placée plus haut de manière à intéresser simultanément la
partie
supérieure, du bulbe et la partie inférieure de l
ère à intéresser simultanément la partie supérieure, du bulbe et la
partie
inférieure de la protubérance, nous aurons alor
er hémiplégie alterne faciale, c'est que la lésion siégeant dans la
partie
inférieure de la protubérance atteint simultanéme
teint simultanément le faisceau py- ramidal (qui s'entrecroise à la
partie
inférieure du bulbe) et les filets ner- veux in
e le moteur oculaire commun tient sous sa dépendance la plus grande
partie
de la musculature externe de l'oeil par les fil
paupière supé- rieure, qu'il tient également sous sa dépendance une
partie
de la muscu- lature interne de l'oeil par les f
iplégie croisée intéressant les membres supérieur, inférieur, et la
partie
inférieure de la face, et en même temps il y aura
eulement le membre supérieur et le membre inférieur, mais encore la
partie
infé- rieure de la face du côté gauche. Et à ce
upérieure droite se relève suffisamment pour laisser apercevoir une
partie
de la cornée, et par un examen attentif vous ob
s d'anatomie relatives à la circulation de la base du cerveau. La
partie
postérieure de l'hexagone do Willis est formée pa
rième temporales, parfois même la troisième et la seconde, toute la
partie
postéro-inférieure du lobe temporal, tout le lobe
t d'anastomose de la communicante postérieure, c'est-à-dire dans la
partie
directe ou as- cendante de la cérébrale postéri
unicante postérieure, qui envoie également des collatérales dans la
partie
antérieure de la bandelette optique. Si mainten
nsuivra portera uniquement sur tout le lobe occipital et une grande
partie
du lobe temporal, L'hémiopie en sera la conséqu
une thrombose de la cérébrale postérieure droite sur la plus grande
partie
de son tronc, depuis son ori- gine jusqu'au del
te artère, et très ralentie, mais non interrompue, dans la première
partie
de la cérébrale postérieure qui donne naissance
de l'embouchure de la communi- cante postérieure, a produit dans la
partie
directe ou ascendante de cette dernière artère
circulation, et comme cette artère envoie des collatérales dans la
partie
antérieure des bande- lettes optiques, le faisc
ant lieu à un ramollissement de tout le lobe occipital, de toute la
partie
postéro-inférieure du lobe tempo- ral, les cinq
re). 2° Un ralentissement considérable de la circulation dans cette
partie
de la cérébrale postérieure droite, s'étendant
la nutrition des noyaux du moteur oculaire commun, ainsi que de la
partie
motrice du pédoncule cérébral. Ce trouble circu
re et de ses collatérales, en particulier de celle qui se rend à la
partie
antérieure de la bandelette optique, ce qui a pu
re peut, suivant son étendue et sa localisation dans telle ou telle
partie
du tronc artériel, déterminer des symptômes très
ômes très dif- férents. 1° Si la thrombose siège dans la première
partie
, partie directe ou as- cendante de la cérébrale
s dif- férents. 1° Si la thrombose siège dans la première partie,
partie
directe ou as- cendante de la cérébrale postéri
os- térieure avec la communicante postérieure, c'est-à-dire dans la
partie
ré- fléchie de la cérébrale postérieure, la cir
oduira un ramol- lissement étendu du lobe occipital et d'une grande
partie
du lobe tempo- ral donnant lieu à l'hémiopie pe
est passé chez notre malade, l'oblitération, respectant la première
partie
de l'artère (celle qui donne naissance aux coll
circulation dans la communicante postérieure et dans la pre- mière
partie
de la cérébrale postérieure et en particulier le
e gauche : 640 grammes ; hémisphère droit : G55 grammes. Toutes ces
parties
étaient absolument in- tactes, excepté un point
e, au voisinage de la substance blanche. Il a refoulé légèrement la
partie
superficielle de l'écorce de façon à faire une sa
faire une saillie, à peine appréciable, sous les méninges ; vers sa
partie
profonde, il a égale- ment comprimé la substanc
en dehors de cette zone d'irritation, on remarque,sur- tout vers la
partie
profonde attenante à la substance blanche, une pu
jambe gauche ; l'autre, anatomique - existence d'une tumeur dans la
partie
antérieure du lobule pariétal supérieur de l'hé
ravaux sur ce sujet, que la région motrice s'étendait peut-être aux
parties
immédiatement contiguës aux circonvolutions ascen
- et dans les hémianesLhésies produi- tes par la destruction de la
partie
postérieure de la capsule interne ; ce qui n'es
eur du volume d'un pois, siégeant sous la pie-mère, qui occupait la
partie
moyenne du lobule pariétal supérieur droit », j
r est placé dans le lieu atteint par la lésion, c'est- à-dire, à la
partie
antérieure du lobule pariétal supérieur, à côté d
nt, ne détruit d'aucune façon notre conclu- sion, à savoir : que la
partie
antérieure du lobule pariétal supérieur est le
dans ce dernier cas. En effet, puisqu'une lésion irritative de la
partie
supérieure des circon- volutions ascendantes, c
nde nerveuse s'étend aux centres moteurs de la face, placés dans la
partie
inférieure, de ces circonvolutions, il n'est pas
ensibilité musculaire du membre inférieur semble être placé dans la
partie
antérieure du lobule pariétal supérieur. II. -
ur sa morphologie extérieure, mais encore sur la disposition de ses
parties
profondes. La radiographie révèle ainsi nombre
nts successifs, ci rendre visibles sur les épreuves les détails des
parties
molles dont la connaissance ne sera pas moins uti
ard » véritable, ceux-ci font généralement défaut en totalité ou en
partie
. En outre, les deux mors de la « pince de homar
e métatarsien, se prolonge par un corps effilé qui se perd dans les
parties
molles. Sur cet os rudimentaire s'articule une ph
cquis défini- tivement, nous savons que la destruction de certaines
parties
de l'écorce cérébrale est suivie de la paralysi
u côté opposé du corps. Cette « zone motrice » occupe à peu près la
partie
moyenne de la surface corticale. En arrière d
sur le compte d'un « acte inhibitoire exercé par ce qui reste de la
partie
lésée et par les éléments nerveux avoisinant ce
, comprend les circonvolutions centrales, lelobuleparacen- tral, la
partie
voisine de la circonvolution du corps calleux et
ral, la partie voisine de la circonvolution du corps calleux et de la
partie
postérieure des trois circonvolutions frontales
nière développée, n'apparaissant qu'après la naissance, comprend la
partie
moyenne de la première temporale et l'oper- cul
lle se développe la première, est formée du trigone olfactif, de la
partie
voisine de la circonvolution du corps calleux,
, de la substance perforée antérieure, du repli cunéiforme et de la
partie
voisine de la circonvolution de l'hippocampe. C
ord le grand centre d'association postérieur, comprenant une grande
partie
du lobe occipital, du lobe pariétal el du lobe te
nctions du langage. Le centre d'association antérieur comprenant la
partie
antérieure du lobe frontal intéresserait surtou
lequel la sphère auditive gauche intacte était séparée de toutes les
parties
voisines supérieures, postérieures et inférieur
térieures conservées par le souvenir, peut disparaître sans que les
parties
élémentaires dont il est formé aient elles-mêmes
aîtres de l'art des Pays-Bas. Outre ses paysages qui constituent la
partie
la plus importante de son oeuvre, Dietrich a pe
deux pieds sont appliqués ensemble sur le sol dans une plus grande
partie
de leur étendue, c'est ainsi que tandis que, da
nt dans la région lombaire supérieure, pour devenir accentuées à la
partie
supérieure de la région dorsale et à la région
moins marquée des zones de Lissaucr, et d'un tctritorre situé il la
partie
interne du cordon de Burdach qui n'atteint ni la
itante de la corne postérieure. Entre ces différentes . zones, à la
partie
interne du cordon de Burdach, limité en arrière p
and nombre de fibres. Les lésions sont en outre disséminées dans la
partie
moyenne du faisceau de Bur- dach et dans le cin
le devenue plus externe est bien conservée. Il en est de même d'une
partie
de la zone radiculaire moyenne. D'uue façon génér
ntactes encore la zone cornu- commissurale devenue plus externe, la
partie
moyenne et interne du faisceau de Burdach, enfi
l.) Région dorsale inféi ieiue. Sclérose des zones de Lissauer, de la
partie
moyenne du faisceau de Burdach, et du 5* du cha
p postéto-interne. Sont conservées : la zone cornu-commissurale, la
partie
interne et moyenne du faisceau de Burdach. C.
gion de l'avant-bras, dans les endroits non couverts d'éruption des
parties
symétriques de la peau de près de 6 centimètres d
sidérablement diminuée. Ainsi dans les explorations des différentes
parties
du corps du malade ce dernier ne pouvait pas di
l'éruption se limite exclusivement au côté gauche du corps sur les
parties
suivantes : le côté ulnaire du médius, le côté ra
ption s'étend sur la région pectorale ; elle poursuit le bord de sa
partie
inférieure en forme de taches blanches, luisantes
s avec des contours ronds, festonnés; on re- marque partout que les
parties
centrales des plaques sont plutôt plates, tandi
parties centrales des plaques sont plutôt plates, tandis que leurs
parties
marginales sont comparativement plus relevées;
tronc. L'éruption disposée sur la paume de la main présente sur ses
parties
pé- riphériques une couche abondante de masses
en largeur qu'en épaisseur; l'hyper- trophie porte surtout sur les
parties
molles; les ongles notamment sont très élargis
tre normalement à l'approche de sa dix-huitième année. Toutes les,
parties
de son corps ont subi les transformations qui fon
ultané- ment, à cet arrêt de la croissance qui porte sur toutes les
parties
de l'orga- nisme. Dans notre exemple, c'est l
tte anomalie l'hypertrophie de la 3e phalange porte surtout sur les
parties
molles. Au contraire, la main de l'autre infant
bs. Cet homme, impotent des membres inférieurs, a les chairs de ces
parties
d'une dureté extraordinaire et semblable à celle
e s'aperçoit par hasard qu'il était porteur d'une tumeur osseuse à la
partie
interne du tiers supérieur de la cuisse gauche
cement des troubles dans les muscles ; l'infiltration débute par la
partie
charnue et envahit bientôt l'appareil tendineux q
culaire plus ou moins épaisse suivant que le néoplasme a envahi une
partie
plus ou moins grande du muscle. Les fibres musc
e tarde pas il apparaître. Celui-ci ne débute jamais par toutes les
parties
du muscle il la fois, il commence par le centre
s les parties du muscle il la fois, il commence par le centre de la
partie
atteinte et y reste confiné le plus souvent, de
lagineux ou du tissu osseux (Munchme.) er). Plus souvent une petite
partie
de la tumeur (Hawkins, notre cas) offre une str
ente sous cet aspect, là où les os longs affleu- rent la peau, à la
partie
interne du bras, à la face antérieure du tibia, à
u, à la partie interne du bras, à la face antérieure du tibia, à la
partie
supérieure du péroné, sur les côtes. D'autres foi
nt d'autres lésions. Ils sont en général très volumineux, certaines
parties
osseuses sont même extraordinairement développées
ure 126 A. WEIL ET J. NISS1M jusqu'au petit trochanter,a suivi la
partie
externe épaissie de l'aponévrose qui recouvre l
e large : exostose de la clavicule gauche en rapport avec la petite
partie
du grand pectoral ; ossification parlant du pubis
daires, témoins, les jetées osseuses qui vont de l'ossification de la
partie
externe de la cuisse dans la musculature de cet
inaperçu, même chez l'adulte, qu'il se montre de préférence sur des
parties
inacces- sibles à la vue, le plus souvent au do
ue la fièvre, la douleur et l'oedème persistent encore alors que la
partie
envahie-la première est déjà depuis longtemps ent
is de juillet,la tumeur supérieure avait disparu et l'inférieure en
partie
en même temps qu'une troisième proéminence avait
ertébrale en se penchant. » , On croirait, en lisant cette première
partie
de l'observation, que les tumeurs de la premièr
de Hawkins ; huit, dans celui de Kohts. Souvent,on remarque qu'une
partie
seulement du territoire musculaire envahi,est a
sifiant. Normale dans les muscles sains, faible dans les muscles en
partie
atteints, la contraction faradique est nulle da
t au squelette sous-jacent; ou bien,elle reste mobile au milieu des
parties
molles. Dans le premier cas, elle offre la forme
tteint le premier, le gonflement pâteux peut se mon- trer soit à la
partie
supérieure, à l'angle supérieur de l'omoplate (St
r (Pollard), aux deux rhomboïdes (Uhde), au grand dorsal; soit à la
partie
inférieure, à la région lombo-sacrée (Hawkins).
mes ; le malade de Rabek a présenté trois noyaux de ce genre : à la
partie
supérieure de la tête, à l'occiput et un autre
le suivant : 1° Elle est entourée d'une bordure rose, qui occupe la
partie
saine de la peau sur les limites de la plaque,
imètres de largeur, séparant sans transition la par- tie malade des
parties
saines. 3° Le centre est occupé par la plaque p
le mesure 6 centimètres verticalement, et un centimètre 1/2 dans sa
partie
la plus large. Rien autre en aucun point du cor
éloïdienne, donnant au doigt une sensation-de carton, présente à la
partie
supérieure deux petites excoriations. Elle est dé
e tumeur fibreuse au deltoïde gauche, une autre cartilagineuse à la
partie
inférieure du grand pectoral droit, et des tume
rtège symptomatique de lièvre, de douleur et de gonflement dans une
partie
du corps. Parfois l'attaque se fait à époque fi
ifications, quand elles existent, elles siègent principalement à la
partie
postérieure et externe ; toutefois llays et Lex
tion co.ro-fémol'ltllJ est immobilisée par des jetées osseuses qui,
parties
des masses lombaires, vont se fixer sur le fémur
ue la suppuration peut s'établir. C'est ainsi que Kottts ouvre a la
partie
supérieure de l'avant-bras un abcès qui donne i
t opéré un malade porteur d'ostéomes multiples, a cons- taté qu'une
partie
de ces ossifications étaient pourvues à leurs ext
e de la couche sous-cutanée, qui s'étend même à la périphérie de la
partie
lésée, la dilatation des veines superficielles,
appellation, malgré sa prétentieuse lon- - gueur, n'embrasse qu'une
partie
des symptômes; mieux vaut, croyons- nous, l'app
l'entourent. Il eut la région fessière droite atteinte en. 1887; la
partie
moyenne du tho- rax, à gauche, au niveau des mu
ovenir des apophyses transverses des vertèbres et ayant en- vahi en
partie
les puissants paquets musculaires de cette région
3 centimètres et demi d'épaisseur est beaucoup plus volumineuse. sa
partie
inférieure où elle se montre bosselée, irrégulièr
s osseuses de nouvelle formation que l'on remarque, existaient à la
partie
supérieure de sa face dorsale, un peu au-dessou
la jambe en s'épaississant et s'élargissant de plus en plus ; à sa
partie
inférieure, elle atteint en effet les deux tiers
ille est tendu comme une corde. Les os de la jambe sont gros à leur
partie
inférieure, immédiatement au- dessus de l'artic
s sur la face dorsale du pied. - Le gros orteil est ankylose. De la
partie
externe de son extrémité libre, part un appendi
ntervenir les muscles de la ceinture omo-claviculaire et soulève la
partie
supérieure du thorax; il offre 20 à 24 respirat
s, où il lui semblait qu'il marchait sur de l'ouate. Sur toutes les
parties
du corps, le contact, la piqûre, le froid et le
IEDREICH A DÉBUT TARDIF IL. Boiiiiiis) A. Coupe du bulbe : t sa
partie
inférieure. B. Coupe de la moelle au niveau de
térée. Le centre ovale de Flechsig paraît con- servé. Même dans les
parties
les plus altérées (zones radiculaires postérieure
- médullaires sont intactes, les artères intra-médullaires dans les
parties
scléro- sées paraissent un peu épaissies, en to
plus souvent de ce que la voûte crânienne manque totalement, ou en
partie
; c'est alors que (1) Communication faite à la
3 centimètres. La couche droite a la forme d'un fer à cheval, l, sa
partie
horizontale ressemble à une fève et sa partie ver
n fer à cheval, l, sa partie horizontale ressemble à une fève et sa
partie
verticale descend jusqu'au corps mamillairc. Du
t assez nettement; quant aux tubercules antérieurs, ils manquent en
partie
, à cause du reste de l'hémisphère droit qui se dé
les membranes qui recouvraient les os de la voûte crânienne et une
partie
de la base, passaient immédiate- ment dans le c
- tral n'est plus placé dorsalement, mais se trouve plus prés de la
partie
ventrale. En s'approchant du cerveau, le seul c
libres arcifor- mes externes, manquent totalement (Pl. XXIV. A). La
partie
dorsale s'est développée régulièrement, mais da
rte qu'au niveau où se fait l'entrecroisement, le pathétique, cette
partie
est amincie des deux côtés et la voie pyramide
. le professeur S. Korsakoff dans le laboratoire duquel j'ai fait une
partie
de mes recherches et aussi à M. le Dr S. Soukha
de l'é- tat de sa vue et de son ouïe. L'appétit lui était revenu en
partie
; ses di- gestions se faisaient à peu, près nor
t à la fois les nerfs acoustiques, les nerfs optiques, et certaines
parties
du cervelet. Il y aurait là de quoi expliquer l
érieur, le moyen et l'inférieur, qui relient le cervelet aux autres
parties
de l'encéphale, se détachent d'un point d'origine
fond du conduit auditif interne le nerf acoustique se porte vers la
partie
la plus reculée du sillon horizontal qui sépare l
t, se développent surtout de bas en haut. Elle compriment ainsi les
parties
avoisinantes et principalement les veines émissai
es parties avoisinantes et principalement les veines émissaires des
parties
centrales; d'où l'hydrocéphalie qui entraîne à so
s masses se sont creusées, à droite et à gauche,une logelte dans la
partie
la- térale, correspondante, de la protubérance
s le sens vertical, par suite de la pression énorme exercée sur ses
parties
latérales. Les pédoncules cérébelleux, moyen, s
anée. La périphérie de l'épaississement supérieur est divisée en 20
parties
égales, de sorte que chaque division correspond
peau du front, place la plus sensible aux pi- qûres. Les petites
parties
de la peau, qui sont à côté l'une de l'autre, ne
l'examine à l'air, la sensi- bilité douloureuse est moindre sur les
parties
découvertes du corps (le vi- sage, la tête).
itive, originelle. On les rencontre soit sur le front, soit sur les
parties
latérales et pos- térieures du crâne. I. Le p
aillie qui suit le trajet de la suture médio-frontale. IL Sur les
parties
latérales et postéro-latérales du crâne, on ob-
es), et cela à deux points de vue : 1° C'est un crâne renflé à sa
partie
supéro-postérieure en deux moitiés globuleuses
avec le reste du crâne. Les frontaux et les pariétaux, au moins en
partie
, sont très épaissis, et la surface de section d
« la Description du cabinet du roi » (volume III, p. 66, n° CXVI),
partie
de l'édition des oeuvres complètes de M. de Bal
l de l'autre côté, ces deux mesures prises de dehors en dehors ; la
partie
des pariétaux qui est voisine de la suture corona
m- mence à présenter des lésions cutanées suspectes au pourtour des
parties
gé- nitales et de l'anus. Quelques jours plus t
vant le début delà première grossesse. La mère" a eu un chancre des
parties
génitales, de la roséole, des plaques muqueuses
vec prédominance à gauche, qui gagne ultérieurement les lombes et les
parties
génitales. L'abdomen est ballonné, douloureux.
u- relle du membre atrophié, affecte des rapports seulement avec la
partie
supéro- interne du condyle interne. L'autopsi
nt pas appartenir : 1 un même sujet. Après la séparation d'avec les
parties
molles, des mensurations sont prati- quées sur
tibia sain offre, si l'on veut, une forme en brioche, déterminée en
partie
par la saillie du bord antérieur et qu'on note
lles qu'un sillon incomplet d'où partent quatre branches limitant les
parties
les plus renflées. A gauche, le sillon entre
avions pris pour plus de certitude, en enfonçant une aiguille il la
partie
laté- rale et postérieure du côté sain (Ci-. 2)
. - La corne gauche est plus étalée et plus renflée surtout dans sa
partie
externe. Au lieu que du côté droit la limite anté
igne courbe présentant deux renflements dont l'un plus marqué ir sa
partie
externe. La numération des cellules faite il un
lobuleuse. La corne atrophiée est moins développée, surtout dans sa
partie
externe. La corne gauche renferme 83 cellules,
d'ail- leurs que le neurone tout entier souffi-c, quand une de ses
parties
est lésée. 272 ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI Pour co
ical, on voit qu'il existe un foyerdesclé- rose comprenant toute la
partie
externe de la corne antérieure. La corne antéri
lle est loca- lisée ici au lobule paracentral du côté droit et à la
partie
supérieure des circonvolutions frontale et pari
ent MM. Charcot et Pitres ('11), de l'inertie fonc- tionnelle d'une
partie
des éléments anatomiques contenus dans les centre
rès s'être propagées latéralement, s'étaient réunies sur toutes les
parties
du dos comme une ramification de co- rail, de s
pied droit avec formation de substance osseuse s'élevant jusqu'à la
partie
moyenne de la jambe. Marche très difficile. G
s, vers le sternum. L'examen montre le grand pectoral ossifié il sa
partie
supérieure, de la cla- vicule au bras. Les dépô
t irrégulière. Le sLel'l1o-cléido-mastoïdien est ossifié jusqu'à sa
partie
moyenne, il offre plu- sieurs noyaux. Plusieurs
cès aux deux régions pectorales contenant 150 à 180 gr. de pus. Les
parties
tendineuses des muscles n'étaient pas affectées.
es pectoraux sont tendus, saillants et ossifiés dans la plus grande
partie
de leur étendue sous forme de travées transvers
ctoral et presque tout le petit du côté gauche. 5° La plus grande
partie
du grand pectoral droit. Les portions ossifiées s
pubis et représentant une espèce de clavicule abdominale. 12° La
partie
supérieure du droit antérieur de la cuisse droite
tie supérieure du droit antérieur de la cuisse droite. 130 Toute la
partie
inférieure et interne du triceps crural droit..
fessiers gauches et le bord postérieur du grand. 15° La plus grande
partie
du tenseur du fascia-lata gauche. 16° Une masse
un volume notable. C'est dans cet état que se trouve la plus grande
partie
de ce tissu, il en est de même dans les membres
mois de juillet la tumeur supérieure avait disparu et l'inférieure en
partie
, en même temps, une troisième proéminence avait
rs plus nombreuses et plus proéminentes. La douleur est revenue. La
partie
inférieure du sterno-mastoïdien est très dure el
le de l'omoplate droit et s'étendant en dehors, une tumeur dont une
partie
se trouve dans le grand dentelé (elle existait dé
le périoste d'un os naturel. L'un des bords était uni, l'autre, en
partie
ossifié et fixé aux apophyses 282 A. WEILL ET J
tèbres dorsales, avait une étendue de 8 centimètres. La plus grande
partie
est formée par de l'os, une petite portion est ca
uis la 7" jusqu'à la 2", par de courtes fibres tendineuses. De la
partie
supérieure et externe de cette bande partent deux
lignes d'épaisseur. Elle s'insère, par des fibres tendineuses, à la
partie
postérieure de la crête iliaque à l'apo- physe
ion sternale offre seulement des bandelettes, dont l'une siège à la
partie
moyenne du musclé, près du sternum, une autre sa
siège à la partie moyenne du musclé, près du sternum, une autre sa
partie
infé- rieure formant le bord de l'aisselle. P
ent sur l'extrémité inférieure de l'humérus gauche ; l'une d'elles,
partie
du condyle interne, se prolonge dans les muscles
lté. Depuis, développe- ment de différentes masses dans différentes
parties
du corps, principalement à l'épine dorsale et à
ulière, comme un gros oeuf ; la dernière en date, elle semble faire
partie
au bord inférieur du grand dorsal. Dans la régi
aissance de la malade. Début de l'affection à t'age de 5 ans par la
partie
inférieure de la nuque. Plus tard le dos et les
x, trapèzes, rhomboïdes, et celle des fascia sacro-lombaires. De la
partie
inférieure de la portion médiane partent, à gauch
ortion médiane partent, à gauche, des branches osseuses qui vont en
partie
sur le sacrum, en partie sur les mus- cles fess
gauche, des branches osseuses qui vont en partie sur le sacrum, en
partie
sur les mus- cles fessiers. En outre quelques
n pronation. Elles siègent au tiers supérieur et postérieur et à la
partie
inférieure et interne du bras. Ossification du bo
sont empêchés par des dépôts osseux ou cartilagineux. Exostose à la
partie
interne du tibia gauche au-dessous de sa tubérosi
les vaisseaux sont repoussés en dedans un peu plus qu'à gauche. La
partie
interne du nerf optique est rouge ; champ visue
achial gauche forme une masse dure comme de la gutta-percha ; de sa
partie
charnue part une pointe indépendante de l'humérus
ux axillaire. Noyau ossifié dans le deltoïde gauche, La plus grande
partie
des muscles du dos : grands dorsaux, grands et pe
, de noyaux, d'angles, de dentelures, de vallées, et, çà et là, une
partie
molle en partie contractile. Trapèzes durs comm
ngles, de dentelures, de vallées, et, çà et là, une partie molle en
partie
contractile. Trapèzes durs comme la pierre ; dans
umeur pâteuse accompagnée d'oedème cutané; puis envahissement de la
partie
libre du droit antérieur, du couturier et du va
timètre. T. constante 38°. Le 14. L'oedème s'étend à la plus grande
partie
du visage, oedème du tissu 292 .1. WEILL ET J.
it la direction du tenseur du fas- cia lata assez loin ; une autre,
partie
de la branche horizontale du pubis, suit la dir
depuis son origine jusqu'à sa ter- minaison. Plaque osseuse dans la
partie
inférieure du vaste externe. Même étal du fémur
es dans les veines des extrémités inférieures. Une bande osseuse,
partie
de l'occiput, se dirige directement en bas ; elle
ser jusqu'à sa mort. A l'âge de 8 mois, on constata sur différentes
parties
du corps de l'enfant des tumeurs grosses comme
bassin ; il s'y est formé une tumeur rouge, chaude et déjà dure à sa
partie
infé- rieure, peu sensible à la palpation, très
en avant une série de bandelettes et d'épines qui correspondent en
partie
aux origines des muscles, en partie au tissu ce
t d'épines qui correspondent en partie aux origines des muscles, en
partie
au tissu cellulaire lui-même. Ossification des gr
fibreux, d'autres graisseux. Des masses osseuses se voient dans les
parties
molles ; celles-ci tantôt sont t réunies aux os
choire inférieure. Un pont osseux unit le corps de l'os hyoïde à la
partie
moyenne de la moitié droite du maxillaire infér
omoplate est transformée en une membrane aponévro- tique réunie aux
parties
sous-jacentes, surtout il gauche. La tête est fix
en rapport avec plusieurs muscles et plusieurs ossifications. De la
partie
la plus épaisse qui siège sur le bord inférieur d
ale de la 56 côte ; en bas, elle envoie une bandelette qui court la
partie
interne du bras pour se terminer librement près d
n claviculaire du grand pecto- ral, et se réunit à la clavicule, sa
partie
moyenne, l'autre suit le tendon du petit pector
essous du petit trochanter ; le couturier en est indépendant. De la
partie
interne de la branche horizontale du pubis parten
ent dans le domaine de la tumeur sont le tenseur du fascia lata, la
partie
antérieure du moyen fessier et la moitié supéri
eure du vaste externe. Cette masse s'insère au grand trochanter. La
partie
supérieure de la tumeur est bifurquée. La masse p
térieur, dont elle se trouve séparée par une épaisse aponévrose. La
partie
inférieure de l'expansion émet un tendon aponévro
nternes sains, intelligence particulièrement remarrluable. Front et
parties
molles de la tête durs ; la peau y est peu mobile
eu mobile. Une petite exostose sur le pariétal gauche. Masséters en
partie
ossifiés : la bouche s'ou- vre de 3 centimètres
adroit. Fonctions intellectuelles et organes des sens normaux. La
partie
supérieure de la colonne dorsale semble fortement
out, en arrière. Côtes immobiles. Le thorax semble immobile dans sa
partie
supérieure ; la respiration est diaphragmatique.
e de plus en plus par suite du développement des tubercules, qui en
partie
disparaissent, en partie s'ossifient; il en est d
te du développement des tubercules, qui en partie disparaissent, en
partie
s'ossifient; il en est de même en général de la
rmaux. Urine normale. Tête penchée en avant et un peu à droite ; la
partie
supérieure du corps est voûtée ; les bras s'élo
nfermés l'os hyoïde et le cartilage thyroïde, de telle sorte que la
partie
antérieure du cricoïde et les trois anneaux de la
gauche. Les grands pectoraux offrent des bandelettes osseuses, qui,
parties
de la deuxième côte, vont au bras; elles croise
ngienne des deux pouces. On constate une bandelette fibreuse sur la
partie
inférieure du droit antérieur de l'abdomen droit
dure, fibreuse, contenant uue bandelette osseuse. Les tendons de la
partie
interne du genou, surtout les demi-tendineux et
ns aux deux côtés des vertèbres 7e cervicale et 1° dorsale,dans les
parties
molles; elles ont laissé, à lour suite, une oss
ligament vertical. En 1874, des ossifications se sont montrées à la
partie
inférieure des muscles sterno-mastoïdiens, dans l
avec un cal très petit. Ultérieurement, petit à petit, tantôt il la
partie
supérieure du dos, tantôt il la partie inférieure
petit à petit, tantôt il la partie supérieure du dos, tantôt il la
partie
inférieure, apparu- rent des tubercules osseux
nchants, recouverts de peau saine, au début un peu mobiles dans les
parties
molles, plus tard immo- biles s'ils se réunisse
ue en quelques se- maines ; il resta il sa suite une induration des
parties
atteintes qui fixa l'omo- plate gauche au tronc
région correspondante du côté droit; les sus et sous-épineux et la
partie
posté- rieure du deltoïde furent atteints. A 7
re dans la cir- conférence des deux bras. Des stalactites osseuses,
parties
de l'humérus, suivent le trajet du biceps, cora
o-carpienne. L'extension atteint 140°, 170°. Une expansion osseuse,
partie
de l'épitrochlée, suit le trajet du rond pronateu
Le courant faradique faible donne une contrac- tion dans toutes les
parties
musculaires, aussi bien dans les muscles respecté
des coraco-brachiaux. Le brachial antérieur gauche possède, dans sa
partie
supérieure, une pointe osseuse qui se perd dans l
nkylose complète du genou. Pied en varus équin. Pointe osseuse à la
partie
supérieure du tenseur du fascia lata gauche. A la
osseuse à la partie supérieure du tenseur du fascia lata gauche. A la
partie
postérieure de la cuisse droite, dans le tendon
s après l'ap- parition des premières douleurs, un noyau osseux à la
partie
supérieure et externe de l'avant-bras gauche.
ses camarades. A l'âge de 5 ans, on remarqua des excroissances à la
partie
interne des genoux ; à 6, tension des sterno-ma
masticateurs étant normaux, on doit rapporter ces modifications en
partie
à l'ankylose des articulations temporo-maxillaire
e, large comme un franc. Atrophie du grand pectoral gauche dans ses
parties
supérieures, pas d'ossifications encore. Les cr
avant par la travée fibreuse du grand pectoral, en arrière par les
parties
ossifiées du trapèze (1). Circonfé- rence du th
conique de 1/2 centimètre. Ossification du grand palmaire dans ses
parties
supérieures ; il donne la sen- sation en avant
lètement le sol. La cuisse droite semble plus grosse que la gauche.
Partie
de l'épine iliaque supérieure, une tumeur, doul
sous de l'occiput, une autre dans le trapèze droit, au niveau de la
partie
moyenne du dos et une troisième dans la fosse s
se de l'épaule droite ; peu de mouvements dans la gauche. Rien à la
partie
antérieure du tronc. Difformité congénitale con
une tumeur de l'aisselle droite. Nouvelle bosse comme une noix à la
partie
supé- rieure du sterno-mastoïdien droit. Six no
au repos. Son siège était la région externe de la cuisse, depuis la
partie
moyenne jusqu'au trochan- ter pour le membre in
ed gauche (PI. XXXVIII, 3). Modifications de l'attitude. - Toute la
partie
supérieure du corps est penchée en avant. La tê
ns le plan antéro-postéricur, la tête et le cou sont fléchis sur la
partie
supérieure de la colonne dorsale ; celle-ci est
c, en allant de bas en haut on a une ligne droite allant jusqu'à la
partie
moyenne du dos ; la colonne dorsale supérieure
se supérieure à grand rayon, surmontant le redressement de toute la
partie
moyenne et inférieure du rachis, et surmontée d
s ces conditions, un homme normal prend contact avec le plan par la
partie
posté- rieure des cuisses, des fesses, des épau
s colonnes lombaire et dorsale infërieuressonten ligne droite; la
partie
supérieure du rachis est inclinée en avant. F
Fig. 2. - Duf... repose sur un plan par son sacrum, ses lombes, et la
partie
inférieure de son dos. La tête est maintenue à
1ÉLIQUE 325 au-dessus vient une ligne droite qui s'étend jusqu'à la
partie
moyenne de la région dorsale ; le rachis dorsal
ue le cote gauche du thorax est plus étendu que le droit. Dans sa
partie
supérieure et moyenne le sternum pré- sente une
e sternum pré- sente une courbure à concavité antérieure; dans sa
partie
inférieure au contraire, il est légère- ment co
dre compte, par le palper, que cette apparence est due, en grande
partie
, aux mouvements des muscles ins- pirateurs acce
normal. A droite, le ster- num de Dur... concaveen avant dans sa
partie
supérieure, convexe en avant dans sa par- tie
centimètres pour l'inspiration forcée. L'abdomen est divisé en deux
parties
par un sillon horizontal passant à 1 centimètre
sillon horizontal passant à 1 centimètre au-dessus de l'ombilic. La
partie
supérieure est plane. La por- tion inférieure,
al) montre une exagération de la courbure normale du sacrum dans sa
partie
inférieure. Sa partie supérieure parait redressée
tion de la courbure normale du sacrum dans sa partie inférieure. Sa
partie
supérieure parait redressée, et sa crête épineu
stent au médius et à l'annu- laire des deux mains. En outre, sur la
partie
moyenne de la face dorsale des phalangines des
toral est diminué de volume en totalité ; de plus, l'atrophie de sa
partie
moyenne est complète; il ne reste de chaque muscl
ins énergiquement. - Nous avons déjà noté la forme globuleuse de la
partie
inférieure de l'abdomen. Cette partie inférieur
oté la forme globuleuse de la partie inférieure de l'abdomen. Cette
partie
inférieure du ventre est très dure, la paroi en e
es tentatives de mouvements volontaires ou passives portant sur les
parties
ankylosées de la moitié inférieure du corps, la r
tions, Duf... ressent une douleur des deux côtés du -thorax, sur la
partie
moyenne des côtes inférieures. Si l'on tente
cine des membres non complètement ankylosés. Tout ébranlement de la
partie
inférieure du corps produit la « douleur de rei
qui se met verticalement en extension, Fig. 6. - Dans la marche, la
partie
supérieure du corps est redressée lorsque Duf...
ire la jambe droite (la cuisse de ce côté a conservé la plus grande
partie
de ses mouve- ments). Son pantalon glisse par s
ise, le dos rigide est tendu de l'un l'autre. L'ischion droit et la
partie
supérieure de la cuisse gauche reposent seuls s
n cou, rigi- des, est bien adapté le plan incliné des oreillers. La
partie
inférieure de son rachis, ligne droite, repose
bservations de VI.1\larie, le rachis de Duf... est redressé dans sa
partie
inférieure, courbé en avant et incliné de côté da
rachis. Les articulations des épaules de Duf... ont la plus grande
partie
de l'amplitude de leurs mouvements conservée, e
plus grande partie de l'amplitude de leurs mouvements conservée, en
partie
grâce à la mobilité des omoplates, c'est ce qui
t dormir que dans le décubitus dorsal ; le sacrum, les lom- bes, la
partie
inférieure du dos reposent sur le plan du lit ; l
s articulations peuvent s'éteindre, et l'articulation peul regagner
partie
des mouvemenls perdus. Chef Duf..., la temporo-
ar l'examen des malades. En effet on relève : des exosloses sur les
parties
antérieures des corps vertébraux (toucher pharyng
t soudées entre elles et cette soudure parait résulter, du moins en
partie
, de l'ossification des disques intervertébraux.
u cartilage. Le ligament ro- tulien, incrusté de sels de chaux à sa
partie
supérieure, ne présente pas plus que les surfac
mbaire se montrent des tubérosités osseuses très saillantes sur les
parties
latérales des corps vertébraux et qui se continue
t de l'ossification du grand surtout ligamenteux antérieur. Sur les
parties
latérales les lames vertébrales sont réunies entr
côtes sont sou- dées aux apophyses transverses par leur col et aux
parties
latérales des corps vertébraux par leurs tètes.
rne le grand pectoral, privé de part et d'autre symétriquement dosa
partie
moyenne, pareille interprétation ne serait plus d
s muscles dorsaux et lombaires, le malade de Béer avait recouvré en
partie
les mouvements de la colonne vertébrale, et les
66), de MM. Trélat et Monod (1869). Ces derniers remarquent sur les
parties
atteintes des ta- ches nfcviformes et notent un
es sont plus développés à droite, surtout en arrière; les dents, en
partie
absentes, sont de volume normal. La moitié droi
te. L'hémihypertrophie faciale tient à l'augmentation de volume des
parties
molles et à celle de la bosse frontale droite a
Stembo, l'année suivante, rapporte un cas d'bémihypertrophie de la
partie
supérieure du corps. OBS. XYII. - (AFtNIIEI,1
T C. CABANNES État actuel (juin 1897). L'hyperlrophle intéresse les
parties
molles de la moitié droite de la face, la langu
ne hauteur de 25 millimètres ; a gauche, de 15 millimètres, sur les
parties
latérales, et une hauteur de 25 millimètres à d
es en avant et en bas. Voici les résultats des mensurations pour la
partie
supérieure du visage : De l'aile du nez à la po
à gauche. Du lobule de l'oreille à l'aile du nez, en passant par la
partie
la plus saillante de la joue, on trouve 0 m. 12
de la lèvre supérieure qui se continue sans dénivellement avec les
parties
latérales du nez, particularité qui explique la d
espondante est elle-même vol umineuseen total i L6(Ariiiieim) ou en
partie
, et alors c'est le lobule qui est très gros (Zieh
ent être tout à fait normaux, l'hypertrophie ne portant que sur les
parties
molles (Boeck). Les dents correspondant à la ré
L'odorat reste toujours intact. Les membres peuvent participer en
partie
ou en totalité à l'hypertro- phie. Tantôt tout
ient plus volumineuses que les gauches. » L'examen histologique des
parties
molles figure dans l'observation de Kiwull : de
nt coïncider avec d'autres troubles de l'évolution, implantation de
parties
foe- tales, monstres doubles, malformations enc
térine, ne crée pas un obstacle il la circulation veineuse dans les
parties
de l'organisme intéressées plus tard par l'hype
t à rapprocher de celle qui ratta- che l'augmentation des os et des
parties
molles à la présence de noevi an- giomateux (3)
périeur et inférieur, pouvant coïncider avec l'hypergénèse d'autres
parties
du corps, le plus souvent du même côté. L'hypot
se Paris, 1897. , (5) ISID. GfiOFFIt01 Si-Hilaihe, Ilist. génér. et
partie
, des anomalies de l'organisation chez l'homme e
mbryon qui présente une malformation plus ou moins importante d'une
partie
quel- conque et dont l'ensemble cependant prése
persisté plusieurs années. Cette hypertrophie n'intéressait que les
parties
molles et particulièrement le tissu conjonctif so
in de la seconde année que, sans cause connue, la joue gauche et la
partie
gauche de la lèvre inférieure ont augmenté progre
vre supérieure gauche, augmentée de volume et tombante, recouvre la
partie
correspondante de la lèvre inférieure. Le duvet d
cial. 1. Le maxillaire inférieur est augmenté de volume depuis la
partie
médiane de la symphyse jusqu'au milieu du corps
ie médiane de la symphyse jusqu'au milieu du corps de l'os. Dans sa
partie
gauche, en arrière, il semble normal. A gauch
mauvaise humeur qui contraste avec le masque de satisfaction de la
partie
droite. L'ouverture palpébrale gauche est ré- t
cils épais sous divers angles. Le bord libre est surtout épaissi à la
partie
interne de la paupière supérieure qui paraît, d
uscles de la mimique, nécessairement gênés par l'épaississement des
parties
molles, ne sont cependant pas paralysés, et le je
éphantiasique du sil- lon naso-labial. En somme, l'hypertrophie des
parties
molles doit être rap- portée à une augmentation
mence à s'hypertrophier tant dans ses par- ties molles que dans ses
parties
osseuses ; d'autres fois, les tissus mous sont
y) montre que l'augmenta- tion de volume tient à l'hypertrophie des
parties
molles et surtout des glandes sébacées et du re
reich. loc. cit. Geoffroy Sr-Iittmrse (ISIDOnE). - IIist. génér. et
partie
, des anomalies de l'organisa- tion chez l'homme
à un oeuf de pigeon. Dans la fesse crânienne antérieure et dans les
parties
latérales de la fosse médiane il n'y avait que de
able de li( dans les ventricules- doit, sans doute, influer sur les
parties
avoisinant cerveau, et c'est l'écorce cérébrale
fications intéressantes dans les ganglions céré- braux centraux. La
partie
du cerveau attenante à ces derniers est déviée
L,C) la moelle allongée et le cervelet ; mais à la place des autres
parties
du cer- veau, on ne retrouve que la membrane, q
hères cérébraux est tout à fait isolé, et n'est lié avec les autres
parties
du cerveau que par l'intermédiaire des vaisseaux
ouve représenté sur la photographie (PI. XLI, E, F, G). Cas III. La
partie
faciale de la tête, excepté le front qui manque,e
le canal cen- tral vertébral, ce dernier est fermé au niveau de la
partie
cervicale supé- rieure. ' L'observation suiva
la tôle présentait les particula- rités suivantes (l'l.1LI, Il). La
partie
supérieure de la tôle paraissait tran- chée,de
mparant ce cas avec le cas précé- dent, nous voyons qu'ici, dans la
partie
supérieure de la tète, les os crâniens et la pe
occupent un espace plus étendu que précédemment. Vue d'en haut, la
partie
déformée a la forme d'un ovale, limité sur les
e d'aspect piriforme. Si l'on enlève cette formation, ainsi que les
parties
avoisinantes et la partie postérieure des os oc
on enlève cette formation, ainsi que les parties avoisinantes et la
partie
postérieure des os occipitaux, on voit que,dans c
a partie postérieure des os occipitaux, on voit que,dans ce cas, la
partie
inférieure du bulbe seule est conservée. Quant à
es coupes transversales, on remarque que le canal central, dans les
parties
dorsale et cervicale, est très élargi, de sorte q
ien. Dans ce cas, la cavité crânienne est ouverte seulement dans sa
partie
supérieure et elle est conservée latéralement,
sont atta- chés des nerfs offrant l'aspect de filaments fins; à la
partie
supérieure on voit des ganglions intervertébrau
r, nous voyons que les os de la voûte crânienne manquent aussi ; la
partie
supérieure du canal vertébral est ouverte et la m
touré d'une pau- pière ayant l'aspect d'un cercle partagé en quatre
parties
. A la coupe, on constata qu'il y avait non seul
d'anomalie dans la topographie des substances blanche et grise des
parties
lombaire et dorsale de la moelle cérébrale,mais
eur, le ruban deReil, qui est très diminué et en général toutes les
parties
du tronc cérébral à ce niveau, à l'exception de
nt les cellules spéciales de l'écorce cérébrale ; cependant dans la
partie
des hémisphères qui est conservée, il existe de
toute sa longueur, et il n'est' resté de la moelle épinière que sa
partie
antérieure transformée en membrane sous l'influen
central de la fillette, chez laquelle était seulement atrophiée la
partie
supérieure de la voûte crâ- nienne, grâce à quo
hiée la partie supérieure de la voûte crâ- nienne, grâce à quoi une
partie
du bulbe s'était aussi conservée (Cas IV). L'hy
avons dit plus haut. En utilisant la méthode de Pal on voit dans la
partie
antérieure de ce tube à la périphérie une bande
sus s'était propagé plus loin, sous l'influence de l'hydromyélie la
partie
postérieure de la moelle épinière qui actuellem
que les arcs postérieurs des vertèbres et il ne serait resté que la
partie
antérieure de la moelle ; nous aurions vu alors u
bro-spinal; il existe encore une petite portion delà moelle dans sa
partie
postérieure (PI. XLVI, C). En un mot l'hydromyé
voûte crânienne; il ne reste que la moelle épinière et parfois une
partie
du bulbe (on observe encore ici l'absence de la
colonne vertébrale, alors il ne reste de la moelle épinière qu'une
partie
antérieure révélant l'aspect d'une membrane.
plaques osseuses dans le grand dorsal droit et un noyau induré à la
partie
externe du genou droit. En 1886, eczéma de la t
asses osseuses sur quelques points du squelette. Il a trouvé qu'une
partie
de ces os néoformés qui faisaient saillie dans la
de l'épaule ossifiés ; à gauche : le grand rond, le grand dorsal en
partie
, le grand pectoral ; l'omoplate est fixé aux cô
de succès, car le petit rond, le grand dorsal, les pectoraux et une
partie
du deltoïde étaient ossifiés. ' Cas. XXXIV. J
sent partout une masse dure, osseuse. Nombreuses exostoses sur les
parties
infé- rieures du dos vers le sacrum et la crête
fre cependant quelques portions molles) de même les deltoïdes ; les
parties
inférieures du biceps et du brachial antérieur
ctions comme des noisettes situées l'une à l'occiput, d'autres à la
partie
supérieure de la tête, une autre beaucoup plus
trapèze gauche, se voit une petite masse ovale de 5 centimètres. La
partie
supérieure du muscle sterno-mastoïdien droit est
erne de l'omoplate droite, plus large sur l'an- gle inférieur. La
partie
du grand dorsal qui recouvre l'angle inférieur de
n du biceps. Plus profondément une masse semblant ap- partenir à la
partie
inférieure du brachial antérieur. Colonne verté
puis quelque temps, la tête est penchée constamment en avant, et la
partie
postérieure du cou est rigide ; impossibilité d
de l'enfant à l'hôpital, des tumeurs apparaissent dans différentes
parties
du tronc seulement pour disparaître en peu de tem
irréguliers, mobiles plus développés à gauche et occupant une grande
partie
de la portion axillaire du grand dorsal. ' D'
ut vers l'omoplate gauche. Plusieurs autres noyaux dans différentes
parties
du dos. ans. XL. GIl3NEY, Boston med. journal,
ée à droite ; membres supérieurs recourbés ; les coudes séparés des
parties
latérales du tronc. Tumeur osseuse à la partie
coudes séparés des parties latérales du tronc. Tumeur osseuse à la
partie
moyenne de la mâchoire comme un petit pois. Il
émité externe présente un épaississement appréciable, tandis que la
partie
interne est subluxée en avant et paraît ankylos
IL ET J. NISSIM claviculaire du grand pectoral, se continue dans sa
partie
pectorale, arrive à la paroi antérieure du creu
stales des 3e et 5° côtes. Mouvements respiratoires limités. A la
partie
moyenne de la 5° côte une masse osseuse, triangul
elle, les autres dans l'encéphale. Ces connaissances ont découlé en
partie
de l'applica. tion de la méthode anatomo-cliniq
'est encore à Charcot que nous en sommes redevables pour la majeure
partie
. Je m'en voudrais de ne pas entrer dans quelques
a eu, comme l'on dit, plus de frayeur que de mal, se suggère que la
partie
contuse de son corps est paralysée, et il se comp
ons à exécuter sous l'influence de certaines impulsions. Une grande
partie
des phénomènes qui ressortissent à l'Jypnotisme
MONUMENT Messieurs, je viens de promener vos esprits à travers les
parties
les plus saillantes de l'oeuvre de Charcot. Je
squ'à l'horizontale. Le rétrécissement thoracique disparaît dans la
partie
inférieure de la paroi. - La ligne latérale du
plication la plus fréquente de la paralysie du grand dentelé. « Les
parties
du trapèze frappées surtout en même temps que le
atrophie dit grand den- « telé, du tiers inférieur et d'une grande
partie
du tiers moyen du trapèze « droit, par abus de
nce de la paralysie du muscle grand dentelé, as- sociée à celle des
parties
moyenne et inférieure du trapèze, il est illogi-
lètement avec le trapèze supérieur. Le trapèze supérieur fait alors
partie
de la musculature du cou : c'est un muscle cerv
périphérique du nerf spinal, conclut de leur examen clinique que la
partie
de la branche externe du spinal, qui innerve le
abord, il est certain que le scapulum alatmn rend compte, en grande
partie
de l'aspect de la ligne latérale du thorax. D'aut
ussure démesurée. Cette voussure doit vraisemblablement dépendre en
partie
de la paralysie du grand dentelé. Ce muscle, en
r sur son berceau, chute insigni- fiante puisqu'elle se fit sur les
parties
molles du berceau et d'une hau- teur très peu c
portant sur la joue, la lèvre supérieure, la lèvre inférieure et la
partie
supérieure du cou. Cette moitié de la figure de
tres du nez à son extré- mité libre, recouvrir la bouche et même en
partie
la lèvre inférieure. Cette dernière est elle au
. L'orifice des fosses nasales est plutôt un peu rétréci, annulé en
partie
par le prolongement de la lèvre supérieure. Il
ur plus considérable de la paupière qui le re- couvre. Toutes les
parties
de la face qui sur la photographie paraissent s
ur la photographie paraissent saillantes sont molles au toucher, en
partie
réductibles par une pression prolongée. Ces car
normal. Cette teinte occupe tout le côté gauche même l'oreille, une
partie
du côté droit (joue surtout); elle se prolonge
t (joue surtout); elle se prolonge sur le front qu'elle recouvre en
partie
et jusque dans les cheveux où elle tourne progr
escendent en avant un peu plus bas que normale- ment, recouvrant en
partie
les côtés du front. Mais l'hypertrophie n'est p
es) et qui s'est au contraire laissé déprimer par les dents ou les'
parties
des gencives qui lui ont opposé une résistance.
ée aux dépens du pilier antérieur du voile du palais, naissant à sa
partie
inférieure et se prolongeant arquée jusqu'à la
s acquise depuis plusieurs mois que nous observons la malade. Les
parties
ne sont animées d'aucun battement, sont d'un volu
ont flasques et la mensuration circonféren- tielle donne : ' A la
partie
moyenne du bras gauche 10 centimètres.* ' A la
ne : ' A la partie moyenne du bras gauche 10 centimètres.* ' A la
partie
moyenne du bras droit 20 centimètres. Il n'y a
une diminution appréciable de la circonférence; on a en effet, à la
partie
moyenne de la jambe : A gauche 26 1/2, à droite
e moyenne de la jambe : A gauche 26 1/2, à droite 27 1/2, et à la
partie
moyenne de la cuisse, A gauche 42, à droite 43
mmence sur la lèvre supérieure, occupe le nez tout entier, toute la
partie
moyenne du front et s'étend à gauche presque jusq
in la malade va beaucoup mieux. Les douleurs avaient cédé en grande
partie
et ne se montraient qu'à la suite d'une provocati
a été des plus complexes et a présenté diverses phases. La première
partie
qui a duré plusieurs heures est la fidèle reprodu
ments, arc de cercle, attitudes passionnelles, sanglots). La seconde
partie
se caractérise par une violente crise de dyspné
un fragment d'attaque d'hystérie. C'est la troisième période et une
partie
de la quatrième déta- chées de la grande attaqu
à l'âge de 4 ans 1/2. La formation d'os dans les pectoraux et à la
partie
inférieure de la colonne vertébrale se montra a
de la crépitation. De chaque côté de la colonne vertébrale, à sa
partie
inférieure, se trouve nue crête dure. plus marq
Le biceps et ses tendons sont très durs dans toute leur étendue. La
partie
inférieure du triceps semble ossifiée ; de même à
e.urs aux deux épaules et aux muscles des bras. Gonflement dans les
parties
molles de l'épaule gauche qui en quel- ques sem
umeur bosselée, grosse comme un oeuf de poule, cartilagineuse, à la
partie
inférieure du grand pectoral, mobile avec le bord
Tumeur de consistance fibreuse, grosse comme le point, occupant la
partie
moyenne du deltoïde gauche, tumeur sur laquelle
c force, au delà d'un angle de 30°. Pectoral droit ossifié dans ses
parties
moyenne et supérieure. Pectoral et grand dorsal
e, il croit avoir senti quelques endroits enflés et douloureux à la
partie
supérieure du dos ; à 14 ans, 9 mois après l'acci
Contractions fibrillaires du masséter droit à la mastication. A la
partie
supérieure du masséter droit se voient quelques
t sus-épineux semblent à droite atrophiés, à gauche traversés par des
parties
dures. Deltoïdes en partie fibreux, en partie a
e atrophiés, à gauche traversés par des parties dures. Deltoïdes en
partie
fibreux, en partie atrophiés, on trouve des point
he traversés par des parties dures. Deltoïdes en partie fibreux, en
partie
atrophiés, on trouve des pointes osseuses dans
le pouce est un peu plus petit que la normale ; ossifications à la
partie
postérieure du hras gauche, en partie fixées à
normale ; ossifications à la partie postérieure du hras gauche, en
partie
fixées à l'humérus qui est épaissi au niveau de
us proéminent que le gauche. Le sternum est légèrement déprimé. Les
parties
latérales du thorax sont en partie aplaties, en
num est légèrement déprimé. Les parties latérales du thorax sont en
partie
aplaties, en partie saillantes ; les parties sail
éprimé. Les parties latérales du thorax sont en partie aplaties, en
partie
saillantes ; les parties saillantes sont dues à d
rales du thorax sont en partie aplaties, en partie saillantes ; les
parties
saillantes sont dues à des dé- pots osseux. Sco
pris. Transformation osseuse des muscles du dos, ça et là quelques
parties
fibreu- ses. La musculature du côté gauche est
tumeur périostique réunie plus tard à une ossification musculaire.
Partie
du grand trochanter, la tumeur suit en partie l
ification musculaire. Partie du grand trochanter, la tumeur suit en
partie
la direction des fibres, en partie elle les crois
nd trochanter, la tumeur suit en partie la direction des fibres, en
partie
elle les croise; elle soulève les muscles de la
s fibres, en partie elle les croise; elle soulève les muscles de la
partie
supérieure et externe de la cuisse. Circonférence
Résistance plus considérable des masses sacro-lombaires. Une grande
partie
des muscles de la nuque et du dos sont plus dur
e droite tumeur grosse comme un oeuf de poule. La musculature de la
partie
moyenne de la fosse sus-épineuse est dure ; fosse
and pectoral gauche. A l'aisselle, le muscle se montre ossifié à sa
partie
profonde, normal superficiellement ; ré- sultat
lèvre. En effet, les muscles striés se développent aux dépens de la
partie
interne des segments primordiaux dont les cellu
e osseux, atteint lui-même dans la myosite ossifiante, dérive de la
partie
inférieure et antéro-interne des segments primord
ique d'emblée; " 8° La maladie débute en général par la nuque ou la
partie
supérieure du clos : - 9° Elledétermine secon
, 807-810. SEIf)El. - In Lehrbuch der Kinderkr. von Gerhardt, V, 2°
partie
. Skinner. Med. Times et Gaz., 1861, 1, 413. S
et de Guy de Londres, de la Société médicale de Bruxelles. PREMIÈRE
PARTIE
. AMTOMIE. ATLAS, PAR MM. EMILE BEAU ET F. B
cérébraux. S, corps géniculé interne. S', corps géniculé externe. T,
partie
postérieure du cotylédon ventriculaire de la couc
petit faisceau se distingue, par sa couleur franchement blanche, des
parties
voisines, qui sont d'un gris tendre et transparen
de la moelle allongée. Y, corps restiforme. 0, saillie en olive de la
partie
antérieure du renflement lombaire. FIGURE 4e.
et à gauche de nombreuses stries transversales qui vont de l'axe aux
parties
excentriques de la moelle. E, faisceau latéral. J
ulaire de la couche opti-que , et celle du tractus optique avec cette
partie
postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire
très-près de la protubérance , et on a enlevé avec lui la plus grande
partie
de la masse cérébelleuse. F, sommet de l'insula
t au cerveau. En général les figures de la planche 3 représentent les
parties
les plus profondes de la moelle allongée. L'une d
r du corps calleux. 0, coupe médiane de la commis-sure antérieure. T,
partie
convexe du cotylédon ventriculaire de la couche o
T, partie convexe du cotylédon ventriculaire de la couche optique. V,
partie
plane du même cotylédon. S, coupe médiane de la g
++'CÀC' jusqu'en C" on remarque des stries dirigées du voisinage des
parties
antérieures au voisinage des parties postérieures
stries dirigées du voisinage des parties antérieures au voisinage des
parties
postérieures de la moelle allongée. Toutes ces st
e par en bas jusqu'au niveau de la pointe du calamus. On a laissé une
partie
de l'éventail fibreux par lequel la région fascic
rne de la région fasciculée. m, bord supérieur de la protubérance, n.
partie
profonde de la protubérance procédant de la régio
térieure du cervelet. Elles montrent que cet organe est composé d'une
partie
médiane, l'éminence vermiforme, à laquelle on dis
e on distingue une région infé-rieure et une région supérieure; et de
parties
latérales, les hémisphères cérébelleux, dans lesq
n distingue aussi une région supérieure et une région inférieure. Les
parties
médianes du cervelet comme ses parties latérales
et une région inférieure. Les parties médianes du cervelet comme ses
parties
latérales sont formées par des replis transverses
ées par des replis transverses ; et tous ces replis , naissant sur la
partie
externe du pédoncule cérébelleux , concourent dan
haque côté tous les replis des hémisphères céré-belleux réunis sur la
partie
externe du pédoncule du cervelet. N N, région f
bérance. Q, ruban fibreux oblique des côtés de cette protubérance. R,
partie
externe du pédoncule cérébelleux dans son état na
en avant, au nerf trijumeau H, en ar-rière au nerf auditif 0. A S S,
parties
supérieures de l'hémisphère. CEEC, parties inféri
au nerf auditif 0. A S S, parties supérieures de l'hémisphère. CEEC,
parties
inférieures de l'hémisphère. B, lobule attenant a
FIGURE 4e. Cervelet vu de profil. P, la protunérance occupe la
partie
la plus élevée de cette figure. N, tronçon pédonc
riju-meau. Q, ruban fibreux oblique procédant du corps restiforme. S,
partie
supérieure de l'hémisphère. C, partie inférieure.
océdant du corps restiforme. S, partie supérieure de l'hémisphère. C,
partie
inférieure. -+- Réunion de plusieurs lames du cer
protubérance. On a pris le plus grand soin pour respecter toutes les
parties
transversales de cette protubérance ainsi que les
s qui se combinent avec elles. Le plus grand nombre des lobules des
parties
inférieures du cervelet ont été séparés des couch
tricule cérébelleux est à découvert. D, tuber-cules quadrijumeaux. S,
parties
supérieures. C, parties inférieures de l'hémisphè
à découvert. D, tuber-cules quadrijumeaux. S, parties supérieures. C,
parties
inférieures de l'hémisphère cérébelleux. On disti
dehors. Cette figure est destinée à montrer le prolonge-ment dans une
partie
du faisceau antérieur du pédoncule cérébelleux de
es adjacents au nerf anditif. 0", ra-cine de ce nerf formant avec les
parties
précédentes un système de fibres qui enveloppent
. D G, A, F F, E, ut supra. FIGURE 4. Dans cette figure, toute la
partie
externe du pédoncule cérébelleux a été enlevée et
t avec elle ses prolongements à la surface du noyau céré-belleux. Les
parties
profondes de ce noyau sont mises à découvert; on
s le faisceau restiforme. h, émanations de ce prolongement allant aux
parties
profondes du noyau cé-rébelleux. E, nerf auditif.
émanée du nerf au-ditif, ee, prolongement direct de ce nerf dans les
parties
profondes du noyau cérébelleux. Y V, ut supra.
auditif, se porte au trijumeau avec cette membrane. On a détaché une
partie
des lobules de l'hémisphère cérébelleux, dont ell
isceau externe du pédoncule cérébelleux ont été mis à découvert. S,
partie
supérieure. C, partie inférieure de l'hémisphère
ncule cérébelleux ont été mis à découvert. S, partie supérieure. C,
partie
inférieure de l'hémisphère cérébelleux. N, P, H,
ligure représentée sur cette planche est destinée à montrer plusieurs
parties
de la base de l'encéphale. Le lobe temporal a été
de la base de l'encéphale. Le lobe temporal a été excisé ainsi que la
partie
externe inférieure du lobe occipital. Le cervelet
it, a' a", racine grise du nerf op-tique se portant en divergeant des
parties
supérieures de ces nerfs au delà du chiasma et du
un certain nombre de lignes circonvolutionnaires et celle de quelques
parties
fibreuses intrinsèques du cerveau. FIGURE l'e.
nvolution d'enceinte de la scis-sure de Sylvius, prend naissance à la
partie
externe de la marge antérieure du quadrilatère pe
rébral dont la saillie centrale est encore revêtue par l'insula. F,
partie
inférieure de la scissure de Sylvius. C C C C C C
du chiasma. L, nerf optique. I, olfactif. A, quadrilatère perforé, a,
partie
interne du quadri-latère sur laquelle la lame de
e l'olfactif, combiné sur la marge antérieure du quadrilatère avec la
partie
adhérente de la circonvolution de l'ourlet. DD"
angle orbitaire. V, anfractuosité de l'olfactif. 2, 2, origine sur la
partie
adhérente de la circonvolution de l'ourlet d'une
e pas de l'autre côte du cer-veau. De F, scissure de Sylvius , en Z ,
partie
postérieure de la grande scissure, on voit se dév
oit X X Y Y montrent les mêmes anastomoses autrement con-figurées. O,
partie
du fragment postérieur de la circonvolution d'enc
A, traverse surcilière allant de l'angle anté-neurde la scissure à la
partie
interne de l'extrémité postérieure du cerveau. I
. La traverse pariétale postérieure N est incomplète aussi ; toute la
partie
postérieure de cet hémisphère est constituée par
nlevé l'in-sula, et avec elle toute la masse du corps strié, plus les
parties
centrales de la couche optique. Les plexus choroï
érieur du cotylédon ventri-culaire de la couche optique, rattaché aux
parties
superficielles du qua-drilatère perforé, dont la
e coupe partant de la base des nerfs ol-factifs pour se terminer à la
partie
supérieure des hémisphères au niveau de la suture
e l'enveloppe blanche qui se porte à la cloison transparente. Cette
partie
centrale est divisée en deux moitiés symétriques
radiculaire de ce nerf dans le noyau cérébelleux O et jusque dans les
parties
fibreuses de l'éminence vermiforme h. La lettre E
loison transparente. I, nerf olfactif. A, quadri-latère perforé. -4-,
partie
interne du quadrilatère dans laquelle on voit l'o
an fibreux de l'ourlet et qui se portent dans les circonvolutions des
parties
antérieure et supérieure de l'hémi-sphère. Toutes
l supérieur. I, grande faulx. L L, nerfs optiques. D J J, coupe de la
partie
transversale du corps calleux. H H, couche fibreu
représentée sur cette planche montre à découvert toute l'éten-due des
parties
supérieures du corps calleux, en dehors duquel on
interne de l'hémisphère. I d, tractus médians du corps calleux. J,
partie
transversale; L, partie recourbée en dehors de ce
. I d, tractus médians du corps calleux. J, partie transversale; L,
partie
recourbée en dehors de ce même corps. K K K, gran
t été données à l'occasion de la figure précédente, l'explication des
parties
déjà connues de cette figure ne sera pas donnée i
it de chaque côté la région transversale J de ce corps. K O Q K' R,
parties
excentriques des faces latérales du noyau, qui se
excentriques des faces latérales du noyau, qui se continuent dans la
partie
transversale du corps calleux. K , tubérosité a
la face supérieure du noyau cérébral, et laisse voir en raccourci une
partie
de ses faces latérales. Y X f, parties postérie
laisse voir en raccourci une partie de ses faces latérales. Y X f,
parties
postérieures du bulbe rachidien. C, partie médian
faces latérales. Y X f, parties postérieures du bulbe rachidien. C,
partie
médiane an-térieure du corps calleux. C, partie m
u bulbe rachidien. C, partie médiane an-térieure du corps calleux. C,
partie
médiane de son bourrelet postérieur. d, tractus m
du corps calleux, a', sommet du cône postérieur du noyau cérébral. J,
partie
fran-chement transversale du corps calleux. 0, pl
sversale du corps calleux. 0, plan incliné montant en dehors de cette
partie
transversale. B B, arête antéro-postérieure à laq
B B, arête antéro-postérieure à laquelle se rend ce plan incline. C,
partie
latérale réfléchie du corps calleux. A A A' A', m
noyau, b, tubérosité temporale de la circonvolution de l'ourlet. R ,
partie
du noyau cérébral répondant à la corne temporale
ostérieur. FIGURE 2«. Cette figure représente une vue de face des
parties
inférieures du noyau cérébral, et une vue fuyante
rieures du noyau cérébral, et une vue fuyante de quelques-unes de ses
parties
la-térales. P, Q, R, V, W, /, Y, diverses parti
lques-unes de ses parties la-térales. P, Q, R, V, W, /, Y, diverses
parties
déjà connues delà protubérance et du bulbe rachid
iane antérieure du corps calleux, d, tractus médian de ce corps. J J,
partie
transversale, a, tubé-rosité antérieure, a', poin
+- +, fibres passant de la surface de cette saillie centrale dans les
parties
transversales infé-rieures du corps calleux. FI
le cérébelleux. Y" y ¦+- + + H- montrent les rayonnements, dans les
parties
supé-rieures du cervelet, de cette portion du fai
ayon-nent encore des racines du nerf optique. Les racines occupent la
partie
interne de l'espace perforé, sur laquelle on voit
la moitié externe de la grande circonvolution de deuxième ordre. Les
parties
fibreuses de la moitié interne de cette même circ
de la voûte. O , com-missure antérieure. M, éminence mamillaire. X,
partie
postérieure du cotylédon ventriculaire de la couc
de l'olfactif. FIGURE 2e. Cette figure montre toute l'étendue des
parties
externes du ventricule latéral. La circonvolution
G. U' U Uv U"' D', co-tylédon ventriculaire du corps strié. Z Z Z ,
parties
blanches des parois ventriculaires excentriques o
. Il a été divisé dans toute son épaisseur à cet endroit, et toute la
partie
antérieure a été enlevée. On voit en H le tronc
e l'arbre fibreux intrinsèque de l'hémisphère. Ce tronc s'insère à la
partie
externe du noyau cérébral dans l'intervalle des c
se portent clans la seconde circonvolution de deuxième ordre dont la
partie
E' forme la lèvre supérieure de la scissure de Sy
a scissure de Sylvius. On voit en I, sur le côté droit du cerveau, la
partie
adhérente de la circonvolution de l'ourlet ; en N
lution de l'ourlet ; en N, le ruban fibreux de l'ourlet issu de cette
partie
adhérente et de l'espace perforé ; en N', les par
et issu de cette partie adhérente et de l'espace perforé ; en N', les
parties
fibreuses blanches de la région verti-cale delà c
blanches de la région verti-cale delà circonvolution de l'ourlet. Ces
parties
blanches émanent du ruban fibreux de l'ourlet. Le
s sont juxtaposés dans la grande circonvolution de deuxième ordre aux
parties
H/ H' du grand arbre fibreux de l'hémisphère. F'
x parties H/ H' du grand arbre fibreux de l'hémisphère. F' montre les
parties
fibreuses de l'insula F émanées de la région adhé
l'ourlet. L, saillie centrale des faces latérales du noyau. J J,
parties
transversales du corps calleux, d, tractus médian
son arbre fibreux. Les autres lettres de cette figure désignent des
parties
précédemment expliquées. FIGURE 2e. Dans cett
deuxième ordre. N N, circonvolutions de la face interne avec leurs
parties
fibreuses is-sues du ruban fibreux de l'ourlet D.
x de l'orifice ven-triculaire. Les autres lettres se rapportent à des
parties
antérieurement expliquées. Cette planche contie
contient sept figures destinées à faire comprendre la structure de la
partie
fondamentale du noyau cérébral. FIGURE \™. Ce
inférieure de ce noyau. Du côté gauche , l'on voit en I r r C B la
partie
adhérente du ruban fibreux de l'ourlet avec laque
interne du quadrilatère perforé. P', prolongement de ce faisceau à la
partie
moyenne de l'espace perforé. On voit en -+- + d
la tubérosité temporale. FIGURE 3e. On voit dans cette figure une
partie
des mêmes éléments que dans la précédente. N, r
de la tubérosité temporale ; en V, un prolongement interne de la même
partie
P' dans le pilier antérieur de la voûte. C C mont
H A I H F S - F D IT K U R S Place de TRcoia-da-Méderine PREMIÈRE
PARTIE
Anomalies de l'ataxie locomotrice PREMIÈRE LE
ns postérieurs sont quelquefois atteints de sclé-rose dans une grande
partie
de leur étendue, sans que les symptômes de l'atax
ostérieurs, mais elle occupe systématiquement, dans ces cor-dons, une
partie
circonscrite, fixe, toujours la même : c'est ce d
natomie topo-graphique microscopique, dont l'objet est d'examiner les
parties
dans leurs rapports naturels, sans destruction, s
mes de l'ataxie locomotrice, n'affecte pas indistinctement toutes les
parties
de ces faisceaux, mais occupe nécessai-rement cer
ependant dignes de vous être présentés. Ils sont dus, pour la majeure
partie
, aux recherches entreprises, d'a-près mes conseil
e Goll. Fig- 3. Coupe au niveau de la 12e vertèbre dorsale. — Fig. 4.
Partie
supérieure du renfle-ment lombaire. (Ces quatre f
uteurs classiques qui font commencer la sclérose de l'ataxie, par les
parties
médianes, au voisinage des mé-ninges, celle-ci dé
ion, s'adjoindre à l'incoordination, répondre à l'envahissement de la
partie
postérieure des cor-dons latéraux. Pour ce qui es
sans doute, dans le sens vertical, des connexions entre les diverses
parties
de la moelle. Ces fibres serviraient à la coordin
psie, on constata que la moelle dorsale était seule ramollie dans une
partie
de son étendue. Les cas de ce genre ne sont sans
de M. Herzen : un fragment de potasse caustique étant appliqué sur la
partie
inférieure de la moelle, chez une grenouille déca
ement, je le répète, lorsque la lésion partielle primitive occupe les
parties
supérieures de la région dorsale. Or, la paralysi
rents modes de la sensibilité cutanée ; 2° par une in-sensibilité des
parties
profondes : muscles, articulations, os, etc. La
uel elles passent comme un éclair. Il en résulte que le membre ou une
partie
d'étendue variable est rapidement parcouru par la
une dizaine d'années. Elles occupent souvent, non seulement diverses
parties
des membres, mais encore la région occipitale et
té périphérique du nerf et s'étendre ensuite progressivement vers les
parties
centrales. Les bandelettes optiques sont aussi at
trale; enfin la teinte légèrement rosée qui distingue au contraire sa
partie
périphérique, et qui est due à la présence des va
M. Ladame a mentionné 23 fois des douleurs rhu-matoïdes dans diverses
parties
des membres. Il est sans doute très rare qu'elles
avez, à la périphérie et déterminent soit dans la peau, soit dans les
parties
plus profondes, telles que les muscles, des troub
sans le moindre prodrome, son genou gauche, le haut de la jambe et la
partie
inférieure de la cuisse corres-pondante, envahis
tait presque le double du membre opposé l. Outre une douleur vive des
parties
affectées, on nota une élévation très prononcée d
darthrose considérable ; 2° d'un empâtement qui offre pour la majeure
partie
une consistance dure et dans lequel les symptômes
nnexité évidente avec l'a-taxie locomotrice dont elle fait-réellement
partie
à titre d'épi-phénomène. C'est sur la cause de
ant. Enfin, deux jours plus lard, apparut une escarre siégeant sur la
partie
latérale droite du sacrum et sur la fesse du même
e dans la Revue photographique de hôpitaux de Paris, 1872. DEUXIÈME
PARTIE
De la compression lente de la moelle épinière.
ana-tomie topographique parce qu'il n'est peut-être pas une seule des
parties
que je viens d'énumérer qui ne paisse devenir le
e des foyers de sclérose avec lesquels il a tant d'analogies, car les
parties
qu'il a envahies (dans le cerveau, les couches op
a surface externe de la dure-mère qui végète et qui prolifère, car la
partie
moyenne et la face interne restent souvent tout à
parfait, de telle sorte que la moelle ne paraît comprimée que sur une
partie
de sa surface extérieure. Il va sans dire que l
l va sans dire que les troncs nerveux dans leur trajet à tra-vers des
parties
ainsi altérées de la dure-mère sont, à leur tour,
de cet organe. Seules, les tumeurs développées primitivement dans les
parties
centrales de la moelle, échappent à cette loi, pa
dification autre que celle qui résulte de la pression exercée sur les
parties
. C'est ce qui a eu lieu très certainement dans le
aussi profondé-ment altérée ne peut-elle pas reprendre en tout ou en
partie
ses fondions, en même temps, bien entendu, qu'ell
qu'elle récupé-rerait, la cause comprimante venant à cesser, tout ou
partie
de sa texture normale ? Il n'est pas douteux qu
rire. En procédant de dehors en dedans, nous rencontrons, après les
parties
molles extra-rachidiennes, abondamment pourvues d
Vous comprenez, Messieurs, par cet exposé sommaire, que les diverses
parties
que nous venons d'énumérer pourront toutes tradui
canaux de conjugaison avant de s'é-panouir au dehors. Or, toutes ces
parties
sont éminemment sensibles, les racines antérieure
tumeur hydatique intra-rachidienne comprimant la moitié gau-che de la
partie
inférieure du renflement cervical. Pendant trois
mes suivants : Des douleurs vives existent : les unes étreignant la
partie
in-férieure de l'abdomen à la manière d'une ceint
arent à celles que produiraient l'écra-sement des os, une morsure des
parties
profondes faite par un gros animal, etc. On ne pa
érose fasciculée secondaire, laquelle occupe, dans le premier cas, la
partie
médiane des cordons postérieurs et, dans le secon
la partie médiane des cordons postérieurs et, dans le second cas, la
partie
la plus postérieure des cordons latéraux. Depui
els ces lésions occupent très habituellement, dès leur apparition, Ie
parties
centrales de la moelle. Arrêtons-nous un instan
omme on l'a dit. Au contraire, si la lésion siège très bas, vers la
partie
supé-rieure de la région lombaire, il peut arrive
qu'il ne s'agisse d'une lésion qui, primitivement, aurait occupé les
parties
centrales de la moelle. Quoi qu'il en soit, voici
. VI. A moins de complications inattendues, la nutrition dans les
parties
paralysées demeure normale. Ainsi les muscles con
s postérieurs et antéro-latéraux d'un côté et simultanément aussi les
parties
correspondantes de la sub-stance grise jusqu'à la
ne tumeur. Prenons le cas d'une tumeur méningée, comprimant vers la
partie
moyenne de la région dorsale, une moitié latérale
ent, quant au mouvement, ainsi que les les points correspondant aux
parties
atleintes de paralysie mo-trice, présentent, rela
parties atleintes de paralysie mo-trice, présentent, relativement aux
parties
homologues du côté opposé, une élévation plus ou
thésie, dirigée transversalement et formant par en haut la limite des
parties
paralysées du mouvement et dont la sensibi-lité,
entimètres au-dessus d'une ligne fictive qui diviserait en travers la
partie
la plus large du renflement lombaire. Elle est lo
ers la partie la plus large du renflement lombaire. Elle est logée en
partie
dans une dépression qu'elle s'est creusée aux dép
The Lancet (1856, p. 406), par M. Ogle. une région plus élevée, la
partie
supérieure du renflement brachial, par exemple, c
ésiés. La zone d'anesthésie qui formerait la limite supérieure de ces
parties
serait située très haut, et oc-cuperait, par exem
ces parties serait située très haut, et oc-cuperait, par exemple, la
partie
supérieure du thorax et de l'épaule et même le co
as notablement du plan médian antéro-postérieur et qu'ils occupent la
partie
centrale de la substance grise au voisinage de la
à la ligne médiane, et ils subissent tous, par conséquent, dans cette
partie
de leur trajet, une interruption plus ou moins co
du plan médian anléro-postérieur, où ils occupent, de chaque côté, la
partie
centrale de la substance grise. 11 résulte de cet
ittmar sont aussi des exemples de compression lente s'exerçant sur la
partie
antérieure de la région cervicale de la moelle ép
t de 8 mois chez lequel un tubercule solitaire s'était développé à la
partie
inférieure du renflement cervical, au niveau de l
des lésions par compres-sion soit de la région cervicale, soit de la
partie
supérieure de la région dorsale de la moelle. L
douleurs névralgiques qui, en pareil cas, occupent naturellement les
parties
supérieures du thorax, ces symp-tômes ont quelque
, se plaignait de toux et de dyspnée accompagnées de douleurs dans la
partie
supérieure du dos ainsi que dans l'é-paule droite
é naturellement amoindrie dans les membres paralysés et dans toute la
partie
inférieure du tronc, jusqu'au niveau de la 3° côt
d'une tumeur intra-spinale (probablement un gliôme) qui occuperait la
partie
centrale de la moelle, dans la moitié inférieure
s ou cloniques sont, dans ce dernier cas, vous le savez, limitées aux
parties
situées au-dessous de la lésion de la moelle épin
ndres, pour 1844 Il concerne un gentleman âgé de 64 ans qui, dans une
partie
de chasse, fit une chute sur la tête et perdit co
t voici ce que l'au-topsie, faite par Lister, permit de constater. La
partie
supé-rieure du canal spinal et le trou occipital
admettre le petit doigt. La dure-mère et le ligament qui recouvre la
partie
postérieure du corps de l'axis, étaient très épai
avaient dû subir en conséquence du rétrécissement que présentaient la
partie
supérieure du canal vertébral ainsi que le trou o
ambe et le pied ; conservation de la sensibilité de ce côté, dans les
parties
paralysées ; anesthésie complète ou à peu près, d
dans les parties paralysées ; anesthésie complète ou à peu près, des
parties
correspondantes du côté gauche, avec conservation
iège plus haut dans la moelle — perte de la sensibilité dans diverses
parties
des deux côtés du tronc et aux membres inférieurs
s escarres à développement rapide, à la région sacrée et sur d'autres
parties
des membres infé-rieurs 2. Ici s'arrêteront, Me
à présent, à l'état de projet, ce travail d'appli-cation. TROISIÈME
PARTIE
Des amyotrophies spinales. Paralysie spinale
tance grise centrale est cependant, au point de vue physiologique, la
partie
la plus importante du centre spinal. Qu'il me suf
rendu impossible. Mais il semble aujourd'hui démontré que toutes les
parties
de la substance grise ne sont pas indistinctement
n directe des lésions du système nerveux central sur la nutrition des
parties
osseuses, puisqu'il est impossible d'invoquer, da
ligaments est extrême, et l'on peut facilement imprimer aux diverses
parties
du membre paralysé les attitu-des les plus forcée
tologique des muscles font défaut. D'a-près ce qu'on sait, la majeure
partie
des faisceaux primitifs subirait, dans cette prem
in-terne, et moi, à propos d'un fait recueilli dans mon service, ime
partie
des altérations spinales qui président au dévelop
p-pement de la paralysie infantile. Mais c'était, il faut le dire, la
partie
la moins importante. Ainsi, nous avions constaté
tains points, les lésions de la né-vroglie envahissent la plus grande
partie
de la substance grise 1 Archives de physiologie
d origine dans des organes spéciaux, et s'étendent même parfois aux
parties
adjacentes des cordons antéro-latéraux, il n'en e
s lésions de la névroglie pour-ront se montrer plus accusées vers les
parties
centrales d'un agrégat de cellules nerveuses que
les parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses que dans les
parties
périphé-riques ; beaucoup plus accentuées égaleme
utre côté, que l'irritation se soit originellement développée sur les
parties
périphériques, et qu'elle ait remonté ensuite jus
r les parties périphériques, et qu'elle ait remonté ensuite jusqu'aux
parties
centrales par la voie des racines antérieures des
f faisait reconnaître des désordres dès lors irréparables. Une grande
partie
des muscles du bras, de l'avant-bras et de la mai
vement à peu près complète, et marquée par une flaccidité absolue des
parties
, portant uniformément sur les quatre membres. L'i
à droite, il existe une atrophie assez prononcée des épaules et de la
partie
postérieure du bras ; au contraire, les muscles d
la sensibilité cutanée ne sont en rien mo-difiés sur les différentes
parties
du tronc et des membres supérieurs. Quant aux m
ent que, faute d'appareils convenables, l'exploration élec-trique des
parties
atrophiées n'ait pu être pratiquée à cette époque
un moment, assez fort pour empêcher M. R... de rester hors du lit une
partie
du jour. La seule particularité à noter, durant
remier degré de cette altération, la cellule dimi-nue de volume et la
partie
transparente du corps se réduit de plus en plus ;
ntre les mains de M. Prévost, a montré qu'une lésion, portant sur les
parties
centrales de la moelle, détermine des lésions mus
ontiers que les nerfs centrifuges, qui prennent leur origine dans les
parties
affectées de la moelle 1 M. Kussmaul à proposé
substance grise. Il se produitlà, parle fait de la maladie, dans les
parties
centrales de la moelle épinière, une expérience d
yein sur le même sujet (Même recueil, 1874, p. 603.) hir une grande
partie
de la hauteur du cordon nerveux, de telle sorte q
e, à peu près toujours, l'épanchement de sang se forme là, au sein de
parties
préalablement modifiées dans leur texture par le
ésence de trois canaux longs et étroits, qui, creusés pour la majeure
partie
dans l'épaisseur de la substance grise, parcourai
au niveau du tiers inférieur de la région dorsale. Dans lapins grande
partie
de son trajet, il occupait la corne grise postéri
ntéresser à la fois les deux faisceaux blancs postérieurs, l'autre en
partie
dans la corne postérieure droite, en partie dans
s postérieurs, l'autre en partie dans la corne postérieure droite, en
partie
dans le faisceau postérieur du côté droit. Ces de
nt résulter de la fonte d'un tissu pathologique développé au sein des
parties
centrales de la moelle épinière. La réalité dii f
n degré variable, de dégénération granulo-graisseuse. Mais la majeure
partie
de ces tubes peut être, — c'est un fait dont je m
e de la moelle épinière. En effet, on reconnaît alors aisément que la
partie
des cordons antéro-latéraux dans laquelle le proc
postérieure. par suite de l'apparition d'un sillon latéral, en deux
parties
, Tune antérieure, l'autre postérieure, pour chaqu
cornes postérieures (Fig. 12, b) de substance grise. A chacune de ces
parties
est venue s'adjoindre, vers la tin du premier moi
la 8e semaine dans le sillon qui sépare encore latéralement les deux
parties
de la substance grise, sous l'aspect de deux pe
commissure, sous la forme d'un espace triangulaire correspondant à la
partie
la Fig. 15. — C. de la moelle cervicale d'un em
ares, et que, au contraire la langue conjonctive prédomine; aussi ces
parties
se colorent-elles fortement par le carmin tandis
qu'elles sont à peine tein-tées par l'acide osmique. Enfin, ces mêmes
parties
renferment, à l'état normal, une certaine proport
Fig. 16. — Coupe transver-sale delamoelle épinière pas-sant par la
partie
moyenne du renflement cervical. Fig. 17. — Coup
iraussi Pl. IV, Fig. 1, 2,3; Pl. Y, Fig. 1 et 2). Toutes les autres
parties
des faisceaux blancs sont respec-tées, à l'except
res dans toute leur étendue en hauteur. (Fig. 19.) Au-dessus, dans la
partie
inférieure de la protubé- 1 rance, la lésion peut
pas envahie. Fig. 19. — Coupe transversale du bulbe passant par la
partie
moyen-ne de l'olive — A, A, pyramides antérieures
ans le bulbe. Vous n'ignorez pas, Messieurs, qu'il existe, dans cette
partie
des centres nerveux, un certain nombre de noyaux
V. Fig, 20. — Coupe transversale du bulbe, faite au niveau de la
partie
moyenne du noyau de l'hypoglosse. — A, B, (à droi
B', etc., (à gauche de la ligne fictive R, R') représentent les mêmes
parties
dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. O
éments hétérogènes qui n'ont pu être classés ailleurs. La plus grande
partie
des amyotrophies spinales chroniques deutéropathi
formations paralyti-ques). Mais, tel n'est pas le cas pour la majeure
partie
d'entre elles; les déviations dans la règle, sont
Je mentionnerai seulement, pour ne pas omettre tout à fait une des
parties
les plus curieuses du tableau, les symptômes suiv
e et la troisième circonscription sont le siège gagnent très vite les
parties
correspondantes de la substance grise. après l'
ulaire progressa rapide-ment et, simultanément, la peau de toutes les
parties
des membres paralysés, soumises aux plus légères
tanée). Paris, 1873. Fi(j. 24. — Coupe transversale pratiqué ' à la
partie
moyenne du renflement cervical de la moelle épini
'agit, en premier lieu, de douleurs extrêmement vives qui occupent la
partie
postérieure du cou, s'étendent jusque sur le somm
es postérieures, en raison de la limitation des lésions méningées aux
parties
antérieures de la dure-mère, étaient épar-gnées e
s membres des plaques à'anesthésies qui peu-vent s'étendre jusqu'à la
partie
supérieure du tronc. Ce n'est pas tout encore ;
ive, propres à l'amyotrophie progressive. Parfois disséminées sur les
parties
du corps les plus diverses, les lésions musculair
ue (Leyden), où elles peuvent n'occuper qu'un seul muscle ou même une
partie
d'un muscle. Si les éminences thénar et hypothéna
e. L'inertie motrice s'accompagne d'une flaccidité très prononcée des
parties
. Si l'on excepte quelques fourmillements passag
muscles, elle s'attaque cependant à toute l'étendue ou à toute une
partie
des membres. En même temps, la peau, sur les ré-g
s cellules motrices, en nombre normal, n'offraient, dans les diverses
parties
qui les constituent, aucune déviation du type phy
édians et radiaux, que ces nerfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs
parties
, les apparences de l'état normal. Nous avons même
aisceaux musculaires. — G, G, Cellules adipeuses. montre la majeure
partie
depa surface des coupes occupée par des cellules
er dans l'épaisseur du tissu conjonctif interstitiel, mais la majeure
partie
d'entre eux, ceux-là mêmes qui ont subi l'atrophi
ient paralysés et atrophiés. A, La zone radiculaire du côté gauche en
partie
sclérosée. B,Zone radiculaire droite saine. G, Le
il se produit une anesthésie cutanée plus ou moins prononcée dans les
parties
du corps situées du même côté que la lésion spina
s-sentir, pour la pathologie spinale, un brillant avenir. QUATRIÈME
PARTIE
Sujets divers Tabes dorsal spasmodique. — Par
i, le tendon percuté ou tiraillé exercerait une action sur toutes les
parties
du muscle correspondant, qui sons cette influence
sale inférieure). Les hémisphères cérébraux étaient dans toutes leurs
parties
absolument exempts d'altérations. Les détails de
out, les ques-tions qu'il a soulevées paraissent même aujourd'hui, en
partie
du moins, enveloppées encore d'une obscurité pro-
'agit d'une myélite partielle sié-geant, au moins primitivement, à la
partie
supérieure du renflement lombaire. Cette indicati
transverse siégeant au-dessous du renflement lombaire ou occupant la
partie
supérieure de ce renflement. Des fourmillements
énérale, l'examen le plus superficiel fait reconnaître déjà, dans les
parties
affectées de la moelle, la diminution de consista
, était ramollie et infiltrée de corps granuleux et de leucocytes. La
partie
du nerf com-prise entre les deux foyers purulents
central retentissent quelquefois, par la voie des nerfs, sur diverses
parties
du corps, pour y déterminer des troubles trophiqu
peut se faire que des lésions irritalives, occupant primitivement les
parties
périphériques, retentis-sent, cette fois encore,
entis-sent, cette fois encore, par l'intermédiaire des nerfs, sur les
parties
centrales du système nerveux et y déterminent un
s fois témoin, pour mon compte, d'erreurs de ce genre. Je citerai à
partie
de sa vie et dont elle porte encore les traces. I
ttachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; —
partie
postérieure du noyau caudé ; — partie postérieure
érieure de la couche optique; — partie postérieure du noyau caudé ; —
partie
postérieure de la couronne rayon-nante . Hémich
peut plonger profondément et brutalement une grosse épingle dans ces
parties
, sans que la malade mani-feste la moindre souffra
gion toujours la même, à peu de chose près, et voici l'indication des
parties
qu'elles intéressaient ; ce sont constamment, c'e
les cas : 1° l'extrémité pos-térieure de la couche optique ; — 2° La
partie
la plus posté-rieure du noyau caudé. Il est noté
ces noyaux gris étaient restés parfaitement indemnes; — 3° Enfin, la
partie
la plus postérieure du pied de la couronne rayonn
couche optique et le noyau lenticulaire, atteints dans leurs diverses
parties
, des lésions les plus diverses sans qu'il s'en so
ui a été dit plus haut, ce n'est évidemment pas en désor-ganisant une
partie
de la couche optique que l'hémorragie a produit i
ium sera pris à la dose de 6 à 8 ou 10 grammes pour les 24 heures, en
partie
par la bouche, en partie en lavement. Le traiteme
e 6 à 8 ou 10 grammes pour les 24 heures, en partie par la bouche, en
partie
en lavement. Le traitement devait être maintenu,
ertains accès, la rigidité et les con-vulsions rythmiques gagnent les
parties
du côté opposé du corps. Lorsque la perte de conn
iétal droit, tandis que les con-vulsions portaient, chez lui, sur les
parties
du côté gauche. Cette disposition alterne des con
en soit, il y a là un fait digne d'intérêt lorsque l'on sait que les
parties
de la surface des hémisphères cérébraux qui sont
s dans l'ex- tait d'ailleurs aucun trouble delà sensibilité dans la
partie
paralysée : ni anes-thésie, ni analgésie, ni four
très fréquemment à la suite des accès d'épilepsie partielle, dans les
parties
même, qui(Trît été le siège principal des convu
re les détails offre un nouvel exemple de ces troubles trophiques des
parties
pé-riphériques, produits en conséquence d'une lés
sser sur son lit, Vavant-bras droit s'est fracturé à son tour vers la
partie
moyenne. Aucune douleur ne s'est fait sentir au m
rticu-larité notable pour le pied, la jambe, le genou et même pour la
partie
inférieure de la cuisse. C'est la partie supérieu
be, le genou et même pour la partie inférieure de la cuisse. C'est la
partie
supérieure de la cuisse ainsi que la hanche, et c
st abaissé •et dans une position telle, qu'il est porté du côté de la
partie
pos-téro-externe de la cuisse. Il se trouve situé
e le membre est placé dans la rectitude (Voy. Planche VI.) Toute la
partie
interne de la cuisse, à partir de 8 centimètres a
er à environ une douzaine ; les uns occupent toute l'étendue de cette
partie
interne la dépassant même en arrière ; les autres
arrière ; les autres, plus rapprochés du pli de l'aine, dépassent la
partie
antérieure de la cuisse et se prolongent même, sa
de la cuisse et se prolongent même, sans l'atteindre, jusque vers la
partie
latérale externe. Sur la partie externe de la c
e, sans l'atteindre, jusque vers la partie latérale externe. Sur la
partie
externe de la cuisse se trouvent quelques bour-re
endu, la jambe et la cuisse pouvant être placées entièrement sur leur
partie
latérale externe où elles reposent sur le plan du
e. Le fémur, très raccourci, ne présente point d'altération dans sa
partie
inférieure ni dans sa partie moyenne, jusques et
, ne présente point d'altération dans sa partie inférieure ni dans sa
partie
moyenne, jusques et y compris le grand trochanter
e moyenne, jusques et y compris le grand trochanter. Dans toute cette
partie
de la diaphyse de l'os, il ne se rencontre ni sol
is plus obliques que ceux décrits pour le membre opposé existent à la
partie
interne de la cuisse depuis le bord interne du ge
ou sept assez marqués, s'étendant depuis le genou ainsi que depuis la
partie
interne de la cuisse jusqu'à quelques centimètres
e du fémur peut se sentir facilement à travers la peau, du côté de la
partie
externe de la hanche. Elle est portée directe-men
en palpant le creux de l'aisselle, la tête numérale rapprochée de la
partie
interne et abaissée. Nous con-cluons de cet ensem
éressé les deux os, le cu-bitus à son tiers supérieur, le radius à sa
partie
moyenne, c'est-à-dire qu'il y a eu là une fractur
ce d'une fracture ayant intéressé les deux os près et au-dessous delà
partie
moyenne. Le cal le plus volumineux est celui du c
d'environ 4 centimètres et descend jusqu'à cette même lon-gueur de la
partie
inférieure de cet os. L'épaisseur en est d'enviro
a éprouvé, à plusieurs reprises, des douleurs fulgurantes occupant la
partie
inférieure du rectum et les grandes lèvres. Ces d
forme d'un angle droit à sommet interne, n'est consolidée que dans sa
partie
verticale : les deux lèvres de la portion horizon
t sont revêtues de végétations osseuses. — Les fractures siègent à la
partie
moyenne de la fosse sous-épineuse. La clavicule
u au-dessous du tiers supérieur. — Le radius, qui a été fracturé à sa
partie
moyenne, pré-sente un cal long de cinq à six cent
st située en arrière des deux os et l'inférieur, au contraire, à leur
partie
antérieure. — Des deux côtés, les os des avant-br
é supérieure du fémur vient aboutir à un cal irrégulier, offrant à sa
partie
inférieure et antérieure, une sorte de jetée tria
fragment supérieur s'est détruit par atrophie, par frottement, et la
partie
persistante s'est soudée avec le frag-ment inféri
is, le cancer, la goutte, le rhumatisme. J'ajouterai que les diverses
parties
du squelette, les côtes en particulier et les os
s tubes nerveux delà substance blanche, non seulement au niveau de la
partie
de la moelle la plus profondément lésée, mais enc
A l'autopsie, on trouva la moelle entièrement divisée au niveau de la
partie
supérieure de la région dorsale; un lambeau de la
tance des renfle-ments fusiformes et c'est seulement au niveau de ses
parties
ren-flées qu'ils acquièrent ces dimensions coloss
t ces dimensions colossales qui ont été signalées plus haut. Dans les
parties
intermédiaires, le diamètre des cylindres d'axe n
7e dorsales, la moelle dans toute son épaisseur, à l'exception d'une
partie
très peu étendue des colonnes blanches postérieur
qui avaient été ramollies se sont désagrégées, mais, en dehors de ces
parties
, on trouve disséminés, çà et là, un grand nombre
postérieures. Dans le voisinage de ces foyers, comme au pourtour des
parties
désagrégées par le ramollissement, le réticulum d
intra-spinal des racines antérieures. L'épanchement sanguin est en
partie
seulement de date récente. Sur certains points du
tre, en outre, soit dans le foyer lui-même, soit dans l'épaisseur des
parties
qui en constituent les parois : 1° des vaisseaux
substance blanche très éloignés des parois du foyer sanguin, dans la
partie
la plus postérieure des cordons postérieurs par e
egré le plus avancé, par suite de l'agrandis-sement de ces fentes, la
partie
tuméfiée du cylindre peut être divisée en plusieu
e choc le plus léger; on les remarque également dans presque toute la
partie
supé-rieure du dos. Les membres inférieurs sont p
. 1875. — L'atrophie des muscles est extrêmement prononcée dans les
parties
supérieures du corps. Elle porte à peu près égale
il en est de même des régions sus et sous-épineuses ; dans toutes les
parties
supérieures du corps, le squelette se dessine et
la plupart sont atrophiés et décolorés. — Le grand dorsal et toute la
partie
postérieure du trapèze ont subi une atrophie extr
s tout à l'heure se sont également produits. Ici, encore, ce sont les
parties
externes delà paroi qui sont le siège presque exc
ment à la sur-face du vaisseau. Du reste, l'aspect que présentent ces
parties
varie très-vraisemblablement avec l'âge de la lés
s régions cervicale et dorsale. Le maxi-mum des altérations occupe la
partie
inférieure du renflement cer-vical. Au-dessus et
ment énorme qu'a pris le sys-tème capillaire de la région. Dans les
parties
supérieures de la région cervicale, la vasculari-
on des racines antérieures dans leur trajet intra-spinal. Ainsi, à la
partie
inférieure du renflement cervical, elle forme aut
n état d'intégrité absolue. Bulbe rachidien. — Coupe pratiquée à la
partie
moyenne des olives. — Les pyramides antérieures s
lésions. — Une portion de ce nerf prise le long du péricarde, vers la
partie
mo-yenne, fut placée dans l'acide osmique, puis u
e, vers la partie mo-yenne, fut placée dans l'acide osmique, puis une
partie
fut exami-née par dissociation ; une autre durcie
ènes insolites se sont mon-trés : ce sont des douleurs dans certaines
parties
du corps, puis des secousses qui se sont produite
cale. Si maintenant nous considérons que dans certains points, à la
partie
supérieure de la région cervicale, par exemple, d
e une expression singulière : tandis que le front, les sourcils et la
partie
supérieure des joues ont conservé leur mobilité,
n dehors des moments où la malade éprouve une émotion un peu vive, la
partie
inférieure de la face reste pour ainsi dire immob
connue sous le nom de main en griffe. Les mou-vements des différentes
parties
des membres supérieurs sont d'ail-leurs extrêmeme
ta-nées ou provoquées se remarquent encore sur tous les muscles de la
partie
supérieure du tronc. Us sont aussi très marqués a
âle humide laryngo-trachéal qui s'entendait à une grande distance. La
partie
supérieure des voies respiratoi-res était le sièg
lade ne pouvait rejeter. Le lendemain, ces accidents pa-raissaient en
partie
dissipés ; mais, dès le soir, ils reprenaient tou
.. 0. 125 — au bras................................. 0. 17 — à la
partie
moyenne delà cuisse.......... 0. 365 — à la jam
angue, les plus altérés. 4° Au tronc. La masse sacro-lombaire, à sa
partie
inférieure, semble avoir subi un certain degré d'
mon-tré aucune altération appréciable à l'œil nu, dans la plus grande
partie
de son étendue, mais dans une étendue de 5 centim
seaux gorgés de sang et une teinte rouge diffuse s'observaient sur la
partie
ramoliie. Le ramol-lissement portait principaleme
ramol-lissement portait principalement sur la moitié gauche et sur la
partie
postérieure de la moelle. Il est possible que, ma
lésions atrophiques se montraient moins prononcées, surtout dans les
parties
inférieures de cette région et, au niveau du renf
n résultat décisif. e) Moelle épinière. Examen à l'état frais de la
partie
ramollie. On sait qu'immédiatement au-dessus du r
tubes nerveux, lesquels, au niveau des faisceaux antérieurs et sur la
partie
antérieure des faisceaux latéraux, ont conservé à
se près leur diamètre normal. Mais, sur un point qui cor-respond à la
partie
la plus postérieure de ces derniers faisceaux et
nsparentes, irrégulièrement arrondies, placées symétriquement vers la
partie
la plus postérieure de ces cordons, immédiatement
ations peuvent être appré-ciées d'une manière rigoureuse, lorsque les
parties
malades sont comparées aux parties correspondante
ne manière rigoureuse, lorsque les parties malades sont comparées aux
parties
correspondantes sur des coupes de moelle provenan
ale et dorsale. Nous avons pris pour point de comparaison, dans cette
partie
de notre étude, de très belles coupes provenant d
entuée. Lorsqu'on introduit un liquide dans la bouche, la plus grande
partie
s'écoule entre les lèvres ; puis, il se produit u
l'état normal. Le masséter, rouge à sa surface, est jaunâtre dans ses
parties
pro-fondes. — Les sterno-mastoïdiens, les scalène
rangés en séries parallèles, séparés les uns des autres et masqués en
partie
par des amas de noyaux. Les mus-cles du tronc et
on de l'entre-croisement offre un intérêt particulier; tandis qu'à la
partie
antérieure, ce qui reste de la pyramide se détach
ller envahir, en passant du côté opposé, la formation réticulée et la
partie
supérieure des cordons latéraux. Les cornes antér
s particularités. Dans toute la région cervicale, elle occupe, à la
partie
la plus interne des cordons antérieurs, une sorte
érieur, tandis que le sommet vient se terminer en s'ef-fîlant vers la
partie
moyenne de ce sillon. Ce triangle, plus large à d
Ce triangle, plus large à droite qu'à gauche, cesse d'exister vers la
partie
inférieure de la région. Dans les cordons latér
arée de la périphérie par une bande étroite de tissu resté sain. La
partie
supérieure de la région, celle qui est située imm
ée de tous côtés par une sorte de couronne de tissu sclérosé. Si, des
parties
supérieures, on descend vers les régions dorsale
gnée de la corne pos-térieure et forme une sorte d'îlot situé dans la
partie
postérieure du cordon, et entouré de toutes parts
ont ils ne dépassent pas les limites. Les coupes qui passent par leur
partie
moyenne, ne montrent qu'une masse épaisse d'un ti
ifficile de distinguer aucun élément. Mais ces foyers, renflés à leur
partie
moyenne, vont en s'efûlant à leurs deux extrémi
faiblie. En examinant l'état du système muscu-laire dans les diverses
parties
du corps, on remarque ce qui suit ; les muscles d
Le bras et l'avant-bras, de ce côté, ne sont pas plus émaciés que les
parties
correspondantes du membre supérieur droit. Les ma
Le membre supérieur droit est uniformément amaigri dans toutes ses
parties
; nulle part il n'y existe d'atrophie partielle.
salle, mais non sans beaucoup de fatigue. A gauche, les muscles de la
partie
antérieure de la cuisse et ceux du mollet sont le
îbrillaires. Des contractions fîbrillaires s'observent aussi sur la
partie
cer-vicale du trapèze et sur les sterno-cleido-ma
rmale est surtout prononcée au niveau du bord an-térieur gauche de la
partie
cervicale de ce muscle. En ce point, les faisceau
par de petits amas de graisse. La même altération se remarque à la
partie
antérieure du del-toïde du côté gauche. La partie
on se remarque à la partie antérieure du del-toïde du côté gauche. La
partie
postérieure du même muscle est relativement peu a
x et des nerfs bulbaires. — Le cerveau proprement dit et les diverses
parties
de l'isthme ne présentent aucune altération appré
ononcé. Les fibres musculaires de coloration jaune, provenant de la
partie
antérieure du trapèze et du deltoïde du côté gauc
e. Mais les faisceaux ainsi al-térés étaient là moins nombreux qu'aux
parties
correspondantes des membres supérieurs. p. Nerf
'un jaune ocreux très intense qu'elles présentent dans la plus grande
partie
de leur éten-due. Cette coloration résulte de la
unis sous forme d'amas et ne subissant pas l'influence du carmin. Les
parties
de la cellule qui n'ont pas été envahies par le p
des cas cependant où ce dernier persiste encore; c'est alors la seule
partie
de la cellule qui ait conservé la pro-priété de s
us. — Le noyau d'origine de l'hypoglosse, visible à ce niveau dans sa
partie
inférieure, présente des altérations très prononc
ils paraissent en tous cas gorgés de globules sanguins. La majeure
partie
des cellules (les deux tiers environ) offrent, à
le nombre en est alors beaucoup plus restreint. b) Coupe faite à la
partie
moyenne des olives. — Les cellules des circonvolu
n ne sont pas sensiblement altérées. c) Coupe faite au niveau de la
partie
la plus supérieure des oli-ves. — Cette coupe qui
l'hy-poglosse, mais bien l'existence d'une paralysie musculaire en
partie
au moins indépendante de l'atrophie *. 11 y a là
phie apparente qui, à un mo-ment donné, s'était emparée de la majeure
partie
des masses musculaires ; on peut en dire autant d
ée. En effet, l'examen microscopique de ce muscle montre la majeure
partie
de la surface des coupes transversales occupée pa
ra-tions par dilacération complètent ces renseignements : la ma-jeure
partie
des faisceaux musculaires, ceux-là mêmes qui ont
on, présentent l'un quelconque de ces modes d'altération. La ma-jeure
partie
d'entre eux n'offrent, jusqu'au dernier terme, qu
lui de M. Cohnheim. Bien que nous n'ayons eu entre les mains qu'une
partie
de la moelle épinière comprenant la moitié supéri
nerveuses motrices, en nombre normal, n'offraient, dans les diverses
parties
qui les constituent, aucune déviation du type phy
-dians et radiaux, que ces nerfs m'ont paru offrir, dans toutes leurs
parties
, les apparences de l'état normal. Nous avons même
upe de la région dorsale de la moelle. La sclérose a envahi les mêmes
parties
qu'au renflement cervical. Fig. 3 (à gauche). —
cervical. Fig. 3 (à gauche). — Coupe transversale de la moelle à la
partie
inférieure de la région dorsale. — a, a, Ilots de
térieure. Fig. 3 (à droite). — Coupe transversale de la moelle à la
partie
moyenne de la région cervicale. a, a, Rubans ex
et une déformation considérables. — h, Cylindre d'axe refoulé sur les
parties
latérales. Fig. 2. — Substance blanche de la mo
urtout à droite. — g, Renflement lombaire. Sclérose bien limitée à la
partie
posté-rieure des cordons latéraux. Fjg. 2. — Co
nt atrophiée; la corne pos-térieure n'existe plus. — c, Vestiges delà
partie
latérale droite de la moelle. Fig. 3. — Coupe à
ostérieures. Fig. 2.— Coupe transversale de la moelle épinière à la
partie
supérieure du renflement cervical. a, a, Cordon
stérieures. Fig. 3. — Coupe transversale de la moelle épinière à la
partie
inférieure de la région cervicale, a, a, c, c, p,
O-LATÉRAUX Fig. 1 . — Coupe transversale de la moelle épinière à la
partie
moyenne de la région dorsale, a, a, Cordons latér
stérieures. Fig. 2.-— Coupe transversale de la moelle épinière à la
partie
moyenne du renflement lombaire, a, «, Cordons lat
a plus de sclérose de la zone radiculaire antérieure, T. Fig. 3. —
Partie
moyenne de la région dorsale. — A, Zone radiculai
tachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; —
partie
posté-rieure du noyau caudé : — partie postérieur
érieure de la couche optique; —partie posté-rieure du noyau caudé : —
partie
postérieure de la couronne rayonnante. Hémichorée
les viscères séparément pour le compte et au compte de chacune des
parties
du tout. S'il en était autrement, l'enfant qui
tudes stéréotypées, raideurs musculaires. - Il passe la plus grande
partie
de ses journées dans la cour, à la même place, de
rvertébraux qui paraissent partiellement ossifiés surtout dans leur
partie
antérieure. En aucun point, il n'y a d'exostoses,
ons protoplasmiques. La loca- lisation de ces zones mortifiées à la
partie
supérieure de la glande indique que nous avons
le sclé- rosée, existent quelques corps jaunes. Les vaisseaux de la
partie
centrale sont abondants, gorgés de sang. Leur p
à ce qu'il doit être chez un sujet normal. La pituitaire, dans sa
partie
nerveuse, paraît absolument saine. Dans sa part
tuitaire, dans sa partie nerveuse, paraît absolument saine. Dans sa
partie
glandulaire, les travées sont remplies de toutes
on à présenter, sur une même coupe, le disque intervertébral et les
parties
voisines des deux vertèbres adjacentes (PI. IV)
rement le ménisque : ces jetées, surtout abondantes au niveau de sa
partie
antérieure, rendent peu nette, à cet endroit, l
volution particu- lières. Ce processus s'est en effet cantonné à la
partie
dorso-lombaire de la colonne vertébrale, et aux
et sont assez bien fournis tandis que d'autres ont perdu une grande
partie
de leurs fibres à myéline, celles qui res- tent
continue et dense ; il est au contraire représenté sur une notable
partie
du champ du microscope par un réseau de fibres mi
ement réparties. De deux fragments du (deltoïde, prélevés l'un à la
partie
antérieure, l'autre à la partie postérieure de ce
ts du (deltoïde, prélevés l'un à la partie antérieure, l'autre à la
partie
postérieure de ce muscle, le second Fio. 8. Rac
n manchon, tandis que le tissu conjonctif intra-fasciculaire est en
partie
transformé en tissu réticulé. Résumé de L'OBS
ent, mais notablement plus dans les régions inférieures que dans la
partie
supé- rieure de la moelle. Gombault et Mallet c
cines postérieures sont normales ; dans les racines antérieures une
partie
des fibres nerveuses se sont atrophiées, ce qui d
e qui progressèrent dans les années suivantes et qui constituent la
partie
la plus saillante de la symptomatologie que le ma
cervelet s'est exercée in tolo. Les proportions entre les diverses
parties
qui le constituent sont conservées ; le cervele
n en dehors du sillon longitudinal supérieur gauche, divisé en deux
parties
. L'une, comprenant la plus grande'partie de l'h
ère cérébelleux droit a été coupée en coupes horizontales. Les deux
parties
ont été débitées en coupes sériées, colorées ensu
hiée, tandis que cette atrophie ne parait pas exister dans les autres
parties
des hémisphères et du vermis. Les sillons inter
lement. L'écorce atrophiée se dis- tingue de celle des lamelles des
parties
apparemment saines du-cervelet par la Nouvelle
eur,dans les amygdales, dans la luette et le nodule, la plus grande
partie
des lamelles ne présentent rien à noter de path
légère raréfaction diffuse, qui cependant est plus accusée dans les
parties
centrales de ces cordons. A un fort grossisse-
le cervelet au contraire, nous avons rencontré, dans la plus grande
partie
de l'écorce cérébelleuse des lésions d'atrophie i
s. L'àge très avancé auquel débuta l'affection, dont la plus grande
partie
relève du syndrome cérébelleux, et les caractèr
ù le cervelet est plus petit qu'un cervelet normal, mais toutes les
parties
qui le composent sont norma- les et proportionn
hie des autres couches (moléculaire et des grains) dépend en grande
partie
de l'état de la couche des cellules de Purkinje ?
aces et quatre bords La face interne se confond dans la plus grande
partie
avec la base du col..... Le bord antérieur, trè
r des indices extrême- ment précieux sur la situation et l'état des
parties
profondément cachées et qu'à ce titre elle ne d
faute de connaissances anatomiques suffisantes, ne purent en tirer
partie
, et les chirurgiens la dédaignèrent. Depuis lor
planches admirables, faites d'après nature, où vous trouverez cette
partie
de notre science traitée avec tous les détails
la vie, dans l'infinie variété des mouvements, imprime à toutes les
parties
du corps humain. Il serait donc à souhaiter que
saire aux seconds de connaître les rapports normaux des différentes
parties
de la figure humaine vivante. Quotidiennement',
membres ou de deux segments d'un même membre, ou de telle ou telle
partie
du corps par rapport à celui-ci tout entier. Le C
e j'es- saye d'établir ici. « Nous sommes tous composés des mêmes
parties
. Nous avons les mêmes . (1) PAUL RICIIER, Physi
cations de forme et les change-- ments de rapport survenus dans les
parties
du corps humain : on dessine sur le malade viva
le côté sain et le côté malade ». '« L'orientation dans toutes les
parties
du corps doit devenir précise et rapide, chez t
e la préoc- cupation constante d'établir le rapprochement entre les
parties
profondes et le nu, aussi bien pour le squelett
vers as- pects. Puis, lorsqu'ils ont ainsi figuré tous les os d'une
partie
du corps, d'un membre par exemple, on leur prés
res res- tent écartées. Ceci donne une expression particulière à la
partie
inférieure du visage : la malade fait « la peti
nd presque inerte et ne touche pas le sol. Dans la marche, seule la
partie
antérieure du pied droit, fortement équin, porte
t (PI. XXV-XXVI) : 1° la première cir- convolution frontale dans sa
partie
interne et supérieure et dans la moitié antérie
sa partie interne et supérieure et dans la moitié antérieure de sa
partie
orbitaire ; la première circonvolution frontale e
calleux dans leurs 3/4 antérieurs, jusqu'au niveau à peu près de la
partie
ascendante de la scissure calloso-marginale. En
un peu moins atteinte par le ramollissement qu'à gauche tant dans la
partie
orbitaire qu'au niveau de la convexité ; le peu
eure gau- che, du cordon antéro-latéral du même côté, et, en petite
partie
aussi, à une légère diminution de volume du cor
IE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 129 tout à la
partie
médiale de la corne on observe quelques cellules
a par- tie interne et supérieure et dans la moitié antérieure de sa
partie
or- bitaire, la face interne du lobule paracent
s calleux dans leurs trois quarts antérieurs, jusqu'au niveau de la
partie
ascendante dela scissure cal loso-marginale. C'
psie montrant une lésion bilatérale et symétrique, dé- truisant une
partie
du territoire de l'artère cérébrale antérieure, n
fection générale toxi-infectieuse capable de frapper aussi d'autres
parties
du système nerveux. Ces diverses localisations
pouvait relever de lésions initiales va- riées. Dans la plus grande
partie
des cas d'hémiplégie cérébrale infan-, tile sui
marginalis, le tiers inférieur des circonvolutions rolandiques, une
partie
des 2e et 3e circonvolutions frontales et l'ins
être, comme nous l'avons déjà dit, au fait que, dans la plus grande
partie
des cas d'hémiplégie cérébrale infantile, la mo
sant progressivement,en deux ans,de proche en proche, le poignet,la
partie
inférieure de l'avant-bras, la région du coude,
e poignet,la partie inférieure de l'avant-bras, la région du coude,
partie
inférieure du bras, puis se perdant progressive
ur gauche est monstrueux, d'aspect éléphantiasique, dans toutes ses
parties
, sauf la région supérieure du bras. La couleur
dition de ne pas se laisser impressionner par la teinte rouge de la
partie
inférieure de la face postérieure de l'avant-bras
as se rapportait à une jeune fille de 25 ans atteinte à 12 ans à la
partie
inférieure de la jambe gauche d'une piqûre de mou
plus d'ailleurs de douleurs spontanées. Les follicules pileux de la
partie
antérieure et supérieure dé la Nouvelle Iconogr
- crites. Le dépôt adipeux, régulier, symétrique très abondant a la
partie
infé- rieure de l'abdomen et de la poitrine est
nfiltrés au niveau de leur face posté- rieure ; le bras mesure à sa
partie
moyenne 37 centimètres de circonférence ; l'ava
abondante), l'as- thénie, l'extrême apathie, troubles qui font tous
partie
du tableau symp- tomatique du myxoedème ; mais
çus que la peinture blanche en s'effritant laissait à découvert des
parties
rosées. Un lavage lit apparaître un autre écorc
ceux de la face externe de la jambe, ceux de l'avant-bras, ceux des
parties
latérales du torse, etc... Les muscles du dos don
lupart du temps l'opération se fait séparément pour les différentes
parties
du corps qui sont juxtaposées après coup. ' S
osses fautes apparaissent dans la région du genou. En ar- rière, la
partie
inférieure du demi-membraneux n'existe pas ; en a
d'attache défectueuse des fibres charnues du grand oblique. « A la
partie
postérieure du flanc, on peut noter aussi l'absen
es formes extérieures, autrement dit la relation entre le nu et les
parties
profondes, ne peut être facilement établie. «
t-à-dire porter sur lui-même, pour ainsi dire, le rapport entre les
parties
profon- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière
La face est incomplètement paralysée. Le facial supérieur est pris en
partie
aussi ; le malade résiste très peu à la tractio
elet est normal. On pratique une coupe transversale au niveau de la
partie
moyenne de la protubérance, de façon à laisser
protubérance, de façon à laisser sa moitié supérieure attenante à la
partie
su- périeure du tronc encéphalique qui sera ain
ement diminué de volume du côté droit. Sur une coupe passant par la
partie
moyenne NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière
upes sériées. Nous avons étudié sur coupes sériées horizontales, la
partie
supérieure du tronc encéphalique (capsule inter
ion des figures. - Sur la coupe représentée (fig. 1) passant par la
partie
supérieure de la région sous-optique, et intéress
tique, et intéressant les tubercules qua- drijumeaux antérieurs, la
partie
postérieure du pulvinar, les corps genouillés e
rieure du pulvinar, les corps genouillés externes et internes et la
partie
supérieure du noyau rouge, on voit un foyer de
existe en outre un petit foyer isolé du précé- dent, qui occupe la
partie
antéro-interne du corps genouillé interne. A note
ps genouillé interne. A noter enfin, une réduction en largeur de la
partie
de la capsule interne respectée par la lésion e
ans la substance réticulée de la calotte dans il détruit une grande
partie
. La lésion détruit en outre ici, en plus de la
la capsule interne, le corps ge- nouillé externe (moins une petite
partie
postérieure) et sectionne complètement la bande
n dedans, elle s'avance vers le pied du pédoncule dont elle lèse la
partie
avoisinante à l'extrémité externe du corps de L
ijumeaux antérieurs, les corps genouillés externe et interne et la.
partie
toute posté- rieur du pulvinar, le foyer détrui
- rement, en respectant comme sur les coupes précédentes une petite
partie
pos- térieure. En arrière il vient encore léser
ne petite partie pos- térieure. En arrière il vient encore léser la
partie
tout il fait postéro-inférieure du pulvinar. Co
enouillé externe en dedans. Enfin le foyer primitif pénètre dans la
partie
externe de la calotte, et sectionne le bras du
eau antérieur en grande partie. La lésion détruit encore une grande
partie
de la substance réticulée de la calotte et pénè
s tend à augmenter d'éten- due et vient sectionner les fibres de la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge et effl
antérieure de la capsule du noyau rouge et effleurer à ce niveau la
partie
tout inférieure du corps de Luys. La figure sui
DROME DE WEBER AVEC IIÉIIlAN0h31L DATANT DE 28 ANS 191 téressant la
partie
moyenne des tubercules mammillaires, les fibres r
ulai- >- res les plus antérieures de. la IIIe paire gauche et la
partie
postéro-inférieure du corps genouillé interne.
ure de la capsule du noyau rouge. Elle effleure même à ce niveau la
partie
adjacente de ce noyau. A partir de la coupe rep
rimitif qui intéresse le ruban de Reil médian, le locus niger et la
partie
antérieure de la capsule du noyau rouge vient s
ral, le ruban de Reil médian (moins sa portion la plus interna) et la
partie
avoisinante de la substance réticulée de la cal
calotte ne consiste plus que dans un prolongement effilé placé à sa
partie
antéro-externe, prolongement qui ne détruit plus
externe du ruban de Reil médian et vient en arrière s'arrêter à la
partie
antérieure du ruban de Reil latéral dont quelqu
régulière, beaucoup plus étendu en hauteur qu'en largeur, occupe la
partie
externe du tronc encéphalique gauche, s'étend,
i va sectionner quelques fibres de la zone réticulée et détruire la
partie
tout il fait postéro-inférieure du pulvinar. 2°
eau de la région pédonculaire supérieure, il détruit la plus grande
partie
des corps genouillés interne et externe ; la band
En dedans, il envahit la calotte pédonculaire, en détruisant là une
partie
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur, le
ruban de Reil médian (moins sa portion tout interne) et une grande
partie
de la substance grise réticulée déjà calotte. E
nètre entre le noyau rouge et le corps de Luys et qui s'arrête à la
partie
interne de celui-ci. En avant enfin, il détru
la région externe de celle-ci et détruit le ruban de Reil latéral en
partie
, le ruban de Reil médian (moins sa portion la p
res de la capsule du noyau rouge et même sur une petite hauteur, la
partie
adjacente de ce noyau lui-même. A ce niveau le
s de la IIIe paire qui sont prises soit à leur passage à travers la
partie
interne du ru- ban de Reil médian, soit dans la
à travers la partie interne du ru- ban de Reil médian, soit dans la
partie
antéro-externe de la capsule du noyau rouge, so
la calotte, se rétrécit de plus en plus et ne sectionne plus que la
partie
antérieure du Reil latéral, la partie externe du
s et ne sectionne plus que la partie antérieure du Reil latéral, la
partie
externe du Reil médian et effleure les fibres l
1° Au niveau du foyer. - Les fihres de la IIIe paire gauche sont en
partie
dégénérées ainsi qu'on peut le voir sur les cou
ion présente une dégénération rétrograde très marquée dans toute sa
partie
circumpédonculaire; en effet, elle n'est plus f
au sein duquel ne persistent que quelques rares fibres saines. A la
partie
an- térieure de la portion circumpédonculaire d
de volume avec ra- réfaction légère des fibres accusée surtout à la
partie
la plus externe. Il existe enfin, sur toutes le
s décoloration employée per- mettant d'en juger. Les coupes de la
partie
supérieure du tronc encéphalique montrent en ou
tance réticulée. Celle-ci se poursuit, tout en diminuant, jusqu'à la
partie
inférieure de la protubérance. Dans l'étage ant
dale dont seulement quelques petits fais- ceaux sont conservés à sa
partie
tout à fait interne. Bulbe. - On note ici la dé
dian dont on poursuit toujours la forte dégénération rétrograde. La
partie
antérieure de la formation blanche interréticul
nt un peu diminuée de volume et un peu moins riche en fibres que la
partie
correspondante du côté droit. Sur les coupes sé
a partie correspondante du côté droit. Sur les coupes sériées de la
partie
inférieure du bulbe, passant par les noyaux des
nc encéphalique gauche et s'étendant de la région sous-optique à la
partie
inférieure du pé- doncule. En haut, ce foyer dé
bas, les corps genouillés externe et interne dans leur plus grande
partie
et la bandelette optique, soit à sa pénétra- Li
quadrijumeaux antérieur et postérieur, le ruban de Reil latéral en
partie
, le ruban de Reil médian en presque totalité et
atéral en partie, le ruban de Reil médian en presque totalité et la
partie
adjacente de la substance réticulée de la calotte
Ille paire. Dans le pied du pédoncule, le foyer qui a sectionnné la
partie
externe du locus niger, détruit en haut la moit
uses collatérales se rendant au pédoncule cérébral, et surtout à la
partie
antérieure et interne de celui-ci (artère de l'
t entr'autres aux corps genouillés externe et interne, à une grande
partie
du lobe temporal et au lobe occipital. On compren
atérales et à elle seule presque complètement, la circulation de la
partie
antéro-interne du pé- doncule, puisse être la c
e et les fibres de la IIIe paire à leur point de conver- gence à la
partie
interne du pédoncule. D'Astros (1) a recueilli de
'une thrombose de l'artère cérébrale postérieure sur la plus grande
partie
de son tronc, depuis son origine jusqu'au delà du
sorielle ; un ralentissement considérable de la circulation dans la
partie
de la cérébrale postérieure s'étendant de son o
doncule. Nous avons vu, que le foyer siégeait de préférence dans la
partie
antéro- externe du pédoncule et que la partie i
de préférence dans la partie antéro- externe du pédoncule et que la
partie
interne de celui-ci était épargnée. Or la conse
partie interne de celui-ci était épargnée. Or la conservation de la
partie
interne du pédoncule est incompatible avec l'ob
e la cérébrale posté- rieure, car dans ce cas,c'est justement cette
partie
interne qui est avant tout intéressée. Et encor
NS 203 régions internes et antérieures du pédoncule, tandis que les
parties
ex- ternes et surtout postérieures restent rela
ière portion de la cérébrale postérieure, celles qui se rendent aux
parties
antéro-internes de celui-ci(artère de l'oculo-mot
ales de la même portion de la cérébrale postérieure se rendant à la
partie
externe du pédoncule ne sont pas terminales, mais
t pas terminales, mais s'anastomo- sent richement, surtout dans les
parties
latérales de la calotte, avec des collatérales
oyer pédon- culaire qui, tout en détruisant presque complètement la
partie
antérieure de celui-ci (étage inférieur), respe
antérieure de celui-ci (étage inférieur), respecte complètement les
parties
internes du pédoncule et intéresse au contraire
ment les parties internes du pédoncule et intéresse au contraire la
partie
externe de la calotte, prouve que la portion di
cérébrale postérieure (artère des corps genouillés qui vient de la
partie
réfléchie de la cérébrale postérieure), la lésion
au noyau rouge étaient conservées) et une destruction d'une grande
partie
delà substance réticulée. On sait en effet, que d
bilité, dans les cas de foyer pédoncu- laire, il faut qu'une grande
partie
de la calotte (surtout sa partie externe) soit
oncu- laire, il faut qu'une grande partie de la calotte (surtout sa
partie
externe) soit intéressée et qu'ainsi la région
nsi la région occupée par les fibres du ruban de Reil médian et les
parties
latérales de la formation réticulée grise soient
était légèrement cedématié. Réten- tion des sphincters.Douleurs aux
parties
supérieures du tronc et au cou (io cer- (1) A b
t continua pendant 5 jours ; la sensibilité revint] faiblement à la
partie
supérieure du tronc (4° cervicale),plus faible à
. Les urines devinrent troubles et contenaient du pus. A toutes les
parties
soumises à des pressions on voyait des taches o
t en mouvements continuels à droite et à gauche de la tête la seule
partie
restée mobile, avec des cris de douleurs, etc.
tats de l'examen histologique : (Pl. XL.) Région cervicale. Dans la
partie
supérieure juxlabulbaire on voit une bandelette
rales. Le champ ventral (zone cornicommissurale de P. Marie) et les
parties
des cordons posté- rieurs adjacentes aux cornes
pourquoi la sensibilité persiste - affaiblie, il est vrai - dans la
partie
supérieure du tronc innervé par la 4e cervicale,
dons fondamentaux postérolatéraux. Dans les cordons postérieurs les
parties
qui sont plus ou moins respectées sont celles q
es ne présentent rien de particulier. Ajoutons aussi que dans ""les
parties
nécrosées de la substance blanche on voitça et là
ns deviennent plus in- tenses et plus étendues. Dans une coupe à sa
partie
inférieure on voit une destruction presque comp
ostérieures, des faisceaux cérébelleux et pyramidaux croisés, de la
partie
postérieure du faisceau de Gowers, elde la plus
de la partie postérieure du faisceau de Gowers, elde la plus grande
partie
des cordons fondamen- taux latéraux. Dans la pa
la plus grande partie des cordons fondamen- taux latéraux. Dans la
partie
antérieure des cordons fondamentaux antéro- lat
la résorption de la substance altérée, a une forme serpentine ; la
partie
postérieure de la moelle semble être aplatie et
roncs nerveux et des masses musculaires, pression très pénible à la
partie
antérieure et moyennede la cuisse gauche ; supp
qui s'occupe d'automobiles, il est incapable d'en nommer certaines
parties
es- sentielles et apparentes, telles que le vol
é des bras par une dépression profonde. Les trapèzes sont dans leur
partie
supérieure peut-être un peu plus développés que
ar contre le grand pec- toral est totalement atrophié dans toute sa
partie
sterno-costale, la portion claviculaire étant u
droit, projeté en avant. Les côtes forment une légère saillie à la
partie
droite, un peu en dehors du sternum ; la tête e
lon net. Mais si les os ne sont pas soudés, il n'en pas de même des
parties
muqueuse et musculeuse. Le voile du palais et l
l'humérus, on remarque que cet os est très notablement élargi à sa
partie
supérieure. Le canal médullaire semble plus large
l'olécrâne. Le point céphalique du radius est soudé, mais toute la
partie
supérieure de l'os présente de la raréfaction o
té antérieure de tout le corps du radius, nettement accusée. A la
partie
inférieure de l'avant-bras on remarque un retard
ux. Il mesurait 1 m. 27 de taille,pesait 32 kilos ; les différentes
parties
du corps étaient bien proportionnées et à un ex
ne bande radiculaire, occupant le territoire de CI, surtout dans sa
partie
posté- rieure, au niveau de laquelle la sensibi
aux trois modes. ) 2GG RAYMOND ET LJONNE }' moins touchée qu'à la
partie
supérieure du thorax, mais il est impossible do
ment dans toute la hauteur de la moelle cervicale et peut-être à la
partie
supé- rieure de la moelle dorsale ; aucun phéno
néanmoins on constate que la colonne dorsale, surtout au niveau des
parties
les plus saillantes, est notablement plus opaqu
alie peut être d'origine osseuse ou bien due à l'hyper- trophie des
parties
molles ou encore reconnaître pour origine un proc
o- mégalie est néanmoins surtout due à l'augmentation de volume des
parties
molles, sans que la peau paraisse prendre une t
ent moyen, soit calleux. Il en résulte que, la tumeur obstruant une
partie
de la F. S. a poussé en avant et en arrière le
t à fait analogue dans la région occipitale ; un peu dilaté dans la
partie
frontale, il est normal au carrefour. Fig. 2. V
petites ; il y en a entr'autres toute une série de fraîches dans la
partie
médiane de Th. opt. Les fibres nerveuses de l'é
s l'écorce et les masses grises. Elles se sont produites en majeure
partie
après que tous les moyens de créer de la place,
nsité de ces altérations du tissu cérébral, car elles sont en bonne
partie
irréparables. 4° Toute explication me manque po
n d'un tiers plus gros que la normale ; elle reçoit au niveau de la
partie
moyenne du bras, perpendiculairement à son traj
veines satellites. L'artère et les veines passent, au niveau de la
partie
moyenne du bras, à la face profonde d'un faisceau
ndue du bras, le nerf est franchement en dedans des vaisseaux. A la
partie
infé- rieure du bras, au voisinage de l'expansi
usionnent en- suite, mais ne s'unissent au reste du muscle, qu'à la
partie
toute inférieure du bras, alors que le tendon e
perfore bientôt d'arrière en avant et devient superficielle dès la
partie
toute supérieure de la face antérieure de l'avant
en dehors, vers le bord interne de ce qui représente la main ; à sa
partie
inférieure, il se termine par un tendon (le, fi
rameau du mé- dian. Cette formation musculaire (k) représente la
partie
superficielle du pronato- flexor mass dont parl
a de la face inférieure de l'apophyse coronoïde du cubitus et de la
partie
de la face antérieure du corps du cubitus immédia
l'autre faisceau musculaire (c), fort mince, mais étalé, part de la
partie
moyenne de la face interne du corps du cubitus,
corps du cubitus, et oblique en bas et en dehors, et se perd sur la
partie
inférieure de la face antérieure du cubitus, pr
près de l'épiphyse inférieure. Ces deux faisceaux représentent une
partie
de la couche profonde du pronato-flexormass. Il
l innerve les deux faisceaux musculaires internes profonds ; dès la
partie
moyenne de la face antérieure de l'avant-bras,
fig. 9) est visiblement un chef du long supinateur dédoublé ; à sa
partie
inférieure ce muscle large conserve son dédoublem
nférieure ce muscle large conserve son dédoublement au niveau de sa
partie
tendineuse (fig. 6) : un faisceau solide, en form
g. 6) : un faisceau solide, en forme de gros cordon, s'attache à la
partie
inférieure de la face externe du corps du radius,
nvexe d'une arcade fibro-tendineuse épicondylo- radiale ; mais à sa
partie
inférieure, ce muscle s'attache très fortement pa
tendon cordiforme au bord postérieur du radius demeuré saillant à sa
partie
inférieure contrairement à la normale ; cette i
due la gouttière qui sépare le radius du cubitus, en arrière ; à la
partie
inférieure, devenu tendi- neux, il passe dans l
xtenseurs, après la 5° semaine de la vie intra-uté- rine, 1 ? et te
partie
. En j, sont représentés les extenseurs communs, c
après la 5e semaine intra-utérine). Profondément par rapport à la
partie
supérieure de ces muscles, on trouve la face po
vue comparatif, ce qu'il importe d'opposer, ce sont strictement les
parties
atteintes aux parties de même nom normalement f
il importe d'opposer, ce sont strictement les parties atteintes aux
parties
de même nom normalement formées. Or il est inco
u développement de cette région du corps ; que, de même, la majeure
partie
de l'avant-bras se rap- porte à une phase du dé
de causes : 4° Une cause externe, agissant par compression sur les
parties
foetales, brides amniotiques ou cordon (Montgom
ur est la même que celle de l'humérus droit, et par une très courte
partie
anti-brachiale. La circonférence prise au milieu
dyles très bien formés, quoique n'étant articulés avec aucune autre
partie
osseuse. Le membre se terminait en un moignon h
e. Le membre se terminait en un moignon hémisphérique, portant à sa
partie
inférieure un très petit lobule, de forme arron
pectoral, petit pectoral, deltoïde, sont très bien développés. Les
parties
sont exactement dans l'état de développement où
te leur étendue ; ils vont en s'amincissant et en s'effilant à leur
partie
inférieure. L'extrémité inférieure de l'os fait s
u'au bassin. Les muscles coxo-fémoraux s'insèrent sur le tibia à la
partie
supérieure. Le grand fessier est bien développé
ia à la partie supérieure. Le grand fessier est bien développé à la
partie
externe au-dessous de la tubérosité articulaire ;
a tubérosité articulaire ; les adducteurs au même niveau, mais à la
partie
interne. Ces muscles circons- crivent une espèc
etit tubercule cutané et deux plis de la peau, dont l'un adhère aux
parties
profon- des. Le mamelon offre lui-même latérale
ement au-des- sous de la tête (tubérosité bicipitale), l'autre à la
partie
moyenne de l'os, et qui représente les rugosité
rémité du moignon. Les muscles de la région postérieure confondent en
partie
leurs insertions inférieures avec celles des mu
de 1 millimètre dans le sens transversal. Elle est moindre dans les
parties
supérieures et n'existe plus dans la région sou
lement cervical, on en compte 42 à droite et 125 à gauche ; vers la
partie
moyenne, 97 à droite et 140 à gauche. Les vai
mais on voyait 2 petits tuber- cules cornés, paraissant adhérer aux
parties
profondes, et qui semblaient le rudiment des do
pas plus gros qu'une noisette, ne paraissent constitués que par des
parties
molles ; cependant on sent profondément une sorte
ficiel, représente le long supinateur et s'insère inférieurement à la
partie
inférieure de l'os externe qui remplace le radi
langette de l'index se déjette en dedans et vient se fondre avec la
partie
osseuse voisine. Membre supérieur gauche : ici
en du fléchisseur. Cette masse musculaire, plus grêle, se fixe à la
partie
inférieure de l'apophyse coro- noïde. A peine n
ne deux chefs descendant pa- rallèlement au grand palmaire, vers la
partie
inférieure de l'avant-bras : l'ex- terne se jet
le précédent. Ce petit tendon phalangien va de la 1 ? phalange à la
partie
supérieure de la dernière. De cette disposition r
ésentant l'aponévrose jambière et va ainsi se fixer au niveau de la
partie
moyenne de la face externe du long cartilage qu
en un tendon aplati ; le soléaire est atrophié ; il s'attache à la
partie
supérieure et externe de la face postérieure du
é- mité inférieure du tibia cartilagineux, et vient s'attacher à la
partie
la plus élevée d'un petit cartilage mobile sur
inférieure du tibia, et se portent obliquement sous la peau, de la
partie
ex- terne du tibia jusqu'à l'extrémité antérieu
on sur le fascia lata très apparent, et se fixe avec ce fascia à la
partie
externe de l'extré- mité supérieure du tibia.
oit du demi-membraneux un faisceau musculaire effilé qui part de la
partie
moyenne de la cuisse; le jumeau externe, 3 fois p
t le soléaire et le poplité réunis. Elles se fixent, en effet, à la
partie
postérieure du condyle et au tibia et se perden
ormal. Le trapézoïde ne s'articule en bas, par anomalie, qu'avec la
partie
externe du 2" métacarpien. ' . Le grand os an
en dedans au 3e os anormal. Sa face antérieure est divisée en deux
parties
égales par un sillon qui ne comprend que les 2/
internes sont à peu près formés. Pas de surface articulaire à la
partie
inférieure des tibias. Rotules cartilagi- neuse
neuses. Les ligaments latéraux externes des genoux se fixent à la
partie
postérieure des plateaux des tibias. Au-desso
minence convexe ressemblant à la petite tête du cubitus, ayant à sa
partie
antérieure un bord tranchant et recourbé vers l
n centre et un peu en arrière par une petite apophyse styloïde. Les
parties
cartilagineuses et ligamenteuses de l'articulat
e différence dans ce tronçon de bras que leur petitesse. Ceux de la
partie
interne et antérieure, et externe et postérieur
s, très grêles, ne variaient pas dans leurs attaches, tandis que la
partie
inférieure qui était très peu charnue, formait
ranchant et recourbé de l'extrémité inférieure de l'humé- rus. A la
partie
externe et postérieure, je n'ai trouvé que la par
umé- rus. A la partie externe et postérieure, je n'ai trouvé que la
partie
moyenne du triceps brachial qui était très minc
ïde dont j'ai parlé et qui se joignait avec le plan tendineux de la
partie
inférieure du biceps. 316 KLIPPEL ET BOUCUET
n cinq petites branches : les deux premières vont se perdre sur les
parties
molles qui tapissent la partie antérieure et laté
ux premières vont se perdre sur les parties molles qui tapissent la
partie
antérieure et latérale de la poitrine, les deux
ui paraît être la continuation du tronc, descend tout le long de la
partie
postérieure de l'union du grand pectoral avec le
l'union du grand pectoral avec le deltoïde et se distribue dans les
parties
molles qui environnent le tronçon d'humérus. Ap
que trois cordons nerveux assez distincts. Le ter se portait vers la
partie
anté- rieure du creux de l'aisselle pour se per
partie anté- rieure du creux de l'aisselle pour se perdre dans les
parties
molles qui avoisi- nent cette région. Le second
. Le second descendait obliquement en dehors en passant derrière la
partie
supérieure du faisceau coracoïdien du biceps, pou
donné quel- ques filets nerveux à ce muscle, il le perçait vers la
partie
moyenne et ex- terne, pour se perdre ensuite su
u tronçon. Le 3e cordon, peu après sa séparation se portait vers la
partie
interne de l'articulation, où il donnait quelqu
il donnait quelques filets, après quoi il descendait le long de la
partie
interne, caché par le tendon du grand pectoral,
erne, caché par le tendon du grand pectoral, et se perdait dans les
parties
molles de la région interne et antérieure de ce
n aspect. A 5 centimètres de l'extrémité du moignon, couchée sur la
partie
externe, se trouvait une petite saillie aplatie
s d'une main rudimentaire ; à la palpation on la sentait reliée aux
parties
pro- fondes par un pédicule de consistance fibr
mme un rudiment de squelette. L'examen microscopique de ces mêmes
parties
permet de constater que ces bourgeons sont form
se termi- nent brusquement après une longueur de 4 centimètres. Les
parties
molles qui les recouvrent forment un moignon co
isse ou jarret. Le talon forme un moignon qui vient se reposer sur la
partie
moyenne du bord interne de la cuisse. Le talon
race de jambe ; près de l'extrémité libre du membre incomplet, à la
partie
postérieure, se détache perpendiculairement à l'a
t unies entre elles par des capsules articulaires épaissies sur les
parties
latérales ; elles se terminent d'ailleurs par d
. Outre la diminution de lon- gueur de l'avant-bras, la largeur, la
partie
terminale,est notablement diminuée.. Dissection
te; 2° un plan fibreux aponévrotique sur lequel vient s'insérer une
partie
des fibres tendineuses des muscles de l'avant-b
érique DES TISSUS 323 Cubitus et radius gauche présentent dans leur
partie
supérieure et leur dia- physe leurs détails ana
veloppé ; son insertion in- férieure descend jusqu'au-dessous de la
partie
moyenne de l'avant-bras (le rapport du bras de
nc modifié). Grand palmaire. Son tendon grêle semble s'insérer à la
partie
externe du massif osseux du moignon ; mais on p
almaire. Tendon très grêle allant se perdre sur l'aponévrose- de la
partie
antérieure de l'avant-bras. Cubital antérieur.
s'épanouit rapidement pour aller se perdre dans l'aponévrose de la
partie
interne et inférieure de l'avant-bras ; il ne pre
ois ordres de fibres tendineuses : 1° les supérieures s'insèrent à la
partie
moyenne de la face antérieure du massif osseux
xième radial externe. Leur tendon contourne le radius et passe à la
partie
postérieure dans la double gouttière ostéo-fibreu
Extenseur propre du petit doigt. S'insère par un tendon grêle à la
partie
la plus interne de la face postérieure de l'os
trois ordres d'insertions : 1° fibres pro- fondes, s'insérant à la
partie
supérieure de la face postérieure du massif oss
os- térieure des tendons des deux radiaux pour venir s'insérer à la
partie
[la [plus externe de la face antérieure de l'os
se perd en suivant le tendon du long supinateur dans la peau de la
partie
antérieure du moignon. Il nous a été impossible
as que le radius. La main est un moignon in- forme présentant, à sa
partie
inférieure, un petit appendice digitiforme aminci
ieure, un petit appendice digitiforme aminci à sa base, renflé à sa
partie
terminale et pourvu d'uu ongle; il semble corres-
s'articule manifestement avec le carpe. Ainsi, dans la plus grande
partie
de son trajet, le cubitus est resté fibreux ou ca
bre se terminait par un moignon au bout duquel on aperce- vait à la
partie
inférieure un rudiment de main constitué par cinq
ait des ongles. Au palper, dans ces tubercules, il n'y avait pas de
parties
osseuses. Le moignon d'avant-bras était très coni
était très conique ; il allait en s'effilant ; à la palpation de sa
partie
terminale on percevoit très nettement les extré
nt fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les
parties
molles du bras se réflé- chissent sur l'avant-b
t les doigts forment comme un Z allongé ; deux doigts paraissent en
partie
fusionnés." Les radiographies montrent un seul
ations ; ainsi il est à peu près aussi épais, sinon plus épais à sa
partie
supérieure qu'à l'inférieure ; mais dans sa par
plus épais à sa partie supérieure qu'à l'inférieure ; mais dans sa
partie
supérieure il présente une tubérosité qui corresp
l'os de l'avant-bras est d'un volume plus petit, s'articule avec la
partie
interne de l'extrémité humérale, en se mettant
de l'extrémité humérale, en se mettant eu contact avec elle par sa
partie
externe. Le carpe est réduit à un seul os qui n
t au scaphoïde. Les doigts sont au nombre de deux, mais ils sont en
partie
soudés. L'os qui s'ar- ticule avec la tête du m
dans s'en détache à angle droit une apophyse qui représenterait une
partie
de la lro phalange de l'autre doigt, notablement
hiée aussi. Elle s'articule à angle droit sur le côté externe de la
partie
libre de la ira phalange, de sorte que son axe
en dedans, son corps très volumineux pour sa longueur présente à sa
partie
moyenne une grosse tubérosité saillante sur sa
; il s'épaissit peu de haut en bas, et présente une tubérosité à sa
partie
moyenne. Son ex- trémité supérieure est remonté
ation et de supination existent. Le cubitus et le radius séparés la
partie
supérieure de l'avant-bras se fusionnent en bas
interne, mais directement de bout, on constate qu'il présente à sa
partie
inférieure une petite fossette, centre de conve
uvre le crochet humera ! , formant un rudiment d'avant-bras. A la
partie
supéro-interne de ce moignon et à son extrémité,
surmonté en dehors d'un corps charnu mal diffé- rencié, longé à sa
partie
externe par le médian et l'artère humérale que bo
ement sur la coque fibreuse qui entoure le moignon ter- minal. A la
partie
postérieure du bras, il est impossible de différe
ras, il est impossible de différencier un faisceau musculaire; à la
partie
inférieure seulement un tendon assez net vient
dère individuellement les faisceaux, car l'a- trophie totale est en
partie
masquée par une hyperplasie du tissu interstitiel
e deux tendons pour le lie et le 58 ; ce dernier est double sur une
partie
de son trajet. Le sujet est mort de perforati
atteints entrèrent à l'hôpital avant la capitulation. La première
partie
du siège donne 1 malade, la seconde 5. Dans deux
, de l'armée de terre et de mer. Les malades passaient une grande
partie
de la journée sur le pont, où les convalescents
s : d'abord, le cervelet n'est pas, incontestablement du moins, une
partie
du cerveau ; ensuite, nous ne savons pas grand'
tômes cliniques de la sénilité cérébrale ; que les vertiges en font
partie
, que la marche à « petits pas », caractéristique
X, fig. 1)nous avons placé un fragment de foliole dont les diverses
parties
sont le siège d'une sclérose atrophique (1) CAJ
certain, c'est que dans la préparation il se détache nettement des
parties
voisines à peu près intactes ; on re- marquera
est considérablement épaissie. Et les fibres radiées, qui dans les
parties
saines se rencontrent de loin en loin,sont ici tr
seset lacunai- res sont susceptibles de se réaliser dans toutes les
parties
du cervelet. Cependant elles ont une tendance t
très friable et très amincie dans sa totalité, sauf au niveau de la
partie
médiane de la région frontale. Au niveau de la
ineuse, qui occupe la région des lobules pariétaux supérieurs et la
partie
adjacente de la faux du cerveau. Cette tumeur a
s les pédoncules cérébraux. 2" Dans la protubérance annulaire et la
partie
toute supérieure du bulbe, la calotte présente
sente des lacunes de désintégration nombreuses et minimes sauf à la
partie
moyenne de la protubérance où la calotte est pres
e les fibres les plus postérieures de la voie py- ramidale. Dans la
partie
moyenne et inférieure du bulbe, on ne trouve plus
line, surtout dans les faisceaux pyramidaux croisés, mais aussi de la
partie
cen- trale des cordons postérieurs. Ces lésio
s chez des sujets qui ne travaillent pas manuellement ; parfois les
parties
latérales des doigts sont atteintes et, engainé
iromégalie parait donc seulement due à l'augmentation de volume des
parties
molles, sans aucune participation du squelette.
r endroits par l'épithélium épendymaire ; il réapparaît normal à la
partie
inférieure de la moelle dorsale. La paroi de la
entou- rées par une membrane conjonctive plissée. Au niveau de la
partie
postérieure de la cavité, et dans son intérieur,
ment d'ailleurs au niveau de C. Il c'est-à-dire, bien au-dessus de la
partie
supérieure delà cavité.'Nous n'avons pas consta
- qu'au niveau du IVe segment. Là, la corne postérieure droite a en
partie
disparu; plus bas, les deux cornes sont atteint
nt dégénérés, aussi bien Goll 1 que Burdach, seule est respectée la
partie
la plus externe de ce dernier cordon. Au niveau
ons sous-jacentes la cavité dé- truit les cornes postérieures et en
partie
les cornes antérieures. La cavité disparaît au
n- dants frontaux) ; et par le nerf frontal interne à la peau de la
partie
in- terne de la paupière supérieure (filets des
terne de la paupière supérieure (filets descendants), à la peau de la
partie
médiane du front (filets ascendants), à la peau
(1) : série de trois ecchymoses, l'une très vaste couvrant toute la
partie
antéro-interne de la jambe avec maximum au niveau
c maximum au niveau du creux poplité ; une 2e au côté externe de la
partie
moyenne de la cuisse ; la 3e sur la fesse droit
e péro- nièrè est rudimentaire, ce qui donne un aplatissement de la
partie
supéro- externe de la jambe. Le genou ne possèd
: la gauche est la mieux conformée des deux (PI. LXXI), elle a ses
parties
constituti- ves, mais le lobule n'existe pour a
os normaux, atrophiés dans leur totalité ; le radius offre vers sa
partie
moyenne une crête qui représente les rugosités
éveloppement, ce qui manquera, ce sera la racine du membre, dont la
partie
terminale e se retrouvera, au contraire, plus o
tacle à la circula- 398 KLIPPEL ET BOUCHET lion sanguine dans une
partie
du membre. C'est par ce mécanisme que se produi
carpe et de la main ce processus d'atrophie puisse être tel que les
parties
sque- lettiques soient absentes et les doigts r
ne voit dans ces excroissances que la reproduction rudimentaire des
parties
mutilées. « Les résultais fournis par la dissec
uel- ques difficultés d'interprétation, puisqu'il est admis que les
parties
péri- phériques des membres sont celles qui se
ommune, représentant le carpe, et termi- née par des tubercules, en
partie
cartilagineux, qui paraissent des rudi- ments d
Hémiméles proprement dits, où l'avant-bras manque en totalité ou en
partie
, la main peut manquer également ou bien n'être re
main peut manquer également ou bien n'être représentée que par une
partie
des doigts ou par des vestiges plus ou moins rudi
par absence de la tige ou rayon cubital. Dans la variété- type, la
partie
radiale de la main, 1er métacarpien et pouce exis
urs d'entre eux manquent en même temps que le cubitus et une grande
partie
du carpe et du métacarpe. 7) Hémimèles par abse
toutefois (Brun et Chaillous) opposé à cette opinion des cas où les
parties
existantes étaient assez complètement formées pou
veloppement des bour- geons embryonnaires qui devaient produire les
parties
avortées, tandis que des parties voisines, écha
onnaires qui devaient produire les parties avortées, tandis que des
parties
voisines, échappant à l'action de la compression,
et Chabry, en détruisant expérimentalement par des traumatismes des
parties
de l'ovule au moment de sa segmentation, ont pr
nexes de l'embryon ; elles peuvent être produites notamment par des
parties
de l'embryon serrées les unes contre les autres ;
ssent nulles encore et où il ne se trouve pas en connexion avec les
parties
périphériques. . Dans notre cas, il existerait,
û produire non seulement l'arrêt de développement du cubitus et des
parties
correspondantes de la main, mais encore une dév
tion dans le dévelop- pement donnant naissance à ces deux doigts en
partie
syndactyles et fu- sionnés. Quelle est la natur
on inférieure complexe que nous lui trouvons ici, d'une part sur la
partie
inférieure de la diaphyse radiale, et d'autre p
rès la troisième semaine : Formation de cellules musculaires sur la
partie
centrale du myotome. Après la quatrième semaine
. i) Brachial antérieur. j) Pronato-flexor mass de l'avant-bras :
partie
supérieure, plus petite, compacte à l'extrémité
compacte à l'extrémité proximale de l'avant-bras, se continue à sa
partie
distale, avec le tissu condensé des doigts. don
ieur, petit pal- maire fléchisseur commun superficiel des doigts.
Partie
profonde : Masse, fléchisseur commun profond des
u côté radial de l'avant-bras. Longe le radius et se divise en deux
parties
[entre lesquelles passe le ra- dial ; a) 1r°
vise en deux parties [entre lesquelles passe le ra- dial ; a) 1r°
partie
, radiale, se continue avec du tissu condensé de l
ndensé de l'extrémité distale du radius : long supinateur. (3) 2°
partie
, passe près du 3" groupe et se fusionne aiec le t
ils sont représentés par un seul muscle qui s'insère en bas sur la
partie
inférieure du radius ; le pouce n'est en effet
non clivés, dès le début de leur apparition, mais sont, tant à leur
partie
musculaire qu'à leur partie distale, fibreuse, sé
leur apparition, mais sont, tant à leur partie musculaire qu'à leur
partie
distale, fibreuse, séparés des muscles des autr
, fibreuse, séparés des muscles des autres doigts ; ceux-ci ont une
partie
fibro-tendineuse com- mune ; les muscles longs
a chronologie qui, à l'état normal, préside au développemeut de ces
parties
respectives. C. - Examen likistalogique. L'ex
tion chez l'homme, el chez les animaux. 1836, t. II, p. 214-227, 111*
partie
. GASNE. - Un cas d'hémimélie chez un fils de sy
ils recouvrent presque en totalité jusqu'au pubis. Mesurées dans la
partie
qui présente le plus grand développement, elles
ture ; elle était blanche, douce au toucher, souple, mobile sur les
parties
sous-jacentes ; elle offrait, en un mot, tous les
ppement graduel et proportionnel à celui de la glande et des autres
parties
du sein ; aussi n'est-elle ni épaissie et hyper
r le champ. Le premier lambeau ayant été soigneusement disséqué, la
partie
centrale du pédicule a pu se séparer aisément de
t volume. Les éléments glandulaires ne constituent pas la trentième
partie
de la tumeur, au moins dans les fragments qui m
t été retirés. Le tableau n'est pas signé, mais le cadre porte à sa
partie
supérieure un 424 4 IIAXN ET WICKERSHEIMER ca
e chute sur la tête et qui conservait une dépression crânienne à la
partie
inférieure du pariétal. En 1901. Jumpolski (3)
nte, les deux cinquièmes de la pariétale ascendante, la plus grande
partie
du lobule du pli courbe, le pied des circonvolu
surtout, mais non exclusivement, le système nerveux central dans sa
partie
motrice. C'est encore à une lésion pyramidale que
rrées les unes contre les autres. Tronc : saillie du sternum à la
partie
supérieure; dépression thoracique en entonnoir
LE ÉPILEPTIQUE 429 et régulière quant à ses parois. Elle s'étend la
partie
supérieure de l'hémi- sphère droit, commençant
forme une crête mousse qui va se perdre en arrière au niveau de la
partie
postéro-supérieure du vermis supérieur du cerve
n formant un épaississement d'environ 4 à 5 millimètres. Quant à la
partie
inférieure de la cavité, elle est tapissée par
u vas- culaires, ainsi du reste que les parois de la cavité dans sa
partie
antérieure. . A l'union du tiers antérieur et d
ts de ce genre. LE TOPOGRAPHE CÉRÉBRAL APPAREIL DE PROJECTION DES
PARTIES
DU CERVEAU SUR LA SURFACE DU CRANE PAR . G.
cherches encé- phalométriques, de noter sur la surface du crâne, la
partie
sous-jacente du cerveau. Le professeur Zernoff
x sexes et de tout index crânien, avec la caractéristique de chaque
partie
du cerveau en degrés de longitude et de latitud
. Zernoff. L'encéphalométre,appareil pour déterminer la situation des
parties
du cerveau chez un homme vivant. Moscou. Séance
diquer à la surface de l'encéphale une circonvolution ou une de ses
parties
, correspondant à une partie quelconque. Et il ne
phale une circonvolution ou une de ses parties, correspondant à une
partie
quelconque. Et il ne s'est fait aucune trépanat
ennes (2). Un hémisphère de ce genre représentera la projection des
parties
du crâne et du cerveau ci-dessus mentionnées su
i construit il restait encore à trouver le moyen de transporter une
partie
quelconque de cette carte sur la .surface du crân
ssin de la carte demandée. 436 ROSSOLIMO . - , B) Déterminer la
partie
de la surface de l'encéphale qui correspond à .
rminer la partie de la surface de l'encéphale qui correspond à .une
partie
donnée du crâne : en mettant l'appareil sur la tê
l'appareil sur la tête, on amène la goupille indicatrice jusqu'à la
partie
intéressée de la surface de la tète (exostose,
ubitus à gauche et à droite, arrêt de développement qui explique en
partie
tout au moius les petites dimensions de l'avant
x côtes, au sternum, au bassin ; au contraire, au fémur droit, à la
partie
moyenne, on palpe une saillie bosselée, très dure
bosselée, très dure, mais qu'on ne peut pas déplacer ; l'os dans sa
partie
inférieure est très gros et irré- gulier. Le ti
t irré- gulier. Le tibia droit aussi est gros et irrégulier dans sa
partie
supérieure. On obtient le même résultat si l'on
driceps ; seul le vaste interne est légèrement excitable ; les autres
parties
sont hypoexcitables. L'hypo-excitabilité des au
de la croissance, de la dentition, de la coagulation du sang et en
partie
du système pileux, la constipation dans l'insuf
e ; car, je ne dis pas : il a guéri ; mais il s'est guéri. PREMIÈRE
PARTIE
. OBSERVATION 1S décembre 1902. Taurone à 39 ans
ur le miroir est tracée une ligne verticale qui doit couper en deux
parties
égales l'image de la face, et une ligne horizonta
ement par les conseils et les prescriptions nécessaires. DEUXIÈME
PARTIE
. - AUTO-OBSERVATION Se conformant à ce qui lui
ui permettra d'apprécier le mieux sa mentalité ? Dans cette seconde
partie
, je ferai suivre chaque bulletin du malade de r
er quelque immobilisation, passant ainsi devant la glace la majeure
partie
de ma journée. 3° Je me demande si je n'abuse p
'y produisent pendant cette période de crise lui fassent perdre une
partie
de son efficacité, enfin si le miroir, dans une c
atin à 9 heures, l'autre le soir à 4 heures ; je réussis en majeure
partie
le matin surtout les mouvements assis ; mais je
vent au moment des contractions, le point d'appui se prenant sur la
partie
postérieure de la nuque. Assurément, le sterno-
ion au centre est réellement t bonne. Les rotations sont en majeure
partie
satisfaisantes ; à signaler seule- ment que les
que j'éprouve lorsque un contact inattendu vient à en atteindre une
partie
quelconque. Le séjour dans la montagne où je me
soir, une heure en- viron après m'être couché et repose la majeure
partie
de la nuit; les contrac- tions reparaissent aus
de contracture, le côté gauche de la nuque presse violemment sur la
partie
voisine du trapèze et toute la région de ce côt
e, un point de l'épine dorsale à la base de l'attache du cou, et la
partie
interne de l'omoplate. Il y a dans tout cela quel
de contraction légère, non voulue, tantôt la joue gauche, tantôt la
partie
dorsale des trapèzes, tantôt les mollets, tantô
e le noyau de l'oculomoteur du même côté et plus spécialement de la
partie
inférieure était atrophié de telle façon que le n
clut de ces chiffres que le facial su- périeur tire son origine des
parties
inférieures du noyau de l'oculo-mo- teur du mêm
s de paralysie faciale on voit que les auteurs ne parlent pas de la
partie
dorsale du noyau de la IIIe paire. Dans le cas
ein du faisceau longitudinal postérieur, considérant, cependant, la
partie
plus proximale de ce noyau comme étant en rappo
er cetle affirmation avec celle de Mendel, en admettant que dans la
partie
dystale du noyau de la IIIe paire, située dans
numère le lerator palpebrae superioris) peuvent dépendre de la même
partie
de la chaîne cellulaire, précise suf- fisamment
à la Science française. BoURNEVILLE. 14 Juillet 1892. PREMIÈRE
PARTIE
Des troubles trophiques consécutifs aux maladie
moelle ne produisent pas directement de troubles trophiques dans les
parties
périphériques : expé-riences qui le démontrent. —
être assez heureux pour voir bientôt ce plan réalisé dans toutes ses
parties
. Mais si, des circonstances que rien ne fait prés
ons de l'axe cérébro-spinal retentissent fréquemment sur les diverses
parties
du corps et y déterminent, par la voie des nerfs,
sous certaines influences morbides, des lésions de nutrition dans les
parties
extérieures du corps ou dans les viscères n'est p
fs qui s'y rendent, ou la destruction même de la moelle épinière, les
parties
périphériques, telles que les muscles, les os d'u
. En pareil cas, c'est seulement à la longue que suryiennent dans ces
parties
des lésions nutritives. Ces lésions, d'ailleurs,
ent passives, sont vraisemblablement dues à l'inaction à laquelle les
parties
sont condamnées, par suite de la suppression de t
nerfs n'ont pas d'influence directe, im-médiate, sur la nutrition des
parties
périphériques. 1° Une des premières est relativ
récentes de Buttner (1862), aux effets de l'anesthésie qui expose les
parties
frappées d'insensibi-lité à l'action de causes tr
ct des urines altérées, ainsi que des matières fécales auxquelles ces
parties
sont exposées. Les membres postérieurs d'un jeu
imal sain (I). Chez des mammifères ou chez des grenouilles, dont la
partie
postérieure de la moelle a été détruite,on peut v
ui ont subi la section transver-sale complète ou la destruction d'une
partie
de la moelle épi-nière, on peut voir se former, p
r la section complète des nerfs périphériques ou la destruction d'une
partie
de la moelle épi-nière ne provoque pas, dans les
x sont capables de déterminer des troubles trophiques variés dans les
parties
auxquelles il se distribuent, sont, nous l'avons
ulcérations, tantôt un ulcère unique, de forme ovalaire qui occupe la
partie
moyenne de cette membrane. Dans un cas, il s'étai
eneuro-paralytique les eût précédées. L'autopsie fit constater que la
partie
médiane (interne) du trijumeau avait seule été in
. — La conjonctive de l'œil droit était injectée ; la cornée, dans sa
partie
la plus inférieure, pré-sentait une ulcération hy
les des nerfs déterminer l'apparition de troubles trophiques dans les
parties
périphériques. Nous rap-pellerons cependant, à ti
es résultats négatifs. Ne peut-on pas se rendre compte, du moins en
partie
,de cette contradiction singulière, de la manière
se portion du trijumeau, il n'y avait pas eu paralysie complète de la
partie
sensible du nerf, car la. surface tout entière du
partielles de la moelle épinière, en ce qui concerne la nutrition des
parties
privées de sentiment et de mouvement par le fait
s-nous, ces opérations n'ont pas pour résultat de provo-quer dans les
parties
lésées de la moelle un travail d'inflamma-tion, —
ner veux n'a pas d'influence directe, immédiate, sur la nutrition des
parties
périphériques ; d'un autre côté, ils rendentau mo
isme cette irritation du sys-tème nerveux vient-elle retentir sur les
parties
périphériques et y déterminer ces lésions trophiq
moelle épinière et du bulbe ; 3° enfin, par des lésions de certaines
parties
de l'encéphale. troubles trophiques consécutifs
rapidement et reparais-sent de temps à autre sur divers points de la
partie
des tégu-ments, correspondant à la distribution d
n 1851, avait pendant, les affaires de juin 1848, reçu une balle à la
partie
inférieure et externe de la cuise. Quelque temps
lomb à lièvre de son fusil, à la face interne du bras gauche, vers la
partie
moyenne. Au fond de la plaie, qui était large de
, mais environ deux mois et demi ou trois mois après, il survint à la
partie
postérieure et interne de l'a-vant-bras une érupt
cupant une surface de quatre à cinq centimètres de diamètre, dans une
partie
de l'avant-bras privée de sen-sibilité. » Les exe
t consécutive à la lésion des filets nerveux qui se distribuent à ces
parties
, (OEuv. compl,, t. vin, p. 171), 3° Nous citero
e leur côté, souvent d'une manière très rapide, et perdent, tantôt en
partie
, tantôt complètement, leur contractilité électriq
-traste avec ce que nous savons des lésions qui surviennent, dans les
parties
éloignées, à la suite de la section complète des
ée, inévitable, de toute lésion de îerfs qui soustrait absolument les
parties
à l'influence du sys-tème nerveux. Quoi qu'il e
s traitements. La flexion du poignet, faite de manière à relâcher les
parties
molles de la face palmaire et à faire cesser, par
é M. Von Baerensprung, l'apparition d'une érup-tion de zona, sui' les
parties
de la peau correspondant à la, distribution des n
s derniers temps de sa vie, une éruption de zona qui siégeait sur les
parties
correspondant aux neuvième et dixième nerfs inter
chidiens, dans leur trajet à travers les méninges, provoquer dans les
parties
périphéri-ques, outre une atrophie plus ou moins
ales aux bras, dans les cas de méningo-névrite spinale localisée à la
partie
inférieure de la région cervicale. L'érythème,
tensité, on peut, vous le savez, observer quel-quefois la perte d'une
partie
d'un membre. Celle-ci survient sou-vent sans doul
ppliquées à l'étude des mo-difications que peuvent subir les diverses
parties
d'un membre sous l'in-fluence de l'inertie foncti
nt très vraisemblable que le phénomène dont il s'agitest, au moins en
partie
, le résul-tat d'un changementquelconque survenu d
. — Mitchell, loc. cit., p. 134 — Polet, Élude sur la température des
parties
paralysées. Paris, 18G7, p, 7. au point de vue
ge des points soumis à l'écrasement, mais bien toute la longueurde la
partie
périphérique du nerf lésé, est mise hors de doute
pouvoir de produire à distance des troubles tro-phiques dans diverses
parties
du corps. Dans l'exposé de ces altérations conséc
aque L'atrophie musculaire était uniformément répandue sur toutes les
parties
des membres paralysés ; elle s'accompagnait d'une
où la lésion bien que circonscrite aux cordons blancs, occuperait la
partie
de ces cordons que traversent les faisceaux de tu
s où un foyer de myélite, même très circonscrit, occuperait certaines
parties
du renfle-ment cervical ou du renflement lombaire
des troubles fonctionnels et par des modifications dans la forme des
parties
qui ne resteraient pas longtemps inaperçues. ¦
tout dans l'axe gris, qu'il envahit assez sou-vent dans laplus grande
partie
de sa longueur. Lorsqu'il en est ainsi, la diminu
s lésions dé la névroglie se montrent beaucoup plus accusées vers les
parties
centrales d'un agrégat de cellules nerveuses, que
es parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses, que dans les
parties
périphériques, beaucoup plus accentuées également
utre côté, que l'irritation se soit originellement développée sur les
parties
périphériques et qu'elle ait remonté jusqu'aux pa
loppée sur les parties périphériques et qu'elle ait remonté jusqu'aux
parties
centrales par la voie des racines antérieures des
par les caractères suivants : les muscles de tout un membre ou d'une
partie
d'un membre sont frappés en masse, presque unifor
sciatique et releveur de l'anus du côté droit. Pendant ce temps, les
parties
correspondantes de la peau se couvrirent de très
. La cicatri-sation de la plaie, qui persista après l'élimination des
parties
sphacélées, ne fut complète qu'au bout de deux mo
ère période de l'ataxie 1. Kolliker. — Histologie humaine, première
partie
, p. 345, 340. locomotrice progressive (1). Chez
ulgurantes des ataxiques. Mais il est peu vraisembable que toutes les
parties
de ces faisceaux puissent à cet égard être mises
elle aboutit fréquemment très vite à la mortification du derme et des
parties
sous-jacentes. sanguines. Le lobe lui-même est
-là une teinte grisâtre et, en un point, on ren-contre au millieu des
parties
ramollies un épanchement sanguin du volume d'une
lle peut se développer aussi à peu près indifféremment sur toutes les
parties
du tronc ou des membres soumis dans le décubitus
s vésicules ou les bulles se flétrissent et se dessèchent sans que la
partie
du derme sur laquelle elles reposent ait présenté
u le surlendemain, les vésicules ou les bulles se développent vers la
partie
centrale de la plaque érythé-mateuse: elles renfe
es, ces bulles apparaissent souvent dans l'espace d'une nuit, sur les
parties
les plus diverses des membres inférieurs, aux gen
Deux jours après l'accident, des bulles apparurent aux pieds et à la
partie
interne des genoux, là où existe une pression réc
lésion de la vessie. Celle-ci résulte de ce que l'or-gane a perdu en
partie
le pouvoir de résister aux causes d'excitation et
aussi des modifications que subit l'urine longtemps retenue dans les
parties
les plus déclives sujet n'a guère,que je sache,
grande analogie avec celle qui nous occupe et qui peut-être dépend en
partie
de conditions analogues, a été, en France, minuti
es cas, par la formation d'eschares profondes sur tous les points des
parties
paralysées, soumises à la pression. Loc. cit. pp.
entres nerveux, sont cau-sées parle « transport dans le poumon, d'une
partie
du fluide qui baigne les eschares au siège. » L
et fétide imbibe les mé-ninges et la moelle elle-même, tantôt dans la
partie
la plus in-férieure seulement, tantôt dans toute
dans un cas d'hémiplégie consé-cutive à l'hémorrhagie cérébrale. — a,
Partie
mortifiée: — b, Zone érythé-mateuse. parties mé
rrhagie cérébrale. — a, Partie mortifiée: — b, Zone érythé-mateuse.
parties
médianes, mais bien vers le centre de. la région
l'éruption huileuse, puis la tache eccliymotique, apparaissent sur la
partie
centrale de la plaque érythémateuse, c'est-à-dire
ngent ; mais il est assez rare, en somme, l'autre à droite, vers la
partie
moyenne du pariétal. La substance cérébrale faisa
de succomba le 5. Autopsie. —Les deux hémisphères cérébraux, à leur
partie
moyenne et supé-rieure, dans les points quicorres
nir, comme élément unique, l'influence de la pression exercée sur les
parties
où il se manifeste. La pression, en effet, est ég
ques et les corps striés sont parfaitement indemnes. Au voisinage des
parties
ramollies du cerveau, la dure-mère est recouverte
reposer les malades sur le côté non paralysé, pendant la plus grande
partie
du jour, et cette précaution n'a, d'aucune façon,
es de cause cérébrale : là, il occupe la ligne médiane et s'étend aux
parties
voisines, symé-triquement, de chaque côté {Fig. 4
e partielle sié-geant à la région dorsale de la moelle épinière. — a,
Partie
mortifiée ; — b, Zone érythématheuse. est habit
érythématheuse. est habituel, lorsque les malades sont, pendant une
partie
du jour, placés de façon à reposer sur le côté, d
chute, la peau était froide, le pouls à peine perceptible. Toutes les
parties
au-dessus delà fracture étaient privées delà sens
bitus aigu de cause spinale. Lapersistance delà sensi-bilité dans les
parties
situées au-dessous delà lésion se trouve d'ailleu
e, l'infiltration purulente ou même la forma-tion d'abcès au sein des
parties
ramollies, signalées dans plu-sieurs cas. b) L'
centimètre. Deux jours après, on aperçut une eschare siégeant sur la
partie
latérale droite du sacrum et sur la fesse du même
econd jour, on note que les mus-cles du membre paralysé et ceux de la
partie
inférieure de l'abdomen du côté correspondant ne
ent pas sous l'ac-tion des excitations faradiques, tandis que sur les
parties
homologues du côté opposé, la contractilité élect
t se produirait également dans le cas où une tumeur siégeant dans les
parties
centrales de la moelle provoquerait, par sa pré-s
e de la lésion spinale. Il n'est guère vraisemblable que toutes les
parties
consti-tuantes de la moelle épinière soient aptes
ctent la peau, relèveraient de lésions irritatives occupant, soit les
parties
centrales et postérieures de la subs-tance grise,
lle,—la région cervicale, par 1. Loc. cit. p. 252. exemple, ou la
partie
supérieure de la région dorsale, —faits dans lesq
es décompression, qu'une eschare s'était développée rapidement sur la
partie
gauche, au voisinagede la région sacrée. Déplus,
j'ai pu me convaincre plu-sieurs fois que la pression exercée sur les
parties
qu'occupe l'éruption ne joue pas là un rôle essen
ouvements. Le genou, le coude, le poignet, la main, le pied, sont les
parties
les plus fréquemment affectées. Gette forme d'art
ues : « Les relations qui existent, dit-il, à l'état normal entre les
parties
constituantes du sang et les tissus vivants sont
ts à considérer : en premier lieu, une dimi-nution de la vitalité des
parties
paralysées, et en second lieu, la présence, dans
ce irritante de ces agents doit se faire sentir plus vivement sur les
parties
dont l'énergie vitale est amoindrie. A l'appui de
hémiplégie, les cartilages diarthrodiaux étaient incrustés, vers leur
partie
centrale, de dépôts d'urale de soude tantôt crist
rhumatismale. Cette subin-flammation qui survient ainsi dans diverses
parties
des membres paralysés est d'ailleurs, elle-même,
pour distendre la cavité synoviale. Les cartilages diarthrodiaux, les
parties
liga-menteuses n'ont paru jusqu'ici présenter auc
jointure. 1. Charcot, — Sur quelques arthropalhies, etc., première
partie
( Arch. de physiologie, t, I, 1878.) Elle se ma
épinière et du cerveau (suite et fin). — Affec-tions des viscères. —
Partie
théorique. Sommaire. — Hypérémies et ecchymoses
ymoses viscérales consécutives aux lésions expérimentales de diverses
parties
de l'encéphale, et à l'hémor-rhagie intra-encépha
es lésions du système nerveux ne se fait pas sentir seulement sur les
parties
périphériques : sur la peau, les os, les muscles.
s couches optiques, les corps striés, et en par-ticulier les diverses
parties
de l'isthme, que ces altérations soient le fait d
s ecchymoses qui se montrent consécutive-ment à la lésion de diverses
parties
de l'encéphale. D'un autre côté, quelques auteu
édecins ne semblent le croire. 2. Brown-Séquard. —¦ Influence d'une
partie
de la moelle épinière sur les capsules surrénales
manifestent souvent en même temps qu'elle, l'irritation de certaines
parties
du centre spinal et plus particulièrement, sans d
. 37). 2. Traube. —Munck. Berliner Klia. Wochensch., p. 19, 1864.
PARTIE
THÉORIQUE Messieurs, dans la série d'études qui
pinion très répandue — le résultat de l'absence d'action des diverses
parties
de ce système ; loin de là, ces affections se-rai
reste à déterminer d'abord par quelle voie celle-ci retentit sur les
parties
périphériques. Evidemment, ce retentissement se
re point de vue, particulièrement dignes d'intérêt. Vous savez que la
partie
ré-pondant au nerf sectionné présente une élévati
soit une accéléra-tion, soit une exagération dans l'accroissement des
parties
de la face soumises, même pendant plusieurs mois,
tion,leprocessusmorbide,déterminépar cette influence, évolue dans les
parties
hypérémiées, comme dans les condi-tions normales
l n'offre pas de caractères spéciaux, si ce n'est, toutefois, que les
parties
lésées tendent à se réparer plus promptement. A
affirme, en effet, que les altérations de nutrition naissent dans les
parties
hypérémiées 1. Brown-Séquard, — Lectures on Phy
ion de M. Schiff, l'hypérémie neuro-paralytique ne crée pas, dans les
parties
où elle siège, une disposition particulière à la
oduction des troubles trophiques : il semble même qu'au contraire ces
parties
soient rendues plus résistantes à l'action des ca
ois l'hypérémie neuro-paralytique persister pendant longtemps sur une
partie
du corps, à la face par exemple, sans qu'il s'en
e. Cette hyperthermie locale de-vrait nécessairement exister dans les
parties
où se mon-trent les lésions trophiques que nous a
brachial, observé par M. Lannelon-yue. (Etude sur lu température des
parties
paralysées. Paris, 1867, p. 7. ; 3. Ilutchinsun
on locale peut éprouver une atteinte sérieuse, parle seul fait que la
partie
se trouve soustraite à l'innervation vaso-motrice
ou; cependant, jusque-là, la nutrition n'a nullementsouffert dans les
parties
qui répondent à la distribution périphérique du n
79, t. II, 1861. 2. Leçon IIIe, p. 98. —3. Leçox IIP, p. 105. des
parties
du corps où l'innervation vaso-motrice n'estpas v
ûre pratiquée à la peau ne donne pas même une goutte de sang (1). Les
parties
dans lesquelles le spasme vasculaire entrave ains
nt il détermine la dilatation, il exerce une action immédiate sur les
parties
de la glande qui accomplissent le phénomène chimi
s propriétés serait de porter le trouble dans la nutrition intime des
parties
innervées et d'y provoquer, à l'occasion, le déve
t nombreux, ainsi que vous l'avez vu, où une lésion siégeant dans les
parties
centrales de la moelle épinière, ou même dans l'e
ns l'encéphale, provoque l'apparition de troubles trophiques dans les
parties
périphériques. Il faudrait aussi tenir grand co
d. 44, et A. Biesadecki. — Stri-cker's Handbuch, p. 595. » DEUXIÈME
PARTIE
Paralysie agitante et sclérose en plaques dissé
se lever de leur siège pour marcher. Dans ce dernier cas, toutes les
parties
du corps peuvent être ébranlées par des secousses
s ou couchées, offrent l'attitude la plus naturelle ; les différentes
parties
de leur corps ne sont aucunement agitées, et si v
ps entier, soitpourcon- 1. Gazette des hôpitaux, 1868. server aux
parties
leur atf i Lucie naturelles^ 1 ). Ici, les contra
iminution n'est pas réelle. Cette impuissance motrice paraît tenir en
partie
, nous le verrons, à la rigidité dont les muscles
roche — non sans observer dans sa pro-gression certaines règles — les
parties
jusque-là demeurées indemnes. Si, par exemple, il
oit parfois les oscillations ryth-miques et involontaires de diverses
parties
de la main rappeler l'image de certains mouvement
semble normale ; mais si on l'examine à la loupe, on y distingue des
parties
plus ac-cusées, plus larges que d'autres. Plus ta
st souvent remplie de salive, el Perd... attribue à ce phé-nomène une
partie
do sa difficulté à s'exprimer [13.;. inclinée e
-tante ne pas donner lieu pourtant à une accumulation de cha-leur des
parties
centrales. Il s'agit là de contractions musculair
lente localisée sur le parcours des nerfs de la jambe et du pied. Ces
parties
furent prises les premières du tremblement. Cette
ent recommandé l'injection hypodermique d'une solution composée d'une
partie
d'arsenic de potasse et de deux parties d'eau (Be
d'une solution composée d'une partie d'arsenic de potasse et de deux
parties
d'eau (Berliner Klin. Wochensck., nov. 1872). Ce
entoutcas, nettement circonscrites et qui tran-chent vivement sur les
parties
voisines (Voy. Planches V et VI). Tantôt discrè
des circonvolu-tions. 11 n'en est plus de même en ce qui concerne lés
parties
centrales. En effeL, nous trouvons des plaques su
s et comme turgescentes ; d'autres fois,elles sont de niveau avec les
parties
avoisinantes'; enfin, elles sont par-fois déprimé
ible gros-sissement. Sur les préparations comme sur la planche, les
parties
qui appartiennent à la substance blanche de la mo
t de la section des tubes nerveux, lesquels tubes sont là, dans cette
partie
de la moelle, disposés pour la plupart suivant le
. En étudiant ce mode de répartition et d'agencement sur les diverses
parties
de la coupe, vous reconnaîtrez aisé-ment qu'elle
anslamasse de l'organe. Remarquez en premier lieu qu'elle forme, à la
partie
périphérique de la coupe, un anneau, ou mieux, un
tral, le cordon de l'épendyme. Elle est prédominante aussi dans cette
partie
des cornes postérieures connue sous le nom de sub
qui se font remarquer par leur grande dimension, présentent vers leur
partie
centrale un corps figuré, arrondi ou légèrement o
ment ovalaire, plus vivement co-loré par le carmin que ne le sont les
parties
avoisinantes. Ces corps sont des noyaux, à contou
ailles étroites, des cellules nombreuses se retrouvent aussi dans les
parties
des faisceaux blancs où n'existent pas de tubes n
ssables sur les coupes dur-cies. Dans ces deux cas, la coloration des
parties
produites à l'aide de la solution ammoniacle de c
tronçon cle moelle portant une plaque de sclérose, il semble que les
parties
ma-lades se séparent des parties saines d'une man
laque de sclérose, il semble que les parties ma-lades se séparent des
parties
saines d'une manière heurtée, sans transition, pa
effet, permet de constater même à de faibles grossissements, que les
parties
saines, en apparence, qui confinent au noyau sclé
ièrent leur plus haut degré de développement. En pro-cédant ainsi des
parties
périphériques vers les parties cen-trales, on est
développement. En pro-cédant ainsi des parties périphériques vers les
parties
cen-trales, on est conduit à reconnaître l'existe
endent, 1. Parfois, quelques-uns de ecs noyaux présentent vers leur
partie
moyenne un étranglement qui semble indiquer un co
l., pl. IV, fig, 1, 2, 3.-2. Frommann, Charcot. axiles aumilieu des
parties
qui ont subi, au plus haut degré, la métamorphose
formation récente, à peu près parallèles les unes aux au-tres dans la
partie
droite de la préparation, formant à gauche et au
ion ; se produisent-elles, par exemple, comme le veut M. Frommann, en
partie
dans l'épaisseur même des fibres du réticulum qu'
même des fibres du réticulum qu'elles doivent rem-placer bientôt, en
partie
aux dépens des cellules et des noyaux delà névrog
ment (1 ), en nombre plus ou moins considérable, dans l'épaisseur des
parties
scléro-sées, à l'état frais, et qui ne tardent pa
ubes nerveux sont terminés. Au contraire, elles occupent toujours les
parties
les plus extérieures de la plaque (3), ou, autrem
s rare de rencontrer, au milieu des fibrilles, des cylindres d'axe en
partie
dénudés, mais auxquels adhèrent encore, de places
résorption ; vous savez qu'on n'en retrouve plus les traces dans les
parties
centrales des foyers scléreux. C'est ici le lieu
sur les préparations que je vais faire passer sous vos yeux, dans les
parties
où se rencontrent les produits de la désagrégatio
minution de volume re-lativement considérable, s'empare de toutes les
parties
de la cellule en même temps que des prolongements
r l'histologie de la sclérose en plaques. D'après ses recherches, les
parties
sclérosées seraient formées de fibrilles et de ce
lérosemultiloculaire des centres nerveux. Laissant donc de côté cette
partie
de son histoire, nous allons chercher aujourd'hui
topsie, on trouva des plaques de sclérose disséminées dans toutes les
parties
de l'axe cérébro-spinal. L'ob-servation paraît av
e manière complète dans les membres supérieurs et inférieurs, mais en
partie
seulement à la tête et au tronc. J'insiste sur ce
er alors de l'absence de toute trace de tremblement dans les diverses
parties
du corps. Pour faire reparaître l'agi-tation ryth
able d'écrire facilement une dizaine de lignes. Nous avons choisi une
partie
de la premièreligne et de la dernière. D'après le
ci défaut. Il en est de même de la perte de la notion de position des
parties
, laquelle appartient également àTataxie. Elle n'e
placé par un îlot de tissu sclérosé : 2° les libres musculaires de la
partie
antérieure de la langue avaient subi la dégénéres
PI. 111, IVel VII), mais, en outre très ha-bituellement, les diverses
parties
de l'isthme de l'encéphale et en particulier, le
qui, suivant les besoins de la cause, se porterait sur telle ou telle
partie
de l'encéphale. Je ne saurais, pour mon compte, s
éré, mais de plus, et c'est là le point important, la température des
parties
centrales s'élève rapidement ; elle peut dans les
s cas où, jusqu'à la terminaison 1. Charcot. —Noie sur la temp, des
parties
centrales dans l'apoplexie liée à Vhémorrh. céréb
ns observées sur une ^0ll^ dans la moitié uauche coupe pratiquée à la
partie
la plus élevée de la région ' ' ' , lombaire :
argeur, et que la lésion prédo- vertigineux se montrant à mine a leur
partie
movetme. des intervalles rapprochés. Le nystagm
gure 15 représente les lésions observées sur une coupe pratiquée à la
partie
la plus élevée de la région lombaire. A ce niveau
urs sont pris dans toute leur étendue 'Fig 15, c), mais sur-tout à la
partie
moyenne. Les cordons latéraux sont relativement m
ue, de l'étiologïe, et Une autre coupe transversale, répondant à la
partie
moyenne des olives, fait voir une autre plaque de
tition si singulier qu'affectent les îlots scléreux dans les diverses
parties
du système nerveux central, nous est, quant à pré
ptomafologie delà sclérose en plaques? Cela est possible, au moins en
partie
. Déjà nous vous avons l'ait remarquer que l'incoo
123. (B) Note de la 4° édit. Voir à I'Appendice, a» IV.) TROISIÈME
PARTIE
Hystérie. — Hystéro-Epilepsie. Charcot. Œuvre
. Voy : Leçons sur les maladies du système nerveux, t. II, l''e et 2°
parties
. 2. Charcot, loc. cit., t. II, l™ partie. Par
erveux, t. II, l''e et 2° parties. 2. Charcot, loc. cit., t. II, l™
partie
. Parmi ces cas, il en est un digne d'attention
n peu sévère réduirait encore très certainement cechiffre. La majeure
partie
des observations est très ancienne (seizième et d
à certains départements de l'encéphale, les reproduisent, au moins en
partie
. Un symptôme très important que nous offre enco
on parM. H.Salter (1) dans le vomissement hystérique — la plus grande
partie
des aliments qui s'y introduisaient. Eh bien, mal
théorie française. — Critique. — Nomenclature allemande des diverses
parties
de l'encéphale. — Ses avantages au point de vue d
si très souvent cette perte de la sensibilité porte seulement sur les
parties
superficielles (tégumentexterne), elle envahit qu
èce, une des variétés les plus communes. La netteté avec laquelle les
parties
anesthésiées sont séparées des parties saines est
. La netteté avec laquelle les parties anesthésiées sont séparées des
parties
saines est encore un caractère impor-tant de l'hé
ans les cas intenses, par la difficulté qu'il y a à tirer du sang des
parties
anesthésiées à l'aide d'une piqûre d'épingle. J
t, en conséquence, avoir pour effet de dé-terminer la compression des
parties
voisines, des pédoncules cérébraux, par exemple.
couche optique peut être lésée, même profondément et dans une grande
partie
de son étendue, sans qu'il s'en suive aucun troub
s l'hémianesthésie avait persisté jusqu'à la termi-naison fatale. Les
parties
de l'encéphale intéressées par l'altéra-tion sont
n sont indiquées avec soin. La nomenclature germanique des diverses
parties
de l'encé-phale, toute rebutante qu'elle nous par
hin, cherchons à nous orienter, afin de bien reconnaître le siège des
parties
lésées dans les observations de L. Tûrck. Je me
, dans les cas de M. Tùrck, les lésions avaient envahi à la fois la
partie
supérieure et externe de la couche optique, le tr
supérieure et externe de la couche optique, le troisième noyau de la
partie
extra-ventriculaire du corps strié ,1a partie sup
e troisième noyau de la partie extra-ventriculaire du corps strié ,1a
partie
supérieure de la capsule interne, la région corre
il s'en suit donc que la capsule interne avait dû être lésée dans sa
partie
postérieure. Il en a.été de même dans le fait obs
ment dans une étendue de onze lignes. Un foyer semblable intéresse la
partie
externe de la troisième partie du noyau lenticula
ignes. Un foyer semblable intéresse la partie externe de la troisième
partie
du noyau lenticulaire. Il commence à peu près à
e,il occupait la plus grande longueur du côté interne de la troisième
partie
du noyau lenticulaire et une partie de la capsule
r du côté interne de la troisième partie du noyau lenticulaire et une
partie
de la capsule interne. Dans la moitié postérieure
plate, ayant 5 lignes environ de largeur et 8 de longeur, située à la
partie
supérieure et externe de la couche optique droite
-rieur du môme côté, deux de la grosseur d'une tête d'épingle dans la
partie
anté-rieure de la couche optique droite ; deux da
d'un pouce, le malade ne sent pas le goût du sel. Même chose pour la
partie
droite du dos et de la racine de la lan-gue. A dr
. 18, 3). Couche optique, saine. Peut-être un petit fragment de la 3e
partie
du noyau lenticulaire a-t-il été touché. Le foyer
la couronne radiée. — Moelle ; légère agglomération de noyaux dans la
partie
la plus postérieure du cordon latéral. Cas IV.
une hémiplégie du côté droit, avec une anesthésie intense dans lamême
partie
du corps. En outre, anesthésie sensorielle .'vue,
sie. Foyer apoplectique ancien, pigmenté de brun, situé le long de la
partie
externe de la couche optique gauche et tout près
eurs, elle occupait la région postérieure de la couche optique et les
parties
adjacentes de l'hémisphère cérébral situées en de
nd de quatre à cinq li-gnes, le foyer touche une grande étendue de la
partie
postérieure du rayonne-ment du pédoncule cérébral
e de la partie postérieure du rayonne-ment du pédoncule cérébral, une
partie
delà capsule interne et peut-être aussi une porti
noyau lenticulaire. — Moelle: accumulation de corps granuleux dans la
partie
postérieure du cordon latéral droit. En résumé,
ubstance blanche jusqu'à deux pouces. Les régions lésées étaient : la
partie
supérieure et extrême de la couche optique : la 3
taient : la partie supérieure et extrême de la couche optique : la 3e
partie
du nucléole lenticulaire ; la partie postérieure
ême de la couche optique : la 3e partie du nucléole lenticulaire ; la
partie
postérieure de la capsule interne comprise entre
. Les fibres qui vont de la substance blanche de l'hémisphère dans la
partie
externe de la couche optique étaient constamment
la contracture, les points douloureux fixes, siégeant sur diverses
parties
du corps (ra-chialgie, pleuralgie, clou hystériqu
que, parmi nos contem-porains, les auteurs allemands, pour la majeure
partie
, passent à peu prés complètement sous silence tou
remarquer que, sous ce nom, il comprend à la fois les douleurs de la
partie
supérieure de l'ab-domen et les douleurs hypogast
is. Il est évident qu'ici les muscles et la peau elle-même sont de la
partie
. La douleur occupe alors une assez grande étendue
lapeau, ayantde2à3poucesdediamèlre. Cette hyperesthésie siégerait en
partie
dans l'hypogastre, en partie dans la fosse iliaqu
amèlre. Cette hyperesthésie siégerait en partie dans l'hypogastre, en
partie
dans la fosse iliaque, et répondrait, selon cetau
une courbe à concavité interne : c'est là un point de repère. Vers la
partie
moyenne de cette crête rigide, la main rencontrer
banale, car c'est une sensation complexe qui s'accompagne de tout ou
partie
des phénomènes de Y aura hysterica tels qu'ils se
out dans l'œil gauche, Les mêmes phénomènes se montreraient sur les
parties
cor-respondantes du côté droit, dans les cas où l
exposition de faits qui seront peut-être considérés par vous comme la
partie
la plus saillante de cette étude. Ces faits, en r
plus simple et beaucoup plus légitime d'admettre que les secours, — à
parties
amplifica-tions suggérées par l'amour de la notor
r exalter à son maximum l'excitabilité réflexe de la moelle, si cette
partie
des centres nerveux est irritée dans sa partie in
de la moelle, si cette partie des centres nerveux est irritée dans sa
partie
inférieure, il sera impossible, tant que l'excita
rouverez relatée, dans la thèse de M. Dunant (de Genève), la première
partie
de son histoire. Ler^.. a cessé d'être réglée^jLy
t de souvenirs, sans doute, des émotions de la jeunesse. Lorsque la
partie
convulsive de l'accès est terminée, il sur-vient
1). Le membre inférieur gauche est dans l'extension ; ses di-verses
parties
sont, pour ainsi dire, dans une attitude forcée :
le saisissant par le pied, vous pourriez soulever tout d'une pièce la
partie
inférieure du corps de la malade. J'insiste sur c
tronc et membres, cette limitation, en quelque sorte géométrique, des
parties
anesthésiées par un plan vertical qui divise le c
en médical des miracles de Lourdes Paris 1873. (B,) inférieurs, les
parties
liagmenteuses n'y sont pour rien, du moins aux ge
° la branche principale de l'artère centrale qui se distribue dans la
partie
inférieure de la rétine présente une di-latation
ais il est des cas où la rigidité spasmodique reste limitée à quelque
partie
d'un mem- et la douleur ovarienne droites n'ont
che du corps 'face» tronc, etc.) est manifestement plus chaude que la
partie
droite. Les paupières sont à demi ouvertes : le
le bassin de violentes et rapides convulsions cloniques projetant ces
parties
en avant, en arrière et de côté. La l'ace devint
traits généraux. Ainsi, Vagitation peut-être décom-posée, pour chaque
partie
, en mouvements alternatifs, surtout de flexion et
lternativement, suivant le même rythme. Les mouvements des diverses
parties
méritent, d'ailleurs, d'être étudiées avec plus d
pied bot équin : alors le membre inférieur, rigide dans toutes, ses
parties
, est fortement appliqué sur le matelas. La flex
-dire que si, chez elle, vous appliquez sur une région quelconque des
parties
anesthésiées, soit une plaque d'étain, soit quelq
étaient interrompus de temps à autre par des accès, dans lesquels les
parties
tout à l'heure agitées étaient momentanément pris
lus intenses dans les coudes, au niveau de la région occipitale, à la
partie
postérieure du cou et dans les reins : c'est à ce
a de selle que tous les huit jours, après lave-ment. — Elle passe une
partie
de son temps assise surunfauteuil, plaçant sur un
e tout entier enfin sont devenus faibles. Jamais iln'aexisté dans ces
parties
de fourmillements, d'engourdissements, de douleur
m'assura, une fois de plus, qu'il n'avait jamais remarqué dans aucune
partie
de son corps la moindre trace de tremblement. « T
tardivement. » Je me suis assuré que la main gauche était la seule
partie
qui présentait le tremblement en question. Je pri
t normal ; elle est presque de consistance fibreuse danslaplus grande
partie
de son étendue. On aperçoit, disséminées à la sur
eurs, le cordon de Goll ; en d'autres endroits, elles intéressent une
partie
de l'un et de l'autre de ces cordons, Ces lésions
sé, sauf en quelques points. Une coupe trans-versale pratiquée sur la
partie
médiane, fait voir une sorte de semis de plaques
iniq. et thérap. de l'hystérie, p. 923. A l'état normal, toutes les
parties
du champ visuel ne sont pas également aptes à per
'orangé, le rouge, le vert ; enfin, le violet n'est perçu que par les
parties
les plus centrales de la rétine. Dans l'amblyop
énote même aucune différence appréciable dans la vasculari-sation des
parties
. 11 faut ajouter que cet ensemble de symptômes
sitive, relevant des lésions en foyer du cerveau qui siègent dans les
parties
postérieures de la capsule interne, sur le point
leur prolongement à la surface du cerveau, soit encore sur toutes les
parties
à la fois. M Charcot, dans cette même conférenc
le plus souvent en des oscillations rapides et étendues de toute une
partie
du tronc ou des membres seulement. Le plus fréque
nt ou le claquement des dents. Le cou se gonfle, les muscles de cette
partie
et ceux de la poitrine se contractent spasmodique
toïde ? La 2e période semble constituer à elle seule la plus grande
partie
de l'attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les auteu
opper à l'occasion d'une ac-tion traumatique et se localiser dans les
parties
mêmes où la pression, la contusion, la foulure, e
encore d'une con-tracture continue des muscles fléchisseurs ou de la
partie
anté-rieure du bras, dételle sorte que l'avant-br
er. Pas de modifications quelcon-ques de la sensibilité en dehors des
parties
où l'ancsthésie a été constatée.Cinq jours après
uel reposent les glaces à polir. Il s'ensuivit im-médiatement, sur la
partie
soumise à la pression, une assez vive douleur, un
es.On remarque que,bien quête sommeil provoqué soit très profond, les
parties
contracturées n'entrent pas dans un état de résol
poignet dans toutes les directions ; mais à peine abandonne-t-on ces
parties
à elles-mêmes qu'elles reprennent leur attitude p
flement, de la rougeur, une élévation relative de la tempéra-ture des
parties
affectées. 11 arrive, en général, que l'hyperes-t
ertains épisodes que l'artiste, en homme discret, a relégués dans les
parties
les moins en vue de son tableau, font reconnaître
des nerfs olfactifs. 6, Ilots de sclérose sur les nerfs optiques. b\
Partie
restée saine d'un nerf optique. c, Ilots sclére
antérieures, surtout la droite) ; olive, cordon antéro-latéral. e',
Parties
restées saines sur quelques points du bulbe rachi
elet, faite de façon à reployer facile-ment l'une sur Vautre les deux
parties
ainsi divisées symétriquement, x y, Ligne d'int
es de sclérose qui ont été sectionnées presque symétriquement en deux
parties
de la coupe horizontale. d, X/aisseaux très vis
ots de sclérose dans les régions antérieures (commissure an-térieure,
partie
avoisinant le 3e ventricule.) b, Plaques sclére
tie avoisinant le 3e ventricule.) b, Plaques scléreuses gagnant les
parties
antérieures des bords des ventri-cules latéraux (
ntérieures (commissure an-térieure). b, Plaques scléreuses dans les
parties
antérieures des ventricules latéraux- c, Plaque
su-périeure de la section, la moelle étant placée verticalement. a.
Partie
antérieure : — h, Partie postérieure ; — s, Ilots
, la moelle étant placée verticalement. a. Partie antérieure : — h,
Partie
postérieure ; — s, Ilots de sclérose. Les parti
antérieure : — h, Partie postérieure ; — s, Ilots de sclérose. Les
parties
sclérosées sont, du reste, reproduites avec leur
ur la substance blanche et même sur la substance grise centrale. I,
Partie
supérieure de la région cervicale, immédiatement
eure de la région cervicale, immédiatement au-dessous du. bulbe. 2,
Partie
moyenne du renflement cervical. 3, Partie infér
u-dessous du. bulbe. 2, Partie moyenne du renflement cervical. 3,
Partie
inférieure du renflement cervical, 4, Partie su
flement cervical. 3, Partie inférieure du renflement cervical, 4,
Partie
supérieure de la région dorsale. 5, Deux centim
centimètre et demi plus bas. 13, Trois centimètres plus bas. .14,
Partie
supérieure du renflement dorso-lombaire, 15, Mili
es de haut en bas, la moelle étant supposée verticalemen t placée. a,
Partie
antérieure. p, Partie postérieure. s, Sclérose,
moelle étant supposée verticalemen t placée. a, Partie antérieure. p,
Partie
postérieure. s, Sclérose, (Les parties sclérosé
cée. a, Partie antérieure. p, Partie postérieure. s, Sclérose, (Les
parties
sclérosées sont reproduites avec leur teinte natu
r la substance blanche et même sur la substance grise centrale). 1,
partie
supérieure du renflement cervical. 2, Un centim
lus bas (fin du renflement cervical). 4, Deux centimètres plus bas (
partie
supérieure de la région dorsale). 5, Un centimè
g. 4 et 5. — Coupes de la protubérance. Sur toutes ces figures, les
parties
colorées en gris cendré représentent des plaques
moelle ne produisent pas directement de troubles trophiques dans les
parties
périphériques : expé-riences qui le démontrent. —
épinière et du cerveau (suite et fin). —affections des viscères.
partie
théorique. Sommaire. — Hypérémies et ecchymoses
ymoses viscérales consécutives aux lésions expérimentales de diverses
parties
de l'encéphale, et à l'hémor-rhagie intra-encépha
théorie française. — Critique..— Nomenclature allemande des diverses
parties
de l'encéphale. — Ses avantages au point de vue d
hé-riques, 5 ; — causes traumatiques, 25. — Lésions spontanées, 22. —
Partie
théorique, 131. — Théorie vaso-motrice, 133. — Th
t C'P. ÉDITEURS Place de l'École de Médecine. - 1891 PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1890. (Bi
être et Fondation Vallée.) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1890. * PREMIÈRE
PARTIE
Section I : Bicêtre. Histoire du service pend
les devoirs que vous avez à remplir envers elle. Dans la troisième
partie
, nous avons réuni tous les chants qui accompagn
er à l'atelier^ commun de la maison et leur travail compensera en
partie
, et pendant de longues années, les dépenses de
aire faisant suite aux classes de la grande école ; puis, dans la
partie
centrale, le cabinet du médecin en chef et du c
ure. Là, un dortoir, composé de deux salles de 20 lits chacun, avec
partie
du milieu réservée au service de la propreté et
sous-sol, qui comporte une hauteur de 3 mètres dans sa plus grande
partie
, contient les chambres à tinettes et les calori
u'il devait les fondements de sa fortune, il a voulu en laisser une
partie
pour la création d'un nouvel éta- blissement en
seil général et le texte de la convention intervenue entre les deux
parties
. 1" Extrait du Icsta1lwnt cle Jl. Vallée. « Je
es hospices en témoi- gnage de satisfaction, de même que la majeure
partie
de mes livres et ceux de mes manuscrits, qui on
eût été dans ma pensée, en ces derniers temps, d'em- ployer tout ou
partie
de cette somme à l'acquisition du terrain Lagne
ns mes intentions que les livres, tableaux, etc., soient en majeure
partie
attribués aux écoles de l'établissement spécial
erselle du testateur tendant à obtenir l'abandon a sou profit d'une
partie
des legs faits au dépar- tement : vn la lettre
uelle Jean-Louis vers Gentilly (1). Le domaine se compose de deux
parties
: 1° en haut l'ancienne institution qu'il s'agi
e communication entre les deux groupes de construction, et, dans la
partie
en retour, deux pièces séparées par un escalier
ises, d'écuries, etc., au premier, de trois pièces. 2° La seconde
partie
du domaine, désignée sous le nom de ferme, est
. Il n'existe de caves qu'au dessous des bâtiments A, B, F et une
partie
du bâtiment K. Tous les bâti- ments consistent
e sorte de programme. Nous la reproduisons textuellement dans ses
parties
les plus importantes : « Comme on n'a pu encore
est encore à élucider. Ce personnel pourrait toutefois être choisi,
partie
parmi le personnel de Bicêtre qui sait déjà que
ner aux enfants et possède une instruction pédagogique spéciale, et
partie
parmi les élè- ves diplômées de l'Ecole départe
ieure du Conseil général par le Magasin central des hôpitaux. Une
partie
du mobilier scolaire pourra être fabriquée par
tre recruté en par- tic parmi les élèves diplômées des hôpitaux, en
partie
parmi les élèves diplômées de l'École départeme
pouvoir reproduire ces plans dans le Compte-rendu de 18DI. DEUXIÈME
PARTIE
Clinique. Bourneville, Bicêtre, 1890. 1. I.
ires, très écartées du crâne en arrière. L'ourlet est adhérent à la
partie
supérieure ; il existe un tubercule sur le bord
ux cous-de-pied, sur la face antérieure de la cuisse gauche, sur la
partie
antérieure de l'abdomen, sur la face antérieure d
Un peu de liquide citrin dans la cavité abdominale. Le cæcum et la
partie
inférieure du colon ascendant sont maintenus dans
-frontale qui est ossifiée, mais dont -on voit encore la trace à la
partie
supérieure. Au niveau de la fontanelle antérieu
grammes. 16 Imbécillité. moyennement développé, surtout dans sa
partie
postérieure ; son extrémité antérieure offre un
nterpariétale , sinueuse, profonde, est bifurquée à son origine; sa
partie
pos- tèrieure est interrompue par un pli de pas
li courbe. Le lobule pariétal inférieur, assez volumineux dans sa
partie
antérieure, l'est moins dans sa partie postérieur
ur, assez volumineux dans sa partie antérieure, l'est moins dans sa
partie
postérieure. Le pli courbe, assez gros, a la fo
re parallèle, normale, très profonde, tortueuse, est dédoublée à sa
partie
postérieure, et ses deux branches de dédoubleme
secondé. - La troisième temporale n'existe pour ainsi dire qu'à la
partie
antérieure où elle est bien développée. Face in
ce interne. La première scissure tenporo-occipitale se confond à sa
partie
antérieure avec la seconde ; elle est diri- gée
ec la seconde ; elle est diri- gée obliquement, interrompue vers sa
partie
moyenne par un pli de passage allant de la prem
l'isthme anté-cal- carinien. Le coin, assez bien développé dans la
partie
qui tou- che à la scissure interhémisphérique,
'union de son tiers antérieur avec ses deux tiers postérieurs une
partie
de l'insula. Le rameau ascendant est très prononc
es sillons et des cir- convolutions bien développées, mais toute la
partie
comprise entre la branche interne de l'incisure
en H et le rebord fronto- marginal est fortement en retrait sur la
partie
située au-delà de la branche interne de l'incis
blée dans son tiers antérieur. La troisième frontale présente une
partie
operculaire très-maigre et est atrophiée dans sa
sente une partie operculaire très-maigre et est atrophiée dans sa
partie
moyenne, - La frontale ascendante est maigre dans
igre dans ses deux tiers inférieurs, assez bien développée dans s a
partie
supé- rieure.- La pariétale ascendante est peu
. Le lobule pariétal supérieur est moyennement développé, mais à sa
partie
la plus postérieure, le pli de pas- sage se ren
arrallèleinin- terrompue, très-profonde et un peu sinueuse. Vers sa
partie
moyenne, la scissure interpariétale est interro
orale est grosse, contournée, découpée par de nombreux sillons ; sa
partie
moyenne se trouve isolée par deux scissures pro
faisant communiquer les deux scissures temporales, et remplaçant en
partie
la deuxième scissure tem- porale. Cette région
ord supérieur et surtout à sapartieantérieure est en retrait surles
parties
environnantes. Le lobule qlndl' £ l;¡tèl'e est
terne, est profonde, formant encoche et a deux lèvres écartées à sa
partie
supérieure. La scissure calcarine est profonde.
pé- rieure, est très étroit, même en retrait, comme atrophié à sa
partie
inférieure. / Les digitations de l'inslila sont
ulièrement. La température, qui a été prise durant la plus grande
partie
de son évolution, ne s'est élevée qu'exceptionel-
ne sait ni lire, ni écrire. Il arrive cepen- dant à reconnaître une
partie
des objets qui l'entourent, lors- qu'on le lui
cependant à fixer son attention et à lui faire reconnaî- tre une
partie
des objets qui l'entourent. ' IIII. Nous n'avon
tites cellules siégeant dans la cavité du 4rac ventricule et sur la
partie
latérale du bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie
. La fracture a intéressé les 2, lames osseuses du pariétal. Par sa
partie
externe elle corres- pond à l'ecchymose sous-cu
pond à l'ecchymose sous-cutanée que nous avons décrite ; par . sa
partie
interne elle se trouve en rapport avec un épanche
n du 4° ventricule. En T", masse néoplasiqu.e faisant her- nie à la
partie
inférieure du 4* ventricule. T'" petite tumeur si
plasiques volumineuses. Il en existe une également au niveau de la
partie
postérieure du vermis inférieur, dans la région
ères cérébelleux. Cette tumeur, dont la face antérieure répond à la
partie
antérieure du plancher du quatrième ventricule,
s. Fig 3 .- Coupe du bulbe et du 4 ventricule faite au niveau de la
partie
su- périeure des olives. La masse néoplasique T
e- mère dans la région latérale et postérieure et au niveau de la
partie
inférieure de la moelle cervicale. Il n'existe pa
sie a confirmé en effet ce diagnostic : les tumeurs siégeaient à la
partie
inférieure du cervelet, sur les côtés du bulbe,
beaucoup de difficulté et la pie-mère entraine avec elle une grande
partie
de la substance corticale des circonvolu- tions
. Syphilides papulo-sqùamèusés discrètes au cou, confluentes sur la
partie
postérieure du thorax. On trouve de rares papul
inct. 7 MAL DE POTT VERTEBRAL. MAL DE POTT VERTÉBRAL. 73 grande
partie
de la région dorsale, La partie culminante est
MAL DE POTT VERTÉBRAL. 73 grande partie de la région dorsale, La
partie
culminante est formée de trois apophyses épineu
e nombreux plis de passage. - l' est dédou- blée en avant, ses deux
parties
sont sinueuses, présentent des sillons nombreux
ntale ascendante a un développement normal; elle est coupée dans la
partie
supérieure par deux sillons ; la partie ainsi i
al; elle est coupée dans la partie supérieure par deux sillons ; la
partie
ainsi isolée est reliée par un pli de passage à
; la partie ainsi isolée est reliée par un pli de passage à F 2 La
partie
inférieure de la circonvolution frontale ascend
n pariétale ascendante est bien développée. Elle est dédoublée à sa
partie
inférieure. La scissure inter- pariétale, sinue
le ascendante. Au-dessous de ce pli on trouve la continuation de la
partie
verticale de la scissure in- terpariétale, cont
m- porale est bien développée, sinueuse, un peu dédoublée vers sa
partie
moyenne. La scissure parrallèle est sinueuse, trè
blée sur tout son parcours. - Le lobulé assez gros, offre vers sa
partie
moyenne un sillon en Y assez profond et dont la b
La scissure perpendiculaire interne est très profonde, béante à sa
partie
supérieure. Elle se prolonge jusqu'au-dessus du
la seconde frontale. La scissure frontale inférieure, dédoublée en
partie
, est sinueuse et régulière, assez profonde et n
sure de Sylvius, La frontale ascendante, un peu maigre surtout à sa
partie
supérieure, est sinueuse, très-découpée. A son
Rolando. - La pariétale ascendante est assez maigre dans toutes ses
parties
sinueuses ; à sa partie moyenne, elle reçoit un
scendante est assez maigre dans toutes ses parties sinueuses ; à sa
partie
moyenne, elle reçoit un pli de passage provenan
mais dans son ensemble il paraît un peu atrophié et en retrait à sa
partie
inférieure, surtout sur le lobe temporal.- Celu
ire interne et sépare ainsi nettement le lobe temporo-occipital des
parties
situées au-dessus. Le lobe lempo1'O-occipilal p
e 4 digitations. Les circonvolutions du lobe temporal, surtout à sa
partie
supé- rieure, paraissent un peu chagrinées. L
rtébrale, La colonne vertébrale présente une saillie prononcée à la
partie
supérieure de la région dorsale. Cette gibbosit
pital. Le lobule pariétal supérieur est moyennement développé, sa
partie
postérieure est très maigre et comme atrophiée, L
ssure pariétale. Au-dessous du ligament vertébral antérieur, sur la
partie
correspondante du rachis, on trouve un abcès pe
à l'extérieur. Le canai vertébral est normal dans la plus grande
partie
de l'étendue de la gibbosité, sauf au niveau de
s autour des vaisseaux, enfin ces cercles deviennent caséeux à leur
partie
centrale, où l'on retrouve encore les vestiges
s yeux un tubercule achevé ; les lésions sont plus marquées sur les
parties
postérieures de la moelle. D'autre part, la pie
table des cellules, surtout dans les cornes antérieures. Une grande
partie
des cel- les qui restent sont en état do dégéné
au niveau du mal de Pott, nous retrouvons successivement les mômes
parties
. Les enveloppes delà moelle en contact avec le
es commissures. Dans la substance blanche, le cordon latéral est en
partie
dégénéré sans participation du faisceau cérébel
une vive douleur dans les testicules et au niveau des anneaux, les
parties
paraissent être d'une 11y17crcsthèsie notable a
rsisté ainsi pendant 15 mois : au bout de temps, ayant récupéré une
partie
des mouvements du côté gauche, il sortit de la
e bord du trottoir : dans cette chute il s'est fait au niveau de la
partie
postérieure clu pariétal gauche une plaie dont
t de la région iliaque gauche et remonter fit à l'estomac et à la
partie
inférieure du cou. Il tombe alors à terre en ar
corps en arc de cercle : perte de connaissance complète. TROISIÈME
PARTIE
. ' Communications faites au Congrès internation
e est une for- mation atavique partielle, qui se produit dans les
parties
voûtées du cerveau et qui entraîne, comme (11 C
ont brun foncé, assez fournis en arrière, rares au contraire sur la
partie
supérieure de la tête : les deux tiers du cuir
e de petits mouvements convulsifs, faisant s'abaisser la peau de la
partie
inférieure du front et les sourcils, et élevant
e sont minces, peu durs; les sutures sont encore transpa- rentes en
partie
, leurs dentelures sont très nettes. On note que
nettes. On note quelques plaques translucides, principalement à la
partie
centrale des pariétaux. - La partie antérieure
anslucides, principalement à la partie centrale des pariétaux. - La
partie
antérieure de la base du crâne parait symétriqu
térieure de la base du crâne parait symétrique ; au contraire il la
partie
postérieure la. Autopsie : crâne. 127 fosse o
-volumineux, forment deux sail- lies considérables. Les différentes
parties
de la base du crâne, artères, nerfs olfactifs e
e. Sa forme est globuleuse. Le sillon de Ilolando le sépare en deux
parties
égales, et s'arrête en bas vers l'union du tier
ur la face interne. La scissure de Sylvius est bien développée à la
partie
anté- rieure. La fosse sylvienne (S) est profon
loppées. La I' est séparée de la V- par un sillon profond qui, à la
partie
antérieure, envoie deux branches : une supérieu
long de PA jusqu'à la moitié environ de sa hauteur, en séparant la
partie
inférieure de cette circonvo- lution en deux br
nvolution qui représente le lobule pariétal inférieur (L P) et à la
partie
inférieure de laquelle vient aboutir la scissur
tion contourne le bord supérieur de l'hémisphère et se termine à la
partie
inférieure de la face interne. Le pli courbe et l
remplacé par une grosse circon- volution arrondie, présentant à sa
partie
supérieure quatre petits sillons superficiels d
en haut et en avant. La F A est très développée, séparée en deux
parties
, vers- son milieu, par le sillon qui sépare Fi
le se continue avec la scissure parallèle (S P) qui se termine à la
partie
antérieure et inférieure du lobe temporal. Entr
rouve la scis- sure de Sylvius (S S) qui divise en deux la P A à sa
partie
infé- ricurc. Le lobule pariétal supérieur n'ex
mme à gauche par une grosse circonvolution, développée surtout à la
partie
supé- rieure, et offrant dans sa partie supérie
on, développée surtout à la partie supé- rieure, et offrant dans sa
partie
supérieure trois encoches, deux en avant, et un
e premiers anneaux. La luette est libre de fausse membrane dans une
partie
de sa face antérieure, mais sa face postérieure
ce antérieure, mais sa face postérieure, celle des pilliers, et une
partie
de la face supérieurs du voile du palais sont c
es, sur la face externe de la plèvre viscérale; pas de liquide. Les
parties
supérieures du poumon sont gorgées d'un liquide
quide céphalo-rachidien ; d'où il suit que, entre l'occipital et la
partie
postérieure du cer- veau, il y avait un espace
ible. D'où il suit encore que l'apla- tissement très prononcé de la
partie
supérieure de l'occipital pourrait être attribu
n peu pointu. Le maxillaire infé- rieurproémine notablement dans sa
partie
moyenne. Les oreil- les ont 6 centimètres de ha
nt 6 centimètres de haut; elles sont bien ourlées, le lobule est en
partie
détaché, mais le lobule droit forme une sorte de
face antérieure. Cou un peu court; circonférence 29 centimètres, La
partie
inférieure de la colonne dorsale décrit une lég
uestions, mais répond à côté; sa réponse, cependant, se rapporte en
partie
à la ques- tion ; sa voix est animée mais unifo
s aisselles. Poitrine glabre. Poils châ- tains frisés, nombreux àla
partie
inférieure du pénil, à la racine des bourses, c
a pris une gamelle rem- plie d'eau de briques et en a ingurgité une
partie
, en disant qu'il voulait s'empoisonner. Il se v
ès abondants au niveau du pénil et ont envahi les aines et toute la
partie
supé- rieure de la région interne des cuisses.
ère l'a gardé huit jours. Il était déjà amélioré et avait cessé une
partie
de ses grimaces. Pas d'onanisme, pas de bave, d
il). Tête. Le crâne est arrondi et coni- que, très atrophié dans sa
partie
postérieure où se trouve un méplat allant du ve
âne est relativement large. Le front est fuyant, assez élevé sur sa
partie
médiane (6 centi- mètres), mais se rétrécissant
ie médiane (6 centi- mètres), mais se rétrécissant beaucoup sur les
parties
latéra- les. Les cheveux, châtain très clair, s
sont glabres. Pas d'onanisme. 1887. Août. Plaque de teigne sur la
partie
antérieure du crâne, de la largeur d'une pièce
Il connaît bien les couleurs, les noms etles usages des différentes
parties
de son corps, de son habil- lement et des objet
eur du tronc. La parole est absolument nulle. Il crie et pleure une
partie
de la nuit ; il dort le matin. L'at- tention pe
ge et se déshabille seul ; il sait pro- noncer le nom de toutes les
parties
de son corps, de sa véture, de tous les objets
ement considérable. - La poitrine est large mais dépri- mée dans sa
partie
: moyenne. - Pas de déviation de la colonne ver
ns pli, avec deux sillons superficiels, plissée dans la plus grande
partie
de son étendue; insertion très large sur la fro
ant en arrière et 10 millimètres dans sa plus grande lar- geur. Les
parties
de circonvolutions, qui forment le fond de cett
bas en s'élargissant, et se termine sur un sillon rectiligne. De sa
partie
moyenne se détache une bifurcation qui va jusqu
ion qui va jusqu'à la pointe occipitale et se recourbe pour faire
partie
du bord occipito-temporal de l'hémisphère. Le tro
l'extrémité inférieure de la dépression ombiliquée. Cette dernière
partie
est ridée. De la pointe du lobe temporal part u
la queue de la première circonvolution temporale pour constituer la
partie
moyenne du bord inférieur de la dépres- sion om
t en arrière de l'insula. Le bord antérieur de la seconde limite la
partie
postérieure de la perforation. Ces différentes
ascendantes. Elle est coupée de rides transversales, et, dans sa
partie
recourbée, est plus blanche et comme mamelonnée.
onvolution par un pli transversal assez profond. Au-dessus de cette
partie
, petite misse irrégulièrement quadrilatère de 1
et pariétale. Cette masse longitudinale nous paraît répondre à une
partie
de la circonvolution frontale ascendante et au
hauteur. Le sillon 2),i ? ,iéto-occil)ital est profond. Cuneus en
partie
confondu avec le lobe occipital de telle sorte
llon. Un sillon assez creux sépare en avant le lobe occipital de la
partie
postérieure du lobe temporal. La circonvolution
térieure du lobe temporal. La circonvolution de l'hippocampe est en
partie
confondue, comme nous l'avons vu, avec la 1° te
n partie confondue, comme nous l'avons vu, avec la 1° temporale. La
partie
anté- rieure, répondant à la corne d'Ammon, for
droit : 170 gr. Mêmes lésions occupant tout le lobe inférieur et la
partie
inférieure du lobe supérieur. Plèvre saine. a
lvius droite sont distendues par des caillots blanchâtres en grande
partie
. Thrombose des deux veines méningées qui descen
che plus petit que le droit. L'atrophie porte principalement sur la
partie
postérieure. La protubérance est petite et pl
que le gauche. Hémisphère gauche. - Sa face convexe présente à sa
partie
moyenne une dépression très étendue, allant de
nte à sa partie moyenne une dépression très étendue, allant de la
partie
postérieure du lobe frontal au lobe occipital.
t d'un gris terne, laissant à peine apercevoir par transparence les
parties
sous- jacentes. Elle est peu vascularisée. Une
de 1 il 2 milli- mètres. Partout ailleurs elle est adhérente. La
partie
périphérique déprimée a une étendue de deux cen
tion présente nne coloration blanche et se compose d'une série de
parties
, alternativement saillantes et rentrantes. A la p
ne série de parties, alternativement saillantes et rentrantes. A la
partie
inférieure se voit une masse de substance blanc
et tranchant qui n'adhère pas au noyau précédent. Tout à fait à la
partie
inférieure, l'excavation est percée d'un orific
oir et qui vient aboutir sur la face interne de l'hémis- phère à sa
partie
inférieure. En résumé, on trouve le lobe fron-
e occipital à peu près intacts, ainsi que la corne sphénoïdale ; la
partie
moyenne de l'hémisphère est profondé- ment dégé
la cavité largement ouverte au centre du ventricule latéral. Les
parties
blanches qui existent à ce niveau sont les parois
dépression 182 PSPUDO-POIR);NCPfIALILr. ombiliquée répondant à la
partie
moyenne du sillon calloso- marginal. Les sillon
dis que le lobe frontal mesure 5 centimètres de long, cette seconde
partie
en mesure 5 1/2. Elle est séparée de la partie
ong, cette seconde partie en mesure 5 1/2. Elle est séparée de la
partie
postérieure du cerveau par un sillon irrégulier,
ure du cerveau par un sillon irrégulier, assez profond. Toute cette
partie
de l'hémisphère, située en arrière de la cavité
irigent vers le bord inférieur de l'entonnoir après avoir formé une
partie
de sa paroi. Entre le bord inférieur du lobe fr
on froncée. Cette encoche sépare la circonvolution frontale en deux
parties
. En arrière de l'encoche, on trouve encore deux
ère de l'encoche, on trouve encore deux replis venant constituer sa
partie
postérieure et faisant partie l'un du lobe fron
isant partie l'un du lobe frontal de la face convexe, l'autre de la
partie
intermédiaire entre le lobe frontal et le lobe po
ique de haut en bas et d'ar- rière en avant. Elles aboutissent à la
partie
moyenne du sillon calloso-marginal, en formant
orte de fissure, puis il s'élargit un peu. Le cuneus manque dans sa
partie
antérieure et ne présente pas un sillon. En arr
a face con- vexe. La moitié postérieure peut être divisée en deux
parties
par un sillon antéro-postéricur. sinueux, profo
stance du bord supérieur et du bord inférieur de l'hémis- phère. La
partie
supérieure est composée de circonvolutions diri
dirigées verticalement en avant et obliquement en arrière vers la
partie
postérieure de la scissure de Sylvius. La partie
en arrière vers la partie postérieure de la scissure de Sylvius. La
partie
inférieure comprend le lobe occipital avec des
ient sur le lobe orbitaire. On trouve sept petites masses faisant
partie
des circonvolutions et se présentant comme de pet
angulaire, mesu- rant environ 3 cent. 1/-2 ; son sommet répond à la
partie
pos- térieure de la scissure de Sylvius. Le l
peu saillantes. Arcades orbitaires saillantes seule- ment dans leur
partie
externe. 1- eu : \ : g'l'is; pupilles contrac-
Le rachis présente une déviation à concavité tournée à gauche, à la
partie
supérieure de la région dorsale; une autre, com
frontale et pariétale ascendantes, le lobe parié- tal dans toute sa
partie
inférieure et la première temporale sont détrui
perdre en arrière clans le kyste et divisant la 1' frontale en doux
parties
, une supérieure et une inférieure. La partie su
a 1' frontale en doux parties, une supérieure et une inférieure. La
partie
supérieure, très large, se divise bientôt de no
r- conscrit en dedans ce qui représente le lobule paraccntral. La
partie
inférieure de la 1 ? frontale est étroite, sinueu
re environ du lobe frontal. Très sinueuse, elle est séparée en deux
parties
par un sillon verti- cal, qui rejoint en arrièr
joint en arrière le sillon qui sépare la 2mo de la 3me frontale. La
partie
antérieure se continue en dessous avec les circ
continue en dessous avec les circonvolutions du lobe orbitaire. La
partie
postérieure, qua- drilatère, très sinueuse, est
ulier. Lobe pariéiai. La pariétale ascendante est très large à sa
partie
inférieure où elle a trois digitations, Au-dessus
le saillant et la divisant en deux circonvolutions accolées dans sa
partie
moyenne. Très élargie au-dessus de ce sillon, e
me le bord supérieur de l'hémisphère. Il est séparé en deux dans la
partie
anté- rieure par un sillon superficiel, antéro-
e pariétal inférieur, comprend une masse triangulaire séparée de la
partie
moyenne de- la pariétale ascendante par un sill
circonvolution se continuant, comme nous l'avons déjà vu, avec la
partie
postérieure de la 3""= frontale. Face interne.
ion des fausses membranes à une petite ligne verdâtre siégeant à la
partie
supérieure de l'amygdale droite; diminution du
e la substance grise et blanche de l'hémisphère et qui a détruit la
partie
postérieure de la 3° frontale, la frontale asce
sse bilobée, puis une circonvolution repliée sur elle-même, dont la
partie
postérieure à disparu. Frontale ascendante. -
- La troisième temporale est à peu près conservée, surtout dans sa
partie
inférieure et, en arrière, elle est presque sép
sa partie inférieure et, en arrière, elle est presque séparée de sa
partie
antérieure par un angle dans lequel vient s'enc
Lobe paracentral petit, peu net en avant, où il se confond avec la
partie
postérieure de la le frontale. - Lobe quadrilat
tère petit, trapézoïde en avant et séparé par un petit sillon de la
partie
postérieure, quadrilatère, très développée, div
convolution de l'hippocampe assez largo, unie, séparée en deux à sa
partie
moyenne par le sillon dont nous avons parlé pou
scendante, sur laquelle elle ne s'insère due par un polit pli ;'¡la
partie
inférieure. - La /'nomtate ascendante est très
ge en bas, se rétrécit ensuite, pour s'élargir de nouveau dans sa
partie
moyenne et enfin aboutir, en s'effilant, au bord
e temporale assez courte, à peine sinueuse, abouti' en arrière à la
partie
antérieure et inférieure du pli courbe. La sc
e et étroite en avant, s'élargit en arrière. Elle est séparée de la
partie
postérieure par un sillon qui se continue avec
e est bien visible sur la face inférieure. Elle est divisée en deux
parties
presque égales par un sillon transversal profon
contraire, les circonvolutions sont .coupées irrégulièrement et les
parties
qui en ont été respectées, n'ont subi aucune dé
dans les Archives de neurologie un mémoire où nous avons tracé en
partie
l'historique, complété l'observa- tion du Pacha
les fontanelles paraissent fermées ( ? ). Lourdeur prononcée de la
partie
inférieure de la face, Sourcils et cils plutôt cl
ton (' ? ); grosseurs süs-c1w-icuhires; gonflement des veines de la
partie
supérieure de la poitrine; bouffissures au nive
selles sont glabres (Fig. 10 et il.) Puberté. Tout a fait : \.ira
partie
inférieure du pénil, entre le pli transversal e
fronlo-pariélalo, mais on ne saurait afl1rmer la persistance d'une
partie
de la fontanelle antérieure. Les che- veux sont
us les ais- selles, assez abondants sur les reins, ainsi que sur la
partie
supérieure et la face antérieure des cuisses, s
de Bicêtre pour 4890. 1 PLANCHE X. TABLE DES MATIERES PREMIÈRE
PARTIE
Section I : Bicêtre. Histoire DU service pend
ns, des mémoires relatifs au sujet traité dans ces leçons. Pour cette
partie
du volume, nous avons été aidé des conseils de no
— Anatomie médicale de structure. — Structure lobulaire du poumon. —
Parties
similaires ou éléments de texture. —Lobules. — Es
ec certitude les caractères de l'état pathologique dans les di-verses
parties
de cet organe complexe? Je suppose connues de v
oumon. On sait, depuis fort longtemps, que le poumon est composé de
parties
toutes faites sur le même modèle et dont chacune
res essentiels au moins, la constitution de l'organe tout entier. Ces
parties
similaires ou, comme on pourrait les nommer encor
tandis que le som-met, qui reçoit une bronchiole, est dirigé vers les
parties
cen-trales. — Quant aux lobules qui constituent l
aussi les différences qu'offre l'arange-ment réciproque des diverses
parties
qui forment d'un côté le foie, de l'autre le poum
neux et les bronchioles, il nous faudra considérer la disposition des
parties
dans le lobule lui-même. C'est par là que nous co
us minutieuse-ment que nous l'avons fait jusqu'ici, l'arrangement des
parties
dans le lobule lui-même. Cette étude nous conduir
if; il en est, enfin, qui appliquent les mots lobule secondaire à une
partie
seulement de l'acinus tout entier. Vacinus pulm
— a, a, conduits alvéolaires (airsacs) ; — b, b, alvéoles. — Les
parties
éclairées re-présentent les parois des conduits d
dont la réunion constitue un acinus. Il faut ajouter que les diverses
parties
de ce petit appareil, in-fundibules et conduits a
s devons étudier avec soin tous les détails de la construction de ces
parties
fondamentales de l'organe pulmo-naire. Nous ne co
sons encore que la configuration géné-rale, le plan d'ensemble de ces
parties
. Aujourd'hui, nous de-vons apporter tout notre so
de la texture, une ligne de démar-cation tranchée entre les diverses
parties
qui le constituent. Au milieu d'une gangue conjon
, au point de vue de la structure intime, un parallèle entre ces deux
parties
distinctes de l'appareil pul-monaire : la lumière
se, disposé sous forme de faisceaux, les uns longitu- Fig. 6. — Une
partie
de la coupe d'une bronche de 6 millim. de diamètr
La couche interne ou muqueuse (Fig. 7, c), conserve Fig. 7. — f7»â
partie
de la coupe d'une bronche de 0,4 millim. d'épaiss
embrane très délicate. Il est possible de détacher cette membrane des
parties
sous-jacentes par un artifice de prépa-ration et
es cellules, tandis que chez le triton elles occupaient d'habitude la
partie
centrale. Le revêtement épithélial pulmonaire,
tranchants qui limitent les orifices de ces alvéoles, surtout dans la
partie
désignée sous le nom de conduits alvéolaires, se
pas difficile de justifier dans la prochaine séance dont la première
partie
sera consacrée à une rapide esquisse des principa
présentant une coupe perpendiculaire à l'axe spinal et passant par la
partie
moyenne d'un embryon de poule, après 56 heures d'
ements de l'œsophage. Déjà le troisième jour, de chaque côté de cette
partie
du tube digestif (Fig. 17), on trouve, par la dis
o-mie générale, fig. 1.) même, se composent essentiellement de deux
parties
bien distinctes: 1° une couche de cellules hypobl
'après Gôtte). — Le trait noir intérieui représente l'hy-poblaste, la
partie
externe moins sombre, le mésoblaste. — Ig, di-ver
rs détails, à propos de l'inflammation expérimentale ou spontanée des
parties
re-vêtues d'un endothélium. Je rappellerai les
de la broncho-pneumonie ; c'est dire que la lésion occupe la majeure
partie
d'un lobe, l'inférieur surtout, dans sa partie po
sion occupe la majeure partie d'un lobe, l'inférieur surtout, dans sa
partie
postérieure. Le tissu du poumon sur les points al
ltant de l'épaississement des Iractus conjonclifs interlobulaires. La
partie
indurée est privée de crépitation ; elle s'insuff
endus à l'extrémité postérieure de l'œsophage, sont com-posés de deux
parties
bien distinctes: i° une couche de cel-lules hypob
(D'après Gôtte).—Le trait noir intérieur représente l'hy-poblaste, la
partie
externe moins sombre, le mésoblaste. — Ig, di-ver
surface de l'or-gane et s'y dessinent en clair sur un fond rouge. Les
parties
rouges et déprimées répondent à la région labyrin
à la région labyrinlhique ou des canaliculi contorti atrophiés ; les
parties
plus claires, sail-lantes, les granulations, en u
rein contracté perpendicu-lairement à la direction des lobules. — Les
parties
rlaires, a, fo niant la granulation, corresponden
. — Tubes uriui-fères atrophiés et con-tenant de petites cellu-les en
partie
désinté-grées et des granula-tions graisseuses. —
sombre, granuleux, à bâtonnets qui, dans l'état normal, tapisse cette
partie
des * Charcot, loc. cil., pp. 302-303. condui
let, on voit se constituer un groupe de cellules de chaque côté de la
partie
non divisée du mésoblaste, en dehors des proto-ve
du mésoblaste. Le mode de développement paraît être le suivant: de la
partie
anté-rieure de chaque conduit, naissent, du côté
hultz s Archiv., Bd. I. fig. 245), par un prolongement qui part de la
partie
postérieure du corps de Wolff. En résumé, au po
(Fig. 25). — Comparons cette figure à la Fig. 26, qui représente les
parties
homologues du rein gauche, non altéré, du même an
n continuité avec le revêtement épithélial cylindrique qui tapisse la
partie
du conduit représentant le canal d'excrétion. Vou
es hépati-ques tendent à disparaître. La lésion s'accuse d'abord à la
partie
périphérique du lobule, et elle s'étend progressi
hélium ancien, et procède ainsi de la périphérie de la plaie vers ses
parties
centrales. L'influence exercée sur la régénérat
épaisseur, la couche vraiment vivante de l'épiderme c'est-à-dire une
partie
du réseau de Malpighi. Sans entrer dans le déta
et il a montré que la transplantation d'un cheveu, portant encore une
partie
de sa gaîne épidermique, peut devenir également l
nouveau Fig. 30. — Coupe microscopique d'un cancer épithélial de la
partie
externe du nez. (Can-cer corné). — a, Couche corn
ous voyons, en résumé, une pneumonie double, à siège spécial dans les
parties
déclives, disposée symétriquement. Examinons ma
ensation des exsudats, les nodules très opaques apparaissent dans les
parties
splé-nisées, qu'on me passe la comparaison, comme
alvéolaires (Fig. 32). L'examen fait alors connaître : A. Dans les
parties
splénifiées du lobule, la congestion vas-culaire
aux nodules péribronchiques. L'analyse histo-logique montre dans les
parties
splénisées un exsudât séreux avec prolifération è
On voit des masses grises volumineuses, opaques et friables. Dans les
parties
splénisées, les masses d'épithélium encom-brent l
plénisées, les masses d'épithélium encom-brent les alvéoles. Dans les
parties
hépatisées, on trouve des leucocytes en nombre co
tion qui existe àl'exa- men microscopique et histologique entre les
parties
splénisées et les parties hépatisées. Dès l'origi
men microscopique et histologique entre les parties splénisées et les
parties
hépatisées. Dès l'origine, les lésions appartien-
symétrie : elle siège souvent sur les bords tranchants du poumon. Les
parties
lésées sont exactement limitées par les espaces i
ta-tion, et plonge rapidement sous l'eau. Du reste la coloration, des
parties
du poumon ainsi affectées est variable : le plus
nt. Par suite, il se forme un genre particulier d'abcès au centre des
parties
indu-rées ; mais c'est là un point sur lequel nou
insi lorsque l'induration est moins étendue et qu'elle siège dans les
parties
centrales : dans deux cas de ce genre observés pa
tait à une époque éloignée, on a noté un certain degré d'atrophie des
parties
indurées du poumon. Le poumon droit, atteint dans
observ. I). Dans ces deux cas, les tuyaux bronchiques au niveau des
parties
indurées n'avaient subi aucune dilatation; ils pr
tion grise, la non-existence de dilatations bronchiques au niveau des
parties
lésées, même 1 Maladies des vieillards, p. G02.
opiques, d'une manière expresse, l'absence de tubercules, et dans les
parties
indurées et dans les parties restées saines du po
se, l'absence de tubercules, et dans les parties indurées et dans les
parties
restées saines du poumon. Siège, étendue. — Dan
uration pulmonaire s'étendait sans interrup-tion de continuité, à une
partie
plus ou moins considérable d'un lobe, ou même d'u
ndue du lobe inférieur du poumon droit. —? Caverne ulcéreuse dans les
parties
indurées. — Pas de tubercules soit dans les poumo
l ne répond qu'avec humeur, et ne peut nous donner sur cette dernière
partie
des antécédents des détails bien précis. Voici l'
se confond complètement par en bas avec la matité hépatique. Vers la
partie
la plus inférieure de la poitrine du même côté, o
nique mais profond et sourd. L'auscultation, dans toute l'étendue des
parties
où la percussion a démontré l'existence de la mat
sie faite le -4 octobre. — Thorax. A l'ouverture de la poi-trine, les
parties
antérieures des deux poumons paraissent forte-men
obe inférieur droit adhère très intimement dans toute son étendue aux
parties
voisines; à la face interne des côtes, au côté dr
stérieur vers la racine des bronches, de manière à le diviser en deux
parties
égales. On voit alors que le tissu pulmonaire, qu
se. La cavité est divisée çà et là par des trabécules formées par les
parties
du parenchyme qui ont échappé à la destruction et
, pas de gonflement des plaques de Peyer. Analyse microscopique des
parties
altérées du poumon . ?— A. Le suc exprimé du tiss
la pneumonie chronique primitive, peuvent se former au sein même des
parties
in-durées. 6. Avenbrugger et Gorvisart1 nous pa
s cas il a été constaté que les lobes indurés, de même que les autres
parties
de l'organe respira-toire, étaient tout à fait ex
premier cas, deux excavations séparées l'une de l'autre occupaient la
partie
postérieure du lobe inférieur du poumon droit ; l
ulcéreuse, terminée par la formation d'excavations multiples dans les
parties
indurées. Obs. II. Pneumonie chronique. — Indur
e, eau de Sedlitz à Ao grammes. Saignée, ven-touses scarifiées sur la
partie
droite du thorax). 22 et 23. Le sang n'a pu êtr
mme telle. (Tartre stibié, 25 centigrammes ; large vésicatoire sur la
partie
postérieure droite de la poitrine). 24. Le soir
fait tousser, on perçoit un râle muqueux très abondant dans toute la
partie
antérieure du poumon droit ; en arrière, du râle
dans les fortes inspira-tions ou pendant la toux, perçu dans toute la
partie
postérieure droite. (Traitement : tisane pectoral
bord postérieur, emphysème extra-vésiculaire. Lobe inférieur. A la
partie
supérieure se trouve une cavité de la grosseur du
tre, arrondie, du diamètre d'une pièce de 1 fr., encore adhérente aux
parties
voisines, et qui exhalait une odeur assez forte,
Addison et quelques autres, étaient parfaitement fondées, et que les
parties
d'un poumon atteintes d'induration grise peuvent,
uant à présent, si la formation des abcès ou des excavations dans les
parties
indurées s'annonce par quelques phénomènes généra
us-crépi tant. Le murmure vésiculaire paraît affaibli au niveau de la
partie
postérieure du lobe inférieur; on le perçoit cepe
Le 5, le pouls tombe à 84. — Le 6, râle crépitant de retour ; dans la
partie
supérieure du lobe inférieur, plus de souffle bro
chique ; une épistaxis. — Le 30, application d'un vé-sicatoire sur la
partie
postérieure et moyenne de la poitrine à droite. —
t pratiquée dans le sens cle l'axe longitudinal qui le divise en deux
parties
à peu près égales. Le tissu résiste au scalpel co
Wunderlich, loc. cit., p. 365. 2 Idem. ?'• Loc. cit., p. 645. aux
parties
du poumon jusque-là restées saines (obs. II). — D
matité est absolue, comme dans l'épanchement pleuréti-que, lorsque la
partie
affectée du poumon est superficielle, et le doigt
plusieurs fois que la vi-bration thoracique est accrue au niveau des
parties
indurées. — Par l'auscultation, on ne perçoit en
e tuberculeuse. On fut fort étonné, lors de l'autopsie, de trouver la
partie
malade dure comme du cartilage, élastique, d'une
bsence de murmure vési-culaire et de tout bruit anormal au niveau des
parties
indurées a été également notée dans une de nos ob
araît en général dépendre de l'obstruction des tuyaux bronchiques des
parties
hépatisées par une grande quan-tité de liquide vi
t possible que, dans quelques cas, les parois tlioraciques suivent la
partie
malade dans son mouvement de retrait. C'est là un
pneumonie chronique. Il y a, en effet,, alors matité au niveau de la
partie
affectée, respiration bron-chique intense, râles
la pneumonie chronique, l'auscultation fasse constater, au niveau des
parties
malades, une absence complète de bruit respiratoi
a-morphose fibreuse, Cruveilhier) et diminution de la vascularité des
parties
, est un de ses traits distinctifs, on pourrait êt
ssement pulmonaire; -— Col-lapsus of the Lùng (auteurs anglais). — La
partie
carnifiée pa-raît à l'extérieur déprimée ; elle e
parenchyme. Enfin, l'insuffla-tion distend avec assez de facilité la
partie
malade et lui rend plus ou moins complètement l'a
omplètement l'aspect du tissu normal. Les bronches qui parcourent les
parties
ainsi carnifiées contiennent une quantité plus ou
u aréo-laire est devenu plus apparent par suite de l'affaissement des
parties
intermédiaires, mais il n'a subi d'ailleurs aucun
t devenu plus saillant, plus apparent par suite de l'affaissement des
parties
intermé-diaires, mais n'a cependant éprouvé dans
sorte de pneumonie lobulaire chronique avec induration mélanique des
parties
affectées. Des lésions pulmonaires fort analogues
st assez probable qu'une inflammation chronique se développe dans les
parties
irri-tées par la présence des parcelles charbonne
hymateuse chronique 3. Chez les houil-leurs, chez les aiguiseurs, les
parties
indurées du poumon peuvent d'ailleurs, comme on s
nte aucune fétidité. On trouve à la percussion, de la matité, dans la
partie
inférieure du poumon gauche, et à l'aus-cultation
n sont unis par une fausse membrane blanche, nacrée, très épaisse. La
partie
inférieure du sommet du poumon présente une indur
ésumées par M. le Dr Balzer. (FACULTÉ DE MÉDECINE, 1877-1878) (2°
Partie
) ONZIÈME LEÇON pneumonies comprises el. confo
qué de plus que, dans les cas de ce genre, le même pou-mon, les mêmes
parties
de ce poumon, sont le siège de ces récurrences fl
même point; 2° parce que l'autopsie a permis de con-stater l'état des
parties
qui avaient été le siège de ces inva-sions pneumo
e n'était employé de-puis Hunter que pour les pertes de substance des
parties
exposées (peau, membrane muqueuse). Mais M. Charc
1 ZietnssemS Supplément. 4° Localisation symétrique des lésions aux
parties
inférieures, et postérieures, avec tendance remar
nglobent principa-lement des cellules épithéliales. Enfin, dans les
parties
carnisées, roses et lisses, correspon-dant aux pa
nfin, dans les parties carnisées, roses et lisses, correspon-dant aux
parties
splénisées de l'état aigu, on trouve les altéra-t
rds inférieur ou supé-rieur de la côte pour aller se rendre, dans les
parties
anté-rieures, aux lymphatiques qui accompagnent l
ux lymphatiques qui accompagnent les vaisseaux mammaires et, dans les
parties
postérieures, aux vaisseaux qui sont le long de l
physiologique. — La matière noire pulmonaire est pour la plus grande
partie
constituée par du charbon, elle pénètre dans le p
arson a une réelle impor-tance et il convient d'en mentionner ici les
parties
principa-les. Après avoir signalé la coloration n
perforer les parois intestinales et de là se répandre dans cer-taines
parties
de l'organisme. On les a retrouvées, en semblable
série imposante de faits analogues empruntés à ses partisans. Pour la
partie
expérimen-tale, il convient de signaler de nouvea
re confinée enfumée à l'aide d'une lampe. Or, dans ce cas, les seules
parties
qui aient été atteintes et colorées par le charbo
vateur, en laissant de côté tout ce qui a trait à la résorption de la
partie
séreuse du caillot ainsi qu'aux 1 Langhans. — V
si pour les ganglions lymphatiques du hile. On eût dit que toutes les
parties
étaient enduites d'une cou-leur rouge. Plusieurs
ion, si concluante au point de vue anato-mique, ne contenait, pour la
partie
clinique, que des renseigne-ments fort incomplets
conjonctive, entraînant le rétrécis-sement ou l'oblitération dans les
parties
correspondantes ; 2° des particules de silice, re
a place constante des éléments anatomiques, les rapports des diverses
parties
entre el-les. M. Charcot décrit donc une sectio
ous la forme d'un poly-gone auquel on peut reconnaître un centre, une
partie
moyenne, et une périphérie. Le centre ou espace i
reux vaisseaux lympha-tiques péri-bronchiques et péri-vasculaires. La
partie
moyenne du lobule montre la coupe des infundibule
de nombreux lym-phatiques et les veines pulmonaires. Dans le foie, la
partie
la plus importante du lobule est la périphérie; o
l'espace intra-lobulaire, c'est-à- dire le centre, qui contient les
parties
importantes, c'est-à-dire la bronche et l'artère.
ies importantes, c'est-à-dire la bronche et l'artère. Dans toute la
partie
du trajet des divisions bronchiques qui précèdent
enveloppés d'une gangue conjonctive commune. C'est l'ensemble de ces
parties
que M. Charcot désigne sous le nom de grands espa
ont, pour ainsi dire, dans la néoplasie. Un réactif qui réduirait les
parties
constitutives delà néoplasie les ferait réapparaî
jet. A cette modification succède le ramollissement, l'évacuation des
parties
mortifiées et consécutivement la formation des ca
solubles, elles deviennent solubles. Elles attirent à elles l'eau des
parties
voisines, et ainsi a lieu le ramollisse-ment qui
llaire : elle forme comme le vestibule de la caverne et en fait ainsi
partie
. Reste à savoir maintenant comment la matière c
naissable à la présence des tuniques élastiques, se distingue vers la
partie
centrale du néoplasme tuberculeux, au voisinage d
bulaires, puis à des cavernes lobaires, c'est-à-dire occupant tout ou
partie
d'un lobe du poumon (Fig. 35). Les grandes cave
le desquelles on distingue à peine quelques éléments cellulaires. Ces
parties
n'ont plus la structure qui permet la caséificati
ture qui permet la caséification, laquelle est donc con-finée dans la
partie
centrale. Des vaisseaux se sont dévelop-pés dans
tain degré d'irri-tation inflammatoire subaiguë qui se communique aux
parties
voisines. Aussi, autour de ce tubercule de guéris
de la transformation fibreuse se rencontre souvent limité à quelques
parties
du pa-renchyme, dans toutes les formes de phtisie
hyme sous-jacent. Mais, si l'on examine la plèvre pariétale dans la
partie
qui est immédiate-ment appliquée sur les granulat
nd aisément compte de la propagation des granulations dans toutes les
parties
du parenchyme, dans le feuillet viscéral de la pl
ar des granulations graisseuses. Elle commence, dans Ja règle, par la
partie
centrale du follicule, c'est-à-dire par la cellul
uis à celle des cellules embryonnaires. C'est la désagrégation de ces
parties
caséifiées ou vitrifiées, qui, lorsqu'il s'agit d
vaisseaux ; 3° la tendance à la vitrification ou caséification de la
partie
centrale; 4° l'existence très fréquente, au centr
ravail de modification que subit à peu près né-cessairement, dans ses
parties
centrales, toute formation tuber-culeuse. (Fig. 3
onie caséeuse. IL Jusqu'ici le tubercule a été considéré dans des
parties
d'une structure simple : dans les parties d'une s
le a été considéré dans des parties d'une structure simple : dans les
parties
d'une structure complexe, les parenchymes pédicul
, en s'assimilant les éléments voisins. Ceux-ci, modifiés, deviennent
partie
inté-grante de la formation tuberculeuse, dont il
e de l'aggloméra-tion tuberculeuse, et, à plus forte raison, dans les
parties
périphériques, alors même que les parties central
plus forte raison, dans les parties périphériques, alors même que les
parties
centrales ont été frappées de dégénération caséeu
365). Partis d'un point de la paroi alvéolaire, celui qui attient aux
parties
centrales du tubercule, ils refoulent et aplatiss
u bronchique ; elle s'accumule sur un de ses côtés, laissant libre la
partie
oppo-sée. Ainsi, chez un enfant mort de phtisie t
ale » d'une agglomération tuberculeuse, et, de fait, elle occupe » la
partie
centrale d'une production embryonnaire qu'on doit
n tissu embryonnaire parti-culier. La dégénération frappe d'abord les
parties
du nodule les plus voisines de la bronchiole qu
ue le rôle de centre de for-mation ; elle envahit progressivement les
parties
périphériques de l'îlot. La zone dite embryonnair
riés de l'altération granulo-grais-seuse ou muqueuse. Mais jamais les
parties
où cette altération s'est produite ne forment u
e mode sub-aigu ou chronique, peuvent d'ailleurs déterminer, dans les
parties
du poumon qui avoisinent les nodules, la producti
est facile d'étudier les rapports qu'elles affectent avec les autres
parties
de la néoplasie tuber-culeuse. On sait que la g
mme l'unité tuber-culeuse, est, au contraire, complexe et composée de
parties
si-milaires plus petites, groupées les unes à côt
mblable circonstance, reconnaître trois zone s dans le folli-cule. La
partie
centrale est occupée par une cellule géante ; aut
etite massue, pourvue par conséquent d'un manche ou pédicule et d'une
partie
renflée. Or, pour le pédicule aussi bien que pour
. Or, pour le pédicule aussi bien que pour la zone périphérique de la
partie
renflée, la structure du tissu qui les composent
fications se retrouvent en dehors de la cellule géante clans d'autres
parties
de la néoformation tuber-culeuse, portant leur ac
parties de la néoformation tuber-culeuse, portant leur action sur des
parties
moins complexes et se présentant par conséquent,
e centrale delà cellule géante. On est ainsi amené à con-clure que la
partie
centrale de la cellule géante a eu, à un mo-ment
e caséeuse i. 1 Extrait du Progrès Médical, n° 34, 1878. DEUXIÈME
PARTIE
Tuberculisation et Cancer. TUBERCULISATION ET
rurent au bout de quelques jours, et qu'on vit survenir alors, sur la
partie
antérieure de la poitrine et sur le dos une érup-
lut le transporter sur un brancard. L'hémorragie résista pen-dant une
partie
de la journée du 30, et vers six heures du soir,
ême, pâleur très prononcée des téguments; on remarque sur différentes
parties
du corps, sur la poitrine, sur le ventre, mais pr
sont de véritables pétéchies. La peau est chaude, surtout vers les
parties
centrales, sans moiteur. On compte 96 pulsations.
leur, et lui fait pousser des cris vio-lents. La langue est sèche aux
parties
centrales. Le pouls est à 92, faible, irrégulier.
est que je constate quelques râles sous cré-pitants siégeant sous les
parties
les plus déclives. Langue très sè-che; dents reco
de granulations grises. Ces granulations siègent principalement à la
partie
antérieure des deux, poumons et dans les lobes in
ste-ment moins nombreuses dans l'épaisseur des lobes supérieurs. A la
partie
postérieure et supérieure du lobe inférieur du po
rcules, dont la plupart sont en voie de ramollissement, siège dans la
partie
la plus déclive du même lobe. Dans l'épaisseur de
no-fibrineuse amorphe finement granuleuse. On y rencontrait, dans les
parties
périphériques, des fibres de tissu cellulaire et
tion pénible qui, en outre, étreint, comme le ferait une ceinture, la
partie
la plus inférieure de l'abdomen. Dans les membres
pair avec ces symptômes d'hyperesthésie ; la marche est difficile, en
partie
, sans doute, en raison des douleurs des membres,
us plus pesants. Plus lard encore, l'atrophie musculaire se met de la
partie
; les membres inférieurs s'amaigrissent en même t
sylviennes par un caillot fibri-neux, a produit le ramollissement des
parties
correspondantes du cerveau. C'était un ramollisse
espondantes du cerveau. C'était un ramollissement blanc, occupant les
parties
des lobes antérieur et moyen qui attiennent à la
hez les sujets affaiblis par une maladie de longue durée. TROISIÈME
PARTIE
Altérations du sang. Leucocythémie et Mélaném
ité. Des veines volumi-neuses se dessinent en bleu sous la peau de la
partie
latérale gau-che de l'abdomen et de la partie lat
bleu sous la peau de la partie latérale gau-che de l'abdomen et de la
partie
latérale et inférieure du côté gauche du thorax.
intéressant toute l'épaisseur du cuir chevelu, située au niveau de la
partie
postérieure du pariétal droit, et au fond de laqu
e cerveau est injecté ; il ne présente pas de ramollissement dans les
parties
voisines de la fracture. Abdomen. — Pas de liqu
llots était constitué par une pe-tite masse de fibrine présentant une
partie
nettement fibrillaire et nettement granuleuse, et
tant une partie nettement fibrillaire et nettement granuleuse, et une
partie
composée de couches homo-gènes simplement striées
u mode de réparti-tion des corpuscules pigmentaires dans les diverses
parties
des systèmes artériel et veineux. Frerichs a cru
is encore, bien qu'à un de-gré moins prononcé, dans toutes les autres
parties
de l'encé-phale et de la moelle, qui contiennent
n encore un pointillé très fin et très serré. La substance blanche, à
parties
cas d'une intensité exceptionnelle, est généralem
n heu-reuse. Il n'est pas rare de rencontrer alors, dans les diverses
parties
de l'encéphale qui présentent la teinte ardoisée,
lus ou moins nets, et qui se détachent plus ou moins vivement sur les
parties
avoisinantes, d'aspect nor-mal; ou encore elle se
vec emphysème, par un sujet de vingt ans. La figure 42 représente une
partie
d'une de ces concré-tions, avec les cristaux qui
8). 2 Extrait de la Gazette hebdomadaire, 1860, p. 755. QUATRIÈME
PARTIE
Maladies du système vasculaire. — Embolies arté
répitant ; il présente à peine un peu de congestion hy-postatique aux
parties
les plus déclives. Un peu de dilatation des vésic
d'une matière puriforme. Cœur. — La face antérieure du cœur, et la
partie
correspondante du feuillet séreux du péricarde, s
de la pointe du cœur. Cette concrétion se divise par en haut en deux
parties
: l'une pénètre dans l'artère pulmonaire, l'autre
triée de sang, dans le sens de sa longueur; libre dans la plus grande
partie
de son étendue, elle n'adhère en réalité aux paro
ion, on la trouve à son centre pleine et homogène dans la plus grande
partie
de son étendue; mais dans sa partie inférieure, a
e et homogène dans la plus grande partie de son étendue; mais dans sa
partie
inférieure, au voisinage du point d'adhérence, el
tout petit pois ; il en est d'autres qui ont celui d'une noisette. La
partie
saillante dans le ventricule est Jisse, arrondie,
s. 1. Le sac des anévrismes partiels du cœur se trouve parfois en
partie
rempli par une sorte de tumeur fibrineuse de form
et immédiatement en contact avec le sang artériel dans la plus grande
partie
de son étendue ; adhérant par une de ses extré-mi
emps de sa formation, s'est ramollie par la suite, d'abord dans ses
parties
centrales ; puis le ramollissement a gagné de pro
ine sur l'extrémité supérieure du kyste fibrineux qui remplis-sait en
partie
la cavité gauche du cœur. Y a-t-il entre la lésio
s fonctions du cœur déjà si menacées, et de là peut-être, du moins en
partie
, tirent leur origine les phénomènes si graves obs
car-tilage de la troisième côte avec le sternum, et dont la première
partie
se propageait dans la direction de l'aorte, indiq
égulier. A l'auscultation, un peu de râle crépitant assez fin dans la
partie
moyenne du lobe inférieur du poumon gauche. (Poti
e tumeur est obtuse et adhère intimement à l'endocarde qui tapisse la
partie
du ventricule cor-respondant à la pointe du cœur,
. — A, kyste fibrineux contenant une matière puriforme, ouvert par sa
partie
anté-rieure. — B, la paroi du kyste. — C, les par
nuit dans la salle et reste assise sur son lit pendant la plus grande
partie
du jour. 31. La teinte ictérique persiste. Même
pouls radial est toujours nul. Extrémités froides et violacées. A la
partie
infé-rieure de la poitrine, souffle mélangé de qu
ndait distinctement à la région dorsale. La matité correspondant à la
partie
inférieure du pou-mon persiste et s'étend. 4. L
dien. Le cervelet est sain dans tout le reste de son étendue. Vers la
partie
antérieure du lobe cérébral droit, au niveau de l
on trouve une cavité du volume d'une noix, fermée en dehors dans une
partie
de son étendue parles méninges cérébrales épaissi
ns la profon-deur de la substance cérébrale, jusqu'au voisinage de la
partie
an-térieure et externe du ventricule correspondan
iquide transparent, citrin, mais dans lequel nagent, surtout dans les
parties
les plus déclives, des flocons albumino-fibri-neu
couvre le lobe inférieur. L'épanchement s'étendait sur la plus grande
partie
du poumon, lequel était retenu aux parois thoraci
section qui se pro-longe dans toute leur étendue, on remarque que les
parties
cen-trales sont occupées par de nombreux noyaux d
, se détachant vivement par leur coloration d'un violet foncé sur les
parties
environnantes dont la teinte est plus pâle; toute
ur les parties environnantes dont la teinte est plus pâle; toutes les
parties
des deux lobes infé-rieurs, qui n'offrent pas ces
a cavité paraît alors très vaste, et comme globuleuse; la plus grande
partie
de son étendue est occupée par une vaste tumeur o
Les parois du ventricule gauche sont épaissies (2 cent.) surtout aux
parties
centrales et à la base. Le tissu musculaire y con
rieurs de leur étendue. Mais dans le tiers inférieur, dans toutes ses
parties
qui concourent à former la pointe du cœur, la par
obturaient complètement cette petite cavité anévrismale. Les autres
parties
du système vasculaire n'ont pas présenté d'altéra
e et de la diar-rhée. Enfin, il se développe quelquefois sur diverses
parties
du corps des taches ecchymotiques et des sudamina
oison morbide spé-cial qui se formerait incessamment à la surface des
parties
affectées de l'endocarde, aux dépens des produits
action de l'acide azotique; il y a au bout de quelques instants, à la
partie
supérieure de l'urine, un léger trouble dû à la m
11 novembre, à dix heures du matin. Cavité crânienne. — Toutes les
parties
de l'encéphale sont en-tièrement saines. U n'y a
es, mais cependant assez rappro-chées et s'étendantainsi à une grande
partie
de la surface interne de l'intestin. Les plaques
s, ni sur son feuillet pariétal, ni sur son feuillet viscéral. Sur la
partie
an-térieure du ventricule gauche, près du sillon
rture est située à trois ou quatre millimètres du bord libre, et la
partie
de la valvule qui sépare l'ouverture de ce bord e
u bord adhérent de la valvule et du côté auriculaire, au-dessus de la
partie
si altérée, on aperçoit deux petites taches rouge
ues globules sanguins rouges, mais très peu de leu-cocytes. Quant aux
parties
malades de la valvule, elles contien-nent un dépô
de difficulté pour les retirer de la cavité thoracique. Au-dessus des
parties
si fortement adhérentes, à la face postérieure de
rges et qui sont d'o-rigine assez récente. Crépitants dans toute leur
partie
supérieure, les poumons le sont peu à la partie i
tants dans toute leur partie supérieure, les poumons le sont peu à la
partie
inférieure ; il y a même des points où l'organe r
muqueuse des bronches est assez vivement injectée. Dans toutes les
parties
des deux poumons, il y a de nombreux abcès dissém
ssie, inégale, ramollie dans sa moitié interne, et au milieu de cette
partie
altérée, on reconnaît l'existence d'une perforati
le part, chez notre sujet, de traces d'une phlébite suppurée, que les
parties
malades de la valvule tricuspide ne renfermaient
. Aran. — Des morts subites, thèse de concours. Paris, 1853, p. 23.
partie
détruites ; ou encore elle dépend d'un rétrécisse
sieurs caillots de date plus ou moins ancienne, siégeant dans quelque
partie
du système veineux, le système de la veine porte
nière veine. La veine iliaque primitive gauche, au contraire, dans sa
partie
supérieure, et la veine cave inférieure, dans tou
te une description spéciale : adhérent aux parois du vaisseau dans sa
partie
inférieure, qui se confond avec le coagulum de l'
lums qui remplissent les veines fémorale et iliaque externes. Dans la
partie
inférieure de la veine fémorale et dans les veine
a presque totalité l'artère pulmonaire, pré-sente dans la plus grande
partie
de son étendue, les caractères propres aux caillo
es couches externes sont évidemment de formation plus récente que les
parties
centrales. Nulle part, même dans les points oh il
° fibrine présentant en-core l'aspect fibrillaire (seulement dans les
parties
denses du caillot) ; 2° matière amorphe disposée
oléculaires et les globules graisseux sont surtout abondants dans les
parties
ramollies du caillot. Le coagulum de l'artère p
de trente-trois ansr atteinte de phlegmatia alba dolens, dépendant en
partie
, sans doute, de l'état puerpéral, mais déterminée
inguinales étaient gonflées, sensibles à la pression, ainsi que les
parties
dont il a été question plus haut, mais sans chang
s, on remarque que des vaisseaux il s'échappe des caillots de sang en
partie
mo-difié. Le cœur ne présente pas de lésions nota
uperfi-cielles; il y avait aussi de l'œdème des deux poumons dans les
parties
postérieures des deux lobes inférieurs. Suivant
eurs dans la cuisse droite qui paraissaient avoir leur siège dans les
parties
molles. Pouls un peu fréquent et dur. On fait une
ent. Autopsie. Les artères pulmonaires sont remplies de caillots en
partie
de texture granuleuse, de couleur lie de vin, non
été pratiquée est normale. La veine crurale droite est remplie et en
partie
oblitérée par un caillot adhérent. Les parois de
rection de la grande échancrure sciatiqne. Le nerf scialique est en
partie
compris dans ce tissu induré *, Obs. XII. — Gar
du poumon droit, on trouve un caillot d'un pouce et demi de long, en
partie
décoloré, ridé à l'extérieur, mou à l'intérieur,
en soit, — et ceci est la princi-cipale conclusion de cette première
partie
de notre travail, — celles que nous avons rapport
un ou plusieurs caillots de date plus ou moins ancienne dans quelque
partie
du système veineux? Cette proposition est peut-êt
. Les couches extérieures étaient d'une consistance plus ferme que la
partie
centrale. Celle-ci était d'une couleur plus foncé
ouches périphériques sont détruites en premier lieu, puis ce sont les
parties
centrales; les par-celles fîbrineuses, toujours e
exemple, le caillot prolongé se ramollit quelquefois d'abord par les
parties
centrales et voisines de la base, et se résout ra
uches fîbrineuses, peuvent rendre compte, ce nous semble, au moins en
partie
, de l'intermittence des symp-ptômes observés dans
s l'état suivant : immobilité dans le décubitus dorsal, la tête et la
partie
supérieure du tronc un peu relevées par des oreil
envoyons à l'article Artérite1 pour de plus amples dé-tails sur cette
partie
de la question qui dépasse les limites de notre s
ont acquis des dimensions considé-rables, leurs parois s'unissent aux
parties
voisines, qui ser-vent à les renforcer. Il se pro
aisément que l'ouverture du sac dans un au-tre vaisseau, ou dans une
partie
quelconque du système à sang noir, n'amène pas
dys-phagie atroce, fut considérablement soulagé par l'expulsion d'une
partie
des caillots qui remplissaient la tumeur et qui f
eut être constaté que dans le cas où la poche s'est développée à la
partie
antérieure du vais-seau. Lorsqu'elle en occupe la
, le souffle existe presque toujours ; mais quand la lésion occupe la
partie
sus-diaphragmatique de l'artère, on voit souvent
que antérieure, on obtient un son parfaitement mat au niveau de celte
partie
du sternum derrière laquelle se trouve l'aorte ;
ante de pla-ques calcaires sur le trajet de l'aorte, ou dans d'autres
parties
de l'arbre artériel, chez les sujets qui présente
en avant le fibro-cartilage intervertébral pour venir atteindre les
parties
aortiques. Diagnostic. — Reconnaître la présenc
avec respiration forte dans un poumon. 7° Stridor et maLité dans la
partie
supérieure du poumon. Maladies chroniques du la
e le plus ordinaire de ces lésions, cependant la crosse et les autres
parties
de ce ?vaisseau peuvent être également affectée
mé, envahissent rapidement les épaules, les membres supérieurs, et la
partie
correspondante du tronc. Un œdème prononcé se déc
olies, indiqueront la présence d'un obstacle au cours du sang dans la
partie
inférieure de l'aorte. Enfin, l'auscultation, pra
e ; M. Vulpian en a récemment trouvé dans une ampoule qui occupait la
partie
inférieure de l'aorte abdominale. Chez quelques m
lation, sont destinées à s'en détacher tôt ou fard, en totalité ou en
partie
: il en résulte tantôt des altérations viscérales
évrismes vermineux. Dans ces derniers temps, M. Davaine, revenant, en
partie
, aux opinions an-ciennes, attribue aux entozoaire
tablissement plus ou moins facile de la circulation, au-dessous de la
partie
oblitérée par la voie des collatérales, telles pa
s, chez le cheval. Observation.— Artère iliaque primitive droite en
partie
trans-formée en anévrisme, en partie complètement
tère iliaque primitive droite en partie trans-formée en anévrisme, en
partie
complètement oblitérée. (Oblitération ligamenteus
venu à lui, il rend en vomissant une pleine cuvette de sang rouge, en
partie
liquide, en partie coagulé. Les syncopes se repro
en vomissant une pleine cuvette de sang rouge, en partie liquide, en
partie
coagulé. Les syncopes se reproduisent plusieurs f
amètre est de 4 ou 5 millimètres, dans le jéjunum, au moment où cette
partie
de l'intestin vase confondre avec le duodénum. Ce
i la repousse en haut et à gauche, de sorte qu'elle présente, dans la
partie
supérieure de son trajet, une courbure et un apla
ôtés par une couche épaisse de tissu cellulaire dense qui la fixe aux
parties
voisines. Quant aux voies par lesquelles la cir
les troncs artériels prin-cipaux. Les phénomènes de la nutrition des
parties
vasculai-res, des muscles, par exemple, se résolv
'aorte abdominale, ils perdent au bout d'un certain temps, une grande
partie
de leur irritabilité. Le repos chez les sujets at
d'excellentes conditions, et bientôt il pourra reprendre, au moins en
partie
, ses occupa-tions, et de nouveau, gagner sa vie.
e cependant au moyen de l'application de moxas que la sensibilité des
parties
superficielles y est éteinte; 3°la température s'
r-mettent le rétablissement facile de la circulation au-dessous de la
partie
oblitérée, par la voie des collatérales. Telles
développements. Je me réserve, afin de ne pas nuire à l'exposé de la
partie
descriptive, d'y revenir une autre fois. Pour le
e, on trouva un caillot décoloré dans la sous-clavière, un autre à la
partie
inférieure de l'humérale. Quelle est donc la natu
vant, car après la mort, la rigi-dité s'est manifestée sur toutes les
parties
du corps, à l'excep-tion de celle où elle avait p
milée, suivant les auteurs cités, à la rigidité qui se montre sur les
parties
ischémiées, dans l'expérience de Stenson, ou enco
jour méconnus; c'est à cette circonstance qu'est dû probable-ment en
partie
la rareté apparente de ces faits, alors que les c
de suite. Une jarretière placée sous le genou limiterait en haut les
parties
af-fectées pendant la crise. A ces phénomènes est
; un peu d'anesthésie au gros orteil ; il y a une petite eschare à la
partie
externe du petit orteil gauche. Je fais marcher l
pres-sion; il est constamment plus rouge et plus froid que les autres
parties
; 3« Au moment de la douleur de la nuit le gros o
oint de côté. A peine quelques râles sous-crépitants, dans les autres
parties
de l'organe pulmo-naire. Ces phénomènes locaux,
que et le corps strié sont restés sains au milieu de l'altération des
parties
voisines, ce qu'on peut aisément constater par un
plus foncée du reste de la surface de la section. La consistance des
parties
de couleur lie de vin et celles des parties jaune
ction. La consistance des parties de couleur lie de vin et celles des
parties
jaunes est à peu près la même ; cependant ces der
e ramollies au centre ; mais nulle part il n'y a de vrais foyers. Les
parties
violettes, lesquelles, soit dit en passant, de-vi
t dit en passant, de-viennent d'un rouge vif au contact de l'air, ces
parties
, dis-je, l'emportent un peu en étendue sur celles
tunique celluleuse ; et c'est bien la muqueuse qui a disparu, caries
parties
qui en restent sont très reconnaissables à la lou
ieurs et supérieurs, veine cave) ont été ouvertes dans la plus grande
partie
de leur étendue ; elles ne pré-sentaient pas d'al
ment de volume, et devient tout à coup moitié moins grosse. Dans sa
partie
supérieure, cette artère est remplie de caillots
nt fortement distendues par du sang noir à demi-coagulé. Toutes les
parties
du membre inférieur qui correspondent aux points
use. Quoiqu'il en soit, les observations sur lesquelles s'appuie la
partie
purement descriptive des travaux dont il vient d'
hypothèse purement gratuite, car, malgré un examen assez attentif des
parties
, nous n'avons rien rencontré qui soit de na-ture
ont les modifications qui survien-nent dans la nutrition des diverses
parties
constituantes du parenchyme pour en modifier la t
lle peut atteindre un plus haut degré, et la fétidité qu'exhalent les
parties
désagrégées ne laisse bientôt plus aucun doute su
partenant à la collection de l'auteur TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Maladies des Poumons PREMIÈRE LEÇON les insti
— Anatomie médicale de structure. — Structure lobulaire du poumon. —
Parties
similaires ou éléments de texture. — Lobules. — E
physiologique. — La matière noire pulmonaire est pour la plus grande
partie
constituée par du charbon, elle pénètre dans le p
...................................................... 289 DEUXIÈME
PARTIE
Tuberculisation et cancer. I. Purpura hemorragi
t dans certains cas de cancer........................ 308 TROISIÈME
PARTIE
Altérations du sang. — Leucocythémie et mélanémie
e crânienne qui paraît petite en comparaison du développement de la
partie
inférieure du visage. Le crâne a une conformati
développée et il existe un certain degré de prognathisme. Dans la
partie
horizontale de la mâchoire inférieure, on sent d'
apophyses clinoïdes postérieures, sont repoussées en arrière. La
partie
plus déclive de la fosse pituitaire apparaît enfo
GODIN. - Recherches anthropométriques sur la croissance des diverses
parties
du corps. Paris, 1901. HUETER. - Tuberculose
e reste du corps. L'artiste a eu beau s'ingénier à en dissimuler la
partie
inférieure sous le couvert d'une vaste jupe blanc
(PI. VI), quoique nous ayons essayé de photographier.aussi d'autres
parties
du corps de notre sujet. Ces deux radio- photog
ur nos dernières considérations, pouvoir donner raison, au moins en
partie
, à la théorie de Veissman sur l'hérédité, et surt
s, c'est-à-dire le pubis divise la longueur totale du corps en deux
parties
égales. Cependant chez notre sujet la distance
ètres et la distance du vertex au pubis = 78 centimètres ; ainsi la
partie
supérieure est presque deux fois plus grande qu
ainsi la partie supérieure est presque deux fois plus grande que la
partie
inférieure. Si les proportions normales étaient
rtie inférieure. Si les proportions normales étaient conservées, la
partie
supérieure (du vertex au pubis) correspondrait
e la moyenne mais ne dépassant pas les limites normales. Quant à la
partie
inférieure de notre malade (du pubis au sol), ell
ma disposition. J'ai divisé la description de tous les cas en trois
parties
: dans la première je traite des tumeurs vertéb
téGrales, ce sont des tumeurs qui ont leur point de départ dans les
parties
environnantes de la colonne vertébrale et qui pén
s symptômes de compression médullaire) ; enfin, dans la troi- sième
partie
il s'agit des tumeurs inlravertébrales. Des 22
meurs de la moelle épinière et DE la COLONNE vertébrale 49 PREMIÈRE
PARTIE
TUMEURS VERTÉBRALES Observation I. La malad
ong du corps. La main et les doigts conservent leurs mouvements. La
partie
supérieure de l'avant-bras et le bras sont modé
al. La substance blanche est également tout à fait normale. Dans la
partie
cervicale aussi bien que dans la dorsale et la
ale de la colonne ver- tébrale. Dans ces derniers temps aussi cette
partie
se courba ; le malade sou- tient qu'auparavant,
ale est peu mobile et pré- sente une lordose lombaire tandis que la
partie
supérieure de la région dorsale présente une cy
s ne sont pas bien localisées. La région la plus douloureuse est la
partie
inférieure de la colonne vertébrale (lombo-sacr
rs temps est apparueune courbure de la colonne ver- tébrale dans sa
partie
dorsale. A l'examen on constate que la pression d
rdose et la raideur de la colonne vertébrale, une gibbosité dans la
partie
dorsale. Les côtes gauclies inférieures étaient d
rs mouvements. Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale dans la
partie
inférieure de la région dorsale et dans la partie
ertébrale dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la
partie
supérieure de la ,région lombaire. Le malade re
que la marche lente soit encore possible. Une forte douleur dans la
partie
inférieure de la colonne vertébrale, dans les c
ées) est restée stationnaire. Depuis 2 ails la tumeur croit dans la
partie
supérieure du sternum. Au début on y sentait un
la tumeur du sternum et9 fois sur la colonne vertébrale (6, dans sa
partie
cervicale, 3 dans la lom- baire). La région de
alade, reste un peu longtemps assis il éprouve des douleurs dans la
partie
dorsale su- périeure. Le réflexe du tendon d'Ac
ans le corps thyroïde. Puis des néoformations dans les 'différentes
parties
du squelette osseux, entre autre au niveau de l
ements. Etat actuel. -Tout le sacrum est douloureux surtout dans sa
partie
supé- rieure. La malade ne peut rester couchée
par une gouttière. La tumeur gauche occupe la moitié gauche et une
partie
de la moitié droite du sacrum la droite, la par
ié gauche et une partie de la moitié droite du sacrum la droite, la
partie
droite du sacrum. Vers le haut on peut palper l
s la région de la fesse gauche et sur le côté postéro-interne de la
partie
supé- rieure de la hanche. Successivement, do
pied gauche. État actuel. Le sacrum est douloureux, surtout dans sa
partie
infé- rieure. Le toucher rectal démontre l'exis
stéomes des vertèbres. La moelle épinière est le plus mince dans sa
partie
correspondant aux ne et IIIe segments cervicaux.
rieure du corps de vertèbre sur un parcours de 1 centimètre dans la
partie
moyenne de la moelle cervicale. La limite supér
a IVe racine cervicale, c'est-à-dire qu'au-dessus bientôt commence la
partie
la plus mince de la moelle. La plaque de pachym
et celle de Gowers ; le cordon postérieur est encore plus lésé; ses
parties
antérieure et médiane sont sclérosées, il n'y a
oitié antérieure ne conserve presque plus de fibres myéliniques, sa
partie
moyenne a encore quelques faisceaux myéliniques
e mince zonule de fibre communique avec la corne antérieure dans sa
partie
postérieure ; enfin on voit les restes des libr
par son épaisseur sur la face antérieure de la moelle. Dans cette
partie
de la moelle tout à fait défigurée on constate en
substance blanche sont sclérosés, surtout le faisceau de Goll et la
partie
voisine du faisceau de Burdach; dans ces foyers
ssez bien conservées le long de la commissure grise et à côté de la
partie
antérieure des cornes postérieures. Dans les cord
posté- térieurs et latéraux comme une dégénérescence secondaire en
partie
au moins. Plus bas on constate dans les segment
ement (quoique pendant la vie les symptômes médullaires forment une
partie
du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont
uisent sous l'influence des tumeurs intradurales (v. plus loin IIIe
partie
). - 1 IV. - Les tumeurs vertébrales pénètrent d
valeur si fondamentale Je le fais parce que si dans la plus grande
partie
des cas ce signe se pré- sente associé aux autr
tH)le n'rlhl\ud PARALYSIES RADIALES LÉPREUSES i 1 Au niveau de la
partie
inférieure des avant-bras, la sensibilité était n
animaux. Livre IX, chap., XII. (4) BARTHÉLÉMY l'anglais dit que la
partie
inférieure de la cuisse de cet oiseau « vault c
ments d'extension et de flexion du poignet sont encore conservés en
partie
. Les réflexes périostés et osseux-du poignet so
ont réduits dans un état d'atrophie extrême. Dans cette région, les
parties
molles sont réduites à la peau, au tissu sous-c
nce qui s'im- pose par sa gravité et par sa' diffusion à toutes les
parties
du système ner- veux central ou périphérique :
st absenta gauche, faible à droite. Les troubles trophiques sont en
partie
disparus, mais il persiste un état lisse de la pe
conclure à une lésion localisée dans la région m.otrice gauche, à la
partie
supérieure de la frontale et de la pariétale as
dhérente aux parois. Le poumon est refoulé en bas et en arrière. La
partie
antérieure et supé. rieure de la cavité thoraci
tte hauteur presque toute la moitié droite de la moelle, excepté sa
partie
antérieure. En allant vers le bas'on voit la tu
te dernière est épaissie, hypertrophiée dans la moitié droite et la
partie
postérieure de la moitié gauche (son épais- seu
contrent en plus grand nombre dans les cordons postérieurs et dans la
partie
pos- térieure des cordons latéraux.Ils sontauss
d insensiblement avec la tumeur qui envahit le corps thyroïde et la
partie
inférieure du cou. La tête est immobile et un p
al gauche, une zone périphérique claire et un foyer allongé dans la
partie
postérieure du cordon. Les lésions du côté droit
tère de taches et de raies s'y retrouve. Deux grands foyers dans la
partie
postérieure du cordon sont surtout à noter. Com
: les foyers médullaires, par leur localisation,correspondaient en
partie
au moins à la tumeur (gonflement du cou, immobi
pant la région des vertèbres dorsales moyennes et pénétrant dans la
partie
supérieure de la cavité thoracique droite. TU
ntercostaux se trouve au sein des muscles une masse néoplasique, en
partie
rouge et en partie jaunâtre. Elle se détache ne
ve au sein des muscles une masse néoplasique, en partie rouge et en
partie
jaunâtre. Elle se détache nettement du fond mus
n partie jaunâtre. Elle se détache nettement du fond musculaire. La
partie
principale de la tu- meur se trouve dans l'enfo
, 2) dans le latéral gauche et encore des lésions diffuses dans les
parties
antérieures des deux cordons postérieurs. Alvéo
persés dans toute l'étendue des deux cordons postérieurs et dans la
partie
postéro-médiane des cordons latéraux (fig.30). Il
). La masse néoplasique adhérente à la dure-mère de dehors (dans la
partie
dorsale) est minime. Dans les cordons antérieur
que les racines qui se trouvaient en dehors de la dure-mère et les
parties
qui la traversaient étaient dégénérées, tandis
la moitié gauche du tronc et d'une sensation de serre- ment dans la
partie
inférieure du thorax et supérieure de l'abdomen.
opique de la moelle montra : des masses néoplasiques molles dans la
partie
cervicale qui entoure la moelle. Les masses intra
che aussi bien que la'grise (il est pourtant difficile à dire si,en
partie
au moins, cela ne dépend pas de la faute de fix
faute de fixation dans le chrome). Dans les cordons postérieurs la
partie
moyenne est le moins intensivement colorée et l
élargies). Par places (dans le faisceau gauche de Burdach, dans la
partie
postérieure du cordon latéral gauche), il y a des
LLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 171 plasique molle dans la
partie
cervicale de la moelle entourant la dure- mère
ar exemple du côté des membres inférieurs (douleurs, etc.) et de la
partie
inférieure du tronc étaient sans doute d'origin
du cou, du tronc, dans la cavité abdominale ou enfin dans d'autres
parties
du corps (Kollarits, Luce, Kinichi-Naka,Scllesing
ement des membres inférieurs (après la période des douleurs dans la
partie
supérieure du corps) durait à peine deux semain
tive était le sarcome du scrotum) ; dans le cas de Schlesinger, des
parties
molles de la nuque ; dans le cas de Schultze, d
a donc une analogie complète avec les cas décrits dans la première
partie
de ce travail. Là aussi nous avons démontré la po
néoplasiques (ou aux régions voisines), d'autres peuvent naître en
partie
sous la dépendance des lésions précitées (dégén
la dépendance des lésions précitées (dégénérescence secondaire), en
partie
spontanées (par intoxication ou par compression).
umeurs primitives, surtout les sarcomes, localisées au cou dans ses
parties
molles, à la nuque, au tronc, quand elles sont
bles, comme c'est le cas dans certains sarcomes vertébraux (v. la 1
partie
). Même quand les symptômes médullaires prennent p
ps mêmes et comprimait la dure-mère. On a éloigné à l'opération les
parties
malades et la guérison eut lieu. Dans le cas dé
ions histologiques. Nous examinerons cette question dans la seconde
partie
de cette étude. Le clinicien parfois est fort p
rter quelques lumières dans ce qui reste encore d'obscur dans cette
partie
de la physiologie, j'ai entrepris l'examen déta
urs, des rougeurs in- tenses ou la pâleur extrême de telle ou telle
partie
du corps : visage, poi- trine, partie supérieur
eur extrême de telle ou telle partie du corps : visage, poi- trine,
partie
supérieure du dos, la teinte marbrée de la peau d
mutation est ici tout à fait désintéressée, pleinement consciente, en
partie
volontaire, en partie impulsive. Il faut ranger
fait désintéressée, pleinement consciente, en partie volontaire, en
partie
impulsive. Il faut ranger dans la même catégorie
est sincère. Dans les anesthésies, il en est de même, simulation en
partie
consciente et volontaire, en partie inconscient
l en est de même, simulation en partie consciente et volontaire, en
partie
inconsciente et impulsive. Dans les contractures,
ille d'Or. L'étude des troubles mentaux dans la lèpre a été une des
parties
les plus négligées de la léprologie et les nomb
idité., Si l'association n'est pas indissoluble, quelle est celle des
parties
qu'on a le plus de chance de noter à, l'état d'
dant,sur les deux radiogra- phies successives que nous possédons la
partie
externe du cylindre diaphysaire est nettement p
pas l'extension ; la flexion est normale. La palpation montre à la
partie
dorsale de la tête de la première phalange, un
es ascendants, ni chez les collatéraux, rien de remarquable. (1) La
partie
clinique et critique de ce travail revient à M. G
ique et critique de ce travail revient à M. Giuseppe Franchini ; la
partie
radiographique à M. Mauro Zanasi. Nouvelle Icon
une troupe de saltimbanques, avec lesquels il parcourut une grande
partie
de l'Italie et du monde entier. Notre patient,
u fort développement des extrémités articulaires. L'humérus dans sa
partie
voisine de l'articulation est recourbé, il présen
ugmentées [de volume et ont des bords peu nets et irréguliers. La
partie
visible de la diaphyse de l'humérus est recourbée
A1RF 251 rieur se montre irrégulier ; la tête du péroné surpasse en
partie
en hauteur la ligne articulaire et ainsi elle p
rquable du côté des diverses espèces de sensibilité dans toutes les
parties
du corps. Marche à petits pas à cause du raccou
ant à son diamètre sagittal et aussi nor- male quant à ses diverses
parties
. Rien de remarquable aux mâchoires, aucune dent
de bien évaluer les rap- ports de forme et de position des diverses
parties
qui constituent l'articula- tion du coude, étan
e front, a la forme d'une S. Le sommet de la grande convexité de la
partie
inférieure de l'S est formé par une tubérosité.
elle doit se servir d'un escabeau. Elle aussi a parcouru une grande
partie
de l'Europe, elle parle plusieurs langues et en
réeraient le nanisme et la stérilité. Mais si l'on peut admettre en
partie
ce fait pour le premier groupe, est-ce que nous
llement l'ar- cade osseuse est élevée et de forme angulaire dans sa
partie
moyenne. Les fosses temporales ne sont ni creus
eut, au contraire, rien pré- ciser à propos de la déformation de la
partie
supérieure du sternum. L'augmentation de volume
déformante de Paget, localisée aux os du crâne et, peut-être, à la
partie
supérieure du sternum. Nous ne sommes pas-très
rme vasculaire de syphilis cérébrale avec un ramollissement dans la
partie
droite du pont de Varole et une dégénéres- cenc
silaire dans la région du pont de Varole et un ramollissement de la
partie
supérieure des circonvolutions centrales degauche
artie supérieure des circonvolutions centrales degauche comme de la
partie
antérieure du lobe temporal de gauche. La trois
ie-mère en correspondance avec le pont de Varole, une malacie de la
partie
supé- rieure des circonvolutions rolandiques à
adhérente aux méninges molles; épaississement et opacité des mêmes
parties
en correspondance avec les circonvolutions céré
aitement spécifique énergique, la paralysie s'améliora seulement en
partie
. Gros et Lanceraux, outre le cas déjà cité plus
spirations profondes ; à la percussion elle semble un peu agrandie.
Parties
génitales : cicatrices de date récente du sillon
oir fait prendre de l'iodure de potassium, la parésie se résolut en
partie
, mais le membre inférieur droit resta atropliique
w avait remarqué que la syphilis se localise de préférence dans les
parties
« affaiblies » et l'on ne peut nier qu'il en soit
parties « affaiblies » et l'on ne peut nier qu'il en soit ainsi des
parties
atteintes par le traumatisme. Du reste, l'importa
nt laquelle il fut frappé d'une hémiplégie droite qui se résolut en
partie
à la suite d'une cure intense au calomel, au su
aussi contribué à la localisation du processus syphilitique dans la
partie
droite du cerveau, c'est-à-dire là même où il a
oit que la coudure se fait, à peu près exactement à angle droit, la
partie
antérieure des quatre corps verté- braux effond
s son ensemble, 3 cent. 1/2 seulement de hau- teur.La soudure de la
partie
antérieure que semblait indiquer la radiogra- p
: la vertèbre sus-jacente est détruite presque en totalité, dans sa
partie
an- térieure, ce qui a permis la coudure du rac
oyenne, existait une gibbosité arrondie, due à la destruction de la
partie
antérieure de 5 corps vertébraux : le canal rac
ns le sens antéro-postérieur de 7 à 8 cen- timètres de diamètre. La
partie
postérieure des corps vertébraux atteints est e
, des esquilles soient projetées dans le canal rachidien, ou que la
partie
postérieure d'un corps vertébral, suffisamment
es ostéophytes, qui, croyait-on jadis, pourraient former autour des
parties
atteintes, un os nouveau, pour assurer la solid
lité, et un os de-solidité plus que douteuse. D'autant plus que les
parties
plus éloignées des lésions tuber- culeuses sont
VERTEBRALE . ' {Suite) ; " , 'PAR . Edouard FLATAU TROISIÈME
PARTIE
LES TUMEURS INTRA VERTÉBRALES · ' Observation
e. La marche est impossible. La sensibilité est affaiblie depuis la
partie
inférieure de l'abdomen (à moitié de l'espace q
nne). Le malade ressent d'une manière moins nette le toucher sur la
partie
inférieure de l'abdomen et sur les membres infé
toucher, les profondes très peu douloureuses. Cela s'observe sur la
partie
inférieure de l'abdomen, la face antérieure de la
it était plus faible que le gauche ; les troubles sensitifs dans la
partie
inférieure de l'abdomen et dans les membres inf
un an elle a commencé à sentir froid aux membres inférieurs et à la
partie
inférieure de l'abdomen ; les jambes commençaient
t douloureuse à la pression, dans toute son étendue,surtout dans la
partie
dorsale moyenne. La sensibilité au toucher et à
transversal 1 centimè- tre. La face postérieure de la tumeur est en
partie
adhérente à la face interne de la dure-mère. (C
, l'âge de la malade, l'absence de symptômes morbides du côté de la
partie
supérieure du corps parlaient contre la scléros
un étroit ruban adhérant d'un côté à une tumeur ronde (fig. 15). La
partie
postérieure de ce ruban (les cordons postérieurs)
econdaire, on doit plutôt supposer qu'il se trouve totalement ou en
partie
seulement sous la dépendance de la méningite puru
e cordon de Goll. Un constate des lésions presque analogues dans la
partie
distale de la moelle Fic. 15. Fibrosarcome psam
nt dans la zone postérieure une structure alvéolaire et le tissu en
partie
en désagrégation. Ce phénomène a pour cause les t
des fihres ner- veuses rompues, courtes; direction bizarre.Dans la
partie
postérieure du cor- don latéral se voit un grou
elle on voit une légère dé- générescence du cordon de Goll et de la
partie
externe du cordon latéral. La moitié gauche, à
ons qu'autrefois on attribuait à la catégorie des névromes. Dans la
partie
centrale du Ve segment dorsal on voit une formati
auche et du cou-de-pied gauche, accompagnées d'un gonflement de ces
parties
, qui tantôt persistaient, tantôt disparaissaient.
ls sont toujours étendus. Analgésie des membres inférieurs et de la
partie
inférieure de l'abdomen. La malade urine difficil
cent. 1/2 dans la région des Xe,XI" et XIIe segments dorsaux et en
partie
aussi dans celles de la Ire lombaire (fig. 22). L
re, qui, dans le voisinage de la moelle est compacte, mais dans les
parties
externes rappelle par sa structure les corps ca
broangiome cavernoso-veineux de la moelle, 1. Racine antérieure (en
partie
dégénérée). - 2. Arachnoïde. - 3. Racine antéri
la tumeur se trouve une racine postérieure aplatie, allongée et en
partie
dégénérée. Sur la face antérieure de la tumeur ég
elle est stratifiée, rappelle la structure de la méninge molle. La
partie
centrale est moins colorée et possède une structu
voit dans le sein de la tumeur des grands espaces vides, remplis en
partie
par une masse rosàtre amorphe sans aucune struc
ombre d'espaces vides, des lacs. Ces espaces sont entièrement ou en
partie
seulement entourés par les parois, les cloisons.
tuées plus bas. Elle y est aplatie aussi du côté gauche (une petite
partie
du cordon droit postérieur adhère à la tumeur).
a voie cérébelleuse gauche. xx III 23 346 FLATAU niveau de la
partie
supérieure du Xe segment dorsal (fig. 20). On y v
s vides et des espàces veineux entièrement remplis de sang. Dans la
partie
proximale on voit une dégénérescence secondaire d
l gauche. Dans la moelle cervicale la dégénérescence se limite à la
partie
postérieure du faisceau cérébelleux (lig. 26).
rondes dégénérées dans les cordons (de Goll) postérieurs et dans la
partie
postérieure du faisceau cérébelleux gauche dans
tre, tantôt dans les côtés, tantôt dans les fesses ou diffé- rentes
parties
des membres inférieurs. Ces symptômes s'accentuai
gue de 3 cent. 1/2 au niveau des Xc, Xh et XIIe segments dorsaux en
partie
aussi de la 1 lombaire. La tumeur adhérait à la
ne structure caverneuse. Les cavernes sont remplies de sang dans la
partie
supérieure TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE
E LA COLONNE VERTÉBRALE 34 ! J et inférieure de la tumeur. Dans les
parties
moyennes elles sont complè- tement vides ou rem
les parties moyennes elles sont complè- tement vides ou remplies en
partie
seulement par une masse amorphe ; ça et là vers
nt dila- tés. Les racines adhérentes à la tumeur sont dégénérées en
partie
, les aulres beaucoup moins. La moelle est aplat
nsations de brûlure et des picotements. Les douleurs naissent dans la
partie
supérieure de la colonne vertébrale et de là vo
laté- ral gauche, l'autre, dans les cordons postérieurs près de la
partie
antérieure de la cloison longitudinale postérie
ristiques pour les foyers alvéolaires. Beaucoup de mailles larges, en
partie
vides, des masses grandes rondes, etc. Les coup
es radiculai- .res) et dans les antérieurs (le fond et le centre en
partie
). Les vaisseaux en nombre augmenté. Pas de lési
d'un malade de 49 ans qui a ressenti au début des douleurs dans la
partie
supérieure de la colonne vertébrale et dans les
a colonne vertébrale et dans les omoplates. Les douleurs depuis ces
parties
se propageaient jus- qu'aux doigts. Peu à peu l
moelle au-dessous de la tumeur montrait un fait paradoxal : dans la
partie
dorsale il n'y avait pas de dégénérescence second
ntait dans les faisceaux pyramidaux latéraux (la dégénérescence des
parties
de la voie pyramidale les plus éloignées de l'en-
droite, de l'hypochondre droit et de la colonne vertébrale dans la
partie
dorsale est douloureuse. La sensibilité est int
ace interne de la dure-mère. Les racines dans son voisinage sont en
partie
intactes, en partie fortement dégénérées.Les va
re-mère. Les racines dans son voisinage sont en partie intactes, en
partie
fortement dégénérées.Les vaisseaux lésés spécif
a périphérie des cordons antéro-latéraux. Légère dégénérescence des
parties
antérieures des cordons postérieurs (dans le vois
se est raréfié. Les cloisons sont épaissies. Les racines gauches en
partie
dégénérées. Dans le IIe segment dorsal on voit
blitérées. Le Ille segment dorsal contient une gomme qui part de la
partie
antérieure de la face interne de la dure-mère (
platie et on y remarque un profond enfoncement. Les racines sont en
partie
dégénérées. Pas de dégénérescences secondaires ni
t plus épaisse du côté des cordons postérieurs. Les racines sont en
partie
dégénérées. L'une d'elles, la postérieure gauche,
du côté des cordons postérieurs ; quelques racines dégé- nérées en
partie
; les vaisseaux présentent des altérations spécif
ond à la corne antérieure. - 2. Dure-mère. 3. Racine postérieure en
partie
dégénérée. - 4. Gomme de la méninge. S. Gomme i
méninges molles, située du côté des cor- dons postérieurs et d'une
partie
du cordon latéral. Cette infiltration pénétrait
ap qui recouvrait la pièce, appliquée sur la peau. On voit en la la
partie
du sparadrap dé- collée, probablement a la suit
èce de monnaie et on a vu nettement que le sparadrap couvrant cette
partie
de la peau était décollé, ce qui prouve que la bu
mière fois par Betz. Enfin il n'y a pas de limite tranchée entre la
partie
inférieure de l'écorce et la substance blanche,
trophie des cellules géantes dans la frontale ascendante et dans la
partie
antérieure du lobule para- central et d'autre p
dans les pyra- mides profondes de la pariétale ascendante et de la
partie
postérieure du lobule par acentral (1). Une con
ffre les mêmes caractères que la frontale ascendante et celle de la
partie
postérieure est à peu près identique comme stru
aractérise par l'apparition de la couche granuleuse interne dans la
partie
postérieure et par la disparition des cellules
ore de trancher ces différences entre les deux régions c'est que la
partie
antérieure est beaucoup plus épaisse que la parti
ons c'est que la partie antérieure est beaucoup plus épaisse que la
partie
postérieure. C'est ainsi que la moyenne du type
type 4 de Brodmann corres- pondant à la frontale ascendante et à la
partie
antérieure du lobule para- central est de 3 cm.
ent tout d'abord que l'épaisseur de la frontale ascendante et de la
partie
antérieure du lobule para-central dépendent dan
le tiers supérieur, moyen et inférieur (fig. 5, Pl Y11VIEI).Dansla
partie
la plus supérieure de cette circonvolution les
MOUVEMENTS VOLONTAIRES 377 ou bien n'en occupant seulement qu'une
partie
pour finir avec la scissure de Rolando. En ce
densité des cellules est plus grande, c'est-à-dire au niveau de la
partie
la plus supérieure de la circonvolution. La forme
ciatus et chez les primates dans le lobule paracentral, sauf dans la
partie
tout à fait postérieure de celui-ci, et dans la
sauf dans la partie tout à fait postérieure de celui-ci, et dans la
partie
supérieure de la fron- tale ascendante. Les lés
endante est la circonvolution motrice « par excellence » et que les
parties
antérieures du lobule paracentral et de l'opercul
la zone motrice de Brodmann. Les lésions sont plus intenses dans la
partie
inférieure, de la frontale ascendante, où toute
les, d'autres sont en voie de dégénérescence pig- mentaire. Dans la
partie
postérieure du lobule paracentral, type 5 de Brod
e. Foyer hémorragique dans la capsule externe gauche intéressant la
partie
externe du noyau lenticulaire. Un autre foyer p
noyau lenticulaire. Un autre foyer plus petit, se trouvait dans la
partie
postérieure de la capsule interne gauche. Exame
normales et un certain nombre qui sont en voie d'atrophie. Dans la
partie
postérieure du lobule paracentral, là où sa str
oit ainsi que la capsule externe. Un autre foyer, petit, siège à la
partie
supérieure de la couche optique droite. Exame
die, 6 mois. Examen macroscopique. Petit foyer hémorragique dans la
partie
posté- rieure du noyau lenticulaire droit. Ex
t marcher soutenu. Examen macroscopique. Foyer hémorragique dans la
partie
postérieure du noyau lenticulaire gauche, détru
térieure du noyau lenticulaire gauche, détruisant une portiou de la
partie
postérieure de la capsule interne. - Examen mic
que toutes les cellules situées dans la fron- tale ascendante et la
partie
antérieure du lobule paracentral. Chez les sujets
droit.un foyer plus grand et plus récent qui détruit la plus grande
partie
de la couche optique et tout le segment postérieu
sont un peu moins intenses, mais à mesure qu'on se rapproche de la
partie
inférieure de ces circonvolutions les lésions d
oyers symétriques ayant le volume' d'un pois et qui siègent dans la
partie
externe des noyaux lenticulaires et dans les ca
capsules externes. Plusieurs foyers plus petits dans les différentes
parties
de la substance blanche du cerveau, dans les no
l on voit que les cellules de Betz des lobules paracentraux sont en
partie
atrophiées, en partie normales. Dans le tiers sup
ules de Betz des lobules paracentraux sont en partie atrophiées, en
partie
normales. Dans le tiers supé- rieur des frontal
nt, grand comme un haricot, a détruit la tête du noyau caudé et une
partie
du segment antérieur de la capsule interne ; deux
nt antérieur de la capsule interne ; deux petits foyers occupent la
partie
externe du noyau lenticulaire ; un autre foyer es
plus manifestes dans l'hémisphère gauche et des deux côtés dans les
parties
inférieures des circonvolutions fron- tales asc
s, également abolis immédiatement après l'accident, sont revenus en
partie
. Durée de la maladie 68 jours. Examen macroscop
t des portions supérieures des frontales ascendantes sont en grande
partie
petites, atrophiées, très pigmentées, mais très n
n atrophie des cellules de Betz des lobules paracentraux et dans la
partie
tout à fait supérieure des frontales ascendantes.
tiers supérieur des fron- tales ascendantes des deux côtés. Dans la
partie
postérieure du lobule para- central, ayant la s
eu à un processus pachyméningitique qui comprimait et détruisait la
partie
inférieure de la moelle dès le III" segment lom
croscopique. - Les cellules de Betz des lobules paracentraux et des
parties
supérieures des frontales ascen- dantes sont en
ophie des cel- lules géantes de l'écorce cérébrale correspondent en
partie
avec les cons- tatations faites chez les hémipl
chez les hémiplégiques; mais les lésions sontplus accusées dans les
parties
inférieures des frontales ascendantes, c'est-à-di
st-à-dire aux centres corticaux de la face, du larynx, etc. Or, ces
parties
sont justement les plus atteintes dans la paral
pposer que les prolongements cylindraxiles des cellules géantes des
parties
inférieures des frontales ascendantes passent, en
géantes des parties inférieures des frontales ascendantes passent, en
partie
, à travers ces noyaux. , Dans la sclérose lat
dans le cas de Brodmann, les cellules de Betz sont situées dans la
partie
profonde du versant rolandique. Pour toutes ces
bs. 1) FlG. 2 (Obs. ruz 02 ETIENNE arriver en haut jusqu'à la
partie
interne de la clavicule, et en dehors jusqu'à l
e teinte fauve très clair, à peine apparente, siège au niveau de la
partie
inférieure de la fesse gauche. 3° Système du ge
s, à disposition li- néaire, orientées de haut en bas, s'étend à la
partie
inférieure de la face posté- rieure de la cuiss
nférieur du grand fessier, apportent la sensibilité à la peau de la
partie
inférieure de la fesse. Le deuxième paraît ress
eau d'épanouissement des branches terminales, s'étendant jusqu'à la
partie
inférieure du creux poplité, du nerf cutané posté
terminales, les nerfs perforants antérieurs, à toute la peau de la
partie
antérieure de la zone du 2e espace intercostal, e
e du cutané brachial in- terne, lequel se répand dans la peau de la
partie
interne du bras par deux branches terminales, u
ne lentille à celles d'une pièce de vingt centimes, occupe toute la
partie
antéro-latérale gauche du thorax et une partie du
mes, occupe toute la partie antéro-latérale gauche du thorax et une
partie
du bras. Le bras étant placé en abduction forcé
le creux de l'aisselle jusqu'à la ligne axillaire postérieure, et la
partie
postéro- interne du bras, ainsi que le montre b
très élevé, et en rotation externe forcée, de façon à présenter la
partie
postéro-interne du bras, la région anté- rieure
antérieure, envoie son rameau postérieur donner la sensibilité à la
partie
postéro- interne du bras (Morel), et à la région
e du bras (Morel), et à la région latérale de la cage thora- cique,
partie
supérieure de l'aisselle ; tandis que son rameau
erf accessoire du cutané brachial interne qui innerve la peau de la
partie
interne et antéro-interne du bras,et dont le te
vert par le naevus ; et son rameau postérieur innerve la peau de la
partie
latérale de l'ais- selle, et aussi de la partie
nerve la peau de la partie latérale de l'ais- selle, et aussi de la
partie
postéro-interne du bras (PI. XLI). Et autour de
t en dehors en recouvrant le 8° espace intercostal, la 8° côte, une
partie
du 7e espace intercostal ; une partie de la 90 cô
intercostal, la 8° côte, une partie du 7e espace intercostal ; une
partie
de la 90 côte et du 9'espace. Il descend parall
ire plan sur les territoires des 8°, 9e et 10" intercostaux ; d'une
partie
du 2" intercostal droit, et des 2e, 3e ? 5" et
rte que le territoire du 3e inter- costal, par exemple, recouvre en
partie
celui du 2e et du 4e. De ces cas rapprochons le
lutôt d'origine myétitique. Sa disposition paraît bien recouvrir la
partie
interne des deux zones intercostales ; mais sa
longements cylindraxiles allant former les cordons postérieurs et en
partie
les racines postérieures delà moelle (Brissaud)
té de l'appareil médullaire embryonnaire, de l'amas gan- glionnaire
partie
de la crête de Sagemehl ou cordon ganglionnaire d
es sont modérément développés. Pas d'anomalies notables du côté des
parties
constituant le squelette, sauf dans la colonne
viation latérale est convexité gauche. Le thorax est aplati dans sa
partie
supérieure, bombé dans l'inférieur : il est obl
etracté sont englobés dans ces adhéren- ces ; la fistule siège à la
partie
moyenne du côlon descendant. Le reste du gros i
) traversent à un centimètre environ de chaque côté de la suture la
partie
postérieure des pariétaux. La face est plus dév
l'apo- physe odontoïde (sauf à gauche), des masses latérales, de la
partie
postérieure de l'arc et des apophyses épineuses
e gauche; l'apophyse odontoïde inclinée en arrière est usée dans la
partie
antérieure de son extrémité libre ; le pédicule
l'axe est en baïonnette ; oblique en bas et un peu à gauche dans sa
partie
atloïdienne où il continue la direction delà crêt
, dans son segment axoïdien. Le canal rachidien est rétréci dans sa
partie
occipale par la saillie en avant de l'apophyse
on constate la soudure des deux vertèbres ; l'atrophie de toute la
partie
droite de l'axis, qui est en même temps tordue en
déterminant ainsi une scoliose il concavité gauche, qui compense en
partie
la courbure supérieure à concavité droite. Da
un processus d'ostéite raréfiante et sa face supéro-externe est en
partie
détruite : à ce niveau existait avant la mort u
ecurvatus ou de genu recurvatum. Notons encore la proéminence de la
partie
sous-ombilicale de l'abdomen avec écartement des
de quelques nodules para-osseux douloureux à la pression forte; les
parties
molles du médius ont un volume un peu exagéré ; c
s décalcification on voyait que le cartilage hyalin était « dans sa
partie
profonde le siège d'un processus d'ossification p
orteil, que le premier et le troisième dé- passent et recouvrent en
partie
. Une jeune fille de quatorze ans, étudiée par B
leurs de la nuque ont dirninué et la transpiration exa- gérée de la
partie
supérieure du corps a disparu. Etat actuel (26
Rétlexes périostaux à droite conservés, à gauche abolis. Toute la
partie
supérieure du corps y compris la face transpire f
oût 1909. Autopsie. On constate un élargissement considérable de la
partie
cervi- cale de la moelle, surtout de ses segmen
et une colo- ration différentes. Dans la région correspondante à la
partie
centrale de la substance grise, on voit une mas
t le reste de cette masse molle et la fente syringomyélique dans la
partie
centrale de la coupe. Au niveau du Xe segment d
Les masses plus claires laissent voir qu'elles sont constituées de
parties
plus petites, réunies ensemble comme une mosaïq
A ce moment on constata une différence dans la transpiration de la
partie
su- périeure et inférieure du corps : la tête e
e cas). Quand la moelle épinière est lésée transversalement dans sa
partie
supérieure, les réflexes tendineux des membres
iation des dou- leurs vers les membres inférieurs, la raideur de la
partie
inférieure de la colonne vertébrale, des rémiss
s se plaignent précisément de sensation de brûlure dans différentes
parties
du corps, assez souvent ils accusent une sensat
) Il exécute l'ordre. Eu général, le malade comprend la plus grande
partie
des ordres élémentai- res qu'on lui donne. Co
nce molle de couleur jaunâtre ; et l'on trouve également ramolli en
partie
le gyrus lem- poralis (profundus) lransversus (
re, on voit les faits suivants : le gyrus poste- rior insulx est en
partie
détruit ; les fibres de l'axe médullaire correspo
; les fibres de l'axe médullaire correspondant sont raréfiées et en
partie
dégénérées. Le gyrus brevis tertius est presque t
res de l'axe médullaire et du réseau supra et infraradiaire sont en
partie
disparues ; le gyrus anterior est bien conservé
conservé ; toutefois les réseaux supra et infrara- diaires sont en
partie
disparus. Dans le gyrus temporalis transversus
s supel'iol' est normal ; l'operculum rolandicum est dis- paru. Une
partie
des fibres de l'ol)ei-c ? tl2tîîi desF3 est raréf
limètres au-des- sous du bord supérieur de l'hémisphère, on voit en
partie
détruite la subs- tance blanche c ! ugy l'1lspa
ugy l'1lsparietalis ascendens. Celte destruction s'étend jusqu'à la
partie
correspondante du centre ovale, de façon à couper
esque complète de la circonvolution postérieure de l'insula, et, en
partie
, des circonvolutions moyennes avec état plus grav
volu- tion antérieure de la môme formation ; dégénérescence, et, en
partie
, des- truction de la portion dorsale du gyrus t
orté à croire que cette altération doit y être, pour la plus grande
partie
, étrangère. On n'en peut dire autant pour les cir
attribuer l'abolition de la compréhension de la signification d'une
partie
au moins des mots. Cependant si l'on voulait cont
ment, la « moitié postérieure du gyrus temporalis supremus est la
partie
dont la destruction produit, de règle, le surdité
as de Heubner (2) : à la coupe du cerveau, on trouva un foyer de la
partie
postérieure de Ti, du sulcus temporalis sU]J1'e
que soit con- servé aussi le gyrus temporalis transt'e1'SUS et une
partie
considérable du gyrus temporalis supremus. Voil
t que le gyrus temporalis transverses reste conservé (en tout ou en
partie
), on observe, de règle, chez les droitiers une
syllabes et des bisyllabes doive s'effectuer chez les droitiers, en
partie
au moins, à travers le gyrus temporalis trazasver
également aux gauchers. En effet, dans mon cas, où, pour une petite
partie
seulement, le gyrus tempo- Talis transversus ét
ent intact, et où il y avait seulement une destruction d'une petite
partie
de l'aire de l'aphasie sensorielle, le patient
ions du langage auxquelles sont consacrées, chez les droitiers, les
parties
correspondantes de l'hémisphère gauche. En somm
s lettres : se comportent de façon tout à fait analogue à celle des
parties
correspondantes de l'hémisphère cérébral gauche c
eus ;01, g. occipit. primus ; 02, g. occipit. secundus - On voit en
partie
détruit le gyrus posterior j,¡sulæ; les fibres
terior j,¡sulæ; les fibres de l'axe médullaire sont raréfiées et en
partie
dégénérées ; le gyrus brevis tertius insulte es
le gyrus brevis se- cundus, les fibres de l'axe médullaire sont en
partie
disparues, ainsi que celles du réseau supraradi
en conservé ; toutefois les réseaux supra et infraradiaires sont en
partie
disparus. Dans le gyrus ' temporalis transversu
temporaLis sup,'emus est normal. De même l'operculum rolandicum. Une
partie
des fibres de l'operculum de la F, est raréfiée
m rolandicum, à l'exception de sa face occipitale. Est dégénérée la
partie
dorsale et an- térieure de la substance médulla
bstance médullaire du gyrus temporalis supremus ; sont détruits, la
partie
insulaire du fasciculus arcualus, la portion post
te et du trigone, ou du moins, un développement rudimentaire de ces
parties
. Un déve- loppement incomplet ou asymétrique de
Onufrowicz, la circonvolution limbique supé- rieure est absente, la
partie
antérieure de la scissure calloso-marginale est
corps du trigone et la cloison transparente sont t divisés en deux
parties
égales. Onufrowicz poursuit ensuite l'étude des
rps calleux n'avait été détruit que sur la ligne médiane et que ses
parties
la- térales ou intrahémisphériques étaient cons
première observation, la section avait intéressé le splénium et la
partie
attenante du tronc du corps calleux ; tout le res
x, que Muratoff appelle le faisceau sous-calleux et qui forme cette
partie
du tapétum située au-dessus et en dehors de la
trêmement dégénérés, le splénium parfaitement sain. A gauche, cette
partie
du faisceau sous-calleux qui se rend au lobe fron
rontal et au lobe temporal était totalement dégénérée, alors que la
partie
située au-dessous du splénium et destinée au lo
sceau sous-calleux décrit chez le chien par Muratoff comprend trois
parties
distinctes : 1° une partie supérieure horizontale
ez le chien par Muratoff comprend trois parties distinctes : 1° une
partie
supérieure horizontale située au- dessous du co
supérieure horizontale située au- dessous du corps calleux ; 2° une
partie
latérale descendante qui s'inter- cale entre le
e sagittale interne fronto-pariétale de Anton et Zingerle) ; 3° une
partie
inférieure qui recouvre les ganglions de la bas
de la base. L'auteur admet d'ailleurs que son faisceau s'identifie en
partie
avec le faisceau du noyau caudé de Sachs. (1)
e nous venons d'émettre, à savoir, que ce segment fait réelle- ment
partie
de la couronne rayonnante. Le faisceau sous-calle
occipital ; dans le premier cas, la sclérose n'est pas limitée à la
partie
descendante, mais envahit le faisceau diffuséme
au niveau de la tête et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en
partie
dissocié au niveau de la queue de ce dernier, par
que par une couche de fibres commissurales très mince, limitée à la
partie
antérieure du cerveau et qui ne dépasse pas en
e trouvent presque complètement exposées, grâce à ce que la majeure
partie
de la paroi médiane du ventricule fait défaut. Il
timètre. En arrière, cette formation calleuse adhère fortement à la
partie
supérieure du bourrelet cortical ci-dessus décr
- tion de leurs fibres, Ces fascicules se dessinent d'abord dans la
partie
pos- térieure du lobe frontal où ils forment un
e malgré les lésions si étendues de l'hémisphère gauche, la majeure
partie
de ce faisceau persiste, démontre bien que celu
ce niveau le tapétum. Contrairement à l'opinion de Oscar Vogt, une
partie
du faisceau fronto-occipital n'accompagne pas le
faisceau assez volu- mineux qui se dirige en arrière en longeant la
partie
interne de la voûte du ventricule latéral. Lors
atteint le carrefour ventriculaire, ce fais- ceau se divise en deux
parties
; le moindre contingent se recourbe en bas (1)
que le droit, il existe une microgyrie très accentuée de la majeure
partie
du lobe frontal, Le cunéus est traversé par une
pré- senter la reproduction fidèle des coupes originales. Des trois
parties
du faisceau occipito-frontal de Dejerine, une c
ne dépendance du corps calleux, bien que Sachs en veuille faire une
partie
de son faisceau du noyau caudé. Ce qu'est en réa-
ccolés l'un à l'autre et retenus seulement par la pic-mère. Dans la
partie
antérieure de ce fragment commissural cependant
s antérieur, ou ce qui correspond à peu près au genou, est la seule
partie
qui soit nettement formée. En bas et en avant c
es dans la pro- fondeur de chaque hémisphère ; l'un pénètre dans la
partie
supérieure, l'autre dans la partie inférieure d
émisphère ; l'un pénètre dans la partie supérieure, l'autre dans la
partie
inférieure du lobe frontal. On ne trouve pas la
e n'est pas, à proprement parler, un exemple d'agénésie. Toutes les
parties
du corps calleux sont nettement représentées, s
ux se trouvent à communi- quer l'un avec l'autre. Toutes les autres
parties
du cerveau existent, mais on note cependant un
lizzi,l'idée d'une déformation et d'une dysharmonie des différentes
parties
du corps en dehors de la réduction de la taille ;
rivaient aux grands trochanters ; il avait de petits testicules, en
partie
cachés dans le canal inguinal ; 534 ETTORE LE
ers comme des cas tératologiques,des êtres chez lesquels toutes les
parties
du corps ont subi une diminution générale et do
elle est relativement très grande : 5 centimètres de. hauteur. Les
parties
car- tilagineuses en sont aussi excessivement f
tre examiné avec une netteté admirable grâce au peu d'épaisseur des
parties
molles. Nous ne constatâmes absolument rien d'a
exemple des plus purs de nanisme vrai ; la réduction de toutes les
parties
de son corps est si parfaite- ment harmonique e
omme chez notre premier sujet, très saillant en arrière et donne à la
partie
postérieure du crâne un aspect carré. , Les s
bertson, puisque ces nerfs n'ont pas été examinés dans toute cette
partie
de leur trajet'qui s'étend d"l'uis' leur traver
n typique que nous décrivons (Leboucq), un pli transversal coupe la
partie
métacarpienne de la paume. En général, les modi
l est claviforme ; il est repoussé sur la face dorsale et repose en
partie
sur l'un de ses voisins dévié. La marche n'est
La diaphyse est brève, souvent légère- ment incurvée. La base et la
partie
adjacente du corps semblent norma- les. La tête
on sont capables de raccourciriez os métapodiaux, en totalité ou en
partie
. Lésion monosegmentaire, symétrique, congénital
nique dans d'au- tres. Une anomalie vasculaire expliquerait-elle en
partie
les autres locali- sations ? Celle conception e
ion sera retardée, et c'est peut-être ainsi qu'il faut expliquer en
partie
certains faits d'hyperpha- langie. Le process
réfiante (Poncet). Addendum. Depuis la publication de la première
partie
de cet article, plusieurs do- cuments intéressa
ent au-dessous du noyau lenticulaire, correspondant à peu près à la
partie
médiane. Hémisphère droit. Là encore la lésion
riculaires, les plus fréquentes, celles qui constituent, la majeure
partie
de la sclérose périventriculaire. Celles-ci son
rayonnent de bas en haut vers le bord supérieur de l'hémisphère. Là
partie
anté- rieure de cette circonvolution atypique e
e pinéale sont toutes normalement conformées. Il en est de même des
parties
qui forment le plancher du troisième ventricule.
convolutions occipitales sont l'une et l'autre subdivisées en trois
parties
par de courts sillons superficiels.Le pli courbe
e pied de la première circonvolution temporale ne se joint pas à la
partie
inférieure du gyrus supramarginalis, mais se re
é complétée, l'hémi- sphère droit fut coupé horizontalement en deux
parties
et l'hémisphère gauche vertico-frontalement en
UE. - Hémisphère gauche. SREIE VERTICO-rRONTALE. Lobe frontal. La
partie
antérieure de ce lobe (fig. 1) est constituée par
tinue avec un champ de fibres triangulaire et très compact situé à la
partie
moyenne du bord orbitaire du lobe frontal. Ce c
ace orbitaire. Nous en reprendrons l'étude à ce niveau. , Dans la
partie
postérieure du lobe frontal (PI.LXXIfI-r1) et sur
e la face médiane au tuber cinereum et aux ganglions de la base. La
partie
supérieure de cette paroi est occupée en partie p
ions de la base. La partie supérieure de cette paroi est occupée en
partie
par une masse de fibres très compacte qui se dé
e la cou- ronne rayonnante, et loge probablement aussi, du moins en
partie
, le segment fronto-pariétal du cingulum. Il con
. 2. AGENÉSIE DU CORPS CALLEUX G37 Lobe pariéto-temporal. Dans la
partie
antérieure de cette région et correspondant à l
oroïdienne qui forme la voûte de ce ventricule a donc été en grande
partie
détruite. Au pourtour de la circonvolution limbiq
usquement pour affecter un trajet sagittal ou antéro-postérieur. Sa
partie
supérieure hé- berge une partie du cingulum, ma
t sagittal ou antéro-postérieur. Sa partie supérieure hé- berge une
partie
du cingulum, mais l'enchevêtrement des fibres est
- nérées. Le faisceau sagittal médian se confond au-dessous avec la
partie
laté- rale du trigone, mais il est séparé de ce
nt quant à leur calibre, leur coloration et leur disposition. De la
partie
latérale du trigone se détache un fascicule légèr
La capsule externe présente encore la même décoloration intense de sa
partie
inférieure, mais reçoit dans sa partie supérieu
e décoloration intense de sa partie inférieure, mais reçoit dans sa
partie
supérieure, de la couronne rayonnante voisine,
bien définis quoique moins développés qu'à l'état normal. Dans la
partie
postérieure du lobe pariéto-temporal (PI. LXXIV-E
faisceau calleux sagit- 640 ARCHAMBAULT tal, constitue la majeure
partie
du champ qui nous intéresse. En dedans, où elle
blement déterminé la légère dégénérescence que l'on observe dans la
partie
correspondante de la capsule interne. La glande p
l de la couche sagittale externe. Ce segment reçoit également de la
partie
supérieure de la première circonvolution temporal
étonnante et la disposition de ses libres devient plus complexe. Sa
partie
latérale est occupée par plusieurs fas- cicules
t le long de la paroi ventriculaire latérale pour se rendre dans la
partie
la plus supérieure du faisceau sagittal, alors
'hémi- sphère se recourbent en bas et en dedans pour passer dans sa
partie
la plus in- férieure. Cet arrangement en forcep
ourber en- suite vers l'écorce de la circonvolution limbique. Cette
partie
du faisceau sa- gittal médian qui côtoie le ven
m sphénoïdal quelques grêles fascicules qui passent en dedans de la
partie
recourbée du noyau caudé. La circonvolution de
agittale interne de la couronne rayonnante pariétale abandonne à la
partie
supérieure de l'isthme limbique un grand nombre d
ement à ce niveau le cin- gulum pariétal. Lobe occipital. Dans la
partie
moyenne de ce lobe, la corne postérieure 644 AR
tributaires du faisceau sagittal médian. Cependant au niveau de la
partie
moyenne de la paroi ven- triculaire interne, le
physe limitée. . Le tapétum n'est reconnaissable qu'au niveau de la
partie
antérieure de la paroi ventriculaire latérale e
la paroi ventriculaire latérale et fait complètement défaut dans la
partie
posté- rieure de cette paroi et sur toute la lo
la couche sagittale interne et non avec le tapétum, au niveau de la
partie
antérieure de la paroi latérale où ces deux for
ien développées et nettement différenciées. L'hémi-pédoncule et les
parties
qui forment le plancher du troisième ven- 43
ptionnelle. Nous ne parlons pas de son segment massif situé dans la
partie
ventrale du corps strié et que l'on recon- naît
emporooccipitale. Elles semblent bien entrer en relation avec cette
partie
du tapétum qui recouvre au-dessous et en arrière
missure antérieure. La terminaison de la bandelette optique dans la
partie
antérieure et inférieure du corps genouillé ext
n degré très appréciable et qu'elles présentent en outre, dans leur
partie
centrale, la même structure histologique que l'éc
forme ovalaire et de date relativement récente, détruit la majeure
partie
du segment externe du noyau lenticulaire et empiè
porale et traversent l'angle postérieur du noyau lenticulaire et la
partie
correspondante de la capsule interne pour arriv
et la partie correspondante de la capsule interne pour arriver à la
partie
antérieure du corps genouillé interne. Ces fibres
in, contournent le pied du pédoncule cérébral et s'épuisent dans la
partie
antérieure du corps de Luys. La moitié postérie
ntièrement restaurée. La paroi interne de cette corne est formée en
partie
par les circonvolutions médianes et en partie par
e corne est formée en partie par les circonvolutions médianes et en
partie
par un prolongement cor- tical qui relie celles
de la paroi interne de la corne frontale. Nous attribuons la majeure
partie
de ce faisceau au système calleux et nous le dé
nterne de la couronne rayonnante, malgré son enchevêtrement avec la
partie
antérieure du faisceau sagittal médian, jusque
se et servent également à expliquer les relations anormales que les
parties
voisines ont acquises. Le pilier antérieur du t
a commis- sure molle. Un peu plus haut, la circonvolution limbique (
partie
correspondant au segment supracalleux de cette
sente une dilatation très nette de son segment temporo-occipital. Une
partie
de la toile choroïdienne est encore visible et
i, lequel, à part une dégénérescence diffuse, pré- sente près de sa
partie
moyenne un foyer vasculaire qui explique probable
est situé luc. 5. 652 ARCHAMBAULT immédiatement en dedans de la
partie
moyenne de la paroi ventriculaire in- terne et
dehors, détruit le lobule postérieur du gyrus suprarnarginalis et la
partie
attenante du pli courbe; il en résulte une déco
détachent avec la plus grande netteté. La couche externe se rend en
partie
au pôle frontal, en partie à l'écorce de la fac
de netteté. La couche externe se rend en partie au pôle frontal, en
partie
à l'écorce de la face médiane, et s'entrecroise p
dymaires et sous-épendymaires qui sont surtout accen- tuées dans sa
partie
occipitale. Résumé ET interprétation DES faits.
re médiane compacte qui relie les deux hémisphères, mais aussi deux
parties
inlrahémisphériques qui n'en sont que les prolo
prend qu'un arrêt de développement explique l'absence de la majeure
partie
d'un hémi- sphère, d'un lobe ou d'une région qu
que nous étudions, puisqu'elle ne per- met pas le rapprochement des
parties
antérieures des vésicules hémisphé- riques. N
sphérique, etc. Ainsi, la commissure calleuse peut manquer, soit en
partie
, soit totale- ment, mais ce que nous ne croyons
chez Anton lui-môme les coupes sériées d'un cas de néoplasme de la
partie
postérieure du tronc du corps calleux ; le segm
ment, nous poursuivons l'élude d'un cas de plaque sclé- reuse de la
partie
moyenne du corps calleux ; il existe une dégénére
es porté à croire que ces fibres entrent dans la constitution de la
partie
antérieure du tapélum temporo-sphénoïdal. 660 A
cette anomalie ; cette lésion agit soit en détrui- sant une grande
partie
de la couche calleuse périventriculaire, soit en
commissure antérieure entre probablement dans la constitution de la
partie
temporale du tapétum ; exception faite de cette p
enl d'accord avec M. Meige au sujet de la 668 ETTORE LEVI seconde
partie
de son affirmation, et je considère comme lui, l'
issaud, mais je ne peux, d'aucune façon, me ral- lier à la première
partie
de son affirmation, c'est-à-dire considérer le
destinée seulement au développement somatique total dans toutes ses
parties
(pour ce qui se rapporte exclusi- vement au vol
u), cependant que les rapports somatiques et fonctionnels de chaque
partie
du corps, restent normaux. « Cependant, le fait
n bord externe, un peu plus en avant qu'en arrière, au niveau de la
partie
moyenne de la première . phalange de l'auricula
me une épiphyse, est environ de la grosseur d'un pois ; il flanque la
partie
interne de l'articulation métatarso-phalangienn
ième métatarsien ; en de- hors sa surface arrondie a déterminé à la
partie
interne du dernier métatarsien une cavité artic
ède six doigts. A droite, le doigt sur- numéraire s'implanle sur la
partie
dorsale externe de la tête du quatrième mé- Ons
teau de peau réunit ici doigt normal et doigt supplémentaire ; à la
partie
interne seulement le second se dégage et se ter
La première puaiange présente une large base qui se divise en deux
parties
semblables entre elles et à un os normal. Les e
tion de certaines anomalies dans la structure de nos organes ou des
parties
de notre corps ; sous ce rapport un certain nom-
t retourné à l'exté- rieur et légèrement recourbé, de sorte' que la
partie
molle était tournée du côté de l'annulaire; l'i
orteils des deux pieds étaient reliés entre eux, de sorte que cette
partie
de la plante du pied avait l'aspect d'une masse a
d sacro-coc- cygien est particulièrement bien reproduit. Une grande
partie
de la crête illaque, l'épine iliaque postérieur
ppeler rapidement, avant d'entrer dans mon sujet, quelles étaient les
parties
constituantes de l'os. aperçu anatomo - physiol
s. aperçu anatomo - physiologique et rôle pathologique des diverses
parties
constituantes de l'0S. Si nous pratiquons la se
ong adulte ayant longtemps macéré et que nous examinions les diverses
parties
que 5" ankée. Ir2 présente cette coupe, nous
tissu devient moins dense : les canaux se sont élargis aux dépens des
parties
dures. Plus nous approchons de l'épiphyse, plus
su spongieux, puis réticulaire, pour disparaître tout à fait dans les
parties
les plus centrales. Ce processus physiologique
pprochent plus des lamineux (Robin), forme enveloppe à la plus grande
partie
de la surface de l'os. Sa vascularité, son épai
cte de l'os, nous cherchons quelle part peut revenir à chacune de ses
parties
constituantes, tissu osseux, médullaire et périos
dons, qui con-stitue l'enveloppe immédiate des os, ce n'est là qu'une
partie
du pé-rioste et encore bipartie qui est au point
ulaire lâche, qui également doit être consi-déré comme faisant encore
partie
du périoste. Celte couche externe est le siège le
rigueur, agir sur la couche ostéoïde, ou moelle externe, à travers la
partie
la plus profonde du périoste, ou en détruisant ce
orter la responsabilité de ces inflammations. Or le tissu médullaire,
partie
essentiellement vivante, partout répandue, ne pou
t. Mais, se multipliant, elles ont besoin d'un espace plus grand, et,
parties
molles, elles agissent sur le dur tissu osseux, q
de deux centimètres, épais d'un centimètre et demi, est attaché à la
partie
supérieure du 1 Voici l'état des viscères : plu
L'usure intéresse principalement le cartilage du condyle externe. Les
parties
respectées du cartilage sont blanchâtres. On conç
DU GENOU CHEZ U » E a T a X i c.) Il E ( L é si o il s de S 0 s )
partie
correspondante du condyle externe. En résumé, les
n perçoit des craque-ments. Période d'état. 18 juin. 11 existe à la
partie
antérieure de l'épaule et au-dessous de l'extrémi
bord supérieur du condyle interne. 11 déc. Abcès circonscrit, à la
partie
supérieure et interne du moignon; ponction. La ci
était plus serré ; en effet, les piqûres pratiquées sous la peau des
parties
moyennes et latérales de l'abdomen ne se sont acc
enfin aboutit au placenta. Le corps de Yutérus, verdâtre, revenu en
partie
sur lui-même, est placé entre le côté gauche du f
Nous avons cru devoir signaler tout particulièrement cette pre-mière
partie
du livre de M. Hervieux, car c'est à la suite de
Maternité2. On ne peut nous demander de passer en revue chacune des
parties
de ce volumineux ouvrage; nous venons de signaler
apporter quelques données utiles comme contribution à l'his-toire des
parties
inexplorées du sujet. » Tel est, en résumé, le
ongtemps on a attri-bué des propriétés malfaisantes, sont formées, en
partie
, de ma-tières animales et, en partie, de matières
s malfaisantes, sont formées, en partie, de ma-tières animales et, en
partie
, de matières végétales; on les trouve surtout dan
e malade put être envoyé à l'hôpital de la Pitié. 20 novembre. A la
partie
supéro-externe du creux poplité, au niveau du ten
toile ordinaire, afin de mouler exactement l'appareil plaire sur les
parties
molles. — Pouls, 84 ; température axillaire, 57°,
39°,5. 25 nov. Le genou est considérablement tuméfié, surtout à sa
partie
externe. La capsule articulaire est distendue par
ses. — P. 88; T. Ax. 38°,4. — Soir : P. 92; T.Ax. 39°. 26 nov. A la
partie
interne de l'articulation, au-dessous et en de-da
à deux heures du matin. Nécropsie pratiquée le 29 novembre. — A la
partie
supéro-externe de la région poplitée, plaie d'env
ellement. En effet, l'orifice d'entrée du projectile se trouvant à la
partie
postérieure du membre, et la suppuration par cett
t, et plus tard en injections, — le chloroforme, en frictions sur les
parties
convulsées etenembrocations sur le reste du corps
et fréquemment, ces abcès sous-périostiques. M. Larrey a répondu en
partie
à l'objection en 1853. « Les con-scrits, disait-i
ta signale certains ërysipèles alteignant des régions peu fournies en
parties
molles (crâne, sternum, clavicule, tibia) et se c
sous de l'épine iliaque antérieure et supérieure droite, qui a été en
partie
dénudée ; l'orifice de sortie est placé sur un pl
adhérences intestinales très-résistantes qui englobent le caecum, une
partie
du côlon ascendant, et une assez longue portion d
une assez longue portion de l'intestin grêle. Après avoir détruit une
partie
de ces adhérences, on parvient assez facilement à
ns-nous devoir borner là cette enumeration et terminer cette première
partie
de notre travail par un résumé clinique de ces ma
les corps étrangers. Nous devons signaler encore l'épaississemen des
parties
molles, et les saillies plus ou moins irrégulière
te, etc., débuter brusquement et s'accompagner d'une tuméfac-tion des
parties
voisines. L'erreur toutefois est courte. La rouge
d'une fluctuation profonde. 11 est très-difficile de reconnaître les
parties
osseuses de l'articulation. La tête numérale elle
ssible; le deltoïde est très-tendu ; le creux sus-claviculaire est en
partie
effacé, et on y sent une saillie irrégulière, dur
ougeâtre de la papille et d'une atrophie partielle ou totale de cette
partie
, coïncidant avec l'affaiblissement et l'engour-di
aisseur égale; les grandes plaques étaient un peu déprimées dans leur
partie
cen-trale, et ne possédaient pas encore cette lég
able pour éloigner la rotule des condyles de plus d'un centimètre. La
partie
postérieure du membre était surtout infiltrée. Le
la moelle nous paraît la môme , à savoir ; lésion des cellules de la
partie
antérieure de la substance grise. Le second gro
oviale et, à partir de cette époque, les membres inférieurs furent en
partie
paralysés. On y voyait, en outre, des contraction
onférence au-dessous de l'aisselle...... 19 centim. 26 cent. — à la
partie
moyenne....... 18 — 23 — — du coude............
18 — 23 — — du coude............ 21 — 25 — — de l'avant-bras à la
partie
moyenne. 16 — 22 — — du poignet........... 14 —
— 15,5 — — du pouce à sa racine....... 6 — 7,5 — — du pouce à sa
partie
moyenne.. . 5,2 — 6,5— — des quatre derniers mé
e au pliage du linge; voici com-ment elle procède : elle maintient la
partie
déjà pliée avec la main gauche pendant que la dro
s et se. termine par une extrémité inférieure renflée et offrant à sa
partie
interne une petite apophyse d'où part un ligament
(lubérosité bici-pitale) ; une seconde, très-volumineuse, située à la
partie
moyenne de l'os et qui représente les rugosités q
iste une articulation radio-cubitale inférieure. 2° Description des
parties
molles. — A. Muscles du bras Le biceps s'insère à
r un tendon. —L'autre, profond, qui s'étend de l'épitrochlée, de la
partie
supérieure des deux os de l'avant-bras et du liga
ns normales). Les muscles de la région postérieure se confondent en
partie
avec les muscles delà région externe. L'anconé se
et demi. (Voy. planche XI, fig. 1.) La circonférence du bras, à la
partie
moyenne, est de douz.e cen-timètres pour les deux
La dépression de la peau au niveau du cubitus est circonscrite à sa
partie
interne par un petit sillon incomplet à concavité
pendant le repos et prend une forme arrondie ; alors disparaissent en
partie
dans les plis de la peau les particu-larités qui
suffit de se rappeler comment se fait renseignement clinique de cette
partie
si importante de la pratique médicale. Où les étu
st très-ramollie ; le corps strié est séparé de la couche optique. La
partie
antérieure de ce veniricule est assez ferme. A ga
-nes iliaques et utéro-ovariennes sont distendues par du sang noir en
partie
fluide, en partie coagulé. — La substance cortica
téro-ovariennes sont distendues par du sang noir en partie fluide, en
partie
coagulé. — La substance corticale des reins est r
nâtre. Les pyra-mides sont encore assez distinctes. — L'utérus est en
partie
revenu sur lui-même. Cette observation nous ren
ervés, à la Maternité, de-puis 1860 jusqu à 1870. — Dans une première
partie
, n tre regretté collègue2 expose d'une façon succ
eurs du bassin; 8°R. dont le degré n'est point indiqué. La deuxième
partie
comprend une série de tableaux dans lesquels se t
trécissements d'après le mode de terminaison em-ployé. La troisième
partie
est consacrée à une discussion clinique de chacun
qui entrent dans la question. Enfin, dans une quatrième et dernière
partie
, M. Rigaud fait un Ndus avons communiqué ce tra
s droit, on voit un rebord saillant qui donne à 5° année. 6 cette
partie
de l'os une direction anormale. — Les grosse et p
, humérus droit.) Radius. Leur extrémité supérieure est saine; à sa
partie
inférieure le radius gauche présente, à trois cen
soudure est effectuée à l'âge de vingt-cinq ans, tandis que pour les
parties
opposées au genou et contin-gentes au coude, elle
t une tumeur du volume d'un gros pois, d'un blanc mat siégeant sur la
partie
de la conjonctive comprise entre la cornée et la
en haut et en bas par le rapproche-ment des paupières, présente à sa
partie
moyenne une crête saillante qui empêche l'occlusi
une eschare dont il enlève immédiatement avec des ciseaux courbes la
partie
la plus saillante, excision qui ne provoque auc
elle de l'iris par déchirure des nerfs ou enfin au décol-lement d'une
partie
de l'iris ? La présence de l'eschare qui empiète
ande circonférence de l'iris est séparé de ses attaches ciliaires. La
partie
correspondante de l'iris s'est éloi-gnée du bord
le. L'atropine n'a pas agi aussi énergiquement sur elle que sur les
parties
saines de l'iris, si l'on en juge par sa largeur,
pillaire. Cette ligne à peu près verti-cale est très-rapprochée de la
partie
moyenne de la pupille. Le bord décollé, détaché
e de la vision. — Au bout de quelques jours, cependant, F... vit à la
partie
externe de la grande circonférence de l'iris un p
t paralysée ; elle n'obéit pas à la lumière aussi vite que les autres
parties
, ce qui, à certains moments, donne un aspect irré
e à l'aide de la curette. Après l'opération, on aperçoit encore une
partie
de la tumeur ; elle tient la place de la portion
nlevée; mais les adhérences qu'elle semble avoir contractées avec les
parties
pro-fondes, font renoncer à de nouvelles tentativ
urs de mai, elle arrive sur le cristallin, et la compression de cette
partie
de l'œil amène de l'opacité. —Dès lors toute visi
cor-née. Cette tache augmentant peu à peu, s'étendit au-devant d'une
partie
de la pupille, et gêna sensiblement la vue. Eta
petit pois, légèrement ova-laire. Le petit corps est implanté sur la
partie
externe du bord pu-pillaire de l'iris auquel il e
rnée ; la tumeur fut saisie avec une pince et tirée au dehors avec la
partie
de l'iris auquel elle adhérait; un coup de ciseau
mple, de ponctionner le kyste, mais il est bien plus sûr d'exciser la
partie
de l'iris dans laquelle il siège *. » G. P. TÉR
centimètres près de la racine du membre, 26 centimètres et demi à la
partie
moyenne, 23 centimètres et demi près du coude ; p
es dimensions suivantes : à la racine du membre, 24 centimètres; à la
partie
moyenne, 22; près du coude, 22 et demi seulement.
oignon en raison surtout de son peu de longueur et de l'épaisseur des
parties
molles; le squelette est sans doute formé par deu
étendues. En même temps que se forme l'abcès sous-périostique, les
parties
éloignées du centre de l'abcès, moins fortement i
et il est (rès-facile de le comprendre. Là, en effet, se trouvent les
parties
qui, avec la péri-phérie de l'os, sont essentiell
hysaires l'accroissent en longueur. Il y a donc dans l'une et l'autre
partie
, qui, du reste, sont continues, des éléments jeun
se sont considérablement agrandis et ont transformé en spongieux une
partie
du tissu compacte. Dans un cas, Hurel a trouvé ch
, par exemple, simple mé-dullite sous-périostique bien limitée, cette
partie
arrive à suppura-tion, mais le voisinage peut êtr
-périostique, nouvelles couches qui trop gêné-* ralement englobent en
partie
le séquestre et gênent beaucoup son expulsion.
ous de l'aisselle............. 21,5 — 29 — Circonférence du bras (
partie
moyenne). 20,5 — 24 — — du coude....... 20,5 —
ne). 20,5 — 24 — — du coude....... 20,5 — 23 — — de l'avant-bras (
partie
moyenne)...... 17 — 24 — — du poignet...... 1
ent. — du pied......... 23,5 — 24,5 — Circonférence de la cuisse (
partie
moyenne)............ 39 — 41,5 — Circonférenc
ace nous empêche d'analyser dans tous ses dé-tails cette intéressante
partie
de l'ouvrage de M. Reverdin; nous nous bornerons
indications et contre-indications de l'uréthrotomie. Cette dernière
partie
est très-complète ; tous les cas y sont lon-gueme
d'adhérence celluleuse ou cellulo-vasculaire, ce qui indique que les
parties
qui la constituent ne vivent plus de la vie commu
r une rupture non-seulement de la cicatrice, mais encore d'une petite
partie
du périnée. Nous nous bornerons à la relation de
à concavité externe, à convexité interne, de telle sorte que, à leur
partie
moyenne, ils sont presque contigus (voy. Planches
ur la petite lèvre droite (contusion suivie d'ulcération). Les autres
parties
de la vulve sont rouges et un peu tuméfiées. — Le
ement la face est colorée, la peau chaude. Les seins sont mous. — Les
parties
génitales externes sont plus gonflées. 11 avril
isson. Rien autre chose que des douleurs, d'ailleurs légères, dans la
partie
inférieure du ventre. 22 avril. Nuit excellente
REVUE PHTOGRAP HIQUE DES HOPITAUX TUMEUR FIBRO-PLASTIQUE A sa
partie
supérieure, la] tumeur présentait une ulcération
perficiel, le tégument peut rougir. Si l'on porte les mains sur les
parties
malades, on détermine une douleur extrêmement viv
essionné par les manœuvres du méde-cin, ne veutou ne peut éloigner la
partie
malade et ne se défend que par ses cris. Les ph
la douleur se joint un peu de tuméfaction. L'enfant n'ose mouvoir la
partie
malade. Après quelques jours d'augment, 4, 6, 1
eaux miné-rales. Cette troisième section est, à proprement parler, la
partie
originale du livre. Nous devons cependant faire r
que les polypes, les tumeurs fibreuses, les kystes. Dans la seconde
partie
, les eaux minérales sont examinées au triple poin
l'ordre et de la clarté où il n'y avait que confusion et non-sens. La
partie
principale de son livre est donc celle où il mont
e que la pré-sence d'une tuméfaction dans la région abdominale, surla
partie
latérale droite du muscle grand droit, a dû faire
xtrémité une phalange unique, avec un ongle bien conformé. Toutes ces
parties
s'articulent parfaitement entre elles ; les mouve
ouveau les bords du verre avec sa main droite, il le soulève avec les
parties
qui consti-tuent sa main gauche, et parvient ains
sente une circonférence de 55 centimètres, constituée surtout par des
parties
molles ne se prêtant pas à une exploration facile
de mentionner, c'est que la sensibilité était intacte dans toutes les
parties
cpie nous venons de décrire. En résumé, dans ce
elle est fixé le pied. A ce niveau, il y a une charnière qui relie la
partie
inférieure de l'appareil — la jambière —à la pant
t actuel. — L'éruption qu'il porte occupe les mains, les pieds et les
parties
sexuelles. Aux mains, l'éruption est parfaitement
lon, et sur la face dorsale, la ré-gion du cou-de-pied. Du côté des
parties
sexuelles, la verge, le scrotum, la partie su-pér
ou-de-pied. Du côté des parties sexuelles, la verge, le scrotum, la
partie
su-périeure et interné des cuisses, sont recouver
ont plus molles ; elles n'ont pas la consistance cornée de celles des
parties
découvertes. M. Bazin diagnostique une affectio
crevasses, se trouvaient quel-ques traces de sérosité desséchée. Aux
parties
génitales, les squa-mes étaient moins dures qu'au
ésentait nulle trace de vésiculation. Bien plus, nous trouvons qu'une
partie
non atteinte en apparence par l'affection, la pau
is est nettement limité: il occupe le dos des mains et les pieds, les
parties
sexuelles ; il est symétrique, il est vrai, mais
reçu tour à tour dans différents hôpitaux, il y passa la plus grande
partie
de ces dernières années, et enfin, il y a quelque
tent entre les métacarpiens. Avant-bras gauche. — Les muscles de la
partie
antérieure et de la partie postérieure sont très-
. Avant-bras gauche. — Les muscles de la partie antérieure et de la
partie
postérieure sont très-atrophiés ; les fléchisseur
ixé dans le muscle et qu'il va gagnant de proche en proche jusqu'à la
partie
centrale,c'est, je crois, attribuer à la maladi
ocalisation particulière de l'atrophie des muscles, dans les diverses
parties
du corps. De tout ce qui précède nous concluron
ientôt devenue en-ceinte. Vers le cinquième mois de sa grossesse, les
parties
génitales externes ont été envahies par un gonfle
e; les lochies sont sanguino-lentes et assez abondantes. —Du côté des
parties
génitales externes, on observe : 1° une plaie gri
une plaie grisâtre, de la largeur d'une pièce de deux francs, sur la
partie
moyenne de la face interne de la petite lèvre dro
ont diminué. —Soir : P. 112; T. V. 40",7. Rougeur et gonflement de la
partie
inférieure de la fesse gauche dans une étendue de
e travail a été lent, et, bien qu'on eût pratiqué une incision sur la
partie
inférieure et latérale droite de la vulve, la têt
typhoïde est tel que le malade ne réagisse plus et laisse presser la
partie
malade sans paraître s'en apercevoir. Je ne conna
de douleurs, poussant des cris aussitôt qu'on cherche à soulever la
partie
malade. On ne va pas plus loin et l'on admet un r
permet le lavage du foyer. Comme moyens secondaires : envelopper la
partie
incisée et ma-lade d'un large cataplasme et faire
uveau travail dont nous allons rendre compte à nos lecteurs. Quatre
parties
composent cette étude : physiologie, procédé opé-
tact avec l'air à une tempéra-ture moyenne, reste invariable dans ses
parties
constituantes histolo-giques, et conserve ses pro
ygène sont le principe revivi-fiant du sang. La fibrine n'est pas une
partie
essentielle. C'est pour la sécurité de l'opératio
vaisseaux d'embolies multiples résultant de l'injection d'un sang en
partie
coa-gulé. M. Brown-Sôquard pense également qu'o
activité des nerfs et des muscles, mais bientôt le sang est évacué en
partie
par hémorrhagie, ou en partie par la décomposi-ti
les, mais bientôt le sang est évacué en partie par hémorrhagie, ou en
partie
par la décomposi-tion des globules et des sécréti
par lie infé-rieure par un goulot de A millimètres de diamètre. A la
partie
su-périeure, existe un orifice, B, de 1 centimètr
XV). Le membre inférieur gauche est dansjl'extension ; ses diverses
parties
sont, pour ainsi dire, dans une attitude forcée.
le saisissant par le pied, vous pourriez soulever tout d'une pièce la
partie
inférieure du corps de la malade. J'insiste sur c
ronc et membres ; cette limitation, en quelque sorte géométrique, des
parties
anesthésiées par un plan vertical qui divise le c
ducteurs ; même après 16 ans d'immobilité des membres inférieurs, les
parties
ligamenteuses n'y sont pour rien, du moins aux ge
s que nous avons émi-ses, les cordons latéraux, ou tout au moins leur
partie
postérieure — celle qui tient sous sa dépendance
s il est des cas où la rigidité spasmodique reste limitée à quelque
partie
d'un membre, au pied par exemple et produit une s
nt un accroissement rapide, et ont de la tendance à se porter vers la
partie
inférieure ou vers la face interne de l'organe. —
ois jours après, on incise l'eschare avec le bistouri, on l'enlève en
partie
, et on fait une nou-velle application de caustiqu
les douleurs de nature lancinante avaient augmenté et envahi d'autres
parties
du membre, de telle sorte qu'il lui était impossi
é atteint; jamais non plus Th... n'a eu de névralgies dans les autres
parties
du corps. Il n'est pas nerveux, est fort et assez
erf sciatique et de ses principales divisions. Quatre siégeaient à la
partie
moyeune du bord interne du biceps crural ; un aut
un autre vers le milieu de la face postérieure de la cuisse; un à la
partie
supérieure du creux poplité; trois le long du tie
tiers supérieur avec le tiers moyen de la cuisse ; 5° au niveau de la
partie
centrale du mollet. Les fumigations ont été fai
s derniers temps de sa vie, une éruption de zona qui siégeait sur les
parties
correspondantes aux neuvième et dixième nerfs int
e dans l'urine normale. Je laissai l'urine déposer et s'évaporer en
partie
au soleil ; il se forma bientôt, de petites concr
atiques. L'examen de l'urine permet de constater que la plus petite
partie
des phosphates seulement s'agglomère en calcul, p
de calculs se forme dans le canal de l'urèthre (probablement dans la
partie
prostatique), comme me le fait présumer une très-
de saignée, engourdissement et fourmillement de l'avant-bras, vers sa
partie
externe ; froid; bientôt, taches livides ; enfin
x, l'amputation est faite et suivie deguôrison. —La dissec-tion de la
partie
amputée ne révèle aucune trace de lésion artériel
les fragments. Pour les détacher avec plus de sûreté, au niveau de la
partie
moyenne du deltoïde, j'incise cru-cialement les l
on, et l'y passe un tube à drainage qui occupe toute la plaie. A la
partie
interne du bras, dans la gaine du biceps, il se f
ue c'est l'extrémité supérieure du bord externe, de l'omoplate, cette
partie
épaisse et dense de ce bord externe qui forme con
s les replis profonds de la peau. La plaie, dont la cicatrisation des
parties
superficielles est très-avancée, est de plus en p
on à l'épitrochlée. Le contact entre l'extrémité de l'humérus et la
partie
supérieure du bord externe de l'omoplate est immé
position on voit tiès-bien l'activité du muscle biceps et celle de la
partie
postérieure d:i deltoïde qui reste. Mais, outre
le tissu os-seux s'étend plus loin que le laisse croire l'examen des
parties
, fait au moment de l'accident ou peu après. Dan
ui se trouve un bourrelet cutané qui masque la paupière supérieure en
partie
. Comparé au côté opposé, on voit que, du côté gau
e le bord du moignon auriculaire et la peau du crâne avoisinante. Les
parties
supérieures de la lésion sont détruites et des ci
st la présence, dans l'intérieur même des éléments anatomiques et des
parties
constituantes des tissus, d'une matière de nature
s secondaires que nous allons seulement indiquer. Dans le foie, une
partie
de la circulation porte est oblitérée; par suite,
rocéder de la manière suivante : Après avoir fait à la peau, sur la
partie
moyenne et dans toute la longueur de la tumeur, u
conservé leur contractilité. — Point hyperesthésique au ni-veau de la
partie
inférieure de la région dorsale de la colonne ver
leurs dans le bras droit. Il n'y a pas de change-ment appréciable des
parties
paralysées depuis la note précé-dente. — Octobre
volumineux au sommet de la convexité des deux lobes pariétaux et à la
partie
antérieure de l'hémisphère gauche. A la base du c
trale un caillot ferme, de couleur foncée; le vaisseau est dilaté, sa
partie
périphérique étant complètement affaissée. — La b
e superficiellement de dépôts fibrineux jaunâtres, pour la plupart en
partie
organisés, mais se laissant détacher avec le cout
caillots fibrineux durs, blancs jaunâtres. Après les avoir enlevés en
partie
, on voit au milieu de la moitié correspondante de
la moitié correspondante de la mitrale, et en occupant la plus grande
partie
, une perte de sub-stance arrondie, haute de 2CU,,
s un grand nombre d'individus dans des conditions diverses et sur des
parties
différentes ; que les maladies offrent, pendant l
sent, en définitive, l'érysipèle. L'absorption peut aussi se faire en
partie
par les surfaces traumatiques. Une fois l'infec
aient en nombre, si bien qu'elles occupèrent bientôt presque toute la
partie
latérale droite du cou ; la déglutition fut entra
que temps après, s'apercevant de la présence d'une petite tumeur à la
partie
antéro-supérieure de la cuisse droite, il se déci
coupe elle présente une coloration des plus diverses : la plus grande
partie
est d'un blanc bleuâtre; dans certains endroits,
e; ailleurs elle est d'un noir foncé. — Demi-dure dans la plus grande
partie
de sa masse, elle présente en un point, celui qui
d'une veine vo-lumineuse, et décrivant de nombreuses sinuosités à la
partie
anté-rieure du médiastin. Le sang noir qu'elle co
sang noir. La postérieure est éga'ement pleine de sang, mais, vers la
partie
moyenne de son trajet, on remarque très-aisé-ment
i est fluctuant en certains endroits, est ramolli dans la plus grande
partie
de son étendue. La bouillie épaisse qu'on obtient
uble de la circulation qui se fait pendant le stade de froid dans les
parties
périphériques, et par la concentration dans les o
sensibilité, du sang que l'ischémie de la peau fait refluer vers les
parties
centrales. Ce qui toutefois prouve que ces condit
isième degré de l'inflam-mation. Au troisième degré, la rate est en
partie
réduite en une bouillie grise-brunâtre^ au centre
e de la tumeur, au niveau de la séparation des par-lies saines et des
parties
malades, neuf ponctions avec le bistouri, puis on
des paralysies musculaires de l'œil. L'ouvrage est divisé en trois
parties
: dans la première, sont enumeres, discutés et ap
narcéine agit avec la même efficacité et la même rapidité, en quelque
partie
du corps qu'on l'injecte; — 0° même à dose minime
ords. Une seconde ecchymose, beaucoup moins considé* rable, occupe la
partie
antérieure de l'avant-bras. Le biceps est dur,
he III)l. Vousremarquerez qu'autour de la tête humérale,détruite en
partie
, il existe de nombreuses stalactites osseuses qui
uer les ecchymoses dont je vous ai parlé à une infiltration san-guine
partie
de la cavité articulaire et qui aurait fusé dans
de l'aisselle............ 35*,H 31 %5 25 cent. Circonf. du bras (
partie
moyenne). . 51 28 20,5 Circonférence du coude..
e professeur Broca, pour se faire enlever une tumeur qu'il porte à la
partie
droite du cou. Il y a deux ans que le malade s'
ssous du lobule de l'oreille, elle était arrondie, dure, fixe sur les
parties
profondes, sans adhérence à la peau. Depuis cet
on diamètre transversal, long de 4 centimètres, recouvre en avant une
partie
de la branche de la mâchoire, et en arrière le bo
La tumeur, quoique fortement enclavée entre ces deux organes par sa
partie
profonde, est légèrement mobile ; on peut la fair
surface est irrégulière-ment lobulée ; au-dessus et au-dessous de la
partie
moyenne, qui est à peine bosselée et présente dan
malade : glissement facile de la peau, fixité de la tumeur sur les
parties
profondes, s'accordent avec les signes ac-tuels :
uant à la consistance, qui est celle du tissu fibreux dans la majeure
partie
de la tumeur et qui est plus molle dans les couch
-tante. (Trousseau et Pidoux, Traité de thérap., t. IL) La première
partie
de cette phrase de MM. Trousseau et Pidoux, très-
pendant la première période de l'épidémie, alors que la plus grande
partie
des malades succombaient. Les quatre premiers pri
litres de vin. Il ne se serait pas enivré depuis deux ans. Durant une
partie
des années 1867 et 1868, il a été sujet à des pit
nférieurs a presque disparu. L... se plaint de douleurs siégeant à la
partie
moyenne et externe de la cuisse gauche. Le vent
croire à l'existence d'un kyste. 2 novembre. Après avoir retiré une
partie
seulement du liquide, M. Hardy injecte 200 gramme
ètres. Le maxi-mum de la lésion existe des fausses côtes gauches à la
partie
moyenne de la fosse iliaque correspondante. La ra
sidérable de sérosité dans la cavité péritonéale. — Leme'sentère, les
parties
latérales du péritoine, quoique à un moindre degr
d des ouvrages français, dans le but de rendre plus claires certaines
parties
de l'ouvrage, M. Asselin a chargé un jeune homme
par Culot, 1,44, 115,142, 182. — (Structure et rôle pathologique des
parties
constituan-tes des), par le même, 1. P Paraly
sit ses deux extrémités pour constituer les membres, tandis que la
partie
intermédiaire s'atrophie; chaque membre provien
pour la distribution de la sensibi- lité, comme de la motilité, une
partie
(dite segment) de membre trouve son origine dan
fusion de portions métamériques souvent très éloi- gnées et que les
parties
constituantes sont diverses pour la peau et pour
fosse sus-épineuse, en dehors les deux épaules, limitée ainsi à la
partie
supérieure par une ligne circulaire à la nais-
mais remonte aussi vers la nuque, sur le pourtour des oreilles et la
partie
infé- rieure de la face. Le territoire inférieu
u chaud est plus étendu, car il com- prend non seulement le cou, la
partie
supérieure du thorax et les deux bandes externe
-bras et du bras (Planche II). La ligne de démarcation passe par la
partie
médiane des faces antérieure et postérieure des
exion de l'avant-bras sur le bras est abolie, l'extension des mêmes
parties
se fait normalement. Tous les mou- vements de l
(Ceslan et Huet). M, Contraction du grand pectoral atrophié dins sa
partie
inférieure. N, Elévation des bras horizontaleme
ocalisation de l'atrophie sur le groupe des muscles innervés par la
partie
inférieure du plexus brachial, extrême rareté de
rale se rétablit ra- pidement et la motilité revient dans certaines
parties
du bras ; mais d'autres muscles restent paralys
on. La contrac- tion volontaire du triceps est nulle pour ses trois
parties
; toute extension vo- lontaire de l'avant-bras
e peu amaigri, la contraction volontaire et l'ac- tion de ses trois
parties
sont bonnes. Les divers muscles de la ceinture sc
Les divers muscles de la ceinture scapu- laire, à l'exception de la
partie
inférieure ou costale du grand pectoral, ne pré
ur force est peu différente de celle des muscles du côté opposé. La
partie
infé- nieure du grand pectoral fait seule excep
abilité fa- radique est nulle avec de forts courants dans les trois
parties
du triceps, dans l'extenseur commun des doigts,
z lentes dans d'autres muscles, avec NFC = < PFC. Dans les trois
parties
du triceps on n'obtient pas de contractions manif
s cubitaux, des extenseurs communs et propres des doigts, des trois
parties
du triceps. Chez lui sont conservés les Long et
et Court Supinateurs, le Bi- ceps, le Deltoïde, les Radiaux, et en
partie
, le Long Abducteur du pouce ; quant au Grand Pe
re supérieur gauche avec atrophie assez prononcée de la plus grande
partie
des muscles innervés par la portion radiculaire
cune altération qualitative ; elles sont bonnes en quantité dans la
partie
antérieure et la partie moyenne, encore un peu af
ive ; elles sont bonnes en quantité dans la partie antérieure et la
partie
moyenne, encore un peu affaiblies dans la partie
tie antérieure et la partie moyenne, encore un peu affaiblies dans la
partie
postérieure. Au bras les muscles animés par le
ont encore un peu affaiblies au point de vue quantitatif. Les trois
parties
du triceps se comportent sensiblement de même ;
; elle rétrocède aussi sur les radiaux, et encore sur les diverses
parties
du triceps brachial ; dix mois après l'invasion
e réaction de dégénérescence encore très accentuée. (Dans ce cas la
partie
inférieure du grand pectoral ne présente pas d'a-
nt en effet l'innervation est d'une manière générale fournie par la
partie
supérieure du plexus brachial, TOPOGRAPHIE DES
vue et VIIIe racines cervicales, et d'autre part des lésions de la
partie
supérieure du plexus brachial atteignent non seul
t il reste comme trace une cica- trice linéaire sans adhérences aux
parties
profondes (opération exploratrice ? ). L'état n
du thorax et de l'abdomen. Les muscles pectoraux ont con- servé une
partie
de leur force ; ils sont encore capables de porte
ns musculaires. Le mouve- ment actif d'extension a perdu une grande
partie
de sa force pendant son exé- cution on voit cep
s grands Pectoraux et des grands Dentelés, avec élargissement de la
partie
inférieure de la cage thoraci- que, forte obliq
es côtes très saillantes sous la peau, enfonce- ment prononcé de la
partie
inférieure du sternum et taille de guêpe très évi
ution qui existe chez ce dernier dans quelques muscles : les diverses
parties
du triceps crural notamment ont une bonne excit
aplati par atrophie des grands pectoraux, avec élargissement de la
partie
inférieure de la cage thoracique et début de tail
extrême, son ventre est globuleux, son thorax aplati, concave à sa
partie
antéro-supérieure, car par l'atrophie du trapèz
nnellement, d'après la malade, les jambes maigrissaient et aussi la
partie
inférieure des cuisses. Par la suite ces troubl
supérieurs des cuisses qui sont vraiment athlétiques; et encore la
partie
amaigrie passe presque sans transition à la par
es; et encore la partie amaigrie passe presque sans transition à la
partie
conservée ou hypertrophiée, par une dé- pressio
mme une brûlure. Si on applique un corps légèrement chauffé, sur la
partie
antérieure de la a jambe la malade dit : c'est
as, exerce son métier de cuisinier dès t'age de 16 ans ; une grande
partie
de sa journée se passe dans la cuisine près du fo
n, diffère notablement, quant à sa constitution histologique, de la
partie
sus-jacente. (t) Leçon recueillie et publiée pa
t des pieds ; 2° Une aneslhésie, totale on dissociée, qui occupe la
partie
médiane de la face postérieure des cuisses et d
us sacré, et sacro-coccygien, respecte, intégralement ou en majeure
partie
, le domaine d'innervation du plexus lombaire. Il
dans une zone d'anesthésie ano-périnéo-scrolale, qui empiète sur la
partie
avoisi- nante des fesses et sur la partie média
olale, qui empiète sur la partie avoisi- nante des fesses et sur la
partie
médiane du tiers supérieur de la face pos- téri
s, il la région fessière inférieure. Assez souvent elle envahit. la
partie
médiane de la face postérieure de la cuisse, plus
artie médiane de la face postérieure de la cuisse, plus rarement la
partie
médiane de la face postérieure de la jambe et le
eules, les racines les plus inférieures de la queue de cheval ou la
partie
la plus inférieure du névraxe, comprise au-dessou
cevez, en A et en B, représentent deux foyers. Le premier occupe la
partie
inférieure du renflement lombaire et le cône term
es deux nerfs sont sortis du canal rachidien. Il intéresse donc une
partie
seulement des racines de la queue de cheval, ce
s'est exercée la violence traumatique. Supposons que ce soit sur la
partie
su- périeure du segment lombaire ; supposons qu
si, les racines qui émergent de cette portion de la moelle sont, en
partie
du moins, le siège d'une névrite secondaire. Pe
s racines rachidiennes sacrées sont rougeâtres, épaissies dans leur
partie
qui précède le ganglion ; elles sont réunies pa
pond au segment postérieur de la capsule interne et se termine à la
partie
externe et antérieure delà couche optique. - .
te coupe nous avons en effet la masse des noyaux centraux dans leur
partie
la plus large. Or c'est là le lieu d'élection d
is s'étendent plus ou moins en largeur et coupent en totalité ou en
partie
la capsule interne. Parmi les noyaux gris les l
ns le centre ovale au-dessous des circonvolutions et plutôt dans la
partie
antérieure du cerveau, dans le lobe frontal. En
u moteur soit d'un côté soit de l'autre. Plus on se rapproche de la
partie
inférieure de l'organe moins on les rencontre s
me a peu près régulière : tels sont par exemple ceux qui coupent en
partie
la capsule interne et font partie d'une lacune né
e par exemple, on voit très nette- ment qu'elle se compose de trois
parties
très différentes et qui méritent cha- cune une
qui méritent cha- cune une description particulière. La première
partie
ou centre estoccupée par l'artère, la deuxième ou
ions de ces tuniques vasculaires ne sont pas toujours également ré-
parties
sur toute la circonférence de l'artère. Il en rés
nous la voyons à l'état normal mais présente des bosselures et des
parties
rétrécies comme si elle avait été plissée, auss
esure, et montrant ainsi par leur abondance et leur répartition les
parties
sur lesquelles a le plus porté la désintégratio
ité d'enfant de 7 à 8 ans. Ce jugement n'est d'ailleurs exact qu'en
partie
: car, ainsi qu'il ressort de l'examen ci-dessu
rs des deux anomalies que nous allons étudier. A l'inspection de la
partie
antérieure du thorax, les bras tombant naturelle-
ans la cavité utérine et les rapports du membre supé- rieur avec la
partie
pectorale du thorax plaident encore en faveur de
entiellement en sections tendineu- ses et musculaires de toutes les
parties
contracturées suivies d'un séjour de 3 à 6 sema
temps, l'hémi- sphère droit suppléer, dans une certaine mesure, aux
parties
détruites de l'hémisphère gauche ? Pourquoi n'y
ent plus nombreux, tandis que les cellules ganglionnai- res sont en
partie
fort dégénérées, le nombre des cellules normales
OLOGIQUE. Le sens des altitudes nous définit le lieu de chacune des
parties
de nous-môme. Celles de ces parties qui desserv
définit le lieu de chacune des parties de nous-môme. Celles de ces
parties
qui desservent les fonctions végétatives figurent
ation subjective di- 1'ecte, définition topographique de soi et des
parties
de soi. Mais il est des parties de nous-mème do
inition topographique de soi et des parties de soi. Mais il est des
parties
de nous-mème dont l'attitude, l'exposition vers T
des choses de notre milieu entre elles et par rapport à nous : ces
parties
sont nos surfaces sensorielles. Quant un phénom
de nos sens, selon sa situation dans l'espace, il figure dans telle
partie
du champ sensoriel, c'est-à-dire agit en réalit
e partie du champ sensoriel, c'est-à-dire agit en réalité sur telle
partie
de la surface sensorielle. Le sens des attitudes
la surface sensorielle. Le sens des attitudes définit le lieu de la
partie
intéressée par rapport aux autres et nous permet
ace. La solution se fera dans un sens, qui sera le meilleur. Chaque
partie
de nous-même est localisée dans la distribution a
st par l'opération d'un sens, le sens des attitudes. L'attitude d'une
partie
est définie par le lieu de chacun de ses points
ce travail : le sens des attitudes nous défi- nit le lieu de chaque
partie
de nous-même. Nous allons voir si une telle exp
considéré dans son ensemble, a pour do- maine tout notre organisme,
parties
profondes et internes aussi bien que par- ties
ieur de l'organisme. Aussi tou- LE SENS DES ATTITUDES 155 tes les
parties
internes de notre corps, bien qu'animées de tacti
lique néphrétique, hépatique, gastrique ou intestinale ! Toutes ces
parties
internes, quand elles « devien- nent » sensible
plusieurs points de la périphérie, une même représentation pour des
parties
organiques différentes ? Il faudrait qu'une tel
eau, plus particu- lièrement sur mon cunéus, si elle occupe tout ou
partie
de la surface de mon cunéus et si dès lors il l
s quelque dimension et quelque forme, - si l'image, c'est-à-dire la
partie
intéressée de mon écorce, ne grandit pas ou ne
ilité est un mouvement, c'est-à-dire une variation d'attitude d'une
partie
de lui-même ou de son individu entier. Cette vari
ment pas à la surface des zones rolandiques réservées sur- tout aux
parties
organiques que la vie de relation émet dans notre
al connu, mais on peut avec quelque vraisemblance leur réserver une
partie
de la face interne des hémisphères. Mais ceci est
ha- que appareil sensoriel ait choisi, pour y porter ses images, la
partie
des centres nerveux la plus opposée à leur poin
xité cérébrale, c'est;à-dire dans la région rolandique ; celles des
parties
inférieures du corps vers le haut, celles des par
; celles des parties inférieures du corps vers le haut, celles des
parties
supérieures vers le bas ; le champ visuel du cô
plus élevé de l'écorce, sur la face interne des hémisphères, vers les
parties
correspondant au sillon crucial du chien, - mai
la localisons- nous à notre pied droit sinon parce que c'est telle
partie
de notre région rolan- dique, et nulle autre, q
res. Par la nature même de notre constitution anatomique, certaines
parties
de notre corps ont des variations d'attitudes f
es. Un levier osseux, rigide, se déplacera d'une seule pièce et les
parties
molles qui l'environnent seront dans une certai
nt segmentaires ; et l'on peut étendre la notion de segment à toute
partie
de notre corps susceptible de déplacements en mas
elative a forcément associé les images de déplacement de toutes les
parties
du segment en groupements systématiques, en ima
t; -de même la représentation des images élémentaires de toutes les
parties
sensibles du segment articulé a fini par fournir
ice delà motricité que celle de n'importe quel membre. Toutes les
parties
d'un segment sont sensibles et dans toutes une do
ire, nous voyons donc que non seulement les attitudes de toutes les
parties
du segment sont absorbées par la sensation glob
du'poids, de la résistance, de la fluidité, de la solidité, et, en
partie
du moins, de la forme, du volume, etc. » - Et il
ntenue ou modi- fiée activement par l'intervention des muscles, les
parties
tégumentaires et profondes des segments intéres
ension, de traction, de pression, de gonflement, de déplacement des
parties
profondes et superficielles; sans doute le muscle
de force, de résistance et de forme dans l'état de presque toutes les
parties
pro- fondes et superficielles du segment. Il y
'elles se localisent sur nous-même, et objectives en ce sens qu'une
partie
de nous-même les sent et les localise en nous. Ce
de mon moi or- ganique ; c'est aussi objectif en ce sens que cette
partie
de moi est connue, perçue, analysée, par moi-mê
tion de quelque chose de tendu dans le cerveau, la sensation qu'une
partie
de ma volonté générale, disponible, est en ce mom
même mode d'excitation et d'appel que nous pouvons appliquera telle
partie
de notre écorce et comme 170 BONNIER celle-ci
à gauche, ne sont pas plus exacte- ment symétriques que toutes les
parties
de la boîte crânienne. Les deux sagit- taux ne
he un objet du doigt,le contact est tout d'abord localisé sur cette
partie
de mon champ sensoriel tactile qui est la pulpe d
tactile, et il me permet de localiser dans l'espace extérieur, - la
partie
de mon champ tactile intéressé par le contact.
e contact. De même pour la vue. Tel objet peint son image sur telle
partie
de ma rétine et sur nulle autre. Il est donc lo
preinte plus grande que surfaceunioculaire ; de plus, elle isole en
partie
les objets dans différents plans. De même l'envel
e champ de notre investigation sensorielle ; la distribution de ses
parties
et de ses divers points dans l'espace fournit l
e coiffé d'une calotte rouge est vêtu d'une longue robe violette en
partie
relevée sous le bras droit, avec pèlerine de même
omme assis écrit sur un grand livre. Le second plan représente la
partie
médicale des oeuvres de Willis. Un malade est c
urs delà goutte, étant appliquée toute chaude extérieurement sur la
partie
. Elle (1) Ancienne pièce de monnaie. (2) Tome
l'autopsie, tumeur gliomateuse du volume d'une noix, siégeant à la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron
onstatée siège ft l'hémisphère gauche. On trouve sur celui-ci, à la
partie
postérieure du lobe frontal, une masse d'aspect g
e chroma- tophile, disséminés ou diversemeut conglomérés, enfin une
partie
achromati- que, de coloration jaunâtre, disposé
fération conjonctivo-vascu- laire est surtout intense au niveau des
parties
superficielles de la tumeur, où il semble qu'on
épaisseur la plus grande est de 5 à 6 centimètres. Elle recouvre la
partie
postérieure des trois circonvolutions frontales e
e 2 centimètres représentée par la 1e circonvolution frontale et la
partie
supérieure des circonvolutions frontale ascendant
et s'étend jusqu'au lobule du pli courbe ; en bas, elle recouvre en
partie
la po temporale. Cette tumeur n'est pas adhéren
vi- rons 3 centimètres sur une largeur de 2 cent. 1/2. Il occupe la
partie
de la frontale ascendante qui correspond au pie
rofonds, la postéro-supérieure donnant insertion au pédicule par sa
partie
inférieure et moyenne. Cette masse supérieure e
droite, il y a paralysie de la moitié droite du voile du palais, la
partie
gauche se contracte seule. Membre supérieur d2-
e depuis l'union du tiers antérieure avec le tiers moyen jusqu'à la
partie
la plus reculée (Fig. 6). Les deux circonvoluti
s lésions. TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 219 tions dans leur
partie
inférieure ; il existe une sorte de bourgeon sur
cette production. Sur une coupe vertico-transversale passant par la
partie
moyenne de la cir- convolution du corps calleux
d'un gros pois (fig. B et C), à peau molle et rose, séparé dans sa
partie
mé- diane par un sillon au fond duquel se trouv
a main par 224 4 UAUSHALTER ET BRIQUEL un sillon profond. Vers la
partie
moyenne du bord palmaire du moignon se voit une
figuration générale. - Le crâne est petit, bien conformé quant à sa
partie
postérieure. Petits cheveux fins, assez nombreux.
euse. La bosse frontale droite existe, bien conformée. Une grande
partie
de la voûte crânienne a une consistance membraneu
e partie de la voûte crânienne a une consistance membraneuse. Cette
partie
membraneuse forme une bande antéro-postérieure al
été ici dissocié en deux points secondaires par l'encéphalocèle, la
partie
principale du point gauche se trouvant rejetée
ritable tente, mais 2 replis falciformes latéraux. En arrière, à la
partie
médiane pos- Fig. 1. Fig. 2. Schéma de l'os
ostérieure. XY. Axe antéro-postérieur. - A. Encéphalocèle. (Les
parties
laissées en blanc sont les portions membraneuses)
L'ENCÉPHALE 227 térieure, au niveau de l'insertion habituelle de la
partie
postéro-inférieure de la faux du cerveau est l'
nférieur le long du bord libre de la faux. Les autres sinus font en
partie
défaut, ou du moins sont trop peu appa- rents e
moitié droite, cet abaissement étant marqué surtout au niveau de la
partie
gauche du sphénoïde et du frontal, la voûte orbit
e hémisphé- rique molle en avant de la suture fronto-pariétale à sa
partie
tout inférieure. Quant à la face (PI. XXVII, fi
rtie tout inférieure. Quant à la face (PI. XXVII, fig. A), toute la
partie
comprise au-dessus du maxillaire et de la lèvre
aux, avec au-dessous d'eux les commissures labiales. Entre les deux
parties
de la lèvre supérieure, la distance de 6 centim
'écartent comme deux clapets. Au-dessous se sent de chaque côté une
partie
dure, rudiments du maxillaire supérieur; incomp
médiate- ment au-dessus d'eux, ou mieux de l'intervalle séparant la
partie
molle de l'axe osseux) une fente qui, du côté g
L'ENCÉPHALE 229 un sillon intéressant presque toute l'épaisseur des
parties
molles, répondant au sillon naso-labial. Au-d
ofond latéral droit. En somme du côté droit, il y a fusion des deux
parties
osseuses. Au-dessus de la portion de lèvre, tou
ures, la fusion n'a eu lieu que du côté droit et seulement quant sa
partie
profonde, osseuse, laissant un sillon dans les
ment quant sa partie profonde, osseuse, laissant un sillon dans les
parties
molles, véritable bec-de-lièvre simple latéral dr
à l'orifice externe de la narine droite. Quant au côté gauche, la
partie
supérieure latérale, partie ascendante de la va
narine droite. Quant au côté gauche, la partie supérieure latérale,
partie
ascendante de la vaste cavité, est l'orifice ex
cavité buccale est une baie de près de 5 centimètres entre les deux
parties
du maxillaire supérieur. Cette division se prolon
onc formé par la base du crâne. Une muqueuse très rouge tapisse les
parties
osseuses. Ce plafond est divisé en deux parties
s rouge tapisse les parties osseuses. Ce plafond est divisé en deux
parties
: une partie droite, il direction d'avant en arri
e les parties osseuses. Ce plafond est divisé en deux parties : une
partie
droite, il direction d'avant en arrière et de dro
oite, il direction d'avant en arrière et de droite à gauche, et uue
partie
gauche, à peu près sagittale, dirigée d'avaut en
ère par une faille dirigée égale- ment d'avant en arrière. La Ire
partie
(droite), d'une largeur de 1 centimètre environ,
de 1 centimètre environ, paraît être la 230 UAUSUALTER ET BRIQUEL
partie
vomérienne de la cloison déjetée latéralement, at
tie vomérienne de la cloison déjetée latéralement, attirée quant à sa
partie
antérieure vers la droite par l'adhérence du pr
te, et qui par le fait de la torsion est devenue horizontale. La 2e
partie
(gauche) parait être constituée par la lame perpe
ve placé de champ et ne communique avec la cavité buc- cale qu'à sa
partie
postérieure. Pour interpréter cette malformatio
r né- cessiter une dissection au scalpel, unissent la dure-mère aux
parties
membraneu- ses des parois crâniennes. Au niveau
coula 200 grammes de liquide céphalorachidien, y compris la majeure
partie
du liquide contenu dans les méninges rachidiennes
ment transparente ne gênant nullement pour l'examen des différentes
parties
. ' Nous avons enlevé les deux yeux par la base
r d'un pois, le tout réuni dans un peu de tissu graisseux dense. La
partie
antérieure du globe oculaire adhérait intimement
'est écoulé 200 grammes de liquide céphalorachidien dont la majeure
partie
serait à ajouter comme poids au cerveau puisqu'el
3 antérieur un sillon large de 1 à 2 millimètres, représen- tant la
partie
antérieure (déviée presque à angle droit de la no
la scis- sure interhémisphérique. A la face externe gauche sur sa
partie
postérieure est un sillon très net repré- senta
sur sa partie postérieure est un sillon très net repré- sentant la
partie
postérieure de cette même scissure. La face ext
ieure de cette même scissure. La face externe droite présente en sa
partie
médiane une sorte de cupule, cavité élargie équ
ie équivalant à la scissure de Sylvius, large de 2 millimètres à sa
partie
la plus évasée. Un sillon profond assez régulière
lus évasée. Un sillon profond assez régulièrement incurvé limite la
partie
antérieure de l'hémisphère droit de l'encéphalocè
centimètres et qui est débordé en arrière de 22 millimètres par la
partie
, postérieure de l'hémi- sphère droit. BULBE.
chée sur la face inférieure du cervelet lui est perpendiculaire. La
partie
postérieure de la base du crâne a du reste, nou
crâne a du reste, nous l'avons dit, une forme en entonnoir. A la
partie
postérieure de l'origine de la moelle, la face po
ques, surtout à la face inférieure. Scissure interhémisphérique .
Partie
supérieure : (PI. XXVIII, fig. D) absolument acco
n- ges, au point que de prime abord on pouvait douter, surtout à la
partie
moyenne de la face convexe, de l'existence d'un
ssure interhémisphérique a la forme d'un S allongé, interrompu à sa
partie
moyenne par une courte ligne horizontale. Elle
a, après un trajet de 10 millimètres, en s'épaississant un peu à sa
partie
inférieure, se fondre avec un cordon de substan
ion (pl. XXVIII, fig. E), au lieu d'être médiane et de répondre par
parties
égales à chacun des hémisphères, appartient à l'h
ra des scissures et à des circonvolutions cérébrales des sillons en
partie
vasculaires et les saillies déterminées par eux s
réguliers. La scissure de Sylvius est ici à peu près parallèle a la
partie
postérieure de l'encéphale, se relevant même ve
elles- mêmes et courtes, à cause de la torsion vers la gauche de la
partie
postérieure de l'hémisphère droit. Les deux l
uses de déformation interviennent et se surajoutent : d'abord, à sa
partie
postérieure, l'action d'arrière en avant exercée
sa partie postérieure, l'action d'arrière en avant exercée z par la
partie
postérieure de l'hémisphère droit, et l'action à
unaire prenant le plus de place possible, et dont les diffé- rentes
parties
s'abouchent largement entre elles. Le ventricul
pu se produire pour la face. En contractant des adhérences avec les
parties
cutanées de la région frontale, avant l'ossific
ossification, l'amnios put, par suite de tractions exercées sur les
parties
adhérentes, amener des déplacements des parois cr
u prendre pendant le déplacement des deux sujets aucune mesure à la
partie
inférieure du pont d'union ; mais selon toutes pr
cements et les fluctuations des attitudes du corps par rapport à la
partie
supérieure du pont d'union. M. Chapot-Prévost a
réservoirs. Les os du bassin, à la palpation, sous l'épaisseur des
parties
molles, paraissent également développés des deu
sous-cutanée que coupent des plis profonds, entre autre celui de la
partie
moyenne de la face interne, à la cuisse, et le pl
face interne, à la cuisse, et le pli longi- tudinal qui sépare à la
partie
postéro-interne de la jambe une grosse masse ad
gue et volumineuse que lui, la seconde très réduite et fusionnée en
partie
à la première. Le deuxième métatarsien, plus grêl
lusieurs cas nouveaux. Le membre est très atrophié, surtout dans sa
partie
distale. Il y a sou- vent une atrophie plus ou
nte à son tiers supérieur, une déformation angulaire. Tandis que la
partie
supérieure est presque toujours la continuation e
r (le genou étant très solide, et la rotule man- quant-souvent), la
partie
inférieure du tibia, inclinée à angle obtusfen
Le testicule droit est en ectopie inguinale sous-cutanée ; sur les
parties
la- térales du canal déférent, on reconnaît les
se terminant en cul-de-sac et descendant dans le scrotum jusqu'à la
partie
moyenne. Le canal déférent du côté droit est ég
imètres de hauleur et un peu plus de 7 centimètres de diamètre à sa
partie
médiane (PI. XXXII). Sur les lames d'argent qui
ierres de tête » et sur les « Pierres de venlre » écrites en grande
partie
d'après les documents de ces mêmes peintres holla
plusieurs semaines, peut-être de plu- sieurs mois. L'écorce et les
parties
sous-jacentes sont effondrées, et la méninge n'
foyer s'étend à la presque 284 BRISSAUD tolalité du cuneus, à la
partie
la plus reculée du lobule lingual et à toute la
usi- forme et même la troisième circonvolution occipitale dans leur
partie
la plus voisine du pôle sont eux-mêmes légèreme
ache d'un jaune clair, caracté- ristique d'une dégénérescence, à la
partie
la plus reculée du corps calleux. Cette tache,
ement de la presque totalité du cuneus et du lobule lin- gual. A la
partie
postérieure et inférieure du splenium divisé par
Brissaud). F, G. Deux coupes sagittales de l'hémisphère droit. A la
partie
postérieure du corps calleux on dis- tingue enc
être le fait de l'oblitération de l'artère calcarine, puisque cette
partie
du corps calleux est irriguée par la cérébrale
, G) permettent de suivre cette dégénérescence du tapetum jusqu'aux
parties
homologues de l'écorce de la calcarine du côté op
E L'OUÏE 287 Hémisphère gauche : 1° Exulcérations très légères à la
partie
antérieure de la première frontale ; 2° Exulc
partie antérieure de la première frontale ; 2° Exulcérations à la
partie
antérieure de laFq; 3° Exulcérations siégeant s
de méningo- encéphalite d'une intensité exceptionnelle occupant la
partie
antérieure et inférieure de la P2, la partie po
ptionnelle occupant la partie antérieure et inférieure de la P2, la
partie
postérieure et inférieure de la P' et l'oper- c
misphères. Hémisphère droit : 1° Exulcération très peu accusée à la
partie
anté- rieure des F' et F2 ; 2° Exulcération a
avons-nous adopté cette technique. On sectionne le ganglion en deux
parties
, perpendiculairement à son grand axe ; ces port
ugmenter son électivité, nous avons essayé avec succès un mélange à
partie
égale de sublimé (en solution saturée) et d'aci
es conjonctives jeunes).Les méninges sont épaissies, notamment à la
partie
supérieure de la figure. L'atrophie radiculaire
s grand nombre ; ces épaississements capsulaires sont limités à une
partie
de la circonférence, ou concentriques. Les cell
n on rencontre également des fibres altérées; par contre la majeure
partie
du ganglion, et les racines posté- rieures à le
û à la pré- sence d'un certain nombre de fibres altérées dans leurs
parties
constituantes. Ces fibres sont en proportion un
paraît probable d'après l'examen d'un grand nombre de coupes qu'une
partie
des cellules ganglionnaires est aussi en voie d'a
s finissent par disparaître (gaines vides), mais conservation d'une
partie
de ces éléments à l'état nu ou revêtus d'une en
sions radiculaires, quelques cellules ganglionnaires ont disparu en
partie
ou en totalité, et leur capsule conjonctive prése
ostérieure que sur la racine antérieure, cette apparence est due en
partie
au tassement et au rapprochement des fibres atrop
ns ce cas les fascicules radiculaires restent libres sur une grande
partie
de leur trajet; quelquefois il fait complètement
vio- lents, 1't^tce de 30 ans, à la suite desquels elle a perdu une
partie
de ses cheveux. Un zona, une paralysie faciale
ne avec la même intensité ; la racine antérieure est normale sur la
partie
correspondante de son trajet. Un manchon méni
ble de phénomènes d'opposition. Du syndrome catatonique font encore
partie
des phénomènes qui sem- blent à première vue la
uration s'accompagna de l'élimination de séquestres au niveau de la
partie
inférieure des deux jambes, des deux dernières
u'on remarqua pour la première fois (mai 1894) l'existence, dans la
partie
inférieure de la jambe gauche, de quelques petite
it plusieurs opérations avec décollements plus ou moins étendus des
parties
molles.Nous en retrouvons aujourd'hui les vesti
s sous les téguments. Les extrémités supérieures des mêmes os et la
partie
inférieure des fémurs présentent des saillies o
ésique de 11101'van; l'index et le médius, privés de la plus grande
partie
de leur 3e pha- Fig. 1. - Répartition des exost
épiphyses, mais encore tout le long de la diaphyse. Au niveau de la
partie
inférieure et externe de la jambe gauche, on no
une étendue de 3 à 4 centimètres. L'examen radioscopique des autres
parties
du corps a révélé l'existence d'un assez grand
ostérieure de la cuisse, la sensibilité aux trois modes persiste en
partie
, bien que toujours très obtuse. De ce même côté
ont en équinisme, tassés d'avant en arrière, avec proéminence de la
partie
dorsale. Tous les orteils sont en hyperextension
a station debout, comme en fait foi l'empreinte sur laquelle toute la
partie
moyenne du pied fait défaut. Le spasme du mol
nt, il peut encore, par un effort de volonté, rendre à la jambe une
partie
de ses mouvements, et lui faire exécuter le pas,
celle du pied droit. Dans la première, on constate l'absence de la
partie
moyenne tandis que le talon antérieur, les orte
arfois, mais l'avant-pied et l'arrière- pied sont bien marqués ; la
partie
moyenne de la plante ne laisse de trace que sur
Mais, par un effet de volonté, la déviation peut être corrigée, en
partie
seulement. Réflexes. - Tous les réflexes (2) te
ctifs du tronc et du pied. L'action des antagonistes les corrige en
partie
. Sous l'influence de la volonté, le tronc se redr
QUE 411 I « L'immobilité elle-même est active. « Le tonus est une
partie
de celle fonction médullaire générale ; c'est l
nus est une partie de celle fonction médullaire générale ; c'est la
partie
concernant le maintien dans l'immobilité d'une po
selon Nageotte, à un bou- leversement dans l'architecture de cette
partie
des racines postérieures. Cette assertion ne do
nglionnaire des racines, nous ne les avons rencontrées que dans une
partie
de nos cas. Tandis que l'épaississement des envel
seaux dont les tuniques, réfringentes, hyalines se fondent avec les
parties
environnantes. L'inflammation de l'endonévre se
se termine autour des cellules par des arborisations capsulaires en
partie
myéliniques et des arborisations sous-capsulair
us-capsulaires amyéliniques. , Toutes les cellules ne font donc pas
partie
du neurone sensitif, et le nombre des cellules
es considérations précédentes des arguments, qui, quoique en grande
partie
théoriques, ne nous paraissent pas cependant dénu
t la principale est que, mal- gré la longue durée de la maladie, la
partie
la plus noble du neurone, la cellule, n'est pas
. Enfin, on peut lui faire encore le grave reproche de négliger une
partie
des lésions nerveuses du tabès (altérations des
érieurs, l'anesthésie et la paralysie motrice respectent en majeure
partie
ou en totalité le domaine d'innervation du plex
lequel j'ai été amené à diagnostiquer une affection nucléaire de la
partie
inférieure du névraxe rachidien, 'cône terminal
ire de la partie inférieure du névraxe rachidien, 'cône terminal et
partie
contiguë du renflement lombaire. L'occasion m'est
rradiaient le long du trajet du sciatique, dans les fesses, dans la
partie
postérieure des cuisses et jusque dans les jamb
tifs de la sensibilité, on notait : De l'anesthésie, en bande, à la
partie
interne de chaque fesse et à la partie médiane
e l'anesthésie, en bande, à la partie interne de chaque fesse et à la
partie
médiane de la face postérieure de chaque cuisse
ande, anesthésie partielle. qui d'abord occupait, dechaque côté, la
partie
interne de la fesse, la partie médiane de la face
d'abord occupait, dechaque côté, la partie interne de la fesse, la
partie
médiane de la face postérieure de la cuisse et,
très bien, également, avec l'hypothèse d'une névrite limitée à une
partie
des racines du sciati- que. Aussi bien, chez no
alade, l'anesthésie .cutanée est circonscrite, de chaque côté, à la
partie
interne de la fesse, à la partie médiane de la
circonscrite, de chaque côté, à la partie interne de la fesse, à la
partie
médiane de la face postérieure de la cuisse et
e du premier segment sacral, tes téguments du périnée et ceux de la
partie
médiane de la région fessière, des le et 5e segme
va exposé, sur sa voiture, à une pluie battante, pendant une grande
partie
de la journée. Envi- ron une semaine plus tard,
phie qui se remarque à première vue. La mensuration, pratiquée à la
partie
moyenne de la cuisse, donne 58 centimètres de c
ccupe la moitié gauche du scrotum, de la verge, du péri- née, de la
partie
avoisinante delà fesse et de la cuisse. En haut,
'épine iliaque postérieure ; en bas, elle se prolonge le long de la
partie
moyenne de la face postérieure de la cuisse, en
e languette. Au pied, on retrouve l'anesthésie à la plante, et à la
partie
externe de la. face dorsale. L'anesthésie, co
nce du contact des matières fécales avec la muqueuse de la dernière
partie
du gros intestin. Le réflexe anal est aboli.
hésie de la moitiégauche du scrotum, de la verge, du périnée, de la
partie
adjacente de la fesse, se prolongeant à la face p
A QUEUE DE CHEVAL 485 L'anesthésie se retrouve à la plante, et à la
partie
externe de la face dorsale du pied. Elle s'ét
uréthrale ; moitié gauche du scrotum, de la verge, du périnée, de la
partie
adjacente de la fesse, et se prolongeant le lon
de la partie adjacente de la fesse, et se prolongeant le long de la
partie
médiane de la face postérieure de la cuisse, av
ce postérieure de la cuisse, avec participation de la plante et de la
partie
externe de la face dorsale du pied. Celle cir
mps, les accidents atteignent leur apogée; puis ils rétrocèdent, en
partie
ou en totalité, d'une façon pro- gressive. Chez
avons affaire à une simple névrite, à une névrite qui intéresse une
partie
seulement des raci- nes de la queue de cheval e
ns les révulsifs, sous la forme de pointes de feu appliquées sur la
partie
inférieure du rachis, à la galvanisation du nerf
inférieure du rachis, à la galvanisation du nerf sciatique et de la
partie
inférieure de la moelle, à l'administration inter
sièmemalade, à une névrite radiculaire, unilatérale, limitée à une
partie
des racines gauches du plexus sacro-coccygien ?
, il rend HÉM1ASYNERGIE, LATÉR0PULS10N ET MYOSIS BULBAIRES 493 en
partie
le liquide par le nez et il est pris d'une quinte
pérature ; l'anesthésie est surtout très accusée à la jambe et à la
partie
inférieure de la cuisse; à la face, la sensibil
s et thrombosées. Une série de coupes montrent que la lésion est en
partie
ancienne, en partie récente; elle Fig. 4. Coupe
e série de coupes montrent que la lésion est en partie ancienne, en
partie
récente; elle Fig. 4. Coupe du tronc basilaire
tout petit chenal pour le passage du sang ; il est manifeste qu'une
partie
des tissus situés en dedans de l'élastique inte
ne provient de l'épaississement de l'endartère, tandis qu'une autre
partie
, la plus considérable, est le produit de l'organi
e l'organisation de caillots pariétaux anciens; dans cette dernière
partie
on observe au centre des lacunes sanguines néof
de la racine du trijumeau sur une petite étendue, et sectionne une
partie
des racines du spinal ; il interrompt forcément
égénéré à partir du point sectionné et est possible qu'au moins une
partie
de la dégénérescence du ruban de Reil droit lui
allongé dans le sens vertical ; son tra- jet onduleux s'étend de la
partie
moyenne à la partie supérieure des oli- ves ; i
vertical ; son tra- jet onduleux s'étend de la partie moyenne à la
partie
supérieure des oli- ves ; il siège sur les part
rtie moyenne à la partie supérieure des oli- ves ; il siège sur les
parties
latérales du ruban de Reil, plus ou moins en ar
myélite plutôt que par des ramollissements. L'un (F3) siège sur la
partie
antérieure du ruban de Reil, respectée par le foy
au grêle une topographie spéciale ; ces fibres consti- tueraient la
partie
postérieure de la couche interolivaire et se myél
e que les fibres émanées du noyau cunéi- forme, qui occuperaient la
partie
antérieure de la couche interolivaire. Comme le
(inférieure) du noyau externe de la couche optique, dans laquelle une
partie
des fibres dégénérées s'épuise rapidement; beau
égénérée répond au faisceau pyramidal, dont elle est séparée par la
partie
externe du faisceau thalamique de Forel et de l
cérébelleux des- cendant qui, suivant les auteurs, proviendrait en
partie
du cervelet, en par- tie du noyau de Deiters. N
e établir de limite nette entre ces différentes formations. Dans la
partie
supérieure du bulbe, les fascicules dégénérés 5
s fibres pré-,inter-et rétrotrigéminales, puis vont se grouper à la
partie
profonde des corps restiformes, avec lesquels e
(Pl. LVI, LVII, fig. L, M, N, 0). Elles montent ainsi jusqu'à la
partie
supérieure du corps ciliaire et se recourbent p
ais il n'est pas fixé sur leur direction et il en fait provenir une
partie
direc- tement de l'écorce du cervelet. Nous cro
e noyau de Deiters gauche (et peut-être le cervelet gauche) avec la
partie
gauche de l'axe médullaire; s'il existe une voi
, cette voie est également sectionnée ; 3° une interrup- tion d'une
partie
des fibres du ruban de Reil ; 4° une interruption
que les altérations du ruban de Reil sont surtout intenses dans la
partie
postérieure de la couche interolivaire où siègent
s, avec conservation du tact : il existait une vaste lésion sur les
parties
latérales du bulbe avec conservation du ruban d
l est impossible de détacher la pie-mère sans enlever avec elle une
partie
de l'écorce sous-jacente. Les faces internes de
s dimensions ; la face inférieure des hémisphères est plane dans sa
partie
antéro-externe, fortement excavée dans la parti
est plane dans sa partie antéro-externe, fortement excavée dans la
partie
postéro-interne. Les lésions sont assez nettement
des hémis- phères cérébelleux et du vermis supérieur. Dans toute la
partie
atrophiée la consistance est dure au toucher et
, « Examen histologique du cervelet (méthode de Nissl) : .... à la
partie
moyenne du lobe atrophié, altération intense. D
grandes cellules de Purkinje ont complètement disparu... « Dans la
partie
postérieure du lobe atrophié, la lésion est très
le fait intéressant est que cette lésion débute constamment par la
partie
profonde"d-es folioles. C'est vers la nervure méd
sieurs dentelures offrant les mêmes altérations atrophiques que la
partie
pos- térieure du lobe atrophié... (1) » Nous
rs avec les mômes caractères le long de toutes les dentelures de la
partie
sclérosée; elle est constituée par 5 à '10 de c
remier, la lésion qui paraissait nettement limitée au vermis et aux
parties
médianes de la face inférieure du cervelet étai
ramollis, purulents ; il y a aussi de la broncho-pneumonie dans les
parties
déclives des deux autres lobes. Congestion de la
nvolution fait l'impression générale d'être réduite dans toutes ses
parties
constitutives. La couche molé- culaire est dimi
une profondeur moindre des deux tiers au moins. Dans ces dernières
parties
, on voit quelques petites cellules pigmentaires
ue recouvertes par les grains, quelques-unes débordant même dans la
partie
profonde de la couche moléculaire. Nous retro
ions mé- dullaires parallèlement à l'atrophie du manteau gris. 4e
Partie
inférieure du bulbe. - (Recueillie dans l'alcool
hterew, etc., et qui, si l'on en croit Athias (1), descendent de la
partie
superficielle de l'écorce pour gagner la partie
), descendent de la partie superficielle de l'écorce pour gagner la
partie
profonde de la couche des grains. Ce sont ces gra
ère, coupés d'une manière ordinaire, étaient encore divisés en deux
parties
à l'aide d'une coupe longitudinale, passant cet
rait un développement t proportionnel et harmonieux des différentes
parties
du corps, avec une taille de 2 m. 04, cette mes
ée (1 m. 48) ; l'autre, plus petite, de moitié moins longue, sur la
partie
supérieure de laquelle il s'appuie de la main d
ses segments, eu relation avec le développement excessif des autres
parties
du corps. - De même, le pied est volumineux (lig.
s souvent 1 difficile de la constater sur le vivant, au travers des
parties
molles qui masquent les extrémités articulaires
physes non soudées ayant appartenu à des géants dont on connaît, en
partie
du moins,l'histoire, sans qu'on soit fixé sur l
ham les épiphyses supérieures des deux humérus soudées seulement en
partie
au corps de l'os ; des deux côtés également, le
cellules cartilagineuses à l'état de repos ne se trouvaient qu'à la
partie
superficielle du cartilage, dans un cinquième s
seuses au niveau des extrémités des os. De plus, l'hypertrophie des
parties
molles, compa- rativement à celle des os, était
rieure du liga- ment large. LE SQUELETTE.- Après avoir enlevé les
parties
molles, les os furent macé- rés et nettoyés, da
l'aisselle et du pubis sont suffisamment longs et fournis. Tête. La
partie
crânienne de la tête est à peine plus grande qu'à
enne de la tête est à peine plus grande qu'à l'état normal, mais la
partie
faciale est réellement augmentée, aussi bien en l
u aplati en arrière ; le front est étroit z L'élargissement de la
partie
supérieure du visage est due : 1° A l'énorme él
visage est due : 1° A l'énorme élargissement de la racine et de la
partie
osseuse du nez ; 2° A la saillie notable des os
dos est très élargi, en particulier à l'extrémité inférieure de la
partie
osseuse, tandis que la racine et la partie cart
trémité inférieure de la partie osseuse, tandis que la racine et la
partie
cartilagineuse sont un peu plus rétrécies. Le s
ées. Tronc. La cage thoracique est augmentée dans tous les sens. La
partie
supérieure est aplatie; l'inférieure est fortem
ophyse augmentée de volume; cette tumeur repose pour la plus grande
partie
sur la selle turcique très élargie ainsi que su
grande partie sur la selle turcique très élargie ainsi que sur les
parties
voisines du sphénoïde et du frontal. Elle a 7 cen
ètres de largeur. Elle empiète sur le sommet du lobe temporal et la
partie
antérieure du pont de Varole. On la trouve consti
tie antérieure du pont de Varole. On la trouve consti- tuée de deux
parties
: l'une, antérieure, petite et l'autre plus grand
eure, petite et l'autre plus grande, posté- rieure, réunies par une
partie
moyenne plus mince, sur les côtés de laquelle s
ni atrophie, ni changement décoloration. Les nerfs olfactifs et la
partie
postérieure des lobes frontaux sont comprimés par
ture histologique de l'hypophyse normale ne se retrouve que dans la
partie
moyenne. Dans les autres parties, on note une pro
normale ne se retrouve que dans la partie moyenne. Dans les autres
parties
, on note une prolifération intense, avec des fi
hyperémie dans la portion lombaire, avec sclérose commençante de la
partie
médiane des cordons de Goll et de la partie inf
érose commençante de la partie médiane des cordons de Goll et de la
partie
inférieure des cordons latéraux. Nerfs périph
selle turcique et débordait en avant, de même qu'en arrière sur la
partie
asilaire de l'occipital. Le trou occipital semb
re sagittal : 31 mm. ; diamètre transversal : 32 mm.). Toutes les
parties
du temporal sont très augmentées : le conduit aud
pour l'éclairer. A Padoue, dans l'église des Eremitani, dont une
partie
remonte au XIIO siècle, se trouve une chapelle
tuée (comme on le voit sur la planche I)sur la frontale ascendante,
partie
moyenne, le long de la lèvre rolandique et en f
lit recouvert d'écailles et de squames cornées et enchassé par les
parties
molles formaut bourrelet. A un degré de plus, l
ongles sont le siège de troubles trophiques intenses ; ils sont en
partie
détruits ; ce qui en reste apparaît épaissi et él
ce deux sortes de lésions : des lésions osseuses et des lésions des
parties
molles (PI. III). C'est au gonflement des parti
t des lésions des parties molles (PI. III). C'est au gonflement des
parties
molles qu'est due la majeure partie de la dé- f
III). C'est au gonflement des parties molles qu'est due la majeure
partie
de la dé- formation en baguette de tambour. Il
phalangette est exclusivement ou presque exclusivement lésée et les
parties
molles lui for- ment une gangue épaisse. Mais
t sa production différenciée, les ongles, qui sont très atrophiés ;
parties
molles sous-jacentes qui sont tuméfiées ; os enfi
et la colonne s'incurve. Dans cette forme classique, la peau et les
parties
molles sont peu touchées, le système osseux est
mière vue qu'avec une onychose. La dystrophie atteint à la fois les
parties
molles, l'ongle et l'os. Ce qui est manifeste,
qui est manifeste, ce n'est pas l'affection de l'os, mais celle des
parties
molles, aussi nous avons préféré au terme d'ostéo
phalange est malade; des houppes d'exostose couvrent la plus grande
partie
de ces épiphyses. Cependant la tête voisine de
de polydactylie symétrique aux quatre membres. Il suppose, dans la
partie
de l'axe cérébro-spinal qui repose sur le sphén
verse puisqu'alors le surcroît du développement esl à la charge des
parties
péri- phériques ; de même, bien que d'une façon
ale des os, on peut com- prendre comment cette glande et encore ses
parties
accessoires qui occupent le canal crânio-pharyn
ivante : s'agissait-il d'une lésion organique ou d'une affection en
partie
organique et en partie fonctionnelle ? ou enfin
d'une lésion organique ou d'une affection en partie organique et en
partie
fonctionnelle ? ou enfin d'une affection entièr
ue les recherches de Hoche nous engageraient à penser qu'une petite
partie
des fibres de la voie centrale du facial aillen
s inflammatoires. Les noyaux des cellules névro- gliques avaient en
partie
subi de grosses altérations, ils étaient deux ou'
ou en 'forme de saucisson. Parfois on en trouve, qui ont perdu une
partie
de leur membrane, tout en conservant leurs grai
sans in- filtrations inflammatoires. Enfin nous remarquons que ces
parties
du cer- veau sont sujettes à un processus de dé
oyers sont épaissis, en dégénération hyaline, comme dans les autres
parties
du cerveau, Le nombre des fibres à à myéline a
difficile. - Examen le 5 février 1909 ; main droite livide, à la
partie
charnue de la phalangette de l'index droit,cica
on on trouve un gros tubercule soli- taire de forme ovoïde, dont la
partie
centrale est caséifiée. Par l'examen en série d
aut en bas, on voit apparaître ce tuber- cule (PI.1V f9. A) dans la
partie
moyenne du segment C , où il occupe le fond du
ériphérie de la masse caséeuse. La moi- tié gauche est déformée, en
partie
comprimée ; le cordon postérieur, dans (1) On t
. Long). DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 63 sa
partie
centrale, est criblé de vacuoles; on observe, à l
nue progressivement de volume; son pôle inférieur est situé.dans la
partie
moyenne du seg- ment C7 où il occupe la substan
bande placée dans le cordon de Burdach (virgule de Schulze) dont la
partie
antérieure et profonde a un plus long trajet qu
l indemne ; 2° le cordon antéro-lalérral droit, à l'exception de la
partie
postérieure du cordon latéral et de la zone mar
s la voie cérébelleuse. Le déplacement des fibres qui occupent la
partie
marginale des cordons latéraux (zone des faisce
CENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 67 ED. LONG . PL. XVII Fis. 6. -
Partie
supérieure du segm. C6 f ic. 7. - Segm. CI, F
isque ce déplace- ment, d'ailleurs inconstant, ne porte que sur une
partie
des fibres du faisceau cérébelleux direct, et s
n Ce et Ci, la zone du faisceau de Gowers, sont transférées dans la
partie
postérieure du faisceau céré- belleux direct, p
alons sur les figures 10, 11, 12, de petits fascicules qui, dans la
partie
inférieure du bulbe, cheminent isolément à la sur
rtance; ces fibres peu nombreuses et disséminées se perdent dans la
partie
supérieure du bulbe; on ne les retrouve plus da
plus dans la protubérance. Cette dégénérescence ascendante d'une
partie
de la voie pyramidale a. la suite de lésions sp
claie, ou bien de fibres ascendantes mélangées à cette voie sur une
partie
de son trajet ? Ce problème ne paraît pas résol
les coupes de bas en haut (fig. 12, 13, 14, 15) on voit des fibres,
parties
du faisceau la- téral du bulbe,occuper la parti
voit des fibres, parties du faisceau la- téral du bulbe,occuper la
partie
antérieure de la substance réticulée grise et 7
e au corps restiforme (N Crst), le corps juxtarestiforme (Cj) et la
partie
la plus reculée de la substance ré- ticulée gri
ntérieur de la moelle ; ils les suivent dans leurs rapports avec la
partie
ventrale de la formation réticulée, avec l'oliv
ernes allant jusqu'au bile de l'olive. Ces fibres sont destinées eu
partie
, d'après Thiele et Horsley à remonter dans la c
conclure ? Il est au moins un fait certain : c'est l'arrêt dans les
parties
la- térales du bulbe d'une notable partie des f
: c'est l'arrêt dans les parties la- térales du bulbe d'une notable
partie
des fibres qui constituent la voie ascendante d
on pôle su- périeur ; ses fibres se terminent non seulement dans la
partie
antérieure de la formation réticulée grise, mai
ent vers le centre de la formation réticulée grise s'y terminent en
partie
, et en partie aussi constituent les fascicules
ntre de la formation réticulée grise s'y terminent en partie, et en
partie
aussi constituent les fascicules à long trajet
rt de ce qui appartient à chacun des deux groupes, au moins pour la
partie
terminale de leur trajet, c'est-à-dire de la mo
de la voie ascendante latérale se sont arrêtées pour la plus grande
partie
dans la substance grise du bulbe ; il ne reste,
n tiel, ces fibres ont encore diminué de nombre ; c'est donc qu'une
partie
des connexions spino-réticulées trouve ici sa t
eau antérieur : il suit dans la formation réticulée le trajet de la
partie
la plus extrême du bras du tubercule quadrijumeau
distribuent en trois groupes principaux : 1° Fibres allant 't la
partie
antérieure de la formation réticulée et à l'olive
formation réticulée et à l'olive bulbaire. 2° Fibres allant à la
partie
latérale de la formation réticulée. 3° Fibres a
la partie latérale de la formation réticulée. 3° Fibres allant à la
partie
postérieure de la formation réticulée et pro- b
fibres spino-quadrigéminales) ; . avec la région sous-optique et la
partie
ventrale du noyau externe du thalamus. Ces fibr
sités aurait suivi du peu. Nous n'insistons pas davantage sur cette
partie
des troubles que présen- tait notre patient, ma
observe à chaque trait de l'aiguille d'un côté une contraction des
parties
moyenne et supérieure du même côté de l'abdomen.
moitiés de la dure- mère on remarque que la moelle,au niveau de la
partie
supérieure de la région dorsale et sur une faib
minime, au niveau de la face antéro-latérale des 2e et 3e segments (
partie
inférieure du premier, partie supérieure du secon
ntéro-latérale des 2e et 3e segments (partie inférieure du premier,
partie
supérieure du second). La tumeur n'est reliée à
ces ont été fixées dans le formol à 10 0/0. Tous les segments de la
partie
de la moelle (de CI à l'extrémité inférieure) o
; il existe une dépression nette mais peu accentuée au niveau de la
partie
antéro - latérale de la moitié gauche. Les fibr
érieur de l'adulte indépendamment de tout état pathologique. ' La
partie
la plus superficielle des cordons de Goll et surt
te au niveau de la zone où s'exerçait la compression. Mais toute la
partie
située à gauche des sillons médians est un peu
située à gauche des sillons médians est un peu moins étendue que la
partie
droite. 2° MOELLE ET racines au-dessous DE la C
a droite,et l'atrophie semble porter presque également sur toutes ses
parties
. Les différents groupes cellulaires antérieurs
oloriées par la méthode de Pai de V. Gieson, le contraste entre les
parties
normales et pathologiques des faisceaux radiculai
logie les coupes dont l'analyse et la représentation constituent la
partie
essentielle de cet article l'un de nous a tenu à
; l'hypertrophie porte également sur tous les tissus, squelette et
parties
molles. Dans le cas qui nous oc- cupe, la dystr
veau veilleur à sa première ronde. Pendant le jour, il conserve, en
partie
cette attitude foetale. ' Dans la station debou
il y a tout lieu de croire que, dans ce dernier pays, il passa une
partie
de son temps dans les prisons de New-York et de
i est d'autant moins facile de résister que son attention n'est qu'en
partie
occupée à compter l'argent, ce qui est son méti
son égard, provenant de son état mental ; et ceci était en majeure
partie
causé par son entoura- ge, par les influences d
que féminine dans l'art grec. Une harmonie parfaite unit toutes les
parties
du corps. La tête se dresse fièrement sur un co
largement sur les quatre extrémités, en commençant toujours par la
partie
distale, ensuite sur la figure, sur le cou et e
et par conséquent de la portion de système nerveux sensitif de ces
parties
; 2° que, il mesure que la maladie 'progresse, ell
, les orbites, le nez, dans une étendue plus ou moins grande et une
partie
des régions massé- térines et temporales. Une f
s'observe dans les extrémités. Elle consiste dans l'invasion d'une
partie
ou de la lolalilé de la peau des exlrémilés par u
nt dans notre main gauche et immobilisant la jambe du malade par sa
partie
inférieure, on saisit avec douceur, de la main
très clairement la gouttière appar- tenant à l'absence d'une grande
partie
du muscle jambier antérieur, spé- cialement du
ffisance anatomique le malade a la voix nasale et en même temps une
partie
des liquides à avaler s'échappent par le nez. D
on plus aux portions les plus distales, mais elle se propage de ces
parties
au centre. Dans la syringomyélie, l'asy- Fig..
rifuge de l'arc, car nous savons fort bien que la lésion dans cetle
partie
ne tarde pas à produire la subréfleclivité ou l
ifférents de ceux-là qui sortent du même arc, mais dont la première
partie
est constituée par les nerfs sensitifs cu- tané
dans le côté droit : une arthrite tarsienne avec hypertrophie de la
partie
postérieure du premier métatarsien ; on voit auss
est un exemplaire typique de macrochirie d'o- rigine lépreuse. Les
parties
les plus hypertrophiées sont l'index et le dell
sont l'index et le dellxièmpmétacarpien. Le troisième doigt et une
partie
du pouce lesonl aussi quoiqu'à un degré moins é
itifs, moteurs el. trophiques, sont limités pendanl longtemps à une
partie
réduite d'une région, et, par con- séquent, la
ertrophies, quoiqu'elles soient bilatérales, et dans des organes ou
parties
les plus saillantes, doivent être attribuéesuni-
es inférieurs, prenant d'abord les pieds, puis les jambes, enfin la
partie
inférieure des cuisses, et cela avec une symétrie
tseborneaune amyotrophiedes quatre membres, et en particulier de la
partie
distale des ¡ membres. Avant de procéder à l'
s, siégeant aux deux pieds, remontant jusqu'aux chevilles et sur la
partie
externe des jambes. DRUX cas d'atrophie muscula
scles atrophiés sont très altérées, d'autant plus qu'on examine les
parties
distales. Je résumerai ces altérations en disan
auteur, les radia- tions du noyau rouge « occupent probablement la
partie
supérieure du segment postérieur de la couronne
s des radiations du corps genouillé interne, passent en avant de la
partie
enclavée du corps genouillé interne, puis se port
la constitution des radiations de la calotte et s'irradient dans la
partie
supéro-antéro-externe du noyau rouge. Elles, re
deux tiers inférieurs de la circonvolution pariétale ascendante, la
partie
postérieure des première et deuxième circonvolu
es sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante et la
partie
adjacente du segment rétrolenticulaire de la ca
existe, en effet, dans ce cas, une dégénérescence très nette de la
partie
antéro-supérieure du noyau rouge portant à la f
mporale, le foyer de ramollissement inté- resse « le pli courbe, la
partie
inférieure de la circonvolution pariétale infér
la partie inférieure de la circonvolution pariétale inférieure, la
partie
postérieure de la première circonvolution tempora
ons de la base, ce foyer profond se trouve à interrompre la majeure
partie
des fibres de projection qui proviennent du lob
al . Cette lésion a déterminé une dégénéres- cence très nette de la
partie
postéro-supérieure du noyau rouge. LES CONNEXIO
ombreux et significatifs. Les travaux de von Monakow sonL basés, en
partie
,ur des recherches expérimentales pratiquées chez
es chez certains animaux tels que le chien, le chai et le singe, en
partie
sur l'élude des dégénérescences secondaires obs
ous les cas où il a cons- taté la dégénérescence du noyau rouge, la
partie
operculaire de la troi- sième circonvolution fr
e du noyau rouge, et porte surtout sur le tiers antérieur, mais, en
partie
aussi, sur le tiers moyen de ce noyau. Les phénom
ent inférieur on ventral de la couche optique, et, gagnant alors la
partie
latérale de la région sous-thalamique en passan
iculo-strié de la capsule interne, entre dans la constitution de la
partie
médiane de la lame médullaire externe et de la
le segment lent iculo- optique de'la capsule interne, passe par la
partie
latérale de la lame médullaire externe et par le
e est constitué par les radiations corticales du noyau rouge. Cette
partie
qui recouvre en avant le' pôle antérieur ou fro
fibres qui retiennent le noyau rouge à la lame médullaire externe (
partie
médiane), ai la couche optique (centre médian en
t à la corticalité préfrontale. Ces mêmes fibres forment la majeure
partie
du tiers antérieur de la couche péri-capsulaire
ventral de la couche optique, ces fibres concourent à former cette
partie
de la zone péri-capsulaire qui recouvre en bas
région operculo-centrale (pied de la troisième frontale, insula et
partie
avoisi- nante des circonvolutions rolandiques).
e prolonge au-dessus de celle-ci vers la sub- stance profonde de la
partie
inférieure de l'isthme limbique, et atteint, en b
est excavé dans la totalité, mais la lésion fusiforme a régressé en
partie
, n'étant représentée que par un foyer rectangul
u pédoncule cérébral et paraît tout à fait normale, sauf dans cette
partie
qui surplombe le corps genouillé externe où elle
venant de l'écorce atteinte par le ramollissement et destinées à la
partie
infé- rieure du pulvinar et peut-être aussi à l
noyau rouge. Sur la coupe suivante (Fig. 3), laquelle passe par la
partie
moyenne du noyau rouge, on ne voit plus, au niv
On voit très bien que la décoloration siège encore de préférence la
partie
supérieure du noyau rouge où elle atteint surto
zone dorsale s'étend légèrement en bas et en dehors jusque dans la
partie
ventro-latérale du noyau rouge. Les autres déta
, la capsule de ce noyau est notablement raréfiée, surtout dans ses
parties
dor- sales et ventru-latérale. Un foyer lacunai
les et ventru-latérale. Un foyer lacunaire est encore visible dans la
partie
supérieure de la couche optique et semble avoir
mmédiatement en avant du bord postérieur du pulvinar, et détruit la
partie
supérieure de la première circonvolution oc- ci
é du cunéus, le segment occipital du lobule fusiforme, la ma- jeure
partie
du lobule lingual et l'extrémité postérieure de l
hippocampe. Au niveau du carrefour ventriculaire, la lésion occupe la
partie
médiane du lobule fusiforme et la circonvolutio
atteint la moitié inférieure du pilier postérieur du trigone et la
partie
inférieure du splénium du corps calleux. ' Il
e lésion débute en arrière par un tout petit foyer siégeant dans la
partie
supé- rieure du segment rétro-lenticulaire de l
étend dans un sens vertical oblique, de la paroi ventriculaire à la
partie
moyenne de la capsule externe (Pl. XXXV-C) et se
ce foyer in- tercepte toutes les fibres de projection provenant des
parties
correspondantes de la première circonvolutiou l
ule supérieur de l'insula. Enfin, sur les coupes qui passent par la
partie
antérieure du globus palli- dus, il existe Un p
r les coupes situées plus en arrière, la dégénérescence s'épuise en
partie
au niveau du corps quadrijumeau anté- rieur et
inl'9 bande dégénérée se détache assez nettement; elle émerge de la
partie
supérieure du champ de Wernicke, se porte transve
e transversalement en dedans et semble pénétrer directement dans la
partie
latérale du noyau rouge. En raison de la forte
est de la réaction déterminée par la lésion centrale siégeant dans la
partie
supérieure de la capsule interne létrulenticula
du carrefour venlriculaire. Sur une coupe (PI. 0-13) passant par la
partie
antérieure du corps genouillé externe et un ppu
ie antérieure du corps genouillé externe et un ppu en arrière de la
partie
moyenne du noyau rouge, on voit que la dégénére
u temporo-thalamique d'Arnold est devenue plus saillante, et, de la
partie
supérieure de ce territoire, une traînée dégénéré
dégénérée peut être suivie à travers la capsule interne jusqu'à la
partie
latérale du noyau rouge. Cette dégénérescence l
n dehors du noyau rouge, la zone dégénérée semble se bifurquer, une
partie
re- montant le long du bord externe de ce noyan
ons frontale et parié- tale ascendantes. Cette dégénérescence de la
partie
supérieure du noyau rouge s'observe sur toutes
ieure du noyau rouge s'observe sur toutes les coupes passant par la
partie
moyenne de ce noyau, mais elle devient de moins
e de beaucoup plus appréciable et qu'elle intéresse, d'une part, la
partie
voisine de la capsule interne, toute la hauteur d
riétal. Il existe quelques petits foyers lacunaires nu niveau de la
partie
supéro-interne de la couche optique, lesquels con
extrêmement marquée. En haut, cette dégénérescence s'épuise dans la
partie
externe du noyau latéral de la couche optique ;
ntuée du tubercule antérieur ainsi qu'une légère décoloration de la
partie
médiane du noyau interne. Dans le lobe pariétal,
rouge. Dans le lobe occipital, le ramollissement intéresse la majeure
partie
"du lobule lingual et du lobule fusiforme, le f
le foyer occupe tout le segment antérieur du lobule fusiforme et la
partie
correspondante de la circonvolution de l'hippocam
du pédoncule cérébral. On dirait que la dégénérescence s'épuise en
partie
au niveau, du locus niger, lequel renferme, imm
pulvinar et du noyau interne de la couche optique, ainsi que de la
partie
pos- térieure du corps genouillé externe. La
yen et postérieur. On observe encore une certaine raréfaction de la
partie
médiane du champ juxta-rubrique latéral, mais c'e
I-F) passant par l'extrémité postérieure du corps de Luys et par la
partie
antérieure du tiers moyen du noyau rouge, on voit
ement 210 - LA SALLE ARCHAMBAULT une raréfaction très nette de la
partie
correspondante de la capsule du noyau rouge et
rs postérieurs de la première circonvolution frontale et la majeure
partie
de la première circonvolution limbique.111aljrô c
voies importantes, Il existe une dégénérescence très marquée de la
partie
laté- rale du corps calleux, des couches sagitt
escence du stratum zonale, de la lame mé- dullaire externe et de la
partie
supérieure surtout du noyau latéral. Il est pas-
éral. Il est pas- sible, cependant, que ces altérations relèvent en
partie
de la grosse lacune sié- geant au centre de la
e surtout dans la zone marginale dorso-latérale, et, en plus faible
partie
, dans la zone ventro-latérale de ce noyau. La
Le champ de fibres qui recouvre ce noyau en dehors s'est en'grande
partie
reconstitué et ne présente plus la décoloration
de la couche optique, on constate la dégénéres- cence de la majeure
partie
du noyau latéral et une décoloration particulière
ORTICALES DU NOYAU ROUGE 213 téresser que légèrement l'écorce de la
partie
attenante de la frontale ascendante. Sur une co
e supéro-externe du ventricule latéral où elle sectionne la majeure
partie
du pied de la couronne rayonnante. A cet endroi
érieur de la frontale ascendante, et s'étend jusqu'à l'écorce de la
partie
moyenne de la pariétale,ascendante. Le lobe tem
La première de ces coupes (PI. XXXVIII-J) est prise au niveau de la
partie
moyenne du noyau rouge. On remarque une dégénér
dé- générescence, mais on voit assez distinctement toutefois que la
partie
supéro- externe du noyau rouge renferme un peti
ière, où elle est beaucoup plus destructive, la lésion intéresse la
partie
antérieure du pli courbe, la majeure partie du
la lésion intéresse la partie antérieure du pli courbe, la majeure
partie
du gyrus supramarginalis et de la première circon
cir- convolution temporale. En avant, la lésion implique la majeure
partie
de l'insula, tout en respectant le noyau lentic
OUGE 21 S a déterminé une dégénérescence très marquée de la majeure
partie
du noyau u rouge. ' Les coupes servant à illu
oyau rouge, c'est-à-dire une dégénérescence très considérable de la
partie
médiane du territoire appartenant aux.radiation
intense du stratum zonale, du tubercule autérieur et de la majeure
partie
du noyau latéral. Quant au noyau rouge, on voit
s cas (quatrième observation), le ramollissement atteint la majeure
partie
de la première circonvolution frontale et de la
ons proviennent de la face médiane du lobe temporal, d'autres de la
partie
antérieure du bord supéro-interne de l'hémisphère
ntérieure de la corne sphénoïdale pour se recourber ensuite vers la
partie
inférieure du pulvinar. En d'autres termes, elles
ment sous-lenticulaire de la capsule interne et abordent ensuite la
partie
supérieure du champ de Wernicke. La dégénérescenc
n observe, dans ces cas, outre la dégénérescence du pulvinar, de la
partie
postéro-inférieure du thalamus et du corps quadri
du corps quadrijumeau antérieur, une dégénérescence également de la
partie
postéro-supérieure du noyau rouge. La dégénéres
o-supérieure du noyau rouge. La dégénérescence aborde ce noyau à la
partie
postéro- supéro-externe en passant d'abord par
le dire, les zones marginales dorsale et dorso-médiane. Près de la
partie
moyenne du noyau rouge, la dégénérescence porte e
onne rayonnante fronto- pariétale et par le segment antérieur et la
partie
antéro-supérieure du 220 LA SALLE ARCHAMBAULT
me médul- laire externe sur toute sa hauteur, le stratum zonale, la
partie
supérieure du noyau latéral ainsi que le tuberc
re affecté aux radiations de la calotte dont elle occupe surtout la
partie
médiane. De ce territoire la dégénérescence s'éte
tômes que l'on a rencontrés dans les lésions atteignant tan- tôt la
partie
médiane du noyau lenticulaire tantôt la couche op
ce lamelle osseuse, qui sur nos épreuves apparaît comme brisée à sa
partie
médiane, comme s'il s'était agi d'un véritable
. Les radiographies des mains décèlent un développement exagéré des
parties
molles, donnant} l'image l'aspect en éventail d
o 914, 11- 16. - étude D'UN cas D'ACR011tÉGALlE - â35 fermée à sa
partie
supérieure. Le diamètre anléro-postérieur atteint
er si la lésion hypophysaire n'a pas provoqué un retentissement sur
partie
ou totalité des glandes vasculaires sanguines,
roïdie. Il est vrai que, la raréfaction des sourcils surtout à leur
partie
externe, la chute des cils aux paupières inféri
r;- ? les plia- langes unguéales seules sont distinctes. Déplus, la
partie
la plus externe, correspondant au 5" orteil, pr
la main gauche, quoique simple en apparence, renferme cependant des
parties
surajoutées. C'est ainsi que le segment qui corre
i corres- pond à la phalange de l'annulaire est fractionné en trois
parties
qui, dans leur ensemble, forment une masse supé
g du corps) elle sommet vers l'extrémité libre de l'auriculaire. La
partie
de sa surface qui regarde en bas et en dehors s
ent être sensiblement normaux. Envisagées dans leur en- semble, les
parties
squelettiques anormales paraissent être surnuméra
ue le résultat, le processus aboutit nettement à la constitution de
parties
squelettiques surnuméraires. De 'plus, le seul
parties squelettiques surnuméraires. De 'plus, le seul fait que les
parties
semblent procéder à la fois, en ce qui concerne
avons pas à décider si la polydactylie dérive d'un dédoublement des
parties
préexis- tantes, ou de la formation de parties
'un dédoublement des parties préexis- tantes, ou de la formation de
parties
nouvelles, nous ne saurions dire si la syndacty
t tout sur la face postérieure, occupant dans le tiers supérieur la
partie
externe, et dans les deux tiers infé- rieurs to
on verticale. Les mouvements de l'épaule droite sont, eux aussi, en
partie
limités dans leur étendue, mais le malade dit s
rgane reste irrésolu. En ce sens il ne diffère pas de tant d'autres
parties
du névraxe, de l'écorce des circonvolutions cen
dorf élargi cette théorie en acceptant t que la lésion de certaines
parties
de l'écorce cérébrale en connexion avec les noy
BLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 275 autres
parties
du névraxe étant intactes ou presque. Rappelons l
) obtient des contractions musculaires toniques par l'excitation de
parties
caudales du noyau caudé et des contractions cloni
du noyau caudé et des contractions cloniques par l'ex- citation des
parties
du milieu ; des mouvements de locomotion sont pro
eu ; des mouvements de locomotion sont pro- voqués en stimulant les
parties
frontales. Von Bechterew (die Funklionen der Ne
ment normal. En vue de l'examen microscopique de l'écorce, quelques
parties
des circon- volutions frontales, centrales, tem
les, occipitales et du cervelet sont fixées dans l'alcool, d'autres
parties
dans la liqueur de Weigert. Après, le cerveau in
qui sont en réduc- tioii. '. tion. `. Coupe III (intéressant la
partie
antérieure du globus pallidus). Celui-ci est en
pallidus). Celui-ci est en atrophie aussi prononcée que les antres
parties
du corps strié. Il y a encore une réduction des
lequel la lamina medullaris accessoria n'est pas reconnue. Dans la
partie
médiale du segment latéral, des fascicules radiés
ansversales du pednnculus inferior thalami. Coupe V (intéressant la
partie
antérieure de la couche optique). Le noyau caud
grande que dans la coupe correspondante du cerveau normal. Dans la
partie
médiale du globus pallidus nous remarquons beauco
men contient plusieurs fascicules, les espaces interradiaires sont en
partie
occupés par un réseau de fibres à myéline extrê
les places pointillées de VIle et VIIIe. Coupe VIII (intéressant la
partie
postérieure du noyau rouge). Nous remarquons l'
cement du mouvement inverse. Les troubles de notre malade sont, en
partie
, expliqués : 1° par la difficulté qu'il éprouve s
len; bien développés, ne sont trouvés qu'en petit nombre. Plusieurs
parties
de l'écorce sont examinées d'après la méthode de
où le processus a pris un caractère très aigu : c'est la base de la
partie
antérieure du noyau lenticulaire. Ici tous les
lairs, les corps sont volumineux. Ce foyer d'inllammation occupe la
partie
antérieure de la base du noyau lenticulaire, il
bon état, la névroglie est en prolifération légère. A droite, la
partie
commune du corps strié est également en réduction
te du cervelet, des brachia conjunc- tiva ou des noyaux ronges. Ces
parties
sont dans notre premier cas sans altérations, d
ure; encore faut-il remarquer qu'une adipose sous-cutanée masque en
partie
l'atrophie. La supination est impossible, la pr
embres inférieurs sont atrophiés dans leur ensemble, amyotrophie en
partie
masquée par l'adipose sous-cutanée. Ils se présen
très étendu, pénétrant profondément jusqu'à l'os coccyx qui est en
partie
séquestré et s'élimine en 308 rtiVILLIOD peti
ncore un petit pont de substance médullaire ramollie qui réunit les
parties
du névraxe en amont et en aval de la grosseur.
droit et en avant de la tumeur. Les coupes transversales des autres
parties
de la moelle font ressortir, déjà ;'1 zip nu, la
p nu, la dégénérescence ascendante des cordons postérieurs dans les
parties
situées au-dessus du néo- plasme. Il n'y a pas
en pratique, Ù la pensée d'une voie d'accès à tracer à travers des
parties
molles, oedéma- tiées, mal nourries, prêtes à s
cardiaque le 26 avril 1914. » En publiant cette seconde et dernière
partie
de l'observation, nous avons voulu d'abord nous
isme à l'origine de l'obésité ne sont cependant pas d'accord sur la
partie
de la glande qui y inlerv ient. Ainsi Fischer,
la thyroïde. Contrairement à Novak, Fandler et Grosz, Mûnzer, et en
partie
Schûller soupçonnent une origine génitale. Nous
bservations, d'autres cas ont élé signalés que nous reproduisons en
partie
d'après le livre de Falta : Le cas de Berger, q
s sillons sont profonds et accusent encore davantage la saillie des
parties
molles. Le pouee et l'auriculaire sont à peu pr
moins volumineux que le droit. Les doigts l'ont défaut, au moins en
partie
: mais la diminution de volume et le raccourcis
iculaire des métacarpiens. De ces derniers il ne reste guère que la
partie
correspondant à l'extrémité supé- rieure. Encor
s tous les cas, des métacarpiens manquent, du moins une très grande
partie
. - L'avant-bras est nettement plus court que l'
uelles peuvent être les condi- tions qui entraînent l'absence d'une
partie
importante de la main. Deux hypothèses principa
che plus facilement à un membre isolé qu'elle ne s'accroche en deux
parties
cor- respondantes des membres symétriques. Ma
s à une ostéogénèse telle que les os qui se forment ne sont pas des
parties
d'os normaux, mais des os d'une forme nouvelle.
ation cicatricielle. Il faudrait alors supposer un affrontement des
parties
suivant une très large surface et dans des condit
surément l'autour si- gnale l'existence d'un sillon à la base de la
partie
libre du troisième orteil ; mais la direction d
c force qu'il ne s'agit pas d'un phénomène étroitement localisé aux
parties
réunies, mais que la réunion traduit un ensembl
pothèse mécanique. Dès lors, les dépressions perdent la plus grande
partie
de leur importance ; il n'est pas possible de v
t effectuée d'une manière anormale. Non seulement la croissance des
parties
s'est ralentie d'une manière progressivement ac
evient forte- ment sur elle-même et réduit au minimum le volume des
parties
qu'elle comprime. La circulation est alors arrê
r une rupture en un point quelconque de l'enceinte. A ce moment les
parties
comprimées reprennent petit petit un volume nor
ions de droite fussent comparables à celles de gauche, pour que les
parties
comprimées d'un côté soient exactement symétrique
les parties comprimées d'un côté soient exactement symétriques des
parties
comprimées de l'autre, pour que la flexion des
ue exactement superposable, pour que l'atrophie porte sur les mêmes
parties
. Le plus souvent, au contraire, on devrait renc
ence du péroné, elle n'expliquerait pas l'absence des orteils d'une
partie
du massif tarsien. Du moins, elle ne l'expliquera
lle est strictement individuelle. Héréditaires ou non, les diverses
parties
sont étroitement liomologues chacune à chacune
les deux cas d'un processus général, d'une absencede formation des
parties
, ou d'un changement dans leur dif- férenciation
eur fait subir pour cela, les ferments perdraient peut-être tout ou
partie
de leur action, et, comme l'acide chlorhydrique
contestablement favo- rables ; il faut sans doute attribuer cela en
partie
à ce qu'un certain nom- bre de ces malades, don
re déjà tellement pleins qu'ils exercent une forle pression sur les
parties
environnantes, ainsi la circulation dans l'écor
sûrement à l'encéphalite infantile ou à l'hystérie), la plus grande
partie
lui est absolument étrangère : de ces derniers ca
on appelle clini- quement « épilepsie essentielle », la plus grande
partie
appartient à toutes sortes de formes d'épilepsi
essentielle on n'en peut effectivement attribuer que la plus petite
partie
(environ 10 0 0) à cette forme de la maladie ; au
ée, la « ReaktionfahigheitM » épileptique n'aug- mente que dans des
parties
déterminées de l'écorce, et le résultat de celle
ntre épilepsie organique et épilepsie essentielle, etc. La première
partie
de' cette citation est par- faitementjuste, la
ant ma ferme conviction, la clef de la connaissance exacte de cette
partie
de la pathologie encore si peu étudiée : dans l'é
e action accélératrice en (Commun avec le système chromaffine et la
partie
infundibulaire de l'hy- pophyse ; par contre, l
le ganglion inférieur du nerf sympathique ou peut-être de certaines
parties
du système nerveux central ? ), fonctionne insu
ande thyroïde, une action régularisante et accélérante sur quelques
parties
du métabo- lisme, cela semble bien avoir mainte
métabolisme calcaire : la formation de la dentine est retardée, les
parties
molles deviennent plus riches, les os fistuleux
non seulement par des troubles du métabolisme, mais aussi, pour une
partie
, par les contractions musculaires et que, par c
nifestent des attaques épileptiques, et quand, en outre, la majeure
partie
des glandes parathyroïdes avait été enlevée, on
avec la tétanie (suivant qu'on avait ou non enlevé une trop grande
partie
des glandes paralhyroïdes), ces cas sont précisém
recherches très importantes : ils pu- rent démontrer que certaines
parties
du système nerveux central (par exemple le noya
us, le noyau du moteur trijumeau), à l'opposé 396 BOLTEN d'autres
parties
, étaient, en cas de tétanos et de diphtérie, très
née qui, toutefois, ne sembla pas être la même dans les différentes
parties
, comme la substance grise et la substance blanc
es cellulaires. On peut donc très clairement admettre que certaines
parties
du cerveau (spécialement l'écorce cérébrale ? )
onnus) qui causent l'intoxication nommée épilepsie essenlielle. Ces
parties
du cerveau retirent continuellement des poisons
es (reins, poumons et peau) et ensuite le cortex cérébral donne une
partie
des siennes au sang, qui à ce moment est for- t
it un refoulement de lymphe et de, sang dans les foyers et dans les
parties
situées au-dessus d'eux, et que ces parties se
les foyers et dans les parties situées au-dessus d'eux, et que ces
parties
se sursaturent de leurs propres produits de mé-
ns dans le système du nerf sympathique, comme régulateur de tant de
parties
importantes de notre organisme, surtout parce q
'importe quelle affec- tion des méninges, du cortex cérébral ou des
parties
plus profondes qui, soit par augmentation génér
s poumons et de la peau, plus tard le cortex cérébral en évacue une
partie
dans le sang, à ce moment dépourvu de toxines.
réa, pour éclaircir l'analyse clinique, lessyniliatlio5Qs, qui font
partie
du cadre de la débilité nerveuse. Or l'excilabili
on inclût ces individus dans le groupe des psycho-névroti- ques. En
partie
, c'est la vérité. Ces sujets font partie fraction
nception du professeur Cents sur les myxoïdi tes concerne en grande
partie
ces malades. Ce ne sont pas pourtant des myxoïdie
e : « Germes et poisons de n'importe quelle origine recherchent les
parties
nerveuses où s'opèrent le plus facilement les éch
ous droits rése/reS ' AVIS DE L'ÉDITEUR. Ce volume comprend trois
parties
d'inégale importance. La première est consacrée a
unes de ses complications immédiates ou lointaines. Dans la seconde
partie
, nous avons rassemblé les nombreux travaux de M.
de la neurologie. VIII AVIS DE L'ÉDITEUR Enfin dans la troisième
partie
nous avons reproduit une leçon de M. Charcot sur
és dans la précédente. lor novembre 1890. BoURNEVILLE. PREMIÈRE
PARTIE
Hémorrhagie et ramollissement du cerveau Char
is encore, en nombre variable, le plus souvent considérable, dans des
parties
de l'encéphale plus ou moins éloignées de la coll
ue musculaire. Les fibres musculaires font constamment défaut sur les
parties
dilatées et ne reparaissent sur les artères qui p
les maladies des vieillards et sur les maladies chroniques, Deuxième
partie
, . Est-ce à dire que, pour nous, toutes les hém
brane interne. Les altérations les plus considérables siègent sur les
parties
les plus extérieures, elles marchent de dehors en
a seconde variété de M. Robin. En rapport avec cette altération des
parties
les plus superficielles de l'artère, on observe u
s n'avems rencontré d'altérations vasculaires analogues dans d'autres
parties
du corps. IV. Nous devons aborder maintenant
de la tunique adventice, ce qui se voit quelquefois, surtout dans les
parties
centrales, l'anévrysme est bleuâtre si le sang qu
stique. Nous avons rencontré ces anévrysmes dans presque toutes les
parties
de l'encéphale ; mais ils ne sont pas uniformémen
aux, le bulbe, sont par ordre de fréquence décroissante, les diverses
parties
où nous les avons rencontrés. Cette distribution
uite nous avons pris le soin et l'habitude de les rechercher dans les
parties
centrales, nous avons reconnu qu'ils y existaient
décrire se remarquent à la surface de section pour les anévrysmes des
parties
plus profondes ; mais généralement, leur recherch
oyers récents. Il faut d'abord déterger la cavité, enlever une grande
partie
du caillot ; mais pour cela, il ne convient ni d'
hérique contenant encore du sang à son inférieur, mais fendue sur une
partie
de son pourtour ; et l'on constate alors que la g
sme. Onpeut alors l'étudier plus complètement. On trouve à côté d'une
partie
plus liquide, constituée à la façon du sang norma
partie plus liquide, constituée à la façon du sang normal, une autre
partie
moins fluide, grenue, transparente, renfermant de
onvolutions. Le cœur est normal, les orifices sains; l'aorte, dans sa
partie
supérieure, est à peine athéromateuse, et présent
n vaste foyer hémorhagique qui a détruit la couche optique gauche, la
partie
postérieure du noyau intraventriculaire du corps
un foyer anfractueux dans ta couche optique gauche, empiétant sur la
partie
postérieure des corps striés. Ce foyer a fait irr
plusieurs anévrysmes miliaires. On en trouve quelques autres dans les
parties
saines du tissu cérébral. Les artères de la base
est très athéromateuse et présente quelques kystes fi-brineux dans sa
partie
descendante. Les reins sont très petits; ils ne p
du cervelet développée dans le lobe droit et s'étendant à une grande
partie
du gauche ; le sang, après avoir déchiré les circ
tie du gauche ; le sang, après avoir déchiré les circonvolutions à la
partie
postérieure, s'étend sous la méninge. Le foyer re
fois employé à la buanderie de la Salpêtrière et restait, pendant une
partie
de la journée, dans une atmosphère humide, chauff
ont le point de départ semble avoir été le noyau tœniforme. — Dans la
partie
correspondante de l'hémisphère gauche, existe un
orte le 12 janvier 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer récent dans la
partie
postérieure du noyau blanc de l'hémisphère cérébr
ns calcaires. L'aorte est fortement athéromateuse, et au niveau de la
partie
convexe de la crosse, il existe un petit anévrysm
agie récente dans le noyau blanc de l'hémisphère cérébral droit, à la
partie
postérieure. Anciens foyers d'hémorrhagie dans
ninge en ce point et un caillot sanguin, pesant 30 grammes, occupe la
partie
postérieure et inférieure gauche de la grande cav
n trouve un foyer ocreux dans la couche optique droite, un autre à la
partie
antérieure du ventricule droit, une dans la subst
phère gauche, on trouve un foyer hémorrhagique récent qui occupe la
partie
moyenne et postérieure du corps strié. On découvr
ravasations récentes ni anciennes dans son intérieur ; elle occupe la
partie
correspondante à l'hémisphère gauche. La plus gra
occupe la partie correspondante à l'hémisphère gauche. La plus grande
partie
du noyau extraventriculaire du corps strié du côt
de l'hémisphère gauche, on trouve deux petits foyers ocreux dans les
parties
correspondantes de l'hémisphère droit. Plusieurs
strié et de la couche optique du côté droit. Autre ancien foyer à la
partie
postérieure du noyau blanc du lobe occipital du m
e la protubérance et de la pyramide antérieure du même côté. Dans les
parties
de l'hémisphère gauche symétriques à la lésion, o
r, un foyer ocreux d'hémorrhagie ancienne. Les circonvolutions et les
parties
centrales des deux hémisphères sont criblées d'an
n foyer ocreux d'hémorrhagie cérébrale; on rencontre dans différentes
parties
du cerveau et du cervelet plusieurs anévrysmes mi
le corps strié du côté gauche, et une autre cicatrice ocreuse cle la
partie
supérieure de la couche optique et du corps strié
t ensemble 200 grammes. L'aorte était peu athéromateuse, excepté à la
partie
inférieure de la région abdominale. - Obs. LXXI
uve dans la queue du corps strié droit un foyer ocreux contenant à sa
partie
postérieure une matière pulpeuse et qu'on est ind
mbreux anévrysmes intra-cérébraux. Nous avons dit, dans la première
partie
de ce mémoire, que nous ne nous trouvions pas aut
remarquer à ce propos que l'influence de la pression exercée sur les
parties
qui supportent le poids du corps ne saurait évide
rée qu'elles se développent, non plus que sur un point quelconque des
parties
médianes, mais bien vers le centre de la région f
aque érythéma-teuse, à bords mal définis, occupe, dans la plus grande
partie
de son étendue, la fesse du côté paralysé. La rou
ntôt anguleux, mais toujours nets et arrêtés, s'est développée sur la
partie
centrale de la plaque érythémateuse, c'est-à-dire
ou même plus, s'est développée aux dépens du derme, au centre de la
partie
dénudée, dans le lieu même où existaient les ecch
rds ; elle s'entoure d'un cercle éliminateur et parfois en outre, les
parties
voisines deviennent rouges, luisantes, tuméfiées,
re. Au microscope, les fragments de faisceaux primitifs provenant des
parties
altérées du muscle, comparés aux faisceaux pris s
t des parties altérées du muscle, comparés aux faisceaux pris sur les
parties
saines, offraient en général un plus grand diamèt
ion ont dû éprouver, au préalable, une modification profonde dans les
parties
qui subissent la mortification d'une manière auss
s et par cela même irréfutables. VII. Note sur la température des
parties
centrales dans l'apoplexie liée à l'hémorragie cé
expliquée par l'équilibration de température qui s'établit entre les
parties
où plonge le thermomètre et les muscles échauffés
ontraction persistante détermine de la rigidité avec immobilité de la
partie
(contraction statique de M. BéclardJ. La contract
ur la première fois, des râles muqueux abondants s'entendent dans les
parties
les plus déclives des deux poumons ; peu à peu, l
droit, et elle semble, là aussi, fortement distendue par l'effort des
parties
sous-jacentes. Cette membrane ayant été incisée,
l'étendue de la face supérieure de l'hémisphère cérébral droit; à sa
partie
moyenne, il présente plus d'un pouce d'épaisseur.
ubi l'hémisphère droit, Vencéphale, examiné avec soin dans toutes ses
parties
, ne présente aucune altération appréciable. La
aient à droite, sur la face interne du pariétal, c'est-à-dire dans la
partie
correspondante à l'épanchement, un piqueté plus a
sque, pour l'examen microscopique, on détache de petites lamelles des
parties
les plus colorées, les préparations vues à l'œil
l'épanchement, nous avons pris pour l'examiner un petit segment d'une
partie
jaunâtre et saillante. C'était un vaisseau à paro
e la faux de la dure-mère. Des deux côtés de la faux et dans toute la
partie
qui correspond à la convexité des hémisphères, la
sseur assez considérable ; elle était composée, dans la plus grande
partie
de son étendue, de plusieurs lames ou feuillets,
ade a survécu, ces modifications ont parcouru toutes leurs phases, la
partie
liquide a entièrement disparu, et il n'est resté
nts fluxionnaires, ce qui s'explique tant par l'état phlegmasique des
parties
voisines que par la riche vascularisation de ces
cupent la dure-mère des deux côtés de la faux et dans une très grande
partie
de son étendue. Dans d'autres cas, la production
terminaison funeste. L'intervention de l'hémorrhagie n'est donc point
partie
intégrante et nécessaire de leur évolution, même
observe presque constamment sur quelques points ou sur la plus grande
partie
de l'étendue des néo-membranes. Pour beaucoup d'a
urs allemands dont nous avons indiqué déjà les travaux dans une autre
partie
de cet article. Il y a donc, à cet égard, pleine
s ou étrangers dont il vient d'être question, au moins sur toutes les
parties
essentielles, et c'est justement là le point qu'i
pposer dans ces cas, que le sang a été fourni par les vaisseaux de la
partie
la plus interne de la dure-mère et se créer ainsi
o-membrane, de manière à affaiblir encore la résistance de toutes ces
parties
. Charcot. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie cérébra
es pseudo-membranes sont le siège, suivies de congestion sanguine des
parties
encéphaliques voisines, et peut-être aussi d'acti
ques voisines, et peut-être aussi d'actions réflexes s'étendant à une
partie
plus ou moins grande du système de la circulation
ion, et enfin les convulsions, qui semblent aller progressivement des
parties
supérieures aux parties inférieures, se montrent
sions, qui semblent aller progressivement des parties supérieures aux
parties
inférieures, se montrent dans fa cuisse et la jam
l'une après l'autre. A. la face interne du pariétal gauche et à sa
partie
inférieure e| postérieure on reconnaît une sort
t creusé de vacuoles assez larges. Dans quelques points, surtout à la
partie
antérieure cle l'ulcération, il ne reste plus que
oir près de 1 centimètre d'épaisseur. Ce pus est presque concret à sa
partie
supérieure, qui adhère à la dure-mère et qu'on en
ui adhère à la dure-mère et qu'on enlève avec cette membrane, et à sa
partie
inférieure contiguë au cerveau. Il est situé dans
ve dans toute l'étendue de la convexité hémisphérique et aussi sur la
partie
qui est en contact avec la Faux du cerveau. Ça et
ollie ù sa surface. Sur ['hémisphère droit, il n'y a du pus qu'à la
partie
voisine de la scissure médiane, tout le long de c
ue, où l'on voit à nu le tissu rugueux, irrégulier et celluleux de la
partie
centrale des os du crâne... L'érosion est la plus
s dans plusieurs points et tout à fait perforés dans d'autres... A la
partie
inférieure de l'hémisphère droit du cerveau, vers
s... A la partie inférieure de l'hémisphère droit du cerveau, vers sa
partie
postérieure, il existe un abcès considérable...
. Cette tache a la fargeur d'un écu de G francs; elle est limitée des
parties
voisines des os par un bord net. En sciant l'os à
tées, existent au pourtour de la grande. La dure-nière, au niveau des
parties
malades, présente une coloration Charcot. Œuv.
: la sensibilité s'était conservée à peu près intacte sur toutes les
parties
paralysées du mouvement. Chez cette femme, le lan
irconvolution dite marginale inférieure dans toute son étendue, et en
partie
seulement la seconde circonvolution temporale ; 2
lles étaient, d'ailleurs, séparées du foyer de ramollissement par des
parties
de substance nerveuse qui parurent être à l'état
Ces altérations, d'ailleurs peu prononcées, existaient sur toutes les
parties
de l'hémisphère cérébral qui avoisi-naient le foy
ubles de nutrition très variés : qui surviennent quelquefois dans les
parties
où se distribuent des cordons nerveux, lorsque ce
t, non plus cette fois sur les nerfs périphériques, mais bien sur une
partie
du système nerveux central, telle par exemple, qu
côté sur l'avant-bras, et de l'autre au tiers inférieur du bras. Les
parties
tuméfiées offraient une consistance ferme, comme
vements de la jointure ont repris actuellement (mars 1807) une grande
partie
de leur étendue première ; seulement, ils s'accom
ait d'elle-même très notablement amendée, bien que la jointure et les
parties
voisines offrissent encore une tuméfaction notabl
douleurs fulgurantes; môme absence de rougeur et de douleur dans les
parties
tuméfiées ; seul, le siège est différent. D'apr
; la malade pouvait de nouveau marcher et elle a pu même reprendre en
partie
ses occupations. Les douleurs fulgurantes, cepe
genou. 11 n'existait pas la moindre douleur ni la moindre rougeur aux
parties
gonflées. Au bout de vingt-quatre heures, la tumé
out de vingt-quatre heures, la tuméfaction avait gagné le genou et la
partie
inférieure de la cuisse : elle était surtout pron
on l'a dit, surtout prononcée au genou et elle s'étendait de là à la
partie
supérieure de la cuisse et à la partie supérieure
et elle s'étendait de là à la partie supérieure de la cuisse et à la
partie
supérieure de la jambe. Le médecin consulté à cet
e douleur spontanée ou provoquée soit par la pression exercée sur les
parties
gonflées, soit par les mouvements imprimés aux me
tiers supérieur delà jambe sont un peu empâtés, volumineux ; mais les
parties
tuméfiées sont là dures, résistantes, sans traces
lieu, le début a été brusque. Il n'a existé ni douleur ni rougeur des
parties
lumôfiées. Les symptômes généraux ont fait complè
, de trouver sa jambe et son genou gauche remarquablement enflés. Ces
parties
n'avaient été pendant la journée le siège d'aucun
ait conservé sa couleur naturelle ; elle était lisse et luisante. Les
parties
gonflées n'étaient nutlement douloureuses à la pr
me d'habitude. Le lendemain, au réveil, la tuméfaction avait gagné fa
partie
inférieure de ta jambe. Cependant, il n'existait
en pareil cas, très notablement ralentie. L'anesthésie s'étend sur la
partie
inférieure du tronc, jusqu'au niveau de l'ombilic
s la cavité synoviale; mais constamment il a occupé en même temps les
parties
voisines, quelquefois dans une grande étendue. Ce
effet à peu près constant de déterminer très-rapidement, en diverses
parties
des membres inférieurs, des troubles de la nutrit
très élevé eut la quatrième vertèbre dorsale littéralement brisée. La
partie
de la moelle qui correspondait à la fracture étai
rès la chute (1). Chez un charpentier qui avait fait une chute sur la
partie
supérieure du cou, suivie de flexion forcée de l'
la lésion médullaire, puisque celle-ci ne dépassait pas par en bas la
partie
supérieure de la région dorsale. D'ailleurs, il e
le pour éloigner la rotule des tond g les de plus d'un centimètre. La
partie
postérieure du membre était surtout infiltrée. Le
, ces lésions de l'axe médullaire qui provoquent ainsi, dans diverses
parties
du corps, une perturbation plus ou moins profonde
moelle, qu'elle soit provoquée par la déchirure ou l'at-trition d'une
partie
de l'organe, comme dans le cas d'une lésion traum
le épinière et ne présenter aucune autre lésion de nutrition dans les
parties
paralysées, qu'une atrophie assez lente à se mont
es nerfs, de ceux de la paralysie ou simple cessation d'action de ces
parties
; en d'autres termes, il faut distinguer les effe
atique et du relexreur de l'anus du côté droit. Pendant ce temps, les
parties
correspondantes de la peau se couvrirent de 1res
x. La cicatrisation de la plaie, qui persista après l'élimination des
parties
sphacélées, ne fut complète qu'au bout de deux mo
rhumatismale. Cette subinflammation qui survient ainsi dans diverses
parties
des membres est d'ailleurs elle-même la conséquen
trition développé sous l'influence de l'affection du cerveau dans les
parties
même où elles se manifestent, c'est-à-dire dans l
on constate ce qui suit : La malade parait avoir conservé une grande
partie
de son intelligence et de sa mémoire, seulement,
iforme de toute la main et même de l'avant-bras, mais sans œdème. Ces
parties
sont habituellement plus chaudes que les mêmes pa
ans œdème. Ces parties sont habituellement plus chaudes que les mêmes
parties
du côté opposé. Les mouvements un peubrusques imp
es, il en est d'autres qui, également presque continues, occupent les
parties
intermédiaires du membre, paraissent suivre princ
et sont exaspérées très manifes-ment par une pression exercée sur la
partie
interne du bras, en dedans du bord interne du bic
rrondie, plus large qu'une plaque de 5 francs. Cette plaque occupe la
partie
la plus inférieure et la plus antérieure des circ
re de Sylvius, jusqu'au lobule de l'insula, qu'elle intéresse dans sa
partie
la plus intérieure. Les rameaux, artériels qui se
it, sont très fortement congestionnés et comme imbibés de sang à leur
partie
postérieure. Les différents viscères de Y abdomen
.avec la rougeur vive qu'offrent sur des points symétriques les mêmes
parties
dans les jointures des membres du côté droit. L
oppement des troubles de nutrition qui se sont produits dans diverses
parties
des membres affectés et en particulier dans les j
plus colorée, principalement à l'avant-bras et à la main, que sur les
parties
correspondantes du côté opposé. Toute sensibilité
homogène, amorphe, cimente ces divers éléments. Les cellules dans les
parties
périphériques sont exemptes de granulations grais
ns graisseuses. Ces dernières sont, au contraire, abondantes dans les
parties
centrales et même, en certains points, elles para
lobaire. Dissection du membre supérieur gauche. — Les muscles de la
partie
antérieure du bras et de l'avant-bras ne diffèren
ue jaune, déprimée, de 4 centimètres de diamètre environ, occupant la
partie
postérieure du lobe pariétal. Le ramollissement n
s Fétendue d'une petite noix, ta substance blanche sous-jacente. La
partie
la plus antérieure du cordon latéral droit de la
ires vives, quelquefois accompagnées de rougeur et de tuméfaction des
parties
molles, lorsqu'il s'agit de jointures superficiel
l'impression produite par les doigts persiste pendant longtemps. Ces
parties
sont en même temps remarquablement plus chaudes q
. Ces parties sont en même temps remarquablement plus chaudes que les
parties
correspondantes du côté opposé. Les mouvements pr
s tendons de l'extenseur commun des doigts de la main gauche, dans la
partie
où ils sont recouverts par le ligament dorsal du
variable des leucocytes (Obs. Ilï). Les cartilages diarthrodiaux, les
parties
ligamenteuses n'ont paru présenter jusqu'ici aucu
rent, mais qui ne dépendent pas cependant d'une lésion matérielle des
parties
périphériques. Quelle est la raison physiologiq
ersion des actes nutritifs qui se manifeste fréquemment dans diverses
parties
des membres atteints d'hémiplégie et, en particul
s qu'il s'ensuive le moindre trouble de nutrition dans les tissus des
parties
hypéré-miées. Les troubles de nutrition, l'inflam
ition, l'inflammation, en particulier, n'apparaissent jamais dans ces
parties
, qu'à la suite d'une lésion traumatique, — à la v
n du cerveau, l'arthrite et 1. Polet. —Etude sur la température des
parties
paralysées. (Gaz. hebdom. 5 avril 1867, p. 210.)
ucot. Œuvr, compl. t. ix, Hémorr. céréb. et hypnotisme, 14 DEUXIÈME
PARTIE
Métalloscopie, Métallothérapie, Hypnotisme, etc
M. Charcot avait, dès le début, reconnu dans l'œuvre de M. Burq deux
parties
bien distinctes et de valeur inégale. La première
directe, comprend les phénomènes immédiats déterminés pour la majeure
partie
sur des hystériques frappées d'anesthésie, par l'
r la surface cutanée; c'est la métalloscopie proprement dite. L'autre
partie
ou mé-tallothérapie serait l'application au trait
• ïJÏl disparition de l'anes-thésie sensorielle ou sensitivo dans une
partie
; sous l'influence de l'application métallique; es
sieurs couleurs. « On sait que, dans l'état normal, les différentes
parties
du champ visuel rétinien ne sont pas également ap
ouleurs. M. Landolt a prouvé récemment que le violet est perçu par la
partie
centrale de la rétine, et que les autres couleurs
n'ont pas de symptômes d'hystérie anesthésique, l'application, sur la
partie
anciennement anesthésiée, des plaques métalliques
jourd'hui de trace d'anesthésie ; si on place la plaque d'or sur la
partie
anciennement insensible, l'insensibilité se repro
sont pas propres à l'hystérie. On sait qu'à la suite de lésions de la
partie
postérieure de la capsule interne, peut-être de l
la capsule interne, peut-être de l'extrémité du rayonnement de cette
partie
postérieure, il survient de l'hé-mianesthésie en
a piqûre d'une épingle, tandis qu'elle sent cette excitation dans les
parties
voisines. Les troubles hystériques convulsifs et
des cartons colorés ; ce n'est que quelques instants plus tard que la
partie
centrale des cartons est vue sous sa couleur réel
cède : « Un barreau aimanté est approché à un demi-centimètre de la
partie
anesthésiée du bras par exemple, et, afin d'évite
ine la pirtie symétrique de la peau du côté opposé, on voit que cette
partie
est devejiuaaaestMsiqae, de saine qu'elle était a
je dois vous parler de la métalloscopie qui en est pour ainsi dire la
partie
préliminaire. Voici en quoi elle consiste (j'envi
r un point de xrotre bras, vous ressentirez vraisemblablement, sur la
partie
désignée par l'attention, un chatouillement effec
Dumontpallier et Luys devant la Société de biologie, et dont pour une
partie
, je vous ai rendus témoins vous-mêmes. Ils sont c
tous les jours des armatures faites avec ce métal sur les différentes
parties
du corps, de manière que la malade ressemblait au
et a même proposé une théorie. Le temps me manque pour traiter cette
partie
de la question où, d'ailleurs, le dernier mot n'e
t; anesthésie totale et absolue; aptitude des membres et des diverses
parties
du corps à conserver la situation qu'on leur impr
e sur lequel on veut agir, à une distance de 2 ou 3 centimètres de la
partie
insensible sur laquelle on veut ramener la sensib
rs de la même façon, dans la même attitude, nous montrant toujours la
partie
antérieure du corps : c'est qu'en effet, il est u
l faut fléchir la jambe et bien la soutenir en tenant la main sous la
partie
postérieure de la jambe) ; 3° la trépidation spon
sie de la conjonctive et même de la cornée. Les membres et toutes les
parties
du corps gardent souvent pendant un temps fort lo
H y a analgésie complète, mais certains sens conservent, du moins en
partie
, leur activité (sens musculaire, vision, audition
ment imprimées aux membres, ou d'une façon plus générale aux diverses
parties
du corps font place à des mouvements plus ou moin
grand nombre de fois sur des sujets différents (1). 1, La première
partie
cle ce travail (p. 297-304) a été lue à. YAcad. (
raphique de la Salpê-irière (1879-1880), consacré pour la plus grande
partie
à l'étude de l'hypnotisme et dont quelques extrai
t de diverses manières suivant les malades ou suivant les différentes
parties
du corps d'une même malade. On peut y ranger la l
ou dans tout le corps. Un choc sur la face externe du bras vers la
partie
médiane, au niveau de l'insertion du deltoïde, am
n sont la traduction objective se montrent parfois localisés dans une
partie
du corps, ou bien, s'ils existent, possèdent une
ralisée. Cette contracture disparaît facilement par la friction des
parties
contracturées qui retrouvent successivement leur
à aucune loi précise en raison de l'excitabilité variable de diverses
parties
des centres nerveux. Sous ce rapport, l'axe médul
résistant, recouvert seulement par la peau et éloigné de toute autre
partie
molle. 11 est donc facile de l'atteindre sûrement
dépendance. Mais ici, la localisation est plus difficile ; entouré de
parties
molles, le nerf fuit l'excitation si elle n'est f
autre côté, il est bien difficile de ne pas exciter en même temps les
parties
voisines, muscles ou tendons. L'expérience est do
effet, en même temps que l'humérus est élevé, le deltoïde abaisse la
partie
de l'omoplate sur laquelle il prend insertion, de
e muscle. 11 est facile de localiser l'excitation électrique dans une
partie
seulement d'un muscle large et fascicule, tandis
charnu sont suffisamment isolés, c'est-à-dire éloignés de toute autre
partie
également excitable par les mêmes procédés. Quelq
des par de simples petites baguettes, nous avons pu les reproduire en
partie
avec une grande précision. Nous avons cherché à
n isolée, une expression qui leur est propre. Ces muscles occupent la
partie
supérieure du visage et im priment tous au sour
re, l'autre externe à concavité inférieure. — Plis transversaux de la
partie
médiane du front qui devient lisse au-dessus de l
espace intersourcillier, tandis qu'elle est refoulée en bas dans la
partie
qui correspond à leurs deux tiers externes ; 4°
urcil dirigée de haut en bas et de dehors en dedans ; — la peau de la
partie
médiane du front est lisse et tendue ; — plis tra
ateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez imprime à ces
parties
de la physionomie un mouvement bien caractéristiq
le du nez est attirée obliquement en haut et en avant, et la peau des
parties
latérales du nez se marque de plis parallèles à l
e ces différents muscles en certains points et de l'intrication d'une
partie
de leurs fibres. De plus, un même rameau nerveux
hyperexcitabilité neuro-musculaire peut cesser partiellement dans une
partie
du corps, ou inversement peut y être provoquée.
cture localisée, une sorte de roideur généralisée, qui permet à cette
partie
du membre de conserver les diverses attitudes com
énomène réflexe normal exige, pour se produire, l'intégrité des trois
parties
constitutives de ce qu'on a appelé l'arc diastalt
oit très bien qu'une lésion portant sur l'une quelconque de ces trois
parties
suffise pour entraîner une modification du réflex
marquable à se produire exclusivement dans les muscles qui meuvent la
partie
excitée. La cinquième loi de Pflûger sur les ré
hes motrices à des muscles, ses rameaux sensitifs se distribuent à la
partie
de la peau qui est en rapport avec ces mêmes musc
n de n'exercer dans ces manœuvres aucune pression même légère sur les
parties
profondes — n'ont qu'un effet absolument négatif.
ession modérée, pourvu que l'on ait soin d'isoler le point excité des
parties
sous-cutanées en faisant un pli à la peau, demeur
ode de léthargie hypnotique dont il s'agit ici. C'est donc dans les
parties
sous-jacentes que nous devrons trouver les nerfs
ut une excitation mécanique, pression ou malaxation qui intéresse les
parties
sous-cutanées. Au contraire, la contracture de l'
nd jusqu'au centre cérébral lui-même, du moins en ce qui concerne les
parties
motrices. Il ne s'agit plus cette fois que de s
érieur (brusquement soulevés), soit enfin dans deux ou dans les trois
parties
à la fois. L'expérience répétée par l'applicati
ions intéressées appartiennent àl'écorce cérébrale, au manteau ou aux
parties
basilaires de l'encéphale, peu importe quant à pr
veau et à atteindre par son extrémité la surface corticale, vers la
partie
supérieure des circonvolutions ascendantes. L'aut
peuvent déchirer les membranes qui revêtent ces parois. Ensuite, les
parties
libres des deux tiges métalliques sont isolées de
vec de la cire fondue, dont on remplit d'ailleurs exactement toute la
partie
de la cavité crânienne laissée vide par l'ablatio
u profondes. Les membres, et l'on peut en dire autant de toutes les
parties
du corps, gardent, sans fatigue apparente, pendan
ition en particulier, le sens musculaire môme, conservent du moins en
partie
leur activité. Cette persistance de l'activité se
mencement (Fig. 28,1). Chez le simulateur le tracé se compose de deux
parties
distinctes, Au début, la respiration est régulièr
ères encore plus expressifs. Il semble, dans ce cas, que l'impression
partie
des muscles contractés de la face mette un certai
ainsi la plus belle démonstration du fonctionnement automatique d'une
partie
de l'encéphale, fonctionnement déjà étudié par le
s convulsives et des contractures spontanées temporaires des diverses
parties
du corps dont un des caractères était de céder pe
avec laquelle elle affecte des relations plus ou moins étroites. Les
parties
anesthésiées sont seules parfois en état de diath
e localisée à un membre suffit pour la faire apparaître dans d'autres
parties
du corps, le plus souvent, sous la forme hémiplég
aits dont il s'agit, il nous suffit alors d'admettre que l'excitation
partie
d'un groupe musculaire retentit toujours sur le g
e majorité des cas, à l'improviste, alors que le médecin abandonne la
partie
, et elle a lieu soit spontanément à la suite d'un
ntraire à celui qui a été excité, mais encore les muscles d'une autre
partie
du membre sont atteints ; ainsi les fléchisseurs
'agit ici du grand hypnotisme et de simples frictions exercées sur la
partie
déformée du membre suffisent pour faire disparaît
lleurs sentiments. Charcot. Paris, le 9 janvier 1887. TROISIÈME
PARTIE
Electrothérapie Charcot. lEuvr. compi, ò. rx,
zèle. Je vais faire passer devant vos yeux, avant de terminer cette
partie
de la leçon quelques projections de gravures empr
du corps du malade soumis au bain électrique, principalement par les
parties
qui font saillie, les cheveux, les plis des vêtem
piration cutanée est augmentée ; cela n'est peut-être pour la majeure
partie
qu'un phénomène physique, la répulsion mutuelle
oureuse, accompagnée d'un soubresaut du membre. Si l'on opère sur une
partie
découverte, on voit le muscle sous-jacent secoué
ppellerai, messieurs, qu'il y a dans le traitement de l'hystérie deux
parties
, deux éléments distincts et du reste également im
, ou de faibles étincelles arrêtent instantanément le tremblement des
parties
sur lesquelles on les dirige ; la maladie elle-mê
les critiques qui ont été faites à l'œuvre de M. Charcot tiennent, en
partie
au moins, à ce qu'on ne l'a pas suffisamment étud
Toutes ces formes que nous venons cle signaler et qui constituent une
partie
des éléments du petit hypnotisme se rapprochent d
utes les propriétés somatiques, qui persistent dans toutes les autres
parties
du corps. Outre les formes de l'hypnose que nou
ons longuement dans la suite de ce travail, dont elle formera même la
partie
essentielle, et qui consiste en ce que les propri
un malade en état de suggestion une feuille de papier divisée en deux
parties
par une ligne, et qu'on lui donne sur une des moi
— Aspect que les anévrysmes miliaires présentent à l'œil nu dans les
parties
centrales. B, Foyer ocreux d'hémorrhagie dans l
ue. Suggestion par le geste : colère. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Hémorrhagie et ramollissement du cerveau. Pag
ostérieur de la capsule interne.. 89 VII. Note sur la température des
parties
centrales dans l'apoplexie liée à l'hémorrhagie
dans l'hémiplégie de cause cérébrale.................. 181 DEUXIÈME
PARTIE
Métalloscopie. métallothérapie. hypnotisme, etc
de leur interdiction................................. 479 TROISIÈME
PARTIE
Electrothérapie. De l'emploi de l'électricité
que. Il est facile à diriger, et a l'avantage d'éclairer vivement les
parties
sur lesquelles on agit; mais on ne l'a pas toujou
s, sont adossées, puis mortifiées par la pression graduée d'une autre
partie
qui rappelle l'entérotome de Dupuytren. Tous ces
et la poitrine; les cuisses sont rabattues du côté .du ventre et des
parties
latérales du thorax; les jambes sont fléchies sur
quables résultats obtenus par Jobert ont entièrement transformé cette
partie
de la médecine opératoire, et c'est à l'émulation
ielles ou de grandes pertes de substance qui obligent à mobiliser les
parties
latérales du vagin. On aura remarqué qu'après l'o
il se produit ainsi une couleur blanche qui permet de distinguer les
parties
à aviver (Gaillard de Poitiers). M. Duboué a préc
qu'on a à la fois deux lam-beaux pour le milieu de la fistule et des
parties
latérales ren-dues saignantes. La réunion des par
fistule et des parties latérales ren-dues saignantes. La réunion des
parties
ainsi disposées se fait par un procédé particulie
deux lèvres de la fistule. Enfin la fistule peut être placée sur les
parties
latérales du vagin, dans le cul-de-sac vagino-uté
soudure ne se voit pas ordinairement dans toute l'étendue du col, une
partie
de la portion sus-vaginale reste perméable. Cette
re reporte l'uretère dans l'intérieur de la vessie, ce qui éloigne en
partie
son action nuisible, et il ajoute qu'à la rigueur
ertion du vagin au col ; elles établissent une communication entre la
partie
sus-vaginale du col et la vessie. Dans des cas tr
, ainsi que la lèvre anté-rieure de la fistule qui est en réalité une
partie
de la paroi antérieure du col, on réunit par deux
erte de substance qui porte à la fois sur l'insertion du vagin et une
partie
élevée du col. Elles peuvent présenter presque
xées par des points de suture qui traversent la cloison et une grande
partie
de l'épaisseur du col. S'il existe de la tension,
percule. Dans un troisième procédé, Jobert creusait une rigole sur la
partie
antérieure du col, afin d'y maintenir plus facile
vagin, elle peut même en occuper toute la longueur en comprenant une
partie
du bulbe ; il en résulte une large ouverture tria
postérieure; l'étendue de cette base varie d'ailleurs suivant qu'une
partie
j^lus ou moins considérable du pourtour de l'inse
si cela ne suffit pas, décollez un peu le vagin à son insertion à la
partie
postérieure du col. Pratiquez les sutures en trav
e procédé. Il est applicable aux fistules qui occupent la plus grande
partie
de la longueur de la cloison et qui sont compliqu
cendant vers la vulve forme une poche, dans laquelle est entraînée la
partie
correspondante de la vessie; ce dernier organe se
bords de la plaie par la suture, il en-lève un second lambeau sur la
partie
postérieure de l'orifice du vagin et réunit les b
sorte qu'elle décrive un U renversé dont la con-cavité embrassera la
partie
postérieure de la saillie faite par la muqueuse,
oit une tumeur faire saillie sur tous les points de la vulve, et à la
partie
la plus basse de cette tu-meur le doigt peut péné
elle a pour ré-sultat cependant de faire communiquer le vagin avec la
partie
inférieure du rectum. Dans le troisième, il n'y
à l'anus inclusivement, comme dans le second groupe, mais de plus les
parties
profondes sont divisées elles-mêmes comme les par
ais de plus les parties profondes sont divisées elles-mêmes comme les
parties
superficielles, de telle sorte que la cloison rec
s l'anus. L'étroitesse de l'arcade des pubis a un effet analogue. Les
parties
molles elles-mêmes peuvent contribuer à produire
etc. La simple énumération des causes suffit déjà pour suggérer une
partie
des moyens prophylactiques. Ainsi on ne négligera
se remettre des fatigues de l'accou-chement, l'inflammation sera, en
partie
, dissipée, les tissus seront donc moins friables
ent de ces affections, il y avait eu destruc-tion du périnée et d'une
partie
de la cloison recto-vaginale; la vulve et l'anu
bord. Dans le plus grand nombre des cas, une ouverture s'établit à la
partie
inférieure, et laisse passeï* en quantité plus ou
on voit un écartement considérable se produire entre leurs bords ; la
partie
qui leur est intermédiaire se déprime quelquefois
plus grande que les fils auront traversé une épaisseur plus grande de
parties
avivées. Ensuite on réunit de la même manière, du
i, la membrane muqueuse de cette portion médiane, et même celle d'une
partie
de la cloison recto-vagi-nale, s'il y a lieu, et
te de la plaie. Une seconde suture est placée de la même manière à la
partie
moyenne du périnée, et une troisième très-près de
e libre, cutanée ou muqueuse, des lambeaux, passe sous la plus grande
partie
de la surface saignante, et sort toujours dans l'
passe un troisième point de suture périnéale, et l'on termine vers la
partie
antéro-supérieure de la surface avivée quelques p
a ramenée en avant pour être fixée de chaque côté par ses angles à la
partie
antérieure du nouveau périnée. Pendant l'exécutio
cer les deux doigts de la main gauche dans le rectum, pour tendre les
parties
transversalement. 3° Avivement des deux lèvres de
té de ce premier fil, on voit l'éperon se relever et se plier en deux
parties
égales qui se mettent aussitôt en contact par leu
vaginale de la cloison, restée pendante jusque-là, et on la fixe à la
partie
antérieure des deux lèvres de la division avivée
e un plan incliné en bas et en avant qui recouvre comme une voûte les
parties
importantes de l'opération et les préserve des li
ient réside précisément dans ce qui fait sa sécurité ; on n'opère une
partie
de la déchirure qu'après la réunion parfaite d'un
e une partie de la déchirure qu'après la réunion parfaite d'une autre
partie
; la malade court donc deux fois les risques inhér
-triciel. On peut même s'assurer qu'il y a souvent régénération d'une
partie
de la muqueuse. Ces faits sont généralement exact
ire desapplieations froides oustyptiques sur l'hypogastre et sur la
partie
supérieiu'e des cuisses. L'omission de ces précau
nt incandescent, a un degré qui varie suivant qu'on fait agir tout ou
partie
des éléments de la pile. Si on lâche le bouton, l
de platine, dont la grosseur varie d'ailleurs suivant l'épaisseur des
parties
à cautériser, a reçu de MM. Middeldorpf et Broca
ette anse de M. Grenet a encore l'avan-tage de changer constamment la
partie
du fil qui agit sur la tumeur, ce qui en prévient
de voir ce fd s'éteindre à chaque instant quand on l'applique sur des
parties
gorgées de liquide ; ce dernier inconvénient peut
s médications les plus variées. Une injection faite avec un mélange à
parties
égales de sesqui-chlorure de fer et d'eau distill
ttre l'aménorrhée. C'est une sonde creuse percée de petits trous à la
partie
terminale et sur laquelle on fait glisser un anne
col utérin ; ce col s'y appuie comme sur un coussinet. Cette première
partie
de l'appared est unie par une articula-tion à res
it la tige vaginale sur la tige utérine, le ressort qui unit ces deux
parties
les maintient alors à angle droit l'une par rap
ostic ou un moyen de traitement. Elle porte générale-ment sur tout ou
partie
de la cavité cervicale seulement, quel-quefois ce
é. Ce spéculum, quand l'embout est retiré, per-met de voir une petite
partie
circulaire de la cavité utérine, mais on peut voi
e partie circulaire de la cavité utérine, mais on peut voir aussi les
parties
latérales en retirant une pièce du spéculum à l'a
trophie sénile du parenchyme de la matrice et au rétrécissement de la
partie
supérieure du canal cervical qui souvent à cet âg
aire la ponction avec moins de dangers, puisqu'on est guidé par cette
partie
du canal cervical qui n'est pas obli-térée. Il es
orps de l'utérus; tantôt elle est circulaire et le col se détache, en
partie
ou en totalité, arraché par la tête du fœtus; tan
ion utérine; l'ou-verture ainsi faite par la sonde cannelée évite une
partie
des dangers auxquels expose l'action du bistouri
érines, mais avec cette particularité importante que, dans la majeure
partie
des flexions, il y a étroitesse d'un orifice. L
de voir se déve-lopper consécutivement une vaginite, surtout dans la
partie
supérieure du vagin; elle est quelquefois assez i
r, elle pourra bien porter profon-dément dans l'épaisseur du col à sa
partie
supérieure au point d'union avec le corps de l'ut
s dangers que peut entraîner une incision aussi étendue, faite sur la
partie
la plus élevée et la plus vasculaire du col ; ajo
rme d'une ellipse; en diminuant ainsi l'étendue de l'incision dans sa
partie
supérieure, on évite assez bien le danger de péné
vers son orifice supérieur. On remarquera qu'en se rétré-cissant à sa
partie
inférieure, cette incision ne coupe pas complètem
placée sur ce col au point précis que l'opérateur a choisi. x\lors la
partie
à diviser étant exactement comprise entre les lam
mpés dans une solution neutre de perchlorure de fer étendue de 4 ou 5
parties
d'eau, ou dans la liqueur persulfatée ferrugineus
dans un des angles de la plaie, en ayant soin d'en faire pénétrer une
partie
dans le canal cervical; on en place un second dan
in de l'incision précédente, de manière à redres-ser le canal dans sa
partie
supérieure et à faire ainsi dispa-raître l'obstac
ée ligature métal-lique articulée ; elle se propose de sectionner les
parties
molles à l'aide de chaînes métalliques mises en m
émaillè-res. Avoir soin de tourner le biseau de la chaîne du côté des
parties
à écraser. Quand on a articulé la chaîne, il faut
ficile-ment la forme qu'on lui donne lorsqu'on veut la placer sur des
parties
profondément situées ; cette mobilité peut être f
de ce que nous venons de dire. Quelquefois, lorsque la résistance des
parties
qui ont été comprises dans la chaîne fait craindr
la diversité de résistance, de structure, de volume, de direction des
parties
constituantes d'une tumeur ou d'un organe, produi
au delà, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on ait circonscrit toute la
partie
malade. Alors seulement on retire l'aiguille ; pu
, puis le spéculum est appli-que de manière à bien découvrir toute la
partie
malade ; au lieu de spéculum on peut quelquefois
vant sur la tumeur et qu'on im-plante aussi haut que possible sur une
partie
saine du col. Les pinces érignes de Robert peuven
du vagin. Dans le cas contraire, le plein de la chaîne embras-sera la
partie
antérieure du col, et le doigt portera la gaîne d
e nous venons de décrire; en couchant le corps de l'instrument sur la
partie
antérieure de l'abdomen, la chaîne se dirige vers
ieure de l'abdomen, la chaîne se dirige vers la cavité du vagin et sa
partie
moyenne embrasse la face pos-térieure du col ; la
par l'écraseur ne donne pas une surface plane, mais une cupule sur la
partie
détachée, et quelquefois une cupule semblable sur
le col soit contourné par elle. Il faut s'arran-ger de manière que la
partie
libre de l'anse horizontale soit tournée en avant
nse, bien qu'horizontale, tend cependant à se redresser un peu, et sa
partie
libre presse par conséquent avec plus de force su
; et comme dans ces hypertrophies, il suffit d'enlever la plus grande
partie
de l'altération de tissu, pour que le reste revie
s pourront recouvrer leur puissance aussitôt qu'on aura retranché une
partie
de l'organe et ainsi diminué son poids; c'est ain
r avec le fer rouge que l'extrémité inférieure du col, et d'éviter la
partie
postéro-supérieure du conduit vulvo-utérin, là où
hypertrophié, on amène peu à peu la rétraction ou la résorption d'une
partie
du col hypertrophié. Contre l'hypertrophie acci
e de ce traitement détourne sou-vent d'y avoir recours, la dureté des
parties
hypertrophiées est souvent telle que la cautérisa
érieure des uretères sur les faces latérales et postérieures de cette
partie
de la vessie, circons-tance qu'il faut avoir prés
plètement renversée. La portion du gros intestin qui s'engage dans la
partie
postérieure de la tu-meur est seulement la partie
ui s'engage dans la partie postérieure de la tu-meur est seulement la
partie
inférieure de sa paroi antérieure, à partir du sp
trophie elle a 2 à 3 centimètres, ce qui per-met d'enlever une grande
partie
de l'utérus sans ouvrir la cavité vagino-péritoné
souvent des fausses membranes et des adhérences entre les différentes
parties
qui composent la tumeur, et entre cette tumeur et
roton, avant l'opération, une éruption intense sur les jambes, sur la
partie
externe des cuisses et sur les flancs, et il entr
ndre la vessie, on y introduit une sonde, qu'on dirige en bas vers la
partie
inférieure du cul de sac vésical qui forme la par
e en bas vers la partie inférieure du cul de sac vésical qui forme la
partie
antérieure de la tumeur. L'aide qu'on charge de c
un centimètre au-dessous de la saillie de la sonde, et embrassant la
partie
antérieure du col, de façon à rejoindre par ses e
, on retire la sonde, et on sépare par la dis-section la vessie de la
partie
antérieure du col dans une éten-due de 2 à 4 cent
avec cette épingle, puis jette un fil sur l'épingle, serre toutes les
parties
qu'd embrasse et coupe la pointe de l'épingle un
te de l'épingle un peu au-delà du nœud pour qu'elle ne blesse pas les
parties
saines. Ces ligatures mettent bien à l'abri des h
on percé à son centre d'une petite ou-verture transversale ; c'est la
partie
inférieure de l'utérus. Au bout de 2 ou 3 mois la
rand, si la vulve est fort large ; si le périnée est déchiré ; si les
parties
molles qui forment le plancher du bassin sont dan
les contenir, que quand elles sont primitives et qu'elles ont été en
partie
cause de l'allongement et de la chute du col. L
ns, on n'obtien-drait pas une guérison aussi sûre tout en évitant une
partie
des dangers de l'opération. M. Chassaignac a eu a
une secousse pendant les tractions. Lorsque le polype est inséré à la
partie
inférieure de l'utérus, le danger des tractions d
e à inciser transversalement le corps du polype, particulièrement les
parties
résistantes de sa capsule, jusqu'à ce que la tume
possible. Puis on fend par d'autres coups de ciseaux la gaîne et les
parties
fibreuses qui y sont adhérentes, jusqu'au-delà de
par le même procédé, à gauche et à droite, et si, attirant alors les
parties
fibreuses qui cèdent, on les enlève partiellement
l'autre et l'on serre les fils sur ce mandrin, qu'on a recourbé à la
partie
inférieure de manière à ne pas lui laisser dépass
n côté, par une roue den-tée avec encliquetage, et de l'autre par une
partie
plate qui sert de poignée. Ces instruments sont
peuvent être dissimulées par une pièce transver-sale qui préserve les
parties
de toutes piqiires. Quand ces mors ont été placés
ne et qu'un écrou, placé sur l'autre branche, fixe à volonté les deux
parties
de l'instrument. Pour rendre la constriction co
-quides putrides; que la gangrène peut les détruire en totalité ou en
partie
en produisant des excavations dans leur inté-rieu
xcision était impossible, à cause de l'in-sertion qui avait lieu à la
partie
supérieure du corps de l'uté-rus et n'était acces
-neux, on pourrait, ainsi que l'a consedlé Jarjavay, inciser toute la
partie
saillante de la lèvre, de la base vers le bord, y
de la tumeur avec l'utérus et, quand on est par-venu à en isoler une
partie
, on agit suivant l'un des procédés que nous allon
arcourait ainsi toute l'étendue du corps fibreux et en attei-gnait la
partie
la plus voisine du péritoine, qui se trouvait alo
e, qui se trouvait alors attirée vers l'orifice du col, tandis que la
partie
qui était antérieure au début de l'opération, se
de ciseaux lé-gèrement courbes, avec laquelle on l'incise jusqu'à la
partie
postérieure de manière à en faire deux moitiés. O
dés par l'index gauche, cherchent à en séparer un morceau pris sur la
partie
inférieure. Cette séparation, en amincissant la m
'énucléation et l'incision d'un autre morceau, pris cette fois sur la
partie
supérieure ; une fois qu'on a ainsi dédoublé et é
vais plus près du pédicule. Je pus ainsi partager le polype en deux
parties
égales, comme si j'avais coupé une pomme par le m
reuse ; le morcellement dont nous avons parlé permet bien d'éluder en
partie
les dif-ficultés, mais il laisse subsister presqu
la limite du corps fibreux, soit sur la paroi antérieure, soit sur la
partie
postérieure de la ma-trice; si dans le cas où la
ient beaucoup moins attiré l'attention des chirurgiens de la première
partie
de ce siècle, préoccupés surtout des difficultés
tion sur les lèvres, le nez et le menton , on fera bien d'enduire ces
parties
d'un corps gras ou de les toucher avec un pinceau
augmentent beaucoup, car l'utérus lui-même doit être alors enlevé en
partie
ou en totalité. La ligature métallique doit donc
ée soit sur la portion extra-vaginale du col utérin, soit même sur la
partie
supérieure du vagin ; sou-vent alors il est plus
de la manière suivante : une grande aiguille d'acier non trempée à sa
partie
moyenne et dont le chas est muni d'un double fil
et dont le chas est muni d'un double fil de fer tordu et plié en deux
parties
égales, est passée à travers le col utérin, en av
; on les place en nombre suffisant pour bien maintenir en contact les
parties
profondes et pour bien relâ-cher la paroi abdomin
y a encore le serre-nœud qui plonge dans la cavité abdominale par la
partie
qui supporte l'anse métallique, pendant que l'ext
vis est maintenue au dehors. Il faut donc lais-ser une ouverture à la
partie
inférieure de la plaie pour le pas-sage du moigno
, alors que le moignon attiré au dehors s'engorgeait et entraînait la
partie
du ligament large situé au-dessous de la ligature
ujet, très-intéressant au point de vue pratique sera di-visé en trois
parties
et considéré seulement dans ses rapports avec la
, tout espoir n'est pas perdu si les fibromes partent du col ou de la
partie
infé-rieure du corps, ou si par une large base il
orsqu'elles occupent l'excavation pelvienne et qu'elles compriment la
partie
infé-rieure de l'utérus. Souvent on a été obligé
ant à celles qui, développées dans cette paroi, se rappro-chent de sa
partie
postérieure, elles peuvent, comme celles du fond,
pation d'une tumeur fibreuse de 4,500 grammes, avec am-putation de la
partie
sus-vaginale de la matrice. Gaz, hebd. de méd. et
cet instrument n'était pas aussi gros qu'une sonde utérine ; toute la
partie
intra-utérine fut graduée de manière à pouvoir me
ce sont des tu-meurs fibreuses appendues aux parois et remphssantune
partie
de la cavité du kyste, tantôt de la matière collo
l'atteindre, ce n'est pas toujours du liquide qu'on trouve dans cette
partie
inférieure, mais des masses so-lides, colloïdes o
introduit alors l'index de la main gauche dans le vagin et cherche la
partie
la plus saillante de la tumeur ; puis il glisse s
jours la même quantité de liquide, loo ou 120 grammes d'un mé-lange à
parties
égales d'eau et de teinture d'iode, additionnée d
dépendre absolument de la méthode, peut cependant lui être imputé en
partie
; en ponction-nant un kyste il peut arriver qu'on
oduit une sonde de gomme élastique à l'aide de laquelle on aspire une
partie
de la matière glaireuse qui ne s'est pas écoulée
me d'une longue bourse de soie, ce qui tenait à une adhé-rence que sa
partie
supérieure avait contractée avec l'épiploon. M. C
troisième jour ; un écoulement ichoreux et une douleur vive dans les
parties
en-vironnantes continuent pendant dix à vingt jou
s pouvoir abandonner le kyste; sa canule est double et entre ses deux
parties
se cachent 4 ressorts en or ; lorsque la ponction
Brown lui trouve l'avantage de permettre de faire sortir différentes
parties
du kyste par la plaie abdominale, et d'ouvrir ain
vité des symptômes, l'existence simultanée d'un cancer dans une autre
partie
du corps, ou l'hérédité, donnent des soupçons fon
emar-quer que les signes des adhérences ne peuvent servir que pour la
partie
antérieure des kystes, car pour les adhérences pr
le liquide quelques jours, ou même peu d'heu-res avant d'enlever les
parties
solides du kyste ; et enfin qu'en employant le tr
es inférieurs ; un de ces morceaux doit être fendu en deux jusqu'à sa
partie
moyenne, comme la compresse fendue dont on se ser
plancheXIV) est muni d'une rondelle en spirale, dont les différentes
parties
peuvent se rapprocher dès que le trocart a péné
elle-même et entre lesquels on attire avec des pinces ordinaires les
parties
voisines du kyste à droite et à gauche. Quand u
ès-vasculaires, comme le foie et la rate, il vaut mieux abandonner la
partie
du kyste qui y adhère, en la dé-coupant et l'amin
-brasser ce pédicule dans une compresse de flanelle fendue jusqu'à sa
partie
moyenne et imbibée d'eau chaude; cette compresse
t s'ouvrent comme un compas, permettent de saisir le pédicule dans la
partie
la plus rapprochée de leur articula-tion, de le s
ersale, et enfin de démonter les manches de manière à ne laisser à la
partie
inférieure de la plaie, pour y retenir le pédicul
tie inférieure de la plaie, pour y retenir le pédicule, qu'une petite
partie
de l'appareil. Les clamps conviennent très-bien l
; de la flanelle mouillée est placée sous le clamp pour protéger les
parties
sousjacentes. La petite portion de pédicule qui e
es conditions pires qu'auparavant, tandis qu'en incisant et vidant en
partie
le kyste, de manière à provoquer la suppuration,
rales, ne s'en aperçut que le lendemain en voyant l'urine sortir à la
partie
inférieure de l'incision qu'on avait réunie ; il
térus ; dans le quatrième, une tumeur composée de petits kystes et de
parties
solides sans connexion avec les ovaires; dans le
s sur ce point par l'examen de la troisième centaine ; c'est la seule
partie
de cette dernière statistique qui ait encore été
cavité du col dans celle de la vessie. FiGCRE ii. Montre l'état des
parties
après la striction des fils; des cro-chets sont i
i du milieu, nommé fulcrwn, est droit ou coudé suivant le besoin ; sa
partie
plate présente une fente, dans laquelle on introd
A A, surfaces symétriquement avivées de chaque côté. La situation des
parties
empêche de bien voir la portion profonde de l'avi
iquée par les lignes pointillées. On remar-quera que la section de la
partie
intra-vaginale du col faite par cet instrumentne
nde ; l'autre branche, à bord concave et tranchant, s'applique sur la
partie
iiitra vaginale du col ; en pressant sur les anne
gin, d utérus, t ténaculum fixant la lèvre antérieure de l'utérus. La
partie
ombrée, étendue du ténaculum au col du sac postér
temps. Figure iv. Cautère en champignon pour le col de l'utérus. La
partie
cylindrique pénètre dans la cavité du col, pendan
. La partie cylindrique pénètre dans la cavité du col, pendant que la
partie
plane cautérise le museau de tanche. Figures v
e viii. Anse coupante électrique pour faire la section complète de la
partie
autour de laquelle on l'a préalablement passée. L
la courbure est très-grande ; il y a une encoche à la jonction de la
partie
courbe et de la partie rectiligne. Figure xxvi.
rande ; il y a une encoche à la jonction de la partie courbe et de la
partie
rectiligne. Figure xxvi. Sonde utérine de Valle
e, a plastron qu'on fixe sur l'abdomen par deux rubans atta-chés à la
partie
supérieure ; deux autres rubans partant de son ex
e 1 instrument principal. Figure v. Écraseur droit de Charrière. La
partie
motrice se compose d'une vis et d un écrou à vola
le contusionner; les mors sont largement fenêtres, ce qui permet à la
partie
saisie de s'y engager quand elle est comprimée.
appareil dilatateur en plomb, composé de deux lames ayant chacune une
partie
h jrizontale qui est appliquée sur la peau, et un
gouttière et aussi longue que la paroi abdominale est épaisse ; cette
partie
coudée est introduite dans la plaie ; les deux la
gure vu. Coupe fictive destinée à faire comprendre l'amputation de la
partie
sus-vaginale de futérus dans un cas de tumeur fib
a partie sus-vaginale de futérus dans un cas de tumeur fibreuse. AA
partie
sus-vaginale du col, étreinte par les ligatures m
en position. Ces serre-nœuds peuvent être main-tenus écartés dans la
partie
B qui sort de l'abdomen, à l'aide d'une tige tran
ide d'une tige transversale sur laquelle on les fixe avec du fil. C
partie
intra-vaginale du col laissée en place par l'opér
dont les parois sont suf-fisamment résistantes, on en pédiculise une
partie
de la manière sui-vante : sans retirer du kyste l
nule qui a servi à l'évacuation du liquide, on soulève d'une main une
partie
de la paroi, puis on réin-troduit le poinçon dans
re ponction. Un aide entoure alors d'une ligature fortement serrée la
partie
du sac qui se trouve au-dessous de la canule ; ce
ky.) Figure iv. Dans le cas de kyste friable, la main droite et une
partie
de l'avant-bras sont enfoncés dans l'abdomen pour
ant; cette ma-nœuvre fait rentrer le fil dans le ligateur et serre la
partie
saisie ; ayant reconnu par la résistance que cett
et serre la partie saisie ; ayant reconnu par la résistance que cette
partie
est bien étreinte, on fait exécuter à l'aiguille
s dénudées en haut et en bas, les sutures entrecoupées faites sur les
parties
antéro-latérales de la vessie, et les sutures enc
ii montre l'opération terminée. Cette opération est divisée en deux
parties
. Les intestins ayant été préalablement évacués, l
rès des petites lèvres, et de telle sorte que le bord supérieur de la
partie
avivée par l'ablation de cette muqueuse, se trouv
s sutures entre-coupées, comme la figure le montre. Dans la seconde
partie
de l'opération, on enlève la membrane mu-queuse s
et on place une sonde dans la vessie. Comme on le voit, la première
partie
de cette opération a pour objet de rétrécir le va
ment, de manière à empêcher la tumeur de tomber d'en haut. La seconde
partie
a pour objet de rétrécir le vagin en arrière. En
euse de la base du col, et alors les sutures d'argent comprennent une
partie
de la lèvre antérieure du col, dans sa portion qu
sait avoir été déposée par couches successives ; dans le centre de sa
partie
supérieure il y avait des cristaux brillants. (Mo
ominale divisée crucialement et renver-sée, b, épiploon coupé dans sa
partie
supérieure et renversée, ce, deux bandes principa
s plus centraux du boudin d'invagination, mais en G G on a laissé une
partie
intacte pour bien établir la conti-nuité. 11 gaîn
ntestinale produite par une invagination centrale et descendante delà
partie
supérieure de l'intestin grêle. A, portion qui va
in; le bord infé-rieur de cette ouverture était épais et constitué en
partie
par une des artères mésocoliques ; l'intestia éta
oliques ; l'intestia était presque gangrené. 1 Le sac mé-socolique. 2
Partie
inférieure de l'iléon sortant du sac herniaire.
lisme entre la longueur des points faits de chaque côté, pour que les
parties
rappro-chées se correspondent exactement. Le fil
V, on fait éclater la pierre en trois morceaux, les deux coins de la
partie
interne des mors séparant la pierre dans le sens
t la pierre dans le sens longitudinal, et les deux autres coins de la
partie
supérieure la séparant dans le sens vertical; les
les cuillers du forceps D D sont armées de dents en arc-boutant ; la
partie
étroite de l'instrument I correspond à l'incision
la vis qui sert à ser-rer les deux branches du forceps. Figure xvi.
Partie
supérieure du brise-pierre du D" Thompson. L'arma
es du trigone vésical, comprend le col, la portion prostatique et une
partie
de la portion membraneuse. Ces deux figures sont
4. Sonde en gomme, conique, terminée par une olive , que supporte une
partie
déliée et flexible. 5. Sonde en gomme, renferma
exercer les mouve-ments de rotation et de pression que possèdent les
parties
mobiles de cet instrument. Figure v. Dilatateur
composé de deux tubes concentriques, qui se terminent chacun par une
partie
courbe. Ces deux courbures se placent l'une dans
sonde aurait lieu. Figure m. Spécimen de calcul uréthro-vésical. La
partie
sphérique et mamelonnée s'est développée en arriè
lambeaux pendant le second temps. La figure yi montre l'aspect des
parties
après la guérison. a. Lambeau inguinal latéral
Lambeau ombilical renversé. D. Petit lambeau superposé, pris sur la
partie
supérieure du lam- beau inguinal superposé h.
rapportent à la huitième opération de M. Wood. Figure vu. État des
parties
avant le premier temps de l'opération. Les lambea
lambeaux inguinaux et ombilical sont tracés. Figure viii. État des
parties
immédiatement après l'exécution du pre-mier temps
Les épingles et les sutures sont à leur place. Figure ix. État des
parties
après la guérison de la première opération, au mo
Luër et Garin. Il fait la ponction par la pointe a, l'incision par la
partie
tranchante è, et la dilatation de la plaie quand
pour base, la nature du sujet traité, nous les avons groupés en cinq
parties
: 1° Maladies infectieuses ; — 2° Affections du t
ate ; — 5° Thérapeutique. BOURNE VILLE. 1er juin 1889. PREMIÈRE
PARTIE
Maladies infectieuses. MALADIES INFECTIEUSES
ait de position, et alors une sorte de choc se faisait sentir dans la
partie
de l'utérus devenue la plus déclive. Quinze jou
uivie presque aussitôt d'un écoulement assez abondant de sang par les
parties
génitales. Ces douleurs prennent bientôt le carac
e de pustules, dont les plus périphériques sont encore libres par une
partie
de leur circonférence, dont les plus centrales so
au fond desquelles le derme est mis à nu, par suite de la chute d'une
partie
de l'épiderme et de la matière opaque sous-jacent
ustules de divers volumes, dont quelques-unes sont ombili-quées, à la
partie
supérieure de la région du dos; quatre petites pu
es et bien ombiliquées, immédiatement au-dessus du genou gauche, à la
partie
interne et inférieure de la cuisse; quatre pus-tu
uisse; quatre pus-tules, dont trois volumineuses et ombiliquées, à la
partie
supé-rieure du mollet gauche; à droite, une large
re du mollet gauche; à droite, une large pustule non ombili-quée à la
partie
interne et supérieure de la jambe, et plus bas, d
e supérieur droit ne présente qu'une seule pustule, sans ombilic à la
partie
postérieure et inférieure de l'épaule ; mais le g
s. Il en existe,en outre, une autre très grande et sans ombilic, à la
partie
postérieure de l'avant-bras, au-dessus de l'artic
'on enlevait avec lui, et à laquelle la pustule devait la plus grande
partie
de son relief. Or, dans cette masse, a part les c
de l'ombilic; il est flasque, et l'on sent, à travers ses parois, des
parties
du fœtus qui se présentent tou-jours les mêmes au
, six au pourtour des lèvres, au voisi-nage des narines, et deux à la
partie
antérieure de l'oreille gau-che. Le cou ne présen
formée par la réunion de plusieurs pustules secondaires, et occupe la
partie
centrale de la région lombaire. Trois petites pus
tules seulement, dont trois sur le moignon de l'épaule, et une sur la
partie
externe et supérieure de l'avant-bras. Membres
es abdominaux : côté droit, cinq pustules disséminées, dont deux à la
partie
interne et antérieure. Membre gauche : sept pustu
ules, dont trois forment un groupe qui siège au tiers inférieur de la
partie
postérieure et externe delà jambe. 11 n'exis-tait
tion cancéreuse qui déjà a détruit le col utérin et a envahi même une
partie
du vagin ; les premiers signes de l'affection uté
tion, à l'aide du nitrate d'argent, est pratiquée chaque fois sur les
parties
qu'elles recouvraient ; mais plusieurs fois ces f
presque inintelligible ; si la malade essaye de souf-fler, une grande
partie
de l'air s'échappe par les narines ; la suc-cion
a, e, et aussi dans les mouvements de déglutition simulée. Toutes les
parties
du voile du palais ne paraissent pas, d'ailleurs,
ui vont suivre de la Pathologie médicale de Requin. Comme la première
partie
du chapitre sur la fièvre typhoïde et le § A de l
u typhus pestilentiel le plus meurtrier. — On sait que la plus grande
partie
des cas de fièvre typhoïde observés à Paris, dans
s commune dans toute l'étendue de l'Amérique du Nord. Dans les autres
parties
du monde, il n'est peut-être pas un pays où la fi
des armées, Paris, 1793), «varier la méthode et regarder, comme la
partie
la plus essentielle, l'entretien du principe de l
ème cas: l'adynamie est encore très prononcée ; elle s'accompagne, en
partie
, des accidents que nous venons de signaler, mais,
sur la paroi postérieure du larynx. Il intéresse primitivement cette
partie
de la mem-brane muqueuse qui recouvre les muscles
non plus de voir des abcès se former sous la membrane muqueuse, à la
partie
postérieure du larynx. Cette affeclion peut se mo
la présence d'un abcès sous-muqueux ou d'un fragment de cartilage en
partie
détaché. La marche de l'affection est en général
olette, puis elles de-viennent presque noires, principalement sur les
parties
les plus déclives du corps, qui paraissent, en ou
talons, à la région trochantérienne, à la région des omo-plates, aux
parties
du dos qui correspondent aux angles des côtes, et
e s'affaiblit de plus en plus dans les régions qui corres-pondent aux
parties
les plus déclives des deux poumons, et la percuss
les voit cependant presque jamais siéger à la face, et c'est sur les
parties
les plus déclives du corps qu'elles sont les plus
vent encore une transforma-tion nouvelle. Elles acquièrent, dans leur
partie
centrale seu-lement ou bien dans leur étendue, un
lus légèrement congestionnée et ra-mollie par places, chez la majeure
partie
des individus qui mies. La maladie se montre so
très marquée des conjonctives, une teinte violacée ré-pandue sur les
parties
les plus déclives du tronc et sur les ex-trémités
re typhoïde (Jenner). La peau du tronc et des extrémités, surtout aux
parties
déclives, est parsemée de taches violacées, derni
elle se montrent habituellement ces deux affections dans les diverses
parties
de l'Angleterre, si l'on consulte celles des rela
rses contrées de l'Europe, la Silésie, la Bohême, la Suède, certaines
parties
de l'Italie, de la France et de la Belgique, ont
actuelle et celles qui, en 1843, puis en 1847, ont sévi dans diverses
parties
de l'Europe, plus particulièrement en Ecosse et e
ors de l'épidémie de typhus qui a régné en 1847, 1848, dans certaines
parties
de la Silésie. (Virchow's Uandbuch, bd. II, 2 abt
des ganglions lymphatiques peu profondément situés ; mais c'est à la
partie
interne et supérieure de la cuisse, envi-ron à tr
muni-quées des animaux à l'homme, se développent, en général, sur les
parties
de la peau habituellement recouvertes par les vêt
s il se forme à l'entour une tumeur érysipélato-phlegmoneuse, dont la
partie
la plus centrale ne tarde pas à être frappée de g
tôt, au con-traire, elle est diffuse, et la mortification s'étend aux
parties
profondes. L'anthrax pestilentiel de quelques aut
la crase du sang. — On peut les voir paraître sur presque toutes les
parties
du corps, la face exceptée; mais c'est principale
'estomac et des intestins sont parfois remplies de sang liquide ou en
partie
coagulé. e. Il y a enfin une plénitude remarqua
ses, avec gangrène circonscrite ou diffuse, se mon-trent sur diverses
parties
du corps. Ces affections locales, sont considérée
lle s'est montrée le plus redoutable. On peut en accuser, au moins en
partie
, les lagunes de la première, et le port infect de
rave, et le plus souvent mortelle. Cela tient sans doute, au moins en
partie
, aux conditions hygiéniques déplorables au milieu
on, chez les historiens de l'an-tiquité, d'épidémies meurtrières qui,
parties
d'Egypte, parcou-raient, en les dévastant, tantôt
signée par Chisholm à la fièvre jaune pestilentielle qui a ravagé une
partie
du nouveau monde en 1793, parce qu'il la croyait
, cuivrée, acajou, ou encore comme bronzée. — La langue se sèche à sa
partie
centrale, elle de-vient quelquefois noire, fendil
e d'écoulements sanguins. Des pétéchies apparaissent sur les diverses
parties
du corps, principalement au cou et sur la poitrin
atteintes, ainsi que cela se voit quelquefois; lorsqu'elle occupe les
parties
du corps les plus déclives, lorsque ce n'est plus
et de tant d'autres symptômes, qui se montrent toujours, au moins en
partie
, dans la fièvre jaune, alors même qu'elle revêt u
de la dernière épidémie, dans le bat de déterminer la température des
parties
centrales, chez les cholériques, aux diverses épo
e, puisqu'elle accuse plus exactement que celle-ci la température des
parties
centrales. Plusieurs auteurs avaient remarqué déj
de algide, le refroidissement reste superficiel et ne s'étend pas aux
parties
centrales. Il n'échappera à personne que d'un a
rendus de l'Académie des sciences, 1881, t, XCIX, p. 224. DEUXIÈME
PARTIE
Affections du tégument externe. AFFECTIONS DU
t consécutive à la lésion des filets nerveux qui se distribuent à ces
parties
. Le nommé Rousselot, Charles, journalier, ancie
alement dans le pouce, l'index et le médius. La peau qui recouvre ces
parties
est aujourd'hui complètement anes-thésiée. A ces
mais à un degré moindre; l'avant-bras enfin présente, surtout à sa
partie
infé-rieure, une diminution de volume uniforme tr
laire, y est comprimée et irritée. Depuis un an et demi environ, la
partie
externe de la face dor-sale de la main gauche et
age de l'articulation métacarpo-phalangienne de l'index : quatre à la
partie
postérieure de l'articulation phalangino-phalange
de l'articulation phalangino-phalangettienne du même doigt: une à la
partie
postérieure de l'articulation métacarpo-phalangie
curieuse à plus d'un titre. En n'envisageant que ce qui se passe à la
partie
interne de l'avant-bras et dans la main gauche, à
dérant que l'érup-tion huileuse se fait presque exclusivement sur les
parties
de la peau qui correspondent aux divisions du ner
cicatrice. — Mais d'où viennent l'atrophie et l'insensibilité de la
partie
supérieure de l'avant-bras, du bras et de l'épaul
d'une affeclion du cerveau ou de la moelle. On sait que la peau des
parties
, dont les nerfs sont affectés de névralgie, se re
vingt jours après le début des douleurs, la peau de la jambe et de la
partie
inférieure de la cuisse gauche a été recouverte d
n 1851, avait, pendant les affaires de juin 1849, reçu une balle à la
partie
infé-rieure et postéro-externe de la cuisse. Quel
t semblables à celles de l'herpès zosterle, sié-geant sur la peau des
parties
douloureuses. L'éruption huileuse observée chez
nutrition qu'une atrophie, assez lente à se produire, dans toutes les
parties
para-Charcot. Œuv. compl., t. vin, 2e part., Affe
omme une expression des lésions de nutrition qui surviennent dans les
parties
auxquelles se distribue le nerf affecté. L'atroph
us avons fait voir que ces altérations ne se produi-sent pas dans les
parties
paralysées, quand le sol est recouvert de coton,
u'on eut ployé le poignet, de telle sorte que, par le relâchement des
parties
du côté de la paume de la main, la pression sur l
de sa main, la pression sur le nerf se renouvela, et l'ulcération des
parties
où il se distribue reparut. (Surgical Patho-logy,
mb à lièvre de son fusil, à la face interne du bras gauche, vers la
partie
moyenne. Au fond de la plaie, qui était large de
, mais environ deux mois et demi ou trois mois après, il survint à la
partie
posté-rieure et interne de l'avant-bras, une érup
upant une surface de quatre à cinq centimètres de dia-mètre, dans une
partie
de l'avant-bras privée de sensibilité. Relative
e épinière, et ne présenter aucune autre lésion de nutrition dans les
parties
paralysées qu'une atrophie, en gé-néral, assez le
es nerfs, de ceux de la paralysie ou simple cessation d'action de ces
parties
; en d'autres termes, il faut distinguer les effet
; la palpation fait percevoir un certain degré d'empâ-tement dans la
partie
droite du cou, en arrière du muscle sterno-cléido
raît sur toute la moitié droite du cou, en arrière, en avant, sur les
parties
latérales ne dépassant pas soit en avant, soit en
quelques-uns se voient disséminés sur le moignon de l'épaule, sur la
partie
la plus inférieure de la joue et la région mastoï
la dégénérescence cancéreuse ; il en est de même des côtes, dans les
parties
qui correspondent au sein droit. Plusieurs masses
bi la moindre compression. On s'est assuré plus tard que ces diverses
parties
ne présentaient aucune altéra-tion appréciable da
compare les ganglions et les nerfs cervicaux du côté droit aux mêmes
parties
du côte gauche, celles-ci ayant conservé tous les
luence d'une cause méca-nique, à savoir la compression exercée parles
parties
osseuses sur les ganglions intervertébraux et sur
e font que traverser le ganglion. Le rameau afférent est constitué en
partie
par les tubes du rameau afférent pro-venant de la
afférent pro-venant de la moelle, qui ont traversé le ganglion, et en
partie
par des tubes émanés des cellules ganglionnaires.
ont pour conséquence presque obligée une altération de nutrition des
parties
où ces nerfs se répandent, tandis que pareille ch
d'un nerf rachidien,entre la moelle épinière et le ganglion, voit la
partie
de la racine qui tient à la moelle s'altérer, tan
t à des altérations de cause mécanique ou traumatique, portant sur la
partie
périr phérique des nerfs des membres, loin du lie
di 19 février 1859, la colonne du général Franks, qui opérait dans la
partie
méridionale du royaume d'Oude, eut un engagement,
ns vus d'un noir brillant, grisonnèrent uniformément sur toutes les
parties
de la tête. Un sergent qui avait fait le prisonni
récédent, d'une canitie partielle survenue rapidement, et limitée aux
parties
du système pileux soumises, pendant un certain te
nt de même, puis d'autres encore. En même temps, la peau des diverses
parties
du corps, qui jusque-là avait été brune, se décol
mpereur Charles V, s'estant ammourachc d'vne Damoiselle, lit tant que
partie
par amour, partie par force, il cueillit la fleur
s'estant ammourachc d'vne Damoiselle, lit tant que partie par amour,
partie
par force, il cueillit la fleur de la virginité d
ion, puis cette cyanose qui aboutit au sphacèle sec et à la chute des
parties
sphacélécs. Et si l'on trouve des déformations de
rétracta-tions, mais à des cicatrisations consécutives à la chute des
parties
morti- sclérodermie, quoique les mains fussent
sont prises plus lard, sans douleurs, puis la face. Actuellement, les
parties
où l'altération est le plus avancée ne présentent
t rigide, sans plis, lisse et dure comme du parchemin, recouvrant les
parties
sous-ja-centes comme ferait un gant trop étroit.
élec- trique à travers un verre d'urane, lequel retient une grande
partie
des rayons chimiques. 11 n'est pas douteux qu'en
une coloration brune, bronzée, très foncée, plus foncée en certaines
parties
que ne l'est la coloration de la peau d'un mulâtr
rès sombre ; les épaules et les bras, les cuisses surtout, dans leurs
parties
antérieures et externes, présentent une coloratio
contraire par des gradations insensibles dans la teinte géné-rale des
parties
voisines. A part cette coloration bronzée si rema
fait l'essai de la substance de ces capsules en faisant bouillir une
partie
de ce qui devait avoir été la substance médullair
caractéristique des capsules surrénales à l'état sain. Peau. — Les
parties
colorées de la peau ont été aussi exa-minées au m
nt le veau peut être atteint. Le corps de cet enfant fait aujourd'hui
partie
du musée anatomique de l'Université de Berlin. Ce
une direction verticale et se portent parallèlement, les unes vers la
partie
antérieure du cou, les autres vers la région abdo
, âgé de 7 à 8 mois. Voici les résultats de cette analyse : sur 1.000
parties
de cendres, l'épiderme du fœtus normal a donné 2b
sur 1.000 parties de cendres, l'épiderme du fœtus normal a donné 2b'0
parties
de phosphate calcaire ; l'épiderme du fœtus attei
sphate calcaire ; l'épiderme du fœtus atteint d'ichthyose a donné 600
parties
du même sel calcaire. L'auteur conclut en attribu
n circonstanciés. Il serait donc fort intéressant de répéter, sur une
partie
de la peau du fœtus présenté par M. Houel, les ob
u les différences qui peuvent exister entre les deux cas. TROISIÈME
PARTIE
Des kystes hydatiques. DES KYSTES HYDATIQUES
mètres chacun de diamètre et adhè-rent entre eux dans une très petite
partie
de leur circonférence; l'un d'eux, plus volumineu
e au col de l'utérus dans l'étendue de 2 centimètres environ, et à la
partie
la plus reculée de la face postérieure du vagin,
'orifice anal ; cette perforation, pratiquée, par conséquent, dans la
partie
la plus élevée de la poche hydalique est arrondie
sé par en bas, et une tumeur vient faire saillie dans sa cavité, à la
partie
la plus reculée de sa face posté-rieure, immédiat
, et cependant rien n'avançait. La tête appuyait sans cesse contre la
partie
supérieure de l'obstacle, mais sans pouvoir des-c
présentait une tumeur qui remplis- Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 3»
partie
: Kystes hydatiques. 15 sait tout le ventre et
imples ou multiples et accompagnés de kystes semblables dans d'autres
parties
du corps ; 3° Les kystes gênent l'excrétion de
ucoup plus communes dans la rate et dans le foie que dans toute autre
partie
du corps. N'est-il donc pas naturel de supposer,
énéralement chez des individus qui en possèdent dans plusieurs autres
parties
du corps. Obs. II.— Il s'agit d'un tailleur, âg
de cette maladie est la même qui engendre les hydatides dans d'autres
parties
du corps ; dans le foie, dans la rate et plus spé
kystes hydatiques se développent le plus simultanément dans diverses
parties
du corps. Sous ce point ^ vue, les kystes hydatiq
pper plutôt du côté du périnée que du côté de l'ab-domen, adhérer aux
parties
voisines et venir constituer, en définitive, une
petit bassin, des adhé-rences se sont établies entre la tumeur et les
parties
voisines; le cul-de-sac recto-vaginal a, par suit
il cas pour que nous y insistions. Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 3e
partie
: Kystes hydatique*. 16 6° Jusqu'ici, il faut l
qués plus haut, que d'autres tumeurs analogues existent dans d'autres
parties
du corps, on a tout lieu de penser qu'il s'agit d
l'opération quand on a acquis la conviction de son adhérence avec les
parties
voisines. Merriman a ponctionné par le rectum d
e certaine quantité de liquide d'un jaune foncé se rencontre dans les
parties
les plus déclives de la cavité abdominale, mais i
té des épiploons ; cependant on la trouve limitée de ce côté, mais en
partie
seulement, et d'une manière très incom-plète, par
able siégeant principalement dans la région du flanc droit et dont la
partie
supérieure, qui rappelle par sa forme le bord tra
hyda-tides nombreuses et encore entières. Cette poche est creusée en
partie
dans l'épaisseur de la face supérieure du lobe ga
nt du diaphragme au foie. Celte paroi est interrompue au niveau de sa
partie
supérieure. Dans ce point existe un orifice qui c
g; elle ne contient pas de kystes. Charcot. Œuvr. compl. t. vih, 3e
partie
: Kystes hydatiques. il Les reins et le pancréa
stes hydatiques qui, chez le môme sujet, étaient situés dans d'autres
parties
de la cavité abdominale (Trans. of the pathol. So
aillements fréquents qu'ils subissent, développés qu'ils sont sur des
parties
plus ou moins mobiles ou douées de mouvements pro
illimètres d'épaisseur; d'un autre côté, elle repousse par en bas les
parties
qui consti-tuent le plancher supérieur du ventric
e cœur paraît être un peu augmenté de volume, principalement dans les
parties
voisines de la pointe ; on y voit une tumeur hémi
ur, sans altération notable, des fonctions de cet organe. QUATRIÈME
PARTIE
Estomac. — Rate. ESTOMAC. - RATE I. Cas d
En col-laboration avec M. Vulpian. Charcot. Œuv. compl. t. viii, 4e
partie
: Estomac. Rate. 18 n'ont entièrement disparu.
tousse légèrement depuis environ six semaines ; les crachats sont en
partie
spumeux et en partie muco-purulents. Ils n'ont ja
puis environ six semaines ; les crachats sont en partie spumeux et en
partie
muco-purulents. Ils n'ont jamais été sanglants.
ts. Ils n'ont jamais été sanglants. La percussion, pratiquée sur la
partie
antérieure du thorax donne un son peu obscur au-d
n avant, on en-tend la respiration très rude, presque soufflante à la
partie
supé-rieure du poumon droit ; l'expiration y est
, douleur profonde et s'irradiant tout le long du sternum, jusqu'à la
partie
inférieure du Cou. Cette douleur, modérée après l
se mélangent à une grande quantité de mucosités ; puis la plus grande
partie
de ces matières est rejetée par le vomis-sement.
du malade, qu'il y a une petite quantité de liquide accumulé dans la
partie
inférieure de la cavité abdominale. Cet état, d
sparu. Le bord de ces ulcérations n'est pas plus congestionné que les
parties
environnantes; mais il est un peu plus boursouftl
il vomissait tous les jours après chaque repas, et qu'une très petite
partie
des aliments ingérés devait franchir le pylore.
nt volumineux ; tantôt il est mat à la percussion dans la plus grande
partie
de son étendue, et, dans ce cas, la palpation fai
ors entendre à distance ; d'autres fois, au contraire, la plus grande
partie
de l'abdomen est sonore, et alors, le gargouille-
ns ce dernier cas, l'hypochondre gauche est très sonore, ainsi que la
partie
supérieure de la région épigastrique. La région o
et mats eux-mêmes, la palpation fait encore souvent reconnaître à la
partie
moyenne de l'abdomen une tumeur molle et fluctuan
ion, car un son intestinal des plus évidents, occupant la plus grande
partie
de l'hypochondre droit, démontre qu'une anse d'in
abilité, au côlon, est inter-posée entre les parois thoraciques et la
partie
inférieure de la face antérieure du foie. Le pr
nt extrêmement distendus par la séro-Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 49
partie
: Estomac. Rate. 19 site. La langue, qui était
iscères abdominaux, à l'excep-tion : 1° du côlon ascendant ; 2° d'une
partie
du côlon transverse, qui remonte, sous forme d'an
se, qui remonte, sous forme d'anse, en avant du foie; 3° d'une petite
partie
de la face antérieure de l'estomac. Ces différent
de très vieille date ; il en est de même de l'origine de la première
partie
du duodénum, dans l'étendue d'un pouce environ.
e est d'un blanc opaque et comme froncée. La deuxième et la troisième
partie
du duodénum occupent leur position habi-tuelle ;
rt pas, malgré cette distension artificielle, le même calibre que les
parties
naturellement dila-tées. Au commencement de l'S i
ie de dilatations et de rétrécissements; disons tout de suite que les
parties
dilatées renfermaient un semi-liquide jaunâtre, d
ide jaunâtre, des matières fécales assez bien formées, en un mot. Les
parties
con-tractées étaient vides, et la muqueuse était
e considérablement, au niveau du rétrécissement. Avant d'inciser la
partie
rétrécie, on constate qu'elle admet tout au plus
ment ; elle conserve ce caractère dans toute l'étendue de la première
partie
du duodénum; la cellu-leuse était également aminc
veau du rétrécisse-ment, et se retrouve seulement dans la plus grande
partie
de la première portion du duodénum. D'ailleurs, d
particulier, elle n'aurait jamais eu ni écoulements, ni chancres aux
parties
, ni taches sur la peau. Elle ne peut donner aucun
omen est très volumineux ; le cordon est œdématié. On remarque sur la
partie
latérale gauche de l'abdomen, et se pro-longeant
on voit s'y prolonger et y adhérer les caillots qui remplissaient la
partie
gauche de l'abdomen. La membrane péritonéale ne
Dans la dyssentérie, l'appareil glandulaire du côlon se détache des
parties
sous-jacentes, par suite d'un travail d'éliminati
en nom-bre plus ou moins considérable, et constituent en très grande
partie
les lambeaux membraneux qui se détachent de la tu
883.) 1. Thèse de M. Sacher. — De ta dyssentérie, 18S3. CINQUIÈME
PARTIE
Thérapeutique. DE I/EXPECTATION EN MÉDECINE
lté de médecine, le 17 avril 1857. Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 5"
partie
: Thérapeutique. 20 l'âme, on sera, quoi qu'on
miner. Il faut, en somme, ainsi que le dit Pringle, regarder comme la
partie
la plus essentielle l'entretien du principe de la
, 2e édit., p. 215, Paris, 1846. Charcot. CEuvr. compl. t. viii, 5»
partie
: Thérapeutique. 21 compte, chez un de mes pare
céder immédiatement à la guérison d'un ulcère variqueux siégeant à la
partie
interne de la jambe droite, gué-rison que j'avais
reprises par Pinel sur l'évolution des fièvres tierces abandonnées en
partie
à elles-mêmes 2. Elles se terminaient au bout de
s humoristes, est sujette à des maux variés dont l'origine est due en
partie
à diverses fermentations, ou même à la pu-tréfact
y, p. 158, Op. omn., t. h 1157.) Charcot. Œuvr. compl. t. viii, 5e
partie
: Thérapeutique. 22 ladie n'a pu être déterminé
raitement de certaines affections chroniques, se sont au-jourd'hui en
partie
évanouies à la lumière des faits rigoureu-sement
r qu'elles peuvent déterminer quelquefois une véritable paralysie des
parties
génitales. J'ai soigné, à l'hôpi-tal de la Charit
genoux, s'étendit ensuite, les années suivantes, à toutes les autres
parties
du corps. Les deux premières années, elle fut com
tanée s'amendait ; les plaques pâlissaient ou même disparaissaient en
partie
, mais, constamment aussi, au bout de quelques sem
Ueilmittellehre, Tubinge, 1856). Charcot. Œuvr. compl. t. viii, 5e
partie
: Thérapeutique. 23 côlé, elle a pu, dans un ca
est clair que, dans ces préparations pharmaceutiques, une très grande
partie
du nitrate d'argent se trouve modifiée. Quelques
llique et peut-être de sels insolubles à acide organi-que. Quant à la
partie
qui reste soluble, il n'est pas absolument certai
x grêles, ayant tous les ca-ractères de ceux qui se montrent dans les
parties
périphéri-ques des nerfs divisés, alors que ces p
rent dans les parties périphéri-ques des nerfs divisés, alors que ces
parties
sont le siège d'un commencement de restauration.
phénomène mérite d'ailleurs d'être signalé, parce qu'il ne fait point
partie
de l'ensemble constant des symptômes ; c'est un g
étit renaît. La malade peut s'asseoir Gharcot. Œuvr. compl. t. vm, 5e
partie
: Thérapeutique. 24 sur son lit, elle peut môme
ai. — La malade peut rester assise sur son lit pendant la plus grande
partie
de la journée ; elle se tient aussi très bien et
cidence de soubresauts, se mani- Cuvitcrr. OEuvr. compl. t. vin, 59
partie
: Thérapeutique. 25 festent également parfois,
nt à la sensi-bilité et à la motilité. Elle éprouve dans toutes les
parties
du corps, mais principale-ment dans les membres i
; lorsque l'on posait doucement le doigt sur un point de la peau des
parties
affectées, les malades, qui étaient aveugles, ne
z les autres, lorsqu'on couvrait leurs yeux ou lorsqu'on touchait une
partie
qu'elles ne pouvaient voir, par exemple la peau d
nous avons soulevée déjà et à laquelle nous croyons avoir au moins en
partie
, répondu par avance. Cette amélioration obtenue e
exemple, des fourmillements, de petits tressaillements, dans diverses
parties
du corps, mais princi-palement et quelquefois mêm
s inférieurs : l'intensité plus grande de ces manifestations dans les
parties
où siège l'ataxie rap-pelle, jusqu'à un certain p
est forcée de rester couchée, la faiblesse des masses musculaires des
parties
postérieures du tronc ne lui permettant ni de s'a
vu, par exemple, produire uneag- Charcot. CEuvr. compl. t. vin, 5e
partie
: Thérapeutique. 20 gravation marquée des symp
: chaque métal correspondait à l'un des corps célestes et à l'une des
parties
du corps humain. C'est donc en vertu de la trinit
à Montpellier eu 1815, à laquelle nous avons emprunté la plus grande
partie
de ces détails. Depuis cette époque, les travaux
à l'autopsie, un t'ait singulier : la muqueuse de l'estomac et de la
partie
supérieure du duodénum offrait sa coloration nor-
llement. Cette coloration spéciale s'observe principalement sur les
parties
du corps qui sont exposées à l'action de la lumiè
éninges cérébro-spinales, le péri- Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 5e
partie
: Thérapeutique, 27 Foie............ 0,047 Re
....... 0,047 Rein............ 0,067 d'argent métallique pour 100
parties
de parenchyme organique. Nous avons vu tout réc
assuré que, dans les pilules de, Bayle, qui contiennent un mé-lange à
parties
égales de nitrate d'argent et de nitrate de po-ta
érieur contre les affections des centres nerveux. Sans revenir sur la
partie
historique de ce travail, nous allons examiner ce
f; on peut en effet restitueraumalade, sinonla totalité, au moins une
partie
des éléments histologiques qui servaient à l'acco
risée avec du sucre. Il en donne Charcot. GEuvr. compl. t. viii, 5e
partie
: Thérapeutique. 28 de un vingt-quatrième à un
s deux heures, dans les cas intenses. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Maladies infectieuses. Pages I. Variole du fœ
sur diverses communications relatives au choléra..... 165 DEUXIÈME
PARTIE
Affections du tégument externe. I. Note sur que
a hemorragica symptomatique.......................... 209 TROISIÈME
PARTIE
Des kystes hydatiques. I. Mémoire sur les kyste
s du cerveau et du cœur.............................. 263 QUATRIÈME
PARTIE
Estomac, rate. I. Cas d'ulcères simples de l'es
es anatomo-pathologiques sur la dysenterie........... S00 CINQUIÈME
PARTIE
Thérapeutique. I. De l'expectation en médecine.
ng fever, 81 ; — synonymie, 85 ; — Charcot. Œuvr. compl. t. vin, 59
partie
: Thérapeutique. 29 époque d'apparition, 86 ; —
AN ÉDITEUR 108, Boulevard St Germain, 108. 1893 il PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1892. (Bi
cêtre et Fondation Vallée.) BOURNE'ILL, Bicêtre, 1892. * PREMIÈRE
PARTIE
Section 1 : Bicêtre. Histoire du service pend
iller à l'atelier commun de la Maison et leur travail compensera en
partie
, et pendant de longues années, les dépenses de
mier étage dans toute la surface et un deuxième étage dans toute la
partie
du centre, conformément aux plans ci-joints.
r ligure dans les projet de M. /ieit2c'It, lequel n'est en grande
partie
que la reproduction de celui que j'avais moi-même
école, propres ou gâteuses. Ce dernierpourrait être divisé en deux
parties
dont l'une serait réservée aux idiotes gâteuses
un point élevé de l'hos- pice, près de la buanderie, passant par la
partie
nord du marais, le chantier à charbon, venant a
contourne l'hospice. Les eaux de lavage, de pansement, etc., de la
partie
la plus suspecte cle la section coulent ainsi à
pproximativement de 1.100 mètres. La dépense pourrait être payée en
partie
par le département, en partie par la commune qu
. La dépense pourrait être payée en partie par le département, en
partie
par la commune qui amélio- rerait la situation
a commune qui amélio- rerait la situation d'un de ses quartiers, en
partie
enfin par l'Assistance publique. La constructio
, ce qui est très désirable, utiliserait le Tout à l'égout Il de la
partie
haute du service pour la culture du Marais » - ce
nom- bre de payants (dont seraient exclus ceux qui ne paient que
partie
des frais de séjour), autant de quartiers que pou
pour les enfants idiots ou arriéres. En rappelant dans la première
partie
de cet exposé les diverses délibérations du Con
ent par le Conseil général pour les placements d'office. IV. - La
partie
du mémoire de M. Le Roux qui a trait aux placem
tr cf'¡1)cs ? dc neurologie, 189 : 1, fi- 7 : 1, 1,. ll;. DEUXIÈME
PARTIE
Clinique BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. i I.
e : plagiocéphalie. Fontanelles oblitérées ; zone transparente à la
partie
postérieure des deux pariétaux. Deux zones tran
ce transparente de 10 mm. sur 3 mm. existe encore au niveau de la
partie
interne de la bosse pariétale droite à 2 cm. envi
uro métopique. La suture fronto-pariétale, est un peu sinueuse à sa
partie
médiane, offre la forme d'un S italique très al
e d'un S italique très allongé ; elle devient un peu sinueuse à ses
parties
laté- rales. La suture sagitale d'abord rectili
e sagitale d'abord rectiligne et légèrement sinueuse, présente à sa
partie
médiane des dentelures plus grandes pendant 3 c
fre un pli de passage avec la F2 à son tiers antérieur. Toute cette
partie
, ainsi que le second tiers antérieur, sont le s
nces nombreuses au niveau de leur jonction au lobe temporal et à la
partie
supé- rieure et postérieure de la scissure de S
. Lobule un peu allongé, 'partiel- lement adhérent. Les différentes
parties
de l'oreille sont nor- males. L'orifice du cond
pas d'otorrhée. L'ouïe semble normale. Cou court, assez mince. A sa
partie
moyenne, circonférence de 22 centimètres. Pas d
l'enfant, non dévié. Pénil peu saillant. Grandes lèvres minces. Ces
parties
sont glabres. Petites lèvres, capuchon, clitori
c d'avant en arrière. Sommeil bon, calme. Enfant colère. Pleure une
partie
de la journée. Elle ne veut pas être portée, ou
oncule, pas- sant au-dessous des bandelettes optiques et gagnant la
partie
postérieure des circonvolutions frontales de la
volutions frontales de la face inférieure. La surface recouvre : la
partie
postérieure et inférieure de la 3e frontale, la
n transversale de la scissure de Sylvius, le lobule de l'insula, la
partie
antérieure des circonvolutions occipitales, qui
tale du goût chez cette enfant. Est-elle due à la destruction de la
partie
anté- rieure de la 2 ? temporale gauche, en ava
le et la pariétale ascendante. On note une altération analogue à la
partie
toute supérieure du lobule de l'insula. La pari
ié moindre que celui de la frontale ascendante. Même lésion de la
partie
la plus supérieure du lobe pariétal. Adhérences n
ines en apparence. Le lobe temporal, sain en avant, présente sur la
partie
pos- térieure de la 2- temporale et au niveau d
rne de l'hémisphère gauche présente de l'atro- phie scléreuse de la
partie
antérieure de la 1re frontale sur un trajet d'e
rieure de la 1re frontale sur un trajet d'environ 3 centimètres. La
partie
post-rolancliqtte du lobule paracentral est con
e atrophie notable de la circonvolu- tion du corps calleux et de la
partie
postérieure de la cir- convolution de l'hippoca
du côté opposé, ne semble pas très altéré. Légère atro- phie de la
partie
toute supérieure du lobe pariétal. En arrière e
ale. adhérences pie-mériennes avec atrophie se prolongeant sur la
partie
postérieure et inférieure de la circonvolution de
la moitié postérieure de la première circonvolution frontale, de la
partie
inférieure du lobule paracentral et de toute sa
post-rolandique vers la terminaison de la pariétale ascendante. La
partie
correspondant à la terminaison de la frontale a
sommet mais cette lésion est moins intense que les précédentes. La
partie
toute postérieure du lobe occi- pital semble sa
assage qui termine cette circonvolution et la fait communiquer à la
partie
postérieure de l'avant-coin, semble sain et non
tures observées pendant la vie. A gauche, la lésion est bornée à la
partie
supérieure de la pariétale ascendante, tandis q
membres étaient frappés de paralysie. La lésion bilatérale de la
partie
toute postérieure du lobule paracentral nous pa
des expériences de Sherrington (de Londres). D'après cet auteur, la
partie
toute postérieure du lo- bule paracentral, chez
gneux de sa personne et de ses affaires. Il connaît les différentes
parties
de son corps, le nom des objets usuels, les cou
n du temps, connaît les mois, les jours, l'heure, les différentes
parties
de son corps et,de ses vêtements. Il exécute conv
r le tronc et l'abdomen. Quelques poils noirs, assez longs, sur les
parties
latérales de la verge. - Le pénis est long de 5
en arbori- sations osseuses, surtout à droite et à gauche vers la
partie
la plus élevée de la suture. En aucun point la sy
sagi,ttale affecte une direction antéro- postérieure régulière. La
partie
correspondant au bregma n'est pas sinueuse. Il
espondant au bregma n'est pas sinueuse. Il n'en est pas de même des
parties
situées en avant et en arrière qui sont très ar
re. On note, en particulier, des adhérences de la pie-mère sur la
partie
moyenne des circonvolutions frontales et pariétal
les circonvolutions temporo-occipitales, le lobule de l'insula, la
partie
antérieure de la circonvolution du corps calleu
larges, peu écartées, minces ; repli de l'hélix large, formant à la
partie
supérieure une courbe plus grande que normalement
tragus très-développé, recouvrant comme une valvule la plus grande
partie
de l'orifice du conduit auditif externe; lobule
hragmatique. La pointe du coeur bat sur la ligne mamelonnaire, à la
partie
supérieure du 8e espace. Rien à l'auscultation.
des jambes; elle semble exister à un faible degré à partir de la
partie
moyenne des cuisses. Au tronc, à la face et aux m
pais : le frontal au niveau de ses deux bosses, l'occipital dans sa
partie
moyenne, au-dessus de la protubérance occipital
isseur. 62 Sclérose ATIiOPHIQUD DU cerveau. Les pariétaux dans la
partie
la plus mince de la section de la calotte, ont
On ne remarque de transparences et encore très-faibles, que dans la
partie
située au-dessus et en arrière des rayons d'oss
l n'y a pas d'os wormiens. Dure-mère assez épaisse. Les différentes
parties
de la base du crâne et de l'encéphale sont symé
dique. Les circonvalutions Fi, F2 et Ps, sont peu abondantes. A la
partie
tout antérieure de F2, se trouve un petit foyer d
émité supérieure de FI et s'étend très-loin en arrière, occupant la
partie
supé- rieure de la pariétale ascendante, le lob
lutions sont norma- les. En arrière, sclérose atrophique portant la
partie
posté- rieure du lobule paracentral, le lobule
ule pariétal supérieur et la face interne du lobe occipital; sur la
partie
tout-à-fait postérieure de la circonvo- lution
ymus. Thorax. Poumon gauche (140 gr.) un peu congestionné. Sur la
partie
postérieure du lobe inférieur, on trouve une ci
sula sans lésion apparente. - Le lobe te IJ1j)() l'il présente à la
partie
posté- rieure de Fi et de F-' clos adhérences m
es mais assez nettement circonscrites. Le lobe occipital offre à sa
partie
antérieure un aspect franchement chagriné ; en
coin, le coin, la circonvolution du corps calleux sont normaux. Ala
partie
moyenne des circonvolutions temporo-sphénoïdales
Hémisphère gauche. - Face externe : Adhérences nom- breuses à la
partie
antérieure du lobe frontal sur tout le tra- jet
te circonvolution est mince et nettement 'atrophiée, surtout à sa
partie
postérieure. Les deux tiers postérieurs de FI et
: 1 : normale. Lobule paracentral chagriné et atrophié surtout à sa
partie
postérieure. - L'avant-coin et le coin présente
se sus-épineuse et de la région sous-claviculaire ; submatité de la
partie
inférieure du poumon surtout en arrière. - A ga
du poumon surtout en arrière. - A gauche : subma- tité de toute la
partie
du poumon. En arrière, matité plus prononcée à
e toute la partie du poumon. En arrière, matité plus prononcée à la
partie
moyenne. Auscultation : Craquements humides dan
Du côté gauche, râles crépitants et. sous-cr- pitants dans toute la
partie
supérieure du poumon. Souffle caverneux en arri
Oreilles volumineuses, écartées, de forme elliptique. Toutes ses
parties
sont normales, à part la largeur des lobules qui
es deux omoplates et au niveau des lombes. L'enfant porte sur les
parties
postérieures et latérales du thorax une dizaine
droite à gauche et réciproquement., balancement qui dure une bonne
partie
de la journée. Il est incapable de se servir de
ntales et/pariétales ascendantes sont forcément incomplètes : leur^-
partie
infé- rieure est totalement détruite et remplac
par le lobe tcmporo-spliénoïdal est à peine indiqué, la plus grande
partie
ayant été détruite par l'épanouissement du poru
existent plus. Hémisphère droit. - Ici le porus occupe surtout la
partie
supérieure de la face convev : e de l'hémisphèr
forme d'une très petite et très étroite bandelette tout à fait à la
partie
interne. La frontale ascendante borde en avant
ons fortement séparées l'une de l'autre ne peuvent se réunir à leur
partie
terminale, et il est à peine besoin de dire que
uban très aplati. Nul doute qu'elle ne soit très atrophiée dans les
parties
constituantes. Double l'OaENCEPH1LIE vraie. ,99
la calotte; plaques transparentes fort étendues, siégeant vers la
partie
inférieure du pariétal droit. Sutures coronale,
e lésion de la cor- née ou de la conjonctive. La sensibilité de ces
parties
est parfaite. L'acuité visuelle est normale. L'
peu décollé. Lobule bien détaché. Rien d'anormal dans les diverses
parties
de l'oreille. Cott maigre et long. - Corps th
coutume. La calotte présente une certaine asymétrie : en avant, la
partie
droite du frontal est un peu proéminente; en ar
du côté gauche de la suture fronto-pariétale, et de la plus grande
partie
de son côté droit Mais, sur une lon- gueur de 3
peu profond, est situé à demi distance entre la ligne médiane et la
partie
inférieure gauche de la suture méto- pique ; le
des fosses temporales, qui n'offrent pas de dépression, sauf à la
partie
moyenne de la fosse temporale gauche. Vue par l
e la méningée moyenne, qu'elle prolonge exactement. A droite, cette
partie
moins épaisse a une longueur de 3 centimètres,
ette partie moins épaisse a une longueur de 3 centimètres, avec une
partie
plus épaisse en avant et une partie extrêmement
ueur de 3 centimètres, avec une partie plus épaisse en avant et une
partie
extrêmement mince en arrière. A gau- che, elle
ligne médiane ; elle est d'une épaisseur à peu près uniforme. A la
partie
moyenne du frontal, à un centimètre à gauche de
côtés, le sillon de la méningée moyenne est trans-. lucide sur une
partie
de son étendue, mais principalement à droite. -
que. Pasde traces au palper des sutures, ni des fontanelles. Sur la
partie
gauche de la tête, on remarque une cicatrice li
la brèche osseuse. 125 os wormien existe de chaque côté dans cette
partie
rectili- gne. A la face interne cette scissure
érieur de25° environ. Cette brèche est en voie de réparation et les
parties
non ossifiées y sont recouvertes d'une membrane
autre et transformée sur les bords en minces lamelles osseuses. Une
partie
ayant 32 millimètres de longeur, reste non ossi
offre des bords assez réguliers ; cette région a 3 millimètres à sa
partie
la plus large ; 18 mil- limètres à peu près sou
, à demi comblé par une jetée osseuse interne. A l'état frais cette
partie
non ossi- fiée était recouverte d'une membrane
ment sur cet hémisphère. A peine note-t-on quelques adhérences à la
partie
inférieure du lobe pariétal surtout au niveau d
férieure du lobe pariétal surtout au niveau du pli courbe et sur la
partie
inférieure du lobe tem- poral. La face interne
environ. Allaité au biberon avec du lait de vache, il fut sevré en
partie
à 6 mois et but du lait comme aliment principal
dduction avec rotation en dedans considérable, frappe rapidement la
partie
antérieure Rougeole. 137 de la jambe gauche o
ès développée. Elle a ensuite envahi tout le pourtour '; du cou, la
partie
antérieure de l'abdomen et du thorax où telle e
ieur de F3. - FA est considérablement sclérosée, elle présente à sa
partie
toute supérieure au moment où elle se perd dans
son étendue, surtout à son tiers supérieur. Le tobe pariétal et la
partie
postérieure du lobe temporal présentent une lés
e, une sclérose atrophique plus accentuée mais analogue à celle des
parties
voisines. A son centre, les cir- convolutions o
utions sont flétries et forment une excavation en entonnoir dont la
partie
centrale, la plus profonde et la plus altérée,
tal est déprimé et porte les traces de nombreuses adhérences sur sa
partie
antérieure et 142 Lésions pulmonaires. surtou
ulmonaires. surtout au niveau du pli courbe. 11 en est de même à la
partie
postérieure de TI et de T2. - Le lobule de l'in
ation secon- claire).. La moelle offre une diminution nette de sa
partie
droite, néanmoins, il est dillicile sur une cou
gouttelettes muco- purulentes. Petit foyer caséeux circonscrit à la
partie
anté- rieure de la base ; dépression cicatricie
adduction avec rotation forcée en dedans, frappait rapidement la
partie
antérieure de la jambe gauche ou le genou. En m
entre les deux brèches est adhérent par les quatre bords et que la
partie
du crâne qui correspond à ce quadrilatère est b
nchâtre, cxanguc, tranchant ainsi par sa coloration avec les autres
parties
du crâne qui avaient une coloration rougea- tre
ne coloration rougea- tre assez foncée : il y avait anémie de cette
partie
. Le liquide céplralo-rachirlien est en petite q
nt de vue des dentelures, est libre dans toute son étendue. Sur les
parties
latérales de chaque côté, on peut insinuer un c
ante de 2 centimètres de la sagittale. Cette dernière brèche est en
partie
comblée par le travail de réparation osseuse. L
courbe, des plis pariétaux. - Sur le lobe frontal, nous notons à la
partie
postérieure des deux circonvolutions frontales un
série de petits plis de passage, distants de 3 à 4 millimètres. La
partie
tout-il-fait postérieure de la première temporale
ouge. Ces ilôts tuberculeux sont surtout nombreux au sommet et à la
partie
postérieure du lobe moyen. Pou- mon gauche (530
us considérable - : une caverne de la grosseur d'une noix occupe sa
partie
supérieure. Dans le lobe inférieur, les lésions
Bouche un peu grande. La lèvre supérieure fait saillie surtout à sa
partie
médiane. Voûte palatine légèrement ogivale; voi
au tact, à la piqûre, à la chaleur parait nor- male sur toutes les
parties
du corps. - Les réflexes patellai- res existent
s petits, allongés, à grand axe perpen- diculaire à la suture. A la
partie
externe de la suture, toujours du même côté, il
us volumineux (comme une pièce de 0 fr. 20). Sur le trajet de cette
partie
de la suture lambdoïde, on observe de petites f
x etprinci- palement sur les 2/3 antérieurs des hémisphères et à la
partie
antérieure des lobes temporaux. Ces infiltratio
et sur les lobes pariétaux, principalement à droite, ainsi qu'à la
partie
moyenne du lobe temporal droit. Des amas purule
aques sont nettement altérées, une d'entre elles a été ulcérée à sa
partie
centrale qui est comblée par un tissu transpare
sinage de cette dernière. Les sutures sont gorgées de sang, et la
partie
osseuse voisine est considérablement rasculi1rise
staient très nette- ment accentuées par des dentelures rouges ; les
parties
osseu- ses voisines étaient également très roug
is. (Il Sur l'occipital, 2 ^w, à peine; 6 et 7 ? sur la coupe de la
partie
antérieure des temporaux et un millimètre sur c
la partie antérieure des temporaux et un millimètre sur celle de la
partie
postérieure ; sur le trou - tal,3a.imd. 11ÉNI
az IÉNI'.\ C0-EN-CÉPH.&LITE. supérieur présente au niveau de sa
partie
toute supérieure des altérations semblables à c
il est beaucoup moins congestionné que le gauche et présente, à la
partie
moyenne de son bord postérieur, un tubercule as
l'enfant, il est difficile de l'affirmer. Peut-être a-t-elle été en
partie
la cause de la naissance avant terme (7 mois).
llaire ou inguinale. Tête ovoïde, plus élargie que normalement à la
partie
supé- rieure ; asymétrie de la face : le côté g
point d'insertion ; l'ourlet est bien conformé ainsi que les autres
parties
constituantes. Ouïe normale. Cou grêle; pas d
trine glabres. Figure glabre. Quelques poils noirs et courts à la
partie
antéro-interne des jambes. Périnée glabre. 192
ré dans sa moitié supé- rieure, assez fortement vascularisé dans sa
partie
posté- rieure. Calotte asssz dure, symétrique
des pariétai x, situés à 2 centimètres du bregma ; au niveau de la
partie
antérieure du frontal se trouvent des plaques lég
utes finement dentelées. Deux petits os vormiens se remarquent à la
partie
gauche de la suture lambdoïde. Pas de traces de
ive péricornéenne saine. Cornée opaci- fiée des deux côtés, dans sa
partie
moyenne. L'examen oph- thalmoscopique. fait par
écarta très nettement de la tète. Lobule non adhérent. Les diverses
parties
de l'oreille sont bien conformées. Pas d'otorrh
iétal gauche, de sorte qu'il ne reste plus, à l'état intact, que la
partie
droite de la suture coronale. qui est très inje
cal- leux de l'hémisphère droit est très peu divisée, et, dans sa
partie
moyenne, est à peine séparée du corps calleux. Ri
sensibilité normales. Cicatrices de vaccin aux deux épaules sur la
partie
supérieure et externe du deltoïde. Membres infé
°, 2. L'état général de W... est mauvais : extrémités cyanosées ;
parties
inférieures du corps froides; dyspnée de plus en
oncé. - I-0117-IOn gauche (138 gr.). Le lobe supérieur est sain. La
partie
la plus déclive de la face postérieure du lobe
llet. Tête. Cuir chevelu assez fortement congestionné, même dans sa
partie
antérieure. Crâne mince, de texture compacte; l
ture compacte; la crête occipitale est un peu déviée à gauche et la
partie
gauche de cet os est un peu déprimée. La fosse
iée, blanche 'et indurée dans toute sa imitii postérieure; toute la
partie
correspondante de la circonvolution du corps ca
rconvolution du corps calleux est blanche, atrophiée et indurée. La
partie
postérieure de FI, sur la face interne de l'hém
coupe de la protubérance occipitale externe. L'épaisseur des autres
parties
de la coupe varie entre 4 et 6 millimètres. A s
ose. La suture sagittale, à contours compliqués dans la plus grande
partie
de son parcours, devient presque rectiligne pen
es de longueur sur 5 n1.llimètre3 de largeur, tandis qu'adroite, la
partie
transparente, symétrique, n'a guère plus de 5 m
ition ordi- naire. La pie-mère est très congestionnée, surtout à sa
partie
antérieure, et est blanche et opaque sur le tra
male dans sa moitié inférieure, est sclérosée et atrophiée dans sa
partie
supérieure. Il en est de même de P A, où la lésio
tion régulière. Face interne. - La sclérose atrophique intéresse la
partie
antérieure du lobe paracentral. L'avant-coin, l
interne. - On ne trouve qu'un foyer de sclérose assez accentué à la
partie
postérieure du lobule paracentral et à la régio
mon droit (770 gr). Hépatisation rouge du lobe inférieur et de la
partie
inférieure du lobe moyen. - Poumon gauche (710
emonte à gauche jusqu'aux droite, elle remonte seulement jusqu'à la
partie
moyenne du pied. Le pied gauche présente un gon
de ce moment, l'érysipèle gagne des deux côtés, mais s'éteint à la
partie
moyenne de la jambe gauche. A droite, il attein
, il atteint les téguments qui recouvrent le trochanter, gagne la
partie
postérieure du bassin, et, par cette voie, et par
ie postérieure du bassin, et, par cette voie, et par le périnée, la
partie
supérieure et interne de la cuisse gauche (9 no
de celles de l'os voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les
parties
osseuses voisines du tiers moyen de la suture cor
NT DES SUTURES DU CRANE. 545 ' z petits sillons le séparent en deux
parties
, et lui donnent un as- pect bosselé. Les kystes
ulier est tuméfié et on sent à la pres- sion une masse dure dans sa
partie
antérieure. Au-dessus du plancher du quatrième
olando, superficiel, semble continuer dans sa direction la première
partie
de la scissure de Sylvius. - FI et F2, mal déli
partie de la scissure de Sylvius. - FI et F2, mal délimitées à leur
partie
antérieure où de nombreux plis de pas- sage les
la substance cérébrale, amincissement plus prononcé au niveau de la
partie
supérieure du ventricule correspondant, à l'ext
du ventricule correspondant, à l'extrémité supérieure de FA et à la
partie
postérieure de F et Fez. F3 est sinueuse et ass
n générale, le lobe frontal peut être considéré comme formé de deux
partie
» à peu près égales : une antérieure et inférieu
ure et inférieure, l'autre supé- rieure et postérieure. De ces deux
parties
, la première assez bien conformée a un aspect s
ons réduits presque à de simples lignes, est amincie et répond à la
partie
supérieure de FA, etc.. : c'est cette région qu
, la plus profonde, au devant du sillon de Rolando, correspond à la
partie
postérieure du lobe frontal auquel elle donne l
. Le corps strié et la couche optique sont aplatis surtout à leur
partie
postérieure. Une membrane épaisse et blanchâtre
la scissure préfrontale est nette et F A est séparée ici des autres
parties
du lobe frontal. A sa partie moyenne cependant
e et F A est séparée ici des autres parties du lobe frontal. A sa
partie
moyenne cependant un sillon coupe F A et sa parti
be frontal. A sa partie moyenne cependant un sillon coupe F A et sa
partie
inférieure s'unit à ce niveau par un volumineux
de passage en crochet avec F2. Il est à remarquer toutefois que les
parties
toutes supérieures de Fi et de FA se laissent d
ante droite, mais d'une façon bien moindre. Il en est de même de la
partie
supérieure de PA et du lobe pariétal supérieur
lobe occipital est d'apparence normale. Il en est de même de Ti. La
partie
moyenne de T2 et de T3 est le siège sur un cent
dont la couleur rappelle celle des circonvo- lutions cérébrales. La
partie
supérieure et externe de cette masse présente s
ant une bande d'un centimètre d'épaisseur environ qui donne à cette
partie
une coloration jambon née et qui présente en IS
volumineuses. Oreilles longues et larges, écartées du crâne à la
partie
postérieure. L'ourlet n'est pas très bien conform
Description du malade. 267 surtout à droite, il est déchiré à sa
partie
supérieure et pré- sente un tubercule. Le lobul
es meubles comme s'il voulait les nettoyer. Il connaît les diverses
parties
de son corps, mais ne distingue pas le côté dro
les ordres qu'on lui donne. Ce manque de volonté peut expliquer en
partie
la persistance et la reproduction des mêmes tic
berté. Pénil saillant, recouvert de poils rares, assez longs sur la
partie
médiane et inférieure. - Quelques poils formant
, sillonnée de quelques veines dilatées. La matité hépatique est en
partie
masquée par le tympanisme abdominal. On ne sent
st en partie masquée par le tympanisme abdominal. On ne sent pas de
parties
de consis- tance inégale. Ni le palper ni la pe
n peu. A l'auscultation, on trouve seulement quelques râles dans la
partie
moyenne du poumon droit. Amaigrissement considé
tes cellules siégeant dans la cavité , dû.4 ueütricule . et sur la,
partie
latérale du bulbe -et du .cervelet ? Hydrocejjl
i le composent sont très minces, trans- lucides dans la plus grande
partie
de leur étendue. Toutes les sutures persistent
avant en arrière 3 centimètres et se détachant de chaque côté de la
partie
corres- pondante de la suture intcr-pariétale s
quinzaine à gau- che. - L'occipital semble séparé, au moins dans sa
partie
supérieure correspondante à la calotte, par une
s petits, allongés, à grand axe perpen- diculaire à la suture. A la
partie
externe de la suture, toujours du mème côté, il
plus volumineux (comme une pièce de 0, 20.) Sur le trajet de cette
partie
de la suture lamhcloide, on observe de petites
ariétal gauche, de sorte qu'il ne reste plus à l'état intact que la
partie
droite de la suture coronale. Cette suture coro
e la glabelle. Un petit os wormien existe de chaque côté dans cette
partie
rectiligne. A la face interne, cette scissure e
rieur de 25° environ. Cette brèche est en voie de réparation et les
parties
non ossifiées y sont recouvertes d'une membrane
tre et transformée sur les bords en minces lamelles osseuses. Une
partie
ayant 32 millimètres de longueur reste non ossifi
tres de longueur reste non ossifiée à la région frontale. Une autre
partie
, longue de 20 millimètres, complètement réparée
et a des bords assez réguliers ; cette région a 3 millimètres à sa
partie
la plus large; 18 millimè- tres il peu près sou
à demi comblé par une jetée osseuse interne. A l'état frais cette
partie
non-ossifiée était recouverte d'une membrane osté
e de 10 millimètres sur 3 millimètres existe encore au niveau de la
partie
interne de la bosse pariétale droite il un cent
suture métopique. La suture fronto-pariétale, un peu sinueuse à sa
partie
médiane, a la forme d'un S italique très allong
e d'un S italique très allongé ; elle devient un peu sinueuse à ses
parties
latérales. La suture sagittale, d'abord rectili
sagittale, d'abord rectiligne et légèrement sinueuse, présente à sa
partie
médiane des dentelures plus grandes pendant 3 c
s traces de dentelures. La bosse frontale est transparente dans ses
parties
latérales. Les autres sutures montrent des dent
rions pu multiplier les faits ; ceux qui précè- dent concernant une
partie
des malades morts depuis un an dans notre servi
tumeur à siège bien déterminé. ' Avant de terminer cette première
partie
de notre communication laissez-nous vous rappel
L'enthousiasme qui semble avoir accueilli la crâniectomie tient en
partie
à ce que l'on ce possède, en général aucune not
sait distinguer les couleurs, les noms et l'usage des différen- tes
parties
de son corps. · OBS. II. - Imbécillité. Somma
r du tronc. La parole z est absolument nulle. Il crie et pleure une
partie
de la nuit; « il dort le matin. L'attention ne
noms des personnes, des objets qui l'entourent, des différen- tes
parties
de son corps, prononce des phrases simples, com-
e la gymnastique Pichery. Les documents qui composent cette seconde
partie
de notre communication me semblent de nature, M
Bicêtre. i TABLE DES MATIÈRES. Table des matières. 367 DEUXIÈME
PARTIE
... 36 : . Table des matières.
IRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE
PARTIE
. § Ier L'importance des couches corticales du
il n'eût été préoccupé de son vain système, n'eût enfin donné à cette
partie
de l'anatomie cérébrale une précision plus grande
cture des plis cérébraux sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu'à la
partie
postérieure du cerveau la substance blanche est d
plus ou moins profondément écliancré. De ces feuilles, et surtout des
parties
les plus voisines de leur limbe, se détachent tou
celui des Singes, nous retrouvons les mêmes ressemblances, les mêmes
parties
essentielles, la même disposition générale ; seul
i renommé de M. Tiedemann, sur le cerveau du nègre, a peu ajouté à la
partie
positive de nos connaissances sur ce point. Les a
dont les bords forment, à l'insula une ceinture triangulaire. De la
partie
horizontale du processus qui entoure la scissure
s circonvolutions qui sont situées en dehors du nerf olfactif sur les
parties
orbitaires des lobes frontaux. Quelques sillons
ilhier distingue : \° La circonvolution du corps calleux. C'est, en
partie
, la circonvolution crêtée de Rolando (Mm. cit., p
ions partent de la circonvolution de la grande fente cérébrale. De la
partie
antérieure de cette circonvolution il en naît d'a
érieurement la scissure de Sylvius. Ces circonvolutions répondent, en
partie
, aux procès verticaux de Rolando. 3° Les circon
che les circonvolutions, il a fort exactement représenté celles de la
partie
orbitaire du lobe frontal (tab. III, fig. 1, et t
, rai) ressemble assez en avant à celle du Renard. Elle se porte à la
partie
antérieure du cerveau, où elle s'unit à la troisi
ue l'antérieure fournit trois circonvolutions qui se dirigent vers la
partie
antérieure du cerveau. (Ces circonvolutions répon
a. Circonvolution du premier ordre. — Cette circonvolution répond, en
partie
, au processo cristato de Rolando. M. Foville lui
Capucin et celle que M. Owen a donnée du cerveau du Midas, DEUXIÈME
PARTIE
. DESCRIPTION DES PLIS CEREBRAUX DANS LES PRIM
chose qu'à un cerveau de Singe. C'est un corps ovoïde et convexe à sa
partie
supérieure, fort inégal à sa face inférieure, de
hémisphères se touchent ou se correspondent par des surfaces dont la
partie
supérieure est, à peu de chose près, plane et rég
tout continu, il ne faut point s'attendre à trouver, entre toutes les
parties
de ces plis, des délimitations parfaitement tranc
intelligibles les descriptions ultérieures, je donne à chacune de ses
parties
un nom particulier. Le point où la scissure com
du champ olfactif s'appellera origine de la scissure de Sylvius. La
partie
de la scissure qui est intermédiaire à son origin
ascendante et oblique le nom de coude de la scissure de Sylvius. La
partie
de la scissure qui est comprise entre son coude e
cissure perpendiculaire. La scissure perpendiculaire divise en deux
parties
la face externe de l'hémisphère; l'une de ces par
divise en deux parties la face externe de l'hémisphère; l'une de ces
parties
est antérieure, l'autre postérieure. La postéri
s trop absolu. Nous croyons, en effet, que le rapport des différentes
parties
de la surface cérébrale avec les trois vertèbres
e nom de lobule orbitaire. L'autre, supérieure convexe, répond à la
partie
frontale du coronal. Elle sera appelée, à cause d
eur. L'étage surcilier et le pli frontal moyen se réunissent à leur
partie
postérieure, et se terminent ensemble au-dessus d
verticalement sur la face externe de l'hémisphère et se confond, à la
partie
supérieure, avec le pli frontal supérieur. Le d
lerons ce pli pli courbe, et nous le diviserons naturellement en deux
parties
, Vnnepartie ascendante, l'autre partie descendant
iserons naturellement en deux parties, Vnnepartie ascendante, l'autre
partie
descendante. La partie descendante est séparée
deux parties, Vnnepartie ascendante, l'autre partie descendante. La
partie
descendante est séparée de la scissure de Sylvius
ylvius ; nous la nommerons, à cause de cela, scissure parallèle. La
partie
descendante du pli courbe et l'extrémité infléchi
inct. 2'' Le pli temporal moyen c'. Ce pli n'est autre chose que la
partie
descendante du pli courbe se continuant jusqu'au
cas dont il s'agit, la scissure de Sylvius forme un tel angle avec la
partie
supérieure du sillon parallèle, qu'elle semble se
our cette raison, cette scissure scissure des hippocampes. Toute la
partie
de la scissure des hippocampes qui est comprise e
ans le Callitriche, la scissure des hippocampes est fort relevée à sa
partie
supérieure, où elle se termine en se bifurquant.
point, comme on le verra plus tard, n'est pas sans importance. A sa
partie
antérieure, c'est-à-dire dans tout l'intervalle c
s. La scissure perpendiculaire et la scissure des hippocampes, à sa
partie
supérieure, divisent d'une façon très-simple la f
n très-simple la face interne de l'hémisphère cérébral. Toute cette
partie
de la face interne, qui est située au-dessus du c
e la face interne, qui est située au-dessus du corps calleux et de la
partie
postérieure de la scissure des hippocampes, est d
ntal et au lobe pariétal. L autre est postérieure; elle répond à la
partie
supérieure du lobe occipital. Nous lui donnerons
pital. Nous lui donnerons le nom de lobule occipital interne. Cette
partie
de la face interne de l'hémisphère, qui est situé
misphère, qui est située au-dessous de l'ouverture cérébrale et de la
partie
postérieure de la circonvolution des hippocampes,
ord supérieur de l'hémisphère. Nous nommerons, avec M. Foville, cette
partie
élargie lobule quadrilatère \ Au-dessous du gen
e ainsi, dans toute son étendue, l'ouverture de l'hémisphère; mais sa
partie
antérieure et sa partie supérieure appartiennent
étendue, l'ouverture de l'hémisphère; mais sa partie antérieure et sa
partie
supérieure appartiennent seules au lobe fronto-pa
sa partie supérieure appartiennent seules au lobe fronto-pariétal. La
partie
inférieure du pli, c'est-à-dire le corps godronné
ps godronné, est une dépendance du lobe temporal. Les relations de la
partie
supérieure de ce pli ont été bien connues des ana
à la base du lobule quadrilatère. Ce pli est superficiel et forme une
partie
du bord supérieur de la scissure des hippocampes.
s espèces ; ils sont un peu plus riches dans la Mone, surtout dans la
partie
frontale de l'hémisphère, que dans le Callitriche
issure des hippocampes. Cette scissure est toujours très-relevée à sa
partie
supérieure, en sorte que le lobule occipital inte
ens. En se développant ainsi, le lobule frontal s'est avancé vers les
parties
postérieures du cerveau; il a refoulé en arrière
re étant complètement oblitérée dans ce point, l'opercule manque à sa
partie
supérieure. Le deuxième pli de passage est à pein
isures secondaires ; 2" Que le deuxième pli ascendant présente à sa
partie
supérieure un indice de division compliquée ; 3
e la vie où le lobe frontal est le plus petit relativement aux autres
parties
du cerveau. La faiblesse relative des os maxillai
demeurent distinctes et complètes chez l'homme pendant la plus grande
partie
de sa vie ; cela ne se rattacherait-il pas comme
n sorte que, selon certains anatomistes, d'ailleurs fort habiles, les
parties
postérieures du cerveau apparaissent les dernière
lant en arrière dans le fœtus, ce n'est point seulement parce que les
parties
postérieures du cerveau ne se sont point développ
térieures du cerveau ne se sont point développées, mais parce que ces
parties
, grâce à l'atrophie des parties antérieures, ont
point développées, mais parce que ces parties, grâce à l'atrophie des
parties
antérieures, ont gardé leur place originelle et n
ont gardé leur place originelle et n'ont point été refoulées vers les
parties
postérieures. Nous remarquerons aussi que, si les
); la gracilité des plis ascendants et surtout du postérieur, dont la
partie
supérieure est très-courte; 3" la force du pli te
Le premier pli ascendant est très-large, mais un peu étranglé à sa
partie
moyenne ; le deuxième pli ascendant est faible à
moyenne ; le deuxième pli ascendant est faible à sa racine, mais à sa
partie
supérieure il se déve îoppe et forme un lobule
les. Le pli courbe est, en général, bien développé, surtout dans sa
partie
descendante, et il arrive assez fréquemment que l
us de méthode ; sa forme générale et les proportions relatives de ses
parties
sont, à coup sûr, mieux conservées. Je le choisir
ences; mais ces différences portent sur les proportions relatives des
parties
. Sous le point de vue de la grandeur totale du lo
obule frontal, il y a, à peu de chose près, égalité. Refoulé par la
partie
supérieure du lobule frontal, le premier pli asce
supérieure du lobule frontal, le premier pli ascendant est grêle à sa
partie
supérieure et un peu incliné en arrière (fig. 6,
vue, à une perfection plus grande, et cette perfection est due, en
partie
, à une précaution qu'on néglige trop souvent, et
gulière, qui tient à une sorte d'équilibre entre le développement des
parties
antérieures et celui des parties postérieures. Le
équilibre entre le développement des parties antérieures et celui des
parties
postérieures. Le point le plus élevé de cette cou
ieures. Le point le plus élevé de cette courbe répond à peu près à sa
partie
moyenne. Le lobule frontal est très-grand, mais
telle sorte que le lobule frontal est bien développé dans toutes ses
parties
. Le premier pli ascendant est grêle, flexueux,
autour de lui une courbe fort étendue. (Voy. 6. 6. 6'.) Quant à la
partie
descendante du pli courbe, elle est très-grêle, à
s, se ressemblent à certains égards, vivent à peu près dans les mêmes
parties
de la côte occidentale de l'Afrique, et les zoolo
. « Dans le Gorilla, la même dent est très-longue et présente, à sa
partie
postérieure, « un talon évidemment trilobé. « C
ébraux, cette importante question. Toutefois je pourrai suppléer en
partie
à ce qui me manque par l'étude approfondie de deu
dois à l'habileté et à la complaisance de M. Stahl, font aujourd'hui
partie
de la collection du muséum d'histoire naturelle d
le du cerveau, un aspect plus globuleux, plus arrondi dans toutes ses
parties
. Si nous comparons maintenant ce crâne de Chimp
élèves, pourrait avoir un double but: 1° Celui d'élever davantage la
partie
antérieure du corps dans la progression quadrupèd
istiques qu'elles puissent être, quand on compare les proportions des
parties
, laissent cependant subsister de telles analogies
s divisions principales, les mêmes lobes, les mêmes plis ; toutes les
parties
ne sont pas semblables, mais elles sont toutes ho
3. Le lobe temporo-sphénoïdal est d'une épaisseur médiocre, et les
parties
situées au-dessus de la scissure de Sylvius l'emp
nte le cerveau des Singes, mais il est beaucoup moins excavé. dans la
partie
qui correspond au cervelet. Plis cérébraux. — T
inférieur 3.3. est plus flexueux; il se jette un peu en dehors, à sa
partie
postérieure, et, s'arrondissant d'une manière plu
re le corps calleux, de l'angle inférieur du lobule quadrilatère à la
partie
moyenne du pli unciforme, et interrompt, dans ce
frontal, se dégradent de plus en plus à mesure qu'on marche vers les
parties
postérieures, en sorte que sur le lobule occipita
races d'âmes parlantes auxquelles Dieu a distribué la terre. Cette
partie
de mon travail sera, à mon grand regret, extrêmem
générales , il ajoute en parlant de l'Orang : rt Toutes les autres
parties
du corps, de la tête et des membres, tant intérie
ns les Sapajous, dans les Sagouins et dans les Ouistitis, TROISIÈME
PARTIE
. DESCRIPTION DES PLIS CEREBRAUX DANS LES SING
oins épais que le précédent, est divisé en deux plis secondaires à sa
partie
supérieure. 5° Le pli courbe est fort remarquab
ervations n'étant point complète, je n'ose dire absolument de quelles
parties
doivent être tirées les caractéristiques essentie
ascendant est assez grêle à sa racine; il n'est point subdivisé, à sa
partie
supérieure, comme celui des Atèles. D'ailleurs l'
rtie supérieure, comme celui des Atèles. D'ailleurs l'ensemble de ces
parties
rappelle assez bien la disposition des plis antér
-considérables. La scissure des hippocampes est très-profonde dans sa
partie
postérieure. Sa branche supérieure de bifurcation
tres, permettraient peut-être d'énoncer cette règle générale, que les
parties
qui doivent un jour dominer absolument apparaisse
on de ses éléments anatomiques, dans les relations réciproques de ses
parties
intérieures, et cependant il n'a point de plis. L
t au nombre de trois. P Le premier pli ascendant. Ce pli reçoit, à sa
partie
supérieure, l'extrémité du pli frontal supérieur.
l supérieur. 2" Le deuxième pli ascendant. Ce pli forme un coude à sa
partie
supérieure, se dilate plus ou moins, et se prolon
artient au lobe pariétal et une branche ascendante qui appartient, en
partie
, au lobe temporal. Les plis temporaux sont égal
lobe temporal et côtoie le bord inférieur de l'ouverture centrale. Sa
partie
postérieure, celle qui est derrière l'ouverture c
endiculaire interne. Nous appelons lobe fronto-pariétal toute cette
partie
de la face interne qui est située au devant de la
issure perpendiculaire interne et au-dessus du lobe temporal. Cette
partie
de la face interne qui est comprise en arrière en
Le second pli entoure celui-ci; c'est le pli de la zone externe. A sa
partie
postérieure, le pli de la zone interne se relève,
t la continuité de la scissure des hippocampes et sépare nettement la
partie
profonde de cette scissure de sa partie oblitérée
campes et sépare nettement la partie profonde de cette scissure de sa
partie
oblitérée. Sa disposition est telle, que les anth
, que les anthropotomistes ne font du pli de la zone interne et de la
partie
antérieure du pli temporal moyen qu'un seul pli e
qu'on passe à des êtres plus dégradés, elle se déplace, et passe des
parties
antérieures aux parties postérieures du cerveau.
plus dégradés, elle se déplace, et passe des parties antérieures aux
parties
postérieures du cerveau. Ainsi, dans des Singes
e cette scissure montre à quel point, dans ces derniers Primates, les
parties
postérieures du cerveau l'emportent sur les parti
ers Primates, les parties postérieures du cerveau l'emportent sur les
parties
antérieures. Toutes ces choses pourraient être
son groupe. On peut aisément apprécier ces relations en comparant les
parties
qui sont au-dessus de la scissure de Sylvius avec
ithèques, tandis que, dans les Ouistitis, l'atténuation porte sur les
parties
antérieures. Ces remarques confirment les observa
ultanément développés, contribueront également à l'agrandissement des
parties
postérieures du cerveau. Ainsi une grande saill
ui dura cinq ou six mois et se termina par un gonflement énorme de la
partie
supérieure de l'épaule, à la face postérieure du
s la salle de M. Morel-Lavallée, quia dû lui faire une inci¬sion à la
partie
postérieure de l'épaule. La cicatrice ne s'est pa
les souffrances avaient cessé quand, tout à coup, il est revenu, à la
partie
antérieure de l'épaule, un gonflement considérabl
omme le précédent, a abouti à un abcès. Cet abcès s'est ouvert sur la
partie
antérieure du moignon scapulaire, à 0m,04 au-dess
ous de l'acromion, et par conséquent un peu plus haut que celui de la
partie
postérieure qui était situé à 0m,05 ou 0m,06 de l
capulaire. Si vous découvrez l'épaule et que vous la regardiez par la
partie
antérieure, cette épaule gau¬che vous parait apla
-peu, mais donnent encore. Celle qui donne le plus, c'est celle de la
partie
antérieure. Je vais appli¬quer des noms à ces tro
, qu'il y a une corde qui mène le long de la coulisse bicipitale à la
partie
élevée du moi¬gnon. Cette fistule peut permettre
e jusque sur le bord antérieur du scapulum, et tantôt se déverse à la
partie
antérieure vers l'angle inférieur ; d'autres fois
sus cellulaires entre la face du deltoïde et la tête osseuse de cette
partie
jusqu'à la partie antérieure du muscle sur le bor
tre la face du deltoïde et la tête osseuse de cette partie jusqu'à la
partie
antérieure du muscle sur le bord postérieur. Le
est presque complè¬tement atrophié ou transformé. Il est collé sur la
partie
externe de l'articulation, et il est infiniment p
cavité glénoïde. Quand donc vous voulez explorer, avec le stylet, la
partie
raaiade, il suit un trajet parallèle à l'humérus,
os ne présente pas une demi-sphère parfaitement arrondie, comme à la
partie
supérieure de ce que l'on nomme col chirurgical,
nous permet de sentir que l'os a perdu sa régularité arrondie; qu'une
partie
est irrégulière et a diminué de volume. Il y a, c
e a été minée par la suppuration, et que, par con¬séquent, une grande
partie
des tissus qui la composaient a été dis¬soute, po
ent considérable comme les arthrites, par un énorme gon¬flement de la
partie
postérieure, suivi d'un abcès, après lequel il y
est formé un nouvel abcès. Enfin, il y a eu un troisième abcès à la
partie
postérieure de l'épaule. C'est ainsi que se compo
rticulaire. Effectivement, comme je l'ai dit, elle s'est ouverte à la
partie
antérieure sur le bord postérieur du muscle delto
¬pulo-humérale, le pus fuse dans la gaine, et alors on trouve dans la
partie
antérieure de l'épaule une tumeur longue, fluctua
Notre malade a une ostéite, et de plus il a des séquestres dans la
partie
centrale de l'os, et ces séquestres constituent c
de que l'humérus. On a vu quelquefois l'arthrite s'étendre jusqu'à la
partie
profonde de l'a-cromion et jusqu'à l'apophyse cor
, qui peut compromettre son existence, mais nous lui restituerons une
partie
de la mobilité de son membre. L'opération me para
n dans le creux de l'aisselle, l'artère peyt avoir été entraînée à la
partie
inférieure. Ici il n'y a rien ; j'ai exploré celt
j'ai exploré celte artère ; elle est à sa place ; nous l'aurons à la
partie
postérieure et interne ; nous ferons attention, m
r 1869, sur une primipare qui portait une mamelle supplémentaire à la
partie
infé¬rieure de la mamelle gauche. Dans ce cas,
la croûte et de l'em¬plâtre. Enfin si, par une cause quelconque, une
partie
de la tache érectile a échappé à l'action du méla
de la bouche1. Enfin, M. Batenian recommande un mélange formé d'une
partie
de tartre stibié si la tumeur est peu épaisse, de
é d'une partie de tartre stibié si la tumeur est peu épaisse, de deux
parties
dans le cas contraire, et de deux parties de rési
ur est peu épaisse, de deux parties dans le cas contraire, et de deux
parties
de résine. 11 étend le mélange sur du cuir mince
curieux : Alice-Charlotte IL., avait vingt-cinq nœvi sur différentes
parties
de la tête, du tronc et des membres; tous furent
e celle de l'adulte ; mais nous savons aujourd'hui que la chaleur des
parties
centrales reste à peu près la même à tous les âge
and écart. La température extérieure s'abaisse^ tandis que celles des
parties
centrales s'élève, et la différence peut atteindr
culaires, viscérales, etc.). Les propositions suivantes ré¬sument, en
partie
, les leçons, dont nous venons d'indiquer l'objet
ologique de la goutte et du rhumatisme est minutieusement exposée, la
partie
clinique qui intéresse tant et à si juste titre l
istique et, partant, celle de la tumeur épithéliale, sur une certaine
partie
des tissus voisins ; mais du côté de la prostate,
uand on est arrivé à mobiliser la tète, un aide la fait sortir par la
partie
antérieure en portant le coude en arrière. Lorsqu
r Nélaton, suppléé en ce moment par M. Dolbeau. Deux abcès, l'un à la
partie
antérieure de l'aisselle, l'autre à la partie sup
. Deux abcès, l'un à la partie antérieure de l'aisselle, l'autre à la
partie
supérieure, postérieure et externe du bras, furen
se forma une fistule au niveau du bord axillaire de l'omoplate, à la
partie
supérieure. Au moment où le malade entra à la P
ntinuelles, surtout au moindre mouvement. Deux fistules, situées à la
partie
postérieure de l'épaule, donnaient issue à un sui
sont volumineuses. Les oreilles, déjetées en dehors, re¬pliées à leur
partie
supérieure, touchent presque les épaules. Les pau
ns de la température ont été notées, étant assez rares, nous 1 A la
partie
inférieure de la même planche et sur la ligne méd
e ne se modifient pas, sauf qu'il apparaît une sonorité exagérée à la
partie
antéro-supérieure du pou¬mon gauche, ce que l'on
aperçoit quelques brides entre la face externe du poumon droit, à sa
partie
antérieure, et la paroi thoracique. A gauche, p
roi thoracique, excepté au niveau de la gouttière vertébrale et de la
partie
la plus supérieure de cette face externe. En ou
stale. La cavité béante à la superficie du poumon était située à la
partie
inférieure du lobe supérieur. Celui-ci était très
la bronche gauche de bifurcation de l'artère pulmonaire. Enfin, la
partie
inférieure restant de ce lobe non envahie par la
primées ; des coupes de l'en¬céphale, pratiquées en commençant par la
partie
supérieure des hémisphères, permettent de recon
Dans le corps strié gauche, il existe un ancien foyer qui occupe sa
partie
externe et la substance blanche environnante ; so
uleux dans les cor¬dons postérieurs, et plus particulièrement vers la
partie
supérieure de la région dorsale ; quelques corps
réduire en un format plus restreint. L'ouvrage est divisé en trois
parties
: la première comprend la Pathologie générale chi
rganes ; la troisième traite des Maladies des régions. De ces trois
parties
, les deux premières et le commencement de la troi
du savoir. —Par la force des choses, nous sommes amenés à signaler la
partie
du volume qui traite des maladies des yeux comme
x comme une difficulté heureusement vaincue ; plus élémentaire que la
partie
correspondante de l'ouvrage de M. Fano, celle-ci
de se casser. Depuis lors, les dents, du côté gauche, et l'os dans la
partie
correspondante se sont renversés en dedans. Auj
ne rougeur ni altération quelconque et glisse très-facilement sur les
parties
qu'elle recouvre. On voit sortir de la bouche,
n pour dénuder complètement la tumeur. Le maxillaire est séparé des
parties
molles qui le recouvrent; la première molaire dro
de l'al¬véole était complètement rebouchée, mais encore qu'une grande
partie
de celte excroissance dépassait le niveau de la c
tte dernière de la mâchoire; elle se renversa ensuite en de¬dans à la
partie
interne du bord alvéolaire inférieur; là, n'éprou
emarquc-t-on que la peau en est tendue, lisse, luisante et dure. A sa
partie
moyenne, on remarque les vaisseaux capillaires in
es deux tiers de l'ouverture de la bouche et s'avance au niveau de la
partie
antérieure des lèvres, en les éloignant l'une de
entaire inférieure et vient, par un pro¬longement interne, remplir en
partie
la cavité buccale, déplacer la langue, qui se tro
ndre en cuivre est de 5 centimètres de diamètre, ouvert et creux à sa
partie
supérieure, fermé en bas par un disque dont le ce
e par sa capillarité jusqu'au contact du papier. Cette plume est la
partie
qui m'a coûté le plus de travail et de recherches
ment qui, h la loupe, nous a paru être la tête. Nous avions mis cette
partie
de côté pour l'examiner au mi¬croscope et, par in
cerveau est en prépara¬tion. M. Witkowski nous a montré cette seconde
partie
de son tra¬vail, et nous sommes remplis d'admirat
re empreinte sur la rétine et sur le corps vitré. Je dis sur ces deux
parties
de l'œil, car l'une est corrélative de l'autre, d
hotographie. J'écartais l'humeur vitrée et tout ce qui constituait la
partie
antérieure de l'œil. Je fixais la pièce sur une c
ans sa position normale, c'est-à-dire sapartie supérieure en haut, sa
partie
inférieure en bas. r0 l'image de la tête du chi
une échelle bien exacte), pour les confronter plus tard avec d'autres
parties
semblables qui pourraient être retrouvées. On s
ne fois de plus au secours de la société. DERMATOLOGIE ECZÉMA DES
PARTIES
GÉNITALES PAR A. DE MONTMÉJA Dans les auteurs
de trois lésions différentes, l'intertrigo, Vec¬zéma et le iichen des
parties
génitales. Ces descriptions appartiennent à autan
oppement de cet érythème ; le siège de l'affection au voisinage des
parties
génitales sollicite d'une manière spéciale l'appa
montre réfractaire à toute sorte de traitement l'eczéma invétéré des
parties
génitales : cette affection procède par poussées,
ion de décrire ici, d'une façon com¬plète, l'histoire de l'eczéma des
parties
génitales; nous n'avons écrit les lignes qui préc
première fois, et, malgré toutes sortes de précautions (isolement des
parties
malades, lotions astringentes, poudre de riz) il
îmes prendre des bains amidonnés ; chaque soir, il appliquait sur les
parties
malades un cataplasme de fécule, et, le jour, il
alades un cataplasme de fécule, et, le jour, il saupoudrait ces mêmes
parties
avec de la poudre de riz. Au bout d'un mois, l'am
assister à l'évolution des trois formes que peut revêtir l'eczéma des
parties
génitales, a été observé par nous sur un ingénieu
'aine gauche, sur la face interne de la cuisse du même côté et sur la
partie
correspondante du scrotum; à nos questions il rép
était celle du scrotum tout entier, du pli de l'aine gauche et d'une
partie
de la verge. M. R... se soumit à un traitement ri
point qui touche à l'obésité : très-sujet!e à l'intertrigo en maintes
parties
replètes de sa personne, cette dame est atteinte
p peu nombreuses que nous offre la phy¬siologie. Comme cette première
partie
n'a rien de bien particu¬lièrement intéressant, n
épendants à partir de l'an¬neau ombilical; le cordon était situé à la
partie
inférieure et au centre de l'abdomen commun. Les
és, étaient d'une dimension égale chez l'un et l'autre individu. La
partie
cervicale était le siège de singulières anomalies
le tête surmontait ces deux corps ; la face était tournée sur une des
parties
latérales et offrait un bec-de-lièvre double avec
ée occupait chacun des côtés du visage, et l'occiput portait, dans sa
partie
moyenne, deux autres oreilles juxtaposées et quel
un volume monstrueux plus frappant encore à cause de l'atrophie de la
partie
supérieure. Les orteils sont méconnaissables. Sur
sécurité que lui procure cette immobilité absolue qui a supprimé, en
partie
, ses douleurs. A côté de cet avantage, nous voyon
aug¬mente sans cesse cette tuméfaction monstrueuse des pieds et de la
partie
inférieure delà jambe; aussi croyons-nous que, de
Tillaux sur ce malade. une sorle de pcrtuis qui existe encore à la
partie
supérieure de la paume de la main. Au bout de deu
la cicatrice est visible à la face antérieure de l'avant-bras et à la
partie
inférieure de cette face. Le bistouri donna issue
aspect que celle qui suinte actuellement par le trou qui existe à la
partie
su¬périeure de la paume de la main. Sur ces entre
exactement de la face palmaire, cette gêne est due au gonflement des
parties
mol¬les de la paume. Il n'y a pas de diminution
gênedans les mou¬vements et de la non-extension de l'inflammation aux
parties
sous-jacentes, soit et surtout à cause de l'état
est expulsé avec cette par¬ticularité qu'il est toujours noué vers la
partie
moyenne de son corps. Le tœnia n'est presque jama
C'est en effet la suture des os et leur ligature qui constituent la
partie
originale du livre. Ces questions n'ayant pas enc
ion et la résection tibio-tarsien-nes. Les essais de conservation des
parties
séparées accidentelle¬ment du corps, au moyen de
ons le dessin, plan¬che XVI. Sa pupille était fendue en bas et à la
partie
inférieure de l'ouver¬ture pupillaire; on voyait
rane de cataracte capsulaire. Cette tache, * ANNÉE. 6 située à la
partie
inférieure, laissait cependant apercevoir la pupi
la partie inférieure, laissait cependant apercevoir la pupille et une
partie
de la rétine, ainsi que le coloboma de la choroïd
, ainsi qu'on peut le remar¬quer, quelques vaisseaux seulement sur la
partie
qui correspond au coloboma de la choroïde. La pup
é de. 49 ans, durant une attaque d'épilepsie, se fit une brûlure à la
partie
inférieure de la jambe droite. L'eschare n'a¬vait
al, le 9 mars dernier. L'eschare était dure et sèche, noire dans la
partie
externe de son étendue. Sa puissance de rétractio
le sphacèle devint évident et le membre se dessécha complètement. Les
parties
molles vivantes se séparèrent des parties saines,
dessécha complètement. Les parties molles vivantes se séparèrent des
parties
saines, le sillon d'élimination s'élargit et arri
était d'une couleur brune foncée, complètement sec, si ce n'est à sa
partie
supérieure, où la section des parties profondes q
mplètement sec, si ce n'est à sa partie supérieure, où la section des
parties
profondes qui était restée constamment en contact
n de M. filiaux, chirurgien de Saint-Antoine, pour une gangrène de la
partie
inférieure de l'avant-bras, à la suite de l'appli
n des organes génitaux chez une femme; — absence de l'utérus et de la
partie
supérieure du vagin; — trompes et ovaires bien co
externe de l'urèihre est refoulé au fond de cet infundibulum, et à sa
partie
su¬périeure ; au-dessous de lui, on aperçoit une
es princi¬palement à droite, où des brides fibreuses s'étendent de la
partie
supérieure de l'ovaire jusqu'au point qui corresp
cond n'en avala qu'une gorgée. Les deux autres prirent la plus grande
partie
du liquide, qui n'était autre qu'une solution de
tremblements, les spasmes diminuent. Mort à 10h45. Dans la première
partie
de l'expérience, l'animal a reçu 16 milli¬grammes
s'est remis des accidents toxiques qu'il a éprouvés ; dans la seconde
partie
, nous lui avons injecté 16 milligrammes d'extrait
ait beaucoup plus faible du côté droit qui, dans la marche, repose en
partie
sur le sol. — 7b10 : Y hémiplégie droite est très
ée, épanchement de sang dans les muilles de la pie-mère, qui revêt la
partie
antérieure etmoyennede la convexité de Y hémisphè
tropion de la paupière inférieure ; 5° une opacité cachant une grande
partie
de la cornée, de sorte que la vision est à peu pr
omener ; la nutrition s'est mieux opérée ; les scrofulides se sont en
partie
cicatrisées. Afin d'éviter des répé¬titions fasti
à droite, où les ulcérations auraient été plus profondes, occupent la
partie
inférieure des tempes, les pommettes et les joues
éloïde. Ces cicatrices n'ont pas niodilié sensiblement la forme des
parties
qu'elles occupent. 11 est loin d'en être de même
eux peu profonds, au talon, au-dessous de la malléole interne, sur la
partie
moyenne et dorsale du quatrième métatarsien. —h
: son extrémité libre est arrondie, pourvue d'un fragment d'ongle; sa
partie
adhérente au métatarsien simule un pédicule plat,
s périostilcs, des ostéites. Ces altérations osseuses ont détruit une
partie
des pha¬langes qui sont sorties par des trajets f
peine obstacle à la vue et aux mouve¬ments du cœur, dont les diverses
parties
se dessinent sous la peau. En présence de tous
62; T. V. 57°,5. 26. P. 68 ; T. V. 37°,8. — Soir : seins durs à la
partie
inférieure ; lait jaune, épais. P. 80; T. V. 37°,
progrès que le scalpel et le microscope avaient fait faire aux autres
parties
de la science. Il suffit, en effet, dejeter un co
g; il n'est pas tout entier consacré à la pathologie, car chacune des
parties
qui le composent (maladies de l'oreille externe,
ammation et aux blessures de la membrane du tympan, et arri¬vons à la
partie
capitale de l'ouvrage, aux maladies de l'oreille
e détruire l'erreur. Trois propositions peuvent résumer la première
partie
de ce travail : I. Les angines aiguës ou graves
es de physiologie et de pathologie générales. Aussi, dans une seconde
partie
, s'occupe-t-il de la contagion, de l'infection, d
ues de chaque côté réunirent les bords latéraux du lobule médian à la
partie
supérieure de la lèvre avivée, et deux autres, in
liques furent successivement enlevés. A ce moment, réunion solide des
parties
profondes de la plaie ; mais, à la superficie, su
laie ; mais, à la superficie, sup¬puration, ulcérations au niveau des
parties
accolées, aspect diph-théritique.—Badigeonnages a
e sa face antérieure, 25 centimètres, en haut, et 20 centimètres à sa
partie
moyenne. Cette face antérieure n'offre aucune sai
lie, aucune bos¬selure anormale. — La face postérieure du foie est en
partie
recou¬verte par le rein droit, et sur les 28 cent
s mâchoires et en même temps une douleur assez intense dans ces mêmes
parties
. Au bout de trois jours, apparurent les con¬tract
du professeur, des affections de la peau. On trouve dans chacune des
parties
qui le composent, à côté de doc* trines plus ou m
entendre. Reconnaissons néan¬moins les grands services rendus à cette
partie
de la médecine par nos dermatologistes et le gran
a pression brusque d'une roue de voilure qui surprend obliquement les
parties
et tourne un peu autour d'elles est la cause la p
faits que nous allons reproduire. Ces faits n'ayant été insérés qu'en
partie
dans les travaux que nous venons d'indiquer, nous
érieurs. Parfois, de deux en deux jours environ, démangeaisons sur la
partie
antérieure de la poitrine, des avant-bras, des cu
Marche impossible; la force musculaire des membres inférieurs est en
partie
conservée. La sensibilité au toucher est très-dim
ras enflé depuis l'épaule jusqu'au coude, du côté droit, ainsi que la
partie
supérieure de l'avant-bras. Toutefois elle déclar
mais principalement au niveau de l'épaule. Le creux axillaire est en
partie
comblé. L'épaule est arrondie, les régions sus et
ations veineuses. La pression du doigt ne laisse aucune trace sur les
parties
tuméfiées, qui sont parfaitement exemptes de doul
sent au-dessous des téguments la tête de l'humérus, irrégulière et en
partie
détruite. Octobre 1870. L'aspect général de la
te qu'à gauche; mais le muscle deltoïde droit, principalement dans sa
partie
antérieure, ne se contracte que d'une manière trè
antérieure, ne se contracte que d'une manière très-douteuse ; dans sa
partie
postérieure on n'aper¬çoit que de légères contrac
e faire allusion, il existait une dilatation assez considérable de la
partie
supérieure de l'uretère du côté malade, dilatatio
ion cal-culeusedu rein. A l'autopsie, on trouva cet organe détruit en
partie
par la suppuration ; au milieu du pus nageaient p
et et lecalice : tantôt ils se moulent exactement à la surface de ces
parties
; d'au¬tres fois ils s'allongent et s'engagent plu
orps répan¬dus sur le sol de l'Egypte, " ce qui irrite et fatigue les
parties
sen¬sibles de l'œil, » l'usage immodéré des lique
qui a été émise et qui veut que l'ophthal¬mie soit uniquement due aux
parties
salines entraînées par le vent et contenues dans
Bertrand apprit que le matin, à 4 heures, elle s'était donné, sur la
partie
inférieure et externe de la jambe droite, 1 Du
it tombée à 56°,6 et le pouls à 76. Nous terminerons cette première
partie
de notre travail par un résumé succinct des trois
idérations générales qui nous parais¬sent ressortir de cette première
partie
de nos recherches cliniques, nous allons dire un
de. Une sonde pénétrait avec facilité dans les deux cols utérins. Les
parties
génitales externes n'offraient rien de particulie
l'utérus dans les hémorrhagies de cet organe. Il se com¬pose de trois
parties
: Anatomie, Physiologie, Pathologie. L'anatomie e
st résulté une cicatrice vicieuse. Cette cicatrice se compose de deux
parties
: la première, en forme de collier, com¬mence à 2
chéloïde. Voici maintenant quelle est la disposition de la seconde
partie
de la cicatrice. De la portion horizontale que no
seulement la région de l'épaule, mais encore le bras, le coude et une
partie
de l'avant-bras. La planche XXV, faite d'après un
271/2 — 29 — Circonférence immédiatement au-dessous de la tumeur (
partie
supérieure du tibia)......27 — 25 — " Du côté d
s ; infiltration du tissu cellullaire des fesses, des lombes et de la
partie
inférieure et postérieure du thorax, et enfin de
x sont très-volumineux : le droit a 45 centimètres de 1 Toute cette
partie
de l'observation a été recueillie par M. Joffrot
double fracture de l'extrémité inférieure du radius, avec plaie à la
partie
antérieure du poignet gauche. % juillet. Trismu
auquel M. Demarquay a enlevé une tumeur fongueuse développée dans la
partie
profonde du mollet-Vers le neuvième jour après l'
tion légère des poumons. — Caillots blancs, jaunâtres, remplissant en
partie
les cavités du cœur droit. L'abdomen renferme un
118,188. Brûlure (Gangrène du pied droit con¬sécutive à une) de la
partie
infé¬rieure de la jambe, par A. de Mont¬méja, 122
ules (E.), 49. Desphès (Ar.j, 121. Duflay (S.), 169. E Eczéma des
parties
génitales, par A. de Montméja, 82. Elephantiasi
du cerveau, du cervelet et de l'isthme de l'encéphale. La première
partie
de ce nouveau travail sur le système nerveux cent
aux rapports et aux connexions qu'ils ont entre eux (1). La seconde
partie
a pour objectif la description iconographique de
GAVOY. ¦ 1er Mai 1886. STRUCTURE de L'ENCÉPHALE PREMIÈRE
PARTIE
DESCRIPTION GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX — APPAR
REIL DE L'INNERVATION L'appareil de l'innervation est formé par une
partie
centrale, le système nerveux cérébro-spinal, nomm
ystème nerveux cérébro-spinal, nommé aussi centre nerveux, et par une
partie
périphé-rique ramifiée, rayonnée du centre vers l
érébelleux. Au trou occipital, il prend le nom de moelle épinière. La
partie
encéphalique donne naissance aux nerfs crâniens;
inière. La partie encéphalique donne naissance aux nerfs crâniens; la
partie
spinale émet, à travers les trous de conjugaison
se et envoie des prolongements qui séparent, cloisonnent les diverses
parties
de l'encéphale. Le plus étendu de ces prolongem
e seulement à la surface de l'encéphale, elle en contourne toutes les
parties
, mais en passant au-dessus des scissures, des sil
e l'encéphale, elle en suit toutes les ondulations, s'engage dans les
parties
rentrantes, recouvre les parties saillantes. Cons
s les ondulations, s'engage dans les parties rentrantes, recouvre les
parties
saillantes. Constituée par du tissu cellulaire fi
libres par la masse cérébrale, tandis que le cerveau se porte vers la
partie
la plus déclive (1). L'encéphale comprend donc
férentes attitudes de la tête {Journal l'Encéphale, 1885). DEUXIÈME
PARTIE
DESCRIPTION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA SUBSTA
ivant un plan,constant. Cette substance grise est plus abondante à la
partie
postérieure qu'en avant. A l'œil nu on aperçoit
u sommet se con-fondent avec le réseau des petites cellules, ceux des
parties
latérales se rendent d'une cellule à une autre et
le ascendantes, dans celles du lobule paracentral, on trouve, dans la
partie
inférieure seulement de la couche à cellules, des
marqué à la surface externe que les précédents, occupante peu près la
partie
moyenne ; c'est le tubercule moyen. Arnold en a d
strié sous le nom de noyau caudè ou nucleus caudatus (Pl. X, 5). La
partie
externe du corps strié est plus volumineuse que l
il est désigné sous le nom de putamen (Pl. XXIV, 8 et XLII, 2). La
partie
antérieure du noyau lenticulaire n'est pas complè
orps strié; de petites traînées de substance grise réunissent dans la
partie
inférieure ces deux portions de la même masse.
régions qu'elles relient. Ces anses sont généralement situées à la
partie
superficielle de la substance mé-dullaire, vers l
fin un faisceau, les fibres arciformes occipito-frontales unissent la
partie
postérieure du lobe frontal à la partie supérieur
ccipito-frontales unissent la partie postérieure du lobe frontal à la
partie
supérieure du lobe sphénoïdal et au lobe occipita
se les circonvolutions de l'insula, traverse l'avant-mur et forme une
partie
de la substance innommée (Pl. XXVIII, 4). La di
e d'association des cellules nerveuses corticales. Elles unissent les
parties
diverses d'un hémisphère à leur homo-logue de l'h
ra-ventriculaire et le noyau eœtra-ventriculaire, et vont aboutir aux
parties
des noyaux opto-striés qui leur correspondent (PL
n de chacune de ces régions (1). On verra plus loin, en effet, qu'une
partie
des fibres spinales pénètrent de même dans la cap
ner leurs destinations respectives dans les noyaux opto-striés. Une
partie
pénètre dans la couche optique; les fibres s'effi
nes atteignent jusqu'à la paroi du troisième ventriculaire. L'autre
partie
se détache du faisceau principal, se sépare en de
ments blanchâtres curvilignes. L'autre plonge verticalement dans la
partie
supérieure du noyau lenticulaire sous forme de la
sur la face externe du noyau lenticulaire du corps strié, gagnent les
parties
postérieures de la couche optique en formant une
de sa péri-phérie, les fibres convergentes qui naissent des diverses
parties
de la substance cor-ticale du cervelet. Elle émet
cules inférieurs, constituent un faisceau, nettement distinct sur les
parties
latérales et anté-rieures du cervelet, qui se dir
stance grise décrite par Stilling sous le nom de noyaux rouges. Une
partie
des fibres des pédoncules cérébelleux supérieurs
deux colonnes pyramidales forme la commissure grise de la moelle. Sa
partie
antérieure renferme sur la ligne d'axe le canal c
e, dissociée, subit par suite différentes dispositions des diverses
parties
de sa masse qui changent sa forme; elle apparaît
fléchissent en arrière et en haut; les cordons latéraux se portent en
partie
en avant et en dedans. Dans ce mou-vement ils pén
antérieures [formation réticulée de Deiters) qu'ils séparent en deux
parties
, s'entre-croisent sur la ligne médiane, se redres
en dedans ; ils sectionnent également les cornes postérieures en deux
parties
, s'entre-croisent sur la ligne médiane, s'accolen
que le canal central de la moelle se rapproche de plus en plus de la
partie
postérieure et finit par se trouver à découvert a
fortement rejetée en dehors, atteint même la région superficielle des
parties
latérales du bulbe où elle apparaît sous l'aspect
ans la boucle ou genou, le fasciculus teres, que forme le facial à la
partie
moyenne du sillon médian du plancher du quatrième
Sylvius une disposition cordi- forme. Dans les angles arrondis delà
partie
supérieure, elle renferme, de chaque côté de la l
nce aux fibres radiculaires du nerf pa-thétique. Vers la pointe de la
partie
inférieure se trouve un second amas de cellules m
ne gélatineuse qui fait suite au tubercule cendré de Rolando, dans la
partie
latérale externe du bulbe, entre l'olive bulbaire
bstance grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypoglosse sur les
parties
latérales du bulbe, en arrière du noyau juxta-oli
re externe, en avant du noyau antéro-latéral des nerfs mixtes. A la
partie
antérieure et latérale du bulbe, trois ou quatre
xtes forment une petite colonne grise, nettement circonscrite sur les
parties
latérales de l'angle inférieur du plancher du qua
s. Cet amas de cellules fort allongé constitue successivement, dès sa
partie
la plus inférieure, le noyau du spinal ou accesso
ennent leur origine dans la substance grise des angles externes de la
partie
moyenne du plancher du quatrième ventricule, cara
, tournée en dedans, embrasse la substance gélatineuse, tandis que la
partie
convexe, d'abord superficielle, est, plus haut, r
nal central après la décussation des cordons de la moelle, forme à la
partie
supérieure de l'aqueduc de Sylvius deux intumesce
u septum lucidum. Le tuber cinereum renferme de chaque côté sur ses
parties
latérales, au-dessus de la bandelette optique, un
donculaires ; ils n'affectent que des rapports de contiguïté avec les
parties
qui les environnent; l'externe est beaucoup plus
ntinuité de la substance grise centrale médullaire, on trouve dans la
partie
encéphalique du névraxe de véritables noyaux de s
lier dans les fonctions de l'innervation encéphalique. § 1. Dans la
partie
antérieure et supérieure du bulbe, on rencontre u
olives, la substance grise forme un amas ovoïde considérable dans la
partie
antérieure de la protubérance. Ce volumineux noya
s appellerons corpus Luysii, a une forme semi-lunaire, renflée à sa
partie
médiane. Il est formé par un tissu dense et cohér
ine ensuite obliquement en haut et en dehors, et se fusionne avec les
parties
latérales internes du pédoncule cérébelleux infér
met du bulbe, la portion motrice des pyramides occupe les côtés de la
partie
antérieure du raphé médian; la portion sensitive
ensitive; il est en con-tact en arrière avec la substance grise de la
partie
supérieure du plancher du qua-trième ventricule,
gagner le sommet de la pyramide que forme le noyau lenticulaire; une
partie
pénètre dans cette masse grise et s'étale en éven
, à travers les noyaux jaunes jusqu'au putamen (PL V; XLIII). L'autre
partie
beaucoup plus abondante se dirige vers la face in
s le corps strié et le noyau lenticulaire. Un faisceau, situé vers la
partie
externe de cette portion du pédoncule, se porte e
moelle, portion sensitive des pyramides, se dirigent en haut vers la
partie
correspondante de la face inférieure de la couche
ssocient en atteignant les parois latérales de la protubérance. Une
partie
s'étale sous forme de courbes superfi-cielles à l
e la protubérance, s'entre-croise en avant au sillon médian ; l'autre
partie
s'insinue à travers les fibres ascendantes, s'ent
e-ment dirigée d'avant en arrière et de haut en bas, s'attache sur la
partie
moyenne de la tente du cervelet. Elle renferme da
emine sur la paroi postérieure du pharynx. Le sphénoïde continue la
partie
antérieure de l'apophyse basilaire de l'occipital
2. — Face interne de l'hémisphère gauche, plane, verticale, isolée en
partie
de la face interne de l'hémisphère droit par la f
t forme avec la gouttière basilaire le trou ovale de Pacchioni. Les
parties
latérales de chaque hémisphère sont convexes et r
alleux, se dirige du bec vers le chiasma (7) et ensuite en dehors. La
partie
postérieure du corps cal-leux, épaisse et arrondi
n arrière, dont le sommet est à la tige pituitaire. Il est fermé à la
partie
postérieure par la commissure blanche postérieure
pinéale ou conarium (12) que recouvre la toile choroïdienne (13). La
partie
antérieure est close par la commissure blanche an
quadrijumeaux, c'est la valvule de Vieussens (14). Elle recouvre la
partie
supérieure d'une cavité comprise entre le cervele
ide interne, irrigue la face inférieure du lobe frontal et une grande
partie
de la face interne de l'hémisphère. Elle fournit
la première se rend à la circonvolution du crochet, la deuxième à la
partie
inférieure du lobe sphénoïdal, la troisième (d) a
t horizontal, qui gagne l'extrémité postérieure du lobe occipital. La
partie
anté-rieure du ventricule latéral est nommée corn
ntérieures et inférieures redressées, concourant à la formation de la
partie
antérieure de la capsule interne. 3. — Point de
tent en haut. Dans la sub-stance médullaire apparaît la section de la
partie
antérieure et interne de la substance grise de la
leux. 1. — Fibres commissurantes des régions antérieures formant la
partie
réfléchie du corps calleux. Elles décrivent une a
eure, passant au niveau de la région moyenne du noyau caudé. 1. —
Partie
antérieure ou réfléchie du corps calleux formée p
ibres commis-surantes des régions antérieures des hémisphères. 2. —
Partie
postérieure ou bourrelet du corps calleux formée
f (9, Pl. XII), parcourt toute l'étendue du sillon et va aboutir à la
partie
antérieure et externe du tubercule anté-rieur ou
gions postérieures sont groupées en un gros faisceau qui aboutit à la
partie
postérieure de la couche optique et se distribue
outit à la partie postérieure de la couche optique et se distribue en
partie
dans le pul vinar. La face supérieure des couch
rd externe est en rapport avec le plexus choroïde qui les recouvre en
partie
. L'extrémité postérieure de chacune de ces bandel
s noyaux opto-striés. Le trajet des fibres cortico-thalamiques est en
partie
interrompu par la section qui met à découvert une
lutions de l'insula. Les fibres commissurantes forment en avant, la
partie
antérieure du corps calleux ; en arrière est une
ns moins grandes que celui de la planche précédente (6, Pl. XX). A sa
partie
antérieure est le tœnia semi-circularis qui le sé
axe du lobe occipital, contourne la cavité sphénoïdale et se jette en
partie
dans la région postérieure de la couche optique.
faisceau des fibres convergentes postérieures plonge et s'épanouit en
partie
dans sa masse. Le fascicule antérieur de ce faisc
stérieurs (testes). Ces quatre saillies mamelonnées sont situées à la
partie
postérieure du ventricule moyen, au-dessus de l'a
aisceau des fibres convergentes des régions pos-térieures se jette en
partie
dans la région postérieure de la couche optique;
iane, mettent ces deux lobes en connexion. Cette section a atteint la
partie
antérieure {luette) (23) et la partie postérieure
ion. Cette section a atteint la partie antérieure {luette) (23) et la
partie
postérieure (24) de l'émi-nence médiane inférieur
es de Stilling. Ce petit noyau a une forme semi-lunaire, renflée à sa
partie
médiane. Il émet par son bord antéro-externe des
l'intérieur de la substance grise. 20. — Section transversale de la
partie
supérieure de la commissure blanche antérieure. O
e du ganglion olfactif, elles se groupent en un faisceau qui gagne la
partie
postérieure du sillon intermédiaire au corps stri
bstance grise, recouvert d'une écorce de substance blanche, formée en
partie
par les fibres des piliers antérieurs du trigone,
irect. La section a enlevé, en avant du prolongement occipital, une
partie
de la cloison postérieure du ventricule latéral.
ue, en bas, la cavité du quatrième ventricule. Le bulbe rachidien, en
partie
recou-vert par les lobes cérébelleux, se prolonge
du bourrelet, on aperçoit la section des bandelettes géminées. Une
partie
de la région postérieure de la couche optique est
ubercules sont plus petits que les précédents ; ils envoyent, de leur
partie
externe et supérieure, un cordon qui se dirige en
aenia semi-circularis (3, PL XXXVI). Le centre postérieur occupe la
partie
interne de cette région de la couche optique; les
lus grandes dimensions ; le centre médian n'est représenté que par sa
partie
la plus antérieure. Les noyaux rouges sont égalem
es ne sont plus en continuité avec les cordons postérieurs enlevés en
partie
par la coupe. Sur les côtés, apparaissent la corn
pport par sa face inférieure avec le faisceau de Vicq-d'Azyr, dont la
partie
postérieure est détachée par la section. Le centr
ononcées, et une branche de la cérébrale postérieure qui se rend à la
partie
inférieure du lobe sphénoïdal. XLVI, Coupe vert
stance grise du tuber cinereum ou corps cendré. 17. — Section de la
partie
inférieure du pilier antérieur du trigone, dans s
x opto-striés et atteignent la capsule interne, constituée en majeure
partie
par les fibres convergentes des régions antérieur
de la cloison transpa-rente les réunit. Ces faisceaux constituent la
partie
en crochet ou bec du corps calleux (voir Pl. II).
.... vi STRUCTURE DE L'ENCÉPHALE........ . ........... 1 PREMIÈRE
PARTIE
. — DESCRIPTION GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX. APPAR
Substance blanche, substance grise.................... 5, DEUXIÈME
PARTIE
. — DESCRIPTION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA SUBSTA
le a une longueur de 5o centimètres, une circonférence de 49 dans les
parties
les plus grosses et de 3o centimètres seulement a
la taille périnéale. Un aide agenouillé en face de lui soutenait les
parties
dans la position horizontale. Le chirurgien, de
che entièrement du périnée. Il existe alors une vaste plaie dont la
partie
supérieure est occupée par la verge complètement
ctobre. Pendant ce laps de temps on vit apparaître une phlyctène à la
partie
inférieure de la tumeur, une autre à sa face exte
asse^ solide et ressemblant à une grappe, dont la queue « tenait à la
partie
antérieure du canal de la trachée. Le même « obse
la « Charité, un larynx dont l'ouverture supérieure était en « grande
partie
obstruée par une végétation blanchâtre mame-« lon
Fauvel. Régénération de la cornée, après destruction complète d'une
partie
de cette membrane. M. G..., âgé de trente-huit
teint d'une destruction presque complète de la cornée : dans toute la
partie
centrale l'iris paraissait à nu; c'est seulement
égénération, était remplacée par un tissu tout à fait opaque dans les
parties
centrales, et présentait autour de ce leucôme cen
convexe, des caractères de moyenne grosseur. L'éclaircissement des
parties
opaques n'étant pas encore arrivé à son terme, il
ablissement d'une pupille artificielle rendra, à l'organe, une grande
partie
de ses fonctions. Il est bon d'ajouter que ce f
uffle rude qui disparaissaient par la compression de la carotide à sa
partie
inférieure. La peau n'était ni adhérente ni altér
rdeur locale; — tuméfaction et phlegmasie de la vulve, irritation des
parties
voisines, rougeur érysipélateuse des plis génito-
insi que l'épithéliôme est très différent comme pronostic suivant les
parties
où il siège. S'agit-il, en effet, d'un épithéliôm
Planche VI. OBESITE grande rapidité et envahit bientôt toutes les
parties
voisines, muscles, os, etc., comme le représente
le tableau ie diverses mesures prises soigneusement sur différentes
parties
lu corps de la jeune fille : Circonférence du c
ia immédiatement avec force. L'utérus, en se rétractant, décolla en
partie
le placenta, qui fut bientôt extrait à son tour.
tées il y a une douzaine d'années environ. C'est en coupant une des
parties
latérales de la moelle épi-nière, tout près de la
Nous empruntons à Y Union médicale le compte rendu détaillé, de cette
partie
de la séance : M. Hardy fait hommage à l'Académ
une fille de sept ans, atteinte d'un cancer médullaire de cet os. Une
partie
sous forme de tumeur en avait déjà été réséquée u
r une barrière d'autant plus efficace qu'elle rétrécit notablement la
partie
inférieure du vagin, et offre un véritable plan i
dans le procédé de Roux, c'est un véritable périnée, avec toutes ses
parties
constituantes,^ compris le sphincter anal. En e
des dilatations variqueuses considérables, qui s'étendent jusqu'à la
partie
supérieure des cuisses. Pas d'éruption dans d'a
Les croûtes tombent peu à peu, laissant voir à leur place, dans la
partie
inférieure, de petites saillies offrant, comme le
tal, il présentait les caractères bien tranchés de cette maladie à la
partie
supérieure des jambes, et, par l'effet du traitem
qu'à l'imitation de la plupart de nos confrères, nous publierons les
parties
les plus saillantes du rapport de M. Tardieu. i
ion offrait ceci de particulier, qu'elle était exactement bornée à la
partie
du pied que recouvre la chaussure et qu'elle dess
succombé aux suites d'un rétrécissement du rectum. Voici la première
partie
de l'observation telle qu'elle a été publiée dans
introduit en entier déchire des brides et arrive à peine en haut à la
partie
la plus étroite. Tout le canal rétréci est formé
ustique est également passé par la fistule pour cautériser toutes les
parties
décollées entre la vulve et le rectum. Des laveme
rations étaient isolées, seulement plusieurs d'entre elles étaient en
partie
cicatrisées et formaient un rétrécissement à l'un
tum. C'est ce que l'on peut bien voir sur la figure pl. X. Toute la
partie
inférieure de la muqueuse du rectum est transform
rsée par un stylet est organisé sur la photographie. L'état lisse des
parties
un peu colorées indique bien qu'il s'agit là d'un
u colorée en rouge, cela tenait à ce qu'elle était vascularisée. A la
partie
inférieure on voit les replis de l'anus hypertrop
inuité entre l'escharre au sacrum et le chancre rectal. Il y a à la
partie
inférieure du rectum un rétrécissement étroit, c'
tres ; un autre, inférieur et externe, présente un volume égal ; à la
partie
supérieure de l'espace qui les sépare est un noya
très petits, peu nombreux et mollasses. 90 Groupe spinal. — Sur la
partie
moyenne de l'épine de l'omoplate se rencontre une
umeur formée par des vaisseaux lymphatiques hypertrophiés situés à la
partie
interne du triangle de Scarpa. Le toucher y disti
es groupes que nous venons de signaler. 11° Groupe pubien. — Sur la
partie
supérieure du pubis, un peu au-dessus de ses épin
ille à l'autre, où il commence en pointe, va en s'élargissant vers la
partie
moyenne. La peau en est rosée et son hypertroph
La peau en est rosée et son hypertrophie entre manifestement comme
partie
constituante dans cette tumeur, à laquelle elle a
région sous-maxillaire, et formant une sorte d'épaisse cravate, à la
partie
antérieure du cou. Au bout de dix-huit mois, ce
occipitale, nettement limitées par leur bord supérieur, concave à sa
partie
moyenne, elles se confondent, en bas, avec l'empâ
sous-maxillaires et sous-mentales forment un épais bourrelet sur les
parties
antéro-latérales du cou. La peau qu'elles soulève
n voit se produire quelquefois une pigmentation spéciale de certaines
parties
des téguments : les taches produites par cette pi
es éphélides dont le siège de prédilection est le front ou les autres
parties
du visage, régions que ne recherche pas la syphil
, vient s'ouvrir à la base du gland ou dans un point quelconque de la
partie
spongieuse qui en est plus ou moins éloignée, tou
il y a epispadias. Dans l'épispadias, l'urètre n'est pas fermé à sa
partie
supérieure; mais cette imperfection n'est que le
ces observations qu'est basé le travail de M. Léon Le Fort. Dans une
partie
de son travail, l'auteur a recherché quelle était
chancres mous et indurés, des chancres uniques et multiples, etc. La
partie
lue à l'Académie constitue en quelque sorte un mé
lle qu'apparente; car même dans ce cas on excite le soulèvement d'une
partie
de l'opinion publique, sympathique ou du moins in
ot, et le second par M. Baudot devenu maître lui-même. Entre autres
parties
des leçons de M. Bazin littéralement reproduites
ent l'aspect d'une masse lardacée, les muscles se distinguent mal des
parties
voisines. Les os même peuvent être atteints et de
tre produit peu à peu, atteignant à peu près en même temps toutes les
parties
du membre. Il ne s'en inquiétait au reste aucunem
n négative. Je ne m'arrêterai pas longuement sur la description des
parties
malades. Vous avez pu vous en rendre compte vous-
Cuisse au niveau du pli génito-crural.............. 62 58 Cuisse
partie
moyenne (16 cent au dessus de la rotule). 5'8 1/2
................... 26 25 tion du volume est considérable, mais les
parties
sont moins résistantes, surtout dans la moitié an
nasale est presque effacée par le rapprochement de ses parois. A la
partie
postérieure, le vomer va s'articuler avec le sphé
iblement sur la voûte que forme l'apophyse basilaire. Il n'y a aucune
partie
qui représente le vestige des fosses nasales, à c
est dirigée. Plus en dehors, existent deux saillies qui répondent aux
parties
latérales des maxillaires. En enlevant la muqueus
rmaux. Ces détails sont très bien représentés dans la planche. A la
partie
postérieure, on voit la coupe du pharynx, limité
e perdu dans le tissu cellulaire, sans connexion rationnelle avec ses
parties
voisines. Il est formé d'un petit tubercule arron
inales du troisième orteil. Il y a eu dans l'évolution des diverses
parties
du pied droit, un arrêt de développement qui peut
morbide; il n'y a pas simplement arrêt dans la nutrition de certaines
parties
; il y a perversion dans la nutrition générale, et
ntre, et souvent exclusivement, une perte de substance, dans d'autres
parties
on trouvera un déplacement d'organes ou des rudim
ctéristiques : déplacement et transposition ou hypergénèse de quelque
partie
du corps. J. Habrán, Interne en médecine. Nou
DÉVELOPPEMENT de conformation portaient sur un plus grand nombre de
parties
. Outre le bec de lièvre, c'est la lèvre inférieur
complète, mais la phalange unguéale est singulièrement déformée, les
parties
qui affectent la forme tuberculeuse présentent au
tits orteils entre mes doigts je n'ai pas obtenu de chevauchement des
parties
dures. — D1' E. Guérin. HOPITAL DE LOURCINE.
surlendemain. Quand il se présente, voici ce que je constate : Les
parties
externes de l'œil n'ont presque pas conservé de t
paupières, on distingue près du bord interne de la cornée et vers sa
partie
inférieure une très petite ecchymose sous-conjonc
e par un point noir qui indique la présence d'un caillot sanguin. Les
parties
des vaisseaux qui se trouvent entre deux solution
mésentère la recouvre et lui adhère dans sa moitié gauche et dans une
partie
de la droite. Il existe en haut et à droite une
es ou une seule. De chaque côté des pénis, qui se touchent par leur
partie
interne, on voit déborder deux scrotum; ces derni
rme enfin n'avoir aucune autre grosseur de ce genre dans aucune autre
partie
de son corps. M. Benjamin Anger pratiqua une in
à la bibliothèque de l'Ecole d'attentives recherches dans une grande
partie
des publications médicales de ce siècle, cette qu
é vu dans les cas observés antérieurement sur divers mammi-tères, les
parties
sexuelles externes, au lieu d'être rudimen-taires
grés de latitude N. et S. de l'équateur, c'est-à-dire dans toutes les
parties
chaudes du du globe ; aux Indes-Orientales, dans
s sont surtout plus abondants et plus volumineux à la face et sur les
parties
découvertes, la langue et le voile du palais n'en
roûtes des cicatrices que l'on voit encore sur le dos des mains et la
partie
inférieure des avant-bras. Le ier février on lu
ieillards à figure congestionnée. La peau n'est plus mobile sur les
parties
sous-jacentes, elle est infiltrée de produits spé
iens des hôpitaux (i). Foucher avait déjà fait paraître la première
partie
de ce livre lorsqu'une mort prématurée vint le fr
ité du diagnostic des tumeurs, de M. A. Després, qui forme la seconde
partie
du diagnostic des maladies chirurgicales, se divi
it l'auteur à demeurer incomplet dans les descriptions de la première
partie
, ou bien encore à tomber dans des redites en écri
Des-orés ne l'ait pas rencontrée en écrivant son livre : la première
partie
résume complètement l'état actuel delà science et
n est clair et concis, comme le langage de celui qui sait. La seconde
partie
ne le cède en rien au mérite de la première et l'
es tumeurs dont le type fondamental se trouve exposé dans la première
partie
de l'ouvrage. En résumé, le Traité du diagnosti
ttache antérieure des vraies cordes vocales, de façon à recouvrir une
partie
du ruban vocal du côté droit. Ce premier examen
tion du larynx), la tumeur s'allonge alors et recouvre la plus grande
partie
des lèvres de la glotte. Sa forme se rapproche d'
ntes, je vis qu'elle se plaçait le plus souvent et par sa plus grande
partie
dans le ventricule de Mor-gagni, du côté droit, e
tion avec léger épaississe-ment. Les vraies cordes vocales, dans leur
partie
non recouvertes par le polype, offraient un aspec
s les cautères galvano-caustiques, qui n'auraient pu atteindre que la
partie
qui faisait hernie pendant la phonation. Il n'y
ne donne accès que dans le vestibule laryngien, c'est-à-dire dans des
parties
accessibles par les voies naturelles. De plus, ce
ans le larynx : on voit les cordes vocales inférieures, mais la seule
partie
facilement accessible est celle qui limite leur é
, que pour tout polype implanté dans les sinus de Morgagni et sur les
parties
antérieures des cordes vocales, la thyrotomie est
toujours croissante a déjà modifié la conformation delà bouche et des
parties
quil'a-voisinent. (La Rédaction.) Note sur le
ne sorte de chalet-hôpital. 2° Les baraques-tentes sont construites
partie
en bois, partie en toile. Le type de cette constr
et-hôpital. 2° Les baraques-tentes sont construites partie en bois,
partie
en toile. Le type de cette construction est la te
e ; les parois latérales sont tantôt en toile, tantôt en planches, la
partie
antérieure étant fixe, la partie supérieure pouva
tôt en toile, tantôt en planches, la partie antérieure étant fixe, la
partie
supérieure pouvant être relevée et former auvent.
20 mètres de long sur 8 mètres de large, et qui est partagée en trois
parties
: la tente proprement dite, dans laquelle on plac
eure perméable à l'air, mais imperméable à la pluie, peut, jusqu'à la
partie
inférieure du toit, être .relevée horizontalement
urface d'environ 2,000 mètres. Elles forment un groupe divisé en cinq
parties
. En avant et au milieu, se trouve la grande bar
liées par des traverses. Les parois verticales se divisent en trois
parties
: ' La partie inférieure, de 1 mètre 45 centimètr
raverses. Les parois verticales se divisent en trois parties : ' La
partie
inférieure, de 1 mètre 45 centimètres de haut, ré
s posées à recouvrement dans le sens horizontal. Au-dessus de cette
partie
, et sur une hauteur à peu près égale, règne une s
d'ouverture horizontale est de 1 mètre de large. Enfin, la dernière
partie
des parois verticales est composée de panneaux
raîne, vers le sommet de la baraque, tous les miasmes s'élevant de la
partie
basse. Ces châssis peuvent rester ouverts sans in
s que ceux du bas sont fermés. Quant au toit, il se compose de deux
parties
superposées. La première partie est en planches d
Quant au toit, il se compose de deux parties superposées. La première
partie
est en planches de sapin rainées, posées en long
sentant une saillie extérieure de 5o centimètres environ. La deuxième
partie
est formée d'une toile imperméable posée au-dessu
xième partie est formée d'une toile imperméable posée au-dessus de la
partie
en planches, qu'elle dépasse de 3o centimètres à
plafond. La fenêtre anglaise à guillotine, qui peut être ouverte à la
partie
supérieure dans une mesure variable, est encore u
aillantes ; le système pileux est peu développé; le crâne est déjà en
partie
dénudé. L'intelligence est faible. La parole est
cent grammes comparativement au poids de l'hémisphère droit. Dans les
parties
correspondantes, la couche comprise entre la péri
nerveuses et des tubes nerveux; il n'y a pas de corps granuleux. Les
parties
profondes sont constituées par un véritable tissu
antérieure gauche (g) sont moins saillantes et moins larges que les
parties
analogues droites; elles ont, du reste, leur coul
éricarde) ; quelques plaques laiteuses à la périphérie. Sang noir, en
partie
coagulé dans le ventricule droit; petits caillots
toutes les circonvolutions du lobe occipital gauche et la plus grande
partie
des circonvolutions du lobe sphénoïdal. Ces circo
ant avec une inflexion de la colonne vertébrale et un bassin dont les
parties
constituantes ont pour ainsi dire été déjetées, d
le, d'une odeur pénétrante. Sous l'influence des alcalis aqueux une
partie
du chloral se décompose en chloroforme. M. Liebre
re. Le Traité d'anatomie descriptive de M. Fort se compose de trois
parties
dont chacune forme la teneur d'un volume. La pr
trois parties dont chacune forme la teneur d'un volume. La première
partie
résume des notions d'histologie normale et pathol
lucide pour les exprimer si clairement aux autres. Dans la seconde
partie
, ou Manuel de Vamphithéâtre, se trouve contenue l
lations après les muscles, le même sujet pouvant servir pour ces deux
parties
de l'anatomie, et les ligaments présentant des co
vec les tendons. La splanchnologie forme la matière de la troisième
partie
et du troisième volume. Cette description des div
e excoriation et s'étendit à tout le membre inférieur gauche et à une
partie
du tronc. Cet érysipèle gagna ensuite la cuisse d
e d'un idiot adulte, remarquable par la dépression extraordinaire des
parties
antérieures du crâne. Cette déformation se voit d
on se retrouve vers la fin du gros intestin. L'utérus est revenu en
partie
sur lui-même. Il n'y a pas de phlébite. Le point
s vicieuses et les moyens d'y remédier, par laquelle se termine cette
partie
. Dans le quatrième fascicule, nous trouvons des
actures (crâne, rachis, humérus, coude, etc.,) forment la plus grande
partie
du dernier fascicule. Citons encore des leçons su
lui est on ne peut plus familière. Son ouvrage se divise en quatre
parties
qui sont autant de grands domaines de la physiolo
l'équilibre des recettes et des dépenses de l'économie. La deuxième
partie
est consacrée aux forces, à la chaleur animale et
e pour des contractions fibrillaires : elles intéressent une grande
partie
du muscle ; elles sont « parcellaires » suivant l
ion dorsale. Le faisceau médio-périphérique, faisceau de Hoche à sa
partie
supérieure, triangle médian sacré ou triangle d
ure, triangle médian sacré ou triangle de Gombault et Philippe à sa
partie
in- férieure, est un faisceau endogène descenda
fibres disposées sur une ligne mince qui borde la commissure et la
partie
antérieure de la subs- tance gélatineuse. Tou
de la zone cornu-commissurale sont nettement rejetées de côté et la
partie
médiane de cette zone est très pâle, presque comp
d externe de la sclérose, une zone mixte où les fibres se mélangent à
parties
égales avec les fibres dégénérées. A la 5e do
il se rétrécit encore d'avant en arrière. La sclérose aboutit à la
partie
postéro- interne du noyau grêle ; les fibres bo
s- ceaux de Burdach si l'on prolongeait en avant la direction de la
partie
posté- rieure du bord externe du cordon de Goll
ù l'on peut conclure que cette zone est formée, au moins en majeure
partie
, par des fibres radiculaires qui, de même que cel
ervation I avec cette densité et qui, par consé- quent est en bonne
partie
de nature exogène. Le grand côté postérieur limit
bien plus nette; le corps de la zone sclérosée est plus mince à sa
partie
moyenne et il s'est développé une bande scléreu
jambages sont à peine visibles. 91 Dorsale. Il ne reste plus que la
partie
externe de la figure précédente, qui prend à ce
bandelette prend de plus en plus la forme d'un croissant qui, à la
partie
inférieure du bulbe, entoure à distance le noyau
ibres dans le territoire de chaque racine dans la moelle ; pour cette
partie
de mon travail, l'observation II me fournira de
plus grosses, mais qui suivent le même trajet et les recouvrent en
partie
. Le septum médian,'à la région sacrée, contient
es fines horizontales et verticales dans les cor- dons de Goll à la
partie
postérieure du septum médian, au niveau de la Vil
ionnelle à celle des lésions de racines ; elle dépend sans doute en
partie
de la solidité plus ou moins grande des neurone
énéré ici, est au contraire conservé et isolé par la sclé- rose des
parties
environnantes. IIIe lombaire; Carmin. Virgule de
ger(l), nous avons montré que, dans la région de transition entre la
partie
dorsale et la partie lombaire de la moelle, il
tré que, dans la région de transition entre la partie dorsale et la
partie
lombaire de la moelle, il existe de nombreuses va
res de la périphérie à la région médiane se fait, en totalité ou en
partie
, par l'intermédiaire d'un faisceau de fibres cong
s postérieurs. Voici ce que dit Guizé dans sa thèse (2) : « Dans la
partie
inférieure du (1) Lnc. cit. (2) Guizé. Les pa
(2) : « Dans la partie inférieure du (1) Lnc. cit. (2) Guizé. Les
parties
constitutives de la substance blanche de la moell
e la longueur de la cloison postérieure et dont la base répond à la
partie
médiane de la périphérie postérieure de la moel
primait la queue de cheval avait manifestement lésé directement la
partie
terminale de la moelle ; en effet, ces auteurs
la commissure et le bord de la corne postérieure, en découvrant la
partie
médiane de la commissure. Ses limites du côté d
ns l'observa- tion I ne dépassent jamais en arrière le niveau de la
partie
antérieure de la substance gélatineuse de Rolan
ccupée exclusivement par certaines fibres courtes, au moins dans sa
partie
postérieure. Mais il est évident que toutes les f
ire postérieure; les branches antéro-postérieures sont contenues en
partie
dans la bandelette ex- terne de Pierret (P) ou
bandelette ex- terne de Pierret (P) ou zone radiculaire moyenne, en
partie
dans la zone radiculaire antérieure ; C o F, ce
., Faur. Au niveau de la moelle sacrée, on constate la sclérose des
parties
latérales des cordons postérieurs. La partie mé
state la sclérose des parties latérales des cordons postérieurs. La
partie
médiane au contraire est relativement res- pect
s traces de sclérose du cordon latéral. Dans la moelle lombaire, la
partie
postérieure du cordon postérieur est com- plète
érieure du cordon postérieur est com- plètement sclérosée. Seule la
partie
ventrale du cordon est respectée. Au niveau du
rdon latéral occupe la région du faisceau cérébelleux direct et une
partie
de la zone pyra- midale. La colonne de Clarke e
eur, les lésions se sont limitées au cordon de Goll surtout dans sa
partie
postérieure ; 'dans les cordons latéraux, la sc
rieurs est toujours trian- gulaire ; son sommet ne répond plus à la
partie
antérieure du cordon mais à l'union du tiers an
tant de la zone radi- culaire postérieure et se poursuivant dans la
partie
postérieure du bord du cordon latéral. 7e cer
s cordons latéraux, la sclérose est toujours marginale et occupe la
partie
la plus externe du bord de ce cordon. 2" dorsal
ure. La sclérose du cordon postérieur affecte la même forme dans sa
partie
médiane ; mais au niveau des angles postérieurs d
des angles postérieurs du triangle, la sclérose se diffuse dans la
partie
postérieure du cordon postérieur entre le faiscea
clé- rose s'accentue, elle est toujours marginale, prédominant à la
partie
postérienre du cordon ; elle occupe la zone du
e niveau. Dans le cor- don latéral la sclérose est intense, dans la
partie
postérieure de ce cordon, entre la zone margina
a détruit complètement le faisceau cérébelleux direct et une grande
partie
du faisceau pyramidal. 4e dorsale. - La moell
end à passer de la forme quadrangulaire à la forme triangulaire. La
partie
postérieure du cordon latéral et le bord postérie
s cordons latéraux. Le cordon postérieur est sclérosé dans tôute sa
partie
postérieure ; il l'est à un moindre degré dans sa
emarquer que le faisceau cérébelleux direct n'est pas dégénéré à la
partie
toute supérieure de la ré- gion cervicale, ce q
rébelleux; elle prend à certaines hauteurs le faisceau pyramidal en
partie
, et occupe la zone prééapexienne Les colonnes d
, au niveau du cerveau, l'existence d'un foyer ancien du côté de la
partie
interne et postérieure de la couche optique droit
rose a une forme triangulaire qui s'étend davantage au niveau de la
partie
supérieure de la moelle lombaire. La pie-mère e
é où existent les lésions les plus marquées du cordon latéral. A la
partie
supérieure de la région dorsale, on retrouve le
elle sacrée, les cordons posté- rieurs sont sclérosés dans toute la
partie
postérieure ; le cordon latéral pré-- sente un
ordon posté- rieur. Les lésions ont une apparence systématique à la
partie
inférieure de la moelle, mais l'aspect annulair
e à la partie inférieure de la moelle, mais l'aspect annulaire à la
partie
moyenne tend à démontrer l'existence pseudo-sys
région cervicale, le cordon de Goll est dégénéré seulement dans sa
partie
postérieure. Au niveau du cordon latéral, la sclé
Dans les cordons postérieurs, la sclérose est surtout intense dans la
partie
postérieure et dans celle qui avoisine le sillo
est-à-dire dans le cordon de Goll. Elle est moins accentuée dans la
partie
qui avoisine la commis- sure postérieure et les
térieur présente la même sclérose du faisceau en croissant, mais la
partie
postérieure du faisceau pyramidal direct semble p
le faisceau en croissant : la sclérose est marquée seulement dans la
partie
qui longe le sillon antérieur. 1re Dorsale. -
est sclérosé suivant une zone triangulaire occupant la plus grande
partie
de la région postérieure de ce faisceau et englob
rect. Le cordon postérieur est complètement sclérosé, sauf dans les
parties
laté- rales de la zone ventrale dans la portion
toire du faisceau pyramidal ; très légère sclérose en bordure de la
partie
moyenne des cordons latéraux. Dans le cordon an
6" Dorsale. Le cordon postérieur prend une forme triangulaire : la
partie
ventrale constitue la base du triangle et le so
ventrale constitue la base du triangle et le sommet se trouve à la
partie
posté- rieure de la commissure postérieure. '
sure ; on constate la disparition de toutes les fibres, sauf en une
partie
de la périphérie où elles persistent sous forme
xcitation de la plante est seule efficace, à l'exclusion des autres
parties
du membre infé- rieur, pour la production du ré
e syndrome spasmodique est très intense. Il avait été déjà signalé en
partie
par quelques auteurs,Babinski,'Crocq, etc., qui
t ou dépasse 3 centimètres. Cette différence peut être attribuée en
partie
à l'incapacité de la volonté lorsqu'il s'agit d
« en pied de marmite » : la fente des narines est verticale, et la
partie
moyenne du dos du nez est nette- ment affaissée
rétracté, plissé transversalement, et, vu de profil, décrit avec la
partie
inférieure du sternum, une courbe à concavité ant
tiligne, 94 FORESTIER et par la courbure en avant, cyphose, de la
partie
supérieure' de la colonne dorsale, se prolongea
aterait de l'enfance, dit le sujet. Cou. - Est volumineux dans sa
partie
postérieure et latérale et absolument rigide :
de la colonne cervi- cale. Pas de points douloureux sur les autres
parties
du rachis. Epaules. - La droite, présente de la
eaux postérieurs et anté- rieurs, séparés les uns des autres et des
parties
avoisinantes, ont été sou- mis à la technique d
étaient dissemblables suivant qu'on considérait leur aspect dans la
partie
ventrale et dans la partie périphérique du noyau.
nt qu'on considérait leur aspect dans la partie ventrale et dans la
partie
périphérique du noyau. Tubercules qüadrijlt1lla
tie périphérique du noyau. Tubercules qüadrijlt1llaux' antérieurs ,
partie
périphérique. - Ici se rencontrent -des cellule
et raboteux ; cette irrégu- larité est surtout très accusée sur la
partie
des dendrites la plus éloi- gnée du corps cellu
uantité relativement considérable on voit de ces appendices sur les
parties
plus fines des dendrites et sur leurs ramificatio
fines des dendrites et sur leurs ramifications ; au con- traire la
partie
basilaire des dendrites, étant plus grosse, est s
aspect piriforme, ou un aspect en XVII 1 Fig. 1. - Cellule de la
partie
périphérique du tubercule quadrijumeau antérieur
e les formations sus-indiquées, Fig. 2.- Cellule ner- veuse de la
partie
périphérique du tu- bercule quadriju- meau
driju- meau antérieur du lapin. Fig. 3 ? Cellule nerveuse de la
partie
périphérique du tubercule quadrijumeau antérieu
le quadrijumeau antérieur du lapin. ring. 4. - remue nerveuse ae ia
partie
ventrale au tubercule quadrijumeau antérieur du
périphé- rique, les dendrites de certaines cellules sont sur leurs
parties
les plus fines, parsemées d'épaississements et
ême ou, ce qui est plus fréquent, enrte deux épaississements sur la
partie
libre de la dendrite. Partie ventrale des tuber
t, enrte deux épaississements sur la partie libre de la dendrite.
Partie
ventrale des tubercules quadrijumeaux antérieurs.
nerveuses (V. fig. 4) attenant au corps cellulaire par leur grosse
partie
basilaire s'étendent au loin en donnant peu de ra
ssements et des gonflements particuliers, qui occupent toujours les
parties
fines termi- nales, et surtout celles qui passe
les parties fines termi- nales, et surtout celles qui passent de la
partie
ventrale dans la partie périphérique des tuberc
nales, et surtout celles qui passent de la partie ventrale dans la
partie
périphérique des tubercules quadrijumeaux antér
comparant entre elles les dendrites des cellules nerveu- ses de la
partie
ventrale et de la partie périphérique des tubercu
s dendrites des cellules nerveu- ses de la partie ventrale et de la
partie
périphérique des tubercules qua- drijumeaux ant
trouvons une grande différence dans leur aspect extérieur : dans la
partie
périphérique les dendrites, en somme, sont asse
une quantité relativement grande d'appendices collatéraux ; dans la
partie
ventrale on est frappé de la longueur des dendrit
endices collatéraux; ces particularités caractéris- tiques des deux
parties
des tubercules quadrijumeaux antérieurs ont été
uellement (V. fig. 5), et parcourent une étendue assez longue. Leur
partie
basilaire plus grosse a des contours lisses et un
us en plus grands, et des appendices collatéraux se trouvent sur la
partie
libre de la dendrite, ainsi que sur les épaissi
ce la disparition des appendices collatéraux, cela fait que sur les
parties
des dendrites les plus éloignées du corps cel-
e étendue. Ces appendices se voient en plus grande quantité sur les
parties
plus fines des dendrites; rarement ils couvrent
s dendrites; rarement ils couvrent le corps cellulaire et la grosse
partie
basilaire de la dendrite. Par leur forme les ap
la moelle épinière et les den- drites des cellules nerveuses de la
partie
ventrale des tubercules quadri- jumeaux antérie
de la moelle épinière et les dendrites des cellules nerveuses de la
partie
périphérique des tubercules quadrijumeaux anté-
té. Comme dans la corne antérieure de la moelle épi- nière, dans la
partie
ventrale des tubercules quadrijumeaux antérieurs
téraux ; dans la corne postérieure de la moelle épinière et dans la
partie
périphérique des tubercules qua- drijumeaux ant
des tumeurs céré- brales à forme psycho-paralytique (1) et par une
partie
de ses symptômes et de ses lésions elle semble
des lombes. (3) L'observation régulière et détaillée de la première
partie
de la maladie nous a été gracieusement communiq
es sont remplacées par des amas de noyaux. Région motrice droite (
partie
moyenne). Mêmes lésions plus avancées. Deuxiè
ve également mentionnée dans un cas de tumeur dure trouvée' dans la
partie
antérieure de l'hémisphère cérébral droit d'un
ne comme les atteintes portées dans sa sphère ambiante expli- quent
partie
des troubles moteurs, mais semblent en contradict
autres processus dégénéra tifs que nous retrouvons dans les autres
parties
du névraxe. L'examen macroscopique et l'étude h
tes par des phénomènes plus aigus de déficit; cela, pendant que les
parties
inférieures du névraxe subissaient un retentisse-
temporo-occipitales presque dans leur entier, et intéressait par sa
partie
postérieure la partie antérieure du cunéum. Il
esque dans leur entier, et intéressait par sa partie postérieure la
partie
antérieure du cunéum. Il n'a pas été possible d
et à la plèvre gauche. Rien au tube digestif. Rein gauche. - A sa
partie
moyenne, cicatrice d'un très gros infarctus an-
au niveau des noyaux de la Xe et de la XIIe paire, on constate à la
partie
antérieure une sclérose incomplète des pyra- mi
l'état normal, très irréguliers, la plupart sont très petits. A la
partie
antérieure, sclérose assez accenluée du noyau d
ition complète des fibres nerveuses. Dans les corps rectiformes, la
partie
intense correspondant au noyau de Goll est très s
t très scléro- sée ; la lésion est au contraire très minime dans la
partie
externe conespon- dant au noyau de Burdach. Int
ment il ce niveau une légère sclérose des colonnes de Clarke. A la
partie
inférieure de la moelle dorsale, dans la moelle l
au cérébelleux latéral, plus accusée dans la moelle cervicale et la
partie
supérieure de la moelle dorsale ; enfin atro- p
sme psychique et se réduisent à des faits subconscients. Une grande
partie
de notre vie normale psychomotrice est elle-mêm
haux fabriquée à côté avec la main-d'oeuvre des fous; qu'une grande
partie
des étoffes de vestiaire sont fabriquées, tissées
t aliéné il existe des états de conscience ; 2° chez la plus grande
partie
des aliénés les fonctions plus communes de la v
r. En ces courtes formules nous croyons avoir synthétisé une grande
partie
de la mission scientifique et humanitaire des c
se retrouve toute la technique de Mistra et du Mont-Athos. Dans la
partie
occidentale de l'Italie, cependant, l'influence g
z large, avec des épaississements graisseux sur les hanches et à la
partie
supéro-externe des cuisses, qui rappellent le typ
, 1904. 174 APERT malade pas plus d'une quarantaine d'années; les
parties
latérales de la face sont très développées et s
grande. Cependant le foie et la rate ne semblent pas volumineux. La
partie
inférieure du ventre retombe au devant du pubis
res. Ces douleurs assez mal définies, localisées en un point où les
parties
molles sont le siège d'un épaississement scléro
ail de réaction contre cette hypothyroïdie, travail qui a abouti en
partie
puis- que la croissance a persisté, la puberté
ment antérieur de la capsule interne, du noyau lenticulaire dans sa
partie
interne : Ces oedè- mes seraient donc réglés pa
ude et de douleur dans la jambe droite ; il existait à ce moment à la
partie
in- terne de celle-ci un oedème circonscrit s'é
as depuis l'acromion jusqu'au médius, 35. Diamètre de l'avant-bras.
Partie
inférieure, 18 centimètres. Partie moyenne du b
35. Diamètre de l'avant-bras. Partie inférieure, 18 centimètres.
Partie
moyenne du bras, 24. Partie inférieure » 26.
s. Partie inférieure, 18 centimètres. Partie moyenne du bras, 24.
Partie
inférieure » 26. Partie supérieure » 28. Memb
entimètres. Partie moyenne du bras, 24. Partie inférieure » 26.
Partie
supérieure » 28. Membre inférieur : Longueur
niveau de la ceinture. Anesthé- sie comprenant tout le périnée, une
partie
de la face externe des grandes lèvres, une très
èvres, une très légère étendue de la face interne des cuisses et la
partie
toute supérieure dé la région anale dans un ray
sont parfois assez volu- mineuses et elles occupent la plus grande
partie
de la masse cellulaire, intimement mélangées au
ont recroquevillées et comme dentelées (ce que Redlich considère en
partie
comme un artifice de préparation), le pro- topl
disparition d'un grand nombre de cellules nerveuses, remplacées en
partie
par des amas capsulaires. Les cellules capsulaire
epuis les clavi- cules jusqu'à une ligne horizontale passant par la
partie
antérieure des 3" côtes. Au-dessous, c'est-à-di
rd inférieur de la 5e apophyse épineuse, est un peu déchiré dans sa
partie
antéro-latérale gauche, le VIII0 segment, de form
ration sanguine sous l'aspect d'une tache médiane et radiée dans la
partie
antérieure des cordons postérieurs. Par contre,
es fibres nerveuses de la zone antéro-interne de Westphall et de la
partie
antéro-interne du faisceau de Goll. Fio, c. Cou
ration sanguine sous l'aspect d'une tache médiane et radiée dans la
partie
antérieure des cordons postérieurs. ' HÉMATOM
dans les mêmes conditions de température, tandis qu'au niveau de la
partie
supérieure du thorax, elle disparaît en une secon
que les cellules ner- veuses présentent des lésions, à la vérité en
partie
réparables, mais diffu- ses, qui paraissent dev
centres des nerfs splanchniques qui siègent, comme on sait, dans la
partie
inférieure de la moelle cervicale et supé- rieu
t, gagnant alors un mètre de terrain, dont il va bientôt perdre une
partie
, qui sera regagnée à la poussée suivante, et ains
la foule s'écoule, se disperse, dévale les rampes du mamelon ; une
partie
retombe dans la queue du cortège, une autre s'é
fessionnels qui, moyennant-salaire, prennent à leur charge toute la
partie
chorégraphique du pèlerinage. Il en est de tout
- lisé au delà de toute espérance. Mais ce n'est là qu'une faible
partie
de l'oeuvre de Gilles de la Tourelle. Son princ
nférieur avec les 2/3 supérieurs de l'avant-bras. Les deux axes des
parties
déviées se coupent à angle droit et la déviation
ents. Secousses fibrillaires à l'éminence thénar, à la face et à la
partie
externe des cuisses. Mouvements ataxiques aux mèm
nté- rieures ; celles qui restent indemnes sont dans la plus grande
partie
plus ou moins atrophiées. Les colonnes de Clark
ules et en fibres nerveuses. Dédoublement du canal central dans les
parties
infé- rieures et obturation dans les parties su
canal central dans les parties infé- rieures et obturation dans les
parties
supérieures. La paroi des vaisseaux épais- sie.
Faisceau de Gowers dégénéré à partir de la région lombaire. Dans les
parties
inférieures on trouve une dégénérescence dans l
dégénérescence dans la périphérie du faisceau de Burdach, dans les
parties
supérieures une dégénérescence du faisceau de Gol
parties supérieures une dégénérescence du faisceau de Goll dans sa
partie
postérieure. Pas de lésions dans la zone de Lissa
u grêles, mais d'une couleur normale. Examen microscopique. - Les
parties
du tissu nerveux central furent. conservées et
e plusieurs rangs de cellules. Les racines semblent déjà dans les
parties
inférieures de la moelle être moins riches en f
de la moelle être moins riches en fibres que normalement. Dans les
parties
plus élevées, cette diminu- tion devient plus m
ce petit calibre saute aux yeux par lui-même, d'autre part même les
parties
intactes apparaissent plus claires que normalem
a région lom- baire une dégénérescence bien marquée surtout dans sa
partie
interne et cen- trale ; tandis que dans sa part
e surtout dans sa partie interne et cen- trale ; tandis que dans sa
partie
externe, la partie des fibres minces est beaucoup
artie interne et cen- trale ; tandis que dans sa partie externe, la
partie
des fibres minces est beaucoup mieux conservée.
la partie des fibres minces est beaucoup mieux conservée. Dans les
parties
plus élevées, cette lésion devient de moins en
uée. Dans les coupes du 8° et 7e segment dorsal, c'est seulement la
partie
centrale de la zone de Lissauer qui est raréfiée
action occu- pant toute l'étendue des cordons postérieurs, sauf les
parties
avoisinantes, la substance grise et la périphér
sceau de Burdach, qui occupe surtout son tiers moyen, tandis que la
partie
périphérique de ce fais- ceau, de même que les
tandis que la partie périphérique de ce fais- ceau, de même que les
parties
rapprochées de la substance grise, et une bande
sine la corne postérieure, de même que la zone commissu- rale et la
partie
périphérique restent tout à fait intactes. Cette
e raréfaction qui longe toute la périphérie de la moelle excepté la
partie
qui est voisine du sillon antérieur. - Quoique
ns intense vers le centre de la moelle, et respecte complètement la
partie
rapprochée de la substance grise. Cette raréfac-
ue la raréfaction devient de plus en plus intense, surtout dans les
parties
antérieures. Dans la région lombaire supérieure
orte que son sommet vise l'angle latéral de la corne antérieure. La
partie
postérieure de la dégénération diminue d'intens
gion dorsale inférieure on peut remarquer très distinctement que la
partie
de la dégénération qui correspond au faisceau cér
nération qui correspond au faisceau cérébelleux direct, longe de sa
partie
postérieure la corne postérieure jusqu'à la subst
ntérieure de l'autre côté de la moitié antérieure de la corne. La
partie
postérieure du faisceau de Gowers, la partie élar
rieure de la corne. La partie postérieure du faisceau de Gowers, la
partie
élargie, augmente en expansion dans ce sens que
es les plus élevées elle occupe tout le cordon anté- rieur, sauf la
partie
périphérique. Région cervicale inférieure. - La
'intensité et surtout d'étendue pour devenir aussi rapidement dans la
partie
postérieure de la périphérie une bande très min
ieures cette bande se recourbe en dedans de la moelle, et occupe la
partie
juxtaposée de la corne postérieure. La partie sit
moelle, et occupe la partie juxtaposée de la corne postérieure. La
partie
située en avant et en dedans du faisceau pyrami
avec l'élargissement de la sclérose du cordon de Gowers. Dans les
parties
plus élevées de la moelle les lésions restent les
ette même hauteur la sclérose du faisceau de Gowers devient dans sa
partie
antérieure notablement moins intense. Cette dim
n qu'au niveau de Ci le faisceau de Gowers montre seulement dans sa
partie
posté- rieure une dégénérescence bien nette, ta
des cornes antérieures. Elle communique avec la dégénération de la
partie
la- térale du bulbe qui occupe ici tout l'espac
e dégénérescence est devenue moins intense. C'est seulement dans la
partie
pé- riphérique, située un peu en avant de la su
, qui a la forme d'un triangle situé en arrière des olives. Dans la
partie
dorsale le repli et la substance réticulaire mo
al postérieur qui, quoique un peu raréfié, se découpe nettement des
parties
voisines. Nous insistons sur ce fait, d'autant pl
érieur montrera une dégénération bien accusée. Par contre dans sa
partie
antérieure la substance réticulaire, de même que
ns lesquelles le corps restiforme est bien prononcé, on voit que sa
partie
centrale est fortement dégénérée, ce qui correspo
ébelleux direct. La raréfaction des fibres arquées, la sclérose de la
partie
postérieure de la substance réticulaire et du r
millimètres au lieu d'environ 100 millimètres. C'est sur- tout les
parties
avoisinantes du bulbe et de la protubérance qui,
est l'ensemble des symptômes communs à ces malades, dont une grande
partie
, soit par leur localisation, soit par leur prés
rouve une lésion des fibres ponto-transversales, surtout dans leurs
parties
posté- rieures et une sclérose de la substance
s cordons antérieurs chez Louis Hand... et une raréfaction dans une
partie
de la substance blanche du cervelet ; ni cliez so
s recherches à l'anatomie des nerfs optiques, et surtout des autres
parties
des voies optiques, dans l'amaurose tabétique.
, Charcot avaient noté que le processus tabétique débutait dans les
parties
périphériques des voies optiques pour gagner prog
périphériques des voies optiques pour gagner progressi- vement les
parties
centrales, parfois jusqu'aux corps genouillés et
erches qui ont été faites, sur ce que dans l'amau- rose au début la
partie
périphérique des nerfs optiques contiendrait pl
ique des nerfs optiques contiendrait plus de fibres altérées que la
partie
centrale; bien peu d'auteurs ont examiné attent
quand une cellule souffre, c'est aux extrémités deses prolongements,
partie
ia plus fragile du neurone, que la dégénérescen
étine ne sont nullement indemnes ; les deux autres neurones sont en
partie
frappés aussi. Les cônes el les bâtonnets sont
dans la cou- che des fibres optiques, les deux faits paraissant en
partie
indépendants l'un de l'autre et étant en tout c
um) propre à la manie, nous nous risque- rons de caractériser cette
partie
du dessin par incohaerentia operum. L'ouvrage r
; les deux poumons renferment au sommet plusieurs cavernules ; à la
partie
moyenne il existe des lésions de broncho-pneumo
ules adipeuses, plus rarement les grosses fibres formant la majeure
partie
du faisceau. A un fort grossissement, on peut d
osée de fines granulations graisseuses situées dans les différentes
parties
du sarcoplasma ; la fibre musculaire, aussi bien
rale amyotrophique ou de la polyomyélite chronique. Dans d'autres
parties
de la moelle étudiées par les autres méthodes, on
le périmysium prolifère et que c'est bien lui qui forme la majeure
partie
du tissu conjonctif de remplacement ; en effet,si
trophie d'une fibre musculaire avec amas de blocs réfringents dans la
partie
ter- minale. (Pl. XLVIII, C), d'une part,renf
rocessus de sclérose des cordons postérieurs, qu'il débute dans les
parties
périphériques des voies optiques pour gagner pro-
périphériques des voies optiques pour gagner pro- gressivement les
parties
centrales, parfois jusqu'aux corps genouillés et
e du nerf optique, il croit que l'amaurose tabétique débute par les
parties
axiales du nerf et non par les parties périphériq
ose tabétique débute par les parties axiales du nerf et non par les
parties
périphériques. Hoffmann (3) a confirmé la concl
njonctive. Quant au début du processus, certains le voient dans les
parties
périphériques du nerf, d'autres dans les partie
le voient dans les parties périphériques du nerf, d'autres dans les
parties
axiales, d'autres enfin croient à dégénéres- ce
tense sur tout le pourtour ; des amas lym- phocytaires forment à la
partie
inférieure de la tige pituitaire, autour d'un paq
lon- gée, ovalaire ; dans certains cas leur existence parait due en
partie
à ce que la coupe a été faite, non pas exacteme
les fibres sont moins nombreuses ; à' ce niveau les travées ont en
partie
disparu et les vaisseaux ne laissent plus voir
s dans l'espace intervaginal. d) Détail de la coupe c : ôbj. S. Les
parties
sombres sont les bandes conjonctives, les parti
e c : ôbj. S. Les parties sombres sont les bandes conjonctives, les
parties
claires sont les restes des faisceaux nerveux con
l'on voit que la sclérose est en voie d'évo- lution : sur certaines
parties
on peut suivre à la fois la dislocation des travé
olution de ce processus est représentée par la photographie j d'une
partie
de ce nerf et par le dessin de celte même partie
photographie j d'une partie de ce nerf et par le dessin de celte même
partie
(voir dans le texte le dessin 3). j) Détail d
sé répond au faisceau maculaire. t' u) Début de la sclérose dans la
partie
crânienne. t) Nerf de Faur... : sclérose combin
e Bits... : sclérose combinée sans cécité. Sclérose périphérique à la
partie
inférieure, sclérose rayonnante suivant les bra
férieure, sclérose rayonnante suivant les branches d'un vaisseau à la
partie
supé- rieure. v et w) Portion orbitaire et po
ité, mais elle est souvent plus marquée au centre, au moins dans la
partie
la plus périphérique du nerf à cause de la prés
e de la présence des gros vaisseaux centraux. Fréquemment, dans les
parties
vasculaires du nerf on voit la périphérie attei
rée des vaisseaux el occuperait dans la portion vasculaire.toute la
partie
inféro-externe; la localisation du faisceau ma-
ie inféro-externe; la localisation du faisceau ma- culaire dans une
partie
de la périphérie explique très bien la perte rapi
male étaient peu sensibles ; le nombre des fibres contenues dans la
partie
centrale du nerf était d'ailleurs encore très c
paraissent à première vue moins intenses. Normalement, en effet, la
partie
préchiasmatique du nerf ne présente plus sur la c
bable que dans ce cas la lésion avait évolué entière- ment dans une
partie
plus périphérique du nerf et que les fibres avaie
oitié gauche du corps à l'exception de la face, et du côté droit la
partie
supérieure du tronc, l'épaule et la partie exte
ace, et du côté droit la partie supérieure du tronc, l'épaule et la
partie
externe du membre supérieur; les territoires radi
cavitaire, s'étendant depuis la région lombaire supérieure jusqu'à la
partie
in- férieure du bulbe et d'autant plus développ
. : 110 D) Coloration au picro-carmin. Cette figure correspond à la
partie
de la lésion qui, sur le schéma de la page 380 (l
érieure droite ayant pris une direction presque transversale et une
partie
du cordon latéral se trouvant reportée derrière e
cordons latéraux et la base des cornes antérieures et traversant la
partie
médiane derrière le canal de l'épendyme qu'elle
et réduc- tion du diamètre antéro-postérieur. Elle se termine à la
partie
inférieure du bulbe ; il n'en reste plus trace
uant à la substance grise des cornes antérieures elle est en grande
partie
respectée et on retrouve a tous les niveaux des g
HOGÉNIE DE LA SYRINGOMYÉLIE 385 que toute la corne postérieure, une
partie
de la substance grise antérieure, une partie de
corne postérieure, une partie de la substance grise antérieure, une
partie
des cordons blancs ont disparu et le tassement de
ne acide. Cette figure d'ensemble est reproduite dans ses différentes
parties
sur la planche LV, ci-après. 388 THOMAS ET HA
a figure précédente a complètement disparu, il subsiste cependant une
partie
de son prolongement dans la corne postérieure g
ise dont elle détruit la base des cornes postérieures et la majeure
partie
des cornes antérieures. Cette cavité est arrondie
eure. 1 D'autre part, une autre fente de même nature se montre à la
partie
moyenne des cordons postérieurs au niveau du si
vin, que l'on retrouve au niveau de la joue et de la tempe. A la
partie
inférieure de la figure on remarque une tache à c
n morbide, sans coordination, sans discipline, comme affranchies en
partie
des centres, qui ne savent plus, ne peuvent plus
peut arriver qu'une hé- morrhagie née près du lieu d'élection, à la
partie
antérieure de la capsule externe, envoie sous f
ans la paralysie générale, nous pourrions les redire en très grande
partie
,pour l'aphasie sensorielle. Celle-ci est moins
rt-Pal (avec double coloration par la cochenille). Bulbe. - Dans sa
partie
supérieure et dans sa partie inférieure le bulbe
n par la cochenille). Bulbe. - Dans sa partie supérieure et dans sa
partie
inférieure le bulbe paraît tout à fait normal.
me ovalaire normale. Mais ce qui frappe surtout, c'est que toute la
partie
antéro-externe de chaque corne antérieure est rem
t des noyaux colorés par la cochenille, moins nombreux que dans les
parties
saines, mais faisant plus nettement saillie sur
eaux. 6e-7e cervicale (Voir Planche LIX, C et planche LVIII, A). La
partie
an- térieure de la moelle est encore très aplat
e. A droite la lésion est la même, mais moins étendue, limitée à la
partie
tout à fait externe de la corne antérieure. A g
out à fait externe de la corne antérieure. A gauche la lésion de la
partie
antéro-externe de la corne antérieure est aussi
ion, incomplète- ment séparée de la précédente, qui occupe toute la
partie
antéro-interne et qui présente un aspect tout à
lYilson.) A. 6 cervicale. Ramollissement presque symétrique dans la
partie
antéro-externe des deux cornes antérieures ; à
gauche un gros vaisseau au centre du foyer. B. 6c-"je cer- vicale.
Partie
inférieure des mêmes foyers. A gauche du foyer qu
Partie inférieure des mêmes foyers. A gauche du foyer qui occupait la
partie
antéro-externe de la corne antérieure s'est sur
cervicale. Foyer dans les deux cornes annrieuies. Aplatissement de la
partie
antérieure de la moelle, dépression au niveau d
se conclure à une dégénérescence. 7e-ge cervicale (Planche LIX, D).
Partie
antérieure de la moelle très aplatie ; le pourt
oite est réduite à une mince languette transversale sur laquelle la
partie
interne n'est plus représentée que par une pointe
es. Il n'y a plus dans la corne droite qu'une ou deux cellules à la
partie
postéro-interne et quelques cellules dans les p
cellules à la partie postéro-interne et quelques cellules dans les
parties
antéro et pôstéro-externes, mais la plupart petit
e et parfois d'un large espace clair. La substance blanche dans les
parties
postérieure et latérale a un volume et une colo
f qu'elle est notablement plus petite qu'une moelle normale, que la
partie
antérieure est encore un peu aplatie et qu'il y
xcentrisé, dans les colonnes de Clarke ; une ou deux cellules dans la
partie
antérieure, seulement à gauche. 4e-5e dorsale
aires paraissent plus vastes et il semble y avoir au ni- veau de la
partie
antérieure de la corne antérieure droite un très
ornes antérieures, surtout dans la gauche. Le foyer occupe toute la
partie
antéro-externe et moyenne de chaque corne ; à d
rt encore en fais- ceaux. Biceps brachial droit. - La plus grande
partie
de ce muscle est saine, ses faisceaux et ses fi
nt une dégénérescence au début. Triceps brachial gauche. Mélange de
parties
encore saines et de parties avec abondante prol
ut. Triceps brachial gauche. Mélange de parties encore saines et de
parties
avec abondante prolifération nucléaire ou subst
tion adipeuse. Fléchisseurs de l'avant-boas gauche. Même mélange de
parties
saines nombreuses et de parties plus ou moins d
'avant-boas gauche. Même mélange de parties saines nombreuses et de
parties
plus ou moins dégénérées. En somme il s'agit d'
i avait détruit symétriquement, quoique inégalement, la plus grande
partie
des deux cornes antérieures, d'une part au niveau
mais cependant moins marquée si on regarde les mollets : c'est leur
partie
interne qui paraît aplatie. Il y a encore un co
ois lorsqu'il est resté assis longtemps, il éprouve au niveau de la
partie
postérieure des cuisses, dans les fesses et mêm
e détacher, celte plaque sphacélée n'intéresse certainement que les
parties
superficielles du derme. Elle est limitée par u
présente (planche LXIII) à la face externe de la jambe droite, à la
partie
antéro-interne et à la face posté- (1) BESsiÈRE
terne et au-dessus des ulcérations de la jambe gauche, l'autre à la
partie
externe et supérieure de la jambe droite. Ces t
pli interfes- sier, 1 la face près du pli naso-génien gauche, à la
partie
dorsale de la main gauche et du métatarse droit
tait pas limitée aux os pariétaux, mais elle s'étendait encore à la
partie
correspondante du frontal ; elle consistait en un
cades dentaires. La palpation indique si l'asymétrie appartient aux
parties
molles ou au squelette ; cette dernière seule e
l'oeil gauche restant encore demi- fermé et ne laissant voir que la
partie
blanche de l'oeil comme il est fré- quent de vo
celui qui voit déjà grâce au miracle commencé. L'aveugle occupe la
partie
latérale et inférieure droite du tableau, qui a
carmin. Les couches optiques et leurs annexes, ainsi que certaines
parties
des hémisphères cérébraux, furent traitées de mêm
ans sa totalité de gauche à droite et de bas en haut ; ses diverses
parties
avaient été déformées par la pression de l'anév
és de compression. Elle est aplatie comme la pyramide et les autres
parties
du bulbe dans cette région, et présente une dimin
e plus souvent atrophiées et parfois totalement dégénérées. Dans'sa
partie
latérale et dans le bile la plupart des fibres
ntingent olivaire des fibres du corps restiforme, qui en constitue la
partie
latérale, d'après cette observation (voyez PI.
tion (voyez PI. I, B). Si l'on étudie la série des coupes depuis la
partie
la plus inférieure de la moelle allongée en rem
inué il gauche. SR, formation réticulée aplatie et atrophiée en
partie
à gauche. Flp, faisceau longitudinal postérieur
primés et disloqués. Le noyau du glosso-pharyngien (c'est-à-dire la
partie
proximale du noyau dorsal du vague) est normal
gauche sont dissociées, mais elles ont conservé pour la plus grande
partie
leur gaine de myéline. Le nombre des fibres est r
s ou pigmentées, dispersées dans le tissu des noyaux. A gauche la
partie
externe du noyau de Burdach ou noyau de lllonalro
orme (c'est-;i-dire dans les groupes cellulaires qui sont situés à la
partie
médiane du corps restiforme) (Voir PI. I, B).
u, dans la région où le noyau de Deiters commence ai apparaître. La
partie
médiane du noyau du corps res- tiforme dont nou
n y rencontre sa et là des cellules complètement normales; c'est la
partie
dorso-latérale de ce noyau qui est- surtout dég
droit et ses fibres sont plus minces. L'amincissement siège dans la
partie
latérale du ruban mé- dian de la calotte. Cette
phié directement par la compression de l'iinévrysme surtout dans sa
partie
caudale (PI. I, B). Sa région ventrale est seule
entrale est seule conservée, mais elle est déformée. La plus grande
partie
du corps restiforme gauche a subi une dégénérat
e les fibres du corps restiforme gauche sont extrêmement minces, en
partie
privées de myéline et onduleuses, tandis que cell
tingent des fibres venant de l'olive droite intacte (la plus grande
partie
des fibres du faisceau cérébelleux direct étant d
la dégénérescence considérable du corps restiforme gauche, dont la
partie
médiane ou ventrale est' le mieux conservée, comm
ment détruit. Le faisceau de (jokers est plus petit qu'à droite et en
partie
atro- phié par la compression de l'anévrysme.
ans les coupes supérieures du bulbe (PI. II, D). Protubérance. - La
partie
inférieure de la région du pont de Varole à gau-
I. III). Ses cellules ont disparu en grand nombre, surtout dans les
parties
dorsales. Les faisceaux des fibres transversale
aux des fibres transversales au pédoncule cérébelleux moyen sont en
partie
déplacés et déformés, en partie atrophiés par la
pédoncule cérébelleux moyen sont en partie déplacés et déformés, en
partie
atrophiés par la compression. Le corps trapézoï
ont sont du reste générale- ment plus développées à gauche dans les
parties
antérieures (supérieures ou proximales) de la p
erfs pathétiques et de leurs racines (PI. II, D, et PI. III, E). La
partie
latérale du faisceau longitudinal postérieur gauc
e la calotte présente uue'réductiou notable de ses fibres, dans ses
parties
latérales (PI. III, E et F). La substance médul
e du tissu sclérosé avec de nombreuses extravasations sanguines, en
partie
organisées, et des restes de fibres nerveuses atr
pas trace de l'amygdale gauche (voir les figures). Par contre, les
parties
latérale et ventrale de l'hémisphère -cérébelleux
mi-luuaire. Leur substance médullaire cependant se trouve en grande
partie
dans la région nécrosée. Il n'y a de vraiment con
é que la moitié ventrale du pédoncule cérébelleux moyen, qui est en
partie
dégénéré, et qui existe il côté de régions atro
complète, limitée il la moitié gauche du cervelet, à l'exception des
parties
du oernais supérieur et inférieur situées les p
mi-lunaire inférieur), était sans connexion directe avec les autres
parties
de cet hémisphère, et n'était relié au pédoncul
cule cérébral, qui sont normalement conservés, paraissent former la
partie
basale de la protubérance en avant (PI. Ut, F). L
ession cependant qu'il existe quelques fascicules dégénérés dans sa
partie
interne. Le ruban de Reil et la formation rétic
con oate pas de modifications saillantes dans la structure de cette
partie
de la couche opti- que. L'anse lenticulaire e
sang. Les régions voisines dans le noyau ral du thalamus font aussi
partie
de ce foyer de ramollissement. Le noyau postéri
vant la mort, se voit à la hauteur du milieu du noyau rouge dans la
partie
lenticulo-optique de la capsule interne à droite.
. Le faisceau Bath de Forel est diminué à droite. Les artères des
parties
postérieures du thalamus sont dilatées et pleines
s de sang. On constate à gauche une extravasation sanguine dans les
parties
avoi- sinantes du troisième ventricule. La subs
tère vertébrale, profondément encaissé dans le pont de Virole et la
partie
supérieure du bulbe. Le développement extrêmeme
est resté latent si longtemps, malgré la nécrose par compression de
parties
considérables de l'encé- phale, de la moitié ga
les nerfs crâniens l'abducens et le nerf moteur oculaire commun en
partie
furent seuls troublés dans leurs fonctions, et ce
du cervelet presque en entier, de sorte qu'il n'en restait que les
parties
latérales et le lobe quadrangulaire. Tous les p
W dilatation anévrysmale de l'artère vertébrale s'étendait aussi en
partie
à la basilaire, à la communicante gauche, à la
e l'arrêt de la circula- tion et les "effets de la pression sur les
parties
du cerveau postérieur op- posées à l'anévrysme)
internes de cette région étaient bien conservées dans leur majeure
partie
. Une conséquence importante de l'atrophie par c
ue et le groupe cellulaire assez développé qui forme un réseau à la
partie
médiane du corps restiforme (dans le ANÉVRYSME
yau terminal du pneumogastrique, sans qu'on puisse savoir de quelle
partie
de ce noyau il s'agit (noyau dorsal, substance
t général du pont et du pédoncule cérébral à gauche surtout dans la
partie
médiane; cette atrophie correspondait à la dégé
ar suite de la compression directe de l'anévrysme, surtout dans les
parties
basales etpos- térieures ; à droite l'atrophie
noyau rouge du côté opposé, bien que plus petit que le gauche et en
partie
dégénéré, n'était cependant pas atrophié en propo
sale et le coccyx ; douleurs dans les régions lombo-costales, sur les
parties
latérales de base du thorax; crampes dans les m
nante au niveau de la face et des bras, c'est- à-dire au niveau des
parties
découvertes. Le fait n'a rien de particulier puis
elques-unes extrêmement petites dans la région deltoïdienne et à la
partie
postéro-externe du bras gauche. Dans cette derniè
distri- buées sur les cuisses : à droite sur la face externe et Il
partie
inférieure de la face interne, à gauche sur la
tronc ces petites tumeurs sont extrêmement nombreuses surtout à la
partie
antérieure du thorax, dans la région épigastrique
29 sant inférieur fuyant en bas et en arrière est constitué par la
partie
inférieure du sternum. Cette gibbosité semble j
nt ce rebord ou plus exactement le dos de la pliure pénètre dans la
partie
toute supé- rieure des fosses iliaques. Enfin
alisées, le thorax dans son ensemble est asymétrique et aplati : sa
partie
supérieure est particulière- ment affaissée ; c
rtie supérieure est particulière- ment affaissée ; c'est dans cette
partie
, limitée en avant par la 1 ? portion du sternum
res côtes, que se trouvaient à l'étroit les poumons et le coeur. La
partie
inférieure du thorax avec sa gibbosité médiane
sont intéressés par la coupe. On suit les fibres nerveuses de la
partie
saine du faisceau 1 dans la partie envahie pa
uit les fibres nerveuses de la partie saine du faisceau 1 dans la
partie
envahie par la néoplasie 11. Coupe E Coupe
ièrement, quoique dàns l'ensemble elles restent groupées dans linge
partie
du néoplasme voisine de la périphérie. Sur les
ule. Les éléments cellulaires sont un peu moins nom- breux dans les
parties
centrales. Enfin sur la plupart des coupes de c
ar un bourrelet adipeux, nette- ment demi-circulaire ou bilobé à sa
partie
antérieure. La tuméfaction sous-mentonnière peu
siégeant symétriquement dans les régions sous-maxillaires. Sur les
parties
latérales de la face apparaissent des déformation
rouve deux dans les fossettes rétro-mastoïdiennes; elles restent en
partie
ca- chées par les cheveux. A la partie postérie
toïdiennes; elles restent en partie ca- chées par les cheveux. A la
partie
postérieure et inférieure du cou, au niveau de
loppement des masses graisseuses, elles ne dépas- sent jamais, à la
partie
supérieure et postérieure de la nuque, une ligne
rps. Elles siègent en de vé- ritables lieux d'élection qui sont les
parties
supérieures et internes des membres, tant au br
pigastrique, suspubienne, enfin, dans la région dorso-lombaire, les
parties
latérales de la colonne vertébrale. Aux bras, l
lipomateuses, mollasses, on peut percevoir, dans la profondeur, des
parties
plus dures. Le malade a le faciès d'un leucocyt
use formant un volumineux double menton. 2 lipomes symétriques à la
partie
supérieure de la nuque. Rien ailleurs. Pas de t
SAUDE seur Iücl : e se décide à l'opérer et enlève en 2 séances une
partie
de la tumeur cervicale. Le malade promet de ven
. Depuis 4 ans, apparition de tumeurs lipomateuses dans différentes
parties
du corps. Enorme collier lipomateux autour du c
emps des accès de suffocation nocturne, on décida d'en extirper une
partie
. Les symptômes de compression disparurent après l
abandonner sa profession. Il avait des économies, il en dépense une
partie
à se faire soigner Paris, puis il part pour son
était déjà un peu fatigué la veille, a cousu pendant la plus grande
partie
de la journée : à cinq heures du soir son ventr
n constata une tumeur aplatie, appendue par une large pédicule à la
partie
inférieure du dos, sur la ligne médiane, de l'é-
té de la ligne médiane. L'épaisseur de la tumeur est de 20 cm. à sa
partie
inférieure, la largeur ou diamètre transversal,
chagriné, des pores volumineux et quelques rares poils bruns. A la
partie
gauche de la tumeur, cicatrice blanchâtre, étoilé
nodules durs, irréguliers, de volume variable; en remontant vers la
partie
supérieure, il semble que ces noyaux indurés ai
ésie à l'éther. On mène d'abord une longue incision médiane, sur la
partie
supérieure du pédicule, afin de se rendre compte
divers. Ces cordons, moniliformes, semhlent nettement isolables des
parties
voisines de la tumeur; ils forment, en se pelot
s remettre la note suivante. Il a été pris pour l'examen : a) Une
partie
prise en pleine tumeur. b) Une portion portant
usseaux fibreux très volumineux. D'ailleurs, à leur périphérie, ces
parties
se continuent d'une façon insensible avec les par
riphérie, ces parties se continuent d'une façon insensible avec les
parties
fihroïdes qui constituent la grosse majorité de
'absence de fibres nerveuses dans ces boyaux, comme dans toutes les
parties
de la tumeur. Un dernier genre, celui qui se ra
la vascularisation très abondante, l'infiltration de la peau et des
parties
voisines par le néoplasme, la présence de nombreu
ase. Ceci est dû à la présence d'une masse néoplasique qui soude la
partie
centrale de la base du cerveau à la dure-mère.
leur naissance dans le chiasma et la bandelette, le chias- ma et la
partie
la plus antérieure des bandelettes optiques, tout
circonvolutions orbitaires, et des deux côtés est recouvert par la
partie
antérieure de la circonvolution de l'hippocampe e
ait dans le 3° ventricule et arrivait même jusqu'au trigone. Par la
partie
postérieure elle écartait vi- goureusement les
ns XI et XII de leur mémoire. Mais elles sont rapportées surtout an
partie
de vue de l'examen microscopique de la moelle e
ations profondes subies par la colonne rachidienne, surtout dans sa
partie
inférieure, dont le reten- tissement a boulever
s personnelles, deux inédites. Nous avons placé dans cette deuxième,
partie
le dessin de la scolastique de P. Pitres. II
ien au sacrum, rien au coccyx. Thorax en carène avec voussure de la
partie
inférieure de l'laémillzorax droit. Gibbosité t
au niveau de la région dorso-lombaire et d'une voussure située à la
partie
postéro-inférieure de la région latérale droite
physe, d'un centimètre d'épaisseur, longue de cinq centimètres à sa
partie
libre, de six centimètres et demi à sa partie adh
cinq centimètres à sa partie libre, de six centimètres et demi à sa
partie
adhé- rente qui forme un relief vers le tiers s
e long s'étend du milieu du bord postérieur du trou obturateur à sa
partie
antérieure. La cavité cotyloide est représentée
uche. Elle est déviée à droite il partir de la dixième dorsale ; la
partie
supérieure de la colonne forme un angle de z50
ire a même hauteur, mesure 65 millimètres de largeur, et offre à la
partie
antérieure du corps vertébral de nombreuses rugos
ite, ce qui explique l'inclinaison de la colonne dorsale. Sur les
parties
latérales, il n'y aucune modification notable ; l
e lombaire offrent seules quelques par- ticularités il signaler; la
partie
postérieure du corps de la première lombaire, q
les fémurs, le bassin, la colonne vertébrale ont été dépouillés des
parties
molles. On trouve des arthropathies types des a
que le corps vertébral, qui mesure trois centimè- tres et demi à sa
partie
antérieure, n'en mesure plus que* deux au niveau
ès accusée au niveau du bord gauche par suite de l'effilement de la
partie
inférieure du corps vertébral en ce point. L'ap
ependant son bord est dentelé et fortement saillant surtout dans sa
partie
droite, il mesure deux centimètres à ce niveau,
ée. La gouttière du corps verté- bral est fortement accusée sur les
parties
latérales, en avant elle offre de nom- breuses
s cette dépression et contre cette saillie viennent s'appliquer les
parties
correspondantes de la ver- tèbre sus-jacente. -
res tiers sont transformés en une masse, simplement dépolie dans sa
partie
supérieure fortement rugueuse partout ailleurs :
e commence à changer de direction et à se porter vers la gauche. La
partie
latérale droite de la première lombaire est parfa
te. Mais la particularité importante ici est la suivante : toute la
partie
gauche du bord supérieur,de la ligne médiane au t
rrespondent plus et les trous de conjugaison correspondants sont en
partie
comblés par les bords de la vertèbre et leurs d
u de gMa- 136 JEAN ABADIE lrièzne et de la troisième lombaire, en
partie
détruites, affectant la forme de coins dont les
re un oedème blanc, indolore et régulier, ayant envahi seulement la
partie
antérieure et les parties latérales do l'articula
ore et régulier, ayant envahi seulement la partie antérieure et les
parties
latérales do l'articulation.Le réseau veineux s
tule, on perçoit un frottement dur entre sa face postérieure et les
parties
osseuses correspondantes du tibia et du fémur. Qu
ère transversale du corps vertébral est normale dans sa plus grande
partie
, mais dans son tiers droit, elle donne insertio
sselée, dure, dont les limites sont difficiles à préciser à cause des
parties
molles très épaisses. C'est pour ce même motif
te et du col du fémur, et déformation de la cavité cotyloïde et des
parties
avoisinantes. Le fémur est remonté vers la foss
nais- sonce une exostose assez volumineuse terminée en pointe à sa
partie
inférieure. Entre le bord interne du fémur et l
faces articulaires coïn- cidant avec une hyperplasie exubérante des
parties
osseuses juxta-articu- laires. La déformation
par l'action de la toxine qu'il sécrète. C'est donc dans toutes ses
parties
constitutives, motrice et sensi- tive, centrale
Editeurs LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 157 Î Circonflexe. - Dans la
partie
postérieure du deltoïde gauche, hypoexcitabi- l
des mains, par les traumatismes fréquents dus à l'anesthésie de ces
parties
. La main droite perdit la dernière' phalange de
ectasiés. La radiographie montre encore une cer- taine opacité des
parties
molles beaucoup plus visible que sur les épreuves
épreuves normales et surtout des taches irrégulières donnant à ces
parties
un as- pect moiré, et qui semblent bien être l'
gauche 12. Du côté de l'oeil, la paupière supérieure recouvrait une
partie
du globe oculaire; tous les mouvements de l'oei
D'autre part, dans le pédoncule gauche, le foyer détruit une minime
partie
du faisceau pyramidal et effleure quelques libr
ne réveil- laient pas la moindre sensation consciente du côté des
parties
anesthésiées. Les notions de poids, de forme et
trouvé cet organe dans une opération où il avait mis à nu toute la
partie
antérieure du cou. Il est également vrai que les
doripares. L'élimination de la graisse de l'organisme se faisant en
partie
par les glandes de la peau, tout trouble surven
mportant signalé par de nombreux chirurgiens après l'ablation d'une
partie
des tumeurs. En sup- primant les tumeurs, on n'
ait complètement, après une injection de pilocarpine, au niveau des
parties
de peau qui recouvraient les tuméfac- tions. Ma
s lympatiques il la paroi abdominale, à la racine de la verge, à la
partie
inférieure de la nuque, etc., et les descriptions
latérales et symétriques et occupent : la région mas- toïdienne, la
partie
inférieure et postérieure du cou, la région sus-m
pubis, aux aines, dans le scrotum derrière chaque testicule et à la
partie
interne et supérieure des deux bras. Les tuméfa
ur du cou ; d'autres tuméfactions à l'épaule droite, aux bras, à la
partie
supérieure des avant-bras. Début il y a 4 ans. Pa
et celle siégeant au niveau du pubis qui recouvrait la plus grande
partie
des organes génitaux. Cette der- nière opératio
nous sommes munis de broches en fer dont la surface de section à la
partie
moyenne est d'environ 3 mm. 5. La pointe ne mes
l'oeil droit, le long de la paroi inférieure de l'orbite et dans sa
partie
moyenne. Le malade tomba en poussant un cri, ma
qu'incidemment. Description. Nous diviserons ce chapitre en deux
parties
; la première comprendra DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMA
21 janvier 1896. - Au côté gauche de la tête, existe une plaie des
parties
molles longue de 2 centimètres et qui va jusqu'à
des quatre derniers doigts à gauche, 12 cent. Circonférence de la
partie
moyenne de l'avant-bras droit, 15 centimètres.
ni : inci- sion cruciale des téguments, décollement du périoste. La
partie
antérieure du pariétal qui était enfoncée et qu
u quatre centimètres au-dessus d'une ligne horizontale passant par la
partie
supérieure du conduit auditif externe, se trouv
provenant d'un épanchement intra-crânien. La malade a recouvré en
partie
sa connaissance, mais elle présente une apha- s
des enfants tomba, une des tiges lui perfora l'orbite droit dans sa
partie
interne, vers le bord interne de la paupière in
les sortes d'excitants. Sur la paupière supérieure, le front et la
partie
antérieure du cuir chevelu correspondant avec le
e pas il pas ce retour partiel de la mémoire, mais il semble dû, en
partie
du moins, à l'habitude que sa femme a prise de
in et porte son membre en avant par un mou- vement de torsion de la
partie
inférieure du corps. Le pied quitte cependant l
lissement excentrique. Les lésions devront atteindre en arrière la
partie
mo- trice de la capsule et produire une hémiplé
Abel, 32 ans, cocher. Début il y a 2 ans par une tumeur occupant la
partie
gauche de la nu- que. Énorme collier cervico-
u de chaque cuisse : l'une dans le triangle de Scarpa, l'autre à la
partie
externe. Une tumeur située derrière l'oreille d
ient deux tumeurs symétriques, plus bas, à gauche et à droite de la
partie
postérieure de la colonne cervi- cale. Depuis q
statons d'abord la présence d'une énorme tumeur qui occupe toute la
partie
antérieure et supérieure du cou d'une oreille à l
n de la nuque. De telle sorte que la tumeur a envahi en totalité la
partie
supérieure du cou, formant un gros collier d'où
collier plus volumineux en avant qu'en arrière et dé- primé sur les
parties
latérales. Au niveau des régions parotidiennes el
cette sensation que donne unetumeurfranchement encapsulée.Quelques
parties
semblent dans lamas- se un peu plus mobiles que
Thorax : dilatation des veines superficielles assez marquée sur la
partie
antéro-supérieure gauche s'étendant jusque sur
mal. Vers les premiers jours du mois d'avril 1899, il sentit sur la
partie
latérale gauche du cou, un peu au-dessous de l'
me autour du cou une volumineuse collerette. Elle occupe surtout la
partie
inférieure du cou, surplombant le thorax, et s'
au niveau de l'os hy- oïde, mais il s'élargit en tronc de cône à sa
partie
inférieure et mesure cinquante-huit centimètres
adhérence. Il existe un développe- ment veineux assez prononcé à la
partie
supérieure du thorax des deux côtés, mais pas s
deux doigts extrêmes peuvent avoir leur squelette normal, garni des
parties
molles, des éminences thénar et hypothénar ; et
tée en dehors par le pouce,en dedans par l'index et le médius dontles
parties
molles son t soudées ; l'auriculaire et l'annul
ns notablement supérieures à la normale, cette pince était munie de
parties
molles bien développées : elle s'échancrait jus
edans de celle de l'auriculaire à laquelle répond une bosselure des
parties
molles. La déformation résulte donc ici du non
physe, et qui ne traduit sa présence que par une légère saillie des
parties
molles. En revanche la branche externe de la pinc
sillon naso-génien. Ces anomalies dans les rapports réciproques des
parties
molles de la face sont dues à la disparition comp
ait de l'absence de rebord al- véolaire, la lèvre supérieure et les
parties
attenantes des joues mal soute- nues sont en re
La sensibilité dans ses divers modes est conservée dans toutes les
parties
du corps sauf les réserves faites plus haut ; e
des doigts ne sont jamais tombés. Sueurs fréquentes la nuit dans la
partie
supérieure du corps. L'articulation tibio-tarsi
tan- tôt plus forts. Dans ce glissement, qui s'opère en plus grande
partie
dans le sens sagittal que dans le sens transver
e de douleur. Ces secousses atteignent de préférence les bras et la
partie
supé- rieure du tronc, quelquefois le tronc tou
uée que la première. Cyphose cervico-dorsale très accentuée dans sa
partie
supérieure sans gibbosité angulaire. Enfoncement
reste ainsi courbée sur son ouvrage durant toute la journée et une
partie
de la nuit. A la suite de ces fatigues, apparai
ut suivre les moindres inflexions de la colonne vertébrale. Dans sa
partie
.supérieure, elle présente une très légère sco-
L'hémithorax droit de ce fait semble un peu plus développé dans sa
partie
inférieure que l'hémithorax gauche. La crête épin
ure que l'hémithorax gauche. La crête épineuse, régu- lière dans sa
partie
supérieure, devient irrégulière à partir de la di
bosse, très arrondie, apparaît sous les vêtements, siégeant dans la
partie
supérieure du thorax. Examinée directement, l
s ne sont pas atrophiés. Sur la face externe de la jambe gauche, la
partie
inférieure, existe une tache ecchy- motique, su
l'omoplate. En avant, le sternum est comme enfoncé; au niveau de sa
partie
moyenne, vers la ligne mamelon- naire,. Ic segm
attitude du gibbeux, les épaules sont ramenées vers la poitrine. La
partie
inférieure du tronc offre une direction inverse e
nt la physiologie était alors à peine ébauchée. Dans une première
partie
j'exposais les recherches que j'avais faites à
s qu'ils nous ont prodigués. Nous avons divisé notre travail en six
parties
. Dans la première partie nous exposerons sommai
Nous avons divisé notre travail en six parties. Dans la première
partie
nous exposerons sommairement : 1. Les résultats
r l'anato- mie fine des éléments nerveux fera l'objet de la seconde
partie
. La troisième partie sera consacrée il l'étude
es éléments nerveux fera l'objet de la seconde partie. La troisième
partie
sera consacrée il l'étude du phénomène de la chro
ne de la chro- matolyse en général. Je donnerai dans la quatrième
partie
une analyse critique et la descrip- tion des co
ussion détaillée de mes expériences à ce propos. Dans une cinquième
partie
je discuterai l'interprétation des phénomè- nes
ubliés par les divers auteurs. Enfin dans une sixième et dernière
partie
je présenterai mes conclu- sions personnelles s
rai mes conclu- sions personnelles sous forme de thèses. PREMIÈRE
PARTIE
MÉTHODE DE NISSL MODIFICATIONS DE VAN GEHUCHTEN
dendrites.en nombre variable. Le protoplasma est composé de trois
parties
constituantes : une partie achromatique figurée
le. Le protoplasma est composé de trois parties constituantes : une
partie
achromatique figurée, une partie achromatique l
trois parties constituantes : une partie achromatique figurée, une
partie
achromatique liquide, une partie chro- matique.
e partie achromatique figurée, une partie achromatique liquide, une
partie
chro- matique. La partie achromatique n'est p
ée, une partie achromatique liquide, une partie chro- matique. La
partie
achromatique n'est pas colorable parles couleurs
de démontrer d'une façon si nette la constitution fibrillaire de la
partie
achromatique que Von Lenhossel; lui-même(16) a ét
mène de la chromatolyse ainsi que nous le verrons dans la troisième
partie
de ce travail. Nous disons « le rôle visible »,
gation. Pour Van Gehuchten, la substance achromatique représente la
partie
principale, essentielle du neurone, la substanc
ien est acidophile, peu abondant et pas toujours visible. TROISIÈME
PARTIE
DU PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE EN GÉNÉRAL. N
ous contenterons d'exposer très sommairement dans cette troi- sième
partie
les notions fondamentales qui concernent le phéno
el- ligence de l'exposé analytique qui fera l'objet de la quatrième
partie
de notre travail. ' Quant aux points qui sont
es éléments chromatoptiles. Mais alors, au lieu de réorga- niser sa
partie
chromatique utilisée, elle se désorganise et disp
nt que nous serons à même d'en saisir, toute la portée. QUATRIÈME
PARTIE
EXPÉRIENCES PERSONNELLES. Trois espèces anima
e Gilson. Traitement subséquent comme il a été dit dans la première
partie
de ce travail. Examen microscopique, analyse et
lus ou moins continue, très foncée, encerclant le noyau en tout ou en
partie
. D'autres groupes de blocs se tassent. à la pér
saillie sous forme d'une grosse vésicule sphérique (P. XLV. i) La
partie
de la membrane qui est hors de la cellule est fré
t plus haut, mais nous nous réservons d'y revenir dans la cinquième
partie
de notre travail lors de l'interprétation des p
ubséquent des pièces'est fait comme il a été dit dans la pre- mière
partie
de ce travail. Examen microscopique, analyse et
u, mais leur mode de disparition est très irrégulier. Sur certaines
parties
d'une lamelle ou d'une lame, il n'existe plus a
t principalement constitué par les fibres du vermis, se continue en
partie
avec un beau faisceau qui contourne le noyau dent
appartiennent vraisemblablement au faisceau de Gowers et peut-être en
partie
au faisceau en crochet. 2° Examen DES pédoncu
vées. La couche optique est un peu moins développée dans toutes ses
parties
, aussi bien dans les radiations de la calotte q
ral entrent toutes en rapport avec le vermis,quelques-unes avec les
parties
adjacentes du lobe semi- lunaire supérieur (cet
res lobes). Elles occupent, à leur pénétration dans le cervelet, la
partie
centrale du corps restiforme ; les fibres dégénér
pour la plu- part des fibres olivaires en occupent au contraire la
partie
périphérique se ter- minant aussi vraisemblable
e ter- minant aussi vraisemblablement dans l'écorce du vermis et la
partie
adjacente des hémisphères cérébelleux ; mais il
mis, le flocculus et l'amygdale doivent être considérés du moins en
partie
comme des dépendances du vermis. L'intégrité re
dans le vermis, avec dégénération et disparition de la plus grande
partie
des fibres afférentes et efférentes, des fibres d
quilibre, parfois même les oscillations augmentent d'amplitude, et la
partie
supérieure du tronc oscille d'avant en arrière
sse un peu, mais avec beaucoup de peine, et après s'être relevé, la
partie
supérieure du tronc oscille d'avant en arrière au
us petit qu'un cervelet normal (obs. de Nonne) (4), mais toutes les
parties
qui le composent sout normales et proportionnelle
ent; l'encéphale est plus petit qu'un encéphale normal , toutes les
parties
constituantes du cervelet sont macroscopiquemen
petitesse de la moelle est frappante, surtout du côté droit. Dans la
partie
in- férieure de la moelle dorsale le canal cent
ngée et principalement le cervelet et la moelle comparés aux autres
parties
du système nerveux frappent par leur petitesse.
de Friedreich, le système cérébro-médullaire serait touché dans sa
partie
médullaire surtout ou exclusivement; dans ]'héréd
fréquence des traumatismes suivant les régions qu'ils affectent, la
partie
de la calotte crânienne atteinte est loin d'être
gion calcarine qui est considérée comme une sphère visuelle, ou des
parties
qui l'avoisinent.Un fragment de l'écaillé s'enf
e qui correspond à la calcarine n'est point encore déterminé et les
parties
avoisinantes ont été successivement dési- gnées
rine. Les traumatismes portant sur la suture sagittale ou sur la
partie
la plus élevée d'un des pariétaux sont rares, c
régation, 187;;) signale une hémiplégie due à une hémorrhagie de la
partie
postérieure du lobe frontal, DE L'HÉMIPLÉGIE tr
s. Si le coup se propage suffisamment loin la vibra- tion gagne les
parties
profondes et rencontre les vaisseaux. Les artères
er les lésions du cerveau, par armes à feu, en trois degrés : 1° La
partie
du cerveau directement broyée par le coup ; DE
dans laquelle les parcelles du cerveau étaient propulsées vers les
parties
latérales, tandis que la paroi d'entrée demeura
u même côté et des plaques d'anesthésie. On trouva la balle dans la
partie
antérieure de la capsule interne. Eulenburg r
te du lobe temporal à la face inférieure du cerveau, tra- verse une
partie
du noyau cause, pénètre dans le ventricule latéra
s les unes des autres. Le point. d'entrée de la tige est situé à la
partie
antérieure de la scissure de Sylvius, elle suit
uement d'avant en arrière et de dehors en dedans, elle pénètre à la
partie
interne de la cornephéuaroâ- dale, passe sous l
phénoïdale et que le pédoncule est tratvej' ? de telle sorle qu'une
partie
de la capsule interne est intéressée. Alitons pli
aucoup trop grande. En somme, il résulte de ces expériences que les
parties
cérébrales lésées en cas de pénétration par la
venu à la pensée de rechercher ce FtG. VIL- Coupe horizontale à la
partie
inférieure d'un cerveau droit oblique d'avant e
orbitaire chemine non loin du nerf optique disséqué sur une petite
partie
de son trajet, et frôle la caro- tide interne,
uppose qu'une inflammation est survenue qui a fini par atteindre la
partie
motrice de la capsule. Pour les auteurs anglais
ctif, on pourra constater, disons- nous, que la broche a atteint la
partie
antérieure du lobe temporal, la substance grise
des noyaux centraux et principalement du noyau caudé, ainsi que la
partie
supérieure des fibres de l'épanouissement pédoncu
s de hauteur. Il se ramifie et un canal se dirige vers le bas et la
partie
interne du cerveau et se termine au devant du d
trace des fractures des os du crâne, et après l'avoir dépouillé des
parties
charnues nous constatons encore l'absence de fr
, on trouve : une fracture définie au-dessus du pariétal droit, les
parties
donnent l'impression d'un fragment d'os arraché e
ormes permet de constater une certaine disproportion entre diverses
parties
du corps. A la tète, le profil de la face rappe
97). L'examen le plus attentif de tous les organes et de toutes les
parties
du corps resle négatif, le malade n'a aucune do
soit pas saillant ; Le bras est absolument amaigri il mesure ci sa
partie
moyenne cinq cen- timètres et demi de circonfér
bras gauche (18 1/2 au lieu de 24) et l'atrophie commence déjà à la
partie
supérieure (2< 1/2 au lieu de 25 centimètres
rtaine épaisseur s'amincit considérablement, sa circonférence' à la
partie
moyenne est inférieure de sept centimètres à cell
touche de piano. A la main on perçoit au milieu des tissus mous des
parties
les plus dures, irrégulières pouvant se rapproche
bien plus altérés (mais nous devons nous souvenir que en réalité la
partie
saine du premier métacarpien représente la premiè
ffection, le malade n'en va pas moins à l'école et peut se mêler en
partie
aux jeux de ses camarades. Une aggravation brus
ns parler de troubles de compression dus aux lésions mécaniques des
parties
molles, Ce sont là, à vrai dire, plutôt des com
ssi, mais leur fréquence est moindre. Le squelette environnant, les
parties
molles voisines présen- tent des modifications
s déformations du bassin, du thorax, les lé- sions consécutives des
parties
molles, tendent vers leur maximum d'in- tensité
guent et aux fioles à médicaments. Encore, ne voit-on qu'une minime
partie
de ce désordre, tout le fond de la pièce étant pe
de cette funeste habitude. L'ouvrage de Cohausen est divisé en deux
parties
qui traitent la pre- mière, de l'abus de la pou
a rescousse et Cohausen bat en re- traite ne voulant pas engager la
partie
avec une vieille femme, qud nihil nasutius mali
poudre sternutatoire, mais ne contenant pas de tabac. La deuxième
partie
du livre est consacrée aux inconvénients, aux dan
e tabac, car il excite les fluxions, en conduisant les humeurs à la
partie
malade. Mais lui : maître, il m'est impossible
acoustique. Le \ tympan devient flasque se dilate et l'ouïe est en
partie
détruite. 460 A. BEAUVOIS Cohausen cependant
ert et montra la cause du mal : l'oeso- phage était rétréci dans sa
partie
supérieure, au point d'admettre seule- ment le
alti et diphtollgi, Varii, omnigeni, Nasi, nasi, nasi, Mais la
partie
du livre la plus humoristique, celle où Cohausen
a cour, à la tabatière toujours sollicitée, pouvait s'attribuer une
partie
des critiques adressées par l'auteur à une cert
angeant ni même en buvant ; elle ne ressent de douleurs dans aucune
partie
du corps, pas même des maux de tète. La parésie d
asmatiques,beaucoupd'entre 480 SOUKHANOFF ET GEIER eux dans leurs
parties
terminales présentent un aspect perlé irrégulier
les mêmes que celles dans le lobe frontal. C) Région motrice. - a)
Partie
supérieure. - Pour l'examen on prit sept morcea
voir très nettement une zone plus claire autour du point noir. - b)
Partie
médiane. Pour l'examen on prit cinq mor- ceaux.
s menus. Les foyers de ramollissement sont assez fréquents ici.- c)
Partie
infé- rieure. Pour l'investigation on prit quat
is vasculaires, périssement des cellules nerveuses, surtout dans la
partie
périphérique de l'écorce des lobes frontaux etc
lant de la région motrice de l'hémisphère gauche descendent par les
parties
sus-indiquées vers la moelle épinière.En ce qui c
e globules granuleux. Sur toutes les coupes examinées, prises de la
partie
du tronc cérébral, les cel- lules nerveuses son
raréfiée ; la dégénérescence du faisceau pyramidal latéral dans la
partie
lombaire inférieure est déjà très marquée et le
t les fibres dégénérées disséminées peuvent être suivies jusqu'à la
partie
terminale de la moelle épinière. Concernant l'end
rie de la moelle épinière est aussi très marquée, ce qui dépend, en
partie
probablement du procès morbide dans les envelop
altérées dans la région lombaire, que dans la région cervicale ; la
partie
intra-médullaire des racines est plus altérée,
égénérées isolées dans les faisceaux de Turck descendent jusqu'à la
partie
lombaire supérieure, où la dégénérescence des f
nveloppes spinales. Ainsi que là, ici aussi la dégénérescence de la
partie
intramédullaire des fibres ANATOMIE PATHOLOGIQU
yra- midal latéral, en commençant de l'hémisphère gauche jusqu'à la
partie
inférieure de la moitié gauche de la moelle épi
rs dans les régions inférieures de la moelle épinière, que dans les
parties
supérieures. Le dernier fait n'est pas facile à
même temps avec le fait sus-décrit, on parvient à constater que la
partie
intramédullaire des racines (surtout des racines
-à-dire, des cellules des ganglions spinaux. C'est pour cela que la
partie
intra-médul- laire des fibres postérieures s'ex
ibres postérieures s'expose plus vite à la dégénérescence, que leur
partie
extra-médullaire, qui se trouve dans des conditio
ie générale donne un tableau patltologo-anatomitlue très varié; les
parties
isolées de ce tableau si complexe ont une signifi
extré- mité des doigts : elle a une grande difficulté à mouvoir les
parties
engourdies. Ces troubles se reproduisent quelqu
eille. La déformation, due à gauche presque uniquement à l'état des
parties
solides de l'articulation est due à droite prin
us par l'hydarthrose. Des deux côtés le creux poplité est comblé en
partie
par des masses irrégulières, qui masquent au do
ôté sain.-Mais,dans les tissus périarticula ires (1 i¡ : £ tendons,
parties
molles), sont semés des ilots osseux, indépend,..
pas. Nous n'insisterons pas non plus sur l'étal des viscères et des
parties
molles juxta- vertébrales. Il est noté dans les
viennent méconnaissables. Les autres au contrai- re ont gardé leurs
parties
constitutives normales, mais elles y ajoutent des
son plus grand diamètre trans- versal. Cet élargissement est dû en
partie
à l'excavation de cette face, au renversement d
natomique et, à la suite, essayer une étude d'ensemble. Aussi cette
partie
de notre sujet reste-t-elle forcément incomplète.
a patho- génie des lésions que nous allons entreprendre. Dans cette
partie
de notre travail l'hypothèse occupe la plus gra
extrémité antérieure de chaque corps vertébral dans la cyphose, les
parties
latérales dans les scolioses, le bord postérieu
itôt un craquement lombaire, il est dû à l'effondrement subit d'une
partie
latérale d'un corps vertébral. Une douleur l'ac
osseuse, pour une cause qui nous échappe, peut porter sur une autre
partie
de la vertèbre, sur les apophyses; sur les lame
re le corps vertébral et le support apo- physaire en totalité ou en
partie
, entraîner une chute en arrière de ce dernier e
de tissu spongieux. La disparition ou simplement la raréfaction des
parties
LES OSTÉO-ARTIIROPATÜIES VERTÉBRALES DANS LE TA
maximum de pression. Elles supportent non seulement le poids de la
partie
supé- rieure de la colonne, des membres supérie
n manque absolu de douleurs. Cer- taines vertèbres disparaissent en
partie
,s'émiettent; s'écrasent, d'autres poussent des
Gilson ; traitement subséquent comme il a été dit dans la première
partie
de ce travail. Examen microscopique, analyse et
hes, ce qui prouverait qu'elles ont déjà fonctionné et consommé une
partie
de leur ré- serve chromatique. Mais on consta
restent immobiles, même lors du pincement, tandis que les diverses
parties
du membre s'agitent et se fléchissent à l'occasio
ans les régions qui se succèdent à droite depuis la tête jusqu'à la
partie
inférieure du corps. Ainsi l'orbiculaire palpébra
conscrit de la classe 1872 reçut en jouant à l'arc une flèche à la
partie
dextro-postérieure moyenne du cou (entre la 4"
d- mission et la blessure explorée on retira des esquilles..... une
partie
de l'os avait été complètement retournée par la
fut mandé pour voir un gentlemen de la campagne qui revenant d'une
partie
de chasse fut précipité de son cheval. Il se prit
se prit le pied dans l'étrier et dans sa chute, frappa le sol de la
partie
postérieure de la tête. Le cheval fut arrêté, i
aie de peu d'étendue. Une bosse sanguine énorme occupait une grande
partie
des régions temporale et pariétale gauches, elle
du crâne on sentait très nettement un enfoncement siégeant vers la
partie
antérieure du pariétal. Les membres étaient tous
ne dépression plus marquée au dehors de la clavicule droite dans sa
partie
externe. Bras. - D'une façon générale le bras d
e bras droit est moins volumineux que le bras gauche. Une fois à la
partie
moyenne, il a 22 centimètres de circonfé- rence
entre le vo- lume de ces deux membres. La cuisse droite mesure à la
partie
moyenne 41 centimètres 1/2, la cuisse gauche 41
ie moyenne 41 centimètres 1/2, la cuisse gauche 41 centimètres à la
partie
moyenne du mollet, la mensuration donne 31 cent
tandis que celles de droite restent complètement immobiles. Dans la
partie
supérieure de la région du sommet de la tête à ga
du sommet de la tête à gauche, se trouve une étroite blessure de la
partie
latérale de 7 centimètres de longueur, commençant
droit d'où sort du sang mélangé à de la substance cérébrale. Dans les
parties
molles on trouve par place d'assez grande quant
ils répondent dans leurs dimensions, aux diamètres de la plaie des
parties
molles : 7 centimètres de long sur 4 de large.
nfiltrée de pus, de même en quel- ques points de la base et dans la
partie
la plus proche de la scissure de Sylvius. La su
une femme de 71 ans qui reçut il y a 4 ans une lourde caisse sur la
partie
postérieure et latérale gauche du crâne. Nous n
is que Jean Both a grave à l'eau forte. Ce tableau faisait; dit-on,
partie
d'une série intitulée les Cinq Sens, et symbolisa
est le résultat de l'excitation Fic. 3. - Coupe transversale d'une
partie
de la moelle et des méninges. On y voit l'infil
ans la substance grise antérieure. Certains leucocytes situés dans la
partie
centrale du foyer sont remplis de microcoques (
nservation de substance chromati- que informe, en croissant sur une
partie
de la membrane nucléaire. NATURE ET TRAITEMENT
ts in- fectieux toxiques qui déterminent la myélite se répandent en
partie
dans la cavité arachnoïdienne. Mais il existe u
mais cette hypothèse est moins probable, que les microbes dont une
partie
sont détruits dans le sang, agissent sur la moe
on des microbes et de leur toxine, mais qu'elles relèvent encore en
partie
tout au moins des réactions vascu- laires, surt
emblant a'du verre mat ; parfois l'achromatose n'intéresse qu'une
partie
de la cellule (achromatose partielle, fig. 25).
lésions. Voici en quoi elles consistent : la cellule se compose d'une
partie
centrale, colorée et d'une espèce d'enveloppe p
colorée et son réseau est moins bien visible que nor- malement. La
partie
périphérique de la cellule est pâle, elle constit
ue là s'ajouter au corps cellulaire, ou bien au contraire est-ce la
partie
superficielle du cytoplasma qui a éprouvé des alt
e que le poison en agissant d'une façon très intense sur une grande
partie
de la périphérie cellulaire, a produit une destru
n très grave du cytoplasma ; elle est pour ainsi dire mutilée ; une
partie
de son corps détruit est remplacée par une exca
ent reconnaissables bien que renversées, qui servent à indiquer les
parties
diverses de ses figures et de ses dessins sont à
t la représentation graphique de ces mouvements, constitués par les
parties
élémentaires des lettres. On conçoit dès lors t
es sont moins saillantes qu'à l'état normal. L'espace qui sépare la
partie
la plus saillante des deux sour- cils du rebord
nsemble que normalement ; il est plus plat, sauf peut-être dans ses
parties
externes où existent des bosses laté- rales peu
ert par le bord libre de la paupière supérieure ainsi qu'une petite
partie
du rebord supérieur 5e la pupille : celle-ci se
ité est également intacte, autant' sur les membres que sur les deux
parties
symétriques de la face. Les points d'émergence du
muscles peuvent être soudés entre eux(01bers, Wrisberg) ou avec les
parties
voisines (Morgagni). On peut se demander aussi
uscles oculaires et enfin les muscles ocu- laires sont les diverses
parties
constituantes de cette chaîne. Ces différents é
tata qu'elle en avait une, large comme une pièce de 5 francs, ;i la
partie
inférieure et externe de la cuisse droite. 1
lement, il y a un oedème unilatéral gauche très marqué, occupant la
partie
inférieure du mollet, et surtout le dos du pied ;
de la peau, gardant passagèrement l'empreinte du doigt. Il occupe la
partie
in- férieure des jambes, les malléoles et le do
région dorsale à convexité droite, d'où résulte une voussure de la
partie
su- périeure du thorax à droite. En avant le th
é en deux : le sternum est fortement dévié d'avant en arrière et sa
partie
inférieure fortement rentrée ; le tiers inférie
un petit molluscum gros comme un grain de millet. Au niveau de la
partie
supérieure du sternum, une verrue colorée du volu
veau du coude gauche, une élevure avec une touffe de poils ; sur la
partie
postérieure de l'avant-bras gauche, une tache pig
PNEUMOGASTRIQUE (Suite et fin). PAR CHARLES LADAME. CINQUIÈME
PARTIE
INTERPRÉTATION DES PHÉNOMÈNES OBSERVÉS. L'étu
es éléments chroma- tophiles. Mais alors, au lieu de réorganiser sa
partie
chromatique utilisée, elle se désorganise et di
faudrait sans doute pouvoir tenir compte des autres troubles de la
partie
achromatique du protoplasma pour connaître exacte
agir que d'impressions visuelles peut-être pourrait- on chercher en
partie
l'explication de l'apparence d'une turgescence, d
outes les fois que les lésions n'ont pas été trop profondes dans la
partie
achromatique du protoplasma cellulaire. Tous le
ent réunis à l'Ex- position universelle de 1900, et dont la majeure
partie
appartient au musée de l'Ecole dentaire de Pari
t professeur anatomique en la célèbre université de Padoue. Seconde
partie
, traitant des opérations chirurgicales qui s'exer
e, traitant des opérations chirurgicales qui s'exercent en toutes les
parties
du corps humain, depuis la teste, insques aux p
e poudre narcotique ou stupéfactoire, pour endormir et engourdir la
partie
, afin de la rendre stupide et sans aucun sentim
atherres, à cause des attractions qui avoient été excitées ausdites
parties
affligées par les susdites pouldres violentes.
e et agran- die. Dans ce vaste domaine de la Neuropathologie, les
parties
du sol, de tout temps cultivées, ont été, sur p
mps spécialisée, et la Neuropathologie proprement dite : ces deux
parties
d'une même unité séparées par des néces- sités
l'ordre physiologique, soit dans l'ordre patho- logique, où quelque
partie
de ce système ne soit pas intéressée plus ou mo
a pathologie nerveuse livrée à son autonomie légitime et les autres
parties
de la médecine. J.-M. CHARCOT. Juillet 1880.
iculos gracilis et etineaitis, et qui vont ensuite se placer à la
partie
externe des fibres motrices des pyramides déjà
venons de citer, les fibres sensitives s'accolent pour les uns à la
partie
externe, pour les autres à la partie profonde d
s s'accolent pour les uns à la partie externe, pour les autres à la
partie
profonde des fibres motrices, mais sans se conf
et nous ont donné des images différentes suivant la hauteur. A la
partie
inférieure (fig. 1) de l'entrecroisement, on vo
rer au milieu des fibres motrices (rouges) des pyramides, dans leur
partie
postérieure et externe, puis se recourber et ma
sement sensitif pénètrent dans la portion motrice des pyramides- sa
partie
postérieure et moyenne. Un cer- rq. 1. Coupe du
partie postérieure et moyenne. Un cer- rq. 1. Coupe du bulbe ci la
partie
inférieure de l'entrecroisement sensitif. P, py
e elles vont se confondre avec les fibres du stratum zonale. A la
partie
supérieure (fig. 3), les fibres sensitives suiv
ficielles pénètrent dans la portion motrice des pyramides, par sa
partie
externe ; les plus profondes s'accolent à sa fa
et externe et montent verticalement. Fz9. 2. - Coupe du bulbe à la
partie
moyenne de l'entrecroisement sensitif. - F S A,
ettres comme pour la figure précédente. Fig. 3. Coupe du bulbe à la
partie
supérieure de l'entrecroisement sensitif. - Les
. TECHNIQUE DE LA MOELLE. 9 Ainsi donc, pour nous, la plus grande
partie
des fibres sensitives, après s'être entrecroisé
lle, celle-ci est demeurée intacte. Quelle que soit sa longueur, la
partie
altérée peut se présenter sous deux aspects bie
x noyaux renfermés dans une même masse de protoplasma située à leur
partie
moyenne (fig. 11, a et b). En fin de compte, le
ci (figure 11), la dégénéra- tion a été incomplète et a respecté la
partie
profonde de la gaine. Ce serait donc cette part
et a respecté la partie profonde de la gaine. Ce serait donc cette
partie
profonde demeurée 22 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. i
eau type, au sur et à mesure que s'effectuerait la résorption de la
partie
externe, seule atteinte par la dégénération. La
e d'étranglements annulaires nouveaux au voi- sinage immédiat de la
partie
dégénérée permet déjà de penser que la désorgan
emble devoir être plus tard com- plète, la dégénération envahit les
parties
superficielles de cette gaine avant d'en attein
les parties superficielles de cette gaine avant d'en atteindre les
parties
profondes. Il s'agit de la figure 12 montrant q
ent interannulaire, n'a dégénéré que dans ses couches externes à la
partie
moyenne de celui-ci. Or, comme nous le ferons v
yenne de celui-ci. Or, comme nous le ferons voir plus loin, cette
partie
moyenne du segment est d'habitude la dernière a
iveau, représente non pas un produit de nouvelle formation, mais la
partie
profonde de l'ancienne gaine qui n'a pas encore
d'un segment pour que la destruction n'ait encore porté que sur les
parties
externes de la gaine au moment où commencera la
t- telettes de myéline. En un mot, à part l'étendue moindre de la
partie
intéressée, on constate les prin- cipaux caract
plus profonde, la gaine de myéline semble s'être décomposée en deux
parties
; l'une interne, A, contiguë au cylindre d'axe,
stance en distance par des noyaux entourés de protoplasma. Ces deux
parties
de la gaine dédoublée se réunissent du reste de
us demander tout d'abord si ce sont les extrémités du segment ou la
partie
moyenne qui se trouvent intéressées en premier
int de repère les noyaux A et B qui occupent ainsi qu'on le sait la
partie
moyenne de chacun des segments représentés dans
e que la fibre présente à leur niveau, il est facile de voir que la
partie
mince a appartient au segment A, de même que la
AIRE PERI-AXILE. il taque à l'extrémité opposée avant de frapper la
partie
moyenne. C'est du moins ce que nous montrent ce
l'aspect de la fibre au voisinage du noyau B, c'est-à- dire à sa
partie
moyenne, il est encore parfaitement normal. D
myéline dégénérée dans toute son épaisseur, tandis qu'en c, à la
partie
moyenne, la dégénération n'a en- vahi que les c
ités de ce segment avant de frapper son autre extrémité, et que les
parties
des premières atteintes sont aussi probablement
érique, mais cette recherche sera mieux à sa place dans une autre
partie
de ce travail, lorsque nous envisagerons le mode
us venons de décrire diffèrent de celles que l'on observe dans la
partie
périphérique des nerfs sectionnés. D'un côté, l
segmentaires, conservation du cylindre d'axe, puis restauration des
parties
atteintes par la formation d'une nouvelle gaine
de longueur dans un sens déterminé. La figure 17 qui n'est que la
partie
mince B vue à un très fort grossissement, montr
ux segments qui ont été figurés dans leur entier possèdent à leur
partie
moyenne un noyau unique. Sommes- nous en présen
éline mince possède des incisures parfaitement régulières sur une
partie
de son étendue. IV Les quelques exemples que
portion de fibre normale. Eotre C et A (phase de dégé- nération) la
partie
externe de la gaine de myéline a seule subi la fo
subi la fonte granulense dans toute son épaisseur. Au niveau de la
partie
moyenne du segment, en'c, la dégénération n'a p
artie moyenne du segment, en'c, la dégénération n'a pas atteint 'la
partie
profonde de cette gaine. <1 ' ' " i ? 1 -1\
nerveuse présentant un dédoublement de la gaine de myéline dans la
partie
externe. - B qui a seule dégénéré est séparée d
e de la gaine de Schwann par des noyaux entourés de protoplasma. A,
partie
profonde de la gaine de myéline, demeurée normale
s auscul- ter comparativement les muscles du mollet et ceux de la
partie
antérieure de la cuisse, le membre infé- rieur,
nt dans l'extension. Dans une pareille atti- tude"Jes muscles de la
partie
antérieure de- la cuisse sont relâchés, ceux du
Les différences, dans l'ataxie, de temps perdu des muscles de la
partie
antérieure de la cuisse et pos- térieure de la
st'toujours produit dans le même sens; tou- jours les muscles de la
partie
antérieure de la cuisse ont'' eu , dans des con
si en activité d'une façon incessante, et il en est de même de la
partie
de la moelle qui donne naissance a ces nerfs. C
a force musculaire était intacte, du moins pendant la plus grande
partie
de la maladie. L'inégale tonicité empêche donc
ux fléchir, à cause, croyons-nous, du relâchement des muscles de la
partie
antérieure de la cuisse. C'est pour contrebal
velet n'est représenté que,par le vermis, légèrement renflé sur ses
parties
latérales. Le bulbe et la protubérance sont nor
e-robes qu'après lavement. Excoriation de 2 centimètres sur 3, à la
partie
moyenne de la fesse gauche. L'enfant grince d
s- seaux arborisés qui montent, en rayonnant, du corps strié à la
partie
supérieure des ventricules. - La couche optique e
2/4 moyens, d'un blanc opaque comme celle du côté opposé. Toute la
partie
postérieure de la première circonvolution front
externe, est atrophiée, amincie de telle façon que, entre elle, la
partie
ventriculaire et la portion atrophiée de la cir
ment atrophiés, n'ont guère que trois millimètres d'épaisseur. La
partie
inférieure du sillon de Rolando est indurée, de m
ration, de la lésion des trois circonvolutions frontales dans leur
partie
postérieure, de la lésion de la frontale ascendan
lobe antérieur du lobe moyen que nous ne l'avons vu à gauche. La
partie
postérieure de la troisième circonvolution fronta
ement du lobe frontal et du sillon profond qui sépare ce lobe de la
partie
de l'hémisphère restée saine. Les trois rayons
joues, du front ; nombreux petits molluscums à la nuque et sur les
parties
du cou, qui est court. Le corps est excessive
ondie que la gauche. - Le pédoncule cérébral gauche, surtout à sa
partie
supérieure, est plus petit que le droit.-La protu
ne coloration blanchâtre, opaque, d'une densité bien supérieure aux
parties
avoisinantes et faisant partie des circonvoluti
circon- volutions. Da'stributzôn.-a) Face convexe : ilots sur la
partie
moyenne de la troisième circonvolution frontale
x circonvolutions, moitié qui est un peu irrégulière ; îlots sur la
partie
postérieure de la troisième cir- convolution te
tie postérieure de la troisième cir- convolution temporale ; sur la
partie
moyenne de la deuxième circonvolution temporale
ion du lobe carré et du lobule cunéiforme ou coin : ces différentes
parties
offrent de nombreux foyers d'induration. La c
en moins grand nombre. Distribution. a) Face convexe îlots sur la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron
partie postérieure de la troisième circonvolution frontale, sur la
partie
antérieure de la deuxième frontale ; l'origine
Hépatisation grise occupant toute la hauteur du poumon droit et la
partie
inférieure du poumon gauche. Pas de tubercules.
bérance et le bulbe étaient indemnes. Or, on sait que ces dernières
parties
de l'encéphale présentent des lésions dans la s
dans la sclérose en plaques, que celle-ci affecte de préférence les
parties
centrales, que les plaques, au lieu d'être blan
tale et pariétale ascendantes du côté gauche présentaient dans leur
partie
supérieure un îlot de sclérose très considérabl
ns l'occasion de revenir sur la nature de la lésion dans la seconde
partie
de ce mémoire, qui nous est commune avec notre
s : on employait comme source de comparaison une pile fixée sur une
partie
quelconque du corps, une seconde pile était app
aient à admettre une élévation de tempéra- ture plus prononcée à la
partie
antérieure du crâne qu'à la partie postérieure,
péra- ture plus prononcée à la partie antérieure du crâne qu'à la
partie
postérieure, à gauche qu'à droite. « Pendant le d
e, M. Da Costa Alvarenga a recherché la température des différentes
parties
du corps, soit avec un thermomètre à boule nue,
à l'appui de sa thèse. Pour M. Broca, la température moyenne de la
partie
droite de la tête est de 33°,90, celle de.la pa
e moyenne de la partie droite de la tête est de 33°,90, celle de.la
partie
gauche de 31°; la différence est donc de un diz
re étendu vers la région postérieure, le triceps crural répond à la
partie
postérieure du lobe occipital, les muscles abdo
paraissent correspondre aux circonvolutions tempo- rales, vers leur
partie
postérieure. M. Amidon fait remarquer à ce prop
i cette température, obtenue à grand'peine, répond bien à celle des
parties
cérébrales sous-jacentes. On ne peut pas actuel
e bulbaire et des faits de physiologie expérimentale. La première
partie
(faits anatomiques) a été inspirée par d'ancien
e des fibres ner- veuses qui vont, par un trajet-croisé, former une
partie
des racines du nerf moteur oculaire commun du c
rme également des fibres qui vont, par un trajet croisé, former une
partie
des faisceaux radiculaires du nerf pathétique d
2° Que la paire postérieure est une addition secondaire, née de la
partie
postérieure du cerveau; 3° Que la description c
des faisceaux blancs qui s'étendent jusqu'à la moelle, y forment la
partie
la plus profonde des colonnes de Turck et se te
s cellulaires) plus prononcées ; 4° on ne peut pas trouver dans les
parties
supérieures de la moelle, de différence de struct
ne hyperthermie locale agissant sur des tissus analogues à ceux des
parties
de la femelle; 5° la grenouille est un animal de
iaux capables tantôt de « faire disparaître les propriétés d'autres
parties
du système nerveux » (influence inhibitoire ou
'influence de « lésions irritatrices », les propriétés de ces mêmes
parties
(influence dynamogénique). M. Brown-Séquard ter
anesthésie après une lésion de l'encéphale, pour en conclure que la
partie
lésée est un centre percepteur ou un lieu de pass
des points dont l'excitation électrique détermine des mouvements de
parties
isolées de la moitié opposée du corps; mais ces
rient de situation suivant les individus. Pourtant l'excitation des
parties
isolées n'est pas toujours pos- sible, car souv
l'excitation électrique de l'écorce, à provoquer le mouve- ment des
parties
isolées. Mais il y a souvent des secousses de t
ez tous les deux une plaie de décubi- tus large comme la main, à la
partie
supérieure du dos du côté opposé, qui guérit ra
montra une méningite aiguë suppurée de la base et de la plus grande
partie
de la convexité du cerveau. Le conduit auditif
e conduit auditif interne ; mais l'os était sain. La dure-mère à la
partie
supérieure du rocher était couverte d'une couch
d'ailleurs aucun symptôme nouveau. En 1876, nouvelle tumeur à la
partie
supérieure de la cuisse droite ; en 1878, autre
llissement embo- lique du noyau caudé, du noyau lenticulaire, de la
partie
anté- rieure de la capsule interne et de la pre
amollissement des fibres antérieures de la capsule interne et de la
partie
externe du noyau lenticulaire ; il y eut hémiplég
ne tumeur du volume d'une petite orange; le tissu cérébral avait en
partie
disparu à ce niveau, en sorte que la sylvienne
yeux déviés à droite. Mort le 4. Autopsie. Exsudat de lymphe à la
partie
inférieure du cer- velet et à la base du cervea
ramollissement occupait tout le corps strié, l'insula de Reil et la
partie
antérieure de la couche optique. - L'endocarde de
gissait d'une blessure demi-circulaire du front, ayant intéressé la
partie
frontale au point d'y déter- miner une perte de
ELQUES points DE la lypémanie ; par M. H. Mabille. Cette première
partie
du mémoire de M. Mabille ne traite que du nombr
ile de Grove Hall, à Londres. L'auteur rapporte dans cette dernière
partie
de son mémoire, trois observations de mélancoli
après avoir présenté une parésie de la langue, des lèvres et de la
partie
inférieure de la face, et une hémiplégie droite
des nerfs qui se distribuent aux muscles paralysés, soit de quelque
partie
des centres nerveux. En quoi il ne parait pas a
a- lable, tracé une esquisse de l'oeuvre. Elle se compose de deux
parties
: la première comprenant, dans un curieux histo
er à des distinctions précises se révèle, en effet, dans les autres
parties
du livre. Point de tableaux nettement séparés,
iscéraux. Il y a bien des faits incertains et incomplets dans cette
partie
de la thèse, mais on sait que ces troubles tro-
ent l'objet des chapitres précédents. Ce n'est que dans la deuxième
partie
de son travail que M. Arnozan a étudié l'action
s lésions syphilitiques (tumeurs, artérites, etc). Dans la deuxième
partie
de sa thèse, M. Chauvet s'occupe des maladies d
gique après un cancer ou une hémorragie. De même, dans la troisième
partie
de la thèse, celle consacrée aux névroses, M. C
cédents mémoires de cet auteur. C'est ainsi que M. Landouzy prend à
partie
la paralysie angineuse vulgaire, et qu'il la fait
avec une affection génitale ou urinaire protopathique. La deuxième
partie
de la thèse de M. Landouzy est consacrée à la p
consacrée à la pathogénie des paralysies étudiées dans la première
partie
et à des considérations relatives au diagnostic
omités sanitaires, et tous les ans par les inspecteurs généraux. La
partie
administrative ne relève en général que de la c
luxe. La population, d'environ 330 aliénés, se compose en grande
partie
d'européens de race; les métis y sont relativemen
ce qu'on voit en Europe; le petit nombre des chro- niques tenant en
partie
à ce qu'à Rio les accès aigus se terminent plus
facilité, et bien que les modi- fications survenues dans les autres
parties
constituantes de la fibre soient d'une observat
ment inverse dans la dégénération wallérienne, puisque c'est à la
partie
moyenne du segment que se montre l'alté- ration
lamma- toire du tissu conjonctif ne s'était effectué que dans les
parties
les plus superficielles, les plus voisines de 1
magma assez dense', contenant de nombreux leuco- cytes ; dans la
partie
profonde du nerf, au contraire, les tubes, faci
nous croyons que la prédominance des lésions dégénératives dans la
partie
périphérique des nerfs, est susceptible de rece
lle épinière A, de laquelle partent quatre fibres nerveuses dont la
partie
B est saine ou atteinte de lésions segmentaires
rtie B est saine ou atteinte de lésions segmentaires, tandis que la
partie
C a subi la dégé- nération wallérienne. Cette d
éveloppement d'une véritable dégénération wallérienne dans toute la
partie
de la fibre située au-dessous du point sectionn
ambour. Nous ne croyons pas. devoir insister plus longuement sur la
partie
tech- nique de l'expérience; nous nous sommes s
raction ? du' biceps est ici "remplacée par celle des muscles de la
partie
postérieure' de la jambe. Le tracé fourni par
sur elle-même et est constituée par une vaste caverne. Les autres
parties
sont dures, ;farcies de tubercules conglomérés çà
du lobe frontal, sur les bords de la scissure de Sylvius et sur la
partie
centrale du lobe occipital. Au niveau de ces ad
és l'un à l'autre et ne peu- vent être séparés, tandis que dans les
parties
saines, la pie- mère est mince et sans adhérenc
e la face interne, des lobes frontaux des deux hémisphères à leur
partie
antérieure. Masses centrales normales; pas de dil
une congestion considérable vers la base, surtout à gauche. Sur la
partie
la plus élevée de la convexité, l'arachnoïde et
re. Il y aura donc, pensons-nous, tout profit à décrire chacune des
parties
malades, comme s'il s'agis- sait d'un même suje
t nuisible sur 1 es. cellules, nerveuses, sous-jacen tes. Dans -les
parties
où cette, bande colorée est, le, plus nette, on
>l' O. f. ' 1 ? . 1 préparations avec des coupes faites dans les
parties
J·tJJ J`mm'J 11' -J ht Il' Il'1 i l, -i ' i' .
) , j J " , , 1 1 .... ' , 1 , de l'écorce. ' ` Ici encore, trois
parties
essentielles sont . " étudier : 1 H t \' .. t,
que les; coupes suffisent à démontrer que, le . noyau 1 fait bien,
partie
intégrante de ces, éléments, ra- tmiflés, et qu
s plus fortes, ni les impressions tactiles ne sont perçues dans les
parties
malades. Cela bien constaté, M. Burq prend une
évaluer la va- leur de 'la' métallotliérapie interne dans une autre
partie
de travail. ' ' Nous dirons pourtant, dès à p
peu oc- cupé de soumettre à un contrôle méthodique et suivi cette
partie
des idées de M. Burq. Ici d'ailleurs, on rencon
été découverts. ,- Dans l'expérience type de M. Burq, il y a deux
parties
distinctes : , D'un côté, elle nous fait connai
ant l'invention de la pile. En faire l'historique serait répéter en
partie
cc qui' a été dit de l'aimant. Comme pour celui
ui nous intéresse pour l'instant dans son mémoire, c'est non pas la
partie
clinique, composée de 82 observations, mais MÉT
sance dans son- traité de physique, et qui avait servi à la majeure
partie
des applications médicales avant Mauduyt. La ph
t en quelque sorte accidentelle, il en sera question dans une autre
partie
de ce travail. (A suivre.) LES NOUVEAUX ANESTHÉ
s dentistes. En l'ab- sorbant sous pression et mélangé d'oxygène en
parties
déter- minées, on obtient une anesthésie des pl
ibres n'est plus transparent mais à demi coagulé. En soumettant une
partie
d'un nerf aux mêmes vapeurs, on constate que le
la perte de la sensation de contact et de la notion de position des
parties
affectées, à un degré plus ou moins marqué, et
ibilités spéciales et de l'intelligence, on peut en conclure que la
partie
qui en est le siège a non seulement une influen
epose donc sur une erreur que M. A. Kast croit pouvoir expliquer en
partie
. Dans la solution d'acétate, l'acide acétique s
uë à la base et au bord latéral de la corne postérieure, existe une
partie
fortement colorée sur la préparation au carmin.
-axes dont on n'aperçoit plus que quelques-uns dissé- minés dans la
partie
sclérosée, et développement considérable des ce
icielle du moignon de l'épaule, En ! examinant le ,torse 1 par j la
partie
antérieure ? les, bras étnt ,danslla1 position)de
s, qui 41.11 .. +, ,n ? r, 1,1 1 rf lt ti Il, t - )11 .. avait en
partie
conservé son action. Le grand pectoral, indemne
érable et la pie-mère parsemée de dépôts caséeux, notamment vers la
partie
inférieure de la pariétale ascendante gauche et l
.Jll... ? r ? Jf4" 'd"ll'b" ! ? 7 ? T ? 1.. grosseur Une noix, a la
partie
interne du lobe gauche du cer- velet ? l'111, P
la tente du cervelet jusqu'au lobe droit du cervelet,.qui était en
partie
envahi,, tandis que, la partie, postérieure de ce
lobe droit du cervelet,.qui était en partie envahi,, tandis que, la
partie
, postérieure de ce même l2 ? e- était, ramollie
. r Il '. "ri,. ll.. , - ? , . formation se produit dans toutes ces
parties
de 1 économie : . , J1 llfl'll 'l'I .'> iy i
connexion directe avec l'exposition au froid, ou la fatigue, et les
parties
atteintes en premier lieu ayant été les'plus ex
géré.-Ainsi, dans'les observations I et III ,' les pieds furent les
parties
sou- mises'à l'actibn''du froid humide; 'les'ja
que les fibres des racines postérieures soient englo- bées dans la
partie
lésée, ou bien enfin qu'une tumeur com- prime l
s/ un cas de fracture de la colonne cervicale,.la température des
parties
paralysées dépasser 401" L'autopsie montra qu'il
lonne cervicale, rapporté par M : Legros Clark/Iatem ? pérature des
parties
paralysées descendit à 33°,5'et atteignit t. 27
ttrait ''d'acquérir des'dimensions' capables de contenir la majeure
partie
de la masse sanguine; d'où l'anémie relative et
la masse sanguine; d'où l'anémie relative et le refroidissement des
parties
périphériques.' f' Ir 'h' Passant ensuite à l'é
ies ultérieures affec- 316 REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE. tant les
parties
déjà' lésées auront' une physionomie propre, de
s points À de , la 1, par M. H. Mabille.' "... .K,,Cette, seconde
partie
de,mémoire de M. Mabille (est, relative .à l'ét
Lancet, février 1880, p. 288.) Le nerf médian avait été coupé à la
partie
inférieure de l'avant- bras par un éclat de bou
s l'opération, la sensibilité était revenue dans presque toutes les
parties
animées par le mé- dian, sauf la dernière phala
n des asiles d'aliénés, sans doute elle est inexacte dans certaines
parties
, mais il a été à même de constater que, dans so
ants. M. Crichton-Browne croit être l'interprète delà plus grande
partie
des aliénistes en se tenant également éloigné des
ques dans les maladies cérébrales. Nous serons bref sur la première
partie
de ce travail qui porte sur les mêmes docu- men
clérose cérébrale dont M. Grasset a observé deux cas. La deuxième
partie
du travail que nous analysons est consa- crée à
s publiés à ce jour, et l'on peut recomman- der la lecture de cette
partie
de sa thèse comme véritablement instructive. On
'état apoplectique, chez des sujets paralysés; c'est encore une des
parties
intéressantes de cette thèse; malheureusement l
la phy- siologie pathologique n'est pas encore fixée. La dernière
partie
du travail de M. Biaise est consacrée à l'actio
hermogène des vésicatoires et des rubéfiants sur la température des
parties
anesthésiées; ces recherches sont le 1 Etudes d
durée, mourut dans le marasme. A l'au- topsie, on découvrit que la
partie
médiane du centre semi-ovalaire droit, toute la
apercevoir le noyau caudé du corps strié, la couche optique, et une
partie
de la corne postérieure du ventricule. Un liqui
nait à terre. La malade, enfin, se plai- gnait de ce que toutes ces
parties
paralysées de son corps étaient enflées et doul
On constatait une hémiplégie droite, datant de la naissance : cette
partie
droite du corps était plus grêle de structure q
: cette partie droite du corps était plus grêle de structure que la
partie
gauche : à droite, en- fin, la sensibilité au t
OMIE PATHOLOGIQUE. Voici quelles sont les dispositions des diverses
parties
du squelette, que traduisent du reste très clai
doute, tout simplement, par un état' particulier des muscles et, en
partie
, aussi des ligaments, durant la vie. Les os des
, de forme irrégulière : c'est l'insula, ou plutôt, à vrai dire, la
partie
postérieure de l'insula (PL. XI, h. : p.); car la
i dire, la partie postérieure de l'insula (PL. XI, h. : p.); car la
partie
antérieure, comme nous le reconnaîtrons plus lo
- phère droit : avec cette différence toutefois, à droite, que la
partie
antérieure de l'insula ne va point se cacher sous
la forme d'un petit mamelon irrégulier. Sur l'hémisphère droit, la
partie
antérieure de l'insula se compose de quelques p
t. A., température axillaire. - B, température du bain. La deuxième
partie
de la figure représentera température de l'eau du
Pacchioni à ce niveau. Il existe une certaine quantité de pus à la
partie
inférieure du MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË.
ns nombreuses qui tapissent les parois de l'oreillette gauche et la
partie
supé- rieure de la valvule auriculo-ventriculai
al, avant d'inciser la dure-mère, un petit épanchement de sang à la
partie
postérieure, mais le lavage le fait disparaître;
angement à ce qu'il serait jaloux de sa jeune soeur, qui a pris une
partie
des soins dont il étaitl'objet. Etat actuel (13
rique. 394 CLINIQUE MENTALE. , 1 Les oreilles sont longues ; leur
partie
supérieure est exubé- rante. Les cheveux sont
ir, on constate de l'emphysème sous-cutané autour du cou, et sur la
partie
antérieure du thorax ; pas d'accès de suffocati
39°. Autopsie le 24 déc. Larynx, trachée, rien. Congestion de la
partie
antérieure des poumons ; pas de tubercules. Cour,
ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 395 l'encéphale, pèse 735 gr. Les différentes
parties
de la base de l'encéphale, artères, nerfs, chia
scissure de Sylvius. L'atrophie intéresse surtout le pli courbe, la
partie
postérieure des première et deuxième circonvoluti
postérieure des première et deuxième circonvolutions temporales, la
partie
moyenne supérieure des circonvolutions ascendan
. - Sur la face interne de cet hémisphère, la lésion intéresse la
partie
moyenne de la première frontale et de la circonvo
cine des trois cir- convolutions frontales, la région moyenne de la
partie
antéro- postérieure de la circonvolution d'ence
le et pariétale ascendante (sauf un centimètre de la première), les
parties
voisines des cir- convolutions situées en arriè
ngueur et 4 de hauteur, coupe en quelque sorte l'hémisphère en deux
parties
; sur le bord supérieur de la face convexe, il p
circonvolutions de la face interne. Face interne : atrophie de la
partie
postérieure de la première circonvolution front
la partie postérieure de la première circonvolution frontale, de la
partie
antérieure du lobe para- central, des parties m
lution frontale, de la partie antérieure du lobe para- central, des
parties
moyenne et postérieure de la circonvolu- tion d
es sont 400 CLINIQUE MENTALE. normales, ainsi que les différentes
parties
de la base de l'en- céphale (chiasma, pédoncule
a) l'extrémité antérieure de la 30 circonvolution frontale; b) la
partie
la plus postérieure de cette même circonvolution
té- rieure de la deuxième circonvolution frontale ; c) un dans la
partie
moyenne du sillon qui sépare cette circonvolution
nvolution parié- tale ascendante est considérablement déformée à sa
partie
moyenne par une masse scléreuse qui comble les
ostérieure de la première circonvolution temporale; - h) un sur. la
partie
antérieure des deuxième et troisième circonvolu
roit, près du bord postérieur, une scissure anormale limitant une
partie
saillante. Il est très congestionné, la vésicule
forme conique. Poids, 50 gr. Les poumons présentent tous deux, à la
partie
postérieure du lobe inférieur, un foyer d'hépat
entriculaire, on constate sur la cloison inter-auriculaire, vers la
partie
antérieure de la fosse Fig. 21. V. Ir., valvule
rois de ce ventri- cule sont épaissesde 10 Il-) millimètres vers la
partie
moyenne, tandis que dans le ventricule gauche l
a naissance avant terme. Nous n'insisterons pas davantage sur cette
partie
de l'observation relative à la maladie bleue, p
la pa- thogénie de l'affection. Tantôt la lésion occupe une seule
partie
d'un repli cérébral ; tantôt elle envahit plusi
es éléments nerveux font absolument défaut dans toute l'étendue des
parties
sclérosées. Le tissu de cha- cun des nodules tu
e la dureté cartilagineuse de ces foyers d'encéphalite. Entre les
parties
malades et les parties saines, il n'y a pas une
neuse de ces foyers d'encéphalite. Entre les parties malades et les
parties
saines, il n'y a pas une démarcation tranchée ;
ci nous enseigne que la lésion tend à se propager toujours vers les
parties
saines, et que, si lent que soit le processus,
de la substance grise corticale, mais dont la localisation dans les
parties
les plus superficielles du cerveau tient à des
ile, la perception des saveurs, etc. La commission commençait cette
partie
de ses études par l'or- gane de l'ouïe. Après
gion que nous appellerons ana- logue (dans le cas supposé, c'est la
partie
antéro-externe de la jambe), il se produit une
res de côté, la couleur est vue aux angles avant de l'être dans les
parties
plus centrales. C'est une démonstration directe
couleur est perçue à la périphérie du champ visuel et non par les
parties
intérieures. D'ailleurs, tous les objets qui ne
devenues des bandes qui occupent toute la hauteur du membre sur la
partie
antéro-externe; elles ont, au contraire, à pein
moindre. Ainsi la bande anesthésique enveloppe déjà complètement la
partie
inférieure de l'avant-bras, tandis qu'elle lais
n'avons pas cherché spécialement l'état de la sensibilité dans les
parties
profondes, troncs nerveux et muscles. Il sera
r le tabouret de la machine électrique, les malades sentent sur les
parties
anesthésiques le vent élec- trique le plus faib
it dans le muscle pédieux ; l'interne se terminait dans la peau des
parties
correspondantes du premier et du deuxième ortei
profonde qui, passant en avant du corps restiforme, va aboutir, en
partie
, à un noyau diffus à grosses cellules et, en pa
va aboutir, en partie, à un noyau diffus à grosses cellules et, en
partie
, au corps restiforme lui-même. Ces dispositions
nnent à la bandelette optique, celle-ci ne forme qu'une très petite
partie
de son écorce médullaire et passe au-dessus san
ps genouillés, et surtout avec l'externe, et va pour sa plus grande
partie
composer la portion inférieure de la couche bla
les lésions cardiaques. Dans ces diverses conditions, l'excitation
partie
de la surface de l'endocarde, des terminaisons
aire paradoxale, la sensibilité cutanée est en par- tie normale, en
partie
quelque peu diminuée ; l'irritabilité réflexe n
ibres; elles deviennent hyperexcitables. Dès lors, toute excitation
partie
du cerveau à destination des centres spinaux ho
du côté sain entraînait après lui un mouvement iden- tique dans les
parties
malades. La diffusion de l'incitation motrice n
pée d'hémiplégie et ayant après quelques années récupéré une grande
partie
de ses mouvements volontaires, retomba subiteme
lesse générale (contrairement à ce que dit Berger). Le tronc et les
parties
supérieures du corps ne sont jamais atteints. L
secousses se faisaient sentir aussi pendant le jour. Le malade, en
partie
pour cette circonstance, en partie à cause de l
i pendant le jour. Le malade, en partie pour cette circonstance, en
partie
à cause de l'affaiblissement produitpar l'insom
correspondant existent, au milieu de la protubérance, des masses en
partie
gélatineuses, d'ap- parence cystique, en partie
ance, des masses en partie gélatineuses, d'ap- parence cystique, en
partie
composées de granulations calcaires, qui adhère
aux hyprémies, extravasats, tumeurs, ramol- lissement des diverses
parties
du cerveau et de la moelle cons- tatés alors. M
xtrémité antérieure des corps striés. Foyers de ramollissement à la
partie
inférieure du noyau intraventriculairo gauche e
t à la partie inférieure du noyau intraventriculairo gauche et à la
partie
externe du noyau droit. Rien dans les autres or
e qui s'est déjà écoulée. La substance grise était intacte dans les
parties
superficielles, très altérée au niveau des sill
eure se trouve le centre de tout l'organe visuel aussi bien pour la
partie
motrice que pour les par- ties sensitives et se
re avec les centres psycho-sensoriels des régions occipitales. La
partie
antérieure de cette circonvolution semble être le
emble être le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux et la
partie
postérieure ou pli courbe proprement dit est ou
pli courbe proprement dit est ou bien le centre de la vision ou une
partie
intégrante de celui-ci. M. XLIX. DES TROUBLES o
avail, des couches répétées, de la lactation, etc. La plus grande
partie
du travail de M. Beard est consacrée à une revu
centre de ses idées fixes qu'il possédait le monde en tout ou en
partie
. Joignons-y des conceptions de musique bruissante
hez lequel l'autopsie démontre un foyer hémorrhagique occupant la
partie
supérieure de la circonvolution frontale ascendan
la partie supérieure de la circonvolution frontale ascendante, la
partie
antérieure du lobule paracentral un à deux centi-
ür Iv1222SChe Med2= cin, t. 26 ; fasc. I et II.) Dans la première
partie
de son travail l'auteur rappelle que la compres
eures de la moelle. Le travail de M. Brissaud est divisé en trois
parties
: La première est consacrée à l'anatomie pathol
ratiquée sur la face interne du cerveau et passant à la fois par la
partie
moyenne de la tête du corps strié et par le poi
e cellulaire constituant le tractus intermédio-latéral. La deuxième
partie
est consacrée aux études cliniques : M. Brissau
où survient l'atrophie musculaire qu'il a décrite dans la première
partie
de son travail ; cette atrophie serait surtout
édifier la physiologie pathologique de la contracture ; toute cette
partie
de son mémoire est basée sur des expériences pe
ous les yeux du lecteur dans quelques tracés typiques. La troisième
partie
est consacrée à la physiologie patholo- gique d
solument au courant de la science neurologique dans ses différentes
parties
. Le traité de M. Grasset est devenu assez rapid
abandonné la dispo- sition par Leçons et a divisé son traité en six
parties
; les maladies de l'encéphale, de la moelle, de
ection des aliénées, on établissait une longue galerie couverte, en
partie
vitrée, divisée en com- partiments à cloisons m
ne ! D'où proviennent ces bois exotiques et précieux ? Celui-ci, en
partie
de Madagascar ou de l'ileMaurice. Où ces îles s
ite d'anatomie et de physiologie, mais ont laissé à désirer pour la
partie
orale, faute de s'être exercés à traiter ce gen
BLE) ; Par le professeur MIERZEJEWSKY (Suite). Dans cette seconde
partie
de notre travail, nous allons achever la descri
ônfondre3 avec ila ;substance,grisej djiLÇSyâHiSâHâ ? ' Ne. Dans la
partie
supérieure de la coupe, notamment dans scëtteip
aneUe ? d'un côté, jet, de,1autre c6té,lâcap- zsule interne^et les,
parties
, adjaçentesjiu cejveau. JDans^la.par- tie infér
iQn-odejrila g grosseurjjdjUneg nais t.e, qi faisait saillie szr 11
partie
, médianezeGla a o$v ? f ? derrliéiphè.ure 0 sR.
utejoeuvrejréellement scientifique. J'ai en vue la constitution des
parties
blanches du cerveau et surtout celle de la caps
très . -. vu ? iJ-. : job .svuierot'.o &hu .'aijHiTjim grande
partie
, que la continuation, ainsi que 'espère le ~, r
capsule interne est ')" "' fur91 ! y-'t'ij'iB <>** K,l\ la
partie
blanche qui divise, la masse ganglionnaire de >
, «or9ftTrrro h9>n rii4 p'tssno nos ,9lBid9190 98.1.0, si Sur la
partie
externe de.cette.bande, on. aperçoit le - ;nnim
fil ^00810^00,00 et ? s'1`w119 Llb 11.1jo J 9111ut1; 'tu une grande
partie
de son étendue, environ la moitié, l. v19 1- 9
wtrtru'ulu; allLn·Jt intérieure. Ces dentelures appartiennent a')a
partie
ante- il' flisn,î9,r 900 1801B. llpllfiilillJll
.o-oon ? ? . t3" q gaffrrrnr ovf : ) i ;)0 Une liane -le tond de la
partie
r supérieure de la .no))"9yd ? Ti 0o/,ip,t ? rr
llO;) S\V oa'.[9\',m I &11-J .t-if, 9191H Dans cette région, la
partie
supérieure de, la cap- - ? . i'Rv<,17 ej un
ne représente que la cen- ... j ? n.Tr ? .&') ? ijm.as tieme
partie
de celle des trois frontales.. r . , , e 1 3'.)
t noncpaslplus.larges pris individuellement, mais imbri- qués en.
partie
, seulement les uns, sur les. autres... ? ' - ?
et rele- veur de, l'anus du côté 4oit ? j-Pendantleeàteiîips, les
parties
correspondantes; de Llai peau se couvrirent de
nnyn mioo 1,10) nr; ï ? 6 ses régions de son corps, entre autres la
partie
ante- ? 91101°79a°, non 3noj ? jpr' n tnr),'r8p,'
ntl)ces'ecc%/ ? ? 'o5( ? s tabétiquesisont indiquées,, .en, .grande
partie
, dài,slé ? ï ? .titj-u) i lÀ lit Ji JOI)U(JU ifi-
u 0j> d· .Jllerus.mt tiques siègent communément, non pas,sur la,
partie
de u zif q cmiioiu( inud (.1`rt UD ' ; cu.u'tT
Ilji tlrJ.1 J ? >t J.J 5 à 10 centimètres plus haut, ,vers. la,
partie
moyenne l, ^10*0) =9000001 J'IOd ûS"^ cji cîA«.
de la jambe; quand les douleurs occupaient Je ,rgyc(ep c'était la
partie
moyenne d iillsu 35aqûûeaaPa -70009. 890 .loun'
sont compromises. « Si ces douleurs semblent avoir pour siège les
parties
périphériques, cela tient à ce que les impressi
s rare de voir survenir des vomissements de sang, soit pur, soit en
partie
digéré (marc de café) \ au point qu'à un examen
réciproque des aAesMeHes.Ainsi que nous le verrons dans la dernière
partie
de ce travail, une application faite sur un poi
ch. Archiv. fur. Klin. " fedzl ? 1880.) Ce travail comprend trois
parties
. I. La première est consacrée aux Phénomènes él
LOGIQUE. 575 576 REVUE D'ANATOMIE pathologique. II. Cette autre
partie
comprend l'ensemble des altéra- tions histologi
ntière indépendance à l'égard du processus de néofor- mation, et la
partie
saine du nerf ne fournissant pas de fais- ceaux
charge accidentelle, soudaine et rapide de la substance grise d'une
partie
quelconque du cerveau ». Cette définition parai
ra la présence dans le centre ovale gauche d'une tumeur occupant la
partie
médiane desfaisceauxpariétauxsupérieurs.pédicul
oup de bègues se servant fort peu du diaphragme et faisant jouer la
partie
supé- rieure de la poitrine, ce qui leur fait é
secondaire, consécutive aux lésions indiquées dans la caisse et les
parties
périphériques de l'appareil de l'ouïe ? z C. T.
e de cellules gra- nuleuses, par la fermeté, lerecoquevillement des
parties
lésées dans le second état. Ces altérations n'a
nce physiologique de la substance grise, de même qu'inversement une
partie
de la substance grise peut être incapable de fo
ne l'excitation des centres; vaso-dilatateurs correspondant à cette
partie
du corps ou la pa- ralysie des vaso-constricteu
dépend de la force d'incitation ; si, à l'état physiologique, une
partie
de l'incitation est déviée directement sur l'arc
de l'index gauches ; un peu plus tard, paralysie et atrophie de la
partie
antérieure du deltoïde à gauche et de la longue
minution frap- pante des troubles notés antérieurement. Parfois les
parties
anciennement anesthésiées présentaient une hype
ration de la sensibilité ne concernait que la peau et nullement les
parties
profondes; et le fait que ces malades étaient a
s petits rameaux ou des extrémités nerveuses qui se distribuent aux
parties
affectées. 601 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
es hémorrhagies stomacales consécutives aux lésions des différentes
parties
du système nerveux(couche optique, pédoncule, b
n de jardins et de lieux de prome- nade ; 3° Installation dans la
partie
la plus élevée de l'établissement d'un réservoi
servation d'une malade somnambule qui contribuera à éclaircir cette
partie
encore obscure de la physiologie cérébrale; son
tient déjà plus de 130 spécimens. Mais la valeur considérable de la
partie
artistique de l'ouvrage ne doit point faire oub
de la partie artistique de l'ouvrage ne doit point faire oublier la
partie
scientifique qui est encore plus importante. On
tord et se met à angle droit'surle bras et se porte d'abord sur la
partie
latérale - l Dans nombre de cas, nous avons les
dentes parce qu'elle peut conduire à la démence. Dans la seconde-
partie
du second volume, on retrouve de nouvelles obse
ie après avoir été circonscrite à une moitié du corps gagne tout ou
partie
de l'autre moitié : alors l'anesthésie est ordi
une pression plus ou moins forte produit dans un temps variable, en
partie
ou en totalité, les phénomènes qui caracté- ris
1fJ{ ? 1 P'a qui' bibliographie. <633 , ,.Ivails une troisième
partie
, MM. Bourneville et Regnard,ont décrit minutieu
e qui lui revient. j" '' ' D'Olier voulut encore utiliser une autre
partie
des documents qui nous étaient communs et dépos
es méthodes de prépara- tion ; 3° Les structures microscopiques des
parties
spéciales du cerveau. - Physiologie : 1° Le rap
portion de fibre normale. Entre C et A (phase de dégé- nération) la
partie
externe de la gaine de myéline a seule subi la fo
subi la fonte granuleuse dans toute son épaisseur. Au niveau de la
partie
moyenne du segment, en c, la dégénération n'a p
partie moyenne du segment, en c, la dégénération n'a pas atteint la
partie
profonde de cette gaine. Fig. 13, Il,, la. El
de la gaine de Schwann par des noyaux entourés de protoplasma. .1,
partie
profonde de la gaine de myéline, demeurée normale
ance blanche du lobe pariétal, arrivant à la capsule interne. , une
partie
de la commissure antérieure. N C, noyau caudé.
nes renfermés dans la cavité buccale et une seconde pour les autres
parties
du corps ; qu'a- border la pathologie buccale,
n tour un cancer, par ce simple con- tact. Depuis, elle passait une
partie
de ses journées à épier dans une glace l'appari
oupable (non point celle qui avait été obturée), d'en retrancher la
partie
malade et de la réimplanter ensuite. La malad
bouche le rôle d'un véritable traumatisme. Mra0 de X... passait une
partie
de son existence chez le dentiste et en visitai
nterrompue par une mort prématurée, je ne puis parler ici que des
parties
qui ont trait aux localisations' cérébrales. J'
nscience et l'intelligence aux origines mêmes delà vie. La deuxième
partie
de l'I1jpothèse de Herzen, qui nous semble vrai
nisées dans les cen- tres correspondants de l'écorce cérébrale, les
parties
périphériques du corps peuvent manquer, ainsi q
n seulement de l'existence, mais du déplacement et du mouvement des
parties
absentes ou frappées d'anesthésie tactile et mu
e la sensibilité générale ou de la sensibilité spécifique de chaque
partie
correspondante du corps, et des points de dépar
et des points de départ des impulsions motrices en rapport avec ces
parties
. Le mécanisme des halluci- nations motrices des
n'est prs perçue comme un processus central : elle est projetée aux
parties
où va l'impulsus centrifuge. La malade éprouve
ivalent mécanique, thermique, chimique; l'animal qui pense perd une
partie
de son énergie. - Voilà ce qu'il faudrait prouv
uscitent la pensée, Or, dans l'hypothèse d'une transformation d'une
partie
de l'énergie calorique ou électrique en pensée,
de désassimilation de l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette «
partie
de la substance nerveuse où l'activité s'exerce
6 u de diamètre, rarement 8, d'après Robin. Encore ia plus grande
partie
du « myélocyte conscient » est-elle occupée par
en novembre 1889, à la suite d'une fièvre typhoïde, pour revenir en
partie
. Au moment où la malade se présente à notre obs
ient impossible en 1887, après une fièvre typhoïde, pour revenir en
partie
plus tard. Dans la seconde observation, une pet
ites avec plus de soins et de dé- tails 1. · En commençant par la
partie
antérieure; nous trouvons que ce - qu'on appell
2 et 3), et s'étendant au delà de la marge de l'hémisphère dans la
partie
postérieure de la circonvolution marginale ou du
é par I, figures 5, 6, 7. Au-dessous du centre de la jambe, et en
partie
au-devant de lui, occupant le tiers moyen ou pl
ts, du pouce. Les mouvements « proximaux » sont représentés dans la
partie
, supérieure de la région, les mouvements « dist
est-à-dire ceux de l'extrémité du membre, doigts et pouces. dans la
partie
inférieure. Une excitation minima à l'extrémi
able aux mouvements du poignet et des doigts par l'excitation de la
partie
inférieure de la circonvolution pariétale ascen
duit des mouvements de la face, de la bouche, de la langue. Dans la
partie
supérieure de cette région, on peut différencier
os chez le chat (fig. 6) chez le lapin (fig. 7). L'excitation de la
partie
inférieure a produit ! des mouvements de la bou
n de la langue étant géné- ralement produite par l'excitation de la
partie
antérieure (9, fig. i) et la réaction, par l'ex
artie antérieure (9, fig. i) et la réaction, par l'excitation de la
partie
postérieure (10, fig. 1). Semon et Horsley' o
direction en haut ou en bas, suivant que les électrodes sont sur la
partie
antérieure ou postérieure de ce pli. L'état des
vements semblables se produisant après l'excitation des différentes
parties
du lobe occipital et des régions avoisinantes.
phénomènes observés après l'excita- tion électrique des différentes
parties
de l'écorce cérébrale. Ces résultats, à part le
pendant, le même mouvement peut se produire avec d'autres quand une
partie
du centre est excitée. On peut in- terpréter ce
uvent être moteurs dans le sens qu'ils sont dus à une excitation de
parties
en rapport direct avec les tractus moteurs ou l
s d'abord,, placé les centres sensitifs respectifs correspondent en
partie
à la situation assignée à ces centres par les m
us facilement et d'une façon plus uniforme par l'excitation de la
partie
antérieure et postérieure du pli courbe. Règle gé
xtrémité supé- rieure de la circonvolution temporale moyenne, cette
partie
du lobe occipital immédiatement derrière la sci
t par l'excitation de la surface sous-jacente du lobe occipital, la
partie
la plus inférieure de ce lobe, et de la marge i
le côté droit, non seulement tout le lobe occipital, mais aussi une
partie
du segment postérieur du pli courbe ont été enl
rbe est intact superficiellement, mais les fibres médullaires de la
partie
coupée bombaient considérablement par suite d'une
maines après, pendant laquelle on lui avait en- levé la plus grande
partie
des deux lobes frontaux. Cette seconde opératio
mbe gauche fut cautérisé jusqu'à la scissure occipito-pariétale, la
partie
postérieure du corps cal- leux fut aussi divisé
va les deux lobes occipitaux (surface externe et postérieure et une
partie
de la surface inférieure) avec un intervalle de
sans, autant qu'on peut l'affirmer, une cécité absolue dans aucune
partie
du champ visuel ; mais les auteuis ne peuvent p
t avec la moitié latérale correspondante de chaque rétine et qu'une
partie
seulement de l'écorce de la région peut prendre
re visuel n'embrasse pas seulement le lobe occipital mais aussi une
partie
ou la totalité du ph courbe. Les rapports des d
. - Schrcfer lui-même a supposé que les fibres unies à l'écorce des
parties
environnantes du cerveau et spécialement du pli
nes; 3° la zone inférieure du centre usuel est en rap- port avec la
partie
inférieure de la moitié correspondante des deux
s; îo la zone intermédiaire du centre \isuel est en rapport avec la
partie
moyenne de la moitié latérale correspondante des
ation du lobe temporal droit. Plus tard, la lésion s'est étendue en
partie
sur la surface inférieure du lobe occipital. A
vécut il resta absolument hémiopique vers la gauche dans toutes les
parties
du champ visuel. On trouva après la mort que l'
me après la destruction la plus grande des lobes occipitaux, aucune
partie
de la rétine ne parait absolument aveugle ; d'o
ussi la quatrième et la cin- quième circonvolution temporale et une
partie
du gyrus de l'hypo- campe ? On a aussi publié d
culier, il y avait une petite zone qui avait détruit la plus grande
partie
de la cir- convolution occipitale moyenne. Ce c
s lésions, d'une étendue et d'une profondeur suffisantes, dans la
partie
postérieure de la région occipitale chez les chat
t de nouveau réemmagasiner des figures visuelles, nouvelles dans la
partie
du centre non détruite. Quelques images cependa
crite comme centre visuel par Munk. Mais de beaucoup la plus grande
partie
de ce centre est pour lui du luxe. Les « images d
on spécialeavec le centre extrême de l'oeil du même côté, ni aucune
partie
n'est pas plus en rapport avec une portion delà
région homologue au centre \isuel des animaux supérieurs occupe la
partie
pari(·lo- posténeure de l'hémisphère où elle fo
n produit la cécité dans l'oeil opposé; tandis que l'ablation de la
partie
antérieure ni fabulation de l'extrémité postéri
ude et piquante. L'acétanilide est très peu soluble dans l'eau; une
partie
exige 160 parties d'eau pour se dissoudre. Elle
L'acétanilide est très peu soluble dans l'eau; une partie exige 160
parties
d'eau pour se dissoudre. Elle est très soluble
soudre. Elle est très soluble dans l'eau bouillante; soluble dans 3
parties
et demi d'alcool, 6 d'éther et 7 de chloroforme.
fectue qu'à la condition qu'il y ait parfait commensalisme des deux
parties
et que toutes deux soient positivement séquestr
lences, d'agitation, ou de tentatives d'évasion. Dans la dernière
partie
de son travail, il étudie la folie puerpé- rale
lus ou moins longtemps s'étaient abstenues des plaisirs sexuels. La
partie
de ce travail que l'auteur consacre ri la psychol
étré dans le colon, l'autre dans le psoas ; l'intestin grêle et une
partie
du gros intestin étaient le siège d'une inflamm
Conclusions : Il Le sommeil diminue la quantité de l'urine et des
parties
constitu- tives fixes de cette humeur, principa
s avoir traversé la lame criblée, se placent presque toutes dans la
partie
supérieure de la membrane nerveuse, de sorte que
uit par le défaut d'oblitération de la lente foetale de l'oeil à sa
partie
pos- térieure. L'orateur traite aussi de la p
t en deux moitiés : tubercules bijumeaux, lobes optiques, etc. La
partie
antérieure du toit forme chez tous les animaux un
ies, chez les jeunes torpilles, il apparaît nettement qu'une petite
partie
de la com- missure provient des fibres entre-cr
aux immédiatement adjacents au cerveau moyen. Mais la plus grande
partie
de la commissure est foimée de fibres commissural
anglion profond du mésocéphale, noyau du ruban de Reil. Une seconde
partie
de fibres, lui-même divisé en un segment latéra
près au niveau du quart supérieur de la capsule. Ils proviennent en
partie
du noyau lenticulaire, en partie de certains te
de la capsule. Ils proviennent en partie du noyau lenticulaire, en
partie
de certains territoires de la frontale ascendan
en partie de certains territoires de la frontale ascendante et des
parties
les plus reculées des circonvolutions frontales
e dans ces cas il y avait aussi des altérations secondaires dans la
partie
inférieure des bras con- jonctifs des tubercule
s en faveur de sa con- ception dualiste de la maladie. De ces trois
partie
? la plus belle comme la plus incontestée, est
ces trois partie ? la plus belle comme la plus incontestée, est la
partie
clinique. Elle embrasse treize mémoires dont si
ie dualiste de la paralysie générale, que nous retrouverons dans la
partie
syn- thétique de l'oeuvre du célèbre médecin de
ns la paralysie générale. BIBLIOGRAPHIE. 147 Î Nous arrivons à la
partie
la plus contestée de toute l'oeuvre de M. Baill
me posais en 1878, je réponds aujourd'hui : « Oui ! » La dernière
partie
du second volume renferme, sous six numéros d'o
e originale qui domine ce livre, et qui consiste à considérer comme
parties
d'un même tout' mor- bide des affections souven
lief en question s'appelle le repli sus-rotulien de Gerdy. C'est la
partie
la plus inférieure du corps charnu du vaste int
omique du repli sus-rotulien de Gerdy réside dans la présence, à la
partie
inférieure de l'aponévrose fémorale, d'une vé-
our- reau aponévrotique résistant qui maintient les muscles de la
partie
antérieure de la cuisse. Dans le relâchement du
rce que la contractilité du triceps de ce côté est abolie et que la
partie
la plus inférieure du vaste interne ne peut s'é
e, de ce côté, la rotule est abaissée (fil. '12). Les muscles de la
partie
postérieure ont subi également un commencement
toire des phénomènes moteurs et sensitifs il se pro- duisit, sur la
partie
postérieure dn tronc et sur la région anté- rie
le. En avant, on voit deux groupes, moins importants que ceux de la
partie
postérieure,- siégeant en-dessous et à gauche d
branche sacrée. Les douleurs ont eu pour localisation initiale une
partie
restreinte de la sphère du saphène interne. Pui
es à une localisation unique, située beau- coup plus haut, dans une
partie
bien limitée du plexus, peut- être même encore
être même encore plus haut, dans la région de la moelle d'où cette
partie
de plexus tire son origine. C'est ce dernier po
lexus lombo-sacré et même, ainsi que vous avez pu en juger, dans la
partie
supérieure de ce plexus. Nous touchons ici à un
brachial, pourquoi la même immunité ? Si l'on admet que cer- taines
parties
du système nerveux sont plus ou moins sensibles
es substances médicamen- teuses ou toxiques, encore faut-il que ces
parties
soient des centres, au sens que l'on accorde ha
, dans la pathogénie des névrites en question, subsiste en grande
partie
, quoique non assimilable à celui qu'elle joue dan
mitation des phénomènes moteurs, sensitifs et tro- phiques dans une
partie
restreinte du plexus lombo-sciatique, ne suggèr
dis pas davantage - que tous les centres spinaux, d'où émerge cette
partie
du plexus, ont subi au même moment et au même d
autre occasion, le faisceau pyramidal ne renferme pas la vingtième
partie
des fibres nerveuses repré- sentées à la périph
rsqu'on sectionne, chez les cobayes, le grand nerf scia- tique à la
partie
supérieure de la cuisse, le petit nerf sciatique
anifeste d'abord à l'extrémité du trajet nerveux, c'est-à-dire à la
partie
laplus éloignée du centre spinal, comme il arri
godronné et la circonvolution de l'hip- pocampe, je ne décrirai la
partie
godronnée de cette région qu'au point de vue ma
Lorsqu'on fait une coupe transversale de la région, au niveau de la
partie
moyenne de la corne d'Am- mon, et intéressant l
t occupée par un amas de substance grise de teinte foncée, dont une
partie
, passant entre le corps bordant et la face corr
ns la gouttière est entouré de substance médullaire, sauf dans sa
partie
libre ou godronnée; et que cette subs- tance mé
t et en dehors, la lame médullaire commence par un crochet, dont la
partie
effilée sé- DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'
lée sé- DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 185 pare en
partie
la portion libre du restant de la masse grise ;
borde la petite vir- gule ou virgule supérieure sera concave par sa
partie
adhérente, convexe par sa partie libre. En dé
ule supérieure sera concave par sa partie adhérente, convexe par sa
partie
libre. En définitive, la masse grise a deux éco
ibre. En définitive, la masse grise a deux écorces, pour ses deux
parties
qui se dirigent en sens contraire, une qui se d
llm j Substance blanche réticulée; Laine bordante hippocampique, La
partie
interne de l'écorce est désignée actuellement s
ellement sous le nom de szebiculum, quand elle revêt le lobule à sa
partie
moyenne. Nous avons vu qu'elle s'arrête en s'am
uncus, elle tapisse le fond de cette anfractuosité, puis toute la
partie
libre de l'uncus, en passant par la scissure de
ntérieure de la substance grise. En avant où on peut reconnaître sa
partie
libre jusqu'au fond de la cavité uniforme, on v
-dessus la substance blanche réticulée, et venir se terminer sur la
partie
externe du carrefour pour se continuer avec la
s de véritables éminences, continue ou du moins semble continuer la
partie
profonde de la cir- convolution ; la seconde, l
convolution ; la seconde, lisse, continue ou semble en continuer la
partie
libre. Branche interne de l'extrémité postérieu
de la décrire, je dois dire que souvent je n'ài ren- contré que. la
partie
médullaire de la circonvolution. Entre la premi
veritable formation, dont les tractus longitudinaux ne sont qu'une
partie
appas- 1 Dans la description j'ai employé l'exp
de la bifurcation postérieure du corps godronné, c'est-à-dire de la
partie
libre de celui-ci. Ils sont donc en quelque sor
rès rapprochés l'un de l'autre, sur le plan médian de la voûte à sa
partie
supérieure, parcourent ainsi tout le corps call
compose donc (dans de certaines familles de mam- mifères) de quatre
parties
distinctes, non compris le lobule olfactif ? du
de la face ventriculaire du lobule de l'hip- pocampe, surtout à sa
partie
inférieure » . Pressât cite aussi des observati
vec les nerfs olfactifs. » MILNE-EDWARDS. « Proportionnellement aux
parties
voi- sines des hémisphères, la corne d'Ammon es
lobe frontal, en haut avec le lobe du corps calleux, en bas avec la
partie
interne de l'espace quadrilatère, et sur laquel
même temps que cette racine... Le centre antérieur com- prend la
partie
postérieure des deux premières cir- convolution
ANATOMIE. z sont olfactives l'une et l'autre, au moins dans leur
partie
postérieure, sans qu'on puisse savoir jusqu'où
Nous ferons seulement remarquer que l'anatomie a déjà désigné cette
partie
comme cor- respondant très probablement aux fon
que des sections diverses -du même appareil. Prises isolément, ces
parties
présenteraient des difficultés à l'intelligence
ent plus facile. Et nous pouvons démontrer qu'elles ne sont que les
parties
d'un tout, en étudiant leur mode de développeme
ngage figuré adopté par les anciens anatomistes pour indiquer les
parties
de la région que nous étudions, nous pourrions
) com- munique encore avec le ruban fibreux de l'ourlet, avec les
parties
antérieures de la marge du quadrilatère per- fo
oré, avec le cotylédon extra-ventriculaire du corps strié, avec les
parties
extérieures et le noyau gris de la tubérosité t
exions qu'il présente aussi par ses racines internes avec certaines
parties
ventriculaires ont lieu précisément entre lui e
anche ; et pour la substance grise, par une languette émanant de la
partie
antérieure de la partie libre du corps godronné
ance grise, par une languette émanant de la partie antérieure de la
partie
libre du corps godronné et pas- sant par-dessus
portion grise sont à peu près la même que dans l'homme. » C'est la
partie
interne de la terminaison du corps godronné au
le seul des modernes, à ma connais- sance du moins, qui ait vu une
partie
du corps go- dronné supérieur. «... La fascia d
omme : chien, chat, renard, veau, agneau, etc., on trouve que cette
partie
est occupée par une circonvolution sinueuse bie
s loin : « Il me suffit d'avoir seu- lement démontré que toutes les
parties
essentielles du grand pied de l'hippocampe ne s
s essentielles du grand pied de l'hippocampe ne s'arrêtent pas à la
partie
postérieure de cette région, mais qu'elles se c
aison de la bandelette de l'uncus ne pourrait pas s'unir à d'autres
parties
, et en particu- lier, si l'on ne pourrait pas r
e du ruban fibreux de l'ourlet l'endroit où il est atta- ché à la
partie
antérieure interne du quadrilatère perforé, on
eloppe. » L'ourlet de Foville n'est autre, comme on le voit, que la
partie
médullaire de la circonvolution godronnée sus-c
défectueux, car l'ourlet, auquel ce nom est emprunté, n'est pas une
partie
distincte ; c'est le pro- duit artificiel d'une
r point de départ le point de cette ouver- ture qui correspond à la
partie
interne du champ olfactif, nous le verrons suiv
eux racines olfactive externe (corne d'Ammon) et olfactive interne (
partie
frontale de la circonvolution de l'ourlet). F
, seu tecta nervus Lancisi) qui s'étend en arrière et en bas sur la
partie
descen- dante de la circonvolution de l'ourlet,
figurée, motrice et statique. On peut se représenter cette dernière
partie
selon le « Pathe- ma p (Lerdenschaft, passion).
manière dont les physiologistes le pensent, mais qu'il n'y a que la
partie
de la force musculaire non .utilisée comme trav
52 PHYSIOLOGIE. contraction. Quand l'animal est en mouvement, une
partie
des actions chimiques qui s'accomplissent dans
muscle se refroidit. Le postulat d'Armand Gautier est donc déjà en
partie
vérifié par les faits. 1 J. Béclard. Traité élé
ans les lobes frontaux, un travail plus intense que dans les autres
parties
du cerveau, et si les variations de la températ
ion, où ces centres « s'engrènent », se confondent, se pénètrent en
partie
, et passent insensi- blement les uns dans les a
s opto-striés, appartenant au système cortical, peuvent suppléer en
partie
, comme centres de perception et d'idéation, les
la totalité de la moitié postérieure dé la troi- sième et aussi lés
parties
postérieures et inférieures de la première et d
uciani et Tamburmil ont trouvé que la destruction unilatérale de la
partie
postérieure et supérieure de la troisième circuuv
ieure de la seconde circonvolution externe et ne comprennent aucune
partie
de la troisième, il ne survient aucun trouble de
le coude de la troisième circonvolu- tion externe fait certainement
partie
de la sphère auditive chez le chien, mais ils d
ésions avaient envahi la circonvolution temporale supérieure et les
parties
avoisinantes des lobes occipitaux et parié- tau
x cas de cette nature2. Dans l'un une tumeur, dont la plus ancienne
partie
était au-dessous de la circonvolution temporale
i microscopiques n'ont déterminé d'une façon certaine, dans quelles
parties
particu- lières du côté opposé de la moelle, le
rsque la colonne latérale restait, les mouvements des bras et de la
partie
antérieure du corps pouvaient être excités de s
a jambe opposée puissent produire facilement des mouvements dans la
partie
antérieure du corps, ils ont trouvé qu'il fallait
stance après la séparation complète de la moelle à n'importe quelle
partie
. Des trajets qui subissent la dégénérescence asce
rtion d'une moitié de la moelle (excepté le cordon postérieur), une
partie
du cordon antérieur, et celte portion du cordon
pu après la mort vérifier une plus grande destruction que celle des
parties
avoisinant immédiatement la scissure mé- diane
plus léger contact sur ses pieds ou n'importe quelle portion de la
partie
inférieure de son corps attirait aussitôt son a
més, il est absolument incapable de dire où est son membre ou une
partie
de ce membre, mais il peut diriger ses mouvements
dissement, d'une rigidité absolue des membres infé- rieurs et de la
partie
inférieure du tronc, de fièvres et de douleurs
ation II, est un exemple de tabes avec paralysie bilaté- rale de la
partie
postérieure du tronc; dégénérescence des muscles
bryogéniques. P. K. VII. LE POIDS DE l'encéphale ET DE SES DIVERSES
parties
CONSTI- tuantes chez les aliénés; par TIGGES. (
est lui qui est le plus affecté par les folies secondaires, que les
parties
du manteau plus développées que les autres dans
zones visuelles du lobe occi- pital - à la section transverse de la
partie
postérieure de la cap- sule interne - à l'ablat
rétion de l'urée de 5 gr. 20. Les deux espèces de bain chassent les
parties
solides constitutives de l'urine. Le di- polair
mologue partiellement en arrière de cet organe et n'en va gagner la
partie
postérieure qu'après entre- croisement dans le
nt en avant ou au-dessous du corps trapézoïde, tandis qu'une petite
partie
(variable) de ces mêmes fibres s'entre-croise i
ssous du plan- cher gris du quatrième ventricule et pénètre dans la
partie
laté- rale du bulbe. On voit aussi chez le chat
in- troduit parla ligne blanche à travers le duodénum; - 3° de la
partie
moyenne de l'estomac, par un ballon adapté à un t
es arrêtent les mouvements py- loriques : il en est de même pour la
partie
supérieure de lamoelle, le bulbe, les pédoncule
pratiquer la section des nerfs. M. Kredel trouva, en effet, que la
partie
antérieure et postérieure de l'artère avait été
de l'eschare, le malade est mort. A l'autopsie, on a trouvé sur la
partie
la plus convexe de l'hémi- sphère droit une tum
t d'une lésion corticale en foyer, de même que la destruction d'une
partie
de l'écorce n'entraîne pas nécessairement un trou
(Paris, 1890. Ollier-Henry, édit.) Cet opuscule se compose de deux
parties
tout à fait distinctes. La première ne contient
eur et des vaisseaux, et nous tenons surtout à insister ici sur les
parties
du tome second, qui sont consacrées aux maladie
is les origines du christia- nisme jusqu'à nos jours. Toute cette
partie
de l'ouvrage, qui en est du restela plus impor-
oquent des incidents scandaleux et jettent la perturbation dans une
partie
des specta- teurs : arrêtons : « Article prem
à localisation unique et très nette, montrant qu'une lésion de la
partie
inférieure et interne du pédoncule cérébral pro
it complexe. Il y avait en effet des lésions un peu dans toutes les
parties
de l'encé- phale : non seulement le pédoncule m
, au contraire, a trait à un foyer hémorrhagique siégeant dans la
partie
inférieure du pédoncule gauche et ayant inté- r
imant à la fois le moteur oculaire commun et le pédoncule dans sa
partie
inférieure et interne, reproduirait aussi le mê
drez ceci qu'il y a certaines lésions du pédoncule céré- f bral (
partie
inférieure et interne) qui sont caractérisées 1
e confondus et situés sous le plancher du quatrième ven- tricule.
Parties
de ce point leurs fibres s'agrègent aus- sitôt
lui l'audition de l'orgue de Barbarie pen- dant l'attaque répond la
partie
correspondante de son récit. Ainsi qu'on l'a
s, qui ne varient point d'un état à l'autre, puisqu'ils forment une
partie
de substratum psychique de son être, ils sont a
, comme il convient. Mais, tandis que ceux-ci laissent échapper une
partie
du courant d'air expiré sans parler et ne sont
évidemment dans le tegmentum du pédoncule cérébral et de là dans la
partie
postérieure de la capsule interne où ils s'irra
autres fibres du pied du pédoncule, manque généralement dans cette
partie
. Rech- terew et Ilossolymol cependant, ont publ
lblatt., n° 7, 1886. 378 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. cence de cette
partie
du pédoncule évidemment en rapport avec des lés
ssible quelques lumières sur les fonctions et les rapports de cette
partie
du pédoncule, je l'ai récemment sectionné chez
tractus sensitifs se trouvent séparés des fibres mo- trices dans la
partie
postérieure (ou plutôt dans le tiers postérieur
3 sur ce sujet avec le profes- fesseur G.-F. Yeo. La méthode fut en
partie
celle que j'avais déjà employée, c'est-à-dire l
is déjà employée, c'est-à-dire la destruction, par le cautère et en
partie
la section de la région de l'hippocampe par la
cautère et en partie la section de la région de l'hippocampe par la
partie
convexe du lohe temporo-sphénoldal. Nous avons
'hippocampe, les ganglions de la base, les pédoncules et les autres
parties
étaient parfaitement intactes. Chez un autre
este du lobe falciforme dont la région de l'hippocampe n'est qu'une
partie
. Telle est l'origine de leurs expériences sur le
dans les Phil. Trans. et ils reéher- chèrent aussi s'il y avait des
parties
du lobe falciforme spécialement en relation ave
au tronc, mais nous n'avons pas pu établir une relation entre telle
partie
du corps atteinte et telle partie détruite de la
établir une relation entre telle partie du corps atteinte et telle
partie
détruite de la cir- convolution. De plus, l'ane
à une excitation assez forte pour être perçue, en se grat- tant une
partie
différente de celle d'où était partie l'excitatio
localisation du siège de ces impressions, l'animal se grattant une
partie
différente de celle tou- chée. L'amélioration
t tué. La figure 43 représente le cerveau d'un singe chez lequel la
partie
postérieure de la circonvolution de l'hippocampe
une crande diminution des réactions tactiles et douloureuses sur la
partie
postérieure de côté droit du corps, avec une lé
ue représentant la sensibilité du côté opposé en général, certaines
parties
du lobe falciforme peuvent représenter plus spé
isphère. Le trajet des fibres qui unissent le lobe falciforme et la
partie
sensitive de la capsule interne n'a pas encore ét
on marginale seule, la dégénérescence dans ce dernier cas occupe la
partie
postérieure et externe du cordon pyramidal croi
z les différents animaux varie la structure de la totalité ou d'une
partie
de la région ci-dessus déciile. Broca divise to
rrompt la continuité de la scissure limbique et unit le lobule à la
partie
tempora-parié- tale de l'hémisphère. C'est le p
choroïde se plaçait dans la corne descendante immédiate- ment à la
partie
interne du toenia de l'hippocampe. La circonvo-
e singe ou qu'il subisse des variations de grandeur avec les autres
parties
en rapport avec les tractus olfactifs. On peut se
ure (X 4) d'après Ganser). ne, commissure antérieure, divisée en po
partie
olfactive et pt pallie temporale. - z ci, capsu
, le pilier antérieur du trigone à 3 millimètres de diamètre. Une
partie
des fibres du trigone sont pour Owen' des fibres
orps calleux chez ces ani- maux (B fig, 32). Chez l'homme aussi, la
partie
postérieure du tri- rone est formé de fibres tr
taient, sinon complètement, mais du moins, atteints dans une grande
partie
. Il aurait fallu faire plusieurs observations sur
nt dans la région pariétale jusqu'à la scissure longitudinale et en
partie
aussi vers le lobe frontal. Quant au sens du go
essés dans les mouvements volontaires et qu'ils font anatomiquement
partie
de l'appareil moteur. On a établi par des expér
invariablement une paralysie des mouvements volon- taires dans les
parties
correspondantes. Un tel résultat se pro- duit,
s lésions qui peuvent produire des affections in- directes d'autres
parties
), j'ai 110 cas d'hémiplégie du côté opposé par
iale, comprenant trois cas d'excision chirurgicale par lésion de la
partie
moyenne des circonvolutions ascendantes, 19 cas d
- LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 407 la sensibilité générale de la
partie
paralysée' ». Pour vérifier l'hy- pothèse qui a
étruites, il n'y avait aucune diminution de la sensibilité dans les
parties
atteintes de paralysie. Le ramollissement par les
itive, ou bien ces troubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres
parties
que la zone motrice de l'écorce. Ceci s'appliqu
52 cas la sensibilité était intacte (dans un de ces cas une grande
partie
de l'écorce motrice était excisée'). Dans 37 l'ét
donc que de 284 cas atteignant la zone de Rolando en totalité ou en
partie
, dans 100, l'état de la sensibilité n'était pas
'innervation indépendam- ment des impressions sensitives venant des
parties
en mouvement. L'énergie des centres et de l'app
sensations qui accompagnent l'ac- tion musculaire et qui forment en
partie
la base de nos idées de mouvement sont distinct
ce descendante de ces cordons ', qu'on ne peut suivre au delà de la
partie
supé- rieure du pont de V,trolle. La direction
avec les noyaux moteurs de la moelle. Les dégénérescences dans ces
parties
du pédoncule, d'après ses obser- vations ont ét
s particuliè- rement de la région postfrontale, indiquent que cette
partie
est en rapport avec les mouvements latéraux de
uvent être paralysés d'une façon permanente, à moins que toutes les
parties
de la région frontale ne soient com- plètement
je pense qu'il est d'autant plus nécessaire d'agir ainsi qu'une des
parties
les plus importantes de ce sujet, c'est-à-dire
es douleurs 426 6 REVUE ANALYTIQUE. violentes des talons et de la
partie
moyenne des pieds, dou- leurs qui empêchaient l
symptômes du délire de persé- cution, M. Dagonet, dans une seconde
partie
de son travail, passe successivement en revue l
llucinations » attribue leur production à l'excitation de certaines
partie
de l'écorce grise du cerveau. C'est, du reste,
de l'écorce grise du cerveau. C'est, du reste, dans cette dernière
partie
du cerveau que les derniers travauxsur les loca
gnification commune, qui se réduit à condenser en un mot nouveau la
partie
essentielle et ca- ractéristique du délire. Par
usculaires reste inexpliquée dans beaucoup de cas, ce qui dépend en
partie
de l'insuffisance de nos moyens habituels d'inves
ans les articulations malades subis- sent une irritation dans leurs
parties
terminales. Cette irritation se transmet aux ce
uellement plus large, tandis que la narine est plus étroite que les
parties
corres- pondantes de l'autre côté de face. Dans
e, l'asymétrie de la mimique n'embrasse pas toute la face, mais une
partie
seulement. M. Korniloff a remarqué que, dans le
es additions assez importantes et de nombreuses modification*. Deux
parties
de cet ouvrage ont été principalement développé
lus récents travaux sur les polio- encéphalomyéliles. La deuxième
partie
consacrée au système nerveux périphérique est,
squ'à la pointe du sacrum, toute larégion vertébrale, y compris les
parties
situées à droite et à gauche des apophyses épineu
lors- qu'elle est un peu forte, une sensation spéciale d'aura qui,
partie
de ce point, gagne la gorge pour l'étreindre, o
ecchymose assez étendue dans cette région, ainsi qu'au niveau de la
partie
supéro-extcrne de la cuisse droite; le poignet
e tonicité a disparu de ces muscles, qui sont du reste atrophiés en
partie
; le segment inférieur du membre, la jambe, obéi
e la tige à laquelle il sert de terminaison, de telle sorte que les
parties
, les orteils Fig. 0. 8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
23), puisque la longueur du pied qui progresse fait na- turellement
partie
intégrante de la longueur du pas'. Un procédé dif
font subir les maladies. Comment reconnaître, en effet, que telle
partie
du corps est altérée dans sa forme, si l'on ne
sa forme, si l'on ne sait pas comment, dans l'état de santé, cette
partie
est exactement faite ? Il est inutile d'insiste
orpho- logie de la région lombaire. Dans la station verticale, la
partie
postérieure du tronc est traversée de haut en b
duquel les apophyses épineuses ne se voient pas. Cependant, vers la
partie
inférieure de la région dorsale, la crête épini
La crête formée par la série des apophyses épineuses est la seule
partie
de la colonne vertébrale qui soit sous-cutanée, e
beaucoup de soin parles ana- lomistes. Elles sont formées par la
partie
antérieure de la colonne, c'est-à-dire par la s
saurais trop appeler l'attention du praticien, dit Cru- Fic. 13. -
Partie
postérieure du tronc dans la station debout. NO
avec une femme qui présentait des ulcéra- tions à la vulve et à la
partie
interne et supérieure des cuisses, il contracta l
poignet droit et des plaques de même nature 1 du côté droit : à la
partie
antérieure de la jambe, à la partie postérieure d
e nature 1 du côté droit : à la partie antérieure de la jambe, à la
partie
postérieure du coude, au niveau de l'aine, à l'
i bien qu'en général la malade ne peut imprimer aucun mouvement aux
parties
contracturées. De plus, quand on imprime des mo
, limitée, très saillante, de la grosseur d'une balle située sur la
partie
antéro-inlerne du genou. La malade dut garder l
e dès qu'il appliquait un peu son attention, et dormait souvent une
partie
de la journée. C'est vers l'âge de treize à qua
e tomberait, dit-elle. Lorsqu'elle mange, elle renverse souvent une
partie
du contenu de sa cuillère; fréquemment elle por
érales. Elle ne peut porter un verre à sa bouche sans renverser une
partie
de son contenu. La langue tirée au dehors est a
tions faciles et l'éjacu- lalion normale. ' Il n'existe en aucune
partie
du corps des troubles des diverses sensibilités,
te, pour que le verre ne puisse arrivera 't destination sans qu'une
partie
de son contenu ne se répande sur le sol. Lorsqu
ans la demi-flexion. La peau, au niveau du genou, est adhérente aux
parties
profondes. Lorsqu'on fait des tentatives d'exte
ule en bas de l'escalier. ' La malade n'accusait de douleur qu'à la
partie
supérieure et externe de la ; jambe. \ Au niv
'était exercée perpendiculairement à la direction du péroné dont la
partie
rétrécie avait opposé moins de résistance que les
ux de Perrin et de Duplay : « On comprend très bien, dit-il, que la
partie
inférieure de la jambe étant fixée en flexion l
vations, douleur parfois très étendue, d'autres fois localisée à la
partie
supérieure et externe de la jambe, dans tous les
encore en con- tact, ce qui permet, en posant les deux pouces à la
partie
interne du genou et en pressant légèrement avec
lexion, ils provoquent des douleurs très vives irradiant jusqu'à la
partie
supérieure et externe de la jambe. Le malade
un plan résistant, pour maintenir le pied dans cette position. A la
partie
externe et supérieure de la jambe, à un ou deux
n il existe une zone d'anesthésie (figure 34), comprenant en bas la
partie
supérieure du gros orteil et le tiers interne d
eur au niveau de l'espace intermal- léolaire antérieur, comprend la
partie
antérieure de la malléole externe, 1. Ce malade
s locaux; le huitième jour, trois vésicatoires au tiers moyen de la
partie
latérale externe de la jambe, repos au lit pend
droite, ce qui, du reste, est normal. Pàlpation. Lorsqu'on palpe la
partie
supérieure de la face externe de la jambe gauch
e d'anesthésie, la température ne paraît pas inférieure à celle des
parties
voisines. Examen électrique dû à 111. Vigouroux
chez l'enfant. = La branche cutanée péronière (fig. 36) innerve la
partie
la plus externe de la face antérieure de la jam
ommet angulaire, zone qui va en s'élargissant jusqu'au niveau de la
partie
moyenne de la face dorsale du pied où elle s'ef
érie de rameaux cutanés assez déliés, puis, parvenu au niveau de la
partie
antérieure du premier espace intermétatarsien,
étatarsien, se sépare en deux rameaux ter- minaux situés, l'un à la
partie
interne du deuxième orteil, l'autre *à la parti
situés, l'un à la partie interne du deuxième orteil, l'autre *à la
partie
externe du premier. En cet endroit, ce rameau s'a
du premier orteil, de la moitié interne du deuxième et celle de la
partie
antérieure du premier espace intermétatarsien, es
a tête du péroné, la forme d'une bandelette, il est probable que la
partie
supérieure de cette bandelette, contenant les f
r, s'est trouvée pincée entre les deux fragments de la fracture, la
partie
inférieure ressentant les effets seuls du trau-
trau- matisme, et, si les péroniers, innervés par les fibres de la
partie
infé- rieure de cette bandelette, c'est-à-dire
t la douleur ressentie au moment même de l'accident au niveau de la
partie
terminale de ce nerf tibial antérieur, à la parti
au niveau de la partie terminale de ce nerf tibial antérieur, à la
partie
antérieure du premier espace intermétatarsien.
les du tibial antérieur, c'est-à-dire dans la zone qui remonte à la
partie
antéro-externe de la jambe. Or, le malade a rem
ait des endroits où il ressentait la piqûre aussi bien que dans les
parties
saines. Cette observation confirme ce fait DES
sé à une moitié de la face. Il envahit l'oeil qui se trouve clos en
partie
ou complètement, ainsi que le nez fortement dév
narine du même côté est tirée par en haut. Il comprend également la
partie
leçon de M. Charcot : Spasme glosso-labié unila
de membre, avec conser- vation de la contractilité dans une grande
partie
de ce muscle. Mais ce n'est pas tout; l'obstacl
cellulaire pour le rendre inextensible, mais en laissant intacte la
partie
contractile. Dans les deux appareils, un des él
YDROCÉPHALIE VENTRICULAIRE AVEC ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DE CERTAINES
PARTIES
DU CERVEAU. Nous avons observé récemment à l'ho
tain nombre de malformations cérébrales. Chez ce malade, toute la
partie
des hémisphères située en arrière des noyaux ce
rginale), qui encliatonnait complètement les couches optiques. A la
partie
antérieure de ce repli un petit cylindre de subst
roit était farci de masses caséeuses en voie de ramollissement à la
partie
supérieure; il existait en outre de ce côté des t
n très grand nombre d'os wormiens : les plus volumineux occupent la
partie
moyenne du lambda et les plus petits les parties
umineux occupent la partie moyenne du lambda et les plus petits les
parties
latérales. Les os de la base du crâne ne prés
be occipital dont toute la substance blanche a disparu ainsi qu'une
partie
de celle des lobes pariétaux et sphénoïdaux. La s
est sillonnée paradé nombreux vaisseaux. En considérant les autres
parties
de la face interne, on constate encore plusieur
le noyau caitelé présentent un degré d'atrophie notable; les autres
parties
des hémisphères sont nor- males. ' , 6° Les c
nce peut toutefois s'expliquer par le siège de l'épan- chemenf à la
partie
postérieure du ventricule, et par l'intégrité à p
lon secondaire divisant la circonvolution arquée ou marginale en deux
parties
(u, et P) et marquant le lieu d'émergence des c
des cas d'anencéphalie dans lesquels la totalité ou la plus grande
partie
des hémisphères font défaut, il n'en existe que q
eux offraitune solution de continuité dans toute lalon- gueur de sa
partie
moyenne, ou plutôt, que cette partie moyenne man-
dans toute lalon- gueur de sa partie moyenne, ou plutôt, que cette
partie
moyenne man- quait complètement, de sorte que l
s assez largement ouverte au-dessus du noyau de l'hémisphère. Des
parties
qui constituent le trigone, on n'a constaté que l
dhérents a la surface interne des couches optiques, c'est-à-dire la
partie
antérieure des piliers. Les commissures antérieur
u que quatre mois, que Broca a constaté l'absence de la plus grande
partie
du corps calleux'. Tous les, autres exemples de
t d'une étude particulière. [Depuis la publication de la première
partie
de ce travail, la malade, Suzanne Desch..., qui
ssous, plaque sen- sible coupant transversalement les seins il leur
partie
moyenne. Zone d'hé- miancslhésie gauche, descen
mptômes. En général, l'arthropathie du pied, comme celle des autres
parties
du squelette, débute vers la fin de la première -
r cause une effusion consi- dérable dans la cavité synoviale. Les
parties
voisines sont le siège d'un empâtement qui ne res
aisément que la lésion puisse avoir envahi une plus ou moins grande
partie
du squelette du pied, et donner lieu par conséq
es généralisées du pied. Dans cette dernière forme, les différentes
parties
du squelette du pied sont atteintes il des degrés
tragale, au niveau de cette articulation, a égale- ; ment perdu une
partie
de son cartilage. Cependant il existe encore par
nombre de corps amyloïdes. ' A celle môme région, la plus grande
partie
des lubes nerveux des racines NOUVELLE ICONOGRA
est il peu près localisée aux cordons de Goll, et n'affecte qu'une
partie
des tubes de ces cordons, sous forme d'un trian
ès quelques jours de marche ou par des exercices variés, on voit la
partie
encore déviée d'une certaine quantité reprendre
ent ce redressement complet. , .'Immédiatement après la section, la
partie
redressée est simplement immobilisée avec de la
;UiCIC4f.G. ' 117 la gêne venait exclusivement de la résistance des
parties
périphériques, et surtout de la rétraction musc
rations des muscles qui succèdent à la contracture portent sur leur
partie
fibreuse et principalement sur leurs tendons, qui
par l'élec- tricité, dans des pratiques de massage portant sur les
parties
indurées périarticulaires, enfin dans une mobil
ête est pour ainsi dire tout entière, dans son ensemble et dans ses
parties
, le siège d'une espèce de chorée, qu'on pourrai
se pas partout avec une égale exactitude. Je touche mon malade à la
partie
moyenne de la jambe, il accuse l'attouchement au
e à la cuisse, au-dessous du genou, il localise l'impres- sion à la
partie
moyenne de la jambe. Je le touche dans un point c
ante se trouve aujourd'hui au musée de South Kensington. Elle l'ait
partie
de la première série de tapisseries destinées à
énérale dont les stigmates se retrouvent généralement sur- d'autres
parties
du corps souvent'fort éloignées du siège de l'inf
e l'angle droit de la composi- tion, les membres inférieurs sont en
partie
masqués par une colonne. Mais on n'en remarque
ase du médius, 130 millimètres. Largeur de la paume de la main à la
partie
moyenne, 10 millimètres. Le pouce peut être con
a forme des mains est en somme régulière bien qu'étant élargie. Les
parties
molles ont subi une hypertrophie considérable qui
halange, et àl'éminence hypothénar; on peut saisir en cet endroit les
parties
molles (assez flasques surtout à la main gauche
tant pas augmentée on conçoit aisément qu'ils sont débordés par les
parties
molles et se trouvent comme enchâssés à l'extré
ble être restée tout à fait ordinaire; aussi, vu l'hypertrophie des
parties
voisines, les ongles semblent-ils un peu courts.
pantin serait complète (fig. 80; pl.-X1YVI, XXXVII, XXXVIII) : La
partie
antérieure du thorax présente un plan obliquement
sulte une projection considérable des fausses côtes en avant ; à la
partie
supérieure, au-dessous des clavicules, il exist
redevient à peu près normal; mais, en somme, tout le thorax dans sa
partie
inférieure se trouve comme porté en avant, ce q
quand on fait faire au malade un effort inspiratoire énergique. Les
parties
latérales en sont aplaties, de sorte qu'il se t
e une gibbosilé très marquée, puis une ensellure corres- pondant en
partie
(mais non proportionnelle) à la projection si con
ncore on constate comme aux mains une hypertrophie considérable des
parties
molles et dans certains points, où elles se trouv
au bas du menton, 22 cen- timètres ; de la racine des cheveux à la
partie
supérieure des os propres du nez, 66 millimètre
u bout du nez, 76 millimètres- de la base de la cloison du nez à la
partie
inférieure de la symphyse du men- ton, 90 milli
ste du corps, ne sont pas épaissies, leur longueur, à compter de la
partie
inférieure de l'arcade sourcilière est de 25 mill
t beaucoup plus ouvert. Sa hauteur, du bord libre des gencives à la
partie
inférieure de la symphyse du menton, est de 5 c
e (au compas d'épaisseur) de l'articulation temporo-maxillaire à la
partie
inférieure de la symphyse du menton, 142 mil- l
n rouge sombre de la papille avec infiltration de ses contours et des
parties
voisines de la rétine. Les veines sont dilatées
aud. Cette coloration existe aussi au talon, à la plante, sauf à la
partie
excavée; elle est peu marquée au dos du pied. E
t de la maladie de Friedreich n'est pas un ensemble dont toutes les
parties
s'enchaînent nécessaire- ment. Ce serait une dé
droit : les douleurs partaient des orteils et remontaient jusqu'à la
partie
su- périeure de la cuisse. ' A la suite de ce
d et à la piqûre de toute la région mammaire. Sur toutes les autres
parties
du corps il n'existe pas de troubles de la sen-
n de la région permet de reconnaître que la sail- lie est formée en
partie
aux dépens de la tête du péroné, en partie aux dé
sail- lie est formée en partie aux dépens de la tête du péroné, en
partie
aux dépens du scaphoïde qui n'a point perdu sa
e regarde en bas, et que, dans la station debout, le pied repose en
partie
sur la face inférieure de l'orteil, en partie sur
ut, le pied repose en partie sur la face inférieure de l'orteil, en
partie
sur sa face interne. MM. Gaucher et Dullocq,
être atteinte. Tout le premier orteil est dirigé en dehors, et une
partie
de la face plantaire de cet orteil repose sur le
ires sont hypertrophiés, distendus. , La' synoviale est détruite en
partie
; ailleurs elle est épaissie. , On a signalé de
rface poreuse. Premier métatarsien. Considérablement épaissi à sa
partie
pos- térieure qui est complètement soudée au pr
deux par- ties : le front et le reste du visage. En effet, toute la
partie
du visage qui se trouve au-dessous de la ligne
t, c'est tout autre chose; les rides se creusent et donnent à cette
partie
de la face une expression en rapport avec leur
e (intéressant tous les modes de sensibilité) s'étendant jusqu'à,la
partie
ex- terne et antéro-externe du genou, zone peu
douleurs et les crampes disparurent rapidement. La force revint en
partie
dans le membre inférieur droit. L'état des foncti
cathétérisme) et de la défécation.- Anesthésie complète de toute la
partie
du corps située au-dessous de la ceinture. Une ai
décrite, diminution très notable de la sensibilité dans toutes les
parties
situées au-dessous de la ceinture. Nous avons p
olumineuse que la droite : la différence est accentuée surtout à la
partie
inférieure de celle région. A la partie moyenne
est accentuée surtout à la partie inférieure de celle région. A la
partie
moyenne des cuisses, la mensuration circulaire do
nature osseuse de ce développement à cause de l'amaigrissement des
parties
molles. -La branche montante du maxillaire infé
ostérieur et inférieur du maxillaire, venant s'appliquer contre les
parties
antéro-latérales du cou et s'opposer à ce mouveme
quelques semaines, la force est revenue dans cette main, en grande
partie
, mais non complètement. A partir de ce moment, el
rière des autres orteils (fig. 83). Circonférence au niveau de la
partie
inférieure des malléoles, 27.5. Mollet : plus g
ula- tion. Vus de profil, les genoux présentent, par rapport à la
partie
antérieure de la jambe, une saillie notable qui
n'est pas certain que ces craquements soient dus au frottement des
parties
osseuses; peut-être tiennent-ils simplement au gl
parties osseuses; peut-être tiennent-ils simplement au glissement des
parties
fibreuses, situées en dehors de l'articulation.
chanter à l'extrémité inférieure du fémur, 41. Circonférence à la
partie
moyenne de la cuisse, 5G. La peau de la cuisse
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment angulaire, et le dos est, à sa
partie
supérieure, tout à fait convexe. Au niveau de l
t à fait convexe. Au niveau de la base du cou, en arrière, et de la
partie
supérieure des épaules, se voient une quinzaine
us grande circonférence de l'avant-bras, 27. Circonférence du bras,
partie
moyenne, 29. Longueur du cubitus, 24. . Le vo
thyroïde semble augmenté de volume; son plus grand dia- mètre, à sa
partie
supérieure, atteint 6 centimètres. En revanche,
r du maxillaire inférieur de l'articulation temporo-maxillaire à la
partie
inférieure de la symphyse mentonnière, 14.6. Di
se mentonnière, 14.6. Diamètre transversal du front au niveau de la
partie
externe de l'arcade sourcilière et à 2 centimèt
t huit mois ; à la suite d'un traite- ment, elle recouvra la vue en
partie
(elle pouvait enfiler une aiguille). Mais cette
emblent exister surtout sur la face dorsale plus encore que sur les
parties
latérales ; elles sont relativement peu marquées
du maxillaire inférieur de l'articulation temporo-maxillaire il la
partie
inférieure de la symphyse mentonnière, 14.6. Me
-bregmatique, 26. ' · Diamètre transversal du front au niveau de la
partie
supérieure de l'arcade sourcilière et à 2 centi
e vertical, 6.5 ; transversal, 6.5. Circonférence de la cuisse à la
partie
moyenne, 36 des deux côtés. Largeur de la face
yenne, 36 des deux côtés. Largeur de la face interne du tibia, à la
partie
moyenne, 3.4 ; au niveau de la tubérosité antér
Plus grande circonférence de l'avant-bras, 21.2. Circonférence à la
partie
moyenne du bras, 20.2. Le radius et le cubitus
égard à la circonfé- 1. Saucerotte, Mélanges de chirurgie. Première
partie
, 1801, p. 407 et suiv. Obser- vation communiqué
LA SALPÊTRIÈRE. rence de son corps en général et de chacune de ses
parties
dans le détail, sans que les chairs y soient po
nférieure sur les côtés. La lèvre inférieure est peut-être l'unique
partie
molle qui ait suivi l'accroissement progressif
l'unique partie molle qui ait suivi l'accroissement progressif des
parties
dures, car elle est très grosse; la colonne ver
et le ventre plat, eu égard à l'affaissement et iL l'émaciation des
parties
molles. Les côtes ont bien un pouce et demi de la
ains peuvent être comparés, relativement à la grosseur, à ces mêmes
parties
qui, chez un sujet ordinaire, seraient attaquées
u'elles sont le résultat de la distension du périoste et des autres
parties
membraneuses qui environnent les os. En 1766, l
es à l'autre et descendant sur ses angles et de là au menton. De la
partie
infé- rieure moyenne du menton à la supérieure
4 pouces, ce qui fait qu'elle descend en bas et vient poser sur la
partie
supérieure du sternum, de manière que le sujet pa
e d'une croûte jaunâtre, et beaucoup de vapeurs se sont mises de la
partie
: en conséquence M. Noël lui a admi- nistré une
'est qu'à cette période elle commença à s'apercevoir que toutes les
parties
de sa personne qui, auparavant, étaient plutôt
- loppement, vient presque au niveau de la mâchoire supérieure. Les
parties
molles de la face ne suivent pas dans une égale
viron, ses traits étaient parfaite- ment réguliers, et les diverses
parties
de son corps ne présentaient aucune disproporti
des mains. A vingt ans, soldat pendant sept ans. Janvier 1877. La
partie
inférieure de la face présente un développe- me
e- ment insolite; elle se confond sans ligne de démarcation avec la
partie
supérieure de la poitrine. Les lèvres sont bour
une façon uniforme, se continuent sans ligne de démarcation avec la
partie
supérieure de la poi- trine. Le corps thyroïde
e. Depuis environ deux ans l'augmentation de volume des différentes
parties
du corps et la cyphose se sont arrêtées, et, en
uite de la forte cyphose entre les épaules. - La face et surtout sa
partie
inférieure, notamment le nez, les lèvres, le me
vers la droite. Correspondant à la cyphose, le sternum est dans sa
partie
inférieure notablement déjeté en avant, de sorte
te que sa direction est très oblique en avant. C'est seulement à la
partie
inférieure qu'il est vertical i sur une très pe
l'os coxal. Les' i extrémités où s'attachent les cartilages sont en
partie
très aplaties et forment j i un chapelet très p
ouleurs; la face est rongée par des ulcérations qui ont détruit une
partie
du nez et de l'oreille ; les os des membres son
l, 28. Sciatique poplité externe (distribution du) 35. Tronc (
partie
postérieure du - dans la sta- tion assise), 14;
s tous les services hospitaliers, on verra s'accroître encore cette
partie
iconogra- phique. , Fidèle à une innovation d
meilleur témoi- gnage qu'en développant et améliorant sans cesse sa
partie
scien- tifique et sa partie artistique. Déjà on
développant et améliorant sans cesse sa partie scien- tifique et sa
partie
artistique. Déjà on a pu voir en quelques an- 4
système ner- veux, une nouvelle classification s'impose; c'est une
partie
de celle-ci que je vais tenter de réaliser deva
produit d'abord une atrophie, plus tard une dégénérescence dans les
parties
les moins résistantes de l'axe nerveux. Le dern
nsibi- lité dans la moelle si bien exposées par le Dr Long(l). La
partie
saine de ce segment comprendrait la corne antérie
toute la demi-moelle droite(corne postérieure exceptée). Toute la
partie
sous-jacente à ce segment serait également intact
(hachures) est senti à gauche, pas a droite. La fesse gauche et la
partie
supérieure interne de la cuisse gauche ne sentent
'exagération des réflexes patellaires indiquent l'état normal de la
partie
inférieure de la moelle, de même que l'absence
sur le centre, sur un centre spécial, par progres- sion lente de la
partie
blessée sur la moelle. L'histoire des myélopa L
ort, comme on aurait pu le croire, avec la distance parcourue de la
partie
blessée à son seg- ment médullaire. 3° Par sa
a assignés à l'asynergie cé- rébelleuse, on les retrouve en majeure
partie
chez D... 1° Dans la marche, le tronc, en arriè
du langage, il présente une variété d'aphasie puisqu'il a perdu une
partie
du vocabulaire qui lui est nécessaire pour exprim
isme. Dans la 3e variété se rangent les polyglottes qui perdent une
partie
des langues qu'ils ont apprises et continuent d
tant de la pointe du lobe occipital gauche s'étendant en avant à la
partie
supérieure du pli courbe, au premier pli pariét
rtie supérieure du pli courbe, au premier pli pariéto-temporal à la
partie
tout à fait postérieure du lobule du pli courbe
me pariétale, intéressant la deuxième occipitale, le pli courbe, la
partie
tout à fait postérieure de la deuxième pariétal
ascendante, 3° Sur le pied de la pariétale ascendante, 4° Sur la
partie
moyenne de la pariétale ascendante, Ne présente
aracentral avec la frontale as- cendante. 5° Coupe sectionnant la
partie
postérieure de la 28 pariétale immédiatement en
ement en avant du foyer de ramollissement et passant en avant de la
partie
terminale du prolongement postérieur de la scis
te jaune respecte dans une étendue de 2 millimètres 1/2 environ les
parties
blanches bordant le ventricule (Tapeum et Radia
et Radiations optiques de Gratiolet). 6°. Coupe correspondant à la
partie
moyenne du pli courbe (PI. VI et VII D). (1) Je
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XVIII. PL. VI A Coupe passant par la
partie
postérieure de la 2° Pariétale immédiatement en
immédiatement en avant du pli courbe. B ' Coupe passant par la
partie
moyenne du pli courbe. C Coupe passant par
ant par la partie moyenne du pli courbe. C Coupe passant par la
partie
postérieure du pli courbe à 2 cm. 1/2 environ e
graphie DE la Salpêtrière. T. XVIII. PI. VII Coupe passant par la
partie
postérieure de la 2e pariétale immédiatement en
du pli courbe. aphasie amnésique (Halipw.) Coupe passant par la
partie
postérieure du pli courbe à 2 centimètres 1/2 e
it semblent devoir être mises hors de cause. La destruc- tion d'une
partie
toute superficielle de l'écorce du lobule paracen
che et gagnant de là le lobule pariétal inférieur, en détruisant la
partie
posté- rieure du gyrus angulaire (pli courbe) e
partie posté- rieure du gyrus angulaire (pli courbe) et une grande
partie
du lobule supra- marginal pour se terminer à la
mécanique qu'au point de vue de l'action musculaire. Cette dernière
partie
est du domaine des artistes au- tant que des ph
les anatomistes sous le nom de muscles spinaux : ils occupent, à la
partie
postérieure du rachis,les gouttières longitudinal
volume vers le haut. Bien que réunis en une masse commune dans leur
partie
lombaire, ils n'en sont pas moins distincts et
deux reliefs séparés chez cer- tains sujets. Superficiels dans leur
partie
lombaire et dorsale inférieure, ils sont recouv
ction musculaire au niveau des gouttières vertébrales, jus- qu'à la
partie
supérieure du rachis, avec une intensité décroiss
(sacro-lombaire et long dorsal) ne sont superficiels que dans leur
partie
inférieure. Elle est cependant assez caractéristi
nant étudier en détail, en envisageant succes- sivement chacune des
parties
du corps. Lorsque le syndrome est bien caractér
décrire. Le thorax est tourmenté, le sternum, convexe en avant à sa
partie
supé- rieure, se creuse au-dessous en cuvette ;
s se dessine une dépression à peu près symétrique. Le thorax par sa
partie
inférieure semble rentrer dans l'abdomen ; la p
ble rentrer dans l'abdomen ; la poitrine est bombée en haut : il la
partie
supérieure il existe en effet une sail- lie tra
u- tre. Le fond correspond à la face antérieure du sternum, dont la
partie
inférieure est quelquefois profondément déprimé
ages costaux supérieurs et inférieurs se continuent au niveau de la
partie
inférieure du sternum en formant un an- gle ouv
le doigt enfoncé horizontalement au-dessus de la crête iliaque à sa
partie
moyenne heurte le bord inférieur de la dixième
égion abdominale ; elle paraît se produire surtout aux dépens de la
partie
supérieure; à ce niveau existent en effet deux
e thoracique, étant donné l'abaissement des dernières côtes. A la
partie
supérieure de l'abdomen, la région épigastrique f
t H)et la déformation rachidienne est quelquefois si accusée que la
partie
supérieure du dos prend une direction presque hor
sacrée est facilement appré- ciable dans toute son étendue, même sa
partie
supérieure. Elle ne dépasse pas en arrière le p
ubi autour d'un axe horizontal un mou- vement de bascule tel que sa
partie
supérieure est portée en arrière ; cette déform
i dans l'ensemble, les dimensions autéro-postérieures du tronc à sa
partie
inférieure semblent diminuées ; le bassin est apl
trochanters sont en effet très saillants en dehors ; la cuisse à sa
partie
supérieure présente une largeur exagérée, sa fa
égèrement arqués laissent entre eux un espace ovalaire allant de la
partie
supérieure des cuisses anormalement écartées aux
le bassin est plus large. La présence des seins vient masquer une
partie
des déformations thoraciques. La saillie de l'a
IMULANT LA MALADIE DE PAGET 69 légères qu'elle est mal limitée à sa
partie
inférieure. Le peu d'aplatissement des faces la
e au-dessus de la crête iliaque et la onzième disparaît derrière la
partie
moyenne de celle-ci ; quelquefois même la onziè
quelquefois du thorax en entonnoir par suite de l'enfoncement de la
partie
inférieure du sternum et du relief de l'appendi
e zone semi-opaque prolongeant le bord inférieur de la côte dans la
partie
supérieure de l'espace intercostal (Fig. 2).
oins accusées chez tous les malades ces altérations accompagnant la
partie
vraiment pseudo-Paget du syndrome. Rappelons en
des nerfs et nous croyons pouvoir les attribuer à la distorsion des
parties
. La marche est chronique, progressive et les mala
village alors situé aux portes de Laval et qui en fait aujourd'hui
partie
. Il semble avoir plusieurs fois varié d'opinion
l'on était constamment en guerre, Paré, étant chirurgien, passa une
partie
de son temps aux armées, l'autre à la cour, par
terons quel- ques types : . « Monstre semblable à sa mère dans la
partie
sus-ombilicale, chien dans la partie sous-ombil
re semblable à sa mère dans la partie sus-ombilicale, chien dans la
partie
sous-ombilicale. Il fut envoyé au pape. » «Mons
riser le malade que je vous présente ; tout en réalisant en majeure
partie
les signes de l'hérédo-ataxie cérébelleuse, Henri
cordons antérieurs chez Louis Haud... et « une raréfaction dans une
partie
de la substance blanche du cervelet ; ni chez son
ucide résistant à la section, ainsi que des taches scléreuses dans la
partie
externe du faisceau antéro-latéral. Les nerfs
si que les fibres qui en émanent sont atrophiés ; *, plus bas, à la
partie
supérieure du bulbe, on voit les corps restiforme
us petit que normalement, mais avec développement proportionnel des
parties
constituantes ; c'est le cervelet en miniature,
e inférieure de la cal- carine, les lobules lingual et fusiforme en
partie
et n'avait du reste que très peu altéré la form
s cubes. Le néoplasme ayant pour ainsi dire absorbé et remplaeé les
parties
mentionnées du cortex et de la substance blanch
aient presque complètement fait défaut. La substance blanche de la
partie
inféro-externe des coupes a perdu la bonne moitié
rhagies font défaut. Résumé. Phénomènes de compression limités à la
partie
du lobe occipital périphérique à la plus grande
de celle de la lymphe. Ces troubles sont accentués surtout dans les
parties
pro- fondes où sans doute la stase se produit p
it oblique. On peut affirmer que la position relative de toutes les
parties
du cerveau a changé : il n'y a plus symétrie entr
itale (fig. 2). Comme il y avait communication large entre ces deux
parties
, la pression a dû nécessairement être la même p
re inégalement. Dans la région frontale par exemple c'estsurtout la
partie
latérale supérieure de la Nouvelle Iconographie
ital. Là la dilatation ventriculaire est le plus prononcée dans les
parties
latérales et inféro-latérales. Nous émettons
, couronne rayonnante. I'i, F2, F3, circonvol. frontales. OF1, OF3,
partie
orbitaire des circonvol. frontales. - Gr, gyrus
e que des fibres conservées. Au Weigert on remarque que, dans cette
partie
et surtout dans le jambage médian de l'U (formé
her si l'examen histologi- que nous en donne la raison. La tumeur
partie
de la base, en avant des ventricules, a poussé de
, peut être un peu plus dans la région frontale que dans les autres
parties
du cerveau. Il n'est pas rare de voir ces espaces
l n'est pas partout nettement délimité ; bien qu'il soit en majeure
partie
extra cérébral et entouré de tissu conjonctif, il
ire. La série de coupes que nous reproduisons montre que la tumeur,
partie
de la base du cerveau, suivant sans doute le fo
oecum, finit par émerger dans le IVe ventricule et envahit même une
partie
du cervelet. L'aqueduc de Sylvius se trouve for
let. L'aqueduc de Sylvius se trouve fortement comprimé, différentes
parties
Fis 6. Cl, corps deLuys. Coa, commissure antéri
. Fi, F2, F3, circonvol. frontales. - Il, circonvol. limbique.- OFI,
partie
orbitaire de la première circonvol. frontale.
circonférence du cer- veau vers les ventricules. En effet c'est la
partie
périphérique à la tumeur qui souffre le plus et
umeur de l'observa- tion 1 si petite et laissant indemne la majeure
partie
de la pie-mère du lobe occipital ait pu gêner à
rissaud et Souques ( Traité de médecine), qui veulent expliquer une
partie
des phénomènes pathologiques par le fait que le
duc et du tubercule quadrijumeau gauche, la substance réticulaire, la
partie
supérieure et interne du ruban de Reil, les fib
est un peu réduit de volume. Sur une coupe frontale intéressant la
partie
antérieure des tubercules qua- drijumeaux posté
coupe en arrière des tubercules quadrijumeaux postérieurs, dans la
partie
supérieure de la protubérance, le tuberculome est
et bien distinctes des deux côtés. Dans une coupe au niveau de la
partie
moyenne de la protubérance au des- sus de l'ori
agit d'une lésion nucléaire, ayant frappé des deux côtés une grande
partie
des noyaux de la IIIe et de la IVe paire, avec
otection, de perception du monde extérieur, que toutes les diverses
parties
: oeil, oreilles, muscles de la face et du cou;
grandissement de tous ses diamètres. Il est notablement élargi à sa
partie
postérieure où les bosses occipitales sont bien
les deux épaules. Thorax. En avant, le thorax est globuleux dans sa
partie
supérieure,saillant en avant, aplati sur les cô
s en dehors. Les cartilages costaux se détachent en saillie sur les
parties
voisines. Les clavi- cules sont grosses, épaiss
nd rayon s'étendant de la région cer- vicale à la région sacrée. La
partie
dorso-lombaire présente une scoliose à convexit
exagéra- tion de la concavité palmaire. La main semble creusée à sa
partie
médiane. Les plis palmaires sont bien dessinés.
UN CAS d'acromégalie 179 En juillet 1903, la force est revenue en
partie
dans les membres inférieurs, quoique la malade
nt éosinophiles, et les autres sidérophiles). Fig, 2. Pituitaire.
Partie
corticale. Dans les mailles d'une sclérose légè
ues, on voit que ces adénomes, par leur abon- Fig. 3. - Pituitaire.
Partie
centrale. Les acini ont perdu leur individua-
passe en arrière du genou de la capsule interne et se termine à la
partie
postérieure de la tête du noyau caudé ; l'autre
, consulté à ce moment, constate l'existence d'un souffle rude à la
partie
moyenne du ventricule et fait le diagnostic de co
étudié ces formes morbides. J'exposerai ces idées dans une deuxième
partie
après avoir dé- montré et documenté dans la pre
pation. Depuis dix jours il voit que le matin, lorsqu'il se lève, une
partie
de son corps est tuméfiée : c'est la main droit
et nous en envisagerons la pathogénie. Tandis que dans la première
partie
nous exposions seulement des faits, à propos de
droite abaissée, déjettée en arrière et en dehors, est limitée à sa
partie
inférieure par un profond sillon, dirigé de haut
tomie s'adresse en général aux muscles fléchisseurs qui, en majeure
partie
, se trouvent en état d'hyper- tonicité en compa
avec la main renversée les extenseurs interviennent pour la majeure
partie
. Il résulte qu'en faisant travailler principale
épaule n'est que très légèrement abaissée du côté droit. Quant à la
partie
inférieure du. corps ? et c'est là que le renseig
a scoliose homologue s'observe dans les cas où la douleur occupe la
partie
supérieure du sciatique ; elle a pour but de re
ou projection en avant d'une épaule, rotation ou inclinaison de la
partie
supérieure du tronc, etc. Ici il s'agit, bien d
maladie évolue et deux mois après son entrée, Drap... est alité une
partie
de la journée et souvent gâteux. Il est parfois t
raréfaction des fibres à myéline dans les deux tiers externes de la
partie
pos- térieure du faisceau latéral. SCLÉROSES
. Sclérose des faisceaux fondamentaux des cordons la- téraux, de la
partie
médiane du bord interne des cordons de Goll et
issies, elles présentent de la sclérose superficielle et, dans leur
partie
profonde, de l'infiltration de petites cellules
ale, on ne trouve les fibres dégénérées que dans un îlot situé à la
partie
antéro-externe des faisceaux pyramidaux croisés.
bres de Tucksek et de Baillarger ont disparu. Bulbe. Surtout à sa
partie
inférieure, il présente de la méningite et de l
nt clairsemées. Moelle cervicale. Légère infiltration méningée à la
partie
antérieure de la moelle et au niveau de l'émerg
, 1902, p. 61. Travail inspiré par l'un de nous et poursuivi, pour la
partie
ana- tomo-clinique, dans le laboratoire de Vauc
téraux. Les cordons posté- rieurs sont sclérosés sur la plus grande
partie
de leur étendue, et cela d'une façon à peu près
normaux. Les cordons postérieurs sont sclérosés dans la plus grande
partie
de leur étendue ; seule une petite bande longeant
une sclérose très marquée et à peu près générali- sée, sauf à leur
partie
antérieure. En outre, la lésion est moins accentu
fortement sclérosées. 4° Bulbe. Une coupe pratiquée au niveau de la
partie
moyenne de l'en- trecroisement des pyramides mo
des membres. On observe que la main droite est froide ainsi qu'une
partie
de l'avant-bras. Ces régions sont d'une teinte
sont scléreux ; la substance corticale en est très atrophiée ; à la
partie
inférieure du rein droit, on trouve une dilatatio
stérieurs sont fortement altérées. Leur lésion porte sur une grande
partie
du cordon, respectant deux zones : 1° La partie
te sur une grande partie du cordon, respectant deux zones : 1° La
partie
tout antérieure (zone cornu-commissurale) ; cette
ut le cordon de Goll en tota- lité, et le cordon de Burdach dans sa
partie
interue (pi. XXXIII, fig. 9). Les racines posté
infiltrée de cellules embryonnaires, lésions surtout marquées à la
partie
postérieure, dans l'espace compris entre les deux
n est diffuse et ne respecte que la zone cornu-commissu- rale et la
partie
externe et marginale du cordon de Burdach. Son
nombreuses cellules rondes. Les fibres tangentielles ont, en grande
partie
, disparu. Le nombre des petites cellules nerveuse
postérieures et dans les cordons postérieurs ; elle déborde dans la
partie
postéro-externe des cor- dons latéraux. Weige
ans systématisation, et d'inflammation certaine avec sclérose de la
partie
postérieure d'un des cordons latéraux. Aussi ce d
Quelques cellules des noyaux de l'hypoglosse sont globuleuses. A la
partie
inférieure,les bandelettes externes de Charcot et
, fig. 9). Au Nissl, les cellules des cornes sont normales. Dans la
partie
moyenne de la moelle dorsale on trouve un foyer
nes latérales. Dans les mômes régions, PLANCHE XXXIV. 1. Obs. IX.
Partie
inférieure du bulbe. Sclérose des bandelettes ext
. Sclérose des bandelettes externes, des zones de Lissauer et de la
partie
interne des cordons de Goll. Raréfaction des fi
6. Obs. X. Moelle dorsale. Sclérose des bandelettes externes et de la
partie
postéro-interne des cordons de Goll. Raréfactio
ction des aires pyramidales atteignant la périphérie. 8. Obs. VIII.
Partie
inférieure du bulbe. Sclérose des cordons de Goll
de la pie-mère, infiltration intense de petites cellules rondes à la
partie
interne. La périphérie de la pie-mère est formé
ndelettes externes radiculaires (zone radiculaire moyenne) et de la
partie
interne du cordon de Goll ; la zone de Wesphall
zones radiculaires moyennes, dans les zones de Pierret, et dans la
partie
moyenne des cordons de Goll. Les zones radicula
les bandelettes externes sont touchées très largement ainsi que la
partie
postérieure et interne des cordons de Goll (pl. X
tolyse avec noyau périphérique ; la colonne de Clarke est détruite en
partie
, les cellules qui subsistent sont très altérées
(bandelettes de Pierret), mais, en plus, on voit des lésions dans la
partie
interne des cordons de Goll, dans la zone de Li
rouge récente à la face interne de la dure-mère, correspondant à la
partie
pariéto-occipitale ; on trouve les autres altérat
s incipiens : sclérose des bandelettes externes de Pierret et de la
partie
médiane antérieure du cordon de Goll. A la ré
yline-éusine. L'inflammation méningée prédomine de beaucoup dans la
partie
antérieure. L'artère médiane antérieure est att
ert. Cerveau. Les méninges, épaissies, fibreuses, infiltrées à leur
partie
interne par de numbreuses cellules rondes, ont
décoloration des faisceaux fondamentaux des cordons latéraux, de la
partie
médiane du bord interne des cordons de Goll et de
es lésions primitivement médullaires. Et, de fait,on trouve dans la
partie
moyenne de la moelle dorsale un foyer de méningo-
ET BÉMIATROPIIIE CÉRÉBELLEUSE 237 Les fibres tangentielles sont en
partie
disparues dans les deux lobes frontaux ; elles
disparues dans les deux lobes frontaux ; elles sont dans les autres
parties
du cortex très diminuées de nombre; les fibres
ormales. La névroglie est hyperplasiée ; elle forme au niveau de la
partie
la plus su- perficielle du cortex une bordure é
tif, on trouve les mêmes lésions inflammatoires que dans les autres
parties
du cerveau. La recherche de microbes dans les c
t inférieurs. Le pédoncule cérébelleux moyen gauche est dégénéré en
partie
, ainsi que les fibres transversales antérieures
e précises qu'elles soient, le traumatisme altère plus ou moins les
parties
voisines de celles sur lesquelles on se proposa
côté même de la lésion, sont disparues en presque totalité dans la
partie
de la protubérance voisine des pédoncules céréb
ve due à la lésion cérébelleuse n'a pu être relevée dans les autres
parties
du cervelet, de ses pédoncules et de la protubé
menait une vie active et, par suite de sa profession, marchait une
partie
de la journée. Le 9 mai 1903, elle est renversé
cun mouvement à sa jambe, à son pied, il ses orteils. Cela tient en
partie
à la contracture très prononcée. La jambe est d
ied, l'exception du gros orteil qui est plutôt en extension. A la
partie
inférieure de la face antérieure de la jambe, on
étruit les circonvolutions de la région périrolandique gauche et la
partie
postérieure de la 3° circonvolution frontale. I
n corticale pla- que jaune de la région rolandique moyenne et de la
partie
postérieure des 2e et 3e circonvolutions fronta
es observations analogues dans la syringo- myélie dans laquelle les
parties
anesthésiques peuvent êtrele siège d'urti- cair
bien connues elles offrent une étio- logie commune, la plus grande
partie
des caractères morphologiques, et une démarche
xpliquée par la connaissance d'un fait, à savoir que la plus grande
partie
des lympha- gogues de la première catégorie (à
Nous savons que dans l'urticaire « l'oedème passager de cer- taines
parties
du corps sans rougeur de. la peau est un phénomèn
sang aux tissus, ils y attirent une grande quantité d'eau dont une
partie
augmente la production de la lymphe (Ces donnée
meilleurs auteurs que l'éléphantiasis, au moins dans la plus grande
partie
des cas, est due à des propriétés irritantes de l
as étrangère à ces phénomènes d'une façon analogue à la plus grande
partie
des phénomènes sécréteurs et vasomoteurs, cette l
une lettre sur la même ligne que les précédentes. Elle en finit la
partie
inférieure un peu au-dessus et cela, dit-elle,
e. L'on trouve un peu de douleur à la pression à la nuque et sur la
partie
supérieure des trapèzes, surtout à droite. Le
iblesse qui domine, la main droite est 2U BONNUS trop faible ; la
partie
de la main où cette faiblesse se fait particulièr
ur de tête est de 61 centi- mêtres. Le pariétal gauche porte à sa
partie
antérieure une saillie marquée. Les os de la fa
l a des varices et des cicatrices d'ulcères variqueux, surtout à la
partie
antérieure de la jambe droite. Les poumons sont
l avait exercé le métier de blanchisseur (1) pendant la plus grande
partie
de sa vie, il nous a paru que l'hypothèse d'une
un externe. Le fragment interne, dont la forme rappelle celle de la
partie
correspondante d'une clavicule normale , légèreme
sus-épineuses sont normales. L'épine de l'omo- plate présente à la
partie
interne de son bord postérieur une saillie angula
s ogivale, très haute, et présente une perforation punctiforme à sa
partie
postérieure, perforation qui semble ne pas s'être
même encore ac- tuellement une légère dépression non soudée vers la
partie
antérieure de la suture sagittale. Les pariétau
l : 192 mm. 3. Bipariétal : 159 mm. 3) nous voyons qu'elles sont en
partie
exagérées, surtout par rapport à la taille du su-
ment ouverte, puis- qu'elle mesure deux centimètres de largeur à sa
partie
moyenne; elle se ter- mine enfin en s'élargissa
ale ; mais ces travaux sont fort incomplets, ne portent que sur une
partie
du syndrome sans en voir l'ensemble ni la natur
- Calque réduit au 1/4 de grandeur naturelle d'une radiographie de la
partie
supérieure du thorax d'une femme normalement co
ons du sterno-cléido-mastoïdien se font sur le ruban fibreux et les
parties
squelettiques avoisinantes. Dans le cas de Rappel
est celle qui cherche la cause dans la similitude embryologique des
parties
malades. Le squelette cranio-facial à part la b
l soit,ne doit pas vraisemblablement limiter son action à certaines
parties
du squelette osseux. La dysostose cléido -crânien
tré MM. Pierre Marie et Sainton, mais pouvant porter sur d'au- tres
parties
du squelette. Il nous a semblé de plus que, de
ntôt par une bride fibreuse, cette dernière pouvant n'exister qu'en
partie
ou même manquer complète- ment. 40 Il ne nous
IÉES DE DYSOSTOSE CLÉI DO-CRAN I EN N E HÉRÉDITAIRE (1) (1) Une
partie
de ces renseignements est empruntée à l'excellent
e monstruosité réside dans les brides qui attachent le foetus à une
partie
de ses enveloppes ». A son gré, « c'est l'ouver
faisant dériver les nerfs de l'encéphale - il admet qu'elle est, en
partie
, applicable aux pseudencéphaliens et attribue &am
ndait assez loin en arrière, recou- vrant la région frontale et une
partie
de la région pariétale. Elle s'arrêtait brusque
millimètres. Ce pédicule plein est en continuité de substance avec la
partie
libre sacciforme longue de 6 millimètres enviro
corrobore ces données ; il indique, en outre, que le passage de la
partie
saine à la partie atteinte n'est pas tout à fai
nées ; il indique, en outre, que le passage de la partie saine à la
partie
atteinte n'est pas tout à fait aussi brusque qu
omplets, ce qui fait défaut et entièrement défaut, c'est la majeure
partie
du crâne qui n'est point précédée par un moule
e du crâne qui n'est point précédée par un moule cartilagineux : la
partie
coronale du frontal, l'écaillé du temporal et l
en- tant ou non un trou occipital. Celui-ci, ou plus exactement les
parties
qui le cons- tituent existent constamment. Mais
aille est incomplète, tant par l'absence d'une étendue variable de sa
partie
antérieure, que par l'absence de l'os épactal.
façon plus générale, que la base du crâne. Ainsi constitué par des
parties
symétriques disjointes, l'occipital affecte la
orme d'un arc de cercle ouvert en haut. Grâce à cet éta- lement, la
partie
postérieure de la base du crâne se trouve notable
en dehors, l'un à droite, l'autre à gauche ; dans quelques cas, une
partie
de l'écaille mem- braneuse se retrouve égalemen
lir tout une série allant de ces cas extrêmes à ceux où, toutes les
parties
de la voûte étant bien développées, on se trouv
rtion est une lame triangulaire, plane, reposant directement sur la
partie
orbitaire. Suivant toute apparence, la juxtapos
pique semble assez large et marque un écart sensible entre les deux
parties
. Cet écartement est très considérable pour ce q
tion. Quoi qu'il eu soit, cette forme crânienne où l'écartement des
parties
est poussée au maximum nous conduit à d'autres
rencontre dans les cas de Thlipsencéphales et Dérencéphales. A ces
parties
s'ajoute l'os épactal qui s'articule directemen
; il se présente sous la forme d'un cône très allongé, et les deux
parties
, droite [et gauche, se rejoignent par le sommet
itale et la base du crâne, est ménagée une petite cavité logeant en
partie
la tumeur encéphalique. Nous remarquerons que l
artie la tumeur encéphalique. Nous remarquerons que les différentes
parties
squelettiques sont toutes par- faitement symétr
. Base du crâne et face. - La voûte crânienne constitue en somme la
partie
la plus importante du crâne des Pseudencéphales
GÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 365 ' Les diverses
parties
de la face ne sont elles-mêmes affectées d'aucune
remier abord, la tête ne suit pas nécessairement le mouvement de la
partie
supérieure du rachis ; quel que soit le sens de
. L'étalement est identique à celui que nous avons observé pour les
parties
cartilagineuses de l'occipital. Ces lames étalé
la dure- mère. La multiplication vasculaire est rapide surtout à la
partie
postérieure. Là, les vaisseaux constituent une
- veaux en des points variables de la surface; il est fréquent a la
partie
posté- rieure, mais il se produit également au
s considérable, pénètre dans le canal de l'épendyme et le comble en
partie
; continuant même sa marche en a'vant, il travers
érieur ; dans les segments les plus élevés de la moelle, une grande
partie
des faisceaux posté- rieurs se trouve ainsi rem
x ne semble pas être rapide ; s'il est notablement plus avancé à la
partie
supérieure de la moelle qu'à sa partie moyenne,
notablement plus avancé à la partie supérieure de la moelle qu'à sa
partie
moyenne, la progression ne dépasse pas cependant
e l'on se rapproche du cerveau ; ils finissent par occuper la majeure
partie
de la surface de la moelle, et l'on se rend bie
hémorragies, résulte d'une absence d'énergie de crois- sance de la
partie
antérieure de la moelle. Quant à Zingerle, il ava
é ; dans tous les cas, il est intervenu plus tard, laissant à cette
partie
de la moelle le temps de se développer davantag
tre inférieur A partir de ce niveau, qui correspond à peu près à la
partie
moyenne de la moelle, le processus méningitique
d'aggravation et d'atténuation tout à fait remarquables. C'est à la
partie
inférieure que l'intensité est de beaucoup la plu
equel existait des vestiges du système nerveux intercalés entre des
parties
conjonctivo-vasculaires, concluent à un dévelop
l'un de l'autre. Or, chez l'un de mes sujets, on observe que ces deux
parties
disjointes de la paroi épendymaire se sont resp
e vasculaire. Toutefois, ce tissu conjonctif n'est pas seul dans la
partie
centrale, et l'on rencontre, par amas d'étendue
es ou de l'envahissement conjonctif intra-médullaires, les diverses
parties
de la moelle restent encore assez nettement dis
e placent des facteurs individuels, grâce auxquels telles ou telles
parties
offrent un terrain favorable ou non à la propag
sive de la moelle. Suivant toute évidence, dès le moment où tout ou
partie
du cerveau cesse d'exister, les fibres médullaire
e les faisceaux moteurs sont franchement altérés, surtout dans leur
partie
inférieure. Toutefois, cette altération est ass
t tous perdu leur individualité (V. PI. XLV-F). Quant dire à quelle
partie
des tissus intra-rachidiens (méninges ou moelle)
ent encore et montrent que le ganglion rachidien est, de toutes les
parties
du système nerveux, celle qui résiste le plus lon
tte. La colonne vertébrale de ce foetus est ouverte dans la majeure
partie
de sa longueur et fermée dans son extrémité ter
ile extrêmemen mince et transparent. Les coupes pratiquées sur la
partie
incluse dans le canal rachidien fermé ne présen
s à mesure que l'on redescend vers les segments inférieurs de cette
partie
de l'axe rachidien qui appartient à la queue de c
la queue de cheval. Le segment situé immédiatement au-dessus de la
partie
close du canal rachidien montre des disposition
étalés. La dégénérescence préalable de la moelle ayant supprimé une
partie
de la charpente sur laquelle s'édifie la tumeur m
nerveux reposant sur la dure-mère, infiltrés de vaisseaux. Dans la
partie
médiane existe, par endroits, des îlots vasculair
actéristique des anencéphaliens. Nous avons décrit ces sacs dans la
partie
morphologique de ce travail : l'un d'eux présen
conjonc- tif. Chez l'un d'eux, il paraît persister encore, dans la
partie
centrale, une cer- taine quantité de substance
mation ne s'est propagée à la moelle qu'une fois celle-ci en grande
partie
dégénérée. Quant à la formation d'un sac, il prov
s de le faire, mais au point de vue de sa répercussion sur diverses
parties
de l'organisme (1). . (A suivre.) (1) Pour cl
de la moelle. Cellule avec granulations et réseau de névroglie. D.
Partie
postérieure d'une corne postérieure de la moelle.
s résultats rapides et applicable à tous les éléments de toutes les
parties
du système nerveux. La méthode que nous avons pro
polychrome de Unna. Elles sont alors différenciées par un mélange à
parties
égales d'alcool absolu et de xylol ; lavées abo
ique présenté par nos malades, tout en se superposant 'en certaines
parties
, à celui de la paraplégie familiale spastique de
ne, etc.), au moment où le fonctionnement plus intense de certaines
parties
de l'orga- nisme demande une réparation plus ra
tentante. Cette faiblesse congénitale pourrait atteindre toutes les
parties
congéni- tales du système nerveux. - Touchant
i, d'abord limitées soit au menton, soit à l'oeil, soit à une autre
partie
de la figure, se généralisent ensuite à tout son
uscle orbiculaire de l'oeil se contracte et que l'oeil se ferme, la
partie
interne du muscle frontal se contracte et la pe
baisse en même temps; or ici, au contraire, le sourcil, du moins sa
partie
interne, se relève pendant l'oc- clusion de l'o
ralgie faciale reconnaissant pour cause une lésion siégeant dans la
partie
extra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce ner
, ou mieux conservées, qui ont présidé à la réparation de toute une
partie
du facial : de telle sorte que désormais certai
in avec des douleurs dans la colonne vertébrale dorsale et dans les
parties
latérales du côté des reins ; ces douleurs deve
mnase, en ressortait assez ingambe ; puis, elle put rester debout une
partie
de la journée, la difformité se reproduisant il
néen est nor- mal. La sensibilité paraît normale sur la plus grande
partie
du corps, sauf, comme nous venons de le dire, a
rude coup à la croyance en la possession, mais avait indisposé une
partie
de la population. Le juge de paix P... n'avaitp
l. Les épi- physes très volumineuses qui constituent la plus grande
partie
de l'os, ne sont indi- quées que par l'espace v
ures d'un humérus, du radius du côté opposé et des deux fémurs (une
partie
de ces derniers a été prélevée pour l'examen hist
(Enfant, Darr., oct. 1899). Mère syphilitique ; Thorax rétréci à sa
partie
supérieure et élargi à sa base. Epaissis- semen
e les seuls signes cliniques qui peuvent être réalisés, au moins en
partie
, par d'au- tres affections et prêter ainsi à co
qu'à l'encoche épiphysaire et assure à lui seul l'union de ces deux
parties
. La faiblesse du tissu osseux formé au-dessous
fication périoslale chez un rachitique. - Enfant de 1 jour. Dans la
partie
centrale de la coupe, un certain nombre de travée
carré de l'achondro- plase. Enfin, il existe des courbures dans uue
partie
des os du squelette. Le genu valgum et le coxa
t-vient, aussi exagéré dans un sens que dans l'autre, et qui est en
partie
la cause des confusions dont l'étude des dystroph
0). GODIN. - Rech. anthropométriques sur la croissance des diverses
parties
du corps Paris, 1903. ' Gnwasa. - (Arch. f. G
la différence entre l'index, le médius et l'annulaire est minime. Les
parties
molles des phalanges sont bien développées. La
épiphyses sont aussi très réduites. Le trait blanc qu'on voit à la
partie
supérieure des os est dû à la ficelle avec laquel
sorte de reviviscence d'un type atavique de celte espèce. Mais la
partie
qui nous intéresse le plus du travail de Leriche
te dernière théorie, proposée par Tiedemann (2), a perdu une grande
partie
de la faveur avec laquelle on l'avait accueillie
pressions abnormes, modifier ou bien empêcher le développement des
parties
foetales. Ahlfeld (46) a eu le mérite de donner
nitale. Il démontra qu'il est possible de reproduire la plus grande
partie
des anomalies tératologiques par la modification
ériodes du développement lorsque les cellules sont encore en grande
partie
à l'état indifférent. Et il est bon de rappeler q
ules se différencient pour former les par- ties du squelette et les
parties
musculaires, les doigts sont les derniers à se
à l'observation de Jameson (62) qui présentait une atrophie dans la
partie
inférieure du corps due au cordon ombilical qui
tement avec la membrane. En effet : les os du bassin qui forment la
partie
inférieure du tronc ont conservé leur morpholog
tibia; mais peut-on affirmer que cet os soit le représentant d'une
partie
déterminée du tibia tandis que le reste a été arr
le 5° orteil. A ces éléments de l'Al'chypteI'Y- ginl1l, les autres
parties
du squelette sont appliquées comme des rayons l
e dans le système de charpente, dans l'ossa- ture du membre. » La
partie
supérieure du péroné, comprimée contre la diaphys
'une constric- - tion mécanique qui a altéré le développement d'une
partie
de l'embryon, et dans laquelle font défaut tous
t les repas, le malade a une sensation de boule qui l'étrangle à la
partie
supérieure du cou. La langue possède des mouvemen
trique et l'amygdale semblent un peu moins atrophiés que les autres
parties
de l'organe (PI. LXI). La moelle ne présente qu
ion de volume. Examen histologique. - L'organe a été divisé en deux
parties
par une coupe passant à travers les sillons lon
s les sillons longitudinaux supérieurs et inférieurs du vermis. Une
partie
, la plus petite, a été débitée en coupes sagittal
es semblent à ce même niveau moins nom- breuses que dans les autres
parties
de la substance grise du pont ; en tout 588 CAT
e d'ordinaire, mais sauf la zone moins bien colorée au niveau de la
partie
plus basse du stratum complexum, elles sont tou
e qu'à l'ordinaire. La capsule olivaire, au contraire, surtout à sa
partie
supérieure là où prend naissance le faisceau ce
ttale S 6, qui tombe en plein noyau moteur du trijumeau, toutes les
parties
de la protubérance n'offrent de même rien de part
PI. LXI) la dégéné- rescence des fibres nerveuses occupe une grande
partie
du corps dentelé et du feutrage intra et extra-
. Les cellules du corps dentelé sont conservées pour la plus grande
partie
. Sur les coupes faites latéralement au corps de
normal. Sur une coupe horizontale du rhombencéphale passant par la
partie
olivaire supérieure du bulbe et correspondant à
duites de nombre.Le grand entrecroisement commissural du vermis, la
partie
postérieure des fibres semi- circulaires extern
e le ruban de Reil qui est resté sans coloration; toutes les autres
parties
de la protubérance, sauf leur petitesse, ne décèl
une coloration assez foncée et qui ressort nettement sur les autres
parties
. A ce niveau la voie pyramidale est aussi un peu
tour des cellules encore existantes ou en voie de disparition. La
partie
interne de la couche moléculaire contient encore
aux fibres en guirlande et au feutrage sous-lobaire. La plus grande
partie
des vaisseaux du cervelet a une paroi plus épaiss
ctions maintes fois mentionnées, comme par exemple, au niveau de la
partie
postéro-interne du corps ciliaire et du feutrage
n ) SCLÉROSE EN PLAQUES 591 sont atteints exclusivement dans leur
partie
centrale en même temps que la commissure grise.
zones sclérosées ou dégénérées, mais elles existent aussi dans les
parties
où les fibres nerveuses semblent encore complètem
lérose de l'organe ; nous penchons ainsi à admettre qu'elle soit en
partie
d'une origine dé- générative et en partie sclér
admettre qu'elle soit en partie d'une origine dé- générative et en
partie
scléreuse, d'une origine vasculaire : à ce dernie
ès de Bruxelles par M. A. Léri (4) qui lui a également consacré une
partie
importante de son article du Traité (1) VIZIOLI
érences par plaques des méninges médullaires, surtout au niveau de la
partie
infé- rieure du renflement cervical, englobant
nt atteints. C'est surtout au niveau du del- toïde, surtout dans sa
partie
supérieure, qu'il y a une atrophie certaine, d'ai
rter les bras en haut. Le grand pectoral est petit, surtout dans la
partie
interne de son faisceau claviculaire. Bras. - L
s à l'état de lamelles tendineuses. Les fléchisseurs surtout à leur
partie
inférieure sont tellement réduits de vo- lume q
le en outre des lésions cutanées et osseuses très importantes. A la
partie
inférieure du radius droit, au-dessus du poignet
its aucune indication touchant l'importance respective des diverses
parties
de l'axe cérébro-spinal dans les diverses fonc-
position anatomique nouvelle. Effectivement, nous avons noté que la
partie
supérieure de la colonne vertébrale est toujour
lace n'occupe plus qu'un volume restreint. Par suite la peau, seule
partie
de la voûte qui persiste, s'aplatit et, tout spéc
minence et de l'os qui la constitue prive la cavité orbitaire d'une
partie
de son toit, l'oeil parait faire saillie en deh
la voûte du crâne par un tissu vasculaire peu résistant libère les
parties
cartilagineuses, et tout particulièrement les mas
nous les observons. L'étalement des masses latérales et des autres
parties
de la voûte du cràne s'effectue, sous cette actio
e produise pas, il suffit que les liens rattachant entre elles deux
parties
symétriques conservent assez de solidité pour r
ATIIOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'A1VENCÉPHAL1E 609 ment les
parties
déclives du crâne, tandis que dès son apparition,
la vitesse suivant laquelle la méningite descend du sommet vers les
parties
déclives. Là, au contraire, où se rencontrent d
on constituée antérieurement à l'envahissement inflammatoire est en
partie
supprimée par le processus méningitique ; ce qu
en- traîné en dehors par le même mécanisme qui attire en dehors les
parties
cartilagineuses, et c'est en dehors que nous le
es frontaux exceptés, xvni 40 610 · RABAUD 'au moins dans leurs
parties
antérieures ; tantôt ils restent unis, sauf cepen
s et, par suite, à augmenter la capacité crânienne aux dépens de sa
partie
postérieure. Le cerveau ainsi refoulé, butte cont
que l'ossification se poursuit. L'occipital seul se sépare en deux
parties
qui s'étalent en dehors; elles s'étalent incomplè
e chapitre premier (fig. 6). Mais l'éclatement peut intéresser une -
partie
plus considérable de la voûte : marchant d'arri
le, entame la suture pariétale et peut même se prolonger jusqu'à la
partie
posté- rieure de la suture métopique : nous ret
de anatomique de ces colonnes vertébrales montre que leurs diverses
parties
existent intégralement. Seulement, les arcs verté
ant de système nerveux ; ce spina-bifida est strictement limité aux
parties
squelettiques. Nous ne comprendrons alors sa ge
indifféremment sur un point quelconque du tissu médullaire, dans sa
partie
motrice tout au moins. En définitive, les contr
émur gauche s'est dévelop- pée au point de former aujourd'hui, à la
partie
interne du pli de l'aine, une tumeur très volum
ès étroit dans ses deux tiers supérieurs. En avant, font saillie la
partie
supérieure du sternum et les extrémités externe
uche, Le fémur gauche présente l'aspect d'une haltère terminée à la
partie
supé- rieure par une grosse sphère du volume d'
rieure par une grosse sphère du volume d'une tête de foetus et à la
partie
infé- rieure par une véritable couronne d'épine
table couronne d'épines creuses dirigées en avant, eu arrière, à la
partie
externe et à la partie interne. L'épine interne e
creuses dirigées en avant, eu arrière, à la partie externe et à la
partie
interne. L'épine interne est surtout considé- r
peau qui la recouvre, au point de presque l'ulcérer au niveau de sa
partie
la plus saillante. L'extrémité inférieure du tibi
à la base de la face antérieure du calcanéum, une plus petite à la
partie
supérieure de la même face, et des saillies oss
nt moins volumineuses ; il faut noter la prolifération osseuse à la
partie
interne de la tête du tibia et l'hypertrophie de
nférieure du condyle. La circonférence de la diaphyse, mesurée à sa
partie
moyenne, est de 8 cen- timètres ; la circonfére
e, est arrondie ; la se- conde, allongée et mince, mesurant dans sa
partie
libre trois centimètres, affecte la forme d'une
idérablement élargi, au point de mesurer 2 centimètres et demi à sa
partie
moyenne. Les deux os sont plus épais qu'à l'éta
que l'on aurait pu considérer comme appartenant au mollet. Vers la
partie
inférieure, les deux os sont entièrement soudés p
s de six à dix et renfermant par places des capsules filles. A sa
partie
profonde, elle se présente avec des contours asse
ES ture à celui qui forme le cartilage articulaire ; il est dans sa
partie
profonde le siège d'un processus d'ossification
s tuméfactions osseuses commencèrent à se mon- trer sur différentes
parties
du squelette, les unes le long des diaphyses, l
es mains et les pieds crois- saient sans proportion avec les autres
parties
du corps ; en même temps, m'assurent toujours m
s ; à la palpation on reconnaît que cette exos- tose revêt aussi en
partie
la face interne de l'os iliaque gauche, le volume
tendance à l'accroissement tout en laissant intacte la fonction des
parties
affectées. Leur nombre ne s'est pas augmenté ;
ment. Le point de départ de la transformation résiderait dans les
parties
plus internes de la choroïde. Les auteurs s'acc
tre et en s'appropriant des sels calcaires ; ils se transforment en
partie
en une substance fondamentale homogène, en par-
vembre 1904 le Dr Nonne a publié 18 cas de ce genre. Ils ont été en
partie
autopsiés avec un résultat absolument négatif.
ales, Poumons fortement injectés de sang veineux, mais toutes leurs
parties
flottent sur l'eau. Le coeur un peu gras ne prése
(PI. LXXV a). Les cellules épendymaires sont conservées en majeure
partie
et recouvertes d'une couche de détritus protopl
ge infiltrée de la fissure calcarine. 656 MOCQUIN bords et à la
partie
supérieure du cervelet on ne rencontre que quelqu
es d'une intensité incroyable et la présence de détritus. Dans la
partie
centrale, qui recouvre le 4e ventricule on rencon
rcée des deux côtés sur la tente du cervelet. Les hémorragies de la
partie
centrale du cervelet appuient également cette h
lité à peu près totale du front qui plissé horizontalement dans ses
parties
latérales, est lisse à la région médiane. Les m
oue, etc... s'exécutent normalement. Le crâne est dé- formé dans sa
partie
antérieure et supérieure qui est légèrement aplat
le supéro-interne comme pivot, un mouvement de bascule qui porte sa
partie
supérieure en haut et en avant. L'angle inférie
lusions, fondées sur des faits précis, sont conformes à la première
partie
du principe de Roux. Durant cette période initial
ériode de l'évolution individuelle, s'il faut en croire la deuxième
partie
du principe de Roux, l'influence du système nerve
milieu interne. Et comme il est nécessaire que le développement des
parties
soit proportionnel, on peut admettre que le systè
mouvements que pour régler la croissance et la différenciation des
parties
? Est-ce une action nécessaire ? On ne saurait
t à l'individu une attitude spéciale, il apparaît bien que les autres
parties
du corps conservent une autonomie propre. Si,'e
se propage de proche en proche avec une intensité variable sur les
parties
squelettiques sous-jacentes. Suivant le degré de
mais vainement exploré, me plaçant à ce point de vue, les diverses
parties
du corps des foetus mis à ma disposition ; sur au
cessives qu'il opère ; on voit dis- paraître peu à peu les diverses
parties
de la peau, à l'exception des assises superfici
ne voit pas bien sous quelle influence l'une ou l'autre de ces deux
parties
sont venues au contact du foetus. On est conduit,
veloppement au sens classique, qui comprend d'ailleurs en ma- jeure
partie
des arrêts de croissance, est la fixation d'un ét
ans peine l'ébauche normale, à laquelle il ne manque parfois aucune
partie
. Aucun doute ne saurait subsister. Les foetus q
veux et ne tardent pas à supprimer le cerveau, origine de toute une
partie
de la substance blanche de la moelle. Sous l'in-
: toutes deux sont congénitales. C'est cette congénitalité qui est en
partie
l'origine de la confusion courante ; la confusi
déhiscence secondaire du rachis ; tardive, elle laisse le temps aux
parties
squelettiques de se consolider et de résister aux
un certain nombre de considérations relatives au développement des
parties
de cet appareil. Les observateurs ont été frapp
ies de plus en plus abondantes qui envahissent peu à peu la majeure
partie
du tissu nerveux et le détruisent. Concurremment,
e rebord costal sont tou- jours faciles à reconnaître à travers les
parties
molles. La diminution de l'intervalle costo-ili
s adhérences fibreuses capables de fixer pour toujours les diverses
parties
du squelette rachidien dans une situation irrém
de grands efforts. La douleur, nettement localisée au genou, à la
partie
moyenne du mollet et dans l'espace ischio-trochan
ade en ques- tion est donc obligé de porter vers le côté sain une
partie
du corps qui ne soit pas immobilisée par la con
40 CLINIQUE NERVEUSE. condition que le malade porte la plus grande
partie
de son poids sur le côté sain, en faisant proém
matin, il me semble que ma tête est de plomb. La tête me tire à la
partie
posté- rieure et me fait mal, comme si le vide
e l'albumine. La sensibilité reparaît d'une façon très obtuse, à la
partie
supérieure des membres abdominaux. T. 38 ? Acci-
de la colonne vertébrale. 26. - La sensibilité reparait jusqu'à la
partie
moyenne de la jambe ; plus d'albumine dans les
e et sur une étendue de deux centimètres et demi, ainsi que vers la
partie
inférieure de la por- tion dorsale qui présente
issement résultat de la sus- pension du processus nutritif dans les
parties
alimen- tées par l'artère oblitérée. Est-il néc
à un travail inflammatoire qui s'est développé au pour- tour des
parties
lésées. C'est certes un processus irri- tatif a
NIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les cordons postérieurs et dans les
parties
posté- rieures, il y a une régression granuleus
troit du mot; les cordons antérieurs, aussi bien que la plus grande
partie
des cordons latéraux, et les cordons postérieur
euses situées les unes auprès des autres. Les vaisseaux surtout des
parties
périphériques des cor- dons latéraux, aussi bie
es parties périphériques des cor- dons latéraux, aussi bien que des
parties
secondairement dégéné- rées sont en grande part
une petite amélioration : la sensibilité était revenue un peu à la
partie
su- périeure.de la cuisse. Mais bientôt l'état
e après la section paraît blanchâtre et légèrement in- jectée. A la
partie
inférieure de l'espace sous-arachnoïdien exis-
ue de cheval. Ayant coupé la moelle épinière dans ses diffé- rentes
parties
, nous avons trouvé que sa région lombaire en gr
rentes parties, nous avons trouvé que sa région lombaire en grande
partie
et le tiers supérieur de la région dorsale avaien
ubstance myélitique ramollie s'écoulait pour ainsi dire. Les autres
parties
de la moelle présentaient la con- sistance norm
s points jaunes se trouvent surtout aux cordons postérieurs et à la
partie
postérieure des cordons latéraux, de sorte que
tance blanche, de façon à altérer tous les cordons postérieurs. Les
parties
postérieures des cordons latéraux participent a
s sont en quelque sorte dilacérés et si fragiles que la plus grande
partie
de leur masse fait trèsfacilement saillie à la co
istribue à la première circonvolution temporo-sphénoïdale dans la
partie
postérieure de laquelle siège le centre de l'au-
. L'oblitération simultanée d'une branche secondaire qui naît de la
partie
inférieure de la hranche sylvienne de la fronta
sylvienne qui se distribue à la pa- riétale ascendante comprend une
partie
des centres moteurs des membres. Le lobule para
supérieur de la frontale ascendante et une petite éten- due de la
partie
supérieure de la pariétale ascendante, régions
NERVEUSE. organiques de l'épilepsie partielle brachiale, c'est la
partie
moyenne de la portion centrale de la frontale et
la constituent sont dus à la localisation des gaz, aux différentes
parties
de l'organisme, au cerveau, aux poumons, au tub
tincts, des aires nettement isolées ou isolables : ils empiètent en
partie
les uns sur les autres, se pénètrent, et, comme
s d'entre-croisemeut total des faisceaux sensitifs ou moteurs : une
partie
de ces fais- ceaux, quelque petite qu'elle soit
es irradiations aux centres voi- sins, cette aire se confondrait en
partie
avec les centres de la langue, du voile du pala
ou détruit témoigne sans doute que les rapports croisés 1 Dans la
partie
clinique de son travail, .Masini constate la pers
t seul atteint dans l'ataxie cérébelleuse. Enfin, la lésion d'une
partie
quelconque du cervelet déterminerait des phé- n
le cerveau et le cervelet, tels que le développement insolite de la
partie
antérieure des hémisphères cérébraux, et surtou
annoncées par Borgherini. Peut-être convient-il, avant d'aborder la
partie
cli- nique de ce chapitre, de citer quelques fa
ns de l'écorce en comprimant légèrement ou même en effleurant les
parties
correspondantes de la tête (1885). IV. Les ré
les physiolo- gistes enx-mêmes. Il faudrait enlever entièrement ces
parties
du grand lobe limbique, « opération de la plus
ltération de la sensi- bilité générale relevées sur les différentes
parties
du corps permettent-elles de rapporter ces trou
sensibilité de la face sont surtout en rapport avec les lésions des
parties
inférieures des circonvolutions ascendantes, et
que celles des extrémités correspon- ' dent surtout aux lésions des
parties
supérieures de ces circonvolutions. (A suivre.)
onc animée par l'oculo-mo- teur commun, ou, plus exactement, par la
partie
postérieure du noyau de celui-ci. P. KERAVAL.
sciente de certaines impressions de couleur et d'espace, une faible
partie
des images commémoratives des impressions optique
isuel ne passent t par le point de fixation que quand, entre autres
parties
de l'écorce, un endroit de la convexité qui pou
aux. Les deux méthodes reposent évidemment sur la nécrose d'une des
parties
ou des deux parties des organes séparés, selon
es reposent évidemment sur la nécrose d'une des parties ou des deux
parties
des organes séparés, selon l'importance de l'un
éveloppée consé- cutivement à la manie. Le caillot était en majeure
partie
d'ori- gine récente (il ne remontait probableme
l'édifice élevé par Esquirol. La mélancolie a fait à elle seule une
partie
des frais du renversement qui s'opère en ce mom
remis aucune rédaction, nous demandons au Sénat de ren- voyer cette
partie
de l'article à la commission qui s'entendra avec
rises de nerfs et une perte absolue de con naissance qui a duré une
partie
de l'après-midi et toute la nuit, elle s'es, ré
en fixer les limites vers le haut. Sur les' coupes obtenues à la
partie
la plus élevée de la moelle cervicale (V. fig.
ant d'elle; elle s'étend dans le sens transversal et elle occupe la
partie
postérieure de la commissure grise, allant d'un
encore (V. fig. 20); elle affecte l'apparence Fig. 19. - Coupe delà
partie
supérieure de la moelle cervicale. (Le pointill
ur des coupes soumises au procédé de Weigert, elle présente dans sa
partie
centrale, une couleur jaune pur, qui, vers la p
ent presque toujours les cordons postérieurs et spéciale- ment la
partie
antérieure de ces cordons : ils sont isolés ou
d'une dégénérescence véritable : comme le prouve le déplacement des
parties
voisines, c'est-à- dire des cordons de Goll, il
e grise et la région du canal central. C'est également dans cette
partie
qu'a pris naissance la production liomateuse qu
pouvons, en effet, supposer que son point de départ se trouve à la
partie
supérieure, là où elle est confondue avec le ca
elle est confondue avec le canal central. Dans son trajet vers la
partie
inférieure de la moelle, elle s'éloigne de son
ions. La physiologie ne met pas en doute qu'entre les différentes
parties
des centres nerveux il n'existe une liaison int
une liaison intime, condition de la synergie fonctionnelle dé ces
parties
. L'anatomie ne saurait fournir jusqu'ici une se
plasma primitif». Le protoplasma vrai n'exis- terait que dans cette
partie
centrale de la cellule qui environne le noyau.
fonctions très différentes, la frontale ascendante, qui fait bien
partie
de la zone motrice, et la première circonvoluti
sens autorisé à sup- primer, sinon toutes, du moins la plus grande
partie
des réserves que j'ai faites quant à l'interpré
la vessie passent dans les cordons postérieurs ou dans l'extrême
partie
postérieure des cordons latéraux'. » Il est inu
entaire du . névraxe a persisté, et se retrouve dans toutes les
parties
du myélencéphale. Le problème de la structure e
organes des sens. Démocrite avait déjà considéré ceux-ci comme des
parties
différenciées de l'épiderme, et, toutes les sen
montré depuis que les dif- férents organes des sens n'étant que des
parties
diffé- renciées et transformées du tégument cut
CTIONS DU CERVEAU. 187 se suppléer, on devrait pouvoir détruire une
partie
de ces éléments sans dommage aucun pour les fon
nnellement à des vues analogues, et parce qu'elles s'accordaient en
partie
avec les résultats des expériences de son maîtr
res aux limites indéterminées, aux vagues confins, empié- tant en
partie
sur les frontières voisines, il les admet forme
ui représentent la puis- « sance motrice (fibres musculaires) et la
partie
sur la- « quelle cette force agit primitivement
chez les uns, les racines antérieures chez les autres, furent en
partie
négatifs, mais aussi en partie positifs, et tels,
térieures chez les autres, furent en partie négatifs, mais aussi en
partie
positifs, et tels, que Cattaneo y voit la preuv
émet des ramifications arborescentes qui vont former la plus grande
partie
d'un réticulum nerveux diffus. C'est au moyen d
mes). La détermination du poids spécifique de l'encéphale et de ses
parties
a été faite à l'aide d'un très grand aréomètre
hi, le tableau du poids spéci- fique moyen de l'encéphale et de ses
parties
, et de la moelle épinière : LES FONCTIONS DU
stologie de l'Institut psychiatrique de Reggio, répondent déjà en
partie
aux desiderata que signale Giacomini. Raffaele
, cette disposition dès-élé- ments nerveux correspond toujours « en
partie
», Roscioli l'avoue, aux descriptions de Meyner
Bicètre, pour 1888, p. 1 à 1G. * Compte rendu de la 18° Session, le
partie
, p. 366, et Progrès Jlédi- cal, 188'J, 17 août,
s court. On dirait que la tête s'enfonce dans le thorax. Thorax. La
partie
antérieure est proéminente, le sternum faisant
s côtes qui sont rejetées assez fortement en dehors. En arrière, la
partie
supérieure du thorax forme une convexité très a
égère convexité à gauche. Il existe des masses lipomateuses sur les
parties
latérales et inférieures du tronc, ainsi que da
moitié d'une noisette 1. Le bassin est très étroit par rapport à la
partie
supérieure du tronc ; les fesses sont régulière
tamment aux oreilles et aux paupières, au pourtour des levres, à la
partie
inférieure des bourses. Elle est assez fine et
érieure des bourses. Elle est assez fine et douce au toucher sur la
partie
posté- rieure des joues, sur le cou et sur le v
ne et de l'acide valérianique. La valériane fait depuis longtemps
partie
de la matière médicale européenne ; on la consi
0 fois leur poids d'eau (39 d'après MM. Regnauld et Villejean) et 6
parties
d'alcool. Un gramme de ce sel renferme 0 gr. 76
onc, quand le cas se présentera, d'essayer la transplantation d'une
partie
de la glande thyroïde tirée du mouton. Par une
ntation d'une partie de la glande thyroïde tirée du mouton. Par une
partie
, je veux dire que le greffage d'un lobe ou même
disais que, en l'absence de cette action, l'anémie pouvait être en
partie
secondaire. Nous courons le danger, il me semble,
(les zones les plus anté- rieures sont seules épargnées), et d'une
partie
de la substance grise (zone latérale intermédia
e d'enroulement correspond chez l'animal à une rétrogradation de la
partie
fondamentale du pavillon, à la rétrogradation d
uit dans l'espèce un enroulement du hord de l'hélix, ou bien que la
partie
correspondante du bord de l'oreille conserve sa
ode plus avancée, les sensations anormales s'exaspèrent, toutes les
parties
du corps sont douloureuses, il existe un senti-
nts anato- miques) ; l'altération débute parla transformation d'une
partie
de la substance musculeuse en organites nucléai
naissance, on avait enlevé le lobe occipital du côté gauche et une
partie
du lobe temporal. Il mourut huit semaines plus
auquel, trois jours après la naissance, on a enlevé la plus grande
partie
de l'hémisphère cérébral droit. Il n'est resté,
e nerf optique droit est simplement un peu grisâtre au niveau de sa
partie
interne ; 4° Un encéphale d'une idiote de vingt
travers un encéphale qui montre un foyer exclusivement limité à la
partie
postérieure de la couche optique. - Il est cert
lades étant étendus tout du long sur un lit de re- pos, on élève la
partie
supérieure de leur corps au moyen d'une sangle
étisme qui nuisent à la science 2° et la création d'une école où la
partie
scientifique théorique serait cultivée par des
vorisée par l'exercice du pouvoir absolu, qui supprimait en majeure
partie
, l'utile contre-poids que l'im- possibilité opp
. L'arachnoïde, également épaissie, avait une teinte laiteuse. A la
partie
supérieure du gyrus central antérieur, la pie-m
qu'il est au lit, il éprouve toujours, au niveau des pieds et de la
partie
supérieure des jambes, une sen- sation de chale
haut degré. Je veux parler d'abord de cet oedème des pieds et de la
partie
inférieure des jambes qui a existé autrefois ch
elle a fait toutefois de très rapides progrès en ce qui concerne sa
partie
clinique. C'est au point que les derniers trava
e tomberait, dit-elle. Lorsqu'elle mange, elle renverse souvent une
partie
du contenu de sa cuillère; fréquemment, elle po
u-dessus, plaque sensible coupant transversalement les seins à leur
partie
moyenne. Zone d'hémianesthésie gauche, descendant
de TÜJ'c ? (FT, 1) ou faisceau pyramidal direct qui se trouve à la
partie
antérieure interne, provient de la pyramide ant
e des- cendante. Le faisceau pyramidal croisé (F P, 4) situé à la
partie
postérieure, résultant de la décussation des py
faisceau cérébelleux direct ou de Flechsig (F G, 5) qui occupe la
partie
postérieure et externe entre le faisceau pyra-
ure du faisceau de Tùrck; il subit la dégénérescence ascendante. La
partie
fonda- mentale du faisceau latéral (P F, 2) con
tie fonda- mentale du faisceau latéral (P F, 2) constituée par la
partie
restante du faisceau antéro-la.téra 1. Les cor-
ieurs sont ainsi constitués; le cordon de Goll (F G, 11) situé à la
partie
postérieure et interne; à sa partie médiane, Fl
de Goll (F G, 11) situé à la partie postérieure et interne; à sa
partie
médiane, Flechsig a différencié un autre faisce
faisceau de Ijccz'clcccla (F 13, 10) ou cordon externe, situé à la
partie
périphérique du précédent. DE LA MALADIE DE FRI
7) immédiatement appliquée contre la substance grise, formant la
partie
externe et antérieure du faisceau de Burdach. L
cordons posté- rieurs tranchent par leur coloration sur les autres
parties
, ils pré- sentent de plus une friabilité excess
minution des fibres fines non commissurales, plus prononcée dans la
partie
mé- diane. L'altération n'est pas cependant aus
leurs vaisseaux sont hypé- rémiés. Cette altération se voit dans la
partie
inférieure de la région sacrée, là même où n'ex
euses, disséminées irrégulièrement et nom- breuses surtout dans les
parties
sclérosées. Les méninges ne présentent aucune a
tissu, dans la colo- ration au picro-carmin, est plus pâle que les
parties
environ- nantes et est quelquefois manifestemen
sque intactes. Les faisceaux de Burdach sont plus altérés dans leur
partie
moyenne et bien conservés dans le tiers postéri
rs postérieur. Les racines postérieures sont moins altérées qu'à la
partie
inférieure de la région lombaire. Le triangle f
Il existe de mème une augmen- tation des fibres nerveuses dans les
parties
du cordon de Bur- dach qui côtoient les cornes
phal.) Les fibres fines de la substance spongieuse sont en grande
partie
détruites. La sclérose du faisceau pyramidal gagn
plus pauvres en fibres nerveuses que dans la région lombaire. La
partie
des cordons de Burdach qui avoisine les cornes
térieures (zone limitante). - La DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 343
partie
la plus altérée est l'extrémité antérieure du cor
res nerveuses. Les cordons de Goll sont surtout altérés dans leur
partie
moyenne. On voit à leur partie postérieure quelqu
Goll sont surtout altérés dans leur partie moyenne. On voit à leur
partie
postérieure quelques grosses fibres disséminées
g. Les colonnes de Clarke restent prises principalement dans leur
partie
cenlrale où l'on ne voit plus de fibres nerveuses
postérieures est limitée par une bande de tissu très peu altéré. La
partie
la plus riche en fibres nerveuses est celle du
région et celles de la précédente. Le faisceau cérébelleux, dont la
partie
antérieure est surtout lésée, arrive jusqu'au n
La lésion est moins marquée dans le cordon de Burdach, sauf dans sa
partie
moyenne, et ce faisceau offre seulement une rar
et de ceux de Burdach persiste encore, quoique très atténuée à la
partie
moyenne de l'entre-croisement des cordons latérau
ryonnaires qui suivent les vaisseaux et pénètrent avec eux dans les
parties
plus profondes. Les fibres cardiaques sont diss
bres dirigées longiludinalemenl de bas en haut. Les capillaires des
parties
malades présentent des amas de graisse; l'altérat
e la moelle : dégénérescence grise des cordons postérieurs et de la
partie
pos- térieure des cordons latéraux. Aplatisseme
La sclérose porte sur les cordons de Goll, le cordon cunéiforme, la
partie
postérieure des cordons latéraux elles cordons an
du côté du sillon ou de la périphérie médullaire pos- térieure. Les
parties
malades sont atteintes de dégénérescence fibril
- cules amyloïdes. La moelle allongée est plus grêle surtout à la
partie
inférieure; en la comparant avec des pièces d'i
es dans tous les diamètres. Celle diminution portait sur toutes les
parties
de la moelle allongée. Au microscope, les fibrill
e de développement des tubes nerveux et des cellules dans certaines
parties
bien définies de la moelle épinière. Autopsie
ricule où elle se termine. - Il existe une sclérose prononcée de la
partie
postérieure des colonnes de Burdach dans lesque
saines disséminées. - Ces fibres saines sont plus nombreuses à la,
partie
supérieure de la moelle qu'à sa partie inférieu
s sont plus nombreuses à la, partie supérieure de la moelle qu'à sa
partie
inférieure où leur présence est excep- tionnell
es a échappé à la dégénérescence; cette bande est plus définie à la
partie
supérieure qu'à la partie inférieure de la moel
scence; cette bande est plus définie à la partie supérieure qu'à la
partie
inférieure de la moelle. Sclérose diffuse (et
aux renflements cervicaux et lombaires qu'à la région dorsale ; les
parties
posté- rieures étant en proportion plus petites
n marquées de sclérose affec- tant les colonnes postérieures et les
parties
postérieures des colonnes latérales. En somme,
s postérieures atteintes, mais la sclérose y est peu intense. Les
parties
limitant la corne postérieure et le reste des cor
e en forme de bandelette bordant la corne postérieure, encore une
partie
intacte qui correspond au numéro 6 du schéma de S
a dégénérescence des cordons postérieurs di- minue surtout dans les
parties
latérales du tiers antérieur. Les racines posté
dons posté- 350 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' rieurs et sur toutes les
parties
médianes, on constate une diminu- tion assez co
e supérieure les diamètres sont de x 5 et tom- bent à 5 x 5 dans la
partie
moyenne de la même région. Normalement, les dif
aire, la zone antéro-externe de Westphal est indemne, tandis que la
partie
posté- rieure du cordon de Burdach est altérée.
a zone antéro-externe, n'est pas tout à fait intacte, tandis que la
partie
postérieure est moins altérée que dans la régio
(/ ? . 30) la lésion commence à diminuer, et elle disparaît dans la
partie
inférieure du bulbe. Les faisceaux pyramidaux
rescences descendantes d'origine cérébrale. La lésion diminue à la
partie
inférieure du bulbe. Les faisceaux cérébelleux
faisceau cérébelleux dépasse les limites normales (/if), 34). La
partie
de la moelle qui dans la région lombaire Fig. 3
on diminue dans la même région à mesure que l'on se rapproche des
parties
supérieures, de sorte que dans la zone de trans
res. 3. Les lésions histologiques portent non seule- ment sur les
parties
qui sont réellement altérées, mais encore sur c
spinal, que nous avons signalée dans la région dorsale. Dans les
parties
sclérosées elles-mêmes, les tubes nerveux ont d
de la même zone sont également atteintes, et ont disparu en majeure
partie
. Toutefois nous n'avons pas vu que cette altéra
udis que la région dorsale dans le cas de Rùtimeyer offrait dans sa
partie
moyenne et inférieure le diamètre de 9x6, elle
ux étudiées semblent cal- quées les unes sur les autres. C'est en
partie
grâce à ces caractères de lésion systématique q
gard, c'est que dans la maladie de Fried- reich, il existe dans les
parties
non sclérosées une diminution notable des fibre
e développent dans la moelle eu dernier lieu, et sont par suite ses
parties
les plus différenciées; ils ont de ce fait les
ès une longue recherche, en rassemblant d'abord dans la mémoire les
parties
isolées d'une seule lettre, en combinant ces pa
la mémoire les parties isolées d'une seule lettre, en combinant ces
parties
, et, petit à petit en formant les lettres, puis
sensibilité, on la trouve abolie sur la muqueuse, les lèvres et une
partie
de la peau de la joue du côté du spasme glosso-
existence de processus sclérosiques, atteignant à la fois plusieurs
parties
de la moelle, et déjà, de nombreux exemples de
ndue où les fibres nerveuses sont bien conservées. En oulre, à la
partie
externe du faisceau grêle de chaque côté, se pr
ntérieur et de ses deux tiers posté- Fig. 39. Coupe au niveau de la
partie
supérieure du renflement cervical. Les parties
Coupe au niveau de la partie supérieure du renflement cervical. Les
parties
dégénérées sont pointillées. 380 ANATOMIE PATHO
a méthode de Wei- gert, cette bande se distingue très nettement des
parties
avoisinantes décolorées, par une teinte noire e
encore une sclérose bien marquée des faisceaux cérébelleux. A la
partie
inférieure du renflement cervical, les deux bande
devenue un peu moins étendue. A la région dorsale supérieure, la
partie
postérieure des cordons médians postérieurs ne
s de coupes traitées par le procédé de Weigert. Fit, 40. Coupe à la
partie
inférieure de la région dorsale. ÉTUDES SUR LA
dégénérée a presque complètement disparu (g. 40). Au niveau de la
partie
supérieure du renflement lombaire (g. z1) la dé
postérieur de la moelle. Dans les cordons latéraux, on observe à la
partie
postérieure, la zone déjà signalée dans la régi
e postérieure, la zone déjà signalée dans la région dorsale. A la
partie
inférieure de la moelle lombaire, on ne remarque
s dans les cordons de Goll qu'une légère décoloration qui occupe la
partie
médiane : dans celle partie décolorée, le mi- c
u'une légère décoloration qui occupe la partie médiane : dans celle
partie
décolorée, le mi- croscope fait constater une r
très nettement, mais il a diminué d'é- tendue. Fig. H. Coupe à la
partie
supérieure du renflement lombaire. 382 ANATOMIE
dégénéres- cence des faisceaux de Goll, et une dégénérescence des
parties
internes des faisceaux de Burdach qui a été en
. Quant à la dégénérescence des cordons latéraux, limitée dans la
partie
supérieure au faisceau cérébel- leux, elle a en
ieure au faisceau cérébel- leux, elle a entrepris, vers le bas, une
partie
des faisceaux pyramidaux. De pareilles consta
s. La sclérose des faisceaux de Türck présentait son maximum à la
partie
supérieure de la région dorsale et au voisinage
ordons laté- raux telle que nous l'avons nous-même observée. A la
partie
supérieure de la moelle, la dégénérescence entr
e chaque côté, la zone superfï- cielle des cordons de Burdach et la
partie
tout à fait postérieure des cordons latéraux, a
Pics 5) cette propagation est inad- missible, attendu qu'entre les
parties
malades des cordons postérieurs et celles des c
r de fibres. Or, quand on examine des coupes de la moelle, à la
partie
supérieure de la région cervicale, chez le nou-
dentes, quoique moins nettes, dans la ligure b qui correspond à une
partie
moins élevée de la région cervicale. 388 ANAT
tion n'est pas uniforme. De chaque côté de la ligne médiane, à la
partie
externe des cordons de Goll, on distingue une z
dehors en dedans et d'arrière en avant et elle vient s'arrêter à la
partie
antérieure du sillon médian postérieur. Cette z
térieur. Cette zone relativement inco- lore ne se rencontre qu'à la
partie
supérieure de la moelle cervicale. Si l'on ex
xistence de cette subdivision des cordons posté Flg, 42. Coupe à la
partie
supérieure de la région cervicale che z un foet
ie supérieure de la région cervicale che z un foetus de 8 mois. Les
parties
pointillées sont celles qui n'ont pas en- core
les recherches de Popoff'. Cet auteur a reconnu que les fibres des
parties
internes des cordons de Goll possèdent déjà une
uche de myéline complètement formée, tandis que les fibres de leurs
parties
externes qui confinent aux cordons de Burdach e
nvoquer les données embryogéniques pour expliquer l'intégrité de la
partie
postérieure de ces cordons. En effet, Bechter
térieure ou périphérique. Dans le tabes dorsal, chacune de ces deux
parties
peut s'entre- prendre isolément. ' Recherches
ignaler la dégénérescence des cordons latéraux : elle porte sur une
partie
strictement limitée et reconnue comme système i
eur de la moelle : elle affecte les mêmes régions, c'est-à-dire les
parties
in- ternes, sur toute son étendue, mais elle va
RE. 3'M 1 moelle dorsale, il vient s'y ajouter une sclérose de la
partie
contiguë des faisceaux pyramidaux. Cetle scléro
entue de plus en plus, en même temps qu'elle s'agrandit, et vers la
partie
inférieure de la moelle dorsale (voir fig. 2'),
on se trouve en présence d'une zone en forme de coin, occupant la
partie
postérieure des cordons latéraux. Cette zone ré
rébelleux et le faisceau pyramidal sont continus à ces cornes. La
partie
sclérosée du faisceau pyramidal ne cor- respond
de dont il s'agit était atteinte de paralysie par compression de la
partie
inférieure de la moelle cervicale (une tumeur e
e. 3° M. Rossbach présente des préparations empruntées à diverses
parties
du cerveau et du cervelet, colorées par la méthod
bizarres, anormales et pathologiques qu'ils localisent en diverses
parties
de leur économie. Les exceptions à cette règle
excitant par des moyens mécaniques les seg- ments antérieurs de la
partie
protubérantielle du bulbe, à provo- quer des co
nt inconnu. Une centaine de figures et des planches illus- trent la
partie
documentaire, très soignée, de cet excellent tra-
as de consacrer, comme ils le devraient, la majeure et la meilleure
partie
de leur activité aux recherches d'ordre scienti-
s des fondions mentales; cette dernierecatégorierenferme la majeure
partie
des cas qui sont généralement considérés comme
. - On lit dans le Progrès médical : « Un de nos amis du Venezuela (
partie
Sud où il- fait très chaud, environs de Ciudad-
reproduire s'appliquera très exactement sur la plaque sensible, les
parties
situées dans des plans antérieurs étant d'autan
la durée d'exposition estplutôtcourte, le contour ex- térieur de la
partie
photographiée subsistera, certaines masses muscul
Le résultat peut être considéré comme acquis en ce qui concerne les
parties
relativement peu épaisses du corps humain. C'est
'étu- dier un membre entier, le bras, la cuisse par exemple, ou une
partie
plus épaisse encore, comme le thorax, on se heu
us constatons en effet une fracture complète de l'humérus, les deux
parties
de l'os étant absolument disjointes ; légèrement
oute l'étendue du tégument externe, à l'exception do la tête, de la
partie
droite du cou et de la région pectorale. -Vous
r le schéma que j'ai fait placer sous vos yeux (Fig. 1 et 2).. A la
partie
antéro-externe de la jambe gauche vous remarque
-vous que cette anesthésie ne respecte, en somme, que la face et la
partie
supérieure du côté droit de la poitrine; rappelez
oires, comme cela a lieu chez notre malade pour la face et pour une
partie
de la poitrine. De plus si, dans l'hystérie, ce
diminué. Les réflexes étaient abolis. A l'autopsie, ou a trouvé la
partie
centrale de la moelle creusée d'une exca- vatio
it détruite, et que le cordon postérieur droit était sclérosé et en
partie
désorganisé. Dans le cas d'IIomen, les cordons
surtout étaient envahies par la gliomatose, à sa- voir : ' 1° La
partie
contiguë à la commissure grise postérieure ; 2°
sie du côté droit constatée du vivant du malade, car de ce côté une
partie
seulement du cordon de Goll était désorganisée pa
ifique : les ganglions ne sont pas durs, nettement indépendants des
parties
voisi- nes, et ne roulent pas sous le doigt com
r Raymond et qu'il est indispensable de bien connaître. Elle fait t
partie
de la pléiade symptomatique complexe décrite par
r dis- paraître complètement en allant se confondre au niveau de la
partie
médiane de la phalangine avec le doigt normal.
diant jusque dans le mollet. Le malade est obligé de marcher sur la
partie
antérieure du pied, sur les or- teils, malgré t
ainsi que celui d'obtenir des données graphiques de la tète et des
parties
périphériques et centrales des extrémités. En m
En même temps il m'a fallu éviter une trop grande élas- ticité des
parties
de l'appareil de crainte que la courbe ne produis
bétique. LE CLONOGRAPHE 35 L'anneau de caoutchouc est muni sur sa
partie
extérieure de huit petites selles métalliques q
ques. 1 Malgré cela j'ai réussi à obtenir les courbes de la majeure
partie
des hyperkinèses ainsi que de divers réflexes t
aité, s'efforce d'arrêter les combattants. A ce moment, une flèche,
partie
on ne sait d'où, vient frapper le héros 1 l'imp
a représenté Vénus, entourée d'un voile flottant qui dissimule une
partie
de son corps, visible pour son fils seulement, et
es qui s'articulent à pivot fixe. Chaque brandie se compose de deux
parties
, un manche et une cuiller. Les manches sont quadr
thésie complète s'établit peu à peu à mesure qu'on remonte vers les
parties
supérieures, et bientôt les trois modes de sensib
ôt les trois modes de sensibi- lité font totalement défaut; vers la
partie
supérieure du thorax, on atteint Fio. 10. - Rép
après la mort). Les poumons sont fortement congestionnés dans leurs
parties
posté- rieures ; il n'existe ni foyer de pneumo
ant. La présence de ce gros nodule modifie de la façon suivante les
parties
normales de l'axe gris : la corne antérieure ga
e antérieure (P1.1,8, ' coupe 119) pour se continuer enfin, vers la
partie
supérieure, en un pro- longement de simple infi
e de ramollissement périépendymaire (Pl. IX, A, coupe 138). Vers la
partie
inférieure, la tumeur se rétrécit également dans
oindre, qui n'entraîne pas un refoulement aussi prononcé des autres
parties
des éléments 'constitutifs de la moelle. Au niv
atérale de la moelle droite, détruisant la corne anté-' rieure, une
partie
de la corne postérieure, les .faisceaux pyramidau
5, B). Le noyau gommeux est richement vascularisé ; dans toutes les
parties
qui correspondent à une infiltration embryonnai
i ce n'est quelques amas de tubes nerveux pâlis, atrophiés, dans la
partie
la plus externe du bourgeon. IX 5 66 NOUVELLE
e de la tumeur, cette inondation embryon- naire atteint d'abord les
parties
centrales de la substance grise, où elle disloq
elle elle se substitue complète- ment. L'extension du processus aux
parties
centrales périépendymaires et commissurales, mê
e de sa vascularisation. Nous retrouverons la même disposition à la
partie
inférieure de la gomme droite. 2° Tumeur droite
n considère des coupes de plus en plus basses ; l'autre qui suit la
partie
centrale de la moelle et qui désorganise cette ré
ce une logelte vide dans la coupe. Les cornes postérieures sont les
parties
de l'axe gris qui ont le moins- souffert du voi
s des cordons postérieurs sont relativement respectées; ce sont les
parties
de la moelle qui ont le moins soufferu, or ce son
ÊTRIÈRE veloppées dans la région cervicale et disparaissant dans la
partie
inférieure de la moelle. De la pie-mère épaissi
ubstance médullaire est grisâtre. La dure-mère est épaissie dans la
partie
postérieure de la moelle. Ostéochondrites syphi
un court tractus, la substance de la corne grise antérieure dans sa
partie
la plus interne et postérieure. A gauche, dans un
ontenant un liquide blanc citrin très lim- pide (méningocèle). La
partie
interne du sac est constituée en grande partie pa
LA MOELLE ÉPINIÈRE 87 mencent à apparaître, peu abondantes, dans la
partie
la plus périphérique des cordons de Burdach.
encore apercevoir leur noyau et leur nucléole. Sur les coupes de la
partie
supérieure de la moelle dorsale, on voit la pie
il revêt un aspect uniforme, coupant pour ainsi dire la moelle en 4
parties
à peu près égales. Le canal est toujours revêtu
égales. Le canal est toujours revêtu de l'épithélium proliféré. La
partie
périphérique de la coupe est constituée par de
ules rares et atrophiées, les fibres nerveuses disséminées. Dans la
partie
inférieure de la région dorsale, la moelle est ap
if disposé en replis anormaux analogue à .celui déjà décrit dans la
partie
inférieure de la moelle. Sur la coupe faite i
térieurs sont très voisins et le canal central est déjà divisé en 2
parties
par un tractus de substance nerveuse. Dans la r
rouve de nombreuses faus- ses membranes épaisses et fibreuses. A la
partie
inférieure de la moelle, le processus morbide s
emple que la balle est au niveau du troisième métacarpien et sur la
partie
moyenne. A ces deux renseignements précis, il n
ituée sur la face dorsale du cinquième métacarpien, à peu près à sa
partie
moyenne. La photographie montre que le bord exter
t volume, mais on aurait pensé sans doute que le plomb avait été en
partie
corrosé par les bourgeons charnus comme l'ont é
) PAUL Richer, Etudes cliniques sur la grande hystérie. Appendice, 2e
partie
. Paris, Delahaye et Lecrosnier, 1885. (2) J.
était saine dans presque toute son étendue. Surtoutau niveau de la
partie
moyenne et inférieure de la région dorsale, la
pénétraient la moelle. - 'es fibres nerveuses étaienf altérées, en
partie
par l'infiltration directe, en partie par la co
erveuses étaienf altérées, en partie par l'infiltration directe, en
partie
par la compression secondaire. Ainsi pour les c
cille tubercu- leux. L'ulcération du voile du palais siège sur la
partie
droite du voile et la moitié droite de la luett
supérieures et comprimant la moelle ; ils, disparurent après qu'une
partie
de la gomme eût été résorbée et qu'elle eût ain
de la moitié droite de la face sont moins accentués que ceux de la
partie
gaucho, il semble qu'il ait existé de ce côté une
IRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 139 Là encore la lésion siégeait dans les
parties
supérieures de la moelle, peut-être dans le bul
resque complète au pourtour de l'anus, au périnée, et au niveau des
parties
génitales. Elle ne sent pas la ca- nule d'un ir
. Toutefois, il existe un retard de la perception dou- 10Ul'eue. la
partie
interne de la cuisse droite et il la partie exter
ption dou- 10Ul'eue. la partie interne de la cuisse droite et il la
partie
externe de la cuisse gauche. Le sens musculaire
inférieurs ; les ongles des orteils sont fendillés et ont disparu en
partie
. Au pied droit,au niveau-de la tête du premier
e poids du corps semble porter sur le bord interne du pied, vers sa
partie
postérieure. Là, d'ailleurs, s'est formée une bou
malement composé au niveau de ses 3e et 2e phalanges, tandis que la
partie
dépendant de la 1 r. semble man- quer : les pli
n du pouce ; il a du reste gardé sa forme biconcave habituelle ; sa
partie
supérieure paraît ne pas avoir été touchée ; son
peut- être un peu élargi, est considérablement raccourci ; enfin sa
partie
pha- langienne est très modifiée : au lieu de f
s et môme thénariennes, dont, sur la photographie, l'ombre voile sa
partie
infé- rieure. J'ajoute que, sauf les caractères
li (6)1; variétés cliniques, ostéites secondaires à des lésions des
parties
molles di- gitales ou métacarpiennes, ostéites
ses caractères un peu différents, l'adhé- rence ou non de l'os aux
parties
voisines ou à la peau permettront d'ordi- naire
e de l'organisme et dépend de la diminution du volume de toutes les
parties
du corps tenant à un arrêt de développement ».
les culs-de-jatte ou les bossus. Mais elle renferme dans sa seconde
partie
une restriction qui risque fort de réduire à né
aturels. Exiger, pour délivrer un brevet de nanisme, que toutes les
parties
du corps aient subi une diminution de volume, c
uette, et une jeune femme qui bat la mesure avec le doigt. Toute la
partie
droite du tableau est occupée, par un chevalet su
un doute sur la nature masculine du personnage. - Le torse est la
partie
la plus intéressante. La région supérieure prés
orme un arc- boutant destiné à maintenir la stabilité de toute la
partie
supérieure du corps. Cette attitude n'est pas s
jambe gauche et douze sur la droite, groupées principalement sur la
partie
autéro-interne, Au- cune autre pétéchie sur le
eux a été détruit complètement ; par la rétraction du lobe nommé la
partie
antérieure de l'insula de Reil est devenue visibl
tandis qu'à gauche on peut faire les observations suivantes : 1° La
partie
postérieure de la formation de la corne d'Ammon e
eure de l'instila de Reil n'a pas subi d'altérations, tandis que la
partie
postérieure, qui correspond à la surface supérieu
ocalisé que dans l'écorce cérébrale et l'amas blanc sous-jacent des
parties
malformées de la surface cérébrale, tandis que
en arrière, encore visi- ble par les rides qui se trouvent dans la
partie
inférieure et postérieure du lobe pariétal. Pou
e l'écorce cérébrale. z On peut encore observer que la flexion delà
partie
postérieure de 1'lié- Fiv. 22. Coupe frontale e
la pie-mère n'est pas adhérente, ni à gauche, excepté au-dessus des
parties
détruites. Dans le voisinage, la pie-mère est plu
te de l'hémisphère droit sont plus ou moins normales; dans quelques
parties
les cellules ner- veuses sont amoindries et que
lques-unes de ces dernières montrent des contours mal définis. La
partie
postérieure de l'hémisphère gauche ne présente au
paru ; on n'y trouve plus qu'un reticulum à réseau étendu rempli en
partie
de cellules rondes, de détritus d'une matière col
U FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE 211 pandue également sur toutes les
parties
; nous attirons l'attention sur ce fait que les
ne sont pas plus atrophiés que les médians ou les centraux. Dans la
partie
voisine de la protubérance, cette asymétrie est
s altérations dans ce trajet auraient dû être plus grandes. Dans la
partie
du' pédoncule cérébral située au-dessus de la sub
ons centrales et avec la circonvolution pa- racentrale; en has, une
partie
de ces fibres, la partie centrale, s'accole aux
circonvolution pa- racentrale; en has, une partie de ces fibres, la
partie
centrale, s'accole aux cellules des cornes anté
émontré une dégénération descendante de ce trajet ou du moins d'une
partie
de ces filets, ce qui fut affirmé ensuite par plu
r au contraire, avec les cellules dorsales et dorso-tatérates de la
partie
dis- tale, tandis que Becliterew et 7,(tchei le
it plus haut, le pied du pédoncule est divisé généralement en trois
parties
à peu, près égales mais il y a quelques au- teu
ifférente ; ce sont Zacher qui en accepte quatre et qui décrit cinq
parties
égales. La plupart des auteurs (l3eclrlere7c, J
périeures. , Kam donne le nom de « fascicule or(il » à la cinquième
partie
latérale de ces fibres longitudinales et le fai
ns inférieures, tandis que les fibres internes se terminent dans la
partie
médiane du lobe temporal. Frylinck les fait plo
ettre les lobes pariétaux comme origine ; il admet néanmoins qu'une
partie
du faisceau dégénéré peut être suivi à travers
temporal, la base des lobes frontaux et occi- pitaux et de petites
parties
des circonvolutions centrales sans dégénération
s sur les os des iles, sur toute la ré- gion hypogastrique, sur les
parties
antérieures des cuisses et des jambes, sur les
que, sur les parties antérieures des cuisses et des jambes, sur les
parties
latérales du voisinage, sur les bras et les avant
venaient sans effort et étaient suivis d'une perte de sang par les
parties
naturelles. En même temps, il s'est déclaré des
tion. * . ' La malade dit s'être aussi quelquefois aperçue dans les
parties
naturelles 236 NOUVELLE ICONOGRAPU1E DE LA SALP
a ensuite au col et aux jambes, quand elle était debout. Toutes les
parties
de son corns s'enflèrent successivement et devinr
as et sur les mains de la malade, elle lui avait ôté l'usage de ces
parties
. Au mois de mai il était question de transférer
ue j'ai été surpris de ne trouver aucun délabrement dans aucune des
parties
contiguës au méat urinaire ; il est tout simple d
it par en bas, « Ge- neviève ne sent ni douleur ni travail dans les
parties
qui devaient souffrir, depuis la vessie jusqu'à
e récidiva plusieurs fois. A l'occasion d'une saignée, « toutes les
parties
de son corps s'enflèrent successivement et devi
. Le nez, déprimé à la base, très effilé à la pointe, présente à sa
partie
moyenne une saillie surtout marquée du côté dro
r (1) Dans les photographies, le sujet est représenté en tout ou en
partie
, comparative- ment à son Barnum qui est un homm
la cavité qu'elle communique avec l'article coxo-fémoral et que la
partie
supérieure du fémur est atrophiée. , Consécut
illons et commissures, des masses vitreuses homogènes. » Voici la
partie
anatomopathologique de l'observation de l3artels
chias- ma, épaississement qui se continue sur la protubérance et la
partie
inférieure du bulbe. De même pachyméningite et
out dévelolo pées dans la région cervicale et disparaissant dans la
partie
inférieure de la moelle. De la pie- mère épaiss
dullaire est grisâtre. La dure-mère épaissie principalement dans la
partie
postérieure de la moelle. » Le troisième cas es
-mère, nombreuses fausses membranes épaisses et fibreuses. « A la
partie
inférieure de la moelle, l'affection s'efface peu
tes tumeurs plates, la face pos- térieure a un aspect tuméfié ; les
parties
saillantes sont pâles, les profondes gris rouge
ontre le cordon droit antérieur épais, vitreux, gris blanc; dans la
partie
inférieure- c'est le cordon postérieur également
e ou transversale est normale. L'arach- noïde qui reste attachée en
partie
il la pie-mère, lorsqu'on enlève la dure-mère e
s'étend d'une façon continue depuis la moelle allon- gée jusqu'à la
partie
inférieure de la moelle sacrée. Le point où le pr
ulaire. Au contraire la structure des parois de ce vaisseau dans la
partie
supérieure de la moelle dorsale est normale, il
nfiltration peu marquée de la tunique adventice; plus loin dans les
parties
inférieures de la moelle dorsale et lombaire on
le comme prolon- gements de celle-ci et traversent ainsi une grande
partie
de la coupe transversale. Le tractus conjonctif
s rondes. C'est surtout au niveau des cordons postérieurs clans les
parties
moyenne et inférieure de'la moelle dorsale que
n forme de cônes et de massues qui s'avancent vers l'intérieur. Des
parties
entières de la coupe sont complètement envahies
lésions. Les cordons latéraux sont surtout affectés au niveau de la
partie
moyenne et de la partie supérieure de la moelle
éraux sont surtout affectés au niveau de la partie moyenne et de la
partie
supérieure de la moelle dorsale alors que dans
la partie supérieure de la moelle dorsale alors que dans les autres
parties
leurs lésions sont très minimes pro- portionnel
ependant en quelques endroits les cornes sont atteintes, ainsi à la
partie
moyenne de la moelle dorsale et du rendement lom-
e uni- forme colorée faiblement en rose par le picrocarmin forme la
partie
périphé- rique de la fibre nerveuse etengaine l
devenu uniforme, il est impossible de séparer le cylin- dre-axe des
parties
engainantes. La substance grise et surtout les
idérable de la pie-mère qui accom- pagne les racines sur une longue
partie
de leur trajet et les entoure souvent de tuméfa
vaisseaux des cellules rondes. Cependant dans la région sacrée, une
partie
des filets radiculaires apparte- nant à la queu
8. 288 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE antérieure dans sa
partie
la plus interne et postérieure. A gauche dans un
rtébral, contenant un liquide citrin très limpide (méningocèle). La
partie
interne du sac est cons- tituée en grande parti
s de Goll, elles com- mencent à apparaître, peu abondantes, dans la
partie
la plus périphérique des cordons de Burdach.
encore apercevoir leur noyau et leur nucléole. Sur les coupes de la
partie
supérieure de la moelle dorsale on voit la pie-
l revêt un aspect cruciforme coupant pour ainsi dire la moelle en 4
parties
à peu près égales. Le canal est toujours revêtu
égales. Le canal est toujours revêtu de l'épithélium proliféré. Le
partie
périphérique de la coupe est constituée par de
ules rares et atrophiées, les fibres nerveuses disséminées. Dans la
partie
inférieure de la région dorsale, la moelle est ap
ieurs sont très voisins et le canal central est déjà divisé en deux
parties
par un tractus de substance nerveuse. Dans la r
êtent .un aspect très varié par ce fait qu'à certains endroits leur
partie
conjonctive domine pendant qu'il d'autres tout le
trouve pourtant tantôt tout autour du vaisseau, tantôt autour d'une
partie
seulement, entre la mem- brane élastique nette
sceaux radiculaires antérieurs sont normaux, d'autres et la majeure
partie
des faisceaux postérieurs sont atteints en ce que
ire assez considérable. Les cellules du ganglion spinal étaient en'
partie
d'une teinte très pâle, elles étaient gonflées, l
l central, passent entre la substance ner- veuse et la déplacent en
partie
pour occuper la place qu'elle avait. Nous trou-
ou- vons le premier de ces cônes dans les cordons postérieurs de la
partie
inférieure de la moelle lombaire, de chaque côt
stance blanche quelques fibres nerveuses plus ou moins malades. Les
parties
les plus altérées sont les cordons postérieurs,
n postérieur droit est beaucoup plus malade que le gauche. C'est la
partie
inférieure de la moelle dor- sale qui est surto
ibres sont épaisses, gonflées, surtout dans la moelle dorsale et la
partie
inférieure de la moelle lombaire, au niveau du re
Dans les cornes antérieures de la moelle dorsale, surtout dans ses
parties
inférieures de nombreuses cellules ont disparu
éviter sur des pièces aussi fragiles, je conservais les rapports des
parties
entre elles et j'avais l'avantage de pouvoir ex
e noyaux pour ainsi dire. Elle adhère de temps en temps en avant la
partie
posté- rieure du corps vertébral, recouvert par
un peu plus bas. La moelle est au centre, on y rencontre les mêmes
parties
que chez l'adulte, il faut cependant remarquer
lent absolument isolés, ils se détachent nettement sur la coupe des
parties
voisines plus ou moins éloignées et auxquelles
e l'in- tensité des lésions, celles-ci sont souvent limitées il une
partie
seulement de la périphérie, formant à ce niveau
as de cellules embryonnaires semblables à celles qui infiltrent les
parties
voisi- nes, et dans certains points la lumière
pace sous-arachnoïdien et les méninges sont après les vaisseaux les
parties
les plus souvent atteintes par le virus spécifiqu
n -existe tout autour de la moelle elle est surtout marquée dans la
partie
postérieure, le processus néoplasique ne forme pa
que nous avons décrite pour le processus général, très épaisse à la
partie
postérieure elle s'amincit sur les côtés mais n
compte des aspects normaux que nous avons signalés plus haut. Les
parties
conjonctivo-vasculaires de la moelle sont plus at
d'une lésion relativement limitée, puisqu'elle n'existe que dans la
partie
inférieure de la moelle cervicale et qu'on ne la
ti- nue directement avec la tumeur méningée dont il fait évidemment
partie
intégrante. Dans tout l'espace qui correspond a
ar leur profondeur excessive, puisqu'elles désorganisent toutes les
parties
de la moelle, que par leur extension à toute l'
des méninges hypertro- phiées et fibreuses d'où la conservation de
parties
dissociées encore recon- naissables, de cellule
eur pousse des prolongements d'infiltration em- bryonnaire dans les
parties
voisines. C'est ainsi que dans les coupes du se
l rachidien proprement dit, mais à mesure que l'on descend vers les
parties
plus inférieures, le sang envahit tout l'espace l
rréguliers entre les ra- cines encore presque respectées de l'autre
partie
de la coupe. Une racine cou- pée perpendiculair
ne infiltration abondante de cellules rondes qui pénètrent dans ses
parties
les plus internes, il y a une endophlébite mani
n'est pas altéré. La veine postérieure est libre, bien isolée des
parties
voisines, niais elle est vide de sang et ses pa
sont très épaisses, l'hématoxyline ne colore pas de noyaux dans les
parties
périphériques de son contour, mais seulement dans
s les parties périphériques de son contour, mais seulement dans les
parties
les plus internes qui n'ont pas encore subi la tr
Cerveau. -Vaisseaux des méninges très distendus par le sang. Sur la
partie
postéro-supérieure de l'hémisphère gauche il ex
ente dans ses parois une gomme microscopique qui a envahi toute une
partie
de sa circonfé- rence. (A suivre). LES PEIN
uchés dans une mesure prépondérante. Toutefois.ils ont retrouvé une
partie
de leur tonus, car les pieds ne sont plus tomba
mbres, et bientôt ceux-ci se trouvèrent complètement paralysés. Les
parties
engourdies étaient en outre très dou- loureuses
omplet de ses mains et de ses pieds ; cet état persistait encore en
partie
, plus d'un an après l'apparition de la paralysi
decin de New-Yorlc, le Dr Dana (1), a publié un travail consacré en
partie
à l'étude de cette variété depseudo- tabes. Dan
produisent, elles portent t d'une façon prépondérante sur les mêmes
parties
. Dans les cas de paraly- sie arsenicale, les dé
érables, aboutir à la fonte des muscles des quatre membres et d'une
partie
du tronc, sans que pour cela le malade coure un n
ilieu du tissu fibreux qui remplit le canal vertébral dans toute sa
partie
inférieure. Région cervicale. On peut reconnaît
lle qui occupe le côté droit de la coupe est presque saine dans ses
parties
centrales, on distingue les cellules de la corne
ige du septum pie-mérien ; par contre le sillon se prolonge dans sa
partie
profonde par une déchirure oblique à droite qui
nfiltration par les cellules rondes, souvent réunis en amas sur une
partie
seulement de la circonférence, petits nodules trè
e comme nous l'avons vu à la moelle et forme la limite de toute une
partie
dégénérée de l'axe médullaire, sur le reste de
déformée, irrégulière mais facilement reconnaissabledans toutes ses
parties
.On aperçoit nettement une bande assez mince dem
loupe on remarque une fente oblique coupant pour ainsi dire en deux
parties
le contenu du canal rachidien, l'une en avant d
ILIS HÉRÉDITAIRE 359 qu'elle-même, du reste la fente coupe toute la
partie
inférieure de la moitié gauche de la moelle. En
r le côté, évidemment compri- mée. La tumeur se désorganise dans sa
partie
centrale grenue craquelée, mais la dure-mère s'
la tumeur que nous allons décrire ci-dessous et en fait évidemment
partie
intégrante. Au contraire à droite de la coupe la
irréguliers' comme craquelés, indiquant le ramollissement de cette
partie
. Si l'espace qui sépare la pie-mère de la dure-
- A noter seulement la dilatation vasculaire exagérée dans toutes les
parties
de la moelle. Vers la région de la queue de c
sont normales que dans les cordons blancs. Les lésions des autres
parties
du névraxe sont assez accentuées et cela de hau
n distinctes, bien isolées, et l'infiltrat ne se montre que vers la
partie
tout à fait médiane de l'espace sous- arachnoïd
rt-né, légèrement macéré. ' La moelle est normale dans toutes ses
parties
, cependant l'espace sous- arachnoïdien commence
ons manifestes, elle est cepen- dant très touchée au moins dans ses
parties
accessoires. Région cervicale. La moelle propre
comme plongés au milieu d'une masse à injec- tion. Au niveau de la
partie
médiane et postérieure l'espace sous-arachnoïdien
t le centre des nodules embryonnaires plus ou moins étalés dans les
parties
voisines, ue sauraient laisser de doute sur la ré
t-être s'agit-il d'un artifice de préparation, cependant les autres
parties
de cette moelle et les moelles suivantes qui ont
i la moelle a repris des caractères absolument normaux ; toutes les
parties
que comportent les coupes sont saines excepté les
e extraite du canal vertébral. Elle semble normale. dans toutes ses
parties
. Tout au plus peut-on signaler l'adhérence intime
rrlwgie. Quatre dernières moelles sont absolument indemnes dans les
parties
que nous avons examinées. - L'observation n° VI
r la syphilis acquise. La moelle, le plus souvent atteinte dans ses
parties
conjonctives, sep- tum médian, septa radiés, va
vaisseaux radiés,pré- sente soit de l'épaississement fibreux de ces
parties
, soit leur infiltration par des cellules embryo
peut être le siège de destruction complète par l'envahissement des
parties
voisines devenues scléreuses ou par un processu
part de leurs caractères normaux. Les méninges sont de beaucoup les
parties
les plus lésées. La pie-mère épaissie, infiltré
on dorsale inférieure. Pie-mère et arachnoïde minces distinctes des
parties
voisines. Espace sous-arachnoïdien libre Vaisse
re-mère est envahi par un tissu de nouvelle for- mation (gomme). La
partie
gauche de la moelle est envahie par le même proce
espondent. Cependant on peut à peu près affirmer qu'il n'y a pas de
parties
absolu- ment saines dans une moelle touchée en
ême région, la moelle n'est pas égale- ment altérée dans toutes ses
parties
; la prédominance des lésions au ni- veau de la
ée une sorte de sillon de profondeur variable suivant l'ongle ou la
partie
de l'ongle considérée. C'est dessein que nous a
ré sa veste et baissé sa chemise pour mettre à nu son épaule et une
partie
de son. dos. Un barbier de village, le pied dro
région du palais situé dans la bouche, car vous trouverez que cette
partie
est creuse (nous disons ogivale) chez les gens
de la base du crâne, des os de la face et enfin de plusieurs autres
parties
du squelette. J'ai communiqué, il y a quelques
existe chez les sujets normaux, se trouve un méplat qui supprime la
partie
externe de l'arcade sourcilière. Les paupières
ace (PI. II) la tête affecte dans son ensemble la forme ovoïde avec
parties
les plus saillantes au niveau des deux temporaux.
ovale est divisé en deux par une dépression située au niveau de la
partie
inférieure du tem- poral : une portion crânienn
a forme d'un ovale très allongé, cet ovale est décomposable en deux
parties
nettement séparées par une dépres- sion existan
u crâne, au profil de la lamelle carrée du sphénoïde renforcée à sa
partie
supérieure par les apophyses clinoïdiennes post
rànienne de la hase, présente toujours un renfoncement marqué de la
partie
médiane correspondant au corps du sphénoïde; su
arête assez vive de la gouttière basilaire, un peu en dessous de sa
partie
médiane, en sorte qu'elle est, dans sa partie a
peu en dessous de sa partie médiane, en sorte qu'elle est, dans sa
partie
antérieure (sagittale), plus horizontale qu'à l'o
érieure (sagittale), plus horizontale qu'à l'ordinaire, et, dans sa
partie
postérieure, elle est presque verticale. Généra
tte courbure, l'occipital présente une inflexion plus accusée de la
partie
inférieure de l'écaille, et la posilion du Irou o
schéma n°`2pour constater que, à la suite de cet enfoncement de la
partie
centrale de l'os sphénoïde, l'angle sphé- noïdi
ent remarquable des os de la face à la suite de l'enfoncement de la
partie
centrale du sphénoïde, et c'est là peut-être la r
ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 29 en dedans (Hanotte, Patry). La
partie
sphénoïdale delà paroi externe est repoussée en
nt sur le plan ethmoïdal, sur la face interne du frontal et sur les
parties
laté- rales du sphénoïde ; ces crêtes arborisée
moins elles sont prédominantes (je dirai presque exclusives) de la
partie
antérieure du crâne et notamment du frontal, de l
ions du cranio-tabes sonl dans la plupart des cas loca- lisées à la
partie
postérieure du crâne el notamment à l'os occipita
1912. xxv 3 34 BERTOLOTTI préférence sur la face interne de la
partie
antérieure du crâne, tandis que les mêmes impre
chez ses sujets, l'existence d'une méningite séreuse localisée à la
partie
supérieure de l'encéphale. Je ne saisis pas bie
âne antérieur le plus compromis ; pour Meltzer, ce serait plutôt la
partie
supérieure. Toutefois, comme on le voit, mes vues
méningite et l'épendymite sont plus intenses. C'est ainsi que dans la
partie
postérieure des circonvolutions orbitaires, au
l n'y a pas de dégénérescence grise des faisceaux postérieurs dans la
partie
dorso-lombaire de la moelle » (1), écrivait \Ve
interne atteint le sillon médian postérieur qu'elle longe dans une
partie
seu- lement de son tiers postérieur, car elle n
de cette branche se trouve ainsi il peu près mesurée par la majeure
partie
du tiers postérieur du sillon médian postérieur
ils sont plongés ; cet aspect tranche fortement, comparé il celui des
parties
voisines du cordon postérieur droit et des régi
il n'y en a plus de sclérosées. Le cordon postérieur droit, dans sa
partie
moyenne et interne la jonction de son tiers antér
ne expérience de -\\7estpliil (2) : sectionnant, chez un lapin, une
partie
des racines postérieures du plexus crural, il vit
sont revenus après avoir disparu, la lésion spinale intéressait une
partie
seulement des fibres qui interviennent dans la
it de 10 centimè- tres environ. - On découvrit alors que toute la
partie
osseuse sous-jacente et qui était cons- .tituée
e la partie osseuse sous-jacente et qui était cons- .tituée par des
parties
de l'écaille du temporal, de l'occipital et, surt
e en de nombreux morceaux dont quelques-uns avaient pénétré dans la
partie
sous-jacente du cerveau. La dure-mère de cette ré
troubles cérébraux dont la description sera donnée dans la seconde
partie
de cet article. A partir du 15 septembre le mal
ombres de corpuscules métalliques (Pl. XVII). Si l'on appuie sur la
partie
postéro-inférieure de la lésion, le malade accuse
-à-dire une blessure par arme à feu caractérisée par le fait que la
partie
du crâne comprise entre l'entrée et la sortie du
ndie des lésions cérébrales, nous renvoyons le lecteur à la seconde
partie
de cet article. Malgré des examens réitérés de
seconde partie de cet article. Malgré des examens réitérés de la
partie
postérieure de la tète, du cou et des omoplates
a topographie cérébrale ne saurait être méconnue, c'est-à-dire à la
partie
postérieure de la convexité de l'hémisphère gau
engager juste entre les lobes pariétal et temporal, en déchirant la
partie
inférieure du pli courbe, pour ressortir par la d
des par- ties de la substance cérébrale ont été détruites, mais les
parties
corres- pondantes du manteau ont été dépouillée
nteau ont été dépouillées de leur enveloppe osseuse ainsi que d'une
partie
de leur enveloppe durale ; en conséquence, la pre
tata une légère différence de la sensibilité à la dou- leur dans la
partie
inférieure de la jambe. Au côté gauche du visag
it à ce que le centre optique du manteau de l'hémisphère gauche, la
partie
dénommée aren striata, a été complètement détruit
a profité B... entre et durant les examens, ces lacunes ont été en
partie
comblées. Si l'on verse de l'eau, si l'on fait
chi, « Le Foyer des inscrits maritimes », lequel se trouve dans une
partie
toute différente de la ville. Le sens des cou
ait pas d'une façon tout à fait arbitraire ; d'ordinaire, c'est une
partie
du mot, correctement saisie, qui lui sert de po
e à la lecture doit, pour être utile, s'appliquer à de tels mots ou
parties
de mots qui reviennent constamment dans le texte,
par la lésion cérébrale, sa faculté d'interpréter certains mots et
parties
de mots doit s'expliquer par l'activité de l'hémi
sons apprises dès l'enfance, telles que les nombres, la plus grande
partie
de l'alphabet, les noms des mois et des jours. El
pendance directe de sa faculté de lire : il peut écrire les mots et
parties
de mots qu'il sait lire, mais rien de plus. Lor
des fois, mais la compréhension des différents symboles qui en font
partie
dépend de combinaisons associatives tout autres.
propositions, ça m'énerve. Mais les hommes, ça « a toujours été ma
partie
. J'aime beaucoup la société des femmes jolies «
, M1CR011ÉLIE RHIXOMÉLIQUE PARTIELLE 139 Description des diverses
parties
du corps. Tête et face. - Khéroufa n'a pas le t
ta- nelle ne sont pas fermées ; il en est de même de la plus grande
partie
de la suture sagittale. Pour s'en rendre compte
bien développées. Au niveau de la clavicule gauche, on sent sur la
partie
médiane un cal énorme, et l'on voit par la radiog
onsidérable de la musculature fessière et du tissu graisseux de ces
parties
. 1 Organes génitaux. - Bien conformés. On note
a de plus remarquable, c'est l'absence d'ossification de certaines
parties
des os à ébauche membraneuse, comme le crâne et
le, et l'oses[ ossifié dans sa totalité. Quant aux cicatrices de la
partie
inférieure de l'avant-bras, elles sont imputables
es teintes en sont fondues; mais,en certaines zones, notamment à la
partie
inférieure de l'abdomen et sur la face interne de
ent hyperpigmentés ou hypopigmeutés, Les bords sont nets, et sur la
partie
décolorée les poils et la peau (épaissie) n'ont r
excepte le trouble partiel des sensibilités tégumentaires, trouble en
partie
peut-être déterminé par l'épaississement des té
1).«La teinte hyperchromique,ditLeloir,peuts'éten- dre à une grande
partie
de la surface cutanée. » Et c'est particulièremen
1 . DE L'ABSENCE DES RÉFLEXES ACHILLÉENS ET ROTULIENS 155 Dans la
partie
statistique de ce travail, qui a l'avantage de po
ceux de l'absence indubitablement patholo- gique. Dans une deuxième
partie
relative à la nature et à l'origine de cette ab
30 ans, bronchites fréquentes. A 26 ans, contu- sion violente à la
partie
supérieure de la jambe droite. Le réflexe achillé
s. A 22 ans, contusion avec plaie, par coup de pied de cheval, à la
partie
supéro-interne de la jambe gauche ; a été immo-
la Méthode il n'y est fait qu'une rapide allusion dans la cinquième
partie
où nous trouvons cette phrase : « ayant supposé
nit encore le Traité de la Lumière (5) qui aurait formé la première
partie
d'un grand ouvrage dont le Traité de l'Homme eu
sprits animaux qui parcourent les nerfs. Ces esprits constituent la
partie
la plus ténue, la plus subtile et la plus légèr
ployent ordinairement quelques jours à voir les intestins et autres
parties
, avant que d'ouvrir la leste » (1). ' Enfin les
Elisabeth. Remanié, il fut publié à Ams- terdam en 1649). Première
partie
, art. 32. Comment on connoit que cette glande est
rce immédiatement ses fonctions est que je considère que les autres
parties
de notre cerveau sont toutes doubles, comme aus
sont « tou- tes les plus vives, les plus fortes elles plus subtiles
parties
de ce sang [qui].... se vont rendre dans les co
re l'action de ce sang et des esprits animaux dans le cerveau ? Une
partie
servira à le nourrir, à « entretenir sa substan
le nourrir, à « entretenir sa substance » (2) ; mais la plus grande
partie
en est employée à « y pro- duireun certain vent
ndroit-ià ungrandnom- bre de petits trous, par où les plus subtiles
parties
du sang qu'elles con- tiennent, se peuvent écou
n effet, ces petits (1) Traité de l'Homme, éd. Clerselier, Première
partie
, XII, p. 8. (2) ibis, Première partie, XIV, p.
mme, éd. Clerselier, Première partie, XII, p. 8. (2) ibis, Première
partie
, XIV, p. 10. (3) « Jamais ils ne s'arreslent un
e place » lbid. Cinquième parte, LXIV, p. 59. (4) lbid. Cinquième
partie
, LxIII, p. 56. (5) « Les principales qualitez d
imprimede contraires. Traité de [' Homme, éd. Clerselier, Cinquième
partie
, LYIII, p. 58. (1) lbid. Cinquième partie, LXII
éd. Clerselier, Cinquième partie, LYIII, p. 58. (1) lbid. Cinquième
partie
, LXIII, p. 57. (2) lbid. Cinquième partie, LXV,
58. (1) lbid. Cinquième partie, LXIII, p. 57. (2) lbid. Cinquième
partie
, LXV, p. 62. Fig. 4. 180 SAINTON ET DAGNAN-BO
moins ils ont la force d'en pousser ainsi et faire tendre quelques
parties
, pen- dant que les autres demeurent libres et l
t le sens commun (1) Traité de l'Homme, ibid. Clerselier. Cinquième
partie
, LXXI, p. 67. Fic. 5. DESCARTES ET LA PSYCHOP
Mémoire » (2). (I) Traité de l'Homme, ibid. Clerselier Cinquième
partie
, LXIX, p. 66. (2)lbid, LXXII.p, 68,Ce n'est là
nt à la mémoire je ne nie pas absolument qu'elles ne puissent être en
partie
dans la glande nommée conarienne, principalemen
ses qu'ils n'ont jamais vues, si leur âme, n'était jointe à quelque
partie
du cerveau, qui fut propre à recevoir toutes sort
reste du cerveau qui sert le plus il la mémoire, principalement ses
parties
intérieuresetmesme aussi que tous les nerfs et
peuvent servir ; en sorte que par exemple, un joueur de luth a une
partie
de sa mémoire en ses mains ; car la facilité de p
e m'imagine aussi-tost un front et une bouche, et toutes les aulres
parties
d'un visage, pour ce que je n'ay pas accoutumé
rofesseur Debove. (1) 'fruité de / Homme. Ed. Clerselier. Cinquième
partie
, LXXIII, p. 69. .J DESCARTES ET LA PSYCHOPQq)Gm
ts réfléchis de l'image... formée sur la (1) Des Passions, première
partie
, art 13. xxv 12 Fig. S. 186 SAINTON ET DAGN
g. S. 186 SAINTON ET DAGNAN-BOUVERET glande, vont de là se rendre
partie
dans les nerfs qui servent à tourner le dos et
qui servent à tourner le dos et remuer les jambes pour s'enfuir, et
partie
en ceux qui élargissent ou rétrécissent telleme
t les orifices du coeur, ou bien qui agitent telle- ment les autres
parties
d'où le sang lui est envoyé, que ce sang y étant
interne, c'est H la différence qui se rencon- tre entre les petites
parties
des esprits qui sortent d'elles » et qui «ne ma
par l'âme, laquelle est de telle nature (1). Des Passions, première
partie
, art. 36. A plusieurs reprises Descartes a insist
soit dans le ciel pour y voir les asties. » Des Passions, piemiére
partie
, art. 33. (2) Traité de l'llomme, édit. Clersel
artie, art. 33. (2) Traité de l'llomme, édit. Clerselier, cinquième
partie
, LXXV, p. 10. (3) Traité de l'Homme, édit. Cler
ie, LXXV, p. 10. (3) Traité de l'Homme, édit. Clerselier, cinquième
partie
, LXXVI, p. 71. DESCARTES ET LA PSYCHOPHYSIOLOGI
.. on ne peut pas proprement dire qu'elle soit en quelqu'une de ses
parties
à l'ex- clusion des autres, à cause qu'il est u
eux est ôté, cela rend tout le corps dé- (1) Des Passions, première
partie
,art. 34. Descartes résume toute sa physiologie da
éterminent à se mouvoir en plusieurs diverses façons, selon que les
parties
de son cerveau sont disposées, sont comme des Est
leurs mouvemens. » Traité de l'llomme, édition Clerselier, seconde
partie
, XVI, pp. 11-12. 188 SAINTON ET DAGNAN-BOUVER
qu'elle ne devient point plus petite de ce qu'on retranche quelque
partie
du corps, mais qu'elle s'en sépare entièrement
l'âme est jointe à tout le corps, « il y a néanmoins en lui quelque
partie
en laquelle elle exerce ses fonctions plus partic
les et le monde de la conscience, l'étendue et la pensée, encore en
partie
confondues par les scolastiques. En effet, la dis
l'étendue (3) ». La manière dont il faut (1) Des Passions, première
partie
, art. 30. (2) Des Passions, première, partie ai
Des Passions, première partie, art. 30. (2) Des Passions, première,
partie
ait 31. (3) Le ôyslème de Desc(t7-les, par 0. I
a.... très clairement prouvé qu'il y a dans le cerveau une certaine
partie
qui est comme le timon ou le gouvernail de tous
l de tous les mouvemens corporels ; et que vray-semblablement cette
partie
est le Conarium, ou la glande pinéale (3). » Et a
. (2) 0. IIAMELIN, in op. laud., p. 352. Cf. Des Passions, première
partie
, ait. 1G. (3) Edition du Traité de l'Homme de C
aisseaux qui sont dispersez par le cerveau (4). » Dans la quatrième
partie
de son Exposition Anatomique, Winslow re- produ
. (2) I\ ! ALEBnA11CIIC, Recherche de la Vérité. Livre II. Première
partie
. Cil. I, 11. (3) Thomas l3nnnuot.m. Allato11lia
s symptômes des modifications du caractère. Enfin nous citerons une
partie
de l'observation plus détaillée de Franl : l-Iloc
ouveau autre que celui « d'état physique » pour désigner toutes les
parties
homogènes dont un système hétérogène est formé.
structure alvéolaire. S'il est vrai que la théorie a été admise en
partie
ou totalement par des auteurs très compétents tel
re considérés comme des formes de passage au ré- seau ; ils sont en
partie
tout ou moins des produits de la fonction des cel
r affirme que la théorie alvéolaire ne saurait s'appliquer qu'à une
partie
des recherches de Butschti. - Bechhold pense qu
cléaire dont le pourtour est 1 umineux sur une plus ou moins grande
partie
. Dans les cellules lumineuses, la membrane du noy
filaments, parfois même des gouttelettes colorées seulement sur une
partie
de leur contour, ce qui les fait paraître sembla-
e très lu mineuse aurait tendance à devenir moins lumineuse sur une
partie
de son protoplasma (ng. 6, PI. XXV). ESSAI DE
itue un problème des plus difficiles. En effet,ce corpuscule est la
partie
la plus réfringente de la cellule lorsqu'on l'e
INESCO tour des nucléoles devient lumineux, brillant, tandis que la
partie
centrale est plus ou moins lumineuse ; ou bien
ore sur une moitié de la cellule et enfin on voit dans celle-ci des
parties
lumineuses et des parties transparentes ou diapha
ellule et enfin on voit dans celle-ci des parties lumineuses et des
parties
transparentes ou diaphanes ; de sorte qu'elle a
prime à la cellule nerveuse ne sont pas définitives, mais en grande
partie
réversibles lorsqu'on traite ensuite les mêmes ce
'une pince. A. Cellule allongée. B. C. Cellules présentant à leur
partie
inférieure une excroissance ou globule adhé- re
ce ou globule adhé- rent. D. Cellule fendue partiellement en deux
parties
, ce qui lui donne un aspect tout particulier.
ue toutes des grumeaux lumineux occupant la cellule en entier ou en
partie
, ces grumeaux ressemblent aux corpuscules de Niss
tous les organes de l'homme. Mais nous les trouvons surtout sur les
parties
de noire être les 224 KLIPPEL ET FEIL plus pe
sur le tronc. On dirait que la colonne vertébrale s'est tassée à sa
partie
supérieure, comme dans certains maux de Pott so
être constamment courbé en avant. On voit aussi une scoliose de la
partie
dorso-lombaire, à concavité latérale gauche.
a- pophyse odontoïde de l'axis en s'articulant avec l'atlas, est en
partie
remplacé par l'intervalle qui sépare l'occipita
différenciées en bas tendent à se rapprocher et à se réunir vers la
partie
supé- rieure du thorax.Ces côtes paraissent s'a
l'union des deux premières côtes au squelette vertébral ; elle est en
partie
Fra, 3. - Vue postérieure du thorax montrant la
et limite alors en avant une région cervicale qui n'existe pas à la
partie
postérieure. Espaces ihnercostaux. - Les espace
ment d'autant plus larges qu'on s'éloigne davantage de la tête. A. la
partie
toute supérieure, les côtes se rapprochent tell
u'on arrive à séparer et à compter les côtes. Base du crâne. - La
partie
potéro-inférieure de l'occipital présente une p
e épineuse. Colonne vertébrale. Nous ne nous occuperons que de la
partie
de la colonne vertébrale étendue de l'occipital
stituée par l'union de plusieurs vertèbres. Cette masse située à la
partie
supérieure porte 4 paires de cûtes. Au-dessous
épressions des corps vertébraux qui se voient nor- malement. A la
partie
supérieure de la masse osseuse se trouvent deux s
de 6 millimètres, sa direction se rapproche de l'horizontale. Sa
partie
inférieure est séparée de l'apophyse épineuse sui
Si, chez notre malade, ces mouvements.quoique limités, existaient en
partie
, nous pouvons l'expliquer facilement par. l'exi
e épineuse UN CAS D'* ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 235 en 4
parties
, nous admettrons que cette masse est formée de 4
t formée de 4 vertèbres dor- sales. - En réalité, il n'y a que la
partie
inférieure de cette masse osseuse qui soit le r
se qui soit le reliquat des 4 vertèbres dorsales ; c'est dans cette
partie
inférieure seule- ment que nous trouvons les 4
ter un autre trajet. FfG.6. 236 KLIPPEL ET Fenil Cette dernière
partie
nous paraît donc répondre à la colonne cervicale
Naissent normalement de l'aorte. Tous ces vaisseaux ont une grande
partie
de leur trajet intra-thoracique. Côté droit. -
e côtes. Ceci nous porte à penser que cette masse est constituée en
partie
au moins par la réunion des 4 premières vertèbr
natomiste allemand, Rosemberg, ad- met, ce qui paraît exact, que la
partie
moyenne de la colonne vertébrale est la plus st
c'est le sens dans lequel se feraient les modifications. Dans la
partie
inférieure de la colonne, le processus de transfo
réunion de deux vertèbres voisines en une seule qui présentera une
partie
des caractères de chacune. C'est une opinion éc
masse osseuse d'une hauteur de huit centimètres, présentant sur ses
parties
latérales 4 paires de côtes. Cette masse compre
une ostéi te d'origine microbienne ou toxique a bouleversé toute la
partie
supérieure du squelette vertébral. Il y a là un
ent aug- mentées, sur la face qui était aplatie comme d'ailleurs la
partie
posté- rieure du crâne Le centre des fontanelle
oite était atro- phiée. Du côté gauche, cet os était séparé en deux
parties
par une por- tion fibreuse. Les auteurs consi
osses frontales étant plus ou moins proéminentes, surtout vers leur
partie
supérieure. La moitié droite du front (de la li
it et projeté en avant. Les côtés formaient une légère saillie à la
partie
droite. La tête était en- fouie entre les épaul
iographie montrait que l'humérus était très notablement élargi à sa
partie
supérieure et le canal médullaire semblait plus
diaphyse. La tubérosité bicipilale était à peine indiquée. Toute la
partie
supérieure de cet os était raréfiée. Le corps du
alade. Couvelaire pense à la similitude d'origine embryologique des
parties
malades, les os cranio-faciaux étant des os der
ermés. Toutefois, les hommes travaillaient au dehors la plus grande
partie
de la journée, et ainsi Caroline et sa mère resta
equel exercerait, dans certains cas, une influence délétère sur les
parties
corticales et associatives du cerveau, pen- dan
abolition est récente : il y a deux ans, le malade faiaitencore une
partie
de sa toilette, et c'est depuis quelques mois qu'
u contraire très atrophiées; d'autres gaines sont épaissies sur une
partie
de leur circonférence ; le plus souvent, l'épaiss
rmes. Ce sont ces aspects hypertrophiques qui don- nent à certaines
parties
des nerfs leur aspect caractéristique; L'analys
eux, la raréfaction des fibres ner- veuses arrive à son maximum, la
partie
centrale des fascicules est occupée presque ent
cles extenseurs de l'avant-bras, on constate que la disparition d'une
partie
des éléments nerveux est remplacée par une sclé
méthode de Weigert-Pal, tantôt d'une dégéné- rescence limitée à une
partie
de la racine, accompagnée d'une sclérose inter-
VE TYPE ARAN-DUCHENNE 295 espaces dénudés de fibres. La plus grande
partie
du travail est consacrée aux altérations des mu
intacts. Les racines rachidiennes antérieures sont épaissies dans la
partie
infé- rieure de la moelle ; leurs libres nerveu
ns les nerfs périphériques, les fibres nerveuses avaient disparu en
partie
, séparées par de larges espaces de névrite inte
urs plus marquée dans la région cervico-dorsale ; altérations d'une
partie
des cellules des cornes antérieures, sans diminut
ts des examens histologiques, la seconde opinion est admissible, en
partie
au moins. A côté des phénomènes régressifs : disp
s, font défaut dans un certain nombre d'observations ou pendant une
partie
de l'évolu- tion de la maladie, et sont toujour
le présente deux centimètres de moins que la droite au niveau de la
partie
moyenne : les muscles sont particulièrement mous
tive est nettement troublée gauche et il existe à la fesse et il la
partie
postérieure de la cuisse de l'anesthésie tactile
contact, mais restent toutefois indépendantes l'une de l'autre, la(
partie
anté- rieure du néoplasme est simplement déprim
ion. La pie-mère (p.m.) est considérablement épaissie, surtout à la
partie
postérieure de la moelle ; elle se continue avec
e de noyaux témoignant d'un processus actif. ' C) Au niveau de la
partie
supérieure du 3e segment sacré et inférieure du
eur a à peu près complètement disparu : elle redevient normale à la
partie
supérieure de S' (fig. 9). D) A la partie supér
redevient normale à la partie supérieure de S' (fig. 9). D) A la
partie
supérieure du 2° segment sacré et au niveau du 1
stance gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se forme ainsi la
partie
postérieure de la moelle, la substance grise de
nt ; au niveau de la il. dor- sale ils sont redevenus normaux. La
partie
interne du cordon postérieur est notablement écla
evient plus apparente la région cervicale et se poursuit jusqu'à la
partie
[inférieure du bulbe ; elle est plus accentuée
du tissu fibreux ou ag- glomérées en une masse compacte, comme à la
partie
inférieure de la pseudo- tumeur, donnent l'impr
angle de Gombault et Philippe. Fio. 7 et 8. - Coupes passant par la
partie
supérieure de SI et inférieure de Sa, écrasemen
. veine thrombosée. Planche XLIII Fio. 9. - Coupe passant sur S2,
partie
supérieure. La moelle paraît intacte à droite,
sociées des racines postérieures ·. p. FIG. 10 Coupe passant par la
partie
inférieure de Si. Reconstitution de la moitié g
truites, les cordons antérieur c.o. a. et latéraux c. o. 1. sont en
partie
dégénérés. les cordons postérieurs c. o. p. peu
rescences ascendantes des cordons antéro-latéraux c. a. l. et de la
partie
interne des cordons postérieurs, faisceau de Goll
quelque expédieut, on arrive à faire rire le sujet, on voit que la
partie
gauche du visage se modifie seule. Il se produit
également, le coin de la bouche s'étire de bas en haut. Quant à la
partie
droite du visage, elle reste complète- ment ine
avaler se produit sans aucun trouble. Au toucher, l'on sent bien la
partie
supérieure et la partie moyenne du cucullaire,
ucun trouble. Au toucher, l'on sent bien la partie supérieure et la
partie
moyenne du cucullaire, mais non la partie infér
a partie supérieure et la partie moyenne du cucullaire, mais non la
partie
inférieure. Le sterno-cléidu-mastoïdien de gau-
des doigts se fait bien, tandis que l'abduction ne se produit qu'en
partie
pour les trois premiers doigts et aucu- nement
des doigts et surtout les radiaux), les interosseux dorsaux, et, en
partie
aussi, l'abducteur du pouce, les fessiers et le
A. Jimbe du malade H... en 1910 : l'augmentation porte surtout sur la
partie
supérieure de la crête tibiale, rugueuse et irrég
ère. La cuisse droite parait légèrement augmentée de volume dans sa
partie
in- férieure, mais son axe normal n'est pas mod
la région qui avait été plus particulièrement contusionnée, sur la
partie
supérieure de la crête tibiale, un nodule osseu
e H... (191 1). On voit dans les deux cas la même incurvation de la
partie
supérieure du tibia, le même aspect ouateux, le m
ation : à l'âge de 21 ans,il se fil une contu- sion au niveau de la
partie
moyenne de la jambe gauche ; dès ce moment, le
e brusque redresse- ment du genou par un traumatisme portant sur sa
partie
antérieure ex- pliquerait particulièrement bien
RE OU NON RADICULAIRE PAR PIERRE MARIE et CHARLES FOIX PREMIÈRE
PARTIE
Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit l'atrop
tissu névroglique peu serré, et laissant, dans un de nos cas, à sa
partie
interne, une petite cavité non gliomaleuse. Une
ma. L'on peut voir en effet à ce niveau une abrasion complète de la
partie
interne de la corne avec disparition de lotîtes l
ent atteint dans un cas, l'est beaucoup moins dans l'au- tre, où sa
partie
inférieure est presque saine. Les 5' et 6''segmen
t 4° segments dorsaux. Pas de lésion des cornes antérieures dans la
partie
supérieure de la moelle cervicale ainsi que dan
eint son maximum au niveau de Du. Sur toute la hauteur, ce sont les
parties
centrales qui ont le plus souf- fert. Les lésio
aissent peu à peu dans la région dorsale. En Du on aperçoit déjà la
partie
la plus interne de la substance gélati- neuse e
e de la moelle : seule la base des cornes postérieures, ou mieux la
partie
intermédiaire aux cornes antérieures et postérieu
s, plu- tôt que de larges cavités. Au niveau de Du, elle coupe la
partie
centrale de la moelle où elle ac- quiert son ma
3G8 ANDRÉ-THOMAS ET QUI,ITCY , Elle est comblée sur la plus grande
partie
de son parcours par des élé- ments, sur la natu
il ne s'agit plus en réalité de fente, mais d'une raréfaction de la
partie
centrale du gliome. Puis au niveau de LI, Lu, o
un peu partout, mais elle a lieu avec une certaine élection dans la
partie
centrale de la cavité, où les cellules tapissen
ires dans la cavité, entre les membranes conjonctives et le gliome (
partie
postérieure), dans les boucles des mem- 378 ATD
n'en découvre que quelques-unes par coupe. Ils font défaut dans les
parties
saines, dans la substance grise, dans la dure-m
bres musculaires striées dans l'épais- seur de la pie-mère, dans la
partie
la plus superficielle du cordon posté- rieur, e
ssu conjonctif, et la part qui leur revient dans la dislocation des
parties
centrales de la moelle, on est enclin à suppose
ne semble pas que les cavités soient la conséquence de la fonte des
parties
centrales du gliome, en tout cas ce processus n
avait littéralement tranché la voûte crânienne. J'ai constaté à la
partie
moyenne de la région frontale une plaie de 6 ce
rticularités suivantes : Le facies est hébété, le regard fixe. A la
partie
moyenne de la région frontale, on remarque un e
au- che, long de 6 centimètres, profond d'environ 1 centimètre à la
partie
médiane ; la lèvre supérieure de la cicatrice c
nt des vertèbres malades par suite de la résistance et du poids des
parties
saines des vertèbres et du tronc. L'expérience
ous savons en effet que la syringomyélie, surtout localisée dans la
partie
cervicale de la moelle épinière, se ramifie, pr
spas tique et des troubles variés de Ja sensibilité sur toutes les
parties
du corps situées au-dessous du niveau de la lés
conserve son aspect normal et une circonférence régulière. Dans la
partie
in- férieure du 6e cervical ou plutôt dans la p
lière. Dans la partie in- férieure du 6e cervical ou plutôt dans la
partie
supérieure du 7e cervical la con- formation de
llons antérieur'et postérieur s'écartent de plus en plus dans leurs
parties
périphériques de la ligne médiane vers la droite
r les côtés, dé- formant la circonférence en plusieurs endroits. La
partie
gauche paraît être le plus comprimée, à savoir
droits. La partie gauche paraît être le plus comprimée, à savoir la
partie
postérieure de la ceinture circulaire du fais-
caséïnée tuberculeuse qui comprime le plus la moelle du côté de la
partie
postérieure de la zone péri- phérique du faisce
l'absence des fibres nerveuses isolées. Le faisceau de Goll dans sa
partie
postérieure présente une augmentation de névrog
base des racines postérieures, dans la zone radiculaire et dans la
partie
postérieure du faisceau de Burdach. On constate u
de la tête, de la ceinture scapulaire et pendant la pression de la
partie
cervico-dorsale de la colonne vertébrale. Encore
nt sur les os, sur les cartilage, sur les ligaments, sur toutes les
parties
péri-articulaires. L'extrême difformité du rachis
à la tumeur; le Ve est aussi aplati et contourne la tumeur dans sa
partie
antérieure ; les IXe. Xe et XI" comprimés, le VIe
R - - PIERRE MARIE et CHARLES FOIX. Nous avons, dans la première
partie
de ce travail, montré quels étaient l'intérêt e
e antérieure. Fic.. le. - obs. n° 1. Téphromalacie antérieure. C 8 (
partie
intérieure;. Aspect ana- logue à celui de la co
ée L'effondrement de la corne anlérieure droite laisse subsister à sa
partie
externe un petit groupe cellulaire isolé. A la
ubsister à sa partie externe un petit groupe cellulaire isolé. A la
partie
interne, petite cavité triangulaire sans glioma
usqu'à D 5. La lésion louchait C 8 en entier et s'étendait sur C 7 (
partie
inférieure) et D 1 (partie supérieure). Le reste
ait C 8 en entier et s'étendait sur C 7 (partie inférieure) et D 1 (
partie
supérieure). Le reste de la moelle était indemne.
aisseau, côté sain. V' vaisseau, côté malade. Z aspect réticulé d'une
partie
du cordon antérieur. L'on voit sur cette coup
Les cellules motrices les plus externes persistent au niveau de la
partie
in- ferieure de ce même segment et de la partie
ent au niveau de la partie in- ferieure de ce même segment et de la
partie
supérieure du 1er segment dorsal. A ce niveau p
cervical.Simple atrophie sans destruction complète au niveau de la
partie
supérieure du 7e segment cer- vical et inférieu
agés ensuite. La lésion touchait C 8 en entier et s'étendait sur C 7 (
partie
inférieure) et D 1 (partie inférieure). Le rest
ait C 8 en entier et s'étendait sur C 7 (partie inférieure) et D 1 (
partie
inférieure). Le reste de la moelle était indemne.
térale prédominante à droite, étendue au 80 segment cervical et aux
parties
avoisinantes du 7- segment cervical et du 1" se
terstitielle intense (Ces lésions ont été étudiées dans la première
partie
de ce mémoire. Nous n'en répéterons pas la descri
ut cela reste un peu flou, et, le diagnostic de lésion de- meure en
partie
une affaire d'impression. Nous en résumérons pour
tumeur. C. Radiographie de la tumeur hypophysaire ; l'encoche de la
partie
supérieure à été prélevée pour l'examen histologi
mpi- gnon qui fait saillie hors de la selle turcique (PI. LXIi). La
partie
visible a les Fio. 1. - On voit la pièce par sa
I. LXIi). La partie visible a les Fio. 1. - On voit la pièce par sa
partie
antérieure. L'ouverture des sinus sphénoï- daux
i a même en arrière détruit la coque osseuse et fait hernie dans la
partie
la plus reculée du sinus. Le reste de cette par
culaire de l'ethmoïde qui est exactement médiane la divise en deux
parties
à peu près symétriques. Rapports avec l'encép
rties à peu près symétriques. Rapports avec l'encéphale. - Sur la
partie
droite de la tumeur, et vers sa face postérieur
t oblitèrent le caual. Dans la plupart, la cellule est elle-même en
partie
détruite. Les colorations au picro-ponceau mont
ndu, depuis la terminaison du grêle dans un cæcum énorme jusqu'à la
partie
supérieure du rectum, représentait une des form
t inégalement déformés. La cuisse droite est surtout augmentée à sa
partie
supérieure; la gauche, plus grosse et régulière
ante du pied droit ne détermine aucun mouvement. L'excitation de la
partie
interne du pied gauche produit une flexion du pie
erne du pied gauche produit une flexion du pied; l'excitation de sa
partie
moyenne produit un mouvement d'adduction. La se
surtout les hypertrophies graisseuses. 11 existe également dans la
partie
supérieure du corps des lieux de prédi- lection
l'énormité des membres inférieurs contraste avec la gracilité de la
partie
supérieure du corps. Chez eux également le tissu
e sous-cutané. » Ce contraste, remarquable dans notre cas, entre la
partie
inférieure du corps et la partie supérieure, n'
marquable dans notre cas, entre la partie inférieure du corps et la
partie
supérieure, n'est, d'ailleurs, nous semble-t-il,
r, et en arrière par un sillon transver- sal très net qui réunit la
partie
moyenne des deux pavillons auriculaires en pass
nvahies par la lipomatose qui se continue, insensiblement, avec les
parties
du bras demeurées normales. Dans cette région a
risation naturelle cesse ». «Selon la division naturelle il y a des
parties
du corps qui sont électriques et d'autres qui s
es vaisseaux proviennent des minima électriques qui électrisent les
parties
voisines électrisables surtout le flui- dU1n ne
es le 21 mai 1849, couronnés par l'Institut, développés et publiés en
partie
dans les Archives générales de médecine. L'un de
des sciences en 1856, reproduit dans la précédente édition (deuxième
partie
, chap. Y, art. 1er). Recherches électro-physiol
nquième paire qui agit.... » Lorsqu'un homme est joyeux, les seules
parties
qui entrent en action sont celles qui dépendent i
portant sur la structure, les usages et les caractères de différentes
parties
de la face de Vhomme (1). 11 s'en est incontest
t, quelques années plus tard, jeter une si vive lumière sur certaines
parties
du système nerveux, ne pouvait être une œuvre ord
i que je vais essayer de l'expliquer. ver à déterminer l'action des
parties
contractiles; les voici, d'après le professeur Bé
ue l'avaut-bras se fléchit; évidemment ils sont fléchisseurs de cette
partie
. Ma tempe se gonfle pendant que mes mâchoires se
sséquez un muscle sur le cadavre, imprimez différents mouvements à la
partie
, observez le moment où les fibres se tendent et c
ce qui regarde la myologie des membres, il restait seulement quelques
parties
à compléter, quelques opinions à rectifier (1).
abaissé sur ses yeux). Quelle fut alors nia surprise en voyant que la
partie
inférieure du visage n'éprouvait plus la moindre
donna des résultats identiques, c'est-à-dire que je remarquai sur la
partie
du visage placée au-dessous du sourcil la môme im
isser voir l'ensemble de la physionomie, les lignes expressives de la
partie
inférieure de la face semblaient s'animer doulour
En vertu de quelle loi un mouvement circonscrit dans un point de la
partie
supérieure de la face peut-il imprimer, en appare
e qui attire obliquement en bas et en dehors tous les téguments de la
partie
inférieure de la face, et gonfle la moitié antéri
appliquée à la physiologie, à la pathologie et à la thérapeutique, 2e
partie
, cliap. II, art. 4 et 5. Irc édit. volontaire d
sentiments par la contraction des mêmes muscles. (I) Loc. cil., 2e
partie
. Il était certainement possible de doubler le n
par leur face postérieure, après avoir détaché des os, en masse, les
parties
molles du visage. On I. voit, dans ces prépar
atéralement, et spasme des paupières, dont la supérieure recouvre une
partie
de l'iris. Même combinaison musculaire que dans
omie en mouvement. L'étude de la physionomie en mouvement est cette
partie
de la psychologie qui traite des différentes mani
iques. Dans l'antiquité, l'étude de l'anatomie se composait de deux
parties
essentiellement distinctes, que l'on appelait ana
ion (1). On en trouve la preuve dans un livre intitulé De Vitsage des
parties
, magnifique monument, élevé par Galion à la physi
e de dehors en dedans et de haut en bas, et enfin que la peau de la
partie
médiane du front est nécessairement tendue et lis
rcilier. J'ai déjà fait remarquer que, chez ce sujet, la peau de la
partie
médiane du front résiste à l'action des pyramidau
e figure, analyser l'influence expressive du pyramidal, en cachant la
partie
inférieure de la face, à partir de la lèvre supér
; 3° qu'il s'est développé plusieurs plis cutanés transversaux sur la
partie
médiane du front, du côté électrisé, et qu'en deh
l'espace intersourci-Iier, tandis qu'elle est refoulée en bas dans la
partie
qui correspond à ses deux tiers externes. Ces l
es si nombreuses, qu'elles ne se sont pas effacées entièrement sur la
partie
externe du front, bien que le sourcilier ait été
as et de dedans en dehors; que la peau est sillonnée seulement sur la
partie
médiane, tandis qu'en se tendant en dehors, ell
urbe en arc décrite par lui, ne peut produire des rides limitées à la
partie
médiane du front. I*. — Expression. La plus l
le front. Ce mouvement général, qui s'opère, en apparence, dans les
parties
situées en dessous du sourcil, est plus facile en
t et de dedans en dehors, il résulte : Io que l'action exercée sur la
partie
inférieure du sillon naso-labial fait décrire à c
épend la différence expressive de ces figures. En effet, cachez-en la
partie
supérieure jusqu'au niveau du bord inférieur de l
choquante, avec le grand mouvement d'expansion joyeuse et gaie de la
partie
inférieure du visage. Ce mouvement de la paupiè
Dans la première (fig. 35), le rhéophore a été posé au niveau de la
partie
supérieure du grand zygomatique, sur le point où
tion énergique du transverse du nez chez deux sujets dont la peau des
parties
latérales du nez se plisse ou se ride facilement.
ntourne la narine en arrière est plus accentué; enfin que la peau des
parties
latérales du nez s'est plissée parallèlement à la
nt par le transverse du nez, dans les figures 38, 39, /¡1 et 42. La
partie
postérieure du nez où se termine inférieurement l
point fixe de ce muscle. Tout le monde comprend pourquoi la peau des
parties
latérales du nez, refoulée en haut et en avant, s
dedans, au niveau d'une ligne verticale fictive, qui passerait parla
partie
moyenne de la paupière inférieure. Dans cette rég
arla partie moyenne de la paupière inférieure. Dans cette région, une
partie
de la portion supérieure de l'élévateur propre de
qui animent ces muscles, de telle sorte que le courant dirigé sur la
partie
supérieure du petit zygomatique peut rencontrer l
attache à la face externe de l'os malaire, et qu'elle s'exerce sur la
partie
médiane de la lèvre supérieure et de la ligne nas
femme, en effet, le petit zygomatique droit a non-seulement élevé la
partie
moyenne de la moitié droite de la lèvre supérieur
e. Aussi n'y voit-on pas les plis cutanés qui se sont formés sur la
partie
gauche du nez des figures 5*2 et 53, où le couran
issement volontaire de la mâchoire inférieure, ou des téguments de la
partie
inférieure de la face ; mouvement inexpressif.
t que ce muscle tire obliquement en dehors et en bas les tissus de la
partie
inférieure de la face. Cependant il est démontré
par le scalpel, et dans laquelle il se termine, supérieurement, à la
partie
inférieure et latérale de la joue, et infé-rieure
nférieure et latérale de la joue, et infé-rieuremeut, au niveau de la
partie
supérieure du thorax, dont il suit enfin les cont
12 Fie. 69. — Même tête, dont les lignes frontales et le modelé des
parties
latérales du front sont mis en harmonie avec l'ob
primé au sourcil par la contraction du sourcilier; mais le modelé des
parties
latérales du front est impossible. Fig. 71. — M
es latérales du front est impossible. Fig. 71. — Même tête, dont la
partie
latérale du front est modelée comme dans la natur
mes figures 66, 67, sans que les sillons cutanés fussent limités à la
partie
médiane du front, sans que, sur les parties latér
tanés fussent limités à la partie médiane du front, sans que, sur les
parties
latérales de ce dernier, il se formât des méplats
, laisser son sourcil intact, les rides ne doivent exister que sur la
partie
moyenne du front, tandis que, sur les parties lat
ivent exister que sur la partie moyenne du front, tandis que, sur les
parties
latérales de cette région, la peau est nécessaire
sont, pour la plupart, applicables au Laocoon de Rome. Le modelé des
parties
latérales de son front est une fanlaisie de l'art
ce front devraient, pour être naturels, se continuer avec ceux de la
partie
médiane, comme dans la figure 8, sous l'influence
es rapports naturels des lignes médianes du front et du méplat de ses
parties
latérales avec l'obliquité et la sinuosité du sou
son sourcil oblique, si quelques plis douloureux avaient sillonné la
partie
médiane de son front? Rien n'est au contraire plu
pression....................... 415 FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.
PARTIE
ESTHÉTIQUE AVERTISSEMENT La tache que je m'ét
que je m'étais imposée pouvait être considérée comme terminée avec la
partie
scientifique de cet album. On a vu, en effet, dan
mes de goût. Des artistes et des amateurs éminents, croyant que cette
partie
de mon alhuin avait été composée au point de vue
indéfiniment ; mais l'extension considérable que j'ai du donner à la
partie
scientifique de l'album me force à limiter le nom
e de l'album me force à limiter le nombre des figures consacrées à sa
partie
esthétique. Du reste, en publiant ces études esth
ques sur l'expression do la physionomie, humaine. Les figures de la
partie
esthétique ont été photographiées par moi-même (1
même (1). Leur exécution est bien autrement difficile que celle de la
partie
scientifique, où j'ai sacrifié tout à la démonstr
raphiées que par l'expérimentateur ; j'en ai exposé la raison dans la
partie
scientifique (page 20). Aoici comment on peut à l
je; n'en doute pas, infiniment supérieures à celles qui composent la
partie
scientifique, et qui datent pour la plupart de 18
-- PREMIÈRE SÉRIE Figures 74, 75, 7G, 77, 78. Los figures de la
partie
esthétique seront encore, à la première vue, des
in, comme je l'indiquerai dans les légendes, de cacher telle ou telle
partie
de chacune de ces figures, pendant que l'on en re
le front du côté droit; — prière un peu triste, en cachant les mêmes
parties
du côté gauche. La tête vue isolément: — souven
front, du côté droit ; — souvenir un peu triste, en cachant les mêmes
parties
du côté opposé. Electrisation du muscle de la d
ions différentes, à droite et à r/auche. Air offensé, en cachant la
partie
de la face située au-« dessous du nez ; — regar
celui que l'on a vu photographié chez le vieillard de la figure /|0 (
partie
scientifique). Dans les deux cas, j'avais fait po
ption des lignes expressives du muscle de la douleur, le chapitre \ .
partie
scientifique). Si Ton regarde la figure de la j
mble. La tète de cette môme figure 76, vue isolément (recouvrir les
parties
situées au-dessous du cou), inspire des sentiment
he des figures 75 et 76. « Niobé, ai-je écrit précédemment (page 125,
partie
scientifique), eût-elle donc été moins belle, si
son sourcil oblique, si quelques plis douloureux avaient sillonné la
partie
médiane de son front?» La réponse à cette questio
us naturelle et plus sympathique (4). IV. Plusieurs figures de la
partie
scientifique de l'album ont été déjà consacrées à
ion d'un essai critique de quelques antiques, que j'ai exposé dans la
partie
scientifique de f album, essai critique qui n'est
rs de l'amour. Ce sont des figures d'hommes (voyez les fig. 39, /1,2,
partie
scientifique) dont l'expression est grossière et
te expression en couvrant le côté droit de cette figure 77 jusqu'à la
partie
moyenne de l'espace intersourcilicr et de la bouc
mis de supposer à son air peu irrité. J'avais déjà exposé (fig. S6,
partie
scientifique) une étude physiologique analogue à
r quelques rides J'ai produit expérimentalement, dans la figure 30,
partie
scientifique, une expression aussi grimaçante que
le besoin le plus impérieux d'embrasser son enfant. Il faut sur sa
partie
moyenne, et être modelée d'une manière particuliè
sa partie moyenne, et être modelée d'une manière particulière sur ses
parties
latérales, ainsi que je l'ai montré dans toutes l
ont été faites sur ce muscle (voyez toutes les figures du chapitre X,
partie
scientifique). Or, chez la Japonaise du Poussin,
isé isolément (voy. l'étude expressive de cette figure, à la page 35,
partie
scientifique). — L'incorrection commise par Ruben
xité inférieure et la pommette se gonfler. — Toutes les figures de la
partie
scientifique de l'album, où le muscle de la joie
qu'elle affecte dans le sourire. On peut s'en assurer en cachant les
parties
de cette figure situées immédiatement au-dessus d
ce sur le sourcil. Ce fait a été démontré expérimentalement dans la
partie
scientifique de cet album. On se rappelle, en eff
hez la jeune fille que j'ai choisie pour modèle dans les études de la
partie
esthétique de l'album. Les abaissent de son sourc
si faible, que pour le mettre en action, clans les figures 75 et 76 (
partie
scientifique), j'ai dû employer un courant intens
uche et de l'oeil, en cachant alternativement l'une ou l'autre de ces
parties
de la face,) De tout temps le trait physiognomo
pyramidal du nez. Bien que ce mécanisme ait été exposé déjà dans la
partie
scientifique de l'album, il me paraît utile de le
à un certain âge, sur la racine du nez, tandis quelle la tend sur la
partie
médiane du front. Ces faits ressortent des expéri
sur les figures 81, 82 et 83, comme ils avaient été démontrés dans la
partie
scientifique (voyez les fig. 19, 20, 21, 22, 23,
e le pyramidal du nez est puissamment contracté, et que la peau de la
partie
médiane du front doit être attirée en bas et néce
ort des faits et des considérations exposés dans le chapitre VI de la
partie
scientifique de l'album. J'ai dit, en effet, qu
(1) Loc. cit., 1er fascicule, p. 52. (2) L"s passions de Vâme, 2e
partie
, art. 145. On a vu, dans les figures 30 et 32 (
s de Vâme, 2e partie, art. 145. On a vu, dans les figures 30 et 32 (
partie
scientifique), les signes différentiels de la joi
un peu abaissés (cachez, du côté gauche, la moitié de la bouche et la
partie
inférieure de la joue). Dès que j'eus produit la
produit la contraction légère du grand zygomatique gauche (cachez les
parties
semblables du côté opposé), le sourire faux de la
ssures labiales propre au souure, étude qui a déjà été faite, dans la
partie
scientifique, à l'occasion de la contraction au m
au maximum du grand zygomatique (voy. les figures 30 et 32). — Si la
partie
du visage située au-dessous du nez est couverte,
ragraphe en rappelant ce que j'ai dit de ce muscle à la page 63 de la
partie
scientifique de l'album : « Le muscle qui produit
forme de petits médaillons, les têtes des 82 figures qui composent la
partie
scientifique et la partie esthétique de l'album d
, les têtes des 82 figures qui composent la partie scientifique et la
partie
esthétique de l'album du Mécanisme de la physiono
le temps que l'on a mis à cacher l'un de ces côtés, faisant perdre en
partie
le souvenir des traits auxquels on veut comparer
e côté; ce dont on est parfaitement convaincu, lorsque l'on cache les
parties
situées au-dessous du nez, comme dans la figure "
dérations, applicables à toutes les figures à double expression de la
partie
scientifique et de la partie esthétique, démontre
es les figures à double expression de la partie scientifique et de la
partie
esthétique, démontrent l'utilité des tableaux syn
, on puisse facilement les étudier comparativement. Les têtes de la
partie
scientifique ont dû ;être réduites des doux tie
ntent pas l'attitude et le geste, qui, sur les figures entières de la
partie
esthétique, viennent en aide à l'expression de la
orthographe de la physionomie humaine. TABLE DES MATIÈRES de la
PARTIE
ESTHÉTIQUE AVERTISSEMENT.......................
limitation de l'anesthésie n'est pas brusque et il existe entre la
partie
insensible et les parties saines une sorte de zon
ie n'est pas brusque et il existe entre la partie insensible et les
parties
saines une sorte de zone intermé- diaire où les
bilité. Le malade se plaint de picotements presque continus dans la
partie
interne des deux mains. La sensibilité au contact
a un an, elle s'est aperçue qu'elle ne sentait pas au niveau de la
partie
interne de la main droite, s'étant faite àceniv
aplaties. Les espaces interosseux sont très déprimés. (Fig. 4.) La
partie
interne des avant-bras parait atrophiée. L'amaigr
ce thénar est un peu aplatie. L'avant-bras est un peu atrophié à sa
partie
interne. Les deux derniers doigts sont rétracté
on bras droit. Il y a cinq ans déjà ressentait des douleurs dans la
partie
interne de ce membre, douleurs qui revenaient p
posée à plat est presque impossible. Sensibilité. Douleurs dans la
partie
interne comparée à des fourmille- ments et à de
l'épaisseur, elle est due particulièrement à la saillie de toute la
partie
antérieure du cou repor- tée en avant par la co
ux-ci en extension, ceux-là en flexion. Les mains reposaient sur la
partie
antérieure et supérieure du thorax, la main droit
iquement à droite et en bas sur une étendue de 4 centimètres. Cette
partie
du rachis formait en outre, sous la peau, une s
main gauche. Ces mouvements provoquent une certaine douleur dans la
partie
antérieure du bras. D... peut à peine tenir son v
timètres. Par la palpation, on constate que le sacrum fait, dans la
partie
inférieure, une saillie plus faible à gauche qu'à
gal ouvert en bas. Les ongles et les poils ne sont pas altérés ; la
partie
inférieure des deux jambes et la face dorsale d
ètre et demi de diamètre due, dit la malade, au frottement de cette
partie
contre les draps. Une ulcération en voie de cicat
exact. Il existe en effet de chaque côté du pli interfessier, à sa
partie
supérieure, à gauche, une cicatrice blanche dir
mouvement de circumduction, en même temps que, pendant la première
partie
de ce mou- vement la pointe du pied frotte sur
la plaie, bon état. Coloration ccchymotique de tout le cou et d'une
partie
de la poi- trine. 10 décembre. Un peu de cont
es doigts et ses mains, deux ou trois ans plus tard ses pieds et la
partie
inférieure de son visage, lèvres, nez et pau- p
ant. Excepté des sensations transitoires d'engourdissement dans les
parties
affectées et de brûlure dans les pieds et les j
ales un peu paresseuses, la miction normale, le sommeil lourd. « La
partie
inférieure de la face était pleine, pesante, d'un
Les pieds étaient plus affectés que les mains; la circonférence il la
partie
moyenne est de 12 pouces; avant la maladie cett
ssous de la malléole interne, mais très peu sur le dos du pied. Les
parties
épaissies forment des masses qui pourraient ais
ne d'hypertrophie du thymus, notamment pas [de ma- tité derrière la
partie
supérieure du sternum ; il existe un peu de gonfl
ément épaissis. L'augmentation de vo- lume est manifestement due en
partie
à un épaississement des os, mais l'hypertrophie
due en partie à un épaississement des os, mais l'hypertrophie des
parties
molles joue encore un plus grand rôle, de sorte
çon non douteuse une hypertrophie qui est plus pro- noncée dans les
parties
périphériques. Les cuisses paraissent tout à fait
e; quant à celle du pied elle est énorme, et ici encore ce sont les
parties
les plus péri- phériques, les orteils et le tal
vent placées un peu en avant de celles du maxillaire supérieur; les
parties
molles également sont épaissies au niveau du ment
ation on arrive à le sentir. La colonne vertébrale présente dans la
partie
supérieure de la région dor- sale une cyphose p
sale une cyphose plane; la tête est fortement courbée en avant, les
parties
molles de la nuque un peu épaissies. Les côtes
ermée; largeur 4 centimètres près de la pointe, 7 centimètres 11 la
partie
moyenne, la langue étant tirée. ' Le palais e
largissement très marqués de l'extrémité interne des clavicules; la
partie
sternale des côtes estaussi notablement élargie.
émité périphérique. De même pour ceux de la main et des doigts. Les
parties
molles sont, elles aussi, hypertrophiées; aux mai
e col de l'utérus ne peut être atteint par suite de l'épaisseur des
parties
molles des organes génitaux externes. Températu
= 6/12, le cristallin est un peu scléreux, quelques flocons dans la
partie
antérieure du corps vitré. Pas d'altérations no
les résultats de sonexamen : la moitié supérieure du sternum et les
parties
du thorax immédiatement contiguës à celle-ci so
re 8 cent., les bords latéraux 9 cent. La matité cardiaque . par sa
partie
supérieure se confond avec la limite inférieure d
um. - A l'auscultation, souffle systolique intense s'étendant de la
partie
moyenne de la région occupée par la matité card
elle s'immobilisait dans la position qu'on donnait aux différentes
parties
de son corps, même les plus fatigantes et cela
atérales pour les aisselles, une pièce médiane subdivisable en deux
parties
, servant de soutien à la tête pendant l'opérati
rties, servant de soutien à la tête pendant l'opération. Ces deux
parties
de la pièce médiane sont de forme triangulaire al
es indiquées, un trépied portatif à branches démontables, muni à sa
partie
supé- rieure d'un crochet auquel se fixe le mou
x rude, métallique et monotone. Un peu de dyspnée due évidemment en
partie
fi. l'augmentation de volume du corps thyroïde.
ce de volume des différents segments des membres. Au contraire, les
parties
molles des mains et des pieds ont éprouvé un dé
t éprouvé un développement massif, de sorte que le squelette de ces
parties
n'est que difficilement accessible à la palpation
mation du corps est principalement due à la cyphose arciforme de la
partie
supérieure de la région dorsale du rachis et à l'
La face tout entière (fig. 3G), d'une façon prédo- minante dans sa
partie
inférieure régie par le maxillaire inférieur, fai
utes les direc- tions,puis la région des tempes et des oreilles. La
partie
de la région du maxillaire supérieur proche du
èzes. Au niveau du corps thyroïde aucune altération appréciable. La
partie
supérieure du thorax est déprimée, l'infé- rieu
XVI) datent de 1784 et toutes deux semblent avoir été inspirées, en
partie
au moins, par cette comédie des Docteurs modern
estion sans que la vision et la sensibilité de l'oeil gauche et des
parties
périphériques se rétablissent. Le 26 au soir, e
e est adhérent. Quanl à la conque, elle n'existe réellement du'1 la
partie
supé- rieure, où elle a sa profondeur normale;
du'1 la partie supé- rieure, où elle a sa profondeur normale; il la
partie
inférieure elle est rejetée en dehors, de sorte
xe, il existe encore un changement de direc- tion longitudinale. La
partie
postérieure de la verge a sa direction normale,
le, la sonde n'a rencontré aucun obstacle; son introduction fait en
partie
disparaître la déviation longitudinale et, à trav
arge. Le poids de l'os entier est de 49 grammes; son épaisseur à la
partie
moyenne est de 12 cen- timètres. Clavicule. -
nsparents ; seul l'os frontal montre un certain développement de sa
partie
spongieuse ; parmi les sutures on ne trouve de
uve de complètement soudées que lazygomatico-temporale droite et la
partie
gauche de la lambdoïde, sur aucune d'elles il n
ce de deux ostéophytes styliformes, symétriquement disposés sur les
parties
944 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ce de substance compacte de forme carrée interrompue seulement à sa
partie
médiane par une fine membrane fibreuse. Les aut
ue par la pression dont il est l'objet, il fait refluer le sang des
parties
profondes vers la veine ouverte. C'est une manoeu
à la taille, on ne peut que deviner l'oedèm,e qui a envahi toute la
partie
inférieure du corps, suivant la règle. Seul le
50 centimes, de consistance cornée, séparé par un sillon humide des
parties
voisines. 25 février 1889. L'état ichtyoique de
us développé en certains points qu'en d'autres. C'est ainsi qu'a la
partie
externe des bras, au niveau des pectoraux, sur
si qu'a la partie externe des bras, au niveau des pectoraux, sur la
partie
antérieure de la jambe, la partie forte des épa
, au niveau des pectoraux, sur la partie antérieure de la jambe, la
partie
forte des épaules, à la région lombaire, les éc
melles épidermiques superposées, qu'on peut parvenir à détacher, en
partie
, et qui présente les caractères du mal perforant
entimètres, occupant le dos du poignet et s'étendant un peu sur les
parties
latérales de celui-ci. En haut, cette plaque se
e la largeur d'une lentille se voient dans cette zone décolorée. La
partie
inférieure du dos de la main a gardé sa cou- le
e troubles du système pileux à ce niveau. Au niveau du cou, sur les
parties
latérales, on voit avec un peu d'attention un t
forme commune, où la flexion l'emporte dans l'altitude des diverses
parties
du corps, on peut observer des cas dans Ifi6 NO
e plancher de laboitche étaient parfaitement sensibles à gauche, la
partie
gauche de la langue sur toutes ses faces était
, la partie gauche de la langue sur toutes ses faces était comme la
partie
droite, totalement anesthésique (fig. 53). De mêm
lors que l'anesthésie de la mu- queuse : I)Liccale est limitée a la
partie
gauche de la bouche (fig. 50). Le rétrécissemen
upait les deux tiers infé- rieurs du visage, le cou, l'épaule et la
partie
supérieure de la poitrine : \ droite. , Il fa
882, les deux tiers infé- rieurs de la face, le cou, l'épaule et la
partie
supérieure de la poi- trine à droite ? ' ? La
étale; en dehors, le pavillon de l'oreille est insensible. Toute la
partie
postérieure de la tête et du cou, est restée se
s avons w le spasme naître sous nos yeux, se localiser d'abord à la
partie
droite de la langue, puis envahir la partie gauch
localiser d'abord à la partie droite de la langue, puis envahir la
partie
gauche, et enfin réaliser le type du spasme, gl
e ce côté. L'exploration minutieuse de la sensibilité montre que la
partie
droite contractl1l'ée de la langue est insensib
située à quatre travers de doigt au-dessus de l'oreille droite. La
partie
postérieure de la tête est insensible. La cornée
ar la clavicule, en dehors par le hord antérieur du trapèze dans sa
partie
cervicale, en haut se terminant en avant du pavil
moyen d'éterniser les contractures hystériques était de placer les
parties
du corps contracturées dans un appareil, mème l
pas difficile de rencontrer dans de telles mensurations, et qui, en
partie
, dépendent de la façon dont celles-ci sont pris
es bords de la suture sagittale; tandis que, dans toutes les autres
parties
de la voûte crânienne manque le tissu spongieux
nouveau mais non pas autant que normalement, de sorte que toute la
partie
cervicale du rachis présente une obliquité anté
lenzoni a commencé par le squelette; je ne saurais dire dans quelle
partie
, mais je pense que jusqu'à ce que le rachis et
et fonctionnant avec beaucoup d'énergie), ne trouvant plus dans les
parties
dures une résistance proportionnée, acquirent peu
it particulièrement sentir sur les artères qui se distri- buent aux
parties
supérieures du tronc (cou et tête), aussi ces art
e qui présentait tant d'anomalies. Il n'en est pas de même pour les
parties
osseuses de la face dont les déformations suive
ier qu'elle est générale et porte aussi bien sur les os que sur les
parties
molles. « La hauteur du visage est sensiblement
eule exception à l'effacement qu'ont subi toutes les saillies de la
partie
gauche du visage. Il faut ajouter que le front ne
et que son développement est égal des deux côtés. « Mais, sur les
parties
latérales de la face, la même asymétrie déjà si
212 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. a) L'immobilité des
parties
contracturées est généralement moindre que dans
s, par la saillie du grand trochanter; en haut, par le sacrum et la
partie
postérieure du sillon de la hanche. Ces limites
mplit d'un relief inégal. La saillie la plus considérable occupe la
partie
inférieure et interne. Elle est arrondie. Elle ré
morphologique important. Elle acquiert son maximum d'épaisseur à la
partie
inférieure et interne de la région. Et la saillie
E T. Il. 1'1.. XXX\'III PLIS FESSIERS DANS LA STATION DEBOUT La
partie
gauche de Il IigUI'3 montre 1..1111'S 1',¡PPOJ'ls
r qui descend vers la cuisse à laquelle appartient véritablement la
partie
la plus inférieure du muscle. Ce sillon a une d
du nu suffit pour se convaincre que le pli fessier est rattaché aux
parties
profondes par des adhérences solides. Par exemp
forme comme un lien qui enserre solidement la racine du membre à la
partie
interne, pen- dant que, du côté opposé, il suit
la saillie. C'est dans cette même poche que se trouve retenue une
partie
de la FIG. 02. - Les fesses dans la flexion lég
Qg) Les attaches du pli fessier à l'ischion n'existent que dans sa
partie
interne où il est profond; en dehors, ainsi que
prononçât, la langue qui se trouvait ramassée dans la bouche et la
partie
supérieure du pharynx devait avec sa base ferme
de la verge,mais peut- être ce phénomène devait-il être rapporté en
partie
à un développement congé- nital, et en partie à
t-il être rapporté en partie à un développement congé- nital, et en
partie
à un développement excessif dans cet organe du sy
ulle part adhérente aux tissus sous-jacents; celle qui recouvre les
parties
hypertrophiées ne présente rien de spécial. Le
é les précautions qu'il prend, l'adhérence est telle qu'il coupe la
partie
la plus saillante de l'hypophyse; il s'écoule q
'hypertrophie des mains et des pieds ne porte pas seulement sur les
parties
molles, elle atteint aussi les os; nous avons fai
semble surajoutée. C'est dans ce point que la section a laissé une
partie
de la tumeur adhérente à la selle turcique. La
rcique. La consistance est demi molle ; il la coupe on constate une
partie
antérieure et une postérieure ne présentant pas
on suit parfaitement les branches qui se rendent à l'aorte. Vers la
partie
inférieure, il se partage en deux branches qui on
ême soin est aussi hypertrophié que celui de gauche dans toutes les
parties
que nous examinons. DESCRIPTION DU 1,' SOUGI1 :
i s'il ne pourrait combler cette lacune en examinant lui-môme cette
partie
du squelette. Voici les résultats de son examen
rsale porte à droite deu facettes articulaires, l'une située sur la
partie
latérale du corps, l'autre sur l'apophyse trans
et très grêle; à gauche il n'y a pas de facette articulaire sur les
parties
latérales du corps, mais seulement sur la petit
la même côte du côté opposé, la distance est de 31 centimètres. La
partie
postérieure des côtes est grosse, arrondie avec
mion est de 18 centimètres. Cette épine est très déve- loppée et en
partie
renversée en bas. Le bord axillaire dans sa parti
ve- loppée et en partie renversée en bas. Le bord axillaire dans sa
partie
infé- rieure s'allonge en forme de lame sur z13
ici que de la description macroscopique; nous aurons dans une autre
partie
de ce travail à revenir sur la description micros
LA SALPÈTRIÈRE. La voûte crânienne, d'une forme ovale allongée avec
partie
frontale étroite, se montre dans ses parties la
rme ovale allongée avec partie frontale étroite, se montre dans ses
parties
latérales notablement mince dans la fosse tem-
n épaisseur en certains points ne dépasse pas 1 mill. (fig. 69). La
partie
occipitale, au contraire, est nettement épaissie
nettement épaissie jusqu'à 10 mill. ; de même pour le frontal et la
partie
du pariétal voisine de la suture sagit- tale; l
ent larges. Les sutures sagittale et frontale sont indistinctes, en
partie
soudées. La surface interne des os du crâne se
tée de volume, elle se juxtapose comme une large lame jaunâtre à la
partie
latérale droite de la tumeur. La tumeur de l'
droite de la tumeur. La tumeur de l'hypophyse (extirpée avec une
partie
du sphénoïde) se présente comme une masse extrê
le Traité d'Ana- tomie pathologique de ,,1. Lanccrcaux (t. 111, 1"
partie
, p. z0) m'avaient frappé, et j'avais pensé qu'i
illettes. Foie : a son lobe droit doublé ou triple de volume; il la
partie
supérieure et moyenne une dépression froncée ca
telle sorte que l'excès de nutrition somblait plutôt appartenir aux
parties
supérieures. L'état des dents, de la mâchoire,
bondant. z L'hémianesthésie s'observe parfois lors de lésions de la
partie
pos- térieure de la capsule interne entraînant
ystérique, dit-il, ne s'en prend pas seulement à presque toutes les
parties
internes; elle attaque aussi quelquefois les pa
que toutes les parties internes; elle attaque aussi quelquefois les
parties
externes et les muscles, savoir : les mâchoires,
l a des élancements dans les tempes. D,ms l'après-midi, pendant une
partie
de caries, la main droite qui était complètemen
toujours vers sept ou huit heures. L'anesthésie remonte jusqu'à In
partie
moyenne du bras. Les autres stigmates n'ont suhi
naire, sa sensibilité esl diminuée sauf au niveau du pouce et de la
partie
externe de l'index où elle est normale. La sens
re en extension et abduction forcée. Le jour suivant, le pied et la
partie
inférieure de la jambe sont envahis assez rapid
nte en godet formée par la pulpe du doigt. La peau, au niveau des
parties
gonflées, est cyanosée; elle a une teinte génér
ntant pendant une semaine environ, il s'est développé au niveau des
parties
tuméfiées : il' Une hyperesthésie douloureuse e
, on aperçoit quelques bulbes pileux proémi- nents, donnant à cette
partie
un aspect grenu, chagriné. 15 à 20 minutes : co
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pendant 1 ou 2 minutes) une ligne tracée,
partie
sur la peau intacte, partie sur la région anest
ndant 1 ou 2 minutes) une ligne tracée, partie sur la peau intacte,
partie
sur la région anesthésiée, devient saillante d'ab
février, que notre maître, M. le professeur Charcot a consacrée, en
partie
, à ce cas intéressant. CONSIDÉRATIONS SUR LA CO
et de l'hypobromitc de soude. Or, nous n'ignorons pas que, si une
partie
des produits que nous venons d'énumérer est plus
L'éruption n'offrait de particu- lier que sa localisation, sur les
parties
latérales du tronc et- sur les bras. Au point d
Mais c'est là un tableau dont il manque presque toujours plusieurs
parties
... Un fait que nous nous expliquons assez mal e
ion du feu. J'en ai vu qui s'étaient laissé brûler profondément les
parties
anesthésiées parce qu'ils n'avaient pas perçu l
ndescents et qu'ils n'avaient pas été prévenus, par la vue, que ces
parties
se trouvaient en contact avec eux. Cette anesth
ons anesthésiées n'est pas absolue et qu'il est obtus au niveau des
parties
insensibles des mains et des avant-bras et dans u
sensibilité à la douleur est normale sur le reste du corps. Sur les
parties
sensibles il se produit, au niveau des piqûres, u
ite par une piqûre de puce; ce phénomène n'a pas lieu au niveau des
parties
anesthésiées. Le malade porte sur l'avant-bras
façon générale. Toutefois, le toucher est plus obtus au niveau des
parties
insensibles des mains et des avant-bras et dans
des deux sutures jugo-maxillaires, 100 mill. ; écartement entre la
partie
moyenne des deux tubérosités maxillaires, 80 mi
ant, divisant en deux le bord antérieur du maxillaire supérieur. La
partie
supérieure est rectiligne en haut et un peu en ar
un tissu spongieux abondant entourant le sinus. L'occipital dans la
partie
supérieure de son écaille, les pariétaux près de
sversal et 10 mill. de diamètre anléro-postérieur (fig. 94). Sur la
partie
moyenne du corps du sphénoïde, on voit une fosse
l; (diamètre transversal, 22 mill.; antéro-postéreur 15 mill.). Les
parties
latérales se relèvent assez peu, mais en avant
e boursoufle, à gauche surtout, effaçant la gouttière optique et la
partie
antérieure de la gouttière carotidienne; remplaça
oblique externe. La ligne oblique interne est très saillante, et la
partie
du corps située au-des- sous d'elle est presque
condyle, 28 mill. L'allongement porte presque exclusivement sur la
partie
interne du con- dyle. Il y a un emboitement trè
normale est accrue. En somme, il y a courbure par compensation des
parties
supérieure et inférieure du rachis, la région dor
inuée en avant (15 mill. pour les trois premières; 11 mill. pour la
partie
droite de la 5). Outre l'affaissement latéral
ont refoulées en arrière et à gauche. De plus, l'affaissement de la
partie
antérieure des corps crée une concavité antérie
nt la trace de la division en deux facettes. 9'° côte. Largeur à la
partie
moyenne, 25 mill. Gouttière sous-clavière large
eure, lisse dans toute son éten- due, regarde un peu en bas dans sa
partie
concave. Bord supérieur, normal. Les bord et fa
t au-dessus du col anatomique. Sur tous deux, la tête présente à la
partie
inférieure une sorle de croissant surajouté. Le c
; lar- geur maxima de la palette inférieure 73 mill.; largeur de la
partie
articu- laire 41. mill. Radius. Tête et col n
centimètres. Lar- geur de la face articulaire inférieure, 32 mill. (
partie
triangulaire, 20 mill.; partie quadrilatère 12
ce articulaire inférieure, 32 mill. (partie triangulaire, 20 mill.;
partie
quadrilatère 12 mill.) Cubitus. - Olécrane et a
e. Face antérieure. La gouet- tière du fléchisseur est profonde. La
partie
inférieure se dévie fortement en arrière et en
as envisagés dans leur ensemble présentent un peu au-dessus de leur
partie
moyenne un angle très obtus ouvert en dedans. L
te la face interne et la fosse iliaque externe sont nor- males. Les
parties
spongieuses sont au contraire épaissies, poreuses
u cotyle est des deux côtés élargi ; à gauche il est surplombé à sa
partie
postéro-supérieure par une sorte de lame osseuse
ie postéro-supérieure par une sorte de lame osseuse qui prolonge la
partie
articulaire. Diamètre du cotyle 55 mill.; largeur
e la partie articulaire. Diamètre du cotyle 55 mill.; largeur de la
partie
articulaire 38 mill. en arrière et en haut; 15 mi
érieur du grand trochanter) 385 mill. ; largeur de la diaphyse à la
partie
moyenne 30 mill.; dimension antéro-post. 25 mil
ne tubéro- sité arrondie, réunie par une crête assez saillante à la
partie
externe de la tubérosité antérieure. La hauteur
mal. La crète tibiale n'a sa courbure en S qu'en haut el en bas; à la
partie
moyenne, ses concavités sont comblées par l'arr
ions. Longueur totale 320 mill. ; circonférence de la diaphyse à la
partie
moyenne, 60 mill. Largeur de l'extrémité supérieu
partie moyenne, 60 mill. Largeur de l'extrémité supérieure, 80 mill. (
partie
postérieure cassée d'où impossibilité de prendr
30 mill. Triangle articulaire, hauteur de 22 mill.; 19 mill. de base.
Partie
non articulaire de la face internelarge de 16 m
Le célèbre anatomiste anglais Th. Willis (1) croyait que, si une
partie
quelconque « extérieure » de l'àme,par exemple un
ge (1664). (3) Observations par lesquelles on tâche de découvrir la
partie
du cerveau, où l'àme exerce ses fonctions. Mémo
l'exercice de leurs fonctions, il est tout naturel qu'une de leurs
parties
puisse suppléer à l'autre, que l'intelligence pui
acer tour à tour le siège de cette intelligence dans chacune de ces
parties
et pour l'exclure ensuite tour à lour de chacun
PSYCHIQUES CONSdENTS CHEZ LES ANIMAUX 9 plasmes se trouvent dans la
partie
frontale du cerveau. Auparavant le professeur P
ence revenait; le malade se plaignait de douleurs dans les diverses
parties
du corps et de sensation de froid dans les extr
prenons en considération que les maladies du corpus callosum et des
parties
frontales du cerveau (Flechsig, A. Gianelli) sont
t par les filaments de projection avec les différents centres de la
partie
du milieu du cerveau, avec les moelles allongée
t les tissus aussi par agrégation graduelle et par rapprochement de
parties
homogènes, qui s'unissent à des forma- tions pl
r Gianelli, que la cons- cience est localisée quelque part dans les
parties
antérieures du cerveau en dedans du lobus fronl
rtiennent : les parois du ? tuber cinereum et infundi- bulum et les
parties
nerveuses de l'Iapop7zysis cerebri et du conarium
des parois du ventriculus septi pellucidi, du tuber cinereum et des
parties
nerveuses des deux glandes : glande pi- tuitari
des lapins et des chiens, j'ai trépané le crâne environ près de la
partie
antérieure du corpus du côté latéral, chez des
e le faire passer, en poussant au-dessous du cor- pus callosum à la
partie
opposée, dans l'intention de léser le fornix et
op. sin. Et de nouveau presque tout le corpus fornicis, excepté sa
partie
gau- che postérieure, restait intact ; les vent
es centres d'é- corce suivants : le centre de la vue, de l'ouïe, en
partie
de l'odorat et les centres dans lesquels l'anim
ez le chien : les gauches, chez le lapin : les droits, -et de cette
partie
du cerveau a été interrompue, dont les fonction
etc. de l'animal ; étaient interrompues également les voies vers la
partie
qui sert à diriger l'atten- tion vers un proces
° ventricule, - à la conclusion que justement les maladies de cette
partie
ont pour conséquence un dérangement psychique, av
res provoquée par l'altération des muscles ou par la rétraction des
parties
molles. Quoique celle théorie n'explique pas'le
ois du kyste hémorragique cérébral qui sont enflammées. La première
partie
de la proposition nous paraît vraie, prise abso
t de l'exercice ou de l'éducation des mouvements musculaires est en
partie
d'apprendre à isoler le principe nerveux sur de
bolition de l'influence que l'écorce cérébrale exerce sur certaines
parties
de la moelle épinière permet à l'influence céré
la moelle épinière permet à l'influence cérébelleuse d'exciter ces
parties
plus fortement que dans les conditions normales
notable.- Ramollissement de l'écorce du lobule paracentral et de la
partie
postérieure de la circonvolution Fui, Dégénéres
la face interne ce l'hémisphère droit le lobule pa- racentral et la
partie
postérieure de la circonvolution Fi (PI. IV, B).
et laisse subsister. des îlots de substance corticale au milieu des
parties
nécrosées. Elle n'empiète que très peu sur la fac
xterne du lobe occipital, où il occupe la cir- convolution 02 et la
partie
postérieure de Ti. L'hémisphère gauche est inde
racentral (Parc). A ce niveau (fig. 1) la nécrose a détruit : 1° la
partie
supérieure, la pointe seulement,de Pa ; 2° une
lon qui sépare cette circonvolution de la première frontale ; 3o la
partie
postéro-interne de la première frontale (mF1).O
ition géné- rale (fig. 2) ; plus étendues et plus profondes dans la
partie
postéro-interne de la première frontale et dans
s dans la partie postéro-interne de la première frontale et dans la
partie
du lobule paracentral qui constitue le prolonge
nvo- lution Pa : cette dernière n'est en somme détruite que dans sa
partie
anté- rieure. Le précuneus (PrC) qui apparaît d
ntral. Il en résulte que, sur la face externe de l'hémi- sphère, la
partie
moyenne des circonvolutions Fa et Pa reste indemn
irconvolution limbique et aussi les faisceaux les plus élevés de la
partie
convexe du corps calleux. En avant et en arrière
r la monoplégie crurale. FiG. 1. - Coupe horizontale passant par la
partie
supérieure des circonvolutions rolandiques. F
onvolutions rolandiques. Fic. 2. - Coupe horizontale passant par le
partie
inférieure du lobe paracentral. MONOPLÉGIE CRUR
deur elle arrive au contact de la cavité ventriculaire, coupant une
partie
des radiations thalamiques postérieures, dont l
on des fibres de la région rolandique supérieure. Mais déjà dans la
partie
supérieure de la capsule interne on ne distingu
rieur de la capsule in- FIG. 3. Pédoncule cérébral droit. Fio. 4.
partie
inférieure du bulbe rachidien. 42 LONG tern
doncule, 'zone qui livre passage aux fibres de pro- - jection de la
partie
supérieure de la zone corticale psycho-motrice.
ale psycho-motrice. La figure 4 représente une coupe passant par la
partie
inférieure du bulbe, à la fin de l'entrecroisem
u FPyC. Quant à la raréfaction des fibres du cordon de Goll dans la
partie
supérieure de la moelle, on sait qu'elle s'obse
cette dernière a été faite Fiu. 5. Renflement cervical. FIC. 6. -
Partie
supérieure du renflement lombaire. MONOPLÉGIE
nerveux, t. II, fig. 79), on voit que la nécrose n'a atteint qu'une
partie
du territoire de l'artère frontale interne et pos
condaires des voies motrices ne laisser aucune trace sur une longue
partie
de leur trajet. En outre on doit en conclure qu
lique, visible dans la couronne rayonnante, puis absente jusqu'à la
partie
inférieure du bulbe, se retrouve plus bas sur l
étruite comprend : la circonvolution F3, l'opercule rolandique, les
parties
inférieure et moyenne des circonvolutions l'a e
férieure et moyenne des circonvolutions l'a et Pa et la plus grande
partie
de la deuxième pariétale (gyrus supramarginalis
inférieur de la circonvolution Fa et la par- tie externe de F3 ; la
partie
orbitaire de cette dernière est conservée. Le s
est conservée. Le segment postérieur comprend le lobe occipital, la
partie
postérieure des circonvolutions pariétales et t
Le segment moyen, beaucoup plus volumineux, comprend la plus grande
partie
de la cavité porencéphalique, toute la région cen
rale (corps opto-striés et capsule interne) et s'arrête en bas à la
partie
moyenne du pédoncule céré- bral. Nous étudieron
A. Localisation des lésions. Les coupes horizontales passant par la
partie
supérieure de l'hémisphère montrent des circonv
tales s'amincissent puis disparaissent, en même temps qu'une grande
partie
de la substance blanche du centre ovale. Sur le
t ; l'énorme perte de substance qui s'est produite a été comblée en
partie
par un rapprochement des circonvolutions de la fa
et la capsule interne, on constate la disparition de la plus grande
partie
de l'insula, dont on ne voit reparaître, un peu
s centrales et basales du cerveau : sauf le putamen, entamé dans sa
partie
supéro-externe, les corps opto-striés, la capsu
ssant par le pied de la couronne rayonnante. 50 LONG sement de sa
partie
antérieure, si bien qu'on a sur une même coupe ho
mencement de la région sous-optique. A la suite de ce tassement des
parties
centrales du cerveau, le noyau lenticulaire est
re est déformé et la capsule interne suit un trajet sinueux dans sa
partie
postérieure. B. Dégénérescences et atrophies se
postérieure. B. Dégénérescences et atrophies secondaires. Dans la
partie
supérieure de l'hémisphère, au-dessus de la cavit
de remplacement ; 1 2° Que les fibres de projection provenant de la
partie
supérieure de la région rolandique (lobule para
évident dans la capsule interne (fig. 8). La région du genou et la
partie
antérieure du segment postérieur ne sont pas oc
inisées. Plus bas, dans la région sous-thalamique et jusque dans la
partie
supérieure du pédoncule' cérébral, les fibres d
nt-bras et la main gauches étant de plus petites dimensions que les
parties
homologues du côté droit. La motilité était conse
l est resté comme résidu une cavité kystique, comblée d'ailleurs en
partie
par un tassement des parties saines de l'hémisphè
cavité kystique, comblée d'ailleurs en partie par un tassement des
parties
saines de l'hémisphère. Des circonvolutions rol
s'exercer dans une large proportion. Ils doivent être attribués en
partie
au reliquat de la zone motrice lésée, en partie
t être attribués en partie au reliquat de la zone motrice lésée, en
partie
à ]'action de l'hémisphère opposé. L'intégrité de
e explication plus difficile. Nous pensons qu'on peut la trouver en
partie
dans la répartition anormale des fibres de proj
tologiques sériées. , En effet, à la suite d'une destruction des
parties
inférieure et moyenne de la zone motrice cortic
te à cette époque ou même avant. Malgré la destruction d'une grande
partie
de la zone motrice corticale, une voie descenda
uché la douleur est plus forte, il doit rester assis la plus grande
partie
de la nuit. Il ne supporte ni le chaud ni le fr
. Ce qui frappe avant tout est un oedème du dos de la main et de la
partie
postérieure de l'avant-bras remontant un peu au
ex gauche, et deux fractures de l'avant- bras gauche, siégeant à la
partie
moyenne. Il ne fut pas alcoolique. Sa femme mou
eur normale ou est un peu rouge ; elle a sa couleur normale dans la
partie
supérieure, elle est rosée ou légèrement rouge
dans la partie supérieure, elle est rosée ou légèrement rouge à la
partie
moyenne et inférieure ; si l'on exerce, sur la pa
nt rouge à la partie moyenne et inférieure ; si l'on exerce, sur la
partie
inférieure des deux jambes, une pression légère
oujours' peu marqué et ne durant que quelques instants ; c'est à la
partie
supérieure de la jambe qu'on a le plus de chanc
la sensibilité osseuse au diapason. Le cubitus gauche présente à sa
partie
moyenne un épaississement ; le mou- vement de s
hypertrophie osseuse, l'augmentation de volume ne porte que sur les
parties
molles, il'ne peut donc s'agir d'hypertrophie par
depuis 83 ans ; il a été remarquablement toléré pendant une grande
partie
de la vie, où l'on pouvait le considérer comme
as blanche dans toute son étendue ; elle est rosée ou rouge dans la
partie
moyenne. et inférieure de la jambe ; cette colora
t ; ce godet ne peut être obtenu en tous les points explorés, à la'
partie
la plus enflée notamment ; il est peu marqué et t
vieillesse, est encore capable de se lever et de marcher une grande
partie
de la journée. Nous attirons l'attention sur l'
considération ; le service militaire, qui a ab- sorbé une si grande
partie
de leur vie la plus florissante, en attirant si
'ornement est en rapport avec beaucoup de conditions, étrangères en
partie
à la maladie (t) Dent et Camus, loc. cil. (2)
e (PI. XV, B) est remarquable par l'éx- pression de tristesse de la
partie
inf3rieure de la figure. Les paupières su- péri
tatuette (PI. XV, D), d'un réalisme extraordinaire, est située à la
partie
tout à fait supérieure de la voussure du porche d
s du sque- lette sont eux-mêmes assez mal connus. Cela provient, en
partie
, de ce que l'attention des observateurs s'est s
a ? tions crâniennes passaient inaperçues ; cela provient aussi, en
partie
, de ce que l'on a examiné uniquement des sujets
syndrome de la dysostose cléidocrâ- nienne. Or, quand il s'agit des
parties
profondes du squelette, et no- tamment de la ba
le est plus variable : le plus souvent, elle paraît aplatie dans la
partie
supérieure et bombée dans la partie inférieure.
nt, elle paraît aplatie dans la partie supérieure et bombée dans la
partie
inférieure. Un signe très caractéristique,c'est
caractéristique,c'est le renfoncement ou la rétraction mar- qué des
parties
inférieures de la paroi latérale du crâne, que j'
position et présentant la forme irrégulière caractéristiques de la
partie
inférieure de la fontanelle astérique à l'âge d
e de quelques mois ; deplus, j'ai trouvédans 3 cas des restes de la
partie
supérieure de cette fontanelle. La fermeture de
'Hclsiugfors. D. E. Radiographies d'un crâne normal. * indique la
partie
supérieure de la fontanelle astérisque. -(- la pl
Des osselets de même nature peuvent arriver à remplacer en grande ,
partie
les pariétaux et l'écaille occipitale (v. Pl. XVI
dentelées. Le tracé ra- , diographique A de la pl. XVII montre une
partie
de cette région avec les osselets et les suture
s et les sutures ; on y voit aussi la suture béante représentant la
partie
supérieure delà fontanelle astérique. Après ces o
e dysostosique décrit par Terry avait les pariétaux divisés en deux
parties
par des sutures allant du ptérion au lambda ; i
e la largeur de l'occipital (mesuré à la limite de l'écaillé et des
parties
latérales) ou la largeur bizygomatique postérieur
ienne de la base pré- sentait toujours un renfoncement marqué de la
partie
médiane, corres- -pondant au corps du sphénoïde
de la partie médiane, corres- -pondant au corps du sphénoïde et aux
parties
voisines, parfois avec un sillon accentué trave
arrête assez vive de la gouttière basilaire un peu en dessous de sa
partie
médiane, en sorte qu'elle est, dans sa partie s
peu en dessous de sa partie médiane, en sorte qu'elle est, dans sa
partie
supérieure, plus horizontale qu'à l'ordinaire et,
partie supérieure, plus horizontale qu'à l'ordinaire et, dans . sa
partie
inférieure, presque verticale. L'angle peut être
tte courbure, l'occipital présente une inflexion plus accusée de la
partie
inférieure de l'écaille ; on remarque, en outre,
prédominant dans la dysostose cléidocranienne d'où la saillie de la
partie
supérieure de la face et conformation en tête d'o
région maxillaire, et nullement dans une protru- sion en bec de la
partie
centrale de la face. Plusieurs auteurs indiquent,
com- plémentaires » ou inverses, dont l'une atteint précisément les
parties
osseuses que l'autre respecte, n'est pas fondée
aciles à observer aussi sur les sujets vivants) in- diquent que ces
parties
du crâne ne sauraient renfermer que des cavités
efois, c'est l'extrême réduction de la dimension transversale de la
partie
infé- rieure de la face qui est particulièremen
re, on peut néanmoins évaluer appro- ximativement la longueur de la
partie
osseuse du dos du nez. En général, elle était d
cit jusqu'à n'avoir que la grosseur d'une noisette, ce qui tient en
partie
à la spaciosité relative de la fosse canine. La
e la dimension an- téro-postérieure de l'os, mais que cela tient en
partie
à la petitesse du .maxillaire supérieur et à l'
u .maxillaire supérieur et à l'atrophie des -.bords alvéolaires, en
partie
aussi à la très grande ouverture de l'angle man
C'est ainsi que, dans un des crânes de Vienne, j'ai trouvé pour la
partie
médiane des maxil- 'laires supérieurs (correspo
sens transver- sal, qui se manifeste surtout par une rétraction des
parties
inférieures de la paroi latérale du crâne, et p
ssi sur le développement du squelette facial,. 2° Inflexion de la
partie
centrale de la base entraînant une sorte de cyp
hyse basilaire et une dislocation de l'occipital telle que, dans sa
partie
basale, il regarde, ainsi que le trou occipital,
ors les pieds très élargis de F A et de P A, en bas et en dehors la
partie
adjacente de Ti,en avant le pied de F3 (PI. XVI
leur jaune-ocreux, sur laquelle tranche la couleur blanchâtre de la
partie
visible de la tumeur. Les méninges qui passen
de poule ; elle s'étend d'avant en arrière du pôle de l'insula à la
partie
la plus reculée de la scissure. La loge cérébra
rend aisément compte des dimensions de cette loge et de l'état des
parties
profondes. On voit que la circonvolution postérie
pectés ; dans la moitié posté- rieure, l'insula, l'avant-mur et une
partie
de la capsule externe sont détruits. Le ventric
e augmenta progressivement, et envahit l'abdo- men, puis les autres
parties
du corps ; les autres signes de l'asystolie dev
s'était effondré; celui de la 5e était atteint seu- lement dans sa
partie
postérieure. La moelle était étranglée, entre les
moitié droite de la queue de cheval (Fig. 4). Des adhérences de la
partie
postéro-latérale droite de la dure-mère aux raci-
lle a été examinée dans 4 segments : la moelle sacrée au Marchi, la
partie
moyenne du renflement lombaire au Pal, le 1er s
nes ne sont'pas engaînées par la méningite. C'est seulement dans la
partie
postéro-laté2 raie droite de la préparation que
marquée par de gros- ses granulations noires confluentes, sauf à la
partie
postéro-externe, représente la génération ascen
euse. gauche,au contraire, les cellules de Clarke sont normales. La
partie
moyenne du renflement lombaire, au Pal, montre de
ent lombaire, offrent, au Pal, deux aires de décoloration : dans la
partie
postéro-interne du cordon postérieur droit et d
zone antéro-interne, zone marginale de West- phal, surtout dans sa
partie
cornu-commissurale et un demi-ovale médian le l
La texture du syphilome, beaucoup plus cellulaire que fibreuse à sa
partie
supérieure, explique que, lors de l'examen de la
la progression de la paralysie amyotrophique de l'extrémité vers la
partie
proximale des membres et la douleur, quoique très
son apogée, elle rétrocède partiellement en se cantonnant dans une
partie
seulement du territoire musculaire qu'elle occu
rière où la paralysie amyotrophique se trouvait cantonnée en grande
partie
aux muscles innervés par le nerf médian et un aut
on directe du bacille de Koch, mais à ses toxines : dans la majeure
partie
des cas décrits, en effet, le foyer bacillaire
un certain nombre d'éléments où le contraste de coloration entre la
partie
périphérique et le centre s'est complètement ef
te entre 138 G. CATOLA la zone du faisceau pyramidal croisé et la
partie
plus antérieure du cordon la- téral ainsi qu'il
ans un mélange de solution saturée de sublimé et d'acide picrique à
parties
égales ; coloration des coupes avec le bleu de
supérieur et du membre infé- rieur, sauf, dans ce dernier cas, une
partie
du nerf sciatique, montrent, à n'im- porte quel
ontrent, à n'im- porte quel niveau de leur parcours, que la majeure
partie
des fibres nerveuses n'est plus colorable avec
it une maladie qui frappe la cellule dans la vitalité de toutes ses
parties
, le protoplasma y compris ; il y auraitdonc morti
leurs cylindraxes (réaction à distance). On peut donc penser qu'une
partie
seulement des altérations de nos cellules sont à
'atteinte directe de l'intoxication tuberculeuse ; et que l'au- tre
partie
est au contraire à imputer à la réaction à distan
l'alcool. PLANCHE XXVI FiG. Il. Nerf radial droit au niveau de la
partie
moyenne du bras; coupe trans- versale. - Méthod
et de colle forte, établissant les rapports et les proportions des
parties
il l'aide du compas (son instrument de travail
chevilles et derrière les genoux. A la palpation légère toutes ces
parties
paraissaient fermes ; mais en exerçant avec le
lgré que quelques-unes sem- blaient dilatées et gorgées de sang. La
partie
supérieure de la jambe était normale. Le tiers
ssus du genou était disparue à l'exception d'une petite région à la
partie
supérieure du triangle de Scarpa. Le pied et la j
à celui-ci ,peut être d'origine osseuse ou due à l'hypertrophie des
parties
molles ou encore reconnaître pour origine un pr
mportant dans l'hypertrophie, bien que l'augmentation de volume des
parties
molles soit parfaitement appréciable, et je concl
le caractère, cet ensemble psychique individuel qui cons- titue en
partie
la personnalité et qui, dans le cas particulier,
nom qui ne préjuge pas de leur pathogénie ; mais l'exaltation d'une
partie
au moins des fonc- tions thyroïdiennes est tell
faut immédiatement distinguer les modifications psychiques qui font
partie
intégrante du syndrome de Basedow et les psychose
car en effet le malade traîne la jambe paralysée seulement dans la
partie
presque passive de la marche, c'est-à-dire dans
xistence de masses glandulaires importantes occupant la plus grande
partie
des seins. Tous les deux ou trois mois, pendant q
étendus dans toute la fosse sus-épineuse, perçus également dans la
partie
externe du sommet droit en avant. - Mêmes sig
, au contraire, la méninge molle n'a été enlevée qu'au niveau de la
partie
pos- térieure des deux premières circonvolution
orps calleux existe, mais son épaisseur est diminuée (3 min. 5 à la
partie
moyenne). Le tronc cérébral semble de même normal
difficilement sur le fond sombre de l'aire nucléaire, parce que sa
partie
acidophile est elle- même plus foncée que d'hab
ent observables. Ajoutons que parfois, ce nucléole présente dans sa
partie
centrale une grosse vacuole (PI. XLIX). Cet asp
core des modifications de la charpente de soutien, surtout dans les
parties
profondes : les cellules de névroglie ont consi
II. Fie. A et B. Coupe frontale, grandeur naturelle, passant par la
partie
moyenne des premières circonvolutions frontales
s voisines. Enfin un mince pont osseux réunissant incomplètement la
partie
antérieure de quelques corps vertébraux semblai
ls sont formés non par le ligament vertébral antérieur, mais par la
partie
antérieure des disques. * Les apophyses épine
colonne vertébrale n'ayant pas été sciée, on ne peut juger de leur
partie
profonde ni de l'état du ligament. Plus récemme
elle il nous a fait connaître pour la première fois les lésions des
parties
molles. En ce qui concerne la colonne vertébrale,
rtébraux qui paraissent par- tiellement ossifiés, surtout dans leur
partie
antérieure. En aucun point il n'y avait d'exost
semble la colonne vertébrale forme une seule pièce, dont toutes les
parties
sont soudées : un véritable monolithe. Courbure
: 1° toute la région lombaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la
partie
inférieure de la région cervicale. Il faut remarq
cervicales : b) une courbe de compensation à convexité droite à la
partie
supérieure de la région dorsale ; c) une légère
étendue de la 7° dorsale à la 5° lombaire. Corps vertébraux. Une
partie
de l'atlas seule a été enlevée, le crâne n'ayan
et que les deux premières cervicales ont subi une fusion dans leur
partie
antérieure. L'articulation altoi- do-axoïdienne
une sorte de virole osseuse qui réunit les corps vertébraux à leur
partie
périphérique et a fait dis- paraître en grande
auteurs : c'est la raréfaction du tissu osseux très visible dans les
parties
de la pièce qui ont été détériorés. Cette ostéo
ndantes, sauf au niveau de la base, entre la 3° et la 4° et sur une
partie
de la longueur'entre la 4e et la 8" où elles on
apézoïde à base périphérique. Le ligament sus-épineux est en grande
partie
ossifié. Cette ossification manque entièrement au
ion était presque complète au moment où la pièce a été retirée, une
partie
a disparu dans les manipulations. Au niveau de la
r fusion. A la région dorsale, la soudure des lames est limitée aux
parties
latérales qui sont séparées par un espace libre a
épineux, on peut voir les deux extrémités du ligament ossifiées, la
partie
moyenne restée fibreuse ayant disparu. « Enfin ce
ote un épaississement des apophyses épineuses, surtout marquée à la
partie
inférieure de la région cervicale et au niveau
appa- rente. Les douleurs éprouvées par T... siègent surtout à la
partie
supérieure du 292 ODDO thorax, elles présente
la région abdominale. Elle sont moins mar- quées aujourd'hui. La
partie
supérieure du thorax est aplatie, déprimée, rappe
ise, le sacrum repose sur le rebord du siège, et les épaules sur la
partie
supérieure du dossier. Examen du système nerveu
esthésie, que la plaque sacrée, s'étendant un peu au périnée, et à la
partie
interne des cuisses. Aucune incoordination motr
10 à 12 ans au plus. La taille est de 133 centimètres ; les diverses
parties
de/ son corps sont entre elles très bien propor
et du bassin est harmonieux par rapport au développement des autres
parties
du squelette. Celui-ci ne montre aucun stigmate
quasi- normal. Les marges des papilles sont assez nettes ; dans la
partie
externe et inférieure (à image renversée) on re
es, mais sa réduction est proportionnelle aux dimensions des autres
parties
du squelette. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFAN
une imbibition sous-cutanée n'existe d'ailleurs dans les au- tres
parties
du corps. Le tissu adipeux est très réduit ; le
trace de duvet ; au pubis trois ou quatre poils longs et rudes, en
partie
noirs, en partie blancs. Les sourcils et les
u pubis trois ou quatre poils longs et rudes, en partie noirs, en
partie
blancs. Les sourcils et les cils sont bien four
if des tissus osseux spongieux, tandis que le développe- ment de la
partie
corticale compacte (en comparaison avec la main d
ire connaître ; je me bornerai, quant à l'exposition clinique, à la
partie
plus intéressante de l'anamnèse et de l'examen
de coeur. Objectivement on remarque un agrandissement de toutes les
parties
de son (1) M. Floua, Sulla reagion eleclrica mi
aisse il droite qu'à gauche ; le sternum aussi est régulier, car sa
partie
supérieure est très sail- lante, tandis que les
cette grosseur pa- raît dépendre de celle des os aussi bien que des
parties
molles ; les ongles ne présentent pas de troubl
n de l'acromégalie, mais non pas comme agent primaire ; 2° Qu'une
partie
des symptômes de cette maladie sont conditionnés
ie, où l'altération des os forme ENCORE SUR L'ACROMÉGALIE 337 une
partie
essentielle du tableau morbide, les examens radio
bien des cas l'augmenta- tion de volume a sa cause plutôt dans les
parties
molles que dans les os ; dans d'autres cas cepe
e une forme à petit plumeau. Souvent on a aussi trouvé altérées les
parties
des os aux- quelles les tendons s'attachent, et
s ont suhi des proces- sus de calcification. ' ' Quant aux autres
parties
du corps, les altérations sont plus fréquentes
les et montantes de la mâ- choire très larges et épaisses. Quelques
parties
de la calotte ont paru épais- sies, d'autres am
érée dans sa forme, car la tumeur peut entamer et même détruire une
partie
de ses parois. Mais si jusqu'à ces derniers tem
ugmentée de dimension, les sinus frontaux très vastes et les autres
parties
du squelette normales, en dehors du grossissement
celle du côté leplus développé du corps, était, du moins quant à sa
partie
ex- terne, plus mince que l'autre, moins compac
uter que le malade n'a jamais eu de maladies ni de fractures de ces
parties
de corps. Ce que je viens de décrire et que je
mégalie a prouvé que l'énorme développement du sujet peut être en
partie
causé par l'accroissement des tissus mous, le plu
imiques et biologiques sur cette maladie se trouvent réunies, cette
partie
n'est traitée en aucune façon. Dans la littér
lescence, du résidu sec et des cendres du sang, ce qui est encore en
partie
causé par la quantité élevée d'albuminoïdes qu'
ute probabilité, sa cause dans des lésions hépatiques, peut-être en
partie
primitives et en partie secon- daires, c'est-à-
e dans des lésions hépatiques, peut-être en partie primitives et en
partie
secon- daires, c'est-à-dire d'origine intestina
tielle. La chaux, le phosphore, le sodium, le potassium forment une
partie
intégrante d'organes très importants pour la vi
ouverture de sa cavité osseuse est tournée en avant et à droite. La
partie
droite du nez est épaissie, la cloison est déviée
nos malades, en une coupole incapable de s'agrandir et percée à sa
partie
supérieure d'un orifice losangique, la fontanelle
orizontale passant au-dessus des sourcils pour faire le tour par la
partie
la plus reculée de l'occipital, 505 et 505 au l
t, région motrice. Soudée à la dure- mère, elle en était sans doute
partie
,; exactement délimitée, elle eût été opérable.
La tumeur, en croissant, en avait au sur et à me- sure refoulé une
partie
du liquide. Le 3e ventricule est en effet réduit
es de 2 manières différentes. 1. La région du chiasma présente à sa
partie
supérieure une concavité re- couverte d'un feut
ambiant a été ré- duit en une masse gélatineuse (fig. 2) autour des
parties
médiales du néoplasme. C'est là que, rompant le
ace de l'hémisphère et par conséquent l'endroit où la nutrition des
parties
profondes est le plus difficile, où la stase ly
ux ; le néoplasme atteint finale- ment le volume d'une noix dans la
partie
la plus frontale du corps calleux, dont il n'ex
atteint également les dimensions d'une noix et se compose en grande
partie
d'une masse gélatineuse (colloïde ? ). Une autre
rement altéré et le restera jusque vers le pôle frontal. Seules les
parties
les plus périphériques ont conservé un aspect à p
ndue. D'autre part il est à supposer que le tissu cérébral a été en
partie
re- poussé, mais aussi en partie « mangé » par
ser que le tissu cérébral a été en partie re- poussé, mais aussi en
partie
« mangé » par le néoplasme. La pression a at- t
hées. Malgré une destruction étendue du lobe frontal droit et d'une
partie
du gauche, B... n'aurait été notablement dément
rendait pareille à un squelette. La parole atteinte d'abord dans sa
partie
motrice, finit par être complète- ment abolie a
u N. C. apparaît aussi la tumeur. C'est un syphilome dont certaines
parties
sont déjà presque dépourvues de structure et de n
ur a repoussé les masses grises de la base. Elle en a dé- truit une
partie
, mais nous en retrouvons une autre plus en arrièr
BRAL 369 Signalons en passant la pauvreté en fibres nerveuses de la
partie
antérieure du lobe temporal. Destruction de l'a
es. Hémisphère droit. Un foyer néoplasique occupe le pourtour de la
partie
postérieure de F3, mais sans dépasser en profon
volutions bordant K plus Po., puis K seule. Il faut y rapporter une
partie
au moins des troubles visuels observés chez la ma
Cela tient au ramollisement signalé à droite et à ce que toute une
partie
de l'hémisphère gauche fut refoulée en arrière
présence du fait remarquable que le ramol- lissement d'une certaine
partie
du cerveau peut masquer le développe- ment d'un
nt complexe et il a fallu, pour le comprendre, le décomposer en ses
parties
et rechercher la vie élémen- taire. On a donc t
ne s'arrête pas là ; nous n'avons encore considéré que la première
partie
de l'arc réflexe, son extrémité sensitive et le
ieure qui s'est incrustée dans la matière vivante et en est devenue
partie
intégrante et si bien ancrée dans la constitution
îné que l'expres- sion d'un sentiment quelconque reproduite par une
partie
du corps se propage automatiquement il toutes l
e. Tel individu « normalement » constitué dans quelques-unes de ses
parties
, se trouve tout préparé 'à recevoir dans d'autres
es encore inédites et une philosophique exposée pour la plus grande
partie
au cours de ce travail. La suggestion agit donc
aine conversacion » et dont voici le résumé : « Eu ceste premiere
partie
Sera sommairement traicté Des miseres de cest
tre antéro-posté- rieur, est tout à fait transversal, recouvrant en
partie
le moignon que forment les trois autres doigts.
eils. Le premier métatarsien, extrêmement volumineux, formé de deux
parties
coudées à angle obtus, ouvert en dehors et en a
s premier et deuxième métatarsiens fusionnés. Assez volumineux à sa
partie
postérieure, il se termine en avant par une extré
des méplats aux places qu'occupent habituellement les saillies de la
partie
supérieure du grand pectoral et du faisceau cla
latéra- lement l'acromoin est plus saillant que normalement, et la
partie
acromiale du deltoïde est moins développée que
le scaphoïde fait défaut. Comme à gauche, le carpe est luxé sur la
partie
latérale du cubitus ce qui explique que la main
ature est altérée non seulement dans les segments de membres où une
partie
du squelette fait défaut, mais jusque dans la c
ngénitales. Il semble que le processus qui a causé l'atrophie d'une
partie
de la main et de l'avant-bras ait également ent
e théorie que nous ne pouvons admettre. Chez l'embryon les diverses
parties
du corps se développent sans intervention du sy
e partielle et qu'il subsiste l'extrémité supérieure de l'os et une
partie
de la diaphyse, de petites inter- ventions pour
st frappé par cette harmonie entre le développement des différentes
parties
du corps qui est propre au type Lorain; ces ind
ns du corps (hommes en miniature), l'harmonie entre les différentes
parties
du corps bien conservée. Aussi bien les infanti
étiologique dysthyroïdienne de tous les types d'infantilisme et en
partie
même leur unité morphologique Hertoghe (1895)
du corps est corrigée par la proportion harmonieuse des différentes
parties
; leur taille est frêle et élancée, les contours
et surtout pas de bouffissure, ni des paupières, ni d'aucune autre
partie
du corps» ' ' 1 430 ETTORE LEVI Chez l'une
in. Cette donnée a été acceptée comme classique par la pi us grande
partie
des auteurs et il nous paraît en conséquence ut
d'un psychisme en miniature,en voici d'autres qui autoriseraient en
partie
cette définition : c'est-à-dire l'égoïsme typiq
, tout symptôme d'un processus aigu fait défaut, de sorte que cette
partie
du diagnostic est facilitée. Parfois cette form
GoDiN. Recherches anthropométriques sur la croissance des diverses
parties
du corps. Paris, 1903. G01'ZL et Erdheim. - Z
du deuxième orteil se trouve étalée, par suite de l'accolement à sa
partie
interne d'une saillie arrondie, très bien repré
bien représentée sur la photographie. Cette saillie, mollasse dans sa
partie
superficielle, est constituée profondément par
eanne B...., âgée de quinze ans, dont l'observa- tion a déjà été en
partie
publiée. Cette enfant, qui à ce moment était dans
LS rouge vif par la méthode de Van Gieson, laissant entre eux, à la
partie
moyenne des méninges, de longues mailles où se
on dorsale, de nouveau triangle à la région cervicale. A noter à la
partie
su- périeure de la région dorsale une forme cur
Babinski » Je crois nécessaire de diviser la demande dans ses deux
parties
: a) Est-ce que la gangrène spontanée de la pea
qu'un chapitre de phy- siopathologie. Notre réponse à la première
partie
de la demande sera formulée de la manière suiva
ui ne sont pas nourris suffisamment. Les nerfs et les vaisseaux des
parties
voisines étaient parfaitements sains. CONTRIBUT
tout en étant basé sur une faculté qui est commune à la plus grande
partie
des hommes normaux, constitue le plus important
: je ne crois pas que les réponses qu'on a données à la pre- mière
partie
du questionnaire soumis à la Société de Neurologi
e deuxième n'obtiendra jamais. Dans la tendance de la plus grande
partie
de l'Ecole neurologique fran- çaise à suivre au
irmerie des enfants. Nous avons dit qu'elle occupait la plus grande
partie
du premier étage du bâ- timent dit de la Force;
; 4° trois îlots sur la lèvre postérieure du sillon de Rolando.; 5°
partie
posté- rieure de la 1° temporale ; 6° partie mo
sillon de Rolando.; 5° partie posté- rieure de la 1° temporale ; 6°
partie
moyenne des 2" et 3e 8 IDIOTIE. temporales; 7
al supérieur; 8° lobule du pli courbe. Face interne. 1° Ilot à la
partie
postérieure de la lrc fron- tale ; 2° à un cent
émisphère gauche. a) Face convexe : Ilots scléreux occupant : 1° la
partie
moyenne des 3 circonvolutions fron- tales ; 2°
nt : 1° la partie moyenne des 3 circonvolutions fron- tales ; 2° la
partie
moyenne de la frontale ascendante; 3° une faibl
n de la pariétale ascendante; 4°le lobule pariétal supérieur; 5° la
partie
postérieure de la première temporale; 6° la par
supérieur; 5° la partie postérieure de la première temporale; 6° la
partie
moyenne de la deuxième temporale ainsi que de l
lots ou mieux bandes transversales ; les 2 premières siè- gent à la
partie
inférieure de la tête du noyau intra-ventri- cu
gique, nous nous bornerons à noter : 1° l'absence de lésions sur la
partie
su- périeure des circonvolutions frontales et p
région inguinale. Par suite de l'état de gâtisme, les fesses et la
partie
supérieure des cuisses sont le siège drnértlzèn
u affaissé dans son lobe supérieur, et légèrement congestionné à sa
partie
inférieure. Le pou- mon droit présente à sa sur
nférieure. Le pou- mon droit présente à sa surface, au niveau de la
partie
postéro-inférieure, une plaque arrondie, do lal
présente à la coupe un tissu diffluent de teinte vineuse, dont les
parties
profondes sont particuliè- rement ramollies; à
îlots de sclérose sont distribués de la façon suivante : trois à la
partie
antérieure et moyenne de la première frontale ;
à la partie antérieure et moyenne de la première frontale ; un à la
partie
moyenne de la deuxième frontale; et un à la rac
me cir- convolution ; - un sur la frontale ascendante ; un sur la
partie
postérieure de la troisième circonvolution tempor
ostérieure de la troisième circonvolution temporo- sphénoidale : la
partie
antérieure des deuxième et troi- sième temporo-
exe du lobe occipital; un sur le lobe pariétal supérieur; - un à la
partie
antérieure de la circonvolution du corps calleu
anfractuosité, au niveau du crochet delà 3e frontale; un îlot à la
partie
antérieure de la 2e frontale; sur les deux tier
e scissure nette du lobule pariétal inférieur également sclérosé en
partie
. L'induration s'étend jusqu'à la lèvre postérie
est divisé en deux plans par une crève transi versale siégeant à sa
partie
moyenne ; les apophyses mas- toïdes sont très d
côtés et l'enfant a succombé avec une hépatisation terminale d'une
partie
du poumon droit. II. Disons de suite que l'au
des arcades dentaires. Au cou un sillon correspondant en avant à la
partie
supérieure du cartilage thyroïde, montant latér
é opiniâtre et longue. Il la laissait rouler à ses pieds, faute, en
partie
, de pouvoir fixer ses doigts dans les trous. Ma
mais non continue avec les extrémités inférieure et supérieure des
parties
supérieure et inférieure du sillon prérolandiqu
isure transversale continue avec le deuxième sillon frontal et la
partie
inférieure du sillon prérolandique. « Le sillon
ue. « Le sillon prérolandique est, des deux côtés, divisé en deux
parties
par l'anastomose de la deuxièmecirconvolution f
ose de la deuxièmecirconvolution frontale avec la prérolandique. Sa
partie
supérieure n'est guère représentée que par des
du premier sillon frontal et le coude de la scissure de Rolando. La
partie
inférieure du sillon prérolandique est constitu
lando. « La première circonvolution frontale occupe laplus grande
partie
du lobe frontal, de sorte que les autres circonvo
où elle se termine en arrière par une bifurcation qui représente la
partie
supérieure du sillon prérolandique; à droite, e
chez les nègres, séparant ainsi le deuxième sillon frontal en deux
parties
. Dans sa partie antérieure, la deuxième circonv
séparant ainsi le deuxième sillon frontal en deux parties. Dans sa
partie
antérieure, la deuxième circonvolution gaucho e
à l'étage orbitaire. «Le deuxième sillon frontal estdivisé en deux
parties
par l'anastomose des deuxième et troisième circ
rontales : une postérieure horizontale, continue en arrière avec la
partie
inférieure du sillon prérolandique; une anté- r
isième circonvolution frontale est divisée de cha- que côté en deux
parties
, antérieure et postérieure, par l'angle supérie
que et cette inci- sure est ici extrêmement atrophié; c'est dans la
partie
la plus postérieure de cet espaco qu'est locali
localisée la faculté de la parole : Edorn ne put jamais parler. La
partie
anté- rieure de la troisième circonvolution, an
irement se trouvant ici, sur la face inférieure de l'hémisphère, en
partie
confondue avec le sillon orbitaire externe. «
interne rectiligne. La deuxième orbitaire, occupant la plus grande
partie
du lobe, présente des incisures sous-orbitaires
ésulté son refoulement partiel sur la face inférieure. A droite, la
partie
inférieure de la fosse sylvienne est presque sé
a partie inférieure de la fosse sylvienne est presque séparée de sa
partie
supérieure par le rapprochement du lobe tempora
dans un sens anormal : la troisième circonvolution, fusion- née en
partie
avec la deuxième, a été refoulée en bas et en a
droite, elle est mince à ses extrémités et beaucoup plus large à sa
partie
moyenne. A gauche, elle est presque rectiligne,
re courbe, postérieure à la pre- mière, se continue avec elle. A sa
partie
moyenne, la pre- mière circonvolution s'unit à
t Pansch, le sillon pariétal, de six à huit mois, est formé de deux
parties
séparées par un espace où les deux circonvoluti
les deux circonvolutions parié- talcs sont anastomosées : ces deux
parties
se rejoignent de huit à neuf mois, et par suite
stance d'un état embryonnaire, et sa petitesse indique que les deux
parties
du sillon étaient sur le point do se rejoindre
pithéciens. « La deuxième circonvolution pariétale, mince dans sa
partie
antérieure qui se continue avec la première tempo
e, s'élargit vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa
partie
postérieure qui présente plusieurs incisures cont
- sure occipitale externe, se prolonge entre cette scissure et la
partie
du sillon pariétal qui lui est parallèle de ce cô
e plus, ce sil- lon fournit à droite 2 incisures transversales à sa
partie
moyenne; des deux côtés, il se termine en avant
fusion très remar- quable des circonvolutions temporales dans leur
partie
an- térieure, et les trois premiers sillons tem
la circonvolution temporale se fusionne avec la quatrième dans la
partie
postérieure et en est séparée en avant par un s
un sillon étendu jusqu'à la vallée de Sylvius et représentant la
partie
antérieure de la scissure limbique. Chez les hom-
ois, les deux sont profonds. « Le lobule quadrilatère, formé par la
partie
interne de la première circonvolution pariétale
lobule qua- drilatère droit présente, en outre, tout le long de sa
partie
postérieure, une incisure courbe qui se jette d
calleux; c'est l'incisure sus-orbi- taire inférieure. A gauche, la
partie
antérieure de la scis- sure sous-frontale est t
cerveau trop petit, mais régulier et pro- portionné dans toutes ces
parties
, est absolument pro- blématique. » Les deux obs
L'enfant déclare avoir la sensation d'une boule qui partirait de la
partie
médiane du pénil (il ne sait dire si elle part
çus. L'examen s'étant prolongé, on constate que la sensibilité a en
partie
reparu, depuis l'épaule jusqu'à la fesse; mais
ateaux du tibia forment une saillie appréciable sous le doigt, à la
partie
inférieure de la région poplitée. L'émaciation
meur ovoïde, bilobée à la vue, non adhé- rente à la peau, fixée aux
parties
profondes et d'une dureté absolue. Membre inf
nants sont fortement indurés. La peau est blanche, immobile sur les
parties
sous-jacentes. Le malade reste étendu dans le d
Encéphale : 1350 grammes. La dure-mère, un peu épaissie adhère à la
partie
médiane de la voûte osseuse. La pie-mère n'est
e dorsale, pour se continuer en haut et se terminer au niveau de la
partie
médiane de la colonne cervicale. Dans cette der
dernière portion, les cor- dons de Goll semblent seuls altérés. Les
parties
atteintes se reconnaissent à leur teinte grise,
tose dont le siège répond assez exactement au petit trochanter. Les
parties
molles qui avoisinent la masse osseuse, présent
nu, par suite de leur disposition anfractueuse, de l'adhérence des
parties
molles, rendue plus intime encore par le passag
osités ; la dyspnée augmente. On entend dans le poumon gauche, à la
partie
supérieure, un souffle bronchique profond, masq
e, à la partie supérieure, un souffle bronchique profond, masqué en
partie
par de nombreux râles sous-crépitants. A droite
aplati. On trouve un foyer atrophi- que qui a détruit : 1° Toute la
partie
postérieure de la troi- sième circonvolution fr
ontale (le reste de cette circonvolu- tion n'est qu'amaigri); 2° La
partie
inférieure de la frontale et de la pariétale as
rémité inférieure de ces deux circonvolutions ; 3° La plus grande
partie
du lobule du pli courbe. Le lobule de l'insula.da
ne trace de digita- tations ; la première temporo-sphénoîdile et la
partie
pos- térieure de la seconde circonvolution offr
is, nous devons signaler l'absence d'aphasie, avec une lésion de la
partie
posté- rieure de la troisième circonvolution fr
le de l'insula dans cette atrophie ? Y. La dégénération secondaire,
partie
du foyer périphé- rique, qui avait détruit le l
foyer périphé- rique, qui avait détruit le lobule de l'insula, les
parties
avoisinantes des circonvolutions (et en particu
et 3), s'est propagée à la moelle en atrophiant sur son passage une
partie
de la couronne rayonnante de Reil et des noyaux
tres d'épaisseur. Tout l'intestin est distendu par des gaz, sauf la
partie
inférieure de l'S iliaque, où il y a une accumu
me une cloison verticale de 10 centimètres de hauteur qui sépare la
partie
supérieure de la cavité abdominale en deux loge
, 85 gr. Utérus, sain. Thorax. Les deux poumons sont accolés à la
partie
pos- téro-supérieurc du thorax, mais sont sains
Pas d'asymétrie. La suture sagittale commence à s'oblité- rer à sa
partie
postérieure, et l'oblitération est plus mar- qu
on résulte de la flexion d'avant en arrière et de bas en haut de la
partie
supérieure de l'os iliaque. Cette flexion appar
deur de ces deux cavités est due non seulement au refoulement do la
partie
anté- rieure, mais encore il l'usure de la surf
us de l'arrière-fond de la cavité et qui est tellement usée, que la
partie
la plus profonde est devenue transparente, et s
on corps. La face antérieure de l'aile du Stcmm n'est séparée de la
partie
postéro-externe du fond de la cavité cotyloïde
des ischions laissent entre elles un espace de 12ram environ, à sa
partie
moyenne, et à la partie inférieure, les deux is
ntre elles un espace de 12ram environ, à sa partie moyenne, et à la
partie
inférieure, les deux ischions ne sont distants
s ; l'autre comprend les enfants idiots, infirmes, gâteux, dont une
partie
va à la petite école, l'autre res- tant jour et
s sur la température et nous signalerons seulement aujourd'hui la
partie
relative à la descente progressive de la tempéra-
. L'enfant se montre plus gai, et a pu rester assis sur son lit une
partie
de la journée d'hier. T. R. 38°,G. Soir : T. R.
Les pla- ques d'impétigo s'améliorent; les croûtes sont en grande
partie
tombées. La courbe thermométrique se maintient
rière, intéressant les lo- bule.a pariétaux inférieurs ainsi que la
partie
antérieure des circonvolutions occipitales. Au
e droit : il existe un foyer de ramollissement superficiel, vers la
partie
moyenne des 2e et 3° circonvolu- tions tomporo-
e : on découvre un second foyer de ramollissement occupant toute la
partie
antérieure do la 3" circonvolution frontale.
Cas de rougeoles auec complications mortelles. Dans cette dernière
partie
, qui doit compléter au point de vue anatomo-pat
e 24, on constate de l'amélioration; les croûtes d'impétigo sont en
partie
tom- bées. 1880. 5 janvier. Conjonctivite pur
i- veau du bulbe, les pyramides antérieures et les olives sont en
partie
confondues, mais paraissent de dimensions égale
ec de nombreux plis de passage, qui semblent plus abondants vers la
partie
postérieure de l'hémisphère. En ce même point l
vue de la marche. -Aujourd'lmi, on ouvre un abcès déve- loppéà la
partie
supérieure de l'occipital. 5 Septembre. Pendant
mmon est indurée, le ventricule latéral est dilaté clans toutes ses
parties
. Au niveau du pied de la première circonvolutio
mmet. L'haleine est moins fétide, et les mucosités noirâtres ont en
partie
disparu de la bou- che. L'enfant a de l'appétit
rouve un noyau d'hépatisation rouge sur le lobe inférieur. Toute la
partie
la plus déclive de ce pnumon est en hépati- sat
fre pas trace d'ulcération. L'oesophage est parsemé d'érosions à sa
partie
inférieure. L'estomac montre des ecchymoses sou
du grand cul-de- sac. L'intestin est fortement congestionné dans la
partie
terminale de l'iléon et dans le coecum. Encép
ans le côté droit de la poitrine. Souffle amphorique à la base à la
partie
inférieure, surtout en avant. Ace niveau, sonor
x. Adhérences pleurales celluleuses au niveau du poumon gauche à sa
partie
antéro-supérieure. Adhé- rence du péricarde à l
s adhérent en arrière et en même temps très friable. On trouve à la
partie
moyenne du bord postérieur une caverne gangrene
fétide. Le poumon, reve- nu sur lui-même, est blanc grisâtre. A la
partie
antérieure du lobe inférieur, on trouve une pla
l'oreillette droite dans le ventricu'e correspondant, cruoriqueàsa
partie
supérieure, adhère : .t t à la valvule. Abdom
t aisément. Teinte lie de vin à la coupe. Intestin. Au niveau de la
partie
terminale de l'iléon et dans lecoecum, on trouv
et le pli courbe. Circonvolutions bien dévelop- pées : toutefois la
partie
antérieure des circonvolutions frontales paraît
suivantes : 1° Les maladies intercurrentes ont, dans la majeure
partie
des cas, une influence favorable sur l'épilepsie
rieuses à l'appui de cette opinion. TABLE DES MATIÈRES Première
partie
. EXPLICATION DES PLANCHES 172 EXPLICATION DES
nsula L I , foyer ancien ayant détruit le lobule de l'insula. F ?
partie
atrophiée de la troisième circonvolution frontale
onvolution frontale. Fa, circonvolution frontale ascendante dont la
partie
infé- rieure est atrophiée. Pa, circonvolutio
uvre appartient à l'Histoire de la Neurologie. De cette oeuvre, une
partie
déjà s'est incorporée, vivante, à l'activité des
rpétuant dans les gestes de la sémiologie journalière. Mais l'autre
partie
, témoignage écrit, constitué presque uniquement d
si puissamment contribué à la Sémiologie. L'ouvrage est divisé en
parties
; certaines de ces parties, en raison de leur im
à la Sémiologie. L'ouvrage est divisé en parties; certaines de ces
parties
, en raison de leur importance, sont subdivisées
t ordinairement liées à des erreurs de sémiotique. L'étude de cette
partie
de la neurologie est donc essentielle ; -, elle
ise quelques conditions particulières. Je vous renseignerai déjà en
partie
à cet égard en énoncant la loi sui- vante : la
nstituent plus que des signes de lésion, c'est la lésion même d'une
partie
du système nerveux, la lésion des méninges, dan
peut souffrir plus que lui, qu'il souffre constamment, et qu'aucune
partie
de son corps n'est épargnée ; mais si on lui de
raient surtout susceptibles d'être imités, pour ce qui concerne l'a
partie
mimique, par un comédien. Il y a des cas où la
rrogeant conformément à la méthode que je vous ai exposée. DEUXIÈME
PARTIE
SÉMIOLOGIE ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DE LA SÉMI
; en outre, la flexion est d'habitude plus forte quand on excite la
partie
interne de la plante du 3o SÉMIOLOGIE pied qu
lante du 3o SÉMIOLOGIE pied que lorsque l'excitation porte sur la
partie
externe et c'est l'inverse pour ce qui concerne
c'est-à-dire que le réflexe plantaire peut revêtir des caractères en
partie
pathologiques, en partie physiologiques. En voi
e plantaire peut revêtir des caractères en partie pathologiques, en
partie
physiologiques. En voici des exemples : chez ce
orteils ; chez d'autres, les orteils s'étendent quand on excite la
partie
externe de la plante du pied et se fléchissent
tie externe de la plante du pied et se fléchissent lorsque c'est la
partie
interne du pied qui est excitée ; chez d'autres
ée ; chez d'autres encore, le réflexe plantaire, quelle que soit la
partie
de la plante du pied qui est excitée, se manife
que cela a lieu parfois, les orteils, entraînés passivement vers la
partie
antérieure de la jambe, peuvent donner à un obs
z constater l'existence d'un mal de Pott avec gibbosité occupant la
partie
moyenne de 3a SÉMIOLOGIE la région dorsale. I
thésie croisée due à une hémisection traumatique de la moelle, à la
partie
moyenne de la région dorsale, quinze heures apr
eures après l'accident ; chez l'autre la lésion avait pour siège la
partie
supérieure de la moelle dorsale et l'examen ava
là un contraste qui conduit à se demander s'il n'y a que certaines
parties
du système pyramidal dont l'altération puisse p
es congénitales accompagnées d'athétose qui consiste d'ailleurs, en
partie
, en des mouve- ments d'abduction des orteils. J
ncore faire accomplir une contraction musculaire énergique dans une
partie
du corps diffé- rente de celle qu'on examine. Q
AS OU REFLEXE DE L'EXTRÉMITÉ inférieure du radius. L'avant-bras, en
partie
fléchi sur le bras, est placé en demi-pronation
ras en percutant l'extrémité inférieure de l'humérus et différentes
parties
de l'avant-bras, sauf le tiers inférieur de la ré
flexion. On obtient le mouvement de pronation soit en percutant la
partie
antéro-interne du radius, soit la partie postér
ation soit en percutant la partie antéro-interne du radius, soit la
partie
postéro-inférieure du cubitus d'où le nom de réfl
d'une surface beaucoup plus considérable, par celle des différentes
parties
de l'avant- bras et même parcelle de la région
; si chez un môme indi- vidu les réflexes tendineux des différentes
parties
du corps sont ordinai- rement d'une intensité a
a) la voie centripète (nerf sensitif ou racine postérieure); 6) la
partie
centrale (sub- stance grise) ; c) la voie centr
ense peuvent d'habitude être provoqués par l'excitation de diverses
parties
des membres inférieurs. En résumé, il est ass
ssivement ces affections en commençant par celles qui atteignent la
partie
périphérique de la voie centripète de l'arc réfle
s nerveux. Les réflexes tendi- neux peuvent reparaître, au moins en
partie
, et l'on voit, dans bien des cas, le domaine de
les de sensibilité. 60 SÉMIOLOGIE ' ne provoqueraient pas dans la
partie
sous-jacente de la moelle une per- turbation co
x. Quelques jours plus tard, on contusionne l'extrémité libre de la
partie
inférieure de la moelle, en la comprimant à plu
idation du pied, on observe des phénomènes identiques dans d'autres
parties
des membres. Ainsi, en repoussant violemment la
place importante occupée par les faisceaux pyrami- daux dans cette
partie
du système nerveux. Il n'est peut-être pas sans
des membres supérieurs dont les modifications sont subordonnées, en
partie
, à la longueur de la lésion. Ils peuvent être t
réflexes à l'état normal. On sait que l'excitation de la peau à la
partie
supéro-interne de la cuisse provoque un mouveme
, mais aussi au moyen de tractions ou de pressions exercées sur les
parties
profondes. Si dans les cas types l'exagération
sis ou couché, on pince la peau de la face dorsale du pied ou de la
partie
inférieure de la jambe. Sous cette action le pied
ou de la flexion, suivant que l'on excite la région plantaire à sa
partie
externe ou à sa partie interne ; 2" dans un trava
ant que l'on excite la région plantaire à sa partie externe ou à sa
partie
interne ; 2" dans un travail paru en 19°1 C), o
ceux-ci se fléchissent très nettement quand on excite la peau de la
partie
supérieure de la cuisse ou de la partie inférie
and on excite la peau de la partie supérieure de la cuisse ou de la
partie
inférieure de l'abdomen ; 3° des expériences de
tracture de la paraplégie spastique d'Erb ; elle est entrecoupée en
partie
de contractions involontaires lentes constituan
e 15 janvier, j'examine le malade et, après avoir fait mettre à nu la
partie
supé- rieure du corps, voici ce que je constate
ignalées, il n'y a aucun trouble de la sensibilité. Dans les autres
parties
du corps rien d'anormal digne d'être mentionné.
s de physiologie. Je rappellerai que les mouvements du corps et des
parties
qui le composent peuvent être divisés en deux cat
balancement du bras, mouvement accessoire fai- sant habituellement
partie
de l'acte de la marche, fasse défaut dans la mo
ité réflexe. La tonicité maintient dans une attitude déterminée les
parties
du corps, les unes par rapport aux autres, et i
aussi dans la paralysie faciale périphérique, le peaucier étant en
partie
innervé par le facial. J'ai observé deux suje
muscles qui inclinent le tronc en arrière. S'il en était ainsi, la
partie
supérieure du tronc, entraînée par la pesanteur
at d'une altération organique de ces régions. C'est, sans doute, en
partie
à cause de cette conception pathogénique que l'
és d'hémiplégie organique dues à des lésions siégeant dans d'autres
parties
du système pyramidal et qui, en raison de leur
de « syndrome de l-Iillard-Gubler », qui dépend d'une lésion de la
partie
inférieure de la protubérance, se manifeste d'u
es tumeurs de la moelle et dans quelques autres affections de cette
partie
du névraxe, mais ils n'en indiquent pas la valeur
intervalle. Enfin, les muscles profonds du tronc, ceux qui sont en
partie
volontaires, comme le diaphragme, ou ceux qui s
le pincement n'est efli- cace que lorsqu'il porte seulement sur une
partie
plus limitée et qui occupe presque toujours la
des courants faradiques ou voltaïques, la pression exercée sur les
parties
profondes, les tractions constituent encore d'exc
alades atteints de lésion de la voie pyramidale, l'excitation de la
partie
interne de la jambe. Il nous reste maintenant
ur valeur sémiologique. D'une manière générale cela ressort déjà en
partie
de ce qui précède on peut dire que l'exagératio
culaire, ce défaut de parallélisme est parfois éclatant et c'est en
partie
l'étude comparative de ces deux espèces de réfl
rer dans quelques développements à ce sujet et de reproduire ici en
partie
ce que j'ai déjà écrit ailleurs (') sur ce point
cutanéo-réflexe est sujette à des variations ; elle cède parfois en
partie
et pendant une durée plus ou moins longue ; c'est
t par l'excitation des téguments, mais aussi par la compression des
parties
profondes ou par des tractions, l'expression etil
hésie donne seulement le moyen de connaître la place occupée par la
partie
supérieure du néoplasme et ne renseigne pas sur
bli, Jarkowski et moi, tout le territoire cutané en rapport avec la
partie
de la moelle sous-jacente à la lésion et la sur
devoir insister. C'est ainsi que chez les malades ayant conservé en
partie
leur motilité volitionnelle, un mouvement volon
de l'aine, même lorsque la limite inférieure de la lésion siège à la
partie
moyenne de la moelle dorsale ou au-dessus. Notr
r compte des cas où le territoire de la surréflectivité envahit une
partie
plus ou moins étendue du tronc, à moins que d'a
e toutes ces dénominations se rapportaient, au moins en très grande
partie
, à un seul et même phénomène, et se jugeant inca-
la peau de la région dorsale du pied ou de la jambe, notamment à sa
partie
inférieure, il se produit, outre une contrac- t
susceptible d'être obtenue par des excitations portant sur diverses
parties
du membre inférieur est un des plus communs et
n d'un corps chaud ou d'un corps froid, la pression exercée sur les
parties
profondes, les tractions constituent aussi de bon
ement au genou, mais parfois elle s'étend même à la cuisse et à une
partie
plus ou moins vaste du tronc ; nous reviendrons u
ité de la réaction dont je m'occupe : le pincement de la peau de la
partie
inférieure de la jambe est suivi d'une flexion
et l'on peut concevoir que le sens du mouvement soit conditionné en
partie
par la position où se trouvent au moment de l'e
e, dans l'hémiphégie organique, le pincement de la peau en diverses
parties
du pied et de la jambe peut provoquer à la fois c
es tumeurs de la moelle et dans quelques autres affections de cette
partie
du névraxe, mais ils n'en indiquent pas la valeur
quoi elles consistent : tandis que l'excitation des téguments de la
partie
interne de la jambe provoquée par le frottement
ire cutané en rapport avec la portion delà moelle sous-jacente à la
partie
inférieure delà lésion, et dans ce territoire s
voir insister. « C'est ainsi que chez des malades ayant conservé en
partie
leur motilité volitionnelle, un mouvement volon
e l'aine, même lorsque la limite inférieure de la lésion siège à la
partie
moyenne de la moelle dorsale ou au-dessus. Notre
it seulement tenir compte des cas où la surréflectivité envahit une
partie
plus ou moins étendue du tronc, à moins que d'aut
spinales que dans les lésions cérébrales, ce qui tient peut-être en
partie
à ce que d'ordinaire les premières sont bilatéral
thésie croisée due à une hémisection traumatique de la moelle, à la
partie
moyenne de la région dorsale, et dans lequel 15
mple, l'excitation de la plante du pied, selon qu'elle porte sur sa
partie
externe ou sa partie interne provoque, outre la t
la plante du pied, selon qu'elle porte sur sa partie externe ou sa
partie
interne provoque, outre la triple flexion, une
intervalle. Enfin, les muscles profonds du tronc, ceux qui sont en
partie
volontaires, comme le diaphragme, ou ceux qui s
tracture de la paraplégie spastique d'Erb ; elle est entrecoupée en
partie
de contractions involontaires lentes constituan
éactions motrices puissent être obtenues aussi par l'excitation des
parties
profondes ; il suffit que l'excitation de la pe
et Riddoch, expriment des critiques qui sont peut-être, au moins en
partie
, la conséquence de malentendus. Si je saisis bi
lésion de la voie pyramidale associée à une lésion occupant une des
parties
de l'arc réflexe ayant pour centre les noyaux p
oulève, la main se porte sur Ja tête et vient s'appliquer soit à sa
partie
antérieure, soit à sa partie postérieure. Dans
Ja tête et vient s'appliquer soit à sa partie antérieure, soit à sa
partie
postérieure. Dans certains cas, nous avons été fr
nts, semble faire quelques concessions tout en conservant en grande
partie
son opinion première. « Il est possible, dit-il,
n pouvoir être interprétée comme un retour à un état ancestral : la
partie
excitée fuit l'objet vulnérant (retrait du membre
où les orteils servaient de griffe ? Cette réaction avait aussi en
partie
la protection pour but, mais c'était un mode de
(p. 1 n3) le passage suivant : « On peut dire en général que chaque
partie
des téguments peut servir de zone réflexogène à
ssociée à la flexion de la jambe, elle pour- rait être attribuée en
partie
au relâchement des muscles jumeaux, et, pour un
au lieu de choisir la ligne médiane comme limite, on trace sur une
partie
quelconque du corps ou d'un des membres une ligne
même obtenir des effets sem- blables en portant l'excitation sur la
partie
du corps située au-dessus de la lésion, tant à
te et continue. Ce mouvement peut résulter d'excitations sur diverses
parties
du tégument jusqu'à une limite située à plusieu
de la bande d'Esmarch : on comprime le membre inférieur jusqu'à la
partie
moyenne de la cuisse d'une manière assez énergi
es observations et des expériences qui m'ont renseigné, au moins en
partie
. Je dois en effet déclarer d'abord que la contr
mière beaucoup plus vive, ou si au lieu de laisser la bougie sur la
partie
latérale de l'or- bite on la porte devant l'oei
e, quand il cherche à marcher, a un aspect tout à tait spécial ; la
partie
supérieure du corps ne suit pas le mouvement du
ous avons en vue, l'individu normal, en même temps qu'il incline la
partie
supérieure du corps en arrière, fléchit la jambe
s présente est atteinte d'un néoplasme intra- crânien siégeant à la
partie
gauche du bulbe rachidien ; le diagnostic de tu
nt intentionnel du membre supérieur gauche, on peut affirmer que la
partie
de l'appareil cérébelleux qui occupe la moitié
ommuns à ces deux ordres de lésions. Ce sera l'objet de la première
partie
de notre rapport. Ce triage une fois fait, no
is fait, nous serons en mesure d'étudier ensuite, dans une deuxième
partie
, des symptômes qui pour la plupart n'ont guère ét
ns conslituent des acquisitions récentes. Enfin, dans une troisième
partie
, nous exposerons les conditions qui font varier
procher les résultats de ces deux ordres de recherches. PREMIÈRE
PARTIE
(') La constatation des analogies entre les eff
cher ceux qui sont spéciaux aux affections cérébelleuses. DEUXIÈME
PARTIE
n Parmi les symptômes cérébelleux que nous allo
tous comme caractéristiques ; quelques- (') Extrait de la première
partie
du rapport. (2) Extrait de la deuxième partie d
xtrait de la première partie du rapport. (2) Extrait de la deuxième
partie
du rapport. igo SÉMIOLOGIE ' ' uns, en effet,
r dépassé qu'il s'en écarte. Ainsi dans son trajet, dans la majeure
partie
de son trajet tout au moins, le mouvement, rapi
n à droite, l'autre à gauche, avec mission de soutenir seulement la
partie
supérieure de son corps sans lui imprimer de mouv
brusquement et démesurément, et le pied est porté en avant. Mais la
partie
supérieure du corps ne concourt pas au mouvemen
malade puisse avancer, il faut donc que les aides impri- ment à la
partie
supérieure de son tronc une légère impulsion en a
i- cales et à peu près immobiles, les pieds comme figés au sol : la
partie
supérieure du corps seule s'infléchit en arrièr
s ici la caractéristique à retenir c'est non pas le mouvement de la
partie
supérieure du corps, mais bien l'inertie de la
uvement de la partie supérieure du corps, mais bien l'inertie de la
partie
inférieure. C'est pour ainsi dire la contre-parti
les mouvements élémentaires d'une manière presque normale, mais la
partie
supérieure du corps reste en arrière, et il fau
ouf de poule s'était creusée une loge par refoulement, en majeure,
partie
aux dépens du cervelet. Ultérieurement nous avo
translation du corps à la flexion de la cuisse. L'immobilité de la
partie
supérieure du corps pendant que le membre infér
en effet comme le complément de la précédente. Dans l'une, c'est la
partie
supérieure du corps qui n'accompagne pas le mou
partie supérieure du corps qui n'accompagne pas le mouvement de la
partie
in- férieure ; dans l'autre, c'est la partie in
pas le mouvement de la partie in- férieure ; dans l'autre, c'est la
partie
inférieure qui reste immobile, tandis que la pa
autre, c'est la partie inférieure qui reste immobile, tandis que la
partie
supérieure fonctionne. N'est-il pas rationnel de
ur ce qui concerne l'équilibre volitionnel cinétique. » TROISIÈME
PARTIE
(') Dans cette troisième partie nous nous occup
olitionnel cinétique. » TROISIÈME PARTIE (') Dans cette troisième
partie
nous nous occuperons d'abord des compen- sation
it reprochée sinon comme une erreur, du (1) Extrait de la troisième
partie
du rapport. SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE 207 moins
parition des troubles consécutifs à la première et qui s'étaient en
partie
compen- sés. Il conclut : « Non seulement le ce
on de vertige ainsi qu'une inclination latérale de la tête et de la
partie
supé- rieure du corps du côté où se trouve le p
le phénomène en question, tan- dis que la destruction de la majeure
partie
des canaux semi-circulaires ne supprime pas la
plus excitable est celle qui se trouve au devant du tragus et à sa
partie
supérieure ; c'est là « le point d'élection ».
point d'élection, de l'abaisser verticalement et de la placer à la
partie
inférieure du tragus, au devant du lobule de l'
du courant ; quand le pôle négatif est à la joue, à la fermeture, la
partie
latérale de la lèvre inférieure se soulève et i
onne lieu du côté électrisé, à la fermeture à une contraction de la
partie
inférieure du muscle orbiculaire des paupières,
s, P. F. C. apparaît. Triceps brachial gauche. Tampon appliqué à la
partie
moyenne et postérieure du bras. Avec 36 volts e
revient à dire que la réaction dite de dégénérescence ne serait, en
partie
au moins, que la réaction propre des fibres mus
sont dans un état d'intégrité anatomique et que la lésion occupe la
partie
supranéculaire du facial, réalisant un type de pa
rf facial dans son trajet ou à son origine peut déterminer, dans sa
partie
périphérique, une hyperexcitabilité durable et
r lorsqu'elle se lie à une hypo- thermie locale qui ne dépend qu'en
partie
de la température du milieu ambiant et qui décè
illet 1898, fit une chute de bicyclette et se heurta forte- ment la
partie
postérieure de la tête contre le sol. Un mois apr
nos connaissances déjà très étendues sur les fonctions des diverses
parties
de l'encéphale, il est souvent difficile ou impos
èvement deux cas de néoplasme cérébral où le diagnos- tic, exact en
partie
, n'avait pu être suffisamment précisé. Dans ces d
tante d'un centimètre de l'extrémité antérieure du lobe frontal. Sa
partie
interne s'insinue sous la faux du cerveau et refo
ur du lobe frontal droit, faisant corps avec lui, occupant toute sa
partie
antérieure et grosse comme un petit oeuf de poule
rement conduit à admettre la possibilité d'une tumeur siégeant à la
partie
antérieure de la région frontale. La localisati
arquée, et légère exophtalmie gauche. L'examen du crâne montre à la
partie
antérieure de la région tempo-pariétale droite,
n cruciforme ; l'autre, qui atteint le volume d'une noix, occupe la
partie
antérieure de la première circonvolution tempor
comment je répondrai à cette ques- tion. La simple résection d'une
partie
de la voûte crânienne, particuliè- rement quand
jeune fille pré- sentant des mouvements spasmodiques dans diverses
parties
du corps, en particulier un spasme du cou ayant
que le pied droit. Enfin, les muscles du mollet remplis, dans leur
partie
charnue, par la masse osseuse et cartilagineuse
pour un temps, les arrêter par un effort de volonté. » CINQUIÈME
PARTIE
AFFECTIONS DU CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRI
ment un affaiblissement de l'excitabilité électrique, sans D R ; la
partie
inférieure du tra- pèze ne réagit plus du tout
ants électriques et tandis que du côté gauche l'électrisation de la
partie
moyenne de ce muscle, pratiquée entre le bord int
sise à la station sans y être aidé. Dans cet acte le sujet titube, la
partie
supérieure du corps et la tête présentent des o
is rarement plus d'une minute; au début, les oscil- lations de la
partie
supérieure du corps sont très légères, elles
si on ne venait pas à son secours. Ajoutons que, pendant que la
partie
supérieure du corps oscille et que le sujet che
ujet ne peut avancer que si les aides ont soin, tout en maintenant la
partie
supé- ' rieure du corps, de lui imprimer en mêm
aides, placés de chaque côté du sujet, se contentent de soutenir la
partie
supérieure du tronc sans lui imprimer de propul
et reste en arrière (voir fig. 16). Ce défaut de synergie entre la
partie
supérieure du corps et les membres inférieurs con
ture est affaiblie aux membres inférieur et supérieur gauches, à la
partie
gauche du tronc et du cou. A la face du côté ga
et à la tempe, dans la région orbitaire et à la pommette. Dans ces
parties
, la sensibilité au tact et à la piqûre est extr
'il cherche à ingérer pénètrent dans les fosses nasales. Les autres
parties
du tube digestif fonctionnent d'une manière régul
e temps en temps un déplacement plus ou moins prononcé de certaines
parties
du corps, sans inconvénient pour l'individu che
ol- laboration avec le ))" Jumentié) : , foyer unique occupant la
partie
antéro-externe droite de la protubérance el du
noyau para-olivaire interne. Cette lésion présente, dans une grande
partie
de son étendue, des caractères nettement destru
du pont et du pédoncule cérébelleux moyen ; 6° Destruction de la
partie
antérieure du corps dentelé et dégénération consé
térales. Nous allons exposer les faits anatomiques et cliniques, en
partie
nou- veaux, qu'il nous a été donné de constater
lutition est très difficile ; lorsqu'il cherche à boire, il rend en
partie
le liquide par le nez et il est pris d'une quinte
pérature ; l'anesthésie est surtout très accusée à la jambe et à la
partie
inférieure de la cuisse ; à la face, la sensibili
de la racine du trijumeau sur une petite étendue, et sectionne une
partie
des racines du spinal; il interrompt forcément
néré à partir du point sectionné et il est possible qu'au moins une
partie
de la dégénérescence du ruban de Reil droit lui s
t allongé dans le sens vertical ; son trajet onduleux s'étend de la
partie
moyenne à la partie supérieure des olives ; il si
ns vertical ; son trajet onduleux s'étend de la partie moyenne à la
partie
supérieure des olives ; il siège sur les partie
partie moyenne à la partie supérieure des olives ; il siège sur les
parties
latérales du ruban de Reil, plus ou moins en arri
nce bilatérale et symétrique de ces fibres, ou du moins d'une bonne
partie
d'entre elles. Les troisième et quatrième foyer
es de myélite plutôt que par des ramollissements. L'un siège sur la
partie
antérieure du ruban de Reil, respectée par le f
les suivre jusqu'à la capsule interne où elles se groupent dans la
partie
la plus externe du segment postérieur (sur les
et 1\1"'e Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil médian, à la
partie
inférieure du noyeau externe, au-dessous et en
au cérébelleux descendant qui, suivant les auteurs, proviendrait en
partie
du cervelet, en partie du noyau de Deiters. A
nt qui, suivant les auteurs, proviendrait en partie du cervelet, en
partie
du noyau de Deiters. Au-dessus des foyers on tr
bres pré-, inter- et rétro- trigéminales, puis vont se grouper à la
partie
profonde des corps restiformes, avec lesquels e
grouper dans leur angle postérieur. Elles montent ainsi jusqu'à la
partie
supérieure du corps ciliaire et se recourbent p
l'olive bulbaire et de déterminer le lieu où elles se terminent, la
partie
postérieure du corps ciliaire ; elles méritent,
tes : -. i° Les fibres émanées de l'olive bulbaire aboutissent à la
partie
posté- rieure du corps ciliaire du cervelet ; e
la face dorsale d'une des deux mains, soit sur la nuque, ou sur les
parties
latérales du cou. On sait que chez un sujet nor
ns objec- tives précoces des tumeurs ponto-cérébelleuses. SIXIÈME
PARTIE
PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE 1. SCLÉ
erticule qui part de l'angle externe du 4c ventricule, contourne la
partie
supérieure du corps restiforme et vient toucher l
progressivement en dedans le bulbe, en dehors le cervelet, en haut la
partie
droite de la protubérance et le pédoncule céréb
ans l'intérieur du sac de la dure-mère à laquelle il adhère sur une
partie
de sa phériphérie. La moelle est comprimée de d
gauche. Elle aurait eu alors pendant toute une année sur les diverses
parties
du corps une série de taches ecchymotiques. ,
t, un caractère dis- tinctif absolu ('). » Ces remarques sont, en
partie
, corroborées par les faits que je rap- porte :
céphalée et les nausées font défaut, la percussion de diffé- rentes
parties
du crâne ne provoque aucune douleur ; rien au fon
nstate que dans la région visée elle a un autre aspect que dans les
parties
périphériques et à la palpation l'opérateur a l'i
xième phase de l'opération. La dure-mère étant incisée autour de la
partie
qui semble malade, il constate qu'il existe eff
permet pas d'écarter l'idée de tumeur cérébrale. J'avais fondé en
partie
mon diagnostic sur les caractères de l'hémiplé-
implement masqués. Je dois dire cependant que cette raideur cède en
partie
par instants et que j'ai pu examiner la malade
é plus ou moins élevé et occupe les membres inférieurs ainsi qu'une
partie
plus ou moins étendue du tronc, suivant la haut
t bien entendu que je n'ai pas en vue tous les réflexes cutanés de la
partie
inférieure du corps. Sans cette restriction, ma
s i ie et 12e segments dorsaux et du il'* segment lombaire, dans la
partie
postéro-externe de la corne latérale gauche et
la Société est atteinte de troubles oculaires qui se manifestent en
partie
par une décoloration des papilles sem- - blable
Le 4 juillet, la perception des objets est possible dans une faible
partie
, il est vrai, du champ visuel qui est très notabl
à une dyschromatopsie semblable à celle du tabès : elle atteint la
partie
centrale et respecte la périphérie du champ visue
la vision centrale peut être abolie, tandis que persiste une grande
partie
du champ visuel périphérique. Il s'agit là d'un p
très éloignée de l'accident (sept ans et demi après), alors qu'une
partie
des troubles du début a régressé. Nous avons do
que la sensibilité subsistait pourtant, à des degrés divers, sur une
partie
assez étendue du territoire des racines sacrées
ce postérieure de la cuisse, où la sensibilité superficielle est en
partie
conservée, qu'à la face antérieure où cette sen
anesthésie épargne un territoire, restreint pour le tact (SI, SI en
partie
), beaucoup plus étendu pour le froid (S', S4, S
existe donc très probablement une lésion de la moelle dorsale à sa
partie
supérieure, et, chez les deux malades qui la port
malades qui la portent, la sensibilité est conservée sur une grande
partie
du territoire cutané des racines sacrées. Cette
territoire des S ? S4, de la IIIe sacrée droite et sur la plus grande
partie
du domaine de la III" sacrée gauche. Fig.35.
38) est troublée sur le territoire de ])Il, D12, L', L2 et sur une
partie
de L3, In', L3, S' ; elle est normale dans le dom
lle est douloureuse, donner lieu à des mouvements volontaires de la
partie
supérieure du corps amenant un déplacement pass
rurgien de pratiquer, dès le début de l'opération, une incision des
parties
molles et une ouverture du rachis conformes aux
l'existence d'une légère hypoesthésie à la douleur au niveau de la
partie
supérieure du tronc dans la région mammaire et
s sont forts, les réflexes tendineux des membres supérieurs sont en
partie
exagérés en partie affaiblis. Le réflexe de fle
éflexes tendineux des membres supérieurs sont en partie exagérés en
partie
affaiblis. Le réflexe de flexion de l'avant-bra
mais encore par la percussion de l'omoplate, des os du coude et de la
partie
supérieure du cubitus qui, à l'état normal, don
et le tronc, mais encore au niveau des membres supérieurs dans leur
partie
interne (C', C8, D'). De plus, certains signes no
la moelle encore comprise dans ses enveloppes apparaît renflée à sa
partie
supérieure; à l'incision de la dure-mère on con
orment dans leur ensemble un véritable manchon fibreux enserrant la
partie
supérieure de la moelle. Cette fusion des envel
e racine cervicale alors qu'en avant elle ne descend que jusqu'à la
partie
inférieure du 4e segment cervical ; on peut facil
. acoustique, G. gomme encastrée dans l'anneau méningé qui enserre la
partie
supérieure de la moelle cervicale. Fig. 45. -
a moelle ou en sortir présentent des lésions, surtout prononcées à la
partie
posté- rieure comme on pouvait s'y attendre ; m
reste rapidement et déjà au niveau du 3e segment les grains ont en
partie
disparu. Comme cela est fréquent malgré une com
oie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un autre point, à la
partie
moyenne du bulbe (fig. 52) la pyramide droite e
oite est en effet envahie par du tissu de sclérose (S) et semble en
partie
détruite, mais il ne s'agit là encore que d'une d
. - Exubérance des méninges qui englobent une gomme G. à ce niveau la
partie
antérieure de la moelle est fortement déprimée.
le est fortement déprimée. , Fig. 52. Coupe du bulbe passant par la
partie
inférieure des olives O. i. ; S. taches de scléro
des causes d'erreurs. Celles-ci, nous semble-t-il, proviennent en
partie
de ce que l'on n'a pas établi jusqu'à présent une
apparition rapide des escarres, anesthésie complète dans une grande
partie
du tronc sous-jacente à la lésion) permettent d
troubles : Les membres inférieurs (sauf la plante des pieds) et la
partie
inférieure du tronc, jusqu'à une limite passant
table occupe souvent dans les compressions spinales, la plus grande
partie
ou même la totalité du territoire intéressé ; ell
ste une anesthésie presque totale aux membres inférieurs et sur une
partie
du tronc; elle s'atténue à la partie supérieure
membres inférieurs et sur une partie du tronc; elle s'atténue à la
partie
supérieure et l'hypoesthésie marquée atteint le n
l injecté par en haut s'arrête à son niveau supérieur tandis que sa
partie
inférieure est en rapport avec l'huile iodée inje
. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 3og vertébral sous une lame qui est en
partie
rongée. On pratique la laminectomie en évitant
u cours des manoeuvres d'ablation, cette tumeur s'effrite en grande
partie
. La dure-mère étant débarrassée de la néoformatio
assée de la néoformation qui la recouvrait, on essaie d'énucléer la
partie
extra-vertébrale de la tumeur; facile au début, c
constituée à la périphérie par une coque épaisse, dense, et dans ses
parties
profondes par un tissu ayant une consistance mo
qu'il nous a remise : « On distingue dans la prépara- tion : 10 une
partie
fibreuse, dense, peu riche en cellules, sorte de
ense, peu riche en cellules, sorte de coque envelop- pante ; 2° une
partie
d'aspect grossièrement lobulé contenant plus de c
elle est débarrassée d'une sensation de raideur, de constriction à la
partie
inférieure du tronc, qui était fort pénible, et
e l'ombre paravertébrale avait conservé la même apparence et que sa
partie
inférieure ne s'était pas du tout abaissée, com
tre hypothèse prenait le dessus, celle de tumeur en bissac, une des
parties
occupant le canal rachidien et l'autre la cavit
ni la sensibilité profonde; elle occupe le membre inférieur et une
partie
du tronc jusqu'à la frontière entre les 8e et g
diquer ; si, par exemple, on promène la pointe d'une épingle sur la
partie
anesthésiée de bas en haut. la malade, lorsqu'o
bas, montre que l'huile nouvellement injectée a presque rejoint les
parties
latérales de la voûte supérieure qui n'a pas ('
ol obtenue après injection à la région cervicale se présentait à la
partie
inférieure sous forme de dôme, comme dans quelq
é droit et anesthésie du côté gauche), ne sont pas liés au moins en
partie
à une lésion occasionnée par ces tiraillements
le a été faite la malade étant placée la tête en bas, qu'une grosse
partie
de la bille supérieure de lipiodol restait fixé
lombaire ; la bille de lipiodol ne res- tera pas en contact avec la
partie
atteinte ; dès que le malade reprendra la posit
s. Ces douleurs occupent : 1° la région lombaire, irradiant vers la
partie
supérieure de la colonne vertébrale ; 2° l'angl
... Bulletin médical, 17 janvier igi2); elle a été aussi relatée en
partie
dans la thèse de 1\1. Gendron, igi3. COMPRESSIO
ès légers et ne peuvent être constatés que par comparaison avec les
parties
normales situées plus haut. Les limites supérie
t osseuse est complètement abolie aux membres inférieurs et sur une
partie
du ventre. La malade perd ses urines et ses mat
ompression de la moelle, proba- blement par néoplasie atteignant la
partie
supérieure de la moelle dor- sale, s'imposait.
cré ; l'autre, la supérieure, se mobilise et se divise en plusieurs
parties
d'inégal volume. La plus grosse vient s'arrêter
l'autre fil, servant d'excitant, était promené sur les différentes
parties
du tronc préalablement mouillées. On pouvait obte
it; 2° une hyperalgésie du membre inférieur droit et d'une grande
partie
de l'hémi-thorax du même côté ; 3° enfin, des t
rpus- cules calcaires (psammome). Aucun caractère de malignité. Une
partie
de la tumeur a subi une importante dégénérescen
xtension; les mouvements volontaires du pied et des orteils sont en
partie
conservés. On trouve du côté droit, une aboliti
ompressions déterminent un ensemble symptomatique analogue, mais en
partie
atténué et différant surtout du précédent par ce
z bien les excitations, telles que le pincement, la piqûre dans une
partie
plus ou moins étendue du territoire cutané corr
sensibilité au froid ; le maximum de l'anesthésie se cantonne à la
partie
inférieure de l'abdomen et à la face antérieure
s lésions de la périphérie et des centres, des idées qui étaient en
partie
nouvelles à l'époque où elles furent émises. «
es suivants : douleurs, qui sans être exclusivement localisées à la
partie
postérieure du bras, prédo- minent dans cette r
i, d'abord limitées soit au menton, soit à l'oeil, soit à une autre
partie
de la figure, se généra- lisent ensuite à tout
uscle orbiculaire de l'oeil se contracte et que l'oeil se ferme, la
partie
interne du muscle frontal se contracte et la pe
baisse en même temps; or ici, au contraire, le sourcil, du moins sa
partie
interne, se relève pendant l'occlusion de l'oeil.
ralgie faciale reconnaissant pour cause une lésion siégeant dans la
partie
intra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce ner
e ayant une grande analogie avec l'hémispasme primitif. HUITI/ti1lE
PARTIE
AFFECTIONS DES MUSCLES 1 MYOPATHIE PROGRESS
s noyaux plus nombreux et ils occupent dans beaucoup de fibres leur
partie
centrale. Nous devons faire remarquer qu'il ne
sociation des divers modes de l'excitabilité musculaire. NEUVIÈME
PARTIE
HYSTERIE-PITHIATISME I. HYSTÉRIE-PITHIATISME.
une essence inconnue, mais capable d'atteindre chacune des diverses
parties
du système nerveux et de produire ainsi des désor
is, après lui avoir fait fermer les yeux, j'ap- plique sur diverses
parties
des téguments, tantôt à gauche, tantôt à droite
e nous avons énumérés plus haut et de voir s'ils en font réellement
partie
. L'hystérie peut donner naissance à des crises
é les erreurs qui s'y sont glis- sées, ne constituent qu'une faible
partie
d'une oeuvre imposante. Tous les médecins recon
se révéler. Ces erreurs, comme je viens de le dire, s'expliquent en
partie
par les idées théoriques fausses qui étaient an
s du pithiatisme, il saura distinguer les troubles qui ne font, pas
partie
de ce domaine, et ne se fera pas fort de les guér
tenir une idée contraire équivaudrait à contester l'existence d'une
partie
de la psychiatrie. Assurément, dans cer- tains
ortes de circonstances l'hystérique se comporte comme s'il était en
partie
maître de sa maladie et si sa sincérité n'était p
il est la réalisation d'une idée, d'un projet formé à l'avance et, en
partie
tout au moins, le résultat d'une opération inte
se produit quelquefois en conséquence de lésions occupant certaines
parties
des hémisphères céré- braux, comme on rapproche
depuis Charcot, nos idées se sont profondément modifiées, en grande
partie
par le fait de la critique objective à laquelle M
est autorisé à penser que les troubles moteurs étaient au moins en
partie
d'ordre réflexe. Or, les troubles de ce genre n
puisse cire mise en oeuvre avec le maximum d'efficacité. » DIXIÈME
PARTIE
TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES NERVEUX
édente. Il fait remarquer que « la sensibilité des téguments et des
parties
profondes peut être modifiée. M. Descosse, dans
génie de M. Charcot. Il en sera sans doute de même pour une grande
partie
des observations d'atrophie. » Cette manière de
de la Pitié un soldat atteint, consécutivement à une blessure de la
partie
supéro-externe de la cuisse droite, d'une claud
es cas de plaie par projectile, la lésion peut n'intéresser que les
parties
molles, en laissant intacts le squelette et les
3 à 5 centimètres et atteignent parfois 7 et 8 centimètres ; à la
partie
supérieure de l'avant-bras, elles sont de 2 à 3 c
e le malade est très obnubilé et la sensibilité générale des autres
parties
du corps très émoussée, ce qui donnait à ces ré
vu chez un capitaine, présentant à la suite d'une transfixion de la
partie
inférieure de l'avant-bras des troubles réflexes
onducteur aux médecins non spécialisés. Chez un malade, blessé à la
partie
supérieure de l'avant-bras, voici ce qu'on obse
es d'accidents. Un autre soldat, à la suite d'une transfixion de la
partie
inférieure de l'avant-bras par projectile qui n
contre-suggestion fait disparaître, séance tenante, la plus grande
partie
des troubles paralytiques, et les exercices auxqu
oute, il n'est pas tordu, face plantaire en dedans, face dorsale en
partie
en bas, mais la pointe du pied a toujours tendanc
giques permettent de les rat- tacher directement, en totalité ou en
partie
, aux lésions constatées. Lors- que celles-ci ne
dico-militaires. Presse médicale, (J juillelI\JI7, p. 385). ONZIÈME
PARTIE
THERAPEUTIQUE 1 DU TRAITEMENT MERCURIEL D
te, la pression du liquide labyrinthique devant être subordonnée en
partie
à celle du liquide céphalo-rachidien. Dès lors,
rteils des deux côtés. Troubles de la sensibilité cutanée : dans la
partie
du tronc située au-dessous de l'ombilic et aux
uence d'excita- tions des téguments des membres inférieurs et de la
partie
sous-ombilicale de l'abdomen. Des excitations s
et cette région n'est plus endolorie ; la sensibilité cutanée a en
partie
reparu, surtout du côté gauche ; l'état général e
à certains moments un peu affaiblie aux membres inférieurs et à la
partie
inférieure du tronc ; mais, à d'autres moments, e
aré que d'un segment du niveau de l'anesthésie. 6o2 THÉRAPEUTIQUE
partie
du territoire anesthésié ; le surlendemain, la ma
apidement : la contraction cède pro- gressivement dans les diverses
parties
du corps, et aujourd'hui quarante- cinq jours a
de a recouvré intégralement l'usage du membre supérieur droit et en
partie
celui du membre supérieur gauche; il remue la têt
le tronc d'un côté ou de l'autre, ou de se mettre sur son séant. La
partie
supérieure du tronc, les (') Voir : Rivista cri
plus bas de manière à inonder de rayons, non seulement la plus grande
partie
des tissus déjà traités, mais encore une région
ayons X ont exercé une action curative. Cette idée, qui s'appuie en
partie
sur les faits précédemment relatés où la radiot
Chabaud grand modèle, pendant 10 minutes, puis ce fut le tour de la
partie
médiane de la cuisse et, enfin celle du mollet.
rologie, 2 juillet 1908). t52. Section du cubital et du médian à la
partie
inférieure de l'avant-bras. Causes d'erreur dan
aradoxale de la main provoquée par la faradisation unipolaire de la
partie
antéro-inférieure de l'avant-bras (Société [de Ne
juin ig3o). TABLE DES MATIÈRES Pages. Introduction v PREMIÈRE
PARTIE
LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE I. Introduction à la
nterrogatoire en clinique et les symptômes subjectifs 15 DEUXIÈME
PARTIE
'. SÉMIOLOGIE Éléments fondamentaux de la sém
-réflexe. Fusion anticipée des secousses faradiques 224 TROISIÈME
PARTIE
- TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES
23g IV. - De la craniectomie décompressive. 246 ` . , , QUATRIÈME
PARTIE
AFFECTIONS NON PYRAMIDALES 1. - Sur un cas d'
uste post-encéphalitique. Troubles respiratoires... 279 ' CINQUIÈME
PARTIE
. AFFECTIONS DU CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRI
appareil vestibulaire ,...... ? 307 TABLE DES MATIERES 63 SIXIÈME
PARTIE
X PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE Scléros
s névrites.. 435 IL - Hémispasme facial périphérique 438 HUITIÈME
PARTIE
AFFECTIONS DES MUSCLES L Myopathie progressiv
thie progressive primitive 45 1 638 TABLE DES MATIÈRES NEUVIÈME
PARTIE
HYSTÉRIE-PITHIATISME I. Hystérie-pithiatisme.
. VII. - Hystérie-pithiatisme en neurologie de guerre 5a8 DIXIÈME
PARTIE
TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux
PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux d'ordre réflexe r 54g ONZIÈME
PARTIE
THÉRAPEUTIQUE 1. Du traitement mercuriel dans
879), il a été procédé à la vaccination ou à la revaccination d'une
partie
des malades (22) en- trés dans l'année (1). Cet
court et étroit n'ayant qu'un rez-de-chausséo et un étage ; là, une
partie
do rez-de-chaussée et un premier étage d'un gra
deux étages carrés et un troisième étage, également carré, pour la
partie
centrale, mais sous brisis pour les ailes. La l
les ailes. La longueur du bâtiment mesurerait environ 80 mètres. La
partie
du milieu formerait pavillon en saillie sur les
(3) Inutile de dire que cette classification administrative est en
partie
fantaisiste. PREMIER PROJET. XXIII fosses ser
de terrain, est prévue avec des fondations de deux mètres; que les
parties
basses nous obligeront à employer des matériaux
incipal, voici le modo do construction que nous vous proposons. Les
parties
inférieures des murs de face seraient en roche,
avec enduits aux deux faces et assises courantes, parpaings sous la
partie
des planchers et aussi avec parties en moellon
ses courantes, parpaings sous la partie des planchers et aussi avec
parties
en moellon piqué apparent pour -former les enca
piqué apparent pour -former les encadrements des- baies ; plusieurs
parties
d'avant-corps seraient également en moellon piq
combles en bois, ainsi que les escaliers. Le sol du rez-de-chaussée
partie
en ciment, partie en chêne; les planchers des é
insi que les escaliers. Le sol du rez-de-chaussée partie en ciment,
partie
en chêne; les planchers des étages supérieurs e
e de prélever la dépense nécessaire pour l'exécution de la première
partie
des travaux. On espérait ainsi que le projet se
l, il serait facile de trouver les ressources : 1° en prélevant une
partie
sur la subvention extraordinaire de trois milli
l'occasion de constater combien était misérable la situa- tion des
parties
de section consacrées aux enfants idiots, épilep-
Les enfants vont être transportés de leur ancienne section dans une
partie
de la section des adultes, devenue vacante par
solument in- descriptible. Eh bien, nous avons vu, cette année, une
partie
de cette section qui, en raison de sa position
obre. L'école est distincte des dortoirs; elle est divisée en trois
parties
: la l'°pour la petite classe; la 2° pour les e
g, qui avait remplacé M. de Nervaux, se préoccupa de vous donner en
partie
satisfaction ; et, le 2 décembre 1879, dans le
it l'avantage de séparer les enfants des adultes, de concentrer une
partie
du service (2), il ne remé- diait pas à l'éloig
t primitif n'avait pas pris en considération. (2) Nous disons une
partie
, car il n'était pas question de ser- vice balné
au Conseil de surveillance fut retardée par suite de ce fait qu'une
partie
du terrain était comprise dans la zone militair
èvre et la commune do Gentilly. La vue s'étend sur la plus grande
partie
de la rive gauche de Paris. La pente est assez pr
és, sans grande dépense, au parloir de la future section; seule, la
partie
correspondant] à l'atelier, aura besoin de répa
aura besoin de réparations ; le sol devra être transformé, etc. La
partie
il la suite de ce préau, prise aux dépens du talu
rer par des cloisons à mi-hauteur chacun de ces réfectoires en deux
parties
., par exemple pour isoler les épileptiques des
pourraient être entière- ment ouvertes d'un seul cote, pendant une
partie
de la jour- née) (3). 0 Le lavoir de propreté
717.000 francs qu'il avait affectés au premier, ni de prélever une
partie
de la somme sur les 3.000.000 de francs que vou
uter, quant à présent, ce plan. que partiellement, en ajournant les
parties
les moins urgentes et subdiviser aussi les créd
LX CONCLUSIONS DU RAPPORT. construits avec ce premier crédit, une
partie
notable sera four- nie par la section actuelle,
ne partie notable sera four- nie par la section actuelle, une autre
partie
tels que bancs, tables pour les réfectoires, mo
vous votez les crédits indispensables à l'exécution de la première
partie
, vous aurez permis 1t l'Administration de l'Ass
uf ceux du bâtiment élevé d'un étage (voir n° 104 du Plan) situé en
partie
sur deux carrières superposées et dont l'exécut
suffirait donc que l'administration fût autorisée à disposer d'une
partie
de ce boni des rabais. J'ai, en conséquence, fa
e malades, nous ajou- tions : « Cette mesure a permis de dégager en
partie
le Bureau d'admission de l'Asile clinique (Ste-
e pour 1885. Nous extrayons de cette très intéressante dscussion la
partie
relative à la construction, à Bicêtre, du servi
n 1866, M. Hausmann a contraint l'Assistance publique à aliéner une
partie
de ses biens et de ses revenus pour payer les f
t évaluées à 2,880,000 fr. ; que les crédits votés pour la première
partie
de l'opération (réfectoires, classes, service d
fr. : il y a loin de là aux six millions de M. Després ! DEUXIÈME
PARTIE
Clinique. 1 Epilepsie jacksonnienne Par B
les étaient plus fortes dans le bras et l'aeil gauches que dans les
parties
correspondantes du côté droit. A la suite de ce
ongées à gauche, surtout au membre supericur, parfois limitées à la
partie
f/(l1lr/¡c du corps. Durée : cinquante secondes
te une tendance deiamainase contracturer en flexion dans toutes les
parties
, ten- dance à laquelle le malade résiste contin
peu développé et n'existe pas à certains endroits. Au niveau de la
partie
moyenne du frontal et des deux bosses pariétale
table externe. Au niveau de la suture inter-pariétale, surtout à sa
partie
postérieure, la table externe est irregulière, bo
égales ainsi que les olives qui sont très fermes; ces différentes
parties
sont également colorées. L'encéphale pèse 1,090
rs centimètres antérieurs; mais elle estatro- pLiée dans ses autres
parties
; l'atrophie porte principalement sur la facc an
parties; l'atrophie porte principalement sur la facc antérieure, la
partie
correspondante au lobule de l'insula étant moin
re circonvolution frontale est considérablement atrophiée dans sa
partie
moyenne sur une longueur de 3 centimètres ; en ar
la face interne et le bord supérieur, mais la face externe de cette
partie
répondant au deuxième pli de la première fronta
trois centimètres inférieurs; l'atrophie est consi- dérable; cette
partie
est par rapport à la partie saine comme 1 est à
s; l'atrophie est consi- dérable; cette partie est par rapport à la
partie
saine comme 1 est à 3 ; cependant sur le milieu
mme 1 est à 3 ; cependant sur le milieu de la face antérieure de la
partie
saine on trouve un petit foyer (po. I, Fa). - L
érieurs ; les deux centimètres et demi supérieurs sont sains. - Les
parties
saines de la frontale ascendante et de la parié
la frontale ascendante et de la pariétale ascendante comparées aux
parties
correspondantes du côté gauche sont beaucoup mo
he sont beaucoup moins volumi- neuses (PL. 1 et 111, Fa, Pa). Les
parties
lésées de la frontale ascendante et de la pariéta
il existe une sorte de cavité assez profonde où vient se perdre la
partie
supérieure de la scissure parallèle (PL. 1, `le
lobule de l'insu{¡¡ présente trois branches bifurquées. Toutes les
parties
occupées par la lésion sont en retrait sur les
Toutes les parties occupées par la lésion sont en retrait sur les
parties
saines environnantes, d'où une dépression marquée
s centrales mais qu'il intéresse les cir- convolutions ainsi qu'une
partie
du centre ovale. La couche optique et le corps
ressions cor- respondant aux circonvolutions. L'examen des autres
parties
n'a eu lieu qu'après macération du cerveau dans
u'après macération du cerveau dans l'alcool; la substance grise des
parties
lésées s'est plissée, ridée sur la substance bl
blanche et a pris une coloration légèrement jaunâtre. Toutes les
parties
postérieures ont un aspect normal, mais sont pl
seu- lement. Il est d'ailleurs assez volumineux. Face interne. La
partie
moyenne de la première frontale est entièrement
e les deux précédentes; elle possède une insertion régulière sur la
partie
inférieure de la frontale ascendante. -- La cir
première circonvolution frontale est double, mais interrompue à sa
partie
moyenne par un sillon perpendicu- laire (PL. IV
hémisphère droit qui présente un ancien foyer compre- nant : -1° la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron
nvolution frontale et de la deuxième circonvolution frontale; 2° la
partie
moyenne de la première circonvolution frontale;
ion frontale; 3° la frontale et la pariétale ascendantes dans leurs
parties
inférieures ; 4" le lobule pariétal inférieur,
e membre inférieur qui est plus spécialement sous la dépendance des
parties
supé- rieures de la zone motrice, nous avons vu
x ans. Ses accès variaient entre quinze et vingt par mois, dont une
partie
n'était que des vertiges, et les autres, en plus
ogiques et thérapeutiques sur le curare. Nous laisserons de côté la
partie
physiologique de leur travail pour ne nous occu
881). Etat actuel (21 avril 1880). Tête : crâne petit, régulier, la
partie
DANS L'ÉPILEPSIE.$$ postérieure est notableme
ILEPSIE.$$ postérieure est notablement plus développée; méplat à la
partie
supérieure de l'occipital ; sillon transversal
ez marqué des deux côtés, mais plus à gauche. L'intelligence est en
partie
conservée; l'enfant connaît la date du jour, le
e : crâne petit, ne paraissant pas asymétrique ; pas de méplat à la
partie
supérieure de l'occipital, bosses pariétales pe
nelle antérieure. - Cicatrice oblique sur le pariétal droit vers la
partie
médiane, résultant, selon le malade, d'une chut
ile du palais symé- trique ; luette très longue, frôlant presque la
partie
postérieure de la langue; piliers normaux; amyg
16 janvier. - Eruption papuleuse très discrète sur la face et la
partie
antérieure du thorax. 9 février. - Lef... est s
un pli long, sinueux, mais unique à la deuxième frontale. Dans une
partie
de sa longueur, ce pli double la circonvolution
en bas, s'abouche avec la troisième circonvolution frontale. De la
partie
moyenne de ce pli part la deuxième circonvo- lu
rosse, mais moins que la frontale ascendante. A un centimètre de sa
partie
inférieure part un gros pli de passage qui l'un
nche transversale du sillon médian du pli pariétal supérieur; cette
partie
delà scissure interpariétale forme ainsi avec c
e, par sa branche bifurquée postérieure, le bord supérieur; l'autre
partie
de la scis- sure interpariétale est sinueuse, p
sente un sillon profond qui le divise presque entièrement en deux
parties
; il envoie un pli de passage au pli courbe et en
dédoublée dans ses deux tiers posté- rieurs ; elle s'insère par sa
partie
supérieure au niveau du bord interne sur la fro
temporal dont les circonvolutions sont complètement détruites ; la
partie
postérieure du lobe pariétal inférieur, la part
nt détruites ; la partie postérieure du lobe pariétal inférieur, la
partie
la plus antérieure du lobe occipital, le pli co
, la partie la plus antérieure du lobe occipital, le pli courbe, la
partie
postérieure du lobule pariétal sztpé- ricll1';
haut, et qui coupe en quelque sorte l'hémis- phère cérébral en deux
parties
, l'une antérieure (lobe frontal et région parié
ion pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe occipital. La
partie
antérieure du lobe pariétal est atrophiée, mais a
ourbe est très atrophié et réduit à l'état membraneux, ainsi que la
partie
postérieure du lobule pariétal supérieur. La pa
x, ainsi que la partie postérieure du lobule pariétal supérieur. La
partie
antérieure dece dernier lobule est atrophiée, m
, la circonvolution est réduite à une sorte de mince membrane. La
partie
antérieure du lobe quadrilatère est très atrophié
etrait de plusieurs millimètres par rapport au lobe paracentral; sa
partie
postérieure, comme nous l'avons dit, étant plus
occipital est bien développé, sauf dans une petite por- tion de sa
partie
antéro-inférieure, qui est intéressée dans le foy
foyer qui les intéresse se confond avec la lésion qui a détruit la
partie
antérieure du corps calleux. Le lobe orbitaire
la hauteur du cerveau. Sur cette coupe on note que, sauf une petite
partie
du lobule pariétal supérieur, 60 DU CURARE du
eur, 60 DU CURARE du reste atrophiée elle-même, toutes les autres
parties
des circon- volutions sont détruites, et qu'à l
le lobe occipital et vers l'extrémité du kyste et montre encore une
partie
des circonvolu- tions remplacées par le tissu a
a moitié correspondante de la face étaient moins développés que les
parties
similaires du côté sain ; - 2° que les injectio
e nerveuse ; l'atrophie de la capsule interne, - ce qui explique en
partie
les troubles de la sensibilité; l'atrophie de l
us les symptômes tels qu'ils sont décrits actuellement ; mais une
partie
des critiques que nous faisons à l'article de M
caractère pseudo-morbilleux qu'a la face et au cou, sur les autres
parties
du corps elle se présentait (1) Rayer. - Loc. c
noyau extra-ventriculaire du corps strié, ayant détruit toute la
partie
centrale du centre oval ; ruptures multiples. .
e d'un épanchement hémorrhagique. - Le corps calleux est déchiré en
partie
, malgré toutes les précautions que l'on a prise
lution frontale, F', est volumineuse et envoie un prolongement à la
partie
moyenne de la seconde ; elle se fixe sur la fro
eure de la frontale ascendante. Celle-ci, très large, présente à sa
partie
supérieure un sillon transversal très marqué. L
olumineux, présente des sillons superficiels. - T' sinueuse dans sa
partie
moyenne en- voie un pli de passage à LI au fond
. - La scissure parallèle est très sinueuse et, à l'ori- gine de sa
partie
ascendante, elle est obstruée par un pli de pas
itations bifurquées. Face interne. F', volumineuse, est composée de
parties
séparées par des sillons transversaux. Dans sa
l près de sa parlie su- périeure. -PA plus large que FA envoie à sa
partie
in- férieure un prolongement à P et en reçoit u
artie in- férieure un prolongement à P et en reçoit un de pi à sa
partie
moyenne. - P* bien développée reçoit de PC un p
fond de la scissure de Sylvius un gros prolongement qui vient de la
partie
moyenne de T'. La scissure parallèle est profon
t actuel. - Tête : l'occiput est saillant; il existe un méplat à la
partie
supérieure de l'occipital et postérieure des pa
e ; l'abdomen n'est pas ballonné, mais il semble douloureux vers la
partie
in- férieure où l'enfant porte souvent la main
rougeole. 133 tales, assez nombreuses sur les joues, surtout à la
partie
inférieure, sur le nez, sur le menton et derriè
derrière les oreilles. Il n'en existe pas au cou ni sur les autres
parties
du corps. Conjonctivite palpébrale purulente tr
front et sur les joues. On ne constate toujours rien sur les autres
parties
du corps. L'auscultation est négative partout,
on de petites taches rouges inégales sur le front, les joues et les
parties
supérieures du thorax; quelques-unes sont surmo
s la cavité péricardique. Coeur normal (90 grammes) dans toutes ses
parties
; le trou de Botal est perméable. On constate un
d'oie; toute- fois, la dilatation est beaucoup plus prononcée à la
partie
supérieure. - Les deux bassinets sont également
ux uretères descendent obli- quement, passent à 2 centimètres de la
partie
médiane an- térieure du fer à cheval, sur leque
du fer à cheval, sur lequel ils laissent leur em- preinte ; sur la
partie
médiane antérieure du fer à cheval se trouve un
r totale du fer à cheval est de 23 centimètres environ; celle de la
partie
horizontale, de 9 centimètres (mesures prises s
rieure. Les artères rénales supé- rieures entrent dans le rein à la
partie
supérieure du bas- sinet, quelques-unes de leur
tance rénale par deux divisions au bord inférieur et médian de la
partie
transversale du rein, au niveau de la dépression
e particulier. - Les sinus contiennent des caillots noirs. Toute la
partie
droite de la base du crâne est peut-être un peu
a des sillons profonds, envoie un pli de passage très sinueux à la
partie
moyenne de la deuxième frontale et s'insère en
age de la circonvolution du corps calleux, ce qui fait que, dans sa
partie
antérieure, elle offre trois plis parallèles, t
elle offre trois plis parallèles, tandis qu'elle ne possède dans sa
partie
postérieure que deux plis sinueux. - La scissur
li de passage de la troisième frontale qui vient s'emboîter sur une
partie
un peu ren- flée ; elle s'attache par deux inse
rontale ascendante en formant une sorte de concavité embrassant une
partie
arrondie de celle-ci. - La troisième circonvolu
rémité inférieure, la disposition des vais- seaux, celle des autres
parties
du rein, de l'uretère, etc., porteraient à adme
e à sortir le plus sou- vent possible. Il est moins poli, passe une
partie
de ses après- midi à se promener dans les cours
chatouillement exagéré. 24 septembre. Un aimant est appliqué sur la
partie
ex- terne de la cuisse droite à 1 h. 17 du soir
ilité est revenue aux environs des pôles de l'aimant et un peu à la
partie
la plus externe du mem- bre inférieur; mais la
te-Geneviève et l'ont dévalisé... » TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1884. TAB
du service pendant l'année 1884. TABLE DES MATIÈRES. 181 DEUXIÈME
PARTIE
Clinique. LÉGENDE DU PLAN " HOSPICE DE BI
ans doute à la paralysie des muscles de la paroi abdominale, et, en
partie
, à l'impossibilité où se trouvait le malade de
ines des membres. Une fois parvenue à son apogée, elle rétrocède en
partie
, elle se cantonne dans une portion seu- lement
on, sous les dehors d'une cyanose et d'un refroidissement local des
parties
dans lesquelles se cantonnent la paralysie et l
t faradiques étaient, il peu de chose près, normales dans ces mêmes
parties
, sauf qu'on notait des indi- ces de réaction de
accidents dépen- dent de lésions qui peuvent se cantonner dans les
parties
périphériques des nerfs crânio-hulbaires, lésio
ue je me suis longuement étendu sur tout ce qui a rap- port à cette
partie
du traitement des polynévrites ; le manque de tem
raitement rigoureux, il était beaucoup mieux el pouvait reprendre, en
partie
, ses occupations. Mais il partir de cette épo
e externe est fortement proé- minente. La mâchoire in- Idem. La
partie
faciale férieure est très peu est plus développ
ale férieure est très peu est plus développée proéminente. que la
partie
crâ- nienne. Diamètre IOI ! [ji- . tudinal
orte en haut sur une longueur d'environ centimètres s'arrêtant à la
partie
la plus élevée de la tête de l'humérus. La mère
lette existe une absence des arcs postérieurs des vertèbres dans la
partie
supérieure de la colonne vertébrale et dans sa co
ulé la tente du cervelet en haut. Le cervelet manque. En face de sa
partie
postérieure (PI. VII, E) nous trouvons que la s
ébrale on trouve la moelle ; à la place où l'ouverture commence, la
partie
dorsale de la moelle épinière se termine et la
commence, la partie dorsale de la moelle épinière se termine et la
partie
antérieure s'élargit et se transforme en une memb
là où elle se termine apparaît de nouveau la moelle épinière et sa
partie
dorsale. Immédiatement au-dessus de l'ouverture
ébrale, la moelle épinière a la grosseur d'une plume d'oie, mais sa
partie
supérieure s'épaissit et la partie cervicale au
sseur d'une plume d'oie, mais sa partie supérieure s'épaissit et la
partie
cervicale augmente jusqu'à la grosseur du petit d
grosseur du petit doigt : voilà pourquoi le canal rachidien dans sa
partie
cervicale est trop élargi. Ce grossissement de
ale est trop élargi. Ce grossissement de la moelle épinière dans sa
partie
cervicale provient de ce que la masse du cervea
à sommet tourné en bas, se dirige vers la moelle allongée ; dans sa
partie
inférieure elle n'est pas liée avec la moelle é
arrière en avant par cette masse accumulée, mais plus haut ces deux
parties
sont unies entre' elles et passent ainsi dans l
s de ces cas sont : 1° L'ouverture de la colonne vertébrale dans la
partie
dorsale de la moelle épinière ; 2° L'hydrocép
de la moelle épinière ; 2° L'hydrocéphalie interne ; 3° Dans la
partie
cervicale la moelle épinière est couverte par une
ssi trouvé un très fort grossissement de la moelle épinière dans sa
partie
cervicale, provoqué par la descente de la partie
e épinière dans sa partie cervicale, provoqué par la descente de la
partie
dor- sale du bulbe rachidien. En celle occasi
res arciformes internes sont marquées très mal et seulement dans la
partie
supérieure ; les libres arciformes externes et an
formes externes postérieures,les fibres arciformes internes dans la
partie
inférieure et les olives. La coupe du ruban de
es arciformes internes, presque non développés et seulement dans la
partie
supérieure, au-dessus du bord supérieur des oli
de Varole nous trouvons celui-ci très aplati (Pl. VIII, K). Dans la
partie
postérieure nous trouvons le faisceau longitudi
érieures. La couche des fibres sensitives manque, ainsi que dans la
partie
antérieure les fibres protubérantielles et les
nerf trijumeau, nous trouvons le 4e ventricule très élargi et à la
partie
latérale du toit le reste très petit des noyaux
en dessous la formation réticu- laire, mais mal développée dans sa
partie
basale, en dehors nous voyons les fibres radicu
resque pas développés ; en dedans il y a le faisceau de Meynert. La
partie
basale est très déformée. Toutes les fibres ner
dont un côté, le plus éloigné de ce triangle suit parallèlement la
partie
postérieure de la moelle. Dans le côté opposé d
n est couverte de fibres myéliniques. Plus haut (PI.1X, P) les deux
parties
se joignent entre elles, avec cela la partie an
aut (PI.1X, P) les deux parties se joignent entre elles, avec cela la
partie
antérieure reste sans changement, mais les cord
mation située sur eux. Symétriquement de deux côtés situées dans la
partie
postérieure, les stries arciformes de fibres my
Plus près du cerveau nous voyons que la fusion passe plus loin. La
partie
antérieure n'est pas changée, mais les cordons
nt (P1.X, Q), pourtant on remarque que la moelle se compose de deux
parties
, et sa partie antérieure apparaît parfaitement
ourtant on remarque que la moelle se compose de deux parties, et sa
partie
antérieure apparaît parfaitement normale. Dans la
ies, et sa partie antérieure apparaît parfaitement normale. Dans la
partie
postérieure, nous trouvons le noyau de Goll duq
e et celui de la formation supérieure s'unissent entre eux. Dans la
partie
antérieure se remarque l'entrecroisement des py
le (Pl. X, S). Ainsi commençant du niveau des olives par en bas, la
partie
postérieure du bulbe rachidien s'atténuait ; el
, il existe une ouverture complète de la colonne vertébrale dans la
partie
dorsale, avec cela nous avons une hydrocéphalie i
Coupe de la moelle et du bulbe ,tvec 1.1 formation supplémentaire. La
partie
antérieure de la moelle n'a pas changé. Au-dess
urs l'hydrocéphalie ET l'hydromyélie 45 myélie très forte dans la
partie
dorsale, qui provoqua l'ouverture de la colonne
Par conséquent, pendant la formation du système nerveux central, la
partie
dorsale située au-dessus de l'ouverture ne trou
dessus de l'ouverture ne trouvait pas le soutien nécessaire dans la
partie
inférieure et c'est la raison d'être suffisante p
est la raison d'être suffisante pour provoquer la dislocation de la
partie
dorsale du bulbe rachidien.Mais cette condition é
pas seulement aminci les hémisphères, mais encore déplacé en bas la
partie
du bulbe rachidien. La partie dorsale du bulbe ra
phères, mais encore déplacé en bas la partie du bulbe rachidien. La
partie
dorsale du bulbe rachidien montrait moins de ré
rien, parce que les racines nerveuses s'enfoncent seulement dans la
partie
antéro-laté- rale. Ainsi la cause qui provoqua
la disparition du cordon posté- rieur, mais aussi l'ouverture de la
partie
dorsale du canal rachidien ; de l'autre côté l'
'avons dit, que la seule ouverture de la colonne vertébrale dans la
partie
dorsale est suffisante pour produire cette diffor
llerons quel- ques considérations embryologiques. Les différentes
parties
de l'axe cérébro-spinal de l'homme proviennent
au-dessus l'un de l'autre, qui donnent naissance aux diffé- rentes
parties
du cerveau. Ainsi : 10 le inyéleiicépliale, 2° le
protubérance annulaire, aux pédoncules cérébelleux supérieurs, à la
partie
des pédoncules cérébraux, etc., forment ensemble
rs, à la partie des pédoncules cérébraux, etc., forment ensemble la
partie
de l'en- céphale connue sous le nom de rhombenc
orrespond à ce rhombencéphale devient le quatrième ventricule et la
partie
dorsale du métencéphale donne dans sa partie dors
rième ventricule et la partie dorsale du métencéphale donne dans sa
partie
dorsale le cer- velet ; 4° le mésencéphale prod
duc de Sylvius ; 5° le diencéphale produit les couches optiques. La
partie
du canal neural primitif qui correspond au diencé
ès rarement l'hydropisie frappe aussi le rhombencéphale et alors sa
partie
dorsale ne se développe pas, le cervelet manque
chez l'enfant le bulbe rachidien et dans ce cas il peut rester une
partie
de la voûte crânienne, ce qui ne peut être si l
erture de la colonne vertébrale peut provoquer la dislocation de la
partie
dorsale du bulbe rachidien si ce processus frappe
n de la partie dorsale du bulbe rachidien si ce processus frappe la
partie
dorsalede la moelle ou elle peut provoquer seul
quelques-unes des vésicules cérébrales, entrave la formation d'une
partie
correspondante du cerveau et même du crâne, si
. A un faible grossissement on en peut déjà voir s'élargir avec les
parties
épaissies. Mais ces changements si fortement ma
des vaisseaux nouveaux est augmentée. Enfin, en approchant de ..la
partie
cervicale nous rencontrons déplus en plus de vais
né très longuement : seuls les mus- cles des deux bras s'étaient en
partie
atrophiés sans que jamais ils aient été le sièg
ns donnent les résultats suivants : Circonférence du bras dans la
partie
inférieure la plus grêle : Il centi- mètres.
nt très déprimés. Le cadavre est littéralement squelettique dans la
partie
supérieure du corps jusqu'aux cuisses. Les muscle
racine cervicale. - E, plaque du dos de la main continuant, par sa
partie
externe, la bande précédente ; elle dé- pend de
s la main, puis.les avant-bras, tel est l'ordre d'envahissement des
parties
. Dans sa marche progressive, la sclérodermie in
elte byper- plasie a pour siège la gaine externe de la racine, à la
partie
inférieure de la tige du poil. Il en résulte «
épiderme, chaque papule correspond à un orifice folliculaire et aux
parties
qui l'environnent. La tuméfaction et l'in- filt
que. L'érythème, l'herpès, les bulles, etc., apparais- sent sur les
parties
du tégument dont la structure est particulièremen
ure le développe- ment, n'exercent qu'un contrôle restreint sur les
parties
qui doivent lui être ultérieurement soumises (F
nction, il y a seulement des organes en formation; la formation des
parties
est, pour ainsi dire, la fonction générale de l
peuvent dater effectivement de l'époque à laquelle s'est formée la
partie
qui en est le siège. Mais « la malformation, l'ét
ui en est le siège. Mais « la malformation, l'état monstrueux d'une
partie
n'est pas la conséquence d'une maladie subie par
d'une partie n'est pas la conséquence d'une maladie subie par cette
partie
; cet état monstrueux, ce développement anormal c
rveux central n'est pas indispen- sable au développement des autres
parties
, c'est qu'un vertébré quelconque (1) lATII ! AS
tion. Il s'agit d'nne jeune demoiselle qui, dans presque toutes les
parties
du corps que cachent ordinairement les vêtement
e qu'il y avait de frappant, c'était la transition brusque entre la
partie
de son corps qui était t parfaitement blanche e
des végétations, se retrouve à peu près invariablement la même. Les
parties
malades sont la tête, le cou, la région supérieur
papillomateuses. Actuellement il n'a aucune tendance à' gagner les
parties
normales, et il reste confiné dans ses première
emporaire. Les dermatomères, à un moment donné, perdent au moins en
partie
leur indépendance; l'alliance tardive qu'ils co
ue par une teinte un peu claire et quelques fibres absentes dans la
partie
moyenne de son aire. 100 GILLES DE LA TOURETTE
est surtout accentuée dans le fais- ceau pyramidal droit et dans la
partie
postérieure du cordon postérieur gauche. Par
uteur du siège présumé de la lésion initiale. Mais s'il était d'une
partie
épaisse on comprend qu'il ai t pu nous échapper
Lorsqu'on enlève l'appareil, la fracture est consolidée', mais les
parties
molles sont très amaigries et les douleurs persis
un membre bien suspendu et attaché par des mus- cles puissants à la
partie
supérieure du thorax. Si maintenant on examine en
ntact les surfaces articulaires ; aussi déprime-t-on facilement les
parties
molles au niveau de l'interligne articulaire et
compare à celui du côté opposé. Il a conservé sa forme conique ; la
partie
charnue a gardé sa configuration. Cependant la
e MM. P. Duval et G. Guillain, il semble qu'il faille incriminer en
partie
le procédé de Mothe qui, quoique doux, doit forcé
al : dans le cas de MM. Achard et Lévi, le lobule paraceutral et la
partie
supérieure des circonvolutions frontale et pari
nne forme et une phase du tabes ; et de plus il comprend toute une
partie
de la symp- tomalologie : les signes et symptôm
gris de la masse cérébrale, sur la valeur segmentaire des diverses
parties
de l'écorce, sur l'homologa- tion des faisceaux
pourra dans son établissement jalonner, préparer l'homologation des
parties
supérieures de l'axe cérébro-spinal avec les se
culaire vont dériver d'abord la papille lagénaire, puis celle de la
partie
initiale du limaçon et enfin, avec un extraordi
'utriculaire et le sacculaire. De son côté le ganglion de Corti, la
partie
du ganglion auriculaire qui s'en- roule dans le
fréquent en pathologie, réagissent à leur tour sur la vitalité des
parties
molles en contact avec les liquides labyrinthiq
ophiques dépendant de ce nerf^qui donne la sensibilité à une grande
partie
de l'appareil auriculaire, et dont les lésions nu
quelle que soit la théorie pa- thogénique ; et nous verrons dans la
partie
clinique de cette étude qu'en donnantà la sympt
sont des segments du corps : segment étant pris ici dans le sens de
partie
de l'organisme susceptible de mouve- ments prop
, les attitudes segmentaires signifient les attitudes de toutes les
parties
mobiles du corps, tandis que la position des memb
peut signifier que la distribution dans l'espace de certaines de ces
parties
mobiles, les membres articulés. Mon expression
ctilité superficielle et profonde, qui perçoit l'état de toutes les
parties
de chaque segment susceptibles d'être garnies de
de termi- naisons sensorielles. Dans chaque attitude, l'état de ces
parties
est repré- senté par une image d'ordre tactile,
PIERRE BONNIER traorganique. Quand l'altitude varie, l'état de ces
parties
varie également et donne lieu aune autre représ
aintenue on modifiée activement par l'intervention des muscles, les
parties
tégumen- taires et profondes des segments intér
ension, de traction, de pression, de gonflement, de déplacement des
parties
profondes et superli- cielles, sans doute le mu
force, de résistance et de forme dans l'état de presque toutes les
parties
profondes et superficielles du segment. Il y a
'elles se localisent sur nous-même, et objectives en ce sens qu'une
partie
de nous-môme les sent et les localise en nous.
tie démon moi organique ; c'est aussi objectif en ce sens que cette
partie
de moi est connue, perçue, ana- lysée, localisé
tion de quelque chose de tendu dans le cerveau, la sensation qu'une
partie
de ma volonté générale, disponible, est en ce m
e mode d'exci- tation et d'appel que nous pouvons appliquer à telle
partie
de notre écorce et comme celle-ci est en réalit
udes n'est un sens musculaire, de ces circonvolutions centrales est
partie
une série de réflexes comme il en part de tout au
jective directe. C'est sur cette fonction que repose la plus grande
partie
de l'intervention cérébelleuse dans la motricité.
dans un tunnel, à la faible lueur de la lampe, il nous semble que la
partie
opposée du compartiment vient à nous et que nou
faut néanmoins le considérer comme la réaction propre de certaines
parties
du vaste noyau interne, et toujours le vertige
ération de Slacke. On sait que cette opération consiste à rogner la
partie
antéro-supérieure de l'apophyse mastoïde,pour p
rtie antéro-supérieure de l'apophyse mastoïde,pour pénétrer, par la
partie
supérieure du conduit, dans la caisse et l'antr
II). Le tableau en question se trouve à Paris. Il faisait autrefois
partie
de la collection du D ï4lesnet qui l'avait acqu
l, un autre compère aux cheveux ras montre sa tête, une main et une
partie
de son dos vêtu de rouge. Il regarde l'opéré en
ement en haut et en dehors, et qui coupe ainsi la gouttière en deux
parties
inégales : la partie située au-dessus du trapèz
hors, et qui coupe ainsi la gouttière en deux parties inégales : la
partie
située au-dessus du trapèze, entre la ligne méd
ane et le hord spinal, a la forme d'une rigole étroite ; quant à la
partie
inférieure, beaucoup plus petite en étendue, qui.
l'aspect de la gouttière thoraco-scapulaire se trouve modifié : sa
partie
supérieure ne constitue plus une rigole, mais u
une rigole, mais un plan un peu oblique en avant et en dedans ; sa
partie
infé- rieure est moins modifiée, la dépression
oitesse delà paroi thoracique droite, tout particulièrement dans la
partie
supérieure, et la modification de la ligne qui
'humidité sur le nerf du grand dentelé, qui est superficiel dans la
partie
inférieure de son trajet. Mais l'action du froi
iable an niveau de l'angle inférieur et du bord spinal qui sont les
parties
les plus accessibles de l'omoplate. Il est souv
re, brillante, allongée (longueur : 8 cent., largeur : 2 cent. à la
partie
supérieure et 1 cent. à la partie inférieure), s'
: 8 cent., largeur : 2 cent. à la partie supérieure et 1 cent. à la
partie
inférieure), s'étendant de la racine du nez, pr
ce dure, ressemblant à une cicatrice supérieure de la peau. Dans la
partie
latérale droite de l'abdomen et du flanc, la peau
pièce de 5 francs, à bords irréguliers, se con- tinuant jusqu'à la
partie
inférieure du creux de l'aisselle, par une traîné
veau de la bande nacrée, la peau est déprimée, lisse, adhérente aux
parties
sous-jacentes. Dans les deux tiers inférieurs de
, l'épiderme est corné, dur. légèrement exfolié. Etat rugueux de la
partie
postérieure du bras. L'enfant est revue le 9 ju
centué, aussi marqué au niveau des taches blanches qu'au niveau des
parties
normales. Appareils respiratoire et circulatoir
long supinateur en dehors, les palmaires et le cubital antérieur à la
partie
interne font encore une saillie assez marquée.
au niveau de l'extrémité supérieure de celui-ci, il coupe un peu la
partie
la plus externe du segment antérieur de la caps
érale, les lésions se réduisent à l'atrophie simple de tou- tes les
parties
constituantes de la cellule. Sur une coupe de l
ct du côté gauche. Au niveau des cordons postérieurs, même dans les
parties
sclérosées, il n'existe aucun corps granuleux.
s saines. De même la région voisine des racines est respectée. A la
partie
postérieure des cor- dons de Burdach se trouve
nservation du triangle cornu marginal tranche très vivement sur les
parties
dégénérées. Les faisceaux pyramidaux directs pr
te sous la forme d'une bande en forme de virgule, très allongée. La
partie
antérieure est séparée de la commissure grise p
la : 1e cervicale. M. - Coupe au niveau de la (je cervicale. V. -
Partie
supérieure de la moelle cervicale. DE L'AMYOTRO
égion antérieure delà cuisse ont une coloration presque normale. La
partie
inférieure du couturier gauche est pâle, tandis q
e. La partie inférieure du couturier gauche est pâle, tandis que la
partie
su- périeure est intacte. Le grand adducteur
AMYOTROPHIE CHARCOT MARIE (P. Sainton) O. - Coupe au niveau de la
partie
inférieure du bulbe. P. Au-dessus de la précéde
24 mai 1899. LIPOMATOSE MONSTRUEUSE PRINCIPALEMENT LOCALISÉE A LA
PARTIE
SOUS-DIAPIIRAGMATIQUE DU CORPS (1) PAIt n E
'hygiène et d'aération qui ont manqué à cette femme, ayant vécu une
partie
de son adolescence dans un réduit obscur et con
est à noter que cette hypertrophie énorme a respecté la face et la
partie
supérieure du tronc. Et à part deux masses lipoma
uses appendues à la racine des bras, c'est surtout aux dépens de la
partie
sous-diaphrag- matique du corps qu'elle s'est c
nes physiques, bien étudiés par les vieux cliniciens, font toujours
partie
du tableau de la chlorose et ils suffisent souven
aire à l'esprit rabelaisien du peintre. Mais le clystère faisait-il
partie
de l'arsenal thérapeutique du mal d'amour ? S
és avec une enfilade de pièces. La dernière, dont on ne voit qu'une
partie
dans l'encadrement d'une porte, est pleine de l
n, d'autres de la diminution de l'élément parathyroïdien. (1) Une
partie
de ce travail a été présentée à l'Académie royale
lle j'avais toujours vu cette femme en proie et que j'attribuais en
partie
à l'obésité et en partie à l'emphysème pulmonai
ette femme en proie et que j'attribuais en partie à l'obésité et en
partie
à l'emphysème pulmonaire. En mai 1896, il ne re
mangeaisons très sensibles. Le sourcil une fois tombé en tout ou en
partie
, la peau reprend sa coloration primi- tive, dev
digestif. Ce que nous avons dit au sujet du foie dans la pre- mière
partie
de ce mémoire nous dispensera d'être long. En gén
tes et sem- blables à celles que j'ai décrites chez l'adulte. Les
parties
sexuelles, nous l'avons déjà dit, sont souvent in
rritées, saignent facilement à la brosse. Les dents sont en majeure
partie
cariées. La malade a eu et a encore des hémorrh
jambes sont très longs ; la poitrine est extrêmement étroite : les
parties
génitales sont souvent peu développées. C'est le
pèse 37 kg. 100. Les pieds sont plats, transpirent facilement. Les
parties
génitales sont très peu développées. Il urine au
primaire est en général généralisé, plus rarement il se limite aux
parties
exposées à l'air ou aux frottements. Il est plu
de cuis- son sur les deux épaules, en avant et en arrière et sur la
partie
supérieure (1) Tu. D. Savill, On the pathology
, une affection carac- térisée par un prurit intense sur toutes les
parties
velues du corps, et par une véritable vésanie q
de vives sensations prurigi- neuses, s'exagérant par accès dans les
parties
velues du corps. Ni les poils ni les téguments
cation qui paraît le mieux soulager les malades est l'isolement des
parties
prurigineuses soit à l'aide des vernis protecteur
ésente des nodosilés. Il y a 8 taches érectiles ponctiformes sur la
partie
antérieure du thorax, 4 naevi pigmentaires dans l
dans l'aine droite dont il ne sait pas donner l'explication. Sur la
partie
antérieure de chaque avant-bras, il porte un ta
la visite nu, à son tour, lorsqu'on s'aperçut que son pubis et les
parties
génitales étaient presque dénudés, et qu'un grand
pe Charcot-Marie avec autopsie publiés jusqu'à (1) Voy. la première
partie
de ce travail dans le no 3, mai-juin 1899. 318
s elle a des douleurs sourdes da ns la région ovarienne et dans les
parties
du thorax jusqu'à la ceinture. Sensibilité obje
ie dans la région ombili- cale aux bras, à la face, au cou et il la
partie
supérieure du thorax jusqu'à une ligne passant
nt déformé les personnages. La repro- duction a fait disparaître en
partie
la cheminée et la carte géographique qui ornent
........ lao 161/2 . - moitié de ['avant-bras......... 19 191/2 -
partie
supérieure de t'avant-bras .... ` ? ') 23 - - m
D G Circonférence du poignet 16 16 moitié de l'avant-bras 17 19
partie
supérieure........... 20 18 partie moyenne du b
moitié de l'avant-bras 17 19 partie supérieure........... 20 18
partie
moyenne du bras........ 19 20 Les muscles du co
s sont amaigries, contractions fibrillaires en masse et fréquentes.
Partie
moyenne D 41 G 41 z Les genoux ne sont pas doul
oite sur sa tète, le malade avance d'abord le coude au niveau de la
partie
antérieure du thorax, met la main sur le front et
niveau du poignet gauche 16 avant-bras circonférence médiane 16.5
partie
inférieure du bras droit 19.5 gauche 20 parti
nce médiane 16.5 partie inférieure du bras droit 19.5 gauche 20
partie
moyenne du bras droit.......... 21 gauche 21
avant-bras, les muscles sont moins atrophiés ; conservés en grande
partie
dans les deux tiers supérieurs, ils disparaissent
cé des deux côtés parles masses mus- culaires scapulo-humérales. La
partie
antérieure de l'avant-bras se serait amai- grie
eurs. L'atrophie du thorax aurait accompagné celle des bras dont la
partie
supé- rieure aurait été prise la première. Il
es disparus, os saillant. L'espace interosseux forme un méplat à la
partie
postérieure. Les muscles de la partie antérieur
erosseux forme un méplat à la partie postérieure. Les muscles de la
partie
antérieure de l'avant-bras sont en partie conserv
rieure. Les muscles de la partie antérieure de l'avant-bras sont en
partie
conservés surtout dans le 1/3 supérieur. La m
sont saillantes, espaces intercostaux saillants. Thorax aplati à sa
partie
inférieure. Les muscles de l'abdomen se contrac
tion 1/3 supérieure de l'avant-bras droit.... 18 ' ` gauche... 19
partie
moyenne du bras droit 18 - gauche. ..... 20 p
gauche... 19 partie moyenne du bras droit 18 - gauche. ..... 20
partie
moyenne de la cuisse droite .... 40 gauche....
ler. Système musculaire. - L'insertion occipitale du trapèze est en
partie
dis- parue ; atrophie marquée des muscles des f
te. Atrophie générale des muscles du bras et de l'avant-bras ; à la
partie
moyenne du bras gauche; diamètre 20 1/2, à droi
ieurs, contraste avec celle des membres supérieurs. Circonférence
partie
moyenne cuisse droite 39.5 gauche 40 mollet d
es antéro-internes des deux jambes. Circonférence des jambes à la
partie
moyenne, 27 centimètres des deux côtés. Circo
ne, 27 centimètres des deux côtés. Circonférence des cuisses à la
partie
moyenne, 53 centimètres des deux côtés. Aboli
de supination ne peuvent plus se faire. Atrophie considérable de la
partie
postérieure de l'avant-bras ; atrophie des * ra
e phalange de l'index. Les muscles de l'éminence hypothénar sont en
partie
atrophiés aussi, toute- fois il en reste une pe
, surtout accentuée aux groupes dorsaux et plus marquée à droite.
partie
moyenne tiers supérieur tiers inférieur Circonf
vé est attiré en dedans. L'atrophie est beaucoup moins marquée à la
partie
inférieure du tronc et aux membres inférieurs (
ure du tronc et aux membres inférieurs (fig. H). , Circonférence,
partie
moyenne de la cuisse droite, 40 cent. 5 ; gauche,
uisse droite, 40 cent. 5 ; gauche, 42 centimètres. Circonférence,
partie
moyenne de la jambe droite, 31 cent. 5 ; gauche,
nt avec l'articulation sca- pulo-humérale par un orilice situé à la
partie
inférieure de celle-ci et large comme une pièce
s que d'habitude; elles sont atrophiées et n'occupent qu'une faible
partie
de leur loge. Elles sont déformées (1), vaguement
(1), âgé de 20 ans, occupé il fendre un tronc d'arbre, reçoit à la
partie
antérieure de la jambe gauche un éclat de bois qu
in (2), développée spécialement par Descosse (3). L'iiiflamma- tion
partie
de l'articulation se propagerait à l'enveloppe fi
im sont très difficiles à distinguer même à un examen attentif. Les
parties
claires qui correspondent à la substance interf
la substance inter- fibrillaire à laquelle le muscle est en majeure
partie
redevable de son élasticité. Aussi l'on peut co
sure protoplasmique delà substance grise. Les corps cellulaires des
parties
médianes de la corne antérieure ont des dentrit
u infirmer. 400 F. FARNARIER 'et le front bas et fuyant. Mais, la
partie
dont le développement est leplus extrême est ce
eur qui chevauche sur l'inférieur). Cette projection en avant de la
partie
inférieure de la face a pour effet d'accen- tue
malade, fait, avec l'horizontale, un angle de 35 à 40° environ. Les
parties
molles qui recouvrent ces massifs osseux sont éga
droite est insensible, il y a une petite plaque d'hypoalgésie à la
partie
externe de la face supérieure du pied droit. Hy
EMl'ÉnATunE. 1. Face antérieure'. Hyperesthésie au chaud à toute la
partie
supérieure du corps et aux jambes jusqu'à i'artic
d dans les territoires d'innervation des nerfs cubitaux. Aux autres
parties
du corps, excepté la tète, la sensation du froid
ypoesthésie au chaud, descendant aussi le long des bras. Aux autres
parties
du corps, les sensations thermiques sont perçues
potliùsvÏue l'aphasie amnésique est produite par la rupture « d'une
partie
des voies commissurales qui réunissent les cen-
s qui réunissent les cen- tres différenciés des images verbales aux
parties
de l'écorce dans les- quelles s'opèrent les act
d'une vaste hémorrhagie cérébrale de type classique qui refoule les
parties
voisines eu dehors de la ligne médiane. Il ne p
ité de la Ire temporale. Il existe nn vaste foyer hémorrhagique, en
partie
lacunaire, s'étendant de la partie moyenne de l
nn vaste foyer hémorrhagique, en partie lacunaire, s'étendant de la
partie
moyenne de l'insula jusqu'au pli courbe et limi
sse par le pied de la pariétale ascendante. La coupe 2 passe par la
partie
postérieure du pied de la pariétale as- cendant
NÉSIQUE ( Tréncl) APHASIE AMNÉSIQUE 441 La coupe 3 passe par la
partie
antérieure du pied de la 2e circonvolu- tion pa
2e circonvolu- tion pariétale et coupe la pariétale ascendante à sa
partie
moyenne. Les coupes 4 et S passent à différents
distingue les différentes couches. Dans la substance blanche de la
partie
supérieure du pli courbe, on voit une petite traî
s autres coupes) Il affecte une forme en V ou en L renversé () ; la
partie
verticale (1) Sur ces figures le pointillé indi
442 TRÉNEL s'étend sur toute la hauteur du bord ventriculaire, la
partie
horizontale a détruit la subslance blanche du p
supérieur affleure l'extrémité supérieure du ventricule dilaté. La
partie
inférieure du faisceau longitudinal, des radiat
s ses prolongements pénètrent en respectant l'écorce, tandis que la
partie
principale occupe toute la hauteur du ventri- c
onc, destruction de tous les fibres blanches du pli courbe et d'une
partie
de celles de la pariétale supérieure et des 1 r
ibres de la première temporale, du lobule du pli courbe et coupé en
partie
celles qui dépendent de la pariétale supérieure e
E nF la SAI,l'lÎmll\lIh. T. XII. I'f. LXXVII Coupe 4 passant à la
partie
antérieure d lobule du pli courbe. Coupe 5 pa
la partie antérieure d lobule du pli courbe. Coupe 5 passant à la
partie
postérieure du lobule du pli courbe. APHASIE
rieure du lobule du pli courbe. Fit. S. . Coupe i, passant à la
partie
postérieure du lobule du pli courbe. - - d
i 17 LA "AI "F.TIIII¡H, T. XII. PI. I.XXVIII Coupe 3 passant a la
partie
postérieure du pied de la pariétale ascendante.
térieure du pied de la pariétale ascendante. Coupc 3 passant à la
partie
antérieure du pied de la 3c pariétale. APHASI
I. APHASIE AMNÉSIQUE ( Tréllet) Fig. 8. Coupe 2, passant à la
partie
postérieure du pied de la pariétale ascendante.
ied de la pariétale ascendante. Fig. 7. Coupe ;, passant par la
partie
antérieure du pied de la deuxième pariétale.
'arrête. Elle s'étale en haut et en bas : en haut, elle affleure la
partie
interne de l'écorce de la pariétale ascendante, e
la -1 r8 temporale. Un cons- tate un prolongement de la lésion à la
partie
supérieure du segment pos- térieur de la capsul
n siège nettement dans la capsule externe, elle laisse indemne à sa
partie
moyenne une zone de substance blanche qui tapis
couronne rayonnante de la pariétale ascen- dante (au moins dans sa
partie
inférieure) jusqu'au niveau de l'extrémité supé
al inférieur et des radiations optiques ne sont détruites qu'à leur
partie
supérieure dans une portion de leur trajet, mai
un ramollissement a détruit les 2e et 3° temporales et empiète sur la
partie
moyenne de la moitié inférieure de la première.
é inférieure de la première. 444 TRÉNEL interne est détruite à la
partie
supérieure de sa région postérieure rétro- lent
voies anormales, détournées, soit par les voies habituelles mais en
partie
détruites (1). (1) M. Pitres dans une nouvelle
nte singu- lière, caractérisée par des lésions éléphantiasiques des
parties
molles et du squelette. Observation presque uni
et de sciences, 1893. Observation d'un oedème localisé à certaines
parties
du visage, des mains, des bras, des parties gén
me localisé à certaines parties du visage, des mains, des bras, des
parties
génitales ; oedème dur, d'apparition soudaine, ac
observation d'OEdème dur et douloureux en plaques symétriques à la
partie
antérieure des deux jambes, rappelant l'aspect de
ar Sydenham, l'oedème blanc, qui peut attaquer isolément toutes les
parties
du corps, y déterminant « une enflure dont cell
lable monstruosité, l'hy- pertrophie tégumentaire occupait toute la
partie
inférieure du corps. Elle cessait à partir de l
vicieuse des phalanges (à gauche), de l'épaisseur considérable des
parties
molles, de la lésion osseuse de l'auriculaire gau
fermés, mais incoordination de la marche dans ces conditions. La
partie
antérieure des cuisses est notablement amaigrie,
avaut, 167. Lipomalose monstrueuse (principalement localisée à la
partie
sous-diaph1"agmati- que du corps), par DARTIGUE
IITIGUES. Lipomatose mons- trueuse principalement localisée- à la
partie
sous-diaphragmatique du corps (4 phot.), 216.
ki (Pétersbourg, 1879), 1 01 R.NEVIU.E. Décembre 1891. PREMIÈRE
PARTIE
Lie foie. — Maladies des voies biliaires. PRE
je ne manque jamais d'accorder aux questions qui rentrent dans cette
partie
du domaine anatomo-pathologique. Cette manière
revivre, en quelque sorte, et qui s'efforce d'entretenir entre cette
partie
de la pa-thologie et les autres branches de la mê
mes, les veines intra-lobulaires qui occupent, leur nom l'indique, la
partie
centrale de chaque lobule ; les sillons qui entou
érir déjà des données exactes sur l'arrangement général de toutes ces
parties
. Les lobules, coupés en travers, — il s'agit to
e sont pas constamment disséminées comme au hasard dans les di-verses
parties
du lobule. Il en est qui occupent presque ex-clus
s parties du lobule. Il en est qui occupent presque ex-clusivement la
partie
centrale, dans le voisinage immédiat de la veine
us dit, est claire et jau-nâtre ; cet aspect est dû : l°àce que cette
partie
est, dans les conditions susdites, relativement e
te in- fluence, la périphérie du lobule paraîtra plus foncée que la
partie
centrale. Vous voyez ainsi, Messieurs, à quoi t
aller plus loin, pénétrer plus avant, et rechercher quelles sont les
parties
diverses qui, par leur réunion, composent la mass
sent la masse de chaque lobule, anisi que le mode d'agencement de ces
parties
. Il ne suffit pas, en effet, pour l'anatomiste, d
on. La masse du lobule est constituée essentiellement par quel-ques
parties
que nous allons examiner rapidement. (a) Enprem
e étude devra com-prendre: Io une description en règle de chacune des
parties
élémentaires qui entrent dans la composition du l
le lobule. Mais avant d'arriver à la descri-ption de chacune de ces
parties
et de démontrer le lieu qu'elles occupent dans l'
us avons fait connaître, dans les premières leçons, quelques-unes des
parties
constituantes du lobule du foie ; le moment est v
oration brun acajou contrastant avec la couleur jaune d'or des autres
parties
, les cellules hépatiques peuvent être complètemen
fications de topographie et aussi de structure. Lorsqu'on procède des
parties
extérieures aux parties profondes, on voit que le
et aussi de structure. Lorsqu'on procède des parties extérieures aux
parties
profondes, on voit que les canaux biliaires doive
t d'octaèdres ou de cellules, cette disposition s'étende à toutes les
parties
du lobule, nous aurons alors une idée assez nette
cavité d'excrétion, ou autrement dit du capillaire biliaire, par une
partie
de l'épaisseur du protoplasma cellulaire, de tell
M. Corail et Ranvier). Il est rare qu'on ne rencontre pas dans leur
partie
centrale un orifice vasculaire et communément aus
taire se propage ensuite aux capil-laires du lobule, surtout dans les
parties
périphériques du lobule. A ces lésions macroscopi
e miliaire, entre autres, dans le foie de même que dans bien d'autres
parties
de l'organisme, paraît se déve-lopper soit dans l
Je me propose de consacrer la leçon d'aujourd'hui, pour la majeure
partie
du moins, et aussi quelques-unes de celles qui su
dans l'exposé qui va suivre. III. Nous commencerons cette seconde
partie
de nos leçons par l'examen de la bile et de la sé
48). Les ingrédients qui composent ce résidu sont, pour la ma-jeure
partie
(55 à 70 pour 100), les suivants : Io Les sels à
oie était ratatiné et présentait une coloration jaune dans toutes ses
parties
, sous l'action du sulfate de fer. Or, consécutive
es auteurs abandonnent M. Flint, après l'avoir suivi dans la première
partie
de sa thèse. A défaut d'observations cliniques su
y a des raisons de croire que, dans l'intestin, elle se transforme en
partie
en me substance qu'on retrouve dans l'urine et qu
ls biliaires proprement dits. Ceux-ci sont com-posés, pour la majeure
partie
, d'un noyau central formé prin-cipalement de mati
rie, je placerai les cas de des-truction partielle lente d'une grande
partie
du parenchyme hépatique. Je citerai une observati
erai encore un cas de kyste du foie ayant fait disparaître la majeure
partie
du lobe droit et l'ayant réduit à une sorte de co
rod, les préparations saturnines auraient pour effet de partager en
partie
la fonction éliminatrice du rein à l'égard de l'a
ns les calculs com-posés et qui sont, en somme, les plus communs, une
partie
centrale ou noyau et une écorce. Ainsi, on trouve
le biliaire. Messieurs, Je me propose d'indiquer dans la première
partie
de cette leçon les faits qu'il nous est indispens
é des calculs. Toutefois, il est rare qu'elle en forme la plus grande
partie
. En général, c'est dans le noyau et dans l'écorce
ex-créteur de la bile : composition de cet appareil; — dimensions des
parties
qui le constituent. — Gravelle biliaire; — Accide
me d'une noix de moyennes dimensions. Ce calcul était enclavé dans la
partie
supérieure du canal cholé-doque, au point de réun
était de même chez un enfant de 40 ans. Ces faisceaux qui occupent la
partie
la plus profonde de la tunique interne ont leur
onnaît que la co-loration foncée est principalement marquée dans leur
partie
centrale. (Voir la figure de l'Atlas de Frerichs)
is néanmoins, à un moment donné, ces cellules subissent soit dans une
partie
du foie, c'est-à-dire sous forme de foyer, soit d
remarque qui appartient à M. 0. Wyss — de séparer en quelque sorte la
partie
sécrétante du foie de la partie excrétante. Dans
Wyss — de séparer en quelque sorte la partie sécrétante du foie de la
partie
excrétante. Dans ces circonstances, tandis que le
ne se limitent pas aux parois même des conduits; elles s'étendent aux
parties
voisines, à la capsule de Glisson (péri-angiochol
édoque. Celle émacialion qui résulte de conditions complexes, mais en
partie
au moins des trou-bles apportés dans la digestion
s, sans nouvelle appa-rition des coliques, ce qui justifie la seconde
partie
de mon hypothèse (b). Quant à l'intermittence des
ulière-ment au voisinage des tubes droits, en d'autres termes dans la
partie
centrale des lobules du rein que l'infiltration s
contiguïté qui, dans l'état normal, existent entre la vésicule et les
parties
voisines. Vous trouverez ce sujet traité avec un
bien en lumière les rap-ports : il s'agit de noter, à l'autopsie, les
parties
qui, par l'action de la transsudation cadavérique
ires, est en rapport : 1° avec l'extré-mité supérieure de la deuxième
partie
du duodédum et 2° avec la partie correspondante d
extré-mité supérieure de la deuxième partie du duodédum et 2° avec la
partie
correspondante du côlon transverse. Si la vésic
xternes sur les autres dans les statistiques peut être ex-pliquée, en
partie
, parce fait que les fistules de ce genre, con-
les fistules cystico-duodênaleSj C'est le fond de la vésicule ou une
partie
voisine qui, dans la règle, se met en communicati
), dans laquelle un grand ulcère simple de l'estomac avait entamé les
parties
les plus externes seule-ment de la vésicule du fi
mirent à M. Mélm de s'en assurer. On entendait des râles muqueux à la
partie
moyenne du poumon droit, qui disparaissaient aprè
trajet du canal cholédoque, mais à l'extré-mité de celui-ci, dans la
partie
intestinale et aussi au niveau de l'orifice duodé
'orifice duodénal. On constate là un gonflement des parois de cette
partie
du canal et de l'orifice en même temps que du gon
e le faire fuir vers la vésicule. En troisième lieu, on note que la
partie
intestinale du cholédoque a conservé les dimensio
cancéreuses qui, quelquefois, se développent primitivement, sur cette
partie
de l'appareil hépatique. Ce sujet a été négligé p
pas être séparés des leucocytes et sont probable-ment d'ailleurs, en
partie
au moins, des leucocytes. Il y a là quelque chose
conjonctif en voie de formation. Il se produit, en effet, au sein des
parties
affectées : a. des cellules d'apparence fusiforme
les sclé-reuses en deux catégories : 1° Celles qui n'affectent qu'une
partie
de l'organe—hépatites interstitielles partielles,
de ces vues (1) Leçons sut' les maladies du rein. — Voir la seconde
partie
de ce volume. nouvelles aussi bien pour ce qui
ographie à ce sujet (1). Je me réserve de traiter un peu plus tard la
partie
historique qui, d'ailleurs, n'est poinl étendue.
par la présence de néo-membranes constituant des adhérences avec les
parties
voisines, tantôt de date récente, et alors il s'a
autres par des travées conjonctives plus ou moins épais-ses ; dans la
partie
qui répond au premier degré de l'altéra-tion, la
un grand nombre de cellules embryonnaires qui se voient encore sur la
partie
de la travée conjonctive interlobulaire la plus v
n-duits sont volumineux, tortueux. Cette disposition se voit dans les
parties
centrales des espaces interlobulaires. Au voi-sin
uit : 1° Parmi les canaux, les uns, les plus gros, siègent dans les
parties
centrales des tractus fibreux de formation nouvel
en 1819. Le plus impor-tant de ces passages est placé dans la seconde
partie
de ce traité (section IV, chap. 1er, art. 6, obs.
de la formation de ces adhérences, le foie était en contact avec les
parties
dont il s'est éloigné par suite de l'atrophie qu'
de la cirrhose, je crois qu'il y a intérêt à étudier tout d'abord les
parties
à l'aide de la loupe ou tout au moins, de fai-ble
es de communication qui, à l'état normal, existent entre les diverses
parties
du système porte et le système veineux géné-ral.
gastro-épiploïque. Les vaisseaux de ce groupe proviennent, en majeure
partie
, de l'épiploon gastro-hépatique ; quelques-uns, t
obules du foie voisins de la fossette ; — b) les autres partent de la
partie
antérieure de la vésicule et vont à la branche dr
ilical. Les veines qui entrent dans sa com-position proviennent de la
partie
sus-ombilicale de la paroi abdominale antérieure.
nt ombilical; 3° d'autres fois, enfin, la terminaison se fait dans la
partie
restée perméable de ce dernier ligament. C'est là
cirrhose hypertrophique par exemple, le tissu conjonctif pénétrer la
partie
périphérique du lobule sous forme de bandelettes.
uelques-uns des lobules qui forment les granulations, plutôt dans les
parties
centrales de ceux-ci que dans les parties périphé
anulations, plutôt dans les parties centrales de ceux-ci que dans les
parties
périphériques un nombre variable de points, de fo
phie simple que les cellules semblent disparaître sous l'influence en
partie
au moins d'une pression qui s'exerce dans toutes
pécial, une physionomie à part ? Si nous considérons maintenant des
parties
du foie où l'al-tération est plus avancée, nous c
périphlébite portes intra-hépatiques. Reste à savoir quelles sont les
parties
de la veine porte qui sontainsi originellement af
dissection, on trouve celles-ci parfaite-ment intactes, c'est donc la
partie
intermédiaire entre les deux extrêmes et qu'on po
lement par les veines sus-hépatiques. Il semble, d'après cela, que la
partie
moyenne de la veine porte (système des veines pré
i-ques et où le sang pénètre dans les capillaires intra-lobulaires en
partie
par la voie des artères, en partie par la veine p
es capillaires intra-lobulaires en partie par la voie des artères, en
partie
par la veine porte, et s'écoule, comme dans les c
'albumine qui disparaît lorsque la ponction est pratiquée. DEUXIÈME
PARTIE
Le Rein. — La Maladie de Bright. PREMIÈRE LEÇ
sous forme d'anse ; tantôt, en effet, l'anse se fait aux dépens de la
partie
grêle, tantôt, au contraire, aux dépens de la par
édiaire (Schalstùch, Schweigger-Seidel) ; cette pièce, qui occupe les
parties
les plus superfi-cielles de la couche corticale d
rnés, je dois vous faire re-marquer que là, comme dans la plus grande
partie
des tubes urinifères, les parois de ces canaux pa
M. Debove a décrite dans la mem-brane dite fondamentale de certaines
parties
de l'intestin; d'après cela, la membrane limitant
ou de granulations. Ces bâtonnets occupent surtout dans la cellule la
partie
qui touche à la membrane fondamentale ; c'est là,
ubuli contorti, on voit, du côté de la lumière, le protoplasma et une
partie
du noyau, et du côté de la membrane fondamentale,
ns la substance corticale où ils for-ment les rayons médullaires. Les
parties
transparentes (b), alternant avec les précédentes
ar leur position aux fascicules vasculaires de la zone limitante. Les
parties
trans-parentes de la région corticale, parsemées
labyrinthe. forme de petits cônes moins colorés que ne le sont les
parties
avoisinantes : ce sont les prolongements de Ferre
nt les glomérules de Malpighi et les tubuli contorti, c'est-à-dire la
partie
véritable- ment sécrétante du rein. Je dois ajo
de rechercher quelle est la dispo-sition que présentent les diverses
parties
de l'appareil des canalicules urinifères, dans ch
tubes collecteurs qui se divisent seulement dans cette région, et en
partie
par un certain nombre de branches des anses Fig
rolongement médul-laire; à la périphérie, une zone constituée par les
parties
contiguës du labyrinthe. 2° Les coupes transver
ontact absolu, soit entre eux, soit avec les vaisseaux sanguins ; ces
parties
sont constamment séparées par des fentes, où il e
ès ces observateurs, il existe du tissu fibrillaire lami-neux dans la
partie
papillaire de la substance médullaire ; mais, dan
e de M. Virchow, la circulation de la substance médullaire serait, en
partie
, indépendante jusqu'à un certain point de celle d
ment modifié. Il nous intéresse de chercher à préciser dans quelles
parties
de l'appareil rénal s'opère cette sélection. Lais
sant de côté les canaux collecteurs qui, d'un commun accord, sont des
parties
excrétantes, nous n'avons plus à considérer que l
, sont des parties excrétantes, nous n'avons plus à considérer que la
partie
sécrétante qui se compose de deux éléments princi
s principes es-sentiels, mais à l'état de grande dilution; les autres
parties
du rein n'auraient d'autre rôle que d'amener une
n du bleu d'indigo, l'urine n'est pas seule colorée ; les différentes
parties
du rein le sont aussi à des degrés divers, et la
rante. Deux procédés permettent de supprimer ainsi la sécrétion des
parties
aqueuses de l'urine : l'un d'eux consiste à dimi-
ne diffuse pas, comme cela a lieu dans l'état normal, dans toutes les
parties
du rein; elle n'occupe qu'une partie de l'organe
l'état normal, dans toutes les parties du rein; elle n'occupe qu'une
partie
de l'organe : la substance corticale. Une analyse
permet de reconnaître, grâce à la colo-ration bleue, quelles sont les
parties
des tubules urinifères, et dans ces tubules quels
tubules quels sont les éléments où s'opère cette élimination. Or les
parties
colorées sont : 1° les canalicules contournés ; 2
nts de l'anse ont donc fonctionné d'une manière indépendante. Or, ces
parties
sont précisément celles qui sont revêtues d'un ép
que, à un moment donné qui suit de très près l'injection, toutes les
parties
du rein à l'ex-ception du glomérule se trouvent c
n'est pas encore bien élucidé, a pour résultat de supprimer dans les
parties
correspondantes du rein la sé-crétion d'eau; or,
a sé-crétion d'eau; or, tandis que dans les zones correspondantes aux
parties
cautérisées la coloration se répand dans les deux
deux substances, on voit au contraire, dans celles qui répondent aux
parties
cautérisées, que la substance corticale est seule
antes de l'anse, à l'exclusion des glomérules et de toutes les autres
parties
de l'appareil. En résumé, ces expériences tende
nation de la matière colorante est indé-pendante delà sécrétion de la
partie
aqueuse de l'urine, où tout au moins que la matiè
ne parais-sent, en conséquence, avoir d'autre rôle que de fournir la
partie
aqueuse de l'urine. La sécrétion des principes
e expérimentalement ; car l'urée ne produit aucune coloration sur les
parties
où elle s'élimine, et ne se concrète pas au sein
M. Cor-nil (1), j'ai pu constater que ces dépôts se composent de deux
parties
: l'une centrale, amorphe, occupe le canalicule d
ant, il ne paraît pas impossi-ble que, lorsqu'ils occupent une grande
partie
des papilles des deux reins, ils puissent contrib
(p. 24, fig. 5, 5°) un cylindre qui pré-sente un étranglement et deux
parties
renflées : la partie étroite correspond sans dout
cylindre qui pré-sente un étranglement et deux parties renflées : la
partie
étroite correspond sans doute au canal intermédia
réfléchissant les diverses lésions rénales. Formés dans les dernières
parties
de l'appareil des tubes urinifères, ils ne peuven
n tout état de cause, fournir de renseignements que sur l'état de ces
parties
; j'ai insisté plus haut sur ce fait que les cyli
lications habituelles : pneumonie purulente ; gangrène, érysipèle des
parties
oedématiées ; symptômes urémiques moins fréquents
ais lorsqu'on a en-levé la capsule, qui est épaissie et adhérente aux
parties
sous-jacentes, on voit la surface du rein parsemé
me, éminences jaunes ou grises, contrastant par ce caractère avec les
parties
avoi-sinantes, dont la coloration est d'un rouge
ein contracté, perpendiculairement à la direction des lo-bules. — Les
parties
claires a, formant la granulation, correspondent
tre du lo-bule et représentent la coupe des canaux collecteurs. — Les
parties
foncées, b, qui circonscrivent la granulation, so
remplacé par un revê-tement de jeunes cellules; en fin de compte, les
parties
qui composent la région du labyrinthe se sont atr
omposent la région du labyrinthe se sont atrophiées et affaissées. La
partie
centrale du lobule, au contraire, est restée Fi
4. — Tubes uri-nifères atrophiés et contenant de pe-tites cellules en
partie
désinté-grées et des gra-nulations grais-seuses.
e. Les'tubuli ne sont pas obstrués d'une manière uniforme ; certaines
parties
de ces tubuli, a, sont dis-tendues et opaques, ta
e la granula-tion saillante sur la surface du rein correspond à cette
partie
centrale du lobule ; elle présente une coloration
dans le rein, alors même qu'il paraît très altéré, c'est que quelques
parties
glandulaires ont conservé la structure physiologi
conservé la structure physiologique ; mais il arrive un moment où ces
parties
, jusque-là respectées, sont à leur tour profondém
e de la néphrite interstitielle vulgaire que par la présence, dans la
partie
papillaire des pyramides, d'infarctus tubulaires
n abondance dans les jointures, au-tour des jointures et sur diverses
parties
du corps. 2° Les observations de M. Garrod tend
conduit se trouve rétrécie ; souvent aussi, mais non constamment, la
partie
libre des tubes est oblitérée par des cylindres f
altération. 11 n'en est pas de même des anses de Henle, dontla grosse
partie
, suivant Cor-nil, présente une altération analogu
ue. Les tubuli ne sont pas obstrués d'une manière uniforme; certaines
parties
de ces tubuli, a, sont distendues et opaques, tan
aut remarquer qu'elle occupait là, seule-ment les vasa vasorum. Les
parties
altérées de ces vaisseaux sont en général aug-men
ansparent, vitreux, opalescent, tous les détails de la struc-ture des
parties
altérées tendent à se confondre et à s'effacer.
bes urinifères, peuvent également participer à l'altération. B. Les
parties
atteintes de dégénération amyloïde offrent un asp
décrit en 1842 par Rokitansky, sous le nom d'apparence lardacée. La
partie
malade est anémiée, pâle, jaunâtre ou grise, un p
couleur du vin de Xérès foncé. Si cette solution est xrersée sur les
parties
attein-tes de dégénération amyloïde, on voit se p
aques offrent la coloration acajou. — Si l'on applique ensuite sur la
partie
ainsi colorée une goutte d'acide suifurique la co
n vert pâle. Quand, au contraire, il s'agit d'un rein amyloïde, les
parties
atteintes par la dégénération con-servent pendant
couleur bleue très accusée, laquelle contraste avec la coloration des
parties
restées saines. Il va sans dire que, dans l'étude
traîné l'altération amyloïde de l'autre rein (Rosenstein). C'est en
partie
sur la prédominance de cette condition éco-logiqu
des plus aisées lorsque l'on fait intervenir les réactifs. Toutes les
parties
tou-chées par le réactif iodé sont colorées, mais
quable, c'est l'extrémité inférieure des conduits collecteurs dans la
partie
papillaire qui est, en pareil cas, le siège de pr
là des questions dont l'avenir nous réserve la solution. TROISIÈME
PARTIE
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie
— Expériences de Sdhmiedberget Koch. —Fonction-nement de chacune des
parties
de l'appareil rénal. Messieurs, Je me propose
irculation du sang veineux, ces veinules, comme d'ailleurs les autres
parties
du système veineux dans le rein, devien-dront le
véritable veine porte rénale, qui lui apporte le sang prove-nant des
parties
inférieures du corps, et plus explicitement qui
e l'organe, cette veine fournit un réseau capillaire qui enveloppe la
partie
de la glande ré-nale correspondant aux tubes cont
ue nous devons consi-dérer. Dans quelles régions du rein, dans quelle
partie
de l'appareil des canaux, uriniferes se localise
en doute que c'est dans l'appareil glomérulaire. que, pour la majeure
partie
au moins, s'opère aux dépens du plasma san-guin l
ême. En effet, morphologique-ment parlant, ces pièces représentent la
partie
vraiment glan-dulaire du rein. Ces conduits, en e
illaire riche et baignant comme eux dans un liquide lym-phatique. Ces
parties
semblent donc en quelque sorte dési-gnées pour op
éniques de l'albuminurie. — Hémoglobinurie. Sommaire. — Dana quelle
partie
de l'appareil urinifère s'opère la sécrétion des
et que nous devons essayer de résoudre, est la suivante : dans quelle
partie
de l'appareil urinifère s'opère la sécrétion des
tte albumine vient du sang, et il y a lieu de re-chercher dans quelle
partie
du rein s'est faite la filtration. La question pe
des canalicules biliaires au niveau d'un espace interlobulaire. .4,
Partie
centrale de l'espace. Région des canalicules volu
rrhose intralobulaire. Les canalicules y son beaucoup plus fins et en
partie
masqués par de nombreux leucocytes qui dis-socien
anche vi. Elle montre que la coloration blanche prévaut dans toute la
partie
corticale qui cepen-dant laisse voir distinctemen
ex-créteur de la bile : composition de cet appareil: — dimensions des
parties
qui le constituent. — Gravelle biliaire; — Accide
............................................,......... 266 DEUXIÈME
PARTIE
Le Rein. — La maladie de Bright. PREMIÈRE LEÇ
...........................................?......... 359 TROISIÈME
PARTIE
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie.
— Expériences de Sdhmiedbcrget Koch. — Fonction-nement de chacune des
parties
de l'appareil rénal..... ............ 387 DEUXI
ques de l'albuminurie . — hémoglobuminurie; Sommaire. — Dans quelle
partie
de l'appareil urinifère s'opère la sécrétion des
on : car bien que la paralysie hystérique puisse occuper toutes les
parties
du tronc et des extrémités, très rarement, jama
entuée. De plus elle paraît toujours s'accompagner d'anesthésie des
parties
paralysées, ainsi que M. Gilles de la Tourette
'étend de l'extrémité des doigts à une ligne circulaire située à la
partie
moyenne de l'avant- bras. La sensibilité à la p
s, en bas par une ligne horizontale située au tiers supérieur de la
partie
antéro-interne des cuisses et sur les côtés par
e des cuisses et sur les côtés par une ligne verticale séparant les
parties
externes et latérales des cuisses et de l'abdom
t les parties externes et latérales des cuisses et de l'abdomen des
parties
antérieures. Une étroite bande verticale d'anes
e ligne horizontale passant au-dessus des seins, latéralement parla
partie
interne des deltoïdes. La partie postérieure du
ssus des seins, latéralement parla partie interne des deltoïdes. La
partie
postérieure du tronc est insensible à partir d'
oir fig. 2). Uue exception doit être faite pour les cuisses dont la
partie
supéro-inlertie est redevenue sensible jusqu'à
interfessier, existe une vaste zone d'anesthésie occupant toute la
partie
postérieure du tronc, les épaules, la nuque. En
es biceps ; deltoïdes encore parésiés. La sensibilité reparaît à la
partie
supérieure du dos. Dis- sociation des troubles
es au-dessus du genou. En revanche, l'anesthésie s'étendait à des
parties
habituellement indemnes : thorax, abdomen, face (
endemain aux membres supérieurs. D'abord limitée aux mains, et à la
partie
inférieure de l'avant-bras, l'anesthésie gagne
insensible, récupère promptement sa sensibilité, de même pour la
partie
supéro-interne des cuisses. Les bottes d'anesth
uard; c'est la paralysie des mouvements avec hypéresthésie dans les
parties
postérieures du côté atteint, et anesthésie du
hémisection de la moelle épi- nière, principalement au niveau de la
partie
dorsale inférieure, à une petite distance du co
igner, en général, l'arceau d'une vertèbre, afin de mettre à nu une
partie
du côté postérieur de la moelle épinière et de
ut tranchant. Je dirigeais l'instrument perpendiculairement vers la
partie
postérieure de la surface de la moelle, le bout
re du corps au niveau de la section de la moelle épinière. Dans les
parties
correspondantes du côté gauche (en v incluant l
té droit. La sensibilité cutanée est complètement annulée dans la
partie
gauche de la moitié postérieure du corps et ell
e la moitié postérieure du corps et elle devient exagérée dans la
partie
droite. Du côté des organes pelviens, on ne re-
que la moelle épinière a durci jusqu'à un degré satisfaisant, la
partie
dorsale postérieure est mise dans l'alcool, ensui
te dans le celloïdine et on y fait une section transversale dans la
partie
lésée, précisément au niveau de la plaie et voi
o toute la moitié droite de la moelle fut sectionnée, tandis que la
partie
gauche est restée intacte (fig. 1 i). En m'ap
rown-Séquard, le couteau lèse chez le cobaye toute une moitié de la
partie
dor- sale de la moelle épinière, il s'en suit p
es cas, lorsque en faisant l'hémisec- tion, la plus ou moins grande
partie
du cordon antérieur reste intacte et en même te
lontaires sont parfaitement conservés. La sensibilité cutanée de la
partie
postérieure du corps et de l'extrémité postérieur
enflés et une légère membrane fibrineuse qui couvre la surface des
parties
adhérentes à la moelle. La moelle épinière est
isection, et on.a découvert que celle-ci n'était pas complète : une
partie
triangulaire du cordon antérieur adhérent à la fi
moins trois ou quatre semaines. Les cobayes, qui avaient gardé la
partie
du cordon antérieur intacte pendant l'opéra- ti
ont les mêmes. On ouvre la XI" vertèbre dorsale, en même temps, une
partie
de la moelle e épinière est mise à nu; l'hémise
té droite. La sensibilité cutanée de l'extrémité postérieure et des
parties
postérieures du corps du côté gauche était sens
veille ; le pied est un peu dévié. La sensibilité cutanée, dans les
parties
dont j'ai parlé plus haut, du côté gauche, est
distincte du côté gauche qu'auparavant ; du côté droit (dans les
parties
nommées plus haut) il y a pleine anesthésie. On n
tionné qu'au- niveau de l'ancienne hémisection de la moelle dans sa
partie
dorsale postérieure, on avait observé, pendant l'
e, dont j'ai parlé plus haut. Les altérations de la moelle dans ses
parties
adhérentes à la cicatrice de haut et d'en bas -
ltérations se concentrent exclusivement dans la moitié gauche de la
partie
dorsale et cervicale de la moelle épinière et s
ervicale de la moelle épinière et se localisent, d'un côlé, dans la
partie
posté- rieure du cordon de Goll, en forme trian
rdon gauche latéral, en forme d'une bande semi-lunaire allant de la
partie
postérieure, presque du « apex cornu posteriori
partie postérieure, presque du « apex cornu posterioris », vers la
partie
antérieure jusqu'au cordon antérieur, au bout p
rieur dont les altérations disparaissent peu à peu. L'examen de ces
parties
montre que dans la partie dégénérée du cordon d
disparaissent peu à peu. L'examen de ces parties montre que dans la
partie
dégénérée du cordon de Goll toutes les fibres o
dégénérée du cordon de Goll toutes les fibres ont disparu; dans la
partie
exté- rieure du cordon latéral, qu'on appelle f
atéral, qu'on appelle faisceau direct du cerve- let, la plus grande
partie
de fibres était dans le bout postérieur DE LA M
ien de ce que nous ont donné les recherches embryologiques. Dans la
partie
lombaire de la moelle épinière, c'est-à-dire dans
n put observer le commencement d'une inflammation réactive dans les
parties
adhérentes ci. la section : une parésie de l'ex-
l'anesthésie (analgésie) cutanée de l'extrémité postérieure et des
parties
adhérentes du cnrps du côté droit et l'hyperest
es adhérentes du cnrps du côté droit et l'hyperesthésie cutanée des
parties
correspondantes du cote gauche restèrent, dans
dans la moelle épinière du cobaye : les bords de la plaie, dans la
partie
gauche de la moelle épinière, avec les méninges a
moelle épinière après la résection de plusieurs vertèbres avec une
partie
de la moelle. Les expérimentations de Masius
la résection de morceaux de un à deux centimètres de long dans la
partie
dorsale inférieure de la moelle épinière, et au b
squelles il fit chez trois chiens la résection d'un mor- ceau de la
partie
inférieure de la région dorsale de la moelle ép
é. Eichkorst fait men- tion de trois opérations d'hémisection de la
partie
dorsale de la- moelle chez les chiens; un de ce
une res- 1 titution complète de la' forme et de la structure de la
partie
sectionnée chez les amphibies. Les opérations s
isceau rachidien ne va pas tout entier au tubercule mamillairr; une
partie
passe en dehors de lui pour aller directement au
Notes bibliographiques. Foville, à propos de la « struc- ture de la
partie
fondamentale du noyau cérébral » décrit en deda
d'après P. BERGER, signale le faisceau médullaire, ou du moins une
partie
de ce faisceau. Il décrit un faisceau qui parta
iago- nale. Cette continuation se fait de la façon suivante : une
partie
se jette sur le corps même de la bande dia- gon
partie se jette sur le corps même de la bande dia- gonale ; l'autre
partie
se continue avec le bord posté- rieur de cette
ignent un faiseau profond de raccorde- ment de ce tubercule avec la
partie
antérieure et externe de la couche optique. Ces
iques. -Ruban péri-optique. VICQ D'AzYR s'est beaucoup occupé de la
partie
de ce ruban, décrite sous le nom de toenia, ban
l la décrit comme n'étant recouverte par la lame cornée que dans sa
partie
anté- rieure. En avant, il l'a fait s'épanoui
de ce prolongement des ventricules latéraux et qui sont placés à la
partie
externe des couches optiques. Dans ces lames, d
la couche optique ». Bandellette demi- circulaire. - FOVILLE. « Une
partie
du prolongement du faisceau postérieur (du pédo
la pointe du calamus, s'arrondit en bas et en dehors et devient une
partie
du quadrilatère perforé, tandis qu'une émanatio
en bas, il la fait aussi aboutir à l'espace perforé ; elle est une
partie
de son système fibreux convergent. Luys la mè
ER, « quelques-unes de ses fibres peuvent t être suivies jusqu'à la
partie
inférieure de la corne d'Ammon ». LoNCET affirm
tiers de ces faisceaux. La fusion est donc intime- au niveau de la
partie
verticale des piliers. Dans leur portion horizo
, j'ai vu un faisceau large de trois millimètres 'se détacher de la
partie
moyenne de la voûte et aller se jeter sur le tu
atteint par sa face inférieure le pilier postérieur au niveau de la
partie
moyenne de la lyre. Là, il fusionne avec le pil
oyau inter- médiaire, leurs connexions avec des éléments qui font
partie
intégrante de l'appareil optiques, me semblent
cas d'anencéphalie : « les corps striés, le corps calleux, toutela
partie
antérieure et supérieure des hémisphères manqua
e côté, car la disposition contraire eût été signalée. Puisque la
partie
antérieure et supérieure des hémisphères manquait
les côtés de la voûte sont formés de ces piliers, je crois que les
parties
de son mi- lieu et celles qui l'unissent au cor
par exemple, peut abolir les fonctions sensitivo-motrices de ces
parties
et, en même temps, déterminer une lésion irrita-
é ; 5° si l'excitation de l'écorce s'étend d'un point initial à une
partie
ou à l'ensemble de la zone motrice, l'accès con
Les accès uni ou bilatéraux d'origine corticale épargnent, dans les
parties
du corps qu'ils envahissent, les groupes mus- c
886. - Ces deux importantes publications sont devenues la troisième
partie
du ch. Il de la 11° section de l'édition allemand
'innervation des muscles du tronc, et que le développement de cette
partie
de cerveau chez les anthro- poïdes et l'homme s
ovoquent les mêmes phénomènes. D'abord inhibés lorsqu'on enlève des
parties
de l'écorce, puis les hémisphères cérébraux, ce
ent. Le pro- cessus morbide, qui peut se rencontrer dans toutes les
parties
du manteau, a pourtant une région d'élection, e
chien et le singe, la sphère sensitivo-motrice représente l'unique
partie
de l'écorce cérébrale capable de provoquer par
ou de chaleur, for- mication, torpeur, pesanteur, douleur dans les
parties
envahies par le spasme musculaire. La nature du
rps. Du côté opposé à l'atrophie cérébrale, laquelle occupait les
parties
postérieures des F, et 1<\, de presque toute l
\, de presque toute la FA (à l'exception du tiers inférieur), de la
partie
moyenne de la PA et d'une partie du LP de l'hém
ception du tiers inférieur), de la partie moyenne de la PA et d'une
partie
du LP de l'hémisphère droit, l'extrémité inféri
gauche et à la moitié de la face du même côté, lestant limité à ces
parties
; il durait de deux à trois minutes, sans perte
rès facilement, excepté sur une vaste zone comprenant, à droite, la
partie
pos- térieure des trois frontales, les deux cir
du côté opposé. L'hémiépilepsie gauche avait fait supposer qu'une
partie
au moins de l'aire sensitivo-motrice droite était
latérale amyotrophique, on constatait une anesthésie complète de la
partie
moyenne et inférieure de la moitié droite du tr
Etude des noyaux arciformes et de leurs connexions avec d'au- tres
parties
du bulbe, basée sur l'anatomie comparée, l'histol
rieure de la pariétale ascendante, le lobule pariétal supérieur, la
partie
postérieure dulobule paracentral, l'avant-coin,
scences descendantes, paralysie générale), on voit, au niveau de la
partie
supérieure de la moelle dorsale ou de la partie
, au niveau de la partie supérieure de la moelle dorsale ou de la
partie
inférieure de la moelle cervicale (indépendamment
nsciencieuse, avec planche à l'appui, de laquelle il résulte que la
partie
médiane du ruban de Reil contient surtout des f
Al'chives de Neurologie, t. XIX, p. 270) la clinique. Cette seconde
partie
du mémoire (voy. Archives de Neurologie, t. XXI
rieure et à la corne postérieure droite; la tumeur est accolée à la
partie
latérale de cette dernière. Elle n'a pas plus d
faisceau spinal du pédoncule cérébelleux moyen, qui entre, dans la
partie
inférieure de la protubérance, en connexion avec
le; 2° le trousseau cérébral du pédoncule cérébelleux moyen dont la
partie
principale vient des segments postérieurs des hém
cérébelleux et subit une interruption de la part des éléments de la
partie
antérieure de la protubérance. Ces éléments-là so
ents-là sont en contact avec l'écorce des lobes frontaux et avec la
partie
postérieure des hémis- phères cérébraux; 3" les
de la chorée. 2. Le D' EGOROF communique un cas de gliomatose de la
partie
cervicale de la moelle épinière, et expose une
La jeunesse domine chez les femmes normales examinées, et chez une
partie
des dé- linquantes. La capacité crânienne parai
de solution précis et étendus, enfin et surtout en prouvant qu'une
partie
des criminels (presque tous, d'après lui) sont
soient pa- SOCIÉTÉS SAVANTES. 143 ralysés chez les maniaques, Une
partie
des phénomènes attribués par M. Cramer aux musc
de l'esprit; par le Dr PICHON, (1888. Doin, éditeur.) La première
partie
de l'ouvrage est consacrée aux délires pro prem
épileptique survenant chez une dégénération héréditaire. La seconde
partie
a trait aux délires et états toxiques considérés
organiser des excur- sions à la Grande-Chartreuse et dans d'autres
parties
des Alpes dauphinoises. 'Pendant la duré du Con
escorte dans le hall central. Mais les flammes ayant atteint cette
partie
de l'édifice. les aliénés se sont enfuis hors d
ue de foire où était installé un tir à la carabine, il reçut à la
partie
postérieure du cou une balle de 5 à 6 mil- limè
is, à l'occasion d'une blessure qu'il se fait accidentellement à la
partie
in- - terne de l'avant-bras,' toujours du côté
marquée du même côté, répondant en avant à un apla- tissement de la
partie
droite du thorax. Je n'insiste pas, vous connai
vicale jusqu'à la deuxième dorsale. Désinsertion des muscles sur la
partie
latérale droite des vertèbres jusqu'à dénudatio
établir la gravité et l'état de la plaie. Le coup a été porté il la
partie
supérieure de l'os occipital près de son point
et la boîte osseuse, que la dissection n'en peut être complète. Une
partie
du cuir chevelu reste adhérente au crâne dans l
us sa tente. Il faut dire que la scie avait embrassé la plus grande
partie
du crâne, ce qui peut expliquer, jusqu'à un ceita
la calotte crânienne. Les pédoncules cérébraux ont été arrachés en
partie
avec la boîte osseuse. Leur section achevée, au
un amas de pus concrété de la largeur d'une pièce d'un franc. A la
partie
interne et postérieure de la calotte crânienne, a
e de sang. Les ventricules latéraux sont remplis de pus dans leur
partie
pos- térieure, surtout à droite; les plexus cho
macéré. Les deux hémisphères cérébraux pèsent chacun 570 gr. A la
partie
postérieure dit cerveau faisant suite à celle qui
rigone cérébral, et de là dans les ventricules laté- raux, par leur
partie
postérieure, au niveau de leur courbure vers le
ombreux points ecchymotiques noirâtres, surtout du côté droit, à la
partie
la plus interne et sur le sillon médian se dirige
é frappée de parésie et de paralysie pro- gressive, à mesure que la
partie
voisine de l'extrémité de la scissure parallèle
es épilepsies plus ou moins étendues, correspondant aux lésions des
parties
TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 187 cé
respondants observés pendant la maladie, confir- ment : 1° Que la
partie
la plus reculée du lobule quadrilatère ; celle
temporal et le lobe pariétal, une connexion aphasique ; 2° Que la
partie
qui se trouve en avant, près de la scissure fro
dans tous ses mouvements. La sensibilité de cette extrémité et des
parties
voisines du corps est tout à fait annulée; du c
ties voisines du corps est tout à fait annulée; du côté gauche, les
parties
adhérentes correspondantes démontrent une sensi
l'animal opéré est satisfaisant. Mou- vements ; Pendant le repos la
partie
postérieure reste un peu affaissée quoique touj
- bilité : On remarque une étroite zone d'anesthésie autour de la
partie
dorsale au niveau de la dernière opération. Du cô
out à fait annulée dans les deux extrémités postérieures et dans la
partie
postérieure du corps. 2 novembre. L'état généra
le chloroferme ; la neuvième vertèbre dorsale est rétablie. Dans la
partie
supé- rieure de la région dorsale de la moelle
on de la région dorsale supérieure est tout à fait annulée. Sur les
parties
correspondantes du côté gauche on remarque une
on a trouve une suppuration assez forte, particulièrement dans les
parties
profondes de la plaie. Un examen sérieux de l'e
uits sensitifs et moteurs, que dans les régions sous-jacentes de la
partie
dorsale de la moelle. L'opération suivante démo
moitié opposée de la moelle. Dans tous les cas, c'est juste pour la
partie
de la moelle épinière, dans laquelle j'ai fait
laquelle j'ai fait les opérations précédentes, c'est-à-dire dans la
partie
dorsale. Du moment que ce fait est indiscutable
etje vais parler des plus importantes. Afin de résoudre la première
partie
de ce problème, il fallait faire l'opération de
esthésie cutanée est très prononcée. Du côté droit, dans toutes les
parties
cor- respondantes, anesthésie complète. 19. L
Brown- Séquard, même en faisant l'hémisection dans la plus haute
partie
de la moelle épinière. 2). En nous appuyant sur
ceau de la deuxième vertèbre lombaire, de sorte qu'on a mis a nu la
partie
inférieure de la région dorsale, tout près du r
'une hémorrhagie sensible. Dans l'ouverture, on aperçoit une grande
partie
du rentlement lombaire avec la veine longitudin
n, on a coupé en deux presguc tout le renflement lombaire dans la
partie
longitudinale et le long du côté droit de la vein
côté sain dans la région atteinte du renflement lombaire par une
partie
quelconque de sa commissure. Pour cela, j'ai fa
ant sur ces résultats, nous pouvons conclure que ces voies dans les
parties
infé- rieures de la moelle épinière ne passent
evoir être rattaché au crochet de l'hippocampe et peut-être à cette
partie
du crochet qui reçoit une éma- nation du corps
aurait lieu de rechercher les connexités de ce noyau avec certaine
partie
de la substance grise de l'uncus et le corps go
e pour devenir verticale, il s'ensuit qu'il y a continuité entre la
partie
interne du carrefour et les prolongements du no
était en DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 207 grande
partie
composée de filaments émanés du pilier antérieu
qui est représentée dans le schéma. Les piliers antérieurs par leur
partie
convexe sont, en effet, très rapprochés du somm
erne pénètre dans la scissure de Sylvius. en se maintenant dans les
parties
superficielles de l'écorce ; par-ci par-là, ell
à la circonvolution de l'hippocampe. Il peut être démontré qu'une
partie
des fibres se continue avec la substance blanche
bres se continue avec la substance blanche réticulée et que l'autre
partie
se rend à l'écorce elle-même. « La racine blanc
rps calleux ; et il y a lieu de se demander quelle est, de ces deux
parties
, celle où va se terminer la bandelette dia- gon
be du corps calleux. » ' ' Piliers antérieurs. Huguenin : « Cette
partie
antérieure du pilier parcourt ensuite le septum
n'était autre que la continuation du subiculum lequel n'est qu'une
partie
de la substantia alba reliai- 212 Ul ANATOJIIE.
ne (bandelettes olfactives), dont les faisceaux s'entre-croisent en
partie
(chiasma olfactif). Les éminences mamillaires f
t entre les prolongements radiculaires de l'ol- factif et certaines
parties
des parois du ventricule latéral » il ajoute :
é; avec le cotylédon extra-ventriculaire du corps strié; avec les
parties
extérieures et le noyau gris de la tubé- rosité
exions qu'il présente ainsi par ses racines internes avec certaines
parties
ventriculaires ont lieu précisément entre lui e
être en rapport avec l'importance de la fonction. Quant aux autres
parties
, elles ne sont que des prolongements, des annex
fs ou des améliorations transitoires et sans importance. La majeure
partie
des malades n'ont présenté aucun changement dan
mi les déments séniles, affaiblis, ané- miques et gâteux, la grande
partie
resta stationnaire : quelques- uns seulement fu
t admettre des responsabilités variées ; il y a dans le cerveau des
parties
qui peuvent délirer, tandis que d'autres resten
nés sortant des asiles, 1891. SOCIÉTÉS SAVANTES 247 7 thago d'une
partie
de la presse parisienne. Ce projet, véritable r
hereau prend la parole pour rappeler que Bedlam est composé de deux
parties
, asile et maison de convalescence. En outre, la
t son rapporteur puissent les faire valoir. La publication de cette
partie
des débats est décidée comme devant être faite
utres à la façon des épithéliomas, se touchent au noyau et par leur
partie
supérieure, série de prolongements qui s'entre-
a circonvolution mettent des analo- gies marquées avec celles de la
partie
antérieure de la rétine, constituent le pied de
On remarque que le cerveau fait un peu hernie et vient combler en
partie
l'ouverture du crâne. Cet examen rapide étant fai
he au mois d'août. A l'ophtalmoscope on constate une atro- phie des
parties
temporales de la papille. Le trouble de la vue s'
vec aliénation mentale. A l'autopsie on trouva : une bifidité de la
partie
inférieure du bulbe, des fibres transversales d
e partielle des cordons postérieurs de la moelle cervicale et de la
partie
supérieure de la moelle dorsale, atrophie des cel
du canal vertébral. Actuellement, on constate une diminution de la
partie
postérieure du tronc et la disparition de la sens
it saillir à gauche le bourrelet du trapèze et un peu en dehors une
partie
des muscles postérieurs du cou; adroite, au con
du corps trapé- zoïde et de l'olive supérieure du même côté, de la
partie
inférieure du ruban de Reil et du tubercule qua
on le voit occuper la périphérie; il représente, du reste, la seule
partie
presque intacte de l'élément cellulaire. Plus t
lles se disséminent irrégulière- ment. Elles atteignent d'abord les
parties
latérales du noyau d'ori- gine à trois branches
e de Sylvius et s'étendait en avant et en bas ; il avait déplacé la
partie
correspondante de l'hémisphère. Evidemment il n
ins ori- ginale, et qui sert à mieux fixer les idées. La première
partie
est consacrée à Goltz (de Strasbourg), dont le
ne de l'homogénéité et de l'équivalence fonctionnelle de toutes les
parties
du cerveau; les phénomènes d'arrêt,les phéno- m
les de la sensibilité générale et sur les troubles visuels; dans la
partie
con- sacrée à l'intelligence d'après Goltz, le
pas à y perdre. Le même reproche ne peut être adressé à la seconde
partie
, con- sacrée à l'école italienne; d'autant qu'i
chacune. Sur la plaidoirie de Me Puech, la mère du garde municipal,
partie
civile, a obtenu 100 francs de dommages-intérêts
ombien ces spectacles impres- sionnaient, dans un sens pénible, une
partie
des spectateurs. Beaucoup manifestaient hauteme
dans l'aile est des bâtiments de l'asile dimanche dernier, dans une
partie
des construction servant de dortoir, mais à une
e M. le président du Sénat un congé de six mois. » Cette première
partie
de la lettre est assez courte; mais elle se ter
. de Mazade. Le fond de la Princesse Verte m'appartient en grande
partie
. Les Remords du docteur m'appartient encore; c'es
famille de pauvres paysans lorrains. Il envoyait à ses parents une
partie
de sa solde. A son entrée (1880) se dit la victim
son orbite et paraissait diminué, les cheveux avaient blanchi à la
partie
supérieure de la moitié gauche de la tête, et l
ro- noncée sur toute l'étendue; en le palpant, on remarque que sa
partie
antérieure est sensiblement amincie. La fosse can
mince que la gauche. Le cucullaire est sensiblement aminci dans sa
partie
externe. La fosse sus-épineuse du côté droit es
accompagnées de la chute de cheveux, ensuite l'amaigrissement d'une
partie
très limitée de la face. Cette partie occupait,
nsuite l'amaigrissement d'une partie très limitée de la face. Cette
partie
occupait, en forme d'une gouttière large de six
on caractère clinique de ce qu'on observe également dans les autres
parties
du système nerveux périphérique. C'est, par con
rimant le ganglion de Gasser, les branches du nerf trijumeau et, en
partie
, les nerfs oculo-moteurs. L'examen microscopiqu
fant chez lequel on remarquait, en outre, l'amaigrissement d'autres
parties
du côté gauche du corps, / surtout des extrémit
IATROPHIE faciale progressive. 3 surtout de la onzième paire et, en
partie
, du plexus cervical, l'autre en reçoit du plexu
paule est sensible à la torsion, il en est de même de la peau de la
partie
postérieure du coude quoique l'articulation pro
Coloration : Abaissement de la tempéra- ture ne portant que sur les
parties
anesthésiées, de 3 à 5 degrés à la main et de 2
tatait au premier abord aucune diminution de la sensibi- lité de la
partie
interne du bras, mais avec plus d'attention on
endent simplement de la conservation de la sensibilité de certaines
parties
de la peau. Par exemple, les mouvements passifs
it d'adultère un'jour. C'était faux cette fois, et une fois sa mère
partie
, il se réjouissait d'avoir fait une niche. - Quan
menton, aux membres supérieurs sauf aux doigts; sur le ventre et la
partie
supérieure du thorax du côté gauche. Elle est con
xemple, de faire traverser par un courant de ce gaz un mélange de 1
partie
d'acétone et de 2 parties de mercaplan éthyliqu
par un courant de ce gaz un mélange de 1 partie d'acétone et de 2
parties
de mercaplan éthylique : on obtient dans ce cas
t peu solubles dans l'eau froide; ils ne se dissolvent que dans 500
parties
de ce véhicule et 100 parties d'alcool. A chaud
de; ils ne se dissolvent que dans 500 parties de ce véhicule et 100
parties
d'alcool. A chaud, la solubilité est beaucoup plu
ties d'alcool. A chaud, la solubilité est beaucoup plus grande : 15
parties
d'eau bouillante dissolvent une partie de sulfo
t beaucoup plus grande : 15 parties d'eau bouillante dissolvent une
partie
de sulfonal. Il est assez soluble dans l'éther,
t vers 300°; il distille à cette température, mais en s'altérant en
partie
; le produit condensé est coloré en jaune et cri
tions ont dû se rétablir entre les tubercules quadrijumeaux de la
partie
respectée de l'écorce. G. DENY. XXVIII. Contrib
ques semaines. P. K. XXXVI. Barbes du CALAMUS (Stria,' acusticæ) ET
partie
inférieure du ruban DE REIL; par C. DE MONAKOW.
hat et chez un chien nouveau-nés, l'auteur a réussi à sectionner la
partie
inférieure du ruban de Reil dans le plan immédi
ur judicieuse interpréta- tion lui permettent d'affirmer que : La
partie
inférieure du rnban de Reil se compose d'une séri
ïde. A la hauteur de la grosse olive elles occupent les côtés et la
partie
supérieure de ce dernier organe et passent ensu
ATHOLOGIE MENTALE. , A l'autopsie : foyer hémorrha-ique ancien à la
partie
inférieure du lobe antérieur gauche du cerveau,
grain de millet, mais surtout une hémorrhagie céré- belleuse de la
partie
antérieure du lobe cérébelleux gauche où se tro
f, et tous les cerveaux primitifs, jusque là disséminés en diverses
parties
du cerveau, finissent par se réunir en une surf
ses; intégrité du vermis supérieur et du vermis inférieur. Dans les
parties
les plus fortement scléreuses, il n'y a plus du t
tions cérébrales intenses, comme il n'y a pas eu inflam- mation des
parties
atteintes par l'atrophie, on est autorisé à croir
entière à trouver, car M. Sollier relève avec raison qu'elle est la
partie
la plus négligée dans les asiles. Jugez de ma sat
sation adoptée pour le concours de l'adjuvat n'ait pas contribué en
partie
à éloigner les candidats ? Beaucoup le pensent,
l'amour ? tel est le thème que traite l'auteur dans cette première
partie
de son livre. b.- Dans cette division, la plus
Binet cherche la solution dans la troisième - BIBLIOGRAPHIE. 441
partie
de son ouvrage, et il a recours pour les résoudre
re à des expé- riences faites sur des hypnotisées. . d. - Dans la
partie
de son livre consacrée au « Problème hyp- notiq
ile d'ac- cumuler autant d'erreurs en si peu de pages. La seconde
partie
de cet ouvrage est consacrée aux causes de la f
ée (qui était tout à fait froide). En examinant immédiatement cette
partie
, on trouva une boursouflure légère, un peu pâle
morphine; mais, dans sa préci- pitation, il n'en prit qu'une faible
partie
. On croit que le meurtrier est un morphinomane.
semble constituer un caractère négatif, qui fait, pour ainsi dire,
partie
de sa définition. Le présent travail est destin
gion antéro-externe du bras gau- che des plaques de zinc, et sur la
partie
antéro-interne du bras une plaque d'argent. Au
l'indiquent les figures t et 2, sauf à la paume de la main et à la
partie
palmaire des doigts où la sensibilité est toutefo
n, le retour de la sensibilité à la face dorsale des doigts et à la
partie
inférieure de la face dorsale de la main, sans
vec les diffé- rences suivantes : des que la sensibilité a gagné la
partie
inté- rieure de l'avant-bras on fait exécuter a
mmence la flagellation, cette fois non plus sur la tète mais sur la
partie
sensible du bras malade ; quinze minutes après
ence . de l'application d'un aimant, les mouvements reviennent en
partie
dans le côté paralysé et il y a en même temps tra
muscles ; le biceps et le triceps sont très réduits de volume. A la
partie
supérieure de l'avant-bras gauche le péri- mètr
sies) veut dire lésion des cordons postérieurs et surtout de leur
partie
externe (zones radiculaires, faisceaux de Bur-
faisceaux cérébelleux, qui, quoique dans les cordons latéraux, fout
partie
du système cen- tripète ; le troisième, des cas
commun à toutes les autres maladies spinales. Mais cette première
partie
du diagnostic posée, il faut savoir distinguer
tion des réflexes et paralysie des sphincters qui montrent que la
partie
inférieure de la moelle est séparée de la par-
suivante. L'état de veille est comparable à un candélabre dont une
partie
moindre des becs donne des flammes fortes et vi
tie moindre des becs donne des flammes fortes et vives; une autre
partie
de nombre plus considérable répand une lu- mièr
une lu- mière faible; le reste des becs - et c'est la plus grande
partie
n'entretient que des flammes à peine sensi- ble
entretient que des flammes à peine sensi- bles ; les deux dernières
parties
éclatent partiellement en 1 1 : ;chmidt'sJalu
action récente, qui en même temps ne peut s'étendre qu'à une petite
partie
des images empreintes en notre mémoire; les fla
e robinet principal est presque tout à fait fermé, la plus grande
partie
des becs est éteinte, seulement quel- ques-uns
du degré du sommeil. L'in- fluence extérieure fait fonctionner les
parties
corticales qui échappent tout à fait à la volon
paroles au sujet, à produire des irri- tations restreintes dans les
parties
les plus différentes de la substance corticale.
NU'l'1W 1L ? 51 Cette circonstance prouve déjà qu'une très grande
partie
des symptômes est due à l'intervention de l'ex-
aisemblance. Il DE L HYPNOTISME. 53 est connu que les différentes
parties
de l'écorce sont liées entre elles par des fibr
t ; et enfin des gouttelettes de sang dessinent la lettre A, sur la
partie
médiane du front, un peu à gauche (1 cen- timèt
suivie d'une longue étude micrographique de la moelle, des diverses
parties
de l'encé- phale, des nerfs périphériques, des
cu- leuse, dont les lésions sont restées exactement localisées à la
partie
moyenne de l'hémisphère gauche (partie postérie
s exactement localisées à la partie moyenne de l'hémisphère gauche (
partie
postérieure de la troi- sième frontale, scissur
se partout des déficits. Ont mani- festement disparu : à droite, la
partie
antéro-supérieure de l'avant-coin, les segments
portion du pli courbe (gyrus angulaire) ; à gauche, la 2o et une
partie
de la 3° temporale, un étroit morceau de la vira
aire, un étroit segment du début des 2" et 3e frontales. Toutes les
parties
voisines, si elles ne sont pas détruites, ont p
vers lobes. (Voy. le mémoire et les planche*.) Intégrité des autres
parties
du système nerveux, mais le pédoncule céré- bra
les extré- mités droites. - Autopsie. Tumeur occupant à gauche une
partie
des ganglions centraux et de la couronne rayonn
ation cérébrale à la suite d'inhalation d'amylnitrite. La seconde
partie
de l'article du Dr Tippel est consacrée aux REV
e la face chez l'intéressant malade Dulcring, cité dans la première
partie
de cet ouvrage; cette rougeur était plus marqué
ns de la méthode des courbes du Dr Rieger, décrite dans la première
partie
de ce livre. Avant de parler de l'influence de
chez ce sujet un phénomène dont il est ques- tion dans la première
partie
de ce livre; ce patient avait une ten- dance à
. Zeitschir. f. Psych., XLI, 4-3.) C'est, comme le dit l'auteur, la
partie
spéciale du mémoire déjà analysé par nous 2. On
ar de AIoN.\EOV. (Neurol. Centrcclbl., 1885.) Conclusion : 1° Une
partie
des irradiations blanches des parties inférieur
l., 1885.) Conclusion : 1° Une partie des irradiations blanches des
parties
inférieures du lobe occipito-temporal se termin
es faisceaux temporo-occipitaux mentionnés sont indemnes. Une autre
partie
des faisceaux temporo-occipitaux inférieurs gag
bercule bijumeau inférieur. 3° Les fibres du ruban de Reil latéral (
partie
constituante principale du ruban de Reil ou rub
ment supérieur des pyramides de Meynert, pénétrent, au niveau de la
partie
inférieure du bulbe, à l'état de fibres arci- f
é- rieur de l'acoustique (ganglion acoustique); les moyens et une
partie
des internes vont au noyau interne (à grandes et
culaire. Ils se rendent aux olives supérieures (fibres issues de la
partie
postérieure du faisceau radiculaire' du cordon
t le troisième' ventricule (peut-être à la couche optique ? ), à la
partie
médian du ruban de Reil (Reichert, de Gudden) :
otubérance qui appartiennent aux pédoncules cérébelleux moyens deux
parties
manifestement tout à fait différentes, d'après
duquel elle se termine en arrière, à la base, et latéralement; une
partie
de ces fibres gagne l'écorce de la face supérie
rale du quatrième ventricule (au-dessus du noyau de Deiters) et, en
partie
, dans le bulbe, en suivant pendant une certaine
des trousseaux de fibres depuis la mutilation corticale jusqu'à la
partie
infé- rieure et postérieure de la couche optiqu
ce intime et terme de la dure- mère a l'arachnoïde, au niveau de la
partie
inférieure du plancher du quatrième ventricule.
er, et qu'il se formait trois ou quatre chants dans les différentes
parties
de l'église. « Pendant cette nuit, il y avait,
TIN BIBLIOGRAPHIQUE. convolution frontale ascendante gauche dans sa
partie
antérieure et du début de la première circonvol
sommes donc amenés, naturellement, à diviser notre travail en deux
parties
: la première sera consa- crée à l'exposé des o
tuellement. Observation I. Aspect crétinoïde. - Gonflements sur les
parties
latérales du cou et en avant des aisselles. - P
en amas superficiels et non enkystés de graisse lâchement unie aux
parties
environnantes. M. Curling attribuait le dévelop
eau, sauf celle de la face, est rugueuse et présente par places des
parties
dures, de peu de dimension, de couleur brillant
u de l'humérale. La peau présente sur les membres et la plus grande
partie
du tronc des altérations qui rappellent un peu
les à de petits lipomes diffus ( ? ). L'une d'elles est située à la
partie
droite de la base du cou, au niveau même de la cl
rès peu développée. Les aisselles sont complètement glabres; à leur
partie
antérieure on trouve des masses adipeuses tremb
puce et du phimosis qu'on ne peut pas réduire. -Quelques poils à la
partie
inférieure de l'anus. Sensibilité très vive a
cemoment, etqui rappelleles aventuresdu capitaine Pamphile, est en
partie
en contradiction avec des renseignements bien p
et celle du bras gauche il y a 3 cen- timètres de différence; à la
partie
supérieure de l'avant- bras, il y a entre les d
tivo-sensorielle serait en rapport avec l'idée d'une lésion de la
partie
postérieure de la capsule interne ; et l'on adm
vraisemblable de supposer la présence de deux foyers, l'un dans la
partie
postérieure de la capsule interne, en rapport a
cture s'atténue très notablement, et les mouvements reviennent en
partie
. Dem..., garçon boucher, trente ans, entre, le
région de l'épaule qui était complètement insensible a recouvré en
partie
sa sensibilité. Le malade nous dit qu'il a eu,
e séance de massage de dix minutes a suffi pour ramener en grande
partie
les mouvements dans un membre qui, depuis plus
occupant la région de l'épaule, la région sous- claviculaire et une
partie
de la face; la sensibilité à la piqûre du membr
mentation de la résistance électrique.. La sensibilité des autres
parties
du corps n'est pas normale; elle est très affai
s du corps n'est pas normale; elle est très affaiblie dans toute la
partie
supérieure du corps, un peu affaiblie dans la p
dans toute la partie supérieure du corps, un peu affaiblie dans la
partie
inférieure. La sensibilité dupharynx est abolie
distincte avec une nuance nasale. La déglutition est difficile; une
partie
de la nourriture tombe dans la trachée provoquant
de toux et faisant sortir un liquide par le nez. En auscultant les
parties
inférieures des deux poumons, sur un espace res
centimètre, et davantage. La substance grise de la moelle dans la
partie
lombaire est d'une couleur rouge foncé, et les co
rvées, tandis que celles de derrière sont à peine visibles. Dans la
partie
spinale de la moelle épinière la substance gris
l'hépa- tisation rouge, dans le poumon gauche la splénisation de la
partie
inférieure. Le coeur n'offre aucun changement,
n trouve la dégénération athéromaleuse avec la dila- tation dans la
partie
initiale. Les organes digestifs ne présentent a
recherches microscopiques, étaient surtout très accentuées dans la
partie
lombaire. La première chose qui saute aux yeux
altération dans l'écorce, et principalement localisée danscertaines
parties
de la zone psychomotrice gauche, j'ai seulement
s aux doigts de la main droite, sans participation d'aucune autre
partie
du corps, et sans aucune altération de la sensibi
t rattacher probablement ces troubles à une légère altération d'une
partie
bien circonscrite de la zone psychomotrice gauc
té droit; avec cette distinction que la place de la lésion était en
partie
différente et plus étendue dans le cas de M. Ch
et de la substance grise des cornes posté- rieures envahissant une
partie
de la colonne vésiculaire de Clarke. Epaississe
212 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. gies punctiformes. La plus grande
partie
du corps calleux est transformé, dans ses trois
veau ; le bourrelet de l'or- gane est indemne, de même que toute la
partie
antérieure à un plan perpendiculaire passant pa
-collaire atteignait le bord antérieur du trapèze et remontait à la
partie
supérieure de la nuque jus- qu'au cuir chevelu,
ité extrême à la pression de certaines apophyses épineuses et d'une
partie
des muscles de la nuque, troubles trophiques de
e les yeux ouverts, la cause de l'ataxie doit être cherchée dans la
partie
des conducteurs moteursqui unitl'org3ne de la v
iculaires au point où elles s'étalent dans la corne postérieure; la
partie
externe des cordons postérieurs, ou mieux la zo
, quoique le cordon latéral droit paraisse atrophié au niveau de la
partie
supérieure de la moelle cervicale, des noyaux d
r narcose prolongée. Atrophie portant uniformément sur toutes les
parties
du vermis (voir les figures); parallèlement la ba
Méthode histochimique de Weigert. Disposition particulière d'une
partie
des fibres nerveuses fines contenues dans les rac
ique qui, tant dans la moitié droite du IV ventricule, que dans une
partie
de sa moi- tié gauche, a détruit la substance g
e un noyau de cerise; dégénérescence (cellules granuleuses) dans la
partie
postérieure de la capsule interne gauche et dan
ale contiguë). La circonvolution du corps calleux contient, dans sa
partie
antérieure, un kyste gros comme une lentille.
frontal. Observation dans laquelle, une tumeur occupant une grande
partie
du lobe frontal, les symptômes se rapprochèrent
la substance corticale des deux frontales supérieures, sauf leurs
parties
antérieures et postérieures, qui a envahi la subs
re lombaire, qu'elle s'est graduellement étendue en haut jusqu'à la
partie
inférieure du bulbe (figure à l'appui). P. K.
possibles. L'attaque épileptique, dans ces cas, affecte surtout les
parties
du cerveau, lobes frontaux, chargés du contrôle
e problème si com- plexe dont nous discutons les termes, il y a une
partie
clinique sur laquelle nous sommes bien près de
clinique sur laquelle nous sommes bien près de nous entendre et une
partie
étiologique plus sujette à controverse. Après
e avait diminué de 1 kilogr. M. VOGRLGES.4NG. De la cnnna61none Les
parties
constituant 1 Comparer avec les travaux sur le
appelle canna- binone ; d'après ses indications, ce produit est la
partie
du com- posé cannabique auquel il convient d'at
dans la poudre de café. Les tablettes de Bombelon se composent de 9
parties
de café en- poudre et de 1 partie de cannabinon
es de Bombelon se composent de 9 parties de café en- poudre et de 1
partie
de cannabinone. M. Bombelon nous a donné pour n
ections hypodermiques une solution' constituée par : cannabinone, 1
partie
ou 2 parties ; huile d'a- mandes douces, 9 part
dermiques une solution' constituée par : cannabinone, 1 partie ou 2
parties
; huile d'a- mandes douces, 9 parties. Le médic
: cannabinone, 1 partie ou 2 parties ; huile d'a- mandes douces, 9
parties
. Le médicament a été essayé dans ces conditions
que donne les résultats sui- vants : la configuration de toutes les
parties
du larynx est normale; les cordes vocales reste
des jambes. La sensibilité à la douleur dans les jambes et dans la
partie
inférieure du tronc a disparu; il n'éprouve pas
rt courant induit (les bobines étant entièrement poussées). Dans la
partie
supérieure du tronc et dans les bras, la sensib
uchement sur le côté droit du tronc ni devant, ni derrière; dans la
partie
gauche la sensi- bilité douloureuse a seulement
D... commença à se plaindre de douleurs erratiques dans différentes
parties
du corps; c'est pourquoi, le 2 septembre, on l'
droit et du côté droit de la face est normale; mais, dans les mêmes
parties
gauches l'attouchement d'une épingle est res- s
nostiquer l'hystérie. Une amélioration rapide de la maladie, due en
partie
à un traitement psychique, a précisé mon opinio
ngourdissement des extrémités, de douleurs sourdes dans différentes
parties
du corps, de maux de tête étaient constants.
pelle. En même temps, commencent des tirail- lements de différentes
parties
du corps, puis arrive le moment de la contracti
haut, le crâne présente ainsi une plagiocéphalte assez marquée. La
partie
posté- rieure du crâne est très développée, les
a lèvre inférieure reste pendante et laisse s'écouler au-dehors une
partie
de la salive et des aliments. Les dents sont, p
quelques pas; que, pour cela, il restait confiné au lit une grande
partie
de la journée, il 300 CLINIQUE NERVEUSE. parv
ves, cautérisation au nitrate d'argent. 23 mars. On constate à la
partie
antérieure du cuir chevelu, laquelle est glabre
pèle a quitté la face pour devenir ambulant; il occupe, en effet la
partie
postérieure du cou et de l'épaule droite. La pl
on possible. T. R., 39°. - Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la
partie
inférieure du bras et supérieure de l'avant-bra
mitif. - T. R. 40°... ' 2. - La rougeur occupe aujourd'hui toute la
partie
inférieure de la joue droite, le menton, la par
urd'hui toute la partie inférieure de la joue droite, le menton, la
partie
inférieure de la joue gauche et le lobule de l'
ain et au poignet droits, les 30Î- le . CLINIQUE NERVEUSE. autres
parties
atteintes sont en voie de desquamation. T.R., 38°
nt abondants à la région occipitale; ils vont en diminuant sur la
partie
inférieure des pariétaux et la partie antérieure
ils vont en diminuant sur la partie inférieure des pariétaux et la
partie
antérieure du tem- poral. Sur la ligne médiane,
tal en formant une houpette ; entre cette houpette médiane et les
parties
latérales il existe une calvitie presque complète
ci quelques mensurations supplémentaires : 310 CLINIQUE NERVEUSE.
partie
moyenne, elle mesure 5 centimètres de largeur, sa
ca;cmn se présente tout d'abord ; il est très dilaté, recouvre une
partie
du colon ascen- dant, du colon transverse et de
res 1/2. Le reste du colon ascendant et le colon transverse dans sa
partie
droite ne sont pas dilatés. La partie gauche du
t le colon transverse dans sa partie droite ne sont pas dilatés. La
partie
gauche du colon transverse, le colon descen- da
aux du cou, on trouve un peloton graisseux s'étendant jusque sur la
partie
anttro-supérieure du péricarde, ce peloton adipeu
A la coupe des bronches, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la
partie
postérieure du lobe inférieur gauche existe que
. Les nerfs grands splanchniques, les ganglions semi-lunaires, la
partie
inférieure du grand sympathique paraissent absolu
inférieure du grand sympathique paraissent absolument normaux ; les
parties
supérieure et dorsale du grand sympa- thique so
assez grande quantité de sang et de liquide céphalo- rachidien. La
partie
qui reste au fond de la calotte est d'environ 4
erne; son tiers supérieur n'est pas ossifié et forme la plus grande
partie
de la fontanelle. Les sutures sont très apparen
La scissure de Sylvius (pal. III, Se. S.) laisse à l'état frais une
partie
de l'insula àdécouvert; après un séjour de plus
ère etdeuxième circonvolutions orbitaires sont bien développées. La
partie
moyenne du lobule orbitaire, surtout au niveau
olée de la deuxième circonvo- lu41on frontale et atteint à peine la
partie
antérieure de la scissure surcilière. - Lobe
ur d'une lentille (t.), tumeur un peu surélevée, énucléable et à la
partie
supérieure de laquelle la pie-mère est adhérent
circonvolution frontale ascendante (FA) assez maigre, sauf vers sa
partie
médiane, est coupée par deux sillons antéro-posté
ie médiane, est coupée par deux sillons antéro-posté- rieurs. Cette
partie
médiane isolée est reliée à la deuxième cir- co
sillon de Ho- lando, sur la circonvolution pariétale ascendante. La
partie
infé- rieure de la circonvolution frontale asce
temporales se trouvent en retrait, e, sur le lobe occipital et les
parties
antérieures du lobe temporal. - La première circo
ral. - La première circonvolution temporale (T,) se confond avec la
partie
postérieure du lobule pariétal inférieur. La sc
euxième circonvolution temporale (T,) est bien déve- loppée dans sa
partie
antérieure. - La deuxième scissure tempo- rale
tion temporale qui, elle aussi, est assez bien développée dans ses
parties
antérieures. L'incisure préoccipitale (ln, se réu
parties antérieures. L'incisure préoccipitale (ln, se réunit à la
partie
la plus postérieure de la deuxième scissure tempo
e de la deuxième scissure semble se continuer directement avec la
partie
antérieure de la première scissure. Face intern
rginalc (Se. c.m.) est assez profonde, normale dans ses différentes
parties
. La première cir- convolution frontale interne
.) avec la circonvolution du corps calleux, dont il est séparé à sa
partie
médiane par une scis- sure sous-pariétale (Sc.
irconvolution pariétale ascendante (P. A.) est maigre, surtout à sa
partie
médiane. Le lobule pariétal supérieur (P,), irrég
de scissure parallèle pariétale. Au niveau de sa courbe, puis à sa
partie
médiane, elle est interrompue par les plis trans-
e circonvolu- 318 CLINIQUE NERVEUSE. tion (T,) se confond avec la
partie
postérieure du lobule pariétal inférieur.-La sc
nvolutions temporales (T, , T3), sont bien développées, mais à leur
partie
postérieure elles sont un peu chagrinées et en
), transverses ou plis de passage temporo-pariétaux, situées à la
partie
postérieure de l'insula, dont les circonvolutions
inale (Se. c. m.), assez profonde, est normale dans ses différentes
parties
; elle communi- que par un sillon avec l'extrémi
tale et pariétale ascendantes. On remarque un peu en avant de sa
partie
médiane un sillon en y grec assez profond, et en
sinueuses, et ne permettent souvent que de limiter avec peine les
parties
appartenant à telle ou telle circon- volution.
bien différent de celui de cet âge, et si la grosseur des diverses
parties
du corps, de la fête, du tronc, des membres, n'
très difficilement dans la bouche, aussi est-elle habituellement en
partie
hors de cette cavité. Les dents sont petites, mal
s. Il est faible et très apathique, aussi reste-t-il la plus grande
partie
du temps assis et immobile. Il * peut à peine m
oedémateuse, ni aux mains, ni aux pieds, ni à la face. On enlève la
partie
antérieure du tho- rax et une poche globuleuse,
es de la peau dimi- nuent mesure que l'exploration remonte vers les
parties
supé- rieures de l'abdomen et n'existent plus a
igne axillaire postérieure. L'abdomen est pendant, ce qui est dû en
partie
au bassin qui est très bas. L'ombilic fait sail
rontale latérale et aussi au-devant de la fontanelle antérieure. La
partie
postérieure de la tête était petite. Les traits
r- tout à un développement irrégulier et asymétrique des diverses
parties
du corps dont les unes se développent avec excè
l'épidémie desquamme partout, (excepté sur la face), et surtout aux
parties
latérales du tronc. Le corps paraît atteint d'a
SE. Les extrémités supérieures et inférieures sont déformées; les
parties
molles de la face sont épaissies, celle-ci a un a
couverte inférieurement de mucosités. Muqueuse un peu injectée, la
partie
inférieure de la trachée est rétrécie un peu la
miliaires atteignant quelquefois le volume d'une tête d'épingle, en
partie
confluents, scléreux ; il y en a aussi bien sur
res; tissu adipeux interstitiel abondant. - 4° La peau des diverses
parties
du corps (tête, tronc, membres, scrotum), est n
e une infiltratiou marquée des cellules hépatiques surtout dans les
parties
centrales des lobules, par des granula- tions p
a souvent des corpuscules pigmen- taires et beaucoup de noyaux. Les
parties
périphériques de l'écorce sont par place, surto
; mais, outre leur rareté, on peut se demander si, dans ce cas, les
parties
de la glande abandonnée étaient suffisamment sain
mes my.roedémateuæ très accentués ; l'intelligence est cependant en
partie
conservée. 36° Pietrzikowski-Gussenbauer f,. Ga
irpés; on comprend très bien qu'une ? glande thyroïde dont toutes les
parties
sont affectées puisse, fonctionnellement parlan
à la suite d'une résection de l'isthme. Ces cas se trou- vent en
partie
expliqués par l'observation que vient de rappor
nnexées. MM. Albertoni et Tizzoni3, Herzen 4, Fuhr5 confirment en
partie
les expériences de M. Schiff. Les auteurs ita-
mie oedéma- teuse la peau, inégalement dure, offre dans certaines
parties
une résistance nullement comparable à celle du
urs résultats. Ligne de l'incision. - On a l'habitude d'enlever les
parties
molles du crâne par une incision cruciale. Je f
1° l'incision doit être faite verticalement sur l'os et toutes les
parties
superficielles au périoste relevées avec le lam
nes du cerveau, parce qu'il est très utile de voir quelles sont les
parties
du cerveau privés de leur sang. On doit ensuite
tant complet, on doit ensuite considérer le mode d'enlèvement d'une
partie
du cerveau et de la tumeur. Peut-être la peur d
'opération ; ainsi, par exemple, de laisser, si c'est possible, les
parties
de chaque centre de façon que la représentation
ner la tête et les yeux vers la droite. » En somme, les différentes
parties
étaient prises dans l'ordre suivant : le membre
rès 3 centimètres de long et 2 de large. La membrane qui ouvrait la
partie
avoisinante du cerveau, était très opaque, et l
us de douze millimètres de largeur, j'ai enlevé librement tcutesles
parties
malades. (Comme le montre la photographie et le
par 398 SOCIÉTÉS SAVANTES. une ligature ou par l'extension de la
partie
contracturée ou rigide, fait supposer que proba
e figurer que la prédisposition héréditaire aux psychoses repose en
partie
sur l'insuffisance des voies d'écoulement du li
des cellules nerveuses de la troisième couche de l'écorce, dans les
parties
comprises entre le rameau ascendant de la sciss
itié de l'oeil primitivement fatigué, jamais elle n'empiète sur les
parties
limitrophes de la même moitié du champ visuel-
anglionnaires se sont montrées diminuées de nombre et de volume, en
partie
atteintes de dégénérescence grais- seuse ; leur
ouvelle revue d'ensemble fût faite sur cette question. La seconde
partie
, réservée au système nerveux périphérique, rela
ontenterons d'avoir indiqué l'idée qui y préside. Dans une première
partie
M. Nothnagel étudie la symptomatologie spéciale
alyse, leur comparaison et les déductions à en tirer. Une seconde
partie
renferme un essai de séméiologie sur l'im- port
la face et au cou, la peau du crâne et des oreilles bleuâtre, à la
partie
postérieure des membres et du corps des sugillati
peu asymétrique. Le diamètre diagonal depuis le front à gauche à la
partie
postérieure du crâne est long de n,2 centimètre
ossifiées à la face interne. Une série d'exostoses se trouvent à la
partie
interne du frontal. Le sinus longitudinal supér
rémité médiane de la frontale antérieure et dans le voisinage de la
partie
moyenne du sillon post central ( ? ) La masse d
débordent les noyaux, leur deviennent extrinsèques, et longent la
partie
antérieure du bord externe du ven- tricule laté
icule latéral en dedans, la troisième circonvolution frontale et la
partie
antérieure de l'insula de Reil, en dehors. Ce
frontale, pour la troisième zone; et la troisième, au fond de la
partie
supérieure de la scissure de Sylvius. 1" Distri
fractuosité supé- rieure de la circonvolution du corps calleux à la
partie
la plus élevée de a scissure de Sylvius. DES
e dis- socient franchement les éléments du centre médullaire. Une
partie
de la capsule externe se continuant en haut ave
les trois premières) ; dans celle-ci, elle n'en coupe que deux : la
partie
pos- térieure de la première et les deux tiers
role, correspondent particulièrement à la troisième frontale, à une
partie
delà quatrième et à la partie antérieure de l'i
rement à la troisième frontale, à une partie delà quatrième et à la
partie
antérieure de l'insula, le centre ovale est con
rtie antérieure de l'insula, le centre ovale est constitué par deux
parties
, l'une active et l'autre passive, l'épaisseur d
en accordant une épaisseur égale à chacune de ces deux dernières
parties
. Je me contente de mentionner les fibres transv
ceaux et l'écorce ; 3° L'écorce elle-même. Pour cette dernière
partie
, il est bon de constater que les lésions de la
s facile- ment que celles de la convexité proprement dite, sur la
partie
active dont elles ne sont distantes, que de dix
seulement pour la scissure de Sylvius dans la première zone. La
partie
latente du centre ovale dans ces trois dis- tri
perpen- diculaires à la courbe antéro-postérieure du cerveau. La
partie
active de ce centre ovale (faisceaux capsu- lai
che sous- corticale, sur l'écorce elle-même, sur plusieurs de ces
parties
non adjacentes, ou sur toutes ces parties à la
ême, sur plusieurs de ces parties non adjacentes, ou sur toutes ces
parties
à la fois; 3° Quand l'intégrité de la totalit
ngt et un jours après le début de la maladie. Cerveau ferme. A la
partie
moyenne et postérieure du lobe an- térieur gauc
ue les faisceaux capsulaires que nous étudions, elle empiète sur la
partie
blanche adjacente, mais elle 1 Cours théorique
dans l'observation de M. Dieulafoy, la lé- sion n'était que sur une
partie
passive; dans l'observa- tion de Gintrac, au co
; dans l'observa- tion de Gintrac, au contraire, elle était sur une
partie
active, d'où permanence de l'aphasie dans ce de
que, dans l'observation deM. Dieu- lafoy, la lésion portant sur une
partie
passive à côté d'une partie active, elle ne dev
ieu- lafoy, la lésion portant sur une partie passive à côté d'une
partie
active, elle ne devrait retentir sur celle-ci q
l'affirmation, et, jusqu'à ce jour, la certitude que l'écorce de la
partie
postérieure de la troisième fron- tale gauche é
ne mesure. En effet, si nous millimétrous cette épaisseur dans sa
partie
la plus étroite, c'est-à-dire, celle qui correspo
in ; sa con- sistance est molle, tremblotante, sans diffluence. Les
parties
ramollies se dissocient assez difficilement sou
ution du corps calleux. v, Bord externe du ventricule latéral. s,
Partie
supérieure de la scissure. i, Insula de Reil.
et encore est-elle souvent très peu nette. En revanche, cer- taines
parties
du corps, surtout le creux poplité, la face antér
ent parfait de la myéline. Quand la myéline manque tout à fait, les
parties
se disso- cient complètement'; n'y-a-t-il qu'un
Sylvius; non seulement la subs- tance grise avait disparu, mais les
parties
fondamentales glio- mateuses étaient anéanties.
um terminale; mais les groupes cellulaires sont plus abondants à la
partie
inférieure de la région dorsale; ces colonnes v
ns un amas de tissu synectique in- dique leur continuation vers les
parties
supérieures, mais on les retrouve au niveau de
trouve au niveau de la décussation des pyramides et au niveau de la
partie
inférieure de l'olive, c'est elles .qui formentle
de substance synectique, dans laquelle se trouveraient même à la
partie
inférieure du bulbe un nombre considérable d'élém
ns doute dans l'écorce du vermis supérieur du même côté. Une petite
partie
du cordon latéral constitue un faisceau compact
ceau cunéiforme du même côté lui envoie également un fascicule. Une
partie
assez importante des fibres du corps restiforme
ntre les lobes frontaux, et soulever le corps calleux; il occupe la
partie
inférieure de l'in- stila et le gyrus rectus du
droit. C'est un gliome qui a atteint le genou du corps calleux, la
partie
inférieure du gyrus fornicatus des deux côtés,
e du ventricule, la bandelette optique, l'origine de l'olfactif, la
partie
antérieure de la couche optique et sa région mo
la partie antérieure de la couche optique et sa région moyenne, la
partie
inféro-antérieuredu noyau caudé, la partie infé
et sa région moyenne, la partie inféro-antérieuredu noyau caudé, la
partie
inférieure de l'insula et les circonvolutions fro
e paralysie transitoire de la jambe gauche. 3" Ramollissement de la
partie
postérieure de la troisième frontale et de lu p
issement de la partie postérieure de la troisième frontale et de lu
partie
inférieure de la frontale ascen- dante des deux
orps dues à une inflammation aiguë et à la destruction de certaines
parties
de l'écorce de l'hémisphère gauche. De l'examen
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. deux circonvolutions ascendantes et les
parties
voisines de la face interne de l'hémisphère. B.
t plus ou moins distincts anatomiquement. - C. Ces centres, pour la
partie
inférieure de la face et la langue, sont situés
rconvolution frontale ascen- dante ; chez beaucoup de personnes, la
partie
postérieure de la troisième frontale gauche, so
avec la fonction du langage. D. Le centre du bras est situé sur la
partie
moyenne des deux cir- convolutions ascendantes.
ambe occupe l'extrémité supérieure des mêmes circonvolutions et les
parties
voisines situées sur la face interne de l'hémis
nique et légale et de 1(t Neitiol)ttlhologie (russes). 1 année, lie
partie
, 1883.) Après une courte critique sur les cas c
s, ses parents com- mencèrent à s'apercevoir d'une diminution de la
partie
gauche de la face. Depuis, les accès épileptiqu
conservée. Rien d'anormal dans le domaine vaso- ? i2oteur de cette
partie
de la face. Pas d'autres q mptômes cérébraux ou s
auche du pariétal, appliqua à ce niveau une couronne de trépan. Les
parties
molles et le tissu osseux ne pré- sentaient auc
vec succès) que, souvent dès les premières vingt-quatre heures, les
parties
nécrosées se délimi- tent ; l'élitnitiatioii a
le méthode consistant à faradiser 100 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. une
partie
déterminée du corps déjà parcourue par un courant
aupières closes), des ganglions cervicaux, il touche chacune de ces
parties
avec l'extrémité du doigt. En un mot, l'électrisa
te) ' ; Par le D CLAUS (de l'asile de Sachsenberâ). Cette seconde
partie
de notre analyse comprend la Suède et la Norvèc
au. Poêles en faïence chauffés au bois et au charbon qui servent en
partie
à la ventila- tion : celle-ci est également ass
pain est fait à l'asile, ou plutôt il n'en faut faire venir qu'une
partie
de la ville; on en tire la viande. L'établissem
divers agents. Il faut nous borner aussi à une simple mention de la
partie
qui, dans chaque volume, est plus spécialement
a direction avec appareil téléphonique communiquant avec toutes les
parties
de l'établissement (à Reggio); un contrb- 1 24
menton indirectement; 3° ceux qui auront été publiés, en toutou en
partie
, ou présentés à un autre corps savant ; 1° ceux q
1',état normal. La .sensibilité reste parfaitement intacte dans les
parties
para- lysées. rt2 .q ,[7 .1 e8gi .stçolo-tuV/l
e est dépassée en arrière, puisque le foyer hémorriiagique est en
partie
sous-jacent à la pariétale ascendante. JA ce ni
ntacte, il est évident, pour les cliniciens d'au- jourd'hui, que la
partie
inférieure de la frontale ascen- dante était en
aisceau pédiculo- frontal inférieur, du noyau lenticulaire et de la
partie
antérieure de la capsule interne. ` -J, M z -
et DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 157 un foyer ocreux a séparé la
partie
autérieure du corps strié des circonvolutions d
tera donc pas quand la destruction du corps strié n'occupera que sa
partie
postérieure ou externe; elle pourra se présente
optique, parce que, dans ce dernier cas, elle avoisine bien plus la
partie
antérieure du bord externe du ven- tricule laté
sie ? Où donc l'écorce cérébrale est-elle aussi bien placée qu'à la
partie
anté- rieure de l'insula pour troubler par ses
par ses lésions les usages de la substance médullaire confinée à la
partie
antérieure du bord externe du ventricule latéra
phénomènes de voisinage. Une lésion localisée, soit au fond de la
partie
supérieure et antérieure de la scissure de Syl-
antérieure de la scissure de Syl- vius, soit dans l'intimité de la
partie
antérieure de l'in- sula, restera latente, ou n
-p-c-ti )U); )'( ! t ! ) ! tt,t les troisième 'et "iûtl`ièmé. A la
partie
antérieure et externe du cm'i.s ? pt<,b dépr
'i'rês pondent deux manifestations distinctes ! " D'abord,5 à'M'a
partie
antérieure et externe du corps 'strié,1' une* dé-
rale antérieure chargée d'artérialiser la tête du noyau caudé et la
partie
de la substance médullaire adjacente au bord ex
dirigent les faisceaux vecteurs de la parole, c'est-à- dire à la
partie
moyenne des circonvolutions orbitai- res, dans
ntérieur ascendant); l'autre, postérieur, bien iplus long, gagne la
partie
moyenne du lobe pariétal (rameau posté- rieur,
C'est aussi Gratiolet qui a, dans le lobe frontal, distingué une
partie
inférieure, un peu concave, méritant, à raison de
ndre ceux de la face convexe latérale, mais très souvent, ' dans la
partie
de substance nerveuse intermédiaire; existe un -
u lobe frontal (Pozzi, Ecker, Broca). Pozzi affirme quel toutes1 la
partie
du lobule orbitaire comprise entre son bordnntern
ntale. Cette incisure termine en avant la scissure surcilière. La
partie
supérieure du lobe frontal correspond à la voûte
issure de Rolande, verticale par consé- quent, prend naissance a la
partie
postérieure de la scissure frontale inférieure,
la frontale ascendante, une ligne verticale limitante complète qui,
partie
du pied de la troisième circonvolution frontale
roisième circonvolution frontale, scinde celui delà deuxième et une
partie
de celui de la première. Tous les intermédiaires
l'objet de la part du rameau antérieur ascendant d'une scission en
partie
operculaire (ascendante, postérieure), et en pa
une scission en partie operculaire (ascendante, postérieure), et en
partie
triangulaire ou cap de Broca (descendante, anté
mie : Quatrième frontale ; Processi enteroidei vertical ! di mezzo (
partie
antérieure ; (Rolando); Premier pli ascendant (
ymie : Première pariétale; Processi enteroidei verticali cli mezzo (
partie
postérieure) (Rolando) ; Second pli' ascendant
verra plus loin, coiffe le lobule supramarginal (Gratiolet). Cette
partie
ascen- dante, parallèle au sillon de Rolando, a
ration rapportée atteint le lobule supra marginal (Ec- ker), et une
partie
du lobule du pli courbe (Richer), en même temps
upé- rieur. Aussi, les uns, refusant aux circonvolutions de cette
partie
de la région le nom de circonvolutions occipitale
externe (Gratiolet) ; Obérer Zug der hinleren Cerztraloizduugs (en
partie
) (Huschke) ; First exlernal aî2 ? 2ecteizt gyrus
mière circonvolution occipitale de la deuxième. ^ .9 o C'est à la
partie
antérieure de la première scissure occipitale q
à la deuxième circonvolution de passage. et plus spécialement à sa
partie
supérieure (l'ozzi).; Elle rest mar- quée 0 2,
ung (Wagner) ; Gyrus occipi- talis inferior (Pansch). Continue la
partie
inférieure de la deuxième circonvolution de pas
a partie inférieure de la deuxième circonvolution de passage; cette
partie
étant elle-même empruntée au pli tem- poral moy
rieure (Ecker) ; Pli marginal postérieur et inférieur (Gratiolet) ;
Partie
inférieure de la ci7-- convolution de l'enceint
ituée au-dessous de la scissure de Sylvius, elle se confond avec la
partie
postérieure du lobule pariétal inférieur (Richer)
olution temporale moyenne (Wagner, Huschke) ; Pli ternporalmoyen et
partie
desceradantedu pli courbe (Gratiolet) ; Etage m
dit-il, est le plus souvent dédoublé en deux plis secondaires à la
partie
antérieure; mais il est d'habitude simple en arri
'1, ) ;r,'c ? . , . pose, en;zigszags morcelés : ' Dans^ce cas; la
partie
postérieure de.cette, scissure devient, en avan
ormation de ces tractus, qu'elle constitue indubitablement, dans sa
partie
postérieure, la lèvre inférieure de la scissure d
ux à l'aide desquels on peut occuper indistinctement la plus grande
partie
de ces malades, il y a grand avantage à uti- li
lie dans l'espace interpé- donculaire, repoussant vers le dehors la
partie
adjacente du lobe moyen, et déplaçant les nerfs
eloppée d'une mince capsule, et séparée de la couche optique et, en
partie
, de la corne descendante du ventricule latéral,
min se rencontraient dans les lobes frontaux, mais surtout dans la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fronta
amera).dure-mère, il a'écoule alors environ 120 grammes de sang, en
partie
liquide, en - partie coagulé.. L'hémisphère dro
a'écoule alors environ 120 grammes de sang, en partie liquide, en -
partie
coagulé.. L'hémisphère droitaestfftresfapiati etc
^combien est stéréotypé le cadre dans 1 qtiA,se,iiieuiL en, grande
partie
notre pensée. La direction du ç,py;s,de petit e
rière du noyau de l'hypoglosse, se re- polie graduellement vers les
parties
extrêmes et postérieures, ,et parvient ensuite
seconde et de la lioisième frontale, sur l'opuscule entier, sur la
partie
antérieure du lobule pariéLul supérieur, sur le
faubourg de Kungsholm. Le territoire extérieur de la propriété, en
partie
placé entre deux routes départementales très fr
s et propres des deux dernières classes. Ceux-ci habitent encore en
partie
dans les ailes latérales plus petites qui diverge
ence ordinaire (bois). Les salles de jour et les dor- toirs sont en
partie
scindés par des séparations verticales. Chez les
à la même réparti- tion à gauche, en ce qui concerne les hommes. La
partie
moyenne du long côté postérieur est prise par l
remplacée par une haie de nerpruns déjà plantée. Ses promenoirs, en
partie
'pourvus de préaux couverts, sont entourés de p
jour et de travail partout séparées. Les corridors, qui occupent la
partie
interne des habitations, peuvent être utilisés co
'existe pas et que le lombo-sacré répartit ses filets à peu près en
parties
égales au sciatique poplité interne et au sciatiq
n de la parole sont arrêtés, mais pas toujours, par une raideur des
parties
qui se dissipe ensuite. Le malade dit que cette
endant sur le côté gauche de la langue, les saveurs sucrées sont en
partie
perçues. Vue. Il existe de l'amblyopie à droite
res doigts ; l'avant-bras se fléchit sur le bras et se porte sur la
partie
latérale et postérieure du tronc. Le membre inf
t nous avons relevé l'apparition de symp- tômes qui font d'habitude
partie
de l'attaque de grande hys- térie : c'est ainsi
les étaient plus fortes dans le bras et l'oeil gauches que dans les
parties
correspondantes du côté droit. A la suite de ce
ongées à gauche, surtout au membre supérieur, parfois limitées à la
partie
gauche du corps. Durée : cinquante secondes : p
tendance delà main à se contracture ! ' en flexion dans tbutes les
parties
, ten- dance à laquelle le malade résiste contin
peu développé et n'existe pas à certains endroits. Au niveau de la
partie
moyenne du frontal et des deux bosses pariétale
table externe. Au niveau de la suture inter-pariétale, surtout à sa
partie
postérieure, la table externe est irrégulière, bo
égales ainsi que les olives qui sont très fermes; ces différentes
parties
sont également colorées. L'encéphale pèse 1,090
rs centimètres antérieurs; mais elle estatro- phiée dans ses autres
parties
; l'atrophie porte principalement sur la face an
parties; l'atrophie porte principalement sur la face antérieure, la
partie
correspondante au lobule del'insula étant moins
re circonvolution frontale est considérablement atrophiée dans sa
partie
moyenne sur une longueur de 3 centimètres; en arr
la face interne et le bord supérieur, mais la face externe de cette
partie
répondant au deuxième pli de la première fronta
trois centimètres inférieurs; l'atrophie est consi- dérable ; celle
partie
est par rapport à la partie saine comme 1 est à
; l'atrophie est consi- dérable ; celle partie est par rapport à la
partie
saine comme 1 est à 3 ; cependant sur le milieu
omme 1 est à 3 ; cependant sur le milieu delà face antérieure de la
partie
saine on trouve un petit foyer (PL. VI, Fa). La
inférieurs; les deux centimètres et demi supérieurs sont sains. Les
parties
saines de la frontale ascendante et de la parié
la frontale ascendante et de la pariétale ascendante comparées aux
parties
correspondantes du côté gauche sont beaucoup mo
sont beaucoup moins volumi- neuses (PL. VI et VIII, Fa, l'a). Les
parties
lésées de la frontale ascendante et de la pariéta
au il existe une sorte de cavité assez profonde ouvientso perdre la
partie
supérieure delascissure Parallèle(PL.Vl, spp).
La lobule del'insula présente trois branches bifurquées. Toutes les
parties
occupées par la lésion sont en retrait sur les
Toutes les parties occupées par la lésion sont en retrait sur les
parties
saines environnantes, d'où une dépression marquée
ales riiaiscllt*il iLiLéi-es,,e [Cb eii-- convolutions ainsi qu'une
partie
du centre ovale. La couche optique et le corps
ressions cor- respondant aux circonvolutions. L'examen des autres
parties
n'a eu lieu qu'après macération du cerveau dans
u'après macération du cerveau dans l'alcool; la substance grise des
parties
lésées s'est plissée, ridée sur la substance bl
blanche et a pris une coloration légèrement jaunâtre. Toutes les
parties
postérieures ont un aspect normal, mais sont pl
seu- lement. Il est d'ailleurs assez volumineux. Face intime. La
partie
moyenne de la première frontale est entièrement
e les deux précédentes; elle possède une insertion régulière sur la
partie
inférieure de la frontale ascendante. - La circ
tions temporales sont normales, sinueuses. La première envoie de sa
partie
moyenne un pli assez large, de forme conique ve
première circonvolution frontale est double, mais interrompue à sa
partie
moyenne par un sillon perpendicu- laire (PL. IX
'hémisphère droit qui présente un ancien foyer compre- nant : 10 la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron
nvolution frontale et de la deuxième circonvolution frontale; 2° la
partie
moyenne de la première circonvolution frontale
on frontale ; 3° la frontale et la pariétale ascendantes dans leurs
parties
inférieures ; 4° le lobule pariétal inférieur,
e membre inférieur qui est plus spécialement sous la dépendance des
parties
supé- rieures de la zone motrice, nous avons vu
de scissure fronto-pariétale interne (Pansch, Pozzi), contourne la
partie
postérieure (pariétale) du lobule paracentral e
le pli unciforme qu'on peut, nous l'avons déjà dit, relier aussi en
partie
au lobule lingual.- Entre cette circonvolution
tal interne. Sis entre la scissure fronto-pa- riétale interne et la
partie
interne de la scissure pariéto-occipi- tale per
obe carré, quadrate lobule, lobus qua- dratus (Gratiolet, Huxley) ;
Partie
du gyrus ci ? zguli (Pansch). Selon que les que
n'en ressort pas moins qu'en franchissant l'isthme, on aborde, à la
partie
antérieure du lobule lingual, une première circ
CERHfiRALHS. 3 1 parfaitement distinctes l'une de l'autre ces deux
parties
. C'est affaire de types. Mais il ajoute que le
e. D'après cette manière de voir, la fissure calcarine devient la
partie
postérieure de la scissure des hippocampes (Grati
sure des hippocampes (Gratiolet), et la fissura hippocampi est dite
partie
antérieure de la fissure calcarine (Gratiolet).
ontales, fissura posterior sive occinito-horiaontalis (R. Wagner) ;
Partie
antérieure de la scissure des hippocampes (Grat
ents. Broca désignait sous le nom de grand lobe limbique toute la
partie
médiane des hémisphères en rapport decontiguité d
ral6l. 1883)'. 1. Première expérience. Quand on interrompt, dans la
partie
postérieure de la capsule interne les faisceaux
ans toucher à aucun de ces deux organes (la lésion inévitable d'une
partie
de la commissure moyenne et du segment contigu
simultanée de la substance grise centrale adjacente, qui entoure la
partie
la plus profonde du troisième ventricule. La sens
les formant des centres qui rassemblent autour d'eux une certaine
partie
du réseau. Les intervalles libres de ce dernier s
la dégénérescence atro- phique de leurs fibres. Les muscles sont en
partie
dégénérés (dis- parition des stries transversal
érieur de la ré- gion dorsale. De ces faits, l'auteur déduit que la
partie
des fibres des cordons postérieurs qui est en c
ts de la main. En même temps elle accuse de violentes douleurs qui,
parties
de cette légion, gagnent le coude et montent ju
s fort calibre, elle est inégale et ne fournit aucune notion sur la
partie
constitutive des éléments. Celle d'Exner, au co
de la base. Chez un enfant de vingt-sept jours, le gyrus rectus, la
partie
orbitaire du lobe frontal, la deuxième circonvo
ltérieure plus détaillée Cet extrait préalable se décompose en cinq
parties
: - I. Les grenouilles, plongées dans un' bain
in galvanique seul. 11. 11 est impossible d'exercer sur chacune des
parties
du corps (lapins ou cadavres humains), une déri
le baigneur en dehors du bain ou est mise en contact avec l'une des
parties
du corps qui se trouve en dehors de l'eau. On u
l'avant-bras, les coudes; elles occu- pent dans le bain d'anode les
parties
placées en dehors de l'eau, au voisinage de la
uses, de la névroglie et des vaisseaux, les fibres nerveuses et les
parties
constitutives du tissu conjonctif conservant leur
lement, les cellules sont réduites à de petits grumeaux amorphes en
partie
soluble, dans l'éther. Dès la seconde période,
s, bien que probablement il le réduise un peu; 2° que si une grande
partie
des aliénés d'un district reçoit l'hospitalisa-
de sérosité sous l'arachnoïde et dans les ventricules. Dès lors les
parties
du cerveau qui sont préposées au mouvement étan
ement étant atrophiées, les membres dont l'action est régie par ces
parties
n'ont plus qu'une nutrition imparfaite, et s'at
uche soit très réduit, ces éléments eux-mêmes,- qui sont en majeure
partie
de petites cellules nerveuses étoilees, ne para
veau; le résultat final de celle stimulation est J'épuisement d'une
partie
del'organe ; au point de vue mental, c'est la c
s'est, spontanément ou à la suite d'un trauma- tisme, attaché aune
partie
du système musculaire, tous les muscles de la t
te qui repré- sente l'amygdale, le lobule du pneumogastrique et une
partie
du lobule quadrangulaire, mesure en diamètre, s
ieures; il se produit pendant la marche un branlement de toutes les
parties
du corps les unes sur les autres, comme si elle
ion cérébelleuse, sontaussi minces qu'n l'état normal au-dessus des
parties
relativement nor- 372 SOCIETES SAVANTES. maie
e visuelle), il doit exister des connexions directes entre ces deux
parties
de l'or- gane '. M. Hitzig adopterait la même o
cherché dans toutes les zones de l'écorce, ou plutôt de toutes les
parties
de l'encéphale; mais il prétend que l'abstracti
r qu'une altération pathologique, plus ou moins aiguë a entravé une
partie
du travail actif de la zone corticale gauche qu
our que l'on puisse songer à la compensation physiologique d'autres
parties
de l'an- céphale. Discussion : Elle met en
e substance sont étendues, a fait défaut ici après l'ablation de la
partie
antérieure du lobe frontal. La section de la co
ronne rayonnante a entraîné après elle l'altération distincte d'une
partie
des fibres qui vont gagner l'écorce. Ces résult
petits com- partiments à contenu jaune graisseux, et a détruit une
partie
de la substance corticale et médullaire de l'or
t, etc., idées d'empoisonnement. La psychose a été précédée et en
partie
influencée par des troubles de la motilité et de
se, M. Arndt entre en matière. On peut diviser son ouvrage en trois
parties
. Dans la première, que nous appellerons A, il c
ce. Ces notions forment la teneur des chapitres Il à IX. La seconde
partie
B, en dérive tout naturellement; après avoir pris
ations morbides remplit les chapitres IX, X, XI, XII. Une troisième
partie
s'occupe despsychoses; elles constituent la ma-
dont il s'agit ici, représente la clinique pure, ou du moins cette
partie
de la clinique sur laquelle M. Arndt base sa cl
vants ; et c'est par cette transmis- sion dont nous connaissons une
partie
des conditions, que l'organe psychique se meubl
ution du corps calleux. v, Bord externe du ventricule latéral. s,
Partie
supérieure de la scissure. i, Insula de Reil.
LIS, En mission scientifique par l'Université d'Athènes. DEUXIÈME
PARTIE
. Expériences sur notre appareil à vertige marin
lonne haute porte la table à expérience. Cette table est fixée à sa
partie
inférieure par six vis à doubles an- neaux arti
pres- sion produite sur les muscles des mem- bres inférieurs, en
partie
dans les supé- rieurs (le biceps) et le dos, pr
s'élevant de la nuque vers le sommet de la tête; douleurs dans la
partie
inférieure du dos et une douleur en ceinture da
ssant par l'ombilic, en bas par le niveau de la crête iliaque. A la
partie
antéro-inférieure du ventre et de la cuisse, on
la cuisse, on observait une thermanesthésie plus grande que dans la
partie
périphérique du membre inférieur. Vers le prin-
se pervertirent; mais en revanche la thermanesthésie siégeant à la
partie
centrale du membre inférieur droit empira : ici
ie : c'est celle du membre supérieur droit au-dessous du coude ; la
partie
inférieure de l'avant-bras et les doigts ne per
la différence de 4°, et la paume de la main - celle de 3"-3 ? à la
partie
supérieure de l'avant-bras la thermanesthésie d
la surface du corps. Ce n'est que la joue droite,, le front et une
partie
en forme de raie longeant la face postérieure d
xus sacré est quand même celle qui sent mieux que toutes les autres
parties
innervées par les nerfs spinaux ne percevant pa
resque continu de douleur en ceinture existe dans le ventre et à la
partie
inférieure de la poitrine. De temps en temps, s
la tenait sous sa dépendance ayant progressé, se soit étendu aux
parties
voisines de la moelle et eût provo- qué l'atrop
des douleurs lancinantes, spasmodiques, moins fortes dans d'autres
parties
du corps aussi parfois dans les articulations d
mplètement ensuite. Tous les autres symptômes subjectifs avaient en
partie
disparu, ou se manifestaient à un degré moindre.
s, plus DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 37 i prononcé à gauche, à la
partie
inférieure du thorax et la partie supérieure de
IRE. 37 i prononcé à gauche, à la partie inférieure du thorax et la
partie
supérieure de l'abdomen ; à droite - à la parti
re du thorax et la partie supérieure de l'abdomen ; à droite - à la
partie
supérieure de la poitrine. Un abaissement sembl
dans les deux membres supérieurs à un degré plus élevé dans leurs
parties
centrales et le malade prend souvent des piqûres
de température est normal sur les membres inférieurs, le ventre, la
partie
inférieure du dos. A la face, le malade ne per-
ins. Dans ce cas aussi, la parésie et l'atrophie muscu- laire des
parties
périphériques des membres supérieurs sont combi
stérieures et du renflement cer- vicale à un moindre degré et de la
partie
spinale. En outre, il faut supposer l'existence
externe, l'avant-mur et l'in- sula n'ont pas de connexion avec les
parties
profondes' ; on sait, d'autre part, que l'insul
sation corticale de la qua- trième forme d'aphasie, au niveau de la
partie
moyenne de la première circonvolution temporale
centre cortical des mouvements du membre supérieur est situé sur la
partie
moyenne de la circonvolution frontale ascen- da
les mouvements de chaque articulation, (pour ceux de l'épaule, à la
partie
supérieure, pour ceux du pouce, à la partie inf
ceux de l'épaule, à la partie supérieure, pour ceux du pouce, à la
partie
inférieure du centre cortical du membre supérieur
le lobule paracentral, et la font empiéter en outre en avant sur la
partie
supérieure de la frontale ascendante, en arrièr
cortical de la cécité verbale, le lobule pariétal inférieur dans sa
partie
antérieure. C'est du reste ce qui explique la c
e, cause de la déviation conjuguée de la tète et des yeux à « cette
partie
du lobule pariétal inférieur intermédiaire aux
le. LA CATATONIE. S7 Schuele est le seul auteur qui ait comblé en
partie
ces lacunes dans l'examen de ses malades et ses
a maladie d'une autre et cela lui a immobilisé la jambe gauche. Les
parties
de son corps, qui ne sont pas à elle, ont été a
. f. Psych., XVII, 2.) C'est, d'après le professeur de Berlin, la
partie
externe des cor- dons postérieurs des régions d
rotulien, il faut et il suffit que la lésion dépassant en dehors la
partie
externe des cordons postérieurs, envahisse la z
es altérations concomitantes des colonnes de Clarke et de certaines
parties
des cordons latéraux. Il croit que ces combinai
moyenne de la moelle, se disséminant ensuite en montant jusqu'à la
partie
moyenne de la moelle cervicale, et en descen- d
artie moyenne de la moelle cervicale, et en descen- dant jusqu'à la
partie
moyenne de la moelle lombaire. Dégéné- rescence
baire. Dégéné- rescence secondaire des cordons postérieurs dans les
parties
supé- rieures de la moelle et des cordons latér
arties supé- rieures de la moelle et des cordons latéraux, dans les
parties
inférieures du même organe. Les foyers sont des
ment altérés, envahis par du tissu modulaire ou de la graisse ; une
partie
des tubes nerveux ont paru en voie de désintégr
OBS. III. Destruction locale de plusieurs circonvolutions et d'une
partie
du corps strié. Cas. IV. Les lésions primitives
mais surtout la protubérance et le bulbe. Cas. V. Destruction d'une
partie
du lobe temporo-sphénoïda) et de la substance m
ullaire sous-jacente; cette destruction inté- ressait légèrement la
partie
inférieure du lobule pariétal ; le corps strié
atérale gauche de la moelle. OBs. VIII. Lésions ayant détruit une
partie
du corps strié, de la capsule interne et de la
pied-bot varus équin et dont le mari s'était fracturé la jambe à la
partie
inférieure pendant la durée de la grossesse. El
n recueil dirigé par Charles Dickens, et qui parait être composé en
partie
d'éléments réels, et en partie d'éléments sortis
ckens, et qui parait être composé en partie d'éléments réels, et en
partie
d'éléments sortis exclusivement de l'imaginatio
que des corpuscules lym- phoides et de la névroglie. Atrophie d'une
partie
des fibres ner- veuses, surtout dans une zone p
ons métalliques fourchus embrassent par la moitié de leurs dents la
partie
externe par l'autre moitié, la partie interne d
r la moitié de leurs dents la partie externe par l'autre moitié, la
partie
interne des cylindres; les deux four- chettes m
tient que très peu de fibres à myéline. Chez ces divers animaux, la
partie
principale du cerveau antérieur se compose uniq
ige du côté de la queue de l'organe. Ce trousseau se scinde en deux
parties
. Une partie composée de fibres fines peut être
e la queue de l'organe. Ce trousseau se scinde en deux parties. Une
partie
composée de fibres fines peut être suivie jusqu
ovale. Deuxième cas : foyer ancien gros comme un pois, occupant la
partie
limite entre l'écorce et la substance blanche;
on trouve, avec cela, en un endroit de l'écorce, un vieux foyer, en
partie
transformé en cicatrice, d'où part une dégénéresc
ale et dans la supérieure, aux faisceaux de (joli occupant, dorsale
partie
moyenne de la moelle dorsale, une petite place
t ces deux articles, si étroitement connexes, consti- tuent une des
parties
les plus délicates et les plus importantes du p
préventions qui ont prédominé dans les discussions auxquelles cette
partie
de la loi a SÉNAT. 103 servi de thème, on est
uer que la plupart de ceux dont elle se compose n'ont accepté cette
partie
du projet du gouvernement qu'à la condition d'e
nt être placées dans des quartiers d'observation séparés des autres
parties
de l'établissement». Les hommes les plus incont
s de 120 SÉNAT. goût, surtout pour des hommes de tact et, sauf la
partie
très spéciale de la physiologie où un des leurs
rôle public; vous en faites des personnages à double aspect, mi-
partie
juges et mi-partie médecins ; vous leur ôtez en a
conviens, le nouveau projet, mais elle n'en conserve pas moins une
partie
de sa force. N'est-ce rien effectivement, comme
cine de Nancy. J.-B. Baillière,Paris, 1886. L'ouvrage comprend deux
parties
, la première physiologique, la seconde psycholo
a veille et le sommeil, qui tiennent la plus grande place dans la
partie
physiologique. Mais il est regrettable que l'aute
en essayant de démontrer la possibilité de rattacher la plus grande
partie
des névrites périphériques, dites spontanées, à
apitre : les notions écologiques y sont exposées avec soin, mais la
partie
clinique pure nous parait insuffisamment traité
les honneurs de la seconde édition en Angleterre. .C'est en majeure
partie
un recueil de faits anciens ou modernes, rappor
ections nerveuses et même des affections orga- niques. La quatrième
partie
de l'ouvrage est toute d'actualité, car elle tr
agit toujours de la même pié- disposition héréditaire. La seconde
partie
de ce travail, examine diverses autres ques- ti
ions et enfin sur son anatomie pathologique, qui forment les quatre
parties
de sa thèse. Le but est en partie atteint en ce
ologique, qui forment les quatre parties de sa thèse. Le but est en
partie
atteint en ce qui concerne les ouvrages français
e qu'il avait faite dans l'Archipel. Son travail est divisé en deux
parties
, dont la première est consacrée aux modificatio
du journal grec Asclepios (Esculape). Ce travail est divisé en 6
parties
, dont la première contient deux rensei- gnement
t l'un à l'Astyclinique et l'autre à un certain docteur. La seconde
partie
de son travail est consacrée à un exposé rapide
mais avant leur descente et pour des rai- sons tout autres. Les six
parties
de ce travail sont fort succinctes, constituant
paraplégie des plongeurs et « il consiste en une hémorrhagie de la
partie
inférieure (dorsale et lom- baire) de la moelle
TS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 151 « est dû à l'hémorrhagie de la
partie
supérieure; .il suit toujours l'hémorrhagie de
agie de la partie supérieure; .il suit toujours l'hémorrhagie de la
partie
lombaire »; c'est une hypothèse. Dans ce cas-là
appent le système nerveux central et qui constituent la plus grande
partie
de la pathologie des scaphandriers et en généra
l'agent pathogène se fait exclusivement ou domine à telle ou telle
partie
de l'axe cérébro-spinal, les accidents nerveux
des petites pointes de feu faite tous les huit jours le long de la
partie
dorsale et lombaire de la colonne vertébrale, et
d'un gonflement de l'estomac qui faisait une saillie énorme sur la
partie
supé- rieure du ventre. Outre les symptômes déc
normal, sauf peut-être un certain degré de signe de Romberg. Les
parties
anesthésiées sont froides et livides. Pas de trou
re membres ; elles étaient continues ; mais, de temps en temps, les
parties
douloureuses étaient traversées d'élancements i
n seulement au niveau des membres paralysés, mais aussi depuis la
partie
inférieure du tronc jusqu'aux côtes, aurait été c
a barque. La sensibilité au niveau des mem- bres paralysés et de la
partie
inférieure du tronc aurait été com- plètement a
x malades formait une saillie considérable et très mar- quée à la
partie
supérieure du ventre. Ce développe- ment est br
ssant un peu par devant à cet endroit ce mode de sensibilité est en
partie
détruit, en partie diminué. Sensations subjecti
vant à cet endroit ce mode de sensibilité est en partie détruit, en
partie
diminué. Sensations subjectives : état frileux,
: état frileux, fourmillement, sensation de constric- tion dans la
partie
supérieure de la poitrine. Pas de dispositions
face (à un degré moindre). Du côté droit, l'analgésie s'étend à la
partie
supérieure du bras, descend jusqu'au mamelon pa
ques énumérés est sans doute liée à la lésion anatomique de cette
partie
de la moelle épinière et des parties homologues
à la lésion anatomique de cette partie de la moelle épinière et des
parties
homologues de la moelle allongée. C'est à l'e
es; je regrette d'avoir omis dans l'OB- SERVATION I l'examen de ces
parties
. La localisation de l'anesthésie est très carac
n, lorsqu'elle n'occupe qu'un espace peu considérable, une certaine
partie
du membre supé- rieur par exemple, mais aussi d
nt ultérieur de cette maladie, lorsque, peut-être, la plus grande
partie
de la peau est atteinte d'un certain degré de t
degré de thermanesthésie. Prenons le membre supérieur : c'est la
partie
supérieure du bras, par exemple, ou la main, qu
d'ordinaire une délimitation marquée du segment anesthésique de la
partie
située plus haut ou plus bas, à l'exception des
e peu d'étendue sur un segment d'une extrémité. Sur le thorax, a sa
partie
inférieure, Job (OBs. Il) et à une certaine pér
région immersée parle renflement cervical, ou bien occupe aussi la
partie
supérieure de cette région (rayon du nerf axill
hésie ne se distribue pas suivant les nerfs, mais suivant certaines
parties
ou subdivisions des membres. On peut observer l
u subdivisions des membres. On peut observer la même chose dans les
parties
inner- vées par le segment cervical supérieur d
upait la région des troisième et quatrième racines sensitives de la
partie
cervicale de la moelle épinière. Même alors-, o
es membres présenterait, par exemple, une lésion plus avancée des
parties
périphériques, tandis que l'autre- des par- tie
ères à sensibilité plus ou moins bonne, comparativement à celle des
parties
environnantes. Il n'est pourtant pas facile de
la. Il n'arrive pas toujours que l'analgésie n'occupe que certaines
parties
de la lésion thertnanes- thésique. Parfois, dès
id des membres, ne dépendant pas toujours du refroidissement de ces
parties
, sensation du froid se répandant sous la peau,
DU VERTIGE MARIN. 22S vaisseaux de la pie-mère laissent échapper la
partie
liquide du sang au travers de leurs parois; et
u cerveau étant augmenté, le liquide céphalo-rachidien descend en
partie
dans la cavité rachidienne. Quant à la respirat
TIGE MARIN'. 227 Si nous tirons de ces données physiologiques les
parties
les plus intéressantes pour notre étude, nous v
en avant, l'autre en arrière du pli courbe; un peu au-dessous de la
partie
moyenne de la circonvolution pariétale ascendan
qui est le siège de méningo-encéphalite en quel- ques points de ses
parties
moyenne et postérieure, est très plissée, très
ée et irrégulière; elle projette deux plis de passage à niveau à la
partie
triangulaire de la troisième frontale. La Archi
tale, très irrégulière, scindée en plusieurs tronçons, présente une
partie
moyenne isolée allant rejoindre par un rameau d
rémité antérieure du lobe tem- poral et s'étend jusqu'au delà de la
partie
moyenne de la deuxième circonvolution temporo-o
paracentral, relativement assez gros, paraît peu lésé, sauf dans sa
partie
la plus postérieure. Le lobule quadrilatère pos
n paraît un . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 243 3 peu grêle' dans sa
partie
supérieure. La fissure calcarine, la couche opt
calleux, surtout dans son tiers antérieur, le corps strié, vers sa
partie
postérieure, paraissent atrophiés. Hémisphère d
i- formes ; elle est complètement atrophiée, vermiforme, dans ses
parties
postérieure et antérieure, dans sa partie moyenne
ée, vermiforme, dans ses parties postérieure et antérieure, dans sa
partie
moyenne, il existe seulement deux îlots non atr
passage courbe, atrophié; elle est atrophiée, vermiforme, sauf à sa
partie
moyenne où se rencontrent des traces de méningo
is de passage à niveau, atrophiés, à la troisième frontale; sur les
parties
anté- rieures des première et deuxième frontale
xième frontales, l'atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les
parties
postérieures. La deuxième scissure frontale, pr
ffre cepen- dant une coloration légèrement ocreuse, surtout dans sa
partie
supérieure. Lobe temporal. Les trois circonvo
248 CLINIQUE NERVEUSE. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. cervelet qu'en
partie
, le laissant complètement à découvert sur la pa
cervelet qu'en partie, le laissant complètement à découvert sur la
partie
médiane. La pie-mère est oedématiée, l'artère c
me et du bulbe était de 150 grammes. Matheu- reusement ces diverses
parties
de l'encéphale n'ont pas été pesées isolément ;
troubles légers de la sensibilité » ; des lésions de la plus grande
partie
de la région fronto-pariétale avec «. paralysie d
bes occipitaux exclusivement, le rôle de zone sensitive n'est qu'en
partie
vrai et seulement pour le faisceau de Meynert,
coup plus considérable. Elle comprend, d'après cet auteur, toute la
partie
de l'écorce située en arrière du pied des cir-
a scissure inter-hémis- phérique. La coupe préfrontale passe par la
partie
moyenne des trois circonvolutions frontales; la
face externe. Pour faire cette coupe, on passe le cou- teau par la
partie
moyenne de la couche optique 1. La coupe du péd
.) Dans le pédoncule : on retrouve le faisceau intellectuel, à la
partie
interne de l'étage inférieur 3. (PL. II, fig. 1,
fibres de ce faisceau s'arrête inférieurement au pédoncule dans la
partie
interne de son étage inférieur et cette lésion
frontale de Pitres (Pij. I, fig. 3, jaune), de même que les fibres
parties
de l'écorce du pied de la deuxième frontale, si
s la capsule interne, nous retrouvons le faisceau de l'aphasie, àla
partie
postérieure du segment lenticulo-optique, entre
t supposer que le faisceau géniculé passe dans la protubérance à la
partie
postérieure et interne des pyramides motrices.
t suiv. ' On décrit aussi un noyau accessoire de l'hypoglosse, a la
partie
in- terne du noyau antéro-latéral ; ce noyau ac
d, du bulbe au niveau de la fos- sette sus-olivaire, constituant en
partie
le tronc du facial à son origine apparente (fac
ITIQUE. Dans le pédoncule, on retrouve le faisceau pyramidal à la
partie
moyenne de l'étage inférieur (PL. II, fig. 1, ble
de distin- guer : 1° dans l'étage inférieur de la protubérance, la
partie
du faisceau pyramidal que nous retrouverons, en
yramides, le faisceau moteur est donc définitivement divisé en deux
parties
: le faisceau pyramidal croisé et le faisceau p
e, pour qu'il y ait paralysie, il faut une lésion destructive des
parties
de l'écorce qui recouvre les circonvolutions fron
iplégie totale du côté opposé du corps; si elles sont bornées à une
partie
seulement de la zone motrice, l'hémiplégie est
te par un foyer de ramollissement du volume d'un haricot situé à la
partie
supérieure de la région moyenne de la capsule d
uite d'une lésion destructive supérieur ! ; : au pédoncule, dans la
partie
moyenne du pied du pédoncule ; à la protubérance,
sceaux en dégénérescence se portent en arrière et en dehors vers la
partie
du cordon latéral de la moelle contiguë à la co
ollet du bulbe, suit une marche verticalement descendante dans la
partie
interne du cordon antérieur de la moelle (faiscea
sceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices, 1887. Première
partie
de la leçon XVIII. : Voir pour l'étude détaillé
rveau, Paris, 1887. (Pour l'historique de la question : la deuxième
partie
de la leçon YXV1LL) 1 Brissaud (v. thèse citée)
chez des sujets porteurs de lésions localisées des hémisphères, la
partie
interne du pé- doncule cérébral, les faits anat
oir une large zone presque latente, la zone radiculaire antérieure (
partie
fondamentale de Flechsig). Le ' Charcot. Leçons
pédoncule (PL. II, fig. 1, rose) : le faisceau sensitif répond à la
partie
la plus externe de l'étage inférieur'. Le faisc
sensitif occupant l'étage supérieur siège assez exactement vers la
partie
médiane de la coupe pédonculaire. Elle y est sépa
nige ? en haut et en dedans, ce fas- cicule sensitif répond à cette
partie
du faisceau pyramidal correspondant aux cordons
t plus antérieure, occupe dans l'étage infé- rieur du pédoncule une
partie
d'autant plus interne. Ainsi, le faisceau intel
veau, les fibres centripètes pa- raissent être de deux ordres : une
partie
du faisceau sensitif atteignant la couche optiq
ptique ou fibres indirectes sensitives de la capsule interne et une
partie
atteignant l'écorce aux lobes occipitaux, après
e frontale. - 1 ; cire, frontale ascendante. 2; lobule de l'insula (
partie
moyenne). 3; cire, sphénoïdales.- 4 ; faisc. fron
E MÉDECINE LÉGALE. Prc. 2. Coupe de la protubérance au niveau de sa
partie
moyenne. 1, 1 ; portion motrice des pyramides (
orne an- térieure. 4, -1 ; zone radiculaire antérieure (Pierrot) ou
partie
fonda- mentale (Flechsig). 5, 5; cordon de Goll
t. Quant aux cellules nerveuses de la ' moelle épinière, une grande
partie
n'a subi aucune modification pathologique appar
en vaisseaux et en foyers de dégénérescence caséeuse siégeant à la
partie
supé- rieure de la moitié droite de la protubér
u quatrième ventricule, rejetant à gauche la tige du calamus et les
parties
susjacentes. Processus inflam- matoire chroniqu
la moitié droite de la mâchoire. Il est coupé verticalement en deux
parties
égales. En examinant la légère usure des molair
hyme. Intégrité des nerfs, du cerveau et de la moelle au-dessus des
parties
atteintes; au- dessous, quelques altérations da
i suit : SOCIÉTÉS SAVANTES. 383 « Les fibres qui vont innerver la
partie
temporale de la rétine, c'est- « à-dire en réal
nerf optique; la plupart d'entre elles occu- « peut la plus grande
partie
de la périphérie de ce tronc. Dans l'orbite, «
établissement on puisse résoudre les problèmes posés par la seconde
partie
de la cure (personnel médical entourage stylé,
2 gar- diens en chef, 2 gardiennes en chef. Nous reproduirons une
partie
du schéma imprimé rempli par ces employés : A
aire du nerf pneumogastrique et de l'accessoire présente une petite
partie
dégénérée (friabilité avec petites taches apopl
l'amendement, que l'internement sera effectué, c'est-à-dire que la
partie
essentielle du traitement, qui est l'isolement
. Les directeurs-médecins et les médecins en chef appelés à faire
partie
du jury seront désignés par voie de tirage au sor
médecins soient consultés. Aussi n'est-il pas rare que cer- taines
parties
du concert aillent contre le but. Faculté DE mé
rition s'est faite dans un ordre déterminé ; l'un a fourni déjà une
partie
de sa carrière, lorsque l'autre éclate; jamais
réchaud s'éteint, plusieurs fois elle le rallume; elle absorbe une
partie
de la fiole qui avait servi au père et force sa f
-quatre heures. Les myopathies peuvent avoir pour siège plusieurs
parties
du corps; ainsi le malade de l'OBSERVATION III
ois plaques d'anesthésie dont l'une siège presque au milieu de la
partie
antérieure de la cuisse, l'autre au niveau de la
ilieu de la partie antérieure de la cuisse, l'autre au niveau de la
partie
supé- rieure du jarret et la troisième au dos d
ement en se fondant sur les symptômes purement anatomiques, mais en
partie
sur les particularités pathogéniques et les tab
tale et la dilatation par diverses causes du canal central ou de sa
partie
pos- térieure détachée dans la période embryonn
t un espace plus ou moins grand le long de la moelle épinière. Leur
partie
centrale dégé- nère parfois en formant des cavi
es cas et toujours à un degré moindre. Ordinairement, ce sont les
parties
des faisceaux blancs adjacents à la com- missur
manière plus diffuse ou par voie d'hyper- lllasie néoplastique, les
parties
des cordons latéraux adjacents à la substance g
u tout correspondre au tableau de la destruction com- plète de la
partie
centrale de la moelle épinière (cas de Krauss)
troubles de sensibilité marqués dans les régions innervées par les
parties
situées plus bas ou par le segment correspondan
erve la dégénérescence qui paraît se faire en bloc d'une certaine
partie
sans altérations de ses fonctions, des cornes p
une énorme tumeur au centre de la moelle épinière, ayant dilaté les
parties
environnantes, marchait longtemps sans présente
égions, nous fait supposer l'altération également segmentaire des
parties
de la moelle où, premièrement, les con- ducteur
sitifs des zones anesthésiées sont encore séparés par ceux d'autres
parties
, situées plus bas et, secondement, où l'entrecr
alté- rées chaque fois qu'il y avait une anesthésie partielle des
parties
correspondantes. Mais quelles sont les rapports
la lacune ou du gliome qui détrui- rait pour ainsi dire en bloc les
parties
avoisinantes de la substance grise. Il serait i
peler que les éléments nerveux peuvent être conservés au milieu des
parties
les plus altérées, comme le démontre mon observ
limitée par un très petit espace de la corne postérieure dans la
partie
inférieure du renflement cervical, serait celle
par une certaine région (celle de la main, de l'avant-bras, delà
partie
supérieure du bras etc.). Une telle disposition
un tableau précisé- ment pareil - la thermanesthésie partielle delà
partie
périphérique du membre avec atrophie de muscles
nt en cas de localisation mono- plégique, un membre supérieur et la
partie
adjacente de la poitrine, par exemple, ou bien
t pas aux sphères de dis- tributions nerveuses, mais à la lésion de
parties
de certains segments des colonnes postérieures
ions avec analgésie et thermanesthésie, à peu près complètes, aux
parties
ayant conservé leur sensibilité normale. Il ne
que, chez Duch... (Obs. LIV), le lobe moyen du cervelet était en
partie
atrophié. Parmi les phénomènes les plus constan
toujours de la protubérance ou de la moelle allongée, soit que les
parties
se trouvent directement comprimées par une lési
aractère irrésistible de par le fonction- nement à faux de diverses
parties
de l'organe. C'est ainsi qu'il peut se produire
p. 999. Paris, 1876, de L3RPILEPSIE PROCURSIVE. 3 lésion de la
partie
supérieure et externe du pédoncule cérébral, le
oisinage et à cause des actions à distance possibles sur les autres
parties
de l'encé- phale. Aussi la symptomatologie des
ncontrées à l'autopsie n'étaient pas stric- tement localisées à une
partie
du cervelet, et elles sont, par suite, suscepti
- 5° la peau cireuse, un peu jaunâtre, luisante, eczémateuse; 6° la
partie
inférieure des joues épaissie, comme tremblotta
es nouvelles observations de sclérose en plaques. Dans une première
partie
, l'auteur établit que, selon toutes probabilité
ion qui englobe : couche optique, pied de la couronne rayon- nante,
partie
limitrophe de la capsule interne, qui, quelquefoi
agitante, du tremblement intentionnel post-hémiplégiques. Enfin (3e
partie
) y a t-il réellement des mo- tifs de rattacher
e son noyau. Nerfs optiques; légère altération interstitielle d'une
partie
du bout péri- phérique jusqu'au milieu de l'orb
uge aigu, nettement circonscrit, et limité à l'é- corce grise de la
partie
supérieure de la circonvolution centrale antéri
re de la circonvolution centrale antérieure gauche et à celle de la
partie
postérieure du sillon frontal supérieur et des
interne des joues, du goût à la pointe de la langue et même dans la
partie
gauche et postérieure de cet organe; la sensibi
antérieur-moteur du nerf vague, le noyau du glosso- pharyngien, une
partie
de la racine ascendante du trijumeau, le noyau
noyau des cordons latéraux, dans le domaine de l'acous- tique, une
partie
du corps restiforme, du noyau interne de l'acou
i s'appliquent aux suicides suivant les divers asiles s'explique en
partie
par la variété de fré- quence des suicides, sui
sphère droit la deuxième frontale, toute la frontale ascendante. la
partie
antérieure et postérieure de la pre- mière temp
tics, bâillements et rires nerveux, hoquet, etc., etc. La première
partie
de l'ouvrage traitant des causes do la folie dans
l'interprétation des phénomènes métatfoscopiques. Dans la seconde
partie
de son livre, il en vient alors aux applications
ustra- liens, des Hottentots et des Peaux-rouges. Dans sa seconde
partie
, l'auteur aborde l'étude de la descen- dance de
sur l'état intellectuel des descen- 486 VARIA. danls est une des
parties
les plus intéressantes de ce travail. L'au- teu
énation men- tale, de paralysie générale de névroses. La dernière
partie
du mémoire est consacrée à l'étude médico- léga
upe frontale. 1 ; cire, frontale ascendante. 2; lobule de l'insula (
partie
moyenne). 3 ; cire, sphénoïdales. - 4 ; faisc. fr
ueduc cie Sylvius. Fig. 2. Coupe de la protubérance au niveau de sa
partie
moyenne. 1, 1 ; portion motrice des pyramides (
corne an- térieure. 4, 4 ; zone radiculaire antérieure (Pierret) ou
partie
fonda- mentale (Flechsig). 5, 5 ; cordon de Gol
niveau du sum- mum de la courbe fémorale droite qu'au niveau de la
partie
homologue du fémur gauche. Les mensurations c
ap- pliquée sur le tibia gauche a une sensation de « frais » sur la
partie
inférieure du tibia droit, elle perçoit une sen
ils ont noté une sclérose adulte avec disparition de la plus grande
partie
des éléments cellulaires, remplacés par un tissu
t s'étendre jus- qu'à la périphérie de l'os ou rester limitées à la
partie
centrale. En hau- teur elles gagnent souvent ju
rebord net, leur limite est devenue floue et parfois ondulée, leur
partie
la plus périphérique est par places assez raréf
la maladie de Paget. La couche compacte est conservée au moins en
partie
sur une certaine hauteur de la diaphyse, les ép
mais cequi est tout à fait spécial, c'est la structure de toute la
partie
centrale de la diaphyse, cette partie ne présen
'est la structure de toute la partie centrale de la diaphyse, cette
partie
ne présente plus aucunement de fines travées obli
Paul GAUTHIER, Ancien Interne des Hôpitaux de Lyon. Il est peu de
parties
du squelette, sur lesquelles n'aient été signalée
he, fracture de la rotule non guérie. La rotule est divisée en deux
parties
par un trait de fracture transversal et l'espace
el eut révélé la présence d'une petite saillie dure au niveau de la
partie
inférieure du fémur, on pensa tout d'abord à un
es qui tombent à 23,20 et 1 gr. 90 après l'extirpation d'une grande
partie
du goitre. L'oxyde de calcium tombe lui aussi d
eraient positives pour l'inner- vation du spinal sur le voile et la
partie
supérieure du pharynx, tandis qu'elles seraient
impotences fonctionnelles. Notre travail sera donc divisé en trois
parties
: : , Dans la première nous étudierons l'étiolo
ntes fonctions de l'organisme, caractérisées par une altération des
parties
supérieures de ces fonctions, arrêtées dans leu
aptation au mo- ment présent, et par l'absence de détérioration des
parties
anciennes et simples de ces mêmes fondions » ;
ession, tout en laissant l'intégrité des mouvements pour une grande
partie
des actes courants ; mais qui, si on les examin
me, une atrophie marquée des muscles extenseurs des doigts et d'une
partie
des muscles de l'éminence thénar ; il n'existe
us l'influence d'une cure hydro- thérapique à Néris, ce spasme a en
partie
disparu. ' On peut, dans un certain nombre d'ob
'activité 5.000.000, contiennent 0 gr. 025 d'un mélange formé d'une
partie
de sulfate de radium et de 3 parties d'un sel ind
r. 025 d'un mélange formé d'une partie de sulfate de radium et de 3
parties
d'un sel indiffèrent (sulfate de baiyum). (2) D
es coupes, ellessont strictement limitées la substance grise et aux
parties
limitrophes de la substance blanche. On les tro
ium. Bien que l'application ait été mal faite, n'intéressant que la
partie
tout antérieure du cerveau, nous avons trouvé, da
anger. De même elle ne pouvait pas parler quoiqu'elle comprenait en
partie
ce qu'on lui disait et ce n'est qu'après trois
ts' : 118 ZOSIN postérieure du plancher du 3° ventricule et de la
partie
antérieure de l'a- queduc de Sylvius, où sont s
mps Roussy dans sa thèse (2). Le faisceau psychique passe dans la
partie
antérieure de la capsule in- terne, c'est une v
la couche optique leur influence régulatrice, elles passent dans la
partie
antérieure de la capsule ; Mingazzini n'indique p
psule ; Mingazzini n'indique pas si elles en oc- cupent tout ou une
partie
(3). Le tout se résume donc en ceci : le thalam
ace et le cou; elles s'étendent même aux membres supérieurs et à la
partie
supérieure du tronc. Le front se plisse, les joue
a musculature du cou (sterno-cléido-mastoïdiens et pauciers), de la
partie
supérieure du tronc (pectoraux, trapèze, bras et
quement et symétriquement. Les spasmes des muscles' du cou et de la
partie
supérieure du tronc sont très rares ; nous ne r
par moment des contractions de l'hémi-face gauche, du cou et de la
partie
supérieure du tronc. Le point intéressant à écl
r les muscles de la face et du cou immobilisés, puis sur ceux de la
partie
supérieure du tronc. Le malade n'émet que des son
ou des races syphilitiques. Nous accep- tons sans restriction cette
partie
des conclusions de MM. Porak el Durante z La pa
ire que la fonction intellectuelle est, 154 LEFÈVRE en tout ou en
partie
, de nature purement spirituelle et qu'elle s'exéc
élabore de la bile ou qu'il projette le sang dans les diffé- rentes
parties
de son corps, mais on rapporte ces manifestations
eut, suivant l'objectif que l'on vise, ou bien le décomposer en ses
parties
constituantes, ou bien faire remonter son étude
on étude jusqu'au moment où il était composé d'un nombre moindre de
parties
et de parties plus simples. Si l'on ne veut pas
'au moment où il était composé d'un nombre moindre de parties et de
parties
plus simples. Si l'on ne veut pas tenir à l'égard
gistes, que, dans les premières phases de son évolution, aucune des
parties
constituantes de notre ébauche d'homme n'était di
vement caractérisé par un déplacement dans la position relative des
parties
de sa masse et cette activité est strictement c
entre l'ambiance d'une part, le milieu intérieur et les différentes
parties
de ce dernier d'autre part, le système nerveux
PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 169 tellectuelles sont, pour la plus grande
partie
, involontaires ; 3* elles sont tou- jours accom
volontaires ; 3* elles sont tou- jours accomplies jusque dans leurs
parties
les plus subtiles au moyen d'un mécanisme et ce
ul organe, l'axe cérébro- spinal,arbitrairement séparé en plusieurs
parties
pour la facilité de son étude ; comme on ne pou
stituée l'extrémité sensitive de l'arc diastaltique et l'excitation
partie
de l'extérieur a pénétré jusqu'à un ou plusieurs
onctionnement intellectuel et que le présent travail rectifie et en
partie
complète, j'avais placé dans l'étage inférieur, s
us l'influence du régime lacté, le pouce, en huit jours, reprit une
partie
de son agilité, et en quinze jours put recouvrer
ps d'archet « détachés », qui s'exécutent très ra- pidement avec la
partie
supérieure de l'archet. Tout à fait analogue, t
rotule que le malade ignorait complètement. Il s'est détaché de la
partie
inférieure un fragment à peu près égal au tiers
ent fusiforme de la diaphyse humérale, situé un peu au-dessus de la
partie
moyenne, et qui est très marqué. Remarquons que
malades, les trabécules osseuses ontpresque disparu. L'opacité des
parties
compactes de l'épitrochlée, de l'épicondyle, des
mant un angle ouvert en arrière, très obtus, un peu au-dessus de la
partie
moyenne ; ce point correspondant à l'insertion
des os, surtout marqué pour les métacarpiens qui présentent à leur
partie
moyenne l'as- pect de tubes creux. Les épiphyse
diaphyses sont amincies, extrêmement transparentes au niveau de la
partie
axiale de l'os, leur image ressemble à celle d'un
ubles de la trophicité et de la sensibilité, sauf l'apparition à la
partie
moyenne du bord interne du pied gauche d'une phly
en arrière, angle dont le centre siège dans la gibbosité. Toute une
partie
du tronc dépasse la limite pos- térieure des ha
sont conformés normalement. Les cuisses sont hypertrophiées à leur
partie
antérieure et postérieure ; dans le lit elles s
egré de varus. Le système nerveux sera étudié en détail avec chaque
partie
du corps. Rien d'anormal à signaler du côté de
thorax. Cette déformation n'existe pas à gauche. En avant toute la
partie
supérieure de la paroi thoracique droite est en
reliefs osseux se dessinent sous la peau. Les bras grêles dans leur
partie
supérieure, sont irrégulièrement épaissis à leu
s dans leur partie supérieure, sont irrégulièrement épaissis à leur
partie
inférieure. Les avant-bras, arrondis, paraissent
ù le rhomboïde n'est point touché ; (3) au niveau du deltoïde,de la
partie
supérieure du bras, du triceps dans ses deux ti
mble qu'il y ait aussi sous le rideau musculaire une exostose de la
partie
supérieure du radius. Les doigts de la main son
travers la peau leur relief, l'hypertrophie empiète du reste sur la
partie
latéro-externe de la jambe, on la retrouve à la p
reste sur la partie latéro-externe de la jambe, on la retrouve à la
partie
interne du triceps, à la partie tout inféro-ext
ne de la jambe, on la retrouve à la partie interne du triceps, à la
partie
tout inféro-externe de la cuisse. Les régions mus
t proémi- nent et les clavicules sont déformées notamment dans leur
partie
externe. Comme il a été remarqué, le raccourcis
e le ventre se dèveloppe en besace. 1 Les mesures des différentes
parties
du corps du malade ont donné les chiffres suiva
odules d'Héberden. - Examen radiographique. Chez notre malade les
parties
du squelette les plus intéressantes à étudier par
échantillon normal le tibia gauche de notre malade, c'est-à-dire la
partie
de son squelette qui est la plus déformée. On v
n assez profond qui sépare la face antérieure de cet organe en deux
parties
bien distinctes. Ce sillon suit une direction p
métrorragies continuelles et passa, pendant dix ans, la plus grande
partie
des journées assise dans un fauteuil. En 1900,
gmente et s'étend non seulement au dos du pied, mais également à la
partie
inférieure de la jambe. Cet oedème n'est pas dépr
t considérablement accru. Il occupe chaque segment du pied ; chaque
partie
comprise entre les articulations des doigts de
des sillons très profonds. A la jambe, l'oedème ne commence qu'a la
partie
moyenne et augmente progressivement jusqu'à la
mence qu'a la partie moyenne et augmente progressivement jusqu'à la
partie
inférieure où il forme un très gros bourrelet v
me un très gros bourrelet venant recouvrir comme une collerette une
partie
des autres régions oedématiées des pieds. La loca
s veineuses ou lymphathiques. La malade a encore perdu une grande
partie
de ses cheveux ; la plupart des grosses dents s
n démon ; mêmes idées hypochondriaqnes ; M... se plaint surtout des
parties
de son corps autres que les régions oedématiées.
est en voie de guérison. La circonférence du pied droit atteint à sa
partie
moyenne 38 centimètres ; celle de la partie inf
pied droit atteint à sa partie moyenne 38 centimètres ; celle de la
partie
inférieure de la jambe droite 49 centimètres. L
a jambe droite 49 centimètres. La circonférence du pied gauche à sa
partie
moyenne est de 37 centimètres ; celle de la par
pied gauche à sa partie moyenne est de 37 centimètres ; celle de la
partie
inférieure de la jambe gauche de 39 centi- mètr
t bien segmen taire au ni- veau des orteils et des pieds, mais à la
partie
inférieure de la jambe l'in- filtration va en p
ané sont distendus par un liquide qui paraît être entraîné dans les
parties
les plus déclives sous l'influence de la pesanteu
té supé- 284 STCHERBAK rieure droite, de même que dans les autres
parties
du côté droit du corps, on constatait des plaqu
é, amène à la conclusion que le diagnostic de la (1) La plus grande
partie
de la littérature contemporaine est citée dans le
'heure; bains locaux de 20 minutes à 35°; douches sédatives sur les
parties
malades, en pluie et à faible pression, à 35° pen
crampes professionnelles, même anciennes, diminuèrent et virent une
partie
de leurs symptômes disparaître. Il semble donc
Ce cancer secondaire siégeait, dans le premier cas, au niveau de la
partie
moyenne de la frontale ascendante gauche et occ
ne de la frontale ascendante gauche et occupait, dans le second, la
partie
postérieure et externe du lobe occipital droit.
guments prennent une colo ration bronzée plus accusée au niveau des
parties
découvertes et en parti- culier de la face, des
niveau des parties découvertes et en parti- culier de la face, des
parties
antéro-latérales du cou, de la face postérieure d
d pectoral, le petit pectoral, les .deuxième et troisième côtes, la
partie
antérieure et interne du troisième espace interco
usée sur la table interne des os du crâne. Il siège au niveau de la
partie
moyenne des circonvolutions rolandi- ques gauch
ndante et atteint le pied de la deuxième fron- tale. La plus grande
partie
de la tumeur est en avant de la scissure de Ro-
tingue seulement une masse granuleuse présentant quelques noyaux en
partie
détruits. Dans la zone d'extension du néoplasme
ation II. - Tumeur cancéreuse, du volume d'une noix, située dans la
partie
postérieure el externe du lobule occipital droit
de forme ovoïde, à plus grosse extrémité inférieure, se trouve à la
partie
postérieure et externe du prolongement occipita
du pli courbe qui est réduite à une lamelle très mince et creuse la
partie
postérieure de la circonvolution pariétale supéri
. Les .circonvolutions précédentes dans la profondeur desquelles la
partie
externe et supérieure de la tumeur est logée, s
nes ont une épaisseur d'un centimètre et demi au maximum et vers la
partie
moyenne du néoplasme, il n'existe que quelques
ral, le forceps major dans sa portion correspondant à la tumeur, la
partie
profonde de la première et de la deuxième circo
n rapport avec le cunéus, la scissure perpendiculaire interne et la
partie
postérieure du lobule quadrilatère ; elle affleur
reuse, épaisse, solide, résistante qui l'isole complètement ; de la
partie
interne de cette coque fibreuse partent des tra
etits foyers hémorragiques et aux portions té- langiectasiques ; sa
partie
centrale est grisâtre et ce tissu néoplasique app
omplètement inerte, sa moitié gauche est parésiée; il se relève, en
partie
, quand le son a est prononcé. Les troubles de l
phié; les valvules sont normales. Le foie est un peu globuleux à sa
partie
supérieure, sans cirrhose, ni gommes ; sa color
donne les résultats suivants : A droite, la cornée présente à la
partie
supérieure, vers l'angle supéro- interne, une t
base du cerveau, surplombant le corps pituitaire resté indemne. Sa
partie
antéro- inférieure se trouve immédiatement au-d
s prononcée encore au niveau du pro- longement latéral gauche. La
partie
inférieure de cette tumeur (son prolongement laté
x gros centraux et surtout les couches optiques, se propageant à la
partie
inférieure latérale et supérieure des deux vantri
rale et supérieure des deux vantri- cules latéraux et comprimant la
partie
correspondante du corps calleux. Cette infiltra
centimètre d'épaisseur environ. Les plexus cho- roïdes coiffent la
partie
supérieure de ces noyaux néoplasiques intra-ventr
viron. A droite, la tumeur laisse à découvert six millimètres de la
partie
inférieure du pédoncule cérébral droit sur lequ
morragie interstitielle. C'est peut-être à cette hypertrophie de la
partie
glandulaire du corps pituitaire que se rattache,
ie de la partie glandulaire du corps pituitaire que se rattache, en
partie
, l'adi- posité considérable que présentait cett
é observée chez le chien hypophysectomisé (Livon). Si on examine la
partie
postérieure du cerveau séparé par une coupe ver
les de l'insula du côté gauche. Le néo- plasme atteint également la
partie
supérieure et latérale du prolongement frontal
rtion des fibrilles et des cellules n'est pas égale dans toutes les
parties
delà coupe; on observe, en un point central, une
roglique est diffuse, les cellules sont plus nombreuses que dans la
partie
snus-pédonculaire de la tumeur; cependant, le rés
e type de description les lésions du nerf sciatique au niveau de la
partie
moyenne de la cuisse. La figure II montre au le
sion mécani- que. Peut-être même le mode de réaction règle-t-il une
partie
de la symp- tomatologie et de l'évolution clini
t primitives, au niveau des nerfs, lésions qui respectent en grande
partie
les fibres sensitives tandis qu'elles sectionnent
t très diminuée dans toute l'étendue des membres inférieurs et à la
partie
inférieure du tronc, et re- devient normale au-
ntre la pie- mère. Dans la région lombaire et sacrée supérieure, la
partie
centrale de chaque cordon est seule prise, les
upérieure, la partie centrale de chaque cordon est seule prise, les
parties
périphériques étant respec- tées, ainsi qu'une
x, mal limités, enfin, çà et là, on trouve, en pleine lé- sion, des
parties
saines, là où plus haut la démyélinisation sembla
isée, et d'un peu de pâleur diffuse des cordons postérieurs dans sa
partie
tout inférieure. Cette brève description suffit
ns les foyers né- crotiques, et surtout, semble-t-il, à l'union des
parties
saines et des par- ties plus atteintes, existen
ties plus atteintes, existent de nombreux capillaire (V. fig. 17), en
partie
au moins néoformés, en raison de leur nombre, t
aiguë serait une maladie systématique de la moelle, détruisant une
partie
bien délimitée de la corne antérieure (ou des d
ces cas que les lésions anatomiques sont étendues aussi aux autres
parties
de la moelle, par exemple aux colonnes de Clark
la maladie est susceptible de s'étendre quelquefois au bulbe et aux
parties
adjacentes du cerveau. Il y a déjà longtemps qu
3, j'ai vu en consultation 14 cas de la maladie se rapportant à des
parties
du pays fort distantes, c'est-à-dire aux provin
res, et pour les mêmes raisons. Nous donnons d'abord la plus grande
partie
des cas que nous avons observés. Seuls, les cas
aux quand l'enfant couchée essaye de s'asseoir, on constate que les
parties
supérieures du grand droit au-dessus de l'ombil
essus de l'ombilic se contractent d'une manière normale. Quant à la
partie
du muscle au-dessous de l'ombilic, on la trouve b
à droite qu'à gauche et il nous semble que c'est à droite plutôt la
partie
médiane du muscle qui est conservée. Déjà qua
mais beaucoup plus faible que dans les conditions normales. Dans la
partie
inférieure de la paroi abdominale également, on
térieur de l'os iliaque et ayant presqne l'aspect d'une hernie. Ces
parties
de la paroi abdominale (qui correspondent aux p
droite nous avons seulement de petites traces de contractions. Aux
parties
inférieures des grands droits nous voyons des c
yons pas qu'on puisse éliminer avec certitude une contraction de la
partie
correspondante du grand oblique (et également du
i- vante les douleurs lombaires ont encore apparu. Dans la dernière
partie
de cette nuit il s'est levé et on a observé que
eur. Il semble marquer toujours de la douleur si l'on presse sur la
partie
inférieure de la colonne vertébrale. On ne peut s
des muscles abdominaux nous avons obtenu avec le courant induit aux
parties
supérieures des grands droits et aux grands obliq
es de contraction qui cependant nous semblent certaines. Aux autres
parties
des muscles abdominaux nous n'avons vu aucune con
complète des membres inférieurs et du tronc ou tout au moins de la
partie
inférieure du tronc ; car lorsqu'on a essayé de l
pression que l'on exerce, mais ce n'est pas le cas pour les autres
parties
de la colonne vertébrale. Les ganglions sous-oc
nir sur ses jambes, si on ne l'y aide pas. Il y a une lordose de la
partie
inférieure de la colonne vertébrale et il faut
le droite, pendant que les mouvements de l'avant-bras droit sont en
partie
con- servés. La force de la musculature du tron
ntenses de l'épaule gauche qui ont duré deux mois ; dans les autres
parties
du corps les douleurs n'ont pas été fortes et e
t s'asseoir dans le lit sans qu'on l'y aide, et, s'il est assis, la
partie
supérieure du tronc tombe en avant et il ne peut
si. on le soutient ; mais il ne peut encore tenir le dos droit, et la
partie
supé- rieure tombe en avant, s'il n'est pas sou
ôme impossibilité pour le malade à tenir le tronc droit sans que la
partie
supérieure tombe en avant. Il peut marcher un p
ns affaire à une lésion complète des faisceaux pyra- midaux dans la
partie
supérieure de la moelle dorsale. Presque en même
ile) est dû à une lésion qui a atteint les cordons postérieurs à la
partie
supé- rieure de la moelle dorsale. Cette conclu
stique de ce cas, il faut admettre une myélomalacie ou myélite à la
partie
supérieure de la moelle dorsale, mais nous ne p
t les voir se localiser, non seule- ment dans le dos, mais dans une
partie
périphérique quelconque du corps, et il peut êt
isparu, il n'en est pas encore de même pour la rai- deur des autres
parties
de la colonne vertébrale ; car, lorsqu'on veut
ement et la persistance encore plus longue de la raideur des autres
parties
de la colonne verté- brale nous permet de-concl
orsal au plus haut degré possible et, par suite, un mouvement d'une
partie
de la colonne vertébrale dans la même direction
avec difficulté.Dans le décubitus latéral, au contraire, les autres
parties
de la colonne vertébrale peuvent se fléchir lib
de la colonne vertébrale se rapporte surtout (ou exclusivement) aux
parties
de la colonne vertébrale situées au-dessous des
; il y avait une faiblesse des muscles abdominaux, surtout dans la
partie
située entre le bord du thorax et la crête ilia
une paralysie des muscles abdominaux (aussi des grandes droits) aux
parties
inférieures et médiane de la paroi abdominale,
la paroi abdominale, mais les muscles étaient con- servés dans les
parties
supérieures. Dennett rapporte un cas où il a obse
trouve que la cause de ce déplacement est celle-ci, que, seuls, les
parties
du grand droit de l'abdomen au-dessus de l'ombili
en au-dessus de l'ombilic se contractent (et fortement) ; quant aux
parties
de ce muscle au-dessous de l'ombilic, on n'y pe
ilic, on n'y peut sentir la moindre contraction. En effet, toute la
partie
de l'abdomen si- tuée au-dessous du plan de l'o
tout à fait flasque sans contraction perceptible. L'asymétrie de la
partie
inférieure du thorax pendant la contrac- tion d
ative. On peut obtenir des réflexes abdominaux par irritation d'une
partie
quel- conque de l'abdomen, mais le réflexe est
nt de réflexe consiste toujours en une contrac- tion très nette des
parties
supérieures des grands droits de l'abdomen. On n'
n regardant le réflexe abdominal, on a plutôt l'impres- sion que la
partie
de l'abdomen située au-dessus de l'ombilic s'est
cas de Loewegren, cité ci-dessus ; dans tous les deux, seules, les
parties
supérieures des muscles abdominaux ont été cons
supérieures des muscles abdominaux ont été conservées et toutes les
parties
inférieures de ces muscles ont été pa- ralysées
ralysées. Dans notre cas, il est remarquable que la contraction des
parties
conservées des grands droits ait été aussi fort
rmale, tandis que nous ne pouvions constater aucune contraction des
parties
inférieures de ces muscles. Dans ce cas il est
YÉLITE AIGUË 429 contracter par le courant électrique seulement des
parties
des grands droits (ce qui serait possible chez
ividus maigres); il se déplace vers le haut pour la contraction des
parties
supérieures de ces muscles et vers le bas pour
s supérieures de ces muscles et vers le bas pour la contraction des
parties
inférieures. Comme on le voit, cette observatio
fait qui s'explique, selon moi, par le manque complet de tonus des
parties
inférieures paralysées des grands droits. Nous ne
quement par le môme mouvement, c'est-à-dire par une contraction des
parties
conservées des grands droits et jamais on ne vo
and le malade fait se contracter ses muscles abdominaux ; alors, la
partie
du bord du thorax qui est, dans les conditions
aladie. Les grands droits sont assez bien conservés ; toutefois, la
partie
inférieure de ces muscles est réduite à droite.
mince) de tenir le tronc debout sans s'aider des bras, sans que la
partie
supérieure du tronc tombe en avant. C'est le seul
ière et à la distance sont normaux. Cou. On constate nettement à la
partie
intérieure du cou la saillie du corps thyroïde
lmonaire, la présence d'uue tumeur. Eu bas, cette tumeur part de la
partie
moyenne de l'aorte ascendante ; elle est formée à
à ce niveau d'une seule masse qui très rapidement se divise en deux
parties
aplaties, remontant entre gros les vaisseaux.
nettement : elle a-la forme d'un fer à cheval, constituée par deux
parties
verticales, hautes respectivement de 9 cent. 5
e 9 cent. 5 et de 7 cent. 5, larges chacune de 4 centimètres à leur
partie
infé- rieure et à leur partie moyenne, s'effila
arges chacune de 4 centimètres à leur partie infé- rieure et à leur
partie
moyenne, s'effilant à leur partie supérieure. L'é
eur partie infé- rieure et à leur partie moyenne, s'effilant à leur
partie
supérieure. L'épais- seur maxima de chacune de
ne dépasse pas 1 cent. 5. 436 LAIGNEL-LAVASTINE ET BOUDON A leur
partie
inférieure, ces deux parties verticales sont unie
436 LAIGNEL-LAVASTINE ET BOUDON A leur partie inférieure, ces deux
parties
verticales sont unies par une partie transversa
eur partie inférieure, ces deux parties verticales sont unies par une
partie
transversale large de 3 centimètres,épaisse de
. Le corps thyroïde est très volumineux ; il pèse 50 grammes. De la
partie
gauche de l'isthme se détache la pyramide de La
constate que ces amas cellulaires sont formés pour leur plus grande
partie
de cellules rondes dont le noyau fortement coloré
visible : cette régression plasrnodiale de la fibre n'occupe qu'une
partie
très limitée de celle-ci qui re trouve en dehor
lus fréquente dans les régions voisines de la muqueuse que dans les
parties
plus profondes. Les libres musculaires sont nor
ui trouve une hauteur verticale de 1 m. 88. Il semble qu'une grande
partie
de cette haute taille soit due à-l'allongement de
en dehors : celle du 5e orteil correspond à droite au niveau de la
partie
moyenne de la 4Te phalange du gros orteil, à gauc
« adolescent vieillot ». Ajoutons que les proportions des diverses
parties
du visage sont remarqua- blement conservées ; i
, en somme aucun trait ni de myxoedème ni d'acromégalie de toute la
partie
supérieure du visage. On pourrait signaler un
pille petite, légèrement atrophique. Signes d'arrêt de déve- (1) La
partie
clinique, radiographique et critique de ce travai
raphique et critique de ce travail revient surtout à M. E. Levi; la
partie
relative à l'étude chimique de l'échange matériel
composant une quantité énorme de sonnets, de poèmes et de drames en
partie
volés, çà et là, en partie de son essort et par
me de sonnets, de poèmes et de drames en partie volés, çà et là, en
partie
de son essort et par conséquent ayant un contenu
u niveau des jam- bes dans la région malléolaire où l'épaisseur des
parties
molles est énorme. Les masses musculaires sont
douleur, mais donne une sonorité différente dans les diffé- rentes
parties
à cause de l'épaisseur différente des parois osse
tal de la cornée avec ectasie de la sclère dans la région ciliaire,
partie
interne. OEil gauche : Visus : 0. L'oeil droit
ommodation ; elle ne réagit pas du tout t à la lumière. ' Dans la
partie
supérieure droite du foramen pupillaire droit,on
s ne présentent pas de pigmentation anormale. Les dents manquent en
partie
; celles qui restent sont grandes, bien con- fo
s. Les extrémités supérieures sont bien propor- tionnées dans leurs
parties
; les mains très grandes en comparaison d'une mai
comparaison d'une main normale,ne le sont pas, comparées aux autres
parties
du corps de notre patient. Elles ont le type lo
ntrent aussi une très nette disproportion entre le squelette et les
parties
molles prépondérantes : il y a, c'est-à-dire, a
rties molles prépondérantes : il y a, c'est-à-dire, acromégalie des
parties
molles (l'I. LI, LII). Le même fait est évident
e acromégalique est donné plutôt par le développer ment exagéré des
parties
molles vis-à-vis du squelette. L'examen radiogr
infantile. Nous avons dit que Palazzi présente de l'acromégalie des
parties
molles et nous dirons en plus que cela n'est pa
de tambour » et cet aspect dépend complètement du développement des
parties
molles, car la radiographie nous apprend que le
éressants d'arrêt de développement. Nous avons la persistance d'une
partie
de la membrane pupillaire de Wagendorff et ectr
du cou-de-pied très minces en rapport au, développement énorme des
parties
molles; il y a manifeste acromégalie des parties
ppement énorme des parties molles; il y a manifeste acromégalie des
parties
molles. Le profil du calcanéum est anguleux, po
ication de l'aponévrose plantaire. La déformation du crâne, dans sa
partie
faciale, surtout, est identique dans les deux m
re géant dépend aussi en grande partie du développement exagéré des
parties
molles et cela aussi bien en correspondance de la
on deltoïdienne, descend le long de son bord externe, vient vers la
partie
inférieure du bras apparaître sur sa face antérie
emblablement de la vie intra-utérine; 2° Que par sa situation, à la
partie
inférieure de la région cervicale et à la parti
sa situation, à la partie inférieure de la région cervicale et à la
partie
supérieure de la région dorsale, elle est en quel
t exagérée. Sensibilité : sensations subjectives de douleur dans la
partie
supérieure de la colonne vertébrale, irradiatio
ective : légère exagération de toutes sortes de sensibilité dans la
partie
supérieure du corps, aux bras et au cou. Sensibil
tou- cher (pneumonie catarrhale). Les lobes supérieur, moyen et la
partie
antérieure du lobe inférieur sont perméables à
yaline bien nette. Ces vaisseaux calcifiés siègent surtout dans les
parties
postéro-latérales de la dure-mère (5 à 10 par c
ant presque une courbe régulière d'un cercle. En l'examinant par sa
partie
antérieure on voit qu'elle forme uue légère sco-
u'il est impossible de reconnaître la tête de la côte ; parfois une
partie
de la tète est encore reconnaissable. Dans un c
econnaissable. Dans un cas (4' côte), on aperçoit une fente dans la
partie
supérieure de l'espace correspondant à l'articula
l'espace correspondant à l'articulation costo-vertébrale efdontune
partie
seulement est oblitérée par la fusion de la tête
premier une fusion inégale de quelques vertèbres surtout dans leurs
parties
antérieures, avec disparition des disques inter-
tions provoquent une dégénérescence des racines postérieures et en
partie
des racines antérieures, d'où résulte une parés
act du tibia et du pé- roné. L'ostéoporose constatée dans certaines
parties
est comme com- pensée par l'infiltration osseus
une transformation ostéoïde du carti- lage intervertébral , dans la
partie
située immédiatement sous -l'os. ANKYLOSE DE LA
up plus favorables pour la formation d'une ankylose que toute autre
partie
du système osseux. Ces articulations sont moins
la sensibilité tactile et la douleur sur le gros or- teil et sur la
partie
avoisinante de la plante du pied. Anesthésie aux
s siège au niveau de la qua- trième et de la troisième lombaire, en
partie
détruites, affectant la forme de coins dont les
rations très graves. Ils sont exlraordinairement légers, poreux, en
partie
rongés, en partie résorbés. Il existe quelque p
s. Ils sont exlraordinairement légers, poreux, en partie rongés, en
partie
résorbés. Il existe quelque part une néoproductio
rer et acquérir des adhérences plus ou moins considérables avec les
parties
voisines; ils peuvent, d'autre part, s'ulcérer et
ur une ou deux vertèbres : le corps s'écrase d'abord sur une de ses
parties
latérales et la vertèbre affecte la forme d'un
s ponts osseux entre les vertè- bres qui participent en plus grande
partie
au processus morbide, ponts osseux qui permette
de Baduel (I. c.). Dans tous les deux, l'ombre radiographique de la
partie
de la colonne, où siège la déviation (portion lom
, avec radiographie : les 3e et 4° lombaires étaient écrasées et en
partie
luxées,les corps vertébraux étaient plus transpar
de plus des troubles étendus de la sensibilité, même dans d'autres
parties
du corps. Pour toutes ces raisons, il parait pl
r difformités osseuses et articulaires des membres, spécialement delà
partie
droite du corps. La peau et les muqueuses visib
ormales tant pour la forme que pour les di- mensions. Les dents, en
partie
cariées, sont disposées régulièrement. Membres
très prononcées, la surface en est régulière ; l'épaisseur dans la
partie
médiane est presque de 3 centimètres. L'omopl
épaissie ; les mouvements donnent lieu à des craquements et sont en
partie
limités, plus dans le sens de la flexion que dans
ies sont bien différentes. * Dans l'acromégalie ce sont surtout les
parties
molles et les os du visage, des mains et des pi
ORMANTE 533 L'elephantiasis des membres se développe aux dépens des
parties
molles. L'hyperostose diffuse fait aussi l'ép
echer- ches n'ont été obtenus que par l'étude des os dépouillés des
parties
mol- les. Les premiers, Lévi et Londe (1) ont c
le montant d'une succession il en dépense rapidement la plus grande
partie
en abus alcooliques et fait à ce moment des excès
élite aiguë à se conti- nuer sans interrupiion le long d'une grande
partie
de la moelle. Mais, si cette règle se vérifie p
ou faiblesse ou paralysie (exception faite, bien entendu, pour les
parties
supérieures du thorax où les mouvements d'inspi
, ce malade a respiré seulement par le diaphragme et la plus grande
partie
du thorax est restée immobile. En réalité, il y a
tard mon collègue, le professeur Lennauder, a pratiqué la première
partie
de l'opération. Dans ce cas, la respiration s'e
cela que nous avons donné toute notre attention à l'étude de cette
partie
toute nouvelle du problème. Nous savons parfa
créatinine, des diamines, etc.. Nous savons que la production'd'une
partie
de ces substances est en rapport étroit avec les
nts produits de la putréfaction intestinale : scatol, phénol et (en
partie
) indican. Ces substances donnèrent toujours des r
'en fit qu'un révolté. La flèche incurvée sur l'abdomen indique les
parties
génitales. Ces dernières portent une simple ins
) V... professe publiquement des idées anarchistes. Il porte sur la
partie
médiane du dos une tête de femme, sur les régio
que j'ai signalée sur la région thoracique gauche. - . b) Sur la
partie
antérieure du tronc, on voit une guirlande de fle
bes du cervelet; le cervelet est atrophié également dans toutes ses
parties
, et la méninge en parait plissée, ridée, sans épa
moins nombreuses, bien que sur une coupe horizontale passant par la
partie
moyenne on puisse en compter 40 à 45 environ ;
observe. Les fibres qui traversent l'olive sont très raréfiées; la
partie
ventrale de l'olive est complètement démyélinis
rouve seulement quelques fibres, rares, tortueuses. Dans les autres
parties
, les fibres sont très diminuées de nombre, vari
lement disparition d'un certain nombre de fibres. Au niveau de la
partie
externe du pédoncule cérébelleux moyen gauche, on
elé semblent à l'aeil nu avoir complètement disparu au niveau de la
partie
médiane de ce noyau. Celles qui persistent, sur c
linisation atteigne à beaucoup près l'intensité qu'elle prend dans la
partie
interne. A la région dorsale du noyau dentelé
les fibres nerveuses. Un autre foyer de démyélinisation existe à la
partie
supéro-externe du pédoncule cérébelleux moyen d
- dent pas trois millimètres sur coupe transversale au niveau de la
partie
moyen- ne du pédoncule, où il est le plus marqu
intra-ciliaires sont, nous l'avons dit, extrêmement rares. Dans la
partie
moyenne, elles sont clairsemées; on peut cependan
es, sont épaisses et bien conservées. Sur les coupes intéressant la
partie
supérieure du noyau dentelé, les pédon- cules c
des fibres très clairsemées. 2° Segment juxta-velltl'icutaire. - La
partie
ventriculaire est considérable- ment amincie, r
grêles; de plus un foyer de ramollissement ancien vient couper une
partie
minime du bras gauche de ô10 LEJONNE ET LHERMIT
u bras gauche de ô10 LEJONNE ET LHERMITTE cette commissure et une
partie
encore plus restreinte des fibres postérieures du
rouge paraît à peu près normale du côté droit ; du côté gauche, la
partie
externe de la capsule est moins dense, moins ri
volutions. Au microscope, dans les régions les moins altérées, à la
partie
moyenne surtout, la lame grise est hypertrophié
restent seulement quelques très rares fibres myéliniques. Dans la
partie
supérieure de l'olive, les altérations sont tout
iale dans le territoire que leur assigne l'ana- tomie normale. La
partie
interne du pédoncule cérébelleux inférieur (corps
III' paire du même côté. Au microscope la lésion apparaît dans la
partie
toute supérieure de la pro- tubérance annulaire
arrière jusqu'au faisceau longitudinal postérieur qu'il coupe. A sa
partie
moyenne le foyer détruit la voie pyramidale, la m
déçussent à ce niveau et le faisceau longitudinal postérieur. A sa
partie
supérieure le foyer sectionne la majorité des fib
la majorité des fibres du moteur oculaire commun et une très faible
partie
du ruban de Reil. Au niveau de ce foyer tous le
interne ; dans les régions supérieures on constate l'atrophie de la
partie
tout à fait interne de ce ruban : Nouvelle Ic
ionné les fibres du faisceau longiludinalpos- térieur gauche et une
partie
des fibres du faisceau central de la calotte. E
cérébelleux. Ce foyer d'ailleurs n'attei- gnait qu'une très minime
partie
des fibres entrecroisées du pédoncule cérébelle
618 11 LEJONNE ET LHERMITTE suivant que l'atrophie porte sur une
partie
ou au contraire atteint la tota- lité du cervel
rvicale exclusivement au sillon pédotictilo- protubérantiel. A la
partie
inférieure du bulbe, immédiatement au-dessus de l
on et inclusion dans celloïdine) d'une part, une coupe passant à la
partie
inférieure de la protubérance d'un adulte (1), et
etite tumeur pédiculée que nous avons signalée plus haut. Dans la
partie
supérieure de la tumeur, sous le plancher du 4° v
quatrième ventricule, d'autre part vers la protubérance et vers la
partie
inférieure du I)ull)é.Assez rapidement'se constit
érieurs des ventricules. L'épaisseur de l'écorce ventriculaire à la
partie
antérieure du globe frontal ne mesure que 8 mm.
lui des autres glandes endocrines. Il est donc incontestable qu'une
partie
des modifications dystrophiques ne sont plus du
fe ; les symptômes morbides sont plus accentués à droite et dans la
partie
distale plus que dans la proximale. Il y a une
otait une légère hyperesthésie à la chaleur et à la douleur dans la
partie
distale. Après environ un an et demi, c'est-à-d
cles des jambes). L'atrophie musculaire peut encore atteindre ou la
partie
symétrique ou la partie immédiatement supérieur
phie musculaire peut encore atteindre ou la partie symétrique ou la
partie
immédiatement supérieure ou inférieure, mais elle
scence. La sensibilité tactile est un peu diminuée aux orteilsetaux
parties
périphéri- ques des doigts : pas d'autres troub
ce qui prouve que les muscles interosseux ont conservé au moins en
partie
leurs fonctions. Les autres mouvements des doigts
muscles des jambes, mais nettement développée aussi pour les autres
parties
des membres. Il n'y a aucune réaction de dégénére
lade ne peut plus s'asseoir sans s'aider des bras. La paralysie des
parties
périphériques des membres supérieurs a augmenté
rience, très souvent des dysesthésies des membres, surtout de leurs
parties
les plus périphériques, les orteils et les bout
dues à une infection localisée dans le même neurone, mais dans des
parties
différentes du neurone [Strumpell (98) (1), Ray
ins étendue, en général complète et toujours per- sistante dans une
partie
des cornes antérieures. La polynévrite, au con-
elle peut l'être quand il s'agit de deux maladies se rapportant aux
parties
du corps qui sont dans une certaine relation au
stater un certain degré de cette altération également dans d'aulres
parties
de la moelle et aussi dans les méninges. Si n
endante presque dans la plupart des cas où la paralysie atteint des
parties
du corps autres que les membres inférieurs. Il
par né- cessité d'être plus épais étant moins longs. On note à la
partie
droite du cou sur le maxillaire et à la partie su
longs. On note à la partie droite du cou sur le maxillaire et à la
partie
supérieure du bras gauche des cicatrices profon
montrent des humérus d'apparence épaisse et trapue, surtout à leur
partie
supérieure. Les dimensions transversales sont l
éveloppé. Il a la forme d'un coin dont la base serait dirigée vers la
partie
in- terne et supérieure du thorax. A sa partie
rait dirigée vers la partie in- terne et supérieure du thorax. A sa
partie
supérieure il présente une échan- crure très ac
t courbé dans son tiers moyen. Son épiphyse proximale ne fait point
partie
de l'articulation du coude,ne l'atteignant guère
itutions fondées sur leurs croyances deviennent caduques. Une bonne
partie
de l'économie sociale est à reconstituer, si on v
uel de ces deux principes d'action il faut rapporter, en tout ou en
partie
l'activité vitale instinctive et habituelle. Les
nature et nous voyons déjà poindre l'instinct. Mais la plus grande
partie
des substances qui entrent dans la composi- tio
us dans les conditions vitales de la simple cellule dont toutes les
parties
baignent dans le milieu et ce changement dans l
l poursuit. La différence entre les deux réside dans ce fait qu'une
partie
du cerveau de l'homme s'est développée sous l'a
nsé- quent, à la différence de la plante et seulement lorsque cette
partie
du cerveau est suffisamment organisée, l'homme
centrifuge, transmet l'influx nerveux moteur. L'excitation initiale
partie
d'un point quelconque sera transmise par un ner
de la conscience et paraissent volontaires, se rencontrent déjà en
partie
à la période d'inconscience qui suit immédiatem
ournal de physiologie, Paris, 1869. 716 LEFEVRE décompose en deux
parties
dont l'une est motrice et l'autre sensitive, la
la seconde. Ayant placé la source de l'activité des organes dans la
partie
motrice qui peut être aussi vaso-motrice ou sécré
- tème nerveux, il suffit de chercher la cause qui met en oeuvre la
partie
sensitive de l'arc réflexe qui constitue elle-m
e nouvelles excitations et ainsi de suite jusqu'à ce que toutes les
parties
du corps aient été animées et participent à la vi
ste d'autres qui, primitive- ment inconscients, font ultérieurement
partie
de ceux dont la connais- sance n'échappe pas à
veau, organe de la pen- sée, il résulte de ce qui précède que cette
partie
noble de l'axe cérébro- spinal n'existant pas o
par l'expérimentation accidentelle même, de la matière cérébrale en
partie
héritée, en partie organisée après la naissance,
on accidentelle même, de la matière cérébrale en partie héritée, en
partie
organisée après la naissance, mais adaptée à de
, éclatent au début de cette maladie et qu'ils font pour ainsi dire
partie
de la période céphalique ». Nous n'avons pas be
che du septum médian. La seconde zone des lésions occupe une grande
partie
du cordon postérieur, suivant l'aire d'un trian
ensemble l'ovale de Flechsig ; les fibres ascendantes occupent la
partie
antérieure du cordon et affectent chacune la form
'autres semblent atrophiées. Plus haut les fibres de Clarke sont en
partie
délllyélinisées. Le canal de l'épendyme est com
t, à la bandelelte externe de Pierret occupe par conséquent tout ou
partie
du cordon de Burdach. Elle possède très peu de
illons. Ce réseau est mieux conservé, bien que cependant en majeure
partie
détruit, dans les circonvolutions tem- porales
ulement la région des fibres exogènes, mais aussi, tout au moins en
partie
, celle des fibres endogènes; la zone de Westpha
autorisé à penser qu'il s'agit ici, tout au moins en très grande
partie
, d'une dégénération des fibres endogènes. Dans
tier et la sclérose des champs atteints qui occupent, au moins en
partie
, la zone radiculaire antérieure. Ce premier fait
nous suffit amplement qu'il y ait des modifications évidentes d'une
partie
des neurones intra- spinaux, modifications. qui
nous avons pu reconnaître comme sains le centre de Flechsig et une
partie
de la zone de Weslphall, aucune autre localisat
s dans les racines postérieures; les autres per- sistent en majeure
partie
et sont représentées, dans le champ sclérosé, p
pas a Pl'i01'i rejeter cette cause et refuser de lui attribuer une
partie
de l'effet produit. Mais il est un autre proces
e des idées de négation. Celles-ci per- sistent cependant encore en
partie
, mais avec une nuance de persécution (si 11,10
tous les plans, jusques et y compris le sque- lette sous-jacent aux
parties
molles ; celles-ci étaient accolées aux plans o
s hypothèses émises sur la signification physiologique des diverses
parties
de l'appareil thyroïdien. Celle d'après laquell
nde, en état de déchéance fonctionnelle. Il y aurait entre les deux
parties
de cet appareil, association fonctionnelle, les
intéressant la zone motrice gauche, sans aucune lésion des autres
parties
du cerveau. B. Il y avait hémiplégie totale droit
nsibilité musculaire du membre inférieur semble être placé- dans la
partie
antérieure du lobule pariétal supérieur; 2°les lé
térieures conservées par le souvenir, peut disparaître sans que les
parties
élémentaires, dont il est formé, aieuL elles- m
ches terminales de cette artère et très ralentie dans la pre- mière
partie
de la cérébrale postérieure qui donne naissance a
de diagnostiqueur la localisation de la tumeur; l'envahissement des
parties
voisines rend la plupart du temps ce diagnostic i
ubstance nerveuse est livide gris-ardoisé; de même, dans les autres
parties
du centre ovale des deux côtés. Le microscope m
de près de un centimètre, portant presque toute son'action sur ses
parties
postérieures, au niveau des premières paires lom-
llongés et du siège; 2° à produire, par une traction exercée sur la
partie
supérieure du tronc, la flexion progressive des r
'est pas douteux qu'il s'agit dans ce cas d'une syringomyélie de la
partie
cervicale et dorsale supérieure de la moelle (ane
dons de Goll, la dégénération est surtout prononcée au niveau de la
partie
cervicale de la moelle. Les cellules des gan- g
énérale une étude étiologique et pathogénique. z Dans la première
partie
de leur livre, MM. Mairet et Vires ana- lysent
e devait sortir forcément une vue synthé- tique : c'est la deuxième
partie
. Enfin, essayer de pénétrer la pathogénie de la
plément, presque un corollaire thérapeu- tique : c'est la troisième
partie
du travail. I. La précision de l'étiologie semb
qui, dès le début, porte sur les éléments nobles et sur les autres
parties
du cerveau ». Malgré l'unité clinique, la paral
altérations du système nerveux tout entier. Nous ignorons quelle
partie
de ce système est intéressée la première. En ét
n, une bandelette de fibres, relativement saines, se des- sine à la
partie
interne du faisceau de Burdach, au centre même
l'avons toujours vue altérée, à des degrés divers, dans toutes ses
parties
: corne antérieure, corne postérieure, commissu
ribuent à la formation de ce faisceau, d'un retentissement, sur une
partie
du neurone médullaire, de la lésion, bien const
rose plus active. Les fibres moyennes vont, après un trajet à la
partie
externe du faisceau de Burdach, aboutir aux cel-
olument indépendante de l'état de santé ou de maladie de toutes les
parties
de l'appareil nervo-musculaire, situées en deho
e 8 heures du matin à 8 ou 9 heures du soir. Pendant la plus grande
partie
de ce temps, l'oeil gauche est armé d'une loupe
s patellaires. Autopsie. Un sarcome (à cellules rondes) occupe la
partie
moyenne de la frontale ascendante droite. Inflamm
unit l'extrémité centrale du nerf optique à l'oculomoteur; si celte
partie
était seule lésée, on n'observerait que de la m
ubles fonc- tionnels des membres; donc il n'y a pas lésion de cette
partie
de j'oculomoteur qui occupe la substance du péd
les limites de l'articulation lésée (ceinture scapulaire, fesse et
partie
supérieure de la cuisse généralement) et qu'elle
nre, afin de diminuer la sécrétion glandulaire ; la résection d'une
partie
de la glande étant un moyen dangereux. Walter
tion normale n'est pas connue. Cette maladie doit avoir une origine
partie
nerveuse, partie humorale. L'exophtalmie est du
t pas connue. Cette maladie doit avoir une origine partie nerveuse,
partie
humorale. L'exophtalmie est due à une altératio
ois neurones médullaires entre en jeu. Le neurone moteur situé à la
partie
antérieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans
tué à la partie antérieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans la
partie
moyenne de la substance grise, le neurone sensiti
osée. Réflexes cutanés (épigas- triques, abdominaux, plantaires) en
partie
absents. Pas de troubles objectifs de la sensib
tente plus ou moins longue, quand on excite le segment médian de la
partie
antérieure du gyrus sigmoïde (en avant du sillon
tion de la pression latérale suivie d'hyperpression, en excitant la
partie
externe et moyenne du segment antérieur de la c
originelle. Enfin on diminue le tonus vasculaire en excitant les
parties
moyennes de l'hémisphère (région pariétale). Par
rt avec le trajet des nerfs de la peau et qui occupe la main et une
partie
de l'avant-bras ; c'est une anesthésie hystériq
ent intéressant toute la largeur du pont de Varole, thrombose d'une
partie
de la basi- laire et d'une de ses branches. L'a
avant tout graphique ; les 45 planches qui le composent, en sont la
partie
essentielle. 111. Waller sesert toujours du dis
section bien égale de la calotte crânienne ; on obtient ainsi deux
parties
, la base et la calotte que l'on peut, sans inconv
ent du Cl. En tout cas, l'analyse du sang montre que la plus grande
partie
du Br est retenue dans le sang; dans un cas où
. Rien de particulier dans le domaine des nerfs craniens et dans la
partie
supérieure du corps. Paralysie inférieure absol
faradique diminuée dans les muscles des bras et des avant-bras (la
partie
cubitale est plus atteinte). Anesthésie des mem
nce médullaire, tantôt l'enve- loppant en forme de manchon. Dans la
partie
cervicale et dorsale supérieure, le néoplasme n
mère et la moelle; le tissu médullaire est par places mollasse, les
parties
centrales imbi- bées de sang; à la coupe tranve
racines de la queue de cheval. Les poumons, emphysémateux dans les
parties
supérieures, pré- sentent à leur base une bronc
'éléments sarco- mateux, on n'y voit que du tissu conjonctif. Cette
partie
corres- pond à la moelle : les contours en sont
te; le même sort est subi par les racines extramédullaires. Dans la
partie
centrale, la substance médullaire manque sur une
1 Cependant un examen plus minutieux permet de distinguer dans la
partie
centrale de la coupe les contours de la moelle; i
s d'éléments sarcomateux avec de nombreux tractus fibreux. Dans les
parties
périphériques de la moelle l'attention est atti
sarcomateux. La plus grande épaisseur de ce manchon correspond à la
partie
postérieure de la moelle; les foyers des cellul
et infiltrées. La moelle comprimée revêt l'aspect d'un polygone. La
partie
centrale est détruite par la néoformation qui p
orsale (fin. 9) la coupe offre un aspect tout particulier : dans la
partie
centrale de la moelle se trouve une grande cavi
'un ruban sinueux, parallèle à la corne postérieure gauche; dans sa
partie
centrale le tissu est beaucoup plus lâche, par pl
issu mé- dullaire, mais dans la moitié opposée de l'organe, dans la
partie
centrale du faisceau de Burdach droit. Les deux
ical : la moelle apparaît de nouveau comprimée et déformée. Dans sa
partie
centrale l'amas de cellules sarcomateuses persi
la moelle. La néoformation est située presque exclusivement dans la
partie
postérieure de l'espace subdural et ce n'est qu
ostérieure en forme d'un large coin détruisant le tissu nerveux. La
partie
centrale de la moelle est aussi défor- mée : ou
diffuse de la névroglie. Cette lésion a particulièrement atteint la
partie
centrale du cordon postérieur gauche : on y voi
un aspect bizarre, vu le grand nombre de territoires dégénérés : la
partie
voisine du sillon antérieur est détruite par la n
sentent une dégénération ascendante des plus marquées, enfin les
parties
centrales des cordons postérieurs et latéraux ne
u de la lIe racine cervicale la tumeur méningée prédo- mine sur les
parties
latérales de la moelle sans pénétrer dans sa
tus ou une substance amorphe. Pareil aspect présente la plus grande
partie
de deux cordons postérieurs (sans compter les c
e infiltration diffuse d'éléments sarco- mateux. · La plus grande
partie
du bulbe ne put être fixée, vu son ramol- .liss
conservé incomplètement, correspond au noyau du nerf hypoglosse. La
partie
dorsale de la coupe est détruite par le ramolli
nerveux des plexus lombaire et sacré sont enveloppés sur une petite
partie
de leur parcours extravertébral d'une gaine d'é
enclins à supposer. Mais quand l'affection, après avoir envahi la
partie
infé- rieure de la moelle, s'est mise à monter
ance apparemment dans la pie-mère spinale ; elle a détruit toute la
partie
inférieure de la moelle et a percé la paroi ver
yramides, varie à différentes hauteurs; son maximum correspond à la
partie
inférieure du renfle- ment cervical. L'autre vo
le- ment cervical. L'autre voie suivie par la néoformation est la
partie
centrale de la moelle : elle y a poussé en forme
fférences sont très grandes. La prédominance de lanéoformation à la
partie
postérieure du cordon médullaire, notée par la
LIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 181 Il est à supposer que c'est la
partie
inférieure de la moelle qui donne le plus souve
tes ces métamorphoses régressives ne se rencontrent guère dans la
partie
de la néoformation qui entoure la moelle en manch
néoformation qui entoure la moelle en manchon (c'est-à-dire dans la
partie
supérieure en commençant de la huitième racine
plique jusqu'à un certain point par l'origine plus récente de cette
partie
. Les condi- tions étaient les mêmes dans les ca
tre observation un lien intime avec le tissu nerveux. Ainsi dans la
partie
inférieure de la tumeur les vaisseaux et les co
vement au territoire qui corres- pond à la moelle détruite. Dans la
partie
supérieure, où la 'néoformation se divise en pé
plasie n'épargnait guère le tissu nerveux (ainsi elle détruisit une
partie
du cervelet dans les cas d'Ollivier et de Busch
ns le contraire. La néo- formation a non seulement détruit toute la
partie
inférieure de la moelle, mais elle a donné enco
ssu nerveux nous avons mentionné un ramollissement qui a détruit la
partie
supérieure de la moelle cervicale et le bulbe.
aient des lésions vasculaires devaient être bien graves, mais cette
partie
de la moelle offre encore des indices d'un proc
comateuses des traces d'un pro- cessus dégénératif; ensuite dans la
partie
centrale les cel- lules disparaissent formant u
adësintégrationdu sarcome, il faudrait s'attendre à la voir dans la
partie
infé- rieure de la moelle, là où le sarcome est
mée par un sarcome ayant pris naissance dans la dure-mère ; dans la
partie
centrale de la moelle sur toute l'étendue de l'
rouvons une analogie complète. La tumeur qui se développait dans la
partie
inférieure du canal rachi. dien devait, avant d
oagulé, c'est ce qui fait augmenter d'autant l'aire de la coupe. La
partie
centrale de la moelle est la plus atteinte. le
excitation lorsqu'ils ont à intervenir chez des buveurs. La majeure
partie
des troubles psychiques post-opératoires relevé
sélection à laquelle sont soumis les militaires, et qui élimine en
partie
les prédisposés. C'est donc un argument en fave
z les sujets atteints plus tard de paralysie générale cela tient en
partie
à ce qu'ils ont l'énergie et l'habileté de les
à exposer la façon dont il faut concevoir la question. C'est là- la
partie
essentielle du rapport, nous la reproduisons text
issante aboutitssant dans quelques cas à la mort. Dans la seconde
partie
, il insiste sur le mode de réossification des b
ociale, artistique et militaire, nous n'avons eu que cette dernière
partie
: c'est un peu maigre pour des hommes de science,
la trame chromatique sont SOCIÉTÉS SAVANTES.. 259 détruites en
partie
. Mais la lésion principale que les préparations
oute la police médicale aux médecins qui en ont déjà la plus grande
partie
, mais enlever aux directeurs la police générale
il suffit d'avoir des préaux suffisamment grands, comme ceux de la
partie
anté- rieure de l'asile d'Evreux qui ont une lo
niveau, et au côté opposé dans une zone plus étroite située dans la
partie
interne de la même articulation : la sensibilit
nférieurs. La thermanesthésie au froid est ressentie dans les mômes
parties
que celle de la chaleur. Toucher. La sensibil
rale a lieu seulement dans la moitié droite du corps, tandis que la
partie
opposée reste froide et sèche. La sueur est trè
fessière, dans le dos et à la cuisse, et à un degré moindre dans la
partie
droite du visage et au bras du même côté. En
néraux, a fait disparaître le pus de l'urine en lui resti- tuant en
partie
sa limpidité, quoiqu'elle laisse encore déposer u
uet.) Nous connaissons plusieurs villages de l'Isthme où la majeure
partie
des femmes urinent à la façon égyptienne. SYR
la main gauche et dans le doigt médius de la main droite; dans ces
parties
, un flacon d'eau à plus de 801 appliqué directe
te la jambe gauche et dans le tiers inférieur de la cuisse, dans la
partie
dorsale des deux mains et dans une zone étroite
un traumatisme quelconque, si insignifiant qu'il soil, sur quelque
partie
des mains ou des bras, provoque une forte dou-
harmonie de mouvements absolus, qui ne sont, en somme, que les deux
parties
d'un même organe vocal, doivent obéir à un même
mère médullaire. Les auteurs n'ont pas trouvé de parasites dans les
parties
de l'écorce du cerveau qu'ils ont examinées; il
des fibres des faisceaux pyramidaux, que cette lésion siège dans la
partie
encéphalique de ce faisceau (hémiplégie, monopl
tie encéphalique de ce faisceau (hémiplégie, monoplégie) ou dans sa
partie
spinale (paralysie flasque ou para- plégie spas
us et index gauches, intéressant à la fois les tissus osseux et les
parties
molles (photo et radiographies). Manifestations
E localisation DES CORDONS MOTEURS DE la MOELLE destinés A DIVERSES
parties
DU corps ; par J. G.1D et E. FLATAU (6 : M-o/09
hique dans la moelle, des fibres des pyramides destinées à diverses
parties
du corps. Huit expériences ont été pratiquées s
itation, on arrive à conclure que les fibres motrices destinées aux
parties
du corps voisines ne sont pas loin de la substa
ans la forme mais par croisement des termes, par transmission de la
partie
latente du sexe opposé. Les cellules du germe s
à chaud et privée après refroidissement de l'acide précipité : 100
parties
; ajouter 3 parties d'acide sulfurique concentré
après refroidissement de l'acide précipité : 100 parties; ajouter 3
parties
d'acide sulfurique concentré, filtrer au bout d
lfurique concentré, filtrer au bout de quelques heures et étendre 1
partie
de cette liqueur de 3 parties d'eau distilée.
u bout de quelques heures et étendre 1 partie de cette liqueur de 3
parties
d'eau distilée. On les place ensuite dans parti
ette liqueur de 3 parties d'eau distilée. On les place ensuite dans
parties
égales de liqueur de Muller (bichromate de pota
dans parties égales de liqueur de Muller (bichromate de potasse, 2
parties
, sulfate de soude 1 partie, eau dis- tillée 100
eur de Muller (bichromate de potasse, 2 parties, sulfate de soude 1
partie
, eau dis- tillée 100 parties) et de liqueur d'E
potasse, 2 parties, sulfate de soude 1 partie, eau dis- tillée 100
parties
) et de liqueur d'Erlitzki (Bichromate de polasse
ée 100 parties) et de liqueur d'Erlitzki (Bichromate de polasse 2,5
parties
; sulfate de cuivre, 0,5 partie; eau distillée 100
Erlitzki (Bichromate de polasse 2,5 parties; sulfate de cuivre, 0,5
partie
; eau distillée 100 parties); mélange auquel on
lasse 2,5 parties; sulfate de cuivre, 0,5 partie; eau distillée 100
parties
); mélange auquel on ajoute 5 gouttes de lactate
es ques- tions encore controversées sont celles de savoir de quelle
partie
du noyau d'origine naissent les fibres croisées
évidence que les cellules d'origine des fibres croisées occupent la
partie
postérieure et inférieure de chaque noyau. Ce
stérieure et inférieure de chaque noyau. Ces fibres se rendent en
partie
au muscle droit supérieur, au releveur de la pa
rmaline il 5 p. 100, puis dans l'alcool à 96°. On débita ensuite la
partie
inférieure du segment lombaire et tout le segme
tes les coupes au niveau d'un grand nombre de cellules situées à la
partie
postérieure de la corne antérieure droite. De l
noyaux d'innervation des muscles de la jambe et du pied occupent la
partie
postérieure des cornes antérieures de la moelle
postérieure des cornes antérieures de la moelle et s'étendent de la
partie
supérieure du cinquième segment lombaire, jusqu
l'ex- trémité supérieure du cinquième segment lombaire jusqu'à la
partie
inférieure du troisième segment sacré; un second
minutieuse, avec schémas à l'appui, d'anatomie topographique d'une
partie
du quatrième ventricule. A. M. XXVII. PHYSIOLOG
lame épaisse de substance grise. Cette excavation est située à la
partie
postérieure de l'hémisphère cérébral droit. Il y
phère droit. - Très injecté, adhérent par places aux membranes à la
partie
antérieure de la'circonvolution de la scissure
rès du nerf olfactif. Hémisphère gauche. - Foyer hémorrhagique à la
partie
postéro- interne. Substance cérébrale des deux
s membranes viscé- rales dans une étendue de trois centimètres à la
partie
moyenne de la face externe du cerveau, un peu p
cyphose de forme arrondie, accompagnée d'immobilité complète, de la
partie
dorsale de la colonne vertébrale ; les mouvemen
sous forme de cyphose arrondie de toute la région dorsale et de la
partie
lombaire supérieure avec immobilité complète de
et de la partie lombaire supérieure avec immobilité complète de ces
parties
. Les mouvements de la région cervicale sont lim
trique des muscles. Hypoesthésie marquée tactile et thermique de la
partie
externe de la jambe droite, en même temps qu'hy
stérieurs de la colonne vertébrale sur toute son étendue ou dans sa
partie
supérieure seulement. La moelle épinière se trans
r segment cervical jusqu'au bout du sixième segment cervical. Les
parties
périphériques de la tumeur sont riches en cellule
sseaux à parois épaissies ayant subi la dégénérescence hyaline. Les
parties
centrales de la tumeur contiennent, par places,
entre le bout ventral du faisceau cérébelleux longitudinal (dans la
partie
caudale), le corps resti- forme (dans la partie
ngitudinal (dans la partie caudale), le corps resti- forme (dans la
partie
proximale), et l'olive. Sur tout ce trajet le f
l s'éloigne de plus en plus de la périphérie pour se placer dans la
partie
postérieure de la protubé- rance, dans l'angle
masse de plus en plus vers le vélum médul- laire antérieur, où une
partie
de celles-ci (moins que la moitié) subit un ent
(moins que la moitié) subit un entrecroisement, tandis qu'une autre
partie
se dirige à travers le ruban externe dans la ré
inence postérieure du corps quadrijumeau, le faisceau rend un bonne
partie
de ses fibres (environ un quart) au noyau posté-
et dans celle du cône médullaire; les éléments nerveux sont ici en
partie
détruits, en partie comprimés, mais on n'y rema
ne médullaire; les éléments nerveux sont ici en partie détruits, en
partie
comprimés, mais on n'y remarque pas trace d'un
, pour apprécier les déformations pathologiques du squelette et des
parties
molles, ont besoin de connaître les propor- tio
nt de l'asile sous la conduite de ses parents pour faire une de ces
parties
champêtres si chères à quelques-uns de nos coll
ui fit une plaie du cuir chevelu dirigée d'ar- rière en avant de la
partie
supérieure du pariétal droit à la partie inféri
d'ar- rière en avant de la partie supérieure du pariétal droit à la
partie
inférieure du temporal, et le laissa pendant tr
inte jaunâtre ou chocolat clair. Le coeur est rempli de caillots en
partie
organisés se prolongeant dans les gros vaisseau
générale. C'est une grande et forte femme, affectée d'un eczéma des
parties
géni- tales qui, par les souffrances qu'il occa
A l'autopsie, cancer massif du foie d'un volume considérable. Une
partie
de l'épiploon, ainsi que du colon transverse, est
ets et chez des sujets différents. Nous commençons aujourd'hui la
partie
analytique de notre travail par l'examen du sens
tion convulsive survient brusquement, d'habitude pendant la seconde
partie
de la nuit, ce qui réveille le malade. Les secous
re de la dyspnée, observée au cours de cet état ? 1 Elle est due en
partie
à l'intensité des convulsions. Un certain degré
accès épi- leptiques, c'est-à-dire les accès épileptiques mêmes, en
partie
les périodes précédant et suivant l'accès, l'ét
dant et suivant l'accès, l'état de démence épileptique, ainsi qu'en
partie
la période du passage de l'esprit normal à la d
es possibilités de se faire une opinion ; 4° Les experts des deux
parties
devraient avoir une conférence REVUE DE MÉDEC
s ascen- dantes, des opercules frontal et rolandique et enfin de la
partie
moyenne de la première circonvolution temporale
ion rolandique inférieure, au-dessus de l'opercule rolan- dique. La
partie
qui présente cette atrophie si marquée est de p
entale a perdu sa transparence habituelle. Elle est comme formée de
parties
distinctes, de blocs, donnant l'impression d'un
microsco piques des circonvolutions autres que les FA et PA (à leur
partie
inférieure). En effet, à part le léger épaissis
ellules bordant les espaces pémvasculaires et péricellulaires et en
partie
des cellules nerveuses. '- Wernicke, Lehrbuch d
opi- quement, nous avons affaire à une microgyrie intéressant une
partie
des régions rolandiques et des lobes frontaux des
ubaigus et chroniques. Nous savons d'autre part que, si cer- taines
parties
de ces petits foyers ressemblent à un foyer de
rs ressemblent à un foyer de ramollissement nécrobiosique, d'autres
parties
, au contraire, présentent l'aspect caractéristi
'une bien minime proportion. Traitement des aliénés. - Dans cette
partie
, le psychiatre a déterminé un courant public d'
ui suit la branche ascendante de la scissure, de S ]vins. Seule, la
partie
inférieure des ascendantes est détruite; la lac
e, le pourtour de la scissure de Sylvius est normal; la plus grande
partie
des ascendantes manque, et principalement leur
a plus grande partie des ascendantes manque, et principalement leur
partie
supérieure jusqu'a l'arête du manteau, mais c'est
ur; en haut, jusqu'au sillon longitudinal : en bas, il a laissé une
partie
de l'ascendante. L'auteur tend à croire qu'un t
rojection pour l'ensemble de la sensibilité et de la motilité de la
partie
correspondante du corps. La simultanéité des trou
opératoire inévitable du sympathique ? Pour répondre à la première
partie
du premier problème, l'auteur a pratiqué une sé
e la vie (série B, décap- sulation partielle. Réponse à la deuxième
partie
du premier pro- blème). Dans une troisième séri
celui qui est représenté par des cellules à noyau excentrique, avec
partie
centrale de la cellule privée des éléments chro
t 490 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. dans sa
partie
externe n'autorisent guère à interpréter la lésio
re, intéresser tous les cordons postérieurs ou se limiter à tout ou
partie
des cordons de Burdach ou de Goll ; enfin, généra
ertains phénomènes complexes : dans le domaine moteur, au moins une
partie
des faits publiés sous le titre de sclé- rose l
cordon postérieur du même côté se cantonne progressivement dans la
partie
postéro-interne de ce cordon jusqu'au noyau de Go
nts qui, dans la nouvelle, théorie, ne constitueraient que la seule
partie
importante du neurone ? L'histogenèse nous ense
etites cellules polymorphes. Le noyau facial, tout au moins dans sa
partie
moyenne, est donc un noyau complexe, contenant
e grise située entre l'olive supérieure et le noyau d'origine de la
partie
motrice du pneumogastrique. Cette masse grise p
: ZD 1° Le groupe interne du noyau du facial serait formé de deux
parties
: une partie externe en rapport avec les muscles
roupe interne du noyau du facial serait formé de deux parties : une
partie
externe en rapport avec les muscles auricu- l
f96 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. laires et une
partie
interne dont les cellules sont en connexion ave
ne des fibres du facial innervant tous les autres muscles. Toute la
partie
ventrale du noyau du facial représente donc l'o
facial représente donc l'origine du facial inférieur, tandis que la
partie
dorsale seule de ce noyau est l'origine du faci
; parW. DE Bechterew. (1 ! 'eierolog. Cenl1'alúl., XVI, 1897.) La
partie
des cordons latéraux blancs contigué à la substan
amyotrophique, indi- que, entre autres dégénérescences, celle de la
partie
antérieure de la couche limitante et l'intégrit
de la partie antérieure de la couche limitante et l'intégrité de sa
partie
postérieure en con- nexion avec les cellules de
ure en con- nexion avec les cellules des cornes postérieures. Cette
partie
posté- rieure que M. Bruce décrit comme étant u
et différencier, on emploiera la méthode de Pal modifiée. Mélange à
parties
égales de la solution de permanganate de potass
t histologique montre que chaque fois on a détruit non seulement la
partie
corticale motrice, mais la plus grande partie d
ruit non seulement la partie corticale motrice, mais la plus grande
partie
du lobe frontal. Malgré cela, intégrité des gangl
.) 11. Redlich s'occupe plus spécialement des voies d'union de la
partie
cérébrale extirpée avec les ganglions sous-cortic
nt que les premières fibres dégénérées du corps calleux occupent la
partie
moyenne de ce dernier. Puis, elles deviennent d
Les circonvolutions auxquelles ils se distribuent correspondent aux
parties
operées du côté opposé. Ce qui prouve justement
n, en outre, il y avait une dissociation de la sensibilité dans les
parties
anesthésiées comme si l'on avait affaire il une
nanition totale. - A. Ch1'omatQlyse. Le protoplasma, à partir de la
partie
périnucléaire du corps de la cellule, est parsemé
n pâlissant. - B. Vacuolisation. Les vacuoles se mon- trent dans la
partie
périphérique du protoplasma ; entourées de subs
tubérance, le bulbe ; entrecroisement au niveau ordinaire, mais une
partie
des fibres s'infléchit dans le cordon antérieur
cellules ont des granulations plus petites qu'à l'état normal. Une
partie
du proto- plasma présente un aspect vitreux hom
rs vont à ces deux organes. Aux tuber- cules quadrijumeaux va cette
partie
du ruban de Reil qui provient des noyaux du fai
u ruban de Reil qui provient des noyaux du faisceau cunéiforme. Une
partie
des fibres du ruban de Reil va à la partie post
faisceau cunéiforme. Une partie des fibres du ruban de Reil va à la
partie
postérieure de la couche optique, où elles s'ép
ire des cordons antérieurs. Chez l'homme ce système de fibres forme
partie
constituante du faisceau longitudinal postérieur
al. L'entre-croisement des fais- ceaux de Goll et de Burdach, et en
partie
celui des faisceaux de Flechsig, a lieu dans la
re de la moelle chez le chien, le sillon antérieur, et pénètrent en
partie
profondément REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
doivent être anatomiquement tenus pour un seul et même système. Une
partie
des deux faisceaux se termine à n'en pas douter
ermis cérébelleux supérieur se trouve probablement le passage d'une
partie
de ces fibres à l'autre côté ; 12° La dégénéres
ur du sillon de Rolando, le pied des circonvolutions frontales, une
partie
du lobule para- central, et de la circonvolutio
nt l'extrémité antérieure de la circonvolution de l'hippocampe, une
partie
du lobe frontal, et de la circonvolution de l'h
région visuelle : c'est la zone du sillon de l'ergot de Morand, une
partie
du coin, du lobule lingual et du pôle postérieu
e la région tactile, la région auditive, la région visuelle, et, en
partie
, entre la région visuelle, la région REVUE D'
l'image du mot pour pouvoir le transcrire ; la dyslexie fait aussi
partie
de ce genre, c'est l'alexie intermittente caracté
ts visuels. - d) Cécité psychique; le malade a perdu la plus grande
partie
de ses conceptions mnémoniques antérieures, et
tives. Quand la cécité psychique est légère, le malade conserve une
partie
des images commémoratives, a la notion des obje
s, et, pour commencer, c'est lui-même qui a accompli la plus grande
partie
de la besogne en écrivant des articles origi- n
tatouage chez les criminels, par Ch. Perrier. - Ce mémoire est une
partie
détachée d'une étude relative à 859 condamnés d
suspect d'être vicié. Ils soumettent à l'épreuve simultanément deux
parties
de ce dernier. Et sur l'une de ces parties, ils
uve simultanément deux parties de ce dernier. Et sur l'une de ces
parties
, ils opèrent de manière à mettre en liberté l'oxy
différence de coloration enlie les deux précipités; si celui de la
partie
non soumise au piocédé destiné à le débarrasser
s le cas du juge Pontes Visguero, vieillard qui, en 1875, coupa des
parties
du corps de sa maltresse qu'il avait tuée par j
ices et sensitives s'accroissent et se développent comme toutes les
parties
du corps par la nutrition et l'activité fonctio
ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108. 1894 . PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1893. (Bi
et Fondation Vallée.) 130URN>;VILL, BiCê11'B, 1893. * PREMIÈRE
PARTIE
Section I : Bicêtre. Histoire du service pend
u rez-de-chaussée, seraient construits en meulières et mortier; les
parties
en élévation, au-dessus de cette retraite, jusq
, un grand lavabo et deux water-clo- sets. Des sous-sols, dans la
partie
centale du bâtiment, les calo- rifères, deux ca
après avoir détruit t l'allée descendante, il faudrait détruire une
partie
des arbres de l'allée tranversalo. Or, une de
scls, l'office et le réfectoire carrelés en carreaux de imcnt et la
partie
basse des murs dans une hauteur de 1 ni. 50 rev
1° Sous le pavillon à construire on ne prévoit de caves que sous la
partie
du milieu, le reste sous les classes et réfecto
atières de vidanges en réservant, s'il y avait lieu, au moins une
partie
de ces eaux pour l'utilisation horticole. Nous
s de la Fondation Vallée, établissement départemental, celles de la
partie
infé- rieure de la section des enfants de Bicêt
'agit là d'une question d'hygiène qui intéresse également les trois
parties
et pour la solution de laquelle il suffit d'un
résiduaires et de ses matières de vidange s'applique également à la
partie
de notre rapport con- cernant l'approvisionneme
e a un cent. 1/2, la hauteur 0,037 mm. et les côtés 0,04 cent. A la
partie
moyenne de sa hauteur le triangle a environ 0,0
le. Vus par transparence, les os sont translucides sur une grande
partie
de la calotte, surtout au niveau des bosses front
on du cerveau, dont les lobes postérieurs faisaient défaut; cette
partie
déprimée a près de 0,04 cm. transversalement et 0
l avec l'occipital. Au niveau de la crête occipitale et de toute la
partie
déprimée dont nous avons parlé, il y a un épais
g. 4 représente l'encéphale vu par sa face convexe : on voit que la
partie
postérieure des deux hémisphères cérébraux fait
sez considé- rable, 6 à 7 millimètres au niveau du frontal et de la
partie
Fig. 4. - OBS. II. 24 IDIOTIE. moyenne de
plaques translucides sur la moitié postérieure des pariétaux, la
partie
supérieure de l'occipital, au niveau de bregma et
la partie supérieure de l'occipital, au niveau de bregma et sur la
partie
latérale du frontal droit. ORS. V. Idiotie symp
oit à la face interne,- elles sont translucides dans la plus grande
partie
de leur longueur. (fit. Il).. z robs. IX. Idi
s zones de transparence y sont nombreuses, surtout au .niveau de la
partie
postérieure du pariétal droit et de la par- .ti
la région de la fontanelle, antérieure, le long des sutures et à la
partie
médiane du front sur une sur- face d'environ 2
mais moins droite. Le crâne est parsemé, surtout au niveau de ses
parties
opaques, de petits traits noirs, de quel- ques
ur union. La suture sagittale laisse voir son tiers' postérieur une
partie
rectiligne de 2 centimètres environ, située au
re gouttière, usqu'à la suture lambdoïde et montre dans sa dernière
partie
, des dentelures très accentuées et très contour
artie au niveau de la région moyenne du frontal, du bregma, sur les
parties
inférieures des pariétaux et'la région supérieu
h- doïde sont sinueuses, persistent sur les deux faces et sont en
partie
. transparentes. "Il existe deux petits os wormien
i le composent sont très minces, trans- lucides dans la plus grande
partie
de leur étendue. Toutes les ' sutures persisten
avant en arrière 3 centimètres et se détachant de chaque côté de la
partie
cor- Voir l'obs. complète dans le Compte, rendi
uinzaine à gau-. che. -.L'occipital semble séparé, au moins dans sa
partie
, supérieure correspondante à la calotte, par un
est presque partout translucide; il l'est parti- culièrement sur la
partie
du frontal droit voisine de la partie correspon
t parti- culièrement sur la partie du frontal droit voisine de la
partie
correspondante de la fontanelle, et en arrière au
pariétaux, à la suite des bords postérieurs de la fontanelle. Cette
partie
transpa- rente, qui continue en arrière la font
; la suture inter- pariétale est encore sinueuse sur la plus grande
partie
de son étendue. Les sutures fronto-pariétales s
voisinage de cette dernière. Les sutures sont gorgées de sang et la
partie
osseuse voisine est considérablement vascularis
restaient très nettement accentuées par des dentelures rouges; les
parties
osseuses voisines étaient également très rouges
peliles cellules siégeant dans la cavité du 4° ventricule et sur la
partie
latérale du bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie
nt de celles de l'os voisin atteint jusqu'à 3 ou 4 centimètres. Les
parties
osseuses voisines du tiers moyen de la suture c
ron du bregma. Un petit os wormien existe de chaque côté dans cette
partie
rectiligne. A la face interne, Fig.37. - Ous. X
rieur de 25° environ. Cette brèche est en voie de réparation et les
parties
non ossifiées y sont recouvertes d'une membrane
tre et transformée sur les bords en minces lamelles osseuses. Une
partie
ayant 32 millimètres de longueur reste non ossifi
tres de longueur reste non ossifiée à la région frontale. Une autre
partie
, longue de 20 millimètres, complètement réparée
et a des bords assez réguliers ; cette région a 3 millimètres it sa
partie
la plus large, 18 millimè- tres à peu près soud
à demi comblé par une jetée osseuse interne. A l'état frais cette
partie
non-ossifiée était recouverte d'une membrane osté
entre les deux brèches est adhérent par les quatre bords et que la
partie
du crâne qui correspond à ce quadrilatère est b
châtre, exsangue, tranchant ainsi par sa coloration avec les autres
parties
du crâne, qui avaient une coloration rou- geâtr
ne coloration rou- geâtre assez foncée : il y avait anémie de cette
partie
. Les os de la calotte crânienne sont assez épai
nt de vue des dentelures, est libre dans toute son étendue. Sur les
parties
latérales de chaque côté, on peut insinuer un c
ante de 2 centimètres de la sagittale. Cette dernière brèche est en
partie
comblée par le travail de réparation osseuse. L
e, celui de Sti... était mince et translucide dans la plus grande
partie
de sa superficie. Comme il est impossible de reco
au. Reconnaît les chiffres, compte jusqu'à 25. Connaît les diverses
parties
du corps, les animaux et les couleurs, fait des
, obéissant, affectueux. Reconnaît les personnes, les différentes
parties
du corps, les nomme ainsi que les objets qui l'en
s camarades. Il a appris le métier de tailleur ; il fait toutes les
parties
de l'habillement, bien qu'il soit hémiplégique.
r du tronc. « La parole est absolument nulle. Il cric et pleure une
partie
« de la nuit ; il dort le matin. L'attention ne
forme de tronc de cône. Bosses pariétales un peu proéminentes ; la
partie
gauche du crâne semble plus dévelop- pée. Cicat
déviée, narines horizontales. Perception de toutes les odeurs. La
partie
gauche de la face est plus proéminente. Bouche pe
sont seulement représentées par de légères stries. Petit kyste à la
partie
médiane. - Rein gauche (170 gr.), il a conservé
, lésions moins accentuées, atrophie scléreuse de l'insula et de la
partie
antérieure de FI et F2, Pas de sclérose sur la
. 30 k. 5; M. G. 29 k. 4. Description DU malade. 103 tent qu'à la
partie
interne. Cils châtains, longs, implantation nor
mmettes non saillantes, régulières, symétriques. Bouche moyenne, la
partie
médiane de la lèvre supérieure est légèrement d
icatrice enveloppe pres- que entièrement le tiers inférieur et à la
partie
interne pres- que toute la longueur de l'avant-
ié que l'autre. Toutefois FI et F2 sont le siège de sclérose -IL la
partie
antérieure, mais moins qu'à gauche. Lobule de l
interne. - Quelques adhérences sur le. lohe quadrila- tère, sur la
partie
postérieure de la circonvolution du corps cal-
érences. Lobe supérieur atélectasié. - Poumon gauche (380gr.). - La
partie
inférieure du lobe supérieur présente une hépat
uge tendant à devenir grise ; il coule dans l'eau ; emphysème il la
partie
supérieure ; au lobe inférieur nombreux nodules
i- tude, pas d'aura : quelquefois il se plaint d'avoir froid à la
partie
postérieure du cou, puis par tout le corps. Pas d
u'à 20 ; distingue assez bien les couleurs; nomme les différentes
parties
de son corps, ses vêtements, les principaux objet
e une zone rouge de congestion très inten-e, ciruoncrivant toute la
partie
bul- baire de la coupe. Cette zone a au moins 3
s deux lobes sont régu- liers. Thymus (35 gr.) s'étendant depuis la
partie
inférieure des lobes latéraux du corps thyroïde
ilepsie. Lecture courante, mais il coupe les phrases en plusieurs
parties
sans tenir compte de la ponctuation. - Gas.. fait
assez grande quantité de liquide céphalo-rachidien. Les différentes
parties
de la base du crâne paraissent symé- triques. L
points d'appui, sur les deux fesses et les omoplates, ainsi qu'à la
partie
postérieure des bras, une z BOURNEVILLE, Bicêtr
10 t46 Épilepsie. coloration blanchâtre qui contraste avec les
parties
latérales dont la coloration est rouge intense.
CÉRÉBRALE. La dure-mère est adhérente à la calotte sur une grande
partie
de sa surface, et empêche l'enlèvement du cerveau
ecchymotiques, offrant une injection assez prononcée dans toute la
partie
postérieure.- Crâne : os peu épais. A l'inspect
; on en recueille 150 gr. Les artères, les nerfs et les différentes
parties
de la hase de l'en- céphale sont symétriques. -
nte. La scissure frontale inférieure est sinueuse, interrompue à la
partie
anté- rieure par 3 plis de passage à niveau, al
la 3me. La scissure frontale supérieure est sinueuse, cou- pée à sa
partie
antérieure par plusieurs plis de passage à nive
st bien développée. La deuxième l'est encore plus et dédoublée à sa
partie
anté- rieure. Ces ° circonvolutions sont assez
moins volumineuse. Son pied est maigre et son corps est divisé à sa
partie
moyenne par un sillon profond allant de la scis
développée et contrairement à la règle elle parait plus large à sa
partie
supérieure qu'à sa partie inférieure. Lobe pa
nt à la règle elle parait plus large à sa partie supérieure qu'à sa
partie
inférieure. Lobe pariétal. Le lobule pariétal s
profond et sinueux, partageant le lobule pariétal supérieur en deux
parties
à peu près égales. Un peu plus loin elle est in
it en avant et en arrière par la scissure parallèle bifurquée. A sa
partie
supérieure et antérieure, on trouve un pli de p
irconvolution temporale, assez bien développée, paraît normale à sa
partie
postérieure, mais à sa partie antérieure, elle
bien développée, paraît normale à sa partie postérieure, mais à sa
partie
antérieure, elle est un peu en retrait et comme c
convolution temporale est également bien développée surtout à sa
partie
postérieure. Sa moitié antérieure est aussi un pe
frontale interne est bien développée, dédoublée dans sa plus grande
partie
, et envoie plusieurs plis de passage si niveau
ssure calloso-mar- ginale, profonde, sinueuse, est interrompue à sa
partie
médiane par un pli de passage à niveau allant d
central. Le lobule paracentral, peu développé, est divisé en deux
parties
par un sillon transverse profond. La circonvolu
e circonvolution orbitaire, assez grosse, est un peu chagrinée à sa
partie
postérieure. La scissure, parallèle frontale su
x autres circonvolutions frontales sont cha- grinées surtout à leur
partie
postérieure. La frontale ascendante est assez g
uniquer le sillon de Rolando avec la scissure inter-parié- tale. La
partie
située au-dessus de ce sillon transverse est un
ètres de la scissure interpariétale et qui n'est interrompu vers sa
partie
médiane que par un petit pli de passage à nivea
a droite (plagiocéphalie). Les sutures sont toutes fermées, sauf la
partie
posté- rieure de la sagittale dont les dentelur
ntournées sont apla- ties. -Des adhérences existent au niveau de la
partie
posté- rieure des trois circonvolutions frontal
large, a à peu près les mêmes caractères que F. A., est coupée à sa
partie
moyenne par un sillon, ce qui lui donne plus l'
sible, jusqu'au niveau du coin, un peu aminci à son sommet. À la
partie
moyenne des ventricules, la couche optique et le
nt plus épais que le droit. Les os sont translucides sur une grande
partie
de la calotte, surtout au niveau des bosses par
irconvolutions mal délimitées et paraissant être-; les restes de la
partie
inférieure de I et de la partie antérieure : du
paraissant être-; les restes de la partie inférieure de I et de la
partie
antérieure : du lobe temporo-sphénoîdal. L'hémi
e]cérébrale. Le lobe frontal y est représen- té par une fort petite
partie
, de son extrémité antérieure; il n'y a pas de t
re un petit îlot. La base du cerveau est assez dévelop- pée dans sa
partie
antérieure. Les lobes orbitaires existent bien
Sylvius. - Les pédoncu- les, bien que peu développés, existent. Une
partie
saillante et mince repousse le chiasma des nerf
r. Sensibilité générale obtuse ; elle semble égale sur toutes les
parties
du corps. Gâtisme complet. - Intelligence nulle.
de 3 centimètres bordant la scissure inter-hémisphérique et à la
partie
antérieure du lobe temporal. Le lobe pariétal est
et distendu. = La face interne se rapproche de la nor- male dans sa
partie
frontale, mais les deux tiers postérieurs, dist
ant nous devons signaler da légères adhérences pie-mériennes à la
partie
toute antérieure du lobe temporal, au niveau de l
seuse, buvait parfois plus que de coutume et était souvent « un peu
partie
». Elle aurait été atteinte d'eczéma à la tête,
le crâne parut devenir plus résistant. Vers 4 ans, Vign... était en
partie
propre, c'est-à-dire que pour satis- faire ses
rence; le corps thyroïde est un peu saillant. - Thorax, aplati à sa
partie
moyenne, plus saillant en arrière et il gauche.
res- santes : elle est formée jusqu'au lambda d'os wormiens et de
parties
comblées par des membranes, à savoir deux os wor-
attention. Mention- nons enfin les lésions rachitiques de certaines
parties
do squelette. Les fig. 45 et surtout les fig. 4
irons plus loin. Cette suture,. que l'on pourrait regarder comme la
partie
droite de Fig. 53. - L F, lobe frontal. - L M,
tres et des os voisins. L'angle supérieur droit se prolonge avec la
partie
droite de la suture sagittale comme nous l'avon
portion écailleuse du temporal, font Hydrocéphalie enkystée. 261
partie
de la moitié postérieure du crâne ; ils sont larg
e dirige en haut et s'élève à 5 centimètres au des- sus du plan des
parties
latérales. La faux du cervelet n'est pas appréc
faux. Ces membranes s'écartent de la ligne médiane au niveau de la
partie
supérieure delà fontanelle antérieure et vienne
des bosses frontales ou pariétales très saillantes; ce qui et dû en
partie
t l'épaississeii-icilt des os. Il peut arriver
Nous rappellerons seulement que, dans la cavité arachnoïdienne, une
partie
du liquide était enkystée entre la dure-mère et
let n'est représenté que par le vermis, légère- ment renflé sur ses
parties
latérales. Le bulbe et la pro- tubérance sont n
our- niera un argument plus éloquent : Cerveau. 211 La première
partie
de ce tableau comprend trois enfants âgés de 2
liquide varie de 500 à 1.000 gr. Les seconds sujets de la seconde
partie
du tableau ont de 18 à 19 ans ; leur poids est de
autopsie. 1880.- Tête allongée volumineuse, avec prédominance des
parties
postérieures et aplatissement transversal (scapho
ent symétrique. La face est énorme, lon- gue et grosse surtout à sa
partie
inférieure. - La pliysiono- mie, hideuse, n'exp
otablement dilaté, surtout au niveau de sa corne occipitale et à sa
partie
moyenne. La couche optique est un peu aplatie e
des cris inarticulés. On devait, pour le faire taire, le bercer une
partie
de la nuit. Il est gâteux complet, n'a pas de v
al. Testicules très petits. Membres supérieurs très grêles. A la.
partie
postérieure et interne du coude droit existe un
culcux. -Soelll', para- lysée d'un bras, ayant passé la plus grande
partie
de son enfance dans les hôpitaux d'enfants, est
eu de nouvelles poussées éruptives, des tuméfactions aux diverses
parties
du corps qui ne s'abcédèrent pas ; des urines a
tance grise des circonvolutions. Seules FA et PA, surtout dans leur
partie
supérieure, restent indemnes. Tous les sillons
petites cellules siégeant dans la cavité du 4e ventricule et sur la
partie
latérale du bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie
fracture a intéressé les deux lames osseu- ses du pariétal. Par sa
partie
externe, elle correspond à l'ec- chymose sous-c
espond à l'ec- chymose sous-cutanée que nous avons décrite ; par sa
partie
interne elle se trouve en rapport avec un épanc
ntien du ventricule. En T". masse tiéoplasiqtle faisant her- nie la
partie
inférieure du 4° ventricule. T'" petite tumeur si
plasiques volumineuses. Il en existe une. également au niveau de la
partie
postérieure du vermis inférieur, dans la région
res cérébelleux. Cette tumeur dont la face antérieure répond à la
partie
antérieure du plancher du 4° ventricule se contin
e Fig. 58. Coupe du bulbe et du 4^ ventricule faite au niveau de la
partie
supérieure des olives. La masse néoplasique T o
t 2 centimètres de hauteur. Deux petits sillons le séparent en deux
parties
et lui donnent un aspect bosselé. Les kystes so
iculier est tuméfié et on sent à la pression une masse dure dans sa
partie
anté- rieure. Au-dessus du plancher du quatrièm
s cela tient t ce que le siège de l'aplatissement porte plus sur la
partie
antérieure du crâne que sur la région bi-pariét
es réactions Symptômes. 329 plus violentes que la piqûre, que les
parties
exposées à l'air, telle que la face, paraissaie
ions suffisantes des objets qui l'environnent, connaît les diverses
parties
de son corps, etc. En gymnastique, elle ne peut
s et très peu abondants aux aisselles. Tronc glabre. Fin duvet à la
partie
antérieure des cuisses et au-des- sous du pli f
ie de poils abondants. l'oils assez nombreux sur les fesses et à la
partie
supérieure des cuisses. A l'école et à l'atel
timètres de largeur. Les globes oculaires sont dirigés en bas et en
partie
cachés par les paupières inférieures. Les pupil
core fait des progrès, reconnaît sa photogra- phie, les différentes
parties
de son corps, est très cares- sante. Traiteme
rneville, Bicêtre, 1893. PLANCHE I. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Section I : IlCCt1'C. 374 Table DES matières.
destinée à montrer les rapports de la formation ammonique avec les
parties
voisines. Immé- diatement en dehors du plan méd
lé en dehors de laquelle est la masse centrale de l'hémisphère. Ces
parties
étant reconnues; nous pouvons porter notre atte
ions relativement réduites, de sorte que de sa surface une faible
partie
seulement est tout à fait libre (en a), le rest
r suite le corps godronné est en dehors du ventricule ; c'est une
partie
corticale, une vraie circonvolution : 4 ANATOMI
MIE. Si nous examinons la disposition des couches que forment ces
parties
, c'est-à-dire la structure de la cir- convoluti
la circonvolution godronnée, sont ici disposées en rayonnant de la
partie
profonde vers la partie superficielle ; aussi c
nnée, sont ici disposées en rayonnant de la partie profonde vers la
partie
superficielle ; aussi cette couche mérite-t-ell
représente une région où le manteau de l'hémisphère est réduit à sa
partie
blanche médullaire sans revêtement de substance
n godronnée de celle de l'hippocampe, d'abord assez large dans sa
partie
superficielle (en e, fig. 2), devient de plus e
06), n'est qu'une circonvolution retournée, de telle sorte que sa
partie
médullaire, d'enveloppée qu'elle était, est dev
emarquer d'une part que l'expression de circonvolution retournée (
partie
médullaire enveloppée devenue enveloppante) a s
e. Ce sillon, c'est l'anfractuosité qui les sépare et que comble en
partie
le corps godronné dont il faut faire abstractio
untée à Berger, et dans laquelle, pour la dénomination de certaines
parties
, il faut avoir égard à ce que l'auteur considèr
adhère intimement à l'hippo- campe : son bord antérieur recouvre la
partie
posté- rieure du corps godronné et répond très
développée recouvre toute la face externe de l'écorce dans ces deux
parties
, mais surtout dans la circonvolution de l'hippo
phale et sur un cébien. Chez le cynocéphale (PL. II, fig. 3), les
parties
sont disposées exactement comme chez l'homme :
chez les autres mammifères. Quant à l'ensemble de la corne d'Ammon (
partie
inférieure de la fig. 4) chez le singe cébien,
tance grise et on reconnaît dans cette substance grise les diverses
parties
de la formation ammonique. Cette formation décr
. Sur une coupe verticale compre- nant chacune de ces branches, les
parties
de la branche supérieure seront donc symétrique
tuée au-dessous du corps calleux. D'autre part, on aperçoit dans la
partie
supérieure de la figure 6, au- dessus du corps
corps bordant (bandel. du trigone), se continuait avec toutes ses
parties
constituantes , celles-ci formeraient sous le c
nterprétation qu'il faut se ratta- cher. En effet, eu examinant les
parties
corticales situées en arrière et au-dessous du
ns l'article souvent cité, s'inquiétant des connexions des diverses
parties
2 18 ANAT0M1E. de la corne d'Ammon, exprime
ux), mais bien par ce qui reste des circonvolutions sous-calleuses (
partie
supérieure de l'hippocampe) atro- phiées et que
suffira d'avoir reconnu la formation ammonique dans l'ensemble des
parties
grises et blanches situées au-dessous du corps
sous la région médiane du corps calleux et à se souder dans cette
partie
. 2° Rongeurs. Chez le rat et le lapin, on peut
à l'aide de coupes horizontales, c'est-à-dire qui portent sur la
partie
moyenne du fer à cheval décrit par la corne d'A
aux coupes verticales, elles sont sur- tout intéressantes dans leur
partie
supérieure, intéres- sant la branche supérieure
re de la couronne rayonnante, on trouve les diverses 20 ANATOMIE.
parties
de la corne d'Ammon, se présentant , d'avant en
par exemple avec la figure 11, de comprendre qu'une mince lamelle,
partie
du bord antérieur du corps bor- dant (CB) doit
oyau caudé du corps strié (figuré comme une coupe triangulaire à la
partie
postérieure de la couronne rayonnante). Si da
aux), il n'en est plus de même, sur une coupe verticale, pour les
parties
supérieures ou sous-calleuses des deux cornes d
ammo- niques se rapprochent de le ligne médiane, et une de leurs
parties
arrive presque au contact d'un côté à l'autre.
leurs parties arrive presque au contact d'un côté à l'autre. Cette
partie
(C H, fig. 8), c'est une région de l'écorce qui
se à sa surface exté- rieure, se trouve cependant posséder, dans la
partie
sous-calleuse de sa face interne, deux circonvo
s, sur lesquelles nous aurons à revenir. Quant à la disposition des
parties
chez l'animal adulte, Kupffer les décrit d'une
qui a très nettement interprété les dispositions que présentent les
parties
sous-calleuses chez le lapin; pour désigner les
en b) : le profond sillon e la sépare du reste de l'écorce, dont la
partie
la plus voisine (CH) est évi- demment l'homolog
Nous ferons seulement remarquer que l'anatomie a déjà désigné cette
partie
comme cor- respondant très probablement aux fon
de trouver chez les oiseaux, les reptiles, les poissons, etc. , une
partie
cérébrale qui rappelle par sa forme ou au moins
nalé. Mais l'anatomie microscopique comparée est encore en grande
partie
à faire, et il sera possible que, sur une écorc
e de la circon- volution godronnée et par suite nous indiquera la
partie
qui représente un hippocampe. Si, en effet, par
le dans la figure 10, nous supposons effacé le sillon qui sépare la
partie
CH des parties a, b, c, il n'y aura plus alors,
ure 10, nous supposons effacé le sillon qui sépare la partie CH des
parties
a, b, c, il n'y aura plus alors, au point de vu
cipation (voir ci-dessus) à savoir que le stratum granulosum est la
partie
la plus essentielle, caractéristique de la form
e la plus essentielle, caractéristique de la formation ammonique,
partie
qui permettra de reconnaître, dans les hémis- p
om de trou de Monro, si toutefois il reste encore chez l'adulte une
partie
perméable de cette fente)'. Tandis que la paroi
un procédé très simple, par l'apparition d'un sillon séparant deux
parties
saillantes, deux cir- convolutions. En effet, d
onnée (le corps godronné avec le corps bordant). En arrière est une
partie
de la paroi cérébrale qui formera ce qui, chez
e la pro- duction d'un stratum granulosum, et qu'en même temps sa
partie
la plus voisine de la fente de Monro ne donne l
me) la circonvolution godronnée s'est épaissie en même temps que sa
partie
toute antérieure, se transformant uniquement en
eure, ou inférieure, selon qu'on considère l'une des branches ou la
partie
moyenne du fer à cheval) d'un ensemble constitu
sont soudées sur la ligne médiane; V, cavité de l'hémisphère ; CC,
partie
corticale homologue du gyrus fornicatus; Cp, co
s racines postérieures se trouve, d'après cet observateur, entre la
partie
supérieure et l'inférieure de ces racines, immé
ullaires. Le noyau nzé- diandesracines antérieures se place dans la
partie
interne du corps restiforme, et finalement, le
u anté- rieur de Huguenin. Le noyau latéral de Henle équivaut, en
partie
, au noyau médian des racines antérieures de Kra
tances suivantes : 1° le tronc du nerf auditif se compose de deux
parties
distinctes : une antérieure et inférieure; l'au
nerveux. 2° Dans le tronc du nerf auditif, principalement dans la
partie
qui touche au corps restiforme, et plus raremen
pratiquée à son émergence du corps restiforme, et correspond à la
partie
inférieure et antérieure du nerf. Elle se compo
yéline conserve la même épaisseur dans les renflements que dans les
parties
intermédiaires. Ces renflements affectent diffé
s jamais l'occasion d'y discerner des fibres de Re- mak. Ces deux
parties
bien distinctes, trouvées dans le tronc du nerf
s coupes du tronc, pratiquées à son origine microscopique, ces deux
parties
ne diffè- rent entre elles que par la nature de
. Ce fait s'observe principalement, comme je l'ai dit déjà, dans la
partie
interne du nerf qui longe le corps restiforme.
au même de l'entrée du nerf dans le méat au- ditif interne. Dans la
partie
du tronc nerveux qui avoisine le corps restifor
estiforme même, il arrive cependant que ces fibres émergent de la
partie
postérieure supérieure du tronc du nerf au- dit
on voyait l'îlot occuper presque 48 ANATOMIE. tout l'espace de la
partie
supérieure et postérieure du nerf, ne laissant
ngue une double relation entre ces nerfs. La pre- mière a lieu à la
partie
supérieure et interne, et se compose de quelque
e caserne et les soldats ne se gênaient pas pour laisser voir leurs
parties
viriles. Un jour, j'aperçus (j'avais peut-être
d'être l'objet 56 - PATHOLOGIE MENTALE. d'un'homme. Regarder les
parties
génitales d'un homme beau et fort, tel a toujou
cutanée, qui déforme d'une façon si caractéristique les différentes
parties
du corps, n'est due, ni à la graisse, ni à un l
35.) DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 69 ment renversée (état dû en
partie
à une rétraction cicatricielle de la peau du me
state nettement la fluctuation, et par la percussion, la maillé aux
parties
déclive ? celle-ci changeant de siège quand le
n aperçoit très bien avant d'enlever les méninges, et qui occupe la
partie
supérieure de la circonvolution pariétale ascen
ital en arrière. Sur la première coupe transversale, comprenant une
partie
de la capsule interne (partie antérieure), rien
re coupe transversale, comprenant une partie de la capsule interne (
partie
antérieure), rien. - Sur tadouxième coupe (lass
amollissement du pied de la 3° frontale gauche, ramollissement à la
partie
moyenne des circonvolutions frontale et pariéta
t. La pie-mère et l'arachnoïde, qui recouvrent le cerveau depuis la
partie
antérieure des circonvolutions frontales jusqu'
erne et avant-mur creusés d'une cavité remplie de liquide jaunâtre.
Partie
antérieure de la cap- sule interne, jaunâtre.
: uno atrophie de la région thoracique et lombaire de la moelle en
partie
ramollie, une coloration gri- 90 REVUE DE PATHO
le moindre inconvénient pour le consommateur. Presque toutes les
parties
de la plante jouissent de la même propriété; mais
ux extrêmes de la vie : elle est d'ailleurs plus uniformément ré-
partie
entre les divers âges que l'hémorrhagie cérébrale
tteint de syphi- lide papulo-squammeuse. Sur certaines coupes de la
partie
in- férieure'de la moelle dorsale, on constatai
rnes an- térieures étaient gonflées et élargies, surtout dans leurs
parties
104 REVUE DE pathologie NERVEUSE. latérales.
une vascularisation énorme de la substance grise, surtout dans les
parties
centrales^et. latérales, et notamment, dans le
s corticales du cerveau ;,il'en'tire les conclusions suivantes ? la
partie
in- férieure de la troisième frontale est en ra
scendantes," avec les, mouvements 'du 'bras ' du côté opposé ; ' la
partie
supérieure des deux'méines circonvolutioris ave
grand bâtiment indépendant, mi-partie pour les épileptiques, mi-
partie
pour les gâteux ; des constructions affectées aux
ensoriels que nous 1 I O BIBLIOGRAPHIE. ne voyons évoluer que par
parties
, nous arriverons à saisir une quantité psychiqu
valable s'il n'eft de couleur noire. Dixiemement sont en variable
partie
du corps, es épaules soubs les paupières, soubs
perexcitabilité neuro-musculaire peut cesser partiellement dans une
partie
du corps, ou inversement peut y être provoquée.
er jusque vers l'âge de vingt- sept ans. Mais alors les différentes
parties
de son corps, ou plutôt de ses téguments, se mi
, les cheveux ont recommencé à tomber, mais peu abondamment. A la
partie
médiane et antérieure de la tète, il existe une c
tout autour des arti- culations métacarpo-phalangienncs et dans les
parties
sus- jacentes. Aux membres inférieurs, le gonfl
cissant beaucoup moins qu'à l'état normal. D'ailleurs, dans quelque
partie
du corps que l'on envisage le tégument, ce dern
une asymétrie faciale plus ou moins notable. Loin de prédominer aux
parties
déclives, il est ordinairement plus net sur les
s ou moins marqué. Les téguments sont ten- dus, font corps avec les
parties
profondes, et il est très difficile d'y faire u
u corps, la peau est sèche, rugueuse, écailleuse même sur certaines
parties
, parti- culièrement au niveau des mains et des
ces lésions ne sont pas indispensables pour expliquer la majeure
partie
des troubles nerveux et particulière- ment les
tact, ni la piqûre, ni le froid, mais elle sent la pression sur les
parties
profondes, et le sens musculaire est conservé.
l'extension est animé d'un petit mouvement de trépidation; puis la
partie
inférieure du corps se tourne du même côté. Ell
pression. Points hyslérogènes. il sur la 12° côte gauche, sur la
partie
latérale du tronc ; 2° sur la 7" gauche sous le s
inosités; la dyspnée augmente. On entend dans le poumon gauche à la
partie
supérieure un souffle bronchique profond, masqu
che à la partie supérieure un souffle bronchique profond, masqué en
partie
par de nombreux râles sous-répitants. A droite,
e aplati. On trouve un foyer atrophique qui a détruit : 1° toute la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron
rontale (le reste de cette circonvolution n'est qu'amaigri) : 2° la
partie
inférieure de la frontale et de la pariétale asce
rémité inférieure do ces deux cir- convolutions ; 3° la plus grande
partie
du lobule du pli courbe (PL. VI, P 2). Le lobul
ucune trace des digitations; la première temporo-sphéno'idale et la
partie
postérieure de la seconde cir- convolution offr
is, nous devons signaler l'absence d'aphasie, avec une lésion de la
partie
postérieure de la troi- sièine circonvolution f
l'insula dans cette atrophie ? 2 . V. La dégénération secondaire
partie
du foyer périphérique, qui avait détruit le lob
du foyer périphérique, qui avait détruit le lobule de l'insula, les
parties
avoisinantes des circonvolutions (et on particu
t 10), s'est propagée à la moelle en atrophiant sur son passage une
partie
de la couronne rayonnante de Reil et des noyaux
he VI L, 1, foyer ancien ayant détruit le lobule de l'insula. 7 ?
partie
atrophiée delà troisième circonvolution frontale.
nvolution frontale. F a, circonvolution frontale ascendante dont la
partie
inférieure est atrophiée. P a, circonvolution
oeil et un léger abaissement de la paupière supé- rieure cachant en
partie
le limbe de la cornée ont été indiqués comme ca
bitants), relate deux séries d'observations. Les unes empruntées en
partie
au Dl Heinemann sont caractérisées par des mani
nt après les paroxysmes, peuvent persister pen- dant la plus grande
partie
de l'intervalle qui sépare les crises ; 2° on p
é, d'un foyer de ramollissement dans la moitié externe gauche de la
partie
posté- 1 Voir les Archives de Neurologie, aux R
ration, anesthésie, du tact, sensation permanente de froid dans les
parties
les premières affectées. Les doigts donnent la
. Chez les gens bien portants presque toujours un coup porté sur la
partie
inférieure de l'os malaire détermine une con- t
nuité détermine la des- truction des organes centraux, effectuée en
partie
par l'action de la lymphe ; 3° L'interruption
disation méthodique et prolongée de la région précordiale et de la
partie
postérieure du thorax. Il paraît certain que les
ume, ayant prins un corps, de foy fubftituer on lift de la Sorcière
partie
au Sabbat; & par ainfi a commerce charnel a
». VARIA. 253 flamme de couleur bleue, & puis le baifent aux
parties
hon- teufes darrière' (Fig. 7) : quelques-vns l
ontrains d'adorer Satan en guii'e de Bouc puant, et le baifer en la
partie
, qu'on n'ofe efcrire, ny dire honneftement ? »
Enfin en procurant le refferre- ment & coarctation extrefme des
parties
de la femme ou en faifant le membre de l'homme
, au cha- touillement, à la douleur, et à la température dans les
parties
paralysées ; 3° zone d'anesthésie peu considé-
rties paralysées ; 3° zone d'anesthésie peu considé- rable dans les
parties
dont les nerfs naissent immédia- tement au-dess
ésique ; 5° élévation absolue ou relative de tem- pérature dans les
parties
paralysées ; 6° phénomènes de paralysie des ori
cher, au chatouillement, à la douleur, et à la température dans les
parties
correspondantes à celles qui sont paralysées de
3° zone peu étendue d'hyperesthésie à un faible degré au-dessus des
parties
anesthésiées. » Les conclusions du mémoire de M
et. Le lendemain 1 ? mars, il offre les symptômes suivants : à la
partie
supérieure du dos, entre la première et la deuxiè
e d'hypcresthésio, l'anesthésie s'étend, à peu près absolue, sur la
partie
droite du thorax en dehors du sternum, sur la p
bsolue, sur la partie droite du thorax en dehors du sternum, sur la
partie
droite do l'abdomen en dehors des muscles droit
cend progres- snement, et quand elle arrive vers le genou droit, la
partie
supérieure de la face commence a se prendre L g
roduit en commençant par l'avant-bras et par la cuisse; la dernière
partie
qui reste sensible est une plaque située en dehor
nuée. Cette dysesthésie peut, comme l'anes- thésie, se limiter à la
partie
supérieure d'un côté de la face, et s'accompagn
étrécir rapidement, puis rester immobile. Pendant toute la première
partie
de cette première phase, pendant la période ton
hystero-épilepsie. 289 et la dilatation persiste pendant la seconde
partie
de la phase épileptoïde et pendant toute la dur
ouloureuses dans le membre inférieur droit et exclusivement dans sa
partie
externe. Rien de changé dans l'état de la sensi
s le ressort est plus résistant, élargi et fortement rembourré à la
partie
postérieure où il repose sur la colonne vertébr
te le ressort est dirigée obliquement en bas et en arrière, vers la
partie
externe de l'excavation où l'on sent battre l'a
ure localisée, une sortederoideur généralisée, qui per- met à cette
partie
du membre de conserver les diverses atti- tudes
ouvements, il se produit une vive douleur au niveau de la nuque. La
partie
postérieure du cou présente une déformation très
e de l'anus. Elle s'arrête exactement, en avant et en arrière, à la
partie
médiane du corps ; mais elle ne dépasse pas en
qu'à gauche. La peau du côté droit est plus chaude que celle des
parties
liomo-« logues du côté gauche; cette différence
aississe- ment très appréciable à la palpation, sans empalement des
parties
molles. La force musculaire était peut-être u
égale en intensité et présentait les mêmes caractères dans toute la
partie
du côté gauche qu'elle occupait. Quant au retou
i est divisé en deux plans par une crête transversale siégeant à sa
partie
moyennne ; les apophyses mastoides sont très déve
ôtés et l'enfant a suc- combé avec une hépatisation terminale d'une
partie
du pou- mon droit. 336 RECUEIL DE FAITS. II
le du lobe occipital, tou- jours il s'agit de lésions siégeant à la
partie
postérieure du pied de la couronne rayonnante o
nopsie était en rapport avec une lésion située au voisi- nage de la
partie
inférieure du sillon de Rolando semble indi- qu
ne motrice. Cette localisation du centre de l'hémianop- sie dans la
partie
postéro-inférieure du domaine de l'artère sylvi
ien prouvé que l'amblyopie est en rapport avec les lésions de la @
partie
postérieure de la capsule interne ; mais elles se
t le système de projection centrale du sens de la vue, entre autres
parties
constituantes. P. K. V.Du FAISCEAU LONGITUDINAL
ngrès de Bade, 1880. Arch. f. Psyclaziztrie.) M. Roller confirme en
partie
les vues de Meynert et, suivant le trajet de ce
es se dirigent vers la capsule externe ; 2° d'autres vont former en
partie
les tractus blancs antéro-postérieurs qui sépar
optique et les corps genouillés; 4° d'autres enfin vont former la
partie
externe du pied du pédoncule, le faisceau sensiti
eau sensitif de Tiirck. Ce dernier faisceau peut être suivi dans la
partie
externe et inférieure du pont de Varole; il se
pigmentées de la substance de Soemmering et qui se rendent dans la
partie
interne du pied du pédoncule. D'autres fibres p
'autres fibres partent du noyau rouge pour se diriger aussi vers la
partie
interne du pied du pédoncule. Du tubercule quad
le quadrijumeau postérieur sortent des faisceaux qui vont dans la
partie
externe du pied du pédoncule, immédiatement en
le, immédiatement en dedans du faisceau de Tiirck. Presque toute la
partie
interne du pied du pédoncule est constituée par
ail très intéressant de M. le professeur Prévost est divisé en deux
parties
. La première est en quelque sorte une revue, ay
contient les expériences et les conclusions de l'auteur. Pi entière
partie
. M. Prévost rappelle les expériences par lesque
a 41 chez l'homme. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 355 Deuxième
partie
. -Ici M. Prévost rapporte trois séries d'ex- pé
s petit, ou par l'aug- mentation de l'activité fonctionnelle de ces
parties
du cervelet, non sujettes à l'atrophie, ou bien
t, la destruction du tissu cortical empiète le plus souvent sur des
parties
dépourvues de propriétés motrices, de telle sor
de déterminer, à l'aide d'un petit nombre de cas seulement, quelles
parties
sont dévolues aux mouvements volontaires et quell
quelles parties sont dévolues aux mouvements volontaires et quelles
parties
ne le sont pas Mais en superposant une grande qua
auteurs placent le centre cortical des muscles de la langue dans la
partie
la-plus inférieure et la plus postérieure du gyru
talis in- BIBLIOGRAPHIE. 371 l férieur et le font empiéter sur la
partie
inférieure du gyrus central antérieur (circonvo
de paralysie des membres sans lésions du lobule paracentral ou des
parties
les plus élevées des circonvolutions rolandique
ement à l'opinion la plus généralement admise, Exner prétend que la
partie
la plus élevée des circonvolutions cen- trales
es divers et fugaces épisodes de l'hystéro-épilepsie. La première
partie
de cet ouvrage traite de la grande attaque 372
e la symptomatologie de la névrose. En abordant, dans la deuxième
partie
, la description des princi- pales variétés de l
e, de cata- lepsie, de léthargie, M. Richer déclare que c'est là la
partie
la plus intéressante de sa tâche, la plus prati
e sa tâche, la plus pratique et la plus propre à éclairer certaines
parties
obscures do l'histoire. Sur ce dernier point l'
par l'auteur si empressé à rendre à chacun justice. La troisième
partie
a rapport à des faits trop souvent exposés et d
era 1'li,stéro-épilep- sie de l'épilepsie. La quatrième et dernière
partie
se termine par un exposé des divers traitements
ont «ondées sur la ligne médiane; 1', cavité de l'hémisphère; - CC,
partie
coiticale homologue du gyrus furmcatus; - CI),
aites par M. Paul Londe, son interne, qui a également recueilli une
partie
de l'observation clinique. vu il 1 2 NOUVELLE
pertrophie se remarque le plus; Les .fosses- temporales semblent en
partie
effacées, surtout il gauche; du reste le temporal
hié, surtout dans sa moitié supérieure. Le thorax très gros dans sa
partie
supérieure, évasé dans sa moitié inférieure, para
saillie. De ce fait le malade semble pour ainsi dire cassé en deux
parties
. La respiration diaphragmatique est très entravée
ravée, de plus le jeu des côtes est presque nul, ce qui explique en
partie
la dyspnée constante du malade. Le larynx et
ns points leur épaisseur est énorme, c'est ainsi que la coupe de la
partie
postérieure de l'occipital mesure 28 millimètres.
ents des plaques larges, étalées, surelevées, plus teintées que les
parties
avoisinantes et qui semblent surajoutées pour ain
périeure très volumineuse avec conservation respective des diverses
parties
. Poids = 860 gr. Les rotules droite et gauche s
rticulier. Par contre le maxillaire inférieur offre au niveau de sa
partie
horizontale droite un épaississement très consi
2e et 3e métacarpiens de la main droite sont très volumineux et les
parties
molles pendant la vie étaient manifestement défor
ont évolué symétri- quement, envahissant progressivement une grande
partie
du squelette; mais, nous l'avons dit, passant p
lombaires. Les clavicules ont gardé leur volume normal, sauf à leur
partie
externe qui semble augmenter. Les épaules ont l
irconscrite (anesthésie en segments géo- métriques de Charcot) : la
partie
anesthésique n'entre pas en contracture. Au mom
de la façon suivante déjà connue : si l'excitation por- tait sur la
partie
nasale de la rétine il se produisait une hémicont
ne il se produisait une hémicontracture gauche ; l'excitation de la
partie
temporale était suivie d'une hémicontrac- [Lire
régulièrement : une hémicontraclure droite par l'exci- tation de la
partie
nasale de la rétine : une hémicontraclure' gauche
ce fait, que je ne pouvais pas parvenir à suggérer la lumière à une
partie
limitée de la rétine, puisque si je suggérais la
mitée de la rétine, puisque si je suggérais la lu- mière tallt à la
partie
nasale qu'à la partie temporale, il survenait tou
isque si je suggérais la lu- mière tallt à la partie nasale qu'à la
partie
temporale, il survenait tou- jours une hémicont
pendant qu'une sur- dité droite est suggérée, le sel appliqué à la
partie
droite de la langue ne détermine une hémicontra
nt les ré- flexes, que nous pouvons produire par l'excitation de la
partie
temporale de l'oeil droit et de la partie nasal
re par l'excitation de la partie temporale de l'oeil droit et de la
partie
nasale de l'oeil gauche. S'il y a un obstacle d
droit par une surdité suggérée gauche, alors les ex- citations des
parties
mentionnées antérieurement, trouvent un centre co
eugle aux réflexes», tandisque lapartienasale de l'oeil droit et la
partie
temporale de l'oeil gauche transmettent leurs exc
fin de mes expériences. J'ai décrit seulement dans cette étude une
partie
des phénomènes que j'ai découvert. J'en publie le
agérée, mais la propagation des excitations leur transmission à des
parties
différentes de l'écorce manque. Les associa- ti
dité réflexe peut être obtenue aussi par les excitations des autres
parties
de l'écorce. Ces expériences démontrent d'une f
e la cause de la contracture ne peut pas être re- cherchée dans une
partie
circonscrite de l'écorce. Je vais parler mainte
e par excellence cette règle générale, que pendant l'activité d'une
partie
de l'écorce, l'excitabilité des autres parties es
dant l'activité d'une partie de l'écorce, l'excitabilité des autres
parties
est diminuée. Nous pouvons donc dire, que par u
, un fait indiscutable. Puisque en éliminant par une suggestion une
partie
senso- rielle de l'écorce, la contracture réfle
rrêt n'atteint toujours que les réflexes d'un côté, c'est-à-dire la
partie
sensorielle d'un hémisphère. Par exemple une an
t allusion ici sont rapportés et commentés en détail dans une autre
partie
de cette étude ; celle-ci traitant uniquement des
xtrémité est relevée sur son épaule droite couvre de larges plis la
partie
inférieure de son corps. Le bras droit, le tors
. G. Welcker Aile Venkma ? ler. Basreliefe und gesclmittne Steine. II
partie
. Gottingen, 18 : i0, p. 111. Dem Dionysos rasen
e de Bacchus avec les danses des ménades qui* en faisaient toujours
partie
(1). Il est donc légitime d'admettre avec Welck
t une torche dans chaque main, vêtu d'une clamyde, et chaussé. A la
partie
supérieure, d'un côté une Bacchante danse suivant
corps. La colonne vertébrale porte la tète et soutient le poids des
parties
sus- pendues autour d'elle. Mais elle ne le fai
sacrum avait pour résultat de répartir la pres- sion sur toutes les
parties
du cercle pelvien. Fie. 16. -- STATION VERTICAL
manière decolonnes creuses, et transmettent aux tibias le poids des
parties
supérieures. Enfin les tibias soutiennent les f
st contenu dans le plan sagittal médian qui divise le corps en deux
parties
latérales que l'on considère de poids égal. R
ud-Teulon, la distension du muscle psoas-iliaque qui le recouvre en
partie
. J'ajouterai que dans la station droite le musc
s plateaux des tibias auxquels ils font supporter tout le poids des
parties
du corps situées au-dessus. Ceux qui pensent qu
ns. Formes extérieures. Dans la station verticale droite les deux
parties
du corps sont absolu- ment symétriques. La vert
les, autant la station hanchée amène des différences entre les deux
parties
latérales du corps. Ici, pas deux régions homol
x articles est presque unique- ment maintenue par le poids même des
parties
situées au-dessus d'elles et limitée par la dis
lte que la colonne vertébrale s'infléchit à sa base pour ramener la
partie
supérieure du torse au-dessus de la base de sus
je parle, ici, seulement des côtes inférieures en rap- port avec la
partie
infléchie de la colonne dorsale); d'où il suit qu
racique, au-dessus de la han- che qui par contre est abaissée. La
partie
supérieure de la colonne vertébrale est droite et
auche la colonne prend alors la forme d'un S italique dont les deux
parties
de courbure inverse sont formées l'une par la c
cale. Formes extérieures. Pour préciser la direction des diverses
parties
du corps dans la station hanchée, je ferai comm
étendue, l'autre fléchie, mais surtout par la conformation même des
parties
. C'est ainsi que le mollet de la jambe portante
ncurvé laté- ralement, et cette courbure se prolonge jusque vers la
partie
inférieure du dos. Il est bordé, du côté de la
ment subordonnées aux mouvements spéciaux qu'on fera prendre il ces
parties
, mais qui n'ont aucun rapport obligé avec le mo
nq et demie, lorsqu'il est à genoux. Quant aux mesures des diverses
parties
du corps, elles sont évidemment les mêmes dans
ent un faisceau assez compact et homogène pour être différencié des
parties
blanches ou grises adjacentes. Les lésions du s
niveau où elle est toujours le plus compacte. Elle se distingue des
parties
avoisinantes par sa coloration claire (BSO). Le
pti- que sont dirigées d'avant en arrière et vont former la majeure
partie
du stratum zonale du pulvinar. Une coupe vertic
ous-optique (BSO), allongée dans le sens transversal, et formant en
partie
la voûte du ventricule sphénoïdal (V.s). Elle e
isceau 'unciforme. Enfin, il est il peu près certain que la majeure
partie
d'entre elles aboutit à l'extrémité antérieure
s-optique On doit supposer que la queue du noyau caudé (NCC) est en
partie
visible par trans- parence au-dessous de la rac
c horizontale. Le noyau caudé (NCC) s'avance d'arrière en avant, à la
partie
ex- terne du ventricule sphénoïdal, vers le noy
caudé, et suivant approximativement le même parcours, se place à sa
partie
supérieure, puis à sa partie externe, et s'épanou
vement le même parcours, se place à sa partie supérieure, puis à sa
partie
externe, et s'épanouit en éventail sur la con-
optique (BSO). Celle-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa
partie
supérieure. La partie inférieure du noyau amygda-
i va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa partie supérieure. La
partie
inférieure du noyau amygda- lien est au contrai
elques semaines après son mariage une violente « inflammation » aux
parties
. Puis elle a eu une éruption de boutons rouges su
ar une douleur assez vive que le malade éprouve à ce moment dans la
partie
antérieure de l'avant-bras. La main est dans UN
pas le caractère fulgurant : mais le malade souffre « comme si ces
parties
avaient été rouées de coups ». On ne constate p
déformée, mais il existe une légère con- vexité à grand rayon de la
partie
cervico-dorsale du rachis. Le malade se tient v
). A cette date, la malade a été atteinte de plaques muqueuses des
parties
génitales et de la gorge, d'éruptions sur les m
nt, la crête iliaque en arrière. (Fig. 32 et 33). La transition des
parties
anesthésiques aux parties saines se fait d'une ma
rière. (Fig. 32 et 33). La transition des parties anesthésiques aux
parties
saines se fait d'une manière insensible. Sur le
n, la température de la peau semble être la même des deux côtés. La
partie
moyenne du tibia gauche est spontanément douloure
bus omnia vincit » (Fig. 35). L'ouvrage lui-même est divisé en deux
parties
de longueur à peu près égale, l'une portant sur
r « l'anatomie de la teste humaine illustrée par les figures de ses
parties
», l'autre ayant trait « à la méthode curative pr
du corps humain auquel il oeuvre comme en son propre subiet et des
parties
d'iceluy ; pour ce que lui défaillant ceste piè
'un intérêt beaucoup moin- dre : nous n'en analyserons ni les rares
parties
vraies, ni les nombreuses inexactitudes, ni les
eur, situé au cerehe.lle moins humide et plus solide que mile autre
partie
du cerveau : pour ceste cause plus apte et plus
e terre. C'est ce que fait Paré dès les premiers mots de la seconde
partie
, de la partie vraiment intéressante de son ouvr
ce que fait Paré dès les premiers mots de la seconde partie, de la
partie
vraiment intéressante de son ouvrage. Ici, peu
u, faisant un point d'aiguille, commençant à passer l'aiguille à la
partie
extérieure au travers de tout le cuir musculeux
ure au travers de tout le cuir musculeux, puis la repasser par la
partie
intérieure et faire le noeud dessus », enfin on d
ire aucune fracture aux os ; et après son dècès on lui trouva en la
partie
opposée du coup, comme envi- ron le milieu de l
ce qui ne fust sans fracture d'os, nerfs, veines, artères et autres
parties
rompues et brisées par ledit coup de lance, mondi
us vis- queux », par < les convulsions et spasmes survenant à la
partie
opposée du coup.... ce qui est à raison de la d
et aussi que les hu- meurs et esprits naturellement courent vers la
partie
blessée; lesquelles deux choses espuisent, sèch
squelles deux choses espuisent, sèchent et consument le costé de la
partie
saine, dont puis après tombe en convulsion ». L
r l'os fracturé du tout, sur les su- tures, sur les sourcilles, aux
parties
iuférieures de la teste de penr que la substanc
démarche étrange (en canard) et par une typer- trophie de certaines
parties
du corps, principalement des mollets et d'autres
ter des doutes à ce sujet. Ces cas forment cependant la plus grosse
partie
du grand groupe des dystrophies musculaires. (1
graisseuse dissimule cette atrophie des fessiers et retombe sur les
parties
latérales et supérieures des cuisses. Au MYOPAT
s (atrophie longitudinale). Au sur et à mesure que se raccourcit la
partie
contractile du muscle augmente la portion fibro-l
cm X Hem; électrode différente, grosse olive 3x2'="' Deltoïde. La
partie
antérieure est très atrophiée, surtout dans ses f
encore faibles, apparentes surtout dans les faisceaux externes. La
partie
postérieure est aussi très atrophiée, surtout dan
; à 80mm C. encore très faibles ; à gauche, C. minima à 95mm. La
partie
moyenne se fait remarquer au contraire par son vo
Sous-épineux. Tandis que la fosse sous-épineuse est excavée dans sa
partie
externe, en raison surtout de l'atrophie du delto
trophie du deltoïde postérieur, elle est assez bien remplie dans sa
partie
interne et le m. sous-épineux semble peu atroph
inima à 95mm. NERF radial (au niveau du bord externe du bras, il la
partie
inférieure de la gouttière de torsion) : à 90mm
1 1/2 m A, X, première NFC" ; 3 m A, XIV, NFC > PFC ? Triceps,
partie
moyenne : 1 1/ m A, VIII, première NFC"' ; 3 m A,
NFC"' ; 3 m A, XII, 1"'PFC ? 3 1/2 m A, NFCC > I'FC ? Triceps,
partie
inférieure : 2 m A, X, NFC" seule ; 3 m A, XII, N
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Trapèze : très atrophié dans ses trois
parties
, mais la portion adductrice l'est plus que la p
le deltoïde par excitation des nerfs du pexus brachial). Dans la
partie
élévatrice de faibles C., soulevant seulement les
t que peu atrophié, et l'atrophie est appré- ciable surtout dans sa
partie
supérieure : C. ni. il 80mm, il 70mm C. assez bon
- gauche, l'atrophie est plus marquée et porte surtout aussi sur la
partie
supérieure : C. m. a 70n ? à 60 C. assez bonnes.
yenne : à droite, n'est guère atrophiée, si ce n'est un peu dans sa
partie
supérieure, C. m. à 70 ? il GO C. assez bonnes; a
0 ? il GO C. assez bonnes; a gauche, un peu plus atrophiée, dans sa
partie
supérieure surtout, C. m. à 6ai ? : C. assez bon-
; C. assez bonnes Ù 60; - il gauche, sensiblement atrophiée dans sa
partie
supérieure : C. m. il 0 : il 55 C. assez bonnes
Il ; électrode différente, grosse olive 3 cm. X cm. 5). Trapèze (
partie
moyenne) : 10 m. A. NFC"' ; 12 m. A. NFC">PFC'
'>PFC" (1). Grand pectoral : 10 ni. A. NFC'>PFC ? DELTOIDE,
partie
antérieure : à 2 1/2 m. A. NFC", C. faible mais n
C", C. faible mais nette ; pas de C. à PF. ; 6 m. A. NFC>PFC ?
Partie
moyenne 5 m. A. NFC>PFC ? (1) La lettre C su
us de fois répétée. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 179
Partie
postérieure : 4 m. A. NFC' seule ; 6 m. A. NFCC&g
5. Élévateur commun : Contractilité un peu diminuée surtout dans la
partie
qui s'insère il la lèvre supérieure : C. minima
ile du 11t ? et de la lèvre supérieure : VIII, 2 m. A. NFC' dans la
partie
qui élève l'aile du nez ; X. 3,5 m. A. NFC;>PF
ertaine mesure, suivant les per- sonnes, et suivant les differentes
parties
du corps. Dans le cas présent, étant donné que,
r tous les mouvements passifs. L'ensellure dorsale me paraît due en
partie
il la faiblesse des muscles abdominaux qui lais
qui ne compen- sent plus l'action des spinaux, bien conservés ; en
partie
aussi à la fai- blesse des muscles grands fessi
t tom- bante, abaissée, presque retournée, mettant ci découvert une
partie
de la muqueuse..... « Le front, d'un poli d'i
es d'un homme lève en l'air ses deux bras très amaigris et terminés
parties
mains difformes. Il est vraisemblable, comme l'on
nt ici leur place. Le prochain fascicule sera également consacré en
partie
à l'étude des ar- thropaltiies d'origine nerveu
ticulaire. Elles sont la conséquence de la distension excessive des
parties
molles, et c'est pour cela qu'elles appa- raiss
ident n'est pas il craindre, mais il résultait de la distension des
parties
molles une douleur qui me décida il demander il
urvcnnes des douleurs fulgurantes typiques, localisées d'abord a la
partie
postérieure de la cuisse droite, et survenant sou
aisément la cavité glénoïde. En effet, la loto de l'humérus' cl la
partie
'supérieure, do sa, diaphyse ont complètement d
e métatarse et les orteils ont une configuration normale. De même, la
partie
péronéo-tibiale de l'articulation ne semble pas
c- tement compte de leur siège précis, aussi bien que de l'état des
parties
fibreuses de l'article. Quant au membre infér
eurs fulgu- rantes d'une grande intensité siégeant a droite dans la
partie
postérieure de la 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
illies apophysaires et condyles normaux n'existent plus, toutes les
parties
sont hypertrophiées et déformées, l'hydarthrose
être naturels. Cette peau est lisse et parfaitement mobile sur les
parties
sous-jaccntes. Le pouce et le petit doigt ne pe
ces épineuses, D prolon- gement rachidien, E méninge fendue dans sa
partie
postérieure et rejetée en devant, F les corps d
ure et rejetée en devant, F les corps des vertèbres sciés dans leur
partie
moyenne, G le fais- ceau des nerfs lombaires et
émi- nences épineuses dans leur entier, et à laisser intactes les
parties
contenues dans le canal rachidien. La méninge é
e l'arachnoïde Figure 68.- Reproduction en grandeur naturelle d'une
partie
d'un des dessins obtenus par notre procédé; à g
étrique et au compas d'épaisseur, un dessin en grandeur égale de la
partie
postérieure du rachis, disséquée sur le sujet c
d un peu plus bas habituellement que chez l'adulte; en moyenne à la
partie
inférieure de la 2e apophyse lombaire : elle n'
te apophyse au bord inférieur de la 12e; la moelle sacrée occupe la
partie
supérieure du canal lombaire. Ces moyennes, déj
pophyse épineuse dor- sale jusqu'à la 11e il faut ajouter trois; la
partie
inférieure de la 11° apophyse dorsale, et l'esp
e est entr'ouverte, mais la langue est rentrée. Un homme, masqué en
partie
par le possédé, le soutient sous les épaules. A
es organes des cinq sens c'est une propriété commune ,'1 toutes les
parties
vivantes, sans exception. Quel- ques sensibilit
ce cérébrale a fait son choix. Le peintre a fait abstraction de telle
partie
pour donner plus de valeur telle autre. Il a fa
e et qui ne lèse pas le nerf) exerce son pouvoir paralysant sur une
partie
du système neuro-musculaire intermédiaire au nerf
système neuro-musculaire intermédiaire au nerf et au muscle. Cette
partie
intermédiaire, c'est la plaque terminale. Telle
préside aux fondions de notre être, laisse à la moelle épinière une
partie
de la besogne. C'est la moelle qui est toujours
t, il y a toujours analgésie et thermo-anesthésie de la peau et des
parties
profondes. Pour ce qui est de la sensibilité cu
ensibilité et de l'arthropathie (hanche droite). La sensibilité des
parties
profondes a pu être appréciée lors des inter- v
ticulaires ; 2° Lésions de la moelle, des nerfs, etc. La première
partie
de cette étude, seule, a été faite. Quant aux lés
up les plus fréquentes parce que la lésion siège de préférence a la
partie
supérieure de la moelle. D'autre part elles son
ses ques- tions l'extension qu'elles méritent : ils répéteraient en
partie
ce qu'on a dit dans ce numéro de l'Iconographie
douleur assez vive s'accompagnant, de rougeur et de gonflement des
parties
molles avec épanchement assez abondant dans l'ar-
parcellaires, à des luxations : un appareil orthopédique obviera en
partie
à ces perpé- tuels dangers. Bien exceptionnelle
luxée à travers la peau, puis nécrosée, la résection de toutes les
parties
osseuses malades s'impose : l'étendue des lésions
intervention habituelle doit avoir également pour but d'enlever les
parties
osseuses nécrosées : mais là d'or- dinaire suff
autre où des ulcérations trophiques avaient mis à nu et nécrosé une
partie
du métatarse, et dont une de nos figure représe
nnepourulcération tro- phique du gros orteil avec né- crose d'une
partie
du métatarse ARTHROPATHIES TROPHIQUES AU POINT
S MIRACLES DE SAINT IGNACE DE LOYOLA L'an de grâce 1491, dans cette
partie
de l'Espagne qu'on nomme la province de Guipuzc
sse, et aussi des injures que le temps a fait subir à la valeur des
parties
ombrées (1). L'album auquel ont été empruntées
e remplacé par celui d'inanition hysté- qui représenterait mieux la
partie
la plus saillante des accidents (1) ». Inanitio
gr. La peau est brune, ridée, flasque, sèche et trop large pour les
parties
qu'elle recouvre. Les cheveux sont secs et raré
bove, p. 24li). LE NERF LABYRINTIIIQUE Nous laisserons de côté la
partie
purement topographique de l'anatomie du nerf la
eus ambig1l11S du pneumogastrique par des fibres qui s'associent en
partie
à celles du faisceau solitaire et remontent ave
en tombant d'un toit, cinq jours avant, s'était fait au niveau de la
partie
dorso- lombairo du racbis une lésion dont le se
ie sans thormanesthésic, occupaient la verge, les bourses sauf leur
partie
supero-externe, le périnée, la région périanale;
a région périanale; sous une forme atténuée, ils s'étendaient à une
partie
de la région fessière, à une mince bande sur la
nouveau 372 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE occupaient la
partie
postéro-eterne du creux poplité, du mollet et tou
ères me permit de suite de constater une saillie très notable de la
partie
supero-cxterne do la lame gaucho XIe de la dors
ent par la lame mais aussi par la masse latérale de la vertèbre et la
partie
Fig. 94 et 93. - Distribution des troubles sens
ilaté par une hydropisie ventriculaire qui aurait réduit la majeure
partie
de sa paroi à n'être plus qu'une enveloppe fibr
delette sillonnée du limaçon et en cordes de Nuel et liensen sur la
partie
striée de la membrane basilaire. La pie-mère de
alement la bande vasculaire du limaçon, le liga- ment spiral et une
partie
de l'épaisseur de la protubérance de Huschke. L
ques s'étirent, surtout les centraux qui vont former la plus grande
partie
, la partie efférente du nerf labyrinthique ; sa
ent, surtout les centraux qui vont former la plus grande partie, la
partie
efférente du nerf labyrinthique ; sa partie affér
plus grande partie, la partie efférente du nerf labyrinthique ; sa
partie
afférente étant constituée par les prolongement
es fibres minces et grêles à engaîneinent tardif qui aboutissent en
partie
à la tète de la corné posté- rienre. b') De mêm
ganglion de Scarpa, et émettant des fibres qui se distribuent à la
partie
inférieure du premier tour de spire du limaçon
le chat par Cannieu, et qu'elle s'est chez nous ab- sorbée dans la
partie
protubérantielle du noyau antérieur. Noyaux de
central de Stieda, noyau médian de la racine postérieure de Krause,
partie
médiane du noyau supé- Nouv. ICONOCIt DE LA SAL
s antérieures de Krause, le noyau latéral de Stieda et Schwalbe, la
partie
externe du noyau supérieur de IIenle, le noyau
nerf labyrinthique, dans le triangle formé par leur confluent et la
partie
anté- rieure du corps restiforme. On en a fait
la branche cochléaire du nerf labyrinthique. On lui recon- naît une
partie
protubérantielle et une partie bulbaire. La premi
abyrinthique. On lui recon- naît une partie protubérantielle et une
partie
bulbaire. La première con- tient de grosses cel
ganglion de Corti a déjà la signification d'un ganglion spinal ? Sa
partie
inférieure contient des cellules à type moteur,
l'autre côté, se mêlent aux fibres ascendantes qui proviennent des
parties
profondes de la moelle et gagnent avec elles l'
t cette olive supérieure du noyau de l'abducens (VI). Enfin de la
partie
antéro-interne du noyau de Deiters et d'îlots sit
rme la racine postéro-externe du nerf labyrinthique. La plus grande
partie
de ses fibres se jettent dans le noyau antérieur
pposé dans la portion interne de la colonne latérale, traversent la
partie
externe de la formation réticulée tandis que les
formation réticulée tandis que les fibres acousti- ques prennent sa
partie
interne, et gagnent l'écorce pariétale. Le nerf
duses, les balanciers des Diptères, les otocystes de la plus grande
partie
des êtres organisés, jusqu'aux formations labyrin
ointes médianes repoussées en arrière, rétrécissait il l'extrême la
partie
gaucho du canal et comprimait, avec la précisio
l et comprimait, avec la précision d'une expérience physiologique, la
partie
gauche de la moelle, ainsi que je m'en assurai
la moelle sur laquelle je suturai la dure-mère et, sans drain, les
parties
molles (Fig. 96). Il n'y eut acucune élévation
8). Les réflexes du membre supérieur gauche et de toutes les autres
parties
du corps étaient absolument normaux. En somme,
l est tellement large que le champ visuel n'en contient plus qu'une
partie
; enfin il disparait. Cette période dure environ
mée le domaine sylvien, puisque l'irriga- tion de l'écorce dans ces
parties
se fait par le canal de l'artère sylvienne et d
qu'il faut faire pour arti- . culer les mots l'altération de cette
partie
produit l'aphasie motrice; une artériole pour l
d et Latll;I111; nn spasme vasculaire produit l'is- chémie dans les
parties
correspondantes de l'écorce ; par le fait de l'is
rce ; par le fait de l'isché- mie la fonction propre il chacune des
parties
intéressées sera momenta- nément contrariée ; m
s mots. L'excitabilité faradique et galvanique directe des diverses
parties
du deltoïde était très affaiblie; et on constat
maintenir sa tête droite, ;i moins que celle-ci ne re- pose par sa
partie
postérieure sur la poitrine de sa nourrice qui la
ue en entier avec les méninges pour l'examen histologique. Dans les
parties
non conservées on constate qu'il se décortique
ouve rien à signaler sauf une congestion assez vive au niveau de la
partie
^ postérieure du noyau lenti- culaire et de la p
u niveau de la partie^ postérieure du noyau lenti- culaire et de la
partie
correspondante de la capsule interne, de l'avant-
ommissure postérieure, la bande scléreuse s'étale davantage sur les
parties
latérales, laissant le long du septum médian un
plus, comme à la région cervicale, une sclérose limitée à certaines
parties
, mais les gros tractus péri- vasculaires sont é
sont sclérosés dans toute leur étendue avec prédomi- nance dans la
partie
postérieure du faisceau de Goll et dans la zone
h excepté la périphérie où l'on voit un anneau de sclérose. Dans la
partie
restante de la corne anté- rieure gauche les ce
ous-entendus. La péri- phérie du renflement est ainsi divisée en 15
parties
égales. Le long du tube cylindrique parallèle à
e une ligne assez longue. En imprimant un mouvement circulaire à la
partie
renflée de l'appareil, on peut mettre n'importe
N ALGÉSIMÈTRE 43 en bas par un ressort caché dans l'intérieur de la
partie
inférieure du cylindre. En tournant la renflure
t où en tournant on arrive de nouveau à un arrêt, la longueur de la
partie
de l'aiguille sortie a atteint son maximum. A m
eure du corps la sensibilité dou- loureuse est moindre que dans les
parties
latérales. Cela est surtout pro- noncé sur le n
'est-à-dire d'avant en arrière et d'en bas en haut. La peau de la
partie
cartilagineuse du nez esl moins sensible à la dou
agineuse du nez esl moins sensible à la dou- leur que la peau de la
partie
osseuse. Une différence marquée entre les deux
la peau de la partie osseuse. Une différence marquée entre les deux
parties
du corps est surtout pro- noncée sur les mains
omposition ne soit survenue; ils ont été placés dans un mé- lange à
parties
égales d'eau et d'alcool méthylique, renouvelé à
cellules à pointes de la couche de Mal- pighi, surtout visible à la
partie
supérieure, et non pas dans toute l'é- paisseur
ia et que celui-ci regarde comme caractéristiques de la maladie. La
partie
centrale du noyau fixe forte- ment la couleur ;
ésumé : L'excitabilité faradique et galvanique directe des diverses
parties
du deltoïde est très affaiblie ; souvent NFC es
est un infantile. A retenir cependant la conformai ion de certaines
parties
du corps : les hanches, les fesses, les cuisses
tte apparaissent entre les deux feuillets des bourses accolés il la
partie
inférieure. La verge très petite, atteint il pein
ati- quées des deux côtés, à des niveaux égaux. ; Au niveau de la
partie
moyenne de la cuisse, le pourtour du membre mes
es de la réaction de dégéné- rescence, et qui est cause, en majeure
partie
, de la chute du pied et du st,ep- page. Soit di
qui les suivirent. 1 1 Au lavoir, où elle passait la plus grande
partie
de sa journée, son tra- vail consistait à prend
regorgement. La malade resta alitée tout le mois de janvier et une
partie
de celui de février. Le 13 février, elle fut ad
esthésie cutanée à la région fessière, sous la plante du pied, à la
partie
inférieure de la co- lonne vertébrale. Sur la
inférieure de la co- lonne vertébrale. Sur la cuisse gauche, à la
partie
inféro-externe de la jambe et sur le dos du pie
ce externe de la jambe, clans la région péron iére. 1 Enfin, à la
partie
supérieure de la rainure inter-fessière existait
en. Enfin, la cuisse était le siège d'un oedème marqué surtout à sa
partie
postéro-interne. L'étal général était satisfais
t un homme de 24 ans, qui éprouvait des douleurs très vives dans la
partie
inférieure de la région dorsale et dans la région
muscles de la jambe et du pied d'un côté, pour envahir ensuite les
parties
homologues du côté opposé. Les cuisses restent
eux, nous avons affaire à une affection qui emprunte des traits en
partie
aux paralysies périphériques, en partie aux paral
qui emprunte des traits en partie aux paralysies périphériques, en
partie
aux paralysies centrales. Pour qu'il en soit ai
n point où elle intéresse à la fois l'axe spinal et l'origine d'une
partie
des nerfs destinés au membre inférieur. Il faut
élèves, est destinée à vous remettre en mémoire les rapports de la
partie
terminale du névraxe et de la queue de cheval a
rection de P. Poirier) : le cône terminal, d'après Charpy, est la
partie
de la moelle qui donne nais- sance aux nerfs co
de la deuxième vertèbre sacrée, de sorte qu'on lui dis- tingue deux
parties
: la partie intra-durale, filament terminal inter
e vertèbre sacrée, de sorte qu'on lui dis- tingue deux parties : la
partie
intra-durale, filament terminal interne, et la
parties : la partie intra-durale, filament terminal interne, et la
partie
extra-durale, filament terminal externe, qui va s
la 2" vertèbre lombaire ; Le filament terminal interne, qui est en
partie
un prolongement de la moelle, et qui s'étend de
eulement dans l'un d'eux. Quelquefois, elles sont rapportées en une
partie
tout à fait circonscrite du sacrum, circonstanc
lorsqu'il était resté assis ou couché sur le dos ou sur toute autre
partie
du corps, pendant quelque temps. Il est fréqu
i, soit dit en passant, représentent le domaine d'innervation d'une
partie
des branches nerveuses émanant du plexus sacré
membres inférieurs, et alors elle est le plus souvent limitée à la
partie
postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-
s le cas de Lachmann, on a trouvé, à l'autopsie, un gliome dans la.
partie
supérieure du filament terminal, qui, vous vous l
de la queue de che- val, conservent l'intégrité fonctionnelle d'une
partie
des muscles de leurs . membres inférieurs, de c
question d'une haute im- portance pronostique, est de savoir quelle
partie
de ce contenu intra-rachi- dien est le siège de
ien simple. Vous avez affaire à une lésion qui re- montej1lsqu'Ù la
partie
supérieure du renflement lombaire. En effet, la
, vous diagnostiquerez une affection de la queue de cheval ou de la
partie
correspondante de la moelle. ' Voici d'ailleurs
as des deux précédentes catégories, la paralysie n'intéresse qu'une
partie
des territoires innervés par les rameaux du tri
sor- ganisé le centre dit ano-résical, le centre où les impressions
parties
de la vessie et du rectum sont transformées en
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE les cornes postérieures et une
partie
des cordons latéraux étaient désor- ganisés.
s le rappelez peut-être, à l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la
partie
supérieure du filament terminal, qui comprimait
totalité des membres inférieurs, l'anesthésie remontant jusqu'à la
partie
inférieure du ventre et du dos, avec paralysie
otum (aux grandes lèvres chez la femme), à la région fessière, à la
partie
postérieure de la cuisse, il la par- SUR LES AF
est relativement favorable. En effet, il est assez habituel qu'une
partie
des symptômes rétrocèdent, y compris ceux en rapp
glante. Nous note- rons encore que le microscope ne révéla, dans la
partie
amputée, rien autre chose qu'une légère prolifé
x musculaires distincts. Par exemple le deltoïde est formé de trois
parties
, tiers moyen, tiers antérieur et tiers posté- r
tiques. Enfin les tendons sont peu saillants et se fondent avec les
parties
voisines. ? La distension qui est toujours accomp
tement, et l'action musculaire est nécessaire pour contrebalancer en
partie
126 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE l
dans l'exten- tion le relief du biceps se confond avec celui, des.
parties
,.voisines, tandis que dans la flexidnilen est,
d..Seulement la contraction au"lieu d'être au biceps, se trouve il la
partie
postérieure du bras, au.triceps. Je n'insiste p
ouvements. Nous verrons que nos observations confirment au moins en
partie
les expériences de M. Beaunis. Considérons il n
hevé son mouvement qui se continue en vertu de la seule inertie des
parties
. Ainsi, prenons le membre au moment où il est é
;, Nous pouvons retrouver ce jeu des antagonistes dans les diverses
parties
d'un môme muscle (le deltoïde) lors de l'élévat
lentement ou rapidement. Dans le premier) cas, la contraction de la
partie
moyenne et antérieure du deltoïde se maintient, t
mus- cles situés en avant de l'épaule (tiers antérieur du deltoïde,
partie
supérieure du grand pectoral) pour le mouvement
le méta- carpe. Il y avait une atrophie manifeste des muscles de la
partie
antéro- interne de l'avant-bras, des interosseu
es éminences hypothénarien- ne et thénarienne. Le petit doigt et la
partie
interne de l'avant-bras étaient oedématiés, cou
ourmille- ment extrêmement pénible, localisé au petit doigt et à la
partie
interne de la main ; toutes les 10 ou 15 minute
'annulaire, la moitié interne de la première phalange du médius, la
partie
correspondante de la main jusqu'à la tête cubital
LA Ville RACINE POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 13D l'annulaire, à la
partie
interne de la main sur une largeur correspondante
ine qui, baignée dans du liquide céphalo-rachidien et si- tuée à la
partie
tout Ù fait supérieure de l'incision durale, étai
ouvel examen pratiqué le soir du même jour, je pus constater que la
partie
brachiale de la zone hypoesthésique avait disparu
de la VHP racine cervicale, comprenant les deux doigts internes, la
partie
interne de la main, et deux bandes antibrachial
en dedans du tendon du biceps, l'autre postérieure, passant sur la
partie
interne de l'olécrane : territoire bien différe
té palmaire le petit doigt, la moitié interne de 'l'annulaire et la
partie
correspondante de la main ; du côté dorsal le p
langes, la moitié interne de la première phalange du mé- dius et la
partie
correspondante de la main. L'existence des bandes
radiculaire des 2a et 3' paires lombaires s'accom- pagnerait, à la
partie
postérieure de la cuisse, d'une bande d'hyperes-
lles encla- vent symétriquement la région fessière inférieure et la
partie
moyenne de la face postérieure de la cuisse. Ce
lie sur la ligne médiane du canal rachidien, et s'enfonçait dans la
partie
médiane de la moelle, en respectant les racines
foyer A, respectant les racines du crural, intéresse uniquement la
partie
in- (1) SciiLurzE. Deulsclie Zeilscli. sur Neru
périeur droit. 1- .- 2° Conformation postérieure du thorax. Dans sa
partie
supérieure le thorax est recouvert par le scapu
u contraire, si le plan osseux plus saillant repousse en dehors les
parties
molles qui le recouvrent. Nous avons donc reche
ns, la même attitude fréquemment répétée finissant par imprimer aux
parties
des modifications de texture qui rendent durables
t son sujet, se bornant à rechercher le degré de , sensibilité delà
partie
attaquée de la peau, comparée à la partie saine
gré de , sensibilité delà partie attaquée de la peau, comparée à la
partie
saine environnante, de sorte que, d'un côté, il
tait resté au même point, mais l'anesthésie n'occupait plus que les
parties
inférieures de ces extrémités. (Fig. 42) IX.
bras. Anesthésie de toutes les variétés do la sensibilité dans les
parties
affectées. Un examen fait deux semaines plus ta
rée de, l'état morbide de la peau a varié de 1 an à -19 ans ; les
parties
du corps attaquées de préférence 'par l'eczéma
e l'anesthésie a été le plus souvent régio- nal (par membres ou par
parties
de membre), mais parfois aussi cérébral (cas 1
un môme malade, l'anes- thésie affectai t diverses formes selon les
parties
du corps atteintes (III et IX). L'intensité de
Saint-Louis, sallellenri IV, une femme de 23 ans, présentant sur la
partie
gauche du corps une érup- tion tout à fait extr
lleux qui, par leur étendue considérable, aboutissent à couvrir une
partie
du sein. Ces incrustations sont peu adhérentes
e là émerger entre l'olive et la pyramide antérieure. Dans toute la
partie
cérébrale de son trajet jusqu'au pédoncule incl
s le sillon qui sépare l'olive de la pyramide du même côté, et a )a
partie
supérieure de celle-ci, soit avant l'entrecroisem
ras, la jambe à angle aigu sur la cuisse, le pied venant toucher la
partie
interne supérieure de la cuisse gauche. Ces con
et légèrement oedématiée. Dans le noyau len- ticulaire gauche il sa
partie
inférieure se trouve un kyste de la grandeur d'
rotubérance un affaissement dans la moi- tié gauche du bulbe. Cette
partie
affaissée a une largeur de 6 millimètres, et un
6 millimètres, et une hauteur de 3"'1/` ? millimètres et occupe la
partie
supérieure de la pyramide gauche. La partie de
illimètres et occupe la partie supérieure de la pyramide gauche. La
partie
de la pyramide gauche au niveau de la partie infé
la pyramide gauche. La partie de la pyramide gauche au niveau de la
partie
inférieure de l'olive est fortement atrophiée.
hauteur mesure 6 millimètres en largeur. La pie-mère qui couvre la
partie
affaissée semble légèrement épaissie et est forte
oite est normale. Les uretères sont très dilatés, surtout dans leur
partie
inférieure. Les reins sont de grandeur normale.
que dans la substance bilan- che de la moelle, il l'exception de la
partie
du faisceau latéral droit qui déjà il l'oeil nu
était beaucoup moins forte, quoique encore bien distincte, dans la
partie
lombaire. Outre cette méthode de coloration, no
tenant du pig- ment brunâtre. Enfin les capillaires sont aussi en
partie
oblitérés surtout au niveau du raphé et de son
û à une endarlérite chronique oblitérante, ayant détruit la majeure
partie
des ra- cines de l'hypoglosse gauche. Telle e
la journée, complètement nu. Une fois dans ce trou il en fermait la
partie
supérieure au moyen d'une cloche à melon et y res
ux demi-cylindres de tôle, lui couvrant le clos, la poitrine et une
partie
de l'abdomen. La douleur de rentre-Côte h persi
avec une. enQlac1e' de pièces. La dernière, dont on ne voit qu'une
partie
dans l'encadrement d'une' porte,' est pleine de
t d'un effet sai- sissant et commande l'émotion. C'est là qu'est la
partie
la plus intéressante de l'oeuvrc. C'est là surt
du Roi. Le reste de la composition est d'un intérêt secondaire. La
partie
droite est occupée par deux jeunes enfants aux
ère avait été enlevée et parut saine à un examen macroscopique. Une
partie
cle la moelle cervicale resta adhérente au bulb
1 microscopiquement. En effet, le picro-carmin ne fait voir'dans la
partie
. des cordons postérieurs que nous avons trouvé
s semblent normales, Microscopiquement, on trouve également dans la
partie
postérieure du cordon latéral, une diminution d
irige vers la commissure posté- rieure sont normales, tandis que la
partie
médiane des cordons postérieurs et la zone radi
que l'ac- tion du durcissement se fût uniquement exercée sur cette
partie
. L'existence de semblables altérations dans un
s postérieures sont intactes. Cette lésion cantonnée dans certaines
parties
des cordons postérieurs n'est pas une véritable s
fération. L'examen à un fort grossissement nous a fait voir dans la
partie
médiane du cordon postérieur qui avoisine le si
général régulièrement arron-- dies et disséminées sans règle. A la
partie
postérieure et à droite on voit 3 ou 4 plaques
if. En dehors des crises, il est apathique. Il passe la plus grande
partie
de son temps à faire des houppes de fil, qu'il
étroites. Le thorax est cylindrique, les seins un peu saillants, la
partie
la plus élevée coïncidant avec le mamelon. Le
rge que le gland, la peau de la sur- face antérieure du pénis et la
partie
correspondante du prépuce, où se trouve une cic
erons donc à dire, en ce qui concerne les tumeurs figu- rées sur la
partie
médiane du front, qu'on peut les considérer pour
cision des artères qui sont aux temples; mais si elle vient d'autre
partie
, peu profite : et partant le docte médecin y po
rop longtemps en iceluy, ou bien a Huer trop impétueusement sur les
parties
inférieures, n'excitent divers fâcheux accident
rties inférieures, n'excitent divers fâcheux accidents en plusieurs
parties
du corps. C'est pourquoi Mesué et Albucrasis (L
) ». Or, « il est raisonnable d'appliquer le remède susdit en cette
partie
là, de laquelle lesdites humeurs intérieures pe
roupir trop long- temps » ni de « (luer trop impétueusement sur les
parties
inférieures ». Cette étrange physiologie pathol
les hypocon- driaques obsédés par l'idée qu'ils avaient en quelque
partie
de leur corps, une bête malfaisante cause de to
son surnom) entre 14U et 14go, il semble avoir vécu la plus grande
partie
de sa vie dans cette ville où il mourut en 1G1G (
son temps. Jan Sanders, dit Van Hemessen peintre flamand de la 2-
partie
du XV' siècle. Van Hemessen (1) est le surnom d
a été gravé en 1642 par A. Iloudius (La Haye) et décomposé en trois
parties
. Des exemplaires de ces gravures se voient au cab
ntes. Veuillez remarquer, je vous prie, que ces centres occupent la
partie
supérieure de la protubérance, non loin des tub
e admettre l'existence d'un ou de plusieurs foyers morbides dans la
partie
supérieure du pont 272 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
n ou plusieurs rameaux artériels, émanés du tronc basilaire vers sa
partie
supérieure, ont été frappés au cours de la roug
correspondent aux médianes antérieures de la moelle, naissent de la
partie
supérieure du tronc basi- laire, se dirigent di
ET HÉMIPLÉGIE DROITE 275 laire commun. Il semble donc que ces deux
parties
du long noyau de la troisième paire sont chacun
DE 1..\ TOU1SSTTE, Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 2e
partie
, il, p. 12G, 1895. (2) Dance, Etude sur le té
t la convulsion tonique commence et se traduit par la rai- deur des
parties
affectées, raideur que la volonté est impuissante
ent, le talon est tiré en haut par la contraction des muscles de la
partie
postérieure de la jambe; celle-ci est étendue s
il autorisé à conclure : 1° Que l'hystérie revendique une grande
partie
des contractures dites essentielles des extrémi
liE la Tourette, Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 2''
partie
, t. II, p. 131, in-8o, 1S95. (i) Obs. I, in T
ôpital Cochin. État actuel. 27 mars 1895. Il existe au niveau de la
partie
inféro-externe de la cuisse gauche, il 8 centim
eau des cuisses, très saillantes aux mollets (PI. XLYI). Toute la
partie
externe de la cuisse gauche est le siège d'un oed
rmo-custhésiomètro à 110"; Glace). Mêmes zonos anesthésiques sur la
partie
inférieure de la jambe s'arrêtant ;1 l'articula-
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tion tibio-tarsicnne, sur la
partie
supérieure du bras, et inférieure de l'avant- b
puisse en conjecturer, le sens allégorique qui se cache dans cette
partie
de la gravure de P. Bruegel et qui domine aussi
l'estrade, ou à tout autre qui l'a précédé. Retenons surtout qu'une
partie
de la besogne opératoire est confiée à une femm
ANSVERSE AIGUË ? -; s i ? $7 dans la moitié gauche du tronc et à la
partie
supérieure de la face anté- rieure de la cuisse
fesse droite et aboutit au pli fessier. Autour de l'eschare et à la
partie
su- périeure des cuisses il existe un semis de
racine dorsale ; dès le début elle envahit les deux commissures, la
partie
postérieure des cornes anté- rieures, se prolon
e sur presque toute sa surface de section ; il ne reste plus qu'une
partie
des cordons postérieurs, surtout du cordon post
ent des aspects très comparables à ceux qui ont été décrits pour la
partie
supérieure de la lésion. Néanmoins la tache de
s, sont en somme relativement peu lésés; ça et là, au voisinage des
parties
saines, on voit encore des tubes nerveux à myélin
eure et dans le sillon postérieur au renflement cervical et dans la
partie
supérieure de la région lésée; les leucocytes for
aux, en écartant et en refoulant les faisceaux conjonctifs. Dans la
partie
inférieure de la moelle les leucocytes s'accumu-
pagnaient de marbrures violacées ou noirâtres sur les pieds et à la
partie
inférieure des jambes; ces marques, qui paraiss
membres supé- rieurs sont en état de rigidité cadavérique. Toute la
partie
inférieure du corps est oedématiée ; les articu
seudo-lobaire de tout le lobe inférieur gauche et de la plus grande
partie
du lobe inférieur droit. Le coeur est flasque,
bordure à la périphérie, quelques tubes épars et le réticulum d'une
partie
de la corne antérieure droite. En employant un
infectieux syphilitiques anciens, puisqu'ils sont formés en majeure
partie
de cellules allongées qui trahissent une évolutio
sur le compte, de la syphilis ; ces altérations, tout en gardant en
partie
un aspect embryon- naire, peuvent très bien êtr
musculaires de la jambe semble porter autant sur les muscles de la
partie
postérieure que sur ceux de la région antéro- l
et 23 'à droite. Remarquons ici que le deltoïde gauche mesuré à sa
partie
moyenne est plus gros de 3 centimètres que le d
ression. A ce point de vue, la face pourrait être di- visée en deux
parties
: le front et lé reste du visage. En effet, toute
, c'est toute autre chose; les rides se creusent et donnent à celle
partie
de la face une expression en rapport avec leur
dé leur pas a pour but de remé- dier à cette chute imminente de la
partie
supé- rieure de leur corps en avant. Dans la
iment une direction toute spéciale, et à la région fessière vers la
partie
inférieure. Les apparences de la sénilité sont
tion de la graisse. En cet endroit, la peau trop lâche retombe à la
partie
inférieure où elle forme, de chaque 370 NOUVELL
orsque l'avant-bras est préalablement mis en supination. - 1 A la
partie
postérieure du bras, le triceps est aussi rigide
tre dans le vif de son étude qu'il va, nous dit-il, diviser en deux
parties
: la première ayant trait à la classification d
; la seconde à leurs signes, pronostic et traitement. La première
partie
, sur laquelle, suivant l'auteur lui-même, « il fa
o- mie de Bérenger de Carpi ont un frontispice assez analogue ; une
partie
de ce frontis- pice, reproduite dans notre figu
malade ». Après ces considérations, l'auteur entre dans sa seconde
partie
: Il y étudie tout d'abord, la symptomatologie
a part, dit-il, j'ai vu jusqu'à ce jour six hommes dont une notable
partie
de la substance du cerveau était sortie et qui so
avoir essayés sur le cadavre, et de bien connaître quelles sont les
parties
solides et les par- ties fragiles du crâne, ain
une TRAITÉ DES FRACTURES DU CRANE DE BÉRENGER DE CARPI 383 grande
partie
du crâne, de peur que les tentes et les bandes ne
, sont souvent voués à la folie; et on peut dire que la plus grande
partie
des criminels sont mo- ralement imbéciles3 (Mor
a conception ou de la gestation, le développement de telle ou telle
partie
du système nerveux subisse un trouble quelconqu
s'appelle l'ataxie locomotrice progressive; l'autre s'approprie une
partie
des cordons latéraux, celle qu'on désigne aujou
lle a eu la vérole; mais, en 1S(>8, elle aurait eu un « clou aux
parties
» qui aurait d'ailleurs duré fausse sclérose sy
sistent en l'état, sans grande modification, pendant la plus grande
partie
de l'année 1882. En novembre, la malade se plai
de M. Ch. Féré). - « Le cadavre est très amaigri. Il existe sur la
partie
moyenne du sacrum une escharre large comme la p
sâtre comprenant la moitié postérieure des cordons latéraux. Sur la
partie
moyenne, en arrière, un fais- ceau gris qui par
ehors les limites du faisceau de Goll ; 2° sur une coupe faite à la
partie
moyenne de la région dorsale, on ne voit plus à
sions sont surtout marquées au niveau de la région dorsale et de la
partie
inférieure de la région cervicale; elles s'atté
. a) Cordons postérieurs. - Ils sont indemnes dans la plus grande
partie
de la région lombaire (PL. I, fig. 1, 2 et 3). Au
oute leur épaisseur. On remarque cependant en dedans eten avant des
parties
scléreuses deux petites bandelettes intactes qu
s deux petites bandelettes intactes qui représentent, au moins en
partie
, les faisceaux de Goll. Sur la figure 5, qui co
n dorsale. On peut constater que la teinte rosée, correspondant aux
parties
ma- lades, s'étend ici aussi bien sur la bandel
FAUSSE SCLÉROSE SYSTEMATIQUE DE LA MOELLE. 51 C'est au niveau de la
partie
la plus élevée de la région dor- sale et de la
niveau de la partie la plus élevée de la région dor- sale et de la
partie
inférieure de la région cervicale (PL. II, fig.
fig. 11 et 12) les bandelettes externes sont intactes, sauf dans la
partie
qui avoisine immédiatement la pie-mère. Les fai
aut en bas, nous décrirons cependant ces lésions en procédant de la
partie
inférieure vers la partie supérieure de la moel
cependant ces lésions en procédant de la partie inférieure vers la
partie
supérieure de la moelle, comme nous l'avons fai
ATHOLOGIE NERVEUSE. étaient le plus prononcées et le plus diffuses (
partie
supérieure de la région dorsale et inférieure d
re de la région dorsale et inférieure de la région cervicale), la
partie
la plus reculée des cornes postérieures était com
ordons latéraux. Cette sclérose est surtout accusée au niveau de la
partie
dorsale supérieure et cervicale inférieure. Sur
ngue conjonctive. Cette gangue est moins dense, en général, dans la
partie
sclérosée qui correspond aux cordons postérieur
au centre, tandis qu'en b, au moins sur les limites de la figure (
partie
périphérique des cordons latéraux), ces gaines et
ement défaut. c) On constate à la périphérie de la moelle, dans les
parties
dégénérées, un grand nombre de corps amyloïdes.
La sclérose, en effet, intéresse à la fois et dans la plus grande
partie
de la moelle, le système des cordons postérieur
cette dernière affection le faisceau de Burdach est envahi dans les
parties
basses de la moelle, tan- dis que le cordon de
ement lombaire. Une sem- blable prédilection de la sclérose pour la
partie
dorsale de l'axe spinal n'est pas dans les habi
nsable dans une description d'in- diquer avec netteté quelle est la
partie
ou le système de ce cordon qui est altéré. Il e
système pyra- midal, qui respecterait absolument dans toutes les
parties
de la moelle les faisceaux de Türck et les cor-
penser qu'il s'agit ici, contrairement à ce qui est pour les autres
parties
de la moelle, d'une véritable dégénérescence as
t, il y avait, en outre de la lésion précédente, une sclérose de la
partie
la plus pé- riphérique et la plus reculée des c
d'une myélite syphilitique. Nous croyons devoir reproduire ici une
partie
de cette intéressante obser- vation : 1 Westp
Les lésions, dit l'auteur, offrent leur maximum d'intensité vers la
partie
supérieure de la région dorsale et dans le cordon
Cette dégéné- rescence secondaire symétrique se poursuit jusqu'à la
partie
inférieure des régions dorsale et lombaire. Qua
de Burdach. Les cordons latéraux sont intéres- sés dans une grande
partie
de leur étendue : la sclé- rose commence à la p
périphérie de la moelle, recouvre les faisceaux cérébelleux et une
partie
des voies pyra- midales. Elle ne respecte donc
combinaison des lésions classiques de avec une dégénérescence d'une
partie
plus ou moins étendue des cordons antéro-latéra
sposés sans méthode, les cordons laté- raux sont dégénérés dans une
partie
qui correspond assez exactement aux faisceaux p
double myélite systéma- tique ; ou bien enfin que les lésions de la
partie
moyenne de la moelle étant celles d'une myélite
la moelle étant celles d'une myélite dif- fuse, les altérations des
parties
supérieures et infé- rieures représentant des d
ons, et aussi le développement remarquable des vaisseaux dans les
parties
sclérosées, particularité que relève l'auteur et
tance, comme nous le dirons par la suite. Quant à la sclérose des
parties
de la moelle sus et sous-jacentes aux régions d
Au contraire, dans le cas de Westphal, il est noté qu'au niveau des
parties
que nous considérons comme atteintes de myélite
B celle du cordon latéral de la moelle de Sarrazin, aux confins des
parties
malades et des parties saines, c'est-à-dire là
al de la moelle de Sarrazin, aux confins des parties malades et des
parties
saines, c'est-à-dire là où la lésion n'avait pa
ostérieur, que toujours, au contraire, les lésions ont envahi une
partie
plus ou moins étendue des systèmes voisins; ce
andis que la sclérose du cordon latéral s'étend dans la plus grande
partie
de la moelle, celle des faisceaux de Burdach fa
que des faisceaux postérieurs avec propagation du pro- cessus aux
parties
avoisinantes, cas dans lesquels, en dépit de ce
usqu'au renfle- ment lombaire et si les zones radiculaires de ces
parties
sont intéressées par la dégénération » u 1 La q
DES PLANCHES PLANCHE 1 Fig. 1. Coupe de la moelle au niveau de la
partie
supérieure du cône médullaire. Fig. '-). - Co
upérieure du cône médullaire. Fig. '-). - Coupe transversale à la
partie
inférieure de la région lombaire. a, Prolonge
ent scléreux émané de la pie-mère Fig. 3. - Coupe transversale à la
partie
moyenne de la région lombaire. a, Prolongement
le inférieure. Fig. il, 12. - Coupes transversales de la moelle aux
parties
moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose d
qu'un aliment est plus digestihle qu'un autre, quand il cède ses
parties
chymifiables plus promptement que cet autre, quel
quelque chose de semblable dans l'OBsERvATION Xll, où la majeure
partie
des bouchées qui remontaient était formée de vian
; la deuxième petite molaire supérieure droite seule est cariée. La
partie
inférieure de la face est très saillante. Cou
- tie inférieure de l'oesophage (il y en a aussi quelques-unes à la
partie
supérieure). - L'estomac est absolument normal.
urtout les liquides; au bout de quelques minutes, il en rejette une
partie
et ravale l'autre; ]e mé1'ycisme est donc aujour-
; les aliments semi-liquides, comme les soupes, le sont souvent; la
partie
liquide, bouillon ou lait, revient la première;
st profond. La pariétale ascendante, un peu irrégulière, offre à sa
partie
moyenne une sorte de sillon transversal incom-
tion tem- porale est très distincte, la deuxième et la troisième en
partie
con- fondues. La circonvolution de l'hippocampe
n ce sens qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la
partie
postérieure de ces deux circonvolutions. Il n'y
outit au corps calleux. - Le coin a la forme d'une enclume, dont la
partie
horizontale se confond en arrière avec le lobe
à fait distincte, avec une attache à la frontale ascendante dans sa
partie
inférieure. Ainsi, à gauche, c'est la deuxième
illimètres au-dessus de son extrémité inférieure, se divise en deux
parties
réunies par un pli de passage à un centimètre du
Même disposition qu'à gauche du lobe paracentrezl : - cependant la
partie
antérieure de la boucle est moitié moins épaiss
ge, qu'elles ont une étendue bien plus considérable et qu'enfin une
partie
de cet organe que je crois être la plus ac- tiv
21 1 comme chez l'homme, se remarquent surtout au voisinage de la
partie
moyenne de l'écorce cérébrale. Les éléments anato
ection du tractus npticiis correspondant. La limite qui séparait la
partie
lésée de la partie saine du champ visuel dans l
pticiis correspondant. La limite qui séparait la partie lésée de la
partie
saine du champ visuel dans les deux veux, se pr
e du pédoncule cérébe]leux; - 20, que le cordon cunéiforme passe en
partie
dans le corps restiforme; 3° que le cordon laté
nution dans l'excitabilité des centres corticaux (disparition d'une
partie
dos cellules) et d'incitations constantes de par
selon-la méthode d'Heubel, le plancher du quatrième ventricule à sa
partie
antérieure sont, pour une partie, la suite de l
her du quatrième ventricule à sa partie antérieure sont, pour une
partie
, la suite de la lésion des centres des mouvements
, et cela parce que les expériences avaient toujours appris que ces
parties
étaient insensibles aux stimulations mécaniques
ne doit jamais oublier que, dans les autres cas de lésion¡de cette
partie
de l'encéphale, on a à faire à des lésions loca
, on a à faire à des lésions locales, de sorte que les' différentes
parties
de l'écorce t Il ni . i * l, '. " . ¥ ? < .
'autre. Dans la commotion cérébrale, au contraire, quand toutes les
parties
sont affectées à la fois, c'est impossible. D'a
lus profond coma. Cette différence dans la réaction de ces diverses
parties
de l'encéphale sous l'influence du même traumat
le sous l'influence du même traumatisme est probablement causée, en
partie
, par la plus grande résistance de la moelle allon
» ; mais aussi par,l'iu- fluence indirecte du traumatisme sur cette
partie
. Une paralysie immédiate du bulbe semble, d'apr
u faisceau dit de l'aphasie. Le présent travail se divise en quatre
parties
. Les troubles de la parole par paralysie des mu
uvements oro-lin- guaux '. Chez l'homme, les lésions de ces mêmes
parties
du lobe frontal peuvent donner lieu à deux vari
e externe, l'avant-mur et l'insula n'ont pas de connexions avec les
parties
profondes ; on sait, d'autre part, que l'insula
fficulté pour sortir la langue : lésion portant spécialement sur la
partie
infé- rieure de la frontale ascendante à droite
hémisphère droit, il y avait un foyer de ramollissement occupant la
partie
inférieure de la circonvolution frontale ascend
foyer occupant les mêmes points, et un autre plus petit situé à la
partie
postérieure de la deuxième cir- convolution fro
n trouve de petits foyers lacunaires, gros comme des pois, dans les
parties
du corps strié voisines du ventricule. La moell
es et occupaient dans chaque hémisphère un point iden- tique : la
partie
inférieure de la circonvolution fron- tale asce
plus à peu près la totalité de la troisième portion.' Ce foyer, en
partie
celluleux, s'étend en arrière jusqu'au delà de la
irconvolu- ttbzz de l'insula, et de plus, en avant, dans une petite
partie
, le pied de la troisième circonvolution frontal
des liquides; celle des solides l'est un peu moins; la plus grande
partie
des aliments est rejetée par la bouche; de temp
ah ! i On peut comparer ces sons à un gloussement très faible. La
partie
inférieure de la face, comme nous l'avons dit, es
un autre petit foyer, plus ancien, dans la substance blanche de la
partie
antérieure du lobe frontal gauche, près de la b
nte à l'épendyme épaissi ; plus profondément, elle est ramollie. La
partie
corres- pondante de la capsule interne est gris
le calamus est symétrique; les deux noyaux de l'hypoglosse à leur
partie
centrale présentent une légère coloration grisâtr
le microtome de Schiefferdecker a prouvé l'intégrité absolue de ces
parties
. Observation VI. - Paralysie pseudo-bulbaire pa
ère, le foyer descend jusqu'à la scissure de Sylvius et comprend la
partie
postéro-supérieure des trois plis postérieurs d
opsie, foyer bilatéral et symétrique de ramollissement, occupant la
partie
infé- rieure de la frontale ascendante et l'ext
, dans le langage actuel, les frontale et pariétale ascendante ; la
partie
infé- rieure était surtout atteinte, puisque le
e du corps strié, capsule externe et séparant en avant ces diverses
parties
des circonvolutions qui les re- couvrent. Or, s
és et déglutition intacte. - A l'autopsie, cavité kystique, dans la
partie
antérieure de chaque corps strié (noyau'lenticu
répidation spi- nale. A l'AUTOPSIE, deux noyaux kystiques dans la
partie
anté- rieure du noyau lenticulaire gauche (2e e
tendant jusqu'au genou de la capsule interne. Petite cavité dans la
partie
antérieure du noyau lenticulaire droit, n'empié
s dans le noyau lenticulaire du corps strié, . le plus souvent à la
partie
antérieure. Les faits rapportés) par Rossqse, r
urtout la surdi-mutité ". Les malformations congénitales d'autres
parties
du corps, le bec-de-lièvre, le pied-bot, le str
qu'une seule fois une hyperesthésie des jam- bes avec douleurs à la
partie
supérieure de la colonne lombaire; mais l'autop
e, propres à l'amyotrophie progressive. Parfois disséminées sur les
parties
du corps les plus diverses, les lésions muscula
Leyden), où elles peuvent n'occuper qu'un seul muscle ou même une
partie
d'un muscle. Si les éminences thénar et hypo- t
mbre était affecté depuis trois ans. La jointure perdit ensuite une
partie
de ses mouvements. État actuel (juin 1875). a
e centimètres. Si on pose la montre sur le front ou sur toute autre
partie
de la tète, elle n'est entendue que du côté sai
urantes, engourdissement cu- bital; plaque d'engourdissement sur la
partie
latérale droite de la face et du crâne; anesthé
ner (Fig. ). Lorsque le malade est debout, il rejette en arrière la
partie
supérieure du tronc, et il se produit ainsi une
e la langue, au niveau duquel le tremblement porte seulement sur la
partie
atrophiée. L'atrophie de la langue semble gêner
même organe, ou, si l'on préfère, deux organes dans lesquelles les
parties
constitutives élé- mentaires sont identiques, b
'hospice de la Salpêtrière porte comme diagnostic : Paralysie de la
partie
inférieure des jam- bes... Au lit, tous les mou
des cordons postérieurs; l'arachnoïde s'amincit rapidement sur les
parties
laté- rales de la moelle et a repris son épaiss
rvés par le facial, comme ceux qui le sont par l'hypoglosse, par la
partie
motrice du trijumeau, par les troisième, quatri
axe spinal, et consécutive au développement de la sclérose dans les
parties
qui, au bulbe, représentent le système postérie
, que les mêmes relations anatomiques qui existent entre les deux
parties
du système, dans l'axe spinal, existent aussi 1
une troisième est logée dans le quatrième ventricule, en- globée en
partie
dans sa paroi, au niveau et en dehors de l'émi-
seur d'un gros pois, comme les deux autres, cette vé- sicule est en
partie
cachée sous le dépôt de fibrine qui tapisse l'é-
ions de l'urine dans certains faits de lésions trau- matiques de la
partie
supérieure du rachis par irritation du bulbe. O
l'hématomyélie, dans les myélites aiguës ou subaiguës surtout de la
partie
inférieure, ce trouble est fréquent; il est mêm
e de traumatismes 232 REVUE CRITIQUE. de la moelle portant sur la
partie
inférieure du renflement lombaire ou sur la que
ui, comme la précédente, se rencontre dans les cas de lésions de la
partie
inférieure de la moelle, dans sa totalité, dans
plaque anesthésique s'étendant plus ou moins sur les téguments des
parties
génitales externes et dans leurvoisinage, s'acc
ème nerveux. Thèse, 1884. DES TROUBLES URINAIRES. 239 rarement en
partie
compensée par une sensation vague de tension ab
ligaments très sen- sibles au contact. Points hystérogènes dans la
partie
iliaque gau- che et entre les troisième et huit
ec des signes évidents d'obstruc- tion laryngée. A l'autopsie, la
partie
moyenne du goitre contient un kyste de la gross
ous les points de vue. 2° Des aliénés dfMfyerctM ? Cette deuxième
partie
de la question me touche particulièrement, non
nous garder d'être un peu long et de scinder notre analyse en deux
parties
, dont l'une envisagera le Danemark, et l'autre, l
des entonnoirs métalliques, émaillés, automatiquement rincés par la
partie
supérieure ; les lieux d'aisances appartiennent
res nécessaires pour, malades calmes de 1 première, di uxième et en
partie
de, troisième, classe; on en trouve au rez-de-c
x Le Sauvage. « Anatomie, histologie et homologie des différentes
parties
du système nerveux des poissons. » Le prix est de
mmé, la Société commence la discussion de ses statuts et entend une
partie
d'une communication de M. Espinas, professeur d
ar sensibi- lité, dit cet excellent psychologue, dépend en grande
partie
de la faculté d'imaginer' ». Ces données empi-
e contient le faisceau des- tiné à donner le mouvement à toutes les
parties
de la tête et du visage qui peuvent être action
petit foyer hémorrhagique récent de la grosseur d'une noisette. La
partie
correspondante de la capsule interne est intére
ux foyers de ramollissement. Le foyer gauche parait intéresser la
partie
postérieure de la pyramide mo- trice ; il est
lésions, on trouve un petit foyer de ramollis- sement siégeant à la
partie
postérieure et interne de la pyra- mide motrice
té : dans l'Observation II, un foyer de ramollissement situé à la
partie
pastérieure et interne de la pyramide motrice d
ans l'Ob- bservation IV, un foyer de ramollissemeut siégeant à la
partie
postéro-interzze de la pyramide motrice gauche.
nent lieu à la glossoplégie occupent donc, dans la protubérance, la
partie
postérieure et interne des pyramides motrices :
avons nommé faisceau de l'aphasie, occupent dans la protubérance la
partie
postéro-interne des py- ramides motrices, s'ent
pa- rois ou par la propagation d'un processus morbide de quelque
partie
voisine (des os du crâne, par exemple). On observ
r lentement. Les parois sont épaisses, résistantes, et protégées en
partie
par les os du crâne, ce qui leur permet de supp
-ci était hermétiquement bouché par une coagulation organisée, en
partie
décolorée adhérente aux parois et remplie en avan
t polie; ses sinus et ses veines regorgent de sang, surtout dans la
partie
antérieure; la face interne de cette membrane e
tièrement sans adhérer pourtant à sa paroi gauche et supérieure; sa
partie
intérieure est trois fois plus grande que sa pa
supérieure; sa partie intérieure est trois fois plus grande que sa
partie
extérieure ; elle est d'une forme ovale avec une
2 de chaque côté, qui portent le sang de la face externe et de la
partie
antérieure de la face interne des hémisphères; 9°
isinantes de la dure-mère; 3° les veines diploïques, qui passent en
partie
dans les veines extérieures et en partie versen
diploïques, qui passent en partie dans les veines extérieures et en
partie
versent leur sang dans le sinus. L'une d'elles, l
raduit anatomique- ment par l'oedème et un désordre dénutrition des
parties
sous- jacentes et, au point de vue clinique, pa
d'un symptôme, celui de l'engorgement des veines extérieures de la
partie
an- térieure de la tête et ajoute que des phéno
le ventre et faisaient remonter ainsi pour la recracher une grande
partie
de leur repas. Alors, on les surveilla et on fit,
inférieure à l'es- tomac, une ligne légèrement courbe, allant de la
partie
inférieure de l'arc costal gauche a travers l'o
s et durait une heure et demie. Bientôt, le quart du re- pas fut en
partie
ruminé et avalé, en partie craché, à ce qu'estime
mie. Bientôt, le quart du re- pas fut en partie ruminé et avalé, en
partie
craché, à ce qu'estime le patient. Il prétend a
'heure environ après le repas, la ru- mination commence; une petite
partie
des aliments ingérée re- monte dans la bouche s
mac ainsi comprimé, réagit, se contracte et expulse doucement une
partie
de son contenu; niais la plupart du temps, il n'é
le quart de la quantité ingérée pendant le repas; la plus grande
partie
reste habituellement dans l'estomac, et pour cett
rement après le repas du midi, quelquefois après celui du soir, des
parties
d'aliments ingérés remontaient sous forme de bo
qui, ainsi qu'on le voit, donnent aisément le change. Une seconde
partie
du mémoire est consacrée à la pathogénie des ph
dans l'es- pèce, non d'une simple excitation centrifuge émanée des
parties
détruites, mais d'une excitation centrale réfle
s, au niveau du tiers antérieur du dos de la selle turcique, sur la
partie
moyenne de la protubérance. La région supérieure
générescence des cordons de Goll ; infrà : foyer myélitiqne dans la
partie
postéro-médiane des cordons latéraux, tuméfacti
, il s'agit de phénomènes évidemment en rapport avec la plus grande
partie
du système nerveux central, survenant sous furm
Un long foyer allant du quatrième au septième nerf cervical dans la
partie
externe et postérieure de la corne antérieure dro
plus géné- rale de jeunes épileptiques aliénés, parce qu'une grande
partie
du public auquel ces principes sont surtout des
let de tous les muscles de l'oeil, des extrémités inférieures et en
partie
des extrémités supérieures (parésie) ; l'autops
étaient plus petites qu'à l'état nor- mal, elles avaient perdu une
partie
de leurs prolongements. Les altérations microsc
oses qui résul- tent de l'épuisement de l'économie. Il s'agit d'une
partie
de ces états pathologiques compris sous les nom
; les cellules n'en sont pas aussi petites que le pense Roller. Une
partie
des investigateurs nie le rapport avec les oliv
Mais l'état flou des bords papillaires se limite exclusivement à la
partie
interne, supérieure el inférieure du disque. C'
re placé dans un quartier d'observa- tion spécial séparé des autres
parties
de l'établissement. Malgré les difficultés faci
e la loi de 1838 ; il en résulte que l'aliéné perd du même coup une
partie
de ses droits de malade. Tous les alié- nistes
oires 394 4 BIBLIOGRAPHIE. qu'il a publiés et dont la plus grande
partie
ont trait à l'étude des maladies nerveuses ou m
asions des aliénés qui ont eu lieu par leur faute; dans ce cas, une
partie
des dépenses de la réintégration est payée par
s. Elles sont de dimensions suffisantes, prennent la lumière par la
partie
supérieure d'un des côtés (fenêtre grillée) et
'importance de cette thèse ré- side principalement dans la dernière
partie
, car les deux pre- mières ne sont qu'une introd
e petite fille n'aurait pas la tête bien équilibrée pour être ainsi
partie
de chez elle à plusieurs reprises et à propos d
HES PLANCHE PREMIÈRE Fig. 1. -.Coupe de la moelle au niveau de la
partie
supérieure du cône médullaire. Fig. 2. Coupe
ie supérieure du cône médullaire. Fig. 2. Coupe transversale à la
partie
inférieure de la région lombaire.. a, Prolong
nt scléreux émané de la pie-mère. Fig. 3. - Coupe transversale à la
partie
moyenne de la région lombaire. a, Prolongement
on internationale d'urologie, pour l'appareil urinaire, toute cette
partie
très difficile, très délicate, mais aussi très im
de, par un traitement approprié. Il était donc indispensable qu'une
Partie
Thérapeutique vint compléter les conseils autoris
e crois utile de diviser l'élude de la séméiologie oculaire en deux
parties
: Dans la première, j'étudierai les divers moye
hacune d'elles. PI\,ITIQOE : -¡¡ : UI\OL. 1 TPOVLARD.] PREMIÈRE
PARTIE
TECHNIQUE - - DE L'EXAMEN^DU SYSTÈME NERVEUX
Au point de vue fonctionnel, il faut distinguer dans la rétine deux
parties
, l'une centrale, 'très étroite et très sensible,
d'affirmer l'intégrité de la rétine, on doit toujours explorer ses
parties
périphériques suivant une méthode que je vais e
X DE L'APPAREIL OCULAIRE. z nent faire une impression vague sur les
parties
périphériques de notre rétine. L'étendue de l'e
é suit ces lettres et les lit. A un moment, il cesse de les lire en
partie
ou en totalité. Les pre- mières à disparaître s
çonne une lésion des voies optiques. J'ai d'ailleurs indiqué, il la
partie
technique de ce chapitre, la manière de procéder
de l'accommodation. Le nom d'amblyopies ne leur convient donc qu'en
partie
, il ne désigne qu'une partie seulement des troubl
amblyopies ne leur convient donc qu'en partie, il ne désigne qu'une
partie
seulement des troubles. Quant au mécanisme de l
tlloscopiclucs, llcul accusés, consistent en une décoloration de la
partie
tem- porale de la papille. L'évolution est lent
hamp visuel, il en. est d'autres, plus nombreuses, qui touchent une
partie
seulement des fibres optiques . et n'altèrent q
rent que certaines portions du champ visuel. ' La destruction d'une
partie
des fibres optiques entraîne toujours la perte
es fibres optiques entraîne toujours la perte ue la vision aans une
partie
du champ visuel, elle produit une lacune dans
orale reste du côté droit, passe dans la bandelette droite, dans la
partie
droite du mésocé- plale, dans l'hémisphère droi
iane au niveau du chiasma, passe dans la bandelette gauche, dans la
partie
gauche du mésocéphalc, dans l'hémisphère gauche
rétine nasale de 1'0 G, des hémi-rétines droites. D'où cécité de la
partie
gauche des deux-champs visuels.' C'est l'hémianop
ment réflexe défensif se produit si la projection est faite dans la
partie
conservée du champ visuel; pas de clignement si l
champ visuel; pas de clignement si la projection s'exécute dans la
partie
manquante du champ visuel. On présente à t'hemi
ne règle, et on lui demande de diviser la ligne ou la règle en deux
parties
égales. Il n'y parvient pas, la portion correspon
La sensation lumineuse transportée par le nerf optique file bien en
partie
au delà du mésencéphale vers l'écorce, mais s'a
n en partie au delà du mésencéphale vers l'écorce, mais s'arrête en
partie
dans les noyaux du mésucéphale; elle trouve là
émiplégiques. L'bémianesthésie dénote l'extension de la lésion à la
partie
postérieure de la capsule interne. Mais c'est l
ment, prendre un simple contact avec la zone de Wernicke,, l'unique
partie
du cerveau présidant aux fonctions variées du lan
vants qui appartiennent seulement, aux paralysies. Diplopie (Voir
Partie
technique, p. 20). La diplopie ne porte pas seu
région pédonculaire, les fibres du facial et du M. 0. E, dans la
partie
supérieure de la protubérance, les fibres motri
, Ce syndrome se rencontre dans « les lésions de la calotte de la
partie
supérieure de la protubérance ». Syndrome de
e un aspect tout particulier. Les paupières, tombantes, couvrent en
partie
la pupille. Le malade, pour voir, essaye de les
e convergent. « Fig. 55. Coupe schématique de la protubérance il sa
partie
inférieure. A, lésion touchant le noyau du M. 0
ques. , Dans la capsule interne, le faisceau antérieur chemine à la
partie
pos- térieure du bras antérieur; les fibres pos
r du pédoncule; elles occupent probable- ment l'étage supérieur (la
partie
voisine de la couche optique). Dans la protubér
interne, [POULARD.] 80 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
partie
antérieure au voisinage des fibres du facial ou p
IL OCULAIRE. partie antérieure au voisinage des fibres du facial ou
partie
postérieure au voisinage des radiations optique
ente de beaucoup est l'irilis, qui amène l'adhé- rence de certaines
parties
du bord pupillaire, il la face antérieure, du i
laires en forme de piques ou de lances. L'atro- pine qui dilate les
parties
de la pupille non adhérentes au cristallin, lai
ussi des déformations pupillaires dues à la rétraction de certaines
parties
de l'iris plus atrophiées que d'autres. Mais da
l il s'applique. Si le cristallin vient à se luxer, à basculer, une
partie
de l'iris ne sera plus soutenue et il pourra en r
stent entr'ouverts, d'où la production fréquente d'ulcérations à la
partie
inférieure de la cornée. (Voir Paralysie facial
a fente palpébrale à l'aide d'une blépharor- raphie partielle de la
partie
interne et externe de la fente palpébrale. On.
clnsion des paupières devient difficile ou même impossible ; une
partie
du globe oculaire reste toujours à découvert
t peut-être d'une lésion ou d'un vice de développement de certaines
parties
du système nerveux, dont l'altération, nous le
s ce cas, passer pour aveugle aux couleurs, bien que la plus grande
partie
de la rétine ait con- servé toutes ses facultés
ntérieurement il propos de l'hémia- nopsie (p. 52) ou dans d'autres
parties
de cet ouvrage. Je me contente donc de les prés
ilibration et le vertige : ceux-ci ayant été étudiés dans une autre
partie
de cet ouvrage, nous laisserons de côté leur ét
de l'olive supérieure forment le faisceau acoustique qui occupe la
partie
latérale du ruban de Reil (lemniscus latéral) e
drijumeaux, soit en tota- lité (Van GeIW clit.en), . soit plutôt en
partie
, ; une notable quantité des ILANNOIS.1 Schéma
outes les fibres auditives aboutissent au lobe temporal, soit il la
partie
moyenne de la première temporale, soit Ù la pre
tifs, hallucinations audi- tives, surdité. Ces symptômes font aussi
partie
de la crise elle-même, connue on peut le consta
du nerf auditif. Toutefois, connue ils dépendent de la lésion d'une
partie
bien déterminée du labyrinthe, le vestibule et
il tout le labyrinthe et peut n'occuper que la cocltléc ou même une
partie
plus limitée. Ce sont toujours les mêmes symptô
at nauséeux et anxieux; 5° des phénomènes. Coupe transversale de la
partie
inférieure de la protubérance, montant les rappor
er que le nerf facial sur un trajet de 10 à 12 millimètres, dans la
partie
horizontale du canal de Fallope, est en rapport
st due à l'irritation du filet du pneumogastrique qui s'épanouit a la
partie
postoro-inférieure du conduit et à l'excitation
tégrité du liquide céphalo-rachidien. Il est probable que, dans une
partie
au moins, il. s'agit d'une névrite par propa- g
ra de rappeler que son territoire de distribution est localisé à la
partie
supérieure des fosses nasales au-dessus du bord
e bord antérieur de l'espace perforé, la tubérosité olfactive : cette
partie
du nerf est très exposée dans les lésions ménin
tissant de la racine accessoire supérieure et occuperait surtout la
partie
orbitaire de la 5° frontale.' Enfin un troisième
un troisième centre, centre supérieur de Broca, se trouverait à la
partie
antérieure du lobe du corps calleux entre son o
NEZ. 151 nasales et surtout du sinus frontal. L'insensibilité de la
partie
interne de la joue s'observe dans les tumeurs d
fait cesser le vertige. L'ensemble de ces' mouvements variés ferait
partie
intégrante du vertige tel que le comprend Bonnier
. . La notion de la situation de notre corps et de ses .différentes
parties
- PATHOGÉNIE. ' -157. dans l'espace nous est
pour nous fournir des indications sur la situation des différentes
parties
de notre corps les unes par rapport aux autres,
é à l'appareil auditif par l'anatomie grossière, n'en fait pourtant
partie
intégrante ni par la phy- siologie, ni même par
s qui nous indiquent la situa- tion de notre corps et de toutes ses
parties
dans l'espace naît la notion de l'équilibre par
ativement, au cours de ces expé- riences sur le pigeon, chacune des
parties
du labyrinthe, Babinski a constaté que l'excita
e redevient normal ; ces modifications semblent donc dues, en bonne
partie
au mains, à l'augmentation de pression du liqui
'appareil de l'ouïe. Toutes les variétés de lésions des différentes
parties
de l'oreille peuvent déterminer du vertige auri
nois). On comprend aussi que le vertige ne fasse pas habituellement
partie
du tableau des atrophies congénitales du cervelet
e labyrinthe; ou bien ils n'agi- raient sur l'une ou l'autre de ces
parties
que par l'intermédiaire de modifications de la
us dans le tabès et la sclérose en plaques. Ces troubles font aussi
partie
du syndrome clinique du pouls lent permanent. Enf
ode de repos absolu. Le cerveau du malade et le malade lui-même, en
partie
du moins, présentent une certaine activité. Il en
ure du malade le permet. Faire nommer par le malade les différentes
parties
de son corps en les lui désignant, en les lui f
s qu'on a coupées horizontalement par moitié et dont on a enlevé la
partie
supérieure (F. Moutier), il s'agit donc de devine
ssins, des emblèmes, des cartes à jouer. - Jouer avec le malade une
partie
de bataille, d'écarté. Faire compter de l'argen
usieurs éventualités sont il envisager : le malade peut exécuter en
partie
l'acte à l'étude. mais il se trompe : il brosse,
ments intérieurs des établissements publics consacrés en tout ou en
partie
au service des aliénés, seront, dans les disposit
inistrateurs provisoires nommés par le tribunal. Sur la demande des
parties
intéressées, ou sur celle du procureur du roi, le
faut d'administrateur provisoire, le président, 11 la requête de la
partie
la plus diligente, commettra un notaire pour repr
ticle premier, chargées de la surveil- lance générale de toutes les
parties
du service des établissements, sont appelées donn
ur les mandats du préfet, ver- sera ce cautionnement, en tout ou en
partie
, pour l'appliquer au service des aliénés. AI\T.
st encore loin d'être établi d'une façon définitive; la plus grande
partie
est représentée par le ruban de Reil médian qui
e la sen- sibilité générale se fait par la région de la calotte, en
partie
par le ruban de Reil, en partie par la substanc
ait par la région de la calotte, en partie par le ruban de Reil, en
partie
par la substance grise, les voies courtes et la f
s aujourd'hui l'existence d'un faisceau sen- sitif distinct dans la
partie
postérieure du segment postérieur de la capsule
er après un très court trajet (fibres courtes), pour la plus grande
partie
dans la substance grise de la corne postérieure
et dans celle de la colonne de Clarke du même côté, pouf une petite
partie
dans la corne postérieure du côté opposé. 1.
CTIVE L'élude de la sensibilité objective doit être divisée en deux
parties
: sensibilités superficielles et sensibilités p
. 1. 1. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 38 ? portant sur la
partie
externe d'un membre sont localisées par le malade
la partie externe d'un membre sont localisées par le malade' sur la
partie
interne. 5° Interprétation de l'impression péri
peut apprécier la durée de la perception vibratoire des différentes
parties
du corps '(Rydel et Seiffer). Voir le schéma de
t actif, elle aussi, est basée, sur les im- pressions périphériques
parties
des surfaces articulaires et des tissus mous en
lion motrice ou ulctxic. Ce phénomène étant étudié dans une autre
partie
de ce traité, à propos des troubles moteurs, nous
hésie capsulaire était considérée comme relevant d'une lésion de la
partie
postérieure du segment posté- rieur de la capsu
art les troubles de la vue, rétrocèdent rapidement, et ne font plus
partie
du tableau symptomatique quelques mois après le d
ge presque toujours au même endroit, c'est-à-dire au niveau de la
partie
postérieure et inférieure de la couche optique
(Dejerine et Roussy). Ce syndrome, causé par une lésion occupant la
partie
postérieure de la couche optique qu'elle détrui
ssant le noyau externe du thala- mus dans son tiers postérieur, une
partie
du noyau interne, du centre l'ig. 16. - Ilémian
MCS</S ? L'hémianesthésie d'origine protubérantielle l'ait enfin
partie
du tableau clinique du « syndrome prolubéranlie
sion se trouve au-dessus du renflement cervical), soit seulement la
partie
inférieure du tronc et le membre inférieur de ce
ale (tact, douleur, température) dans les régions correspondant aux
parties
paralysées de l'autre côté; TROUBLES DE LA SENS
se rencontre, dans les lésions intéressant la moelle sur une grande
partie
de sa largeur, ou dans sa totalité (compression
teur par l'agent comprimant. La disposition de l'anes- thésie, à sa
partie
supérieure, est donc un élément précieux de diagn
dorsale inférieure (de la 6e à la- 11e ver- tèbre dorsale). La
partie
inférieure de la il° dor- sale et l'espace inte
sie cérébrale ne s'observe, semble-t-il, que dans les lésions de la
partie
toute terminale de la voie sensitive (jamais el
al. On noté une anes- thésie de la région sacrée, de la plus grande
partie
des fesses en forme de fer à cheval avec branch
yen; de la marge de l'anus, du coccyx, du périnée, de l'anus, de la
partie
inférieure et postérieure du Fig. 55. Paraplégi
légère pour le tact et la douleur sur le dos et la plante du pied (
partie
du domaine de 1'5 elS¡). (Cas Desho..., Bicêtre,
fit à expliquer les troubles observés. Ne font, par conséquent, pas
partie
de ce groupe les cas dans lesquels la dégénérat
tifs peuvent se localiser à la totalité d'un membre ou à une grande
partie
de ce membre : type mono- plégique, ou bien enc
e manière précise ; je touche alors très superficiellement diverses
parties
du corps, puis je pince la peau, je la pique, j
OUSSY.] Fig. ili. lléiniaiiestliésie hystérique, plus marquée il la
partie
supérieure du corps. (Cas l'uuru..., l31ci'lrc,
al une sensation angoissante, avec irradiation douloureuse vers les
parties
latérales du cou, le mediastin et la base de la
ant du syndrome névralgique ; on eu trouvera l'étude dans une autre
partie
de ce. traité (article Névralgies). Les douleur
ent le premier en date de tous les signes de l'affection. Elle fait
partie
des signes communs, des tumeurs cérébrales, quel
isation dans les lésions cérébrales en foyer. Files foui, en effet,
partie
du syndrome thalamique de Dejerine et Roussy, du
ent que nous avons de l'existence de notre corps et des différentes
parties
qui le composent (cénesthésie). La sensibilité
anche ophtallllique se traduit par des douleurs des téguments de la
partie
antérieure du cuir chevelu, du front, de la pau
ine et du lobule du nez, par des douleurs dans le sinus frontal, la
partie
antérieure des fosses nasales. 11 existe des po
, le point palpébral au niveau de l'émergence du nerf lacrymal à la
partie
externe de la paupière, le point nasal au-dessous
- tomaticlnc, des douleurs au niveau de la paupière inférieure, des
parties
latérales du nez, de la région malaire, de la r
e la région posté- rieure de la joue, de la région temporale, de la
partie
antérieure du pavillon de l'oreille, du conduit
algie du /la/' altl'iclllo-telllpo/'{{1 (douleurs a la tempe, il la
partie
antérieure du pavillon, au conduit auditif extern
vant. du lobule de l'oreille, au bord antérieur du masséter et à la
partie
moyenne de la joue). ' Parmi les variétés sympt
pariétal sur la bosse pariétale; le point cervical superficiel à la
partie
moyenne du cou entre le trapèze et le sterno-ma
, etc.). Les douleurs de la névralgie du phrénique se montrent à la
partie
inférieure du cou, derrière le sternum, à la ba
irer; durant les paroxysmes, les douleurs irradient fréquemment aux
parties
latérales du cou, à la région mastoï- dienne, à
de l'abdomen, la région fessière, les organes génitaux externes, la
partie
supérieure de la cuisse. La névralgie s'accompagn
a glande mammaire et la peau qui la recouvre reçoivent la plus grande
partie
de leurs nerfs des 2% 5 ? 4', 5' et ( ! " nerfs
autre à la face externe de la cuisse; la douleur est localisée a la
partie
supé- rieure de la région externe et de la régi
urales, etc. La névralgie crurale se traduit par des douleurs il la
partie
antéro- interne de la cuisse, il la face antéri
ibue au clitoris, à la verge, à l'urètre, aux corps caverneux, à la
partie
; postérieure du scrotum et des grandes lèvres,
douleurs de la sciatique occupent la région lombaire, la fesse, la
partie
postérieure de la cuisse. Les principaux points d
l'ischion, les points fémoraux supérieur, moyen et inférieur il la
partie
postérieure de la cuisse, le point poplité il l
rieur il la partie postérieure de la cuisse, le point poplité il la
partie
externe du creux poplité, le point rotulien sur
péronier au-dessous de la tète du péroné, le point malléolaire à la
partie
postérieure, et inférieure de la malléole exter
amenant des modifications de la circulation. Les névralgies de la
partie
inférieure du corps peuvent être traitées par l
ou 3 millimètres au des- sous du trou ovale (qui se trouve il la
partie
postérieure de la base de l'apophyse ptérygoïde
le très générale l'aiguille est du reste arrêtée 1 ce niveau par la
partie
fibro-cartilagineusc inférieure de la trompe d'
ptérygoïde. L'aiguille doit buter sur ce bord, en reèonnaître la
partie
supé- rieure, puis se diriger im- médiatement
l'a montré Erb, disposer circulairement les deux mains autour de la
partie
inférieure de la cuisse, les deux pouces appuya
est probable que, dans ces cas, il s'agit de lésions limitées à la
partie
supérieure de la moelle, de lésions discrètes m
ont provoqué ce réflexe en percutant avec la pointe d'un marteau la
partie
médiane de la lèvre inté- rieure au niveau des
e la percussion ne porte plus sur un tendon, mais seulement sur une
partie
stable non susceptible de tiraillements, l'os lui
elle mouvements associés « les mouvements qui s'effectuent dans une
partie
du corps d'une façon involontaire, au moment où o
t où ont lieu des mouvements volontaires ou réflexes dans une autre
partie
». Celle définition est de Yulpian et il a donné
1 épilepsie, de la chorée, de l'athétose ; la paraplégie n'est que
partie
de leurs troubles. Parfois se peut noter chez l
érieure ; 5 dans la région dorsale inférieure (6 ? H" vertèbre). La
partie
inférieure de la 11° dorsale et l'espace interé
le chirurgien dont les recherches seraient vni- nets, scruter les
parties
sus- et non sous-jacentes. Syndrome cervical
ssions déter- minent « est complète, avec anesthésie remontant Ù la
partie
inférieure du ventre, troubles sphinctériens in
nt est aussi arrêté par la distension du muscle grand rond et de la
partie
infé- rieure de la capsule de l'articulation sc
e sépare du grand rond, muscle situé au- dessous de lui ; 4° sur la
partie
inférieure de l'aponévrose sous-épineuse. Le mu
qui se porte en has et en dedans, s'élargit et se fusionne avec la
partie
de l'aponévrose antibra- chiale qui recouvre le
il s'insère sur la face interne de l'humérus un peu au-dessus de sa
partie
moyenne. Innervation. Nerf niuseulo-cutané. P
x de la longue portion et du vaste interne, naissent du radial à la
partie
supérieure du bras, le rameau du vaste externe na
physe coronoïde. En bas, le tendon du muscle prend insertion sur la
partie
moyenne de la face externe du radius. , Inner
ide en dedans et au-dessous du tendon du brachial antérieur, sur la
partie
moyenne du bord antérieur du radius. En bas, le
emps en dedans. Anconé. insertions.t/ancone s'insère en haut sur la
partie
postérieure et interne de l'épicondyle, il se p
du ligament interosseux du radius. En bas, le tendon se fixe sur la
partie
externe de l'extrémité postérieure du premier m
ns. - Ce court abducteur du pouce s'insère sur le scaphoïde, sur la
partie
antérieure et externe du ligament annulaire, so
ur du pouce s'insère en haut par des libres superfi- cielles sur la
partie
externe et le bord inférieur du ligament annulair
ngien correspondant. L'opposant du pouce s'insère d'une part sur la
partie
antéro-externe du ligament annulaire et sur la
annulaire et sur la face antérieure du trapèze, d'autre part sur la
partie
externe de la face antérieure du premier métacarp
uce, fonction que lui conteste Duchenne. L'adducteur du pouce et la
partie
interne du court fléchisseur amènent le premier
ère, d'une part sur l'apophyse uncil'ol'me de l'os crochu et sur la
partie
interne du ligament annulaire, d'autre part sur
gt. Insertions. L'opposant du petit doigt s'insère, en haut, sur la
partie
inférieure et interne du ligament annulaire, su
igts. La languette tendineuse qui termine le muscle se réunit il la
partie
inférieure ou longue portion du tendon de t'int
d fessier s'insère sur la lèvre externe de la crête iliaque dans sa
partie
la plus reculée, sur la MUSCLES DU MEMBRE INFER
r le fémur, mais sur l'aponévrose fémorale, prin- cipalement sur la
partie
externe de l'aponévrose qui est fusionnée avec le
t fessier. - Insertions. - Le petit fessier s'insère en haut sur la
partie
la plus antérieure de la crête iliaque, sur la po
sur la face antérieure du grand liga- ment sacro-sciatique, sur la
partie
la plus élevée de la grande échan- crure sciati
tique. Il si ! porte en dehors : son tendon terminal se fixe sur la
partie
moyenne du bord supérieur du rirancl lrocll,lnlcr
tion, s'infléchissent en dehors, le tendon terminal s'insère sur la
partie
la plus élevée de la cavité digi- tale du grand
nseur du fascia lata s'insère en haut sur la lèvre externe de cette
partie
de la crête ilia- que qui avoisine l'épine ilia
ia lata, en se fusionnant avec l'aponévrose fémorale, forment, à la
partie
externe de la cuisse, une bandelette résis- tan
e du plexus sacré. Physiologie. Le tenseur du fascia lata tend la
partie
externe de l'aponévrose fémorale et est extense
er s'insère en haut sur l'épine iliaque antéro-supérieurc et sur la
partie
la plus élevée de l'échan- crure sous-jacente,
diagonale la face antérieure de la cuisse et vient s'insérer sur la
partie
interne de l'extrémité supérieure du tibia en a
ur le hassin, détermine la rotation en dehors de la cuisse, tend la
partie
antéro-interne de l'aponévrose fémorale. Le mouve
r l'épine iliaque antéro-inférieure par son tendon direct et sur la
partie
la plus élevée du sourcil cotyloïdien par son t
a branche ascendante de l'ischion. En bas, le tendon se fixe sur la
partie
supérieure de la face interne du tibia où il co
t sur le corps du pubis entre la symphyse et l'épine, en bas sur la
partie
moyenne de l'interstice de la ligne âpre. Le de
mur par deux. faisceaux : un faisceau inférieur qui se porte sur la
partie
la plus élevée de l'inter- stice de la ligne âp
tubercule dit tubercule du troisième adduc- teur qui est situé à la
partie
supérieure et interne du condyle interne du fém
ux. Demi-membra- neux. Insertions. Le biceps crural est formé il sa
partie
supé- rieure de deux portions distinctes. La lo
nctes. La longue portion ou portion ischiati- t[uc s'insère, sur la
partie
la plus externe et la plus élevée de, la tubéro
fémorale s'insère sur la cloison intermusculaire externe et sur la
partie
inférieure de l'in- terstice de la ligne âpre.
uturier, la patte d'oie. Le demi-membraneux s'insère en haut sur la
partie
inférieure et externe de l'ischion. En bas le ten
se divise en trois faisceaux : le faisceau descendant se fixe il la
partie
postérieure de la tubérosité interne du tibia; le
e la tubérosité interne du tibia; le faisceau récurrent s'insère en
partie
sur la coque fibreuse qui recouvre le condyle e
en partie sur la coque fibreuse qui recouvre le condyle externe, en
partie
sur le fémur lui-même dans l'espace compris ent
sur la face interne du tibia dans ses deux tiers supérieurs, sur la
partie
interne du ligament interosseux, sur la face pr
es branches terminales du sciatique poplité externe. Il reçoit à sa
partie
supérieure un petit rameau venu directement du
sur les deux tiers supérieurs de la face interne du péroné, sur la
partie
externe du ligament interosseux, sur la face prof
ère en haut sur le tiers moyen de la face interne du péroné, sur la
partie
adjacente du ligament interosseux; il reçoit da
ral. Insertions. Le long péronicr laté- ral s'insère en haut sur la
partie
antérieure et externe de la tête du péroné, sur
le, en effet, est un extenseur énergique de l'arrière-pied et de la
partie
externe de l'avant-pied, mais il n'a qu'une actio
erne de l'avant-pied, mais il n'a qu'une action très limitée sur la
partie
interne de l'avant-pied. Dans la marche, il est i
ne venait suppléer à l'insuffisance d'action du triceps sural sur la
partie
interne de l'avant-pied (Poirier). Le rôle de s
ndon commun, le tendon d'Achille. Le jumeau externe s'insère sur la
partie
postérieure du condyle externe, le jumeau inter
la partie postérieure du condyle externe, le jumeau interne sur la
partie
posté- rieure du condyle interne. Le soléaire s
artie posté- rieure du condyle interne. Le soléaire s'insère sur la
partie
postéro- interne de la tète du péroné, sur la m
ns, et vient se terminer au niveau de la ligne oblique du tibia, en
partie
sur cette ligne oblique, en partie sur l'aponévro
de la ligne oblique du tibia, en partie sur cette ligne oblique, en
partie
sur l'aponévrose du poplité. En lias, l'aponévr
ouve- ment d'extension est énergique pour l'arrière-pied et pour la
partie
externe de l'avant-pied, beaucoup plus faible p
our la partie externe de l'avant-pied, beaucoup plus faible pour la
partie
interne de celui-ci, puisque une très légère pr
taire grêle. Insertions. Le plantaire grêle s'insère en haut sur la
partie
la plus élevée du condyle externe du fémur, sur l
pement. » , Poplité. Insertions. Le poplité s'insère en haut sur la
partie
postérieure et externe du condyle externe, il c
les deux tiers inférieurs de la face postérieure du péroné, sur la
partie
inférieure du ligament interosseux, sur la cloi
a au-dessous et en dehors du fléchisseur tibial des orteils, sur la
partie
de la face externe du péroné située en arrière
e pédieux ou court extenseur des orteils s'insère en arrière sur la
partie
antérieure et supérieure du calca- \1(\urrt, su
ière sur la tubérosité postérieure et interne du culcané«In, sur la
partie
inférieure et antérieure du ligament annulaire
latéral; le faisceau transverse (abducteur transverse), situé à la
partie
antérieure delà [liante du pied, s'insère sur les
situé à la partie antérieure delà [liante du pied, s'insère sur les
parties
fibreuses de 1 articulation metatarso-phalangie
té postérieure du cinquième métatarsien. En avant il se fixe sur la
partie
inférieure de l'extrémité postérieure de la pre
sseur- commun, soit sur ses branches de bifurcation. La plus grande
partie
des faisceaux MUSCLES DU 1E}IBHE INFÉRIEUR. 555
la marche ou la station debout ; il en résulte des douleurs dans la
partie
antérieure de la plante du pied. , 111. - MUSCL
tache de la face antérieure du inanubriuni et se termine en haut en
partie
sur la face externe de l'apophyse mas- toïde, e
en haut en partie sur la face externe de l'apophyse mas- toïde, en
partie
sur la portion externe de la ligne courbe supérie
t la ligne courbe supérieure de l'occipital, et se terminent sur la
partie
externe de cette ligne courbe. Innervation. La
scles sus-hyoïdiens il élève l'os hyoïde et par lui le larynx et la
partie
inférieure du pharynx, ainsi il a un rôle impor-
en s'insère en haut sur l'apophyse géni inférieure et en bas sur la
partie
moyenne de la face antérieure de l'os hyoïde.
tion distincte des faisceaux supérieurs et inférieurs du muscle. La
partie
supérieure, formée par les fibres claviculaires
des intercostaux est peu importante, aussi ces muscles sont-ils en
partie
charnus et en partie fibreux. Surcostaux. Ins
peu importante, aussi ces muscles sont-ils en partie charnus et en
partie
fibreux. Surcostaux. Insertions. Les surcosta
re du sternum situé en arrière de cet os s'insère en dedans sur les
parties
latérales de l'appendice xyphoïde et du corps du
naissent sur les côtés de la foliole moyenne et sur la plus grande
partie
de la foliole latérale, s'insè- rent sur la fac
es côtes. Les faisceaux postérieurs ou lombaires se détachent de la
partie
postérieure du trèfle aponévrotique, leur inser
issus des six derniers nerfs intercostaux; ils se distribuent à la
partie
juxta-costale du muscle. Physiologie. Le diap
n, parfois sur l'apprll- dice xyphoïde lui-même. Innervation. Les
parties
supérieure et moyenne du grand droit sont inner
sont innervées par les six ou sept derniers nerfs intercostaux, la
partie
iutc- ricure par les deux nerfs abdomino-génita
S DE L'ABDOMEN. 567 Pyramidal. Insertions. Le pyramidal, situé à la
partie
infé- rieure de l'abdomen en avant du grand dro
distant de la symphyse pubienne et de l'ombilic. Innervation. La
partie
, supérieure du muscle est innervée par les dern
eure du muscle est innervée par les derniers nerfs intercostaux, la
partie
inférieure par les nerfs abdomino- génitaux.
IRE. rieurs, ceux qui proviennent de l'aponévrose lombaire et de la
partie
moyenne de la crête iliaque, se dirigent vers l
névrose anté- rieure du transverse se fixe il la ligne blanche ; la
partie
tout inférieure de cette aponévrose s'insère su
faisceaux inférieurs obliques en haut et en dehors s'insèrent à la
partie
interne de l'épine de l'omoplate dans une étend
me. Outre ces rameaux principaux, le trapèze reçoit encore, pour sa
partie
toute supérieure, quelques filets accessoires du
t de vue physiologique, il est nécessaire d'en- visager différentes
parties
dans le muscle trapèze. La partie claviculaire,
ssaire d'en- visager différentes parties dans le muscle trapèze. La
partie
claviculaire, dite respiratoire, élève la clavi
icule, agit dans l'inspiration. Duchenne a fait remarquer que cette
partie
était l'ultinwm moriens dans les atrophies du t
l'ultinwm moriens dans les atrophies du trapèze. Les fibres de la
partie
moyenne qui s'insèrent le plus en dehors élèven
nt le moignon de l'épaule; elles sont adductriecs. Les fibres de la
partie
inférieure attirent l'omoplate en bas et en arr
aralysie du trapèze se traduit par des signes différents suivant la
partie
! de muscle qui est affectée. La paralysie de la
suivant la partie ! de muscle qui est affectée. La paralysie de la
partie
supérieure ne se constate que dans les grandes
périeure ne se constate que dans les grandes inspirations. Quand la
partie
inférieure et la moitié interne de la partie mo
inspirations. Quand la partie inférieure et la moitié interne de la
partie
moyenne sont atteintes, le bord spinal du scapu
os est arrondi et la poitrine déprimée. Quand la moitié externe de la
partie
moyenne est paralysée, le scapulum tourne de de
r. Rhomboïde. Insertions. Le rhomboïde s'insère d'une part sur la
partie
inférieure du ligament cervical, sur les apophyse
muscle se dirigent en bas et en dehors et viennent se fixer sur la
partie
du bord spinal de l'omoplate située au-dessous de
Le petit dentelé postérieur et supérieur s'insère en dedans sur la
partie
inférieure du ligament cervical et sur le somme
s côtes sur lesquelles il s'insère, il agrandit donc le thorax a sa
partie
inférieure. D'autre part, eu fixant les côtes i
neuse de l'axis, il se porte en haut et en dehors et se fixe sur la
partie
postérieure et inférieure de l'apophyse transvers
gouttières vertébrales ne s'observe qu'à la région dorsale et à la
partie
supérieure de la région lombaire, au-dessous le
occupe en largeur l'intervalle compris «mire la crête sacrée et la
partie
postérieure de la crête iliaque, s'étend en hau
re de la crête iliaque, s'étend en hauteur du sommet du sacrum à la
partie
supérieure de la région dorsale ; de sa face an
UILLAIN.] 5711 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. tubérosité iliaque, sur la
partie
externe de l'aponévrose spinale. Il se porte ve
physes épineuses des vertèbres lombaires, de la crête sacrée, de la
partie
interne de l'aponévrose spi- nale. Il s'élève v
nts du coccyx. Le sacro-coccygien antérieur s'insère en haut sur la
partie
inférieure de la face antérieure de la dernière v
ire des lèvres : 5° les faisceaux externes se confondent en grande,
partie
avec le triangulaire, mais surtout avec le carré,
commissure des lèvres s'abaisse de deux ou trois cen- timètres, la
partie
inférieure, de la joue et les narines sont attiré
le action du peaucier du cou est d'être tenseur des téguments de la
partie
inférieure de la face et de jouer pour les peau-
a tension que l'on peut artificiellement donner aux téguments de la
partie
inférieure de la face réveille, l'énergie dans l'
sur son bord antérieur. Le muscle temporal super- ficiel occupe la
partie
antérieure de la région temporale entre le muscle
scle vaste et mince s'insère d'une part par son bord antérieur à la
partie
temporale de l'apo- névrose epicranienne, d'aut
ère d'une part (insertion fixe) par son bord supérieur convexe à la
partie
latérale de l'aponévrose épicru- nienne, eiie-m
. Il a son insertion fixe à la base de l'apophyse mastoïde et il la
partie
voisine de l'occipital, accessoirement il l'apo
les deux tiers externes delà ligne occipitale supérieure et sur la
partie
correspondante de l'apophyse mastoïde. Les fais
le dos du nez et dans la région intersourcilière. Il naît en bas en
partie
sur les cartilages latéraux du nez, en partie sur
re. Il naît en bas en partie sur les cartilages latéraux du nez, en
partie
sur le bord inférieur et le bord interne des os
c lacrymal. Sourcilier. - Insertions. Le sourcilicr s'insère sur la
partie
la plus interne de l'arcade sourcilière, se por
s narines, il attire l'aile du nez en haut et en avant ainsi que la
partie
supérieure du sillon naso-labial, il retrousse la
ière sur le bord postérieur du cartilage de 1 aile du nez et sur la
partie
correspondante du maxillaire supérieur, ses libre
e rire sardonique, le ricanement; dans tous ces cas, il découvre en
partie
la dent canine. Petit zygomatique. Insertions
tit zygomatique. Insertions. Le petit zygomatique s'in- sère sur la
partie
inférieure de la face externe de l'os uiatairc un
Physiologie. Le petit zygomatique attire en haut et en dehors la
partie
externe de la lèvre supérieure. D'après Duchenn
es de faisceaux : des faisceaux internes s'iuserant à la peau de la
partie
postérieure de l'aile du nez, des faisceaux exter
ologie. L'élévateur propre de la lèvre supérieure attire eu haut la
partie
moyenne de la lèvre supérieure. Au point de vue m
in, le pleurer. Canin. Insertions. Le canin s'insère en haut sur la
partie
la plus élevée de la fosse canine au-dessous du
en arrière, sur le bord alvéolaire du maxillaire supérieur dans la
partie
de ce bord [G. GUILLAW. : 588 PHYSIOLOGIE MUS
asales et le faisceau incisif supérieur qui prend son orifice il la
partie
interne de la fossette myrliforme. Les faisceau
L'orbiculaire des lèvres peut être considéré comme formé de deux
parties
différentes : l'une, l'orbiculaire externe, est c
ais dans ses deux' tiers seu- lement, par quelques faisceaux sur la
partie
moyenne de la face interne de l'arcade zygomati
ère et se terminent sur l'angle dû maxillaire inférieur et sur . la
partie
inférieure de la face externe de .sa branche mo
nt obliquement en bas, en arrière, en dehors, puis se fixent sur la
partie
interne de l'angle du maxillaire et sur la face
re infé- rieur. Le faisceau supérieur ou sphénoïdal s'insère sur la
partie
de la grandc aile du sphénoïde qui forme la voû
re sur la face externe de l'apo- physe ptérygoïde, et en bas sur la
partie
externe de l'apophyse pyrami- dale du palatin.
le côté interne du col du condyle du maxillaire inférieur et sur la
partie
correspondante du ménisque inter-articulaire.
ascendante est la circonvolution motrice par excellence et que .les
parties
antérieures du lobe paracentral et de l'opercule
tre crurale, brachiale ou faciale, suivant que la lésion siège à-la
partie
supérieure, moyenne ou inférieure de la zone rola
scles à innervation radiculaire double, chaque racine se rend à une
partie
deter- minée du muscle; il l'ail remarquer auss
. 611, sale inférieure (de la sixième à .la onzième vertèbre). La
partie
inférieure de la onzième dorsale et l'espace in
ugace, et si on n'examine le malade que plus tardivement, elle a en
partie
disparu. On trouve alors des troubles de sensibil
ou salées, car la gustation des substances amères se fait dans les
parties
postérieures de la langue. L'hyperacousie doulo
ant les muscles pcauciers de la face. Lorsque la lésion siège il la
partie
inférieure du canal de Fallope, la branche auri
tte hypoacousie dénoterait en effet l'existence d'une nécrose de la
partie
inférieure du coli- maçon séparée du nerf facia
astoïdien, la portion claviculairc du trapèze) puissent suppléer en
partie
le diaphragme, la paralysie de ce muscle est tout
. ? 11). L'ancsthesie. qui est assez fré- quente, occupe une grande
partie
de. la région postérieure de l'épaule et le bor
e du petit doigt et de la moitié interne de l'annulaire, puis il la
partie
interne de la face dorsale de la main, il la fa
ils existent, ils occupent la zone de distribution cutanée du nerf (
partie
externe de la paume de la main, face palmaire d
ebout. Les troubles sensitif ? quand ils existent, s'observent à la
partie
antérieure et interne de la cuisse, à la partie a
t, s'observent à la partie antérieure et interne de la cuisse, à la
partie
anlé- rieure et interne de l'articulation du ge
la partie anlé- rieure et interne de l'articulation du genou, à la
partie
interne de la jambe et au bord interne du pied.
Dure ! , de Soumaun, indiquent comme siège du centre phonatoire la
partie
inférieure et latérale de la cir- convolution p
entre de Krause et confirmèrent sa localisation, chez le singe, il la
partie
antérieure du pied de la circonvolution frontal
autres fibres motrices de ce nerf provenant du noyau ambigu dont la
partie
inférieure constitue le noyau bulbaire du spina
déchiré postérieur présente le ganglion plexiforme qui reçoit à sa
partie
supérieure et externe la branche interne du spi
nerfs du voile du palais. C'est aussi du ganglion plexiforme, à sa
partie
inférieure, que naît le nerf laryngé supérieur
t. On sait que ce nerf se détache du tronc du pneumogastrique il la
partie
inférieure du cou pour le côté droit, il l'intéri
vec un stylet pour constater qu'il est insensible en totalité ou en
partie
. Lorsque l'anesthésie est partielle elle est le p
car elles ont déjà été signalées, pour la plupart, dans les autres
parties
de cet ouvrage. On trouvera la paralysie du l
ière, dilate les ailes du nez, il y a du tirage avec dépression des
parties
molles du cou el du thorax. Si un peu d'air réu
résection du manubrium sternal ou même la résection simple de celle
partie
du sternum sans thymectomie qui paraît suffi- s
n totalité non seu- lement au niveau des cordes, mais dans toute sa
partie
supérieure connue dans le phénomène de l'effort
n vocale des muscles du larynx, le sujet ne faisant usage que d'une
partie
de son anche vocale. Garel, qui a étudié avec
de muscles ou de groupes musculaires; quand elle envahit une grande
partie
de l;mus- culature, elle s'étend toujours tout
la presque totalité de la musculature, et le volume des diflérentes
parties
du corps diminue à peu près dans les mêmes prop
ques amaigris sont de grands amyotrophiques, mais, dans ce cas, les
parties
du corps sur lesquelles le tissu cellulo-graiss
le tissu musculaire, comme les seins, la paroi abdominale, sont les
parties
qui maigrissent et s'affaissent les premières;
s'affaissent les premières; chez les amyotrophiques purs ces mêmes
parties
restent très longtemps indemnes. La paralysie e
puissance » de myopathie : c'est peut-être à ce l'ail qu'est dû en
partie
le caractère apparemment peu héréditaire de ces
e partielle des myopathies peut atteindre les muscles soit dans une
partie
de leur épaisseur, soit dans une partie de leur l
e les muscles soit dans une partie de leur épaisseur, soit dans une
partie
de leur lon- gueur : certains faisceaux peuvent
s épaisses ; d'autres faisceaux peuvent être hypertrophiés dans une
partie
seulement de leur longueur, alors qu'une extrém
ans le domaine des nerfs péroniers, aux membres supérieurs dans une
partie
des petits muscles de la main et, plus tard, da
ssus des côtes, mais on n'observe pas la dépression mé- diane de la
partie
supérieure de la cage sterno-costale, qui donne a
on tour de conser- ver au thorax à peu près la même largeur dans sa
partie
inférieure que dans sa partie supérieure ; auss
ax à peu près la même largeur dans sa partie inférieure que dans sa
partie
supérieure ; aussi au-dessous des fausses côtes l
e et Onanoll' (1). C'est un aplatissement de l'occipital tel que la
partie
postérieure de la tète rejoint à angle droit la p
l tel que la partie postérieure de la tète rejoint à angle droit la
partie
supérieure : au lieu d'être oblongue, la tête p
ent presque complètement sur leur bord externe, parfois même sur la
partie
externe de leur face dorsale (Ganghofner) (') ;
ans un tableau clinique : les signes associés montrent que d'autres
parties
de la moelle et de ses enveloppes sont, atteintes
res manquent rarement tout à fait; elles sont étendues à une grande
partie
de la musculature ou localisées à quelques musc
ains d'entre eux, le deltoïde par exemple; brusques, limitées à une
partie
des muscles ou propagées en ondes, spontanées et
ES du syndrome DUCIIG\\I ? iIIAV. Le syndrome d'Aran-Duchenne l'ait
partie
du tableau clinique habituel de la sclérose lat
é extrême et sa durée parfois indéfinie. Cette durée est souvent en
partie
proportionnée à la durée de la lésion articulaire
p les plus fré-i ententes, est d'envahir soit la totalité, soit une
partie
seulement des muscles préalablement paralysés d
ndérante ; et, comme elle a tendance il envahir progressivement des
parties
de plus en plus étendues de la musculature, nou
squelette, entraînant un raccour- cissement de la totalité ou d'une
partie
d'un membre, et de troubles trophi- ques et v
laire, cellules nerveuses, nerfs et muscles, soit seulement dans la
partie
périphérique du neurone et dans les muscles, so
embre inférieur elle prend surtout les muscles de la fesse et de la
partie
supérieure de la cuisse. Cette règle n'est pas
ée prolongée. B) Consécutives A une paralysie : atrophie de tout ou
partie
des muscles préalablement paralysés associée au
cir des faisceaux plus volumineux, on voit le muscle former dans sa
partie
moyenne un ventre anormalement dis- tendu, et s
pertrophie vraie. , Certaines infiltrations néoplasiques de tout ou
partie
de un ou plu- sieurs muscles, amenant leur augm
le, les autres faisceaux s'atrophiant; ou bien elle atteint sur une
partie
seulement de leur longueur un plus ou moins gra
la totalité des faisceaux du muscle. Dans ce dernier cas, c'est la
partie
moyenne qui est typer- - trophiée, les extrémit
paraît constituer tout le muscle, n'en constitue en réalité que la
partie
moyenne. Quoi qu'il en soit, l'hypertrophie vra
mouvements simples, dépla- çant chacun un segment de membre ou une
partie
du corps et s'accom- plissant tous simultanémen
maintenir l 'équilibre. L'équilibre du corps et de ses différentes
parties
doit être assuré pendant les mouvements, c'est
et des muscles chargés de le recevoir. Oue l'une quelconque de ces
parties
soit t altérée, l'incoordination pourra en être
nséquence, mais elle aura quelques caractères différents suivant la
partie
lésée des voies sen- sitives ou motrices. L'inc
a consé- quence obligatoire de la lésion de l'une quelconque de ces
parties
, à \A. LÉRI.] To-1 l\I;UUIiDI\ : 1'1LU\. ca
pour la fin de ce chapitre l'étude de ces cas complexes, encore en
partie
insuffisamment étudiés, qui, pour la plupart, d
tableaux cliniques fort semblables au tabes et dont l'ataxie fait,
partie
. Aucune de ces affections ne provoque des lésio
n'altèrent pas le sens général du mouve- ment dont les différentes
parties
restent assez bien coordonnées et qui se ralent
t l'apprentissage des mouvements, de centres coordinateurs dans les
parties
inférieures du névraxe ; ces centres entreraient
esse est un syndrome aigu dont l'incoordination fait nécessairement
partie
; à l'incoordination se joignent toujours des v
on caractère essentiel est la décomposition des mouvements en leurs
parties
constituantes élémentaires; le malade est incapab
erturbateur principal. L'équilibre du corps ou de ses différentes
parties
pendant les mouvements, l'équilibre ciné- tiq
abinski a remarqué que l'équilibre du corps ou de ses différentes
parties
au repos, l'équilibre statique, est d'ordi- n
chute ne se produisent que quand un déplacement léger de certaines
parties
du corps a lait entrer en jeu l'équilibre cinétiq
loin de s'observer dans . la totalité des lésions du cervelet; les
parties
du cervelet dont la deslruc- tion détermine ce
apable de détermi- ner le syndrome, on ignore encore quelles autres
parties
des voies céré- hl'lIeuses peuvent le provoquer
'influx nerveux, ensuite par le manque d activité, souvent aussi en
partie
par la perte de confiance du malade en un retou
intacte du cervelet le pouvoir coordi- nateur qui siégeait dans la
partie
lésée : la rééducation des cérébelleux asynergi
tement idéal de l'ataxie consisterait donc à rendre aux différentes
parties
, super- ficielles et surtout profondes, leur se
c'est par la vue que le tabétique qu'on rééduque doit compenser en
partie
la perte de sa sensibilité superficielle et pro
uvements de flexion et d'extension, avec incli- naison variée d'une
partie
ou de la totalité du tronc en avant ou en arriè
des membres inférieurs, avec ou sans appareils. La rééducation des
parties
proximales du membre, bras et avant- bras, ne c
spinal et du pneumogastrique, du glosso-pharyngien et du facial en
partie
, noyaux sensitifs ou sensoriels de l'intermédiair
ndent il tout un côté ou aux deux, comme si l'excitation corticale,
partie
du centre correspondant à la première convulsion
ourra être très courte, ou absente, la phase clonique limitée à une
partie
du corps, le cri initial, la morsure de la langue
st une sen- sation de corps arrondi qui se déplace en remontant des
parties
inférieures de l'abdomen vers l'épigastre, la p
il peut se produire lentement envahissant successivement toutes les
parties
du corps. La durée du tremblement peut être var
it le battement du talon sur le sol quand le malade s'appuie sur la
partie
antérieure du pied.. . DIAGNOSTIC DE LA CAUSE D
aux de la maladie de Parkinson où le tremblement s'est étendu à des
parties
du corps qui ne l'intéressent pas habituellemen
parkinsoniens anormaux : 1° Le cas où le tremblement s'étend il des
parties
du corps qui ne l'intéressent pas habituellemen
nque. Le siège du tremblement hysté- rique peut être localisé à une
partie
du corps sous la forme hémiplégique ou une form
;;S. des secousses régulières qui se manifestent seulement dans les
parties
du corps manquant de point d'appui. Nous veno
réflexes, c'est là le trouble qui se rencontre chez la plus grande
partie
des choréiques, elle est plus fréquemment bilat
es contractions librillaires qui apparaissent dans les muscles à la
partie
inférieure du corps, plus particulièrement aux
re du corps, plus particulièrement aux muscles des mollets, et à la
partie
postérieure des cuisses, et par la suite aux mu
double. Le malade a la face grimaçante, mais c'est surtout dans la
partie
inférieure que les troubles sont accentués, l'e
e Grasset, on a pensé que le siège de ces lésions était plutôt à la
partie
postérieure de la capsule interne; cependant le
ont une innervation différente; en revanche, quand les différentes
parties
d'un même muscle interviennent dans des actes f
actes fonctionnels différents (deltoïde, trapèze), une seule de ces
parties
peut se contracter dans le tic. Le tic est la
ps que la peau du front se porte en . haut par la contraction de la
partie
in- terne du frontal, etc.). L'existence de c
de l'oeil associée à une contraction du frontal (plis cutanés il la -
partie
supéro-interne du sourcil). B). Contraction vol
lésion. véritable inflammatoire ou dystro- phique, portant sur une
partie
de l'ensemble neuro-musculaire qui permet l'act
et, dans la flexion du genou, de faire toucher, avec les talons, la
partie
postérieure de la cuisse et de la fesse. L'hy
e de Haynaud et l'érythromélalgie, se trouvant décrites en d'autres
parties
de cet ouvrage. Altérations n'intéressant que l
pe des doigts. Consécutive à des crises d'anémie locale, elle l'ait
partie
du syndrome isolé par flaynaud. On la rencontre
ager une 1 TROUBLES TROPHIQUES. 917 î voie d'accès sous quelque
partie
du pansement cacheté, et s'assurer si le simula
es d'une laxité remar- quable qui tombent, masquant fréquemment une
partie
du visage. Ajoutons que les malades atteints de
utes, plus souvent eu quelques heures. Il atteint de préférence les
parties
découvertes, les mains, le cou, la face, et sur c
on générale, siéger en tout endroit saillant, soit par exemple à la
partie
anguleuse des orteils en marteau, soit à la fac
tits ulcères trophiques sur le dos des phalan- gettes, en majeure
partie
résorbées, de l'auriculaire et de l'annulaire
) les héinihyperlrophies limitées ou non à la tête, intéressant les
parties
molles aussi bien que le squelette et qu'il est
un cas de mala- die osseuse de Pagel unilatérale. La fièvre l'ait
partie
du cortège symptomatique. dans l'état de mal cho-
tes dans la syringomyélie ; on voit enfin les sueurs constituer une
partie
du syndrome bulbaire; ces sueurs profuses s'obs
'ampoule qui est en rapport avec le manomètre, on l'applique par sa
partie
mince sur le trajet de l'artère radiale, on app
ent extrême delà respiration (1 ? cr). Enfin, la dyspnée peut faire
partie
des symptômes de la compression de la moelle dans
que, après l'émission d'une certaine quantité de l'urine, une autre
partie
, grande ou petite, ne peut être évacuée naturel
nsations d'amertume. La corde du tympan et le lingual innervent les
parties
anté- rieures de l'organe. Tout ce qui détruira
ions en foyer et de l'hystérie, la perte de la faculté du goût lait
partie
du syndrome observé. Il peut y avoir agueusie t
ue paralysie ou mieux une parésie totale, sans atrophie fait encore
partie
du syndrome myaslhénique d'El'b-Goldfla/l/l, En
ue. Aux troubles de la sensibilité de l'oesophage ressortissent une
partie
des accidents précédemment décrits. La boule hy
ent pro- voqué. au moment où la tète du foetus ne comprime plus les
parties
maternelles, un certain nombre aussi sont justi
tif entier. Le symptôme principal est le ballon- nement de toute la
partie
sus-ombilicale de l'abdomen. Il y a accumula- t
détruire l'idée fixe. En d'autres cas, on peut pallier, au moins en
partie
, au gâtisme de l'idiot en l'obligeant à des éva
dues soit à un trouble vaso-moteur ou trophique prédominant sur les
parties
molles, soit à une maladie dystrophique ou inflam
consister en une simple hypertrophie de l'ensemble ou de certaines
parties
des mains, hypertrophie systématisée pour ainsi
des différents segments. Portant à la fois sur le squelette et les
parties
molles, certains troubles trophiques peu- vent
téo-articulairc hypertrophiante ou déformante ou par dystrophie des
parties
molles, d'une attitude vicieuse, ou de mouvemen
a), syphilitique, lépreuse, ])Iellnoli',I-iqiie. B) Difformités des
parties
molles : ' Main succulente. Myxoedème. OEdèmes
doigts voisins; l'union des doigts peut se faire uniquement par des
parties
molles ou par des ponts osseux. La polydactylie e
t souvent sur un plan postérieur au médius et à l'auriculaire et en
partie
recouvert par eux. Les doigts, réunis au niveau
les altérations articu- laires du rhumatisme - déformant et en
partie
celles du rhumatisme goutteux (J. Teissier).
ns le tissu cellulaire sous-cutané et dans la peau, mobiles sur les
parties
profondes; plus ou moins mous au début, ils son
s de doigt; elle peut être due il l'infiltration gomineuse soit des
parties
molles, soit du squelette; elle est dure et rés
s sont partout ailleurs. C) Dans LES affections dystrophiques DES
parties
molles. La main succulente, décrite dans la syr
par se fermer. Il reste une main privée d'un ou plusieurs doigts en
partie
ou en totalité, les sections sont boursouflées
doigt. qu'un débris atrophié de la 2° phalange libre au milieu des
parties
molles. DIFFORMITÉS ACQUISES. 1051 ou violacé
observe des troubles sensitifs dans le territoire cutané du radial (
partie
postérieure- et externe de la main et des doigt
terosseux, des muscles hypothénar, de l'adducteur du pouce et d'une
partie
du court fléchisseur, des deux lombricaux inter
n adduc- . tion. Il y a souvent de l'hypo ou de l'anesthésie sur la
partie
interne de la paume et du dos de la main, sur l
la main, sur le petit doigt, la face interne de l'an- nulaire et la
partie
interne du dos de la première phalange du médius.
isceaux internes du fléchisseur profond, l'adducteur du pouce etune
partie
du court fléchisseur. L'éminence thénar est atrop
paire cer- vicale et )"' paire dorsale (d'où partent la plus grande
partie
des fibres du médian et du cubital), dans certa
ur. Dans toutes les lésions portant sur la 1"e racine dorsale ou la
partie
inférieure du plexus brachial,, on observe des tr
'hypertrophie porte égale- ment sur tous les tissus, squelette et
parties
molles. De profonds sillons sé- parent des bour
sorte que le cou-de-pied forme un gros bourrelet circulaire, que la
partie
inférieure de la jambe est plus volumineuse que
e, que la partie inférieure de la jambe est plus volumineuse que la
partie
moyenne et que le pied a l'aspect spécial du gr
qu'on ne l'observe qu'exceptionnellement aux mains ou à toute autre
partie
du corps. Il siège surtout aux trois principaux p
ommerce un modèle commode de 80 centimètres de long, divisé en deux
parties
se raccordant à vis. Nous recommanderons seulem
liqueront donc, dans la mesure du possible, au squelette revêtu des
parties
molles; s'il en était autrement, une mention sp
un ressaut occipital post-lambdoïdien. Chez les trigonocéphales, la
partie
moyenne du front est saillante, mais les bosses
front est saillante, mais les bosses frontales sont nulles, et les
parties
latérales de l'os sont fuyantes. D. frontal min
. bimastoldien. C'est à dessein que nous plaçons, à la fin de cette
partie
de notre étude, le D. bimastoïdien, condamné par
crâne, et Papillault 68,6 (IL) et 69.5 (F.) sur le sujet revêtu de
parties
molles. Il est intéressant à considérer quand on
révèle les variations de développement relatif de la hase et de la
partie
anté- rieure du crâne. Comparé au précédent,
ventraux (dessin original J. Légende commune aux 4 figures. (en
partie
d'après les schémas remis aux voyageurs par le
l'autre les deux incisives médianes inférieures; il se trouve à la
partie
à la fois la plus inférieure et la plus antérie
imensions verticales de la face qui s'accroissent surtout dans leur
partie
sous-nasale. H. ophryo-alvéolaire. Le compas-gl
re de biceps) ; du poignet, au-dessus des styloïdes; de la cuisse
partie
moyenne ; maxima du mollet; minima de la jamb
n une scoliose cervico-dorsale; le thorax est projeté en avant à sa
partie
inférieure, et voilà réalisée la double bosse du
et de dévouement. Leurs haines ne sont bien souvent que la contre-
partie
des railleries coutumières, et leur envie égoïste
les muscles, le bassin et les épaules se dessinent assez bien. Les
parties
sexuelles sont glabres, mais bien conformées. Les
escendante. Blaiiiville a insisté sur l'asymétrie par inégalité des
parties
correspondantes. On appelle oreille de Motel, c
ésente assez exacte- ment la forme des fesses : il est. renflé à la
partie
supéro-postérieure en deux moitiés globuleuses
de points. Les lacunaires que M. Pierre Marie considérait pour une
partie
comme syphilitiques ont eu une réaction positiv
d aux petites hémorragies ou aux hémorragies an- anciennes dont une
partie
est déjà résorbée. C) Coloration jaunâtre du li
ns en les plaçant pendant 20 minutes au mi- nimum dans un mélange à
parties
égales d'alcool et d'éther (on pourra se servir
ne s'applique pas exclusivement il l'inflammation hydropigène de la
partie
conjonctive des toiles choroï- diennes. - - T
remier groupe de ces faits les rayons qui, après avoir traversé une
partie
du corps, viennent impressionner une plaque pho
bande à bords parallèles; en dehors de cette bande dépassent les
parties
les plus externes des corps vertébraux remarqua
surfaces articulaires coïncide avec une hyperplasie exubérante des
parties
osseuses juxta-articulaires, l'arti- culation p
est-à-dire frappent d'une façon constante certains os et, certaines
parties
de ces os il l'exclusion des autres : telles so
Paget, etc. Les autres peuvent atteindre tous les os et toutes les
parties
de ces os, soit d'une façon di/= 1. P. Mark et
ités de cet élargissement;; qui porte surtout, d'après : lui, 'sur la
partie
postérieure : celle-ci s'agrandit et s'excaye dan
par d'autres auteurs suivant les aspects présentés par la selle, sa
partie
postérieure ou son orifice supérieur : l'apprécia
leur dia- physe, généralement- plus courts et plus minces dans la
partie
moyenne dès diaphyses, plus élargis à leurs e
diffus et uniforme. Plus limité, le processus reste localisé il la
partie
centrale de l'os ou se propage il la périphérie
es [tins habituelles on trouve la couche compacte conservée sur une
partie
importante de la hauteur de la diaphyse; au con
centre de la diaphyse l'aspect est des plus caractéristique, cette
partie
n'est [tins constituée de façon homogène par de f
ibles intensités; on prend alors comme unité courante la. millième.
partie
de l'ampère, c'est-à-dire le milliampère, que l
us quand il existe aussi un circuit dérivé ; elle doit être dans la
partie
du circuit où l'on veut connaître l'intensité d
l'intensité du courant, c'est-à-dire, pour le cas présent. dans la
partie
du circuit qui se rend au corps. La dérivation se
n'a pas besoin d'être modifiée pour épouser les con- tours des
parties
sur lesquelles on les ap- plique. Le revête
a peau traversent cet espace. 5° Pour atteindre avec le courant des
parties
plus ou moins étendues situées dans la profonde
oignées que possible l'une de l'autre en comprenant entre elles les
parties
à atteindre. Si elles étaient rapprochées, la plu
s parties à atteindre. Si elles étaient rapprochées, la plus grande
partie
du courant resterait dans le voisinage de la pe
de sodium ou de potassium. Lorsque c'est un anion qui constitue la
partie
active de la substance à introduire, par exempl
les. De pareils échanges d'ions se produisent encore entre diverses
parties
d'un même électrolyte, séparées par des membranes
oire que ces effets d'excitation des organes moteurs sont en grande
partie
dus il l'action sur les nerfs moteurs ou sur les
doigt : 12. Opposant du petit doigt; 15. Lombricam : -14, Deltoïde (
partie
antérieure) : - 15. Nerf museulo-culanc, 16. Bi
Points moteurs du membre supérieur (face postérieure). -1. Deltoïde (
partie
postérieure) ; 2. Nerf radial; 5. Brachial anté
UET ] Fic.. : 'iL - Méthode hipoiairc localisée, - Excitation de la
partie
externe du triceps hrachial - avec 2 tampons de
it produire des contractions. Il faut donc donner au membre ou à la
partie
du corps que l'on examine une position telle qu
n excitabilité tandis qu'il a perdu sa conductibilité au niveau des
parties
lésées. Dans certains cas, cependant, ces paral
s d'élection, mais on la place loin de ceux-ci, généralement sur la
partie
inférieure du muscle, ou sur ses terminaisons t
ives caractérisant la DU restant encore bien nettes; cette dernière
partie
de la période d'état de la DR est assez longue
rouve des traces plus ou moins marquées de ces altérations dans une
partie
au moins des territoires nerveux atteints par l
altérés au même degré dans leur totalité, ou dans leur plus grande
partie
; les lésions, au con- traire, les envahissent
accusée pendant la durée de son passage. On l'a rapportée pour une
partie
à l'ac- tion des produits acides ou basiques mi
ts acides ou basiques mis en liberté par l'électrolyse, et pour une
partie
aussi à l'action propre du courant électrique. Lo
as des électrodes humides, qui étendent facilement l'excitation aux
parties
profondes; on se sert plutôt d'électrodes métal
gésie, on a trouvé la sensibilité électrique conservée seulement en
partie
, la sensa- tion produite par le courant était p
à une distance plus grande, sur le cou, la nuque et parfois sur la
partie
supé- rieure du tronc. Les sensations gustative
rode indifférente est placée sur le sternum ou de préférence sur la
partie
supérieure du dos. L'électrode exploratrice, re
électrodes; il en résulte une meilleure conductibilité due pour une
partie
à l'augmentation du contenu des vaisseaux, et pou
partie à l'augmentation du contenu des vaisseaux, et pour une autre
partie
à l'augmentation de la quantité des liquides orga
la sclérodermie Eulenhurg a trouvé la résistance augmentée dans les
parties
de la peau plus ou moins altérées, et plutôt dimi
ties de la peau plus ou moins altérées, et plutôt diminuée dans les
parties
épargnées ou légèrement atteintes. On a encore tr
la contracture, par exemple sur la face dorsale du poignet et de la
partie
inférieure de l'avant-bras pour le membre supérie
partie inférieure de l'avant-bras pour le membre supérieur, sur la
partie
inférieure de la face antérieure et externe de la
et les deux cornes descendant l'une en avant sur le deltoïde et la
partie
voisine du grand pectoral, l'autre en arrière sur
une autre posi- tion, de manière à entourer l'épaule en dehors, la
partie
moyenne du bord concave correspondant à la poin
raitement consiste habituellement dans le bain statique pendant une
partie
duquel on dirige, sur la colonne vertébrale et su
s; parfois il y a avantage à placer cette dernière électrode sur la
partie
anté- rieure du corps dans une position diamétr
tématisées; l'autre électrode sera appliquée à la périphérie sur la
partie
inférieure du membre ou sur MYÉLITES-SCLÉROSES
par tumeurs ou par pachyméningite. Il en a été parlé dans une autre
partie
de cet ouvrage. II. - MALADIES DÉPENDANT DE LÉS
nt préférable d'employer une plaque électrode que l'on place sur la
partie
inférieure, des muscles les plus atteints. Généra
e à agir par excitation longitudinale en plaçant l'électrode sur la
partie
inférieure du muscle ou sur son tendon; on peut f
bipolaire et à placer les deux électrodes sur le muscle, l'une à sa
partie
supérieure, l'autre il sa partie inférieure.
électrodes sur le muscle, l'une à sa partie supérieure, l'autre il sa
partie
inférieure. La galvanisation labile pourrait
ant une des électrodes sur la colonne vertébrale et l'autre sur les
parties
des membres où les troubles moteurs et sensitif
rfois de lésions ou d'altéra- tions des racines nerveuses dans leur
partie
comprise entre la moelle et les plexus. La prem
nt comme cause J'élongation des racines du plexus brachial, soit en
partie
seulement, soit en totalité. Dans ces cas de pa
ons qu'il fournit, on pourra se contenter d'appliquer sur certaines
parties
'du membre paralysé le trai- tement indiqué pou
tement indiqué pour les paralysies légères, alors que pour d'autres
parties
il faut appliquer le traitement convenant à des
et des rameaux nerveux se rendant à l'orbiculaire des lèvres; il la
partie
inférieure de la joue sur la branche inférieure
èvres; enfin sur le menton au niveau des muscles du menton et de la
partie
inférieure de l'orbiculaire des lèvres. Sur cha
nutrition et ramener dans la mesure possible le développe- ment des
parties
des muscles qui n'ont pas été complètement atroph
ut rythmer les excitations, de la manière indiquée dans la première
partie
de cet article; avec l'électrode tampon placée
scles les recouvrant sur une assez grande surface ou entourant leur
partie
inférieure, et l'on fait passer pendant un temps
ge plaque, correspondant à l'anode, de 150 il 500 cm\ placée sur la
partie
inférieure , NÉVRALGIE SCIATIQUE. 1 ? ) : . d
ade quand il n'est pas isolé. On peut aussi appliquer sur une autre
partie
du trajet, du nerf, ou sur la colonne vertébral
ndre sur la totalité du trijumeau ou rester localisées a une de ses
parties
. [E.HUET.] 1520 . ÉLECTROTUER.APOE. Dans un
fisamment exprimée pour éviter"que l'eau en s'ac- cumulànt dans les
parties
déclives ne donne au courant une densité plus g
lus petite, de 10 cm2 environ, en forme de tampon, est placée il la
partie
supérieure du cou, entre le larynx et le muscle
yer souvent des courants assez forts pour amener le déplacement des
parties
sur lesquelles s'attachent les muscles et provoqu
reparu. Le retour de la sensibilité peut s'étendre bien au delà des
parties
électrisées, tout un membre et même, la moitié du
èrement employé la faradisa- lion pratiquée avec le pinceau sur les
parties
antérieures et latérales du cou, ou la galvanis
environ, reliées l'une et l'autre au pôle positif, sont placées à la
partie
inférieure du cou, entre les deux chefs du ster
appliquerait deux larges électrodes humides sous les pieds, ou à la
partie
inférieure des jambes, et on les relierait par
faible, on porte la faradisation sur le cou, principalement sur les
parties
latérales, en suivant le trajet des cordons ner
erpendiculairement à la première, pour diviser la dure-mère en deux
parties
, l'une antérieure et l'autre postérieure, que l
ase du crâne; la protubérance est sectionnée transversalement il sa
partie
moyenne au-dessus de l'émergence des racines du t
céphalique compre- nant les deux hémisphères, les pédoncules et la
partie
supérieure de la protubérance annulaire. Je c
dé du Professeur Pierre Marie, de sectionner la protubérance par sa
partie
moyenne avant d'extraire le bulbe et le cervele
miers segments. On obtient, ainsi, en un même bloc, le cervelet, la
partie
inférieure de la protubérance, le bulbe ra- chi
la partie inférieure de la protubérance, le bulbe ra- chidien et la
partie
supérieure de la moelle cervicale. Il est possi
ant de dehors en dedans, passe par la tête du noyau caudé et par la
partie
moyenne de la couche optique. La coupe de Briss
point de vue macroscopique, car, comme elle passe très près de la «
partie
supérieure de la région sous-optique, elle n'est
ier, dans toute sa « hauteur, la zone de transition située entre la
partie
thalamique de la « capsule interne et la région
rties de l'alcool absolu, les pièces sont.portées dans un mélange à
parties
égales d'alcool absolu et d'éther où elles séjo
r des colorations rapides. Les pièces sont fixées dans le mélange a
parties
égales des trois solutions suivantes, ce mélang
lychrome de Unna. Elles sont ensuite différenciées par un mélange à
parties
égales d'alcool absolu et de xylol, lavées abon
cercles noirs, le fond de la préparation est gris. 2° Mélange, à
parties
égales, de liquide de lliiller et de formol. 5"
1045. - Dif- formités acquises. - ostéo-articulaires, 1043. - des
parties
molles, 1046. - mutilantes, 1047. -ATTITUDES vi
ce de mes sentiments reconnaissants et affectueux. F. P. PREMIÈRE
PARTIE
ANATOMIE CHIRURGICALE DE L'OS TEMPORAL PÉREZ.
liquement jusque sur le sommet du limaçon, convertissant en canal une
partie
de la gouttière qui contient le nerf facial ».
cérébrale moyenne, et un segment sous-zygomati-que, ou basilaire, en
partie
horizontal et en partie vertical, formant la voût
n segment sous-zygomati-que, ou basilaire, en partie horizontal et en
partie
vertical, formant la voûte de la cavité glénoïde,
astoïdienne), et finalement, une inférieure, divisée elle-même en une
partie
antérieure ou glénoïdienne (margo fissurœ de Spee
une partie antérieure ou glénoïdienne (margo fissurœ de Spee) et une
partie
postérieure ou tympanique (margo tympanicus, rebo
sal isolé des autres segments du temporal, la face interne montre une
partie
supérieure qui forme le champ cérébral de l'écail
ne partie supérieure qui forme le champ cérébral de l'écaillé, et une
partie
inférieure en rapport avec l'oreille moyenne (pla
utre chose que le sillon pétro-squameux, transformé en canal dans une
partie
de son parcours : on doit le considérer comme le
e toute son étendue. La portion sous-zygomatique ou basilaire, par sa
partie
moyenne, forme la paroi supérieure du conduit aud
it tout l'espace compris entre la suture occipito-mas-toïdienne et la
partie
postérieure du condyle de l'occipital. Son sommet
re pétro-squameuse externe. Sur les temporaux d'adultes dépourvus des
parties
molles, elle s'efface très souvent, au point que,
Selon Trautmann, il occupe, sur le bord postérieur de l'apophyse, la
partie
inférieure du tiers supérieur. Nous l'avons renco
te. « Recherche du sinus. Il n'est pas apparent. L'os est sain à la
partie
postérieure, très éburné, comme l'était du reste
usée au niveau de l'angle pétro-mastoïdien interne. Lecoude occupe la
partie
supérieure de cet angle. Le bord antérieur du sil
r mesuré l'épaisseur de la paroi osseuse du sillon transverse dans sa
partie
la plus mince et dans la zone de l'apophyse. Or,
ructure de l'apophyse mastoïde. —L'apophyse mastoïde est formée d'une
partie
centrale plus ou moins développée, qui comprend l
strique et endocrânienne. La corticale prémastoïdienne constitue en
partie
la paroi postérieure du conduit auditif. Elle se
possède tous les caractères de la table interne des os du crâne. La
partie
centrale de l'apophyse présente de grandes variat
us continuerons à l'appeler antre mastoïdien. Il occupe toujours la
partie
la plus antérieure interne, et supérieure de l'ap
de Jansen), et, en arrière, renforce la corticale endocrânienne. A sa
partie
inférieure, si la capacité antrale dépasse la moy
la séparation primitive de l'écaillé et du rocher, lame qui, dans sa
partie
supérieure est unique et dans sa partie inférieur
du rocher, lame qui, dans sa partie supérieure est unique et dans sa
partie
inférieure se convertit en un véritable tissu lam
ticale externe une grosse cellule qui ne présentait d'orifice qu'à sa
partie
interne, là où elle communiquait avec l'antre (ad
sérosité louche. Nous reportant alors en arrière, nous incisâmes les
parties
molles œdémateuses et découvrîmes, au niveau du g
n mastoïdien, en avant par l'insertion du pavillon. Il est situé à la
partie
antérieure et supérieure de cet espace à une prof
il faut contourner le bord postérieur de l'apophyse et désinsérer en
partie
le ventre postérieur du muscle digastrique. Zon
ue. Quelquefois aussi, il se creuse, soit en totalité, soit plutôt en
partie
, de cellules, dont le nombre et les dimensions so
stre peut être formé par un tour despire, le limaçon tout entier, une
partie
ou la totalité du vestibule, avec un fragment du
« A la fin du mois de mai, toute fa plaie était cicatrisée sauf une
partie
de l'antre, de l'aditus et un point nécrotique, r
ontoire et qu'on retrouvait (r) Launay, Thèse de Paris, 1896 à la
partie
externe du globe jugulaire ». C'est la scissure p
ssi, de forme quadrilatérale, et reliée au segment postérieur par une
partie
étranglée, aplatie entre le canal carotidien et l
autre lame qui agrandit la caisse intérieurement : elle s'étend de la
partie
inférieure du mastoïde au bord antérieur du limaç
n, un peu au-dessus et en dedans, où la lame supérieure atteint cette
partie
du labyrinthe. Là elle subit une légère déviation
tait complètement transparen te. La fosse jugulaire allecte avec la
partie
inférieure de la cavité tympanique des rapports t
Rozier a vu aussi une déhiscence à bords irréguliers, séparée en deux
parties
par une lamelle osseuse et à une distance de /| m
izontal passant par l'apophyse externe du manche du marteau sépare la
partie
inférieure de la caisse ou atrium, de la partie s
du marteau sépare la partie inférieure de la caisse ou atrium, de la
partie
supérieure appelée coupole, recessus épitympaniqu
eolaris) et en bas par un renflement en forme de spatule (umbo). A la
partie
supérieure de la membrane, on remarque deux repli
guère qu'à la fenêtre ronde, l'autre qui cache à nos regards tout ou
partie
des organes inclus clans le tympan. » Courtade
dulte; le développement progressif se faisant par la base, toutes ces
parties
: fenêtres ronde et ovale et partant étrier et lo
évidente de l'appareil ligamentaire de la membrane du tympan et de la
partie
supérieure de cette dernière. » (Schwartzc.) C'
et en dedans. Une crête transversale la divise en deux segments. A la
partie
inférieure, on remarque un bourrelet osseux (dent
réfléchi traverse la caisse de dedans en dehors pour se fixer sur la
partie
supérieure et interne du manche : innervé par le
ne ligne horizontale passant par l'ombilic de la membrane. Une minime
partie
du canal s'applique alors contre la paroi posté
u tympanal se Irouve reporté plus haut. Dans ces cas, une plus grande
partie
du canal se met en rapport avec la paroi postérie
eure du conduit. La portion tynipano-inastoïdienne, au niveau de sa
partie
supérieure, répond : en avant, à la cavité tympan
er, Hearn, Sachs et Gerster.) Le centre du facial supérieur occupe la
partie
supérieure de la zone de la face, immédiatement a
es auteurs, parle genou et, pour quelques uns, plus en arrière par la
partie
antérieure du segment postérieur de la capsule in
emniscus superjîcicdis et profundus), s'entrecroisent au niveau de la
partie
supérieure de la protubérance et entourent de leu
érieur de l'olive bulbaire jusqu'à la moitié de la protubérance. A la
partie
inférieure, il est situé en dedans et un peu en a
ve supérieure et la racine descendante du trijumeau; tout à fait à la
partie
supérieure, il est séparé de la racine descendant
à quitter le bulbe. D'après Marinesco, le noyau est constitué dans sa
partie
inférieure par une masse compacte, bien circonscr
masse compacte, bien circonscrite, de cellules multipolaires. Dans sa
partie
moyenne, on peut dissocier ce noyau primaire en u
é en 1886, cet auteur concluait : i° Que l'élimination d'une grande
partie
ou de la totalité du conduit auditif interne déte
par Marfan et Deville, l'autopsie ne permit de reconnaître aucune des
parties
constituantes de l'oreille. La caisse manquait co
ard. Ils sont au nombre de deux de chaque côté, a L'un est situé à la
partie
antérieure et externe de la circonférence postéri
érébrales de la face externe, tributaire du sinus latéral, et avec la
partie
terminale de la plupart des veines cérébelleuses.
quente, mais que le plus souvent la grande anastomotique postérieure,
partie
du sinus latéral, se porte obliquement en avant e
ande anastomotique de Trolard. (Hédon.) Cette dernière, issue de la
partie
moyenne du sinus pétreux supérieur ou de la parti
nière, issue de la partie moyenne du sinus pétreux supérieur ou de la
partie
antérieure du sinus caverneux, traverse d'arrière
e pétro-squameuse transformée quelquefois en canal, en totalité ou en
partie
, et quitte le crâne soit en s'anastomosant avec l
se en grande partie par les sinus occipitaux. Son trajet comprend une
partie
verticale qui descend dans la faux du cerveau, et
: on peut le curetter et le tamponner. (Grùnert, Laurens.) DEUXIÈME
PARTIE
TOPOGRAPHIE CRANIO-CÉRÉBRALE EN RAPPORT AVEC LO
ent sphénoïdal du ventricule latéral. Lobe occipital. —Il occupe la
partie
postérieure de l'étage moyen du crâne. Sa forme e
ue, ou mieux lingulo-limbique. Sur la face inférieure, on remarque la
partie
postérieure du lobule fusiforme et la circonvolut
n'entraîne donc pas de trouble spécial. La sphère olfactive occupe la
partie
antérieure de l'hippocampe (crochet). Quelques ph
centre de Broca; la surdité verbale domine si la lésion a détruit la
partie
supérieure de la première temporale; la cécité ve
t que toutes les autres du lobe temporal (Flechsig); elle forme aussi
partie
du segment sous-lenticulaire de la capsule intern
l'autre inférieur, formés par des fibres qui viennent des différentes
parties
du lobe occipital, passent par le splénius, et se
prolongement sphénoïdal du ventricule latéral, on aperçoit encore une
partie
rétrécie qui relie le segment supérieur à la caps
d'en préciser le siège. La lésion devait vraisemblablement occuper la
partie
postérieure de la capsule interne et interrompre
panation au niveau de la ligne rolandique, ponction du cerveau sur la
partie
moyenne de la circonvolution frontale ascendante
mol, et cause une surdité verbale partielle qui dépend de ceci : une
partie
de ce qui est recueillirpar l'oreille du malade,
vermis et deux lobes latéraux, les hémisphères. Vermis. — C'est la
partie
essentielle fondamentale, de l'organe, celle qui
unaire inférieur pour la face inférieure. L'amygdale correspond à une
partie
du lobule antéro-inférieur. Au-dessous et en deho
ons supérieure, inférieure, latérale de l'écorce cérébelleuse, et, en
partie
aussi, au vermis supérieur et aux noyaux centraux
igéminé, la substance noire de Soemmering, le globidus pallidus et la
partie
inférieure de la couche optique. Là, un dernier n
et latente. Lorsque l'abcès atteint directement ou indirectement les
parties
centrales de l'organe, noyaux gris et gros faisce
yrinthique, on cherchera à atteindre, à travers le bloc de Jansen, la
partie
profonde de la fosse cérébelleuse. Si le foyer d'
ire. Voie auriculaire. — On résèque le plafond attico-antral et une
partie
de la paroi supérieure du conduit auditif externe
e. — Dans ce procédé, l'orifice de la trépanation crânienne occupe la
partie
inférieure de l'écaillé temporale, en conservant,
incision cruciate de la dure-mère, on mettra à nu la troisième et une
partie
de la deuxième circonvolution temporale. On les p
rencontre du coude du sinus latéral. On devra évider tout d'abord la
partie
supérieure de la zone sinusale, en se rapprochant
est le plus superficiel. Le coude du sinus découvert, on dégagera une
partie
de sa portion horizontale et une partie de la por
us découvert, on dégagera une partie de sa portion horizontale et une
partie
de la portion descendante. Dans l'angle compris
comparée des vertébrés. Paris, i8go. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
ANATOMIE CHIRURGICALE DE I,'oS TEMPORAL Chapi
— Canal sinuso-jugulaire.............................. 63 DEUXIÈME
PARTIE
TOPOGRAPHIE CRANIO-CÉRÉBRALE EN RAPPORT AVEC l'
ent des abcès encéphaliques........................... g6 TROISIÈME
PARTIE
PLANCHES PLANCHE I Les quatre faces de l'os
panique, prise d'avant en arrière. Le tegmen tympani a été réséqué en
partie
; le labyrinthe est ouvert ; la face interne ou v
aire externe, se trouve une zone de tissu spongieux qui constitue une
partie
de la paroi externe du bloc de Jansen. Cet otolog
; cette dernière, en rapport immédiat avec le cervelet, constitue, en
partie
, la face externe du bloc de Jansen. Figure 5. —
IE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI FRÈRES On a réséqué une grande
partie
de l'écaillé occipitale pour dégager l'extrémité
la face externe du lobe occipital avec ses trois circonvolutions, une
partie
du lobe pariétal (gyrus ancjalaris ou pli courbe)
e et le lobe temporal, le faisceau longitudinal inférieur qui unit en
partie
le lobe occipital aux lobes temporaux et frontaux
llon parallèle. L'écaillé est donc en rapport avec la deuxième et une
partie
de la troisième circonvolution temporale. Segme
(Déjerine), le faisceau arqué, le faisceau longitudinal inférieur en
partie
, la capsule externe, les fibres temporo-thalamiqu
le latéral; 2° sur l'écorce : les circonvolutions troisième frontale (
partie
orbitaire), deuxième frontale, insala de Reil, fr
ices. chapitre i. INSTALLATION ET MATÉRIEL. En commençant cette
partie
de notre travail qui a trait à l'organisation d'u
e procéder à l'opération du développement de cette image latente; les
parties
frappées par la lumière noircissent et ceci d'aut
expose à la lumière, cette surface s'impressionnera sous les diverses
parties
du cliché proportionnellement à leur degré de tra
'agencement. Emplacement. — En général, on place l'atelier dans les
parties
élevées des bâtiments, afin de profiter de la plu
es dernières expositions, l'atelier se trouverait, pendant la majeure
partie
de la journée, exposé aux rayons directs du solei
me il est orienté à l'est, le soleil y pénètre pendant la plus grande
partie
de la matinée, ce qui nous oblige à nous servir d
, pour éviter cet inconvénient, nous avons décidé d'employer, dans la
partie
utile du laboratoire, le verre strié que fabrique
lpêtrière à iom de long sur3m,5o de large. Le toit est à4"\5o dans la
partie
la plus élevée et à 3m,5o dans l'autre, ce qui re
puis un vitrage de 5met le reste plein. De même, pour la toiture. La
partie
vitrée de 5m est la partie utile de l'atelier et
reste plein. De même, pour la toiture. La partie vitrée de 5m est la
partie
utile de l'atelier et celui-ci pourrait n'avoir q
rations courantes. Ces fonds s'enroulent sur des tambours placés à la
partie
supérieure de l'atelier. On descend l'un ou l'aut
ès près et que l'on voudra faire à grande échelle la tête ou quelques
parties
de celle-ci : les yeux, la bouche, le nez ou les
pour la Méthode de la suspension. En général, il faudra donner aux
parties
non vitrées de l'atelier une peinture favorable a
d'entonnoir en fer-blanc, dont la concavité brillante éclairera les
parties
du modèle placées à contre-jour. Nous avons vu em
uides. A l'endroit où l'on développe, c'est-à-dire en dessous de la
partie
de la lanterne qui est garnie d'un double verre,
i est encore une considération. La cuvette ne repo sant que sur les
parties
très étroites en caoutchouc, les angles sont touj
e l'on met à la place du châssis négatif. Ce cadre est divisé en deux
parties
et porte d'un côté un châssis à verre dépoli et d
n fixera à une seconde. Si l'on fait dix expositions, par exemple, la
partie
inférieure aura posé dix secondes, et la supérieu
pas relever le volet jusqu'en haut de sa course de façon à avoir une
partie
des plaques qui n'aura pas été impressionnée et q
pas comme dans la Photo graphie ordinaire, de ramener les diverses
parties
du corps dans un même plan, l'usage du diaphragme
ative ne peut être complète que si tous les détails viennent dans les
parties
les moins éclairées du modèle, c'est-à-dire lor
trop considérables, le problème consiste à obtenir une épreuve où les
parties
différentes, quoique opposées complètement en tan
é se trouve dans l'ombre. Il s'agit d'avoir également bien les deux
parties
inégalement éclairées. A cet effet, on met à prof
arge surexposition, on atteindra rapidement la période à laquelle les
parties
les plus claires donnent des impressions décroiss
s donnent des impressions décroissantes, mais pendant ce temps-là les
parties
sombres, pour lesquelles la même période est infi
ants, arriver à obtenir à peu près simultanément les détails dans les
parties
claires et sombres et donner ensuite l'intensité
tites quantités jusqu'à ce que nous ayons nos détails dans toutes les
parties
. A ce moment, nous poussons vigoureusement à l'ac
oo Hyposulfite de soude................ 100 On mélange A et B par
parties
égales au moment de s'en servir et l'on y plonge
contraire, être limitées à tel ou tel membre ou même localisées à une
partie
seulement de celui-ci. Les conditions dans lesque
e malade est au repos, qu'il s'agisse de l'ensemble du corps ou d'une
partie
seulement de celui-ci, puis celles dans lesquelle
ication partielle, de bien faire voir le contraste qui existe avec la
partie
restée normale. On emploiera un fond gris foncé
as particulier, il faudra, comme nous l'avons dit dans notre première
Partie
, diaphragmer d'autant plus que l'on se rap proc
ite et qu'au delà de cette limite les différences de valeur entre les
parties
les plus claires et les plus sombres s'effacent d
syringomyélie. dans ses Conférences cliniques, passe la plus grande
partie
de ses Fig. il. journées dans son fauteuil, i
2. Reproduction de la tête. — Dans les affections localisées à cette
partie
de l'individu, il sera nécessaire d'opérer à moin
r. De plus, au point de vue de l'expression, on constate que toute la
partie
du visage située en dessous de la ligne des yeux,
oin, il pourra être nécessaire de reproduire isolément telle ou telle
partie
de la physionomie seule affectée. Il faudra rappr
hragmer le moins possible. Il est vrai de dire que, ne prenant qu'une
partie
de la figure isolément, on peut sans crainte sacr
igure isolément, on peut sans crainte sacrifier la netteté des autres
parties
de l'image. Il n'a pas été fait jusqu'à présent
alisé à une moitié de la face. Il envahit l'œil qui se trouve clos en
partie
ou complètement, ainsi que le nez fortement dévié
a narine du même côté est tirée par le haut. Il comprend également la
partie
inférieure du visage, et la commissure labiale ai
t d'intensité que la plus récente. La conclusion est, que lorsque des
parties
seront colorées différemment du tissu normal, ell
bre d'affections de la peau, les auteurs ont eu l'idée de colorer les
parties
atteintes, de façon à donner la représentation au
on isolée une expression qui leur est propre. Ces muscles occupent la
partie
supérieure du visage et ils impriment tous au sou
ontenter d'une vitesse moindre si l'on veut montrer sur l'épreuve les
parties
affectées de mouvements plus ou moins rapides.
ositifs fort ingénieux. C'est ainsi que, après avoir photographié une
partie
du corps seule, il réduisait encore celui-ci à l'
at de lignes en revêtant le modèle d'un costume sombre sur lequel des
parties
brillantes correspondaient aux grands axes des me
s pour l'étude médicale, car il est nécessaire de ne supprimer aucune
partie
du corps par un artifice quelconque. M. Marey com
plaques auront été impressionnées. En ce qui concerne cette dernière
partie
nous y arrivons de la manière suivante : le grand
d'une matière isolante. Lorsque le contact latéral arrivera sur cette
partie
, le courant cessera de passer et l'appareil s'arr
avec l'appareil précédent dans lequel les images n'occupaient qu'une
partie
de la plaque (Jîg- 53). Nous avons conservé dan
e circulait un courant constant, était destinée à absorber la majeure
partie
des rayons calorifiques ; pour concentrer les ray
avec une source de lumière fixe et au moyen d'un miroir placé sur la
partie
à étudier, en recevoir tous les mouvements si fai
les mouvements si faibles qu'ils soient. On peut encore placer sur la
partie
à étudier une petite lampe à incandescence et en
e des trajectoires qui indiqueront à chaque instant la position de la
partie
correspondante du sujet étudié. Mais ces trajec
points plus ou moins rapprochés, suivant la vitesse propre de chaque
partie
du corps, l'intervalle entre deux de ces points é
nt suspendue à la hauteur voulue, il n'y aura qu'à mettre le feu à la
partie
inférieure. Ce dispositif nous a toujours donné
nviron. L'éclairage venant d'un seul côté, si l'on craint d'avoir les
parties
de l'ombre trop peu éclairées, on pourra se servi
servira à la suspendre, l'autre à l'allumer. Il est évident que la
partie
supérieure du fil pourrait être un fil quelconque
la charge. Mais si l'on prend du fil ordinaire ou de la ficelle, ces
parties
con- Pl. X. Spasme de la face hystérique, ava
rra se servir d'une grande glace comme réflecteur afin d'éclairer les
parties
sombres ou bien encore de la lumière artificielle
t nécessaire. Nous donnons à titre de spécimen une reproduction d'une
partie
d'un cerveau vu latéralement; elle a été obtenue
arrêts de développement du cerveau, dans sa totalité ou l'une de ses
parties
, sont fréquents chez les idiots et les dégénérés.
ite de la même manière lorsque les lésions seront localisées dans ces
parties
. L'examen des divers organes, s'il est reconnu
ation plus ou moins complète. L'examen du squelette et des diverses
parties
qui le composent pourra être également fort intér
sans tâtonnements à la place voulue. Lorsque l'on a bien déterminé la
partie
que l'on veut photographier, on immobilise la pré
aphie macroscopique. L'appareil est vertical et se compose de trois
parties
(fig. 71) : i° Un solide tabouret de om, 55 de
ance l'image atteint le format La boîte cubique qui est placée à la
partie
inférieure de la chambre noire est munie d'un vol
au retrouver l'éclairage le plus convenable pour mettre en lumière la
partie
que l'on veut reproduire. D'où perte de temps et,
beaucoup plus radical; il consiste à couper avec un diamant toute la
partie
antérieure du tube. Nous donnons dans la Pl. XV
ésion sont perceptibles. Vient-on à photo graphier cette coupe, les
parties
atteintes seront traduites par un noir plus ou mo
d incolore, car, la préparation étant teintée uniformément, certaines
parties
se trouvent ou décolorées complètement ou colorée
ce procédé, la myéline est seule colorée en noir et toutes les autres
parties
sont décolorées. Aussi quelquefois recolore-t-o
autres parties sont décolorées. Aussi quelquefois recolore-t-on ces
parties
à J'aide du carmin et de la safranine et l'on obt
, a bien voulu nous fournir les renseignements nécessaires pour cette
partie
de notre travail. Nous lui adressons à ce sujet n
apportées par la lumière sur la gélatine bichromatée. Dans toutes les
parties
où la lumière a pénétré, la gélatine est devenue
tes valeurs du cliché ; elle est au contraire restée soluble dans les
parties
correspondant aux noirs du cliché. Il suffit do
Il suffit donc, en principe, dépasser l'épreuve dans l'eau tiède; les
parties
complètement solubles disparaîtront, dans les aut
tiendra ainsi les demi-teintes, les grands noirs seront formés parles
parties
complètement insolubles. En pratique on commenc
es. On comprend en effet que, si l'on développait sans transfert, les
parties
qui ne sont insolubilisées qu'à la surface extéri
ilisées qu'à la surface extérieure, pourraient être entraînées parles
parties
inférieures restées solubles. En opérant au contr
atée étant exposée au jour (c'est ce qu'on appelle l'insolation), les
parties
insolées de viennent imperméables à l'eau, et c
l'eau, et cela en raison directe de la lumière reçue, tandis que les
parties
protégées restent perméables. Si alors on mouille
bles. Si alors on mouille cette plaque, l'eau ne prendra que dans les
parties
n'ayant pas reçu la lumière et sera repoussée plu
imprimerie sur la couche de gélatine, l'encre ne prendra pas dans les
parties
humides, mais seulement sur les parties inso-lées
encre ne prendra pas dans les parties humides, mais seulement sur les
parties
inso-lées et proportionnellement à leur degré d'i
n dessous du bain de sable permet de la chauffer el d'obtenir dans la
partie
supérieure la température convenable. Le système
it avec du papier d'étain mince, ceci dans le but de n'insoler que la
partie
à reproduire. On met alors le négatif dans le châ
On reconnaît que l'exposition est suffisante lorsque, découvrant une
partie
de la planche, on voit nettement par réflexion le
lumière diffuse. Cette opération a pour but d'insoler complètement la
partie
de la couche qui est en contact avec le verre et
viter son séchage trop rapide. Pour les clichés normaux, on prendra
parties
égales d'eau et de glycérine; avec des gélatines
sse spéciale, la presse photoglyptique, l'encre sera chassée dans les
parties
qui correspondent aux reliefs du moule ; elle res
a le plus attaqué et il deviendra d'une finesse très grande; dans les
parties
correspondant aux demi-teintes, il sera moins att
e. Pour l'usage on prend : Solution A............................ 3
parties
B............................ 1 partie G.....
......................... 3 parties B............................ 1
partie
G............................ 10 gouttes Il f
et de nous permettre, à la rigueur, de modérer la venue de certaines
parties
de l'image. La plaque étant à nu, il est facile a
........... iooo Soude caustique................ 8 On mélange par
parties
égales au moment de s'en servir. Les plaques vien
n voie le papier aussi blanc dans les blancs des plaques que dans les
parties
voisines. Nous enlevons alors ce voile en nous
xerçait, dit M. Houël (1), étant peu élevé, il avait passé une grande
partie
de sa vie fortement courbé en avant, et c'est pro
euse qui les enveloppe. Ces ligaments n'ont disparu en totalité ou en
partie
que dans la région cervicale, dans les premier, d
en reste à peine des traces au cou. Le petit excès de hauteur de leur
partie
antérieure, dans la région dorsale, est au contra
ecourbé et bombé en avant. La figure 4 montre la conformation de la
partie
postérieure du tronc. On y voit la différence de
valle des côtes gauches, qu'elles touchent presque. Ces corps sont en
partie
soudés à droite ou du côté concave de la courbure
nes contre les autres à la concavité de la courbure, sont devenues en
partie
immobiles. Les sixième, septième, huitième et neu
ités se redressent et se replient pour se continuer, en haut, avec la
partie
supérieure du rachis restée droite, en bas avec l
ui n'en diffère que par la situation plus élevée de la courbure. La
partie
moyenne, régulièrement arquée, de cette grande dé
ion dorsale inférieure. Les deux courbures accessoires sont encore en
partie
situées du côté gauche, ainsi qu'on le voit dans
rtèbres inférieures dans leur direction normale. La gibbosité de la
partie
postérieure droite du thorax, située très haut et
eptième, huitième du côté gauche, ont perdu en arrière la plus grande
partie
de leur courbure et les deux tiers de leur largeu
rachis décrit une troisième courbure, longue et peu marquée, mais en
partie
située à gauche de la ligne médiane, de sorte que
incurvée. Le détroit supérieur du bassin n'est pas symétrique : sa
partie
antérieure droite s'est redressée et rapprochée d
s précédentes, descend un peu moins bas, et n'a pas autant incliné la
partie
inférieure du rachis. La courbure inférieure a en
ouchées presque horizontalement sur la marge du bassin et couvrent en
partie
la fosse iliaque gauche. La cinquième lombaire, e
s le squelette de la figure 1, s'écartent peu de l'état normal à leur
partie
antérieure, seule visible sur la pièce. L'aorte a
tal, comme dans la figure, le haut du tronc penche à droite, et si la
partie
supérieure du tronc est droite, le bassin est bea
ection. — Pages 290, 388, 399, 402, 404. —¦ La ligure 2 représente la
partie
postérieure du torse. La fille Bourée, morte à
il, vers l'hypoehondre gauche une hernie de l'estomac et du colon, en
partie
située sur la face externe des cartilages costaux
gauche sur la base du sacrum. 11 suit de là que l'inclinaison de la
partie
inférieure du rachis à droite ne compense pas l'i
tie inférieure du rachis à droite ne compense pas l'inclinaison de sa
partie
supérieure à gauche, et que la tête et le cou son
gères en arrière. Fig. 1. — Septième vertèbre cervicale, vue par la
partie
postérieure. La lame est plus large, les apophyse
courbure. Fig. 2. — Première vertèbre dorsale, vue également par la
partie
postérieure. Même disposition des lames et des ap
a moitié droite de l'arc apophysaire est fort réduite dans toutes ses
parties
, cette vertèbre formant le commencement de la cou
yse épineuse un peu moins déviée à gauche. Inclinaison analogue de la
partie
postérieure de l'os par rapport à sa partie antér
nclinaison analogue de la partie postérieure de l'os par rapport à sa
partie
antérieure. Fig. 15. — Deuxième lombaire, vue p
rt à sa partie antérieure. Fig. 15. — Deuxième lombaire, vue par la
partie
postérieure. Corps un peu plus affaissé à gauche
ertébral penche à gauche. Fig. 16. — Troisième lombaire, vue par la
partie
postérieure. Corps de même épaisseur à droite et
deuxième; l'angle du tiers antérieur plus obtus et plus arrondi, ses
parties
situées à peu près dans le même plan. Son milieu
di, ses parties situées à peu près dans le même plan. Son milieu La
partie
antérieure, après s'être relevée, se recourbe et
é antérieure ; sans torsion; mince, transparente et très fragile à sa
partie
postérieure ; élargie, creusée et percée d'un tro
uatrième, et même légèrement concave en dehors un peu au-devant de sa
partie
moyenne ; renversée en dehors ; plus étroite et p
nt concave à sa face externe, mince en arrière; recourbée en bas à sa
partie
antérieure, de comme la cinquième et dans le même
les cinquième et septième côtes ; corps renversé en dehors dans sa
partie
postérieure, offrant une trace de la torsion natu
moins marquée qu'à la septième. Moins courbée que la septième à sa
partie
postérieure, elle décrit en avant une courbe inve
crête longitudinale qui partage cette face l'os, montre comment sa
partie
postérieure a changé de ligure et en deux moitiés
ers ses deux extrémités, droite ou même un peu rentrée en dedans à sa
partie
moyenne, peu relevée en arrière, peu abaissée en
voit à sa face interne ; trace de la torsion anormale que présente la
partie
postérieure des dixième et onzième. Si l'on l'a
une femme de soixante-neuf ans, avec les viscères thoraciques et une
partie
des viscères abdominaux. —Pages 413, 420, 421.
e second plan du même sujet. Les poumons, dont on n'aperçoit que la
partie
antérieure, sont peu déformés dans ce sens ; le d
e à cheval sur la crête iliaque droite. On voit au-dessous du foie la
partie
inférieure du rein droit logée dans la fosse ilia
une femme de soixante-quinze ans, morte d'hémorrhagic cérébrale; une
partie
des viscères a été conservée. — Pages 413, 414, 4
cette ligure le premier plan des organes splanchniques et une petite
partie
du second plan. Le poumon gauche et le cœur son
chis et du médiastin dans le demi-thorax droit ; on a enlevé toute sa
partie
antérieure pour faire voir la portion de cet orga
fort adhérent, et dont le volume est normal, a été refoulé jusqu'à la
partie
supérieure du thorax. C'est le foie, très volum
surtout en longueur, est située plus bas qu'à l'ordinaire et logée en
partie
dans la fosse iliaque gauche. Les reins, fig. 2
calement jusqu'au diaphragme, de manière à représenter la corde de la
partie
la plus arquée de la courbure dorsale. PLANCHE
Fig. 2 : Second plan. Poumon droit, lig. 1, assez régulier dans sa
partie
antérieure, la seule que montre la ligure. Poumon
es fausses côtes. Rein gauche chassé de ce morne intervalle, situé en
partie
dans la fosse iliaque et obliquement dirigé. Rein
au contraire, du côté de la concavité. OEsophage presque droit, en
partie
situé à quelque distance de l'aorte et du rachis,
re ; agrandi surtout dans le sens transversal, il occupait une grande
partie
du demi-thorax gauche et avait refoulé le poumon
orrespondant, qui était comprimé, aplati et privé d'air dans toute sa
partie
postérieure. Fig. 3. — Foie assez volumineux, d
amoindrie, parce que la torsion de la colonne et l'inclinaison de sa
partie
supérieure ont imprimé à cette courbure une direc
a colonne lombaire; le plus inférieur, qui est le gauche, est logé en
partie
dans la fosse iliaque. L'aorte, la veine cave inf
s fosses iliaques. Aorte concentrique à la courbure dorsale et à la
partie
supérieure de la courbure lombaire, qu'elle crois
OEsophage en ligne droite, écarté des vertèbres dorsales vis-à-vis la
partie
moyenne de leur courbure. Fig. 3. — Courbure do
ure moins courbée, éloignée de l'aorte et de la colonne lombaire à sa
partie
supérieure. OEsophage légèrement recourbé dans
ertèbres lombaires reposent sur l'os iliaque gauche et remplissent en
partie
la marge du bassin, déjà déformé par lui-même et
directement en haut; cet organe est en outre descendu jusque dans la
partie
supérieure de la fosse iliaque droite. On n'a pas
courbures dorsales dominantes. La courbure est si considérable que sa
partie
moyenne est en contact avec la face interne des c
a flexion des côtes droites avait diminué, et la gibbosité s'était en
partie
affaissée. Le côté gauche du thorax s'était relev
l'existence d'une légère hypoeslhésie à la douleur au niveau de la
partie
supé- rieure du tronc dans la région mammaire e
sont forts, les réflexes ten- diueux des membres supérieurs sont en
partie
exagérés en partie affaiblis. Le réflexe de fle
lexes ten- diueux des membres supérieurs sont en partie exagérés en
partie
affaiblis. Le réflexe de flexion de l'avant-bra
is encore par la percussion de l'omoplate, des os du coude et de la
partie
supérieure du cubitus qui, a l'état normal, donne
le tronc, mais encore au niveau des membres supé- rieurs dans leur
partie
interne (C7, C s, D'). De plus,certains signes no
moelle en- core comprise dans ses enveloppes apparaît renllée il sa
partie
supérieure; ;i l'incision de la dure-mère on co
forment dans leur ensemble un véritable manchon fibreux enserrant la
partie
MÉNINGITE CERVICALE HYPERTROPHIQUE Li) supéri
e racine cervicale alors qu en avant elle ne descend que jusqu'à la
partie
inférieure du 4e segment cervical ; on peut facil
moelle ou en sortir présentent des lésions, surtout prononcées à la
partie
postérieure comme on pouvait s'y attendre ; mais
reste rapidement et déjà au niveau du 3e segment les grains ont en
partie
disparu. Comme cela est fréquent malgré une com
oie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un autre point, à la
partie
moyenne du bulbe (Pl. III, fig. 9) la pyramide
te est en effet envahie par du tissu de sclé- rose (S) et semble en
partie
détruite, mais il ne s'agit là encore que d'une d
acoustique, G. gomme encastrée dans l'anneau méningé qui enserre la
partie
supérieure de la moelle cervicale. FiG. 2. Moel
. Exubérance des méninges qui englobent une gomme G. à ce niveau la
partie
antérieure de la moelle est fortement déprimée.
oelle est fortement déprimée. FiG. 9. Coupe du bulbe passant par la
partie
inferieure des olives 0. i. ; S. tache de sclér
térieur de la troisième circonvo- lution frontale et empiète sur la
partie
voisine de la circonvolution fron- tale ascenda
nes, mais elle ne parvint à le reconstituer au-delà de la sixiè- me
partie
. La parole spontanée était à peu près nulle; tout
du segment externe du noyau lenticulaire, et intéresse également la
partie
correspondante de la capsule externe, de l'avan
ale, et l'autre le pli courbe. Le foyer antérieur est situé dans la
partie
moyenne de la première circonvolution frontale et
ts, nettement dirigés en bas, se rendent jusque dans l'écorce de la
partie
moyenne de la seconde circonvolu- tion frontale
e que l'on trouva, c'est un ramollissement de l'hippocampe et de la
partie
antérieure du lobule fusi- forme. Ce cerveau no
icale, plus marquée que normalement et qui divise la pointe en deux
parties
inégales, la droite plus haute, plus large et plu
d de la langue ne déterminent pas la sensation salée ou sucrée à la
partie
antérieure de la moitié gauche de la langue ; ils
été des douleurs lancinantes coliques dans le côté droit et dans la
partie
droite du dos au niveau'des vertèbres 6, 7, 8, 9
droit inférieur. 13. -Tiraillement douloureux en ceinture, dans la
partie
basse de la cage thoracique ; mouvements involo
varier ; la douleur gagne la ligne médiane du dos, apparaît dans la
partie
basse des vertèbres dorsales. En mars 1910, la
suite d'une ancienne déviation légère de la colonne vertébrale à la
partie
basse du dos. Coeur nor- mal, pouls rythmique;
côté gauche puis, sous forme de tiraillement douloureux entoure la
partie
basse de la cage thora- cique au niveau des ver
zone des ver- tèbres dorsales 7, 8, 9, 10. Après l'énucléation des
parties
molles on aperçut sur le côté droit, la masse a
ée complète du néoplasme et après avoir nettoyé les alentours de la
partie
malade, les plaies ont été tamponnées. Ainsi do
n décompo- sition, d'autre part à la nutrition défectueuse de cette
partie
de la moelle, par suite de la compression des v
irieii général ; manque d'appétit. 22. Douleurs en ceinture dans la
partie
inférieure de la cage thoracique et le ventre;
de position d'un côté sur l'autre, ainsi que dans la pression de la
partie
basse du sternum et de l'apophyse xyphoïde. Dan
mbaires également douloureuse partout; douleurs plus fortes dans la
partie
sacrée de la colonne vertébrale, à chaque changem
ehors de l'hôpital. La localisation de la tumeur,siégeanten majeure
partie
en avant,explique pourquoi les douleurs ont jou
sacrum dans la fesse droite, tiraillement douloureux en- tourant la
partie
basse de l'abdomen. 30. - Douleurs avec tiraill
de, et que nous compléterons alors, en nous demandant quelle est la
partie
de l'hypophyse qui doit être accusée d'engendrer,
ion des empreintes démontre le raclement du pied paralytique par la
partie
antérieur de son bord interne, pendant l'adductio
description a été confirmée par d'autres observations qui,en grande
partie
, présentent des variations. Par exemple, t'age
res apparaissant tout d'abord dans les muscles des mollets et de la
partie
postérieure des cuisses, pouvant ensuite s'éten
en forme d'en- tonnoir. mais ça et là même une plus ou moins longue
partie
du manteau de la gaine médullaire (fig. 5). .
llules, de Schwann et les réseaux intra-médullaires ne sont que les
parties
constitutives d'un seul réseau, ce qui est bien p
s longitudinales provenant de la substance blanche du cervelet, des
parties
de tissu névroglique qui semblent jouer le rôle d
outien. Dans le trajet des fibres nerveuses,on distingue çà et là des
parties
moins colorées que leur voisinage. Un grossisse
érie du corps de la cellule névroglique, tantôt enveloppées sur une
partie
de leur trajet par une couche plus ou moins épa
e du système central chez un adulte et chez un vieillard est due en
partie
ai la richesse en fibres rigides du tissu névro
en évidence les neul'ofibrilles, nous avons traité les cou- pes en
partie
d'après Bielschowshy et en partie d'après Cajal.
nous avons traité les cou- pes en partie d'après Bielschowshy et en
partie
d'après Cajal. La pig- mentation des grandes ce
dérer la richesse en éléments cellulaires constatée dans les autres
parties
de la thyroïde comme une réaction contre celte
Belgique, publièrent sur Charles-Quint et sa lignée des travaux en
partie
puisés aux sources nouvelles. Celles-ci, grâc
en partie puisés aux sources nouvelles. Celles-ci, grâce à leurs
parties
purement narratives, nous ont permis de poser c
6 ans. La brièveté des membres est due à la réduction de toutes les
parties
qui les composent. Dans les cas typiques la micro
difformes, et chez lesquels le manque d'har- monie des différentes
parties
du corps, bien qu'il puisse ne pas frapper tout
senter un adulte vigoureux, elles nous ont permis de relever que la
partie
supérieure delà diaphyse du radius droit décrit
millimètre. Le nez est enfoncé à sa racine et comme aplati dans sa
partie
inférieure. Légère exophtalmie surtout du côté dr
timètres. Le sternum présente une excavation en gouttière dans sa
partie
inférieure. Cette dernière mesure (en longueur)
ètres. NOUVELLE CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'ACHONDROPLASIE 187 La
partie
supérieure : 6 centimètres. La distance qui sép
. Les clavicules ne présentent rien d'anormal. Le sternum dans sa
partie
supérieure et sur une longueur de 14 centimè- t
une longueur de 14 centimè- tres présente l'aspect normal. Mais sa
partie
inférieure forme avec la précé- dente un angle
sépare les deux fosses occipitales inférieures a, an moins dans sa
partie
antérieure, une direction oblique d'arrière'en av
continue par un véritable sillon au-dessous de la tête de l'os. La
partie
supérieure de la diaphyse humérale semble aplatie
thoracique et vertébrale. Le premier malade présente le sternum en
partie
creusé en gouttière. ' Les déformations du tr
tre second cas el surtout la très petite taille de ce malade due en
partie
aussi à l'état de flexion des jambes sur la cui
allon- gée, ou par quelques autres lésions de la fonction de cette
partie
de l'encé- phale. Je commence par l'expositio
, ni de matières, il ne s'est jamais plaint de douleurs dans aucune
partie
du corps, il n'a pas accusé de troubles de la v
membres in- férieurs, mais l'activité est plus limitée que pour les
parties
supérieures. Dans les tentatives pour répondre
d'heures après la première ponction lombaire, le malade réacquit en
partie
la motilité des.membres et réussit à prononcer qu
a cause du complexus symptomatolo51que résidait en une lésion d'une
partie
du cerveau et éventuellement qu'il s'agissait d'u
Cela est dû ou à des lésions bilatérales, ou à des déformations de la
partie
supérieure des circonvolutions rolandiques, ou
e pouvait, d'autre part, dans mon cas, invoquer que dans une minime
partie
, les différents principes donnés par Bonhoeffer,
s troncs nerveux, ni trou- bles vasomoteurs et sécrétoires dans les
parties
périphériques des mem- bres, ni paresthésies ni
supéro-in- terne comme pivot, un mouvement de bascule qui porte sa
partie
supé- rieure en haut et en avant. L'angle infér
r naturelle. L'expression du visage ne trahit aucune morbidité. Les
parties
latérales du cou sont quelque peu asymétriques,
ulation scapulo-humérale se fait sentir ici. Vu non seulement de la
partie
antérieure, mais aussi du dos, le contour du br
ivie d'une déviation compensa- toire de la colonne vertébrale de la
partie
supérieure de la colonne vertébrale cervicale.
u'il existe des travaux qui pourraient'nous faire soupçonner qu'une
partie
seule du muscle est privée de son centre nutritif
ensions des longs muscles dorsaux s'observe, chez le sujet, sur une
partie
du côté droit du thorax, qui est physiologiquem
qui est physiologiquement plus fort, car nous savons que, sur celle
partie
, les dimensions dépassent de 3 centimètres cell
ouvement pendant ce changement de position des omoplates, sont : la
partie
la plus élevée du trapèze, du sus-épineux, du sou
jusqu'au 18 avril. 22. La jeune femme se plaint de douleurs il la
partie
postérieure du memhre inférieur gauche. Ces dou
égularité des dimensions des lettres différentes et aussi, dans les
parties
différentes d'une même lettre, des traits supplém
4 MANHEIMER GOMMÉS creux sous-claviculaire légèrement bombé dans sa
partie
la plus externe. L'élévation du bras, possible
ronnant] la tumeur, mais plutôt par le dérèglement des fonctions de
parties
du système nerveux assez éloignées et notamment d
rieurs dénote un oedème des fibres radiculaires antérieures dans leur
partie
intramédullaire. L'examen des coupes, prises su
es, surtout celle du côté droit, sont un peu oedématiées dans leurs
parties
intramédullaires. Le même oedème, mais d'un moi
d'un moindre degré, est aussi noté dans les racines postérieures. Les
parties
latérales et dorsales de la préparation sont as
scence ne présente pas de caractère systématisé, et les différentes
parties
des mêmes faisceaux ont pris une coloration diffé
. Les espaces péri- vasculaires et péricellulaires sont dilatés. La
partie
périphérique des faisceaux cérébelleux, ainsi q
ceaux cérébelleux, ainsi que les faisceaux pyramidaux directs et la
partie
médiane des cordons de Goll sont' faiblement co
racines antérieures présentent des modifications assez marquées. La
partie
extramédullaire ne présente rien d'anormal, tan
La partie extramédullaire ne présente rien d'anormal, tandis que la
partie
intramédullaire est constituée de fibres tumé-
rées les unes des autres. Cette tumescence est plus marquée dans la
partie
périphérique de chaque fibre et surtout au point
ons du même caractère et identiquement localisées - surtout dans la
partie
périphérique - sont égale- ment notées dans les
n. Mort le lendemain. A l'autopsie nous avons trouvé que la majeure
partie
de la moitié gauche du cervelet et notamment se
aux a dénoté un oedème des fibres des racines antérieures dans leur
partie
intramédullaire, surtout marquée au point de le
avons obser- vées dans les segments dorsaux, mais plus marquées. La
partie
ventrale des cordons postérieurs prend moins bi
es cel- lules de cornes antérieures sur les coupes appartenant à la
partie
dorsale inférieure et leur diminution dans la p
partenant à la partie dorsale inférieure et leur diminution dans la
partie
lombaire de la moelle.Dans les trois autres cas
cond cas sur les coupes prises des segments lombaires. Alors que la
partie
extramédlullaire des racines ne présentait rien
tie extramédlullaire des racines ne présentait rien d'anormal, leur
partie
intramédullaire pré- sentait des fibres tuméfié
oupes, prises de différents segments, mais elle prédominait dans la
partie
moyenne du segment dorsal. Dans trois cas de tu
que cer- tains faisceaux des racines postérieures, appartenant à la
partie
moyenne du segment dorsal, sont très vascularis
dernière hypothèse. L'oedème et la désagrégation des fibres dans la
partie
intramédullaire des racines antérieures peuvent s
nombre de 12, sont assez symétriques. Excepté deux, situées sur la
partie
antéro-externe des jambes, toutes occupent la fac
de la malléole externe. La première plaque apparue est celle de la
partie
moyenne de la jambe droite ; elle est la plus p
projettent et non grâce à leur pigmentation. La grande plaque de la
partie
inférieure du mollet gauche et quelques autres
ns le cas XII, il est noté la sclérodermie et la pigmentation de la
partie
antéro-externe des jambes. Dans les cas II et V
ses et prononcées aux extrémités supérieu- res et inférieures et en
partie
au tronc. La malade présentait en outre un goît
rmale ; sur le tronc il n'y a pas d'éruptions, ni de nodosités. Les
parties
génitales ne pré- sentent aucune trace de pigme
éritables troubles trophiques qui n'intéres- sent pas seulement les
parties
molles, mais encore les os, qui sont nettement
ans la maladie d'Addison, cette pigmentation bronzée respectait les
parties
génitales et les muqueuses. Cette constatatio
nous voyons un trouble de résorption endogène atteignant les mêmes
parties
. En se basant sur ces faits, Strumpell conseill
ment une tache achromique. Enfin une autre tache se trouve dans la
partie
antéro-supérieure de la région temporale. Celle
eau de scro- tum excisé lors de l'opération de l'hydrocèle avec une
partie
de la tunica testis. Mon confrère, le D de Jo
tionnaires intra aitanz dont la cause est une anomalie de certaines
parties
du système des vaisseaux lymphatiques, qui a déjà
méritent quelques instants d'attention. On remarque que la majeure
partie
des si bres qui innervent le névrome sont des l
tre aussi les lésions produites s'étaient-elles déjà, en tout ou en
partie
, réparées ? ? Il ne nous parait toutefois pas i
pris dans le cas actuel un développement anormal, ne puisse être en
partie
rapportée à l'ac- tion destructrice de l'alcool
té presque entièrement détruit , il ne sub- siste que le pôle et la
partie
la plus antérieure de l'insula, ainsi que la limi
iuage. L'écorce de la 2° circonvolution temporale et le pli courbe (
partie
inférieure) sont assez sérieusement endommagés
prend le 3e segment, sauf son extrémité antérieure ; la plus grande
partie
du 2e seg- ment, et l'extrémité supérieure du p
ction qu'il faut attri- buer l'atrophie extrême du thalamus dans sa
partie
la plus supérieure. La couche optique est non s
ires du pédoncule cérébral, l'étage inférieur est très rétréci ; la
partie
externe ou faisceau de Turck a ses dimensions nor
sé, épaissi, il existe des adhérences du tympan au promontoire à sa
partie
moyenne. Côté droit : tympan scléreux, mais scl
de la lésion. On voit alors qu'elle a son centre au ni- veau de la
partie
antérieure de la scissure de Sylvius, couvrant le
ouvrant le cap et le pied de la 3" frontale, l'opercule frontal, la
partie
antérieure de l'opercule ro- landique, et la po
ntérieure de l'opercule ro- landique, et la portion adjacente de la
partie
supérieure de la première tempo- rale. Rééduc
simples. Les progrès furent très rapides encore dans cette deuxième
partie
de la rééducation. La malade faisait tons les j
re repéter le mot tout entier. Au bout de six semaines, toute cette
partie
de la rééducation était termi- née. La malade p
x petits foyers, qui ont déterminé une dégénérescence dans ces deux
parties
et dans la partie postéro-supérieure du noyau ext
i ont déterminé une dégénérescence dans ces deux parties et dans la
partie
postéro-supérieure du noyau externe du tha- lam
ésions de la troisième circonvolution frontale, dont la plus grande
partie
a été détruite (cap et pied). C'est à ses dépens
supérieur ou arqué a été compris dans la lésion, sur la plus grande
partie
de son trajet. C'est à la dégénération de ses fib
ion. Voie pédonculaire. Le pied du pédoncule est dé- généré dans sa
partie
moyenne (le tiers moyen environ). Le faisceau int
fibres du noyau externe du thalamus sont moins nombreuses dans les
parties
correspondant à la dégéné- rescence de la capsu
me une aphasie de Broca. Les fonctions du langage s'étaient donc en
partie
restaurées, et aussi bien au point de vue des é
odique par des exercices pédago- giques, on peut donc considérer en
partie
l'amélioration assez considéra- ble qui est sur
La circonférence de la ca- vité cérébrale correspond à celle de la
partie
trépanée : ses limites sont nettes et tranchées
quer l'une et l'autre. Dans cette cavité ont disparu la plus grande
partie
de la troisième cir- convolution frontale, l'op
nférieure de la frontale et de la pariétale ascendantes, une grande
partie
de l'opercule pariétal, une partie également de
ariétale ascendantes, une grande partie de l'opercule pariétal, une
partie
également des circonvolutions temporales ; mais l
étal, une partie également des circonvolutions temporales ; mais la
partie
postérieure des deux premières temporales et le p
re- mier mot d'une série, pour qu'elle répétât ensuite la série, en
partie
ou XXVI 23 354 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS en
s les phénomènes de suppléance, principalement la zone sensorielle (
partie
postérieure des deux premières temporales et pli
remarquable obtenu chez notre deuxième malade, dont une très grosse
partie
de la zone du langage a été détruite, nous autori
té antérieure de l'oper- cule de la 2« circonvolution pariétale, la
partie
moyenne des Ira et 2° circonvolutions temporale
le,(;. B. - Coupe horizontale de l'hémisphère gauche passant par la
partie
inférieure des ganglions centraux, destinée à m
e ascendantes réapparaissent, mais leur substance blanche, sauf une
partie
des fibres en U. est complètement dégénérée ou dé
sant par la région sous-thalamique. - Destruction de la plus grande
partie
de l'insula. -Lésions des- tructives dans la su
e sourcil se relève pendant l'occlusion de l'oeil, au moins dans sa
partie
interne. On peut voir encore le muscle peaucier
domestiques, surmenée par son travail qui l'obligeait à veiller une
partie
des nuits, fut atteinte d'une paralysie du côté g
n deuxième sillon parallèle au premier, surtout appréciable dans la
partie
inférieure du visage. La tête dans son en- semb
lèvre supérieure et de l'aile du nez, de l'orbiculaire des lèvres (
partie
supérieure et partie inférieure), dans les muscle
de l'aile du nez, de l'orbiculaire des lèvres (partie supérieure et
partie
inférieure), dans les muscles du menton (houppe
té de la ligne médiane, les peauciers, enfin, tendent la peau de la
partie
supérieure du cou. Si maintenant on ferme énergiq
ferme au palper que la joue droite. La" bouche est asymétrique ; la
partie
gauche des lèvres est plus courte et plus renflée
la partie gauche des lèvres est plus courte et plus renflée que la
partie
droite ; la commissure labiale gauche se termin
de cette lèvre. A cause de l'élévation de la commissure labiale, la
partie
gauche de la lèvre supérieure xxvi 25 382 PIT
seulement du côté gauche, une fossette irrégulière. Sur les autres
parties
de la face, rien à signaler. Le cou non plus ne
valaire : les dents sont plus découvertes à droite qu'à gauche ; la
partie
gauche des lèvres, supérieure et inférieure, est
che; quelques fibres du peaucier gauche se dessinent cependant à la
partie
antéro-interne de ce muscle. La pression d'un o
r le menton abaissé, on voit quelques rares fibres se contracter à la
partie
postéro-externe de ce muscle ; aucune fibre de
acter à la partie postéro-externe de ce muscle ; aucune fibre de la
partie
moyenne et de la partie antérieure ne se contra
éro-externe de ce muscle ; aucune fibre de la partie moyenne et de la
partie
antérieure ne se contracte dans cette manoeuvre
arquer à ce sujet que ces contractions se manifestent toujours à la
partie
antéro-iuterne du peaucier, c'est-à-dire dans s
Il n'existe jamais de secousses musculaires analogues sur les autres
parties
de l'hémiface gauche, eu particulier au niveau
(voy. fig. 2). Au niveau du point 1, les secousses siègent dans la
partie
inférieure de l'orbiculaire palpébral et dans l
ieure de l'orbiculaire palpébral et dans la moitié externe de cette
partie
. Chaque fois que la secousse apparaît en ce poi
de la lèvre inférieure. Dans les mou- vements des lèvres enfin, la
partie
droite est légèrement moins mobile que la parti
s lèvres enfin, la partie droite est légèrement moins mobile que la
partie
gauche. Il existe en somme des traces très légè
thodique de la masse encéphalique, on a la sensation qu'il y a des
parties
beau- coup plus résistantes que d'autres, et ce
upe médiane on sépare les deux hémisphères l'un de l'autre et, à la
partie
inférieure de l'hémisphère droit, on a la même se
eau de la 7e dorsale, à l'endroit où la portion antérieure de cette
partie
du névraxe était en contact avec l'abcès pottique
it du cervelet. En dépit de l'existence des tumeurs situées dans la
partie
postérieure des cavités crâniennes nous n'avions
es des sensations gustatives à la suile des tumeurs situées dans la
partie
postérieure des cavités crâniennes, Mitt. a. d. G
tte constatation que s'il n'y a pas de commissure unissant les deux
parties
symétriques du cerveau, chacune d'elles a cepen
icrocarmin, ne nous ont révélé aucune altération de ces différentes
parties
du névraxe. DIABÈTE INSIPIDE ET INFANTILISME
dres de cette nosologie endocrinienne, aujourd'hui incomplète et en
partie
provisoire, sont venus se ranger plusieurs syndro
phie montra une balle siégeant sur la ligne médiane au niveau de la
partie
postérieure de la selle turcique. Simmonds (3
at pathologique du squelette : l'ossification prématurée de tout ou
partie
du crâne. On sait que les os craniens, chez le
ique microscopique, on avait émis différentes opinions, les unes en
partie
excluant les autres. Il nous semble que la solu
o- méningo-encéphalite chronique. Du côté des lobes frontaux et des
parties
voisines des lobes temporaux les méninges étaie
ma reticulaire de la couche musculaire. L. lumen. FiG. 6. -- A la
partie
supérieure, fibres collagènes des méninges ; à la
. 6. -- A la partie supérieure, fibres collagènes des méninges ; à la
partie
infé- rieure, réseaux fibrillaires d'écorce.
minons ainsi que les granulations de l'épendyme sont entourés d'une
partie
du gliaspongium différenciée (avec des cellules
bien marquée de tout le protoplasme et à l'allongement de certaines
parties
il se forme des cellules névrogliques allongées q
ues noyaux ont beaucoup d'endoplasme ; 4° les fibrilles occupent la
partie
qui correspond a l'exoplasma des cellules névro
fibres conjonctives, nous n'obtenons ordinairement qu'une certaine
partie
de fibrilles de la région donnée revêtue de sub
loie des méthodes de prépara- tion spéciales, on fait voir aussi la
partie
du système général de fihres con- jonctives qui
précédent, depuis la dure-mère dans la pro- fondeur du tissu. La
partie
supérieure de la figure 6 appartient aux méninges
su. La partie supérieure de la figure 6 appartient aux méninges, la
partie
inférieure à la périphérie de l'écorce cérébral
aisit dans ses mailles les cellules épithélioïdes en pé- nétrant en
partie
dans leurs corps protoplasmiques. On peut voir au
racine du nez) = 36 centimètres; le diamètre transversal (entre les
parties
les plus saillantes des pariétaux) = 31 centimè
ensions ; 3° un aplatissement peu marqué de la voûte crânienne,à la
partie
antéro-supérieure ; 4" un épaississement très pro
mme on lésait, procède par sauts, atteignant au hasard un os ou une
partie
d'un os et laissant souvent intacts pendant de no
ent intacts pendant de nombreuses années les os voisins ou même les
parties
voisines du même os. La déformation de la base
ux se constate avec la plus grande facilité au niveau de toutes les
parties
de la base que l'on peut pincer entre les doigts
LXVII) : ainsi l'apophyse basilaire a norma- lement au niveau de sa
partie
moyenne une largeur de 1 centimètre 1/2 à 2 ; s
ansversal et, dans ceder- nier diamètre, sensiblement moins dans la
partie
postérieure, rétro-con- dylienne, que dans la p
moins dans la partie postérieure, rétro-con- dylienne, que dans la
partie
antérieure, inlerconciylienne. Voici les dimens
sur ce dernier, les alvéoles postérieurs très rétré- cis se sont en
partie
juxtaposés latéralement l'un à l'autre, comme s'i
s, le crâne s'est brisé rien qu'en le dépouillant partiellement des
parties
molles. Cette friabilité et cette fragilité s
t 4, parce que à )'une'(poids : 531 gr.) était restée adhérente une
partie
de la voûte, alors qu'à l'autre (poids : 377 gr.)
essontirré- gulièrement foncées, plus pâles dans l'ensemble que les
parties
corres- pondantes de l'os normal, plutôt grises
st l'enfoncement dans le crâne du pourtour du trou occipital et des
parties
voisines; plus exactement, la pesanteur se fais
ids du cerveau, il l'exception du pourtour du trou occipital, seule
partie
qui soit sou- tenue. C'est cette pénétration qu
es, directes et indirectes, sur la morphologie de toutes les autres
parties
du crâne et sur celle de la face. Si l'on regar
érieur, une des conséquences directes les plus nettes, c'est que la
partie
de l'écaille qui est immédiatement en arrière d
du trou occipital est le soulèvement du corps de l'occipital et de la
partie
postérieure du sphénoïde. Le soulèvement est pa
r les côtés,on constate en. même temps un certain soulèvement de la
partie
interne des rochers. Toutes ces déformations so
aux envi- rons de la ligne médiane, où les fosses ethmoïdales et la
partie
antérieure du sphénoïde sont nettement déprimée
angle n'aurait de raison de se fermer que par l'abais- sement de la
partie
antérieure du sphéuoïde, mais cet abaissement est
et de la ÉTUDE DE LA HASE DU CRANE DANS LA MALADIF DE PAGET 461 1
partie
externe des rochers. Alors qu'à l'étal normal la
PAGET 461 1 partie externe des rochers. Alors qu'à l'étal normal la
partie
externe des rochers est sensiblement au-dessus
al la partie externe des rochers est sensiblement au-dessus de leur
partie
interne, c'est diamétra- lement l'inverse que l
upart des crânes pagétiques. Dans l'ensemble d'ailleurs, toutes les
parties
saillantes des portions latérales de la hase se t
es de la Tourelle avait déjà noté. Mais l'abaissement de toutes les
parties
périphériques de la base, fosses cérébrales ant
dilatation peu près semblable du diamètre maximum, qui passe par la
partie
externe des rochers, et des diamètres plus petits
chers, et des diamètres plus petits, qui passent par exemple par la
partie
postérieure de la selle turcique ou par la base
us avions cru pouvoir conclure par le simple examen des différentes
parties
de la base du crâne, à savoir que la cavité crâ
, c'est-à-dire au niveau du pourtour du trou occipital : toutes les
parties
de la tète tendent à converger vers ce centre, cr
être dû à la fois à l'élévation du massif sphéno-basilaire et de la
partie
interne des rochers et à l'abaissement de la pa
ilaire et de la partie interne des rochers et à l'abaissement de la
partie
externe des rochers d'une pari, des fosses céré
açon très manifeste, la laigeurde ce trou diminue sur- tout dans sa
partie
antérieure, ce qui lui donne parfois un aspecta e
rébelleuse gauche s'est produit spontanément quand on détachait les
parties
molles ; - la large gouttière creusée par l'artèr
émontre encore de l'hypotonie musculaire, surtout des muscles de la
partie
postérieure de la jambe {genu recurvatvm) et de l
nte à l'atrophie du le', à l'atrophie légère des 4e et 5*, les autres
parties
du pied offrant des dimensions normales. Le 2°
s dimensions normales. Le 2° orteil est particulièrement énorme. La
partie
antérieure de la planle du pied forme une grosse
illimètres (à l'état normal, 70 mm. environ). De plus, toutes les
parties
de ces os, mais surtout leurs extrémités, pré-
achnoïdiens, et isolant de cette manière dans la cavité formée, une
partie
du liquide céphalo-rachidien circulant. Cestan
ieure de la Ire vertèbre lombaire), le tissu granuleux englobant la
partie
correspondante des méninges molles, de la moelle
yau rouge de Stilling lui en- voient des fibres ; on ne voit que la
partie
externe de la coque du noyau rouge. Si la coupe
ôt dans les coupes horizontales; la bandelette optique, véritable
partie
du cerveau/lui en envoie également. Deuxième co
a fois sur le tronc ou portidn verticale de la capsule et sur une
partie
des faisceaux antérieurs qui séparent en DE LA
u lieu de rester comme perdue dans la masse nucléaire, atteint la
partie
inférieure du cerveau. Troisième coupe. La plup
. Donc à 15 millimètres environ en dehors de la ligne médiane, la
partie
postérieure du lobule orbitaire reçoit des fais
centre ovale les plus rapprochées du ventricule latéral, forment la
partie
la plus élevée du segment supérieur capsulaire
ceaux, et, chose digne de remarque, cet éventail n'occupe jamais la
partie
anté- DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE R
e cet éventail paraissent destinés aux régions sus-jacentes de la
partie
correspondante de l'insula. De même que les fai
ce sens au pied de la capsule (processus conique), passe entre les
parties
réfléchie et directe du pilier antérieur du tri
stence de ces fibres et leur situation entre la bandelette optique (
partie
céré- brale), et la substance innommée de Reil
ne frontale, nous constatons que dans une certaine épais- seur la
partie
nucléaire la plus rapprochée de la base n'est p
blanche est formée principalement par les fibres qui viennent de la
partie
postérieure de la couche optique (pulvinar et c
qui font communiquer les deux prétendus noyaux, c'est- à-dire les
parties
indemnes de perforation fasciculaire. Troisième
frontales, que le segment antérieur de la capsule provient de la
partie
antérieure du segment postérieur dont les fais-
ogène. En réalité, le segment antérieur n'est que l'expansion de la
partie
antérieure du segment postérieur. Quatrième c
ent postérieur. Quatrième coupe. Cette coupe doit passer par la
partie
la plus élevée de la région ganglio-insulaire,
avons déjà; à savoir : 1° que les faisceaux les plus externes de la
partie
antérieure de la capsule interne s'inclinent en
Les fibres en éventail de la zone sagittale (PL. IV) destinées aux
parties
moyennes et inférieures des cir- convolutions c
iculaire. Le sommet de ce cornet ou genou de Flechsig répond à la
partie
antérieure de la couche optique, et le bord de
ttière dans laquelle se moule dans toute son étendue, mais dans une
partie
de son épaisseur seulement, la queue du noyau c
ure 12 --), ANATOMIE. du bord externe du ventricule latéral et la
partie
la plus reculée de la queue du noyau caudé. A
nterne. De quelle façon se comportent ces expansions : 1° Dans la
partie
antérieure ou frontale du cerveau; 2° Dans la p
: 1° Dans la partie antérieure ou frontale du cerveau; 2° Dans la
partie
moyenne ou pariéto-sphénoïdale ; 3° Dans-la par
au; 2° Dans la partie moyenne ou pariéto-sphénoïdale ; 3° Dans-la
partie
postérieure ou occipitale. Telles sont les troi
M/aM. Ce groupe comprend toutes les expansions capsulaires de la
partie
antérieure des hémisphères ayant pour limite, e
IE. 4° zone frontale. Dans les coupes frontales portant sur cette
partie
, il est impossible de saisir aucune trace de na
ent qu'il y eût rapport direct entre le nombre de ces fibres et les
parties
les plus volumineu- ses des ganglions. Or, c'es
pourrait également, à cause de son volume, porter le nom de tête ou
partie
la plus forte de ce noyau, re- pousse la capsul
que, eu égard au plus grand développemnt de la tête de ce noyau, la
partie
qui provient du lobe frontal offre une épaisseu
es coupes, nous nous croyons en droite d'affirmer que dans toute la
partie
antérieure de l'hémisphère y compris les 4/7 an
nnaire et aboutissent à l'espace orbito-insulaire qui s'étend de la
partie
pos- térieure de la 2e circonvolution olfactive
d de la partie pos- térieure de la 2e circonvolution olfactive à la
partie
antérieure de l'insula. Sur ce trajet orbito-in
pect du centre ovale y est caractéristique. Il se compose de deux
parties
distinctes, l'une interne, l'autre externe, à peu
médianes, font suite aux fibres capsulaires, qui, ici, comme sur la
partie
anté- rieure du cerveau, perforent la masse gan
DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. t7 relier les
parties
élevées et internes de l'hémisphère à celles de
e la circonvolu- tion qui circonscrit la scissure de Sylvius et aux
parties
avoisinantes des circonvolutions anastomosées a
rties avoisinantes des circonvolutions anastomosées avec elle. La
partie
antérieure du putamen est dépourvue d'irradiati
nt en avant. D'autre part, les coupes frontales intéres- sant les
parties
antérieures du noyau lenticulaire nous ont démo
bli. C. Manière dont se comporte la couronne rayon- nante dans la
partie
postérieure ou occipitale.-Ce que l'on appelle
entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la 18 ANATOMIE.
partie
réfléchie de la queue nucléaire qui l'embrasse
rieure de la 5e zone mésolobaire.) D'après Meynert et Iluguenin, la
partie
inférieure chez le singe comprend de véritables
re les deux noyaux lenticulaire et nucléaire. Mais la plus grande
partie
des fibres de ce système procède immédiatement
on ou systèmes de fibres des- tinées à relier entre elles plusieurs
parties
d'un même hémisphère sont très nombreux chez l'
er à la pointe du lobe temporal. De nombreuses fibres provenant des
parties
avoisinantes de l'écorce viennent rejoindre ce
et la capsule externe. Pour se faire une idée complète de ces deux
parties
, il faut les examiner dans les coupes frontales
on externe du lobule orbitaire, avec la deuxième olfactive, avec la
partie
inférieure du claustrum, qu'il traverse pour se
orme joue le rôle des fibres propres de Gra- tiolet ; elle unit les
parties
gyraires qui couronnent l'insula de Reil en hau
pas contestable, il n'en est pas moins vrai cependant que, dans sa
partie
anté- rieure, la capsule externe est également
s frontales I et II, cette dépendance est palpable, d'abord avec la
partie
réfléchie ducorps calleux (Pl. XV), ensuiteavec
dedans; les autres, constituant des fibres longues de Gratiolet, en
partie
verticales, en partie horizontales, embrassent
nstituant des fibres longues de Gratiolet, en partie verticales, en
partie
horizontales, embrassent l'insula. Voilà pourqu
tème d'association verticale. Il est destiné à mettre en rapport la
partie
antérieure du lobule paracentral et la partie e
mettre en rapport la partie antérieure du lobule paracentral et la
partie
externe du lobule temporal. J'ai déjà fait re
aphique de la Salpètrière (1879-1880), consacré pour la plus grande
partie
à l'étude de l'hypnotisme et dont quelques extr
de diverses manières suivant les malades ou suivant les différentes
parties
ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 39
ou dans tout le corps. Un choc sur la face externe du bras vers la
partie
médiane, au niveau de l'insertion du deltoïde a
nt la traduction objective se montrent parfois loca- lisés dans une
partie
du corps, ou bien, s'ils existent partout, poss
lisée. Cette contracture disparait facilement par la friction des
parties
contracturées qui retrouvent successivement leur
une loi précise en raison de l'excita- bilité variable des diverses
parties
des centres nerveux. Sous ce rapport, l'axe méd
ésistant, recouvert seulement par la peau et éloigné de toute autre
partie
molle. Il est donc facile de l'atteindre sûreme
endance. Mais ici, la loca- lisation est plus difficile; entouré de
parties
molles, le nerf fuit l'excitation si elle n'est
tre côté, il est bien difficile de ne pas exciter en même temps les
parties
voisines : muscles ou tendons. L'expérience est
ABÉTIQUES. 79 peau, toute l'extrémité articulaire a disparu. A la
partie
externe de cette extrémité déformée, on trouve
e radius séparé du cubitus, mais placé sur le même plan, est par la
partie
interne de son extrémité supé- rieure en contac
lle sur- venait brusquement, dès le début, qu'elle s'étendait aux
parties
voisines de l'articulation, qu'elle était diffé-
e liquide, sécrété dans l'articu- lation, a-t-il pu passer dans les
parties
voisines ? La rupture n'a pas été le fait d'une
ement avait existé. Le bout supérieur du tendon parait adhérent aux
parties
sus-jacentes et il y a de l'empâtement à ce niv
ne influence nuisible qu'on exerce sur lui, on le prive ainsi d'une
partie
de sa liberté, et la personne qui l'a touché es
effet d'imagination. Si, dit-il, on concentre son attention sur une
partie
quelconque de son propre corps et qu'on imagine
commencement du siècle. Elle consistait à promener, à proximité des
parties
malades, des pièces de métal (t ? ,acto2-s) ; l
ir chez certaines malades ; la couche isolante ne recouvrait que la
partie
du métal qui ne touchait pas la peau. Les plaqu
ésiogène, l'électricité des machines. Nous avons dit dans une autre
partie
de ce travail, comment l'électrisation statique
, l'aimant en fer à cheval que l'on veut faire tourner. Toute cette
partie
est recouverte d'une enveloppe de bois; les pôl
er par un liquide. Et cela, sans que les conditions anatomiques des
parties
sem- blent avoir la moindre influence. Aucune d
uqueuse qui se trouvent directement au dessous de l'application. La
partie
antérieure de la bouche et de la langue sontres
ervés. Ainsi, on a supposé que le retour de la sensibilité dans une
partie
anesthésique, est subordonné à un certain degré
est-à-dire produite'par l'action directe d'un oesthésiogène sur une
partie
sensible) peut s'accompagner de phénomènes d'hy
de quelques tentatives d'explication. On a pu voir, dans une autre
partie
de ce recueil, l'ingénieux schéma par lequel M.
pour celles des bras pendant la marche, pour la mobilité de chaque
partie
des extrémités pendant la progression. P. K.
dant au pli courbe du singe et de l'homme, M. Dalton a enlevé cette
partie
de l'écorce cérébrale sur deux chiens, une fois
humide, on voit l'infiltration du tissu cellulaire apparaître à la
partie
anté- rieure de la jambe; puis l'oedème se géné
tat de mal, trancoidnl condition (du France : accès) présentant une
partie
des phénomènes de l'attaque, et touchant à cell
cité et contagion. Cet état paraît endémique, limité aux bois de la
partie
nord du Maine, etsévissant sur les individus d'or
ent ou indirectement; 3° ceux qui auront été publiés, en tout ou en
partie
, ou présentés à un autre corps savant : 4° ceux
et le corps godronné (avec le corps bordant). Cepen- dant, cette
partie
des hémisphères cérébraux n'a encore été en Fra
dehors, vers le ventricule, de sorte que, de la corne d'Am- mon, la
partie
la plus insignifiante trouve seule place dans c
godronné) étant volon- 162 2 ANATOMIE. tiers considéré comme une
partie
étrangère à l'écorce cérébrale, placée dans l'i
aux mammifères et enfin aux encéphales d'embryons, l'examen de ces
parties
, nous nous pro- posons d'en donner une étude qu
ns de quelques anatomistes allemands. Nos notions classiques sur la
partie
en question peu- vent facilement se résumer de
dronné et le corps bordant for- ment la limite externe de la fente (
partie
latérale de la grande fente de Bichat) par laqu
cule ; de sorte qu'on n'est nullement fixé sur la position de ces
parties
(corps bordant et corps godronné) par rapport à
nt et corps godronné) par rapport à la cavité ventriculaire. Si ces
parties
contribuent à former un orifice faisant communi
sont amenés à décrire la substance grise de la corne d'Ammon, en
partie
, comme une circonvolution retournée, c'est-à- d
ieur de l'hémisphère (substance grise de la corne d'Ammon), et en
partie
comme une formation nouvelle et sur- ajoutée (s
tricule ; la saillie blanche, dite corne d'Ammon, est donc la seule
partie
, dans l'ensemble de la formation ammonique, qui
it partie de la région corticale ; tel est le cas de la plus grande
partie
du corps bordant lui- même, de tout le corps go
ance ces conclu-. LA CORNE D'AMMON. 167 sions, qui ne sont qu'une
partie
de celles auxquelles nous serons amenés dans la
oupes dans lesquelles soient con- servées, dans leurs rapports, les
parties
les plus ténues et les plus fragiles, telles qu
C'est par le collodion qu'est obtenue cette fixation mécanique des
parties
, permettant d'obtenir des coupes sans dislocati
n orifice à la surface de la pièce, et maintient ainsi toutes les
parties
dans leurs rapports naturels. On aurait obtenu
peuvent ne pas renfermer de collodion, et, par suite, présenter des
parties
mal fixées, comme enfin il peut être nécessaire
fin il peut être nécessaire de fixer plus par- faitement encore les
parties
fragiles que doit com- prendre une coupe, nous
nous venons d'indiquer ne souffrent d'aucune dislocation dans leurs
parties
, même les plus fragiles, et c'est là le résulta
fet, en même temps que' l'humérus est élevé, le deltoïde abaisse la
partie
de l'o- moplate sur laquelle il prend insertion
muscle. Il est facile de localiser l'excitation électrique dans une
partie
seu- lement d'un muscle large et fasciculé, tan
nu sont suffisamment isolés, c'est-à-dire éloignés de toute autre
partie
également excitable par les mêmes pro- cédés. Q
par de simples petites baguettes, nous avons pu les reproduire en
partie
avec une grande précision. Nous avons cherché à
isolée, une expression qui leur est propre. Ces muscles occupent la
partie
su- périeure du visage et impriment tous au sou
, l'autre externe à concavité infé- rieure. Plis transversaux de la
partie
médiane du front qui devient lisse au-dessus de
pace intersour- cillier, tandis qu'elle est refoulée en bas dans la
partie
qui correspond à leurs deux tiers externes; .
cil dirigée de haut en bas et de dehors en de- dans ; la peau de la
partie
médiane du front est lisse et tendue; plis tran
mun 1 DE 1 LA PLÈVRE' supérieure ET DE l'aile DU NEZ imprime- à ces
parties
de la physionomie un mouvement. bien caractéris
du nez est attirée obliquement en haut et en avant, et la peau des
parties
latérales du nez se marquer de plis parallèles
ces différents muscles en certains points et de l'intrication d'une
partie
de leurs fibres.. De plus, un même rameau nerve
circonvolution frontale. Une plaque (jaune) de ramollissement à la
partie
pos- térieure du lobule pariétal supérieur. ' '
is du centre visuel, admettent tous que ce centre se trouve dans la
partie
postérieure du cerveau et'qu'il ne dépasse pas
la formation des mots (pied de la troisième circonvolution avec les
parties
qui l'entourent), où l'ensemble de ces images pre
tteint le bulbe, d'où les fibres nerveuses qui animent les diverses
parties
de l'appareil de la phonation vont le pro- jete
lbe au dehors. Les troubles de l'aphasie se produisent suivant la
partie
de ce trajet qui est atteinte. Si c'est le cent
perçoivent comme un bruit connu dont ils ne distinguent aucune des
parties
constituantes ; il est probable ,,que c'est là
que l'insula contient des arcs psycho-réflexes b' qui réunissent la
partie
sensitive (temporale) à la partie mo- Mrice (fr
cho-réflexes b' qui réunissent la partie sensitive (temporale) à la
partie
mo- Mrice (frontale) des circonvolutions qui bo
la première circonvolution temporo-sphénoïdale et dans une grande
partie
de la deuxième. : ... ' in. . - . X " En 1876
occupant'toute la première circonvolution temporo-sphénoïdale et la
partie
postérieure de la deuxième temporo-sphénoïdale.
m qu'il percevait comme un bruit connu, sans pouvoir distinguer les
parties
qui le composent ; 230 1, T-. , REVUE CRITIQUE.
rophiés. A la jambe, les muscles les plus atrophiés sont ceux de la
partie
antéro-externe, surtout du côté gauche; et, tau
cu- laires sont bien développées. La joue gauche, surtout dans sa
partie
supérieure, est notablement atrophiée ; les émine
lade parle ou sourit, même chose pour le sillon naso-labial. Les
parties
molles de la moitié gauche du front semblent au
ais la malade, à aucun moment, n'a éprouvé aucune douleur dans la
partie
affectée. - Les détails de l'observation élimin
se comme objectif de déterminer avec précision : « Quelles sont les
parties
des cordons latéraux qui doivent être affectées
applicables -1 à la fréquence des hémorrhagies dans telle ou telle
partie
de, cet organe; il ne, connaît aucun cas d'hémo
9tly '' 'j r Chez un jeune homme · deldlx-huit ans; : portant, à la
partie
supérieure du péroné gauche,, une tumeur de la
la base du crâne, une tumeur de la grosseur d'un haricot près de la
partie
latérale gauche de la protubérance, au niveau d
e raideur,delalnuque,.dé ? louleurs, parfois violentes, occupant la
partie
^ supérieure de l'épine et gênant t les mouvemen
le' crâne',1 qui pût 'expliquer la mort : -Dans. la, moelle,' à la ►
partie
inférieure de la région cervicale, ion t trouve,
Jde l'hypochondrie, et du reste assez habituelle au malade hanté
parties
1 soucis,, et les fatigues d'un-lolig; sûrnumérar
der recou- vra l lel calme mental et physique pour la plus, grandei
partie
des jours, et,des nuits. If)1 4lif ? 1, 'jivk 1
e moment du réveil, l'atten- tion sélective peut reprendre tout ou.
partie
de ses droits, et c'est' ainsi,qu;en songe nous
us les murs même de. l'asile,-dont 141 : Marchant a'été'en"1 grande
partie
le créateur, dont, il n'a jamais cessé d'être le
clusions principales aux- quelles M : Wood s'est' arrêté pour cette
partie
.de son travail : ? j 1 f , I "l»'l <1 1 yr f't
ce». Cette action dépend d'un centre; que AL1\'ood place ;« dans la
partie
inférieure du plancher du4e,ventricule ? près du
ériences sont 'difficiles à réussir.à cause de la, profondeur s des
parties
, a. sec- 300 BIBLIOGRAPHIE. 1 t)4- 'Il 1, ^ *
^ 'iiif in ? (f ? r ) I 1< La section du bulbe, au niveau de la,
partie
inférieure de la protubérance, est suivie d'une
; ' -'i' ' > '" « ici. Nous ne ferons que' signaler la troisième
partie
du ml moire de,M"Woo -d;'ell'traitë'dèi'plié0-'
lésion rare. Les rapports du' sciatique poplité, externe avec cette
partie
de l'os, expliquent les lésions de ce nerf, ! t
, c. Cervelet. Rouget. Les lettres te, to, c, expriment les mêmes
parties
que chez la morue, tt. Tubercules du nerf trifa
rallèle à la longueur du cerveau, la seconde est perpendiculaire. Les
parties
latérales du cervelet, celles qui correspondent a
s autres rongeurs, et même que chez la plupart des autres animaux; la
partie
moyenne ou ver supérieur, n. 1, est, au contraire
larité. Le cervelet, comme chez tous les animaux, est divisé en trois
parties
. 1. Lobe médian ou ver supérieur. a. Lobe lat
us considérable de tous. i. Lobe latéral, celui qui correspond à la
partie
la plus volumineuse du cervelet de l'homme, et qu
vague ou pneumo-gastrique. h. Nerf hypoglosse. s. Nerf spinal. 1.
Partie
inférieure de la circonvolution interne ou PLAN
te face, trois circonvolutions de chaque côté : il y en a quatre à la
partie
externe de chaque lobe cérébral, la quatrième est
en arrière, où elle est comme bifurquée. La quatrième s'élargit à sa
partie
antérieure, où elle a des dépressions qui se \oie
Ces quatre circonvolutions s'étendent en décrivant une courbe, de la
partie
antérieure du cerveau à sa partie postérieure :1a
dent en décrivant une courbe, de la partie antérieure du cerveau à sa
partie
postérieure :1a ligne ponctuéeS qui les coupe en
illon. I. Circonvolution interne. On ne voit ici qu'une très petite
partie
de cette circonvolution ; c'est celle • que l'o
rconvolution se voit dans la fig. 3, au-dessus du corps calleux. 1.
Partie
moyenne du cervelet; ver supérieur. 2. Partie l
u corps calleux. 1. Partie moyenne du cervelet; ver supérieur. 2.
Partie
latérale. 3. Flocons ou partie latérale externe
nne du cervelet; ver supérieur. 2. Partie latérale. 3. Flocons ou
partie
latérale externe. Les lettres e, 0, p, etc., dé
en arrière sur la ligne médiane. A. Circonvolution antérieure. 0.
partie
interne de la circonvolution orbitaire. P. Circon
uatrième ventricule au-dessus duquel se voit le cervelet coupé par la
partie
moyenne. g. p. Glande pinéale, dont la racine s
pp. Pyramides postérieures delà moelle allongée, circonscrivant la
partie
inférieure du quatrième ventricule. Loup. Ce ce
llie ponctuée, c'est le lobe olfactif; puis le cerveau divisé en deux
parties
symétriques par un sillon médian; puis le cervele
x parties symétriques par un sillon médian; puis le cervelet dont les
parties
latérales sont un peu plus larges que dans la fam
ig. 3. Encéphale du chat coupé d'avant en arrière, et les différentes
parties
que présente cette section, désignées par les mêm
). Pour bien distinguer les quatre circonvolutions formant toute la
partie
externe et supérieure de chaque lobe cérébral, et
nion de la troisième et de la quatrième circonvolution, et placé à la
partie
supérieure du cerveau, de nombreuses ondulations
imaux dont le cerveau est pourvu de circonvolutions. Coati brun. La
partie
antérieure de la circonvolution (fig. 2) qui bord
S. La ligne ponctuée qui coupe transversalement le cerveau en deux
parties
inégales, indique la hauteur à laquelle se trouve
elles se réunissent l'une à l'autre, pour se diviser ensuite en deux
parties
, l'une, interne qui, par son adossement avec la c
res et se continuant avec la circonvolution interne , au dessus de la
partie
postérieure du corps calleux. Le développement
je viens déparier. Chez le mouton, le frontal s'étend sur une grande
partie
du cerveau, le pariétal recouvre une portion a#ss
al n'arrive pas jusqu'à lui; tandis que chez l'homme, par exemple, la
partie
supérieure du cerveau ayant acquis des circonvolu
ar sa face supérieure. En avant un mamelon ponctué représentant une
partie
du lobe olfactif. Lobe cérébral présentant les
e à peine quelque trace de son existence. S. Division du cerveau en
partie
antérieure et en partie postérieure ; la démarcat
de son existence. S. Division du cerveau en partie antérieure et en
partie
postérieure ; la démarcation entre ces parties es
partie antérieure et en partie postérieure ; la démarcation entre ces
parties
est formée,d'une part, par la scissure de Sylvius
droit de l'encéphale du même animal. C'est la répétition des mêmes
parties
que nous avons vues chez le mouton. Le signe + pl
nterne du lobe droit du cheval. Les mêmes lettres indiquent les mêmes
parties
que dans la figure précédente. Le cerveau du chev
DE LA FAMILLE OES MOUTONS. vre les tubercules quadri jumeaux et une
partie
du cervelet. Fig. 2. Face interne du lobe droit
unissent en une seule. Les circonvolutions I et II ne se voient qu'en
partie
sur cette figure, elles s'unissent entre elles, c
extérieur,carsi l'on en écarte les bords, on voit la continuité de la
partie
antérieure à la partie postérieure de cette circo
écarte les bords, on voit la continuité de la partie antérieure à la
partie
postérieure de cette circonvolution , se faire à
du chevreuil. v. Ventricule du lobe ethmoïdal, communiquant avec la
partie
antérieure du ventricule latéral : une sorte de r
gitudinal qui semble ne tenir aux circonvolutions voisines que par sa
partie
antérieure. Sur le lobe droit du cerveau du sangl
nches. Il y a symétrie assez parfaite d'un côté à l'autre entre les
parties
situées à la base de l'encéphale du phoque; il y
III, IV. Quatre circonvolutions antéro-posté-rieures. P, P, P. Leur
partie
postérieure. A, A, A. Leur partie antérieure.
ro-posté-rieures. P, P, P. Leur partie postérieure. A, A, A. Leur
partie
antérieure. si, si, si. Trois sillons complets
du mouton, etc. Fig. 3. Base de l'encéphale du phoque. Toutes les
parties
désignées par des lettres ou par des chiffres éta
olutions antéro-postérieuresque nous avons étudiées jusqu'ici en deux
parties
, dont les unes sont antérieures, les autres rejet
. III. P., Troisième circonvolution postérieure dont la plus grande
partie
est représentée sur la planche précédente. O. O
rs la première circonvolution antérieure dont elle est séparée par la
partie
la plus basse des circonvolutions supérieures. La
nvolutions se portent au-dessus et en arrière du cervelet, et sont en
partie
confonduesl'une avec l'autre, -t- Point de réunio
Fig. 5). 2. Lobe latéral du cervelet, dont le lobe moyen se voit en
partie
fig. i et fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet
esté intact, et la couche optique appartenant au lobe gauche. AA.
Partie
interne de la troisième circonvolution antérieu
de la scissure de Rolando, se subdivise et se prolonge jusque vers la
partie
postérieure du cerveau , où elle s'unit au prolon
volution interne. Lobe droit. Les mêmes lettres indiquent les mêmes
parties
. La seconde circonvolution supérieure de ce côté
riétal.) S". Prolongement que la circonvolution S'S' envoie vers la
partie
postérieure du cerveau. [Pli supérieur de passage
ation réelle, ce qui tient sans doute à l'affaissement du modèle. Les
parties
frontales sont tiraillées et beaucoup trop longue
s frontales sont tiraillées et beaucoup trop longues. Eu revanche les
parties
occipitales sont trop courtes. CHARRÚAS ADULTE.
de l'hémisphère paraît manquer d'amplitude, eu égard à la hauteur des
parties
postérieures ; les régions situées au-dessous de
le supérieur du cervelet. e. Valvule de Vieussens que recouvrent en
partie
certains prolongements du lobe médian du cervel
nse du pédoncule, m. Commissure antérieure, m' Ses expansions dans la
partie
postérieure de l'éventail pédonculaire. n.tt. É
ié supérieur interne, mis à découvert par suite de l'ablation d'une
partie
de la voûte et du septum lucidum. q.q.q. Fibres
les fibres du corps calleux. Fig» 6. L'anse du pédoncule a été en
partie
détruile au point où elle se confond avec le corp
tion déjà dessinée PL XXVI, %. 6, mais dans une autre attitude de ses
parties
. Le pédoncule et le noyau terminal ont été soulev
es fibres directes qui viennent du pédoncule à l'hémisphère, a été en
partie
détaché et enlevé. a. Faisceau perforant du péd
re de Sylvius. k. Commissure antérieure. k\ Ses expansions dans les
parties
postérieures de l'hémisphère. EF. Extrémité fro
erne qui a été énucléé. g. Fibres radiculaires du corps calleux. g\
Partie
moyenne du corps calleux. h. Chiasma des nerfs
Vermis latéral. Fig. 7. Même cervelet. Le corps restiforme a été en
partie
coupé, pour montrer l'ensemble du pédoncule supér
. V. N. Ouverture du quatrième ventricule, déjà fort rétrécie. C.
Parties
latérales du cervelet, séparées par un sillon m
er le diagnostic de l'acromégalie. Dans la mensuration des diverses
parties
du corps, nous avons choisi les points de repèr
Or, si le géant José Lopes gardait les mêmes proportious entre les
parties
du corps, et étant donnés ses 2 m. 100 de taill
m. 363 de longueur est énorme et en disproportion flagrante avec la
partie
fémoro-tihiale du membre le pied du grand Charl
e son frère, surtout dans sa région antéro- inférieure, la face; la
partie
crânienne est peine supérieure à la moyenne, et
dedans, au lieu d'être 8 MAGALHAES LEMOS régulier, offre dans sa
partie
supérieure deux incisures assez profondes qui l
absolue congénitale. Le champ visuel de l'oeil droit offre dans la
partie
externe, ou temporale il partir de 45°, un scot
blement pl us grande, les pommettes plus sail- lantes, ainsi que la
partie
externe des arcades sourcilières, le nez long et
us prenons pour point de repère de la proportionnalité des diverses
parties
du corps, le canon artistique romain oudeVitruve,
omain oudeVitruve, qui donne pour la longueur de la main la dixième
partie
de la taille, et si la main de José Lopes était
le canon de Vitruve, qui donne pour la longueur du pied la septième
partie
de la taille, nous devrions avoir juste 0 m. 300,
eure de deux omoplates regarde en dehors. Ces os se trouvent sur la
partie
latérale du thorax comme chez les oiseaux. La m
bien visibles. Sur la face antérieure du thorax, on observe que sa
partie
supérieure pré- sente une direction oblique en
creux axillaires très profonds il y a quelques poils bien rares. La
partie
inférieure de la face postérieure du thorax très
. La forme du bassin se dessine parfaitement sous les téguments. La
partie
inférieure du thorax semble enfoncée dans le ba
es, mais cette hypertrophie semble tenir aussi à l'infiltration des
parties
molles. Les ongles striés dans le sens longitud
lature du bassin et des membres inférieurs est très réduite. Sur la
partie
externe de la cuisse droite on trouve un nodule a
tache relativement facilement. Ces adhérences sont plus fortes à la
partie
inférieure où on ne peut pas les détacher sans dé
erses directions et occupant dans le champ du microscope une grande
partie
de la coupe. La coloration de cette masse est var
nte à la périphérie un foyer de sclérose sous-capsnlaire et dans la
partie
moyenne de la glande, qui attire l'attention par
se très mince. Dans les os du bassin on trouvait des lacunes et des
parties
décalcifiées. On trouvait la même décalcification
dien, ainsi que de plusieurs faits dont nous avons déjà énuméré une
partie
(action du corps thyroïde sur la croissance, sur
aux témoins - 'dans les proportions du calcium des os et celui des
parties
molles. Ces auteurs font remarquer que la quant
nlevé avec beaucoup de probabilité en même temps que la plus grande
partie
de la tumeur aussi un certain nombre de para- t
ppartient-il à la difformité soi-disant de Madelung ou bien fait-il
partie
de quelque forme similaire ? Pour pouvoir class
ns ; parfois il conserve ses rapports avec le carpe (la plus grande
partie
des cas décrits) ; parfois le radius perd ses r
e que par la déviation congénitale primaire d'ordre mécanique de la
partie
supérieure du carpe. Consécutivement et secondai-
jour plus de valeur, élanl la plus propre expliquer la plus grande
partie
des difformités congénitales, et mon cas contribu
l'auriculaire, vers le milieu de la première phalange, au moyen de
parties
molles seulement. Il est muni d'un ongle et mesur
uméraire, des deux côtés, est uni à l'auriculaire seulement par des
parties
molles ; le squelette de celui de droite est cons
e cas, ne révèle aucune autre étiologie. En cela, elle représente une
partie
importante des psychoses produites par la sénes
lusieurs reprises, il est manifeste qu'elle improvise son récit, en
partie
sous la suggestion de l'interrogatoire et en par-
à dis- simuler les difformités On peul toutefois, par l'examen des
parties
décou- vertes,la face,le crâne,juger des altéra
emières vertèbres cervicales et les 4e et 3d vertèbres dorsales, la
partie
la plus convexe répondant aux 6-7" vertèbres ce
es sont intacts. Cyphose lt-courbe régulière, de grand rayon, de la
partie
dorsale de la colonne vertébrale. Lordose lomba
trois centimètres plus haut que l'ombilic et divise l'abdomen en deux
parties
: l'une, supérieure, est plate et l'autre, infé
res et de réaction 130 ELDAROFF électrique de dégénérescence. Les
parties
ankylosées sont douloureuses. Le système nerveu
e la colonne vertébrale ou seulement dans une 136 ELDAROFF de ses
parties
, le plus souvent dans la région sacro-lombaire av
les malades sont obligés de conserver une immobilité absolue de la
partie
affectée. Après quelque temps, quelques semaine
quelques semaines ou quelques mois, les douleurs s'apaisent et les
parties
du corps, que le malade tenait immobiles à cause
qu'une gêne et de faibles douleurs, le plus souvent dans les mêmes
parties
de la colonne vertébrale que dans les cas de la
lonne vertébrale que dans les cas de la forme aiguë. Dans les mêmes
parties
se développent, en même temps que les douleurs,
ues déjà dans la région du bassin. La colonne ver- tébrale dans ses
parties
cervicale et dorsale se soude avec la tête et les
t de grand rayon. La déviation ne se trouve le plus souvent qu'à la
partie
dorsale (8 cas), ou bien elle siège à la partie
lus souvent qu'à la partie dorsale (8 cas), ou bien elle siège à la
partie
cervicale inférieure et à la partie dorsale supé-
8 cas), ou bien elle siège à la partie cervicale inférieure et à la
partie
dorsale supé- rieure (3 cas) ; il existe parfoi
dorsale supé- rieure (3 cas) ; il existe parfois une cyphose de la
partie
dorsale et lom- baire (1 cas). La configurati
rizontal, qui passe à 3 centimètres au-dessus de l'ombilic, en deux
parties
: l'une, supérieure, qui est plate, et l'autre,
des épaules, de l'intensité et de la localisation des douleurs. Les
parties
ankylosées sont soudées en un bloc osseux, « qu
mmobilité et du moment où cette immobilité s'est installée dans les
parties
où se ressentaient les douleurs, ces dernières di
cale de la colonne vertébrale, de sorte que les mouvements de cette
partie
étaient douloureux et très restreints. La réact
yphilitiques. Les tumeurs, que le malade présentait dans les autres
parties
de son corps, furent considérées, provisoiremen
graphique(Pl.XX), nous avons dû rectifier, au moins pour la seconde
partie
, cellequi conCel'I1aI il les tumeurs osseuses d
égion, on remarque que sur l'un l'angle inféro-externe de Fli et la
partie
de ce faisceau qui tapisse la paroi inféro- int
stance et de tous côtés. Il loca- lise mal la piqûre, ce qui est en
partie
dû à l'ataxie du bras, mais distingue la pointe
plus en plus profonde et F. succombe en état de marasme provoqué en
partie
par les vomissements continuels. . L'autopsie r
lus à gauche qu'à droite ; les sillons sont fermés surtout dans les
parties
postérieures clés hémisphères. Au point de vue
t resté plus ou moins intact des faisceaux sagittaux : seulement la
partie
inférieure de Fli et de Rth., je la taxe à l/3
tents, pendant nne période assez longue, parce que disséminés et en
partie
intra-ventriculaires. Ce que je puis affirmer une
omes dans la peau de la poitrine et au foie. Fausses côtes en majeure
partie
ossifiées. Les bords du défect de l'os pariét
t de l'os pariétal droit sont un peu irréguliers et émous- sés. Les
parties
molles ne sont plus bombées mais au contraire dép
ux. Toute l'hypophyse est aplatie et l'infuudibulum y a creusé à la
partie
posté- rieure une dépression de la grosseur d'u
constatations, les bases des lobes frontaux sont proéminenles. Les
parties
postérieures des lobes frontaux et les antérieu-
1511 WEBIOE Celte explication parait d'autant plus probable que des
parties
profondes du cerveau étaient oedématiées, ce qu
e des coupes et bientôt on s'aperçoit que cela tient déjà à ce que la
partie
supérieure de Pa, Parc. et L. sont envahis par
ce qui remplit le trou du trépan endroit où elle est compacte et en
partie
fibreuse elle s'infiltre sous forme de tissu gl
lle s'infiltre sous forme de tissu glio-sarcomateux dans une grande
partie
de l'hémisphère droit (voir PI. XXIII). A droite
oral, c. g. e, le pied du pédoncule. Elle n'a guère épargné que les
parties
les plus inférieures de Pa et Fa et la zone lenti
s la région centrale droite, où le tissu nerveux fut repoussé et en
partie
détruit, on retrouve partout des libres nerveus
otubérantielle (1/3 sup.). Le trigone droit est sarcomateux dans sa
partie
antéro-supérieure. Il est dégénéré jusque dans
ruban de Bel correspondant est nettement atrophié, surtout dans sa
partie
ventrale. Si les modifications du crâne ont été
tal, au canal rachidien. Tout en admettant que ce courant puisse en
partie
être alimenté par sécrétion des plexus choroïde
r le tissu sous-cutané ; mais l'expérience a prouvé depuis, que les
parties
profondes de la nappe cellulaire, enfoncées ent
et trophiques que sont les cellules radiculaires de la moelle. Une
partie
d'entre elles ne subit pas cet entrecroisement; c
qu'il en est de même pour la trophicité : l'état hypotrophiclue des
parties
non hémi- plégiées est latent, mais il suffit q
des gravures dont la suite forme le Triumphe. C'est cette dernière
partie
qui nous intéresse plus particulièrement. L'auteu
près le traité de la vérole de Gaspard Torelli. Le sous-titre de la
partie
du poème qui a trait à nos images, paraît bien
che rabaissé pour montrer sa jambe entourée d'une bande roulée à la
partie
inférieure et formant un croisé à la partie lat
d'une bande roulée à la partie inférieure et formant un croisé à la
partie
latérale interne du mollet (fig. 1). Nous trouv
des exostoses el de la carie des os et des verrues ou poireaux des
parties
génitales. 31 Période, 1b26-1540 : Adoucissemen
e élève cons- tamment le membre gauche en dirigeant sa main vers la
partie
droite du champ visuel, comme pour saisir un ob
résente à plusieurs reprises des contractions grima- çantes dans la
partie
droite du visage ; en même temps, le membre supér
ragie méningée, sous-arachnoï- dienne, diffuse, occupant la majeure
partie
de la face externe, c'est-à-dire le lobe tempor
deux foyers récents hémorragiques du volume d'un petit pois dans la
partie
moyenne du centre ovale. Il faut noter qu'on ne
r place, occupant la moitié inférieure de la région dor- sale et la
partie
voisine de la région lombaire. Les région cervico
igure VII montre de nouveaux foyers dans la substance blanche de la
partie
postérieure du lobe pariétal droit. Il existe d
utes deux mesurent environ 1 centimètre de diamètre, et occupent la
partie
inférieure des pédoncules cérébraux, dans la ré
adhérences du chiasma, la compression de la 3e paire gauche par la
partie
inférieure du 3" ventricule, bosselée, distendue,
éphalie considérable des 3 premiers ventricules, oblitération de la
partie
supérieure du 4" par du tissu cica- triciel fib
Jolfroy (9) l'oblitération, suite de méningite aiguë, siégeait à la
partie
inférieure du 4° ventricule, avec énorme hy- dr
r ne suf- fit à provoquer l'hydrocéphalie que si, en même temps, la
partie
de la fente de Bichat contenant le plexus choro
en griffe. On constate un élargissement de la main au niveau de la,
partie
métarcapienne ; malgré l'atrophie des muscles de
ressée. La sensibilité thermique est pervertie sur presque toute la
partie
supérieure du corps, mais cette altération est
res supérieurs, le cou, la par- tie supérieure de la poitrine et la
partie
supérieure du dos (région de l'é- paule et régi
a sclérodermie, s'exprime ainsi : «... Le derme fait corps avec les
parties
sous-jacentes..... la peau est lisse, sans plis,
peut se demander la fatigue, le surmenage physique, localisés à une
partie
de l'organisme ne sont pas capables de jouer le r
it des signes de croix au-dessus, regarde dessous, puis absorbe une
partie
du contenu. Il refuse le lait (sa femme et sa mèr
d'un instant, G. a repris sa placidité ordinaire. 17 octobre. Une
partie
de.la matinée, grande excitation et agitation. G.
ien des cas, l'identité d'évolution peut faire attribuer à tort une
partie
de ce groupe démentiel à la folie maniaque-dépr
occupent en avant et à gauche : l'une la région correspondant à la
partie
interne de la clavicule, au premier et deuxième c
clavicule, au premier et deuxième cartilages costaux, l'autre à la
partie
moyenne du sterno-cléido-mastoïdien; en arrière e
son étendue et sa localisation : il recouvre en effet la plus grande
partie
du membre supérieur et du thorax du côté droit
Obs. 2, voir le compte rendu de l'autopsie). Ont été extraites : la
partie
dorsale de la colonne vertébrale avec les côtes
rès une macération prolongée de la colonne verté- brale, toutes les
parties
molles et cartilagineuses se sont séparées des os
que pal' l'élément osseux. Après avoir été placée sur la table, la
partie
du squelette, au lieu de se désagréger en vertè
SALPETRIERE, T. XXIV, PL.XXXV. FIG. 1. - Vue macroscopique de la
partie
dorsale de la colonne vertébrale avec les côtes a
s pièces microscopiques, on voit que les ligaments jaunes, dans les
parties
dorsale inférieure et lombaire de la colonne ver-
nt composés dans toute leur épaisseur d'un tissu compact ; dans les
parties
dorsales moyenne et supérieure, la couche compact
(fis. 5, (j et 7, PI. XXVI). luc. 4. Ligament jaune normal de la
partie
dorsale de la colonne vertébrale frai- chement
prise sur la ligne médiane d'un disque interv. (H) normal avec les
parties
adjacentes d'un vertèbre supérieure (Aj et infé
ertèbre supérieure (Aj et infé- rieure (c). On voit sur la pièce la
partie
antérieure de la coupe. Le disque atteint la fa
se sont pas conservés sur la pièce ma- croscopique macérée. . La
partie
du squelette qui a été plongée dans le formol, ne
l, ne présente aucune modification macroscopique de l'épaisseur des
parties
anté- rieures ; pour l'analyse microscopique, u
sseur des parties anté- rieures ; pour l'analyse microscopique, une
partie
de la région dorsale de la colonne vertébrale a
e de la région dorsale de la colonne vertébrale a été sciée en deux
parties
égales suivant la ligne sagittale médiane. De
en deux parties égales suivant la ligne sagittale médiane. De la
partie
antérieure de cette section a été prise une lamel
ues (tic,. 9, PI. XXVII) les disques deviennent moins larges à leur
partie
antérieure et n'atteignent pas le niveau de la fa
mais reste rose, comme le tissu osseux de la vertèbre ; toute cette
partie
antérieure est occupée par des éléments de tiss
x compact qui a gardé la configuration du cartilage ; dans d'aulres
parties
, ce cartilage est remplacé par un tissu spongieux
distinguesur les pièces micros- copiques colorées cette région des
parties
connexes de la côte et du corps de la vertèbre,
s les couches superficielles elle est usée en de petits points. Les
parties
recouvertes de cartilage et celles qui en sont dé
cartilage et a un fond osseux tubéreux et corrodé. Les bords de la
partie
usée sont effacés par endroits et passent peu à
l présente en divers en- droits des caractères différents : sur les
parties
qui se sont relativement bien conservées (fig.
présentent sous forme d'agglomération de 5, 10 cellules et plus. La
partie
extérieure du cartilage est recouverte d'une minc
ouche extérieure des fibres horizontales est très épaissie dans ces
parties
; dans les parties des têtes des articulations qui
es fibres horizontales est très épaissie dans ces parties; dans les
parties
des têtes des articulations qui sont aplaties e
- cale. Une dégénérescence aussi faible et uniforme dans toutes les
parties
de l'encéphale et de la moelle épinière, qui ne
ompression des racines postérieures; la maladie se localise dans la
partie
cervicale du rachis, les parties dorsale et lom
res; la maladie se localise dans la partie cervicale du rachis, les
parties
dorsale et lombaire restent libres. Les vertèbres
spondylose se propage sur tout le ra- chis ou seulement sur quelque
partie
(lumbago, torticolis articulaire) ; après une p
fection qui établisse une diffé- rence entre ces formes. Toutes les
parties
du squelette qui sont affectées dans la spondyl
s spongieux des articulations an- kylosées, aussi bien que dans les
parties
antérieures ossifiées des disques intervertébra
tout de suite après la mort. Ces glandes ont élé pour une grande
partie
fixées au sublimé (selon le procédé Dominici), po
c. Cellule névroglique. /. Cellules névroglique pyknotique. Fig. 2
Partie
d'une cloison élargie colorée par bleu de toluidi
ouvent nous avons divisé la glande en deux par- ties et fixé chaque
partie
dans un liquide pour faire des comparaisons.Nous
s. Le premier type de cellules, celui qui représente la plus grande
partie
des cellulesparencllymateuses, est caractérisé
ide acétique dans les- quelles on n'observe pas des rétractions des
parties
voisines du cer- veau, on voit qu'il y a des es
yau ; labouleestgranuleuseet souvent on voit que les granules d'une
partie
de la boule sont colorées plus vivement que celle
ons de l'un à l'autre type et surtout on verra souvent que quelques
parties
de la glande affectent un type tandis que quelq
s parties de la glande affectent un type tandis que quelques autres
parties
en présen- tent un autre. Rien de plus difficil
couleur à l'autre ; quelquefois on voit que les gra- nules dans une
partie
de la cellule sont bleus, dans l'autre rouges. Pa
a basophilie, quelquefois la métachromasie des granules. Une grande
partie
ressemble beaucoup aux mastcellules : ce qui vien
t un peu différentes de mastcellules ; peut être s'agit-il pour une
partie
de cellules analogues aux cellules de déblai à
te si on la compare à celle des cellules semblables dans les autres
parties
du cerveau. Nous ajouterons que nous avons vu,
le protoplasma est coloré plus faible- ment ; les granules sont en
partie
plus grandes, mais d'une largeur va- riable ; e
que noircit un nom- bre plus grand que dans le premier groupe ; une
partie
est aussi colorée par la méthode de Heidendain.
ogues à celles qui reçoivent des produits de déblai dans les autres
parties
du cerveau, le deuxième groupe devant re- cevoi
trouvent souvent en nombre beaucoup plus grand que dans toute autre
partie
du cerveau. Donc, les différentes formes de cel
inéale on trouve toujours dif- férentes formes de cellules dont une
partie
ressemble à celles qui reçoivent des produits d
ts de déblai dans le cerveau. Un autre groupe, qui, pour une grande
partie
, ressemble aux mastcellules, se trouve en nombre
. Cellule névroglique. - f. Cellule névroglique en pycnose. Fio. 2.
Partie
d'un septum élargi, coloration par bleu de toluid
oire et M. le Docteur Gabriel Delamare à qui nous devons une grande
partie
de notre éducation histologique. LÉSIONS CELLUL
toplasma ; 2° le cargoplasma ou contenu nucléaire constitué de deux
parties
: a) une partie figurée c'est-à-dire le réseau de
cargoplasma ou contenu nucléaire constitué de deux parties : a) une
partie
figurée c'est-à-dire le réseau de linine, le nucl
r affinité pour les différentes substances coloran- tes ; et b) une
partie
non figurée constituant le suc nucléaire. Le nu
rches de : G. Levi (1), on sait que le nucléole est constitué de deux
parties
: l'une, centrale, acidophile ou oxyphile, l'au
asophile (hasi- chromatine de Levi). La différenciation de ces deux
parties
constituantes s'ob- tient surtout sur les pièce
des sphérules, au lieu d'être généralisé, est cantonné à une seule
partie
et alors, le nucléole, au lieu d'avoir l'aspect d
e est partielle, désintégration granuleuse, partielle, achromatose,
partie
;le,-le nucléole a toujours une situation périph
e situation périphérique et, le plus souvent, il se déplace vers la
partie
qui contient la substance chromatophile la moins
sième cas, les échanges nutritifs sont complètement abolis dans une
partie
de la cellule (achromatose partielle), normaux ou
s sur le nucléole et, par suite, le déplacement de celui-ci vers la
partie
la moins lésée de la substance chromatophiie.
IV and, 1 neft. 1910. 280 JONNESCO ce déplacement a lieu vers la
partie
la moins lésée de la substance chl'o- matophile
ation a été observée par un grand nombre d'auteurs dans différentes
parties
de l'organisme ; mais la valeur qu'ils attribuent
, fonction de la vie cellulaire ; d'au- tres enfin admettent qu'une
partie
seulement de l'appareil nucléolaire esl suscept
qui admettent une émigration active mais partielle, migration de la
partie
chromatique, basophile de l'appareil nucléolaire-
é centrale et arrondie et une extrémilé périphérique occupée par la
partie
du nucléole qui se trouve encore à l'intérieur du
acement parait s'effectuer grâce à la collaboration des différentes
parties
consti- tuantes de la cellule. Ce phénomène d
ve car, pours'effectuer,il demande des modifications graduelles des
parties
cellulaires qui entrent en action, ces modifica
iable, mais ne dépassant jamais le quart du contour du noyau. Cette
partie
amincie, proémine dans le cyto- plasma cellulai
rme une sorte de ménisque convexe ou une sorte de coupole. Entre la
partie
de la membrane qui a gardé son épaisseur normal
one intermédiaire d'épaisseur moyenne. La transition entre ces deux
parties
ne s'effectue pas graduellement, mais d'une man
ONNESCO à l'épaisseur normale de la membrane nucléaire, succéder la
partie
amincie en forme de coupole. Sur les pièces col
altérée, on voit le segment de la membrane modifiée dirigé vers la
partie
la moins altérée de la substance chromatophile et
uand le nucléole vient en contact avec la membrane nucléaire par la
partie
qui présente les corpuscules en question on voi
des granu- lations oxyneutrophiles dans son protoplasme, on voit la
partie
acidophile du nucléole, certaines granulations
ules : '[ vacuoles ont été maintes fois trouvées dans les différentes
parties
dn névraxe à la suite des intoxications et mala
atophile. Par toutes ces méthodes de colora- tion, on voit les deux
parties
constituantes de la formation. Les filaments et
e R. Legendre (1), des cellules ganglionnaires d'flelix pomatia. La
partie
finement fibrillaire du corps de Legendre corre
dothéliales des cellules ganglionnaires. Examinons cha- cune de ces
parties
: 1° la capsule fibreuse du ganglion est considér
ologique de rage ne peut être porté qu'après l'examen de toutes les
parties
constituantes de la cellule ganglionnaire et su
(1). 3° Enfin tous les ganglions examinés sont très vascularisés à
parties
nombreux vaisseaux capillaires distendus et gor
ée, présentant une maigreur et un état d'émaciation extrêmes dus en
partie
à une tuberculose qui semble d'ailleurs ancienn
des cristallins (tonus normal). ), Il existe du côté gauche à la
partie
inférieure du champ pupillaire deux petits dépô
et Vysin (1) où il s'agissait d'une tuberculose de l'atlas et de la
partie
condyloïdede l'occipital ayant déterminé une para
rficielles siégeant sur la face supérieure du gros orteil et sur la
partie
inférieure de la jambe. ' Il s'était le matin m
si le malade gardait les mêmes proportions entre ses diffé- rentes
parties
du corps, étant donné sa taille de 1 m. 78, la ha
si l'on s'en rapporte au canon de vitrase le pied doit avait la 7°
partie
de la longueur totale du corps : sa longueur de
ès lui à la suite de la gale contractée en décembre dernier. A la
partie
inférieure de la jambe droite et sur la face anté
on de vitruse, on trouve que les mains qui doivent avoir la dixième
partie
de la longueur totale du corps devaient mesurer
e nous avons fait reproduire. Si maintenant nous opposons ces trois
parties
du corps, membres supérieurs, tronc et membres
urt, absents au niveau des tempes. Le front est bombé, rétréci à la
partie
supérieure et se rapproche fortement du front o
toutes les déforma- tions congénitales s'observent surtout dans les
parties
digitales des mem- bres et pourquoi la fréquenc
les-ci influant à leur tour sur l'hypophyse et venant en altérer en
partie
la fonction arri- vent aussi partiellement à tr
es ces anomalies congénitales regardent, en effet, le squelelle des
parties
distales des membres et celui de la face, préci
e observation el ceux par exemple que nous citerons dans la seconde
partie
de ce travail. « Nat/1,1'(/, non facit saltns »
par un bandage. Ce bandage est très simple, on n'a qu'à entourer la
partie
inférieure du tronc, l'abdomen et les fesses, e
es contractions musculaires synergiques, destinées à imprimer à une
partie
du corps un mouvement volontaire vers une situati
formées par les muscles qui assurent le mouvement, en empêchant la
partie
du corps qui se déplace de s'écarter latéraleme
die l'état général s'affaiblit, et que même les muscles perdent une
partie
de leur force de contraction volontaire, nous c
nistes fait défaut. Probablement il faut rapportera celle cause une
partie
des troubles qui intéressent les sphincters de la
les phénomènes alaxiques que nous avons décrits dans cette première
partie
de notre travail est la coitsé- rprenceclelra f
res, est une atrophie très prononcée de la moelle épinière et d'une
partie
de la moelle allongée. C'est sur cette atrophie
grand foyer occupait la protubérance et la moelle allongée dans sa
partie
droite, et à peu près tous les noyaux de la régio
ins intéressés par le processus pathologique. C'est au niveau de la
partie
inférieure de la moelle allongée que com- a b c
Faisant usage d'un grossissement de 650 fois, nous comptons dans la
partie
périphérique de la substance blanche du cordon
nchées : la zone centrale, qui est arrondie, occupe le lobule et la
partie
antérieure des ailes et de la sous-cloison ; elle
l'élude des troubles cutanés est de piemière importance : c'est en
partie
autour de leur interprétation que gravitent les
s décrits : en tout cas il agit bien plus sur la fonction et sur la
partie
physique de celle-ci, que sur les testicules ou
bourses fait croire à une atrophie complète, il peut subsister une
partie
de la glande interstitielle, et les .troubles d
bsence des désirs, des sensations amou- reuses et par la laxité des
parties
génitales. En effet, tous les individus qui ont
sant le tissu du testicule, l'ont disposé à la décomposi- tion. Les
parties
les plus fluides de cet organe sont entraînées au
t éclaircie ; sa voix est devenue extrêmement faible et grêle ; ses
parties
génitales étaient sans action et privées des fa
qu'a un examen attentif. L'oedème des membres existe uniquement aux
parties
déclives et encore est-il fugace. La pigmentation
est touché, les sourcils sont très clairsemés et font défaut il la
partie
externe, les (1) Le malade a été présenté en co
ils en sont très clairsemés et mau- quent presque complètement à la
partie
médiane. Le malade fait spontané- ment remarque
t gauche une respiration faible avec quelques craquements secs à la
partie
interne de la fosse sous-épineuse. Ces lésions
u sommet. Le poumon droit est enveloppé d'adhérences pleurales à la
partie
posté- rieure et inférieure du thorax ; le lobe
développement intéressant la ceinture scapulaire, le sternum et la
partie
adjacente des arcs costaux. Il fait observer que
(1902) (1) et en France par Imbert et Gagnière qui reproduisent en
partie
les recherches de Südeckdans un article de la R
e fracture du scaphoïde,séparant l'os par un trait vertical en deux
parties
égales, un arrangement de l'extrémité inférieure
vec mouvement de bascule en dehors ayant entraîné toute la main. La
partie
compacte de l'os a pénétré dans la partie spongie
ntraîné toute la main. La partie compacte de l'os a pénétré dans la
partie
spongieuse de la tête, amenant en outre par ce
ndéniables. L'absence dans celte région de toute modifica- tion des
parties
molles permet d'écarter une erreur d'interprétati
reste du corps, plus bas, est insensible au loucher. Sur les mêmes
parties
où le toucher est aboli, les sensations au chau
se lever. Dans ce cas, il lui arrive, ou bien de ne se lever qu'en
partie
, et s'arrêter à mi-chemin, en croyant qu'il était
le malade de la première observation prouvent que les muscles de la
partie
inférieure du corps sont arrivés à un degré de
joutions pas que, dans ce phénomène d'exagération, au moins pour la
partie
inférieure du corps, il y a encore un autre élé
bre sur l'abdo- men plus que chez l'homme normal, les muscles de la
partie
postérieure et peut-être même les ligaments art
pris trop d'élan. Mais est-ce tout ? Nous avons vu dans la première
partie
de notre travail, que chez l'homme normal, quan
chez le ma- lade dont .l'observation a été rédigée dans la première
partie
de ce travail, car l'un et l'autre ayant le sen
ds sur le dos des jambes, sont conservés. Conclusion de la deuxième
partie
. Il résulte de cette seconde partie de notre tr
és. Conclusion de la deuxième partie. Il résulte de cette seconde
partie
de notre travail qu'il existe un. second groupe
s que ceux-ci, des troubles que nous avons décrits dans la première
partie
de notre travail. Mais cette fois-ci, ces derni
nous ne les avons trouvés chez nos malades décrits dans la première
partie
, car la maladie évoluaut,ces troubles ont augme
désharmonie des antagonistes, ce que nous avons vu dans la première
partie
de notre travail, et dans le second ordre, il d
ombinaisons hystériques essentiellement cu- rables. III. PREMIÈRE
PARTIE
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA SCL
visuel est rétréci, qu'il a perdu le goût complètement et l'ouïe en
partie
du côté droit, etc. ; que son amau- rose ne rel
ement par M. le professeur Charcot. Ons. III (inédite). (La majeure
partie
de cette observation nous a été communiquée par
très marqués. Il n'y a ni diminution de la sensibilité dans aucune
partie
du corps, ni aucun trouble des sens spéciaux. L
put parler normalement et répéter d'une voix naturelle la deuxième
partie
dc l'alphabet. Le 5 décembre, pendant qu'elle é
hyperesthésie qui occupait la face, le cuir chevelu, la plus grande
partie
de la peau des jambes, le cou-de-pied, etc. Vers
'écriture. Etat actuel. « La sensibilité est intacte sur toutes les
parties
du corps ». Faciès hébété, immobile; « il l'air
i et s'accrochant aux barreaux des lits. D'autres fois il passe une
partie
de la journée sur un fauteuil, immobile, le mento
mple de sclérose en plaques anormal, il est facile de retrouver une
partie
des caractères de l'hys- térie... » Il est donc
domine pour les muscles de la région postérieure, qui ont en grande
partie
disparu (muscles des gouttières vertébrales, port
é de douleurs vives, sinon de temps en temps dans les épaules et la
partie
supérieure des bras, et encore n'étaient-elles
, le ptosis était très accusé à gauche, et le malade y remédiait en
partie
en contractant son frontal. Aujourd'hui la mala
OGRAPHIE DE LA SALPËDUERE. qui sont presque aussi volumineux à leur
partie
inférieure qu'a leur partie supérieure, des bra
qui sont presque aussi volumineux à leur partie inférieure qu'a leur
partie
supérieure, des bras qui ont une forme cylindri
el que le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la
partie
supérieure de la jambe : on dirait un genou attei
isième attaque d'oedème. Le malade nous a soigneusement caché cette
partie
de son histoire. Pour un motif que nous soupçonno
oin qu'on porte les substances sapides; dans la moitié gau- che, la
partie
antérieure est également insensible; la perceptio
oedème est dur. Le doigt y produit cependant son empreinte; mais la
partie
déprimée revient à son niveau primitif avec une t
térique était douloureux. L'hyperesthésie douloureuse au niveau des
parties
tuméfiées est en effet signalée dans deux obser
ino, il y a, mais d'une façon constante, une élévation de 2° sur la
partie
malade. Notre cas est donc le premier où on ait
l'élévation, et cela dans une étendue de 1Ce4-, la température des
parties
, oedématiées dépassant de 9°8 celles des partie
la température des parties, oedématiées dépassant de 9°8 celles des
parties
saines homologues. Nous pensons qu'il fallait f
le nom de sclérose cérébrale tubéreuse hypertrophique, font aussi'
partie
du groupe qui m'occupe. Je ne saurais m'arrêter
rogressivement, en fixant toujours fortement son atten- tion sur la
partie
de son corps qui est en jeu, ses grand droits ant
ale s'élève brusquement, que tout l'effort se fait surtout dans les
parties
latérales, au niveau des grands obliques. Cepen
guère de contracture que dans les droits antérieurs, tandis que les
parties
latérales de l'abdomen sont souples. En prése
l'on remarque avec quelle force il concentrait son attention sur la
partie
de son corps sur laquelle portait l'expérience. O
ne hystérique, même à l'état de veille, fixe son attention. sur une
partie
de son corps, cette partie change de volume. »
t de veille, fixe son attention. sur une partie de son corps, cette
partie
change de volume. » .. La contracture qu'il pré
é sa main se reposer sur la table. Ce tremblement ne possède qu'une
partie
des caractères du tremblement do la sclérose en p
rra de fortes probabilités , sinon la certitude absolue. DEUXIÈME
PARTIE
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DES PAR
. Il y a de la faiblesse et de l'atrophie des deux épaules et de la
partie
supérieure des bras, et une légère atrophie des
ices superficielles à la face, sur les tempes, sur les joues et les
parties
latérales du cou. La lésion la plus remarquable
d'un enfant. Cette disposition de la peau est aussi marquée sur la
partie
supé- rieure du thorax, où elle est froncée et
très rapprochés cependant au niveau des bras, des cuisses et de la
partie
inférieure du visage, moins nombreux sur les jamb
blonds, d'une abondance et -d'une longueur moyennes. A la face, la
partie
supérieure est sensiblement normale; la partie
ennes. A la face, la partie supérieure est sensiblement normale; la
partie
inférieure au contraire contraste par le nombre
uf l'oreille droite dont le lobule est un peu allongé et plissé. La
partie
supérieure des deux joues est peu vieillie. ' C
d'un double menton, dans la région sus-hyoïdienne médiane. Sur les
parties
latérales de cette région', au niveau des gland
est normale. A l'épigaslre deux rides très visibles, réunies à leur
partie
supérieure, s'écartant aussitôt à angle aigu, vie
, rapprochés, profonds et parallèles au ligament de Poupart. Sur la
partie
postérieure du tronc, les sillons sont beaucoup
rieure du tronc, les sillons sont beaucoup moins accusés, sauf à la
partie
inférieure, aux fesses et à la région sacrée. S
f à la partie inférieure, aux fesses et à la région sacrée. Sur les
parties
latérales l'aspect ridé est assez marqué. Au ni
au, surtout accusée à la moitié inférieure de la face, au cou, à la
partie
antérieure du thorax et de l'abdo- men, au nive
es profonds, le tissu osseux n'offrent rien d'anormal. Les diverses
parties
du corps sont bien conformées, les mains et les p
ieur à la normale. Seule la peau semble trop large pour couvrir les
parties
profondes et obligée par suite de se rider et d
seulement sur les muscles de la vie de relation et sur les diverses
parties
du squelette, mais encore sur la plupart des or
ène. Lorsqu'on exerce une pression un peu énergique au niveau de la
partie
droite de l'hypogastre immédiatement au-dessus du
ale. En outre, il se plaignait d'une gêne douloureuse siégeant à la
partie
inférieure du dos sur la région médiane, un peu
est chargée de l'expédition des marchandises vendues et aussi d'une
partie
des achats. Elle écrit beau- coup de lettres; e
va une frayeur très vive. Après celle scène de colère, il passa une
partie
de la nuit agité, il finit cependant par s'endo
'existence de deux tumeurs gliomaLeuses; l'une était siluée dans la
partie
postérieure de la couche optique droite; l'autr
ffacée et de moindre importance chez certains de nos malades, cette
partie
de l'examen somatique acquiert une valeur plus gr
e puissent être les données résultant de cet examen chez la majeure
partie
de nos malades, il n'en doit pas moins être prati
pas l'examen des fonctions des organes, pourrait se diviser en deux
parties
: d° Les caractères descriptifs. ' 2° L'exame
ussi me semble-t-il pré- férable de les faire à la fois pour chaque
partie
du corps prise succes- sivement. C'est d'ailleu
l'objet d'une étude spéciale. L'examen de la tête se divise en deux
parties
, celui du crâne pro- prement dit et celui de la
ach, qui, permettant de voir les régions frontales, pariétales, une
partie
des régions temporales et occipitales sert il déc
ns auriculaires. 2° Palpation du crâne. La palpation des diverses
parties
du crâne pourra confirmer les résultats donnés
te de la nature de certaines saillies, en les faisant rattacher aux
parties
molles ou aux parties osseuses. Elle nous perme
taines saillies, en les faisant rattacher aux parties molles ou aux
parties
osseuses. Elle nous permettra d'apprécier la fo
éphalométrique très peu différent du bregma proprement dit. Sur les
parties
latérales : a. Le point sus-auriculaire situé a
, autour de 5G0 (Il) et 520 (F) millimètres. Elle comporte quatre
parties
: a. La demi-courbe antérieure donnée par la me
. 213 l'autre main on fait mouvoir l'autre branche du compas sur la
partie
postérieure de la tête, en restant toujours dan
ce qui serait une exagéra- tion, entre le développement de ces deux
parties
du crâne et des lobes correspondants du cerveau
rocé- phalie), les autres à un vice de développement congénital des
parties
osseuses (ossification prématurée des sutures,
; crâne oblique ovalaire, for- \ tement asymétrique, dans lequel la
partie
antérieure d'un côté et la.paitic'postérieure.
notre cas la démonstration de ce fait qu'une lésion symétrique (en
partie
) des noyaux des nerfs moteurs du cerveau et de
tion suivante, la paralysie bulbaire inférieure fait, dès le début,
partie
intégrante du processus morbide et évolue avec un
nsi que cela se voit chez Brau... s'observer également au niveau de
parties
atrophiées depuis longtemps. L'examen électriqu
- Les réflexes tendineux sont affaiblis ou supprimés au niveau des
parties
malades. ` . Les sphincters fonctionnent normal
seul malade a éprouvé de légers élancements dans les épaules et la
partie
supérieure du bras. Quant à la sensibilité cu
nous nous placions, d'une affection systématique de la plus grande
partie
de la colonne grise antérieure ? On se rappelle
l'espèce, n'acquiert pas une importance spéciale. L'hahitus de la
partie
supérieure du corps présente au contraire beauc
ger ses regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des muscles de la
partie
postérieure du cou est très avancée, on voit en
t en supposant même qu'elle s'arrête dans sa marche ou rétrocède en
partie
, elle n'en reste pas moins redoutable par les i
on ('1879). Les altérations cons- tatées par Gowers au niveau de la
partie
supérieure du quatrième ven- tricule sont telle
n de la protubérance et du bulbe : Intégrité des noyaux occupant la
partie
inférieure du plancher du 4° ven- tricule (acce
al nota une dégénérescence grise en plaques, vitreuse, d'une grande
partie
du cerveau, de la moelle et du bulbe. ' DE L'
THALMOPLÉGIE EXTERNE. 239 des lésions nucléaires et signala dans la
partie
supérieure du noyau oculomoteur deux amas de ce
l'apathie; par moments, dépression cérébrale. L'mil gauche était en
partie
masqué par suite de la chule de la paupière supér
moteur commun; la substance fondamentale paraissait intacte. Dans la
partie
supérieure du noyau de l'oculomoteur commun exi
missure postérieure et avait une forme ovalaire à grand diamètre en
partie
parallèle au raphé, en partie oblique. L'autre
ne forme ovalaire à grand diamètre en partie parallèle au raphé, en
partie
oblique. L'autre amas était situé il la partie
rallèle au raphé, en partie oblique. L'autre amas était situé il la
partie
externe du précédent, au niveau de son extrémit
ence grise des cordons postérieurs allant du segment, cervical à la
partie
inférieure de la moelle ; cette dégénérescence
uscules sanguins épars dans le tissu fondamental. Ce dernier est en
partie
raréfié, finement réticulé. Les cellules ganglion
plète de la portion fasciculée des pédoncules des deux côtés; de la
partie
centrale des fibres de l'espace inter- pédoncul
ter- pédonculaire; de la base des tubercules quadrijumeaux et de la
partie
]atÓ- rale et supérieure du pédoncule droit.
de la commissure postérieure qu'elle enveloppe complètement, de la
partie
postérieure du chiasma optique, c'est-à-dire du
'on croit être la névrite alcoolique. Thomsen croit en effet qu'une
partie
de ces paralysies oculaires sont d'origine centra
ccompagné du D Des ? (,ne[Les, médecin en chef de l'armée, et d'une
partie
de son état- major, visita cet hôpital dans le
acquiert une signification plus haute, puisqu'il touche non pas une
partie
quelconque du corps, mais la région où se conce
ue du mal, le bubon. Sur son ordre, le pestiféré se dépouille d'une
partie
de ses vêtements qu'il retient encore de la main
s et du tissu fibreux périphérique. Or, il suffit de /violenter ces
parties
indurées, de les tirailler, de les assouplir par
le Dr ltambault. A cette époque, l'hémiplégie gauche persistait en
partie
; le bras gauche était à peu près complètement i
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. n'était pas tout. Il existait a la
partie
supéro-externe de l'avant-bras, au-des- sous du
panaris, restaient à peu près stationnaires. La phalangine était en
partie
dénudée, et, dans les premiers jours de novembr
versalement; l'articulation phalangino- phalangettiennc a perdu, en
partie
du moins, ses ligaments latéraux, et le bout du
ourd'hui que deux faces bour- geonnantes, d'aspect fongueux. A la
partie
supéro-externe de l'avant-bras, dans sa moitié su
é, légèrement saillante ;i son centre, assez dure, sauf encore à la
partie
centrale, ramollie et un peu fluctuante. Ces tume
ier. Tissu cellulaire adipeux sous-cutané abondant; oedème dans les
parties
postérieures des lobes inférieurs des poumons;
ntique des deux côtés; elle était de consistance plus molle que les
parties
environ- nantes. A l'examen microscopique de ce
que les parties environ- nantes. A l'examen microscopique de cette
partie
(à l'état frais), on trouva une énorme quantité
altérés et une quan- tité assez grande de corps granuleux. Toute la
partie
restante des couches optiqnes paraissait être i
tre intacte et on ne trouva rien non plus d'anormal dans les autres
parties
du cerveau. La moelle allongée paraissait aussi e
rmal. Après durcissement dans le bichromate de potasse d'une grande
partie
du cerveau, de la moelle allongée et de la moel
ère, on fit une quantité de coupes dans les diverses régions de ces
parties
. En examinant les coupes frontales faites de la
ions de ces parties. En examinant les coupes frontales faites de la
partie
moyenne des couches optiques, on put constater
isseaux étaient un peu épaissies, mais pas plus que dans les autres
parties
du cerveau. Quant à la distribution de ces hémo
hémorrhagies semblables se rencontraient dans la même région de la
partie
postérieure des couches optiques et allaient sans
duc de Sylvius, mais ici aussi, Pl1P '1" se-trouvaient que dans les
parties
les plus voisines des parois de ce, dernier. Dans
e commun. Plus en arrière, ces altérations existaient aussi dans la
partie
antérieure de la protubérance; les hémorrhagies y
nière, elles diminuaient peu à peu, puis disparaissaient et dans la
partie
postérieure, le tissu ne présentait rien d'anor
fournies par cet examen. Au point de vue anatomique, la face est la
partie
comprise entre l'ophryon et le menton dans un s
si, dans les cas d'asymétrie faciale, cette asymétrie est. due aux
parties
molles (hémiatrophie faciale, démence hémiplégiqu
parties molles (hémiatrophie faciale, démence hémiplégique) ou aux
parties
osseuses. Ces dernières asymétries dues à un déve
du point d'implantation des deux incisives supérieures. , Sur les
parties
latérales, e. Le point zygomatique au niveau de
Sur les parties latérales, e. Le point zygomatique au niveau de la
partie
la plus saillante de l'arcade zygomatique. f.
édian oblique de Broca (Cig. 57). Cet instrument se compose de deux
parties
: (1) Un moyen mnémotechnique pour retenir les
effet, l'axe horizontal de la tête se trouve ainsi divisé en trois
parties
qui sont d'avant en arrière la projection facia
tats intéressants pour le dévelop- pement respectif des différentes
parties
de la tête. En outre le rapport de la projectio
L'hélix est ce repli saillant qui commence à se dessiner dans la
partie
antérieure de la conque au-dessus du conduit audi
x) etqui borde ensuite toute la circonférence du pavillon sauf à la
partie
inférieure. Son bord libre, recourbé en dedans, d
rde en arrière la cavité de la conque, faisant face à l'hélix. A la
partie
supérieure l'anthélix semble se bifurquer et donn
illie triangu- laire, à sommet supérieur, l'antitraglls, situé à la
partie
inférieure de l'anthélix et sur son prolongemen
s de saillie en dehors. La conque est la grande cavitésituée à la
partie
moyenne du pavillon entourée par l'anthélix et
urche, l'anti- tragus, l'incisure intertragienne et le tragus. A sa
partie
antérieure se trouve l'orifice du conduit audit
conduit auditif externe. Le fond de cette cavité est uni, sauf à la
partie
antéro-supérieure où se trouve la racine de l'h
ine de l'hélix, comme nous l'avons vu, forme, à l'état normal, à la
partie
antérieure de la conque un contrefort peu saillan
ples de l'oreille. 1, Racine de l'hélix rejoignant ]' : nUhûtt\. 2,
Partie
supérieure de la conque. 3, Partie inférieure de
'hélix rejoignant ]' : nUhûtt\. 2, Partie supérieure de la conque. 3,
Partie
inférieure de la connue. t, Fossette intercriir
rcours, l'hélix peut présenter encore des irrégularités. Parfois la
partie
ascendante seule existe, la partie des- cendant
re des irrégularités. Parfois la partie ascendante seule existe, la
partie
des- cendante de la circonférence du pavillon n
siste en une saillie développée sur le bord libre de l'hélix sur la
partie
postéro-supérieure. C'est le tubercule de Darwin.
l'extrémité supérieure au lieu d'être arrondie, forme un angle à la
partie
postéro-supérieure. Il arrive parfois que cette
sens transversal (Frigerio2). Le lobule est sans contredit une des
parties
de l'oreille dont la conformation varie le plus
ons vu que nor- malement il était indépendant et soudé seulement la
partie
supérieure de son bord antérieur. Or, parfois i
t aux dimensions mêmes du globe de l'oeil qu'à la dispo- sition des
parties
voisines, par exemple l'ouverture de la fente pal
goutte, albuminurie, diabète, sénilité précoce). Enfin l'examen des
parties
profondes par l'ophthalmoscope, outre qu'il pou
s et marqués au préalable sur la peau. Pour avoir la longueur d'une
partie
, vous retran- cherez la plus petite de la plus
'on appelle le canon ou les proportions respectives des différentes
parties
du corps. Je ne peux pas entrer ici dans des dé
vous donner une idée des proportions res- pectives des différentes
parties
du corps, je vous citerai quelques mesures empr
is, de l'hymen ainsi que leur développement relativement aux autres
parties
et à l'âge du sujet, la situation et la forme d
ré. Les douleurs de tête avaient disparu et la sensibilité était en
partie
revenue... Au commen- cement de cette année, il
e d'adaptation comme pour éviter tout mouvement, tout contact de la
partie
du dos hyperesthésiée. ÉTUDE DES SYNDROMES HY
e, s'étend à la région antérieure de la poitrine, à l'abdomen, à la
partie
supérieure du bras (l'épaule comprise), à la ba
asse la main 310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sur les
parties
hyperesthésiécs du tronc, il y a exagération de l
ses modes. Aux membres inférieurs, elle est très obtuse jusqu'à la
partie
supérieure des hanches et inférieure de l'abdomen
es troubles de la sensibilité : hyperesthésie cutanée, allant de la
partie
moyenne de la cuisse au niveau du cou-de-pied.
les modes de sensibilité (conctact, douleur, froid), siégeant à la
partie
anté- rieure des deux genoux. Cette hyperesthés
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. la figure, la main et une
partie
du dos qu'une déchirure du vêtement laisse à dé
ur le vif et si bien représentés au naturel par Albert Durer, d'une
parties
tubercules ou les ulcérations, et de l'autre l'
e par une dépression de dimension va- riable située au niveau de la
partie
médiane et antérieure du (borax. Cette dépressi
ée par le sternum qui, plus ou moins pro- fondément incurvé dans sa
partie
moyenne ou inférieure, décrit ainsi un arc de c
. Pieds bots. Contracture de la jambe gauche. Thorax aplati dans sa
partie
supérieure, excavation en entonnoir du corps du s
70. La dépression du sternum, d'origine congénitale, commence à la
partie
supérieure du corps de l'os, formant une fosse
ième, il existe, de chaque côté, une voussure très notable de cette
partie
du thorax, qui forme les bords laté- raux de la
ble de cette partie du thorax, qui forme les bords laté- raux de la
partie
inférieure de l'entonnoir (Pl. XXXIII, XXXIV).
imètres du bord posté- rieur. La voussure droite correspondait à la
partie
moyenne du foie ; le coeur était recouvert par
foncée dans la poitrine au niveau du mamelon gauche tra- versait la
partie
moyenne du ventricule gauche. Malgré un examen de
e une voussure très développée et symétrique de chaque moitié de la
partie
inférieure du thorax. La pointe du coeur est très
chez celte malade une saillie latérale et symétrique du thorax à sa
partie
inférieure. Aucun trouble fonctionnel. Taille,
horacique latéral au niveau du mamelon, 175. Crâne : globuleux à sa
partie
antérieure; le front est large, bombé, haut (hy
res de longueur au lieu de 26 à droite); le cubitus est incurvé, sa
partie
concave est dirigée en avant; on constate en ou
subi aucun traumatisme tho- racique. Il offrait, au niveau de la
partie
médiane du thorax, une large excavation de 2 ce
sales, progna- thisme, implantation vicieuse des dents, qui sont en
partie
crénelées et cariées; les arcades dentaires ne
itique coupé transversalement présente l'aspect d'une poire dont la
partie
effilée correspondrait au sternum. Dans le thor
ormation très marquée de la cage thoracique, le sujet est voûté, la
partie
antérieure de la poitrine est- aplatie et conca
antérieure de la poitrine est- aplatie et concave en avant dans sa
partie
supérieure surtout. Le sternum constitue le fond
sternum constitue le fond de cette sorte de gouttière formée par la
partie
antérieure du thorax. Les pectoraux des deux cô
il se produit une flexibilité anormale du sternum qui résiste à sa
partie
supérieure, soutenu qu'il est par les premières
e à localisation cérébrale ayant retenli sur le développement de la
partie
inférieure du sternum, dont les points d'ossifi
ensemble par un allongement de cette descente. Dans une première
partie
, la descente est brusque comme dans la contractio
classés en deux catégories, suivant que l'excitation porte sur les
parties
profondes, muscles, tendons, os, nerfs, ou bi
provoquer un état de raideur permettant un certain déplacement des
parties
comme dans l'état cata- leptoïde ou fausse cata
t leur siège et leur nature, avaient pour effet d'immobi- liser les
parties
dans l'attitude exacte de l'ancienne contracture.
t aucune modifi- cation dans la motilité et dans la sensibilité des
parties
. La contracture per- siste toujours dans les mê
ec laquelle elle présente des relations plus ou moins étendues. Les
parties
anesthésiées sont seules parfois en état de dia
localisée à un membre suffit pour la faire apparaître dans d'autres
parties
du corps, le plus souvent sous la forme hémiplé
gelures : un de mes malades a eu les oreilles gelées et a perdu une
partie
de l'hélix à la suite d'une route de nuit dont se
ndu et remonte aux membres. supérieurs jusque vers le coude et à la
partie
postérieure du bras sous forme de plaques serpi
n notable, sauf des deux côtés un pied plat dévié, qui peut être en
partie
la conséquence de son travail professionnel.
Toute la surface de son corps, aussi bien sur les membres que sur la
partie
antérieure et sur la partie postérieure du tron
, aussi bien sur les membres que sur la partie antérieure et sur la
partie
postérieure du tronc, sur les fesses, est marbrée
ement sur la coloration blanche du reste de la peau (Pl. XXXVI). La
partie
postérieure des bras et les fesses . portent de
our provoquer deux sensations avec le compas de Weber en faveur des
parties
saines. Pendant les grandes chaleurs de l'été l
l'élévation et l'abaissement se font assez bien; lagophthalm6s;'la
partie
inférieure de l'oeil restant à découvert quand on
t rien, sauf chez les sujets très maigres, car toute la nuque et la
partie
supérieure du dos sont occupées par des bourrel
comble dans l'extension tout l'espace qui sépare l'occipital de la
partie
supérieure du dos; à droite et à gauche il se p
ure du dos; à droite et à gauche il se perd dans les bourrelets des
parties
lalérales du cou. Au-dessous de lui se trouve l
a malade présentait deux ans auparavant. Du reste, ils ont guéri.en
partie
. La méningite tuberculeuse ne pardonne pas quan
r ou contre l'hystérie et quel- quefois à la certitude. TROISIÈME
PARTIE
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DU TABES
par une ligne passant au niveau du sillon fessier. Dans les autres
parties
du corps, la sensibilité pour tous les modes es
u côté droit (elle est moins profonde sur le membre supérieur et la
partie
antérieure du tronc du même côté). Partout aill
aucun symptôme clinique. Siemerling veut bien attribuer en majeure
partie
ces altérations à des anomalies congéni- tales
stidues est un complément abso- lument indispensable. - QUATRIÈME
PARTIE
SYNDROMES HYSTÉRIQUES AMYOTROPIHQUES SIMULATEUR
cette douleur quitte la région dorsale pour venir se localiser à la
partie
médiane et supérieure du thorax : nouvelles fri
le volume du membre gauche est notablement différent du droit; à la
partie
moyenne de la cuisse gauche, la circonférence me-
E DE LA SALPÊTRIÈRE. considérable et donne au membre la plus grande
partie
«le son volume. Le e système pileux est incompl
ération et leur croissance se fait régulièrement et normalement. La
partie
inférieure de la jambe et le pied sont toujours r
épicondy- liens conservent un léger relief; quant aux muscles de la
partie
postérieure de l'avant-bras, on ne peut plus le
es qui s'insèrent il l'os malaire et ceux de la fosse canine ont en
partie
disparu et forment à cette partie de la fosse un
et ceux de la fosse canine ont en partie disparu et forment à cette
partie
de la fosse un méplat caractérisé; le buccinate
uscles de la ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS», ,133
partie
postérieure. A la partie antérieure, il y a une a
SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS», ,133 partie postérieure. A la
partie
antérieure, il y a une atrophie très marquée de
vrose hystérique et de ce qui relève de la myélopathie. CINQUIÈME
PARTIE
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA SYR
aux membres supérieurs. Secousses. Scoliose. Anesthésie étendue en
partie
dissociée, en partie complète. Hémianesthésie i
rs. Secousses. Scoliose. Anesthésie étendue en partie dissociée, en
partie
complète. Hémianesthésie incomplète. Anesthésie p
. Dans cette même note, je signalais un autre malade chez lequel la
partie
infé- rieure du même muscle manquait. La déform
u-dessus de l'aréole du mamelon, la portion inférieure manque et la
partie
supérieure paraît moins épaisse que celle du cô
ngeaisons. On remarque une éruption siégeant symétriquement sur les
parties
latérales du thorax, sur la face interne des bras
la deuxième côte, la troisième à la troisième côte et ;i une petite
partie
du bord supérieur de la quatrième. Ces digitati
rd supérieur de la quatrième. Ces digitations sont séparées de leur
partie
interne par deux espaces remplis de tissu grais
la paralysie temporaire des membres supérieurs, sont imputables en
partie
à la compression des gros troncs vasculaires et
partie à la compression des gros troncs vasculaires et nerveux, en
partie
à l'action de la suspension elle-même. Les cas,
aux s'améliorer et les fonctions génitales éteintes réapparaître en
partie
. Les observations de plusieurs autres médecins
action. Le Dr Motschoutkovsky explique l'action de la suspension en
partie
par l'élongation des troncs nerveux, en partie
de la suspension en partie par l'élongation des troncs nerveux, en
partie
par l'amélioration de la cir- culation collatér
la mettaient sur le compte de l'extension mécanique des différentes
parties
du système nerveux et des vaisseaux^ les autres
deux ou trois vertèbres et mis à nu la dure-mère, je remplaçai les
parties
enlevées des vertèbres par une gouttière en boi
était autrement, si la dilatation avait lieu pour les vaisseaux des
parties
profondes, elle serait accompagnée d'une dilata
e et Fondation Vallée.) 13OUBNFVIT1,F, 131cêtre, 1891. * PREMIÈRE
PARTIE
Section I : Bicêtre. Histoire du service pend
re compte des renseignements que nous donnons dans cette première
partie
, nous rappellerons que la section comprend troi
essionnel. xvii commun de la maison et leur travail compensera en
partie
, et pendant de longues années, les dépenses de
sièges, destinés aux en- fants et placés bas à 0m35 du sol. Dans la
partie
centrale, on a établi un cabinet d'aisances pou
est ploine. r" - ce Les cabinets des enfants sont vitrés dans leur
partie
haute, de façon à permettre une surveillance fa
ont à deux étages. Celles du bas sont avec avant-corps plein ; leur
partie
haute vitrée, supporte un plancher, soutenu par
sous-sol de l'extrémité nord du bâtiment des musées qui, dans cette
partie
, à cause même de la disposition du sol, est un
canalisa- de l'hospice ne permettrait pas, sans nuire à d'autres
parties
de la maison, d'alimenter ce service de la quan
si que les matériaux dont les enfants se serviraient pour faire une
partie
des travaux dont il s'agit. La dépense est éval
). Il oublie que les fonds néces- saires ont été prélevés, pour une
partie
, non sur les ressources ordinaires de l'Assista
u vote de laquelle nous avons pris une large part et pour une autre
partie
fournis par une nouvelle subvention municipale
ations de la création et de la continuation du -quartier, et qu'une
partie
de ce boni, plus de 50,000 francs, provient de
ns nos rapports, c'est l'encombrement du bureau d'admis- sion dû en
partie
à la présence des enfants dans ce service... Il
dans leurs établissements des enfants dont ils ne supportent qu'en
partie
la charge. Là raison en est bien simple. Les
aliénés, profitent à un autre département et ont ainsi détournés en
partie
de leur destination spéciale. Cette ano- maile
tissait au rejet de mes deux propositions. " , La praticlue a, en
partie
, comblé cette lacune relevée par M. Bailly : d'
es. , Enfin l'état des décès de la commune de Gentilly, dont font
partie
la fondation Vallée et l'hospice de Bicètre ne co
hospices ne se refusera peut-être pas, d'ailleurs, à supporter uns
partie
de ces dépenses. Je crois aussi qu'elle devrait
que la Commission de surveillance a toute qua- lité pour visiter la
partie
de l'Infirmerie du Dépôt' affectée aux aliénés.
'obtenir de bons résultats et de rendre des servi- .ces. DEUXIÈME
PARTIE
p CLINIQUE BOURN6YILLE, Bicêtre, 1591. 1
it d'adultère un jour. C'était faux cette fois, et une fois sa mère
partie
, il se réjouissait d'avoir fait une niche. Quand
menton, aux membres supérieurs sauf aux doigts; sur le ventre et la
partie
supérieure du thorax du côté gauche. Elle est con
avait conservé sa forme générale ; les os étaient re- couverts des
parties
molles momifiées, la cage thoracique n'était pa
e elles parles ligaments intervertébraux, les côtes fixées a leur
partie
postérieure et maintenues par les muscles du do
l elles forment complètement corps. Après dessèchement à l'air, ces
parties
se séparent sous forme de couches concentriques
ique le cadavre avant l'inhumation n'eut subi aucu- (1) La première
partie
de l'observation de Thène..., surnommé le Pacha
tête. Celle-ci ayant été conservée après le décès avec toute ses
parties
molles a été placée pendant un an dans l'alcool.
sses collées l'une contre l'autre, le genou droit reposant par la
partie
interne sur le plan du lit en dehors du genou gau
formant le bord de l'hémisphère. F. A. n'est apparente que dans sa
partie
moyenne, elle est complètement atrophiée dans s
que dans sa partie moyenne, elle est complètement atrophiée dans sa
partie
iufé- rieure où sa jonction avec foi,iiie une e
sa jonction avec foi,iiie une encohe assez profonde. Grêle dans sa
partie
moyenne o't elle a la forme d'un S italique all
sont bien développés mais il existe un petit foyer destructif à la
partie
moyenne du noyau lenticulaire, paraissant inté-
noyau lenticulaire, paraissant inté- resser la capsule interne à sa
partie
postérieure. Les trois SCLÉROSE symptomatique D
lérose et elle y affecte la même disposition. F. A. est en effet en
partie
conservée dans sa partie moyenne et atrophiée,
la même disposition. F. A. est en effet en partie conservée dans sa
partie
moyenne et atrophiée, au contraire, d'une façon
e façon exclusive sur la zone motrice des deux côtés, sauf dans une
partie
limitée de la région moyenne correspondant aux
x circonvolutions motrices ascendantes des deux côtés. Les autres
parties
du cerveau paraissent au contraire indem- nes.
lus développée que la droite qui est, du reste, assez saillante; la
partie
supérieure droite du frontal est sail- lante, l
noté aussi : une rougeur de la face, des oreilles, du cou et de la
partie
supérieure delà poitrine au début de l'in- hala
gencives couvertes defuliginosités ; conjonctivite à droite sur la
partie
interne de la cornée, ulcération de deux millim
mblement de la pointe de la langue ;joue droite un peu gonflée à la
partie
inférieure; quelques cicatri- ces sur les lèvre
surtout en arri- mère ; il y a de plus quelques râles plus lins, en
partie
masqués par les gros râles. en arrière. l'as d'
exité des hémisphères.-Les artères, les nerfs, ainsi que les autres
parties
de la base du cerveau sont symétriques. Les hém
ne soit adhérente qu'au niveau de la frontale ascendante et de la
partie
postérieure de la première frontale. La pie-mère
SCItIPTIOI DU CERVEAU. - ~" là présentent à leur surface et vers la
partie
médiane deux inci- sures assez profondes qui se
'une complète (l'inférieure) sépare cette circonvolution en trois
parties
dont une médiane qui paraît être la continuation
ando ; le tiers supérieur de cette circonvolution présente, dans sa
partie
médiane, une incisure oblique allant du fond et
mble s'arrêter à 1. c, de la scissure inter-hémisphérique et que la
partie
de la cir- convolution située au-dessus de l'in
ascendante, et il s'arrête là. Il commu- nique d'autre part vers la
partie
moyenne avec une scissure profonde et sinueuse
étale ascendante est assez sinueuse, coupée un peu au-dessous de sa
partie
moyenne par l'incisure dont nous venons de parl
lèvre supérieure au niveau de la 3mo frontale. Elle laisse voir la
partie
supérieure des circon- volutions du lobule de l
le, quadrilatère, est très large en arrière, s'amincit en avant. La
partie
quadrilatère est coupée à son centre par un pli
n passant sur le sillon de Rolando et le sillon préro- landique. La
partie
postérieure du dédoublement de cette circonvolu
serpentant et se divise en bas en deux branches allant, l'une à la
partie
postérieure de la bran- che antérieure du dédou
du pli courbe, bien dessiné, est très étroit et très grêle dans la
partie
qui surmonte l'extrémité de là scissure de Sylv
t pour former une circonvo- lution irrégulière qui va se jeter à la
partie
antérieure de l'hémisphère dans la 2 : ne tempo
très grêle qui s'élargit bientôt et va on s'amincissant jusqu'à la
partie
antérieure. Cette portion de la 2 ? temporale e
es 2 ? et 31U0 temporales est profond, irrégulicr, il va jusqu'à la
partie
la plus antérieure de l'hémisphère, après avoir
on calloso-marginal est profond et coupé par un pli de passage à sa
partie
moyenne. Le yyucç fornicalus se jette en arrièr
arine est profonde et normale. Le lobule lin- gual, très mince à sa
partie
moyenne, très large en avant, est uni par deux
pas de dégénérescence amyloïde. De plus, on voit, espacés dans les
parties
superficielles de la substance grise, un certai
s succès. 18 avril. Les ganglions rétro-maxillaires ont en grande
partie
disparu à droite, mais ils existent, quoique dimi
aille : 1m 27. AfJÉ ! \IE, S7 i 2 juin. Eruption eczémateuse à la
partie
supérieure de la face, ne dépassant pas la bouc
oeuf de poule, principalement celui placé juste au-dessous de la
partie
antérieure du pavillon de l'oreille. En arrière,
existe quelques dilatations veineuses à la surface. Au milieu de la
partie
antérieure de l'aisselle gauche est une tumeur
selle gauche est une tumeur ganglionnaire, que l'on aper- çoit à la
partie
externe, lorsque le bras repose le long du tronc
thoraciques et abdominales superficielles sont très dilatées, à la
partie
antérieure et il, la partie postérieure. La pea
superficielles sont très dilatées, à la partie antérieure et il, la
partie
postérieure. La peau est sèche, ichthyosique. L
des vaisseaux. La vésicule biliaire est normale. Rate (160 gr.) en
partie
adhérente au diaphragme, hypertrophiée, dure; s
capsule surrénale gauche est très hypertrophiée, et se confond à sa
partie
inférieure avec les ganglions caséeux. Le rein
rénale droite est moins volumineuse que la gauche; elle n'est qu'en
partie
caséeuse; les ganglions du hile sont également
ette lésion qu'est dû le retrait de la faux de la dure-mère dans sa
partie
antérieure. Au niveau du bord supérieur des hém
st unie à la seconde frontale par un pli de passage au niveau de sa
partie
moyenne; ce pli de passage a l'aspect d'une pet
très sinueuse, est réunie à la F3 par un pli de passage situé à sa
partie
moyenne, un peu en arrière dé celui qui unit FI
deux tronçons de cette circonvolution, F2 est régulière, sauf à sa
partie
an- térieure. F3 est simple; le cap est peu mar
arqué. La circonvo- lution pariétale ascendante est séparée en deux
parties
, au même niveau que la frontale ascendante; il
dure-mère ; avec l'accolement des deux hémisphères cérébraux à leur
partie
antérieure. L'absence de faux du cerveau ; la r
et en arrière sur l'hémisphère gauche; il présente de plus, sur la
partie
latérale, une encoche qui arrive jusqu'aux couc
ère de toute leur surface. Hémisphère droit. Face externe. Toute la
partie
latérale de l'hémisphère est absente, Le ventri
mêmes en deux autres par un sillon analogue, de sorte que, dans sa
partie
moyenne, ce lobe présente cinq circonvolutions
térieure, du lobe pos- térieur par une scissure très profonde. La
partie
postérieure de l'hémisphère est constituée, en
séparer ainsi du lobe occipital auquel il n'est contigu que par sa
partie
supérieure, qui se continue du reste avec cette
onné par de petits sillons sans direction précise. Face interne. La
partie
antérieure est constituée par trois circonvolut
e de la seconde par un sillon profond et étroit, et 'présente, à sa
partie
moyenne, un petit sillon perpendiculaire - au p
inférieure. Le lobe antérieur est assez normale- ment développé. La
partie
antérieure est formée par la 3° =circonvolution
t séparée de la précédente par un sillon profond et divisée en deux
parties
, antérieure ' et postérieure, par un sillon tra
présentent rien de particulier. ),1 est très» déve- loppée dans sa
partie
postérieure où elle présente un dédou- blement
est très sinueuse. F3 est très .développée et renflée surtout à sa
partie
moyenne où elle forme - un lobule triangulaire.
ù elle forme - un lobule triangulaire.-) : . A. est divisée en deux
parties
par un sillon transversal qui la coupe en son m
s transversales profon- des, dont une la divise comme F. A. en deux
parties
. Le lobe - pariétal supérieur est formé de nomb
est bi-n développé. Les trois temporales, nettement séparées à leur
partie
postérieure, se confondent à l'extrémité antéri
symétrique, le front est élevé. Les oreilles sont bien ourlées à la
partie
supérieure, l'our- let est à peine marqué à la
ourlées à la partie supérieure, l'our- let est à peine marqué à la
partie
inférieure. Le lobule est adhérent. Les arcades
ents. ' Cou, thorax et membres normalement conformés, du côté des
parties
molles comme du côté du squelette. Rien d'anor-
- Puberté. Finesmoustaches blondes occupant toute la hauteur de la
partie
moyenne de la lèvre supérieure, mais moitié moi
es d'une érup- tion furonculeuse, non complètement cicatrisée. A la
partie
antéro-intérieure de la jambe gauche, il y a un
nnes signalées, où elle adhère aussi à la substance grise, non à la
partie
pos- térieure, mais à la partie moyenne de la 3
ussi à la substance grise, non à la partie pos- térieure, mais à la
partie
moyenne de la 3e frontale. Sur cette partie de
- térieure, mais à la partie moyenne de la 3e frontale. Sur cette
partie
de la circonvolution existent plusieurs noyaux bl
resque translucide et d'une zone périphérique embryonnaire dont les
parties
les plus extérieures se confondent peu à peu av
s. Le lobe inférieur également emphysémateux est. congestionné à sa
partie
postérieure.. Poumon droit. Pour extraire le
Ce poumon également emphysémateux est légèrement congestionné à sa
partie
posté- rieure. Les ganglions du hile sont durs
ble. Rate (110 gr..) - molle, coloration veineuse, plus foncée à sa
partie
inférieure. Pancréas (80 gr.), dur, résistant.
te différence, cependant, que nos malades sont moins mouillées, une
partie
de l'urine filtrant dans la paille. après avoir
sante à combler cette lacune et d'autre part les lésions de cette
partie
de l'encéphale sont à la fois trop rares et trop
c que les fibres sensitives font un pre- mier relai au niveau de la
partie
postérieure et inférieure du noyau externe du t
les occuperaient intimement mêlées aux fibres descendantes toute la
partie
postérieure depuis le genou jusqu'au faiseau ré
ces deux cas il admet qu'on doive les rapporter à une lésion de la
partie
postérieure de la capsule. Cette assertion conf
une lésion capsulaire sur ce que dans les lésions de celte dernière
partie
le sens musculaire serait intact. Aucune observ
à rattacher toutes les anes- thésies cérébrales à une lésion de la
partie
postérieure de la capsule interne. Mais comme l
rce. Les circonvolutions frontale et pariétale ascendantes, avec la
partie
postérieure du lobe frontal et la partie antéri
étale ascendantes, avec la partie postérieure du lobe frontal et la
partie
antérieure du lobe pariétal seraient l'endroit
ique de penser qu'il existe au-dessous de l'écorce ou dans d'autres
parties
encore inconnues, des groupes de neurones où pe
calisation, de position et de poids. Bourdicault-Dumay se rallie en
partie
aux idées précédentes. Ayant anesthésié par une
rovoqué est une pré- face au traitement psychologique, mais non une
partie
essentielle et intégrante de ce traitement. Il
es premières à montrer des signes de nutrition défectueuse dans les
parties
les plus éloignées de leurs centres nutritifs a
ntres nutritifs altérés dans les ganglions spinaux postérieurs, les
parties
lointaines étant respectivement les arborisatio
le verticalement à une profondeur d'au moins deux pouces et vers la
partie
supérieure de la fesse. Faire l'injection 78 RE
ontra une tumeur molle et infil- trante qui occupait la plus grande
partie
de l'hémisphère gauche. A la partie supérieure
nte qui occupait la plus grande partie de l'hémisphère gauche. A la
partie
supérieure l'hémisphère tout entier paraissait en
a région frontale la tumeur empiétait sur la couche corticale. A la
partie
inférieure de l'hémisphère, le siège de la tumeur
lorsqu'il a bêché plusieurs heures, qu'on lui tiraille la peau à la
partie
anté- rieure de la cuisse. Plaque d'anesthésie
887 en 1891 ; 19.723 en 1894]. Cette aug- mentation est-elle due en
partie
à une répression plus exacte du délit, à une po
contraire, à l'aide de son ferment glycolitique, il transforme une.
partie
de sa provision de glycogène en sucre et compen
e. Comme il ne rentrait pas sa femme fut dans l'angoisse une grande
partie
de la nuit. Un voisin qui était allé à sa reche
pont de substance cérébrale sépare d'abord com- plètement les deux
parties
; une mince ligne de dépression super- ficielle
la scissure de Holando se forme par un seul sillon continu, dont la
partie
supérieure est plus superficielle. Dans un tier
Hetzius a constaté que la scissure de Holando était formée de deux
parties
distinctes. Une autre anomalie de l'hémisphère
En outre, la pariétale ascendante à droite était coupée en trois
parties
à peu près égales par deux sillons transversaux.
CE DES ALIÉNÉS EN RUSSIE. 133 l'installation tout entière, au moins
parties
, et quelles parties, de cette installation ? S'
SSIE. 133 l'installation tout entière, au moins parties, et quelles
parties
, de cette installation ? S'il est d'autres orga
x institutions territoriales; elles doivent en supportel la majeure
partie
des frais. L'assistance publique des aliénés pe
n construira aussi un petit pavillon divisé en deux par- ties ; une
partie
pour les femmes, une partie pour les hommes ; c
pavillon divisé en deux par- ties ; une partie pour les femmes, une
partie
pour les hommes ; chaque partie formera deux ch
s ; une partie pour les femmes, une partie pour les hommes ; chaque
partie
formera deux chambres d'isolement ; on y accédera
de la ville, une plus ou moins grande quantité d'aliénés qui ont en
partie
besoin d'une notable liberté, il n'y a qu'à org
ion au sublimé est loin d'être bonne ; ce qu'il y a de mieux, c'est
parties
égales de solu- tions concentrées de sublimé et
déplacée par la rubine acide (fuchsine acide) ; il n'y a que des
parties
les plus superficielles du nucléole, sous forme d
aire, M. Len- hossek l'avait déjà reconnue dans le cylindraxe et la
partie
de la cellule du ganglion spinal désignée sous
facial se traduit par une dégénéres- cence surtout marquée dans la
partie
antéromédiane de la pyra- mide ; on trouve des
plication considérable des fibres nerveuses les plus fines dans les
parties
scléreuses des cordons de la moelle, peut être
s à celles de chaque fusil dans le feu de peloton. Il suffit qu'une
partie
des fascicules musculaires ne donne plus son co
partie des fascicules musculaires ne donne plus son concours à une
partie
de l'impulsion motrice pour que la force du mus
XVII, 1898.) Le cadavre ayant le bassin relevé de façon à ce que la
partie
supérieure du corps et de la tête soient basses
bérance, il y a dégénérescence totale : de tout le territoire de la
partie
réticulée de l'étage supérieur des pédoncules cér
de la peau entre les phalanges du côté de la paume de la main. Les
parties
les moins sensibles sont la fesse et la plante du
l'homme) ; 2° de la bandelette olfactive ; 3° du trigone ; 4° de la
partie
supérieure de la commissure des cornes d'Ammon;
a corne d'Ammon, située dans le gyrus hippocampi, qui constitue une
partie
de la saillie ventricu- laire de la corne d'Amm
'Ammon (alveus). Du dixième au onzième jour se myélinisent : 1° une
partie
de la circonvolution du corps calleux (cingulum
de la capsule interne dans le gyrus ectosylvien postérieur ; 4° la
partie
la plus antérieure des troisième et quatrième c
atorzième jour apparaissent : 1° une étroite lamelle située dans la
partie
moyenne du gyrus marginal; 2° des faisceaux qui
u seizième jour on voit : 1" le tiers moyen du corps calleux; 2° la
partie
sombre de la commissure antérieure. IL Chez le
tions. Du onzième au douzième jour on en voit dans le trigone; la
partie
supérieure de la commissure ammonique ; la voie d
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. munication de la capsule interne à la
partie
postéro-inférieure du gyrus marginal; la partie
apsule interne à la partie postéro-inférieure du gyrus marginal; la
partie
supérieure des troisième et quatrième circonvol
e les circonvolutions ne se voient guère à ce moment que dans une
partie
de la sphère tactile (gyrus coronaire), et encore
imum, le cordon latéral du même côté contient simple- ment, dans la
partie
la plus élevée de la moelle cervicale, au niveau
es chez l'homme et quelques mammifères, se transforment au moins en
partie
en longs cordons. P. Keraval. XVIII. Du trajet
nssens et de la région de l'entre-croisement du pathétique. Ici une
partie
de ses fibres s'unissent au faisceau de Gowers de
tubercule quadrijumau postérieur, qui embrasse ce dernier par sa
partie
antérieure, et continue à monter jusqu'au tubercu
s du noyau lenticulaire. Les libres de ce trousseau arrivent par la
partie
occipitale du globus pallidus et en gagnent, en
la partie occipitale du globus pallidus et en gagnent, en haut, les
parties
antérieures. Par conséquent, les fibres du fais
vingt jours plus tard, la cellule diminue de \olume dans toutes ses
parties
, et devient complètement apycnomorphe. Telles cel
r en bleu. On sait que la substance achroma- tique se compose d'une
partie
réticulaire, fibrillaire, organisée et d'une su
av. (Ncurolog. Cen- tralbl., XVII, 1898.) En touchant à peine les
parties
de la peau recouvertes de poils, on produit une
tes. La syphilis n'avait laissé ni marques ni cicatrices sur aucune
partie
du corps, et les cheveux n'étaient pas tombés.
eau dans le voisi- nage du tendon d'Achille ou encore dans d'autres
parties
du membre inférieur et j'ai constaté les mêmes
lement de la plante du pied, mais aussi par l'exci- tation d'autres
parties
du tégument. M. P. A1 me demande jusqu'où s'éte
s ramener dans l'état d'équilibre normal. Il déclare avoir, dans la
partie
inférieure de son champ visuel, la sensation d'
cal- leux, commence en arrière du genou et se continue jusqu'à la
partie
moyenne de la couche optique. Les symptômes ont é
le moyenne seulement. Le cordon de Goll est sain sur la plus grande
partie
de leur étendue. La moelle lombaire présente un
que les racines pos- térieures envoient des fibres dans toutes les
parties
de la moelle où elles peuvent par conséquent la
physiologique et de la méthode anatomo-clinique. » Dans la seconde
partie
de son oeuvre, consacrée aux doctrines contempo
laire accompagnée d'une exagération considérable des réflexes de la
partie
du névraxe située au-dessous du siège de la lés
C'est en quelque sorte le choc en retour d'un ensemble de réactions
parties
de l'écorce. Outre d'ailleurs le centre vaso-mote
tique, viscérale, située sur les circonvolutions ascendantes et une
partie
des circonvolu- tions avoisinantes, continue pa
nt la sensibilité de la cuisse, mais d'une façon plus complète à la
partie
externe qu'à la partie interne. A la séance du
cuisse, mais d'une façon plus complète à la partie externe qu'à la
partie
interne. A la séance du 31 mars, Zoé n'accuse p
mbres, elle procède immédiatement à la représentation mentale de la
partie
du corps énervée, endolorie; elle la sent, elle
voilées avec l'anesthésie totale, devenaient douloureuses dans les
parties
du corps correspondantes; et, lorsque la sensib
rgane, centre qui renferme les résidus des sensations antérieures
parties
de l'organe. On peut m'objecter que la sensatio
n bon ordre. Atta- quer la corticalité cérébrale, c'est enlever une
partie
des cellules et sectionner leurs prolongements
les deux sexes disparait, parce que la sénilité atteint une grande
partie
des caractères sexuels secondaires. Chez le plu
cence myxoedémateuse. Mais l'hydrémie s'étend rare- ment à d'autres
parties
du corps. La température rectale est nor- male,
détruit le noyau rouge, les fibres de l'oculo- moteur commun et une
partie
du pied du pédoncule ; dans le pédoncule cérébr
ait toutes les catégories ? Enfin, le Dr Pornain, dans une dernière
partie
, la plus intéres- BIBLIOGRAPHIE. 267 Î sante
thétique (Morel, Magnan, Tauzi, Cramer, Westphall). Daus la seconde
partie
de l'ouvrage, toutes les théories précédemment
veau de se faire baptiser. Quelques sauvages païens se mirent de la
partie
. Il donna enfin son con- sentement. De suite, j
protoplasmatique on peut observer divers degrés de déformation ; la
partie
centrale de la dendrite déformée peut rester in
érieur ou pour se punir d'un man- que à la chasteté, s'amputent les
parties
génitales ; ce dernier cas est particulièrement
hache, arme dont il n'avait pas l'habitude, alors que, passant une
partie
de son temps à la chasse, il maniait presque qu
surie et de ténesme rectal. On retire, non sans difficultés, de ses
parties
géni- tales, un énorme pessaire en porcelaine,
timètres environ du pylore une large taclie ecchymotique dont la
partie
centrale est tellement amincie qu'elle se déchi
ace interne est plus intéressante car elle permet de mieux voir les
parties
de la paroi cranienne composant le fragment oss
ienne composant le fragment osseux éliminé. La table externe et une
partie
du diploé composent ce séquestre; il y manque l
- pure et saigne facilement. Au niveau des points A et 13, à leur
partie
correspondante sur la tête du malade, la plaie pa
PSIE. TRÉPANATION ACCIDENTELLE. 305 et B, que la table interne lait
partie
du fragment osseux ; ces deux zones, véritables
après des brûlures limitées au cuir chevelu ou intéressant d'autres
parties
du tégument. Nous rappellerons à ce propos qu'a
appelant l'ataxie cérébelleuse. On soupçonnera a une tumeur de la
partie
médiane du corps calleux quand le vomissement f
t comme paralysie véritable. Enfin, on soupçonnera une tumeur de la
partie
postérieure du corps calleux si la paralysie co
nerveux de 8 millimètres de long et assez minces dans un mélange, à
parties
égales, de cette solution et d'une solution de fo
10 p. 100, pendant cinq jours; puis, sans laver, dans un mélange à
parties
égales d'une solution de formaline à 10 p. 100 et
lifération, s'accusant par une coloration claire qui tranche sur la
partie
saine, tandis que la pro- lifération s'annonce
e grise, d'individualiser, pour ainsi dire, chaque cellule avec ses
parties
constitutives et ses pro- longements et d'établ
egment du corps de cet animal est armé d'un ganglion divisé en deux
parties
, réunies par une commissure transverse de fibre
ments réflexes ont souffert. Bethe y aurait réussi trois fois, à la
partie
de l'encéphale de l'écrevisse qui forme le centre
nne est complètement paralysée. Il en conclut que la cellule, cette
partie
du neurone qui contient le noyau, n'est pas abs
c- tions purement nerveuses. Seulement M. Bethe n'a enlevé qu'une
partie
de la cellule, il a laissé les éparpillements de
ncipal qui doivent être regardées comme des dendrites, qui sont des
parties
du protoplasma; c'est ce qui explique la persis
d'adaptation quantitatif par rapport aux cellules (Flechsig). La
partie
latérale du ruban de Reil principal fournit-elle
ives s'avance au-dessus de l'en- tre-croisement.mais la plus grande
partie
de ces fibres se perdent au niveau du corps tra
termine à peu près pour moitié au niveau du corps trapézoïde, et la
partie
qui continue donne des fibres au noyau latéral su
aux de la formation réticulaire ou restes du cordon latéral. A la
partie
la plus inférieure du pédoncule cérébral, le ruba
bres va dans la substance noire; il ne parait pas certain que cette
partie
du ruban, pas plus que les autres s'unisse au n
ieure, passe dans le centre médian de la couche optique et dans les
parties
mitoyennes du noyau latéral où il se termine. N
des fibres qui proviennent du noyau rouge s'en vont jusque dans la
partie
postérieure du groupe nucléaire antéro-latéral
u'on constate d'abord quelques fibres myéliniques ainsi que dans la
partie
la plus externe du noyau (fibres en anses). On vo
anche, en dehors du premier segment du globus pallidus et vont à la
partie
interne du second segment. Toutes ces fibres ne
minces, de nombreuses fibres en anses. Il est très probable qu'une
partie
du trousseau se rend directement à la capsule i
à la protubérance où il gagne le faisceau pyramidal. Peut-être une
partie
de ce trous- seau reste-t-elle dans le premier
egment du globus pallidus,; il est, en tout cas, fort mince dans la
partie
inférieure du pied du pédoncule et dans la prot
e des tubercules quadrijumeaux. Ces fibres viennent surtout dans la
partie
postérieure de la substance noire; on trouve là
capsule interne. Nous avons vu l'exemple anormal du faisceau de la
partie
posté- rieure de la capsule interne chez un cha
du neuvième au dixième jour apparaissent encore des fibres dans la
partie
antérieure de la capsule interne, qui vont à la
circonvolution cruciale. Elles se terminent pour la plupart dans la
partie
externe des circonvolutions cruciales, d'autres a
uatre millimètres, la dure-mère elle-même est très peu épaissie, la
partie
pariétale de l'arachnoïde semble seule avoir ét
ion) ayant agi sur le cerveau pen- dant le premier âge. La première
partie
représente plutôt l'opinion de l'auteur ; mais
ment. L'usage même a con- sacré le terme « image motrice » pour une
partie
seulement de ce mécanisme cortical moteur, la p
ssi se combiner pour la production d'effets communs. La plus grande
partie
de ce travail est consacrée à la justification de
ncer ont été les symptômes les plus avancés. A l'examen : Veux en
partie
fermés ; sourcils élevés pour tirer en haut les
orsqu'il vint me voir, souffrait des sensations paresthésiques à la
partie
antérieure des cuisses, avec crises provoquées
peu de celui de la méralgie. A droite, il descendait moins bas à la
partie
antéro-externe de la cuisse, s'étendait plus loin
une jeune femme à la suite d'une cautérisation du col, siéger à la
partie
antérieure de la cuisse et s'exaspérer sous for
rver- sion du tact qui lui faisait paraitre plus petites toutes les
parties
de son corps. Dans le cas particulier, j'appell
sa jeunesse à voyager, parcourant presque toujours à pied, diverses
parties
de l'Europe et en particulier de la Russie. D
nvestissement de la capitale, l'évacuation en province d'une grande
partie
des malades de l'asile Sainte-Anne, mesure de p
is de longues années ; il n'a jamais cessé un instant de donner une
partie
de ses forces au labeur que lui impo- saient se
nous a donné. Il y a trente-six ans nous faisions Bouchereau et moi
partie
de la même promotion de l'Internat des hôpitaux
. Les directeurs médecins et les médecins en chef appelés à faire
partie
du jury seront désignés par voie de tirage au sor
gnements de l'homme d'affaires, un héritage d'une grosse somme, en
partie
dissipé actuellement. Pas d'autres enfants. Ant
Si l'on ferme les yeux du malade et qu'on lui frappe l'une de ces
parties
brusquement avec le doigt : « Ce sont des coups d
ir sous quelle forme employer le mercure pour les frictions, quelle
partie
du corps frictionner et à quels intervalles ? O
cette préparation n'exige un laps de temps plus long. Quant à la
partie
du corps qui doit être frictionnée, il est d'us
bras. Cependant, il n'y a aucun fondement rationnel à préférer ces
parties
de la superficie de la peau, car les glandes su
fourreaux desquelles on frictionne, existent aussi dans les autres
parties
de la peau. Moi, personnelle- ment, je préfère
is surtout le dos et les côtés, je fais chaque jour frictionner ces
parties
. Les bains jouent un rôle bien important. Ici n
ité douloureuse et tactile de la peau des membres inférieurs, de la
partie
inférieure du corps et dans les mains, où par p
diamètre de 5 centimètres chacune ; je les applique ensemble sur la
partie
moyenne de l'épine dorsale, et je ferme le cou-
- nairement à 10 pointes de feu de chaque côté, dans les diverses
parties
tous les dix ou quatorze jours. 4° Dans les cas
se un peu émoussée de la peau des extrémités inférieures et de la
partie
inférieure, la faiblesse de l'érection de l'organ
urant sanguin. P. IEaavaL. LX111. Une voie de communication de la
partie
caudale du cerveau du pigeon avec le corps stri
au, pendant son trajet à travers le cerveau moyen, se dirige sur la
partie
anléromédiane du champ postéro- latéral de la p
; il occupe, à la hauteur du ganglion ecto-mamillaire d'Edinger, la
partie
postérieure de ce ganglion, dont il n'est sépar
ntérieur du corps strié, à peu près en son tiers moyen, et dans les
parties
antérieures contiguës du segment le plus rappro
aire. Il y a donc, chez le pigeon, un système qui unit l'isthme aux
parties
antérieures du corps strié, et s'entre- croise
sthme aux parties antérieures du corps strié, et s'entre- croise en
partie
dans la région inférieure du cerveau moyen. Mais
manque. En bas, la lésion étant limitée à la moelle cervicale, les
parties
latérales droites du faisceau de Burdach ne tar
ême en bas et n'occupe plus, au niveau de la moelle dorsale, que la
partie
antérieure du cordon postérieur, vers la substa
les coordonner en un groupe précis. En un mot la compression de la
partie
supérieure de la moelle dorsale a provoqué la d
ru, il reste cette dégénérescence médiane, toujours située dans les
parties
antérieures du cordon postérieur; de cette dégé
aît promptement à son tour. Nous conclurons avec f31schofi qu'une
partie
des fibres constituant le faisceau posléro-médian
a moelle des deux côtés de la ligne médiane et s'éparpille dans les
parties
antérieures du cordon postérieur. La plu- part
lans plus profonds. Conclusions : i° La virgule de Schultze est, en
partie
du moins, formée de fibres des racines postérie
e l'on voit déjà au niveau de la moelle dorsale supérieure, dans la
partie
antérieure du cordon postérieur. P. KERAVAL.
agnostiquée : péri- thélial angiosarcoma (endothélioma). Une petite
partie
de cette tumeur était formée de petits tubes se
aines particularités congé- nitales dans la croissance de certaines
parties
du corps ressem- blant à celles de l'acromégali
inspiration du Comité des asiles de Manchester et de Chorlton et en
partie
grâce à'l'influence et aux efforts du Dr Qui. R
n qu'ils la décrivent, les malades la rapportent toujours à la môme
partie
du crâne : la région frontale. Diverses théorie
mement que les irritations périphériques sont la cause d'une grande
partie
de nos troubles nerveux, et que le surmenage oc
évidemment un rapport entre ce processus et le phlegmon initial des
parties
molles du pouce. L'hypothèse de Rindfleisch sur
veste, les troubles de la sensibilité vibratoire se manifestent aux
parties
sous-jacentes du squelette et en plus aux os des
nifestent que dans les os des jambes seulement, tandis que dans les
parties
du squelette qui correspondent aux territoires de
anesthésie vibratoire presque complète dans les os du bassin et les
parties
centrales des membres. Dans les cas d'hystérie
incipalement par les os et le périoste, mais pas par la peau ni les
parties
molles. Discussion : M. 13GRNSTEIN croit qu'il
veuse que la gaine de Schwan, vide avec nombreux noyaux dont une
partie
plus tard disparait peut-être également (dégénéra
ode de formol-méthylène permet de distinguer une grande quantité de
parties
constitutives de la fibre normale et pathologiq
chez lui, ce sont les mouvements ince-sants qui agitent toutes les
parties
de son être, mouvements incoordonnés, sans aucu
rtent ou se rappro- chent tout à coup, les pieds quittant le sol en
partie
tantôt de la pointe, tantôt des talons. - Les
la main à une épaule après l'avoir portée sur l'autre, la dernière
partie
de l'or- dre ne s'exécute qu'avec beaucoup plus
violente diarrhée se déclare : une nouvelle eschare commence à la
partie
postérieure de la jambe, au niveau du condyle int
encéphale est extrait et des fragments prelevés dans chacune de ses
parties
sont fixés en vue de l'examen microscopique. La
ombre en voie de désintégration : le noyau gonflé occupe une grande
partie
du corps cellulaire et on voit son nucléole acc
n'émigrent pas ; d'ailleurs les vaisseaux sanguins, qui sont ici en
partie
vides, ne présentent aucune trace de diapédèse.
blant l'espace demeuré vide par suite de la lésion qui a détruit en
partie
le lobe temporal droit, tout le lobule de l'insul
les petites lèvres sont peu saillantes forment, en s'unissant à la
partie
supé- rieure un petit capuchon qui recouvre com
iculier. Nombreuses atlhérences très fines des lobes temporaux à la
partie
antérieure des fosses cor- respondantes ; adhér
l s'agissait de deux membranes à demi acco- lées, avec çà et là des
parties
dures qui forment comme des arêtes. - Le foyer
olutions contiguës sont très atrophiées, blanches, dures ; c'est la
partie
supérieure de P2, tout P C, toute la moitié anté-
rconvolutions qui bordent de chaque côté la 500 RECUEIL DE FAITS.
partie
postérieure de Se. p. L'atrophie continue sur la
molles comme s'il s'agissait de deux membranes à demi accolées. La
partie
de T' qui correspond au foyer est blanche, atro
s gaines myéliniques disparaissent non pas seulement jusque dans la
partie
antérolatérale de la couche optique c'est-à- di
tte optique, vont à la région du tuber cinereum ; elles forment une
partie
constitutive de la commissure hypothalamique mo
idus) de l'autre côté, comme l'a signalé Flechsig. La plus grande
partie
des libres qui antérieurement et antéro- latéra
on postérieur, et passent par la masse de la couche optique, et, en
partie
, par le noyau lenticulaire. Ce système entre en
le système thalamique croisé du noyau du cordon postérieur. Quelle
partie
de l'écorce gagnent les fibres qui traversent la
nmocortical (Monakow). C'est du même territoire, c'est-à-dire de la
partie
de l'écorce située autour du sillon de Rolando
part le système du cordon latéral des pyramides, autrement dit une
partie
des faisceaux cortico-musculaires (Marchi, Algh
, du corps genouillé externe, du tubercule quadrijumeau et d'autres
parties
de l'hémisphère du même côté, tient, non à un t
aire avec la raie externe de Baillarger ou Gennari (figures). Les
parties
les plus riches en fibres du 4° bloc corrresponde
du 4° bloc corrrespondent à la région de la main et des doigts. Les
parties
les plus pauvres des 5° et 6° blocs corresponde
age entraînant l'auteur à conclure à l'existence d'une tumeur de la
partie
postérieure de l'hémi- 512 Z REVUE D'ANATOMIE E
ces divers animaux, que le noyau du facial supérieur est situé à la
partie
postérieure du noyau moyen du facial. Le grou
llules : 1° de grosses cellules sticochromes qui siègent surtoutàla
partie
antérieure de ce groupe et que M. Marinesco tend
du groupe interne; 2° labranche zygomatico-temporale naissant de la
partie
postérieure du groupe moyen; 3° la branche bucc
groupe externe; 4° la branche bucco-labiale inférieure issue de la
partie
ventrale du groupe moyen. Chez l'homme, la co
enlohr per- mettent de supposer que les fibres nerveuses laryngées,
parties
de l'écorce cérébrale un peu en arrière du pied
a constaté l'existence d'un foyer de ramollissement au niveau de la
partie
antérieure de la portion ventriculaire de la co
doncule cérébral au niveau de l'émergence de la troisième paire; la
partie
la plus antérieure du bras postérieur de la cap
icales passent dans la capsule interne, au voisinage du genou, à la
partie
antérieure du bras postérieur. Il semblerait que
ompagnant le syndrome de Weber fût en rapport avec une lésion de la
partie
antérieure du pédoncule cé- rébral. MM. Dide et
siège les pieds, associée à un certain degré de faiblesse des mêmes
parties
. Puis, un degré bien accentué d'ataxie, symptôm
sés dans toute leur longueur, mais les lésions frappent surtout les
parties
postérieures et médianes. Plus tard et à moindr
comba dans le coma on trouva un noyau tuberculeux développé dans la
partie
supérieure et anté- rieure gauche de la protubé
hypothèse que l'aphonie amnésique est produite par la rupture d'une
partie
des voies commissurales qui réunissent les cent
les qui réunissent les centres différenciés des images verbales aux
parties
de l'écorce dans lesquelles s'opèrent les actes
et les parésies. Bruns prétend que si la tumeur est située dans la
partie
antérieure du corps calleux il y a de l'astasie d
la partie antérieure du corps calleux il y a de l'astasie dans la
partie
postérieure de l'hémianopsie et qu'un des symptôm
n tiers du corpscalleux. Il entre par sa moitié antérieure, dans la
partie
moyenne de l'hémisphère gauche et par la partie p
antérieure, dans la partie moyenne de l'hémisphère gauche et par la
partie
postérieure dans la substance blanche du lobe o
aideur, elle était observée par Ii;6sterdans un cas du gliome de la
partie
antérieure du corps calleux; chez le malade de
ans un décolle- ment de l'épi trochlée attirée au bas et fixée à la
partie
interne de la base de l'oléocrâne. Les névrit
blic et pourront par leur travail, si minime soit-il, compenser une
partie
des sacrifices que la société se sera imposés p
es en moins. Le dressage de la conscience est, sans contredit, la
partie
la plus délicate de l'orthophrénopédie. Au poin
ses conseils. J. BOYER. ' Le traitement moral des aliénés n'est en
partie
que de la suggestion. (Voir Leuret, Traitement
scendante; S., scissure de Sylvius; - Lui., scissure de TIolal1llo (
partie
postérieure); - R ? scissure de Rolando (partie
sure de TIolal1llo (partie postérieure); - R ? scissure de Rolando (
partie
antérieure) ; P a., pariétale ascen- dante ; po
i., sillon prérolandique inférieur; - R'. (2), scissure de Rolando (
partie
antérieure); R. (3), scissure de Rolando (parti
issure de Rolando (partie antérieure); R. (3), scissure de Rolando (
partie
postérieure); cm ? encoche du sillon calloso-ma
), sillon fronto-marginal ; R' (an lieu de R), scissure de Rolando (
partie
postérieure); H. (au lieu de SR), scissure de R
ando (partie postérieure); H. (au lieu de SR), scissure de Rolando (
partie
antérieure); - c m ? portion verticale du sillon
diotie, par Tanzi, 236. Cerveau. Voies de communication dans la
partie
caudale du - du pl ! ron, avec les corps stliés
de d'action de l'agent vulnérant. Plaies, contusions, déchirure des
parties
molles, hémorrhagies, fracture des os, pénétrat
érie. Ce sont, bien entendu, les traumatismes de la face et de la
partie
antérieure du crâne, qui risquent le plus de la
PHYSIOLOGIE. au bout de neuf mois. Chez ce malade, il existait à la
partie
pos- téro-supérieure gauche du frontal, une cic
lanche IX représente cette hypertrophie dévelop- pée surtout « à la
partie
postérieure latérale » du crâne d'un chien, du
ent atrophiés. Bref, Panizza savait qu'une lésion unilatérale d'une
partie
de la substance cérébrale des lobes postérieurs
dition. Les résultats de ces premières expériences s'accordaient en
partie
avec ceux de Ferrier, mais ne s'accordaient poi
itué Ferrier, s'étendait fort en avant, comprenant presque toute la
partie
an- térieure ou frontale de cette circonvolutio
e les perceptions de la vue le soient aussi, après l'ablation d'une
partie
des sphères visuelles. Selon eux, la doctrine d
ur le centre exclusif de la vision, et lui associent « une grande
partie
, sinon toute la convexité du lobe occipi- tal »
opposé, et, dans les cas de destruction bilatérale incomplète, aux
parties
de ces centres de- meurées indemnes, ils se dem
selon Ferrier et selon Munk. La vision de ce singe fut pourtant en
partie
conservée et rapidement rétablie ! Voilà donc q
peigne sur le segment externe et interne de la rétine droite. Si la
partie
de la rétine sur laquelle tombe l'image est nor
ordres de la vision consécutifs à l'ablation uni ou bilatérale de
parties
plus ou moins étendues des lobes frontaux ou de
t toute la deuxième circonvolution externe du chien, mais aussi une
partie
de la première et de la troisième, comme le cen
et de la troisième, comme le centre cortical de la vision. Dans la
partie
antérieure de la deuxième circonvolution seraient
raient déposées les impressions lumineuses et chromatiques, dans la
partie
moyenne celles de la forme et de la dimension d
ie moyenne celles de la forme et de la dimension des corps, dans la
partie
postérieure, enfin, « ces facteurs élémentaires
rcher et à établir quelles fonctions différentes ont les diverses
parties
du cerveau, et à indiquer l' « engrenage » réci
doute que l'écorce des lobes occipitaux des singes ne représente la
partie
centrale , Le localizz. fans., p. 88. 40 PHYS
elles recherches périmétriques de Foerster ont établi que, des deux
parties
de la rétine divisée par la ligne qui traverse
verticalement le point de fixation, le centre de la tache jaune, la
partie
externe ou latérale est plus petite que la part
a tache jaune, la partie externe ou latérale est plus petite que la
partie
interne; on a pu en conclure que chaque centre
CTIONS DU CERVEAU.. 43 des limites du lobe occipital, et que chaque
partie
du centre de la vision mentale y est en rapport
tinction des rapports avec les cellules nerveuses des différentes
parties
des sphères visuelles. Ce schéma de Luciani (fi
en arrière, aux ré- gions psycho-sensorielles du lobe occipital. La
partie
an- térieure du lobule pariétal inférieur lui p
ssant être le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux, la
partie
postérieure, ou pli courbe, serait le centre, ou
artie postérieure, ou pli courbe, serait le centre, ou du moins une
partie
intégrante du centre de la vision, car. Angeluc
iron auquel manquaient tout le lobe occipital des deux côtés et une
partie
du lobe pariétal. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3
e irritative des affections cérébrales; elles cèdent d'ordinaire en
partie
devant l'envahissement des phénomènes de dégéné
l voyait une forêt, il ne distinguait que la cime des arbres, les
parties
inférieures restant dans l'ombre. Le périmètre
ions, c'est d'admettre l'arrêt ou l'abolition fonctionnelle d'une
partie
seulement des éléments nerveux de la sphère 1 7
S FONCTIONS DU CERVEAU. 59 visuelle corticale droite. Quant à cette
partie
même du centre visuel, quelque délicate et subt
n * et de perception des excitations sensorielles provenant d'une
partie
donnée du corps, et le point de départ de l'exc
art de l'excitation volitive centrifuge pour les muscles de cette
partie
. » Ainsi, dans les centres sensoriels cor- tica
Archives, t. XVIII. a 66 PHYSIOLOGIE. confins, se confondent en
partie
, se pénètrent et s' « engrènent », suivant les
de Cattani, atteint d'amnésie verbale ° et ne disposant plus qu'en
partie
des images verbales acoustiques nécessaires à l
de leur livre en langue italienne; mais, si l'on remarque que la
partie
clinique et anatomo-pathologique du travail de
essus de la scissure de Sylvius, et, sur la face interne, vers la
partie
postérieure de la circonvolution de l'hippo- ca
l'audition; il y aurait là une sorte de zone commune où seraient en
parties
confon- dues ces trois sphères de sensibilité s
le, Notta). Ces faits prouvent l'im- portance de cette région comme
partie
de la sphère olfactive ; ils semblent aussi ind
la Société hiedico-psychalogique de Paris. III. Patuogénie. Si la
partie
clinique de ces accidents était une terre 1 Voi
neux, les congestions, selon le quantum, de- vraient perdre tout ou
partie
de leur nocuité. « Eh bien, c'est précisément c
ite. De sorte que, à mesure qu'on s'avance de la surface vers les
parties
centrales, les tissus sont de moins en moins co
ent pas céder à la pression atmosphérique, aussi facilement que les
parties
les plus élastiques. Ainsi le cerveau, quand l'
sue plus pénible, et l'excès de pression se porte sur les délicates
parties
nerveuses, ' Expériences comparatives sur la dé
ême chez les animaux morts, en mettant un tube bien appliqué à la
partie
inférieure du canal digestif, on voit qu'au sur
ion des bulles dans le sang, dans les autres liquides et dans les
parties
molles, quand l'air ambiant est supprimé. En fa
rimé, se forment dans le sang, dans les autres liqueurs et dans les
parties
molles du corps, peuvent par leur multitude et
manières. Ajoutez à cela l'irritation causée dans les nerfs et les
parties
membraneuses par ces distensions forcées : irrita
n de l'air. Cette formation des bulles a lieu même dans les petites
parties
du corps, car j'ai vu une bulle très apparente
souvent ou trop ou trop peu d'air; il est obligé pour remédier, en
partie
, à la gêne de la respiration qu'il éprouve, d'êtr
la moitié gauche de la moitié du renflement lombaire, surtout à sa
partie
supérieure, des bullettes de gaz que l'on voit
, ces accidents frappent le système nerveux central que, suivant la
partie
affectée de ce système, ce sont des accidents s
e pression extérieure. » Donc il est bien établi que la plus grande
partie
du gaz libre est constituée par de l'azote qui,
n grande quantité et en faire l'analyse. Il a trouvé la plus grande
partie
de ces gaz constituée par de l'azote (voir Expé
on a reçu aussi une preuve négative. Etant donné que la plus grande
partie
du gaz libre est constituée par de l'azote, si
. Testicules descendus. Verge assez' volumi- neuse. Le gland est en
partie
découvert. Le méat semble s'ouvrir Archives, t.
la face inféro-postérieure un peu en bec de fhîte {hypospadias). La
partie
antérieure du sillon est un trou borgne. Sensib
petits gan- glions dans les aines. Syphilides plus nombreuses à la
partie
antérieure du tronc qu'à la face postérieure. L
s, de teinte chair de. saumon. Cette éruption est plus accusée à la
partie
antérieure de la poitrine, qu'en arrière. Sur l
é. Exulcé- IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE. z17 7 ration de la
partie
inférieure du gland et dans le sillon balano- p
moustache est encore naissante. Les poils com- mencent à gagner la
partie
interne des cuisses et sont abondants à l'anus.
cembre. - C... s'est piqué il y a quatre jours avec une alêne, à la
partie
supérieure et externe de la jambe gauche. 2. Pl
e. 2. Plaque érysipélateuse s'étendant depuis la plaie jusqu'à la
partie
moyenne du mollet. Inappétence. 4. La jambe est
geur érysipélateuse qui a disparu au-dessus du genou, s'élend de la
partie
supérieure du creux poplité jusqu'au tiers infé
n, sensation de fausse fluctuation. Deux incisions sont faites à la
partie
interne et à la partie externe de la jambe jusqu'
fluctuation. Deux incisions sont faites à la partie interne et à la
partie
externe de la jambe jusqu'à l'apo- névrose. Il
evée. L'état général reste le même. On trouve un peu de pus dans la
partie
interne de la plaie qu'on fait sourdre par la p
a racine des bourses. Quelques- uns seulement sur les aines et à la
partie
supérieure des cuisses. Verge : circonférence 9
me d'un petit oeuf de poule. Poils assez abondants à l'anus et à la
partie
inférieure des fesses. Février. - Quoique étant
la racine des bourses; quelques-uns seulement sur les aines et à la
partie
supé- rieure des cuisses. La circonférence de l
ume d'un petit oeuf de poule. Poils assez nombreux à l'anus et a la
partie
inférieure des fesses. C juillet. Nous voyons l
ondaires servant de soutien à la tête pendant l'opération. Ces deux
parties
de la pièce médiane sont de forme triangu- lair
ces indiquées, un trépied portatif à branches démontables muni à sa
partie
supé- rieure d'un crochet auquel se fixe la mou
n et l'occiput, attachant les deux frondes qui soutiennent ces deux
parties
à l'extrémité du fléau d'une balance, afin de con
onstamment l'origine de cette succession. Les lettres indiquant les
parties
mises en mou- vement sont placées dans l'ordre
ar la compression de la carotide. En excitant un point situé à la
partie
inférieure de la circonvo- lution frontale asce
e départements qui sont chacun en rapport avec les mouvements d'une
partie
spéciale d'un membre. L'aire du bras comprend p
a parié- tale ascendante et de la frontale ascendante, ainsi qu'une
partie
du lobe frontal adjacent. Sur une grande partie
dante, ainsi qu'une partie du lobe frontal adjacent. Sur une grande
partie
de cette aire, on obtient l'élévation et la pro
on en avant du bras et de la main. C'est surtout l'excitation de la
partie
supérieure qui met en jeu les muscles de l'épau
partie supérieure qui met en jeu les muscles de l'épaule; celle des
parties
moyennes et inférieures des muscles de l'avant-
inférieures des muscles de l'avant-bras et du poignet; celle de la
partie
posté- rieure des muscles du poignet et des doi
- rieure des muscles du poignet et des doigts. L'excitation de la
partie
supérieure de l'aire près de la scissure de Rolan
ace donne les mouvements non seulement de la face, mais de toute la
partie
supérieure du tube digestif (bouche, pha- rynx
essous et en arrière, celle du membre inférieur, l'excitation de la
partie
la plus reculée, près de la scissure intra- par
n rapport avec la moitié correspondante de cliaque rétine et qu'une
partie
seulement de l'écorce occipitale est capable de
que le gros de la racine postérieure demeurait nor- mal, une petite
partie
dégénérait, qu'il y avait, autrement dit, des f
L'analyse histologique d'après la méthode de Weigert, montre que la
partie
latérale du pied du pédoncule cérébral contient
les moyens de lutter contre elle, par M. Dimitri Drill. - Première
partie
: La Psychologie de la cri- minalité, 254 pages
pages que nous nous proposons d'analyser ne constitue qu'une faible
partie
dn travail entrepris par l'auteur. Cette partie
titue qu'une faible partie dn travail entrepris par l'auteur. Cette
partie
traite de la psychologie de la criminalité. D
éments de cet admirable appareil psycho-physique où les différentes
parties
qui le composent se développent et fonctionnent
avec les fonctions de la cellule nerveuse. Là finit cette première
partie
du travail entrepris par M. Drill sur les enfan
êt de l'excellent exposé docu- mentaire qui en forme la plus grande
partie
. On y trouve résumées et bien ordonnées les plu
assage d'un homme ; leurs matériaux ont été doublés de force ; à la
partie
supérieure de chacune d'elles, un imposte perme
nté. Celles de l'étage .sont du type dit « à balcons » savoir : une
partie
supérieure dans les conditions ordinaires, fixe
tions, un type de lit en tôle et fer, avec sommier, donl toutes les
parties
se tiennent solidement et ne peuvent être démon
es-uns de ces lits sont fixés au parquet. Le bâtiment, sauf dans la
partie
qui contient le calorifère, est établi sur voûl
ature de 18 à 19 degrés dans les cellules el un fort courant h leur
partie
supérieure. Cette amélioration nous a aidé cons
ut en ce qui concerne le sexe masculin. Cette augmentation vient en
partie
d'une diminution dans le nombre des malades pla
r. - Nous voyons avec plaisir la connaissance de l'hystérie virile,
partie
de France, faire tous les jours de plus en plus
veaux sont gardés dans uu état suffisant de conservation. C'est une
partie
du résultat des recherches ainsi faites, que no
descriptions classiques de Falret, Delasiauve, Bourneville, pour la
partie
cli- nique, nous nous bornerons à indiquer somm
ce niveau pour pénétrer dans la substance grise. Elle renferme à sa
partie
supérieure de petites cellules rondes qui n'ont
velet divisées en deux espèces, c'est la couche grau- .leuse ; à sa
partie
inférieure des éléments fusi- formes. Voici d
frontale et le lobe occipital droits sont à peu près semblables aux
parties
gauches sur les points correspondants. Sur le c
n ai-je pas moi-même rencontré plus souvent, parce que la majeure
partie
de ces enfants n'arrive pas à l'âge adulte, à l
ains. Il n'est même pas possible de savoir exactement quelle est la
partie
de l'encéphale définitivement atteinte. Du poin
lète de continuité en deux points différents dont l'un était à la
partie
du tube submergée et l'autre à celle qui se tro
i oblige l'agent pathogène, le gaz, à se localiser à telle ou telle
partie
du système nerveux, par exemple. La localisatio
s des nerfs, ce qui donne comme résultat une atrophie de toutes ces
parties
. L'auteur rapporte la paresse et l'hébétude psy
t ici et là. En 1882 apparut le travail du D'' Biaise 4. La seconde
partie
de ce travail contient le rapport du cas suivan
lement la cachexie strumipriva. Et c'est parfaitement naturel : les
parties
non extirpées de la glande thyroïde ne peuvent
de ne peuvent remplacer la fonction de la glande entière que si ces
parties
sont saines; mais si ces parties sont altérées
on de la glande entière que si ces parties sont saines; mais si ces
parties
sont altérées par un processus pathologique il
yroïde. Voici ses conclusions : La glande thyroïde consiste en deux
parties
physiologiquement et anatomiquement différentes
produisant la mucine, surtout celle du parotis. Quant à la seconde
partie
de la glande thyroïde, son extirpation a pour r
le rectifie en le distillant une seconde fois et en recueillant la
partie
qui passe entre 94 et 99 degrés. C'est un liqui
vait probablement son siège dans la couche optique et dans d'autres
parties
des ganglions d'ordre inférieur avec lesquels l
nés sont les fau- teurs, on en évitera incontestablement une grande
partie
, quand le public et les fonctionnaires, se préo
ule est située au fond de la cour des communs de l'hospice, dans la
partie
où se trouvent encore les restes d'un an- cien
ractérise la mi- graine ophtalmique paraît lié à l'altération d'nne
partie
localisée du cerveau, et suivant cette hypothès
t presque au bre- douillement. L'écriture est tremblée, certaines
parties
de lettres, ou des lettres même sont oubliées.
'histoloêie à la Faculte de médecine. » La moelle cervicale a ses
parties
symétriques, mais il y a dispa- rition à peu pr
e et de l'atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en
partie
à l'oeil nu par la prolifération scléreuse. Ce
aru. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en
partie
enlevée avec les méninges, surtout aux points d
a colonne de Clarhe sont conservés. Cette lésion est symétrique. La
partie
du faisceau latéral comprise dans la concavité
tendus; quelques-uns sont même formés Je long des vaisseaux dans la
partie
profonde de l'écorce. Les LÉSIONS DE LA SUBSTAN
ndroits, ces plaques occupent tout le cordon postérieur et toute la
partie
des cordons antéro-latéraux comprise dans les c
erveau; arrêt de développe- raient, atrophie et état chagriné de la
partie
postérieure de l'aé- misphère droit. Examen h
égration, où la substance grise, rendue plus fragile, est tombée en
partie
sur les coupes. La limite des deux substances et
frontale, à son insertion sur la frontale ascendante, portaitsur sa
partie
moyenne un foyer ocreux, allongé, parfaitement
dans la cavité. Si l'on suit cette paroi, ainsi constituée sur les
parties
latérales, on voit que les couches se perdent suc
rapport avec les fonctions motrices ou sensitives de telle ou telle
partie
du corps : cela suffit, je le répète, à la path
cérébrale résultent de la perte de la sensibilité tactile dans les
parties
correspondantes du corps, si bien que la zone
rents centres ou territoires de la sensibilité tactile des diverses
parties
du corps se confondent en général avec les cent
lus que Charcot, qu'on puisse dire sans réserve que les lésions des
parties
de l'écorce qui déterminent des paralysies motr
troubles moteurs et le retour de la motilité volontaire dans les
parties
frappées de paralysie, sans recourir à aucune d
riés aux diverses régions de l'activité cérébrale ». Une excitation
partie
des « centres psychiques », par exemple, et con
Lehmann, sur la Fonction du corps strié [noyau caudé), seraient en
partie
favo- rables aux vues de Luciani 2. - 1 En It
dans on idée que la suppléance fonctionnelle ob- servée est due aux
parties
restées indemnes de l'écorce cérébrale elle- mê
onc pas lieu d'attribuer d'autres fonctions aux cosps striés qu'aux
parties
sus-jacentes de l'écorce cérébrale. « Les corps
orps striés, disent expres- sément Baginsky et Lehmann, forment une
partie
in- tégrante des appareils ganglionnaires de l'
naturellement capables de com- penser dans une certaine mesure les
parties
détruites. Ils avaient raison d'invoquer à ce s
r dans l'écorce cérébrale ; il doit siéger quelque part, dans les
parties
plus profondes du cerveau. La lecture du Mémoir
ception et de perception des excitations sensitives provenant d'une
partie
donnée du corps, et le point de départ du stimu
part du stimulus centrifuge volontaire, allant aux muscles de cette
partie
» '. La production directe de mouvements locali
orce cérébrale ? Tou- tefois, avec Vulpian, Albertom admettait que,
partie
des points les plus différents de l'écorce, l'i
régions postérieures du cerveau, demeurées indemnes, suppléent les
parties
enlevées. Il rappelle très bien à Goltz qu'il a
n hémisphère sont-ils limités exclusivement, ou de 'préférence, aux
parties
du corps correspondant au : siège de la lésion ce
d'une aire motrice quelconque, s'étendent plus ou moins à d'autres
parties
du corps, 'quoique les phénomènes soient plus n
dans la région dont le centre cortical a été détruit en tout ou en
partie
. Il résulte de ces expériences que si, pour dél
entissement passager des suites du trauma- tisme opératoire sur les
parties
voisines de l'aire corti- cale extirpée, ou à c
le prouve l'amendement rapide des troubles fonctionnels, certaines
parties
du centre enlevé, qui empiétaient sur les centr
pléance des phénomènes de paralysie peut s'ef- fectuer, au moins en
partie
, grâce aux ganglions de la base. Luciani note m
ivant Luciani, la topographie de l'aire sensitivo-motrice. Toute la
partie
antérieure du cerveau fait certainement partie
vo-motrice. Toute la partie antérieure du cerveau fait certainement
partie
de cette aire : elle comprend donc le lobe fron
émoignent les expériences; mais elles s'étendent sûrement jusqu'aux
parties
postérieures du lobe parié- tal (région F. de M
arti le matin à son travail. Il n'a- vait pas ou peu mangé, car une
partie
des aliments qu'il avait emportés de la maison
rmerie dans un état de grande surexcitation. On a dû l'attacher une
partie
de la journée. Vers deux ou trois heures de l'a
La sensibilité au toucher est conservée des deux côtés sur toute la
partie
antérieure du tronc, mais elle est atté- nuée à
mais elle est atté- nuée à gauche. Même état de la sensibilité à la
partie
postérieure du tronc et sur les membres. La sen
veau des points iliaques où elle est un peu moins nette que sur les
parties
voisines. Sensibilité spéciale. - Vision : 11 d
te avec les pieds et les mains, cherche ittse déchirer le cou et la
partie
Archives, t. XVIII. 27 418 recueil DE faits.
er. - Puberté : Visage glabre. Poils châtains, assez abondants à la
partie
inférieure du pénil et à la racine des bourses
de la grosseur d'un oeuf de pigeon. Verge bien développée. Gland en
partie
découvrable, méat normal. Quelques poils à l'an
st bien rare, habituellement la maladie est localisée dans quelques
parties
du corps. Avec cela apparaît une sensation de g
Dans quelques cas, on voit apparaître des douleurs dans différentes
parties
du corps. A ces symptômes physiques s'allient d
alades présente parfois des syllabes indistinctes, ce qui dépend en
partie
de la diffi- culté de mouvoir la langue, en par
ce qui dépend en partie de la diffi- culté de mouvoir la langue, en
partie
des altérations de la région mentale. Du côté s
circonvolution marginale : ces adhérences s'observaient encore à la
partie
infé- rieure de la circonvolution centrale anté
nt surtout en adhérences, occupaient la surface de la base et de la
partie
moyenne du cerveau : les signes de méningite trau
de la dure-mère, du volume d'une noix, que comprimait légèrement la
partie
postérieure du lobe temporal droit. Pendant la
carrés), à trois étages du torse thoraco-spinal, la première à une
partie
quelconque des vertèbres cervicales supé- rieur
du tuyau vasculaire, et par suite, obstruant, par son étoffe une
partie
de la lumière de l'organe. Cet épaississement se
le beaucoup à celui des autres vertébrés, on y distingue alors deux
parties
: le noyau caudé et le pulamen. Celle progressi
ste aucune relation conslatable. La racine antérieure pro- vient en
partie
du bulbe, en partie du cervelet. Le lien d'origin
conslatable. La racine antérieure pro- vient en partie du bulbe, en
partie
du cervelet. Le lien d'origine du bulbe est le
SOCIÉTÉS SAVANTES. tam-tam n'attirent l'attention que d'une petite
partie
de ces ma- lades, et encoren'est-elleqne fugiti
L'DIIAIIIES-ÉDITEURS Place de l'Écolo-de-Médecine 1888 PREMIÈRE
PARTIE
Historique. - Statistique. La nouvelle sectio
iller à l'atelier commun de la maison et leur travail compensera en
partie
, et pendant de longues années, les dépenses de
s enfants étaient valides, il était né- cessaire de les occuper une
partie
de la journée' et de ne pas' les laisser séjour
a possibilité. A vous de voir si vous devez demander le tout ou une
partie
. Veuillez agréer, etc. Le 21 juillet, M. Peyr
me V, p. 293. Elle concernait surtout la laïcisation. Celle seconde
partie
de notre réponse a paru dans le 7 mai (Ibid., p
hes que nous avons exposées ailleurs (1), en fai- sant prélever une
partie
de la dépense sur la subvention desix millions
e d'entre eux. Depuis cette époque, on a continué à en recevoir une
partie
à Bicêtre, à la Salpêtrière et aussi à l'ancien
l'asile de Vaucluse a été fondée ; enfin, on a construit une grande
partie
de la section de Bicêtre. C'est beaucoup, si l'
FALLIÈRES. LVII nous aurons réussi, sinon tout à fait, du moins en
partie
, nous aurons fait une couvre républicaine, oeuv
eux, d'asiles dé- partementaux et inter-départementaux. DEUXIÈME
PARTIE
Clinique. I. De l'Epilepsie procursive; P
ît à peu près constante déjà macroscopiquement. Dans une première
partie
nous traiterons de l'épi- lepsie procursive pro
basée sur un ou plusieurs symptômes isolés embrassant également en
partie
l'ancienne épi- lepsie procursive. C'est à Thom
vement l'idée. Heureusement qu'après avoir franchi diagonalement la
partie
tournante du chemin à quelques pouces du précip
pro- tubérance cérébrale changée en une poche remplie de sang en
partie
coagulé et mêlé à quelques débris de substance ne
e par un tremblement choréique occupant plus spécialement certaines
parties
du corps. Pendant les jours qui ont précédé cet
Le quatrième jour de cette médication on posa dix sangsues sur les
parties
latérales du cou, dans le but de détruire une l
ent, les os de la voûte crânienne furent atteints de nécrose et une
partie
de la table externe fut éliminée par exfoliation.
s et velus. Sur les orteils, cicatrices provenant d'engelures. A la
partie
ex- terne du genou gauche, cicatrice un peu dép
che ; une cicatrice de même nature au-dessous du mollet droit, à la
partie
pos- téro-interne ; le malade dit que ces diver
développée (circonférence : neuf et demi, longueur : 10). -Gland en
partie
découvert, découvrable. - Méat légèrement étroi
, occuperait la face externe et dorsale de celui-ci, gagnerait la
partie
latérale du thorax, la moitié droite de la face,
avec 0 gr. 0'a centigr. de nitrate de pilocarpine. 4 Cette première
partie
de l'observation a déjà paru sous le titre d'É-
core peu nombreux, sont exclusivement nocturnes. Il est une autre
partie
de l'histoire du malade qui a certainement asse
deuxième à la troisième frontale; elle communique largement à sa
partie
postérieure avec la scissure frontale supérieure,
rconvolution frontale, bien conformée, large, est dédoublée dans sa
partie
médiocre. - La deuxième circonvolution frontale
mé- diane partant de sa pointe dans la scissure de Sylvius; cette
partie
médiane se trouve inférieurement située à un demi
ble, le lobe frontal parait normal et très bien déve- loppé dans sa
partie
postérieure, mais en avant, quoique très plissé
ntale ascendante une scissure parallèle frontale in- terrompue à sa
partie
médiane par deux plis d'insertion de la deuxièm
tion frontale possède un pied grêle; son cap est subdivisé en trois
parties
par les deux rameaux anté- rieurs ascendants su
eurs ascendants supplémentaires de la scissure de Sylvius, mais ces
parties
réunies ne donnent pas un volume 'plus grand qu
ormé; mais la scissure occipitale trans- verse n'existe que dans sa
partie
supérieure; en dessous de la scissure interpari
rieur à 3 millimètres environ de la scissure interpariétale ; à sa
partie
médiane une scissure transverse assez profonde la
t avec un sillon vertical profond médian du lobule paracentral à la
partie
inférieure de la scissure fronto-pariétale inte
ée, découpée par de nombreux sillons verticaux; elle envoie vers sa
partie
médiane un pli de passage à niveau à la circonv
bien développé. - Le lobule paracentral bien développé envoie à sa
partie
inféro-antérieure un pli de passage assez gros à
noncée des bronches. Congestion du poumon avec un peu d'oedème à la
partie
postérieure du lobe inférieur. - Poumon droit.
la cavité droite du thorax; il est très congestionné sur- tout à sa
partie
postérieure. L'épanchement siégeait principa- l
partie postérieure. L'épanchement siégeait principa- lement dans la
partie
antérieure et médiane de la plèvre diaphragmàti
durée, blanche, for- mant un léger relief; mème hypertrophie sur la
partie
posté- rieure du lobe carré. Autres foyers ou
tale; sur la face convexe de la deuxième frontale à sa racine, à la
partie
la plus posté- rieure et la plus élevée de la s
'autre côté. On note des foyers d'induration avec hypertrophie à la
partie
antérieure de la face interne de la portion hor
on du corps calleux à la première frontale (face interne); - sur la
partie
inférieure et interne du coin (face convexe de
volumineux. Longueur de l'extrémité antérieure du lobe frontal à la
partie
moyenne de la face postérieure de la pa- riétal
la reliant à la deuxième circonvolution tempo- 1'ale, sinueuse à sa
partie
confondue, à la troisième par de nombreux plis.
ère en avant. - Le lobe quadrilatère, très long (7 centimètres à sa
partie
moyenne), est plissé et possède des sillons sup
s autres. Le sillon qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les
parties
postérieures du cerveau étaient relati- vement
e interne. La première circonvolution frontale, très volumineuse en
partie
dédoublée sur toute sa longueur par un sillon a
temporales, ainsi qne la circonvolution de l'hippocampe, unt été en
partie
détruites par le défaut de surveillance des piè
n pou écrasée dans son ensemble. - Crâne régulier; prédominance des
parties
occipitales; bosse occipitale cependant peu sai
olution frontale est également bien développée, très découpée; à sa
partie
médiane se trouve un sillon profond allant de l
n profond allant de la première scissure fron- tale au sommet de la
partie
triangulaire de la troisième circon- volution f
ter- rompent la continuité de la deuxième scissure en reliant les
parties
antérieure et postérieure du cap à la seconde cir
uite très irrégulière et mal délimitée du lobe temporal. Toutes les
parties
situées à l'entour de l'incisure préoccipitale,
mpú1"o-occipitales paraissent assez bien con- formées, toutefois la
partie
médiane de la circonvolution est légèrement en
ution du corps calleux ne pré- sente rien de particulier, mais à sa
partie
la plus postérieure au niveau du bourrelet du c
r, on trouve un petit pli de passage un peu en retrait qui isole sa
partie
pariétale; il existe deux rameaux antérieurs as-
e sillon précentral inférieur, l'autre situé entre l'opercule et la
partie
triangulaire de la troisième circonvolution va
nt la 108 DE l'épilepsie PROCURSIVE. pariétale ascendante en deux
parties
, une supérieure, et une inférieure; à un centim
trajet est interrompu par un pli de passage à niveau allant de la
partie
postérieure du pli pariétal supérieur au pli cour
scissure parallèle frontale, en formant ainsi un dédoublement de la
partie
postérieure de la deuxième circonvolution fron-
on- tale. - Un pli de passage légèrement en retrait, allant de la
partie
supérieure de l'opercule à la deuxième frontale,
e, inter- rompt la continuité de la deuxième scissure frontale à sa
partie
la plus postérieure. - La troisième circonvolut
tale est bien développée, mais irrégulière; on y trouve encore à sa
partie
la plus antérieure un pli de passage se rendant
La presque totalité du lobule pariétal inférieur, surtout dans sa
partie
postéro-inférieure, est chagrinée; il en est de m
nale qui est normale ; un pli de passage à niveau, maigre, relie la
partie
inféro-antérieure du lobule paracentral à la ci
toucher, on constate que la tête est très sensible dans toutes ses
parties
. Les oreilles sont longues et larges, les organes
'union du pariétal et de l'occipital, une autre plus petite vers la
partie
médiane et s'étendant à gauche à la partie supé
utre plus petite vers la partie médiane et s'étendant à gauche à la
partie
supérieure de l'occi- pital. - Front peu dévelo
sent proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas partant de la
partie
médiane au niveau de la suture fronto-pariétale g
anes génitaux bien développés ; prépuce assez long, recou- vrant en
partie
le gland. Testicules bien conformés, le droit est
rt : 43°,2. Autopsie (17 septembre 1885). - Rigidité cadavérique en
partie
disparue; coloration verdâtre de l'abdomen et d
rique en partie disparue; coloration verdâtre de l'abdomen et de la
partie
infé- rieure du thorax. Amaigrissement assez pr
bral gauche parait plus petit que le droit; il en est de même de la
partie
correspondante de la protubérance . 11 n'existe
inente et éraflée. Le lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la
partie
postérieure du lobe occipital, mais le lobe cér
la circonvolution frontale ascendante, l'autre entre le pied et la
partie
triangulaire de la troisième circonvolution fro
n parcours de deux centimètres sur la face convexe, va rejoindre la
partie
postérieure de la scissure interpariétale et pa
ieur, présente également des indices de dédoublement sur les autres
parties
; elle est bien développée et comme renflée vers
- La deuxième circonvolution frontale est volumineuse surtout à sa
partie
postérieure; elle s'insère à la frontale ascend
sième circonvolution frontale; l'un se continue directement avec la
partie
médiane de la portion triangulaire. - La deuxiè
maux. ,Hémisphère gauche. - La scissure de Sylvius se divise à la
partie
postérieure de la circonvolution pariétale ascend
bule pariétal infé- rieur qu'il divise entièrement en atteignant la
partie
moyenne du rameau descendant de la scissure de
profondes. La frontale ascendante est assez maigre surtout vers sa
partie
moyenne ; la pariétale ascendante est grosse, sin
s, est également très sillonné ; il est, pour ainsi dire, isolé des
parties
environnantes par une scissure irrégulière, sinue
a première temporale plissée envoie un pli de passage à niveau à la
partie
la plus postérieure du lobule pa- riétal inféri
ux qui, elle, est peu développée, cha- grincée, comme atrophiée; la
partie
la plus antérieure de la cir- convolution front
plus antérieure de la cir- convolution frontale interne et dans sa
partie
moyenne, sa moitié inférieure présentent égalem
plus irrégulier; mais en outre nous y notons la gra- cilité de la
partie
moyenne de la circonvolution frontale ascendant
. '135 mière et deuxième circonvolutions occipito-temporales, des
parties
antérieure, moyenne et inférieure de la circonv
en avant, l'autre en arrière du pli courbe; un peu au-dessous de la
partie
moyenne de la circonvolution pariétale ascendan
qui est le siège de méningo-encéphalite en quel- ques points de ses
parties
moyenne et postérieure, est très plissée, très
ée et irrégulière; elle projette deux plis de passage à niveau à la
partie
triangulaire de la troisième frontale. - La DE
tale, très irrégulière, scindée en plusieurs tronçons, présente une
partie
moyenne isolée allant rejoindre par un rameau d
émité antérieure du lobe tem- poral et s'étend jusqu'au de-là de la
partie
moyenne de la deuxième circonvolution temporo-o
paracentral, relativement assez gros, parait peu lésé, sauf dans sa
partie
la plus postérieure. - Le lobule quadrilatère p
e coin parait un 144 DE L'ÉPILEPSIE procursive. peu grêle dans sa
partie
supérieure. - La fissure calcarine, la couche o
calleux, surtout dans son tiers antérieur, le corps strié, vers sa
partie
postérieure, paraissent atrophiés. Hémisphère d
mi- formes; elle est complètement atrophiée, vermiforme, dans ses
parties
posrieure et tantéérieure, dans sa partie moyenne
ée, vermiforme, dans ses parties posrieure et tantéérieure, dans sa
partie
moyenne, il existe seulement deux Ilots non atr
passage courbe, atrophié; elle est atrophiée, vermiforme, sauf à sa
partie
moyenne où se rencontrent des traces de méningo
is de passage à niveau, atrophiés, à la troisième frontale; sur les
parties
anté- rieures des première et deuxième frontale
xième frontales, l'atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les
parties
postérieures. - La deuxième scissure frontale,
ffre cepen- dant une coloration légèrement ocreuse, surtout dans sa
partie
supérieure. - Lobe temporal. - Les trois circ
calloso-marginale est peu profonde, ses bords sont écartés dans sa
partie
moyenne. - - La circonvolution du corps calleux
recouvrait-il le DE l'épilepsie PROCURSIVE. 149 9 cervelet qu'en
partie
, le laissant complètement à découvert sur la p
cervelet qu'en partie , le laissant complètement à découvert sur la
partie
médiane. La pie-mère est oedématiée, l'artère c
me et du bulbe était de 150 grammes. Malheu- reusement ces diverses
parties
de l'encéphale n'ont pas été pesées isolément;
que, chez Duch... (Obs. LIV), le lobe moyen du cervelet était en
partie
atrophié. Parmi les phénomènes les plus constan
toujours de la protubérance ou de la moelle allongée, soit que les
parties
se trouvent directement comprimées par une lési
aractère irrésistible de par le fonction- nement à faux de diverses
parties
de l'organe. C'est ainsi qu'il peut se produire
ombre de fibres - = r> (Beaunis). Dans trois cas de lésion de la
partie
supérieure et externe du pédoncule cérébral, le
oisinage et à cause des actions à distance possibles sur les autres
parties
de l'encé- phale. - Aussi la symptomatologie de
ncontrées à l'autopsie n'étaient pas stric- tement localisées à une
partie
du cervelet, et elles ' Archives de Neurologie,
se tortille, les genoux se touchent, le pied ne repose que sur sa
partie
antérieure; les talons sont fortement relevés, la
1/2, circonférence 9 1/2. Pigmentation assez pronon- cée. Gland en
partie
découvert, découvrable; méat normal. Le testicu
le verre, il n'y a plus de grands mouvements comme dans la première
partie
de l'acte, mais seulement de petites oscillatio
nez ? » Il 11 répond : ce Là. » Il désigne parfaitement toutes les
parties
de son corps. Il est aisé de voir que ce n'est
prononcés; la bouche s'ouvre largement, les paupières se ferment en
partie
et la patte d'oie se creuse, mais un peu moins qu
e : en un mot, mouvements cho- réiformes prononcés dans la première
partie
de l'acte (du point de départ à la préhension d
de six ans; le plus souvent, à l'ori- gine, elle est limitée à une
partie
du corps, surtout au côté gauche, elle se génér
te... ' Si l'on a négligé ce sujet, ajoute-t-il, la faute en est en
partie
probablement aux indications exagérées des aute
enus qu'à un certain âge, et après avoir pu se développer déjà en
partie
, présentent beaucoup moins d'anomalies que les
bondants sur le pénil, les grandes lèvres, se continuant jusqu'à la
partie
la plus interne des plis inguinaux, avec pigmen
cas difficile de distinguer inférieurement les limites exactes des
parties
fournies par ces deux épiploons ; il semble qu'il
yclopédique des sciences médicales, 2 série, tome XXIII, pre- mière
partie
, Baraban, art. Péritoine (anatomie descriptive, p
t moins large et le plus souvent on retrouve sur sa face gauche des
parties
non adhérentes simulant des anneaux ou des orif
mander. - Un assez grand nombre de dessins que nous reproduisons en
partie
ici montrent d'ailleurs mieux que tout ce qu'on
ctique. C'est à elle que Mme Sollier se rattache également, mais en
partie
seulement, car elle va plus loin et, généralisa
ieure du dos. Trois cicatrices de vaccine dont une très grande à la
partie
postérieure de la région deltoidienne droite. C
des moustaches naissantes et quelques poils rares au menton et à la
partie
supérieure des joues. - Poils noirs, frisés, tr
celle-ci un service d'hôpital1. Tout cela forme un ensemble dont les
parties
s'enchaînent logiquement et que viennent compléte
toute la puissance de cette méthode, il suffirait de rappeler une des
parties
de l'œuvre inimitable de Duchenne (de Boulogne),
mencement (fig. 2,1). Chez le simulateur, le tracé se compose de deux
parties
distinctes. Au début, respiration régulière et no
uit et de dégager au besoin, des symptômes réels faisant foncièrement
partie
de [la maladie, les symptômes si Fig. S. — Sché
ée autrefois. La mensuration donne : A droite : A gauche : A la
partie
supérieure de la cuisse..... 48 cent. 52 cent.
lement qu'il a constaté qu'il existait une gouttelette de sang sur la
partie
antérieure de son genou, lequel n'était le siège
es, que porte l'atrophie. Je dis plus spécialement, car l'irritation,
partie
des nerfs articulaires, peut se répandre par diff
habituel alors que ces affections se localisent tout d'abord dans les
parties
mêmes où la piqûre, la contusion, la foulure se s
out le côté gauche, les membres, le tronc, la face, à l'exception des
parties
qui avoisinent les organes des sens, comme cela a
per si une lésion traumatique survient; et elle se manifestera sur la
partie
même qui aura été le siège de la contusion, de l'
ue tous les jours usage de l'aimant à distance ; la contracture de la
partie
inférieure de la face a disparu insensiblement ;
enoux. Ceux-ci contiennent une certaine quantité de liquide, et les
parties
molles qui les entourent sont évidemment tuméfiée
viter la douleur autant que possible. On a accusé encore le poids des
parties
, le liquide accumulé dans la cavité articulaire,
es douleurs spontanées, se manifestant surtout la nuit, siégeant à la
partie
inférieure de la fesse, le long de la cuisse et à
eant à la partie inférieure de la fesse, le long de la cuisse et à la
partie
interne du genou. Il y a eu, à un moment donné, d
ation. On peut ajouter, sans crainte d'être démenti, que le poids des
parties
ne joue, dans la production des déformations, qu'
sont dans un état de tension permanente qui détermine la rigidité des
parties
qui sont comme soudées. Aux mains, la déformation
ce, et que l'anesthésie occupe non seulement la peau, mais encore les
parties
profondes, muscles et troncs nerveux, puisqu'on p
olue de la notion des couleurs. On sait qu'à l'étal normal toutes les
parties
de la rétine ne sont pas également aptes à percev
ensuite le rouge, le vert, le violet, qui est seulement perçu par les
parties
les plus centrales de la réline. Dans l'amblyopie
ignaler, parce qu'elle se rencontre non seulement chez la plus grande
partie
des femmes hystériques que nous avons observées,
'une exacerbation douloureuse spontanée qui, par suite, constitue une
partie
de l'aura. Ce sont tantôt des battements, tantôt
ints ne se rencontrent pas sur les membres l. Mais on les voit sur la
partie
antérieure du tronc, au niveau de la ligne médian
iège'ti'rme^anomalie de position ou de développement, représenternine
partie
de zone hystérogène, ou bien c'est le prépuce don
ulais, au préalable, appeler votre attention. Eh bien, la plus grande
partie
de ces caractères peuvent se retrouver dans l'hys
enfin à le placer dans une maison de santé; mais, pendant une grande
partie
de la journée, il ne cessait de rôder autour de l
deux derniers doigts : ce dernier mouvement étant dû à l'action de la
partie
cubitale du fléchisseur profond. Ces mêmes fait
r. Chez les hémiplégiques, la contracture se relâche ordinairement en
partie
sous l'influence du sommeil ; 3° enfin, les circo
usqu'à la fin ; tandis que chez le simulateur, le tracé présente deux
parties
distinctes ; au début, la respiration est réguliè
violacée de 3 à 4 cent, de large sur 10 à 12 de hauteur, occupant la
partie
inférieure de l'avant-bras et le dos de la main.
l'hémianesthésie a complètement disparu ; il existe seulement dans la
partie
contracturée un sentiment de crampe pénible qui t
xtrêmement vives, siégeant dans l'avant-bras et dans la main, dues en
partie
à la pénétration des ongles dans les chairs, mais
errillon, chirurgien de la Salpê-trière. L'opération a été faite à la
partie
supérieure du bras : ce nerf médian, soulevé sur
halanges est encore incomplète, ce qui semble dû à une rétraction des
parties
fibreuses ; d'ailleurs, la contracture est rempla
ier 1882, M. Charcot a fait remarquer que, outre cette rétraction des
parties
fibreuses qu'on observe quelquefois, à la suite d
suration, il y a une différence de quelques centimètres en faveur des
parties
correspondantes du côté droit. La jambe et le p
i dire, sous l'influence de l'exercice des membres correspondant à la
partie
affectée du centre spinal ; ainsi, dans la paraly
descendante du faisceau pyramidal que l'on peut retrouver jusqu'à la
partie
la plus inférieure de la région lombaire. Cette
troces, permanentes, avec exacerbations siégeant dans le cou, dans la
partie
postérieure de la tête, par une sensation de cons
sont dans la demi-flexion. La peau, au niveau du genou, et même de la
partie
inférieure de la cuisse, est luisante, lisse, et
partie inférieure de la cuisse, est luisante, lisse, et adhérente aux
parties
profondes. Lorsqu'on fait des tentatives d'extens
qu'il perdait de vue les billes, dès que celles-ci entraient dans la
partie
droite du champ visuel. C'est là la première ment
émianopsie latérale peut être la conséquence delà lésion de certaines
parties
de l'écorce cérébrale Or, il semble résulter auss
e à être revisée à l'aide de documents nouveaux, reconstituée même en
partie
, sur de nouveaux fondements. Aujourd'hui je ne po
rer deux autres formes d'atrophie musculaire, qui faisaient autrefois
partie
du cadre trop large de la maladie de Duchenne-Ara
eudo-hypertrophi-que. Celte proposition serait démontrée, au moins en
partie
, si l'on trouvait d'une part des cas dans lesquel
duit facilement par un tracé à l'aide des appareils enregistreurs. La
partie
1 de la fig. 36 représente le tremblement intenti
ui tient une plume à écrire, et les mouvements qui agitent toutes ces
parties
rappellent quelquefois l'acte de rouler une boule
gènes parallèlement situées sur les deux seins, les deux flancs, à la
partie
externe, les deux mollets, les deux malléoles ext
a partie externe, les deux mollets, les deux malléoles externes et la
partie
interne de l'articulation du coude droit. L'exame
. L'isolement des hystériques est depuis longtemps considéré comme la
partie
principale de leur traitement. Nous n'en voulons
érisés, parallèlement situés sur les deux seins, les deux flancs à la
partie
externe, les deux mollets, les deux malléoles ext
a partie externe, les deux mollets, les deux malléoles externes et la
partie
interne de l'articulation du coude droit. Les zon
tat d'anxiété extrêmement péni ble, et souvent il restait ainsi une
partie
de la nuit, sans pouvoir trouver le sommeil. Ce
nt la dénomination de clownisme que j'ai proposée pour désigner cette
partie
de la deuxième période de l'attaque. De temps en
repose, soit sur le côté droit, soit sur le côté gauche. Toute cette
partie
de l'attaque est, chez G..., parfaitement belle,
quelques jours après un traumatisme dont l'action avait porté sur la
partie
antérieure de l'épaule gauche. Aucune trace de pa
ile, et là on reconnut l'existence de quelques contusions occupant la
partie
antérieure de l'épaule, du genou et du cou-de-pie
he, contusions légères qui n'entravaient pas sérieusement l'usage des
parties
affectées. Pendant quelques jours, on put croir
ut ce qui suit: signes bien caractérisés d'insuffisance aortique. Les
parties
qui ont été contusionnées ne sont le siège d'aucu
de l'omoplate, en arrière. L'insensibilité s'étend au même degré aux
parties
profondes ; on peut, en effet, faradiser fortemen
ralysé. Le malade peut, vous le voyez, mouvoir à volonté toutes les
parties
de ce membre. Mais ces mouvements sont peu énergi
é droit, l'épaule droite ayant, afûrme-t-il, porté la première par sa
partie
postérieure. Pas de perte de connaissance, ni mêm
et cette anesthésie cutanée, qui occupe d'ailleurs exclusivement les
parties
du membre où il y a impuissance motrice, se limit
arties du membre où il y a impuissance motrice, se limite du côté des
parties
voisines restées sensibles par des lignes qui off
nsibilité, d'ailleurs, n'est pas limitée à la peau ; elle s'étend aux
parties
profondes-, c'est ainsi que la faradisation, même
violents qu'ils soient. Au contraire, à la paume de la main, sur une
partie
de la face dorsale de ceux-ci, et sur toute l'éte
rte absolue des notions relatives au sens musculaire, dans toutes les
parties
qui correspondent à la paralysie motrice ; absenc
rrespondent à la paralysie motrice ; absence complète de rigidité des
parties
privées du mouvement, avec conservation du relief
hiale chez P... Il ne s'agit pas ici, à la vérité, d'une chute sur la
partie
postérieure de l'épaule, comme chez notre malade,
que le 3 avril 1884, c'est-à-dire il y a treize mois, il reçut sur la
partie
postérieure de l'épaule gauche l'extrémité d'une
l'extrémité de la poutre, et portant une poulie, avait frappé sur la
partie
postérieure et supérieure du crâne et y avait fai
ous ses modes, sur la main, les doigts y compris, l'avant-bras et une
partie
du bras; sur ces mêmes parties, la sensibilité pr
s doigts y compris, l'avant-bras et une partie du bras; sur ces mêmes
parties
, la sensibilité profonde est également annihilée
ne de ce dernier, elle se limite par une ligne qui atteint à peine sa
partie
moyenne ; sur le côté externe elle remonte encore
rière, elle dépasse à peine la région du coude, de telle sorte que la
partie
postérieure du bras est libre presque partout (Fi
ment courbée, à convexité inférieure, s'étendant un peu au-delà de la
partie
moyenne de la 1. .V l'exception de la brancha c
tion tirée du travail de M. Ross. la sensibilité dans les dernières
parties
de la main (cubital et radial pour la face dorsal
l'anesthésie, si fortement accentués cependant dans toutes les autres
parties
du membre. Ainsi, Messieurs, la monoplégie brac
sur l'une des cornes antérieures et sur une région très limitée de la
partie
la plus postérieure de la corne postérieure du mê
ter limitée comme nous le supposions tout à l'heure, avait envahi les
parties
médianes de la colonne grise, cette fois l'anesth
e Brain, avril 18?5, p. 18. une lésion limitée étroitement dans les
parties
antérieures de la capsule et par conséquent les t
, plus haut dans l'hémisphère, c'est-à-dire dans Fécorce grise ou les
parties
immédiatement sous-jacentes du centre ovale, qu'i
alysie motrice est ici remarquable par la mollesse, la flaccidité des
parties
; les divers segments du membre n'opposent aucune
trice, et qu'elle s'étend en arrière des circonvolutions médianes aux
parties
adjacentes du lobe pariétal \ Mais à coup Journ
chez lui, la paralysie occupe le membre supérieur gauche, et c'est la
partie
1. Voir l'observation détaillée du nommé Pin...
ns musculaire est également portée au plus haut point dans toutes les
parties
insensibles. Ces divers troubles de la sensibilit
aujourd'hui. Pin... peut, vous le voyez, mouvoir à volonté toutes les
parties
du membre supérieur gauche. Mais ces mouvements s
ues; si, par exemple, il nous était donné de reconnaître, du moins en
partie
, le mécanisme de la production de ces paralysies
lade d'un ton convaincu. « Vous ne pouvez plus le mouvoir dans aucune
partie
; il pend inerte le long du corps, etc., etc. » N
nnaître que l'anesthésie a envahi le moignon de l'épaule et gagné une
partie
de la poitrine du côté droit. Elle n'intéresse pa
lleurs seulement la peau, elle occupe encore, au plus haut degré, les
parties
profondes, à savoir les muscles, les troncs nerve
alysie rao-noplégique complète, marquée par la flaccidité absolue des
parties
, une aneslhésie cutanée et profonde occupant tout
bilité et les réflexes tendineux disparaissent simultanément dans les
parties
atteintes par la paralysie. — La monoplégie peut
savoir le coude, le poignet, les doigts enfin. De plus, sur toute la
partie
où le mouvement volontaire est aboli, et là seule
suivie de la perte de tous les modes de la sensibilité dans ces mêmes
parties
; de telle sorte, que, maintenant, la paralysie ar
té, parfaitement identiques : impuissance motrice avec flaccidité des
parties
, insensibilité cutanée et profonde, délimitation
ien chez Porcz..., que chez Pin... Il s'agit dun choc appliqué sur la
partie
postérieure de l'épaule et déterminé tout simplem
paraissent l. Mais j'appelle surtout votre attention sur la seconde
partie
de notre traitement ; elle est fondée sur cette i
, au niveau des Fig. 72, 73. — Observ. de Porcz..., le 7 juillet.
parties
redevenues sensibles du membre. Vous voyez par là
, 16 juillet, il existe seulement deux petites plaques sensibles à la
partie
postérieure du bras. Au contraire, des changement
eure du bras, des plaques sensibles sont disséminées çà et là sur les
parties
du bras et de l'épaule encore anesthésiées. La se
an fictif perpendiculaire à l'axe du membre i. Sur l'épaule et sur la
partie
antérieure du bras les bords de ces plaques sont,
service de chirurgie, se disputa avec un autre malade, à propos d'une
partie
de dominos. L'émotion qu'il éprouva fut telle que
la jointure, empiète au-dessus du ligament de Poupart, remonte sur la
partie
inférieure de l'abdomen et occupe même la fesse.
nt pour ainsi dire dans la peau, dételle sorte que le pincement de la
partie
du tégument externe qui recouvre la jointure est
l présente sa coxalgie, etc., etc. Enfin, Brodie ajoute que sur les
parties
affectées du membre, la température ne s'élève pa
re, non plus que le refroidissement relatif et la teinte violacée des
parties
, surtout prononcés au genou et à la jambe chez no
ns qu'elle s'irradie au-dessus du ligament de Poupart, remonte sur la
partie
inférieure de l'abdomen, presque jusqu'au voisina
i à la fesse. De plus, lorsque, soit au niveau de l'aine, soit sur la
partie
antérieure du genou, la peau saisie entre les doi
dividu, très vraisemblablement, est un simulateur. A cette dernière
partie
des conclusions, Messieurs, nous ne saurions évid
ntrât du côté de la jointure. La sensibilité de la peau était déjà en
partie
revenue, le malade commençait à répondre à quelqu
mençait à répondre à quelques questions, alors que la sensibilité des
parties
profondes (percussion du trochanter, du talon) n'
et cette douleur, l'observateur peut, à son gré, la localiser sur une
partie
quelconque du membre. Ainsi, de même qu'il y a
imitée à la peau qui recouvre la jointure, mais atteint également les
parties
profondes (capsule articulaire et synoviale) ; au
t pincer la peau impunément. Mais, de plus, l'anes-thésie a gagné les
parties
profondes, car on peut frapper sur le talon ou su
hez elles, sur le côté sensible, une anes-thésie de la peau, puis des
parties
profondes et enfin une paralysie motrice transito
une moitié de bœuf, pesant, paraît-il» environ 300 kilos, — sur celte
partie
du corps. Eh bien, Messieurs, nous nous proposo
paralysie, en appliquant un coup de poing d'intensité modérée sur la
partie
supérieure du membre. La sensation d'engourdissem
qui peuvent se montrer, à la suite de l'immobilisation prolongée des
parties
ou d'une compression trop forte exercée sur elles
milée, suivant les auteurs cités, à la rigidité qui se montre sur les
parties
ischémiées, dans l'expérience de Stenon ou encore
ée au plus haut degré, occupant non-seulement la peau, mais aussi les
parties
profondes et s'accompagnant de la perte plus ou m
embre sur lequel la compression a été pratiquée et elle se limite aux
parties
du membre situées au-dessous de la ligature; mais
u ces jours-ci et il nous a appris que la contracture ayant reparu en
partie
, peu de jours après sa sortie, il s'était mis ent
aucune de ces complications, il aura généralement perdu, en grande
partie
, tout au moins, la faculté de se faire comprendre
ples informations 2. 1. Le malade hystérique qui avait assistée une
partie
de la leçon paraît avoir été vivement impressionn
l et enfin, la lourde voiture lui passe sur le corps, au niveau de la
partie
supérieure des cuisses. — En général, à ce moment
put quitter le lit et sortir de l'hôpital pour se rendre chez lui en
partie
à pied ; 2° Il portait de grandes taches noires (
chaude et habituellement couverte de sueur. La transpiration sur ces
parties
est même, par moments, extrêmement abondante. La
t des plus remarquables. Ils portent à la fois sur la peau et sur les
parties
profondes. Pour ce qui concerne ces dernières, on
t 87. — Distribution des zones d'anesthésie dans les cas de paralysie
partie
des divers segments des membres, artificiellement
a région inférieure de l'abdomen, et se délimiterait, on le sait, des
parties
saines, par une ligne à peu près perpendiculaire
ors, en effet, l'anesthésie des membres inférieurs s'étendrait sur la
partie
inférieure de l'abdomen où elle se limiterait du
r la partie inférieure de l'abdomen où elle se limiterait du côté des
parties
saines, par une ligne perpendiculaire à l'axe du
omme chez les hystériques en question, l'anesthésie s'étend jusqu'aux
parties
profondes, que toutes les notions relatives au se
illroth, etc. Voir la Leçon XXVI. sairement, soit uniquement sur la
partie
du membre où le coup a porté, soit sur le membre
les premiers jours qui suivirent l'accident, le malade portait sur la
partie
antérieure de la cuisse droite et sur toute la pa
portait sur la partie antérieure de la cuisse droite et sur toute la
partie
inférieure de l'abdomen de larges ecchymoses ; on
sous le poids des roues, il n'est guère douteux, par contre, que ces
parties
, dans le temps où le malheureux a été projeté sur
endu à son côté; 2° Il n'y aurait pas eu de tuméfaction immédiate des
parties
; 3° Les mouvements de l'épaule et du coude étaien
cchymose qui s'étend sur l'épaule, la région sous-claviculaire et une
partie
de la face. Le membre supérieur droit est complèt
i étant supposé étendu (fig. 86 A et B) ; 2° L'anesthésie s'étend aux
parties
profondes. Les torsions, les tiraillements exercé
du sotivemr^e if^ force.m.Qr tr/ce, causée par la lésion de certaines
parties
du cerveau./ {Histoire naturelle de l'âme. Londre
l'Esprit, trad. A. Herzen, p. 249-250), « il paraît que c'est dans la
partie
frontale des circonvolutions (centres moteurs cor
tions musculaires dont nous lirons nos intuitions motrices... » « Les
parties
de la surface du cerveau, qui agissent comme cent
'opinion que « les centres moteurs, où qu'ils soient situés, sont des
parties
dont l'activité paraît absolument libre de phases
tres... » « C'est le changement de conditions du muscle excité et des
parties
con ligues, changement occasionné par le mouvemen
ne peut regarder légitimement les opérations mentales comme étant en
partie
immédiatement dues à l'activité des centres moteu
mbre inférieur, il a, nous vous l'avons dit tout à l'heure, repris en
partie
ses forces et ne présente plus les signes d'une p
midal, tandis que, dans le second cas, les modifications des diverses
parties
du système nerveux sont toutes dynamiques. Quel
t et dans un certain nombre d'observations plus récentes, il a été en
partie
confondu avec l'aphonie; tout au moins l'interpré
ue à celui qui amène la paralysie d'un membre, l'abolition de tout ou
partie
du champ visuel, etc. C'est de l'aphasie, mais co
arynx, on constate une intégrité parfaite de la muqueuse des diverses
parties
de l'organe ; les cordes vocales sont dans l'abdu
A ce moment, elle parlait par moments à voix haute, mais pendant une
partie
du temps seulement. A l'examen, je trouvai que, d
graphiques font, au même titre que les images visuelles et auditives,
partie
du langage intérieur et peuvent, elles aussi, com
bilité et les réflexes tendineux disparaissent simultanément dans les
parties
atteintes par la paralysie. — La monoplégie peut
rudimentaire ; on n'avait pas encore distingué le système nerveux des
parties
tendineuses. On prenait le cerveau pour une gland
se doit pénétrer dans la profondeur de Vorga?ie jusqu'aux éléments ou
parties
anatomiques indécompo-sables. C'est dans ces él
pathologique, intime qui suit pour ainsi dire pas à pas , dans chaque
partie
élémentaire, les diverses phases du processus mor
icale, traduction du Dr Jaccoud, 1.1. p. 53, 1863. + * * PREMIÈRE
PARTIE
Maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇON Car
fondie de ses caractères particuliers. Et cependant, messieurs, cette
partie
si intéressante de la médecine a été bien longtem
résente encore aujourd'hui ; le pé-nitencier qui en faisait autrefois
partie
avait été supprimé, l'infirmerie avait été fondée
n seulement sur les muscles de la vie de relation et sur les diverses
parties
du squelette, mais encore sur la plupart des orga
muqueuses. Celles-ci perdent en même temps dans le tube digestif une
partie
de leurs éléments villeux et glandulaires (3).
mène consécutif. Les granulations ainsi formées s'accumulent dans les
parties
les plus profondes de la membrane interne, lesque
e celle de l'adulte ; mais nous savons aujourd'hui que la chaleur des
parties
centrales reste à peu près la même à tous les âge
iste des maladies spéciales à la vieillesse, et qui se rattachent, en
partie
du inoins, aux modifications générales survenues
de mortalité dans cet hospice, Nous revien-drons plus tard sur cette
partie
de la question. 1. La fréquence des coagulation
e, à la Sal-pétrière. On ouvre les cadavres et l'on trouve une grande
partie
du parenchyme pulmonaire en suppuration.» Ces r
rand écart. La température extérieure s'abaisse, tandis que celle des
parties
centrales s'élève, et la différence peut atteindr
mène inverse, en provoquant un abaissement réel de la température des
parties
centrales. Sans parler du choléra (1), dont les e
sévi à Paris, j'ai eu l'occasion de constater que la température des
parties
centrales se maintient au degré normal pendant le
squ'au fond; c'est ainsi du moins, qu'on peut espérer de dissiper, en
partie
, f obscurité qui règne encore sur tant d'autres p
ôts d'urate de soude, soit à l'intérieur des jointures, soit dans les
parties
voisines. Mais indépendamment de ces affections
nte pas d'autres altérations dans sa.composition chimique. Mais cette
partie
de la question est encore assez obscure. Il paraî
a présence d'un acide libre dans l'urine, ou le peu d'abondance de la
partie
aqueuse de ce liquide, suffisent pour provoquer l
ude se forment dans le cartilage dinrthrodial (1): ils en occupent la
partie
la plus superficielle et sont logés, soit dans l'
ête le processus pathologique; il peut aller plus loin et envahir les
parties
étrangères à l'articulation ; les tendons, les bo
la couleur est si caractéristique. N'insistons pas davantage sur la
partie
chimique de la ques-tion : contentons-nous de fai
s-cutanés, qui se forment au voisinage des jointures, constituent une
partie
importante de la Symptomato-logie de la goutte ch
rvalles de rémission. Dès les premiers jours, un œdème prononcé des
parties
en-flammées, s'étendant bientôt au membre tout en
.— Ghar-cot. Gaz. Médic.,i863, n»* 36, 38, 39. — \7oir plus loin, IVo
partie
, III. 2. Guilbert. — De la Goutte. Paris, 1820,
de est augmentée d'une manière absolue. Une diminution nota-ble de la
partie
aqueuse de l'urine, une acidité prononcée de ce l
dans les ouvrages des anciens, ils se sont certainement approprié une
partie
considérable de leurs travaux. que ce mouvement
Ecosse ne se trouvent, à cet égard, dans les mêmes condi-tions que la
partie
méridionale du Royaume-Uni. D'ailleurs, c'est sur
globe, quoiqu'à un bien moindre degré. On la rencontre dans quelques
parties
de la France, surtout en Lor-raine et en Normandi
s'aperçut bientôt qu'en agissant ainsi, on détruisait la plus grande
partie
des matières saccha-rines contenues dans l'orge g
lées au sujet de la goutte pendant tout le dix-septième siècle et une
partie
du dix-huitième, se ratta-chent essentiellement à
s. On comprend dès lors que si le mouvement de désassimilation de ces
parties
s'exagère, il en résultera une saturation du sang
nique. L'affection que nous allons étudier porte sur l'ensemble des
parties
constituantes de la jointure, mais elle s'accuse
r la membrane synoviale et sur les cartilages diarthrodiaux; ces deux
parties
peuvent être affectées simultanément ou successiv
d'abord l'éburnation de la surface articulaire, soit aux dépens de la
partie
profonde du cartilage, soit aux dépens de l'os pr
issent par tomber, et laissent à nu les surfaces osseuses. Dans les
parties
jjrofondes, la prolifération des cellules Vig.
une sorte de sclérose de l'os accompagnée d'une vascularisa-tion des
parties
profondes. 11 se produit ici un phénomène singuli
pénétrée d'arborisations vasculaires, qui s'avancent parfois vers les
parties
centrales ; il est probable que les cas de vascul
s frappés depuis longtemps d'hémiplégie ou de paraplégie, surtout aux
parties
qui restent découvertes, lors-qu'il existe une dé
ilages diarthro-diaux étaient érodés. Fig. 16. — Représentation, en
partie
schématique, de la dissolution desurates qui incr
gères au rhuma-tisme. C'est donc l'altération simultanée des diverses
parties
de la jointure, suivant le mode que nous avons dé
tement dans le cours du rhumatisme articulaire aigu. La chaleur des
parties
centrales peut dépasser 40 degrés centigrades; ma
ours de cette étude, sur ces cardiopathies, qui font en quelque sorte
partie
intégrante du rhumatisme articulaire aigu. On peu
normal. Or c'est précisément sur les valvules, c'est-à-dire sur la
partie
la plus épaisse de l'endocarde, celle qui est la
du moins les capillaires voi-sins envoient des prolongements dans les
parties
privées de vaisseaux, comme il arrive pour la cor
e trouve quelque-fois comblé par l'allongement des deux autres; et la
partie
mécanique de la lésion peut guérir de cette maniè
alvule mitrale, elles affectent surtout la surface auriculaire et les
parties
qui se tou-chent; et qu'aux valvules sigmoïdes, c
rapprochés, tellement confondus, que la malade passait la plus grande
partie
du jour et de la nuit assise sur son lit, respira
dres permanents se sont dé-veloppés. La tuméfaction s'est emparée des
parties
molles, pour produire tantôt des hydarthroses, ta
la synoviale et du tissu sous-séreux ; elle s'est empa-rée aussi des
parties
dures, et c'est alors qu'on voit se pro-duire des
ins tranchée entre la goutte et le rhumatisme noueux, par rapport aux
parties
qui sont affectées en premier lieu. Dans la goutt
ésultent du changement de rapports qui s'est opéré entre les diverses
parties
du membre. Ces difformités sont presque toujour
use se produit bientôt, et il en résulte un rapide amaigrissement des
parties
. Le terme rhumatisme noueux ne convient guère aux
, la maladie suit une évolution plus lente, et les mouvements sont en
partie
conservés. Aussi les déviations sont-elles moins
es. L'atrophie des os, l'atrophie des muscles et l'amaigrissement des
parties
molles sont les accidents les plus ordinaires en
subissent toujours, à la longue, sous l'influence de l'immobilité des
parties
, un cer-tain degré d'atrophie et de dégénération
ents. Chez la plupart de ces ma-lades, le cou se trouvait élargi à la
partie
postérieure. C'est ainsi que la plupart des joi
on voit quelquefois des nodosités percer l'enveloppe cutanée; mais la
partie
mise à nu est de l'os, et non pas un dépôt tophac
; mais elle abolit plus ou moins complètemenL les mouvements de la
partie
affectée. Cepen-dant les malades continuent souve
l cas qu'on observe dans la jointure, à l'autopsie, des stries sur la
partie
éburnée des sur-faces articulaires. La rétracti
accès, delà rougeur, de la chaleur et une tuméfaction temporaire, des
parties
molles. Ce sont là de véritables accès que la mal
cartilages diarthrodiaux, soit au voisinage de la jointure, dans les
parties
molles. Les autres jointures delà main sont en
i-que souvent d'endopéricardite. Au cap de Bonne-Espérance, dans la
partie
du géranium, l'armée anglaise fournit une proport
ajorité des cas. Messieurs, Nous abordons aujourd'hui la dernière
partie
de notre cours. Nous avons rejeté le traitement d
t été bien étudiés par Wandt, Halford, Watson et Garrod. Toutes les
parties
de la plante sont utilisées, bulbe, se-mences et
dans lesquels nous venons d'entrer nous forcent d'abréger la dernière
partie
de cette leçon : d'ailleurs, on peut dire que le
ne, dans la majorité des cas, ne parviennent pas à guérir. DEUXIÈME
PARTIE
Thermométrie clinique dans les maladies des vie
rapprochées mais ne dépassent pas un degré. Dans son évolution, cette
partie
de la courbe montre tantôt une tendance progressi
n sur ce sujet, ont admis pour les besoins de la cause, que certaines
parties
du système nerveux ont, à l'état normal une influ
o-motrice consécutive ; mais en même temps il y a refroidissement des
parties
centrales, tenant en partie à la déperdition du c
en même temps il y a refroidissement des parties centrales, tenant en
partie
à la déperdition du calorique, en partie à la fai
parties centrales, tenant en partie à la déperdition du calorique, en
partie
à la faiblesse cardiaque résultant de l'accumulat
omène-inverse, c'est-à-dire un abaissement réel de la température des
parties
centrales. C'est sur ce point que je désire appel
algides, le refroidissement est tout extérieur, il n'atteint pas les
parties
centrales du corps. Il y a d'ailleurs un bon no
on observe,à des degrés divers, ce désaccord entre la température des
parties
extérieures et celles des parties profondes. Dans
désaccord entre la température des parties extérieures et celles des
parties
profondes. Dans certains cas d'agonie par exemple
éno-mène inverse ne se produit jamais. L'augmentation de cha-leur des
parties
externes ne va pas jusqu'à dépasser le cbiffre de
nflammation locale. John Simon avait conclu de ses expériences qu'une
partie
enflammée est un foyer où la température peut s'é
s la pneumonie par exemple, toujours le chiffre de la température des
parties
hypérémiées reste au-dessous du chiffre représent
s hypérémiées reste au-dessous du chiffre représentant la chaleur des
parties
pro-fondes. 1. Mais revenons à Yalgidité cent
les cas de gangrène traumatique ou spontanée, s'étendant aune grande
partie
d'un membre. 11 est avéré, vous le savez, qu'alor
ots se sont formés à la fois dans les artères et dans les veines, les
parties
sphacélées peuvent être une source d'in-fection.
On ne saLirait douter, d'après cela, que les substances putrides des
parties
sphacé-lées ne puissent, elles aussi, pénétrer da
bservations, s'accompagne d'un abaissement réel de la température des
parties
profondes. 1. Voyez : Brown-Séquard. — Archives
Gazette hebdomadaire en 1869. (21 mai, 19 nov., li dee-). TROISIÈME
PARTIE
Études pour servir à l'histoire de l'affection
server que dans ce dernier cas. Elle était blafarde, circonscrite aux
parties
saillantes delà jointure, et s'accompa-gnait d'un
et s'accompa-gnait d'un peu de chaleur et de gonflement œdémateux des
parties
molles ; elle n'était le plus souvent appréciable
nquait-elle sou-vent. Gonflement. — Le gonflement inflammatoire des
parties
molles superficielles de la jointure est tôt ou t
jointure est tôt ou tard remplacé par une tuméfaction permanente des
parties
profondes ; on ren-contre alors tantôt un gonflem
Cyclopec. of anatomy and physiology,avl.Hand). Dans les cas où les
parties
molles sont maigres et atro-phiées, le radius et
qui éprouve un sentiment de cram-pes des plus pénibles dans toute la
partie
postérieure du membre abdominal, et en outre, la
-quemment que la tête du métatarsien correspondant l'ait saillie à la
partie
interne du pied. Les craquements sont très facile
Il et V). Cette marche précipitée ne peut-elle pas être attribuée en
partie
à ce que, à cet âge, les muscles encore vigoureux
ire ne reconnaît pas pour cause, la propagation de l'inflammation des
parties
constituantes des jointures au tissu propre des m
mus arthriticus attaque constamment les articulations et ça et là les
parties
charnues, qu'il produit l'amaigrissement et rend
oquer, pour les expliquer, une af-fection des nerfs moteurs, ou d'une
partie
centrale du sys-tème nerveux? Certainement la gén
ent la généralisation, dans certains cas, des déviations à toutes les
parties
des membres supé-rieurs ou inférieurs, la symétri
ent tous les phénomènes nerveux qui se rattachent à la diminution des
parties
solides du sang. On observe souvent, même en de
lle avait des sueurs abon-dantes, surtout la nuit. La déformation des
parties
a commencé presque en même temps que la généralis
nt en même temps portés un peu en dedans. De plus, en examinant les
parties
de profil, on voit qu'il y a subluxation du tibia
utres femmes qui, par profession, séjournaient pendant la plus grande
partie
du jour dans des ateliers humides, où souvent mêm
lesquelles ont été pratiquées les autopsies qui font la base de cette
partie
de notre travail sont au nom-bre de six; elles on
Nous n'avons guère à nous occuper que des lésions qu'ont offertes les
parties
constituantes et accessoires des jointures. car
u moins obscurs, ou même presque nuls, la membrane synoviale avait en
partie
disparu. A sa place, on trouvait des tractus cell
ns du car-lilage, ou, d'autres fois, du cartilage lui-même, devenu en
partie
fibreux. Dans presque tous les cas, la membrane
luleuses de nouvelle formation plus ou moins épaisses, quelquefois en
partie
ossifiées. Ces gaines étaient souvent, sur le cad
s jamais rencontré soit dans les jointures elles-mêmes, soit dans les
parties
voisines, les dépôts crétacés qui, pour la plupar
main, où elle a produit des douleurs articulaires, mi gonflement des
parties
superficielles qui a gagné bientôt les parties pr
res, mi gonflement des parties superficielles qui a gagné bientôt les
parties
profondes et y a déterminé des déformations perma
oit se prend, devient rouge, et surtout gonflé. On applique sur cette
partie
une douzaine de sangsues qui soulagent momentaném
mplis, et quand on en palpe les contours, la mol-lesse habituelle des
parties
est remplacée par une résistance très grande ; il
, et quelques râles suspects ; en outre, de la. matité relative, à la
partie
postérieure et inférieure du poumon gauche. En ce
s péri-articulaires. Après avoir coupé successivement ces différentes
parties
, nous ne vîmes pas cesser le moins du monde l'obs
ation.—Les autres organes n'ont rien présenté de notable. QUATRIÈME
PARTIE
Mémoires et Observations sur la goutte et le rh
posés de telle manière que les plus volumineux occupaient surtout les
parties
superficielles et le centre du cartilage, tan-dis
tan-dis que les plus petits se rencontraient principalement dans les
parties
profondes et à la périphérie. Les tranches minces
i formait ces dépôts, examinée au mi-croscope, paraissait composée en
partie
d'une matière gra-nuleuse, amorphe, et en partie
raissait composée en partie d'une matière gra-nuleuse, amorphe, et en
partie
d'aiguilles cristallines. La constitution chimiqu
es qu'on rencontre assez fré-quemment chez les goutteux, sur diverses
parties
du pavillon de l'oreille. Ces concrétions ont é
rnier cas semble être le plus rare. Leur siège de prédilection est la
partie
supérieure de la rai-nure de l'hélix; mais on les
croyons que ces concrétions n'ont pas encore été rencontrées sur les
parties
qui composent le tiers inférieur du pavillon, sur
, ne dit point que cette congestion ait produit quelquefois, dans les
parties
où. elle se porte, un dépôt de matière tophacée.
ent à la suite d'une inflammation plus ou moins vive qui s'empare des
parties
avoisinantes. L'intervention d'un travail inflamm
cha peu à peu, d'abord par un point de la circonférence, puis par les
parties
profondes, et devint tout à fait mobile. Un jour,
r le côté droit de la poitrine. Le 16 mars, extrémités froides; les
parties
centrales présen-tent, au contraire, une températ
n de paillie appréciable, de telle sorte que, avant la dissection des
parties
molles, leur existence ne pouvait pas être reconn
ur étaient dissous jusqu'au noyau qui Fia. 28. — Représentations en
partie
schématique de la dissolution dés-unîtes qui incr
ube reste obstrué par la masse amorphe. On peut conclure de là qu'une
partie
de la matière qui constitue les dépôts blancs est
où elle paraît exister à l'état de masse amorphe, tandis qu'une autre
partie
du dépôt située en dehors des tubes paraît, au mo
, par une de leurs extrémités, et disposées sous formes de rayons. La
partie
amorphe et la partie cristalline ont d'ailleurs,
trémités, et disposées sous formes de rayons. La partie amorphe et la
partie
cristalline ont d'ailleurs, la même consti-tution
cide acétique et la dissolution des cristaux libres, on voyait qu'une
partie
du dépôt siégeait manifeste-ment dans l'intérieur
morphe, opaque, et prit la forme et le volume de tube urinifères. Une
partie
du contenu de ces tubes se dissolvant, on obtint
isposés de telle sorte que les plus volumineux occupaient surtout les
parties
superficielles et le centre du cartilage, tandis
ances et mémoires de la Société de bioloqie, 1859, p. 129. dans les
parties
profondes et à la périphérie. A l'examen mi-crosc
a montré les parti-cularités suivantes qui ne diffèrent pas pour les
parties
essen-tielles des faits que nous venons d'analyse
é transporté sur un brancard. Actuetlement (25 janvier), la majeure
partie
des articulations des orteils, surtout celles des
e complet; les extrémités supérieures et le thorax étaient les seules
parties
respectées par l'œdème. Le 15 avril, le malade
deur du cartilage sous forme de cônes, dont le sommet ré-pondait à la
partie
du cartilage en rapport avec l'os. Dans ces artic
acide urique ; puis la fonction des reins se rétablissait ensuite, en
partie
, d'une manière in-termittente, ainsi que cela a c
et en général dans toute l'Ecosse. Cela tient, suivant M. Bennet, en
partie
à la sobriété des ha-bitants, mais surtout à cett
r les bords externes du clos du pied, cependant, l'anesthésie sur ces
parties
est très peu prononcée. Depuis que ies accès se s
ille droite, plusieurs concrétions blanches et dures, siégeant sur la
partie
inférieure de Vanthélix ; une autre concrétion se
emplis, et quand on en palpe les contours, lamollesse habi-tuelle des
parties
est remplacée par une résistance très grande ; il
e et quelques râles suspects ; et en outre de la matité relative à la
partie
folliculeuse et inférieure du poumon gauche. En c
péri-articulaires. Après avoir coupé successive-ment ces différentes
parties
, nous ne vîmes pas cesser le moins du monde l'obs
, la douleur est étendue, large pour ainsi dire, et embrasse toute la
partie
affectée (Guilbert, De la goutte et des maladies
a face, s'étend rapidement d'un côté au cuir chevelu, de l'autre à la
partie
antérieure du cou et se complique d'un délire vio
la surface articulaire du fémur est recouverte dans la plus grande
partie
de son étendue par le dépôt blanc; les deux cavit
sont seuls envahis par l'urate de soude. Il peut arriver même que les
parties
immobilisées en conséquence de la rigidité des jo
itif. Thèse inaugurale. Paris, 1855, p. 25), la peau qui recouvre ces
parties
est pâle, lisse, polie, comme rétractée et pour a
de saillie appréciable ; de telles sorte qu'avant la dis-section des
parties
molles, leur existence ne pouvait pas être reconn
lier, peuvent être rapportées à plusieurs causes ; elles dépendent en
partie
de l'existence de végétations osseuses, développé
ons osseuses, développées au pourtour des surfaces diarthrodiales, en
partie
de la subluxa-tion des os dont les têtes arrondie
du côté du dos de la main; indépendantes jusqu'à un certain point des
parties
sous-jacentes, elles sont obscurément mobiles dan
aux d'avoir pu observer, tout récemment, un goutteux qui porte sur la
partie
centrale de la paupière supérieure gauche une tum
pous-sière blanche, d'aspect brillant, qu'on trouve répandue sur les
parties
du corps où la peau est recouverte de poils, — à
Mais c'est là un sujet que nous devrons toucher encore dans une autre
partie
de ce livre (voyez le chapitre XVI du Traité de G
tent aussi parfois avec les lésions qui surviennent dans les diverses
parties
des jointures, par le fait de l'immobilité prolon
et en général dans toute l'Ecosse. Cela tient, suivant M. Bennett, en
partie
à la sobriété des habitants, mais surtout à cette
dans des conditions spéciales qui suffisent à expliquer, au moins en
partie
, pourquoi la goutte est chez eux fréquente. Il pa
la nutrition les substances atburninoïdes, qui se changent en génile,
partie
constituante de ces tissus ; dans l'acte de la dé
faiblesse permanente et la rigidité plus ou moins prononcée de ces
parties
. La réalité de ce fait — dont la raison nous écha
e de moutarde, ou de térébenthine, pendant vingt minutes environ, les
parties
sur lesquelles ils doivent être appliqués. J'ai p
ns les cas où la maladie a agi avec intensité, se prêtent pour chaque
partie
à une description spéciale. Ici, nous devrons nou
cartilages diarthrodiaux, soit au voisinage de la jointure, dans les
parties
molles (p. 616). Artliriie sèche. — Le processu
casionner d'autre inconvénient qu'un iéger sentiment de gêne dans les
parties
affectées. Cependant, de temps à autre, il se pro
o instructo post anum profonde ex 1. Ces leçons forment la première
partie
de ce volume. » una parte ad alteram trajecto,
ssore Luigi Galvani. Bologna, 1841; 4,p. 15, p. 684-685). CINQUIÈME
PARTIE
Varia. VÀRIA I. Sur l'ostéomalacie senile
consacré au trem-blement (3), nous lisons que « l'affaiblissement des
parties
qui en est le résultat (de la vieillesse) dorme p
econde articulation phalangienne déformée, re-couverte encore par les
parties
molles. Les saillies pisiformes décrites par Hebe
solution se continue len-tement. On voit très clairement alors qu'une
partie
de ce dépôt siège dans l'intérieur des tubes urin
Babé, Editeurs, Paris. IMP MOHPOCO TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Maladies des Vieillards. Avis de l'éditeur...
s la majorité des cas. . . ,...........................272 DEUXIÈME
PARTIE
Thermométrie clinique dans les maladies des vie
les maladies pestilentielles.....?..........., . . . 330 TROISIÈME
PARTIE
Études pour servir à l'histoire de l'affection
..................................................... 391 QUATRIÈME
PARTIE
Mémoires et observations sur la goutte et le rh
e, de Garrod, faite par M. A. Ollivier............... 496 CINQUIÈME
PARTIE
Varia. I. Sur l'ostéomalacie sénile..........
x ALCAN ÉDITEUR 108. Boulevard St-Germain, 108. 1902 PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1901 (Bic
Bicêtre et Fondation Vallée) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1901. PREMIÈRE
PARTIE
SECTION I : Bicêtre, Histoire du Service pend
i il répète bien quelques petites phrases. L'enfant a eu une grande
partie
de l'année des engelures aux pieds ce qui a ret
'usage des objets usuels qui l'entourent, ainsi que les différentes
parties
de son corps et de ses vête- ments. Sa tenue es
xiv Traitement vIrDIGO-P);D : 1GOGIQUL7 : résultats. différentes
parties
de son corps. Comme exercices classiques nous n
et, rapport que nous avons dû exiger en ce qui concerne la dernière
partie
. Ce qu'elle ne dit pas, c'est que récompenses,
faire désigner, - la nomination viendra plus tard, les différentes
parties
du corps, de la vêture, des objets du réfectoir
ux tambours, Cuizin... et Bred..., savent convenablement faire lcur
partie
; - 2 autres élèves tambour prendront bientôt pl
r en cas d'absence. Société de gymnastique. - Les enfants faisant
partie
de cette société, au nombre de 2'i, ont pris part
ues petites phrases; lira couramment sous peu. Est passé à la 2 ? =
partie
du syllabaire Regimbeau. A appris à bien faire
aucoup retardé pour lire couramment. Il est cependant passé à la 2e
partie
du Syllabaire 13eimheau. Il continue à bien fai
l'année. - Ordres du jour des Commissions. - Recueil de chants (1 ?
partie
). -- Affiches diverses. - Entêtes de lettres, r
ait possible, facile même, de donner satisfaction aux malades d'une
partie
de la banlieue, par une entente avec l'assistan
ies : a) les enfants valides qui sont envoyées à l'école durant une
partie
de la journée; b) les enfants JNVA- LIDES, qui
Wit ? Espond.. Voici quelques renseignements sur des enfants qui,
parties
de très-bas, ont fait de sérieux progrès. VIJt.
ur tout ce. qui concerne l'enseignement. Elle ne connaissait qu'une
partie
des lettres et des chiffres, commençait à peine
us avons autorisé les sous-employées à faire repasser ou coudre une
partie
de leurs objets de toilette, bien entendu en de
à les soigner, il les éduquer de telle manière qu'ils puissent - en
partie
, du moins pourvoir il leur subsistance. Nous ne
être, on apprend d'abord aux enfants à connaître leur nom, puis les
parties
du corps, ensuite l'école, la rue, la ville, le
ant la pâ- ture il ses porcs, ceux-ci lui ont dévoré la tète et une
partie
du ventre. (Bonhomme Normand, 30 août-5 septemb
servent mal leurs malades et fabriquent des incurables. DEUXIÈME
PARTIE
Instructions médico-pédagogiques. BOURNEVILLE
entre les diamètres trans s verse et antéro-postérieur du crâne.
Partie
médiane inférieure du fron- tal, placée entre l
re, d'abord d'heure en heure, puis toutes les 2 heures. TROISIÈME
PARTIE
Clinique, thérapeutique, anatomie pathologique.
n arron- die, symétrique. Front bombé. Visage ovale, cicatrice à la
partie
gauche du front, suite de chute. Arcades sourci
la l'ouine; les oreilles sont longues (Ga mm.) et larges dans leur
partie
supérieure (4 cm.), fortement décollées. - Crân
ié droite; cette asymétrique se remarque aussi sur la face, dont la
partie
gauche est moins développée. La voûte pala- tin
du visage ovale. - Cicatrice de brûlure très étendue existant à la
partie
supérieure du front et s'étendant de chaque côt
rétrécissement du champ visuel. - Nez, un peu aplati, surtout à la
partie
inférieure, lobule assez gros, pas de déviation
uclaire et son retentissement sur la forme - - - - du fémur. A la
partie
moyenne de sa diaphyse l'os malade est plus LE
Planches II et V sont en outre intéressants parce qu'on voit à leur
partie
supérieure un espace resté inoccupé (cerclé de
ume. Aussi sur un os normal le centre de courbure ne siège pas à la
partie
moyenne de l'os, lieu de moindre résistance, ma
re de la ligne âpre se fait a un niveau plus ¡'a]7]J¡'oclté de la
partie
moyenne de la diaphyse : on en voit des exemples
ué; mais en même temps le muscle repoussera les deux lèvres vers la
partie
postérieure et leur dépla- cement ultime sera l
hent absolument; Fig. 3, fémur il fort développement musculaire. La
partie
rayée représente ce qu'il faut ajouter il l'os
lé est incliné en dedans,' en raison de la saillie supérieure de sa
partie
externe. Sur un fémur cl' hémiplégique, cette i
ant la bifurcation exter- ncdelaligneàpre, commcil l'avaitfait à la
partie
moyenne. Sur les planches précédentes on voit,
rtis sur le reste de l'os, il avait conclu que l'affaissement de la
partie
externe du plan poplité était le résultat d'un
difficile de trouver des symptômes de ce genre sur un os, mais à la
partie
supérieure de quelques-uns de nos fémurs nous c
sceaux d'un même muscle. Sur un fémur normal ilexiste souvent, à la
partie
supé- rieure de la diaphyse, au-dessous du peti
à l'aplatissement antéro-postérieur. Aplati trans- versalement à la
partie
moyenne l'os l'est en sens inverse à ce niveau,
ssement. Mais ce que ne peut dire le rapport c'est que, seule, la
partie
externe de la face antérieure est augmentée, et c
épaisseur de l'os, on obtient un indice de platymérie erroné. Cette
partie
externe de la face antérieure est seule augment
a donné insertion à un faisceau musculaire très actif tandis que sa
partie
adjacente (inter- ne) n'a fourni aucune inserti
son, plus développé que du côté sain (Planches XII et XIII). A la
partie
postérieure des os malades, la saillie de la cr
ul côté hémiplégie. Ceci existe sur les membres, comme sur d'autres
parties
du squelette : sur un bassin nous avons relevé
es sur les deux os d'un même sujet. La seconde particularité est en
partie
d'origine musculaire, tandis que la première dé
es repro- duit la I't. : w : ur : IV (ils n'y sont vus que par leur
partie
postérieure, mais leur aspect antérieur offrira
atymérique est moins prononcé. Sur la planche nous avons noirci les
parties
inoccupées de l'os et l'on voit que les muscles
en très mauvais état, les épiphyses non soudées sont absentes et la
partie
supérieure de la diaphyse est brisée : nous n'a
st celui qui, suivant la direction d'un os long, le partage en deux
parties
égales. Pour le fémur cet axe passe en bas par
et consécutivement le bâillement des surfaces articulaires il leurs
parties
internes. Pour que la déviation soit fixée, l'o
une courbure à convexité interne qui a pour résultat de relever la
partie
externe de l'extrémité inférieure et d'abaisser
elever la partie externe de l'extrémité inférieure et d'abaisser la
partie
interne, de sorte que la surface articulaire au
irmer que l'inclinaison plus prononcée des fémurs malades dépend en
partie
de l'impotence musculaire favorisée par la flex
ique, il reste à savoir quel point de repère doit être pris il la
partie
supérieure. Est-ce la tête ? Est-ce le grand tro-
de l'os iliaque où à l'ischion, toutes ces longueurs englobent des
parties
osseuses nullement équivalentes comme les os il
d'avant en arrière sur une coupe il est ( 4) elliptique, mais à sa
partie
antérieure il y a une gouttière limitée par deu
d externe ; - i, bord interne. - Sur la fig. 7 agrandissement de la
partie
a e (ptère sus épicondylienne) ; - Fig. 8 et 9.
éveloppe en hauteur et devient rugueux, il tend à s'avancer vers la
partie
interne et médiane de l'os. De cette translatio
la partie interne et médiane de l'os. De cette translation vers la
partie
médiane de l'os il résulte : ' 1° Que la lèvr
ions et les formes sont semblables (fit. G). Sur un humérus âgé, la
partie
externe de l'extrémité inférieure s'élargit con
côté interne nous avons vu le muscle produire de la platvoruic h la
partie
moyenne'de l'os, à la hautcur du V deltoïdien;
la hautcur du V deltoïdien; mais les rugosités de ce V occupent une
partie
importante de la face externe et le muscle ne p
muscle ne pouvant prendre son extension a ce niveau, le fait il la
partie
inférieure et y produit la ptère SUS-éJ1Ú : ondy-
plus souvent l'éruption est localisée au front, aux paupières, à la
partie
voisine des tempes, au cou, d'une apophyse mast
t, un peu fuyant. Faciès inintelligent. Thorax bien développé. A la
partie
inférieure du dos, fos- sette coccygienne trans
onde, à lobule détaché et peu développé, s'écartant beaucoup à leur
partie
supérieure de la paroi crânienne. Conduit auditif
luence des contrariétés et des émo- tions. Un duvet fin recouvre la
partie
supérieure des joues et les faces latérales du
saillants. Rien d'anormal à la percussion, ni à l'auscultation. La
partie
postérieure du thorax est recouverte d'un duvet
U malade. 99 conférence de 82 cent. à 4 cent. au-dessus du nombril (
partie
la plus large). Des veinosités nombreuses s'éte
a sensibilité à la piqûre et à la température existe sur toutes les
parties
du corps. l'as de retard dans les réactions mus
e connaît personne ; gâteux, ne peut pas se tenir debout. Passe une
partie
de la journée, les mains dans la bouche. Pube
ssage à la frontale ascendante et par un pli de passage, situé à la
partie
antérieure du lobe, à la deu- xième frontale. C
ale seulement en arrière ; elle est très développée et divisée à sa
partie
moyenne en deux parties par une scis- sure hori
e ; elle est très développée et divisée à sa partie moyenne en deux
parties
par une scis- sure horizontale supplémentaire (
erne. - Ce qui frappe avant tout, c'est l'atrophie du coin et de la
partie
postérieure du lobe occipital. La partie compri
'atrophie du coin et de la partie postérieure du lobe occipital. La
partie
comprise entre la scissure perpendiculaire inte
ou une 1Hihângo-encélJhalite chroniques. L'autopsie a vérifie en
partie
ce diagnostic. V. Malgré l'âge relativement ava
t pas épaissie et n'offrait aucune fausse membrane. Les différentes
parties
de la base de l'en- céphale, nerfs, artères,- t
véritables poils. Le pénil qui ne présentait de poils que dans sa
partie
inférieure en 1898, sur une hau- teur et une la
ue, régulière. Tragus petit, anti-tragus assez développé. Lobule en
partie
distinct en avant, confondu en arrière avec l'h
a seconde. La deuxième scis- sure temporale est interrompue dans sa
partie
moyenne par un volumineux pli de passage de '1
tion antérieure trifurquée, puis deux autres simples. T envoie à la
partie
postérieure de ce lobule deux digitations. A la
bres supérieurs, grêles, sont cyanoses à leur extré- mité (mains et
partie
antérieure des avant-bras) le membre' supérieur
. Les membres inférieurs sont cyanosés il leur extrémité (pied et
partie
inférieure de la jambe). Les cuisses, fortement
nférieure de la jambe). Les cuisses, fortement entrecroisées à leur
partie
moyenne, la droite passant sur la la gauche, so
sutures sont très finement dentelées. Il existe un os wormien à la
partie
posté- rieure de la suture interpariétale et un
ette méninge est épaisse et d'aspect blanc laiteux. Les différentes
parties
de la base du crâne et le trou occipi- tal n'of
optique et la bande- lette gauches sont un peu plus petits que les
parties
droites correspondantes. Le tubercule mamilla
e. FA et surtout PA sont aussi peu développées. - P1, Pu, PC et les
parties
postérieures des circonvolutions temporales son
iveau du lobe paracentral, se voit un second foyer qui a détruit la
partie
antérieure de Fi (face externe), toute la parti
r qui a détruit la partie antérieure de Fi (face externe), toute la
partie
antérieure du lobe paracentral ainsi que la moi
racentral ainsi que la moitié postérieure de I (face interne) et la
partie
corres- pondante du sillon calloso-marginal. Po
assage et des sillons assez profonds. La FA est peu développée ; sa
partie
supérieure a été détruite par la lésion congéni
'hémisphère et finissent par se fusion- ner en une commissure, à la
partie
inférieure du sillon de Rolando qu'elle paraît
t à la face externe de l'hémisphère), en antérieure (répondant à la
partie
postérieure absente de la Fi (sur la face inter
partie postérieure absente de la Fi (sur la face interne), et de la
partie
supérieure de F. A., et en posté- rieure (répon
la partie supérieure de F. A., et en posté- rieure (répondant iL la
partie
antérieure de la PA). Les deux faces, antérieur
qui suit de dedans en dehors la circonvolution du corps calleux, la
partie
supérieure du noyau caudé, et tombe enfin dans
avité ventriculaire. La base du ponts est limitée en avant par la
partie
anté- rieure de 1 (face interne) ; en arrière p
ieure de la cavité. En somme la base du porus a fait disparaître la
partie
postérieure de Fi, la plus grande partie du lob
orus a fait disparaître la partie postérieure de Fi, la plus grande
partie
du lobe paracentral et la partie supérieure de
postérieure de Fi, la plus grande partie du lobe paracentral et la
partie
supérieure de F A et la partie postérieure de l
nde partie du lobe paracentral et la partie supérieure de F A et la
partie
postérieure de la circonvolution du C C. La f
érieure du porus est limitée en avant et de dedans en dehors par la
partie
postérieure de la 1 , le bord postérieur de la
térieure de la 1 , le bord postérieur de la F A ; en arrière par la
partie
antérieure de la P1, et le bord antérieur de la
ure du porus a fait disparaître la portion postérieure de la 1 , la
partie
toute supérieure de la F A, et la portion anté-
intéressé une portion de la l ; notons l'intégrité de la F2 dont la
partie
postérieure saille dans la cavité du porus et s
e de la pariétale supérieure et (dans la profondeur seule- ment) la
partie
antérieure de la P A. Le moulage nous montre un
t sa branche horizontale sont perpendiculaires et arrondies. A la
partie
supérieure du porus les circonvolutions ont une
elluleuse de Cruveilhier). Les circonvulutions restantes, dans leur
partie
contiguë aux pseudo-kys- tes, sont irrégulières
ment lisses, arrondies. L'orifice do communication aboutissait à la
partie
supérieure de la couche optique et avait enviro
3. - «Aussi, votre Commission vous propose- t-elle de consacrer nnc
partie
du Crédit (5.000 fr.) devenu lihre par la suppr
(3) avait été vivement impressionnée par l'état déplorable de cette
partie
des ser- vices d'aliénés, surtout il Bicêtre (4
fait le 26 novembre 1878, p. 5 et 39.) Nous nous bornons à citer la
partie
de la délibération relative à la question qui n
e.. Contribution à l'étude de l'idiotie. - Ce travail comprend deux
parties
, dont la seconde a été faite en collaboration a
malade, parce que l'aplatissement yLilyuerilnc, qui le mas- que en
partie
sur l'os sain, n'existe pas. Bourneville, Bicêt
ndante. S 11, sillon de Rolando. S, extrémité du lobe temporal en
partie
détruite par la lésion et laissant en partie à
té du lobe temporal en partie détruite par la lésion et laissant en
partie
à découvert le lobule de l'insula. Sc p, scissu
XVI BoUwrwr.r.e. Bicêtre, 19ü(. Hi TABLE DES MATIERES PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'aunée 1 J01. SE
contre le D Loir................................ CxLIII DEUXIÈME
PARTIE
- Instructions médico-pédagogiques. Antécéden
... CLVIII Appendice .............................. CLX TROISIÈME
PARTIE
Clinique, thérapeutique, anatomie pathologique.
ait par des injections de sue thyroïdien. (Session de Pau, 1892,1r8
partie
, p. 292.) ' La malade qui a reçu le moins d'i
e vertébrale forme une saillie notablement exagérée au niveau de la
partie
inférieure du cou et de la partie supérieure du
ablement exagérée au niveau de la partie inférieure du cou et de la
partie
supérieure du dos; il existe également une légè
ospitaliers de Paris; de 1883 à 1889 il passe encore la plus grande
partie
de son temps dans les hôpitaux, mais non plus c
la nutrition du tube nerveux pris dans son ensemble; le cylindraxe,
partie
essentielle du tube nerveux, ne saurait devenir
de cet organe que débute la lésion dégénérative de la myéline, sa
partie
centrale étant déjà liquéfiée et transformée en b
arier la vis micrométrique, on constate facile- ment que toutes les
parties
du '^cylindraxe ainsi contournées, ne sont pas
be nerveux, par la désin- tégration de la myéline débutant dans les
parties
les plus voisines du cylindraxe, par le contour
d il eut des phénomènes paralytiques du côté gauche qui cédèrent en
partie
et il subsista une amnésie avec hébétude et mic-
u dans le lobe occipital gauche. Ce foyer s'étendait sur une grande
partie
de la scissure calcarine, et des lobules lingual
ramollissement avait envahi aussi le bourrelet du corps calleux, la
partie
postérieure du tha- lamus opticus et la queue d
i et dégénéré secon- dairement. Le forceps major est intact dans la
partie
supero-ex- terne et complètement dégénéré dans
ct dans la partie supero-ex- terne et complètement dégénéré dans sa
partie
médiane. Le faisceau longitudinal inférieur est
iane. Le faisceau longitudinal inférieur est aussi ramolli dans ses
parties
postérieures; ce faisceau important d'associati
esque com- plètement dégénéré. Le bourrelet du corps calleux est en
partie
ramolli; il en est de même pour quelques partie
orps calleux est en partie ramolli; il en est de même pour quelques
parties
du tapetum du corps calleux. La partie convexe
n est de même pour quelques parties du tapetum du corps calleux. La
partie
convexe du lobe occipital est indemne, même au
tiques commencent à se dissiper, on électrise comparative- ment les
parties
corticales lésées et les points symétriques de l'
membres de la moitié opposée du corps. De plus, au voisinage de la
partie
de l'écorce totalement enlevée, il s'est reform
rique, réaction dégénérative, absence des réflexes tendineux et, en
partie
, des réflexes cutanés, intégrité de la sensibil
eux qui étaient le moins atteinls, l'affection n'envahissait qu'une
partie
de l'ongle suivant une section longitudinale, et
qu'une partie de l'ongle suivant une section longitudinale, et la
partie
malade était séparée de la partie saine par un si
une section longitudinale, et la partie malade était séparée de la
partie
saine par un sillon longi- tudinal ; les ongles
rès quatre semaines de traitement, la malade perd ses ongles et une
partie
de ses cheveux; à la fin de décembre, des ongle
s la plaie, pénétrant ainsi dans le cerveau, pratiqua la suture des
parties
molles : c'est alors que le blessé recouvra une
recouverle par une membrane fibreuse très dense. La dissection des
parties
montra une fracture triangulaire; la base du tr
athologiques ou névropathiques, qui fut frappé avec une brique à la
partie
anté- rieure gauche de la tête : quatre jours a
demeure apparente, c'est-à-dire dans la région correspondante à la
partie
moyenne et supérieure de la REVUE DE THERAPEUTI
e ; elle adhérait si étroitement à la substance grise qu'une petite
partie
de celle-ci suivit la tumeur au moment de l'ouv
nt de si longues années, qu'on peut et doit les considérer comme la
partie
essentielle de la maladie et non comme un simpl
s de conduction. Structure du cerveau. Fonctions psychologiques des
parties
cen- trales ; actions réflexes et automatiques;
sieurs malades, attirés parles crisdu malheureux, assistèrent à une
partie
de la scène. Transporté à l'infirmerie, Maître su
e ces douleurs spon- tanées ou provoquées, il existe dans ces mêmes
parties
du corps une sensation habituelle d'engourdisse
ôtés, surtout à gauche, et cet affaiblissement s'explique en grande
partie
par des opacités des cristallins, ainsi qu'il rés
dans l'oeil gauche. Le champ visuel des deux yeux ayant une grande
partie
commune, on ne se rend que difficilement compte
lobes temporo-pariétaux, et en parti- culier du pli courbe dont la
partie
la plus superficielle était remplacée par du ti
e oreille, il trouva à l'autopsie une' tumeur dont la plus ancienne
partie
était au-dessous de la première circonvolution
bilité galvanique des nerfs et des muscles est, on le sait, une des
parties
les plus importantes de l'exa- men électro-diag
des et des tissus, de la résistance du circuit dans ses différentes
parties
et aussi de certaines conditions instrumentales
ndue que nous donnons au compte rendu de ce travail, dans certaines
parties
duquel nous sui- - vrons l'auteur presque pas à
roportion des amendés était de 63,6 p. J00. Ces calculs reposent en
partie
sur des estimations; en 1887 et 1888 on a essay
ns lesquels des musiciens ont soudainement oublié leur rôle on leur
partie
dans des opéras ou des concerts. Mais il s'agit
voir une cavité qui pénètre dans la scissure de Sylvius, et met en
partie
à nu l'insula et l'extrémité antérieure de l'op
e 5 à 15 millimètres de profondeur suivant les points observés. Les
parties
correspondantes de l'hémisphère droit ont leur
inquants . dits irresponsables. M. Charpentier. Dans une première
partie
de sa communica- tion, après avoir parlé du lib
prit, qui, pour lui, n'ont aucune signification. Dans la dernière
partie
de son argumentation, M. Charpentier pense que
dividu ayant commis un méfait, mais irresponsable en totalité ou en
partie
. M. Charpentier estime que la loi de 1838 qui l
pour telle ou telle question médico-administrative, de rédiger une
partie
de la correspon- dance avec les familles, etc.
rne puisse se consacrer tout entier à. sa besogne et que la majeure
partie
de son temps ne soit pas absorbée, comme cela s
de cette instabilité, les chefs de service perdent la c plus grande
partie
de leur autorité et toute direction médicale «
istants seniors. Le chef de service par- tage avec ces derniers une
partie
de sa besogne administrative et médicale (déliv
plusieurs fois. Ils ne sont considérés comme faisant définitivement
partie
du [cadre des médecins des asiles, qu'après qua
tion des pro- longements cellulaires dans les cornes antérieures en
partie
. Schaffer aussi rencontra dans la polynévrite a
pe transversale de la moelle épinière la disparition d'une grande
partie
de fibres nerveuses. Nous devons maintenant men
des lésions aiguës et très pro- noncées de la moelle épinière et en
partie
du bulbe. Le malade âgé de vingt-un ans, entre
st accessible à l'air seulement dans sa portion supérieure. Dans la
partie
supérieure de la portion inférieure du poumon d
urs de la moelle épinière s'explique de la manière suivante : une
partie
des racines postérieures continue sans interrupti
vec le changement très marqué de la moelle et du bulbe et aussi des
parties
situées plus haut, les symptômes cliniques du c
sectionne la tête du mouton par une incision faite au niveau de la
partie
moyenne du larynx, puis on enlève un morceau de
'une longueur de 5 à 6 centimètres ; c'est précisément dans cette
partie
que se trouve le corps thyroïde, on peut donc se
sation et de filtration sous pres- sion ; on opère sur un mélange à
parties
égales de glande, glycérine et eau salée. Les l
ient puis on les arrose avec deux fois leur poids d'un mélange de 2
parties
de glycérine pour 1 partie d'eau préalablement
deux fois leur poids d'un mélange de 2 parties de glycérine pour 1
partie
d'eau préalablement stérilisée et on laisse en
et une nouvelle dose d'acide borique ; le sucre absorbe une grande
partie
du suc de la glande et l'on obtient un mélange à
ice en dehors de l'olécrâne gauche, cicatrice de vésicatoire sur la
partie
moyenne du bras gauche. Derrière l'oreille gauc
e compte comme il conviendrait de cette remarquable observation. La
partie
cli- nique est un peu courte et un peu insuffis
le diagnostic exact n'a pas été fait pendant la vie. En revanche la
partie
anatomique est traitée avec beaucoup de soin et
tic, l'auteur, mieux informé, est d'avis qu'une embolie infectieuse
partie
d'une des veines pulmonaires a pénétré dans l'u
eure des circonvolutions frontales et pariétales ascendantes et des
parties
qui avoisinent l'extrémité inférieure du sillon
bien le son est conduit; mais il faut faire la part de l'état des
parties
molles qui recouvrent les os, leur atrophie étant
ntérieurs ne donne pas d'anal- gésie, pas plus que la section de la
partie
antérieure de la moelle, c'est-à-dire de l'ense
la moelle, c'est-à-dire de l'ensemble des cordons antérieurs, de la
partie
anté- rieure des cordons latéraux et d'une part
antérieurs, de la partie anté- rieure des cordons latéraux et d'une
partie
des cornes antérieures. La section isolée, à l'
e un peu en avant des faisceaux pyramidaux; si la destruction de la
partie
postérieure de la moelle ou des cordons latérau
scussion avec Rosin. Conclusions. - Si nous caractérisons l'une des
parties
fondamen- tales du corps de la cellule, en disa
elle est colorable, et si nous établissons qu'il existe une seconde
partie
constitutive du même corps cellulaire qui, elle
dénommer chacun des éléments mor- phologiques. Les composants de la
partie
constitutive colorable seront, suivant les figu
esque exclusivement, sont occupées par de la substance blanche. Les
parties
qui sont sur la ligne médiane sont alimentées p
res à direction antéro- postérieure, longeant la ligne médiane. Les
parties
latérales, y compris les tubercules quadrijumea
es rameaux qui se détachent sous un angle aigu se rendent : 1° à la
partie
médiane de la substance noire de Soemmering ; 2°
istent des deux côtés de la ligne médiane, et ceux qui occupent les
parties
latérales el postérieures c'est-à-dire les tube
quadrijumeaux. Il n'y a pas de vaisseaux unissant les vaisseaux des
parties
latérales et médianes de la région des pédoncul
ies latérales et médianes de la région des pédoncules cérébraux. La
partie
médiane du côté où l'on a fait l'injection est
iane du côté où l'on a fait l'injection est très bien injectée ; la
partie
médiane de l'autre côté est peu injectée ; l'in
est peu injectée ; l'injection ne pénètre pas ailleurs, ni dans la
partie
postérieure (tubercules quadrijumeaux). La sphère
icts vasculaires. Il n'y a pas non plus d'union vasculaire entre la
partie
médiane et la partie latérale d'une part, ni en
n'y a pas non plus d'union vasculaire entre la partie médiane et la
partie
latérale d'une part, ni entre la partie médiane
tre la partie médiane et la partie latérale d'une part, ni entre la
partie
médiane et la partie posté- rieure d'autre part
et la partie latérale d'une part, ni entre la partie médiane et la
partie
posté- rieure d'autre part ; le territoire vasc
ut par des symptômes en rapport avec l'altération du territoire des
parties
animées par i'oculo-moteur commun. P. KERAVAL.
ensation aux attaques d'une certaine presse qui les prend souvent à
partie
. M. B. ASILES D'ALIÉNÉS. L'INTERNAT DES ASILE
donnent la proportion d'un arriéré pour 500 habitants ; la sixième
partie
de ces arriérés doit être hospitalisée. On peut,
n antérieure à celle des caillots entraînés par le lavage. Sur la
partie
moyenne du bord externe de l'oreillette droite se
'oreillette au-dessus du caillot adhérent dont nous avons parlé. La
partie
de la surface interne du péricarde correspondan
enue par le lacis pié-mérien. On voit seulement une dépression à sa
partie
postéro-interne. A la coupe les subs- tances gr
t ramollies dans toute leur étendue avec maximum de diffluence à la
partie
interne. L'hémisphère droit tout entier n'est q
lesquelles le malade fut privé de l'usage de la parole; pendant une
partie
au moins du même temps il était inconscient. L'
e peintre, qui demandait à être soigné pour une plaie siégeant à la
partie
interne de la jambe droite. Pendant son enfance
droite elle répondait mal il l'excitation faradique. Le raphé de la
partie
-molle de la voûte palatine était dévié à gauch
cas qui a commencé par une paralysie unilatérale de la langue, des
parties
molles du palais, et du larynx du côté droit po
'une paralysie unilatérale complète du côté droit de la langue, des
parties
molles du palais, du pharynx et du récurrent la
s provenant du nerf vague et du nerf vague accessoire occu- pent la
partie
inférieure et externe de cette colonne. 3° Dans
e inférieure et externe de cette colonne. 3° Dans le pharynx et les
parties
molles du palais, le réflexe de la nausée paraî
e, d'où ils émergent avec le losso-pharynrien; 4° Les muscles des
parties
molles du palais ne sont pas innervés par des f
leur milieu et sur la moitié de leur largeur. Ramollissement de la
partie
sous-jacente à la tumeur ainsi que du lobule li
issure de Leuret du mouflon conflue avec la scissure centrale et la
partie
moyenne et inférieure de cette scissure repré-
bien représentée chez l'homme. La scissure olfactive représente sa
partie
frontale. La partie tempo- rale de celle-là est
ez l'homme. La scissure olfactive représente sa partie frontale. La
partie
tempo- rale de celle-là est représentée chez l'
ontinue chez l'homme dans la scissure collatérale, qui existe comme
partie
occipitale de la scissure rliiuale chez les ani
gittales de la pre- - migre circonvolution frontale représentent la
partie
frontale de cette première scissure de Leuret;
ure coronaire (supérieure). Chez l'homme, M. Benedikt a retrouvé la
partie
pariétale dans certains cerveaux par exemple da
l'homme, la scissure dite première scissure frontale représente la
partie
frontale de cette scissure, qui est interrompue
certains cerveaux comme chez un Américain décrit par Benedikt cette
partie
est au contraire très accentuée (c'est alors la
re de Leuret est complète chez le narval décrit par Turner, pour la
partie
temporo-pariétale et centrale et assez complète
lobe frontal. Elle y manque pour le lobe occipital. Chez l'homme la
partie
frontale de cette troisième scissure de Leuret
est la scissure dite scissure seconde frontale. Elle manque dans la
partie
centrale et en général dans la région sus-sylvi
occi- pital (comme troisième scissure occipitale) où elle sépare la
partie
externe de la circonvolution fusiforme de la tr
de carnivores doit être reconnue comme représentante au moins de la
partie
supérieure de la scis- sure centrale des primat
econde scissure de Leuret, par exemple des carnivores représente la
partie
moyenne et inférieure de la scissure centrale et
de la troisième scissure de Leuret, des carnivores correspond à la
partie
inférieure de la scissure rétro-centrale de l'h
e la seconde scis- sure de Leuret des carnivores correspond dans sa
partie
supérieure -à la scissure pariéto-occipitale ex
e -à la scissure pariéto-occipitale externe de l'homme et dans sa
partie
inférieure à la seconde scissure temporale de l'h
isante : nous ne pouvons qu'indiquer, avec l'auteur, que la majeure
partie
du problème qui consiste à pourvoir à l'assis-
que en général, surtout au bras et à l'avant-bras gauches. Toute la
partie
supérieure du membre semble plus amaigrie que l
s. Toute la partie supérieure du membre semble plus amaigrie que la
partie
correspondante du membre du côté opposé. ÉTUD
es doigts. La a peau est d'un rou ? e vineux, bleu noirâtre sur les
parties
saillantes. Le passage à la peau normalement co
a pris le cerveau et la moelle, les ganglions intervertébraux, les
parties
cervicale et thoracique du grand sympathique, l
des différents points du membre atteint au-dessus et au-dessous des
parties
oedématiées et quelques muscles de la main. Les
ent sclérosés avec un emlollié- lium gonfle. Plus on s'approche des
parties
oedématiées, plus les vaisseaux et les fentes l
très évidente et très déplorable dans l'influence exercée sur la
partie
la plus faible de la population par l'augmentatio
a responsabilité qui lui incombe par suite de l'éloigne- ment de la
partie
la plus saine et la plus vigoureuse. Bien que l
lles il nous faut nous représenter reliées entre elles les diverses
parties
de notre écorce cérébrale. C'est le jeu des ond
e de la vie concep- tuelle ou stupeur, et paralysie psychique d'une
partie
du corps par le détournement dans d'autres grou
er de circonvolution du corps calleux au niveau des ascendantes; la
partie
interne de la capsule interne est altérée. P. K
vue obliquement par derrière ajjrès " * ablation des arcs et d'une
partie
des corps vertébraux. Prolonge-, \ ) ment dans
a tumeur. N, nerf intercostal visible sous la plèvre réclinée, à la
partie
inférieure de la tumeur. 1% i. 21. Observat
e et de la tumeur; D M, dure-mère; S, smface de section séparant la
partie
intra-rachidienno de la tumeur; lt A, racine anté
on, et n'ayant présenté d'autre blessure immédiate qu'une plaie des
parties
molles au niveau de la bosse pariétale gauche, re
e gauche ne donnaient à l'éclairage aucune réaction pupillaire ; la
partie
droite de la rétine gauche, éclairée par un fai
V, 1893.) , . - Sont, d'après l'auteur, des centres sensoriels, les
parties
du cer- veau qui sont pourvues d'une couronne r
ce sont des centres recevant et groupant les origines de toutes les
parties
du système de projection, considérées, quel qu'
s ascendantes, le pied des fron- tales, le lobule paraceutral et la
partie
de la circonvolution du corps calleux qui limit
e centre pariétal passent l'un dans l'autre par le pli courbe et la
partie
postérieure du trigone. Il serait donc juste de
frontal comprend tout le lobe frontal moins le pied des frontales (
partie
des frontales située en arrière d'une droite ti
e qui entoure la substance grise (zone interne), plus large dans la
partie
antérieure et latérale, allant en se rétrécissa
ostérieurs se compose, dans la moelle lombaire, pour la plus grande
partie
, de fibres myélogènes dont les cellules origine
fournit : a) au cordon latéral du côté opposé ; b) pour une petite
partie
au cordon latéral du même côté ; c) quelques fibr
leux. Les deux couches passent dans le lobe occipital (Sachs); à la
partie
moyenne de celui-ci, la couche interne a une di
elles arrivent, du reste comme les fibres de la couche externe, aux
parties
homologues du segment inférieur. La région plac
interrompue de fibres du corps calleux ; en arrière ou en haut, les
parties
médianes du fragment moyen de Beevor (splenium)
au noyau amygdalien, au pédoncule antérieur de la glande pinéale.
Partie
constituante de l'extrémité inférieure ou caudale
lexion formé par la branche latérale delacorne d'Ammon qui, dans sa
partie
médiane, contient les fibres antéro-inférieures
vent en dedans du corps godronné auquel elles se rendent. Certaines
parties
de la lyre sont très étroitement unies au corps
e que les fibres nerveuses des racines postérieures se terminent en
partie
dans les cellules des colonnes de Clarke, lesqu
mobiles que les scolomes. Les manifestations en question gagnent la
partie
supérieure et droite de champ visuel qu'elles o
is le temps (F.). P. KERAVAL. XLIV. Observation DE GLIOME dans la
partie
POSTÉRIEURE DE la protubérance ET DU BULBE ; pa
bien affaire d'espèce clinique et non de nosographie. P. K. XLVI.
Partie
supérieure DU ruban DE REIL ET écorce cérébrale;
érieure est déformée, son bord antérieur est concave, par places sa
partie
moyenne manque et elle est séparée en deux tron
énérescence des cordons et dissociation de la substance grise. A la
partie
moyenne de la moelle cervicale, dégénérescence
us fréquentes est l'isolement superficiel, sous forme d'îlot, d'une
partie
du lobule quadrilatère, ordinairement dans sa p
Ainsi, pour la moelle tabétique; on voit nettement à l'oeil nu, les
parties
blanches, et les cordons postérieurs sont d'un
e ; soit : le second pour Héring ou ligne droite correspondant à la
partie
moyenne de l'S ; et pour Weber le troi- sième o
enne, sensiblement droit détermine des augmentations égales ; et la
partie
supérieure de beaucoup la plus grande concave v
es, les secondes croisées seulement. La substance gélatineuse et la
partie
contiguë de la corne posté- rieure sont affecté
ents masculins, tantôt à un costume déterminé, tantôt, enfin, à une
partie
du corps de l'un et de l'autre sexe, le pouvoir
e féminine, bottine, chemise, mou- choir, étoffes, etc., tantôt une
partie
du corps de la femme, l'un des attributs spécia
d'un coup de ciseau détachait nn morceau de sa peau, au niveau des
parties
du corps où elle a le plus de finesse et le plu
ce masculine, que ce soit le mouchoir, les bottes, la blouse ou une
partie
du corps, et suivant le or Moll, c'est principa
plus compliquée des neurones qui portent les impressions sensibles
parties
de la périphérie, à travers les neurones de la
mant un tout il est lo- gique d'admettre que la lésion d'une de ses
parties
retentisse forcément sur l'ensemble à un certai
ine antérieure et le nerf. Ce système est relativement très simple.
Partie
de l'écorce, l'impression nerveuse suit le cyli
lésion étant faite sur un point du neurone, dans laquelle de ses
parties
la dégénérescence va devenir le plus apparent. Ma
i l'on se pénètre bien de cette idée que la rétine représente, à la
partie
supé- rieure de l'axe cérébro-spinal, un gangli
rdons postérieurs. Ce neurone qui fait 436 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
partie
de la chaîne sensitive est représenté par une cel
d'une forme toute spéciale, une dégénérescence descendante de la
partie
interne des cordons postérieurs, tandis que ni le
atérales des cylindraxes de projection font d'ailleurs elles- mêmes
partie
. Dans ces cas, on a toutes les lésions qui ont
lle avait eu une fièvre cérébrale grave, durant laquelle une grande
partie
de ses cheveux aurait blanchi [canitie partiell
En juin 1889, B... a eu un abcès sans cause connue au niveau de la
partie
supérieure de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centim
gauche. En avant la moitié droite est moins large que la gauche. La
partie
comprise entre le bord inférieur des régions pe
it une légère courbure à convexité dirigée à droite au niveau de la
partie
moyenne de la région dor- sale ; elle est recti
partie moyenne de la région dor- sale ; elle est rectiligne dans la
partie
inférieure de cette région; enfin les deux dern
e à l'atelier de cordonnerie. Il a laissé tomber un tranchet sur la
partie
inférieure de sa cuisse droite et s'est fait un
l'aisselle droite dépourvue de poils. Poils abondants et longs à la
partie
inférieure du pénil. Les testicules ontla dimensi
n de l'encourager, nous l'autorisons à aller travailler pendant une
partie
de la journée chez un cordonnier du dehors. 189
ace externe des cuisses et des jambes. Poils assez abondants sur la
partie
inférieure du pénil ; quelques poils sur les bo
s ne relèverons que les points principaux. La différence entre la
partie
supérieure du thorax et la partie inférieure pe
rincipaux. La différence entre la partie supérieure du thorax et la
partie
inférieure persiste, et il en est de même de l'
le droit plus que le gauche, a également intéressé le bassin et la
partie
la plus inférieure du thorax comme les figures
us du pli du coude et au-dessous de l'olé- crâne, c'est-à-dire à la
partie
tout à fait supérieure de l'avant- bras, et cel
tubérantielle au moyen de fibres spéciales qui, sur les côtés de la
partie
supérieure de cette calotte et en dedans du rub
teignent non seulement le tubercule quadrijumeau postérieur,mais en
partie
aussi le tubercule quadrijumeau antérieur, dans
ui recouvre le 'lobe optique, comme un manteau, se divise en deux
parties
: 1° une partie antéro-supérieure ; 2° une partie
'lobe optique, comme un manteau, se divise en deux parties : 1° une
partie
antéro-supérieure ; 2° une partie postéro- infé
e divise en deux parties : 1° une partie antéro-supérieure ; 2° une
partie
postéro- inférieure. Chacune de ces parties con
téro-supérieure ; 2° une partie postéro- inférieure. Chacune de ces
parties
constitue un gros trousseau radi- culaire. Ces
toute la surface. Il est impossible que ces fibres soient optiques;
partie
d'entre elles proviennent des systèmes commissura
es systèmes commissuraux optiques (sorte de commissure de Meynert),
partie
émanent du corps ge- nouillé thalamique de l3el
mologue de la commissure de Meynert serait située en arrière et, en
partie
, un peu au centre de la commissure de de Gudden.
'infléchissant à leur niveau pour se diriger en bas, en forment les
parties
constitutives, La dénomination de faisceau long
rébello-olivaires sont un trousseau centrifuge, du moins une petite
partie
d'entre elles. Les fibres qui pénètrent dans l'
une annexe cérébelleuse et les fibres cérébello-olivaires sont, en
partie
du moins, centrifuges. Le corps restiforme join
tte le cer- velet par le corps restiforme, dans lequel il occupe la
partie
médiane. En passant dans le bulbe, ce trousseau
veau-nés, va de pair avec le développement successif de chacune des
parties
du système nerveux, avec la genèse des manchons
me nerveux, avec la genèse des manchons myéliques des fibres de ces
parties
. La conscience s'exerce chez le nouveau-né, pou
n limiter les centres, et à étudier jusqu'à un cer- tain point, les
parties
constitutives des nerfs périphériques. Les résu
de la moelle. P. KERAVAL. LXXXVI. SUR la valeur RESPECTIVE DE la
partie
chromatique ET achromatique du CITOPLAS21E des
s dégénérescences cellu- laires peuvent être cependant produites en
partie
directement par l'action des substances toxique
microscopiques d'une gomme volumineuse qui siégeait au niveau de la
partie
postérieure de l'hémisphère gauche, englobant l
pariétales supérieures, les urus supramarginalis et angularis et la
partie
postérieure des deux premières temporales; le p
des régions de la - et du bulbe, par Shimamura, 229. Gliome de la
partie
postérieure de la -, par Jolly, 380. Psychiqu
sur le sommet de la tête. A la pression, pas de douleur sur aucune
partie
du crâne. Le sommeil est en général très calme
ut que couché. Le grand air le soulage et il passe actuellement une
partie
de la. journée en vélocipède. Le temps froid et
cliniques. Traité théorique et pratique des maladies mentales, IIIe
partie
.. Paris et Nancy, 1852-183, . DU DELIRE1 L-L.va
stématisation des,l,tl'Ól,lblesp' consci ! 1nts., etît.t ? ¡/]W -t,
partie
des hallucinations PÇlI'I es ! A4/.c<c<<
on* évolution, -..est toujours' inconsciente'-dan's'la'plus grande-
partie
¡de ,sa durée. La folie épileptique' est égaleme
iâtre et longue. Il la lais- - sait rouler à ses pieds, faute, -en'
partie
; de pouvoir fixer. ses doigts l'dans'le'trous ?
convolution frontale (F 1), des deuxt'éfité`s,ocüpé'lë'plu's grande
partie
du lobe frontal, de sorte que les autres circonvo
(Fa) et cyl ? nciurYII.1, ? lrê ? 113. ? eI}t aopiné.' est dans,la
partie
., l,ap)up'os[rieuredej'.cet. espace }\u : onhié
le, s'élargit .vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa
partie
postérieure (qui présente plusieurs incisure; l
fglycosurie/qmais "non" au diabète,- dejmémo 'qu^ne'lésion "de 'la'
partie
postérieure' de. la' capsule interne produit' l
Nous rappellerons' seulement que leur estomac se'compose'de quatre'
parties
: il le rumen ou panse; 2°, le bonnet ou réseau
expériences de.hlourens,,tiles,aliments' grossiers tombent, , en ,
partie
,, dans ,la,panse ? en partie dans, le réseau, t
es,aliments' grossiers tombent, , en , partie,, dans ,la,panse ? en
partie
dans, le réseau, tandis quejes aliments, atténu
directement' dans'le'1 feuillet. Béclardr admet cepen 'dantiqu,unle
partie
passe encore dans, la panse et le réseau pour ê
ion même. Nous dirons simplement que ce mémoire est divisé en trois
parties
. La première, sous le titre d'Aperçu f' vt W '
0 ? ) ... , ,question et n n tt;" ? 1 t Par exemple, la plus grande
partie
des fibres rectilignes du ...... 1 j f 1 j 1 A
au reste, de détails bibliographiques et techniques. Une dernière
partie
examine, sous le.titre de Considérations. .lJ £
r A\\<l<IU » ? ' M'i1' l.i rU H '/I/'l '1 "dl I ' La première
partie
de1 'ce travail 'est'seûle'puhliéé : La seconde,
"lesvariations de 'G celui-ci.. ' De plus, et c'est la surtout la
partie
originale de ses recherches, 11f : lYalton'xétr
é la pol ! bÍi1yélilé antérieure^ S ! (»jfu'»7[(^;'il'pens'e"qu'une
partie
des symptômes'' dti'IVënt'têtlétïâttâ= chés à d
iculâires'de'ce dernier nerf, des origines ; fasciculailes et d'une
partie
dès fibres du tronc de la septième paire. hitég
nc de la septième paire. hitégritéile l'oculo-dioteur commun : ' La
partie
supérieure' du' noyau - dé'la cinquième' paire
yeux1 du côté opposé. àlalésion procède d'une lésion portant sur la
partie
postérieure' de la ré- gipnbùlb6prot'ubérahtieH
n atteignant '-les'' pyramides, leur absence,-sa'localisation' à la
partie
postérieure de la 'région ] Ib" t,' b' N ." Il'
gueuse «n'affectant pas les,corps striés, mais) s'étendant dans les
parties
adjacentes du cerveau et du cervelet et aussi à l
s;1 d, ! ns lei toit,] dans g le : boürgeonr,t ârminalret,,suu les.
parties
,; correspondant 11.1 gauche i;au; tubercule del
' bien d'autres questions il discuter, En voici trois que, pour mai
partie
voudrais voir résolues 'par 'la nouvelle loi :
me pétrifié. Il regarde fixement les- yeux ouverts. Les différentes
parties
du Jcorpsllsont susceptibles, de, con- server .
amais,» les sens, spéciaux et le sens muscu- laire conservent ..une^
partie
de leur,, activité. C',est,ce.,qui permet d'imp
nses pour amener l'orgasme. Une nommée W... offrait au niveau de la
partie
supé- rieure du sternum une zone de ce genre, d
me des deux trous déchirés postérieurs par -lesquels la plus grande
partie
du sang veineux revient : du crâne daiisila,vei
es 'dépressions osseuses corres- pondantes manquaient également. La
partie
postérieure du trou déchirélpostérieur ne cdnte
du processus destructif pouvant aboutir à l'absence complète des
parties
atteintes ; 3° ils se peuvent produire pendant la
ourgeon corné, de forme conique, très épais, et si peu adhérent aux
parties
sous- jacentes que le malade l'a enlevé un mati
dre axe et leur gaine de myéline. La branche dorsale du radial à la
partie
inférieure de l'avant-bras. est profondément al
collatéraux de l'index et de la branche dorsale du nerf radial à la
partie
inférieure de l'avant-bras. Altération légère des
tre des altérations profondes des nerfs se distribuant à toutes les
parties
sur lesquelles siégeaient ces troubles trophiqu
et provoquaient une sensation de constriction très énergique sur la
partie
moyenne de l'abdo- men. Tourmenté par ces doule
tèbre dorsale à la deuxième vertèbre lombaire. De chaque côté de la
partie
inférieure de cette courbure existent les cicat
eds. Cette sensation est purement subjective, la température de ces
parties
n'est pas abaissée. La sensibilité des membres
s pé- nibles. Vers cette même époque, une eschare se forme sur la
partie
moyenne de la fesse droite, et presque en même te
dure- mère est saine dans toute son étendue, sauf au niveau de la
partie
la plus saillante de la bosse; là elle est en rap
d'un blanc éclatant. Sur les coupes fraîches, on remarque, dans les
parties
supérieures de la moelle, une sclérose très app
ontaire. Le 21 décembre, on constate pour la première fois sur la
partie
médiane du sacrum une eschare large comme la paum
aliser dans la région frontale. Ils ne se sont jamais plaints de la
partie
occi- pitale de la tête et rarement des régions
atérales. La plupart indiquaient une place nettement limitée à la
partie
antérieure du front et qui s'étendait tout au plu
d'après le conseil de M. Charcot, des mensura- tions exactes de la
partie
épaissie de la couche de la substance grise qui
lutions (pre- mière et deuxième frontales) de ce côté et les autres
parties
de l'écorce grise, et en les comparant avec des
e, et, enfin, à un centimètre environ des deux côtés du sillon, les
parties
avoisinantes de la surface convexe ne pré- sent
rgeur au fond du sillon, en passant ensuite insensiblement dans les
parties
qui paraissent être saines. Dans la direction o
PHALITE PARENCHYMATEUSE. 221 que la résistance sous le scapel de la
partie
épaissie est la même, est semblable à celle des
sement (bichromate de potasse à 2 p. f 00), la différence entre les
parties
similaires devient plus prononcée encore quant
oration ne présen- tant pas, cependant, de dissemblance, les autres
parties
de la région corticale, ainsi que les ganglions
métriques ont été faites avec 2/7 Verick. La substance grise de la
partie
lésée, examinée à l'état frais, présentait les
lignes courbes, vivement colorées par les réactifs, tandis que les
parties
comprises entre l'entrecroisement ne l'étaient
substance du proto- plasma non lésée encore, en laissant libres les
parties
de forme circulaire. (IL. III, fig. 3.) Quand l
les chiffres suivants : Hémisphère. 224 RECUEIL DE FAITS. droit (
partie
tuméfiée). Cellules pyramidales, dites géantes;
noyaux au point de fermer la lumière du capillaire ' dans certaines
parties
; prolifération de ces noyaux, que nous avons pu
e tuméfaction moniliforme. Les vaisseaux isolés, pris dans d'autres
parties
de la région corticale, ne nous ont présenté qu
direction anté1'o-postél'iew'e, à des profondeurs différentes de la
partie
atteinte. En examinant les coupes prises vers l
lieu du fond du sillon, et en les comparant ensuite avec celles des
parties
périphériques et plus voisines de la surface co
la tuméfaction devient moins prononcée dans ces dernières. Dans la
partie
horizontale de la région corticale, les cellules
- rection des vaisseaux, se montrent en plus grand nombre dans la
partie
profonde et plus centrale de l'épaississement. Da
la partie profonde et plus centrale de l'épaississement. Dans les
parties
périphériques voisines de la surface convexe, ell
aient les caractères de la tuméfaction pronon- cée. Enfin, dans les
parties
plus centrales, la trame de la né- vroglie offr
très riche et plus dense et se colorait plus vivement que dans les
parties
périphériques et excentriques des branches asce
rencontrer une cellule à la fois tuméfiée et- vacuolisée. Dans les
parties
plus centrales, on trouve cepen- dant nombre de
e pas de parallélisme entre l'évolution des altérations de ces deux
parties
. Les vaisseaux des parties profondes présentent
l'évolution des altérations de ces deux parties. Les vaisseaux des
parties
profondes présentent un épaississement notable
plus serrées avec des fibres plus fortes et plus colorées dans les
parties
profondes. Sur la périphérie et dans les région
régions plus éloignées du siège de la tuméfaction, les cou- pes des
parties
identiques ne présentent pas de différence sen-
e, elle devient presque nulle dans les couches superficielles de la
partie
horizontale de la substance grise. La présence
ise. La présence des cellules tuméfiées seule indique quelle est la
partie
qui appartientàl'hémisphèrelésé. Quoique nous n
entàl'hémisphèrelésé. Quoique nous n'ayons pas trouvé dans d'autres
parties
de la région corticale, d'altérations des cellu
al. La substance blanche des circonvolutions, ainsi que celle des
parties
centrales, ne présentait rien d'anormal, sauf une
tissu. Les résultats histologiques démontrent donc que, dans une
partie
limitée de la substance grise de la zone dite mot
es cellules tuméfiées sur les coupes du côté droit. Dans d'autres
parties
, cependant, la tuméfaction des cellules se trouva
olisation des cellules nerveuses se trouvait exclusivement dans les
parties
qui avaient des cellules araignées et où les va
. Quant au fait de la présence d'un processus interstitiel dans les
parties
plus profondes, nous pensons l'expliquer par le
par la vacuolisation et la perte des prolongements. Dans les autres
parties
, au contraire, la lésion se borne à différents
nt un degré d'altération plus avancé, au fond du sillon et dans les
parties
plus centrales indique également, à ce qu'il no
ant à la tuméfaction des cellules des couches superficielles et des
parties
excentriques, leur état, présente la première p
confirmées par les résultats de l'étude histologique sur une autre
partie
du système nerveux central. Malgré nos recherch
ronds dans les espaces lymphatiques périvasculaires. Dans certaines
parties
, les grandes cellules multipolaires sont tumé-
de vue qui nous intéresse. En indiquant ensuite que, dans d'autres
parties
, les cellules pyramidales ne présentaient pas d
oglie de la subs- tance grise corticale, avec localisation dans les
parties
les plus superficielles du cerveau. Mais quelle
Se fondant sur l'examen de neuf cas de ces tumeurs dans diverses
parties
du système nerveux central, M. Klebs dis- tingu
des éléments nerveux (fibres et cellules) ; ensuite compression des
parties
normales voisines et, enfin, la délimitation du
division consécutive et formation des noyaux et nucléoles dans ces
parties
hyper- trophiées. Dans les périodes plus avancé
méfiés à leur origine. (Verick 3/7 ) Fig. 4. Coupe verticale par la
partie
tuméfiée à la base du sillon, près de la substa
proéminentes; la tête est relativement volumineuse surtout dans sa
partie
postérieure (diamètre antéro-postérieur de la c
tié supérieure où elle n'atteint que le quart de la lar- geur de la
partie
correspondante de la frontale ascendante. Le si
et a une colo- ration noire-ocreuse. Tout le lobe pariétal, et la
partie
postérieure des circonvolutions temporales sont
la face interne, on trouve quelques adhérences superficielles à la
partie
moyenne de la circonvolution du corps calleux; à
les à la partie moyenne de la circonvolution du corps calleux; à la
partie
supérieure de la première circonvolution fronta
existe des adhérences plus marquées, et une atrophie relative de la
partie
supé- rieure du lobe carré, qui limite en dedan
postérieure de la première circonvolution frontale; 2° sur toute la
partie
moyenne des frontale et pariétale ascendantes ; 3
quelques adhérences au niveau du lobe carré, du lobe temporal, à la
partie
antérieure du lobe para- central, à la partie a
u lobe temporal, à la partie antérieure du lobe para- central, à la
partie
avoisinante de la ire frontale et enfin à la par-
ndante. Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T,
partie
postérieure des circonvolutions temporales. T1,
Cependant, nous préférons réserver l'étude clinique pour la seconde
partie
de notre travail; où les observations prises ch
au remonte toujours et parait favoriser beaucoup la rumination. Les
parties
solides des oranges remontent constamment dans
ne nous appesantirons pas plus longtemps, actuelle- ment, sur cette
partie
de notre sujet et nous rapporterons les exemple
ne tous ses aliments de sa bouche, pour n'en ruminer ensuite qu'une
partie
. Observation XXII. - welsch (Obs. med., ép. XXX
, amer ou acide, suivant le cas. » Nous avons terminé la première
partie
de notre travail et rapporté tous les cas à nou
action de l'estomac, les aliments crus, trop peu ou trop cuits, les
parties
tendineuses, aponévrotiques, les substances fac
instinctives et convenues du droit social de spolier un homme d'une
partie
de ses droits ou de ses biens sans le mettre à
t des' aliénés, suffisait pour imposer aux hospices la charge d'une
partie
du service, aujourd'hui départemental, des alié
femblables de cefte ci. Elles oignent auec ceft onguent, toutes les
parties
du corps, les ayant aupa- rauant frottées iufqu
magination, & l'effett des impreffions, que prefque toute celte
partie
du cerueau que Ion nomme memorative, en est rem
de pauotrouge & noir, delaidue, de pourpier, de chacune quatre
parties
, de l'herbe, nommee Belle-done par les Italiens
quatre parties, de l'herbe, nommee Belle-done par les Italiens, vne
partie
: faites de l'huile de toutes ces chofes felon
fois pouvoir retrouver le souvenir d'un traumatisme quelconque. Les
parties
malades étaient un peu douloureuses; mais il
du pied était considérablement augmenté d'épaisseur dans toute la
partie
qui corres- pond au scaplioïde, au premier cuné
ement saillant. On ne constatait point de craquements au niveau des
parties
déformées. Ces lésions symétriques du pied, se
giennes du gros orteil, il s'était produit une déforma- tion des
parties
dures de ces articulations, qui étaient augment
it une saillie angulaire de l'articulation tarso-métatarsienne. Ces
parties
sont indolores et paraissent l'avoir toujours é
même époque, elle perdit non seulement ses cheveux, mais une grande
partie
des poils du pubis. Depuis lors elle n'a plus r
e- vient à peu près impossible de faire un pas. Du côté droit, la
partie
inférieure du fémur paraît augmen- tée de volum
tion tarso-métatarsienne; et, bien que l'augmentation de volume des
parties
dures de la ré- gion tarsienne permît de soupço
euse. Premier métatarsien (1). ). - Considérablement épaissi à sa
partie
postérieure qui est complètement soudée au premie
volume, épaissi dans le sens de la hauteur, il en est de même de la
partie
postérieure du premier métatar- sien auquel il
. DU LANGAGE CHEZ LES ENFANTS. 321 1 Nous nous en sommes tenus en
partie
, dans notre ouvrage, au même programme que les
xion de voix qu'emploie l'enfant dans la prononciation de certaines
parties
du mot, vous sentez quelque chose qui rappelle
nt inaccessibles à l'enfant, tels sont cla, j, r par exemple et, en
partie
, ts et l. Pourquoi ces sons demeurent-ils hors
ation de la pointe de la langue contre le bord des dents et vers la
partie
antérieure de la cavité buccale 1 N russe qui n
al, et les consonnes y, k, de la position de la base de langue à la
partie
postérieure. Les diffé- rentes positions palata
ilité générale, sont contenus en germe les mouvements de toutes les
parties
du méca- nisme articulatoire de la langue, des
nt, le but, en embrassant, à un de- gré plus ou moindre, toutes les
parties
des différents mécanismes de la parole. Mais c'
gnalé, l'hal- lucination est unilatérale et frappe l'une des deux
parties
similaires de l'appareil sensoriel. C'est par un
également chez la - grand'mère et chez le frère, désignant ainsi la
partie
faible, la région cérébrale sur laquelle frappe
CLINIQUE MENTALE. (service de Meynert) et le mien' qui désignent la
partie
moyenne de la première temporale ; enfin deux c
au pli courbe (fait de Déjerine) et pour la surdité psychique à la
partie
moyenne de la première temporale (fait de Girau
atteint d'un dérangement dans les mouvements des extré- mités et en
partie
dans ceux du tronc. Anamnèse. - Le malade ne pa
ficulté; sa démarche est très singulière : il rejette légèrement la
partie
supérieure du tronc en arrière, plie un peu les
flexibilité. Le talon du malade ne touche pas le sol, tandis que la
partie
antérieure du pied glisse sur le plancher, le p
loration de la poitrine montre l'existence d'une induration dans la
partie
supérieure du poumon droit ; la percussion rend
et hypothénar ont beaucoup plus diminué de volume que les autres
parties
du corps ; il est évident que nous rencontrerons
- nis en masse durcie dans le lobe supérieur du poumon droit. Les
parties
endurcies contenaient un grand nombre de cavern
dégénérescence caséeuse. Le coeur n'avait rien d'anormal. Sur la
partie
postérieure de l'épiglotte et, à la surface des
brane muqueuse de l'estomac était épaissie et mame- lonnée. Dans la
partie
inférieure de l'intestin grêle, se trou- vait u
ient normales; sa con- sistance était un peu molle, surtout dans la
partie
thoracique ; sur les coupes transversales, on v
ne se trouvaient que dans les fais- ceaux latéraux; dans les autres
parties
de la moelle-fais- ceaux postérieurs et antérie
uleux étaient en très grand nombre tout le long de la moelle, de la
partie
lombaire jusqu'au bulbe. En même temps on s'ass
deux côtés, et occupait la place caractéris- tique, c'est-à-dire la
partie
postérieure des colonnes latérales ; l'espace o
graduellement de haut en bas. Ainsi, dans la portion cervicale, la
partie
dégé- nérée se présentait de chaque côté sous l
t pas non plus ; le côté postérieur de ce triangle confinait par sa
partie
externe à la corne postérieure ; sa par- tie in
erne de la corne antérieure, et la dépassait même un peu. Dans la
partie
thoracique, la dégénérescence occupait la même pl
seule- ment ses dimensions en avant étaient moindres que dans la
partie
cervicale ; ici, de même que la base de ce triang
se de ce triangle n'attei- gnait pas la périphérie de la moelle, la
partie
antérieure n'é- tait pas non plus.aussi netteme
e antérieure n'é- tait pas non plus.aussi nettement dessinée que la
partie
posté- rieure. Enfin, dans la partie lombaire
si nettement dessinée que la partie posté- rieure. Enfin, dans la
partie
lombaire, la dégénérescence occupait encore moi
a moelle épinière, en sorte que, même dans sa portion cervicale, la
partie
interne des faisceaux antérieurs (faisceaux de
nérescence n'atteignait que les pyramides seules, toutes les autres
parties
du bulbe étant dans un état parfaitement normal
HIQUC. 365 quantité égale à droite et à gauche, tandis que, dans la
partie
postérieure (supérieure) de la protubérance, on
e de faire des coupes transversales dans les pédoncules durcis : la
partie
dégénérée devenue friable s'émiettant sous le r
entait un aspect tout à fait normal. Nous primes dans différentes
parties
de chaque coupe de petits morceaux de la substa
culaire ; en divisant la moitié postérieure de la capsule en quatre
parties
égales, on voyait que le troisième quart en par
mbreuses recherches, on n'a trouvé de ces corps dans au- cune autre
partie
de la capsule, ni dans aucun autre point de cet
ue dans la substance blanche, y occupaient une région voisine de la
partie
postérieure de la limite externe du noyau caudé
que dans la seconde coupe ; ils se trouvaient exclusivement dans la
partie
moyenne de cette sur- face ; ils étaient plus n
ans la première de ces circonvolutions, il n'y en avait que dans la
partie
qui confine à la scissure de Rolando. La figu
ieure; dans l'une, comme dans l'autre, on n'en trouvait que dans la
partie
avoisinant la scissure de Rolando. La figure 5
i-centimètre environ plus haut que la précé- dente, de sorte que la
partie
supérieure de l'hémisphère qui fut enlevée n'av
ient exclusivement dans la cir- convolution centrale antérieure, en
partie
près de la scissure de Rolando, en partie, dans
n centrale antérieure, en partie près de la scissure de Rolando, en
partie
, dans la région moyenne de la circoll- volution
s, après le durcissement, dans les circonvolutions centrales et les
parties
avoisinantes, ont démontré que la subs- tance g
aux de la moelle encore fraîche ; dans les cornes antérieures de la
partie
cervicale, quelques- unes des cellules nerveuse
blanche des centres nerveux et de fort légères altérations dans la
partie
grise de la moelle épinière. Mais le principal
e ce dernier; mais il nous est impossible de déterminer dans quelle
partie
de ce long trajet la maladie s'est déclarée : a
aux compacte dans la capsule; ils occupent le troisième quart de la
partie
postérieure de la cap- sule en comptant du geno
se trouvent entre la couche optique d'un côté et le deuxième et en
partie
le troisième (externe) segment du noyau lenticu
aplatie d'avant en arrière dont la base est formée par une certaine
partie
de la surface convexe des hémisphères et dont l
ubstance corticale grise, s'y terminent, nous pouvons envisager ces
parties
de la subs- tance grise comme contenant les cen
is il est évident que nous avions affaire à la dégénérescence d'une
partie
seulement des faisceaux pyrami- daux, car chez
res corticaux de ces mouvements atteints doivent se trouver dans la
partie
de l'encéphale vers laquelle se dirigeaient les
t-à-dire que les centres des mouvements des jambes, du tronc et, en
partie
, des extrémités supérieures se trouvent dans la
ouvent que les centres mo- teurs des extrémités se trouvent dans la
partie
supérieure de la zone motrice et que ceux de la
la zone motrice et que ceux de la face et de la langue sont dans la
partie
inférieure. Il est à présumer que ces centres occ
'étaient que très faiblement dérangés, nous pouvons présumer qu'une
partie
seulement des fibres qui dirigent ces mouvement
e par les terminaisons des fibres dégénérées ne représentait qu'une
partie
de celle qu'occupent ces centres. z74 le RECUEI
a fin de la rumination, ils consistent plutôt en une bouillie qu'en
parties
ali- mentaires distinctes. Les liquides ingérés
même timbre de percus- sion. On trouve une matité relative dans les
parties
qui corres- pondent au liquide évidemment accum
e parole ; il est calme, tran- quille. Le front est bas, couvert en
partie
par les cheveux. Les lèvres sont volumineuses e
ire qui remonte ainsi comprend généralement dans sa composition une
partie
de tous les aliments qui ont formé le repas; ce
Etat actuel(août 1882).- Tête très volumineuse, développée dans sa
partie
postérieure, saillie très prononcée de l'occipita
ression assez marquée. Pas de saillie des arcades sourcilières : la
partie
gauche du front parait un peu plus déprimée que
lies, et les porte à sa bouche en en laissant tomber la plus grande
partie
. Lorsqu'on le fait manger, il avale la plupart de
àl'école, constatent leur médiocrité intellectuelle. La plus grande
partie
de la conscience de la maladie revient encore au
amollissement dans la substance grise et blanche correspondant à la
partie
nourrie par cette branche (dans la partie posté
lanche correspondant à la partie nourrie par cette branche (dans la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fron-
émisphère, se porte en avant, intéressent par conséquent une petite
partie
de la seconde frontale, s'étendent sur la circo
convolution' frontale ascendante en son tiers moyen, envahissent la
partie
correspondante du fond du sillon de Rolando, de
aigus de la caisse terminés par la suppuration. Ils devraient en
partie
être attribués à des modifications dans la pressi
On peut être étonné de voir tout lien faire défaut entre les deux
parties
de ce mémoire; en effet, il existait une transiti
'hui une pareille tentative nous paraît prématurée. » La deuxième
partie
de ce travail n'est pas nouvelle pour les lecte
méfiés à leur origine. (Verick 3/7.) Fig. 4. Coupe verticale par la
partie
tuméfiée à la base du sillon, près de la substa
ndante. Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T,
partie
postérieure des circonvolutions temporales. T1,
thologique et la pathogénie de cette dernière se sont éclaircies en
partie
depuis l'époque où Prus l le premier attirait l
e maximum se trouve au niveau des circonvolutions rolandiques. A la
partie
moyenne de la frontale ascendante l'épanchement e
paraissait inclus sous l'adventice. A l'examen macroscopique de la
partie
moyenne de cette artère ainsi munie d'un caillo
Le sommeil est très agité, court, l'enfant ne dort qu'une petite
partie
de la nuit. Quand il se réveille, il s'amuse avec
nt remplacées par quatre volumineux îlots de sclérose tubéreuse. La
partie
moyenne de F1 est également remplacée par deux
es supérieurs par un îlot scléreux. On trouve encore un îlot sur la
partie
inférieure de P1, un sur PC, deux sur LO et un
de Tl, caché dans le sillon marginal inférieur, enfin un autre à la
partie
postérieure de T3. Face interne (PL. II). Noton
lution du corps calleux qui est très grêle ; - un autre îlot sur la
partie
postérieure de LQ, un sur le coin, un autre au
pression à peu près centrale. On trouve encore un autre ilot sur la
partie
postérieure de F2. Ce qui reste des circonvolut
illon qui sépare la couche optique du corps strié ; elle envahit la
partie
antérieure du corps strié. Sur cette face. comm
nts nés plus tard survivent la mère ayant été en prison pendant une
partie
de sa grossesse '. R. M. C. VU. Un cas de paral
propose d'employer la gymnastique pour réveiller la sensibilité des
parties
atteintes par un trouble hysté- rique quelconqu
trésorier et un secrétaire ; ce dernier a la direction de toute la
partie
non médicale de l'admi- nistration. Le médecin-
ocié chez son malade, malgré la persistance du recou- vrement d'une
partie
de la cornée par la paupière inférieure, mouvem
'Université nouvelle de Bruxelles. ' Le plan général comporte trois
parties
principales. La première est une revision des i
t que les psychologues sont aujourd'hui d'accord pour admettre deux
parties
dans la mémoire : l'une essentiellement organiq
ontal. M. Sollier termine cet exposé, qui constitue à notre avis la
partie
la plus attachante, capitale de son livre, en t
première témoigne de l'étroite solidarité qui unit les différentes
parties
de notre être, la seconde est une preuve manife
en les intéressant par les leçons de choses. Telle est la première
partie
. La seconde partie, toute à la clinique, à la t
ar les leçons de choses. Telle est la première partie. La seconde
partie
, toute à la clinique, à la thérapeutique, à l'a
ont d'autant meilleurs que la dose d'opium tolérée dans la première
partie
du traitement a été plus élevée. - Crisafulli
ans leur portion temporale une épaisseur de 7 millimètres ; dans sa
partie
moyenne le frontal atteint 14 millimères, l'occip
ut le pourtour du trou est d'un demi-centimètre au moins. Mais à la
partie
antérieure la prolifération osseuse a été plus
actuelles sur l'anatomie topographique et la physio- logie de cette
partie
des centres nerveux. It. C. IX. Nouveau myograp
tion cocaïuique. L'auteur estime que ces altérations dé- pendent en
partie
de l'action directe du poison sur le système ner-
n partie de l'action directe du poison sur le système ner- veux, en
partie
des modifications produites dans les échanges o
e céré- brale qui avait détruit le noyau lenticulaire et une grande
partie
du bras postérieur de la capsule interne M. van
attire l'attention sur l'origine de ce nanisme, les proportions des
parties
du corps étant assez élégantes. Cependant, le c
optiques où elles suivent la même distnbut on que celles des autres
parties
de la rétine ; mais le centre cortical de la ma
, qui monte et gagne la colonne vertébrale, qui porte aussi sur les
parties
mollis et les muscles périarticulaires ; la cyp
ni rougeur des articulations ; puis l'immobilité avec ankylose des
parties
inférieures de la colonne vertébrale dont la pa
c ankylose des parties inférieures de la colonne vertébrale dont la
partie
supérieure après être restée pendant un certain
mobile devient bientôt raide et incurvée. L'incurvation prend tout,
partie
de la région cervicale ou de la moitié inférieu
3,2 cent. il 3. cent. Au-dessous existe un second foyer occupant la
partie
lenticule-striée de la capsule interne sur une
olutions frontales. Rien du tout dans les ascendants, rien dans les
parties
lenticulo-optiques de la capsule interne. Les c
state la complète luxation de la tête du fémur gauche qui occupe la
partie
postérieure et supérieure de la gouttière sus-
res moteurs oculaires : 1° Le centre frontal, qui est situé dans la
partie
postérieure du lobe frontal, en avant du Sulcus
on électrique donne -lieu à des mouvements associés des yeux. Cette
partie
occupe la portion antérieure et latérale de l'e
ans le stratum intermedium du pied du pédoncule cérébral et dans la
partie
dorso-médiane de la moitié interne du pied du p
lement de loin en loin des corps granuleux noirs disséminés dans la
partie
dorso-médiane du faisceau longitudinal postérie
l, dans le corps de Luys, dans le champ H de Foret et enfin dans la
partie
latérale du pied du pédoncule cérébral. On voit
er la portion ventrale du corps genouillé externe en passant par la
partie
antérieure'de sa capsule blanche. Plus bas dans
se portant vers la ligne médiane et sur les coupes pas- sant par la
partie
antérieure de la commissure postérieure il atte
a couche optique (autour des noyaux antérieur et externe), dans une
partie
de la couche optique, située au-dessus du faisc
ait retiré de la Seine par des garçons bouchers qui fai- saient une
partie
de canot. On n'a pu obtenir de lui aucun rensei-
oir être féconde en enseignements. Notre travail est divisé en deux
parties
. Dans la première, nous examinons successivemen
endue en rap- port avec l'importance de l'établissement. La seconde
partie
est consacrée à des considérations générales :
inq médecins) et un certain nombre d'étudiants ; logements pour une
partie
du personnel médical. · '. Prix de revient de
s-sol des trois pavillons composant la clinique est assez élevé. En
partie
aménagé pour servir de locaux d'habitation', il
magasins, etc.. ; ? - . Pas de premier étage, sinon au-dessus de la
partie
antérieure de chaque pavillon, c'est-à-dire que
ours aux chambres d'isolement. Chaque pavillon se compose de deux
parties
étroitement en rapport : l'une, formant sur le
deux parties étroitement en rapport : l'une, formant sur le plan la
partie
horizontale du bâtiment ; l'autre constituée pa
plan la partie horizontale du bâtiment ; l'autre constituée par la
partie
verticale. La première partie est réservée aux
bâtiment ; l'autre constituée par la partie verticale. La première
partie
est réservée aux malades trauquillee ? G second
llance continue (13 mètres de longueur) a 6 m 50 de largeur sur une
partie
de son étendue et 10 mètres sur le reste. Au fo
-ne passent plus, et il existe une paralysie qui peut aussi être en
partie
masquée par les suppléances. Ainsi s'explique
combé à 7 heures du matin. Autopsie. Poumon droit congestionné à la
partie
postéro- iuférieure ; foie également congestion
l'on se rapproche des extrémités. Les réflexes sont abolis dans les
parties
atteintes, sauf le réflexe plantaire qui persis
; -, ils ont persisté pendant trois ans, et pendant la plus grande
partie
de ce laps de temps, la maladie de Basedow a co
VILLENEUvE. (Union médicale du Canada, n° 7, 1899.) La troisième
partie
de cet ouvrage destiné surtout à éclairer les m
ament fut contesté, mais un arrangement étant inter- venu entre les
parties
, il n'y eut pas lieu pou le tribunal de rendre
e, pour la placer dans des conditions mieux appropriées, une grande
partie
de sa population actuelle. De l'avis presque un
, quittent le quartier d'alitement, l'hôpital, pour se rendre à une
partie
annexe, sorte de colonie, où ils s'essaient à l
le lobe temporal, ainsi qu'au niveau des lobes orbitaires, et â la
partie
antérieure de la face interne de l'hémisphère cér
DE NEUROLOGIE, 255 Il logie de l'encéphale, pendant la plus grande
partie
de la première moitié de ce siècle. Quant à l
ologie spinale, jusque vers les trente dernières années, une grande
partie
de ses cadres était encombrée par les névroses
tout de son rôle de conducteur. Désormais, on allait distinguer les
parties
qui, dans le nevraxe, servent à la transmission
dans le nevraxe, servent à la transmission de la sensibilité et les
parties
qui servent à la transmission des impulsions mo
la sympto- matologie de cette affection nous était déjà connue, en
partie
, grâce aux travaux de Horn, de Vunderlich, de R
ort de causalité entre le symptôme contracture et la sclérose d'une
partie
des cordons laté- raux, de celle qui est devenu
à l'effon- drement de la doctrine de Flourens. L'excitabilité d'une
partie
de l'écorce grise des hémisphères par le couran
ations de Flechsig, ou d'autres analogues, se véri- fient dans leur
partie
fondamentale, et nonobstant les correctifs que
nnaissance exacte de la structure et des fonctions de la plus noble
partie
de notre être, du système nerveux. M. le D1' Pi
édition allemande et annotée par le Dr A. Rémond.) 1" fas- cicule :
Partie
criminelle. - Volume in-8° de xiv-544 pages. Prix
- Volume in-8° de xiv-544 pages. Prix de l'ouvrage complet en deux
parties
: 20 lrancs. - Paris, 1900.- Librairie 0. Doin.
zalylical cyclopaedia of practical medicine. Tome V, volume en deux
parties
reliées formant ensemble v-662 pages, avec plan
encore, d'ailleurs, assez exactement définis, ce qui contribue en
partie
à ce que les avis sont différents. Pour ma part,
rs, rappels) et par l'effet suggestif du milieu hospitalier; 3° une
partie
intégrante obligatoire du système d'alitement d
it, des promenades et des occupations en dehors du lit constitue la
partie
essentielle de ce système ; le séjour au lit do
que. Mais je dois ajouter que je suis arrivé à penser que certaines
parties
du cerveau seules doivent être considérées comm
les impressions, c'est-à-dire les lobes frontaux. Dans les autres
parties
de l'axe cérébro-spinal, les groupes cellulaire
lonnés entre la périphérie et les centres et où il se décharge en
partie
sous forme de mouvements réflexes, par exemple.
trique. C'est pourquoi j'ai cru devoir rappeler ici, à propos de la
partie
générale et fondamentale de la théorie de neuro
age n'eut rien à faire avec elle; car le sperme vient de toutes les
parties
du corps, le sain des parties saines, et le malad
le; car le sperme vient de toutes les parties du corps, le sain des
parties
saines, et le malade des parties malades. » N
les parties du corps, le sain des parties saines, et le malade des
parties
malades. » Nous citonscette doctrine hippocrati
oeuvres complètes de Willis (édition anglaise), nous trouvons à la
partie
qui traite de l'anatomie du cerveau, la descripti
en détail dans ces derniers, une fois formés. Tandis que toutes les
parties
du cerveau sont très réduites, il a été noté qu
Smith (Transac- tions de la Société royale de Dublin, volume V, 8°
partie
, p. 285- z2), la réduction marquée de cette par
in, volume V, 8° partie, p. 285- z2), la réduction marquée de cette
partie
de l'hémisphère située derrière la scissure de
sième et quatrième ventricules, et la compression et l'atrophie des
parties
comprimées peuvent en résulter; le septum inter
rais, il avait dû peser probablement 15 onces (320 grammes), et les
parties
infé- rieures des hémisphères étaient normaleme
tellement amincies qu'elles semblaient formées pour la plus grande
partie
de membranes; pas plus du cinquième (t/5) du co
t développé. Celui-ci était confiné à la région frontale jusqu'à la
partie
antérieure de la circonvolution antéro-transverse
ntéro-transverse, l'îlot de lieil (qui était resté découvert), à la
partie
antérieure des lobes Archives, 2 série, t. X. 2
brèche de 4 pouces (10 centimètres) de longueur, s'éten- dant de la
partie
antérieure du lobe frontal droit presque jusqu'à
usqu'à l'occipital, laissant la lame orbitale nue et découvrant une
partie
du ventricule latéral (Affections mentales des
nfants, p. 51. Planche à montrer). Dans un cas relaté par Beach les
parties
affectées étaient le troisième ventricule, le v
ennent ceux qui résultent d'inflammation des méninges et des autres
parties
du crâne, survenant au cours de maladies infect
et comprimées ensemble, de sorte que les sulci sont obli- térés. La
partie
principalement lésée est la substance blanche des
et dense, vu l'augmentation de la névroglie et la disparition d'une
partie
du tissu nerveux. Jusqu'à maintenant, il y a qu
éressant est celui dans lequel il y a synostose prématurée des deux
parties
du sphénoïde ensemble, et avec les procès basilai
ots, qui indique le véritable arrêt de développement de cer- taines
parties
du tissu cérébral, provoque sans doute l'insuffis
n speciale de Bicêtre. Nous publierons ultérieurement cette seconde
partie
du Rapport de M. Bourneville sur l'anatomie pat
es environs; mieux encore, on peut prouver que d'autres troubles en
partie
fonctionnels du même genre, certaines formes d'
sie a fourni la confirmation de l'exac- titude de ce diagnostic. La
partie
postérieure de la moitié droite de la protubéra
dans le gyrus subangularis d'un centre de projec- tion réduit à la
partie
postérieure de la 2° circonvolution temporale l
iques. Les territoires centraux des zones d'association (surtout la
partie
Archives, 2° série, t. X 22 338 CONGRÈS INTER
étendue, attendu que 11. Flechsig l'a abandonnée lui-même pour une
partie
de ses cen- tres d'association et que d'autres
ches parents. Ainsi délimitée la mélancolie comprend la plus grande
partie
des observations que l'on avait l'habitude anté
ts dépressifs des périodes moins avancées de la vie ne font point
partie
de la mélancolie. Ils appartiennent, ou bien à la
a fureur contre lui et, d'un terrible coup de dents, lui enleva une
partie
de la joue droite. . On eut toutes les peines d
Ray- mond, soit dans notre clientèle privée, se compose de trois
parties
: du massage méthodique, de la rééducation des
ue dans la paralysie ? On , croit, et c'est l'opinion d'une majeure
partie
de nos confrères, que le massage agit par le ré
elables en cas de besoin. L'une des parois se meut à charnière à sa
partie
inférieure. Les gâteux sont couchés sur une alè
rendent dans des fosses cimentées étanches. Le chauffage se fait en
partie
à la vapeur d'eau et à l'air, en partie à la va
es. Le chauffage se fait en partie à la vapeur d'eau et à l'air, en
partie
à la vapeur et à l'eau. En prévision des incend
ares permet d'occuper les patients aux travaux de jardinage. A la
partie
sud du terrain, une route carrossable de 6 mètres
malades de la consultation et pour les autres visiteurs. Une autre
partie
des malades de la policlinique trouvent place dan
Cette fenêtre (voir ftg . 14) est divisée horizontalement en deux
parties
: dont l'inférieure a les deux tiers de la hauteu
'inférieure a les deux tiers de la hauteur totale de la fenêtre. La
partie
inférieure, la plus importante, est elle-même p
laissant qu'une ouverture insuffisante pour leur donner passage. La
partie
supérieure de la fenêtre est, elle aussi, divis
75 c. de long et 6 m. 25 c. de large qui peut être divisée en deux
parties
par des cloisons mobiles : l'une, contiguë à la p
s à coucher se fait pendant la nuit à l'aide de vitres placées à la
partie
supérieure des portes. Au premier étage (4 m.
es du rez-de-chaussée, mais les vitres en sont plus épaisses, et la
partie
médiane peut être fermée à clef, les parties la
nt plus épaisses, et la partie médiane peut être fermée à clef, les
parties
latérales restant mobiles sur leur axe vertical
des autres locaux, en- duits de chaux, sont peints à l'huile à leur
partie
inférieure et à la colle à la partie supérieure
, sont peints à l'huile à leur partie inférieure et à la colle à la
partie
supérieure. Les cellules possèdent de solides d
é enca- drant des carreaux de 15 à 20 millimètres d'épaisseur; leur
partie
384 ENSEIGNEMENT. supérieure peut être soulev
cile de tous côtés, ce bâtiment a la forme d'un T renversé, dont la
partie
horizontale, antérieure, a trois étages, et la
ersé, dont la partie horizontale, antérieure, a trois étages, et la
partie
verticale, postérieure, perpendiculaire à la pr
mmodément ses repas au lit. Cette table a la forme suivante : =1 La
partie
horizontale inférieure étant placée sous le lit
: =1 La partie horizontale inférieure étant placée sous le lit, la
partie
horizontale supérieure se trouve au-dessus du p
es on n'emploie pas le maillot, mais une robe en coutil solide. Une
partie
de la vaisselle destinée aux agités (gobelets,
'agités. Couchage des gâteux : leur matelas est segmenté en trois
parties
. La partie médiane, correspondant au siège, est r
ouchage des gâteux : leur matelas est segmenté en trois parties. La
partie
médiane, correspondant au siège, est recou- ver
de 25 millimètres, son poids de 39 grammes. Il est surmonté de deux
parties
, dont l'une est surmontée d'une tige de 5 millimè
ésente un oulice destiné à recevoir l'extré- mité de cette tige. La
partie
supérieure du bouton renferme un ressort dont l
ieure du bouton renferme un ressort dont l'action sur la tige de la
partie
inférieure détermine l'union des deux segments.
nnières superposables à travers lesquelles on passe la tige dont la
partie
inférieure du bouton est munie. Pour fermer, on
d'appliquer sur la tige qui fait saillie hors des boutonnières, la
partie
supérieure du bouton. La fermeture se fait auto
enlever le boulon, on introduit dans deux orifices que présente la
partie
supérieure du bouton les deux pointes d'une cle
ef spéciale : on lait cesser ainsi l'action du ressort, et les deux
parties
du bouton se séparent. (Dr 0. Snell. dlly. Zeilsc
x à douze minutes suivant la tolérance de la peau. Cette première
partie
du traitement a un' double but et un double rés
eclrotonique qui augmente l'excitabilité du nerf. Dans la seconde
partie
du traitement, on excite le nerf ou les muscles
e aucune : fibre de piojpclion. Ou peut désigner l'ensemble de. ces
parties
corticales privées' du fibres de projection sou
gique que le développement des centres sensoriels précède celui des
parties
corticales qui servirait de base à l'intelligen
peu en.retard ; cependant chez un enfant d'un mois, où une..grande
partie
du cerveau ne contient pas encore de fibres myé
ticales sans .myéline, il y a également dans la capsule interne des
parties
non myélinisées ; et ces parties sont justement
lement dans la capsule interne des parties non myélinisées ; et ces
parties
sont justement celles dont les dégénérescences
apport avec les régions coi ticales tard myélinisées ; de plus, ces
parties
tard myé- linisées de la capsule interne sont a
le centralisation des études aussi pour la neuro-physiologie et les
parties
de la psychologie, qui ont un intérêt pour nous
érenciation : jusqu'à décoloration complète ou presque complète des
parties
isolées de la moelle. On constate alors que les
parties isolées de la moelle. On constate alors que les différentes
parties
de la moelle se comportent de manière toute dif
ographique du cerveau publié par Wernicke ou, déjà dans la première
partie
, mais surtout dans la deuxième partie, la diffé
cke ou, déjà dans la première partie, mais surtout dans la deuxième
partie
, la différenciation est poussée à l'extrême. Pour
CTION DE NEUROLOGIE. 423 1° Différence de constitution chimique des
parties
; 2° Conditions physiques dont le caractère com
aux; par exemple : commissure antérieure, faisceau uncinatus et une
partie
de la couronne rayonnante qui va du lobe tempor
temporal. Sur des photographies originales de prépara- tions, trois
parties
au moins se dessinent : une partie bleu foncé q
inales de prépara- tions, trois parties au moins se dessinent : une
partie
bleu foncé qui en grande partie nait de la prem
en grande partie nait de la première cirvonvolution tempo- rale, la
partie
rétro-lenticulaire de la capsule interne en jaune
ur la couronne rayon- nante dans une coupe horizontale à travers la
partie
basale de la capsule interne. Ici quatre coupes
s sombre ; puis le faisceau brun de Türclc et enfin la limite de la
partie
rétro-lenticulaire de la cap- sule interne, enf
s. Le lobe temporal se décolore le plus vite, exception faite de la
partie
limitrophe de la fosse de Syhius, et de la part
ption faite de la partie limitrophe de la fosse de Syhius, et de la
partie
avoisinante des circonvolutions pariétales infé-
oral ; 3° Grosses dilatations isolées périvasculaires siégeant à la
partie
inférieure du noyau lenticulaire; 4° Etat « f
professeur A. PicK (de Prague). Tout en reconnaissant que pour une
partie
des cas de M. P. Marie l'explication de celui-ci
l'artério-sclérose localisée, avec anémie consécutive de certaines
parties
de l'encé- phale. . Que mon explication soit
de ces rap- ports dans le numéro d'octobre (p. 273) et la première
partie
de la discussion. Celle-ci a été suivie de la l
amoureuse. C'est une sin- gulière interférence grâce à laquelle la
partie
prime le tout, le détail se substitue au princi
t, etc., etc.) tantôt il est corporel et ne vise, en ce cas, qu'une
partie
déterminée des formes féminines, ou tel attribu
nt une signification sexuelle (fétichisme impersonnel) tantôt à une
partie
du corps (fétichisme corporel) le pouvoir exclusi
être un des plus intéressants qu'ait publié l'auteur. La première
partie
, consacrée à l'histoire du service (Bicêtre et fo
a donné cette année un déve- loppement très détaillé à la première
partie
de son compte rendu. Il faut l'en remercier. En
ute la portée et l'intérêt. r Relevons encore dans cette première
partie
les statistiques rela- tives à J'état du thymus
st à cette nouvelle tâche que se consacre Bourneville. La seconde
partie
est attribuée à la clinique et à l'anatomie pat
entraî- nent les autres, et bientôt l'amour-propre se mettant de la
partie
, devient un conseiller plus puissant et mieux é
ins un coup d'oeil aux aliénés incurables, réservant la plus grande
partie
de mon temps, pour les aliénés soumis à un trai
us courtes, à cause de la veillée du soir, sont, au moins en grande
partie
, employées au sommeil. Faites en sorte qu'un alié
marquée dans les derniers orteils et plus forte quand on excite la
partie
interne de la plante du pied. Dans certains 1 G
mouvement de flexion et devient plus fort pour une excitation de la
partie
externe de la face plantaire (Babinski). C'est
faire sur lui. Les incitations ont été portées sur les différentes
parties
de la face plantaire et, en particulier, du côt
dée en 1872, agrandie en 1877. La nouvelle clinique, construite, en
partie
du moins, conformément aux vues de Griesinger,
moyen de la calotte crânienne. La comparaison du rayon moyen de la
partie
gauche du crâne, avec celui de la partie droite
aison du rayon moyen de la partie gauche du crâne, avec celui de la
partie
droite, donne une mesure exacte des asymé- trie
la stérilité fréquente de ceux-ci, l'absence de poils sur plusieurs
parties
du corps qui en sont habituellement pourvues, n
e Nissl avec coloration au bleu de toluidine sur des segments de la
partie
492 CONGRÈS international DE médecine. inféri
mais encore à la suite de la piqûre de la peau de n'importe quelle
partie
de la jambe et même de la face postérieure de la
t localisée, mais on peut les produire en excitant n'importe quelle
partie
de la surface cutanée des membres inférieurs. C
pédonculaire dégénérée abandonne au ruban de Reil médian, soit à la
partie
inférieure de la région pédonculaire, soit dans
onculaire, soit dans toute la hauteur de la protubérance, soit à la
partie
supérieure du bulbe, un certain nombre de fasci
tiel, les unes for- ment le pes lemnicus profond et s'adossent à la
partie
antérieure et externe du ruban de Reil médian;
les autres constituent le pc.s lemnicus superficiel, contournent la
partie
interne du pied du pédoncule cérébral et descen
e interne du pied du pédoncule cérébral et descendent le long de la
partie
interne du SECTION DE NEUROLOGIE. 503 ruban d
s aberrantes de la voie pédonculaire. Elle n'occupe en effet qu'une
partie
du trajet du ruban de Reil médian; elle fait dé
sensitivo-motrice anciennes ou remontant à l'enfance, elle tient en
partie
à la dégénérescence des libres aberrantes de la
sont : a) Les fibres aberrantes postéto-rxlcmes qui contournent la
partie
externe du pied du pédoncule aux confins de la
u bulbe, passent en avant de l'olive bulbaire et descendent dans la
partie
latérale du bulbe, soit en arrière de l'olive,
décapitent la corne antérieure homo- latérale et descendent dans la
partie
postérieure et moyenne du cordon latéral homola
e sensitif* ou moteur; d'antre part, lésion corticale limitée à une
partie
du pied de 1-"3. L'aphasie sans agraphie existe
t porteur d'arthropathies multiples. Le bassin, débarrassé de ses
parties
molles, montre la trace d'un cal vicieux provenan
suite de coups plus violents et se développe plus souvent dans la
partie
de la tête exposée au traumatisme et avec une int
xposée au traumatisme et avec une intensité plus grande que dans la
partie
opposée. L'auteur pense que ces expériences, do
ation de cette forme indique une dégéné- rescence incomplète de ses
parties
constituantes. La loi de Kahler concernant la p
s occupent la position du faisceau en virgule de Schullze, dans une
partie
de leur trajet. Les fibres exogènes descendantes
tourbillons et en faisceaux entrelacés. Elle envahit la plus grande
partie
du cordon, à l'exception par- tielle des zones
une grosse tumeur de la couche optique gauche qui, plantée dans la
partie
médiane de cet organe, s'en va assez loin en ar
moelle; il en résulte une lésion des racines postérieures et d'une
partie
des racines antérieures de la moelle ; sous l'i
es, les muscles thoraci- ques et spinaux sont parasiés ainsi qu'une
partie
de ceux des extrémités supérieures ; ceux du th
olontaire diminue par suite d'un ictus apoplectique qui déchire une
partie
du système pyramidal, il faut que, dès que celte
a peau du dos, du nez elle est la plus près du centre. Une grande
partie
du rameau frontal du trijumeau tirerait ses fib
xillaire supérieure, au nerf naso-ciliaire et au nasal interne. Les
parties
les plus basses du système nerveux central amène-
nts les plus postérieurs de la muqueuse des joues, des gencives, la
partie
antérieure et le repli correspondant de la muqu
la partie antérieure et le repli correspondant de la muqueuse, les
parties
les plus antérieures du palais, peut-être aussi
régions recevraient probablement les éléments sensitifs de la même
partie
du système nerveux central que les parties de l
ents sensitifs de la même partie du système nerveux central que les
parties
de la peau du front voisines de la limite du cu
ins encore quelques cellules tout à fait normales. L'atrophie de la
partie
du noyau de l'oculomoteur éloignée du centre es
l postérieur. Enfin l'oculomoteur commun lui-même présente, dans sa
partie
péri- phérique, une atrophie avec prolifération
nucléaire partielle circonscrite. Pourquoi l'intégrité d'une grosse
partie
du noyau ? Parce que l'agent nocif inconnu a exer
la ré- gion sacro-iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la
partie
postérieure de la cuisse le long du sciatique,
atique, la partie postérieure de la cuisse le long du sciatique, la
partie
externe du creux du jarret, la partie postérieu
isse le long du sciatique, la partie externe du creux du jarret, la
partie
postérieure de la malléole externe. La percussi
e la région sacro- iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la
partie
postérieure de la cuisse le long du sciatique,
atique, la partie postérieure de la cuisse le long du sciatique, la
partie
externe du creux du jarret, la partie postérieu
isse le long du sciatique, la partie externe du creux du jarret, la
partie
postérieure de la malléole externe fait apparaî
on seulement à la fesse, mais encore tout autour de la hanche, à la
partie
postérieure de la cuisse et dans le jarret; il
he et en avant de la malléole externe, d'où les douleurs gagnent la
partie
antéro-intcrne de la jambe et la partie posté-
'où les douleurs gagnent la partie antéro-intcrne de la jambe et la
partie
posté- rieure de la cuisse. U applique alors de
ux vésicatoires, puis trois rangées de pointes de feu le long de la
partie
postérieure de la cuisse, puis quatre nouveaux
ste quelque temps assis. La douleur se fait sentir à la fesse, à la
partie
pos- térieure de la cuisse jusque dans le creux
térieure de la cuisse jusque dans le creux poplité, le long de la
partie
anléro-externe de la jambe jusqu'à la partie post
poplité, le long de la partie anléro-externe de la jambe jusqu'à la
partie
postérieure de la région dorsale du pied. La pr
nt l'attitude de nos malades portent, comme on l'a vu, sur diverses
parties
du corps, et nous avons indiqué tour autour la
arqué qu'alors même qu'elle dormait le moindre attouchement sur les
parties
hypereslhésiées la faisait sauter comme si elle
mpossible; et depuis le début, la jeune L... a passé la plus grande
partie
de son temps soit au lit, soit couchée sur un s
rche et pour la station sont choses impossibles. Sur la plus grande
partie
du corps, le pincement même très énergique, et
tellement que le malade était complètement courbé, si bien que la
partie
postérieure de la cuisse touchait le mollet. Quan
la gêne DE l'astasie ET DE l'abasie. 47 7 de la marche revient en
partie
. La SU C-"CSI i 0 Il est l'épétée plusieurs foi
mais le plus souvent elles coexistent avec des sueurs sur d'autres
parties
du corps; ce sont alors des hypéridroses. Nous
e nous l'avons dit, avec une exagération de la sueur sur d'autres
parties
du corps et rentrant alors dans le groupe des h
tait fini. Peu à peu l'éphidrose s'est étendue et a envahi sur la
partie
latérale droite de la face, la joue, l'oreille, p
rsudation que depuis quelques mois seulement, tandis que les autres
parties
ont été envahies dans l'espace de dix-huit mois
sa moitié droite, mais cette moiteur se remarque seulement sur les
parties
recouvertes par la casquette. D... a remarqué
ntation; quelquefois, le matin en se levant, il a vu la tempe et la
partie
latérale droite du front couvertes de gouttelet
nt son travail qu'il s'aperçoit d'une transpiration au niveau des
parties
indiquées et dans ces cas l'éphidrose est précédé
sent pour couler le long du visage et du cou. Cette sueur occupe la
partie
mé- diane et latérale droite du front, la tempe
ccupe la partie mé- diane et latérale droite du front, la tempe, la
partie
correspon- dante du nez. L'oreille et le cou so
la face. En passant la main dans ses cheveux, on sent que toute la
partie
droite du cuir chevelu est mouillée, la moitié
ensation de poids, de gêne, parfois des élancements au niveau de la
partie
moyenne et latérale du thorax du côté droit, mais
gie intercostale. Cependant la pression provoque de la douleur à la
partie
moyenne des côtes le long de la ligne axillaire
art. La sudation dure quarante-cinq minutes, mais n'atteint que les
parties
qui suent habituellement. Le reste du corps est
s émotions augmentaient cette sécrétion et, quatorze ans après, les
parties
qui en étaient le siège s'étaient amaigries : l
une hypérostose concentrique des os du crâne et une atrophie d'une
partie
des circonvolu- tions de la base de l'encéphale
ctée, presque insensible à la lumière. A l'autopsie, on trouva à la
partie
antérieure de l'hémisphère gauche un gliome s'é
vec dilatation vascu- laire et augmentation de température de cette
partie
de la face. Frankel cite un malade qui, avec
n de la pupille correspondante. Par instants, la sueur gagnait la
partie
correspondante du cuir chevelu et du cou. On vo
En outre le malade est couvert d'une sueur abondante sur toute la
partie
droite de la figure. Cette hémidrose est nette-
ommence à la ligne médiane, envahit la tempe, la racine du nez à sa
partie
latérale droite, la région malaire et s'étend j
nsidérable à droite qu'à gauche. Il n'y a pas de rougeur de cette
partie
de la face; pas d'aug- mentation de la températ
avec peine cette plèvre qui comprime le tronc du sympathique à sa
partie
inférieure toutefois ce dernier est sain. Mais lo
, et, pour savoir si elle était morte, on Jui lit mettre le feu aux
parties
les plus sensibles; elle ne s'éveilla pas. On l
e si un animal eût couru dans mon lit et m'eust touchée en diverses
parties
du corps. Cela dura près d'heure sans que je pu
ur la description de Briquet. Mais nous pouvons déjà dire que cette
partie
de son excellent livre marque un progrès consid
, J. B..., s'est faite religieuse; c'est une monomane qui passe une
partie
de ses nuits en prière, grelottant la fièvre in
Toutefois, un examen attentif permit de reconnaître au niveau de la
partie
moyenne du sternum une zone hystéi-ogdize très
s provoquer aucune réac- tion, d'exercer de fortes pressions sur la
partie
moyenne du sternum. Peu de temps après les mê
ppuyée la tête de M. IL., afin de rechercher s'il n'existe pas à la
partie
posté- rieure du tronc quelque zone hystérogène
nge en s'élargissant en arrière et en haut, atteint le milieu de la
partie
moyenne du versant inférieur de la première et
ase, ossi- fication prématurée des sutures entre le sphénoïde et la
partie
de la base connue en anthropologie sous le nom
la zone motrice; a droite, outre les mêmes régions, la plus grande
partie
de l'écorce du lobe occipital. Cet animal pouva
uche n'eût pas été touchée et que celle de droite existât encore en
partie
. Il semblait sourd, quoique la région auditive
rrespondent aux organes d'un sixième sens découvert par Leydig. Une
partie
de ces appareils occupe l'extrémité supérieure
altérations de la paralysie générale portaient-elles sur les mêmes
parties
du cerveau que 1 Voy. Archives de Neurologie, t
t en dedans du corpus dentatum cerebelli, se sépare nettement de la
partie
spinale du corps restiforme qui embrasse latéra
lité dans les extrémités inférieures. Le tubercule siégeait dans la
partie
la plus supérieure du renflement lombaire dont il
nt il occu- SOCIÉTÉS SAVANTES. 133 pait, à droite, la plus grande
partie
de la section transverse de l'organe. La compre
Président. Il est bien entendu que l'article 11 est adopté sauf la
partie
réservée pour la discussion des articles 20 et 21
dis qu'une fois rentrés dans leurs familles, ils perdent une grande
partie
de ce qu'ils ont acquis. L'orateur exprime le dés
r fait plusieurs kilomètres, il se sen- tit complètement épuisé, en
partie
probablement sous l'influence d'une affection f
t les traces d'égratignures (ayant été faites pendant un traitement
parties
fourmis). Au-dessus des articulations des doigt
position horizontale du malade. La courbe est produite par toute la
partie
thoracique de la colonne vertébrale; le sommet
distante de 2 centi- mètres de la ligne verticale moyenne. Dans la
partie
lombaire existe (depuis la première vertèbre lo
droit une grande convexité en arrière et en dehors, surtout dans la
partie
inférieure ; mais du côté gauche la partie infé
dehors, surtout dans la partie inférieure ; mais du côté gauche la
partie
inférieure de la cage thoracique parait concave
s présentent une atrophie marquée des portions pos- térieures ; les
parties
antérieures et moyennes ont été légère- ment at
sous forme d'un mince cordon; en général, tout l'avant-bras dans sa
partie
supé- rieure a l'air d'être aminci; du côté gau
s situés le long de la colonne vertébrale à droite, surtout vers la
partie
spinale de la colonne vertébrale, présentent un
poitrine, le malade ne perçoit même pas la différence de 15°. La
partie
supérieure du bras droit et la partie inférieur
as la différence de 15°. La partie supérieure du bras droit et la
partie
inférieure du bras gauche ne per- çoivent pas l
rande comme une noix, avec rougeur et gonflement oedéma- teux des
parties
environnantes; la rougeur s'étendait jusqu'à la
un liquide séro-veineux s'épancha ; le gonflement et la rougeur des
parties
voisines disparurent en quatre ou cinq jours, e
un abaissement de la sensibilité dou- loureuse dans la plus grande
partie
de la région thermo-anes- thésiée. La dernière
Une analgésie partielle, isolée ou coïncidant par endroits avec une
partie
de la région thermo-anesthésique et se limitant
c une partie de la région thermo-anesthésique et se limitant par la
partie
supé- rieure du corps ; faiblesse et atrophie m
ssocient à ceux-là avaient été remarqués dans le premier cas' et en
partie
observés par divers auteurs : 4 Elle est représ
gésie con- sidérale dans la sphère de distribution de nerfs de la
partie
supérieure de la moelle épinière du côté droit,
du mamelon pour se terminer au même niveau par der- rière. Sur la
partie
inférieure du tho- rax, entre le côté droit et
inférieur droit, cette dernière est abaissée, plus encore dans les
parties
périphériques ; mais ici également la piqûre pr
me 2 mil., pouce 3 mil. Paume de la main gauche 12, droite 30 mil.,
partie
inférieure de l'avant-bras gauche par de- vant
e sur les membres inférieurs, sur le membre supérieur gauche et les
parties
du thorax restés auparavant libres. Dans tous
la nuque avait considé- rablement diminué, et ce n'est que dans la
partie
supérieure de l'épaule gauche qu'elle est compa
une douleur aussi bien qu'un courant induit modéré ; tandis qu'à la
partie
supérieure de la moitié droite du thorax, qui p
eur droit; ici, ils sont considérablement limités, surtout dans les
parties
périphériques du membre, par suite des douleurs q
eur s'irradie le long de tout le membre et est ressentie dans ses
parties
superficielles et profondes. Le plexus brachial
état à mesure que l'on observe plus haut et elle est normale à la
partie
supérieure de l'épaule. (Fig. 6.) Le sensde la
18. DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 177 différence de 6°, mais à la
partie
supérieure de l'épaule elle peut percevoir une
e traitement par le mas- sage à la suite duquel l'hypéresthésie des
parties
périphériques diminua, mais les douleurs montèr
et parurent dans la région scapulaire, près de la clavicule et à la
partie
supérieure du bras à la moindre secousse. L'art
ix ans, le petit doigt de la main gauche enfla en même temps que la
partie
voisine de la main (l'enflure ne s'étendait pas
vrit entre les doigts et donna lieu à une plaie béante séparant les
parties
molles interdigitales et descendant du dos et de
upérieurs où le malade ne perçoit pas de différence de 25°, et à la
partie
supérieure du bras de 40°, entre 0 et 40°. Aucu
main droite est subjectivement plus atlaiblie. Les muscles de la
partie
supérieure de l'avant-bras sont très rudes au p
doigt en descendant. Sur la paume de la main la ligne séparant la
partie
anesthesiee forme dans le tiers supé- rieur de
ans le tiers supé- rieur de la main une courbe qui con- tourne la
partie
inférieure du thénar et vient se joindre à la l
tant jus- qu'à présent. Le dos de la main est oedé- matié dans sa
partie
supérieure, et sur la limite de l'articulation
in droite atrophie partielle des muscles du thénar, surtout dans la
partie
inféro-externe, et un commencement d'atrophie d
voir. Ribot' parle, d'après Trousseau, d'un musicien qui faisait sa
partie
de violon dans un orchestre et qui était pris d
ion pupillaire du côté correspondant, sans rougeur ni chaleur de la
partie
atteinte, on est en présence d'une lésion irrit
ux fibres ascendantes qui occupent le cervix cornu posterions et la
partie
profonde des cordons la- téraux, région éminemm
la tendance qu'offrent certaines de ces éphidroses à envahir les
parties
voisines. Tantôt débutant par une région bien c
un peu écrasée dans son ensemble. Crâne régulier; prédominance des
parties
occipitales; bosse occipitale cependant peu sai
as : à la place de méat normal, orifice allongé se terminant par la
partie
supérieure de l'orifice anormal et com- muniqua
r un centimètre de longueur avec le sillon occipital transverse, la
partie
postérieure isolée de la seconde scissure tempo
olution frontale est également bien développée, très découpée; à sa
partie
médiane se trouve un sillon profond allant de l
n profond allant de la première scissure fron- tale au sommet de la
partie
triangulaire de la troisième circon- volution f
ter- rompent la continuité de la deuxième scissure en reliant les
parties
antérieure et postérieure du cap à la seconde cir
240 CLINIQUE NERVEUSE. mal délimitée du lobe temporal. -Toutes les
parties
situées à l'entour de l'incisure préoccipitale,
emporo-occipilales paraissent assez bien con- formées, toutefois la
partie
médiane de la circonvolution est légèrement en
ution du corps calleux ne pré- sente rien de particulier, mais à sa
partie
la plus postérieure au niveau du bourrelet du c
r, on trouve un petit pli de passage un peu en retrait qui isole sa
partie
pariétale; il existe deux rameaux antérieurs as-
e sillon précentral inférieur, l'autre situé entre l'opercule et la
partie
triangulaire de la troisième circonvolution va
fond qui divise presque entièrement la pariétale ascendante en deux
parties
, une supérieure, et une DE L'ÉPILEPSIE PROCURSI
traiet est interrompu par un pli de passage à niveau allant de la
partie
postérieure du pli pariétal supérieur au pli cour
scissure parallèle frontale, en formant ainsi un dédoublement de la
partie
postérieure de la deuxième circonvolution fron-
fron- tale. Un pli de passage légèrement en retrait, allant de la
partie
supérieure de l'opercule à la deuxième frontale,
le, inter- romptla continuité de la deuxième scissure frontale à sa
partie
la plus postérieure. - La troisième circonvolut
tale est bien développée, mais irrégulière; on y trouve encore à sa
partie
la plus antérieure un pli de passage se rendant
La presque totalité du lobule pariétal inférieur, surtout dans sa
partie
postéro-inférieure, est chagrinée ; il en est de
nale qui est normale ; un pli de passage à niveau, maigre, relie la
partie
inféro-antérieure du lobule paracentral à la ci
toucher, on constate que la tète est très sensible dans toutes ses
parties
. Les oreilles sont longues et larges, les organes
ans la flexibilité cireuse de l'attonitat et per- sistent encore la
partie
dans la démence terminale. A côté de ces symptô
ulsions, cloniques ou toniques, doivent être mises sur le compte en
partie
de l'état psychique, en partie de l'état phy- s
doivent être mises sur le compte en partie de l'état psychique, en
partie
de l'état phy- sique. Il n'y a jamais deparalys
que la stase est éminemment transitoire et faible dans la première
partie
du processus; la rétraction et l'atrophie arriv
mort). - Bicéphale. - L'examen attentif et à la loupe de toutes les
parties
du cerveau et de ses enveloppes ne révèle aucun
c demi-opacité et traînées laiteuses le long des vaisseaux dans les
parties
de la pie-mère qui recou- vrent les régions mot
en- cieuse affecte surtout le sommet du poumon gauche. Les autres
parties
sont absolument saines. Le coeur, le foie, la r
es segments antérieurs du lobe frontal étaient, ainsi que certaines
parties
du lobe occipital, abso- lument indemnes, je cr
je crois à une embolie ou à une thrombose de la sylvienne, car les
parties
intactes ne sont justement pas irri- guées par
pant l'extrémité postérieure de la troisième frontale gauche et la
partie
limitrophe de la frontale ascendante. M. H. La
es fiches sont détruites. Comme on suit les aliénés qui forment une
partie
delà population placée sous l'oeil de la police
ès volumineux ; c'est un inconvénient qui fait que beau- coup deses
parties
ne sont pas connues : « On ne conteste pas,dit
pourraient concevoir les personnes qui n'auraient pas examiné cette
partie
de la loi. Dans le texte que le Sénat va voter,
lications ? 111. LE Rapporteur. Messieurs, c'est à l'occasion de la
partie
de l'amendement de AI. Combes, qui était relati
doux, que le Sénat a déjà voté à l'article 11 ; mais, comme l'autre
partie
de l'amendement, c'est-à-dire l'article 12, à é
sous l'inspiration du professeur Pitres. Ce tra- vail comprend deux
parties
. Dans la première l'auteur traite de l'anesthés
de plusieurs organes des sens, goût, odorat, ouïe. Dans la seconde
partie
il s'occupe des zones hystérogènes de ces mu- q
parées par de grands jardins, comme dans certaines campagnes. Une
partie
qui n'est pas la moins intéressante de la colonie
e chiffre augmente sans cesse; les malades arrivent des différentes
parties
de l'Europe et des divers Etats de l'Allemagne.
sur les grands parents. Antécédents personnels. Pur.. a passé une
partie
de son enfance danz la Louisiane. Plus tard, il
put quitter l'ambulance et rejoindre son régiment qui faisait alors
partie
de l'armée de l'Est. Durant les derniers temps
ir d'une douleur fixe constrictive, for- mant ceinture autour de la
partie
inférieure du ventre et du bassin. a J'avais, d
impossible, mais elle est difficile. Pur., se promène cependant une
partie
de la journée, en s'ap- puyant sur une canne. I
'union du pariétal et de l'occipital, une autre plus petite vers la
partie
médiane et s'étendant à gauche à la partie supé
utre plus petite vers la partie médiane et s'étendant à gauche à la
partie
supérieure de l'occi- pital. Front peu développ
sent proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas partant de la
partie
médiane au niveau delà suture fronto-pariétale ga
anes génitaux bien développés ; prépuce assez long, recou- vrant en
partie
le gland. Testicules bien conformés, le droit est
mort : 43°,2. Autopsie (17 septembre 1885). Rigidité cadavérique en
partie
disparue; coloration verdâtre de l'abdomen et d
rique en partie disparue; coloration verdâtre de l'abdomen et de la
partie
infé- rieure du thorax. Amaigrissement assez pr
bral gauche paraît plus petit que le droit; il en est de même de la
partie
correspondante de la protubérance . Il n'existe
inente et éraflée. Le lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la
partie
postérieure du lobe occipital, mais le lobe cér
la circonvolution frontale ascendante, l'autre entre le pied et la
partie
triangulaire de la troisième circonvolution fro
parcours de deux centimètres sur la face convexe, va rejoindre. la
partie
postérieure de la scissure interpariétale et pa
ieur, présente également des indices de dédoublement sur les autres
parties
; elle est bien développée et comme renflée vers
e. La deuxième circonvolution frontale est volumineuse surtout à sa
partie
postérieure ; elle s'insère à la frontale ascen
sième circonvolution frontale; l'un se continue directement avec la
partie
médiane de la portion triangulaire. La deuxième
normaux. Hémisphère gauche. La scissure de Sylvius se divise à la
partie
postérieure de la circonvolution pariétale ascend
bule pariétal infé- rieur qu'il divise entièrement en atteignant la
partie
moyenne du rameau descendant de la scissure de
profondes. La frontale ascendante est assez maigre surtout vers sa
partie
moyenne ; la. pariétale ascendante est grosse, si
es, est également très sillonné; il est, pour ainsi dire, isolé des
parties
environnantes par une scissure irrégulière, sinue
a première temporale plissée envoie un pli de passage à niveau à la
partie
la plus postérieure du lobule pa- riétal inféri
x qui, elle, est peu développée, clcci- grinée, comme atrophiée; la
partie
la plus antérieure de la cir- convolution front
plus antérieure de la cir- convolution frontale internée ! dans sa
partie
moyenne, sa moitié inférieure présentent égalem
plus irrégulier; mais en outre nous y notons la pra- cilité de la
partie
moyenne de la circonvolution frontale ascendant
n. 393 mière et deuxième circonvolutions occipito-temporalès, des
parties
antérieure, moyenne et inférieure de la circonv
ire à notre disposition, en nous offrant aussi son concours pour la
partie
physiologique des expériences. La première di
arement en action. C'est surtout par l'élasticité des poumons et en
partie
par l'élasti- cité thoracique que l'expiration
e : en un mot, mouvements cho- réiformes prononcés dans la première
partie
de l'acte (du point de départ à la préhension d
de six ans; le plus souvent, à l'ori- gine, elle est limitée à une
partie
du corps, surtout au côté gauche, elle se génér
re transférées en province, il croit utile de ne pas différer cette
partie
de la discus- sion puisqu'on possède à la Salpê
con- trôle, les malades elles-mêmes. M. Séglas, dit-il, dans une
partie
de son argumentation, s'est placé sur un excell
ui dire que M. Putaux, son ancien patron, lui laissera une grande
partie
de sa fortune. L'examen que j'ai fait de la mal
te indépendance, si bien que j'ai eu moi-même à critiquer certaines
parties
du tra- vail, d'ailleurs fort intéressant, de M
r M. Magnan qui n'a vu que les malades seules. Quant à la seconde
partie
de ma communication, celle à laquelle je tiens
grité parfaite. On avait constaté, pendant la vie, l'atrophie de la
partie
antéro-latérale de la moitié gauche de la langu
si le maxillaire supérieur est-il arrondi et non pointu en avant.
Partie
supérieure du maxillaire inférieur arquée en form
r de tels maîtres, le livre dont nous allons essayer d'analyser les
parties
principales sera certaine- ment accueilli avec
pathologie cérébrales. Le plan en est facile à saisir : la première
partie
est consa- crée à l'exposé des principaux faits
excitations et des destructions localisées du cerveau; la seconde
partie
contient la critique des théories. Les effets mot
phéno- mènes qui constitue les premiers chapitres de la première
partie
de l'ouvrage. Il faudrait citer surtout les princ
rrespondent à ces deux portions de l'écorce cérébrale. La seconde
partie
de ce volume est consacrée, comme nous l'avons
e des fonctions motrices du cerveau. Elle est subdivisée en trois
parties
qui traitent : la première de l'excitabilité prop
iste encore des institutions et des méthodes empiriques. Une grande
partie
du public, ne se conten- tant plus des remèdes
au de Dijon, soutenait les intérêts de Mme X..., qui s'était portée
partie
civile. Le Dr R..., qui, dit-on, s'était tout d
- frir de la tête, et cette douleur fut localisée d'emblée, dans la
partie
gauche et antérieure du crâne. En même temps, i
les forces diminuèrent rapidement. Il restait couché la plus grande
partie
de la journée, il fallait l'exciter à se lever,
ée le 16 mars a donné les renseignements sui- vants. L'incision des
parties
molles du crâne ne présente rien de particulier
lâches, siégeant principalement au niveau du lobe frontal et de la
partie
antérieure du lobe pariétal du côté gauche. Que
e. Elle occupe près des deux tiers de la substance blanche, et à la
partie
inférieure et externe arrive jusqu'aux mé- ning
uniforme; à côté de points relative- ment ramollis se trouvent des
parties
indurées, lardacées, en bien plus grand nombre.
rver une diminution dans les dimensions de la tumeur. Elle gagne la
partie
inférieure et se dégage de la partie supérieure
de la tumeur. Elle gagne la partie inférieure et se dégage de la
partie
supérieure, le noyau secondaire a disparu. Quant
zone de ramollissement, qui n'est très prononcée cependant qu'à la
partie
supérieure. Enfin la huitième et dernière coupe
rrivons là à la limite postérieure de la tumeur qui n'occupe que la
partie
inférieure et externe de l'hé- misphère. Elle e
ieure. Cette tumeur ne siégeait que dans la substance blanche de la
partie
antérieure du cerveau gauche; dans une grande par
sance parfois à des cellules géantes à noyaux mul- tiples. Dans les
parties
où cette dégénération colloïde du proto- plasma
dans la veine marginale de l'oreille droite d'un lapin un mélange à
parties
égales du bouillon à 22° et du bouillon à 39°.
avais l'a montré. Il en est de môme de la traction violente sur les
parties
du membre qui sont le siège de l'aura. Une doul
lettres, et les sensations des mouvements propres à l'écriture, une
partie
de cet ensemble peut manquer sans qu'il y ait d
anquer sans qu'il y ait destruction des connexions entre les autres
parties
; 4° le malade peut avoir des idées sans avoir
tions représentatives des mouvements propres à la parole, certaines
parties
peuvent manquer sans que l'essentiel en shuffre
locale du traumatisme. L'insomnie, les douleurs dans les diverses
parties
du corps sont des phénomènes presque constants da
cter par excitation directe ou indirecte (surtout intrabuccale), la
partie
droite de l'orbiculaire des lèvres, le triangulai
eption- nels, est atteinte d'analgésie et de thermo-anesthésie. Les
parties
profondes sous-jacentes sont également indolore
écrire à part l'ensemble des lésions articulaires qui peuvent.faire
partie
des symptômes du mal perforant. Les arthrites c
es. Excitabilité voltaïque et faradique affaiblie dans les diverses
parties
des deltoïdes, réaction partielle de dégénéres-
rejeter, parce qu'il faudrait une lésion parfaitement homologue des
parties
antérieures des deux moitiés delà moelle, et su
bre-arbitre et du droit pénal. Lombroso, on le sait, affirme qu'une
partie
des sujets con- sidérés comme criminels par la
l'hystérie; par le Dr Gilles DE la TOURNETTE (Paris, 1895). Seconde
partie
hystérie paroxystique et traitement, 2 volumes.
rés à ses élèves. Si le professeur Charcot avait pu lire la seconde
partie
de ce traité, il n'aurait eu à regretter en rien
en reproductions et en descriptions de cas d'hystérie. La première
partie
de ce traité est consacrée à l'Hystérie normale
st consacrée à l'Hystérie normale ou interpaa·oxystique, la seconde
partie
traite de l'hystérie paroxys- tique et du trait
à sa forme prolongée ou état du mal. Le second volume de la seconde
partie
du Traité de l'hystérie est consacré aux paraly
érique l'auteur conclut que : « 1° l'hystérie revendique une grande
partie
des contractures dites essentielles des extrémité
s ont été au nombre de 342 (175 hommes, 154 femmes). La plus grande
partie
des hommes rangés dans cette catégorie étaient
echerches a été consigné dans un rapport dont nous allons donner la
partie
clinique et les conclusions. Ce n'est pas, diso
n, Marie C... se plaint énormément de la tête. Elle éprouve dans la
partie
droite du crâne des douleurs telles qu'elle ne pe
s et. en haut se perdre dans la région pariétale gauche. Toute la
partie
frontale de cette cicatrice est rouge, dentelée,
nd que la guérison de sa plaie a demandé deux mois; que pendant une
partie
de ce temps, elle troublait, selon son expressi
s par la bles- sure ; les lèvres de la plaie étaient nettes dans la
partie
du cuir chevelu, et au contraire déchiquetées d
entourent quotidienne- ment l'enfant. C'est par le nom des diverses
parties
de son corps que nous commencerons, c'est-à-dir
L'enfant est d'abord habitué à désigner, sur ordre, telle ou telle
partie
de son corps ; on guide d'abord sa main et on n
ns de ces divers noms, mais encore les répète avec nous. Après la
partie
du corps, nous nommerons les vêlements, après l
aire par imitation les exercices ayant pour but de mettre en jeu la
partie
faible de l'organe. Si les sons gutturaux ne so
lement circulaires, sont déjà, à la troisième semaine de la vie, en
partie
polygonales. Chez un enfant d'un an on a consta
4 à 14, rondes ou cylindriques, ont un diamètre moyen de 7 p : une
partie
d'entre elles possèdent un noyau collé contre l
éraux, une sclérose périvasculaire, moins prononcée dans les autres
parties
de la substance blanche, affectant la forme d'ilô
s scléreux, les fibres nerveuses conservent leur aspect normal. Les
parties
internes et antérieures des cordons postérieurs
Quelques altérations dans la moelle lombaire supérieure et dans la
partie
de ce segment qui confine à la moelle dorsale,
e du corps trapézoïde avec celui du côté opposé, puis se termine en
partie
dans l'olive supérieure opposée; mais sa plus g
ros, à contourner le corps restiforme, descend directement entre la
partie
externe et la partie interne de ce dernier, dan
corps restiforme, descend directement entre la partie externe et la
partie
interne de ce dernier, dans une direction antér
herches sous ce rapport d'ailleurs infruc- tueuses) passe en bas en
partie
dans le noyau de Bechterew, en partie dans la r
c- tueuses) passe en bas en partie dans le noyau de Bechterew, en
partie
dans la racine ascendante de l'acoustique de Roll
diminution de la sensibilité générale du globe de l'oeil qui fait
partie
intégrante de 1'tiéiiiiaiiestliésie (Laiinegrâce)
r une part aussi, à la portion inférieure du bulbe. Au niveau de la
partie
supérieure du renflement cervical, entre les ra
e passage de la moelle dans le bulbe, il touche finalement, dans la
partie
inférieure du bulbe, les voies pyramidales, où
o-externe de Gowers et Bechterew. Ce dernier, placé par Gowers à la
partie
supérieure de la région cervicale, au niveau de
ntralbl., XIII, 1894.) Quand un individu, invité à partager en deux
parties
égales une ligne horizontale, en ne la regardan
lle est réalisée par la distension du ligament de Bertin situé à la
partie
antérieure de l'articulation, et en même temps pa
le sol, le pied repose sur le talon, par son bord externe et par sa
partie
antérieure. Ces considérations exposées vient l
e, sans différence sexuelle. Chez le nouveau-né, elle va jusqu'à la
partie
inférieure de la deuxième apophyse épineuse lom
de la sixième apophyse épineuse jusqu'à la onzième, ajou- ter 3. La
partie
inférieure de la onzième apophyse dorsale et l'es
e la motricité volontaire appliquée à l'équilibration. La seconde
partie
de ce travail est consacrée à l'interprétation,
l et arrive vite, en moins d'une année. L'hébéphrénie se confond en
partie
avec les cas décrits sous le nom de démence pri
de la moelle sont rares; il les a trouvés principale- ment dans la
partie
lombaire et cervicale. Il décrit des tuber- cul
Lebert dit de même que la tuber- culose envahit le plus souvent la
partie
lombaire et il en pré- sente une symptomatologi
nschütz. D'après cet auteur, la tuberculose envahit plus souvent la
partie
supérieure que la partie inférieure de la moell
, la tuberculose envahit plus souvent la partie supérieure que la
partie
inférieure de la moelle lombaire. Au point de vue
s la Rèvue neurologique un cas de méningomyélite aiguë limitée à la
partie
inférieure du renflement cervical dans le cours
méningile chronique. Poussée de ménin- gomyélite aiguë limitée à la
partie
inférieure du renflement cervical. Hématomyélie
fourmillements, des picotements dans les pieds, les jambes et à la
partie
antérieure des cuisses. Cela s'accompagnait d'un
26 janvier au matin, elle éprouva dans les membres inférieurs et la
partie
inférieure du tronc, une sensation d'engour- di
ésie comprenant toute l'étendue des deux membres infé- rieurs et la
partie
inférieure du tronc limitée en haut suivant une
issociée. Le tact est partout bien con- servé, sauf au niveau de la
partie
antérieure de la cuisse gauche où il est un peu
rs et une sensation de constriction enserrant comme une ceinture la
partie
inférieure de l'abdomen et les flancs. Pas de t
s cordons latéraux de toute l'étendue de la moelle dorsale et de la
partie
inférieure de la moelle cervicale des échancrur
ets, et sauf quelques fentes qui se montrent principalement dans la
partie
inférieure de la moelle cervicale, on ne trouve
s : A. I. II. Deux portions prises dans la moelle cervicale de la
partie
inférieure. III. Une portion prise sur la limite
e la par- tie supérieure de la moelle dorsale. C. Une portion de la
partie
inférieure de la moelle dorsale. D. Enfin une p
nfiltration de la pie-mère, qui adhère à la moelle, surtout dans la
partie
postérieure, gagne encore en intensité. Dans un
it six agglomérations de leucocytes d'assez grand volume réunies en
partie
. Quelques agglomérations, sur des coupes proven
en partie. Quelques agglomérations, sur des coupes provenant de la
partie
plus basse, disparaissent entiè- rement, d'autr
sous forme de nodules tuberculeux typiques. C'est encore dans celte
partie
de la moelle que l'on voit à la périphérie du c
cilement avec le picrocarmin, ainsi que les cylindres-axes dans les
parties
qui n'étaient pas envahies par les infiltration
aux qui se sont multipliés. III. Dans les coupes provenant de cette
partie
de la moelle, on voit très distinctement la man
ncent à appa- raître de petits îlots de cellules rondes placées, en
partie
, autour d'un vaisseau (fig. 8). Dans une coupe,
des racines postérieures droites. Sur les coupes provenant de cette
partie
de la moelle l'infiltra- tion des parois des va
isolée et composée de cellules épithéliales. B. Moelle dorsale : I (
partie
supérieure). C'est dans cette partie que l'on r
liales. B. Moelle dorsale : I (partie supérieure). C'est dans cette
partie
que l'on rencontre les lésions les plus intense
me aspectcomme nous l'avons vu plus haut. On rencontre dans cette
partie
même de fines hémorragies capil- laires dans le
e. Les racines spinales an- térieures droites sont enflammées et en
partie
sclérosées. De même, les racines postérieures,
NIÈRE. 191 cornes antérieures. Dans les coupes provenant de la même
partie
de la moelle, les cornes postérieures et surtou
ent rien de spécial. L'examen bactériologique reste négatif. C.
Partie
dorsale inférieure. En ce qui concerne les carac-
n ce qui concerne les carac- tères généraux, on constate dans cette
partie
de la moelle les mêmes lésions que nous avons i
tie de la moelle les mêmes lésions que nous avons indiquées dans la
partie
supérieure. Mais elles y sont beaucoup moins in
dans la pie-mère nous avons remarqué les mêmes lésions que dans la
partie
supé- rieure. Le cordon postérieur, sauf une lé
i et endonèvre des deux racines anté- rieures et postérieures. D.
Partie
lombaire. On trouve seulement dans cette partie u
et postérieures. D. Partie lombaire. On trouve seulement dans cette
partie
une 192 CLINIQUE NERVEUSE. légère augmentatio
t dans les nodules de la moelle dorsale, mais aussi dans ceux de la
partie
cer- vicale. ' Le processus morbide a atteint
e. ' Le processus morbide a atteint son maximum d'étendue dans la
partie
supérieure de la moelle dorsale. Il s'agit donc
rmillement, les picotements dans les pieds, dans les jambes et à la
partie
antérieure des cuisses, un certain degré de fai
et de froid, très prononcée dans les membres inférieurs et dans la
partie
inférieure du tronc, de plus la paralysie subit
urs avec sensa- tion de constriction, serrant comme une ceinture la
partie
inférieure de l'abdomen et les flancs. L'expl
t que le processus qui se développait dans la moelle, eut envahi la
partie
supé- rieure de la moelle cervicale. Nous all
à la tuber- culose des poumons dans le stade très avancé. C'est la
partie
dorsale de la moelle qui est le plus souvent en
se. 196 CLINIQUE NERVEUSE. La tuberculose peut envahir toutes les
parties
de la moelle. Elle se propage ordinairement dep
rs ne proviennent pas de l'os sacrum, mais qu'elles proviennent des
parties
plus profondes encore. Le malade se trouve de n
droite il y a quelques mouvements possibles. 20. IL La peau de la
partie
inférieure du dos est oedémateuse; l'oedème des
Diagnose : Paraplégie consécutive à des lésions en îlots dans la
partie
inférieure de la moelle dorsale. - L'altération t
à la dure-mère sur le côté antérieur. Les faisceaux de Goll dans la
partie
supérieure de la moelle cervicale affectent une
moelle cervicale affectent une couleur blanche, tandis que l'autre
partie
de la substance blanche a la couleur blanc grisât
ges et des îlots rouges grisâtres. Au-dessus et au-dessous de cette
partie
, la moelle est tachetée. Dans la partie lombair
ssus et au-dessous de cette partie, la moelle est tachetée. Dans la
partie
lombaire, les faisceaux pyramidaux latéraux sont
fiées ; la rate également. Les glandes rétropéritonéales sont en
partie
caséeuses, en partie atteintes de dégénérescence
alement. Les glandes rétropéritonéales sont en partie caséeuses, en
partie
atteintes de dégénérescence amyloide. A l'exame
loide. A l'examen microscopique de la moelle, on a relevé dans la
partie
supérieure de la moelle cervicale une sclérose de
urtant, après un examen soigneux, dansles faisceaux cérébelleux une
partie
sclérosée qui est nettement limitée du côté intér
ubercules, dispersés tout à fait irrégulièrement dans la moelle. La
partie
dorsale de la moelle a été plus atteinte. Presq
s anciens, des dégénérescences récentes. C'est justement dans cette
partie
que l'on a trouvé le plus grand nombre de nodul
l'on a trouvé le plus grand nombre de nodules. Au-dessous de cette
partie
, la dégénérescence com- . mence à disparaitre,
rrivant au terme de ses études, le médecin a pu acquérir dans cette
partie
des sciences médicales les mêmes connaissances
s exposer brièvement la question. L'aliénation mentale n'est qu'une
partie
de la pathologie céré- brale, et la psychologie
partie de la pathologie céré- brale, et la psychologie n'est qu'une
partie
de la physiologie du cerveau, comme l'admettent
ngers à l'aliénation mentale et à la psychologie, c'est-à-dire à la
partie
essentielle de la pathologie et de la physiolog
rie bulbo-prolubérantielle. Entre le bulbe et la protubérance, à la
partie
externe du plancher du quatrième ventricule, il
oses et celle qui est exposée dans la thèse de M. Bertoye, dont une
partie
est écrite de la main de M. Renaut. Dans ce der
e des délires de courte durée; elles le constituent même en majeure
partie
, ce qui leur donne au point de vue médico-légal u
un mariage'. Les congressistes visi- ' Cette rédaction est faite en
partie
avec le compte rendu de M. le D'Tissié, dans la
s, et des études minutieuses tendant à apporter la lumière dans les
parties
obscures caractérisant la plupart des affection
lexes peuvent être localisés au niveau des ganglions de l'habénule (
partie
postérieure du troisième ventricule). M. Men- d
veillants, les malades furent rapidement installées dans les autres
parties
de l'asile, et nous sommes heu- reux d'annoncer
urité des malades et du personnel et le sauvetage de la plus grande
partie
de l'ameu- blement, de sorte que la direction e
re. Laparalomie et résection partielle de la poche. Guérison. - 11°
partie
, par Bounu,.A et fnsTnr.onu : pilepsie et folie
es vaisseaux et le tissu con- jonctif et étendues à une très grande
partie
de l'axe nerveux; ces lésions diffuses, considé
les ulcérations prédominent sur la circonvolution de Broca et la
partie
inférieure des circonvolutions motrices. La point
sou- vent répétées. Les poumons sont légèrement adhérents sur une
partie
de leur étendue; ils sont le siège, surtout à d
rs, abondants ÉTUDE SUR LA lIiÉNINGO-iYÉLITE. 277 surtout sur les
parties
latérales, au niveau de l'insertion du ligament
s, de l'engourdissement et de l'in- sensibilité des mains dans leur
partie
cubitale surtout, de l'incoor- dination rapidem
même sont peu atteints par l'in- filtration embryonnaire, sauf à la
partie
inférieure du renflement cervical où, sur un es
lègue et ami Lenoble, occupe, ainsi que le montre la figure 13, une
partie
de la périphérie de la moelle et semble répondr
dre à l'extrémité antérieure du faisceau cérébelleux direct et à la
partie
postérieure du faisceau de Gowers; en réalité,
NERVEUSE. étendue, par une mince couche de fibres saines. Toute sa
partie
supérieure a été utilisée pour les coupes trans
été utilisée pour les coupes transversales; la figure 14 montre sa
partie
inférieure en coupe vertico-transversale et sa te
e est d'une autre nature ? En tout cas, il est certain qu'elle tait
partie
. Fig. IJ. Observation IV. - COI PC l'R.1\ :
tendues à tout le système nerveux central, ou au moins à une grande
partie
de ce système, et en particulier à la moelle to
e Friedreich, le système cérébello-médullaire serait touché dans sa
partie
médul- laire surtout ou exclusivement; dans l'h
demander pourquoi dans le même système orga- nique c'est tantôt une
partie
, tantôt l'autre qui dégénère. E. B. XVIII. NÉ
atives des mouvements nécessaires à la parole (Broca) : lésion à la
partie
-postérieure de la troisième frontale gauche; 2
be temporal gauche est com- plètement ramolli de même qu'une'petite
partie
de l'extrémité pos- térieure de l'insula. L'étu
mai 1895.) E. B. - XXXI. Hémianopsie avec hallucinations dans la
partie
abolie DU champ DE la vision ; par le Dr LAME.
origine corticale s'accompagnent d'hallucinations visuelles dans la
partie
du champ de la vision dont la fonction est abolie
rvical jusqu'au sixième segment dorsal : il occupait en général les
parties
postérieures centrales, et atteignait sa plus g
ostérieures centrales, et atteignait sa plus grande largeur dans la
partie
infé- rieure du quatrième segment dorsal où il
uleur et de la sensibilité dans le corps, mais encore sur certaines
parties
du cuir chevelu ; 7° il cherche enfin à localis
esthésie localisée comme guide dans LE diagnostic DES LÉSIONS DE la
partie
supérieure DE la MOELLE; par ALLEN STARR. (Brai
cord avec Mme Déjerine Klumpke, il re- marque que les lésions de la
partie
inférieure de la région cervi- cale de la moell
ésie occupe le côté opposé et se localise symptomatiquement dans la
partie
inférieure du SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 Î corps.
sont consécutives à la polyomyélite dont elles font pour ainsi dire
partie
, elles ne ressemblent nullement aux lésions patho
les à la transmission de toutes les maladies contagieuses. C'est en
partie
à eux qu'est due la propagation de la dernière
, une nouvelle transformation se produisit : la séparation des deux
parties
de ces asiles devint plus fictive que réelle (G
le plan d'Alt-Scherbitz sont donc essentiellement composés de deux
parties
bien dis- tinctes : la colonie où l'on applique
DE. Le chlorobrome n'est pas un corps défini; c'est un mélange, à
parties
égales, de bromure de potassium et de solution aq
convolutions, à l'excision plus ou moins complète de telle ou telle
partie
de l'écorce cérébrale, cette pra- tique parait
point où se fait ce contact; c. les formes dues à la nécrose d'une
partie
du canal de Fallope, plus sérieuses encore, en
, trois incisions faites s'étaient rencontrées au point voulu, à la
partie
antérieure du bras postérieur de la capsule int
pnotiques : c'est un poison psy- chique, portant son action sur les
parties
de l'encéphale où siègent la conscience et l'id
Hoesel). - 4. Il existe avec les fibres déjà décrites une quatrième
partie
constitutive des fibres du ruban de Reil de la
t les manchons sont comme saupoudrés de points et de raies rouges).
Partie
d'entre eux subissent la dégénérescence graisse
nlèvent la graisse, et à sa place il reste des crevasses; une autre
partie
des gaines myéliniques prend un aspect finement
sorte de grumeau à colo- ration plus ou moins vive. Sur le tard, la
partie
fibrillaire de la névroglie s'altère à son tour
béance des vaisseaux; la distribution du sang dans les différentes
parties
de l'organe subit des variations correspondante
ndent de la portion supé- rieure du quatrième segment cervical à la
partie
inférieure du pre- mier segment dorsal. Les cel
ieure de ce territoire fournissent aux muscles de l'épaule et de la
partie
supé- rieure du bras. Les cellules de la portio
groupe des cellules qui innervent les muscles du dos est situé à la
partie
interne des cornes antérieures; 7° La fonction
partie interne des cornes antérieures; 7° La fonction motrice d'une
partie
ou d'une extrémité quel- conque du corps est en
nnaires du segment médullaire d'où part le nerf qui aboutit à cette
partie
ou à cette extrémité : 8° Dans les cas de non-f
nt le transport chez ses parents. Petite plaie du cuir chevelu à la
partie
antérieure du pariétal gauche. Elle ne reprend
tions frontales des deux côtés. L'étude des cellules corticales des
parties
atrophiées, faite par la méthode de coloration
oyau de la cellule et possède un contour net. a. Arkyochromes. La
partie
constituante colorée de la cellule est disposée
ochrome; 3. Type des cellules olfactives. : j3. Sléchochromes. La
partie
constituante colorée de la cel- lule a la forme
h1'omes. Un seul type, celles de Purkinje. , Gl' ! Joclt1'01nes, La
partie
constitutive de la cellule colorée se compose d
PATHOLOGIQUES. 397 î visuel (fissure calcarine), le centre auditif (
partie
postérieure de la lro temporale, le centre olfa
ro temporale, le centre olfactif (circonvolution de l'hippocampe et
partie
postéro-inférieure du lobe frontal), les circonvo
alement l'acquisition spéciale de l'homme et affluent de toutes les
parties
du- cerveau. Les centres de la parole occupent, d
ix occupe le plan des tubercules quadrijumeaux du côté fauche et la
partie
supérieure des veines avec la commissure cérébe
l'abus surtout en fait d'alcool, la nervosité héréditaire causée en
partie
par le surmenage du cerveau, tous ces facteurs
inq à quinze ans après l'infection syphilitique et comme la majeure
partie
des hommes contracte la syphilis de vingt à tre
t Goldscheider pré- sentent au public médical constitue la première
partie
d'un ouvrage ayant.pour sujet les maladies de l
ompétence et tous les déve- loppements nécessaires dans la première
partie
du rapport de M. Bourneville, De nos jours, la
contre la malpro- preté. Cette chambre de lavage comprendra deux
parties
: un déshabilloir où le gâteux sera dépouillé d
la campagne et du soleil. A Ville-Evrard j'ai obtenu de vitrer une
partie
de la galerie couverte; mais j'ai dû sacrifier
, si M. Bourneville ne s'était acquitté de ce soin dans la première
partie
de son rapport avecune haute compétence. Notre
t placées sur la ligne centrale de l'asile et font en quelque sorte
partie
des services généraux. C'est ce der- nier systè
C'est d'une voix sourde et fatiguée qu'elle pro- nonce la deuxième
partie
(en plein). Lorsque ces spasmes se pro- duisent
deux centimètres. Au pénil, dans sa moitié infé- rieure et dans la
partie
médiane, poils châtain foncé de quatre à cinq c
pées (plus d'un centimètre de large), le capuchon fait saillie à la
partie
supérieure de la vulve. L'activité de Marie-Louis
elle accompagne ce mouvement d'un nouveau cri ouègne D, la première
partie
est toujours plus accentuée. Elle s'amuse aussi
sang et le système nerveux, agissent de préférence sur les diverses
parties
de l'arc neuro-musculaire : tantôt sur les fibres
a circumcursive); ceux dans lesquels ce phénomène constitue tout ou
partie
de l'accès (accès circum- cursifs). Dans l'au
ET PYOPIIRÉNOES ; par le professeur S. Venturi. Dans la première
partie
de son travail, l'auteur apporte de nou- veaux
relet du corps calleux. Le bourrelet est intéressé, surtout dans sa
partie
inférieure et a perdu les deux tiers de son vol
noyau de prune, dans la substance blan- che ; l'autre situé dans la
partie
sensitive de la moitié gauche du pont. La pyram
érées L'olive droite est atiophiée; les cellules en sont en majeure
partie
SOCIÉTÉS savantes. 479 dégénérées. Les fibres
t dite. M. Pick montre des préparations d'un myome développé à la
partie
postérieure de la moelle lombaire. Cette néoplasi
es premiers stade5, les altéra- tions ne se révélaient que dans les
parties
centrales de la cellule : au lieu des corpuscul
aractéristiques qui se ren- contrent à l'état normal, on voyait les
parties
entourant le noyau présenter un aspect terne. D
Dans les stades plus avancés la lésion, au lieu de se limiter à la
partie
de la cellule entourant le noyau, s'étendait au
du quatrième ventricule. Les lésions maxima siègent au niveau de la
partie
antérieure du noyau de l'oculo-moteur com- mun.
le de constater 1 ? par Axenfeld 145. avec hallucinations dans la
partie
abolie du champ de la' vision par Lamy, 317.
enfants ayant été augmentée par l'installation de 23 lits dans une
partie
des ateliers, l'administration nous a donné une
cré à l'enseignement professionnel, nous avons demandé que cette
partie
du hangar fût nettoyée, blanchie et donnée aux
du projet général de reconstruc- tion de la section des enfants la
partie
relative aux ateliers destinés à l'enseignement
nt ralenti et même fait suspendre les travaux durant la plus grande
partie
du mois de novem- bre. De plus, l'opération des
chef : « Etant données les connaissances acquises du sous-sol de la
partie
acces- sible et la forte épaisseur des terres d
s de 9 mètres de haut et espacées de 2m.50. Elles sont reliées à la
partie
supérieure par un arc en briques reposant sur s
ecte et Ventujol, directeur de Bicêtre. Nous avons dit aussi que la
partie
relative aux ateliers en avait été détachée, so
au Conseil municipal, et nous venons de voir de quelle façon cette
partie
du programme a été réalisée. Lors de l'examen d
r; Aliène, maître tailleur et Perche, maître cordonnier. DEUXIÈME
PARTIE
Clinique. I. Du Mérycisme Par BOURNEVILLE
. Nous rappellerons seulement que leur estomac se compose de quatre
parties
: 1° le rumen ou panse; 2° le bonnet ou réseau;
près les expériences de Flourens, les aliments grossiers tombent en
partie
dans la panse, en partie dans le réseau, tandis
lourens, les aliments grossiers tombent en partie dans la panse, en
partie
dans le réseau, tandis que les aliments atténué
nduits directement dans le feuillet. Béclard admet cependant qu'une
partie
passe encore dans la panse et le réseau pour êt
Cependant, nous préférons réserver l'étude clinique pour la seconde
partie
de notre travail, où les observations prises ch
le ventre et faisaient remonter ainsi pour la recracher une grande
partie
de leur repas. Alors, on les surveilla et on fit,
au remonte toujours et parait favoriser beaucoup la rumination. Les
parties
solides des oranges remontent constamment dans
ne nous appesantirons pas plus longtemps, actuelle- ment, sur cette
partie
de notre sujet et nous rapporterons les exemple
nférieure il l'es- tomac, une ligne légèrement courbe, allant de la
partie
inférieure de l'arc costal gauche à travers l'o
tous ses aliments dans sa bouche, pour n'en ruminer ensuite qu'une
partie
. Observation XXII. - welsch (Obs. med., ép. XXX
'heure environ après le repas, la ru- mination commence; une petite
partie
des aliments ingérés re- monte dans la bouche s
mac ainsi comprimé, réagit, se contracte et expulse doucement une
partie
de son contenu; mais la plupart du temps, il n'ép
le quart de la quantité ingérée pendant le repas; la plus grande
partie
reste habituellement dans l'estomac, et pour cett
, amer ou acide, suivant le cas. » Nous avons terminé la première
partie
de notre travail et rapporté tous les cas à nou
action de l'estomac, les aliments crus, trop peu ou trop cuits, les
parties
tendineuses, aponévrotiques, les substances fac
a fin de la rumination, ils consistent plutôt en une bouillie qu'en
parties
ali- mentaires distinctes. Les liquides ingérés
même timbre de percus- sion. On trouve une matité relative dans les
parties
qui corres- pondent au liquide évidemment accum
une parole; il est calme, tran- quille. Le frontest bas, couvert en
partie
par les cheveux. Les lèvres sont volumineuses e
ire qui remonte ainsi comprend généralement dans sa composition une
partie
de tous les aliments qui ont formé le repas; ce
t actuel (iioùl 48S ? ).- Tête très volumineuse, développée dans sa
partie
postérieure, saillie très prononcée de l'occipita
ression assez marquée. Pas de saillie des arcades sourcilières : la
partie
gauche du front parait un peu plus déprimée que
diverses variétés d'accès épileptiques. DU MÉRYCISME. 55 grande
partie
. Lorsqu'on le fait manger, il avale la plupart de
qu'un aliment est plus digestible qu'un autre, quand il cède ses
parties
chymifiables plus promptement que cet autre, quel
quelque chose de semblable dans l'OBsERVA'noN XXX, où la majeure
partie
des bouchées qui remontaient était formée de vian
; la deuxième petite molaire supérieure droite seule est cariée. La
partie
inférieure de la face est très saillante. Con
onde. Les autres circonvolutions temporales sont irrégulières et en
partie
soudées. Face interne. La circonvolution fronta
rieur, dépas- sant le bord convexe de l'hémisphère, vient couper la
partie
supérieure de la frontale ascendante. - Le lobe
saux et dans la moitié postérieure de deux plis longi- tudinaux, en
partie
confondus; son insertion, petite, se fait au fond
Fa et F; son extrémité postérieure est en retrait par rapport aux
parties
voisines. Ftt est volumineuse et sinueuse. Le sil
lumineuse et sinueuse. Le sillon de Rolando est profond. Toute la
partie
de l'hémisphère que nous venons de décrire et q
ns. Toutes ces circonvolutions ont des bords tranchants. Toute la
partie
de la circonvolution d'enceinte de la scissure de
la branche montante du maxillaire inférieur; duvet abondant sur la
partie
postérieure du cou, du tronc et. sur les faces
urtout les liquides; au bout de quelques minutes, il en rejette une
partie
et ravale l'autre ; le mérycisme est donc aujour-
; les aliments semi-liquides, comme les soupes, le sont souvent; la
partie
liquide, bouillon ou lait, revient la première;
st profond. La pariétale ascendante, un peu irrégulière, offre à sa
partie
moyenne une sorte de sillon transversal incom-
lution temporale est très distincte, la deuxième et la troisième en
partie
confondues. La circonvolution de l'hippocampe e
n ce sens qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la
partie
postérieure de ces deux circonvolutions. Il n'y
outit au corps calleux. - Le coin a la forme d'une enclume, dont la
partie
horizontale se confond en arrière avec le lobe
à fait dislincte, avec une attache à la frontale ascendante dans sa
partie
inférieure. Ainsi, à gauche, c'est la deuxième
illimètres au-dessus de son extrémité inférieure, se divise en deux
parties
réunies par un pli de passage à un centimètre du
Même disposition qu'il gauche du lobe pctrcreentral : cependant la
partie
antérieure de la boucle est moitié moins épaiss
ge, qu'elles ont une étendue bien plus considérable et qu'enfin une
partie
de cet organe que je crois être la plus active
s et durait une heure et demie. Bientôt, le quart du re- pas fut en
partie
ruminé et avalé, en partie craché, à ce qu'estime
mie. Bientôt, le quart du re- pas fut en partie ruminé et avalé, en
partie
craché, à ce qu'estime le patient. Il prétend a
rement après le repas du midi, quelquefois après celui du soir, des
parties
d'aliments ingérés remontaient sous forme de bo
tié supérieure où elle n'atteint que le quart de la lar- geur de la
partie
correspondante de la frontale ascendante. Le si
t a une colo- ration noire, ocreuse. Tout le lobe pariétal, et la
partie
postérieure des circonvolutions temporales sont
la face interne, on trouve quelques adhérences superficielles à la
partie
moyenne de la circonvolution du corps calleux; à
les à la partie moyenne de la circonvolution du corps calleux; à la
partie
supérieure de la première circonvolution fronta
existe des adhérences plus marquées, et une atrophie relative de la
partie
supé- rieure du lobe carré, qui limite en dedan
postérieure de la première circonvolution frontale; 2° sur toute la
partie
moyenne des frontale et pariétale ascendantes ; 3
quelques adhérences au niveau du lobe carré, du lobe temporal, à la
partie
antérieure du lobe para- central, à la partie a
u lobe temporal, à la partie antérieure du lobe para- central, à la
partie
avoisinante de la Ire frontale et enfin à la pa
central, à la partie avoisinante de la Ire frontale et enfin à la
partie
antérieure de la circonvolution du corps calleux.
ndante. Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T,
partie
postérieure des circonvolutions temporales. Tl,
anelle est moins grande et limitée par la réunion des os. Sur les
parties
latérales de la tête, petite fontanelle de 2 cen-
es et des os voisins. L'angle supérieur droit se prolonge avec la
partie
droite de la suture sagittale comme nous l'avons
e dirige en haut et s'élève à 5 centi- mètres au-dessus du plan des
parties
latérales. La faux du cervelet n'est pas appréc
faux. Ces membranes s'écartent de la ligne médiane au niveau de la
partie
supérieure de la fontanelle antérieure et vienn
s calleux que de petits ponts purement membraneux, en avant et à la
partie
moyenne ; tout à fait en arrière, il a 3 à 4 mi
e allongé à base postérieure, effilé en avant; il s'étend depuis la
partie
antérieure des ventricules la- téraux jusqu'à l
d depuis la partie antérieure des ventricules la- téraux jusqu'à la
partie
antérieure du ventricule moyen, mince et très t
sen- ter rien de particulier. 124 FOYER HÉàlOR11HAC.IQrJE. A la
partie
postérieure du bord supérieur de l'hémis- phère
ibre d'une petite plume est obturée par un caillot. Elle part de la
partie
inférieure et anté- rieure de la face interne d
ce en passant au milieu de la surface du foyer; elle gagne ainsi la
partie
postérieure du bord supé- rieur du cerveau, s'i
ez dure; sa moitié droite est un peu moins haute que la gauche. Les
parties
qui constituent le bulbe sont presque tout à fa
semble étrangler la moelle qui est peu volumineuse. Au niveau de la
partie
antérieure de la face supérieure du cervelet, i
simples lignes, sont, au contraire, très agrandis surtout dans la
partie
moyenne des deux tiers antérieurs de la face conv
Onvoit d'abord une circonvolution large, amincie, divisée en trois
parties
par deux larges sillons et qui paraît répondre
d sillon vertical fzg. 3, s s.); dans cette hypo- thèse, la seconde
partie
de la circonvolution que nous venons de décrire
3 de haut). La face interne mesure en avant deux centimètres ; à la
partie
moyenne, trois centimètres et tout à fait en ar
es bosses frontales ou pariétales très saillantes, ce qui est dû en
partie
à l'épaississement des os (4). 11 peut arriver
us rappellerons seulement que, dans la ca- vité arachnoïdienne, une
partie
du liquide était enkystée entre la dure-mère et
et la grosseur d'une petite noix de coco. Elle était recouverte en
partie
par la peau, en partie par une membrane séro- f
etite noix de coco. Elle était recouverte en partie par la peau, en
partie
par une membrane séro- fibreuse. Durant l'accou
use. Durant l'accouchement, qui se fit d'ailleurs naturellement, la
partie
fibreuse se rompit. L'enfant était bien conformé
ois, nommé Mor... Germain. L'encéphalocèle siégeait au niveau de la
partie
posté- rieure du pariétal droit et de la partie
ait au niveau de la partie posté- rieure du pariétal droit et de la
partie
avoisinante de l'occipital. La tumeur faisait u
et; érythème et papules occupant les fesses, la région lombaire, la
partie
supérieure des cuisses. Adénites cervicales et
cent. pour la 1 r.), un sillon transver- sal qui les divise en deux
parties
: l'une antérieure, allant j us· qu'à l'extrémi
au point de vue des localisations. TABLE DES MATIÈRES Première
partie
. HISTOIRE DU SERVICE PENDANT L'A ? \f : E 1883.
RVICE PENDANT L'A ? \f : E 1883. TABLE DES MATIÈRES. 147 Deuxième
partie
. CLINIQUE. 148 BOURNEVILLE. Écoles municipa
ndante, Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T,
partie
postérieure des circonvolutions temporales. . 7
s sensibles, nombreuses, d'étendue fort variable, correspondant aux
parties
blanches du schéma, existent aux membres et au
nc. Au niveau de plusieurs de ces plaques, notamment de celle de la
partie
latérale gauche de l'abdomen et du dos, la peau
vasculaire qu'ailleurs; si l'on frictionne un peu énergiquement les
parties
in- sensibles, la peau rougit d'abord, puis bie
ugit d'abord, puis bientôt, sa sensibilité repa- rait au niveau des
parties
frictionnées. 'b. Sens musculaire. 11 semble co
érieur, il exisLe trois petites zones sensibles, situées l'une à la
partie
anté- rieure, l'autre à la partie postérieure d
nes sensibles, situées l'une à la partie anté- rieure, l'autre à la
partie
postérieure de la cuisse, la troisième au 10 PA
terminant en arrière à l'omoplate. Anes- thésie de la cuisse, de la
partie
postérieure de la jambe. Anesthé- sie du côté g
, de l'épigastre et au dessous du mame- ]on gauche; au niveau de la
partie
antérieure du genou gauche la sensiblililé est
scopique nous avons constaté chez Bon... une anesthésie de toute la
partie
supé- rieure du larynx et une intégrité absolue
ien, pour se produire, une contraction volontaire des muscles de la
partie
mobilisée ; il se produit au repos ou pendant des
néralisation quand le malade est couché, ils se localisent dans les
parties
supérieures du corps, lorsque le sujet est debo
jours associés, dans des cas assez graves, avec des tics des autres
parties
du corps. Nous n'en avons pas, pour cette raiso
re, la moelle présente absolument sa consistance nor- male. Dans la
partie
supérieure, elle est sensiblement plus molle, s
l y a, en outre, de petits foyers disséminés dans les diffé- rentes
parties
de la moelle. A l'examen microscopique, l'atten
eaux situés au milieu des îlots. Ils sont entou- Fit, 7. Coupe à la
partie
supérieure de la moelle dorsale. Distribution d
tance blanche est atteinte à peu près dans toute son étendue ; les
parties
demeurées saines sont extrêmement limitées. Des
persistent, même jus- qu'au niveau de la troisième paire cervicale,
partie
la plus élevée de la moelle qui ait été à notre
t en dimi- nuant, mais on en trouve encore des signes même dans les
parties
les plus inférieures de la moelle. Ainsi, à l'e
SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 51 qui se retrouvent aussi dans les autres
parties
de la moelle. Quelle est la nature de ces éléme
que nous avons rencontrées autour des vaisseaux et dans les autres
parties
de la moelle. La présence de corps granuleux
en fait d'altérations qu'un certain degré de ramollissement de la
partie
supérieure de la région dorsale. Le foyer origi
r des globules sanguins. Au niveau de la quatrième paire cervicale,
partie
la plus élevée de la moelle qui ait été à notre
de la qua- trième paire cervicale; dégénérescence pigmentaire; les
parties
laissées en blanc correspondent au protoplasme
(coloré en rouge par le carmin, en bleu par l'hématoxyline) et une
partie
formée de gra- nulations pigmentaires (jaune da
réduites en un amas de granula- tions (voir fig. 10, d). Vers la
partie
inférieure, les lésions vont en diminuant, mais o
ux sujets : l'inflammation semble avoir eu son point de départ à la
partie
supérieure de la région dorsale; du moins, c'es
nous présente une infiltration cellu- laire abondante de toutes les
parties
de la moelle et en particulier, de l'espace pér
son action nocive sur la moelle épinière et particulièrement sur la
partie
supérieure, bulbaire. Les lésions trouvées aux
sur tous les membres de la famille, mais simplement sur une petite
partie
d'entre eux. Elle apparaît chez le nouveau-né j
nostic confirmé. Tumeur tuberculeuse de la protubérance occupant la
partie
moyenne de l'organe, ayant siégé d'abord à gauc
mollissement) limitée aux lobules linguaux des lobes occipitaux, la
partie
posté- 84 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pa
veau chez LES animaux NOUVEAU-NÉS ; par W. 13ECnTEREw. (Ibid.) La
partie
de la ? circonvolution originelle qui surplombe l
e se confond pas non plus avec lazone motrice, puisqu'elle occupela
partie
antérieure du gyrus sigmoïde, s'étend à la paro
s'étend à la paroi externe de cotte circonvolution, et, de là, à la
partie
antérieure des 2" et 3e circonvolutions origine
a naissance, on constate l'excitabilité de presqne toutes les mêmes
parties
que chez l'animal adulte. Ces animaux sont nés
s sont : le veau, le cheval, le cobaye 2. Chez les autres, telles
parties
du cerveau qui sont excitables chez les adultes
cérébraux correspondants sont embryonnaires et que, dans certaines
parties
de la substance blanche, la myéline manque. Cit
ande au mem- bre antérieur gauche, chez un autre celle qui anime la
partie
la- térale gauche de la nuque ; on les tue deux
Le trajet des fibres de l'accessoire n'est pas partout le même. Une
partie
d'entre elles, après avoir quitté la corne anté
Il s'agit d'un cas de frac- ture avec déplacement. Au niveau de la
partie
supérieure du renflement lombaire, la dégénéres
rit le trajet de son faisceau cantéro-latéral ascendant : 1° A la
partie
supérieure de la région cervicale, à la hauteur d
s, le systèmearcué inférieur l' du noyau du cordon postérieur, à la
partie
la plus inférieure du champ interne ; le syslèm
terne ; le syslème arcué moyen et supérieur du même noyau occupe la
partie
moyenne de ce champ ; les fibres émanées de l'a
etziusie remit en lumière. H. M. C. XXX. Amputation ancienne A la
partie
supérieure du bras gauche ; ATROPHIE DE L\ CIRC
et les nécroses cutanées indiquaient une affection ir- ritative dea
parties
postérieures de la substance grise centrale. H.
iens de passage. Vie errante, solitaire, pendant laquelle il est en
partie
réduit à avoir recours à l'assistance de ses pa
actère commun de ces malades est la démence. Après avoir coloré les
parties
latérales des hémisphères cérébelleux par la mé
diminution plus ou moins prononcée des libres nerveuses fines qui,
parties
de la lisière de la substance blanche, vont en
raniométriques, et pèse comparativement l'encéphale et ses diverses
parties
constituantes chez diverses espèces normales et
d'ailleurs normaux, on constate aussi que l'utérus, le vagin et les
parties
génitales externes ne présentent aucune anomalie.
et la circonvolution du corps calleux ont en outre perdu une grande
partie
des fibres inte1'mé- lliui1'es. Les ascendantes
rebelle à l'action de l'acide chromique. Atteinte de la plus grande
partie
des circonvolutions frontales à la convexité et
ations et des expériences d'hypnotisme. Le livre est divisé en deux
parties
: la première consacrée à l'automatisme total, la
our devenir héréditaire. Les faits d'observation forment la majeure
partie
de ce livre, et ils sont groupés avec assez d'a
excitant d'autant plus faible qu'elle-même est plus forte. Une des
parties
les plus intéressantes de l'ouvrage est l'étude d
r l'emploi des mé- thodes de la physiologie expérimentale, et cette
partie
de son oeuvre en est peut-être la plus solide.
tel livre, qu'il faut lire pour en tirer profit. Dans la première
partie
sont exposées la craniométrie et la céplialoiiiét
et dont il était quelque- fois difficile de se procurer toutes les
parties
. Il nous est impos- sible d'analyser en détail
insuffisante. AI. Paul Unu a divisé l'Histoire de Bil'êlre en deux
parties
. La pre- mière est exclusivement consacrée à l'
pre- mière est exclusivement consacrée à l'ancien Bicêtre, et à la
partie
historique proprement dite de l'établissement o
barbares que l'ignorance des temps leur infligeait. Dans la seconde
partie
, nous assistons aux transformations et améliora
u début, revient bientôt à l'état normal. ( Sensibilité obtuse à la
partie
antérieure de la jambe, en dehors du '( tibia,
Amaigrissement notable de la jambe. Sensibilité très obtuse à la
partie
anléro-exteme de la jambe, à la face dorsale du p
tion. , La piqûre n'est pas sentie sur le dos du pied droit et à la
partie
antérieure de la jambe droite. L'électrisatio
Puis le tronc et les premières branches fémorales se dégagent en
partie
grâce au traitement électrique employé, mais la
a constaté en séparant par la dissection le nerf sciatique en deux
parties
que les fibres du nerf sciatique poplité extern
r ce nerf est situé dans le bassin le long de la crête sacrée, à la
partie
la plus proéminente du détroit supérieur, de te
présenté cinq fois à notre observation. Ces cinq malades font tous
partie
soit du service, de la clinique, soit de la pol
dura un mois environ. La douleur était localisée aux reins et à la
partie
supérieure de la fesse gauche. Il n'y eut point
latéraux, au contraire, conservent, sinon la totalité, du moins une
partie
de leur force. Leurs mouvements, s'ils ne sont pa
aire jusqu'à l'extrémité du gros orteil, dont une mince bande, à la
partie
la plus interne, est laissée intacte; - b) à la
e n'ont pas beaucoup diminué. Varices considérables. OEdème de la
partie
inférieure de la jambe. Démarche. Le pied est c
t un certain soulagement. Actuellement, le malade souffre dans la
partie
postérieure de la cuisse et dans le mollet droi
tacte; la sensi- bilité au froid et au chaud est diminuée depuis la
partie
moyenne du dos du pied jusqu'à l'extrémité des
tique poplité externe fournit des nerfs cutanés à la plus grande
partie
de la jambe et du pied. Les deux tiers externes
LA SCIATIQUE. 175 degré d'amaigrissement, surtout des muscles de la
partie
poslé- rieure. La démarche est assez particul
'accident nerveux. 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. Il passe la meilleure
partie
de l'année 1888 à l'hôpital, dans les services
plus fortes au début et à latin de la marche. C'est au niveau de la
partie
externe de la jambe et du pied qu'il souffre le
me temps des deux extrémités de la jambe et se rejoignent vers la
partie
médiane. Par la pression on produit des élancem
ensibilité que le reste du membre, c'est-à-dire que la cuisse et la
partie
postéro-interne de la jambe, troubles eux- même
toute la cuisse, la face interne et postéro-interne de la jambe, la
partie
la plus interne du dos et de la plante du pied,
té à la douleur, à la chaleur et au froid; la seconde, limitée à la
partie
externe de la jambe et à la plus grande partie
econde, limitée à la partie externe de la jambe et à la plus grande
partie
du pied, est atteinte- 184 PATHOLOGIE NERVEUSE.
filets cutanés du sciatique poplité externe. Quant à la plus grande
partie
du membre inférieur, elle présente identiquemen
urer sur un schéma de petites dimensions. La transition entre les
parties
anesthésiées et les parties sensibles est gradu
tes dimensions. La transition entre les parties anesthésiées et les
parties
sensibles est graduelle et non pas brusque comm
tuelle, et le retour fréquent, au moment de la déglu- tition, d'une
partie
des liquides ingérés, par les fosses nasales. N
rconstances suivantes : · 1° Dans le repos musculaire complet, la
partie
qui est le siège du tremblement se trouvant en
« Le tremble- ment des vieillards, disait Axenfeld, faisait presque
partie
de l'état physiologique. » ' . - ' ' Aujourd'
cillations vibratoires rapides. Ils peuvent sié- ger sur toutes les
parties
du corps, cependant ils sont plus fré- quents e
lésion cérébrale vulgaire : paralysie du bras, de la jambe et d'une
partie
de la face du même côté; tantôt, il y a de l'an
ralysé du bras et de la jambe droite. Dans les nerfs, au niveau des
parties
escharinées, disparition des cylindres-axes, fr
PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 235 mortification des
parties
nourries par les vaisseaux dilatés. Une autre t
nérale de la sensibi- lité à la douleur et au contact, excepté à la
partie
antérieure de la poitrine, au cou et à la face.
issement de l'activité volontaire, le moi a perdu en totalité ou en
partie
ce pouvoir d'inhibition. Laissons de côté, malg
rion, et caractérisés par un état d'engourdisse- ment complet de la
partie
, qui est en même temps froide, pesante et livid
ntensité no- table, produira nécessairement, soit uniquement sur la
partie
du membre où le coup a porté, soit sur le membr
otisée, on frappe brusquement, bien qu'avec une force modérée, la
partie
postérieure de l'épaule avec la paume de la main
s limites inférieures affectent la forme de « bagues » situées à la
partie
supérieure des phalanges. Dans toute cette régi
rophie correspondante. Patho- génie : portde lourds fardeaux sur la
partie
postérieure de l'épaule gauche Affection durant
par la chute d'unebranche d'arbre. Dépres- sion osseuse occupant la
partie
postérieure du frontal et la partie antérieure
épres- sion osseuse occupant la partie postérieure du frontal et la
partie
antérieure du pariétal de chaque côté; diamètre
agérées par l'application de fortes impressions sensorielles en des
parties
éloignées du corps, ce qui prouve que les fibrill
alysie d'ori- gine cérébrale ' : un traumatisme ayant porté sur les
parties
les plus élevées du lobule pariétal supérieur e
eu de la su- ture frontale à la suture sagittale, elle adhère parsa
partie
centrale à l'os même qui en ce point est déprim
2 mil- limètres et demi mesura nt 2 centimètres carrés, enserre la
partie
moyenne et inférieure des deux ascendantes atro
à REVUE D'ÉLECTROTHÉRAPIE ET DE THÉRAPEUTIQUE 261 L frottement la
partie
supérieure des cuisses du malade. La bai- gnoir
sulte que le centre effectif en question occupe la profondeur de la
partie
antérieure de la couche optique, son étendue ne
qui comprend, sur la crête médiane de l'hémisphère, la plus grande
partie
des deux ascendantes, c'est-à-dire la portion m
. Les directeurs médecins et les médecins en chef appelés à faire
partie
du jury seront désignés par voie de tirage au sor
pposer que l'hystérie est un de ses agents producteurs. C'est, en
partie
, en se fondant sur cet argument que M. Charcot
, nous savons seulement que pendant ces crises elle conservait en
partie
sa connaissance et qu'elle pleurait et poussait d
de simples élancements assez espacés et localisés seulement à la
partie
supérieure de l'orbite gauche. L'attaque survient
l'étendue du champ visuel de l'oeil droit, n'apparaît plus qu'à sa
partie
externe; elle est limitée, non plus comme autre
gnostic de migraine ophthal- mique hystérique peut être soutenu, en
partie
à cause du rôle important que les excitations p
e arc de perfectionnement, l'arc cérébral, dont une branche va à la
partie
posté- rieure de l'écorce cérébrale et dont l'a
rieure de l'écorce cérébrale et dont l'autre branche vient de la
partie
antérieure de cette écorce. Enfin, quelques fai
livre ce .travail tel que je l'ai écrit avant d'en avoir fait la
partie
bibliographique. Si, en suivant cette voie, j'a
u procès. C'est pourquoi j'ai donné une assez grande extension à la
partie
bibliographique, reproduisant les passages favo
étude d'anatomie comparée 2. Je ne m'engage pas à entreprendre la
partie
embryo- logique, car, de ce côté, je déclare ne
du nombre restreint d'ouvrages que j'ai eus à ma disposi- tion, la
partie
bibliographique est malheureusement loin d'être c
réalité. Plus l'anatomie devient pénétrante, plus elle scrute des
parties
d'une texture compliquée, et plus elle doit êtr
réticulée L. r. Le pédoncule du corps calleux reçoit aussi en L la
partie
antérieure ou fin des nerfs de Laucisi, N. L. L
ieure ou fin des nerfs de Laucisi, N. L. La lame réticulee, dans sa
partie
antérieure, est également rattachée à l'angle e
et la bande diagonale, l'arc rachidien, l'arc inter- médiaire et la
partie
postérieure de l'arc cérébral pilier postérieur
partie postérieure de l'arc cérébral pilier postérieur et voûte. La
partie
antérieure de l'arc cérébral pilier antérieur e
dire quelques mots des renflements des nerfs olfactifs, bien que la
partie
périphérique de l'appareil nerveux de l'olfacti
ôt blanc. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 347 Cette
partie
blanche a la forme d'un triangle dont un des cô
couleur varie aussi : elle est noire quand elle est amassée dans la
partie
interne de l'espace perforé. En dehors de cette
e perforé. - Cette subs- tance grise, qu'elle soit amassée dans une
partie
seulement du quadrilatère, qu'elle s'étale en c
ors avec l'origine de ce corps, que je la considère sinon comme une
partie
, du moins, comme une émanation de la formation
orme un relief comblé par la substance grise; nous verrons qu'une
partie
de son plan profond est constitué par l'implant
L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 349 bande adhérer par sa
partie
externe à la racine olfac- tive externe. Ensuit
e niveau, un peu'de tissu gris et qu'on l'enlève avec celui de la
partie
interne, on se trouve en présence de l'intéres-
ncavité postérieure. Cet arc olfac- tif ' est en continuité, par la
partie
moyenne de sa convexité, c'est-à-dire en avant,
tus blancs parallèles, ou souvent une lamelle pleine, vont de cette
partie
de l'arc au bord antérieur de la diagonale. Dan
ines seules décrites jusqu'à ce jour ne sont donc en réalité que la
partie
apparente, superficielle d'un ensemble de faisc
affecté à la môme fonction. Il est donc tout naturel que toutes ces
parties
soient reliées entre elles par une même couche
banale, que la substance grise extérieure établit entre toutes les
parties
de la surface plus ou moins anfractueuse mais i
nterrompue de l'hémisphère. La substance grise fait bien réellement
partie
intégrante de l'appareil olfactif, car elle dis
Nous n'insisterons pas ici davantage sur ce point qui touche à la
partie
physique de la vision, tout l'in- térêt de nos
, tout l'in- térêt de nos recherches poriant exclusivement sur la
partie
nerveuse de l'appareil optique. Le fait de la 3
EPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 381 Des nombreuses expériences, dont une
partie
est relatée dans le chapitre précédent, démontr
eptibilité différentielle pour la lumière blanche. Dans la deuxième
partie
de ce travail où nous traite- ions la question
organiques ne présentent rien de particu- lier. On constate sur la
partie
droite de l'abdomen une cicatrice provenant de
utiles certaines hypothèses sur la substitution fonctionnelle d'une
partie
de l'écorce à une autre, ce qui a été regardé, à
cision. Si on pince leur patte ou qu'on applique un irritant sur la
partie
postérieure de leur corps, elles font un saut e
en sur lequel par de nombreuses opé- rations il a enlevé une grande
partie
des deux hémisphères. La substance cérébrale dé
ablis. « Le centre des muscles du cou (fig. 35, a) est situé sur la
partie
latérale de la circonvolution préfrontale au po
plus en arrière. L'innervation du facial (fig. 38") provient de la
partie
médiane de la circonvolution supra- sylvienne.
iatement contigu à la pointe de la corne postérieure, qui occupe la
partie
laplus externe et la plus postérieure ducordon
OGIE PATHOLOGIQUES. n'est que coutiguë au faisceau de G011. Dansles
parties
supérieures de la moelle, au lieu de passage de
plisse, il faut que trois vaisseaux viennent en irriguer toutes les
parties
en réseaux tenus seuls capable de pénétrer dans
ret. Cette théorie fait perdre aux territoires artériels une grande
partie
de leur importance, car elle permet de comprend
EAU-NÉS; par W. BECHTEREW. (Neurol. Centralbl., 1888.) Toutes les
parties
du système nerveux central excitables chez les
de Winkler. -Ramollissement occupant, dans l'hémisphère gauche, la
partie
postérieure de la pariétale ascendante et ayant
postérieure de la pariétale ascendante et ayant détruit une petite
partie
du lohule pariétal supérieur, le lobule pariéta
rieures de l'insula. La zone de dégénérescence porte surtout sur la
partie
latérale du pied du pédoncule cérébral; on la v
u pied des deux pédoncules. Intégrité des pyramides. Atrophie de la
partie
de la protubérance sus-jacente au prolongement
CxTEftEw et N. MISSL,\ WSKY, (JI1eul'ol. Cen- trale., 1888.) , La
partie
de la quatrième circonvolution primitive qui surm
u niveau du segment antérieur (précrucial) du gyrus sigmoïde, de la
partie
externe du segment postérieur du même gyrus, de
érieure des deuxième et troisième circonvolutions primitives, de la
partie
du segment sous-jacent à'la scissure de Sylvius
, la pression exercée sur la peau, M. Hitzig a faitinstallersur les
parties
latérales et postérieures d'un bas de laine une
grante du processus des mouvements normaux; chaque muscle ou chaque
partie
de muscle constitue un des éléments de la force
vent que par leur intermédiaire au pied du pédoncule cérébral. Les
parties
latérales de ce dernier renferment deux systèmes
x systèmes : un système issu du lobe temporal, un système émané des
parties
du lobe pariétal postérieures aux ascendantes;
postérieures aux ascendantes; ces deux systèmes avant d'arriver aux
parties
latérales du pédoncule fusionnent dans un trian
arges motrices, du piétinement. Le maximum d'irritabilité occupe la
partie
antérieure du territoire. Ce sont là des phénomèn
de Londres et des provinces. « Il n'est pas difficile d'exécuter la
partie
scientifique de cette lâche, mais il faut néces
qu'un incendie, survenu dans la nuit du 18 septembre, a détruit en
partie
l'asile des aliénés d'Austin (Texas). Le feu au
n projet de- mandant que des portes de sorties soient ouvertes à la
partie
exté- rieure de tous les asiles de l'Etat. «
sous son poids, il n'était pas tombé. Il avait rapidement gagné la
partie
couverte en zinc, et, toujours armé du croisill
ochement légitime; 3° L'acrocyanose avec augmentation de volume des
parties
molles, sans que le squelette intervienne dans
leu accusé. Partout sensibilité conservée aux différents modes. Les
parties
molles apparaissaient un peu modifiées, boursou
Les pieds sont le siège de semblables phénomènes. Hypertrophie des
parties
molles, mais sans participation du squletette.
roid et de doigts morts, plus accentués aux mains qu'aux pieds. Ces
parties
sont d'un bleu som- bre jusqu'au noir bleu, et
Elle s'étend jusqu'au niveau de l'avant-bras, dont elle atteint la
partie
moyenne à gauche, le tiers inférienr à droite.
que les doigts ont un aspect en fuseau, une forme en radis dont la
partie
large commence à la phalange, comme dans le spina
x côtés, le cornet inférieur vient en contact avec la cloison de sa
partie
moyenne. Peu de sécrétion. Pharynx : quelques g
e moyenne. Peu de sécrétion. Pharynx : quelques granulations sur la
partie
postérieure et légère hypertro- phie de l'amygd
n en « baguette de tambour » manque toujours : l'hypertro- phie des
parties
molles porte sur la région de l'articulation méta
proprement parler, mais une augmentation de vo- lume seulement des
parties
molles. Dans l'affection individualisée sous le
2, XLIV Band, p. 251). xvi 2 18 pauu cyanose et de l'oedème des
parties
atteintes, avec coloration violacée du visage s
phique, au moins dans le cas que j'ai i observé n'intéresse que les
parties
molles : les os sont intacts. Les surfaces arti
hique indemne de toute altéra- tion même légère. L'hypertrophie des
parties
molles est surtout accentuée au niveau du dos d
que prouve la tache produite par le pouce sur l'une quelconque des
parties
cyanosées (procédé deM. Hallion). Tandis qu'à l
ement diminuée de volume. Cette bénnatrophie porte à la fois sur la
partie
antérieure de la langue et sur sa partie postér
hie porte à la fois sur la partie antérieure de la langue et sur sa
partie
postérieure située en arrière du V lingual ainsi
es, et l'inflexion du doigt entravée seulement par le volume de ses
parties
molles palmaires qui forment coussinet d'arrêt.
t que 11. Bonnier ne connaît, de cette vaste question, que l'infime
partie
que j'en ai traitée; c'est la seule façon de s'
n segment, c'est connaître les distances qui le séparent des autres
parties
du corps. La perception d'une attitude impliquera
définie ; enfin, la représentation de la distance séparant ces deux
parties
. Mais comment concevoir - à moins d'admettre qu
ont alors, par association, l'usage de la distance qui sépare telle
partie
de ce membre d'autres parties plus ou moins voisi
'usage de la distance qui sépare telle partie de ce membre d'autres
parties
plus ou moins voisines, de même qu'un mot sans
et même simples profanes s'en- tendent depuis longtemps, mais « la
partie
intéressée de l'écorce > : c'est- à-dire l'i
river, de véritables raisonnements (le contact a-t-il porté sur une
partie
molle, ou très molle, ou dure, etc.). Tout ceci
des souvenirs enregistrés par l'expérience et recueillis en majeure
partie
par d'autres sens, comme si le bleu ou l'amer,
lles émanant d'habitude de la par- tie inférieure du corps et de la
partie
inférieure de la rétine), que par l'exercice on
athédrale. Un second médaillon représente un personnage hybride. La
partie
su- périeure est celle d'un homme coiffé du bon
n droite un urinal, qu'il montre avec l'index de la main gauche. La
partie
inférieure est un corps d'animal fantaisiste, ave
ive de la première représentation : 50. ' (2) Le Roi Henri IV, 2-
partie
, acte I, scène II ; date probable de la première
mplement émoussée, mais le malade sent les conlacts dans toutes les
parties
de la main. Toutefois l'exploration avec l'estl
t. Infiltration tuberculeuse (pneumonie caséeuse) de la plus grande
partie
du poumon droit. Agitation fièvre, subdélire no
tié gauche de la moelle est plus petite que la droite, surtout à sa
partie
postérieure. La corne anté- rieure gauche est n
me et gagne la racine postérieure droite. L'épen- dyme constitue la
partie
médiane de la cavité ; li,des cellules épithélial
é gauche de la moelle, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la
partie
inférieure de l'étage correspondant - à la cinq
deltoïde à la pointe de l'acromion, de l'apophyse coracoïde ; à la
partie
inférieure sous la cavité glénoïde, elle passe
ique de l'humérus. Cette nouvelle cavité articulaire présente des
parties
osseuses et des parties fibreuses (PI. XVI). Le
te nouvelle cavité articulaire présente des parties osseuses et des
parties
fibreuses (PI. XVI). Les parties osseuses sont la
ésente des parties osseuses et des parties fibreuses (PI. XVI). Les
parties
osseuses sont la tète numérale, la cavité gléno
oins villeux que ces derniers. De même l'apophyse coracoïde dans la
partie
inférieure de son bec, dans la partie externe a
l'apophyse coracoïde dans la partie inférieure de son bec, dans la
partie
externe articulaire de sa portion ascendante est
ns certai- nes pseudarthroses. Le tissu fibreux interposé entre ces
parties
osseuses limite la grande cavité articulaire. C
eau central de la calotte se diriger vers l'olive bulbaire, vers sa
partie
postérieure et externe. Sur les coupes de la ré
développée ; la figure est large, le prognathisme très marqué. A la
partie
antérieure de la fosse temporale gauche s'ouvre u
au sommet de l'encé- plialocèle. La perforation crânienne est en
partie
comblée par une lame fibreuse, la dure-mère est
rand axe ' dirigé en bas et en avant, et mesurant 7 centimètres. La
partie
la plus large mesure 3 cent. 1/2 de diamètre, l
imètres. La partie la plus large mesure 3 cent. 1/2 de diamètre, la
partie
la plus étroite, en bas et en avant, mesure 2 c
'écaille temporale. Elle siège donc tout entière dans le pariétal. La
partie
rétrécie est comblée par une membrane conjoncti
scontinue. Les bords sont amincis et régulièrement découpés dans la
partie
la plus large, un peu épaissis et déjetés en de
t confondues. Le ventricule latéral est très dilaté dans toutes ses
parties
. Les 2/3 inférieurs de la frontale et de la par
de la protubérance et du bulbe. En plein cervelet, surtout dans sa
partie
droite, on voit une large cavité, à parois anfrac
ais en moins grande abondance et disparaissent complètement dans la
partie
postérieure de ce cor- don. Enfin le cordon pos
uand la plaque siège au sommet de la circonvolution, tantôt sur les
parties
adossées de deux circonvolutions voisines, quand
a, dans un champ visuel de quelques degrés. Tant qu'il persista une
partie
sensible de la rétine, la malade reconnut les cou
ien ses sensations visuelles. La malade reste assise la plus grande
partie
de la journée ; on est obligé de la conduire pour
e une grande quantité de liquide céphalo-rachidien. Au niveau de la
partie
antérieure et moyenne du cerveau, pas d'adhéren
u et passant quatre centimètres du pôle occipital, la minceur de la
partie
interne des lobes occipi- taux apparaît dans to
u des circonvolutions de la face externe des lobes occipitaux ; ces
parties
donnent au toucher une sensation très nette de
e calcarine et vont en s'atténuant pour disparaître au niveau de la
partie
antérieure du précunéus. La paroi externe de
au transverse du cunéus, il existe un foyer de ramollissement. La
partie
postérieure du pulvinar gauche contient une zone
ouvement on voit un bourrelet transversal saillant se dessiner à la
partie
supérieure du mollet, bourrelet très réduit en
SABIt.IZ(;5 sans suppuration, sans douleur bien marquée. Les antres
parties
du squelette restaient indemnes. Cette déformat
ntérieure. La sensibilité de cet os à la percussion est normale. La
partie
proéminente de ce tibia est hérissée de cannelure
tion ont une surface peu accidentée. Les téguments, au niveau de la
partie
déformée, sont très velus, un peu plus pig- men
bre inférieur droit sont plus grêles que ceux du gauche. Les autres
parties
du squelette ne sont le siège d'aucune autre ma
gré le péroné présentaient, à droite, cette déformation. Les autres
parties
du squelette, explorées avec soin, nous ont par
ur sa malléole interne. M. Kirmisson, abordant le pied droit par sa
partie
externe, sectionne les péroniers latéraux et le t
s latéraux et le tendon d'Achille, puis ouvre l'articulation par sa
partie
interne, excise la saillie 124 HALBRAN que fo
r sa partie interne, excise la saillie 124 HALBRAN que formait la
partie
interne de l'extrémité inférieure du tibia, régul
on du pied sur la jambe est normale. L'appui se fait surtout sur la
partie
antérieure et peu sur le talon. Il n'existe que
cette tuméfaction s'effile légèrement, un pli profond apparaît à la
partie
interne et brusquement elle est remplacée par l
marqué au niveau des jambes. Le pied gauche est un peu froid. A la
partie
externe du cou-de-pied droit on voit la cicatrice
érieur de la cavité cotyloïde dans laquelle elle ne pénètre pas. La
partie
externe offre une saillie ressemblant au grand tr
ct avec le calcanéum, et comme a droite il y au- rait absence de la
partie
externe du pied. Le squelette des quatre orteils
bres sont traitées assez cavalièrement ; l'auteur, dans certai- nes
parties
, s'est contenté d'un estonipage ; en outre, il a
r est croisé sur la poitrine. Une étoffe jetée sur le lit couvre la
partie
inférieure du corps de la malade. laissant cepend
observée sur le vif, et peut-être même dessinée d'après nature. La
partie
inférieure de la jambe est également gonflée d'oe
mérite réellement ce nom, car, sauf quelque raideur dans certaines
parties
du dessin, l'ensemble est composé et traité de
une artère ombilicale, droite, - Cette hernie * contient une grande
partie
des viscères abdominaux, foie, intestin. Un div
asses latérales concourent à la formation de ce massif osseux. A sa
partie
antérieure et médiane est l'hypophyse; c'est un
amètre, grisâtre par sa large base elle adhère au plan osseux, à sa
partie
libre flottent des (1) Nous devons ce foetus à
te la dure-mère ; ces deux nerfs sont le trijumeau et l'auditif. La
partie
postérieure de ce plateau est limitée par un rebo
ui leur forment collerette. La moitié supérieure du sacrum forme la
partie
inférieure de la fosse pathologique, sur les cô
ère se porte en arrière et vient se perdre à la face profonde de la
partie
avoisinante de la membrane flottante bordant la c
c le derme qui supporte un épilhéliùm allant en s'amincissant de la
partie
adhérente vers la partie libre de ces franges (PI
n épilhéliùm allant en s'amincissant de la partie adhérente vers la
partie
libre de ces franges (PI. XXX, À) ; ce derme et
mais à la condition de séparer ce ganglion lui-même en plu- sieurs
parties
; cependant la fusion du grand hypoglosse était m
t de consistance inégale ; il crépite à la pression dans toutes ses
parties
. Sur la surface de section s'écoule un liquide sa
u renflement cervical ; on constate en outre qu'il existe . dans la
partie
terminale du sac, au niveau de la queue de cheval
s toute sa longeur. Partout, la dure-mère se détache facilement des
parties
sous-jacentes,sauf à la région cervicale au nivea
où plus riche en éléments chromatiques, nucléés, sur la plus grande
partie
de la périphérie, en particulier dans les régions
le sillon médian-postérieur. La tumeur, ici, semble divisée en deux
parties
par la corne postérieure droite. On constate en
ement sur la coupe, plus colorée à la périphérie ; en outre dans la
partie
droite de la moelle, la corne antérieure et la
u de colora- tion d'une même coupe. Dans la coupe C,VIII-D, I ; les
parties
les plus fon- cées sont celles où les cellules
oncée contigue à deux vaisseaux est une zone de dégénérescence. Les
parties
claires corres- pondent aux faisceaux, aux rése
ement dans celles correspondant aux cornes postérieures. La majeure
partie
des cellules de la tumeur sont des cellules fusif
gression du tissu néoplasique le long des capillaires qui vont des
parties
cen- trales de la moelle vers les parties périp
capillaires qui vont des parties cen- trales de la moelle vers les
parties
périphériques. -C'est parallèlement aux vaissea
ouffées, dissociées, englobées ; elles disparaissent en très grande
partie
; les cellules nerveuses sont-elles aussi isolé
mplètement (PI. XXXIII). Les vaisseaux sont nombreux dans certaines
parties
de la tumeur ; ils ont des parois formées de ce
sa portion la mieux conservée, se dis- socier et se fondre avec les
parties
voisines (PI. XXXIV, R). Il y a en outre, dans
u néoplasique. On voit une cavité pseudo-kystique qui siège vers la
partie
la plus antérieure du cordon de Goll, et qui es
sive des coupes comment la tumeur développée primitivement dans les
parties
centrales de la moelle vers les racines C. VIII
tumeur intramédullaire ayant interrompu la moelle au * niveau de la
partie
inférieure du renflement cervical, en ayant détru
itude générale qui pousse K. à rester au lit pendant la plus grande
partie
de la journée, bien que sa couche soit, par son e
intes- tinale, qui a suivi le développement gigantesque des autres
parties
du corps, semble à l'étroit dans un abdomen tro
sif. Elle constitue une masse dure, ferme, très facile à isoler des
parties
voisines. Dans son ensemble, elle a conservé la
, large de 2 cm. S. Elle tranche par sa coloration grisàtre sur les
parties
blanches envi- ronnantes et la consistance asse
cularisation donne en certains points (notamment au voisinage de la
partie
colloïde que la section macroscopique du cervea
inale ou transversale d'un vais- seau. Ces vaisseaux sont, dans les
parties
périphériques de ce prolongement intra-ventricu
colloïde, avec disparition ou mise en liberté du noyau. Quant à la
partie
colloïde elle- même, elle n'a pu être coupée, c
établie depuis longtemps par les anthropologistes, à savoirque « la
partie
qui subit le moins de changement dans ces constru
2. Ce développement exagéré concerne tout le corps. Les différentes
parties
du corps comparées entre elles ne présentent pas
tes sont les deux bosses du front dont la distance est de 45 mm. La
partie
inférieure du milieu proéminent. Les deux sourc
le développement anormal du corps et celui de quelques-unes de ses
parties
, et d'autre part l'état de l'hypophyse et peut-êt
ualités où la mort ou l'am- putation permettait la dissection de la
partie
malade ; grâce à la radiogra- phie nous pouvons
que les autres tissus, elles simples éléphantiasis congénitaux des
parties
molles, à squelette normal. Nous possédons actu
e intermédiaire aux deux catégories précédentes. L'hypertrophie des
parties
molles de la main et surtout du doigt annulaire
montrent que l'hypertrophie osseuse n'est pas parallèle à celle des
parties
molles ; cette dernière est intense à l'annu- l
i n'est, ni proportionnelle, ni de même localisation, que celle des
parties
molles. Le squelette est hypertrophié plus au méd
lus aux métacarpiens qu'aux mains ; au contraire l'hypertrophie des
parties
molles est considérable au doigt annulaire et hor
l'hypertrophie du squelette n'est pas pro- portionnelle à celle des
parties
molles. Cette disposition aurait été insoupçonn
ait de corne d'auroch, ou de boeuf(3). Les banquets faisaient aussi
partie
du culte druidique. Les druides (9) Pâte de blé
la sensibilité dans le membre supérieur droit, ni sur aucune autre
partie
du corps ; pas de fourmillements, ni de sensation
s le membre supérieur droit. Pas de dépig- mentation, mais, sur les
parties
découvertes et sur les deux bras, un grand nomb
coeur est normal. Une autre constatation a son importance. Sur la
partie
supérieure de la face externe de la cuisse gauche
attaché à la peau qui revêt le deuxième métacarpien, au niveau de la
partie
moyenne de ce métacarpien. Considéré dans son e
concave remplaçant la tête que cet os devrait normalement avoir. La
partie
supérieure de ce dernier se termine brusquement
En outre, elle n'atteint pas cet os tout entier, mais seulement une
partie
de cet os : elle est intercalaire et patielle.
émimélie terminales, mais dans d'autres anomalies touchant d'autres
parties
des membres. A cet égard nous connaissons un no
les l'os antibrachial ou jambier fait seul défaut en totalité ou en
partie
, sans absence corréla- tive des os carpiens ou
ges inférieures. Les os carpiens sont modifiés dans leur forme, une
partie
assez importante de leur masse est absente, tan
seuse, mais non point de l'artère radiale elle-même dans la majeure
partie
desa longueur.Or, c'est précisément ce que nous o
cette constatation, s'ajoutant à celles que nous avons faites sur les
parties
squelettiques nous est une raison de plus pour
hénar droite n'est accompagnée d'au- cune modification sensible des
parties
squelettiques, cette atrophie n'est pas le seul
donné naissance. On a vite fait, à l'ordi- naire, de traiter cette
partie
de la question, en accolant l'épithète d'arrêt
l'os phalangien du pouce parait avoir perdu ses connexions avec la
partie
supérieure du squelette, il existe, néanmoins,
eux touche les vaisseaux. Ce dernier, processus commun à toutes les
parties
modifiées, est un processus d'arrêt de croissance
ocessus est .tout à fait indépendant du mode de différenciation des
parties
squelettiques et des muscles, qu'il intervient
ssant judicieusement de côté tout ce qui ne fait pas anatomiquement
partie
de la colonne radiale, -une stric- tion, une co
où la disparition, par voie mécanique ou autre, d'un doigt ou d'une
partie
du doigt reste un phénomène isolé, coïncidant a
t dans la substance médullaire (fibres transverse) qui constitue la
partie
essentielle de la masse musculaire de la langue
ses, qui dérivent des muscles stylo- glossits et hyoglossus. , La
partie
corticale de la langue, au-dessous de la muqueuse
perçus à distance. Si l'on cherche à se rendre compte de l'état des
parties
osseuses sous-ja- centes, on y arrive difficile
cu- lation s'est trouvée ouverte par l'ulcération et la nécrose des
parties
molles périarticulaires. L'aspect de la région
sienne. Les tissus péri articulaires, les gaines tendineuses et les
parties
molles ont été également atteintes. Les articulat
ration ait été due à la suppuration, qui a amené une rétraction des
parties
molles périarticulaires. La ponction, l'arthrot
une lésion trophique de la tibio-tarsienne. Après l'ablation de la
partie
inférieure de la mortaise tibio-péronière, de l
t à cette plante. Sur le fourneau, dont on n'aperçoit qu'une faible
partie
sur le tableau et dont un jeune apprenti attise l
309 millirJ1ètres, haute de 216, sans les marges. Cette pièce fait
partie
de ma collection ; elle date, je pense, de décemb
cas de Rabaud, sont cependant prises, et cela spécialement dans la
partie
inférieure de la moelle, point d'élection pour
ffisance- aortique. Autopsie (12 mars 1903). Adhérences dans la
partie
supérieure des deux plèvres, épanchement sangui
ans la moelle. Examen histologique. Les fixations ont été faites en
partie
dans le li- quide deMüller et en partie dans l'
fixations ont été faites en partie dans le li- quide deMüller et en
partie
dans l'alcool et le formol. Les méthodes de col
onstate une sclérose des cordons posté- rieurs spécialement dans la
partie
centrale. La sclérose, beaucoup ac- centuée au
montrent combien différentes peuvent être les altérations dans une
partie
quelconque de l'organisme pour le même agent ét
adipose sous-cutanée segmentaire et symétrique des membres et d'une
partie
du tronc ; elle pèse, en effet, 85 k. 800, bien
cuisses, à la région des lombes et aux fesses, en un mot à toute la
partie
sous-diaphragmatique du tronc (2). Au contraire
iculier le petit développement des seins comparé à celui des autres
parties
du corps. La tuméfaction des membres et de la p
faction des membres et de la portion inférieure du tronc est due en
partie
à l'épaississement de la peau, mais surtout à la
tout à la prolifération du tissu cellulo-adipeux qui, au niveau des
parties
déclives, comme la face (1) Cette disposition c
SOUS-CUTANÉE SYMÉTRIQUE ET SEGMENTAIRE 281 postérieure des bras, la
partie
inférieure de l'abdomen, la région lonlbo- fess
délicat et plus savamment composés. C'est assurément la plus belle
partie
de cette oeuvre, qui fit autrefois l'admiration
Le personnage qui soutient le possédé aux fers doit également faire
partie
du personnel religieux de Ste-Dymphne. On remar
Arl, page 22). L'autre est de HANS HOLBEIN LE Vieux. Il figure à la
partie
supérieure du volet gauche du triptyque sur boi
nser à un kyste synovial à grains riziformes. Elle s'étendait de la
partie
moyenne de l'avant-bras à la région palmaire. A
itoire du médian comme dans ceux du radial et du cubital, sauf à la
partie
interne de l'index et externe du médius. Guérison
e s'étend lentement et finit, au bout d'un mois, par comprendre une
partie
du territoire digital du médian. En 1899, appar
Quelques-uns de ces fascicules ne possèdent des fibres que dans une
partie
de leur aire, le reste étant occupé par un espace
iliformes par suite de ren- flements correspondant,en général, à la
partie
moyenne du segment qu'ils occupent. Signalons
Nous verrons, du reste, qu'il y a lieu de discuter l'origine d'une
partie
au moins de ces cellules adipeuses. L'origine c
un réseau éta- blissant des rapports de continuité entre toutes les
parties
du système ner- veux (Apathy, Bethe, Nissl). Le
e plusieurs cellules (Dogiel, Délier, Kaplan), et toujours avec une
partie
du réseau péricellulaire (Dogiel, Bethe) dont l
lus gros que ceux de la coupe B, quoiqu'ils fassent, comme ceux-ci,
partie
d'un névrome terminal. La figure J de la planch
; il lèche de préférence ses voisins à l'encolure, aux épaules, aux
parties
du corps mouillées de sueur; mais il lèche auss
mer la douleur ou l'irritation causée par des plaies en léchant les
parties
lésées, et, de là, tous les objets qui l'en- to
nt, une cicatrice linéaire de 2 centimètres environ au niveau de la
partie
inférieure du corps du maxillaire inférieur gauch
E CONTINU 395 étaient très abondantes et très vives et qui était en
partie
persuadée de la réalité des voix, ne pouvait pa
question ne donne que des renseigne- ments très incomplets, et, en
partie
, contradictoires. Les indications les plus déta
phénomène musculaire existait tou- jours. Considérant qu'une grande
partie
de nos cas se rapportent au temps, où la contra
sur son passé. Elle se contentera aujourd'hui d'envisager une seule
partie
de.son oeuvre, celle dont elle peut à bon droit
circonscrite : ce n'est jamais qu'un centre d'où émanent, dans les
parties
environnantes, et parfois à une grande distance,
ALCAN ÉDITEUR 1 108, Boulevard St-Germain, 108. 1899 PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1898. (Bi
icêtre et Fondation Vallée.) BOUMNEVILLE, Bicêlre, 1898. PREMIÈRE
PARTIE
- Section I : Bicêtre. Histoire du Service pe
ux premières ligures. Société de gymnastique. Les enfants faisant
partie
de cette société, au nombre de 21 ont fait comm
a) les enfants valides qui sont envoyées et l'école du- rant une
partie
de la journée. Bien qu'une classe ait été affec
alement destiné aux enfants idiotes gâteuses, valides et même à une
partie
des gâteuses invalides. Voici en quoi consiste
1-ziteu- 1L\'I Enfants idiotes gâteuses. ses invalides et il une
partie
des enfants gâteuses valides en raison de la pr
bâtiment. La première travée servirait de passage au centre, et les
parties
latérales, de cabinet de débarras; - la deuxièm
mée eu porte. Ces doux services seront complètement séparés de la
partie
centrale affectée au service du chauffage. Ce p
ssent toutes leurs notes et chantent dans les choeurs la première
partie
avec les garçons ; toutes ces jeunes filles ont u
ndation. Quant aux bains, l'installation n'ayant pu fonctionner une
partie
de l'année, nous avons dû nous servir des bains
la Fondation Vallée. Le sous-sol du bâti- ment neuf pourra être en
partie
utilisé dans ce but, ainsi que nous l'avons dit
de déve- loppement des circonvolutions. Atrophie du coin et de la
partie
postérieure de L. Q. Congestion très intense du
tant à l'étranger, au moins une Classes spéciales. ' lxvii grande
partie
d'entre elles. Nous espérions naïvement que not
t voici les principales dispositions : « La classe spéciale est une
partie
intégrante de l'école primaire. L'enfant y est
portance n'échappera pas à nos lecteurs. « Abordons maintenant la
partie
la plus intéressante de cette statistique : les
'école, le redressement moral et non la correction. B. DEUXIÈME
PARTIE
. 1 . Clinique, thérapeutique, anatomie patholo
mouve- ments involontaires que nous allons décrire. A la face, la
partie
la plus atteinte est la région inférieure et sp
uche. Chaque contraction suit un cycle régulier, en ce sens que les
parties
distales se mettent d'abord à s'agiter et l'ébr
aractéristique : saillies des bosses pariétales et dépression de la
partie
postérieure de la région pariétale et de l'occi
ne poche membraneuse lisse, distendue sur laquelle on constate à sa
partie
inférieure une très mince couche de Description
temporo-spliénoïdales sont un peu aplaties et atrophiées, mais la
partie
postérieure de la circonvolution de l'hippocampe
ndu, est recouvert d'une membrane épaisse, vascularisée. Toutes les
parties
de ce ventricule sont dilatées mais le développ
- dus et amincis, surtout la circonvolution du corps calleux à sa
partie
antérieure. - Le lobe occipital et le lobe tempo-
- Mort. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère au cerveau et à la
partie
inférieure de la scissure inter-hémisphérique. -
st petit, un peu épaté, droit, sans déformation ni cicatrices. La
partie
inférieure de la face présente un léger progna-
cerveau des adhérences assez résistantes, développées surtout à la
partie
inférieure de la scissure inter-liémispliéridue
- scissure interpariètale (Sc.ip.), très accus.Se, surtout dans sa
partie
postérieure, se prolonge jusqu'au contact de la
t de son étendue. - Frontale ascen- dante (r.A.), verticale dans sa
partie
.inférieure, moins volu- mineuse dans sa moitié
étale ascendante (P.A.), très flexueuse, maigre, sur- tout clans sa
partie
inférieure : Première pariétale (P1.), très lar
développée. Circonvolution du corps calleux (C.C.C.), présente a sa
partie
moyenne trois plis de passage se portant vers l
é. - Lobule quadrilatère (L.Q.), assez volumi- neux, divisé en deux
parties
par un sillon médian, - Coin IC,), première et
pées, - Troisième circonvo- Lutiol2 temporale (T3.) dédoublée il sa
partie
postérieure, nettement séparée des circonvoluti
irconuolulion /Oontale, communique par deux plis de passage avec la
partie
moyenne de la deuxième. - Deuxième circoact>
ante, (F. A.) trajet oblique en haut et en arrière, élavr- gie à sa
partie
moyenne. Pariétale ascendante, llexueuse, aminc
le pied de I'I. Lobule paracentral, se continue Autopsie. 37 à sa
partie
postérieure par un pli de passage avec le lobule
ormale, - Circonvolution frontale interne, légèrement renflée iL sa
partie
supérieure. Lobule paracenlral, bien développé.
es au niveau de l'angle antéro- supérieur du pariétal gauche. de la
partie
moyenne des tem- poraux et des fosses occipital
e, est très-nettement accu- sée ; elle envoie deux digitations à la
partie
la plus posté- rieure du lobule de l'insula. A
La circonvolution du corps calleux (C. C. C.) est très-large à. sa
partie
postérieure ; son bord supérieur qui correspond
scissure calloso-marginale présente trois proéminences : deux à la
partie
moyenne, la troisième à la partie postérieure.
te trois proéminences : deux à la partie moyenne, la troisième à la
partie
postérieure. Le corps calleux (C. C) est normal
en son milieu un sillon assez profond qui le sépare presque en deux
parties
dont chacune d'elles offre un petit sillon supe
d'Ammon (C.tl.) est grosse, bien déli- mitée, sans induration à sa
partie
antéro-supérieure on y voit un relief accusé-
supérieure, irrégulière, sinueuse, com- munique par un Sillon à sa
partie
moyenne avec la scissure frontale inférieure qu
les coupes .histologiques, prèle-, vées sur l'hémisphère,. l'ont en
partie
entamée. - La frontale ascendante est assez étr
prérolandique. La pariétale ascendante est étroite surtout dans ses
parties
moyenne et supérieure ; elle est bien séparée d
des petits îlots. La circonvolution du corps calleux est large à sa
partie
postérieure. Le corps calleux est normal. - Le
eure. Le corps calleux est normal. - Le lobule paracentral a été en
partie
entamé par les coupes prélevées sur l'hémisphèr
on droit : infiltration caséeuse de tout le lobe inférieur et d'une
partie
du lobe moyen. Masses tuberculeuses disséminées
ues de quel- ques circonvolutions (à droite : pariétale ascendante,
partie
moyenne de la première et de la deuxième circon
le rougeole maligne. - Autopsie : au cerveau, légère atrophie de la
partie
postérieure de la pre- mière circonvolution tem
ndi ; pas de prognathisme de la mâchoire. Cou : 36 centimètres à la
partie
moyenne, bien conformé. Larynx normal. Glande t
pourtour de l'anus. Capu- chon petit, gland moyen. Les différentes
parties
de la vulve sont bien proportionnées. Nous* con
entre la pointe des omoplates et le rebord des fausses côtes ; à la
partie
inférieure de la région dorsale, légère convexi
sses fron- tales sont saillantes, séparées par une dépression de la
partie
médiane du front. Les régions temporo-frontales
ables de rachitisme ; il est légèrement excavé latéralement et à la
partie
moyenne, évasé à sa base et offre un léger chap
mince, les sutures persistent et les fontanelles sont ossifiées. La
partie
postérieure gauche du crâne est plus développée
circonvolution du corps calleux est fortement aplatie surtout à sa
partie
postérieure. fui et le lobule paracenlral n'off
seule, avec une légère couche de substance nerveuse, la plus grande
partie
des lobes temporal, temporo-sphénoïdal, occipit
lades, les régions aplaties sont surtout le lobe quadrilatère et la
partie
postérieure de la circonvolu- tion du corps cal
e.. Diarrhée légère en même temps que quelques taches rosées sur la
partie
inférieure de l'abdomen. T. IL 10°, 1. Pas d'al
éthoscopiques diminués d'inten- sité. Quelques taches rosées sur la
partie
inférieure de l'abdo- men ; langue légèrement s
s diriéreiites fosses de la base du crâne ainsi que les différentes
parties
de la base de l'encéphale, artères et nerfs, pa
- ? 12 Epidémie de fièvre typhoïde. Autopsie. - Perforation il la
partie
terminale de l'intestin grêle. Pas de péritonit
avoir sa fille dans son lit; sa femme l'a surpris les mains sur les
parties
géni- tales de l'enfant. [Son Père, 75 ans, h
ême pour les odeurs. Les oreilles sont un peu déplissées clans leur
partie
inférieure, le lobule est aplati et adhérent. L
r- conférence ; quelques ganglions roulant-sous- le doigt sur les
parties
latérales du cou. Thorax régulièrement conformé
vrable, longueur 5 cm., circonférence 5 cm. Testicules situés iL la
partie
supérieure du scrotum, du volume d'un gros noya
on plus que des surfaces ni des solides. Il connaît les différentes
parties
de son corps et de son habillement, ainsi que l
s de la semaine, les mois, les saisons et reconnaît les différentes
parties
de son corps. - Caractère' un peu fantasque, ma
angue blanchâtre et sèche au centre ; quelques taches rosées sur la
partie
supérieure de l'abdomen. la juillet. - Même éta
'abdomen une éruption assez considérable de taches rosées et sur la
partie
antérieure du thorax une éruption continente de
ns FA. F2 a la forme d'une S couchée horizontalement, la première
partie
est convexe en haut, et communique avec F2 par
passage l'unit à son quart antérieur avec Ta. Elle se termine à la
partie
antérieure du LPI., dont elle est néanmoins sép
; cheveux châtains foncés ; front assez développé, cicatrice sur la
partie
droite; sourcils châtains assez fournis; légère
s dis- tinguer les couleurs. - Nez aquilin, assez volumineux à la
partie
inférieure ; pommettes régulières, un peu colorée
centimètres ; à la palpation quelques petits ganglions le long des
parties
latérales. Membres supérieurs et inférieurs, ri
s facilement sai- gnantes. Météorisme abdominal et taches rosées en
partie
disparus ; la diarrhée a complètement cessé. Le
oïde. Lobe pariétal. PA est beaucoup moins développée que FA. Les
parties
moyenne et inférieure du lobe pariétal sont le
iveau d'adhérences. Nombreu- ses adhérences sur l'ara1l1-coin et la
partie
postérieure de la circonvolution du corps calle
rque à faire pour le reste. HotMsp/Kh'e auc/te. Adhérences sur la
partie
inférieure de FA., sur les circonvolutions pari
ont rien de bien particulier. FA est coupée par une inci- sure à sa
partie
moyenne. Un pli de passage termine I·'3 en l'un
lis de passage. De multiples adhérences méningitiques existent à la
partie
postérieure de Ta. Le lobe occipital forme tr
e. Face interne. Rien à noter pour Fi. - Le lobe paracentral a sa
partie
postérieure peu développée. L'avant-coin est at
voisinage du coecum ; pas de perforation. - Coecum noirâtre à sa
partie
postérieure; à ce niveau le péritoine pariétal es
ris de vomissements en même temps que d'une diarrhée qui dure une
partie
de la journée. . ? il novembre. - Le malade ent
breuses inci- sures. T2 et T3 offrent des caractères analogues à la
partie
postérieure de Ti. Ces deux circonvolutions son
en à noter au lobule patacentral. L'avant-coin est très-aplati à sa
partie
antérieure. Le coin est aussi aplati d'avant en
d. C'est une nappe élevée retenue par l'argile verte oligocène. Une
partie
de ces eaux avant filtré a travers le sable, de
t2 sur ce plateau, parait être d'excellente qualité. Mais une autre
partie
qui a traversé seulement l'épaisseur du calcair
sés sur tout le pénil, envahissant les aines, les bourses, et les
parties
supérieures des cuisses. Le scrotum est normal. V
5. Octobre. - L'enfant s'est montré très docile à suivre toutes les
parties
du traitement. En classe cependant, il a le ver
cence grais- seuse du foie. - Congestion et ramollissement, d'une
partie
de la muqueuse cle-l'iiites.ti71 gi,êle. , . Bl
e. D'autres loyers de sclérose occupent le lobule paraccntrat il sa
partie
postérieure, la région antérieure du coin, la c
sclérose tubéreuse sur un tra- jet de 2 cm. de longueur. Les autres
parties
des circonvolu- tions frontales ont été privées
clérosée que vers son pied au niveau du lobe pa- riétal. T2 vers sa
partie
moyenne s'unit iL T3 par un gros pli de passage
i de passage sclérosé. T3, dont le 1/3 antérieur forme une grande
partie
de la zone scléreuse de la corne sphénoïdale, s
noter sur le lobe paracentral. Le lobule quadrilatère présente à sa
partie
moyenne un petit noyau assez nettement limité d
E, - Contribution ri l'étude de l'idiotie. Ce travail comprend deux
parties
, dont la seconde a été faite en collaboration a
BOÜRNEVILLE, Bicêtre, 1899. PL. XIII. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant tannée 1898. SECT
piqûres, aux applications de chaud et de froid. Toutefois, vers les
parties
les plus périphériques de la zone d'anesthésie,
u dire du malade, avait été beaucoup plus ac- cusée. Fig. 1. - La
partie
ombrée correspond au territoire d'hypoesthésie.
me niveau. Ces variétés dans la forme, ces changements d'aspect des
parties
symétriques, ce remplacement de la roideur unifor
doigt) est de sept centimètres seulement à droite, de sorte que cette
partie
du membre prend la forme d'un cône dont la base
eprésentant manifestement les doigts, un peu plus volumineux sur la
partie
la plus ex- terne est le pouce, les parents aff
e cubitus et le radius nettement distincts semblent ensuite vers la
partie
médiane de ce rudiment d'avant-bras se fusionne
bilité objective est conservée dans tous ses modes, dans toutes les
parties
; l'enfant dit souffrir quelquefois dans « sa main
roit, les jambes un psoria- sis syphilitique qui persiste encore en
partie
. En mars 1894, amblyopie qui s'aggrave au point
peu facile de comprendre qu'une telle compression s'exerce sur une
partie
seulement de l'individu, encore moins que cette
t de lire, un rudiment quelque im- parfait qu'il soit de toutes les
parties
du membre atteint. Il faut alors ad- mettre que
arrêté par la difficulté de reconnaître la conformation exacte des
parties
osseuses, leurs limites et leurs points d'adhér
même confor- mation, renflées aux extrémités, étranglées dans leur
partie
moyenne. Les phalangines au contraire sont de l
ffet, sont de petite dimension, difficilement perceptibles sous les
parties
charnues, et peuvent, (1) (OR \ ? 0, Recherches
hirurgien ' de Mgr le Dauphin, des Princes et de Mesdames, en cette
partie
, ancien chirurgien de M. le prince de Wirlember
apostematibus. Ils n'ont pas tort : Ambroise Paré ne faisait-il pas
partie
de leur corporation ? Et, parmi eux, les Itzcis
ante dépasse souvent son but ci détruit il la fois la tumeur et les
parties
saines environnantes. De pa- reils accidents ne
émontrent surabondamment que les tumeurs cérébrales sont en majeure
partie
de nature maligne. Voici d'ailleurs ce que nous
fois enlevée, on vit la dure-mère fortement vascularisée et dans sa
partie
droite soulevée par une tumeur molle presque fl
vrai, cette méninge adhérait à la tumeur d'une façon intime. Cette
partie
adhé- rente fut laissée en place et séparée du
r ce point. Sur une coupe verticale et transversale, passant par la
partie
médiane de la tumeur et intéressant la totalité
tte tumeur. Sa nature se révèle après une simple dissociation; la
partie
fondamen- tale du néoplasme est formée de petit
examen microscopique plus minutieux confirme cette hypothèse.. Des
parties
de la pie-mère étant détachées au voisinage et su
e sont formées par des bandes de névroglie aplaties. D'ailleurs les
parties
sous-jacentes elles- DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉ
C'est une lésion mécanique. Les vaisseaux qui circulent dans cette
partie
de la substance cérébrale sont cependant profon
es, siégeant primi- , tivement sur la pie-mère et ayant refoulé les
parties
adjacentes de l'écorce cérébrale par propagatio
ion de froid intense. Ces troubles de la circulation persistent, en
partie
même après la position élevée que l'on donne au
à peu près le volume qu'elle présente actuellement, elle occupait la
partie
ex- (1) Hoffmann, Zur Leh,'e VOl) des Sy¡'illgo
remier espace interosseux est aplati et par suite de l'atrophie des
parties
molles qui remplissent cet espace, il en résulte
pte que cette atrophie musculaire n'est pas très considérable. A la
partie
supérieure de la face antérieure du thorax, il ex
memhre su- périeur, mais dès le début, elle avait gagné toutes les
parties
du membre su- périeur. Presque en même temps, a
igine du premier espace interosseux à cause de la dispa- rition des
parties
molles.- La main, réduite'ainsi'a sa forme squele
- laires dans la moelle. Je reviendrai sur ce sujet dans la seconde
partie
de ce travail. Le deltoïde droit est plus atr
un gonfle- ment a envahi la main gauche et s'est même propagé il la
partie
inférieure de l'avant-bras ; la même tuméfactio
ulaire très marquée si ce n'est une légère réduction de volume à la
partie
inférieure de l'avant-bras et qui est due à ce qu
nence thénar produit une excavation qui est très accentuée, vers la
partie
médiane de l'éminence thénar. Par suite de cett
ges mailles contenant des taches rosées ou même rouge saturne. A la
partie
inférieure de la face dorsale de l'a- vant-hras
comme cela arme clans les oedèmes. La tuméfaction peut occuper une
partie
seulement de la face dorsale de la main, la moi
nte. En effet, la tuméfac- tion est surtout marquée au niveau de la
partie
inférieure de la face dor- sale de la main, mai
se au lieu que leur ligne d'insertion se continue légèrement sur la
partie
dorsale ; elle s'arrondit brusquement il cause
; il s'agit donc d'un oedème d'origine nerveuse. Mais quelle est la
partie
du système nerveux qui, dans l'espèce, détermine
ent hypertrophie et déforma- tion. La malléole externe gauche et la
partie
attenante du péroné sont le siège des altératio
rémité inférieure. L'hypertrophie commence à 14 cen- timètres de la
partie
supérieure de la fossette d'insertion du ligament
u côté opposé) et que l'os est comme raccourci. La dis- tance de la
partie
supérieure de la fossette d'insertion du ligament
partie supérieure de la fossette d'insertion du ligament rond il la
partie
la plus inférieure de la face latérale du condyle
direction pour aiusi dire centrifuge, depuis 7 centi- mètres de la
partie
la plus saillante de la tête. L'empreinte delto
nérale de l'extré- mité est conservée. A ne considérer que toute la
partie
inférieure de l'os, on croirait se trouver en p
des faisceaux blancs laissent intacts les cordons antérieurs et une
partie
des cordons laté- raux. Elles sont prédominante
ue les lésions sont localisées, mais elles le dépassent, gagnent la
partie
externe, le faisceau cérébelleux direct. Les cyli
elleux direct. Les cylindres-axes ne sont pas altérés au niveau des
parties
envahies par la sclérose. La sclérose est d'ori
pos des cordons postérieurs : « Le picrocarmin ne fait voir dans la
partie
des cordons postérieurs que nous avons trouvée
urs. Pour les cordons latéraux, microscopiquement on trouve dans la
partie
postérieure du cordon latéral une diminution des
as les lésions sont plus accentuées. Elles portent sur- tout sur la
partie
médiane des cordons postérieurs et la zone radicu
des douleurs ayant pour cause la propagation de la tuberculose aux
parties
postérieures des vertè- bres par l'intégrité ma
'autre part, l'allongement porte nécessairement davan- tage sur les
parties
postérieures de la moelle que sur ses parties ant
t davan- tage sur les parties postérieures de la moelle que sur ses
parties
antérieu- res, puisque l'axe de flexion du rach
e de près de 1 centimètre, portant presque toute son action sur ses
parties
postérieures, au niveau des jJ1'emiè- res paire
portative, longue de 1 m. 50, large de 45 centimètres, portant à sa
partie
postérieure un petit dossier auquel est fixée u
tour de la table et fixée au-dessus des genoux. On dispose alors la
partie
essentielle de l'appareil, qui consiste en une
d'une petite barre de fer disposée en forme de cintre et muuie à sa
partie
mé- diane dun anneau dans lequel s'engage la co
ule, ensuite une couche très dense, et, entre les deux couches, une
partie
intermédiaire sans corpuscules. Il est à remar-
inine exlrêmement délicat, dont les lrabécules convergent en grande
partie
vers les nucléoles ; le long des filaments pâles
ati- ques très fins. Les nucléoles, qui représentent la plus grande
partie
de la chromatine de ce noyau, sont au nombre de
vue de prolongements et dont le noyau est reporté vers la périphérie (
partie
posté- rieure de la corne antérieure). B - Ce
e, biceps, brachial interne, long supi- nateur) avaient conservé en
partie
ou en totalité, leurs fonctions. Enfin dix-huit
je vais ranger les faits où l'hémisection médullaire intéressait la
partie
lout il fait supérieure du (1) YL'CETi. Beilrag
la suite d'une blessure par instrument tranchant, qui siégeait à la
partie
postérieure et latérale de la nuque, immédiatemen
ui ne respectait que la moitié correspon- dante de la tête et de la
partie
supérieure du cou. En outre le malade a eu de l
n de repos de la main, celle de l'annulaire descend au niveau de la
partie
moyenne de la deuxième phalange du médius. Je reg
esse de dire que cette échancrure se produit surtout aux dépens des
parties
molles comme on peut s'en convaincre sur la radio
l n'en occupe plus que la moitié en raison de l'empiéte- ment de la
partie
qu'on pourrait appeler membraneuse de l'espace in
de la main est manifes- tement due à l'insuffisance de longueur des
parties
molles de la région palmaire, et en particulier
t bien conformés et qu'il n'existe aucune malformation sur d'autres
parties
du corps. L'examen des différents viscères ne r
ces qu'auraient laissées les incisions faites pour séparer les deux
parties
. Pour expliquer l'origine de cette déformation,
quand ils sont tout à fait fléchis. Elle est de forme arrondie ; sa
partie
la plus saillante se trouve à la hau- teur de l
tacle tout à fait mécanique, et que cet obstacle soit formé par des
parties
qui ne jouissent presque d'aucune des propriétés
ne jouissent presque d'aucune des propriétés qui rendent les autres
parties
sensibles à l'action des violences exté- rieure
s dures et sail- lantes existaient à la paume de la main, depuis la
partie
moyenne de cette paume jusqu'à la hase des doig
us ou moins ankylosées par défaut de fonctionnement ; et toutes les
parties
molles de la paume de la main, téguments, tissu
rs une loi générale que cette tendance des fléchisseurs à amener la
partie
qu'ils fléchissent en même temps vers l'axe du co
de convergence des poils paraissent avoir quelque rapport avec les
parties
qui, dans le développement de l'embryon, se for
cygienne et qu'on peut considérer comme le point de fermeture de la
partie
posté- rieure de ce même sillon (1). Si les r
n humain de Thomson (4), la gouttière se ré- trécit d'abord dans la
partie
moyenne; Minot admet aussi (5) que la gout- tiè
que la photographie, par les rayons de Roentgen, d'un os isolé des
parties
molles, donne lieu une image synthéti- que repr
raré- fiante. Des lésions comparables se montrent au niveau de la
partie
inférieure de la diaphyse de l'humérus, véritab
région de la torsion. En résumé la radiographie des os détachés des
parties
molles offre des détails de texture qu'on peut
z les trois malades dont j'ai exposé l'observation dans la première
partie
de ce travail j'ai remarqué une par- ticularité
- Nous avons vu que trois des malades qui figurent dans la première
partie
de ce travail présentent la main de prédicateur
é à la par- tie antérieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans la
partie
moyenne de la substance grise, le neurone sensi
e l'oculo-moteur commun. C'est un spasme synergique, associé, d'une
partie
d'un nerf d'un côté et d'une autre partie de l'
ynergique, associé, d'une partie d'un nerf d'un côté et d'une autre
partie
de l'autre. ' Chez notre malade le spasme est d
incoor- donnés, irréguliers, au repos, se produisant dans diverses
parties
du corps. Notre malade ne présente rien de ce t
commu- nications entre 0 et le polygone sont affaiblies. Certaines
parties
du poly- gone sont hyperexcitées : c'est là le
- cument que Lorain nous ait laissé : une lettre préface qui est la
partie
la plus intéressante de la thèse de Faneau de l
ert-jus ou raisin qui n'a pas « profilé «.'C'était surtout dans les
parties
de ce pauvre pays où il ne poussait que du seig
rds disposés sur le côlé droit de la face, du cuir chevelu et de la
partie
supérieure du thorax, avec un as- pect un peu d
NERVEUX 2G5 montante du maxillaire inférieur, envahissant toute la
partie
périphérique du pavillon de l'oreille, surtout
s, que ressortit le placard de la région antérieure du cou et de la
partie
antéro-supérieure de la poitrine. Enfin, la der
lette, et à la face antérieure trois taches isolées sié- geant à la
partie
antéro-supérieure de l'hélix, vers la fossette na
es perforantes. En bas, la tache principale arrive jusque vers la
partie
moyenne du triangle des sterno-cleido-mastoïdie
etite zone triangulaire interne. Entre ce prolongement labial et la
partie
sous-palpébrale de la tache, une encoche de pea
relief verruqueux. Ces taches sont isolées l'une de l'autre dans la
partie
latéro-postérieure du naevus, au contraire réunie
rner et Jadassohn), des nmvi fibreux (Recklinghausen). Les diverses
parties
constituantes de la peau peuvent donc y prendre p
- tébrale. Ce noevus, rigoureusement médian, est constitué par deux
parties
symétriques, s'élargisssant en forme d'aile de
ion du neurone sensitif direct, altéré dans l'une quelconque de ses
parties
contituantes : 4 gazz- glion rachidien ou prolo
ils se font fréquemment dans leurs chutes des contu- sions sur les
parties
saillantes et il s'ensuit des déformations qui ma
le sur le vivant parce que les bords de l'orbite sont recouverts de
parties
molles très peu épaisses : sa longueur comparée d
t donc fournir un caractère utile. On prend pour point de repère la
partie
la plus déclive du bord inférieur de l'orbite et
, p. 366. (3) Camuset. De l'absence de chevauchement habituel de la
partie
antérieure des ar- cades dentaires comme stigma
ète. L'aug- mentation de volume des surfaces articulaires masque en
partie
l'atrophie deltoïdienne. Circonférence : bras d
des creux sus et sous-épineux, sus-claviculaire. L'atrophie est en
partie
masquée par une adipose sous-cutanée dans la régi
ous-cutanée dans la région deltoïdienne. On retrouve l'adipose à la
partie
supérieure de l'avant-bras, le long du tiers su
raits d'une image caricaturale dont l'artiste exagérait ensuite les
parties
respectées par la difformité. Ce crâne en point
à le remercier très vivement : « La disposition topographique d'une
partie
des petites tumeurs que porte sur le visage le
ne localisation un peu plus rare, mais cepen- dant admissible- A la
partie
supérieure de la face, il est fréquent de voir
diagnostic des deux difformités prises individuellement perdent une
partie
de leur valeur par suite de leur existence chez
thologique plus exactement rendue sur ces statuettes que les autres
parties
du corps, la tête et les extrémités surtout éta
catégorie, les cas où l'hémisection inté- ressait la moelle dans sa
partie
supérieure, immédiatement au-dessus de la protu
rtèbre cervicale dont l'apophyse épineuse avait été tran- chée ; la
partie
latérale de la vertèbre avait été également entam
au plus ou moins élevé de l'hémisection : Si la lésion intéresse la
partie
supérieure du rachis, faites des réserves, surt
, plus il y a lieu de craindre des arrêts de développement dans les
parties
paralysées. Pour achever de vous édifier sur le
rectum se sont rétablies, le membre inférieur gauche a récupéré une
partie
de sa capacité fonctionnelle. L'anesthésie au mem
t les cellules gan- glionnaires n'y participent nullement. 2° Une
partie
des troubles consécutifs à une lésion traumatique
on de cette tuméfaction ; mais elle est attribuable, pour une autre
partie
, à ce que des fibres conductrices, restées inta
raînera nécessairement une paralysie motrice du même côté, dans les
parties
innerves par les racines spinales situées au-de
collatérales ramifiées dans la substance grise centrale et dans la
partie
interne de la base de la corne postérieure du m
es ne subissent pas de décussation directe dans la moelle et qu'une
partie
seulement de leurs collatérales mais non la plu
ge de douleurs intolérables. - . A l'âge de 20 ans, apparut dans la
partie
inférieure du fémur gauche une douleur que le m
la main gauche. Il put même être clerc de percepteur. Il passa une
partie
de sa vie dans les champs. Il fut réformé au se
la tuberculose pulmonaire. Le tl\orax mis à nu montre dans toute sa
partie
droite une atrophie portant sur les parties mol
nu montre dans toute sa partie droite une atrophie portant sur les
parties
molles et sur le squelette. Les côtes atrophiées
du changement de coloration de sa peau. Tout le tronc, aussi bien la
partie
postérieure que l'antérieure et les côtés, le c
très marquée surtout dans le domaine du triceps crural masquant en
partie
l'atrophie. Muscles de la fesse atrophiés. Craq
rieur portant principalement sur les mus- cles de la fesse et de la
partie
supérieure de la cuisse. Chez tous aussi, l'art
hilis vaccinale. En juin 1895, hémiplégie gauche permettant encore en
partie
les mouvements ; exagération des réflexes sans
llules nerveuses coloré ainsi n'apparaît pas uniforme. L'une de ses
parties
constitutives se colore avec des couleurs basil
itudinale posté- rieure dans la région dorsale, à savoir : dans les
parties
internes des cor- dons de Goll. Dans les racine
visible dans la région inlramédul- laire des racines, que dans leur
partie
extramédullaire. La substance grise des deux co
pas distribuée également; cette substance a disparu tantôt dans la
partie
centrale du corps cellulaire (très souvenl), tant
la partie centrale du corps cellulaire (très souvenl), tantôt dans la
partie
périphérique (très rarement). C'est pour cela q
rique (très rarement). C'est pour cela que, dans le premier cas, la
partie
centrale sera bleu-clair et dans le second la par
remier cas, la partie centrale sera bleu-clair et dans le second la
partie
périphérique. En outre, on observe encore diffé
cellules, où la dissolution.de la substance chromatique a envahi la
partie
centrale du corps cellulaire, le noyau oc- cupe
ite 351 se rencontre rarement, le noyau de la cellule reste dans la
partie
cen- trale du corps cellulaire (Fig. 4). Les
, selon nous, est dû aux deux dernières causes. Est-ce seulement la
partie
chromatique de la cellule qui a été attaquée da
cas ; mais le fait qu'à tous les éta- ges de la moelle épinière la
partie
intramédullaire des racines a souffert davantag
e la partie intramédullaire des racines a souffert davantage que la
partie
extramédullaire, est très important à relever. Il
t joints des nomades venus du gouvernement de Moscou et, des autres
parties
du Nord de la Russie. Ces paysans se livrent au
s ne s'adonnent pas à l'ivrognerie et ne fument pas. La plus grande
partie
des habitants apparu- tient à une secte religie
ucoup d'excrémens... « Les poux se peuvent engendrer par toutes les
parties
de notre corps, mesme dans la masse du sang, co
lus remarquable encore c'est une asymétrie complète dans toutes les
parties
du corps (Fig. 5 et Pl. XLI). Le crâne est à pe
ôté gauche est beaucoup plus petit que le côté droi dans toutes ses
parties
: joue, lèvre, menton. C'est même curieux de voir
e du pied gauche. C'est donc une asymétrie complète dans toutes les
parties
. Elle doit correspondre à des malformations des
us volumineux que l'épaule. L'avant-bras, développé surtout dans sa
partie
inférieure est plus gros que le bras, à droite et
a jambe paraît oedé- mateuse à cause du développement exagéré de la
partie
inférieure. Elle est dure au toucher. Le pied e
on trophique est systématisée, en ce sens qu'elle se loca- lise aux
parties
constituantes de la jointure ou des jointures att
iété. C'est à elle que M. Gilles de la Tourette attribue une grande
partie
des douleurs et presquo toutes les atrophies mu
hie musculaire répondait à la distribution d'une névrite ascendante
partie
de l'articulation. D'ailleurs si elle était pri
ts à considérer, dit Scott Ali- son, une diminution de vitalité des
parties
paralysées et la présence dans le sang d'agents
igt géant. Les uns sont constitués par l'hypertrophie de toutes les
parties
constituan- tes du doigt, squelette et parties
rophie de toutes les parties constituan- tes du doigt, squelette et
parties
molles, ainsi le malade de Curling dont le médi
eux qui va augmentant de la racine vers l'extrémité ; si les autres
parties
du doigt sont hypertrophiées, du moins elles sont
l'hypertrophie avait pour substratum, non le sque- lette, mais les
parties
molles, alors que chez notre premier malade, Octa
pas en effet spécialement sur le tissu cellulaire mais sur toutes les
parties
constitutives du doigt et on ne relève ni troub
grand nombre de muscles; et, lorsque, lassés, nous aban- donnons la
partie
, le malade remet son doigt sur sa joue, et la têt
à l'hôpital, et nous l'avions engagé à rester couché la plus grande
partie
de la journée. La seule difficulté du traitemen
devient plus marquée ; mais les mouvements simples du début sont en
partie
répétés à chaque séance, et tout mouvement mal
qui gagnent en profondeur, disloquent les jointures, nécrosent les
parties
osseuses et amènent la chute d'une phalange, d'
arge ulcère qui semble lui avoir dévoré tout le nez, ainsi qu'une
partie
de la lèvre su- périeure. Un lupus, il est vrai
Florence, au commence- ment du XV° siècle, passèrent la plus grande
partie
de leur vie à Naples où ils ont laissé plusieur
Eleemonsynarius faisant la charité à un infirme. (On ne voit qu'une
partie
du corps de ce dernier.) Le malheureux, à demi-
s taches occupent de même la face et principalement les sourcils en
partie
tombés, mais prédominent surtout sur les membre
ues. On cons- tate, en effet, sur le cou, la figure, la main et une
partie
du dos qu'une déchirure du vêtement laisse à dé
uleurs ; la face est rongée par des ulcérations qui ont détruit une
partie
du nez et de l'oreille, les os des membres sont
lent avoir dé- figuré le pauvre diable en question, en rongeant une
partie
du nez, de l'o- reille et peut-être aussi les y
igt le siège du mal (2). Au-dessus, Dieu dans une gloire. Dans la
partie
inférieure du tableau, on voit : au milieu, un pa
ment à la réalité pathologique, le mal de Saint Roch, siégeant à la
partie
supéro-interne, près du pli inguinal, là où se
eut sous son écharpe. Le membre inférieur droit est certainement la
partie
du corps la plus grièvement atteinte, et l'arti
8) où le saint guérit un lépreux. « Le malade montre à découvert la
partie
supérieure du corps marqué et d'une sorte de se
oteurs et des muscles. Ces modifications ont été signalées déjà, en
partie
, par les anciens observateurs ; nous citerons en
est élastique, normale. La circonférence de la cuisse mesurée à sa
partie
moyenne est de 55 centimètres, celle du mollet de
es inférieurs ; le bras mesure 27 cen- timètres de circonférence sa
partie
moyenne, l'avant-bras 20 centimètres. D'ail- le
le cadavre sous les aisselles. De cette façon, il n'y avait que la
partie
du rachis au-dessous des ais- selles, c'est-à-d
que la partie du rachis au-dessous des ais- selles, c'est-à-dire la
partie
dorsale et lombaire qui pouvait s'allonger, tan-
partie dorsale et lombaire qui pouvait s'allonger, tan- dis que la
partie
cervicale était restée en dehors de la sphère d'a
vait déplacer le fil de fer et son bout libre. Si A C présente la
partie
cervicale et C B le reste de la colonne ver- té
es pas- sent au-dessous des aisselles seulement, il n'y aura que la
partie
C B qui 1. Voir le no 6, 1891. TRAITEMENT DES
RAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 19 pourra s'allonger ; la
partie
A C, étant située au-dessus du niveau des articu-
déplacement au point K. Ce déplacement est d'un millimètre dans la
partie
de la dure-mère correspondant aux vertèbres dorsa
sion négative se fera sentir plus fortement sur les vaisseaux de la
partie
la plus interne des parois du canal et c'est là p
onsécutive. En se resserrant, le tissu conjonctif peut déplacer les
parties
saines de la névroglie, ce dé- placement a une
urs, les pa- resthésies et l'anesthésie. Les douleurs ne sont qu'en
partie
provoquées par l'irritation des fibres nerveuse
surtout à l'état d'ir- ritation des fibres nerveuses malades et en
partie
seulement à la compres- sion par le tissu inter
ue quelquefois des complications el même des accidents mortels. Une
partie
de ces accidents doit être mise sur le compte d
s ces conditions, le poids absolu du corps et le poids absolu de sa
partie
active nous restent inconnus. Mais ceci nous impo
us haut que chez les chiens dont on étendait le tronc seulement, la
partie
cervicale de la moelle était aussi in- jectée e
- lement l'on voit les dents supérieures de ce côté, mais aussi une
partie
de la gencive. La lèvre inférieure droite est t
tivement en bas et l'orbiculaire des lèvres est contracture dans sa
partie
supérieure gauche, de sorte que cette partie fa
st contracture dans sa partie supérieure gauche, de sorte que cette
partie
fait saillie et est plus rigide au toucher que
aile du nez s'abaissait aussi et la lèvre inférieure se glissait en
partie
au des- sous de la supérieure. Tout cela ne d
rs aux gros orteils et au genou droit. La douleur persiste dans ces
parties
et atteiut au quatrième jour l'épaule gauche et
et, Ku- rella (6), les mouvements athétosiques étaient limités à la
partie
inférieure de la face. En général ce sont les
, mouvements incessants des doigts avec impossible de maintenir ces
parties
clans la position, quelle qu'elle soil, où on c
quand on ordonne aux malades d'exécuter un mouvement avec d'autres
parties
du corps (élévation des bras par exemple). (1)
s t'oloatai- res et l'existence d'une raideur et d'une rigidité des
parties
affectées. Au lieu d'être passagers, ces phénom
t l; général du corps, qui est très frappant pour son âge. Ainsi la
partie
supérieure du corps parait beaucoup plus dévelo
a partie supérieure du corps parait beaucoup plus développée que la
partie
inférieure. Au point de vue on ne lui donnerait
dû à la contraction involontaire des muscles de la langue et d'une
partie
de la face. Dans quelques faits l'hypertrophie
sses du malade au point de l'obliger à marcher sur les genoux et la
partie
antérieure des jambes. Les muscles du cou; immo
ment limités. Mais l'anomalie la plus intéressante est celle de la
partie
inférieure de la co- lonne vertébrale. On voit
le de la partie inférieure de la co- lonne vertébrale. On voit à la
partie
inférieure du pli inter-fessier une dépression
citation après un repos de 2 3 3 minutes. Oir le retrouve aussi en
partie
il la 6e excitation, après un repos de même dur
pas complètement entre chaque contraction, au contraire il reste en
partie
contracté et les pre- mières contractions ont u
n espace tracé correspondant à une durée de 5 secondes ; dans cette
partie
les décontractions a, b, c, décroissaient graduel
la décontraction se produit d'abord as- sez vite dans une première
partie
, très lentement ensuite et graduelle- ment dans
ur A et B ; 6 pour C ; - r 1/2 pour D ; 8 pour E ; 25 pour F. Les 3
parties
de ce tracé ont été prises à un jour d'intervalle
4 heures, les choses se passent comme nous l'avons indiqué dans une
partie
précédente de cette étude. La première excitati
rs lèvres, de leurs joues, et qu'il ne leur reste de la tête que la
partie
postérieure. Cette sensation, comme vous pouvez
te fémorale en arrière. On peul alors la sentir ai- sément sous les
parties
molles de la fesse. Les déplacements qu'on imprim
qu'en termes d'art, on appelle « canon » le rapport des diver- ses
parties
du corps, l'une de ces parties, dite module, étan
« canon » le rapport des diver- ses parties du corps, l'une de ces
parties
, dite module, étant prise pour unité. La tentat
garde presque directement en arrière, ce qui contribue à effacer en
partie
la cambrure lombaire. Les fesses sont très aplati
ux qui ont émis cetle idée de l'harmonie ou du rapport des diverses
parties
du corps entre elles et de chacune d'elles avec
orps tout entier. Le canon al'tis- tique porte donc dans une de ses
parties
son uni lié de mesure qu'on ap- pelle module. P
e ceux des artis- tes. Sans se préoccuper des rapports des diverses
parties
du corps entre elles, ils mesurent le plus gran
iqué les procédés ar- tistiques cherchant les rapports des diverses
parties
entre elles. Je pense avoir été assez heureux p
n moitiés et en quarts. La tète est divisée dans sa hauteur en deux
parties
égales par un plan horizontal passant par les ang
ent ;i des points de repère situés à la par- tie antérieure et à la
partie
postérieure du torse. (Voir zig.21 ). Je n'y in-
e passe au-des- sous des organes génitaux, ou bien les coupe à leur
partie
inférieure. Le membre inférieur, comme le torse
comme le torse, mesure quatre têtes, du sol, au pli de l'aine en sa
partie
médiane qui répond dans la profondeur au centre
2, et que le milieu de la figure cor- respond juste au milieu de la
partie
commune, à un point situé à la racine de la ver
stations douloureuses. On a noté également une immobilisation de la
partie
correspondante du rachis par une sorte de « con
intéresse uon seulement le segment dorsal du rachis, mais encore la
partie
inférieure de la colonne cervicale et la portion
t culminant de la courbure sur cette ligne mesure 8 centimètres. La
partie
supérieure du rachis cervical présente une 1 co
qui place la tète en une position sensiblement verti- I cale. A la
partie
inférieure de la colonne lombaire, autre courbure
it, grâce à une courbure dorso-lombaire à convexité gauche; mais la
partie
supérieure du thorax est au contraire inclinée
cette dernière opinion. « Nous croyons, dit-il, que la scoliose l'ail
partie
148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
te la région dorsale, sauf dans un cas où elle n'intéressait que la
partie
supérieure du dos. La scoliose était tou- jours
d'atrophie el de rétraction consécutives si fréquents dans d'autres
parties
». Tel n'est pas l'avis de Heine. D'après lui, la
l'avis de Heine. D'après lui, la paralysie frappe souvent toute la
partie
supérieure du tronc, et y persiste dans une certa
nous intéresse c'est l'état du rachis, qui est, notons-le, la seule
partie
altérée du squelette. Interrogé sur l'intervent
courbe à convexité gauche : en même temps, on note une lordose de la
partie
inférieure du segment thoracique. et une légère
1812, p. 1011 et surtout : Physiologie des mou- vements, 18li1, 30
partie
, eha[1. 2. DES DÉVIATIONS VERTÉBRALES N É V R O
enseurs lomúai- res, c'est-à-dire des muscles spinaux lombaires. La
partie
supérieure du tronc tend naturellement à bascul
ravité du corps se porte instinctivement en arrière, et libre de la
partie
supérieure du tronc sur sa partie inférieure est
vement en arrière, et libre de la partie supérieure du tronc sur sa
partie
inférieure est obtenu par la lutte entre deux p
rant; les ondulations du tracé sont très nelles ici dans la seconde
partie
de l'excitation, a, ,, oc. Au moment où cesse l'e
mouvements ondulatoires nous en avons rapporté à gauche du tracé la
partie
ainsi retranchée, a', b', c'. La succession des
E DES MUSCLES. 177 aussitôt à l'état de repos. C'est cette dernière
partie
de la réaction muscu- laire qui se trouve surto
d'intérêt que ceux de l'excitabilité fa- radique. Signalés déjà, en
partie
, par les anciens observateurs, ils ont été, aus
en y comprenant la rondelle de peau de chamois interposée entre la
partie
métallique de l'électrode et la peau. L'apparei
spositi). Front bas. Gibotteau. Crâne notablement déformé. Toute la
partie
droite est portée en avant. Déjerine et Solli
mplir avec souplesse ils s'accompagnent de raideur, de rigidité des
parties
affectées, il y a une contracture plus ou moins p
e de six ans, le plus sou- vent à l'origine, elle est limitée à une
partie
du corps, surtout au côté gau- che, elle se gén
u de s'accomplir avec sou- plesse, ils s'accompagnent au niveau des
parties
affectées, d'une raideur qui en somme est le ca
ent dans les muscles de la nuque et des épaules, mais dans d'autres
parties
aussi. Elles ont la plus grande ana- logie avec
tient une plume à écrire, et les mouvements qui agitent toutes ses
parties
rappellent quelquefois l'acte de rouler une bou-
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tronc sur le bassin ; mais le bassin et les
parties
qui le surmontent sont dès lors, dans leur ense
est celle des co- lonnes de Clarke. Faudrait-il chercher dans cette
partie
, où l'on a voulu localiser des centres vaso-mot
ulminant. L'épaule droite est un peu plus élevée que la gauche ; la
partie
supérieure du thorax est rétrécie transversalemen
in '). La première planche de ces tracés, figure 22, se divise en 2
parties
. La première ? à 5°, représente l'inscription d
coup moins longtemps qu'à PF, presque aussitôt il se décontracte en
partie
, puis achève ensuite de se décontracter lenteme
rants d'une intensité élevée (Voy. figure 30, 3° et 4°). La seconde
partie
de la figure 26, de 6° à 8°, représente des secou
ent de la fermeture il y a contraction forte et rapide, qui cède en
partie
, puis le mus- cle reste en contraction tonique.
produisent il la fermeture et il l'ou- verture du courant, reste en
partie
contracté pendant toute la durée de l'expérienc
diminue à mesure que les excitations se répètent. Dans la seconde
partie
de la figure, ligne 5, nous voyons pour le pôle
és plus haut à propos de l'excitabilité faradique des muscles (Voy.
partie
I, section C). L'existence de ces petits mouvem
réaction myotonique d'Erb, en signalant, à l'occasion des diverses
parties
de cette réaction, les points particuliers que
me dire que c'est là la règle ; il en est ainsi dans la plus grande
partie
des cas. Il suffit pour s'en convaincre de comp
de centimètres et terminée par un disque qu'on appliquait t sur la
partie
du corps ou le nerf qu'on désirait soumettre aux
tème nerveux. L'ouvrage de M. M. Granville peut être divisé en deux
parties
: une théo- rique, une pratique, la'seconde déc
nt en pla- çant les fils de la pile dans les bornes situées sur les
parties
latérales ainsi que l'indique la figure 36. La
re inférieur gauche : au pied, anes- thésie sur la face dorsale, la
partie
antérieure de la face plantaire et le talon, se
pérature à 80° et à 0°). Dans la zone de transition située entre la
partie
anesthésique et les parties normales nous avons
ns la zone de transition située entre la partie anesthésique et les
parties
normales nous avons parfois mais pas toujours t
connaître aucune lésion ; l'examen microscopique ayant porté sur la
partie
supérieure de la circonvolution frontale ascend
plantées, irrégulièrement. Crâne, front fuyant, aplatissement de la
partie
supérieure du crâne. Saillie des régions pariétal
ns pariétales. La région occipitale forme une sorte d'angle avec la
partie
supérieure. Bipa- riétale est aplatie à sa part
e d'angle avec la partie supérieure. Bipa- riétale est aplatie à sa
partie
supérieure. Cheveux bruns-clairs. L'enfant lais
he présente une coloration grise très nette. Pendant cette première
partie
de l'examen et lorsqu'on y sépare les deux hémi
e échapper par pression un liquide spumeux peu abondant. Toutes les
parties
de ce lobe plongent au fond de l'eau. La surfac
normal ; lobe inférieur et à la base, congestion légère. Toutes les
parties
de ce poumon surnagent. Coew' (60 gr.). - Pas d
Quelques caillots noirs dans les sinus occipitaux. Les différentes
parties
de la base sem- blent symétriques et le trou oc
greneux. La paroi thoracique de l'autre côté (muscles intercostaux,
parties
molles superficielles) offre une coloration verte
hington, 1875. CANON DES PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN 311 Fig. 36.
Parties
du corps ayant une tête comme commune mesure. F
36. Parties du corps ayant une tête comme commune mesure. Fig. 37.
Parties
du corps ayant deux têtes comme commune mesure.
7. Parties du corps ayant deux têtes comme commune mesure. Fig. 38.
Parties
du corps ayant trois et quatre têtes comme commun
es écoles, mesure sept tètes et demie. « On divise la face en trois
parties
: la première contient le front, la se- conde l
i rappelle un certain nombre de rapports simples entre les diverses
parties
du corps, rapports faciles à retenir, empruntés
on de l'extrémité des métacarpiens est divisée par le coude en deux
parties
égales, et chacune de ces parties a pour mesure
est divisée par le coude en deux parties égales, et chacune de ces
parties
a pour mesure deux faces, or deux faces égalent
l s'agit d'établir dans quel sens se font les variations des autres
parties
du corps. L'élévation de la taille est-elle due
variations de longueur, augmentations ou diminutions, des diverses
parties
du corps suivant la taille ne sont que relative
canon de sept têtes et de- mie, mais il faut faire observer que les
parties
qu'elles délimitent dans ce dernier, les dépass
me au milieu des organes, en un point répondant, en ar- rière, à la
partie
inférieure de la fesse et non plus au pli fessier
anon pré- cédent. L'olécrane, ou le point condylien, sépare en deux
parties
égales la distance de l'acromion à l'articulati
rquée comme sur notre canon, c'est-à-dire coupant les fesses à leur
partie
inférieure, notablement au-dessus du pli fessie
proportions de l'enfant, c'est l'accroissement relatif des diverses
parties
du corps aux dif- férents âges. C'est encore da
s plus précis à ce sujet. D'une façon générale on peut dire que les
parties
les plus développées au moment de la naissance
mesures verticales se doublent à peu près, et c'est surtout par les
parties
inférieures que cet ac- croissement s'opère. Ai
de l'adulte, et que la ligne horizontale qui divise la tête en deux
parties
éga- les étant située, chez l'adulte, au niveau
ferons également remarquer que les hauteurs relatives des diverses
parties
de la tête sont parfaitement obser- vées (Fig.
urs sujets au point de vue des propor- tions relatives des diverses
parties
du corps, un procédé très simple consiste à les
t n'accepte aucun travail qui la dédaigne. Elle ne néglige aucune
partie
de la philosophie, tout en s'attachant cependant
e sujet était encore trop vaste. Embrassant en effet les diverses
parties
de l'encéphale qui sont loin de former un ensem
ées de l'encéphale. Aux lésions en foyer sera consacrée la première
partie
de ce travail ; aux lésions dissémi- nées, la d
mière partie de ce travail ; aux lésions dissémi- nées, la deuxième
partie
. Avant de commencer cette étude parallèle de l'
it et de dégager au besoin des symptômes réels faisant foncièrement
partie
de la maladie, les symptômes simulés que l'arti
e la sûreté des méthodes qui sont entre nos mains (1) ». PREMIÈRE
PARTIE
HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES
séquence plus ou moins éloignée, et peuvent intéresser les diverses
parties
de l'encéphale : cerveau, cervelet, pédoncules
tions hystériques chez les enfants que nous terminerons la première
partie
de notre travail, en faisant remarquer que les
, dont les rapports avec l'hystérie seront traités dans la deuxième
partie
. A. Lésions de l'écorce cérébrale. De même qu
ons inutile d'insister sur ces derniers qui se confondent en grande
partie
avec les stigmates de la névrose et qui lui confè
es cortica- les. Mais, chose étrange, l'impotence fonctionnelle des
parties
paralysées qui n'est généralement pas complète
la moindre sensation douloureuse. L'anesthésie existe donc pour les
parties
profondes, aussi bien due pour les parties supe
sie existe donc pour les parties profondes, aussi bien due pour les
parties
superficielles, sur toute la moitié droite du cor
ation se présentai tentouréededifficul tésqui disparaissentengrande
partie
dans le cas que nous étudions. Le professeur Ch
des artères superficielles. Dans les cas où il y inflammation d'une
partie
du membre inférieur c'est à la faradisa- tion d
e (inflammatoire, non dégénérative) des nerfs scia- liques et de la
partie
tibiale du grand saphène. J'obtiens dans la névri
s branches terminales dans les cas où l'inflammation réside dans la
partie
la plus inférieure de la jambe ou à l'extrémité d
t l'artère fémorale qui nourrit principalement le nerf crural et la
partie
du grand saphène situé sur la cuisse. J'ai vu en
t la moelle épinière, le bulbe, la protubérance, le cervelet et, en
partie
, le cerveau. C'est donc la région inférieure du
pas connue avec précision. On peut être sur qu'au moins une grande
partie
de ces nerfs provient du nerf pneumogastrique.
es muscles dilatateur et sphincter de la pu- pille ; par exemple la
partie
inférieure de l'iris s'élargit tandis que la pa
par exemple la partie inférieure de l'iris s'élargit tandis que la
partie
supérieure devient plus mince ou disparait en se
ou disparait en se resserrant comme un rideau ; ou bien ce sont les
parties
latérales de l'iris qui deviennent plus minces,
de l'iris qui deviennent plus minces, etc. De là je conclus que la
partie
cervicale du grand sympa- thique contient, outr
es dans lesquels le tissu sous-cutané est tuméfié dans une certaine
partie
de la face. La faradisation suffit souvent seul
libre de leur vaisseaux. Ziemssen, ,Elec{1'Íc¡{at in der Médian, 20
partie
, Berlin, 1885. 380 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
laviculaire dans la première phase de la phthisie me paraît due, en
partie
du moins, à l'évacuation des bronchio- les, dan
ssus morbide varie selon les cas. Dans les plus graves une certaine
partie
de la moelle est définitivement détruite en quelq
te; on voit une parésie des membres pelviens. La sensibilité est en
partie
conser- vée, mais elle est obtuse ; il y a inco
laire qu'une action vaso-constrictrice. Le courant induit excite la
partie
cervicale inférieure et la partie thoracique su
rice. Le courant induit excite la partie cervicale inférieure et la
partie
thoracique supérieure du grand sympathique, les f
embres des ataxiques est la suite de leurs mouvements excessifs, en
partie
du moins. La faradisation vaso-constric- trice
i l'image. Il est vêtu d'une longue tunique dont il relève toute la
partie
antérieure jusqu'au dessus du pubis pour montre
urliennes est le mémoire de Gaillard, qui leur consacre une notable
partie
de sa thèse et qui, pour soutenir la parenté du
ne faiblesse dans l'action du nerf facial gauche, surtout pour la
partie
inférieure ; l'ouïe n'était affectée d'aucun côté
plis naso-labiaux, la bouche semble un peu tirée à droite ; mais la
partie
supérieure de la. face est tout à fait nor- név
i qu'au moment où nous voyions la malade, la période aiguë avait en
partie
disparu. Au point de vue de l'étiologie il ne s
indiscutable, mais pour ce qui est de la localisation exacte des
parties
de l'encéphale dans lesquelles se trouve le poi
e, cependant, n'a pas, et n'a jamais eu de vomissements; toutes les
parties
sail- lantes de ce corps amaigri sont le siège
centres du lobe op- posé et que le reste de la substance grise; une
partie
delà substance blanche avoisinante a, en avant,
car les circonvolutions précédentes ne consti- tuent qu'une minime
partie
de la zone sensitive I » : Dans notre cas, la l
prement parler, il existe une zone sensitive, qui comprend toute la
partie
corticale des circonvolutions situées en arrièr
r lieu à une hémianesthésie d'origine corticale. Or, on a vu que la
partie
postérieure de la capsule interne (carrefour se
, on sait que les lésions destructives corticales, siégeant à cette
partie
du manteau de l'hémisphère, produisent ordinai-
l, n'a pas une signification absolue. En terminant cette première
partie
, faisons remarquer, pour simple mémoire, le fai
a substance grise corticale de la scissure de Rolando ; enfin, à sa
partie
inférieure, la lésion a détruit la substance cé
ruite totalement, et sa face infé- rieure, saine, forme toujours la
partie
antérieure du ventricule latéral, le plancher d
rontales. Ici le ramollissement, d'un blanc sale dans laplus grande
partie
de son étendue, présente plusieurs points d'un
endante s'est produite, c'est-à-dire par cette série de fibres qui,
parties
de l'étage inférieur (ou pied) du pédoncule se
la moitié du corps calleux, la circonvolution qui le surmonte, lit
partie
supérieure du noyau caudé \' C n, et une grande
onsable. Mais l'acétone n'est-elle pas une substance volatile ! Une
partie
peut avoir disparu quand on pratique l'analyse de
e dyspnée intense qui forçait parfois la malade à passer assise une
partie
de ses nuits, sans qu'on pût constater à l'ausc
our lutter avec succès contre les effets du poison, et annihiler en
partie
sa puissance. Le coma survient quand l'équilibr
ie n'est pas aussi nette, les troubles digestifs faisant eux- mêmes
partie
du tableau symptomatique, il est assez difficile
troubles de la sensibilité cutanée occu- pant d'ordinaire certaines
parties
isolées de la surface du corps (fréquemment le
- Les troubles de la sensibilité cutanée émanent de lésions de la
partie
postérieure de la capsule interne. L'hé mi anesth
ction de deux pieds constituée par une infiltration oedémateuse des
parties
molles, une hyper- trophie notable des têtes de
avec l'hémisphère cérébral, le corps strié, avec le corps strié la
partie
antérieure de la couche optique, y compris son tu
- misphère cérébral, avec ou sans le corps strié, avec ou sans la
partie
antérieure de la couche optique, détermine l'atro
roite, mou- vements latéraux, quoique pénibles, de l'extrémité; les
parties
jus- que-làanestliésiquesperçoiveutles piqûres
portion postérieure du lobe pariétal droit; il s'étend à une grande
partie
de la face su- périeure du cervelet. Quelques e
es synngo-myéties publiées. Elle est exclusivement comprise dans la
partie
antérieure des cordons postérieurs et la commissu
tension qu'elle exerce sur la paroi du même vaisseau, enfin qu'une
partie
de la pression peut être transmise au liquide c
t de limiter le plus possible les heures de travail, d'exempter une
partie
des élèves de cet âge de la fréquentation de l'
s sont devenus des hospices d'infirmes. Il faudrait transporter une
partie
de ces malades dans des asiles d'infirmes propr
res) en couches épaisses de tractus qui, en descendant, forment les
parties
constitutives de l'anse du noyau lenticulaire.
s parties constitutives de l'anse du noyau lenticulaire. Une autre,
partie
de ce système se rend, en fournissant les rayon
iavail de l'auteur qui sera analysé ici ultérieurement.) La seconde
partie
du Congrès a été consacrée à la discussion des
es du laboratoire Broca. Le livre se partage virtuellement en trois
parties
. La première est consacrée aux généralités : hi
celle-ci à titre de mesures internationales pour tous. La troisième
partie
concerne les voyageurs; elle insiste sur la con
dans cet ouvrage; assurément, toutes ne sont pas résolues, mais les
parties
obscures sont présentées de façon à attirer l'é
x élèves internes. Nous avons visité cet asile dans ses principales
parties
. Chaque chef de service y a marqué son passage,
on agrandit l'incision. La première opération avait été faite à la
partie
la plus déclive, à trois pouces environ au-dess
médier à la tendance qu'avait la plaie à se former, surtout dans sa
partie
inférieure. La collection puru- lente paraissai
moins vives qu'aux jambes. Les deux mains présentent, au moins en
partie
, une diminution très notable de la sensibilité. P
somme, les membres inférieurs présentent su- perposés (au moins en
partie
) les symptômes de la lésion postérieure et les
lques remarques sur le but de ce travail et indiquer brièvement les
parties
du sujet que je ne traiterai pas complè- tement
ence DE L HÉ.M1AN0PSIE CORTICALE. 177 7 d'une lésion dans quelque
partie
du cerveau, y compris les couches optiques. Dep
cherches de vou Gudden. Suivant cette manière de voir (qui n'est en
partie
qu'un retour aux anciennes théories de Newton,
uel dans le sens opposé à la lésion. 4. Une lésion portant sur la
partie
latérale d'une bandelette de façon à ne comprim
dire actuellement touchant l'hémianopsie due à une maladie de ces
parties
. Après cette courte introduction, je passe aux
ion. 2. Les cas, au nombre de trois, où la lésion portait sur des
parties
que nous savons être parfaitement indépendantes d
as III (Keen et Xhomson) est indiqué par la portion ombrée, dans la
partie
occipitale de la tête, coupant les lignes 2 et
de Haab pendant la vie avait été : embolie de l'artère irriguant la
partie
postérieure delà couche optique droite. Obser
eulement un foyer de ramollissement jaune détruisant la plus grande
partie
du coin gauche et empiétant un-peu sur la deuxi
insomnie et de la dyspepsie. Insomnie très-marquée dans la première
partie
de la matinée. Devenu peu à peu pâle, faible et
à comprendre. Cette articulation défectueuse des mots était due en
partie
à l'extrême faiblesse générale, mais anssi à un
quatrième et cin- quième circonvolutions temporales (Ecker) et une
partie
de la circonvolution de l'hippocampe. La lésion
n'existait pas de lésions ou du moins de lésions tangibles dans les
parties
centrales du cerveau. Il n'y a donc pas pour mo
le chiasma. 2. Que des lésions du corps genouillé latéral ou des
parties
postéro-latérales delà couche optique peuvent c
prenant le centre de la parole, les circonvolutions motrices et les
parties
sus-éuon- cées (4) due ordinairement à l'emboli
- pitaux des deux côtés en même temps, ou extirper la plus grande
partie
d'un ou de deux à la fois sans amener du trouble
rew i, qui montrent qu'au moins chez les chiens la section de la
partie
postérieure de la capsule interne produit l'hémia
al chez l'homme. - Les lignes grasses ou ombrées repré- sentent les
parties
en connexion av ec les moitiés droites des 2 réti
orps, sans hémiplégie nette, est probablement due à la lésion de la
partie
postéro-latérale de la couche optique ou du fai
sion étendue de la capsule interne, au niveau de son genou et de sa
partie
posté- rieure. , 5. L'hémianopsie latérale, a
ux ou trois jours. Père, soixante-dix ans, impressionnable, vit une
partie
de ses cheveux blanchir plus ou moins rapidemen
ante-huit ans, souf- frait d'une affection cutanée, excepté sur les
parties
exposées à l'air. Grand'mère paternelle, d'un
e dix-neuf ans, est migraineuse et vit, il y a deux an=, une grande
partie
de ses cheveux blanchir en quelques jours, surt
ande partie de ses cheveux blanchir en quelques jours, surtout à la
partie
antérieure de la tête. ~~ Antécédents personn
la colonne vertébrale. Les dents se sont cariées à sa jeunesse, en
partie
; une des petites molaires est notablement plus
articulations et les os ; elles sont exagérées par la pression des
parties
douloureuses ou par la traction des membres. A ce
embres. A ces mo- ments, elle présente un état mental excitable, en
partie
conscient dont ses voisines s'aperçoivent facil
euse à la base du thorax et à l'épigastre, sensation qui monte à la
partie
supérieure delà poitrine, au cou, dont le serre
uvements communiqués à ces mêmes articulations provoquent, dans ces
parties
, des douleurs vives, la malade disant que ça lu
egré d'anesthésie cutanée, car un vésicatoire, appliqué sur la même
partie
d'un membre sensible d'une hysté- rique hémiati
après elle accuse sur la terminaison du tendon patellaire et les
parties
avoisinantes une certaine douleur augmentée par l
ïdal et le lobule du pneumo-gastrique du même côté : ablation d'une
partie
de la masse des fibres de la moitié droite du v
jour après l'extirpation du lobule du pneumo-gastrique droit, d'une
partie
de l'olive cérébelleuse et du pédoncule cérébelle
lobule du pneumogastrique; il est probable que ce n'est pas dans la
partie
du corps rhomboïdal qui pénètre dans le lobule
tiforme qui provient des olives se termine prin- cipalement dans la
partie
du corps rhomboïdal placée vers la ligne mé- di
ieur. Ses origines ou ses terminai- sons appartiennent à toutes les
parties
corticales du cervelet. Quant à son trajet extr
ébelleux du même côté et se rend, après s'être entrecroisé avec une
partie
des fibres du pédoncule cérébelleux moyen du cô
éiforme. Il ne participe pas à la formation du corps restiforme. La
partie
supérieure du noyau de ce faisceau donne naissa
. La partie supérieure du noyau de ce faisceau donne naissance à la
partie
interne du pédoncule cérébelleux inférieur. Les
(Arch. f. Psych. XVI, 1). t Il s'agit de la suite du mémoire en
partie
analysé par nous dans les Archives de Neurologi
rieures du corps genouillé ex- terne ; ses rapports avec les autres
parties
du corps genouillé externe ou avec le pulvinar
externe ou avec le pulvinar sont insignifiants. Par conséquent, la
partie
médiane de la sphère visuelle s'unit presque ex
c les portions la- térales des centres optiques infracorticaux ; sa
partie
latérale s'unit plutôt avec des portions médian
gine et la disposition des fibres du nerf optique, l'ablation de la
partie
médiane de la sphère visuelle entraîne l'atroph
nt sénile. Le tremblement alcoolique va être étudié dans la seconde
partie
de cet ouvrage. Dans la Planche III, je montre
eant les cornes postérieures, depuis la moelle cervicale jusqu'à la
partie
moyenne de la région dorsale; à partir de la ré
copieuse quantité de liquide; méninges troubles, notamment dans les
parties
postérieures. Poids du cer- veaux 730; hémisphè
cette lacune atteint jusqu'à la frontale ascendante ainsi qu'une
partie
de la troisième temporale, sur la zone limite ent
issure de Sylvius plus étroite, de longueur ordinaire. A droite, la
partie
supérieure de la frontale ascendante est repré-
or. Lesdeux antérieurs (B C) reçoivent des malades tranquilles; une
partie
contient la salle d'examens : B est réservé aux
géra, durant quatre jours, qu'une tartine de beurre le matin et une
partie
du souper le soir. Ajoutons l'histoire d'une hy
, présente alors une largeur de 2 cent., le sourcil est coupé en sa
partie
moyenne par la cicatrice, et sa moitié externe
épartements périphériques. Les facteurs de dyscrasie proviennent en
partie
des matériaux étrangers à l'organisme, \enus du
il s'est aperçu que son corps portait presque exclusivement sur les
parties
antérieures de ses semelles débottés et que l'on
élancolie aiguë, quatre fois une psychose dégénérative chronique en
partie
liée à des conceptions irrésistibles, mais à de
Les états d'excitation des nerfs sensibles se propagent à certaines
parties
du cerveau, d'où la transformation. L'asthme ne
facent dans la moelle dorsale; on commence à les rencontrer dans la
partie
inférieure de celle- ci au centre même de la su
tre même de la substance grise, tandis que, lorsqu'on monte vers sa
partie
supérieure et vers la région inférieure de la m
extra. Il y a simplement une répercussion exclusivement limitée aux
parties
superficielles de la seconde couche : intégrité
ent à leurs rapports avec le noyau de l'oculomoteur commun. Vers la
partie
antérieure et au-dessus du noyau prin- cipal, e
SOCIÉTÉS SAVANTES. 317 centres; ces arrêts expliquent une grande
partie
du déficit foiic- tiorznel r noté dans l'espèce
ins résidents et des direc- teurs médicaux spécialistes; une grande
partie
de l'administration financière sera dès lors co
encore trop faible pour un asile de traitement. On a dû griller une
partie
des chambres d'isolement delà surveillance cont
nte ans, et qui a été longtemps la seule maison de ce genre dans la
partie
ouest de l'Etat de New-York. On ne compte plus
is elle peut dépasser ces limites, comme aussi se restreindre à une
partie
seulement d'un segment interannulaire. Dans l
e, alté- rant d'abord les couches externes, avant d'atteindre les
parties
profondes. D'autre part, enfin, la myéline, au
s rares tubercules crus vers le sommet; état normal dans les autres
parties
. Coeur et péricarde sains. Abdomen. - Le périto
de particulier à signaler, aussi bien à sa superficie que dans ses
parties
centrales. Hachis. Dure-mère saine. La pie-mère
s des membres supérieurs et inférieurs mis à nu sur la. plus grande
partie
de leur trajet, les racines sensitives et motri
observe sur les tubes précédents, la lésion n'intéresse' ici qu'une
partie
restreinte de la fibre nerveuse : paifois elle
résolvent en une infinité de petits grains, de couleur cendrée. La
partie
ainsi désorganisée constitue une sorte de manch
ubes altérés semblent ici beaucoup moins abondants. 3° Cubital à la
partie
moyenne du bras. Lésions sem- blables à celles
ésions sem- blables à celles des filets du radial. 4° Médian à la
partie
moyenne du bras. Mêmes altérations. B. Nerfs du
lèvent uniquement d'une localisation du poison infectieux sur cette
partie
du système nerveux. Au point de vue purement
et même 8 millimètres, mais peut aussi se limiter à une très minime
partie
d'un DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 355 seul segm
aire, le cylindre-axe est impliqué dans la destruc- tion des autres
parties
constituantes du tube nerveux et disparaît, dès
eut être rompu en un ou plusieurs points de son trajet sans que les
parties
sous-jacentes de la fibre ner- veuse souffrent
ire. Disparition presque complète do la myéline. Sur la plus grande
partie
de son étendue, la gaine de Schwann est flétrie
é, tandis de l'hypnotisme. 363 qu'il lui cacherait la plus grande
partie
des symp- tômes observés par d'autres; car M. R
ge itmerhalb d. mot. Hirncentrea. DE l'hypnotisme. 365 repos à la
partie
irritée de son cerveau en faisant s'en- fler l'
iséàun certain degré avec de la mor- phine et, s'ils ont irrité une
partie
de l'écorce grise qui correspondait à un membre
ne peut pas modifier l'action de son cerveau et, en conséquence, la
partie
irritée con- serve au même degré l'irritation.
veux insister, si on applique alors une irritation faible à la même
partie
du cerveau, on produit la mémoire d'une action
nt la catalepsie, les influences extérieures éveillent une petite
partie
des cellules de l'écorce; enfin, pendant l'état
ie des cellules de l'écorce; enfin, pendant l'état somnambulique la
partie
éveillée est un peu plus étendue. Dans l'étud
veau est complètement abolie, comme cela est l'opinion d'une grande
partie
des auteurs. A mon avis, cette fonction n'est p
parons son système nerveux à celui de l'homme. Si nous enlevons une
partie
de l'écorce grise motrice d'un chien, nous verr
ssez bien, sans qu'on puisse apercevoir une régénération dans les
parties
lésées. ^Ce n'est pas ' ainsi chez l'homme (d'a
rce grise de son cerveau, et c'est tout à fait erroné si une grande
partie
des savants (Ferrier, Heidenhain, Bernheim, etc
ue sans nous en apercevoir; mais après une lésion destructive d'une
partie
de la subs- tance corticale des zones motrices,
ouvoir sur leurs extrémités, il faut se rappeler que la plus grande
partie
de leurs mouvements est DE l'hypnotisme. 373
labes, pourtant l'élude de l'aphasie a clairement démontré à quelle
partie
de la substance corticale est liée la faculté d
qui se trouve en sommeil léthargique peut, au moins dans une grande
partie
des cas, se tenir debout ou assis, dans la posi
aines zones du cerveau ne retrouvent point leurs influences sur les
parties
corres- pondantes de la moelle épinière; ce qui
. Ces conditions résultent des propriétés physiolo- giques de ces
parties
. L'extension de l'irritation n'est pas égale da
mènes en supposant que, pendant la léthargie, ce sont seulement les
parties
irritées (par l'influence de l'expérimentateur)
ement énorme du champ visuel (vision uniquement conservée dans la
partie
tout à fait supérieure de la rétine). Ces trois
t chez les collatéraux. Antécédents personnels. M"«D... a passé une
partie
de son en- fance de huit à quinze ans en pensio
Le pied de la circonvolution frontale ascendante mesure Om018 et sa
partie
moyenne On 015. Le pied de la scissure rolandiq
capacité. Léger athérome des artères coronaires. Toutes les autres
parties
du coeur sont normales. Cerveau : hémisphère
de passage. ' Un vaste foyer hémorrhagique récent occupant toute la
partie
supérieure des circonvolutions frontale et pari
s coronaires sont athéromateuses et per- méables. Toutes les autres
parties
du coeur sont normales. Poumons : oedème et con
ritables zones épileptoyènes, ou bien s'il y a seulement dans cette
partie
de la substance blanche un REVUE DE PATHOLOGIE
en- tielle ou symptomatique accompagnés d'un ramollissement de la
partie
sous-épendymaire des cornes occipitales des ventr
lésion est encore obscure, mais qu'elle laisse supposer dans cette
partie
de la substance blanche l'existence d'une zone
elle est presque partout séparallle des tissus voisins. Une grande
partie
de la face supé- rieure du lobe frontal gauche
ovale sous-jacente à la région corticale motrice, composée de deux
parties
, d'âge différent : la partie inférieure ancienn
n corticale motrice, composée de deux parties, d'âge différent : la
partie
inférieure ancienne, était représentée par deux
ne, était représentée par deux kystes à parois déjà distinctes ; la
partie
supérieure, plus récente, n'était encore qu'à l
sant environ 5 gr. 4/4, évidemment frais, voisin de la surface à la
partie
infé- rieure et interne, et appuyé sur la protu
hamp visuel; par C. Engelsksjoen (Arch. f. Psych., XVI, 1). Seconde
partie
du mémoire '. Développement atténué de la 1 Voy
us la formule suivante : sulfate curarine, 0,20; - eau distillée, 8
parties
. eau de laurier cerise, 2 parties. -En l'inject
urarine, 0,20; - eau distillée, 8 parties. eau de laurier cerise, 2
parties
. -En l'injectant sous la peau on obtient une lé
fisance des influx afférents sur lesquels cet équilibre « repose en
partie
. Dans ce cas, la galvanisation rachidienne, et la
trois cents pages de plus que la précédente, est divisée en quatre
parties
: 4 la grandehysté- rie ; 2° le grand hypnotism
ystérie dans l'histoire; 4° l'hys- térie dans l'art. Dans la l le
partie
sont étudiées toutes les grandes variétés de la
cherches nouvelles de Féré, Ballet et Gaube y sont consignées. 2°
partie
. De l'Hypnotisme chez les sujets atteints de gran
nde hystérie et de ses variétés qui ont fait l'objet de la première
partie
. 46 La dernière partie : de l'Hystérie dans l'a
variétés qui ont fait l'objet de la première partie. 46 La dernière
partie
: de l'Hystérie dans l'art, qui est essen- tiel
histoire anato- mique et clinique de cette affection. La première
partie
de cette étude est consacrée au coté anato- miq
es, la plupart d'après la méthode de M. Weigert. Dans la deuxième
partie
consacrée à ['étude clinique, l'auteur, après a
un peu plus loin, un autre asile pour douze cents aliénés, dont une
partie
serait des pensionnaires placés au compte de le
t la moitié du corps calleux, la circonvolution qui le surmonte, la
partie
supérieure du noyau caudé NCa, et une grande po
ire. Disparition presque complète de la myéline. Sur la plus grande
partie
de son étendue, la gaine de Schmaun est Ilétrie
RTISSEMENT L'exposé de mes travaux scientifiques est divisé en deux
parties
, consacrées l'une à mes recherches d'histologie
mes études de clinique et d'anatomie pathologique. Celle deuxième
partie
est subdivisée en sections se rapportant aux af
s et sont imprimées en petits caractères typographiques. PREMIÈRE
PARTIE
PREMIÈRE PARTIE HISTOLOGIE NORMALE ET PHYSIOL
s en petits caractères typographiques. PREMIÈRE PARTIE PREMIÈRE
PARTIE
HISTOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIE
olorée en rouge par le picro-carmin. se détachant nettement sur les
parties
avoisinantes, et présentant lastruc- ture des g
inférieur à celui des fibres qui se trouvent dans toutes les autres
parties
du muscle, et présentant généralement un plus gra
ue et non différenciée (sarcoplasme et noyaux) est subordonnée à la
partie
fonctionnelle ou musculaire différenciée en fib
hologique il y a inversion dans l'importance réciproque de ces deux
parties
constituantes. La substance différenciée s'efface
d'autres termes, la réaction dite de dégé- nérescence ne serait, en
partie
au moins, que la réaction propre des fibres mus
state alors de la manière la plus nette que l'excitation d'une même
partie
du labyrinthe, à la fermeture du courant, donne
ments en sens inverse suivant que l'électrode en contact avec cette
partie
est positive ou négative ; dans le premier cas,
et la légitimité des con- clusions que j'en ai déduites ont été en
partie
confirmées (voir p. 175). RÉFLEXES TENDINEUX
z la poule dont la rétine est dépourvue d'éry thropsinc. DEUXIÈME
PARTIE
DEUXIÈME PARTIE CLINIQUE ET ANATOMIE PATHOLOG
rétine est dépourvue d'éry thropsinc. DEUXIÈME PARTIE DEUXIÈME
PARTIE
CLINIQUE ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE 1. - SÉMIOL
e bras, est 30 SÉMIOLOGIE placé en demi-pronation et soutenu à sa
partie
inférieure par la main gauche de l'observateur.
bras en percutant l'extrémité inférieure de l'humérus et di érentes
parties
de l'avant-bras, sauf le tiers inférieur de la
faut per- cuter, à l'extrémité inférieure de l'avant-bras, soit la
partie
antéro- interne du radius, soit la partie posté
de l'avant-bras, soit la partie antéro- interne du radius, soit la
partie
postérieure du euhilus ; d'où le nom de réflexe
; de plus, la flexion est d'habitude plus forte quand on excite la
partie
interne de la plante du pied que lorsque l'exci
interne de la plante du pied que lorsque l'excitation porte sur la
partie
externe, et c'est l'inverse pour ce qui concern
'est-à-dire que le réflexe plantaire peut revêtir des caractères en
partie
pathologiques, en partie physiologiques. En voici
e plantaire peut revêtir des caractères en partie pathologiques, en
partie
physiologiques. En voici des exemples : chez ce
orteils ; chez d'autres, les orteils s'étendent quand on excite la
partie
externe de la plante du pied et se fléchissent
tie externe de la plante du pied et se fléchissent lorsque c'est la
partie
interne du pied qui est excitée ; chez d'autres
ée ; chez d'autres encore, le réflexe plantaire, quelle que soit la
partie
de la plante du pied qui est excitée, se mani-
ue cela a lieu parfois, les orteils, entraînés passiv ement vers la
partie
antérieure de la jambe, peuvent donner à un obser
hésic croisée due à une hémi-section traumatique de la moelle, à la
partie
moyenne de la région dorsale, quinze heures après
là un contraste qui conduit à se demander s'il n'y a que certaines
parties
du système pyramidal dont l'altération puisse p
exion du gros orteil, suivant qu'on excite la région plantaire à sa
partie
externe ou à sa partie interne, ce qui montre déj
uivant qu'on excite la région plantaire à sa partie externe ou à sa
partie
interne, ce qui montre déjà que ces deux réflex
ux-ci se flé- chissent très nettement quand on excite la peau de la
partie
supé- rieure de la cuisse (ce qu'avait déjà vu
rtie supé- rieure de la cuisse (ce qu'avait déjà vu Remak) ou de la
partie
inférieure de l'abdomen. c. Des expériences d
i en quoi il consiste : tandis que l'excitation des téguments de la
partie
interne de la jambe, provoquée par le frottemen
ement par l'excitation de la peau mais aussi par la compression des
parties
profondes ou par des tractions, il me semble lé
rusques et peuvent en général être provoqués par l'excitation d'une
partie
quelconque de la peau y compris le cuir chevelu
slci (202), au début de l'affection, une disposition diffé- rant en
partie
, au point de vue des réflexes de défense, de cell
de la para- lysie, en un point quelconque depuis le pied jusqu'à la
partie
infé- rieure de la joue, déteiminait du même cô
observations et des expé- riences qui m'ont renseigné, au moins en
partie
. Je dois, en effet, déclarer d'abord que la con
s de Cohnheim très apparents et il existe beau- coup de noyaux à la
partie
centrale des fibres. Ainsi, le long supina- leu
s lésions de la périphérie et des centres, des idées qui étaient en
partie
nouvelles à l'époque où elles furent émises. «
i sans être exclusivement SO AFFECTIONS DES NERFS localisées à la
partie
postérieure du bras, prédominent dans cetle rég
rf facial dans son trajet ou à son origine peut déterminer, dans sa
partie
péri- phérique, une surexcitahililé électrique
muscle orbiculaire de l'oeil fonctionne et que l'oeil se ferme, la
partie
interne du muscle frontal se contracte et la pe
e contraction du frontal qui se manifeste par des plis cutanés à la
partie
supéro-interne du sourcil gauche. g. Contractio
ergie para- doxale (contraction de l'orbiculaire et élévation de la
partie
interne du sourcil)». Dcleni analyse (Revue neu
ébut cependant, quelques neurologistes n'admirent mon opinion qu'en
partie
. C'est ainsi que Dejerine, dans son article sur l
la vision centrale peut être abolie, tandis que persiste une grande
partie
du champ visuel péri- phérique. Il s'agit là d'
ion d'une malade atteinte de trou- bles oculaires se manifestant en
partie
par une décoloration des papil- les semblable à
e sclérose, on peut voir dans les points de transition, entre les
parties
saines et les parties malades, des granulations
ir dans les points de transition, entre les parties saines et les
parties
malades, des granulations noirâtres disposées s
ération. On peut voir ainsi un même cylin- dre-axe entouré dans une
partie
de son parcours d'une gaine de myéline et en d'
des sujets atteints d'une lésion spinale siégeant certainement à la
partie
supérieure de la moelle dorsale et chez lesquel
ts réflexes de défense dépasse les membres inférieurs et occupe une
partie
plus ou moins étendue du tronc. Mais dans les
nue à s'améliorer ; la contracture cède peu à peu dans les diverses
parties
du corps et aujourd'hui, quarante-cinq jours ap
a recouvré intégralement l'usage du membre supérieur droit et en
partie
celui du membre supérieur gauche, il remue la têt
d'épaisseur, situé sur la face externe de l'hémisphère gauche, à sa
partie
moyenne, au niveau de la région motrice qu'il com
muscles qui inclinent le tronc en arrière. S'il en était ainsi, la
partie
supérieure du tronc, entraînée par la pesanteur,
trophiées, sans que les nerfs moteurs, au moins dans la plus grande
partie
de leur parcours, présentent la moindre trace d
ions d'ordre plus général. « Ces trois groupes (26) font évidemment
partie
d'une même série caractérisée par des lésions p
otalité de cet appareil, soit à sa périphérie seulement, quoique sa
partie
centrale constitue tou- jours le siège primitif
le balancement du bras, mouvement accessoire faisant habituellement
partie
de l'acte de la marche, manque dans la monoplég
'oedème cérébral avait provoqués, grâce à la simple résection d'une
partie
de la voûte crânienne sans incision de la dure-
ment démesuré de flexion exécuté par la cuisse. On peut remédier en
partie
à ce trouble en pre- SYNDROME CÉRÉBELLEUX in
tie à ce trouble en pre- SYNDROME CÉRÉBELLEUX in nant le malade
parties
mains, après s'être placé devant lui, et en l'att
les mouvements élémentaires d'une manière presque normale, mais la
partie
supé- rieure du corps reste en arrière, et il f
oeuf de poule s'était creusée une loge par refoulement, en majeure
partie
aux dépens du cervelet. Ultérieurement, j'ai
translation du tronc à la flexion de la cuisse. L'immobilité de la
partie
supérieure du corps, pendant quele membreinféri
euve est comme le complément de la précédente. Dans l'une, c'est la
partie
supérieure du corps qui ne se déplace pas alors
st la partie supérieure du corps qui ne se déplace pas alors que la
partie
inférieure se meut : dans l'autre, c'est la parti
pas alors que la partie inférieure se meut : dans l'autre, c'est la
partie
infé- rieure qui reste immobile, tandis que la
tre, c'est la partie infé- rieure qui reste immobile, tandis que la
partie
supérieure fonctionne. N'est-il pas rationnel d
dans les actes complexes nécessitant notamment la coopération de la
partie
supérieure et de la partie inférieure du corps,
cessitant notamment la coopération de la partie supérieure et de la
partie
inférieure du corps, se rencontre plus rarement.
l'on pouvait facilement démêler, comme caractère essentiel, que la
partie
supérieure du corps se trouvait constamment dan
le côté droit du corps jusqu'au cou, prédominant à la jambe et à la
partie
inférieure de la cuisse et intéressant la sensibi
ussation; b) le faisceau cérébelleux descendant qui proviendrait en
partie
du noyau de Deiters, en partie du cervelet ; s'il
lleux descendant qui proviendrait en partie du noyau de Deiters, en
partie
du cervelet ; s'il existe une voie ascendante d
lement sectionnée ; c) les fibres du ruban de Reil, surtout dans la
partie
postérieure de la couche interolivaire ; d) les v
à ce que les lésions du ruban de Reil sont plus prononcées dans la
partie
postérieure de la couche interolivaire, région où
ibres pré-, inter- et rétro-trigéminales, puis vont se grouper à la
partie
profonde des corps restiformes avec lesquels el
grouper dans leur angle postérieur. Elles montent ainsi jusqu'à la
partie
supérieure du corps ciliaire et se recourbent p
ré d'intensité des lésions, soit leur situation dans telle ou telle
partie
de l'appareil vestibulaire. Sur ce dernier poin
, la pression du liquide labyrinthique devant être subor- donnée en
partie
à celle du liquide céphalo-rachidien. Dès lors, i
tériques, car la notion de troubles de cette nature semble avoir en
partie
pour origine des observations faites sur des hé
assimiler complètement. 1- a-t-il là un tout homogène aux diverses
parties
duquel le terme « hystérique » puisse être appliq
» (19 1) i. Je ferai remarquer que j'ai déjà exprime cette idée, en
partie
, il y a plus de vingt ans, en 1890 (27). Voici
st la réalisa- tion d'une idée, d'un projet formé à l'avance et, en
partie
tout au moins, le résultat d'une opération inte
rtes de circonstances, l'hystérique se comporte comme s'il était en
partie
maître de sa maladie et si sa sincérité n'était
depuis Charcot, nos idées se sont profondément modifiées, en grande
partie
, par le fait de la critique objective à laquelle
rologie, 2 juillet igo8). 152. Section du cubital et du médian à la
partie
inférieure de l'avant-bras. Causes d'erreur dan
oût igi3). TABLE DES MATIÈRES Pages. Avertissement 5 PREMIÈRE
PARTIE
Histologie normale et Physiologie. Pathologie e
mière chez les oiseaux de jour et les oiseaux de nuit 22 DEUXIÈME
PARTIE
Clinique et Anatomie pathologique. I. - Sémio
Tonkin; à vingt-six ans, il a présenté - une éruption, en diverses
parties
de son corps, de petits bou- tons blancs dispar
sis, les yeux toujours fermés, on a disposé différents poids sur la
partie
antérieure des pieds; ici c'étaient les muscles d
s'étaient manifestés. Dès le début, les contractions ont occupé la
partie
inférieure du muscle orbicu- laire des paupière
ur la muqueuse que sur la peau. La troisième occupe le sourcil à sa
partie
médiane, mesure 1 centimètre dans le sens verti
ES TICS. 13 Le tic est caractérisé par la contraction brusque de la
partie
moyenne de la portion périorbitaire inférieure
a... fut mise au cachot, où, par oubli, elle passa la soirée et une
partie
de la nuit. Peu de temps après apparurent les mou
ment la région temporale, le milieu du front, et en dernier lieu la
partie
dorso-Iatérale du nez. Dans le membre inférieur
n, par ses extrémités digitales demi-fléchies, heurte simplement la
partie
latérale du front. Ces contractions s'accomplis
, résultant des chocs réitérés de la main (fig. 4). D'ailleurs, les
parties
découvertes du visage, le milieu du front, la p
ailleurs, les parties découvertes du visage, le milieu du front, la
partie
latérale du nez, présentent une teinte légèrement
. le 20 0 , PATHOLOGIE NERVEUSE. l'acte de porter la main' sur la
partie
latérale du nez s'accomplit avec une lenteur re
e la plupart de ceux afférents aux troubles nerveux qui manquent en
partie
, se retrouvent chez la malade. L'hérédité, pr
ns l'ensemble il donne l'impression d'un homme très vigoureux. A la
partie
supé- rieure de son crâne, sur la droite, on no
et la percussion au-dessus d'elle ne provoque pas de douleur. La
partie
droite du crâne est un' peu plus basse que la gau
main tombant, le doigt dans une semi-flexiou à peine accentuée. La
partie
supérieure de la colonne vertébrale présente une
hermo-esthésiomètre, chauffé à 75 degrés, ne provoquait dans aucune
partie
ni douleur, ni chaleur. Sur la poitrine, la the
dis que la moitié gauche de la face, dans le bras gauche et dans la
partie
supérieure du tronc jusqu'aux rebords costaux,
iffé- L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 55 rentes
parties
de ses membres gauches situés dans les différente
tingue très bien la différence de température qu'il y a entre la
partie
métallique du marteau à percussion et sa partie e
qu'il y a entre la partie métallique du marteau à percussion et sa
partie
en bois. Le sens musculaire, tant dans le membr
e, vingt-quatre heures après, B... eut de vio- lentes douleurs à la
partie
inférieure de la région lombaire; ces L HYSTERI
comment la paralysie hystérique se manifeste avec facilité dans les
parties
frappées par le trauma, par un mécanisme unique-
ins en matière plus ou moins précieuse, objets représentatifs de la
partie
du corps qui avait été guérie par intervention
eon étaient couvertes de peintures votives représen- tant, pour une
partie
tout au moins, les guérisons miraculeuses qui s
des du malade, dont il enserre ainsi comme dans un demi-cercle la
partie
postérieure de la tête. Il attire alors brusqueme
lui-ci) ou d'un foyer inflammatoire circonscrit des méninges et des
parties
corticales voisines, oblité- rant les artères,
ps d'arrêt, que les lésions inflammatoires se localisent et que les
parties
du cerveau restées ou redevenues saines suppléent
erveau restées ou redevenues saines suppléent au fonctionnement des
parties
atteintes par une lésion définitive. L'observat
croisé occupe le centre du nerf optique, et, dans la bandelette, la
partie
inférieure (ventrale). P. K. ' III. Contributio
elle; par K. SCHAFFER. (Neurolog. Central., 1891.) Conclusions en
partie
conformes aux recherches de Friedmann (voy. Arc
ésie, dont les malades ne s'étaient pas aperçus), bouffissure de la
partie
paralysée, tuméfac- tion de la paupière inférie
tteints d'immobilité pupillaire réflexe, il y avait intégrité de la
partie
périphérique de l'arc ré- flexe (nerf optique,
jusque près dugenou de la capsule. Cette raie, qui correspond à une
partie
du faisceau pyramidal de Flechsig, aboutit à la m
e ascendante prennent t probablement leur origine première dans les
parties
les plus inférieures de la moelle cervicale; la
me. Les fibies émanent de la substance gélatineuse, ou plutôt de la
partie
latérale de celle-ci, jusqu'au niveau de la deu
se multipliant, de son senmentinféro-latéral (ventro-latéral) ; la
partie
supérieure ou dorsale de cet organe paraît être e
sions, même dans les mêmes fibres, occupent toujours de nouvelles
parties
éloignées. Toute nouvelle impression occupe, non,
pense Meynert, une nouvelle cellule, mais seulement une nou- velle
partie
d'une cellule ou d'une terminaison de fibres ner-
ons successives, notre attention se concentre sur une seule et même
partie
, c'est que cette partie est le foyer de plusieu
ttention se concentre sur une seule et même partie, c'est que cette
partie
est le foyer de plusieurs images d'ensemble. (Exe
du centre optique du lobe occipital et intéressant les fibres qui,
parties
de ce lobe, vont à la capsule interne. M.KREUSE
d'intensité différente, disposée avec beaucoup de symétrie sur une
partie
de la tête, du tronc et des extrémités ; quelqu
es mentales. II). M. le Dr D.abcuEwmcH. Sur les altérations de la
partie
cen- trale d'un nerf moteur après lésion de sa
rations de la partie cen- trale d'un nerf moteur après lésion de sa
partie
périphérique. - Une Archives, t. XXV. 9 130 S
des racines antérieures et les cellules des cornes antérieures des
parties
correspondantes de la moelle. Le rapporteur pen
extension et l'arrachement du nerf sciatique suivies de lésions des
parties
centrales (substance grise de la moelle) et pen
d'une hauteur de 2 mètres sur un objet dur, le coup a porté sur la
partie
cervicale ; après cette con- tusion se développ
viation lordo-cyphotique de la colonne vertébrale à droite, dans sa
partie
thoracique. Marche titubante. Le symptôme de Ro
noyau rouge, au niveau de l'oculo-moteur, dans le «tegmentum»; une
partie
des fibres optiques, y parviennent en faisceau di
sens négatif vu les expériences de Mendel, sur l'atrophie de cette
partie
à la suite de l'extirpation de l'iris, M. le pr
dans un système de fibres déterminé; ce système est limité dans sa
partie
supérieure par le corps calleux, dans sa partie
st limité dans sa partie supérieure par le corps calleux, dans sa
partie
inférieure par le corps caudé et du côté externe
s d'association et leur dégénérescence est unilatérale; 3° dans une
partie
des fibres du « gyrus fornicatus », principale-
t un mode combiné, il consiste pre- mièrement dans l'ablation d'une
partie
quelconque du cerveau d'un animal, ce dernier s
ns, telle est l'opinion qui les a guidés dans leurs recherches,. La
partie
historique est très complète, l'arthritisme, la s
ule sera consacré à la description de l'anatomie pathologique d'une
partie
déterminée du système nerveux, illustrée d'un g
ssent ces plaques dans la section expérimentale des nerfs. Mais, la
partie
la plus intéressante et la plus originale de ce t
lui a donné le nom d'asile d'aliénés de Varsovie. Il comprend deux
parties
. L'une est destinée au traite- ment des aliénés
ars-Avril 1893. N" 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE AVIS. - La première
partie
de chacun des numéros des Archives est consacré
se, autres que les cornes antérieures, ne puisse retentir sur cette
partie
de la substance grise et déterminer secondairem
chez cet homme, étendue à tout le membre supérieur gauche et à une
partie
du thorax, une anesthésie dis- sociée de telle
n du feu. J'en ai vu qui s'étaient laissé brûler profondément les
parties
anesthésiées, parce qu'ils n'avaient pas perçu
candescents et qu'ils n'avaient pas été prévenus par la vue que ces
parties
se trouvaient en contact avec eux. » Sans nul d
musculaire progressive. Elles n'y prenaient pas toute la place, une
partie
de celle-ci était occupée par un autre groupe q
upérieurs nous trouvons que les muscles de l'épaule droite et de la
partie
supérieure du bras ont subi un commencement d'a
n café; « quelque chose, dit-il, lui a monté du ventre jus- qu'à la
partie
supérieure de la poitrine. Ça l'étouffait. Il s'e
sen's laanclbuclader specielleit Pathologie und Thérapie, t. XI, 2°
partie
. . Vanlair. - Manuel de pathologie interne, 189
de peut tenir quelques minutes son bras relevé; pendant ce temps la
partie
supérieure du trapèze se contracte. Les mouve-
- tant parfaitement bien aux mouvements passifs, du moins dans sa
partie
supérieure; au contraire, les parties moyennes et
ents passifs, du moins dans sa partie supérieure; au contraire, les
parties
moyennes et inférieures n'agissent presque plus
action idéo-musculaire ne peut être retrouvée sur les muscles de la
partie
supérieure du corps, sauf aux muscles thénar et
ates. La colonne vertébrale n'est pas très saillante, mais, vers la
partie
inférieure, elle éprouve une légère courbure à
ormale; celle des muscles de la cuisse en général, et surtout de là
partie
postérieure est assez considérable, sans cepend
est très considérable. Souvent on observe des fibres présentant des
parties
renflées en ampoule au milieu desquelles la str
es plus fines ramification.') paraissent normales en leurs diverses
parties
: myéline, cylindre- axe, gaine et noyaux. Au c
r forme est irrégulièrement ovoïde; elles sont situées sur une même
partie
de la périphérie des faisceaux nerveux, et rega
chacun de ces fascicules, elles n'en occupent guère que la dixième
partie
. Parfois, il n'existe qu'une seule de cet aires
pareil de transmission, de ce qui est trop souvent regardé comme la
partie
principale de l'oreille, au point de vue pathog
généraux, quand l'oreille est restée en apparence saine dans ses
parties
accessibles. Il faut cependant encore attribuer
taires et, en continuant les mêmes mou- vements, à produire dans la
partie
un afflux abondant de sang et par suite un gonf
nt, la lèvre inférieure s'était bientôt trouvée comprimée entre les
parties
dures environnantes ; la circulation avait fini p
'accident furent simples. En peu de temps il s'établit autour de la
partie
gangrenée un sillon d'élimination et huit jours
angrenée un sillon d'élimination et huit jours après la plus grande
partie
de la lèvre inférieure pouvait être détachée d'
ciuvus, L. XXV. iq Fig. 18. 226 recueil' DE faits. ' rable à la
partie
médiane intéressant plus de la moitié de l'orga
volumineuses. Oreilles longues et larges, écartées du. crâne à leur
partie
supérieure. L'ourlet n'est pas très bien confor
n'est pas très bien conformé surtout à droite, il est déchiré à sa
partie
supérieure et présente un tubercule. Le lobule
es meubles comme s'il voulait les nettoyer. Il connaît les diverses
parties
de son corps, mais ne distingue pas le côté dro
es ordres qu'on lui donne. Ce manque de vo- lonté peut expliquer en
partie
la persistance et la reproduction des mêmes tic
que le type physique de l'idée est une fois ébauché, il devient une
partie
de l'appareil mental, et quoi que ce soit que l'e
imètres au-dessus de la protubé- rance occipitale, tranchant sur la
partie
postérieure du crâne une portion d'os de 75 mil
ns les ganglions de la base. L'examen microscopique révéla dans les
parties
ramollies deux espèces de tissus. 4° Sur les limi
qu'un malade .atteint d'une affection chronique du cerveau, fait
partie
de la pathologie cérébrale. Elle emprunte ses par
externes, des deux côtés, il existe, dans le cordon postérieur, une
partie
veuve de fibres myéliniques qui a la forme d'un c
avant. Celte zone cunéiforme non organisée commence au niveau de la
partie
inférieure de la moelle dorsale, elle monte dan
au de la partie inférieure de la moelle dorsale, elle monte dans la
partie
supérieure de la même région jusqu'à la partie
elle monte dans la partie supérieure de la même région jusqu'à la
partie
inférieure de la moelle cervicale et, dans ces de
- rieur que dans ses segments externes, notamment au niveau de la
partie
inférieure et moyenne de la moelle dorsale ; à ce
gment interne et le segment externe du cordon. En s'élevant dans la
partie
supérieure de la moelle dorsale on retrouve la
nde claire qui s'est étendue. Chez les foetus de 35 centimètres, la
partie
moyenne du cordon postérieur se développe, c'es
iniques s'accroissent dans les segments externes ainsi que dans une
partie
interne voisine de la cloison postérieure. Ch
postérieure. Chez les foetus de 42 centimètres, il n'y a plus de
parties
claires et de parties obscures quelle que soit
es foetus de 42 centimètres, il n'y a plus de parties claires et de
parties
obscures quelle que soit la région de la moelle.
ans le tabès ? En quelques cas (stades de début du labes), c'est la
partie
moyenne du cordon postérieur qui est surtout lésé
rtie moyenne du cordon postérieur qui est surtout lésée ; or, cette
partie
est occupée par des fibres nerveuses relevant du
tades de développement. La lésion est alors surtout accusée dans la
partie
moyenne du cordon postérieur; déchéance des fib
- tion des fibres des deuxième et troisième stades, lésée dans la
partie
moyenne du faisceau de Goll; il y a altération de
Un mor- ceau d'os de quatre pouces de long et d'un demi-pouce à sa
partie
la plus large, terminé en fuseau vers les extré
se fléchissaient; les jambes, adduction normale et croisement. Les
parties
génitales étaient mal développées. Il existait
uses reproductions d'autographes d'aliénés illustrent cette seconde
partie
. Tous ces troubles sont les résultats de troubles
s. Un appendice consacré aux dessins des aliénés termine la seconde
partie
. z La troisième partie comprend l'étude des tro
é aux dessins des aliénés termine la seconde partie. z La troisième
partie
comprend l'étude des troubles du langage mimiqu
montrent dans l'attaque d'hystérie. Son ouvrage est divisé en deux
parties
: dans la première, il étudie les paralysies et
s qui font l'objet de cette statis- tique ne forment que la sixième
partie
de la population suisse; si donc, l'on multipli
re descendre les scapulaires jusque sur le ventre. Placés sur cette
partie
du corps, ils arrêtent immédiatement la diarrhée.
le est incontestable quoique peu accen- tuée. C'est à l'avant-bras (
partie
moyenne) qu'elle semble le plus marquée (un cen
n obtient. Le malade est enchanté, et sa bonne volonté se met de la
partie
. Dans la même séance, une légère flexion des de
doigts au-dessus du poignet. Hypéresthésie en manche de veste de la
partie
supérieure du membre. Réflexes tendineux norm
faire mouvoir son épaule et l'anesthésie disparaît peu à peu de la
partie
supérieure du bras jusqu'au-dessous du coude. C
at en 1870. Son métier, celui dans lequel il a travaillé la majeure
partie
de la vie, est celui d'ajusteur-mécanicien. En
t cesser de travailler. Il n'a- vait plus d'appétit, il restait une
partie
du jour dans sa chambre ou sur son lit, faisait
l'hypoesthésie dans la monoplégie brachiale hystéro-traumatique.
Partie
quadrillée : anesthésie. - Partie à lignes vertic
ie brachiale hystéro-traumatique. Partie quadrillée : anesthésie. -
Partie
à lignes verticales : hypoesthésie. TROIS CAS D
ses caractères complexes et en apparence contradictoires est due en
partie
au choc traumatique et aux lésions organiques q
lésions organiques qu'il a produites dans le plexus brachial et en
partie
aux troubles hystériques locaux que le traumati
cas), ou bien s'étend à la moitié correspondante de la tête et à la
partie
supérieure du corps, descendant jusqu'au niveau
porter son tronc fortement en arrière, ne toucher le sol qu'avec la
partie
antérieure des pieds, et écarter ses jambes; pu
les membres dans une position rectiligne. Il passe la plus grande
partie
de la journée au plein air, assis sur un siège
A part la tête qui continue à rester à peu près indemne, les autres
parties
du;corps sont atrophiées; en outre, la jambe ga
s pu en juger par la palpation que nous avons faite à travers les
parties
molles, les os de la colonne vertébrale, du bassi
irer confiance au malade qui se laisse guider et peut récupérer une
partie
de son activité spontanée. En somme, il s'agi
e suggestionné. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 383 Dans la dernière
partie
de son article, M. le Dr Hospital aborde la que
e de son intelligence. A \ingt-trois ans, apparition d'ulcères à la
partie
antérieure des jambes, ulcères qui ont persisté
. La raison finit par l'emporter et M. Ball prit posses- sion d'une
partie
des deux bâtiments nouveaux qui venaient d'être
ard), 1889; - De 1882 à 1889, AI. Ball a ' Ce travail a été fait en
partie
avec des observations recueillies par nous, à l
médico-légale y sont bien approfondis. L'ouvrage est divisé en cinq
parties
. La pre- mière traite de l'instinct sexuel en t
cientifiques auxquelles ce sujet aurait pu le mener. La troisième
partie
, la plus étendue, décrit et développe les diver
égénérés. C'est le côté social psychologique et, pour tout dire, la
partie
clinique. La quatrième partie aborde le problèm
sychologique et, pour tout dire, la partie clinique. La quatrième
partie
aborde le problème des origines profondes et lo
t lointaines de l'aberration. C'est le côté purement spéculatif, la
partie
anthropologique. L'inversion sexuelle ne représen
nce. Les invertis sont des malades et non des vicieux. La cinquième
partie
enfin traite la question au point de vue mé- di
ointures en caoutchouc, par l'usage de seaux placés dans toutes les
parties
des bâtiments, de grenades à main et d'extincte
erveau ne sont pas réunis dans une même perception personnelle, une
partie
reste indépendante sous forme de sensation ou d
ous à ce propos, passer en revue toute la pathologie mentale et une
partie
importante de la patho- logie physique pour mon
, M... se rend acquéreur d'une petite propriété qu'il ne paie qu'en
partie
, mais avec l'espoir de se libérer bientôt, esco
- couru de rides, les lèvres pincées, les sillons naso-géniens en
partie
effacés, on croirait voir un masque où serait pei
a même position que précédemment, mais les mains repo- sent sur les
parties
latérales du tronc ou bien sont appliquées l'une
ême côté, il accuse de l'endolorissement qui est très prononcé à la
partie
postéro-latérale du cou et au membre supérieur. I
les au point de vue de la sédation ou du sommeil. Dans la majeure
partie
des cas, la dose minima de 5 à 6 décimilligrarnme
entes. Allant plus loin, le Dr Schaw admet que l'enlèvement d'une
partie
du liquide ne doit être suivi que d'une expansion
les progrès de cette terrible maladie soient arrêtés en tout ou en
partie
. Dans les trois cas de trépanation, dont un per
pour remonter à l'origine primitive des symptômes : cette deuxième
partie
de son travail surtout renferme des vues très i
du corps calleux, et qui n'épar* gnait qu'une faible portion de la
partie
postérieure de la couche optique droite. Ce qu'
° le corpus callosum est une commissure composée de fibres dont une
partie
a pour centre l'hémisphère gauche et l'autre l'hé
es et 6 cartes.) Voilà déjà bientôt trois ans qu'a paru la première
partie
de cet ouvrage considérable d'un savant suédois
our être compris d'un plus grand cercle de lecteurs. Cette première
partie
a été l'objet d'éloges unanimes et mérités de l
centre et aux trajets visuels. Disons tout de suite de la deuxième
partie
, parue l'été dernier, qu'elle continue dignemen
in, dans l'observation que nous avons eu-à louer dans la première
partie
. Parmi ces cas, il en est d'un intérêt tout parti
ord dans le nerf optique même; il montre ainsi, par exemple, que la
partie
non croisée des fibres ne forme pas un fais- ce
e croyait géné- ralement jusqu'ici, mais qu'elle se partage dans la
partie
anté- rieure, orbitale, en deux faisceaux à peu
le centre de la perception lumineuse ne peut pas se trouver dans la
partie
ventrale du lobe temporal, ni sur la surface la
négatifs, l'auteur ramène successivement le lieu de ce centre à la
partie
médiane du lobe occipital, et finit par le plac
avait déjà démontré par des cas précédents que la première de ces
parties
ne joue aucun rôle dans les troubles visuels; la
probabilité déterminer plus spécialement le rôle des diffé- rentes
parties
de la fissure calcarine pour la perception de la
.BIBLIOGRAPHIE. ¡ culD;iJ'e doivent être localisées plutôt dans les
parties
antérieures et celles pour le champ visuel péri
s antérieures et celles pour le champ visuel périphérique dans les'
parties
posté- rieures et de telle façon que la lèvre s
telle façon que la lèvre supérieure de la fissure, c'est- à-dire la
partie
inférieure du coin, correspondrait à la moitié su
é su- périeure de la rétine et la lèvre inférieure, c'est-à-dire la
partie
supérieure du lobulus lingualis, à la moitié su
du fait que les cellules des trajets croisés et des non croisés des
parties
homologues de chaque rétine ne sont pas séparés,
e des bords de la scissure calcarine, si intéressantes que sont ces
parties
de l'ouvrage, nous ne pouvons nous y arrêter et
dre ce bel ouvrage d'un accès agréable et facile. . La troisième'
partie
que l'auteur nous promet sera sans doute aussi
d'uue bonne canalisation, débouches d'incendie et de - dresser une
partie
du personnel à l'exercice des pompes. \ Incen
de la cha- leur -sur les -, par Gortinsky, 117; altération de la
partie
cen- trale d'un -, après lésion de la partie
17; altération de la partie cen- trale d'un -, après lésion de la
partie
phéiiphérique, par Dark- chevitch, 129. Mort
ans lesquels la présence des corps gra- nuleux dans les différentes
parties
du trajet intra-céré- bral du faisceau pyramida
en grand nombre. Ces plis existent aussi au niveau du menton. La
partie
antéro-externe du cou, au niveau des fibres du
as notablement diminuée de volume, mais elle est très pointue, la
partie
antérieure étant beaucoup moins volumineuse que l
ertures. Légère eschare au talon droit, et sur chaque jambe, à la
partie
postérieure du mollet, eschare de l'étendue d'une
un franc; sur les fesses, eschares plus étendues, siégeant vers la
partie
inférieure du sacrum, à peu de distance du sillon
étale ascendante droite au niveau du lobule paracentral. : Dans une
partie
seulement de la coupe existent les corps granul
leux ; les grandes cellules pyramidales se comportent comme dans la
partie
correspondante de la fron- tale ascendante et s
es siègaient un peu en arrière d'une ligne, partageant par moité la
partie
de la capsule in- terne comprise entre l'angle
tteté, pour ainsi dire du premier coup d'oeil. Ils sont situés à la
partie
moyenne de la face an- térieure du pédoncule, d
téro-postérieure partageant cette moitié de la protubérance en deux
parties
égales. Moelle. Les racines antérieures des 4
e ; dans la région de substance blanche qui s'étend au-devant de la
partie
antérieure de la corne anté- rieure, la scléros
ongements ont même Archives, t. X. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. en
partie
disparu, elles se colorent d'une façon très inten
cornes antérieures ont beaucoup diminué de nombre,, surtout dans la
partie
supérieure de cette région. Les colonnes de Cla
territoire généralement assigné à ces cordons, surtout vers leur
partie
antérieure. Mais ces coupes n'ont été pratiquées
nir. La tête et le tronc sont très penchés en avant. La plus grande
partie
de la plante du pied pose sur le sol; mais, lors-
diminution du nombre des grandes cellules pyramidales. Les autres
parties
des circonvolutions pariétale et frontale ascen
s laquelle siège cette lésion, elle se trouve un peu en avant de la
partie
moyenne du tiers postérieur de la capsule inter
s'étendant en avant d'une façon bien marquée jusqu'au niveau de la
partie
antérieure de la corne antérieure. Quant à la p
E AMYOTROPHIQUE. 27 Türck; on en trouve quelques-uns encore dans la
partie
du cordon antéro-latéral située en avant de la
aux cérébelleux. Dans les cordons postérieurs, et notamment dans la
partie
sclérosée des faisceaux de Goll, nous n'avons j
-ci. Sclérose des faisceaux pyramidaux et un peu aussi des autres
parties
du faisceau antéro-latéral. Sclérose assez nett
postérieure située dans le cordon de Goll, et aboutissant par sa
partie
antérieure à la commissure grise, au niveau de la
di dans tous ses diamètres; de plus, on en trouve dans les autres
parties
du faisceau latéral jusqu'à une ligne frontale pa
viennent beaucoup plus nombreux, ils sont surtout abondants dans la
partie
du faisceau antérieur située près de la périphé
ck. Dans toute l'étendue des faisceaux antéro-latéraux et dans la
partie
antérieure de la substance grise, les corps granu
rement patholo- giques. L'examen des coupes du nerf sciatique, à sa
partie
supérieure, permet de conclure, suivant toute a
de fibres nerveuses. La langue est, comme nous l'avons dit dans la
partie
cli- 30 PATHOLOGIE NERVEUSE. nique, atrophiée
tie cli- 30 PATHOLOGIE NERVEUSE. nique, atrophiée surtout dans sa
partie
antérieure; au micros- cope, diminution considé
le court fléchisseur des orteils droits, la striation a en ' grande
partie
disparu : granulations graisseuses, augmentation
oration jau- nâtre produite par le bichromate sur les différentes
parties
de la coupe fait admirablement ressortir les co
econnaître le lieu où siègent les corps granuleux par rapport aux
parties
voisines et l'on saura ainsi où les chercher da
ation, tandis qu'ils étaient t.rès rares ou manquaient dans l'autre
partie
; on peut donc dans une même circonvolution, le
ation. L'au- topsie fut faite par le professeur Marchand. Dans sa
partie
supérieure, la moelle fut trouvée aplatie ; sur
ssure longitudinale se trouvait un filet de tissu normal séparé des
parties
voisines par du tissu conjonctif. Beaucoup de c
te, et une élévation de température de ce membre. Non seulement les
parties
animées par le nerf sciatique recouvrent leur s
l'élongation de ce nerf, mais le même phénomène s'observe dans les
parties
non animées par le sciatique et est qualifié pa
biiité motrice seulement après un kilogramme. Stintzing2, dans la
partie
expérimentale de son excellente monographie, pr
s du sciatique, une atrophie générale de la moitié opérée, tant des
parties
blanches que de la substance grise. La portion
et intramédullaire. Il en résulte un traumatisme considérable de la
partie
correspon- dante de la moelle, et cette sorte d
l'aspect des faisceaux postérieurs, qui se transforment dans une
partie
de leur étendue en un tissu cicatriciel, etc. L
ès la trac- tion, les ampoules de myéline disparaissent en grande
partie
; la myéline devenue granulo-graisseuse tend à s
on trouvait quelques tubes lésés. Après de violentes tractions, les
parties
voisines 1 Erlicky. Altérations de la moelle ép
t les coupes transversales passant par le cordon postérieur et la
partie
intra-médullaire des racines postérieures de la
tatons de graves modifications dans la corne pos- térieure, dans la
partie
intramédullaire des racines postérieures et dan
u côté opéré est accompagné le* plus souvent d'une atrophie de la
partie
intramédullaire des racines postérieures. Nous
ement à celle du côté sain; 7° Un amoindrissement de volume dans la
partie
intramédullaire des racines postérieures; les b
dans toute la région lombaire et en 60 PATHOLOGIE EXPERIMENTALE.
partie
dans la région sacrée. A mesure qu'on remonte v
à l'atrophie de la corne postérieure ; à l'amoin- drissement de la
partie
intramédullaire des racines postérieures et enf
du cordon postérieurs du côté opéré; en un amoin- drissement de la
partie
intramédullaire des racines postérieures ; en d
aumatisme enduré par un nerf, une forte traction ne fera-t-elle pas
partie
du même traumatisme, exercé seulement à un moin
me, est une sclérose des faisceaux de Burdach, c'est-à-dire d'une
partie
intégrante du cordon postérieur, qui se trouve
ssu conjonctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande
partie
du faisceau de Burdach. Le cordon postérieur dr
ique droit avec une force de 4'kilos. Amoindrissement notable de la
partie
intra-médul- laire des racines postérieures et
s tous à la fois en jeu pour fonctionner et que, ordinairement, une
partie
seulement paraît y suffire. L'histo- logie path
de Zuelzer est fausse, ainsi que nous le disions plus haut, dans sa
partie
essentielle, elle a cependant quelque chose de vr
nérale. C'est à la même cause évidemment qu'il faut rattacher, en
partie
du moins, la diminution dans l'élimination de l'a
cette dimi- nution de celle de l'azote, nous l'avons rattachée, en
partie
du moins, au ralentissement de la nutrition gén
étroit pour qu'elle ne concoure pas à ces échanges. Evidemment une
partie
des phosphates alcalins trouvés en moins dans l
froid modéré (ablation de la couver- ture, compresse d'eau) sur une
partie
limitée de la peau, provoque de l'hyperthermie
ieure qui ont les premières des fibres à myéline. Elles entrent, en
partie
, dans le noyau rouge et dans le corps de Luys.
- cendant presque tout entière l'étage supérieur de celui-ci; une
partie
de cette anse parait cependant remonter en dedans
lors dans la vacuole un réseau fin, irrégulier, et parfois même des
parties
constitutives des éléments disparus (débris du
indraxes en question, principalement dans la région dorsale et à la
partie
inférieure du renflement cervical; on la trouva
t être simplement traités, en conduisant l'électricité à travers la
partie
la plus inférieure de la moelle cervicale; mais
moins actif. Une longue admi- nistration des trois sels associés à
parties
égales entraine fré- quemment des stases veineu
érieurs (de la région cervicale à la région lombaire) ; ce sont les
parties
externes des cordons posté- rieurs, parallèles
ession a pour effet, soit de déterminer l'attaque convulsive ou une
partie
des phénomènes spasmodiques de J'attaque, soit
ophylaxie de la folie, ensuite sa Symptomatologie qui comprend deux
parties
: celle de la folie proprement dite, et celle d
x prétendues facultés pro phétiques des somnambules. Cette première
partie
se termine par quelques considérations sur le s
e la folie ; ainsi que nous l'avons déjà fait entre- voir, c'est la
partie
la plus importante de l'ouvrage. Maudsley y étu
quelle est l'importance des questions qui sont traitées dans cette
partie
de l'ouvrage, il nous est malheureusement impos
rapie der inneren K7,aizkheiten' ? par Adolf Struempell. T. Il, 1'"
partie
, 2e édition. (Leipzig, in-8°, 1885. F.-C.-W. Vo
ion. (Leipzig, in-8°, 1885. F.-C.-W. Vogel, éditeur). La première
partie
du second volume du traité de pathologie intern
12,580 marks (15, 725 francs) pour frais de crépi, etc. Une grande
partie
de ces ressources a été employée à améliorer l'
s importantes. Le quartier des pensionnaires, qui occupe une grande
partie
, la plus belle partie du magnifique édifice, et
tier des pensionnaires, qui occupe une grande partie, la plus belle
partie
du magnifique édifice, et qui revendique une cert
préoccupé à Saint-Péters- bourg les hommes de science ainsi que la
partie
du public qui s'intéresse aux questions scienti
nus ne sont pas sans intérêt pour la psychologie physiologique. Une
partie
de mes expériences a été faite sur une femme-mé
. Par conséquent, il s'agit ici de reconnaître le tout au moyen des
parties
, comme, par exemple, on devine le nom de Pierre
gués expliquent beaucoup. Il est évi- dent que le lecteur, dans une
partie
de ces expériences se laisse guider par le mouv
oitié du chiffre, c'est-à-dire de la ligne courbe qui en forme la
partie
inférieure, j'y arrive par un simple syllo- gis
« t - t ' ; ' f '' ' < ' l'existence de corps granuleux dans une
partie
de la moelle située bien en avant du territoire
n lui assigne généralement ; mais, chose plus importante, dans la
partie
antérieure des cordons antéro-latérâux, la disp
ervicale, nous avons constaté qu'ils existaient dans la plus grande
partie
des faisceaux antéro-latéraux sauf à la région
gestion permanente produite par l'inflammation prolongée des autres
parties
de la moelle qu'il faudrait rechercher la cause
é de résorption de celui-ci. On pourrait donc expliquer ainsi, en
partie
du moins, l'inégalité du nombre des corps granu
erait à telle ou telle hauteur' 1 et n'atteindrait que peu à peu sa
partie
inférieure; de telle sorte qu'une même fibre ne
lbe; or ces faisceaux secondaires conservent pendant la plus grande
partie
, sinon pendant la totalité de leur trajet, une
dante suivant que la lésion primitive siégeait sur telle ou telle
partie
du faisceau pyramidal au niveau des circonvolut
aracentral. Abondants corps granuleux dans li substance blanche. La
partie
située tout à fait à gauche ne contient pas de
Il mange à peu près seul, ne sait pas s'habiller et ne gâte pas.
Parties
génitales développées; pas d'onanisme. ° ? ° R.
jambes et les cuisses l'une contre l'autre en plaçant les mains aux
parties
génitales. De ces trois frères, l'aîné seul par
trois sur le bras gauche; de ce côté, cicatrice de vésicatoire à la
partie
moyenne et externe du bras. La sensibilité gé
se dessinent bien ; les poils sont assez nombreux au menton et à la
partie
supérieure et externe des joues. - Les poils so
ge mesure 9 cent. 5 de longueur et 5 de circonférence; le glaud, en
partie
découvert, est découvrable, le méat normal, les
l'extrémité infé- rieure du deltoïde droit, deux à gauche ; sur la
partie
médiane et extrême du bras de ce côté cicatrice
ent. De même pour Bonneval; il conservait la mémoire de la dernière
partie
du séjour qu'il fit dans cet asile, mais il ign
le augmente l'agitation, à hautes doses, elle intoxique. La seconde
partie
contient une série d'observations suivies d'ana
? ]"0'\ ? )<n'/i ? .....1111"1',1 ? ] t, rubrique de troisième,
partie
, coter le résume des causes de la ,Wi · , tlmr
l l'a arrêté peu de temps. L'idée, dit-il, est bofirié, èllé à exil
partie
reçu une satisfaisante exécution ; mais tout co
eillance-plus-ou-moins vexatoires, en 1 l 1 ..Il .1 1 ? 1,' \ - .
partie
même impraticables contre les asiles d'aliénés, i
aucune anomalie d'ailleurs dans la région dé l'insula, ni dans les
parties
environnantes. M. STAM. J'ai examiné beaucoup d
à traiter sont incontestablement ceux qui par intervalles, sont en
partie
complètement calmes, normaux et rangés, tandis
ut épileptique,à toute' occasion,- elle fait donc incontestablement
partie
de la caractéristique'de ces malades. - ' ' 1 ,
;, 6°, tout mariage doit. être considéré i comme nul quand une, des
parties
contractantes était, à l'époque de la célébrati
joints était alién6"zL l'époque où ce mariage a été'conclu. L'autre
partie
est autorisée'à Pl;op'oscr'lïô\ ! alidatioI1si
? . d., . 1\\ .II; ! ? 'i' JI' t J rait pu suivre la dégénérescence
partie
du.lobe , occipital pour, ra,l, P, 'SIV.r ? 1 .
anisme. A proprement parler, il faudrait diviser ce travail en deux
parties
: la première présente les résultats de recherc
nthal ont constaté à la suite de l'excitation du bout central de la
partie
cervicale du pneumogastrique. C'est en effet to
sième ventricule », occupe, la surface d'un millimètre carré sur la
partie
intérieure de la couche optique, un peu au-dess
i les nerfs optiques sont coupés, ou si on a laissé une trop grande
partie
des corps striés, ou enfin si l'hémor- rhagie c
ent une fonction de l'autre, alors l'aholition de la fonction de la
partie
extirpée met en évidence celle delà partie cons
ion de la fonction de la partie extirpée met en évidence celle delà
partie
conservée. Comme section pareille, qui imprime
isation cérébrale. Nous ne saurions pas suivre les détails de celte
partie
du travail,qui, faiteavec un soin extrême, prés
de correction, présentait à cette époque le plus triste aspect. La
partie
réservée aux aliénés comprenait une série de lo
t aux familles. Très bien situé, accoté à des monts boisés dont une
partie
appartient à l'établissement et a été transform
on, bâti sur l'emplacement de l'Exposition universelle de 1851. Une
partie
du montant de la souscription pour cette statue
colonne vertébrale ne présentant pas de douleur à la pression. A la
partie
supérieure des deux poumons, la respiration bro
changement, mais la malade se plaint de dou- leurs sourdes dans les
parties
inférieures de la colonne dorsale, et de douleu
le épinière à l'état frais, on remarqua une nuance grisâtre dans la
partie
postérieure des cordons latéraux de la partie i
ance grisâtre dans la partie postérieure des cordons latéraux de la
partie
inférieure de la moelle. De la description ci
sclérose dans la sphère des fais- ceaux de Goll, surtout dans leur
partie
postérieure. Dans la partie inférieure de la po
ais- ceaux de Goll, surtout dans leur partie postérieure. Dans la
partie
inférieure de la portion en question la sclérose
ement que dans les cordons postérieurs la sclérose atteint plus les
parties
anté rieures, mais non encore la substance gris
uième paires cervicales se voit le même tableau, seulement dans les
parties
inférieures la sclérose des cordons postérieurs
sales, on remarque la même départition de la sclérose comme dans la
partie
inférieure de la portion cervicale, mais elle e
ont encore moins atteints. On remarque surtout la sclérose dans les
parties
postérieures de cordons latéraux, où elle attei
lle atteint la substance grise. La localisa- Fig. 7. -Coupe dans la
partie
supérieure de la portion dorsale de la moelle é
t du bord externe des cordons antérieurs. Fig. S. - Coupe dans la
partie
inférieure de la portion dorsale.- Sclérose des
rs restent sans changement. Dans les cordons antérieurs et dans les
parties
antérieures des cordons latéraux la proliférati
c'est sur- tout a remarquer dans les cordons antérieurs et dans les
parties
antérieures des cordons latéraux; dans les part
eurs et dans les parties antérieures des cordons latéraux; dans les
parties
postérieures on la remarque avec la même intens
, on remarque des traces d'augmen- tation de la graisse. Dans les
parties
inférieures, les mêmes changements sont exprimé
là on y rencontre des cellules-araignées bien développées. Dans les
parties
inférieures de la moelle, les changements décri
uve une masse d'exsudats plas- matiques qui pénètrent loin dans les
parties
voisines de la substance grise. Dans la régio
à les symptômes paraissent être plus évidents, spécialement dans la
partie
de la moelle où dans la substance blanche le pr
rale. La moelle, examinée à l'oeil nu, fut trouvée ramollie dans la
partie
inférieure. A l'examen microscopique de la moel
urcie, dans la portion cer- vicale, on remarqua la sclérose dans la
partie
posté- rieure des cordons latéraux où la dégéné
ne fit pas attention au foyer de ramollissemeut existant dans les
parties
inférieures de la moelle, ce qui ne permit d'ex
ar la lutte qui s'établit chez le monomane in- v cendiaire entre la
partie
saine et la partie morbide de son intellect. Ch
tablit chez le monomane in- v cendiaire entre la partie saine et la
partie
morbide de son intellect. Chacun sait que ces i
une, allument des incendies à des intervalles rapprochés, font tous
partie
d'un même groupe. C'est là son tort, car l'an
ible, mais non certaine. - Deux incendie* allumés par vengeance, en
partie
non fondée; deux pour avoir des occasions de bo
de Berger, établissaient que sa haine contre le no- taire était en
partie
fondée. Après avoir reçu une instruction primai
commence à s'éteindre; c'est principale- ment sur le ventre et à la
partie
postérieure des cuisses, à la région lombaire q
l'érythème chro- nique des fesses et des cuisses dû au gâtisme; la
partie
inférieure du sacrum est très saillante. Plus d
tuméfiée; le pilier antérieur, rouge et luisant, présente vers sa
partie
moyenne une petite élévation de deux millimètres
nd, ni voleur. Il n'est plus onaniste. 11 connaît les diffé- rentes
parties
du corps, sait nommer les mouvements, les couleur
; il est agité, bruyant, agressif. Plus tard il se croit amputé des
parties
génitales et, dans cette conviction, il urine dan
et l'on constate habituelle- ment, disséminés dans les différentes
parties
de l'axe cérébro- spinal, de petits foyers limi
ccupant les circonvolutions motrices du côté droit et englobant une
partie
du faisceau pyramidal d'où les dégénérescences
l; par C. ENGELSKJON. (Arch. f. Psych., XV, 2.) C'est la première
partie
du travail dont nous avons déjà con- signé in e
Chez ces prédisposés, ces stigmates se retrouvent dans toutes les
parties
du corps, dans la démarche, dans les organes géni
ïdiennes donnant lieu à des colobomas qui laissaient apparentes des
parties
plus ou moins étendues de la sclérotique; on vo
r son souvenir au-delà de sa présence à Rochefort et de la dernière
partie
de son séjour à'Bicêtre. Tou- tefois, il a cons
our à'Bicêtre. Tou- tefois, il a conservé la mémoire de la deuxième
partie
de sou séjour à Bonneval, alors qu'il tiavailla
avec contracture ou extension. L'anesthésie est étendue à toute la
partie
inférieure du corps jusqu'à l'ombilic. Toute la
e à toute la partie inférieure du corps jusqu'à l'ombilic. Toute la
partie
supérieure jouit de la sensibilité et du mouvem
int-Urbain où il était, dit-il, paralysé, couché. Toute la première
partie
de sa vie, de sa naissance, à l'accident de la
Obtenu par le bain électrique ou l'application de l'aimant sur la
partie
antérieure de la tête. Débarrassé de toute para
t est apparue la paraplégie avec contracture et insensibilité des
parties
inférieures du corps. De la même manière peuvent
nces de Hansen à Amsterdam et Copenhague. M. HECKER a assisté à une
partie
des expériences de Heidenheim ; évidemment l'hy
oportions toutes particulièrement fréquentes à exagérer. La majeure
partie
de ceux qu'a observés M. Freusberg sont des ind
diverses sociétés savantes de l'Allemagne'. Il se compose de trois
parties
principales. Dans la première, l'auteur soutien
bservationsd'autres psychoses permettent la comparaison. La seconde
partie
intitulée Dégé- nérescence scléreuse de la lisi
ale. En exécution de ce vaste plan, l'auteur consacre la première
partie
de sa thèse à l'énumération et à l'interprétation
li déjà sur cette solide base, M. Bérillon expose, dans la deuxième
partie
de son travail, les résultats qu'il a obtenus au
ssu conjonctif dans tout le faisceau de Goll et dans la plus grande
partie
du faisceau de Burdach. Le cordon postérieur dr
ique dioit avec une force de 4 kilos. Amoindrissement notable de la
partie
lntra-médul- laire des racines postérieures et
aracentral. Abondants corps granuleux dans la substance blanche. La
partie
située tout à fait à gauche ne contient pas de
it rapidement sous l'influence du traitement spécifique. La majeure
partie
de ces observations appartiennent à des individus
les à celles de MM. Le Noir et Be- zançon. En effet au niveau de la
partie
supérieure du bras, la circonférencequi était a
ètres à droite et de 19 cent. 5 à gauche. Les dimensions des autres
parties
du bras sont restées sensiblement les mêmes. Le
que MM. Le Noir et Bezançon ont trouvé normal représentait, pour la
partie
moyenne, une circon- férence, à droite de 19 ce
nées classiques, que la localisation de l'hémichorée répond à cette
partie
centrale de la subs- tance blanche qui avoisine
ent une congestion partielle au- rait porté en même temps sur celle
partie
limitée du cerveau, sur les nerfs moteurs de l'
imitée du cerveau, sur les nerfs moteurs de l'oeil et sur certaines
parties
de l'écorce. A côté de l'hémicliorée hystérique
répètent tous les jours plusieurs fois depuis un mois. Le (1) Cette
partie
de notre thèse était déjà toute prête pour l'impr
attaques convulsives et pouvant précéder la paralysie complète des
parties
primitivement atteintes de contracture. L'hys
int dans les paralysies hystériques non seulement la peau, mais les
parties
profondes, elle se manifeste également pour tous
hys- térie, soit une vive émotion ou un traumatisme portant sur une
partie
éloi- (1) Voir aussi un cas rapporté par Soitza
n avant et en haut avec les pédoncules cérébraux qui émergent de sa
partie
supérieure, en bas et en arrière avec le bulbe ra
rices de l'appareil de la vision, puisque c'est dans les diver- ses
parties
de l'encéphale que prennent leur origine apparent
ntéresse les nerfs optiques ou les nerfs moteurs de l'oeil dans une
partie
quelconque de leur trajet ou de leurs origines.
es nerfs qui constituent le plexus brachial proviennent au moins en
partie
de cette méninge. J'en attendais avant ma premièr
rfs vaso-moteurs de l'articulation coxo-fémorale qui émergent de la
partie
inférieure du grand sympathique n'étant nulle par
n'est alors qu'un bord du tampon qui touche la peau au-dessus de la
partie
médiane du sternum. Je pose l'autre rhéophore p
de la portion vaginale de l'uté- rus. La coloration rouge de cette
partie
pâlit tout d'un coup au moment du passage du co
tion du plexus aortique est utile dans la sciatique, si ce sont les
parties
supé- rieures des membres pelviens et notamment
si le rhéophore s'est déplacé ou s'il tou- che le cou d'une grande
partie
de sa surface, la faradisation du pneumo- gastr
muscle ; le rhéophore est dirigé vers la carotide et la plus grande
partie
de sa surface est libre. Si je fais agir le secon
dans les bois, autour du pays, comme un animal sauvage, une grande
partie
de la jour- née et tout le monde le fuyait. Mai
ait fait une plaie peu profonde mais assez étendue en longueur à la
partie
interne de la région antérieure de l'avant-bras
vives dont se plaignait le malade, douleurs qui siégeaient dans la
partie
antérieure de l'avant-bras et dans le poignet.
de l'index ; cette dernière phlyctène est ulcérée, le derme est en
partie
détruit à son niveau. En outre on constate touj
suppuration. Au contraire il tend à l'ulcération, à la gangrène des
parties
superficielles, à la nécrose des os et peut abo
a résection, suivie de la suture des deux bouts, en suppri- mant la
partie
atteinte de névrite cicatricielle. II Ceux d'
des téguments suivant l'axe de l'avant-bras, et libération de leur
partie
profonde qui adhère au niveau de la cicatrice, on
pique de dégénérescence. Une bride de tissu cicatriciel rattache la
partie
malade du nerf aux cou- ches profondes. Evidemm
nte : Le fragment enlevé, long de 2 centimètres présentait, vers sa
partie
mé- diane un renflement très net ; après l'avoi
osition enchevêtrée et irrégulière. Le renflement qui existait a la
partie
moyenne du fragment excisé était causé par cett
DE LA SALPÊTRIÈRE. lages sont érodés. Les mouvements actifs sont en
partie
possibles, mais limités du côté de la flexion p
io-tarsienne droite présente un gonflement avec dé- formation de la
partie
inférieure du tibia, sans craquements, ni hydar-
de MM. Ladreit de La Carrière 2), Zambaco (3) ont traité surtout la
partie
clinique de la question. Depuis cette époque, l
température est fortement diminuée sur les membres inférieurs et la
partie
inférieure du tronc. Les membres supérieurs s
ires étaient étendues à toute la hauteur de l'axe spinal, depuis la
partie
inférieure du renflement lombaire, jusqu'aux enve
e a légèrement augmenté d'é- paisseur. Ceci se voit surtout sur les
parties
latérales ; quelques cellules rondes disséminée
embryonnaires. Dans tout le cordon latéral, et spécialement dans sa
partie
postérieure, le tissu névroglique est plus déve
à la périphérie de la moelle, va en diminuant d'importance vers les
parties
centrales, de telle façon que les cloisons se p
du corps cellulaire. Un autre détail attire l'attention dans cette
partie
de la moelle ; c'est la présence de taches irrégu
s celles-ci s'éteignent graduellement pour cesser complètement à la
partie
inférieure du renflement brachial d'une part et v
a den- sité normale : il semble seulement que ce tissu ait perdu en
partie
son affinité pour les substances colorantes, au
hy- Fia. 4. Coupe transversale de la région dorsale supérieure. Une
partie
de la cir- conférence postérieure de la moelle
s, à mesure que l'on s'éloigne de la région dorsale. Jusque dans la
partie
moyenne du renflement cervical, on retrouve quelq
îiie lymphatique remplie d'éléments embryonnaires, surtout dans les
parties
périphériques ; leur paroi a subi un épaississeme
r les lésions motrices de l'appareil de la vision dans les diverses
parties
de l'en- céphale (base du crâne, pédoncules, no
ie est toujours la même qu'au premier et au second examen. DEUXIÈME
PARTIE
HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES
ons disséminées de l'encéphale peu- vent en intéresser les diverses
parties
et donner lieu aux mêmes symptô- mes pour chacu
es parties et donner lieu aux mêmes symptô- mes pour chacune de ces
parties
envisagée séparément. Mais là se bornent les re
, on est frappé de la rougeur des petites lèvres, de l'humidité des
parties
, qui sont très congestionnées, rouges et violacée
i appartenir. . La scène que nous venons de décrire n'occupe que la
partie
supérieure du tableau, dont les deux tiers infé
rieurs, les organes génitaux, les avant-bras, les mains et quelques
parties
du crâne et de la face. Examen bactériologique né
ins et aux pieds. Nous ferons d'a- bord un examen rapide des autres
parties
du corps, réservant pour la fin la description
, cicatrice rougeatre et ovalaire ; l'ongle est épais, bosselé à sa
partie
médiane, longitudinalement strié, hyppocratique.
ieur droit. Contact, chaleur, température sont conser- vés dans les
parties
supérieures du bras ; au-dessous d'une ligne obli
stérieure de la cuisse, et sur deux petits espaces situés l'un à la
partie
supéro-interne de la jambe, l'autre en arrière,
able, surtout au niveau du front et des tempes, moins grande sur la
partie
antérieure du maxillaire supé- rieur, moins gra
ie antérieure du maxillaire supé- rieur, moins grande encore sur la
partie
externe de la joue, la lèvre infé- rieure et le
reuves démonstratives. D'autre part, la constatation sur une grande
partie
de la surface du corps de dissociations sensiti
picro-carmin de Ranvier et coupé après inclusion à la paraffine, en
partie
coupé sans coloration préalable et traité sur lam
tablement sclérosées aussi bien dans ces points que dans les autres
parties
constitutives du nerf. Le tissu conjonctif inte
inutieusement, fournissait le schéma ci-dessous (fig. il, ils»; les
parties
anesthésiques étaient entourées de zones d'alté
e est restée normale, et ils font au contraire défaut sur certaines
parties
de l'aire des taches. Celles-ci se sont dévelop
de médecine de Bordeaux. NOTE SUR UN CAS D'I11'PERTRICE10SE DE LA
PARTIE
INFÉRIEURE DU CORPS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE L'hyper
ÉRIEURE DU CORPS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE L'hypertrichose localisée a ta
partie
inférieure du corps et aux membres inférieurs s
e la miction, ni de la défécation. Tandis que sur les membres et la
partie
supérieure du tronc il n'existe que quelques poil
n. La limite de cette hypertrichose est surtout intéressante sur la
partie
posté- rieure du corps : les poils s'arrêtent s
e n'a pu rendre qu'incomplètement la différence de coloration de la
partie
supérieure de la partie inférieure du corps qui e
plètement la différence de coloration de la partie supérieure de la
partie
inférieure du corps qui est tout il fait frap-
les jambes (pl. 1). Pour se tenir en équilibre le malade reporte la
partie
supérieure du corps en arrière. L'équilibre est d
oges artificielles au sein du tissu fondamental si délicat de cette
partie
de la moelle. Cet exsudat se serait arrêté aux
ère plus résistante; il aurait cependant pénétré légèrement dans la
partie
profonde des tordons latéraux, mais en diffusan
t initial. Limitées aux cordons latéraux, et plus spécialement à la
partie
postérieure de ces cordons, elles se sont présent
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. a dû retentir tout spécialement sur celte
partie
si riche en vaisseaux et si fine de structure d
des veines mé- ningées ; altérations secondaires dans la moelle, en
partie
par propagation des lésions méningées, en parti
dans la moelle, en partie par propagation des lésions méningées, en
partie
consécutivement à la gêne de la circulation. Ma
-mère, et s'avançant en forme de coin dans la moelle détruisait une
partie
du cordon antérieur et la corne antérieure corr
67 double dégénération pyramidale très nette, s'étendant jusqu'à la
partie
inférieure du renflement lombaire. Cette derniè
points où elle se trouve écartée de la sur- face de la moelle, une
partie
du tissu médullaire est restée adhérente à la fac
faut une recherche attentive pour en re- connaître les différentes
parties
. Les cornes antérieures et postérieures du côté
, on peut voir que les lésions les plus avancées correspondent à la
partie
périphérique d'une part (sous-ménin- gée) et à
. La destruction des éléments nerveux est complète, surtout dans la
partie
cen- trale des cordons postérieurs. Il ne persi
montrent seulement à la périphé- rie du territoire malade, dans les
parties
où la sclérose est moins avaucée, c'est-à-dire
ordons postérieurs, au voisinage de la commissure grise. Dans cette
partie
, on voit encore quelques tubes nerveux en voie
ique est apparente, distendue par des élé- ment cellulaires. A la
partie
inférieure du foyer malade, au voisinage de la
il l'oeil nu les dimensions d'une tête d'épingle paraît jig. z Une
partie
périphéri- que du petit foyer gommeux qui occ
ne il l'ensemble du tissu une coloration d'un brun sale. Dans cette
partie
centrale, il existe une perte de substance sur
r d'un vaisseau. Il n'existe plus un seul tube nerveux dans cette
partie
. Dans toutes les racines d'ailleurs, les parois
au volumineux en entier : les globules sanguins y sont déformés, en
partie
détruits. Le périnèvre est très épaissi en ce poi
nt à l'oeil et - couvre non seulement la sclérotique mais encore la
partie
inférieure de la cornée; le lac lacrymal se pré
'un golfe visible- ment détaché de l'ouverture des paupières par sa
partie
inférieure qui z prend une direction horizontal
s venons de dé- crire changent : la paupière se relève en masse, la
partie
inférieure du lac lacrymal se déplace et par su
PnYSIONOMIQUES DE LA DÉMENCE APATHIQUE 181 pupille et en couvre la
partie
supérieure (1). L'observation est encore rendue
ron- taux au contraire le sont beaucoup plus. Il est évident qu'une
partie
du système musculaire savoir : les muscles de l
ux et privé de son caractère mi- mique déterminé. La figure 4 et en
partie
la figure 5 nous fournissent des exemples de ce
me, dans la couche sous-cutanée. Tous ces changements produisent en
partie
cet embonpoint étrange, si connu des cliniciens e
iatrie 1888, p. ti3. 188 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
partie
inférieure du nerf facial constituent les indices
expliquer les parésies mi- miques autrement qu'en les rapportant en
partie
au moins à l'écorce cé- rébrale. Enfin, pour
n portrait remarquable du Juif-Errant (3). Celui-ci ne forme qu'une
partie
de la planche dans laquelle on voit trois autre
ée en ce point. La lésion va eu s'atténuant sur les olives. Sur les
parties
latérales du bulbe, les enveloppes sont seulement
comprenant les cordons postérieurs, les cor- nes postérieures et la
partie
la plus reculée des cordons latéraux. Cette dégé-
e. - Envahissement par propagation des cordons postérieurs et de la
partie
la plus reculée des cordons latéraux. (Moelle cer
de la moelle (cornes antérieures, cordons antéro-latéraw, sauf leur
partie
postérieure), on ne constate pas de lésions appré
ans la région dégénérée. Les méninges sont un peu épaissies sur les
parties
antéro-latérales de la moelle; mais pas d'une f
dien et protubérance. Sur les coupes transversales qui passent à la
partie
tout il fait supérieure de l'entrecroisement de
L'épendyme est épaissi, semble friable. En un point répondant à la
partie
gauche du bec du calamus (coupes passant par la
pondant à la partie gauche du bec du calamus (coupes passant par la
partie
inférieure des olives), il existe une infiltrat
xactement semblables il celles qui infiltrent le périnèvre. Dans la
partie
centrale au con- traire, bien que les travées i
vaient pour siège non seulement les membres supérieurs, mais aussi la
partie
supérieure du thorax. La malade ne peut spéci
s de la région cervicale est douloureuse. Il en est de même sur les
parties
latérales des vertèbres cervicales : mais c'est
embres inférieurs. Mais il y a une hyperes- thésie manifeste sur la
partie
inférieure du tronc et sur les deux cuisses. Cett
ns, mais n'offrant pas le caractère fulgurant, dans le dos, dans la
partie
interne des cuisses, les jambes, les pieds, sans
ut entier. J'ai aussitôt accepté presque heureux de payer ainsi une
partie
de la dette de reconnaissance que j'avais contrac
ue la fortune lui devint clémente, décoré sur ses propres plans, en
partie
par lui-même c'étaient là ses loisirs passe-t-il
pied). Le froid est perçu comme douleur et non comme froid daus ces
parties
, et même a la cuisse gauche. A droite au contra
érieux : il eut du délire nuit et jour, il perdit con- naissance en
partie
. Toute cette période n'a laissé dans son esprit q
eurs, cicatrice d'ecthyma à fond brunâtre, à bords plissés ? - à la
partie
interne du genou gauche, un placard allongé, oval
uvert de croûtes. En outre, dans la région inguinale gauche et à la
partie
postérieure du scapulum du même côté, deux cicatr
douloureuse. Un mois après, il eut une roséole intense sur toute la
partie
supérieure du corps ; puis des pla- ques muqueu
ient pas dans la variété précé- dente. Les membres inférieurs^ la
partie
inférieure du tronc parfois, sont le siège d'un
ment complète sous tous ses modes dans les membres inférieurs et la
partie
inférieure du tronc (Déje- rine). Cependant il
, l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, l'Angleterre etc. (1) Une
partie
de cette observation nous a été communiquée par n
sensation pénible dépression autour de la tête et prédominant ;i la
partie
postérieure, un peu au-dessus de la région occi
second est commerçant. La dernière, mourut de la poitrine. (1) Une
partie
de cette observation nous a été obligeamment comm
eorges Guinon, ancien chef de clinique à la Salpêtrière. La seconde
partie
(1893) nous est personnelle. 288 NOUVELLE ICONO
nt les trois pieds appuyaient au-delà des fragments mobiles sur les
parties
solides du crâne. L'ouvrage de Cruce, en dehors
é par l'Encyclopédie (1765), trépanant, après incision cruciale des
parties
molles, en manchettes de dentelle, le petit doigt
roduit une -11 ém i con li-tctui-e,g;i Licli e. 2. L'excitation des
parties
correspondantes- du corps (par exemple la Nouve
ustiques suit aussi la projection fonctionnelle ; c'est-à-dire que la
partie
, du corps, qui se trouve la plus proche du diap
hons du plan médian. En opérant pour la rétine droite en toutes ses
parties
avec le campimètre de la manière précédemment d
mpimètre de la manière précédemment détaillée, nous voyons qu'en la
partie
péri- phérique de la rétine il y a des séries d
ux lieux séparés, dont l'irritation produit une hémicontracture. La
partie
la plus périphérique nasale de la rétine droite
re. La partie la plus périphérique nasale de la rétine droite et la
partie
la plus périphérique temporale de la rétine gauch
e de l'oeil droit jusqu'à la périphé- rie de la rétine ; une faible
partie
dépasse la moitié nasale de la rétine, mais occ
tine de l'oeil droit jusqu'à la périphérie de la réline; une faible
partie
dépasse la moitié temporale de la rétine où elle
exes, car ces contractures mêmes apparaissent avec l'excitation des
parties
de la rétine qui ne fonctionnent pas, même à l'
ut que nous distinguions - com- me le fil le premier M. llogyes les
parties
de la réline qui produisent Fig. 48. MORPHOLO
ÉFLEXES INTR.1U1'PNOTIQUES 3 : H seulement des réflexes, des autres
parties
dont l'excitation éveille une sen- sation de la
avons vu, que nous obtenons justement les contractures réflexes des
parties
les plus périphériques de la rétine qui ne peuv
ant seulement des mouvements réflexes. Mêmes conclusions pour les
parties
homologues de la rétine de l'oeil gauche. (A
e chantonne pendant l'espace d'une demi-heure. 18 Elle se mord à la
partie
inférieure de l'avant- bras. Il se produit une
nc, ia sebe s grobou ostrtnon ». Elle chante pendant la plus grande
partie
du jour. Ses chansons ont un caractère érotique.
particulière. - 1 ? février. Apparition d'un abcès purulent dans la
partie
moyenne de l'avant-bras gauche, du côté cubital
dans les diverses formes de maladies mentales et se rap- portent en
partie
aux troubles trophiques, en partie aux troubles v
s mentales et se rap- portent en partie aux troubles trophiques, en
partie
aux troubles vaso- moteurs. En passant en revue
un avec les ecchymoses d'origine traumatique, leur teinte était ré-
partie
également sur toute la surface qu'elles occupaien
ses garde-robes. Les symptômes hystériques décrits dans la première
partie
de l'observation persistent pour la plupart.
s (Heimathlos : sans patrie). Cette assertion de M. Schoebel est en
partie
, confirmée par nos obser- vations. Poussant p
, et délivraient les médicaments. Les chirur- giens pratiquaient la
partie
manuelle de la prescription. » 362 NOUVELLE ICO
gastrique (suite et fin), par Katicheff, 49. Ilypertrichose de la
partie
inférieure du corps chez un épileptique, par Fé
ALCAN ÉDITEUR 08, Boulevard Saint-Germain, 108. 1898 PREMIÈRE
PARTIE
. Histoire du Service pendant l'année 1897. (B
être et Fondation Vallée.; Bourneville, Bicêtre, 1897. * PREMIÈRE
PARTIE
Section I : Bicêtre. Histoire du service pend
avec fruit, on leur fait chan- ter des choeurs à deux, puis à trois
parties
. . En maintes circonstances, tous les samedis o
, un citron, une orange, des cerises. Ce tableau se compose de deux
parties
identiquement semblables, une pour l'élève, l'a
onsignées dans les Compte-rendus antérieurs, nous avons obtenu en
partie
satisfaction. Le 10 avril 1897, par arrêté de M
s : a) les enfants valides qui sont envoyées à l'école durant une
partie
de la journée. Bien qu'une classe ait été affec
alement destiné aux enfants idiotes gâteuses, valides et même à une
partie
des gâteuses invalides. Voici en quoi consiste
stant devrait être affectée aux enfants gâteuses invalides et à une
partie
des enfants galeuses valides en 1'ai- son de la
iment. La première tra- vée servirait de passage au centre, et, les
parties
latérales, de cabinets de débarras ; la deuxièm
mée en porte. Ces deux services seront complètement séparés de la
partie
centrale affectée au service du chauffage. Ce p
aissent toutes leurs notes et chantent dans les choeurs la première
partie
avec les garçons; toutes ces jeunes filles ont
ie. lui l'installation de la Fondation n'ayant pu fonctionner une
partie
de l'année, nous avons dû nous servir aec bains
à la Fondation Vallée. Le sous-sol du bâtiment neuf pourra être en
partie
utilisé dans ce but, ainsi que nous l'avons dit
d'ailleurs un peu par- tout dans le plan, sont, pour la plus grande
partie
, placés à l'entrée, le long de la route, et con
symétrie complète entre des bâtiments qui seront construits sur la
partie
haute et plane du ter- rain, et ceux qui seront
artie haute et plane du ter- rain, et ceux qui seront élevés sur la
partie
déclive. Ces derniers ne pourraient être consti
de la clinique et du pensionnat. Il conserve, et avec raison, une
partie
des bâtiments et des arbres de la propriété dite
la Clinique, etc. ; en un mot, il subsiste dans cette variante une
partie
des inconvénients signalés dans le projet dével
Les préaux sont d'ailleurs, en général, beaucoup trop petits et, en
partie
, mal cir- conscrits. Nous pourrions relever d
'étu- de, nous pensons que la concentration des bâtiments dans la
partie
antérieure du terrain, laissant pour la culture
dans la partie antérieure du terrain, laissant pour la culture la
partie
déclive du domaine, est une disposition judi- c
age à retour- ner la composition en portant gauche la plus grande
partie
de ce qui est il droite, et réciproquement. Voici
iales. Le remplacement des murs par des grillages incurvés à leur
partie
supérieure et défendus par une haie d'ar- buste
a fabrication du mobilier le même soin que dans l'exé- cution de la
partie
architecturale proprement dite ; qu'il évitera
t assez petite ; les lèvres sontpeu volumineuses. - Les différentes
parties
de la bouche n'ont rien de particu- lier. Le go
r les joues ; poitrine glabre. Quelques poils fins, disséminés à la
partie
inférieure du pénil. Verge, 7 sur 7. Pas de cha
nsion d'un petit oeuf de pigeon. Poils châtains peu nombreux sur la
partie
inférieure du pénil, plus nombreux au périnée e
a été supprimé, ce qui est regretta- ble, il parait avoir perdu une
partie
de son modeste bagage scolaire. cette époque,
chaux ne serait-il pas un double médicament dont chacune des deux
parties
aurait son efficacité et son action particulièr
e. État actuel, Tête arrondie, assez grande ; aplatissement de la
partie
médiane de l'occipital, avec saillie latérale : a
diane de l'occipital, avec saillie latérale : apla- tissement de la
partie
moyenne et postérieure des pariétaux. Le front
rcades den- taires assez régulieres, la supérieure est aplatie à sa
partie
moyenne, dents non crénelées. - Voûte palatine
ntre les cir- convolutions frontales ; légères anomalies ( ? ) à la
partie
anté- rieure du lobe frontal. Rien à noter sur
ement développée à la région postérieure; léger aplatissement de la
partie
supérieure de l'occipital. Le front est assez h
s congestionnée, les vaisseaux sont gorgés de sang. Les différentes
parties
de la base (artères, nerfs, chiasma, etc.) n'of
- Cet enfant a la tète assez dévelop- pée, avec prédominance de la
partie
postérieure. Voici les résultats de quelques me
ement vascularisée ; pas de taches ccchymotiques. Les différentes
parties
de la base de l'encéphale (artères, nerfs, chiasm
s fermées, - cependant il y a une légère dépression au niveau de la
partie
droite de la grande fontanelle. - Cheveux châta
s, à lobule adhé- rent. Ouïe bonne. Cou court, circonférence à la
partie
moyenne : 23. 5. Pas 45 Description DE la malad
diamètre antéro-postérieur, sternum projeté en avant, surtout à la
partie
inférieure, nodosités chondro-costales; rachis
l gauche, qui a une coloration grise sur son bord interne et à sa
partie
moyenne; la moitié gauche de la protubérance est
urtout l'absence, en de nombreux points, de l'écorce grise et d'une
partie
de la subs- tance blanche, perte de substance q
points particulièrement lésés sont le bord supérieur de la F', les
parties
postérieure et moyenne de la F2, la partie moye
supérieur de la F', les parties postérieure et moyenne de la F2, la
partie
moyenne de la 1 ? et le tiers supérieur de la f
e méningo-encéphalite sur toute la temporale supérieure et sur la
partie
postérieure des T2 et T3. Le lobule de l'insula
phalite. - La cir- convolution du corps calleux est altérée dans sa
partie
moyenne. - Le ventricule latéral est normal ain
férieure sont normales avec lésions de méningo-encéphalite sur la
partie
moyenne du lobe lemporo-occipilal. Le pli de pass
NGO-ENCÉPHALITE. 53 coupe, on constate, dans la base seulement, une
partie
plus dure que le reste, ayant un aspect brunâtr
s. La cachexie progresse. Eschares de chaque côté du sacrum et à la
partie
postérieure de la cuisse droite. Un peu de rigi
t, et a les dimensions d'un petit haricot aplati. - Les différentes
parties
de la base du crans paraissent symétri- ques. -
ouve une large plaque jaune, occupant le lobe temporal droit et les
parties
voisines de la lèvre supé- rieure de la scissur
constate aussi une dépression profonde, en forme d'encoche, sur la
partie
corres- pondante du côté gauche, enfin une atro
uivant le bord supérieur des hé- misphères, on constate que vers la
partie
moyenne celui de l'hémisphère gauche se dévie e
remière frontale il la deuxième et la deuxième à la troisième et la
partie
moyenne de la deuxième frontale. Sur une surface
ge au fond de l'eau. - Poumon droit : tout le lobe inférieur et les
parties
posté- rieures des lobes moyen et supérieur son
ur- billon porté à droite; pas d'épis; les cheveux recouvrent une
partie
du front et de la région temporale. Crâne symétri
- cis. - Ne ? droit, bouche petite, lèvre supérieure épaisse à sa
partie
médiane, la lèvre inférieure jusqu'aux commissure
eur au bord supérieur de l'hémisphère, inter- rompue seulement à sa
partie
moyenne par l'excavation que nous avons décrite
lèvres et en mettant l'hémisphère devant le jour, qu'il existe à la
partie
supérieure de notre enfonce- ment un trou ovala
r plusieurs plis de passage dont le plus important se détache de la
partie
moyenne de son bord inférieur, coupant en deux
ale. Cette dernière prend naissance par- une racine très mince à la
partie
antéro-inférieure de l'ex- cavation pour former
deux sillons qui se continuent avec les sillons pariétaux. De la
partie
inférieure de l'excavation, parlent également P
8 Porencéphalie vraie et PSEUDO-PORENCIPHALIE,; toujours situé à la
partie
la plus déclive de l'entonnoir porencéphalique.
n'est point limitée au fais- ceau pypamidal croisé. Dans les autres
parties
des cordons blancs, postérieurs et antéro-iatér
ation, à l'état frais, a trop profondément modifié les rapports des
parties
, pour nous permettre une étude rigoureuse et co
cette bordure conjonctive périphérique, se présente la plus grosse
partie
du tissu pathologique. On voit des travées cons
le premier, la circonvolution est prise uniquement au niveau de ses
parties
les plus superficielles. - Dans le second, l'al
ques vaisseaux épaissis. De même, les méninges molles, surtout à la
partie
posté- rieure, présentent un développement anor
érences. La plèvre droite est le siège d'adhé- rences dans toute la
partie
postérieure, à la base et à la partie inférieur
d'adhé- rences dans toute la partie postérieure, à la base et à la
partie
inférieure de la face antérieure du poumon. Pas
AUX. la droite et la suture sagittale est déviée à droite dans sa
partie
antérieure. - Les sutures sont presque rectiligne
t lamelles sinueuses, assez écartées. Il ne reste d'intact que la
partie
postérieure de la première frontale (fui), le pie
ales (Tl, T2, T3) sont passablement développées. Face interne. - La
partie
antérieure du corps calleux £ (PL. X, CC) et la
nterne. - La partie antérieure du corps calleux £ (PL. X, CC) et la
partie
correspondante de la circonvolution du corps ca
et à l'hématoxyline selon le procédé Wei- gert-Pal, au niveau de la
partie
supérieure et de la partie moyenne de la protub
e procédé Wei- gert-Pal, au niveau de la partie supérieure et de la
partie
moyenne de la protubérance, du noyau du facial,
La dure-mère est très adhérente. Cerveau. - Hémisphère gauche. - La
partie
antérieure de la corne frontale est fort altéré
F2 sont parti- culièrement lésées, surtout à leur pied, et avec la
partie
voisine de FA forment un centre de ramollisseme
rment un centre de ramollissement. F3 est presqueindemne surtout sa
partie
postérieure.-La scissure de Sylvius bien accusé
de 2 cent. 5 à 3 cent., elle s'étend obliquement du pied de PA à la
partie
antérieure du lobe occipital. Nombreuses adhére
ure sagittale au niveau de l'emplacement de la fontanelle et sur la
partie
médiane du frontal. A la face externe, la sutur
A la face externe, la suture coronale est très contournée sauf à sa
partie
médiane où elle est en dents de souris, limitan
t accusées. Une gouttière large, il bords très mousses, existe à la
partie
moyen- ne du frontal. On note une dépression de
rences de la dure-mère. L'une des veines méningées répon- dant à la
partie
moyenne du bord supérieur de la frontale gauche
e occipital (PL. XIV, Or, O2, 0 ? et PC.) et du pli courbe dont une
partie
des circonvolutions, très grêles, paraissent at
a rareté des plis de passage : ? 2° l'incisure qui coupe FA en deux
parties
; 3° le pli de passage qui unit FA a l'A à leur
dales assez grosses. L'enfant est sujet aux amygdalites. Toutes ces
parties
semblent n'avoir qu'une sensibilité obtuse qui
sa sortie que nous accordons à regret, craignant qu'il ne perde en
partie
ce que nous avons si laborieusement obtenu. 1S
. Verge : longueur, 95 mm., circonférence, 90 mm. Le gland est en
partie
découvert. - Testicules de la grosseur d'un oeu
ES ET LEURS APPLICATIONS ^l'iS^fS ? 1 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE
PARTIE
Histoire du service pendant l'année 1897. Sec
pirique joue un rôle considérable. Ils sont venus à provoquer une
partie
des phénomènes qu'on a tant étudié chez nous de
éminent maître, la psychophysique, cette plus belle et plus exacte
partie
de la psycho- logie, n'a pas encore pris pied d
ès avantageusement la vivisection, en éliminant la fonction d'une
partie
ou de tout un organe dégénéré, et en mettant en
té différen- tielle est de 1/100 lorsqu'à un excitant la centième
partie
doit s'ajouter pour pouvoir être perçue en tant
qui dût s'ajouter pour devenir perceptible. Abordons maintenant la
partie
expérimentale de la psychophysique. Depuis l'ap
large et solide a été donnée à la psychophysique. C'est aussi la
partie
expérimentale de cette science que nous prendro
basée sur un ou plusieurs symptômes isolés embrassant également en
partie
l'ancienne épi- .- lepsie procursive. C'est à T
vement l'idée. Heureusement qu'après avoir franchi diagonalement la
partie
tournante du chemin quelques pouces du précipic
pro- tubérance cérébrale changée en une poche remplie de sang en
partie
coagulé et mêlé à quelques débris de substance ne
e par un tremblement choréique occupant plus spécialement certaines
parties
du corps. Pendant les jours qui ont précédé cet
Le quatrième jour de cette médication on posa dix sangsues sur les
parties
latérales du cou, dans le but de détruire une l
ent, les os de la voûte cranienne furent atteints de nécrose et une
partie
de la table externe fut éliminée par exfoliation.
souvenir de la force motrice » cau- sée par la lésion de certaines
parties
du cerveau. A la fin de ce même siècle, des phy
re, tandis que pour d'autres les sensations provenant de toutes les
parties
profondes des membres, apo- névroses, tendons,
de la pression, dans le cas où nous soulevons et résistons, soit en
partie
du moins, non une sensation dans le muscle, mai
sensations déter- minées par la pression externe ont leur siège en
partie
dans la peau et appartiennent alors au sens du
au sens du toucher proprement dit, ou à la sensation cutanée, et en
partie
dans la chair, auquel cas elles appartiennent a
usculaire est insuffi- sante, mais chacune contient, évidemment une
partie
de la vérité, et par conséquent les sensations
egré d'énergie centrifuge partant du centre volitionnel, bien qu'en
partie
aussi d'impressions cen- tripètes ordinaires. D
uelques cas, par 'exemple dans les amputations de l'avant-bras à la
partie
inférieure, les muscles moteurs des doigts subs
inférieure, les muscles moteurs des doigts subsistent en tout ou en
partie
et éprouvent des contractions réelles sous l'in
eurs déplacements. Autrement dit, la volonté de mouvoir certaines
parties
est accompagnée de conditions mentales qui représ
n'admettent que les notions de ce genre, relatives au mouvement des
parties
que nous voulons faire agir, nous sont fournies
illusion de mouvements d'extension et de flexion des doigts, et des
parties
dont le blessé avait perdu conscience depuis de
nir ni du cerveau ni de n'importe quelle autre source en dehors des
parties
mêmes qui sont en mouvement, ainsi que le prouv
it immédiatement qu'il y a eu un stimulus volontaire et vers quelle
partie
du corps il est dirigé; quant aux effets produits
ce et de poids sont en réalité composées d'impressions tactiles, en
partie
de sensations passives émanant de nos muscles e
rois facteurs différents, sensation de pression de la peau et des
parties
sous-cutanées, sensation de contraction des muscl
ent des renseignements qui lui arrivent tou- chant la situation des
parties
qui se meuvent et l'état des or- ganes contract
du de déterminer, en s'appuyant sur une base déjà exis- tante et en
partie
instinctive, comment agir et quelle force emplo
ndis que pendant la continuation des mouvements, il serait aussi en
partie
influencé par des sensations réelles, se réalis
e influencé par des sensations réelles, se réalisant dans les mêmes
parties
du cerveau, et lui disant comment il agit et qu
sations musculaires dont nous tirons nos intuitions motrices... Les
parties
qui agissent comme centres moteurs sont le sièg
e Ferrier. « Des contres moteurs, où qu'ils soient situés, sont des
parties
dont 1"activité parait être absolument libre de
e. C'est le chan- gement de condition du muscle ainsi excité et des
parties
contiguës, changement occasionné par le mouveme
peut regarder légitimement les opérations mentales comme étant en
partie
immédiatement dues à l'activité des centres mo-
es troubles observées au bras droit, rien d'anormal dans les autces
parties
du corps. Pas de douleur ovarienne, pas de doul
resque jusqu'à la colonne ver- tébrale ; en avant elle recouvre une
partie
de la clavicule et de l'ucromion. Elle s'étend
ne proviennent pas seulement du grand sympathique, mais en majeure
partie
du système cérébro-spinal, et qui sortent de la
ulement les racines postérieures et ayant amené un exsudat dans les
parties
voisines ou dans la gaine de ces racines. Dans
s M. Adam- kiewicz tenta d'agir d'une façon « catalytique * sur' la
partie
malade a l'aide du courant continu, en combinan
ales, les lobules pariétal supérieur et inférieur et la plus grande
partie
du lobe occipital. 1 M. Freud (Neui-ologisches
de Broca, dont l'intégrité était complète dans ce cas ainsi que les
parties
sous-jacentes du centre ovale. Jusqu'à présent
ent. A l'examen, je trouvai les diamètres du bassin normaux, et les
parties
molles, pour une pri- mipare de son âge, remarq
Féré). Ceci démontre. d'ailleurs que l'anatomie descriptive de ces
parties
n'a point moindre importance que leur anatomie
and nombre des membres du congrès sont de son avis, qu'une certaine
partie
d'ivrognes habitués, sont des malades et ont be
me appartenant à la grande névrose hystérique. » A la suite de la
partie
du volume consacrée aux démoniaques proprement
es aliénés gardés à domicile constitue, je l'ai montré au Sénat, la
partie
la plus importante de ce projet de loi; ainsi q
qu'on pourrait peut-être enfermer avec beaucoup plus de raison une
partie
de ceux qui l'auront volée, que ceux auxquels ell
au Sénat delà voter. Je m'arrête là puisqu'on peut v oter sur cette
partie
... M. B.1RDOU1. Expliquez le reste ! M. DELSO
ner par un tiers sous sa surveillance et sa responsabilité. » Cette
partie
de l'amendement disparait évidemment du moment
inclusivement.'» On procé- derait alors à un second vote sur cette
partie
de l'amendement. M. DELSOL. Maintenant, je dois
M. LE Président. Monsieur Delsol, il vaudrait mieux réserver cette
partie
de l'amendement. La question est déjà assez compl
ranquille la saisit. Mais, à l'inspiration comme à l'expiration, la
partie
de l'estomac et celle du bas- ventre qui est lé
dividus, il a été prouvé que la chaleur du corps, en desséchant les
parties
humides, avait toujours eu une action efficace,
atière pénétrante et séreuse, en redes- cendant de la tête dans les
parties
inférieures du corps, ne 172 VARIA. restituer
'hôpital, placé dans un vaste jardin potager. Il est divisé en deux
parties
par un couloir et l'escalier. A droite sont les
ois quarts d'heure, la sensibilité est revenue partout, sauf à la
partie
inférieure de l'a- vant-bras gauche et à la mai
de l'avant-bras. Elle dessine donc une sorte de manchette, dont la
partie
supérieure se termine par un sillon circulaire
discerner celle qui 'a été réellement efficiente. Cela explique en
partie
comment les opinions les plus di- verses et mêm
noncée des bronches. Congestion du poumon avec un peu d'oedème à la
partie
postérieure du lobe inférieur. -Poumon droit. A
la cavité droite du thorax; il est très congestionné sur- tout à sa
partie
postérieure. L'épanchement siégeait principa- l
partie postérieure. L'épanchement siégeait principa- lement dans la
partie
antérieure et médiane de la plèvre diaphragmati
4 CLINIQUE NERVEUSE. mant un léger relief; même hypertrophie sur la
partie
posté- rieure du lobe carré. Autres foyers ou
tale; sur la face convexe de la deuxième frontale à sa racine, à la
partie
la plus posté- rieure et la plus élevée de la s
'autre côté. On note des foyers d'induration avec hypertrophie à la
partie
antérieure de la face interne de la portion hor
on du corps calleux à la première frontale (face interne); - sur la
partie
inférieure et interne du coin (face convexe de
esque vides. Les os du crâne sont durs et épais ; les diffé- rentes
parties
de la calotte et de la base paraissent symétri-
deuxième à la troisième frontale; elle communique largement à sa
partie
postérieure avec la scissure frontale supérieure,
rconvolution frontale, bien conformée, large, est dédoublée dans sa
partie
médiocre. La deuxième circonvolution frontale,
mé- diane partant de sa pointe dans la scissure de Sylvius; cette
partie
médiane se trouve inférieurement située à un demi
ble, le lobe frontal parait normal et très bien déve- loppé dans sa
partie
postérieure, mais en avant, quoique très plissé
ntale ascendante une scissure parallèle frontale in- terrompue à sa
partie
médiane par deux plis d'insertion de la deuxièm
ion frontale possède un pied grêle ; son cap est subdivisé en trois
parties
par les deux rameaux anté- rieurs ascendants su
eurs ascendants supplémentaires de la scissure de Sylvius, mais ces
parties
réunies ne donnent pas un volume plus grand que
ormé; mais la scissure occipitale trans- verse n'existe que dans sa
partie
supérieure; en dessous de la scissure interpari
rieur à 3 millimètres environ de la scissure interp'ariétale ; à sa
partie
médiane une scissure transverse assez profonde la
t avec un sillon vertical profond médian du lobule paracentral à la
partie
inférieure de la scissure fronto-pariétale inte
ée, découpée par de nombreux sillons verticaux; elle envoie vers sa
partie
médiane un pli de passage à niveau à la circonv
bien développé. - Le lobule paracentral bien développé envoie à sa
partie
inféro-antérieure un pli de passage assez gros à
, irrégulier, assez si- nueux, envoieun prolongement très gros à la
partie
postérieure du pli pariétal supérieur. - Le lob
volumineux. Longueur de l'extrémité antérieure du lobe frontal à la
partie
moyenne de la face postérieure de la pa- riétal
la reliant à la deuxième circonvolution tempo- rale, sinueuse à sa
partie
confondue, à la troisième par de nombreux plis.
rière en avant. Le lobe quadrilatère, très long (7 centimètres à sa
partie
moyenne), est plissé et possède des sillons sup
s autres. Le sillon qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les
parties
postérieures du cerveau étaient relati- vement
interne. - La première circonvolution frontale, très volumineuse en
partie
dédoublée sur toute sa longueur par un sillon a
temporales, ainsi que la circonvolution de l'hippocampe, ont été en
partie
détruites par le défaut de surveillance des piè
e le 25 février de cette année-là. Après avoir brûlé la plus grande
partie
de ses livres de commerce, il prit la fuite en
ÉS SAVANTES. allant, comme une gouttière, du sommet de la tête à la
partie
an- térieure. Depuis cette époque aussi il ress
que ces deux disques coupés dans le même sens, représentent la même
partie
de la même circonvolution. L'un des disques est
nche des faisceaux latéraux et la corne antérieure de la moelle. La
partie
intéressante de cette étude anatomo- pathologiq
es instants. Si, pendant l'atttaque de sommeil, on applique sur une
partie
du corps une pièce de métal, il se produit une
du corps une pièce de métal, il se produit une trépidation de cette
partie
, qui se généralise ensuite au corps entier. Ce mê
endant l'état de sommeil, si on applique une pièce de métal sur une
partie
du corps, sur le thorax, par exemple, il se produ
ogues : si on approche un aimant de Charcot à petite distance d'une
partie
du corps, il se produit dans cette partie une s
t à petite distance d'une partie du corps, il se produit dans cette
partie
une série de mouvements de transla- tion qui ab
ie de la restituer le lendemain ; pour faire exécuter cette seconde
partie
de l'ordre, il fallut la lui rappeler à plusieurs
ndes attaques hystéro-épileptiques. Elle repro- duit évidemment une
partie
de l'attaque de la Salpê- trière. Mais quelle p
évidemment une partie de l'attaque de la Salpê- trière. Mais quelle
partie
de cette attaque classique reproduit-elle ? R
anière, pendant une conversation analogue, vous comprimez une autre
partie
du bras; elle ne s'en- dort pas.Nous concluons
s dans son ensemble, paraît sous un angle visuel plus grand que ses
parties
prises séparément (lesquelles constituent juste
et est généralement perçu; sous un angle visuel plus faible que ses
parties
prises séparé- ment et qui déterminent sa forme
est accomplie, lorsque l'angle visuel, sous lequel apparaissent les
parties
isolées, atteint une grandeur, qui suffit aux e
e la re- DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 361 combinaison des
parties
isolées en un tout, est une fonction purement p
ris dans son ensemble est naturellement plus élevé que celui de ses
parties
prises isolément, comme il ressort de ce qui a
inière; la substance blanche en était nor- male à l'exception de la
partie
la plus inférieure; plus haut, la cavité avec l
s thermiques et d'anal- gésie observées sur l'épaule droite, sur la
partie
supé- rieure du tronc du même côté, avec lésion
ée par la perte du sens de la douleur et de la température, dans la
partie
supérieure gauche du corps et dans l'extrémité
e ce que les auteurs en igno- raient les symptômes primaires, et en
partie
de ce que le caractère de ces derniers n'était
de la même mit- zzière, à droite elle occupe seulement le cou et la
partie
supérieure du thorax . G. Mihaïloff, paysan d
pigmentées à la suite de l'eczéma artificiel qu'il avait eu. A la
partie
inférieure de l'abdomen sur un espace grand comme
géré dans les muscles du mollet droit; il ne peut être produit la
partie
antérieure de la jambe. Les réflexes tactiles de
. 1/2, circonférence 91/2. Pigmentation assez pronon- cée. Gland en
partie
découvert, découvrable; méat normal. Le testicu
: verre, il n'y a plus de grands mouvements comme dans la .première
partie
de l'acte, mais seulement de petites oscillatio
rge : circonférence 8 c. et demi ; longueur, 7 c. et demi. Gland en
partie
découvert, découvrable ; méat normal. Pas d'onani
ton nez ? » Il répond : « Là. » Il désigne parfaitement toutes les
parties
do son corps. Il est aisé de voir que ce n'est
prononcés; la bouche s'ouvre largement, les paupières se ferment en
partie
et la patte d'oie se creuse, mais un peu moins qu
. L'examen microscopique montra que sur la plupart des points des
parties
atrophiées, les fibres musculaires avaient perdu
n conservant une forme parfaitement symé- trique à travers toute la
partie
cervicale; passé cette partie, elle commence à
ement symé- trique à travers toute la partie cervicale; passé cette
partie
, elle commence à diminuer, de même que l'atroph
e des cornes anté- rieures ; mais ce n'est qu'au commencement de la
partie
lombaire que la moelle épinière présente une se
a moelle épinière n'est évidemment dilatée dans sa totalité qu'à sa
partie
cervicale. La paroi du canal central di- laté s
muscu- laire ; 2° les nerfs aboutissent plus particulièrement à la
partie
interne de la capsule; 3° la hranche fournie pa
ce qu'exerce le cer- veau antérieur sur le développement des autres
parties
du système nerveux central; par Alexandra STEIN
e qu'il y ait dans l'espèce plutôt agénésie que dégénérescence. Les
parties
de la moelle les plus atteintes sont celles qui
trousseaux de fibres en rapport immédiat avec le cerveau, mais une
partie
des fibres y a persisté ; ce sont celles qui de
nèse de ces fibres est donc sous la dépendance directe de certaines
parties
du cerveau ; 2° dans la région des pyramides, d
trente secondes. Excitation de la région motrice. - 1° Celle de la
partie
toute postérieure du gyrus sigmoïde (en arrière
stérieur des première et deuxième circonvolutions primitives, de la
partie
médiane de la zone antérieure du gyrus sigmoïde
près avoir diminué augmente quand on excite différents points de la
partie
ex- terne ou moyenne du segment antérieur du gy
ence ; quelquefois cependant la pres- sion baisse. L'excitation des
parties
moyennes de l'ltémispltèl'e (lobe pariétal) en
ait le bout périphérique du pneumogastrique). 2° L'excitation de la
partie
posté- rieure de la couronne rayonnante exagère
nté un piézomètre qu'il décrit, et à l'aide duquel (nous passons la
partie
technique) il a mesuré la compressibilité du ce
(corps genouillés et tuber- cules quadrijumeaux) au voisinage de la
partie
postérieure de la couche optique. Comme, dans l
son origine dans la zone motrice de la surface du cerveau, gagne la
partie
posté- rieure du genou de la. capsule interne,
agne la partie posté- rieure du genou de la. capsule interne, forme
partie
constitu- tive du pédoncule, traverse les fibre
e. L'entre-croisement s'effectue de trois manieres : la plus grande
partie
des fibres des pyramides gagne le cordon latéral
quelques rongeurs); -chez les cochons d'Inde et les rats une grande
partie
des fibres des pyra- mides gagne le cordon post
le professeur Charcot), mais fréquemment la douleur s'atténue à la
partie
antérieure de cette zone, et la sen- sation se
ient, en effet, près de cent pages de plus que ses aines. Dans la
partie
spécialement administrative, nous constatons un
res permettent la désinfection immé- diate du linge sale. Dans la
partie
clinique, signalons un très remarquable travail d
ou 14, étaient alors au nombre de 24 et contenaient une très grande
partie
des aliénés internés. Mais, malgré cette circon
éfets ; elle leur attribua « la surveillance générale de toutes les
parties
du service, les appela à donner leur avis sur l
lérer cette négligence ». On voit combien défectueuse était cette
partie
du service pour les aliénés internés dans les a
re du conseil. Messieurs, je n'ai pas à examiner en ce moment cette
partie
du projet de loi, cette grande « innovation » f
bornerai à faire remarquer sur cet amendement que, dans une de ses
parties
essentielles, il ne doit pas trouver sa vraie p
endement, je n'ai pas à m'occuper davantage en ce mo- ment de cette
partie
de l'amendement. Le reste du même amendement, q
porter nos modifications. Mais comme la commission a abandonné la
partie
la plus importante de son oeuvre et qu'elle s'est
c le but de mon amende- ment : créer deux agents, l'un chargé de la
partie
médicale : le médecin inspecteur; l'autre, char
ction. Il ne voit non plus aucune objection à faire à la pre- mière
partie
de l'amendement proposé par l'honorable M. Combes
posé par l'honorable M. Combes et plusieurs de ses collègues. Cette
partie
, vous le savez, se réfère à la création, au che
ans les maisons privées. Il ne fait de réserves que sur la dernière
partie
, celle qui com- prend les trois dernières ligne
able M. Combes, et de l'opposition de l'honorable M. Bardoux. Cette
partie
nous semble viser une question de procédure de pl
'instituer, il n'y aurait plus que deux agents : le médecin pour la
partie
médicale, et un administrateur provisoire pour la
in pour la partie médicale, et un administrateur provisoire pour la
partie
relative à la gestion des biens de l'aliéné. C'
s ce qui motive surtout ma présence à la tribune, c'est la dernière
partie
de l'article 12. M. Bardoux. Je ne me suis pas
ission de vouloir bien réserver pour ce moment la. discussion de la
partie
de l'article 12 sur laquelle je viens de présente
ue. Permettez-moi à ce sujet de vous rappeler que c'est en grande
partie
aux efforts de notre ami le Dr G. Rohinet, que no
ies of the spine and spinal cord, 1883. le - PATHOLOGIE NERVEUSE.
parties
molles extérieures, par les articulations des v
e suit le mouvement acquis dans le canal qu'elle ne remplit qu'en
partie
, et peut éprouver par ce fait une véritable com
sibilité à l'épingle est conservée aux membres supé- rieurs et à la
partie
supérieure du tronc jusqu'au niveau de l'ombili
la douleur des deux côtés. Sur le thorax, sensibilité normale à la
partie
supérieure, hyperesthésie à la partie inférieur
rax, sensibilité normale à la partie supérieure, hyperesthésie à la
partie
inférieure. A l'abdomen, hyperes- thésie cutané
t plus pro- noncée, les mouvements plus limités. La pression sur la
partie
inférieure de la crête épineuse est douloureuse
Les points où l'urinoir touche la face inférieure de la verge et la
partie
antérieure du scrotum présentent sept ou huit u
n sacrée continuent leur progrès et on constate la dénudation d'une
partie
du sacrum. 165° jour. La voix est complètemen
ures après la mort. L'exploration de la colonne vertébrale par sa
partie
anté- rieure, après ouverture des cavités, ne f
moelle est ferme, un peu congestionnée à la région cervicale. A la
partie
supérieure 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la régi
tres environ, est mise immédiatement dans l'alcool ordi- naire. Une
partie
de la moelle fut laissée dans l'alcool ; une au
aire. Une partie de la moelle fut laissée dans l'alcool ; une autre
partie
, composée de fragments pris dans les différentes
entent un état grenu particulier qui n'existe pas dans les autres
parties
de la substance blanche ; de place en place, au p
dant ne sont qu'incomplète- ment colorées en rose et présentent une
partie
jaune, granu- leuse. 2° Région dorsale. Sclér
s principales sont plus larges, moins délicates que dans les autres
parties
de la substance blanche ; la vascularisation y
avail de Bouteille, on avait bien voulu tenir compte de la dernière
partie
de cette ancienne définition, il est fort proba
ion que l'on trouvera 1 Bouteille. - Traité de la chorée, 1 SIS, 3e
partie
, p. 329. 1 Itard. Mémoire sur quelques fonction
rtants sur 2t. le CLINIQUE NERVEUSE. 013SLIRVITION' I. Première
partie
: Itard : Mémoire sur quelques fonctions involon-
voix. (Arch. gén. de médecine 4 S' ? , t. VIII, p. 403.) Deuxième
partie
inédite. (Charcol). 111m° de D..., actuellement
rême jeunesse et qui résistent aux révolutions de l'âge. Deuxième
partie
. M. le professeur Charcot a vu à plu- sieurs re
e et foutu cochon ». Observation II (Personnelle). (La première
partie
a été recueillie par M. Il. chef de cliniZue de
x ans. Ses accès variaient entre quinze et vingt par mois, dont une
partie
n'était que des vertiges, et les autres, en plus
ogiques et thérapeutiques sur le curare. Nous laisserons de côté la
partie
physiologique de leur travail pour ne nous occu
n envi- ron, à cause d'abcès superficiels collectionnés en diverses
parties
de son corps, et dont elle porte encore aujourd
'arrache le cou et les cheveux, se heurte indifféremment toutes les
parties
du corps contre les barreaux du lit, déchire pa
ant au côté, externe -du sein droit, elle retire sur-le-champ cette
partie
du corps ou exécute un mouvement de défense, ce
uantité d'acide phosphori- que était alors inférieure à celle de la
partie
correspondante du jour précédent. La polyurie a
ur du bras et de lajambeducôté droit et de la jambe gauche. Sur ces
parties
on note : intégrité delà sensibilité, exagération
encore faire intervenir l'adaptation naturelle de telles ou telles
parties
à tel ou tel mode d'excitation ; les unes sont
e, on est obligé d'augmenter la force d'un courant. la fonction des
parties
profondes entre en jeu. Ainsi, pour le front et
up plus vite impressionné, le périoste sous-jacent se mettant de la
partie
. Quant au caractère de la sensation, la piqûre
en réalité les portions saines, et qu'elles constituent la majeure
partie
de l'organe, tandis que la lésion réelle n'occu
n'occupe qu'un espace irès limilé. 11 y a hieu à la vérité dans les
parties
saines un certain degré d'hyperémie, mais cette
ces centres, les centres inférieurs, qui comprennent la plus grande
partie
de l'écorce cérébrale, sont mis en activité ; l
des termes dont la réserve confine à la timidité. Toute la première
partie
du travail est purement historique, et puisée aux
on opinion; voici les principaux points de cette dernière et courte
partie
de son travail : lorsqu'elle se réclame sans ce
rticale antérieur : motrice, mais aussi quand on l'applique sur les
parties
postérieures du cerveau, qui, d'après d'autres
'est-à-dire de la périphérie au centre, rompt le charme. Toutes les
parties
du corps sont passibles des mêmes résultais par
ement après l'opération, on constate que le patient a reconquis une
partie
de son sens musculaire et de sa sensibilité, ma
du corps calleux. La lésion des hémisphères portait surtout sur les
parties
sises entre les circonvolutions ascendantes et la
arac- tère irrésistible de par le fonctionnement à taux de diverses
parties
de l'organe. C'est ainsi qu'il peut se produira
l'existence d'une simple excitation réflexe par laquelle certaines
parties
sont mises en mouvement inégalement. M. S usine
générale peuvent, pendant la période embryonnaire, porter sur les
parties
constitutives, nerveuses ou non, de l'atl et du c
lque temps après l'ouverture du circuit et, parallèle- ment, sur la
partie
correspondante de l'autre moitié du corps, le t
x jours un verre d'eau de Ho gr. Le second cas concerne un jeûne en
partie
complet, en partie incomplet de vingt-huit jour
eau de Ho gr. Le second cas concerne un jeûne en partie complet, en
partie
incomplet de vingt-huit jours. On eut soin chaq
proportionnellement à la diminution des SOCIÉTÉS SAVANTES. 107 ï
parties
constitutives fixes de cotte humeur. Un jeûne abs
es courbes, pour atteindre promp- temrnt la normale; la plus grande
partie
du chlore ingéré constitue un aliment de luxe q
enouille décapitée un tonus réflexe, et pour les fléchisseurs de la
partie
postérieure des quatre e extrémités, etpour les
n qu'on pratique des coupes (transverses ou longitu- diuales); à la
partie
inférieure de cette région, sur une étendue en
és (troubles psychiques) avaient devant des enfants découvert leurs
parties
génitales; l'instruction fut suspendue pour le
la renverse, la prend sur ses genoux, lui enfonce un doigt dans les
parties
génitales tandis que les autres enfants s'enfuien
té relative des dépenses pour un assez long séjour se mettent de la
partie
. Les chambres, les salles, les cabinets de bain
t chroniques (Eberswalde, Sorau et le nouvel asile) desservira la
partie
de la province immédiatement adjacente. Eberswald
tales, dans lesquelles les sensations pathologiques constituent une
partie
fondamentale, comprend toutes les psy- choses d
ris la paralysie générale. Elles peuvent atteindre n'importe quelle
partie
du corps, s'y localiser ou s'étendre de façon à
n'a d autre prétention que d'appeler nouteaut'at- tention sur cette
partie
intéiessante de la séméiotique des mala- dies m
utes les fois que cela sera possible ». Voici cette observation, en
partie
traduite littéralement, en partie résumée. «
le ». Voici cette observation, en partie traduite littéralement, en
partie
résumée. « 11 s'agissait d'une dame de vingt-
ne ainsi la moelle allongée. Il la passe en revue sous deux chefs :
partie
fermée - partie ou- verte. 11 s'occupe, dans la
le allongée. Il la passe en revue sous deux chefs : partie fermée -
partie
ou- verte. 11 s'occupe, dans la partie fermée :
deux chefs : partie fermée - partie ou- verte. 11 s'occupe, dans la
partie
fermée : i° des coupes transverses à la hauteur
e par un aperçu résumant le trajet des fibres de cette par- tie. La
partie
ouverte comporte : 1° les coupes transverses à la
Comby a analysé, dans le Progrès médical de L8S3,p, 57, li seconde
partie
(le ces nouveaux fragments de clinique médicale.
885. 2 Cette observation ne se trouve pas indiquée dans la première
partie
de ce mémoire publiée en janvier 988s, époque à
881). Etal actuel (21 avril 1880). Tète : crâne petit, régulier, la
partie
postérieure est notablement plus développée; mé
la partie postérieure est notablement plus développée; méplat à la
partie
206 THÉRAPEUTIQUE. supérieure de l'occipital;
ez marqué des deux côtés, mais plus à gauche. L'intelligence est en
partie
conservée ; l'enfant connaît la date du jour, l
e : crâne petit, ne paraissant pas asymétrique ; pas de méplat à la
partie
supérieure de l'occipital, bosses pariétales pe
tanelle antérieure. Cicatrice oblique sur le pariétal droit vers la
partie
médiane, résultant, selon le malade, d'une chut
ile du palais symé- trique ; luette très longue, frôlant presque la
partie
postérieure de la langue; piliers normaux; amyg
sant de rapporter quelques nouvelles observations avec autopsie. La
partie
clinique de la première figure déjà dans notre
cerzlraleaz nerven systeii. (drch. f. ps;/cA., Bd. XV, H. 2. 2 La
partie
clinique est résumée d'après l'observation de AI.
hémisphère gauche avec un ancien foyer h6mnrrha- gique coupant la
partie
pos- térieure de la capsule in- terne. DES
i courbe ; Pa, pli courbe. Le ramollissement est représenté par les
parties
courbes où se rendent des artères exsangues. 22
e. La nommée Carpenlier cinquante-deux ans, admise salle Du- 1 La
partie
clinique de cette observation est résumée d'après
les quadrijumeaux. L'ouverture du troisième ventricule faite par la
partie
inférieure nous montre l'absence de commissure
u'une plaque jaune (fig. 6) superficielle comprenant la plus grande
partie
du coin et une petite étendue de la deuxième ci
e gauche, li, ramollissement ^superficiel portant sur le coin et la
partie
postérieure de la deuxième e circonvolution tem
lésions qui déter- minent des troubles delà vision, siègent dans la
partie
posté- rieure de l'hémisphère, et qu'en examina
t montré que les leces ne renferment que la septième ou la huitième
partie
de l'acide z éliminé. C'est à cette proportion
al, et Goi-til)-Bebtiie/, (loco citalo, t. 1, p. 114), la treizième
partie
.seulement. 1W Iclt·r et Seliiiiidt. Die t'ei't
les nôtres sur le même sujet. Nous diviserons ce qui suit on deux
parties
consacrées, l'une à la nutrition du système ner
aire que ce soit à ce retentissement qu'il faille attribuer tout ou
partie
des modi- fications survenues sous l'influence
le problème que soulève l'étude de ces rapports se compose de deux
parties
: 1° Constatation des modifications qui survienne
pas seu- lement dans la constitution du système nerveux, il fait
partie
intégrante de tous les tissus de l'économie '. Il
, celle de Zuelzer a quelque chose de vrai, elle est fausse dans sa
partie
essentielle, celle qui a trait à la possibilité
te un champ de passage qui n'est pas à né- gliger. II. La seconde
partie
de ce travail a trait à des observations anatom
sclérose avec atrophie de tout le cervelet, moins le vermis et les
parties
qui relient cet organe au reste de l'encé- phal
a évidemment tué le patient. Peut-être le bulbe s'est-il mis de la
partie
; cet organe n'a pas été examiné. P. K. REVUE DE
cations bibliographiques de tous ordres relatives à cette question (
parties
I, II, III, IV '). L'auteur veut prouver que le
ch- nddien et le. ventricule latéral gauche. Ce trou porte sur la
partie
moyenne des deux circonvolutions ascendantes ; il
avité. En un mot, le segment supérieur de la dépression comprend la
partie
inférieure de la frontale ascendante et un morc
morceau de la première frontale; son segment antérieur occupe la
partie
inférieure de la première frontale et la partie p
antérieur occupe la partie inférieure de la première frontale et la
partie
posté- rieure de la deuxième frontale; son segm
ure de la deuxième frontale; son segment inférieur se compose de la
partie
postérieure de la troisième frontale et des circo
circonvo- lutions de l'iusulu ; son segment postérieur embrasse la
partie
antérieure de la première temporale et la parti
érieur embrasse la partie antérieure de la première temporale et la
partie
inférieure de la pariétale ascendante avec l'op
fication et de considérations gé- nérales sur la question. Si cette
partie
du travail offre certains points discutables, l
des symptômes somatiques de la pédérastie active et passive. Cette
partie
de son travail ne pré- sente qu'un intérêt médi
de l'économie, mais ne se caractérise isolément dans aucune de ses
parties
; nous éliminerons aussi de la sénilité précoce
rs à une heure plus favorable, ils deviendront de cette manière une
partie
des devoirs qui vous sont imposés dans cet asil
exactement. Je vous l'ai dit l'année précédente, quelques-unes des
parties
qui vous sont enseignées peuvent vous paraître
s les notions les plus importantes; et les plus pratiques, de cette
partie
de la science, il a eu enfin la bonne idée de f
u ressenties de leur négligence à venir au cours, aussi, pour cette
partie
de renseignement, étaient-elles inférieures aux
celle des troubles moteurs, nous voyons l'anesthésie épargner la
partie
supérieure du tronc et les membres supérieurs,
hard, Dictionnaire. encyclopédique des sciences nzéd., t. Viii, lie
partie
. -Lidel. American Journal of the me- diculscien
r. 16 janvier. Eruption papuleuse très discrète sur la face et la
partie
antérieure du thorax. 9 février. Lef... est sor
même épaisseur partout, tandis que, du côté gauche, il existe des
parties
plus pu moins épaisses les unes que les autres. L
un pli long, sinueux, mais unique à la deuxième frontale. Dans une
partie
de sa longueur, ce pli double la circonvolution
, en bas, s'abouche avec la troisième circonvolution frontale. Delà
partie
moyenne de ce pli part la deuxièmecircomo- luti
rosse, mais moins que la frontale ascendante. A un centimètre de sa
partie
inférieure part un gros pli de passage qui l'un
nche transversale du sillon médian du pli pariétal supérieur; cette
partie
delà scissure interpariétale forme ainsi avec c
e, par sa branche bifurquée postérieure, le bord supérieur; l'autre
partie
de la scis- sure interpariétale est sinueuse, p
sente un sillon profond qui le divise presque entièrement en deux
parties
; il envoie un pli de passage au pli courbe et en
dédoublée dans ses deux tiers posté- rieurs ; elle s'insère par sa
partie
supérieure au niveau du bord interne sur la fro
e temporal dont les circonvolutions sont complètement détruites; la
partie
postérieure du lobe pariétal inférieur, la part
ent détruites; la partie postérieure du lobe pariétal inférieur, la
partie
la plus antérieure du lobe occipital, le pli co
, la partie la plus antérieure du lobe occipital, le pli courbe, la
partie
postérieure du lobule pariétal supé- rieur; 6)
haut, et qui coupe en quelque sorte l'hémis- phère cérébral en deux
parties
, l'une antérieure (lobe frontal et région parié
ion pariétale), l'autre postérieure répondant au lobe occipital. La
partie
antérieure du lobe pariétal est atrophiée, mais a
ourbe est très atrophié et réduit à l'état membraneux, ainsi que la
partie
postérieure du lobule pariétal supérieur. La pa
x, ainsi que la partie postérieure du lobule pariétal supérieur. La
partie
antérieure dece dernier lobule est atrophiée, m
, la circonvolution est réduite à une sorte de mince membrane. La
partie
antérieure du lobe quadrilatère est très atrophié
etrait de plusieurs millimètres par rapport au lobe paraccntral; sa
partie
postérieure, comme nous l'avons dit, étant plus
occipital est bien développé, sauf dans une petite por- tion de sa
partie
antéro-inférieure, qui est intéressée dans le foy
foyer qui les intéresse se confond avec la lésion qui a détruit la
partie
antérieure du corps calleux. Le lobe orhitaire
la hauteur du cerveau. Sur cette coupe on note que, sauf une petite
partie
du lobule pariétal supérieur, du reste atrophié
pariétal supérieur, du reste atrophiée elle-même, toutes les autres
parties
des circon- volutions sont détruites, et qu'à l
le lobe occipital et vers l'extrémité du kyste et montre encore une
partie
des circonvolu- tions remplacées par le tissu a
a moitié correspondante de la face étaient moins développés que les
parties
similaires du côté sain ; 2° que les injections
ie de la capsule interne, de l'avant- mur, etc., ce qui explique en
partie
les troubles de la sen- sibilité. Ce résumé j
e nutrition. Nous avons insisté sur cette erreur dans la première
partie
de ce travail,, et si nous la rappelons ici, c'es
phos- phorique ; 20 interprétation de ces modifications. Ces deux
parties
du problème nécessitent quelques considé- ratio
rdinaires de la vie. Et cependant nous avons vu, dans la pre- mière
partie
de ce travail, qu'en se plaçant dans certaines co
urines, nous sommes, par la force des choses, amené à attribuer, en
partie
tout au moins, à une suractivité de la nutritio
malade en état de suggestion une feuille de papier divisée en deux
parties
par une ligne, et qu'on lui donne sur une des m
nt l'en- semble est connu sous le nom de la Campine. Elle occupe la
partie
nord-est de la province en question et la parti
ne. Elle occupe la partie nord-est de la province en question et la
partie
nord-ouest de celle de Limbourg. C'est un terra
ion. Le taux du prix de pension est abandonné à la conciliation des
parties
intéressées (parents et hôtes). Les malades, ce
fhmiers d'aliénés. Somme toute, bonne impression. . Quant à cette
partie
de la colonie qui n'a que trente ans d'exis- te
ont plongés. Il n'est pas un seul aliéné qui ait refusé de faire sa
partie
dans ce concert, quand ce ne serait que de soig
ité. En un mot, manie périodique. Par conséquent, le malade est une
partie
de l'année absolument irresponsable de ses acte
ien dans les organes sensoriels droits. Intégrité de la plus grande
partie
du tronc et de toute l'extrémité inférieure droit
douleur dans les deux extrémités supérieures. Même phénomène sur la
partie
inférieure de la face à droite ; perte du sens
ral sur lequel on trouvait des ponts de communication profonds à la
partie
inférieure, tel le même organe d'un individu sa
in d'esprit chez lequel la même anomalie se remarquait en haut à la
partie
supérieure. Sur l'hémisphère droit d'un paralyt
n frontal supérieur; sur l'hémisphère droit d'une idiote, c'étaitla
partie
supérieure du sillon de Rolando qui s'ouvrait d
n des parois vasculaires, permettant le passage à travers elles des
parties
constitutives du sang. Delà l'idée d'ins- titue
icales); par A. Collineau. Cet important ouvrage est divisé en cinq
parties
: la première est consacrée à l'Histoire de la
de Neurologie, t. VIII, p. 273; IV, Y46. BIBLIOGRAPHIE. 439 Cette
partie
, une des plus importantes de l'ouvrage, est divis
figures aident à la clarté de cette description. Cette quatrième
partie
se termine par un exposé critique de trois grande
ns thérapeutiques de la gymnastique forment l'objet de la cinquième
partie
. En raison de la nature de ce recueil, nous nou
le quatrième de la série et comme les précédents est divisé en deux
parties
. La première est consacrée à l'histoire du serv
sivement constituée par des documents cliniques. Dans la première
partie
, M. Bourneville et ses collaborateurs donnent u
ystème d'assistance appliqué aux idiots et aux aliénés. La deuxième
partie
comprend d'abord une étude très complète du mér
s principales sont plus larges, moins délicates que dans les autres
parties
de la substance blanche ; la vascularisation y
tschrift für Psychiatrie, XLI. 4. ° Grundriss de,' Psychiatrie, lu«
partie
, Leipzig, in-8°, 1894; 2' partie, Leipzig, ici-
° Grundriss de,' Psychiatrie, lu« partie, Leipzig, in-8°, 1894; 2'
partie
, Leipzig, ici-81, 1896. ' 7 Société psychiatr
athologique. Plus tard, l'affaiblissement intellectuel se met de la
partie
, et avec lui apparaît la disso- ciation patholo
rente, s'associe au ré- seau de l'idéation dont elle fait désormais
partie
. Une idée fausse ordinaire, au contraire, dispa
plus rare à présent que l'aphasie et ses variétés se mettent de la
partie
; c'est tout au plus, si, à la phase d'acmé de 1'l
hez l'autre, mysticisme, prétention de comprendre et d'expliquer la
partie
symbolique de l'Ecriture Sainte, orgueil, exalt
tes sont paralysés. Il n'y a plus d'arrêt, de transformation, d'une
partie
des processus associés, mais au contraire libre
, cordonnier à Venise, dominé par des idées mystiques, se coupa les
parties
génitales et les jeta par la croisée. Il avait
un mouchoir blanc serré autour des flancs et des cuisses couvre les
parties
mutilées; le reste du corps est nu; il s'assied
cherchait opiniâ- trement à se mutiler. C'est ainsi qu'il s'est en
partie
arraché les testicules. A l'entrée il opposait
on fixe au moyen de trois sutures au catgut l'extrémité libre de la
partie
périphérique du muscle élévateur ; la plaie est
d'origine médullaire sont en rapport constant avec la lésion de la
partie
spi- nale du faisceau pyramidal. Les preuves dé
quoi la contracture n'apparaît- elle que quand la lésion atteint la
partie
sous-protubérantielles du faisceau pyramidal ?
était impossible d'y faire un pli; il semblait au malade que cette
partie
du membre était recouverte de carton dur. Il ex
et un foyer de nécrobiose au SOCIÉTÉS SAVANTES. 57, niveau de la
partie
antérieure et externe du noyau lenticulaire. La
e de février. Le mémoire se 58 SOCIÉTÉS SAVANTES. compose de deux
parties
: une de statistiques, statistiques très nombre
e de réduire un peu le nombre des congressistes qui ont suivi cette
partie
du programme. Ils ont été reçus à la gare par l
utérines et de l'hygiène sexuelle. (13.) ° Nous reproduisons cette
partie
du Compte rendu du Congrès de Marseille parce q
myélites chroniques, les myélites à formes irrégulières. La seconde
partie
de l'ouvrage traite des déterminations spé- cia
l'efficacité du traitement spécifique énergique. Dans une troisième
partie
l'auteur développe la question du traitement :
i, il va infecter tout le monde ; il passe son temps à regarder ses
parties
génitales, craint qu'on ne les lui 1 Voir Archi
endant complète- ment rompu avec tous ses parents qu'elle accuse en
partie
de ce qu'elle ait été frustrée du bonheur de sa
si raccourci est plus mince que l'humérus droit au moins dans la
partie
diaphysaire. Cela est sensible à la simple palpat
nouvelles crises. M. le De Poucel lui fait une trépanation de la
partie
supérieure de l'occipital gauche (avril 18cl6).
es cellules polymorphes. L'axone, d'une finesse extrême, issu de la
partie
supérieure ou inférieure du cytoplasma, se déco
là les signes extérieurs de la maladie de Reckhnghausen ; mais la
partie
de l'ectoderme incluse dans le crâne et le canal
otamment dans les membres supérieurs); anesthésies légères dans les
parties
périphériques des membres; certaine sensibilité
re du Temple, elle a vu un individu assis à côté d'elle montrer ses
parties
sexuelles à des enfants qui jouaient aux enviro
u l'individu assis sur le banc dans le suare du Temple, montrer ses
parties
sexuelles à des enfants qui jouaient il proximi
mple il qui je me suis plainte qu'un individu m'avait fait voir ses
parties
sexuelles aujourd'hui à une heure du soir. «
me poursuivait dans le même square en cherchant à me faire voir ses
parties
. N'étant pas bien sûre de le reconnaître, je me
jeune âge. M. Marie admet que les conclusions de M. Dufour sont en
partie
légitimes : 75 à 80 p. 100 des épileptiques ont
mpulsives et les impulsions formeut la transition entre la première
partie
qui traite des troubles psychiques purs et la s
e termine ce travail intéressant dont nous n'avons esquissé que les
parties
principales. VARIA. LES drames DE l'alcoolism
M. Aimé ROUZAUD qui est chargé exclusivement des annonces et de la
partie
administrative. AVIS A NOS ABONNÉS.- L'échéan
re assez mal déterminé, mais correspondant vraisembla- blement à la
partie
inférieure de la frontale ascendante, et aux pi
itation produit des images subjectives qui sont projetées dans la
partie
correspondante du champ visuel : le regard est al
mouvements produits par l'excitation du centre pos- térieur. A la
partie
postérieure du lobe frontal, probablement au ni
le goitre exophtalmique constitue le signe de de Graefe. 2 Cette
partie
de notre sujet vient d'être étudiée d'une façon m
Hartley Bunting) au niveau du pied de la deuxième frontale ou de la
partie
inférieure de la frontale ascendante. Le centre
upant le segment externe du noyau lenticulaire, et plus en avant la
partie
supéro-interne de la couche optique. « Sur le p
oute leur longueur, le lobule pariétal inférieur, et la plus grande
partie
de la région postérieure des trois circonvolu-
renant la base des deux circonvolutions frontales inférieures et la
partie
adja- cente de la frontale ascendante. Dans la
t à 8 heures du matin. A l'autopsie, méninges un peu épaisses. A la
partie
antérieure du lobe frontal gauche on trouve un
nsistance; il se laisse profondément déprimer. A la coupe, toute la
partie
antérieure de l'hémisphère est creusée par un c
creusée par un caillot qui a mangé la substance cérébrale depuis la
partie
antérieure de la troisième frontale jusqu'à la
ur étendue. · Hémisphère droit. La pie-mère enlevée on trouve, à la
partie
antérieure de la scissure de Sylvius, la surfac
'insula. Un deuxième foyer siège au-dessous, entre le premier et la
partie
antérieure de la surface externe du noyau lenticu
u atteinte. 11 existe éga- 204 . PATHOLOGIE NERVEUSE. lement à la
partie
moyenne du segment externe du noyau lenti- cula
s en dedans, ayant détruit la capsule externe et l'avant-mur et une
partie
du noyau lenticulaire et s'ouvrant à travers la c
etit foyer ocré (foyer hémorragique ancien) sur la surface externe (
partie
moyenne) du noyau lenticulaire, au niveau de la
-pariétale, le foyer de la couche optique a creusé presque toute la
partie
ventriculaire de cette dernière ; le foyer exte
ant hernie sous la pie-mère. Dans l'observation I, il existait à la
partie
antérieure du lobe frontal gauche un caillot fa
dans; il peut toutefois être un peu entamé par l'hémorragie dans sa
partie
externe (putamen). L'étude des observations mêm
asse un peu en arrière le noyau lenticulaire et forme ub foyer à la
partie
la plus pos- térieure de la capsule interne; ou
orne descendante du ventricule et rejoignant une hémorragie de la
partie
externe de la couche optique. Dans un cas, l'hémo
un foyer énorme situé entre l'insula et le noyau lenticulaire en
partie
détruit, ne dépassant pas ce dernier en arrière,
t, ne dépassant pas ce dernier en arrière, mais coupant en avant la
partie
extrême de la capsule interne et venant former
le se continue en arrière du corps strié, coupe la capsule interne (
partie
postérieure) et fait par là irruption dans les
arrière entre l'insula et le corps strié. Toutefois cette dernière
partie
de l'hémorragie, au lieu de se faire directemen
int la substance même du noyau lenticu- laire que tout il fait à la
partie
postérieure de ce dernier, il n'y a même là qu'
lriculaire vers les circonvolutions de l'insula; mais, venant de la
partie
in- férieure des ganglions, au lieu de continue
oyer le plus volumineux se trouve dans la subs- tance blanche, à la
partie
, antérieure ou postérieure. Dans l'observation
Les causes de la cyclopie dépendent d'une soudure précoce des deux
parties
latérales du tube cérébro-médullaire qui se rej
parties latérales du tube cérébro-médullaire qui se rejoignent à la
partie
dorsale pour constituer la vésicule cérébrale a
profonde des arcs branchiaux et des autres organes de la face et
parties
du crâne. 0 IV. Les diverses positions que peut
se porte en bas et en avant. Le corps calleux, et principalement sa
partie
posté- rieure, entre, en s'accroissant, dans la
qui ne peut être produite que par la pression totale exercée sur la
partie
postérieure du corps calleux. P. IIEft.\\'.1L.
pe le milieu de l'élé- ment anatomique ou est rejeté au dehors, les
parties
périphériques sont claires ou bien elles sont t
n aspect spécial 'citez ces malades ; chez les individus normaux la
partie
saillante est formée par le condyle interne et
nés avant terme, le cerveau n'est pas suffisam- ment développé, les
parties
motrices se développent plus tard c'est pourquo
ine dans les amas gris intracérébelleux et se dirige à tra- vers la
partie
interne du corps restiforme dans la substance rét
re du bulbe, où il se dispose au-dessus de l'olive; au niveau de la
partie
inférieure de l'olive inférieure, ce faisceau s'é
rapport avec les cornes antérieures de la moelle du même côté et en
partie
également du côté opposé. Il est impossible de
le plus développé est celui des fibres se diri- geant à travers la
partie
externe du corps restiforme vers lé noyau du co
corps restiforme vers lé noyau du cordon latéral du même côté et en
partie
à travers les fibres arciformes externes antéri
velet avec le fascicule longitudinal postérieur du même côté, et en
partie
du côté opposé; et par l'intermédiaire de celui
es des deux côtés; 6° Les fibres du pédoncule moyen descendent en
partie
vers les noyaux de la protubérance des deux côtés
ent en partie vers les noyaux de la protubérance des deux côtés, en
partie
sous forme d'un faisceau vertical qui remonte l
ent du côté opposé; 7° Les fibres du pédoncule antérieur passent en
partie
(mais en partie seulement) du côté opposé; quel
; 7° Les fibres du pédoncule antérieur passent en partie (mais en
partie
seulement) du côté opposé; quelques-unes s'interr
au est fonction de l'intelligence et de la masse du corps. Ces deux
parties
ne pouvant pratiquement être scindées on obtient
1. Aimé ROUZAUD, qui est chargé exclusivement des annonces et de la
partie
administrative. Le rédacteur-gérant : T3oowew
Naugeat pendant quinze ans et qu'il en connaît très bien toutes les
parties
, il ne reconnaît pas le lieu où il se trouve ;
, crache sur les couvertures, renverse sur les draps la plus grande
partie
des aliments qu'on lui présente. Il fait beaucoup
de la motilité ne peuvent s'expliquer que par une compression de la
partie
antérieure de la capsule interne par le foyer h
cissure de Sylvius. Sans insister longuement sur la description des
parties
détruites par l'hémorragie, nous ferons remarqu
es parties détruites par l'hémorragie, nous ferons remarquer que la
partie
posté- rieure et externe du noyau lenticulaire
sinus du corps calleux, en bas au niveau d'une coupe passant par la
partie
la plus inférieme de la couche optique. L'exten
élève; cependant, il faut dire que partout où existe la lésion, les
parties
essentielles (partie postérieure du noyau lenticu
aut dire que partout où existe la lésion, les parties essentielles (
partie
postérieure du noyau lenticulaire et de la caps
s sus- indiquées ; 2° hémorragie ayant détruit essentiellement la
partie
postérieure du noyau lenticulaire et le tiers pos
Les membres sont grêles, les muscles peu développés. Le bras, à sa
partie
moyenne, mesure 21 centimètre à droite et 1 à gau
vation ordinaire dans le sexe féminin; les cuisses mesurent, à leur
partie
moyenne, 36 centimètres; la cir- conférence au
blanche, fine, et dépourvue de poils, si ce n'est quelques-uns à la
partie
anté¡ o-extel'1le des cuisses. La couche adipeu
fixer davantage son attention sur ce point particulier ; - 2° La
partie
surtout intéressante de l'examen physique de 11
res sexuels secondaires, qui sont tous ceux non tirés de l'état des
parties
génitales, est très complexe, et il n'y a pas à
scu- laires, interstitielles et parenchymateuses constatées dans la
partie
supérieure du nerf et dans son centre médullair
thologique des hémichorées pré et post hémiplégiques : lésion de la
partie
posté- rieure de la capsule interne affectant l
e quelques livres qui s'est échappé du manche. Il y a eu lésion des
parties
molles, un peu d'étourdissement. sans perte de
premiers survenaient seu- lement dans la station debout ou quand la
partie
supérieure du corps était dressée; ils tenaient
et les flé- chisseurs de lavant-bras (coraco-brachial, biceps), une
partie
des extenseurs tels que le supinateur, l'extens
ent en général ètre soignés dans leurs familles ce qui explique, en
partie
, la rareté relative de ces cas dans les asiles.
sie on a trouvé sous la pre- mière cérébrale douze cysticerques, en
partie
calcifiés, en partie encore vivants; l'un de ce
la pre- mière cérébrale douze cysticerques, en partie calcifiés, en
partie
encore vivants; l'un de ces cysticerques a l'as
était extraite des cultures ensemencées dans un milieu liquide (une
partie
de bouillon et une partie de liquide de l'hydro
s ensemencées dans un milieu liquide (une partie de bouillon et une
partie
de liquide de l'hydrocèle de l'homme), chauffée
ent l'affection décrite par Little comme un simple syndrome laisant
partie
du grand groupe des diplégies cérébrales, au mê
'exi- gent les partisans de la théorie dualiste. Dans la deuxième
partie
de sa thèse, M. Cestan, reprenant les documents
M. Aimé ROUZAUD qui est chargé exclusivement des annonces et de la
partie
administrative. Le rédacteur-gérant : Bournev
es ordinaires les renflements lombaire et cervical de la moelle, la
partie
inférieure du bulbe rachidien 1 Fait au laborat
sibles par elles-mêmes. Rulbe. Nous n'avons examiné du bulbe que la
partie
inférieure, comprenant les noyaux de l'hypoglos
s, picrocarmin, carmin aluné : ce dernier en particulier colore les
parties
figurées avec une élection presque aussi-parfai
age névroglique, le corps cellulaire se rétracte et se déforme ; la
partie
périphérique du prolongement qui est fixée en p
DES CORNES ANTÉRIEURES. 363 mation ne portant pas également sur les
parties
encore fixées et celles qu'a libérées la ruptur
stitue ainsi une sorte de point fixe autour duquel se mouleront les
parties
rétrac- tées et flétries pour ainsi dire du cor
avec toutes les précautions ordinaires : 10 avec un fragment de la
partie
antérieure de la moelle dorsale ; 2° avec un fr
songer à une systématisation de l'infection par les vaisseaux de la
partie
antérieure de la moelle; mais ces vaisseaux n'i
voir que cette infection, débutant, pour une cause quelconque, à la
partie
inférieure de la colonne lom- baire, remonte pr
l'infection se géné- ralise d'emblée en même temps à la plus grande
partie
de la colonne motrice, et tantôt l'envahit prog
aussi indispensables qu'elle à la formation de la parole et font
partie
intégrante et nécessaire de l'acte d'ensemble...
rer bruyamment et la rigidité a cessé aussitôt. L'enfanL reprend en
partie
connaissance, il peut nous dire qn'il soutire u
érescence ascendante et de quelles fibres, LI)amlésions de diverses
parties
du cervelet pour savoir s'il y a des fibres cér
de plus en plus pauvre, ce qui permet de penser qu'une très faible
partie
des cordons postérieurs arrive au petit cordon
le corps restiforme et s'en va en arrière avec lui. La plus grande
partie
.se termine sans s'entrecroiser dans les circon
ervelet, s'entrecroise sur la ligne médiane et se perd peut-être en
partie
dans ces noyaux, en partie également dans l'éco
la ligne médiane et se perd peut-être en partie dans ces noyaux, en
partie
également dans l'écorce inférieure du vermis.
t on constate la dégérescence d'un long faisceau croisé. Une petite
partie
de ce faisceau rayonne dans la région de la zon
yonne dans la région de la zone acoustique d'Ahlbom. Sa plus grande
partie
, sous la forme d'un large ruban, s'en va, par l
isceau de Gowers) sont représentées par les fibres qui passent à la
partie
inférieure des olives et du trijumeau. On con
s sont ainsi encadrées d'une couronne de forts cylindraxes dont une
partie
doivent leur origine aux arbo- rescences termin
était d'abord une unes- thésie totale au niveau du dixième et d'une
partie
du neuvième segment REVUE D'1\ TO\IIE ET DE PHY
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. décrit par de Soelder provient en
partie
d'une région placée au- dessous du niveau des n
ubissent donc, dans l'espèce, une interruption en même temps qu'une
partie
des autres conducteurs sensitifs. Il est à rema
te apoplectique ancien avait détruit le corps genouillé interne, la
partie
inférieure du pulvinar, les parties postérieures
t le corps genouillé interne, la partie inférieure du pulvinar, les
parties
postérieures du noyau antérieur de la couche op
elloïdine. Coupes colorées à l'hématoxy- line et à l'éosine, et, en
partie
, au carmin. Entre le limaçon et les autres orga
. La paroi tympa- nique, déchirée sur la plupart des coupes dans la
partie
membra- neuse, est, sur d'autres, entièrement c
couche épithéliale, mais elles sont incomplètement développées. La
partie
épithéliale du limaçon membraneux a donné naiss
és de dégénérescence. Ces dégénérescences se voient dans toutes les
parties
du cerveau, mais surtout dans celles des couche
l ou avec d'autres organes tels que le cervelet, le pathétique, les
parties
supérieures de l'isthme, on en obtient la dégén
n et la couche optique, des libres à l'écorce du lobe optique, à la
partie
supérieure du corps genouillé thalamique, ainsi
limite postérieure du chiasma de l'autre côté, tandis qu'une petite
partie
de ses fibres décrit, sur le côté, un arc de co
précé- dente en haut et en bas, allant de l'arcade de Fallope à la
partie
moyenne de la cuisse ; cette sensation de brûlu
(Neurolog. Centralbl., XVIII, 1899.) Les classes pauvres de cette
partie
de la Prusse et de la Russie contiguë, surtout
ornemental comme les tatouages observés de nos jours sur les mêmes
parties
du corps, chez des sauvages. Cependant M. Fou-
s affections sont traitées par de petits tatouages exécutés sur les
parties
ou au voisinage des parties malades. Des femmes
ar de petits tatouages exécutés sur les parties ou au voisinage des
parties
malades. Des femmes de petites tribus no- mades
ales. Les coupes verticales montrent le centre ovale normal dans sa
partie
antérieure et ramolli dans le système de projec
ndue et se propageant vers le centre ovale particulièrement dans sa
partie
antérieure. Les différences de coloration et de
roit, formant une cavité bifide en avant et s'éten- dant à toute la
partie
supérieure de la substance blanche. La partie p
éten- dant à toute la partie supérieure de la substance blanche. La
partie
postérieure de cette cavité vient jusqu'à la su
x extrémités antérieures s'évasent jusqu'à la substance grise de la
partie
la plus antérieure des circonvolutions frontale
eur d'une noix et intéressant les substances grise et blanche de la
partie
la plus antérieure des deux premières circonvol
e actuelle si défectueux en France, il faut l'attribuer en grande
partie
à l'influence des idées inexactes généralement ac
du traitement. D'abord le patient sera couché la nuit et une grande
partie
du jour. Il se lèvera de temps en temps, rester
ppe, à l'asile de Nietleben, laissait les mélancoliques couchés une
partie
de la journée el, après les avoir fait déjeuner
uide ». Le repos au lit devait être continué pendant la plus grande
partie
du traitement; l'exercice passif obtenu par l'é
i renseigne sur leur situation dans l'espace par rapport aux autres
parties
du corps, qu'ils aient été amenés à cette situa
même que nous avons été. habi- tués à rapporter aux mouvements des
parties
de notre corps. Chaque sensation élémentaire n'
met que les sensations de mouvement proviennent pour la plus grande
partie
des articulations : « Leur source véritable, di
hronique interstitielle avec adhérences mé- ningées localisées à la
partie
antérieure de l'hémisphère gauche, deuxième et
ines. Les méninges minces sur le lobe occipital, plus épaisses à la
partie
antérieure présentent des opalescences le long
long des scissures. Elles se décortiquent facilement sur la grande
partie
de l'hémisphère et adhèrent seulement sur le lo
long du membre supérieur droit, dans la région de l'épaule, dans la
partie
droite du cou et la joue droite, la sensibilité
on constatera que le siège de cette fracture est aux environs de la
partie
médiane de l'os, que sa direction est oblique d
émités supérieures des leviers osseux (bassin ou épaule) et que les
parties
inférieures desdits leviers (jambe, avant-bras)
nerfs sensitifs et moteurs; localisation des accidents surtout aux
parties
extrêmes des membres. En faveur d'une myélite,
des globes oculaires produit une douleur intense notamment dans la
partie
médiane de la paroi orbitaire ; ils sont sensib
llectuelle (ce n'est qu'une affaire de pression). Occupe-t-elle les
parties
antérieures du lobe temporal, et, par suite, ex
tal paraît intéresser la substance blanche, du lobule orbitaire, la
partie
orbitaire de la troisième frontale, le corps stri
la partie orbitaire de la troisième frontale, le corps strié, les
parties
limitrophes du centre ovale. Elle n'a pas touché
re du pôle frontal, s'amincit prompte- ment en arrière, et, dans la
partie
postérieure du lobe frontal, n'atteint que les
ascendantes, et de leur substance blanche, excepté tout près des
parties
intérieures de ces circonvolutions. La tumeur s'e
ent développée en bas et en dehors; elle a fortement com- primé les
parties
orbitaires du lobe frontal en bas, ainsi que les
e du même côté, et l'aphasie sensorielle indiquent l'atteinte de la
partie
postérieure de l'hémisphère gauche. S'agit-il du
e caractère variable et peu intense de la cécité verbale exclut les
parties
postérieures du lobe temporal. Ce n'est là qu'un
mianopsie droite, engagent à penser qu'il y a eu aussi lésion de la
partie
postérieure de la capsule interne et des irradiat
l'écorce et de la substance blanche correspondante, a déplacé les
parties
voisines surtout en arrière et en dehors, a déter
iculier son segment antérieur, tandis que celui du sphincter est la
partie
postérieure de la même circonvolution, tout prè
e. On ne saurait dire, dans l'espèce, que l'accident a affaibli les
parties
du système nerveux ultérieurement lésées puisqu
'opération de greffe nerveuse de Sick et Soenger. Ou bien certaines
parties
motrices du canal encépllalo-médullaire entrent
'atrophie, la pointe propre- ment dite de la langue c'est-à-dire la
partie
proéminente de la langue n'est plus formée que
ès de la colonne vertébrale. Use produit une paralysie isolée de la
partie
motrice de l'axillaire limitée au deltoïde. Et ce
ent; sensibilité normale à la tête et au bras gauche, disparue à la
partie
inférieure du bras droit. Vessie très pleine d'
evient trouble. P=1 ? G; ;Il. 26. On\entend des râles secs dans les
parties
inférieures des deux poumons, les taches cyanotiq
pituitaire ; nulle part elle n'adhère à la base du crâne, sauf à la
partie
basse du dos de la selle turcique. Elle se compos
partie basse du dos de la selle turcique. Elle se compose de trois
parties
. La plus grosse, la plus ancienne, repose sur la
se sur la selle. couvre le losange interpédonculaire, ainsi que les
parties
voisines, et pro- jette un segment supérieur ju
culaires, s'est dégagée dans le troisième ventricule, a ramolli les
parties
cé- rébrales adjacentes, et a produit des masse
la gaine des nerfs optiques. La compression, d'abord exercée sur la
partie
médiane du chiasma qui contient les fibres entr
; peut-être s'agissait- il d'une simple augmentation de volume des
parties
molles (acro- mégalie molle et non osseuse). Ce
l lance les jambes avec une incoordination manifeste, tandis que la
partie
supérieure du corps reste immobile et entraîne
lade en arrière. Or, l'on sait bien que, dans la marche normale, la
partie
supé- rieure du corps doit se porter en avant,
s'en rapprocher. Il est évident que les Anglais ont des qualités en
partie
puisées dans leurs écoles ou dans leur milieu f
ne névrite périphérique. Mais l'altération des nerfs au milieu de ces
parties
, qui sont le siège d'une inflammation chronique s
es ou macules lépreuses (lèpre maculeuse), disséminées sur diverses
parties
du corps et désignées sous le nom de morphea alba
mportante ici. Elle envahit généralement la main, l'avant-bras et une
partie
du bras, mais quelquefois, elle peut s'étendre à
is, elle peut s'étendre à tout le membre supérieur et même à d'autres
parties
du corps. C'est en même temps une analgésie et un
C'est l'opinion de M. Morvan. Le foyer, dit-il, est situé dans cette
partie
de la moelle qui sert d'origine aux nerfs brachia
de la moelle qui sert d'origine aux nerfs brachiaux. Quelles sont les
parties
atteintes ? C'est tout d'abord la substance grise
anesihésie totale ; les centres trophiques de la moelle, à savoir, la
partie
médiane et peut-être la corne moyenne. Quoi qu'
'une myélite scléreuse des cornes et des faisceaux postérieurs et des
parties
centrales de la moelle. Dans ces conditions, la n
vous entretenir quelque jour, tendrait à démontrer que la lésion des
parties
trophiques centrales de la moelle est ici la chos
Care, amaurose complète de l'œil gauche. côtés, quoique masquées en
partie
par la résistance énorme opposée par l'épaisseur
ie complète et surtout ces anesthésies sensorielles qui ne font point
partie
du tableau clinique de la parésie analgésique à p
'iode au niveau du foyer de la fracture et quelques frictions sur les
parties
qui étaient le siège de cet engourdissement. Ma
à l'impotence fonctionnelle plus ou moins absolue du membre ou d'une
partie
du membre intéressé. Au moment où le malade ent
ption du doigt médius qui conserve sa sensibilité dans la plus grande
partie
de sa surface. La sensibilité tactile de ce doigt
égulière passant par le sommet du creux de l'aisselle en dedans et la
partie
supérieure du moignon de l'épaule en dehors et co
ifficile. Les atrophies musculaires font, nous le savons aujourd'hui,
partie
du tableau symptomatique de l'hystérie. L'élément
es tremblements hystériques. Il est singulier, Messieurs, que cette
partie
de la Symptomatologie de l'hystérie, qui semble c
augmenté par les mouvements intentionnels (grandes oscillations de la
partie
moyenne de la figure). cile à apercevoir, mais
et la température dans la moitié gauche de la face, du front et de la
partie
antéro-latérale du cuir chevelu. Le pavillon de l
nir à ses lèvres sans en avoir projeté de tous côtés la plus grande
partie
, absolument comme cela a lieu dans la sclérose en
, pendant une longue période de 3 années, fin 1886, 1887, 1888 et une
partie
de 1889. Durant ces trois années, la diplopie, la
rables, ces fluxions pourront laisser subsister après elles, dans les
parties
intéressées du système nerveux, une épine, un dés
l cas, de lésions inflammatoires qu'il s'agit, et elles affectent les
parties
mêmes où se produisent périodiquement les fluxion
ême ajouter que l'affection, quelle qu'elle soit, ne porte pas sur la
partie
du tronc nerveux qui contourne le pédoncule céréb
, et l'on conçoit que, dans ce dernier cas, elle puisse s'étendre aux
parties
avoisinantes des méninges. Une observation de G
e, quelquefois presque noire, de la peau. Refroidissement notable des
parties
atteintes. Evolution de co symptôme parallèlement
térique, dit-il (1), ne s'en prend pas seulement à presque toutes les
parties
internes ; elle attaque aussi quelquefois les par
sque toutes les parties internes ; elle attaque aussi quelquefois les
parties
externes et les muscles, savoir : les mâchoires,
a pression du doigt ne laisse aucune impression. De plus, toutes, ces
parties
présentent une coloration bleue parsemée de petit
1) Trintignan. —De l'œdème hystérique. Th. Paris, 1890. ture de ces
parties
. Vous allez voir maintenant, par l'histoire de la
net et de la main, cl ez Marg. F..., combiné à une contracture de ces
parties
. On voit les traces des pointes de feu qui ont ét
a mieux caractérisée. En effet notre malade présente la plus grande
partie
des stigmates hystériques. Le goût, l'odorat sont
ement spasmodique, pouvant aller jusqu'à l'infiltration véritable des
parties
qui en sont atteintes, quelquefois isolé, mais fr
t. Il y avait, paraît-il, à cette époque, une anesthésie complète des
parties
malades. Cet accident guérit soudainement, puis s
nte du doigt, la même teinte bleu-violet, le même refroidissement des
parties
malades. Une seule différence existe : chez notre
bord, puis l'asphyxie locale symétrique et enfin la mortification des
parties
. Ce dernier accident ne se produit jamais dans l'
ate et de la flanelle, évitant les chocs et garant de son mieux cette
partie
malade. Lorsqu'on lui enlève l'écharpe et le pans
dans la même étendue. Le 6 décembre il n'y avait absolument que cette
partie
du corps insensible. Le reste de la moitié droite
ce n'est plus que de 1 centimètre à peine. La douleur est vive à la
partie
interne du genou, au niveau de l'attache supérieu
n sur le talon, le membre étendu, est douloureuse au niveau du genou (
partie
interne) et de la hanche. — Lapercussion sur le g
artie; il reste encore des plaques anesthésiques, en particulier à la
partie
postérieure du bras. L'anesthésie a disparu à l
au début, revient bientôt à l'état normal. Sensibilité obtuse à la
partie
antérieure de la jambe, en dehors du tibia, à la
s. Amaigrissement notable de la jambe. Sensibilité très obtuse à la
partie
antéro-externe de la jambe, à la face dorsale du
pation. La piqûre n'est pas sentie sur le dos du pied droit et à la
partie
antérieure de la jambe droite. L'électrisation
eur. Puis le tronc et les premières branches fémorales se dégagent èn
partie
grâce au traitement électrique employé, mais la j
l a constaté en séparant par la dissection le nerf scia-tique en deux
parties
que les fibres du nerf sciatique poplité externe
Or ce nerf est situé dans le bassin le long de la crête sacrée, à la
partie
la plus proéminente du détroit supérieur, de tell
st présenté cinq fois à notre observation. Ces cinq malades font tous
partie
soit du service de la clinique, soit de la policl
ie dura un mois environ. La douleur était localisée aux reins et à la
partie
supérieure de la fesse gauche. Il n'y eut point a
s latéraux, au contraire, conservent, sinon la totalité, du moins une
partie
de leur force. Leurs mouvements, s'ils ne sont pa
ntaire jusqu'à l'extrémité du gros orteil, dont une mince bande, à la
partie
la plus interne, est laissée intacte; — b) à la f
ambe n'ont pas beaucoup diminué. Varices considérables. CE lème de la
partie
inférieure de la jambe. Démarche.— Le pied est
ent un certain soulagement. Actuellement, le malade souffre dans la
partie
postérieure de la cuisse et dans le mollet droit.
intacte ; la sensibilité au froid et au chaud est diminuée depuis la
partie
moyenne du dos du pied jusqu'à l'extrémité des or
sciatique poplité externe fournit des nerfs cutanés à la plus grande
partie
de la jambe et du pied. Les deux tiers externes d
il y ait un certain degré d'amaigrissement, surtout des muscles de la
partie
postérieure. La démarche est assez particulière
ir du lit, il éprouve subitement une violente douleur qui, suivant la
partie
postérieure de la cuisse, descend le long de la p
ui, suivant la partie postérieure de la cuisse, descend le long de la
partie
externe de la jambe et gagne le bord externe du p
bout, la fesse gauche appuyée sur une chaise. Il passe la meilleure
partie
de l'année 1888 à l'hôpital, dans les services de
» plus fortes au début et à la fin de la marche. C'est au niveau delà
partie
externe de la jambe et du pied qu'il souffre le p
n même temps des deux extrémités de la jambe et se rejoignent vers la
partie
médiane. Par la pression on produit des élancem
sensibilité que le reste du membre, c'est-à-dire que la cuisse et la
partie
postero-interne de la jambe, troubles eux-mêmes i
d toute la cuisse, la face interne et postero-interne de la jambe, la
partie
la plus interne du dos et de la plante du pied, a
lité à la douleur, à la chaleur et au froid; la seconde, limitée à la
partie
externe de la jambe et à la plus grande partie du
seconde, limitée à la partie externe de la jambe et à la plus grande
partie
du pied, est atteinte d'anesthésie complète et ab
filets cutanés du sciatique poplité externe. Quant à la plus grande
partie
du [membre inférieur, elle présente identiquement
figurer sur un schéma de petites dimensions. La transition entre les
parties
anesthésiées et les parties sensibles est gradu
tites dimensions. La transition entre les parties anesthésiées et les
parties
sensibles est graduelle et non pas brusque comm
énie du tabès (?'). Docon (2) également note l'irritation interne des
parties
génitales, mais Decaisne(3), dans une communicati
ni la moindre gene dans les mouvements du tronc en arrière. C'est en
partie
pour ces motifs que j'écarte l'idée d'un cancer v
s noyaux de l'hypoglosse, situés au niveau du bec du calamus et de la
partie
inférieure du ventricule, alors que dans le cas d
ux de l'oculo-moteur situés au niveau de l'aqueduc de Sylvius et à la
partie
correspondante mais supérieure du 4e ventricule,
trophique des noyaux moteurs, on rencontre en même temps, en diverses
parties
du tronc et des membres, des amyotrophies plus ou
upprimés. Ces caractères tant positifs que négatifs, déjà signalés en
partie
dans les observations antérieures, nous allons le
gressivement tout le membre, les bras, les épaules; les muscles de la
partie
postérieure au cou sont tellement atrophiés et pa
une paralysie bulbaire totale dont le début peut se faire soit par la
partie
supérieure, soit par la partie inférieure du bulb
ont le début peut se faire soit par la partie supérieure, soit par la
partie
inférieure du bulbe. La première des observations
(polioencéphalomyélite). L'altération porte alors sur la totalité des
parties
motrices de l'axe gris bulbo-médullaire, depuis l
ez énergiques. Il n'en est pas de même de l'extension de ces diverses
parties
qui est très faible et résiste à peine aux mouvem
ez intenses pour faire trembler les pouces. Mensurations : Jambe,
partie
moyenne du mollet. . Cuisse, tiers inférieur...
e, tiers inférieur........ Avant-bras, tiers supérieur..... Bras,
partie
moyenne ........ I D = 35 cent. 1/2 ) G = 35
uvé de douleurs vives, sinon de temps en temps dans les épaules et la
partie
supérieure des bras, et encore n'étaient-elles pa
be. Le ptosis était très accusé à gauche, et le malade y remédiait en
partie
en contractant son frontal. Aujourd'hui la mala
xiste à droite comme à gauche un méplat très apparent au niveau de la
partie
inférieure des cuisses ; on sent aisément le fému
t hypothénar, des avant-bras qui sont presque aussi volumineux à leur
partie
inférieure qu'à leur partie supérieure, des bras
qui sont presque aussi volumineux à leur partie inférieure qu'à leur
partie
supérieure, des bras qui ont une forme cylindriqu
tel que le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la
partie
supérieure de la jambe : on dirait un genou attei
galvanisation 14 élém., 65°= KS néant. 60 millim. = néant pour la
partie
moyenne. 80 — =r contraction du faisceau clavic
égèrement penchée en avant, à cause de la faiblesse des muscles de la
partie
postérieure du cou. On ne constate cependant pas
eu bre-dôuillée. De plus, l'excitabilité électrique des muscles de la
partie
inférieure de la face était notablement diminuée.
s l'espèce, n'acquiert pas une importance spéciale. L'habitus de la
partie
supérieure du corps présente au contraire beaucou
riger ses regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des muscles de la
partie
postérieure du cou est très avancée, on voit entr
des plaques rouges assez persistantes ; ce qui n'a pas lieu dans les
parties
correspondantes du côté sain, enfin le tégument d
rsqu'il est au lit, il éprouve toujours, au niveau des pieds et de la
partie
supérieure des jambes, une sensation de chaleur e
un haut degré. Je veux parler d'abord de cet œdème des pieds et de la
partie
inférieure des jambes qui a existé autrefois ch
tion : car bien que la paralysie hystérique puisse occuper toutes les
parties
du tronc et des extrémités, très rarement,jamais
ccentuée. De plus elle paraît toujours s'accompagner d'anesthésie des
parties
paralysées, ainsi que M. Gilles de la Tourette l'
as, à localisation unique et très nette, montrant qu'une lésion de la
partie
inférieure et interne du pédoncule cérébral produ
. — Gazette hebdom., n° 6, 1859. des lésions un peu dans toutes les
parties
de l'encéphale : non seulement le pédoncule mais
eber, au contraire, a trait à un foyer hémorrhagique siégeant dans la
partie
inférieure du pédoncule gauche et ayant intéressé
omprimant à la fois le moteur oculaire commun et le pédoncule dans sa
partie
inférieure et interne, reproduirait aussi le même
s retiendrez ceci, qu'il y a certaines lésions du pédoncule cérébral (
partie
inférieure et interne) qui sont caractérisées cli
presque confondus et situés sous le plancher du quatrième ventricule.
Parties
de ce point leurs fibres s'agrègent aussitôt en d
araque de foire où était installé un tir à la carabine, il reçut à la
partie
postérieure du cou une balle de 5 à 6 millimètres
mois, à l'occasion d'une blessure qu'il se fait accidentellement à la
partie
interne de l'avant-bras, toujours du côté droit,
sez marquée du même côté, répondant en avant à un aplatissement de la
partie
droite du thorax. Je n'insiste pas, vous connaiss
ervicale jusqu'à la deuxième dorsale. Désinsertion des muscles sur la
partie
latérale droite des vertèbres jusqu'à dénudation
ecte une prédilection marquée pour la substance grise centrale et les
parties
blanches adjacentes et, de ce fait, il est permis
t de celui qui avait été constaté à l'origine, c'est, dans sa seconde
partie
, une observation absolument contemporaine et, en
rs, dit M. X..., la contraction nerveuse dans le flanc gauche et à la
partie
interne de la cuisse n'a cessé de s'accentuer. Pe
ovince et M. Charcot le perd de vue complètement. Voilà la première
partie
de l'observation. Voici maintenant la seconde,
ent de la séreuse du tendon extenseur. En second lieu, il existe à la
partie
interne et supérieure de la première articulation
l'index a été relativement grave puisqu'il a entraîné la perte d'une
partie
de la phalangette. En résumé, l'état actuel de
, incapable de sortir de la bouche. Aujourd'hui ces phénomènes ont en
partie
disparu ; toutefois, l'asymétrie faciale est enco
litique pachyméningée siège dans la région pariétale, au niveau de la
partie
moyenne des circonvolutions frontale et pariétale
emble indiquer que, dans la syphilis, l'hystérie peut se mettre de la
partie
sous l'influence de l'agent provocateur. Si, au c
vespéro-nocturne ne resta pas localisée à la région pariétale gauche.
Partie
de ce point, qui restait toujours le foyer maximu
ui, d'après nos recherches topographiques, correspond exactement à la
partie
moyenne des circonvolutions frontale et pariétale
els de la plus haute gravité, indélébiles, incurables pour la majeure
partie
, et ces phénomènes graves relèvent d'une altérati
ltération profonde et étendue survenue dans la nutrition de certaines
parties
de l'encéphale. C'est que, dans l'anatomie path
les conséquences graves qui peuvent en résulter pour la nutrition des
parties
do l'encéphale qui reçoivent le sang par ces artè
des formes frustes de la sclérose en plaques peut se diviser en trois
parties
: A). Les formes atypiques ou frustes par effac
ômes de la sclérose en plaques qui se seraient effacés depuis lors en
partie
ou en totalité. Cette enquête faite méthodiquemen
liquer autrement que par une lésion de ces deux nerfs au niveau de la
partie
inférieure de la protubérance. S'agit-il là d'une
e, quelquefois presque noire, de la peau. Refroidissement notable des
parties
atteintes. Evolution de ce symptôme parallèlement
uemment on a une monoplégie affectant soit tout un membre, soit une
partie
seulement. Ces mono- plégies très limitées, ave
le ; à part, bien entendu, le cas exceptionnel de destruction de la
partie
postérieure de la capsule interne, par un ramol
de la base. Dans le premier cas il y a anémie brusque d'une grande
partie
de l'encéphale, dans le second il y a irruption
e (sclérose, tumeur, abcès). Dans notre cas, elle semblait due en
partie
à l'anémie du cervelet (qui, seule, donne habitue
i, seule, donne habituel- lement la démarche cérébelleuse pure), en
partie
à la myélite qui ajoutait le caractère spasmodi
arrivée au niveau de la base, elle subit une semi-décussation : une
partie
va au noyau du droit interne du même côté; l'au
tion passerait d'abord tout entière du côté opposé, pour revenir en
partie
du même côté, c'est-à-dire subirait un double e
r, rarement en épaisseur. Dans les cas moins graves (Ier degré), la
partie
usée est plane, polie, la dentine est de colora
ttention d'un certain nombre de cliniciens, parce qu'il affecte une
partie
appa- rente du corps, et constitue une difformi
paralysie générale, a attiré l'attention des cliniciens. Toutes ses
parties
ont été étudiées. Nous ne parlerons que des lés
thémateuse intense de toute la région lombaire, z fessière et de la
partie
postérieure des jambes. Ce malade est op5-" ' c
oedématiés. Depuis son entrée, il y a une éruption de bulles sur la
partie
interne de la jambe gauche. Ces bulles sont for
emplies d'un liquide jaunâtre ; au nombre de trois ou quatre sur la
partie
interne infé- rieure de la jambe, de la grosseu
passagère, sans ictus. En 1895, elle a eu le zona un mois, dans la
partie
supérieure du thorax, côté gauche. Elle n'avait
sa marche, s'entoure d'une zone érythémateuse, inflammatoire; les
parties
sphacélées s'éliminent lentement. Mais quand elle
le ascendante. Mais comment ? Directement, ou indirectement ? Une
partie
du ruban de Reil se termine probablement dans la
ir traversé transversalement le centre médian, elle ne gagne que la
partie
postérieure du noyau latéral; quelques fibres s
rises sur des foetus, permettront bientôt de démontrer qu'une autre
partie
du ruban de Reil (notamment les fibres à genèse
roisement, c'est-à-dire que les fibres radiculaires provenant de la
partie
la plus postérieure du noyau s'en vont à l'a;il
oculomoteur commun une portion reculée (surtout postérieure) et une
partie
rapprochée (surtout antérieure), séparées par u
r du corps, tout en gagnant la ligne médiane, il faudrait placer la
partie
antérieure du noyau antérieur (ventral antérieu
ur) du noyau du même côté ; à cette zone appartiennent encore une
partie
des cellules latérales. 4° Droit interne. les f
l'oeil du même côté. Un peu moins certaine est l'in- fluence de sa
partie
postérieure sur la région du dos du nez et la r
érieure sur la région du dos du nez et la région maxillaire ; 2° La
partie
postérolatérale du faisceau de Burdach paraît (
territoires existe le segment radiculaire qui innerve le nez et la
partie
contiguë de la lèvre supérieure. 4° La destructio
ue la moitié antérieure de la coupe transverse de la racine. Go Les
parties
postérieures du noyau et la corne dorsale de la
ec l'innervation de l'iris. Si on la lèse seule, sans atteindre les
parties
voisines du noyau, la pupille se rélrécit au maxi
on colorié; 3° les lésions occupent soit toute la cellule, soit une
partie
de la cellule, dès que les granulations des pro
dus, malades ou sains, on trouve dans 'la moelle un grand nombre de
parties
dont le développement est certainement anormal,
s désagréables ou douloureuses, qui leur paraissent siéger dans les
parties
du corps qu'ils ont perdues. Depuis les recherc
t les sensations étranges perçues par les amputés. Dans la première
partie
de son travail, l'auteur décrit les sensa- tion
cellule nerveuse de la corne antérieure, qui est composée de trois
parties
distinctes : 1° une substance fondamentale achr
r, deuxième branche du trijumeau. Quant aux fibres gustatives de la
partie
postérieure de la langue, elles passent d'abord
fibres optiques dans le chiasma. Chez le chat etle singe une grande
partie
des fibres colorées en noir vont au côté opposé
ces est bien con- servé ; le groupe postéro-latéral est atrophié en
partie
; le groupe médian a disparu. Réduction de nombr
is- paru, mais les autres symptômes ont au;si rétrocédé en grande
partie
. Quand l'exophthalnie domine et que l'hypertrop
ar M. Gérard Marchand. L'opération a consisté en la résection de la
partie
inférieure du ganglion cervical supérieur avec
tact avec la médecine légale et avec la psychiatrie, ne peut faire
partie
ni de l'une ni de l'autre; mais elle est elle-mêm
out particulier, qui ne peuvent nullement la faire considérer comme
partie
d'aucune autre science ; . 2° Que telle étant
imentaires, tenu dans une situation élevée ; il' est pourvu sur ses
parties
latérales ou antérieures de trois appareils sec
al, un anévrisme oblong de la grandeur d'un noyau de citron dans la
partie
basilaire de l'artère de la fosse de Sylvius dr
de poule, qui occupait tout le long de- l'artère basilaire. Dans la
partie
postérieure de la tumeur entrent les deux artèr
térieure de la tumeur entrent les deux artères vertébrales et de sa
partie
anté- neutre sorte les artères cérébrales posté
st tournée vers la moelle allongée et son sommet vers le devant. La
partie
antérieure de la moelle allongée, le pont de Va
sortait de la paroi de l'artère carotide interne et occupait une
partie
de la base du cerveau, toute la partie de la scis
tide interne et occupait une partie de la base du cerveau, toute la
partie
de la scissure syl- vienne du côté droit et la
devint faible (50 par minute); apparut une oedème des membres et en
partie
de la face; commen- cèrent àparaitre ies hémorr
; commen- cèrent àparaitre ies hémorragies spontanées sur certaines
parties
du corps, qui avaient l'aspect de taches bleues
ntôt de tous les côtés, comme d'un anneau, parfois rien que dans la
partie
périphérique de la fibre, d'autres fois dans tout
ages de ce nouveau procédé : 1° la coloration de presque toutes les
parties
intégrantes du système nerveux dans son état no
sus-décrits daus les racines et dans les nerfs périphériques et en
partie
la destruction dans la moelle épinière ne peuvent
plus par l'injonction de se réveiller, mais par celle de sentir les
parties
anesthésiques du corps ; en d'autres termes, que
la stuungs-papille de la gomme intra-cérébrale, revenant ainsi en
partie
à la doctrine de de Grsefe qui séparait nettement
seulement de la méningite scléreuse. Sur la convexité, surtout à la
partie
moyenne, au niveau des- circonvolutions rolandi
de la grosseur d'une noisette siège dans le sillon de Rolando, à la
partie
moyenne. La paroi de ces kystes est très mince
'agraphie, un peu de paraphasie. Le diagnostic s'imposait : embolie
partie
du poumon ou de la plèvre, abcès du lobe occipita
tômes de déficit eux-mêmes peuvent s'atté- nuer, par suppléance des
parties
voisines, création de nou- ' Revue de médecine,
. Aucun trouble des divers modes de la sensibilité cutanée ou des
parties
profondes. Il n'existe sur le crâne aucun point d
du bras droit semble avoir disparu. Tremblements fibrillaires de la
partie
droite de la lèvre inférieure. Aucun trouble
dispositions à des formes spéciales de maladies inhérentes aux deux
parties
. (The alienist and neurologist, jan- vier 1897.
modifier, pas plus que le corps dont le protoplasma fait cependant
partie
. Ce protoplasma est une substance immortelle éc
dégénérative des petits muscles de la main, des exten- seurs et en
partie
même des fléchisseurs des avant-bras. Pas d'atro-
lance, les méninges spinales (endothéliome). La tumeur a détruit la
partie
inférieure de la moelle épinière, et, au niveau d
l'appareil ligamentaire. La tumeur est très riche en vaisseaux, en
partie
oblitérés, en partie ayant subi une dégénératio
ire. La tumeur est très riche en vaisseaux, en partie oblitérés, en
partie
ayant subi une dégénération hyaline et athéroma
itivement au voisinage de la décussation des pyra- mides. Une autre
partie
de la tumeur s'enfonce directement dans la part
mides. Une autre partie de la tumeur s'enfonce directement dans la
partie
centrale de la moelle où elle forme une colonne n
é, n'ayant aucun rapport apparent avec la tumeur, localisée dans la
partie
centrale de la région cervicale supérieure et d
llules, dont est constituée la paroi de la cavité localisée dans la
partie
supérieure de la moelle, ne lui parait pas suffis
u cou. Son cadavre, en effet, présentait des ecchymoses au cou, aux
parties
saillantes symétri- ques et aux flancs, ainsi q
région du dos. La circulation arrêtée, le sang s'agglomère dans les
parties
les plus basses et y forme ces taches qui, aprè
ains sont oedématiées, viola- cées ; la peau est lisse, tendue. Les
parties
infiltrées ne sont pas dépressibles : elles don
com- plètement abolie, tandis qu'elle est conservée sur les autres
parties
du corps. La peau des jambes est rude au touc
riant et béat. Anesthésie cutanée. La peau des jambes, jusqu'à la
partie
moyenne des cuisses, est rugueuse, rude au touc
loré, l'ongle se détache lentement, finit par ne plus adhérer aux
parties
molles que .par sa racine, et tombe sous l'in-
aux avant-bras. Retard de la sensibilité à la piqûre sur les autres
parties
du corps. Les ongles des orteils présentent des
ovaires en remplacement de testicules, s'est trou- vée confirmée en
partie
. Ajoutons ici un détail ignoré de nous et fourn
terne et externe du frontal. Poumons.- Congestion hypostatique à la
partie
supérieure et aux deux bases. Coeur. Surcharge
plis d'un liquide blanchâtre (ovaire ? ). A côté de ces lobes, à la
partie
inférieure se rencontre une sorte d'in- fundibu
l'esprit les rapports et la disposition anato- miquedes différentes
parties
décrites. Il n'y avait en outre nivési- cule sé
e la région lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescence de la
partie
postérieure du cordon latéral gauche. Dans le
ns variables, mais toutes microscopiques ; elles siégeaient dans la
partie
centrale de la substance grise, en arrière des
PATHOLOGIQUES. 411 zones où la substance grise était granuleuse en
partie
, désorganisée et abaissée. Ces deux cas forme
t ensuite les lésions des tissus interstitiels et parenchymateux en
partie
directement, en partie indirectement, c'est-à-d
tissus interstitiels et parenchymateux en partie directement, en
partie
indirectement, c'est-à-dire par l'intermédiaire d
M. G. Marinesco. (Presse médicale, 16 juin 1897.) Dans la première
partie
de ce travail, l'auteur expose les résul- tats
utres, au contraire, lui ont dénié cette fonction. Dans la dernière
partie
de son travail, M. Marinesco s'efforce d'établi
ale supérieure était lésé et que la pariétale inférieure l'était en
partie
seulement, le pli courbe ayant conservé une cor
tratum anatomique. P. KERAVAL. LVI. UN cas insolite DE lésion de la
partie
cervicale du grand sympathique; par L. JACOBSON
un certain degré de méningomyéiite peut se produire surtout dans la
partie
inférieure de la moelle. La lésion primitive es
ire. En somme, lésions dif- fuses et interstitielles, expliquant en
partie
les phénomènes d'irri- tation constatés pendant
atière de non- lieu M. le Procureur général seul peut autoriser les
parties
intéres- sées à prendre communication des pièce
munication inté- grale du dossier aux médecins chefs de service. La
partie
relative à l'instruction peut ne pas être commu
qui intéresse les médecins, ce qui leur est indispensable, c'est la
partie
administra- tive ; ce sont les renseignements p
s. Les mémoires concurrents devront toujours être divisés en deux
parties
. Dans la première, ils disposeront, avec observat
he. La dure-mère est très adhérente. Cerveau. Hémisphère gauche. La
partie
antérieure de la corne frontale est fort altéré
t FI sont particulièrement lésées, surtout à leur pied, et avec -la
partie
voisine de FA forment un centre de ramollisseme
un centre de ramollissement. FI est presque indemne, surtout à sa
partie
postérieure. La scissure de Sylvius bien accusée
tres 5 à 2 centimètres, elle s'étend obliquement du pied de PA à la
partie
antérieure du lobe occipal. Nombreuses adhérenc
il faudra antiseptiser, les plus solubles agissant dans la première
partie
de l'intestin et les moins solubles dans la sec
as une maladie, mais une condition : elle n'est pas localisée à une
partie
quelconque du système nerveux, mais extrêmement
ite que la droite. Atrophie scléreuse des deux noyaux dentelés à la
partie
postéreure seulement. Moelle intacte ainsi que le
tle là langue, la parésie des muscles masticateurs et de ceux de la
partie
infé- rieure de la face, enfin la paralysie des
conception nette de l'en- semble du phénomène et de beaucoup de ses
parties
composantes. . F. BOISSIER. LX. L'analgésie d
t du champ de la conscience, a provoqué une amnésie qui explique en
partie
des contradictions multiples de la malade dans
moitié antérieure de la langue. Cas 10 : douleurs lancinantes à la
partie
moyenne de la cuisse gauche. Cas 11 : sensation
est fréquemment suivie d'amné- sie, portant. sur la totalité ou une
partie
du délire. Ces délires sont donc des délires on
ement qu'il dirige dans cette ville. L'ouvrage est divisé en deux
parties
. La première est consacrée aux deux grands grou
vés et relatés avec tous les détails qu'ils comportent, la première
partie
de ce travail constitue une élude clinique séri
ue sérieuse, qui ne peut être consultée qu'avec fruit. La seconde
partie
du livre n'est pas moins intéressante : elle est
nisme ; aussi ce dernier parait-il changé ou absent et tout ou en
partie
. L'altération de la personnalité, ses dissociatio
ille est la même et ma robe va toujours ; il est vrai que certaines
parties
de mon corps se sont rapetissées , mon corps ne
on qui s'appuie sur le fait àgiila. localisation dans la peau d'une
partie
considérable des cellules de sensibilité, force
rales des prolongements nerveux jouent un grand rôle. D Des trois
parties
constituant le neurone, la cellule nerveuse, av
uelque éloigné qu'il soit de sa cellule d'origine, en fait toujours
partie
et en dépend, comme les pseudopodes d'une amibe
pseudopodes d'une amibe du corps du protozoaire. La solidarité des
parties
et du tout est sans doute une condition d'exist
la cellule, puisque, chez uneamibe sectionnée en deux ou plusieurs
parties
, les portions nucléées continuent seules a vivr
ieurs parties, les portions nucléées continuent seules a vivre, les
parties
anucléées meurent bientôt, sans doute par suite
en longueur, est en rapport avec l'importance fonction- zzelle-des
parties
du corps auxquelles appartiennent les nerfs périp
a montré que les fibres de ce nerf se terminent, au moins en grande
partie
, dans la couche moléculaire ou superficielle de
lgi, dans la manière de considérer la signification des différentes
parties
du neurone. Or, si les appareils de réceptions,
s inconnus, des transformations chimiques, s'accomplissant dans les
parties
élémentaires de ce protoplasma, représentent sa
nerveux, ainsi que nons croyons l'avoir démontré, suffisent déjà en
partie
pour la récep- THÉORIE DES NEURONES. 389 tion
surtout pour objet de signaler. Mebasant sur ce que l'aspect des
parties
molles menacées de devenir le siège d'une escha
ntachés d'erreurs, parce que leurs auteurs n'avaient examiné qu'une
partie
du système nerveux et chez des sujets humains m
ent 6.555 préparations), en séries de 20 à 100, sur les différentes
parties
du système nerveux (cerveau, cervelet, bulbe, m
cou compris jusqu'à la face. La lésion intéresse la moelle dans sa
partie
supérieure, immédiatement au-dessous de la protub
arer son malade voué à une mort certaine. Si la lésion intéresse la
partie
supérieure du rachis, une issue fatale est vrai-
lles se rencontrent surtout dans les cordons postérieurs et dans la
partie
des cordons antéro-latéraux qui sont dégénérés
urs de la corne antérieure, les racines antérieures la plus grande.
partie
des cordons latéraux, à l'excep- tion des faisc
qui sont en dégénérescence mais que cette dernière affecte aussi en
partie
la zone limitante latérale, dont la partie anté
ernière affecte aussi en partie la zone limitante latérale, dont la
partie
antérieure montre une dégénérescence aussi avan
le des faisceaux fondamentaux antérieurs et latéraux, tandis que la
partie
postérieure de la zone forme contraste avec la
tandis que la partie postérieure de la zone forme contraste avec la
partie
antérieure en demeurant profondé- ment teintée.
ment teintée. Le foyer non dégénéré se trouve immédiatement à la
partie
externe de la corue postérieure et s'étend de s
au, ou voit qu'à la suite d'une courbure en direction caudale de la
partie
cen- trale du premier neurone de cette chaîne,
e d'admettre des localisations exclusives dans telle ou telle autre
partie
de l'encéphale, et il y a lieu de reconnaitre p
G. PA1HYT&oEF. -Sur un cas de tumeur siégeant à la limite de la
partie
cervicale et de la dorsale de la moelle épinière,
fibres situées entre les olives et les pyramides du bulbe, dans les
parties
latérales du ruban interne (médiate Schleife) d
éraux passe dans le bulbe entre les olives et la pyramide, dans les
parties
laté- rales du ruban interne, dans la protubéra
ésion organique primitive située dans la protubérance, le bulbe, la
partie
supérieure de la moelle, les ganglions sympa- t
oïdienne, tachycardie, diverses dilatations vasculaires) peuvent en
partie
la régénérer, constituant uu circuit morbide, l
(huitième session tenue à Toulouse, du 2 au 8 août 1897). Deuxième
partie
publiée par V. Parant secrétaire général. Paris
pneumonie. Autopsie. Macroscopiquemenl. Tumeur s' étendant sur la
partie
latérale gauche de la moelle; en hauteur, depuis
ux, assez vigoureusement teintés par les colorants; ces noyaux fcnt
partie
de cellules dont le proto- plasma doit être trè
wn-Séquard. - c). La section des racines postérieures arrivant à la
partie
supérieure de la moelle dorsale produit de l'hype
ers localisè- rent le centre dilatateur des pupilles au niveau delà
partie
UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 458 inférieure
) il y avait au contraire soit des portions cavitaires, soit des
parties
centrales nécrosées. On a vu que nous avons déc
noyaux différents et même sur un seul noyau; on voit des lobules
partie
cellulaires et tout à fait semblable histologique
es et tout à fait semblable histologiquement à la tumeur primitive,
partie
fibrillaires ; de même dans un seul noyau tel l
, de sentir le diable. Ses appréhensions agissent à son insu sur la
partie
encéphalique des nerfs sensitifs, et tout à cou
intellectuelle ; il continue à considérer comme lui appartenant une
partie
des idées qui surgissent dans son esprit, mais
des idées qui surgissent dans son esprit, mais il y en a une autre
partie
qu'il attribue à une personne étrangère. ' Gr
l'oreille). On lui a extrait les intestins ; elle a aussi dans les
parties
génitales des sen- sations douloureuses (barre
ntait en elle deux âmes, ou, comme elle le disait elle-même, deux
parties
adverses, dont l'une n'avait d'inclinaison que po
ême champ qui est le corps, et l'âme est comme partagée : selon une
partie
de soi, elle est le sujet des impressions diabo
rte que la handeiette longitudinale postérieure parait traverser la
partie
externe du noyau. En même temps, les deux noyau
r de ce noyau, on aperçoit un noyau médian à grosses cellules; - sa
partie
externe et supérieure, on trouve un amas cellulai
on trouve un amas cellulaire, pair et symétrique, et un autre à sa
partie
antérieure. La plus grande parties des fibres q
r et symétrique, et un autre à sa partie antérieure. La plus grande
parties
des fibres qui partent de ces noyaux se dirigent
se dirigent en avant et en dehors. Un petit nombre, provenant de la
partie
pos- térieure du noyau principal, s'entrecroise
res postérieures du moteur commun. Il est hors de conteste qu'une
partie
de la bandelette longitudinale postérieure se per
ation vasculaire lorsqu'elle porte sur la chaîne thoracique dans sa
partie
supérieure.Il faut admettre, en principe, bien
r le goitre exophtalmique comme le pro- duit d'une excitation de la
partie
thoracique de la chaîne sympa- thique par une c
e spinal que celle de l'hémisphère droit, ce qui tient, au moins en
partie
, à la plus ample distribution, à la moelle, des
it, exécute correctement les ordres qu'on lui donne, ne nomme qu'en
partie
les objets qu'on lui montre, mais les choi- sit
eur de la pariétale ascendante, qui, 'peut-être, intéresse aussi la
partie
postérieure contigué du lobe pariétal, notammen
rale tempo- raire par diminution de l'action des artères des autres
parties
du corps; de là l'attaque d'épilepsie. La simpl
des éléments mo- teurs. Le centre moteur qui existe au niveau de la
partie
supé- rieure du bulbe et de la protubérance est
: a) Au-des- sous de l'endroit lésé, la dégénérescence de toute la
partie
infé- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
à part quelques fibres qui, disséminées plutôt que groupées dans la
partie
antérieure de la racine spinale, ne montent pas
ontale, détruira des fibres, non de l'écorce de ce pôle, mais de la
partie
moyenne de la circonvolution du corps calleux.
emaines. Foyer de ramollissement occupant l'espace compris entre la
partie
la plus inférieure du quatrième segment Cervical
ié dorsale de la moelle qui soient tout à fait épargnées. Dans la
partie
intermédiaire à la moelle et au bulbe, les cordon
la hauteur des olives accessoires dorsales (postérieures), dans la
partie
qui correspond à leur segment éloigné, les fibres
trousseaux indemnes, se rend à la valvule de Vieussens. Une petite
partie
des fibres dégénérées demeurent disséminées dan
séminées dans le ruban de Reil latéral et se placent en avant de la
partie
la plus éloignée (à ce niveau) du tubercule quadr
pour les autres détails au mémoire lui-même. L'auteur croit qu'une
partie
du ruban do Reil latéral sert de voie de commun
ban do Reil latéral sert de voie de communication directe entre les
parties
marginales du cordon latéral de la moelle cervi
s par tous les médecins et par les magis- trats. Dans la première
partie
, M. Dumaz étudie la lucidité d'esprit dans l'al
notaire qui avait été chargé de leurs- affaires d'en avoir volé une
partie
. Elles prétendaient que le prési- dent dutribun
nation du point de départ des décharges existantes, et c'est là une
partie
difficile et importante de la tâche du clinicien.
foyer épilep,o-ène. Toute lésion du cerveau, dans n'importe quelle
partie
, peut provoquer un accès épileptique, avec conv
es, ceux 506 BIBLIOGRAPHIE. qui partent de la zone motrice ou des
parties
avoisinantes, et doivent servir de point de rep
nullement le siège de la lésion. Lorsque la lésion est située à la
partie
postérieure de la zone motrice, l'aura sensitiv
t établis pour 500 à 600 malades au plus, et soient divisés en deux
parties
absolument distinctes : l'hôpital pour tous les
nt élevés à la dignité de fonctionnaires responsables de toutes les
parties
secondaires du service administratif; 6° Qu'i
ronage. LES SUPERSTITIONS D1N8'CARN-ET-GARONNI : Dans la première
partie
de son travail, le chanoine Henry Cal- hiat, de
and le coeur éclatait, on était guéri ou sauvé. Dans la troisième
partie
, M. Calhiat esquisse la physionomie de plusieur
'il fallait res- pecter scrupuleusement. Enfin, dans la quatrième
partie
, l'auteur, à propos d'apparitions macabres, de
ble le pas- sage de l'état libre à l'état de captivité. » Mais la
partie
la plus curieuse de l'étude de M. Walsh est celle
cide. Enquête sur le , par Laupts, 79. Sympathique. Lésions de la
partie
cervicatedu,parJacobso)in. 222. - et corps th
▲