A l'entrée (3 ans, 1899), idiotie complète avec gâtisme, marche et parole nulles. Aujourd'hui (1905) il marche seul s^amu

A l'entrée (6 ans), idiotie complète, èpilepsie,diplègie, mar-che et parole nulles, gâtisme. Aujourd'hui, l'enfant marche s

tc. ; 4° les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5° les exercices élémentaires relatifs à l'ensei

bonne voie pour la lecture courante : Ilzikowitz. — Améliorés pour la parole 4 enfants : Chai.., Itzikovi.., Le-Bih.., Pard...

mesure d'améliorer la prononciation des enfants et de développer leur parole , ont été envoyés successi-vement, par série, au n

? blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la parole (syllabes simples ou répétées ou combinées); 2° P

es de la marche, des jointures, massage, gym-nastique, exercices delà parole , etc., etc. Nous fai-sons assister les parents à

e, corps rugueux, le celours, corps doux, uni, etc. Education de la parole . —Organes: respiration, sou-ffle, exercices passi

subvenir à tous ses besoins personnels immédiats (mar-che, propreté, parole , bonne tenue à table, soins de toilette, etc.). N

, sevrage. lro dent, dentition complète. Début et évolution de la parole , de la marche, de la propreté : signes par lesque

igence. — Attention, mémoire, raisonnement, asso-ciation des idées. — Parole . — Observation sur les change-ments ou non de l'é

nation. Fonctions respiratoires. Voix. Respiration. Oppression. Toux. Parole . Nulle, limitée ou régulière. — Défauts de pron

vant. Déviation latérale de la colonne vertébrale. Troubles de la parole . I. — Ceux qui ont pour cause l'absence on la f

s. Il était atteint d'idiotie ; la marche était très défec-tueuse, la parole et l'attention nulles. Il était triste, avait l'a

et demi. A sou entrée (23 juillet 1892), l'enfant ne marchait pas, la parole était nulle, le gâtisme complet. L'attention étai

bien les trois premiers mouvements de la gymnastique des échelles. La parole s'est sensiblement développée, mais en conservant

blessé ou tombe. Les progrès en écriture et en lecture sont lents. La parole reste toujours défectueuse au point de vue de la

s il était atteint d'idiotie complète, avec èfilepsie et gâ-tisme. La parole était nulle ; l'enfant était turbulent et mé-chan

ltats. — A la suite des exercices de gymnastique, de toi-lette, et de parole , l'enfant s'est amélioré. Il a débuté par une pro

âtisme. (1) Remarque : ce fait n'est pas rare. Des enfanls, dont la parole est limitée à quelques mots, prononcent parfois s

oins fréquents. L'amélioration continue, tant au point de vue de la parole que des exercices classiques. La tenue est meille

ymnastique. Sa tenue est devenue meilleure; gâteux depuis un an. La parole , limitée à quelques mots seu-lement, est aujourd'

e 3 ans 1/2. Idiotie complète avec mïcrocé-phalie très pronon-cée. La parole , la marche, la préhension, la propreté, l'at-tent

. — L'enfant n'a subi presque aucun changement (Fig. 5). 1889. — La parole semble vouloir venir, et il prononce : Fig. 5.

5 dec. i8g5.—Atteint à Ventrée, le 24 septembre 1902, d'idiotie, avec parole défectueuse. Phy-sionomie niaise, air craintif, a

ver et de se ronger les ongles. 1903. — Légère amélioration pour la parole , la toilette, le lavage et la gymnastique. Toujou

ntré le 14 décembre 1896. A l'entrée, est atteint d'idiotie complète. Parole et marche nulles. Gâtisme. L'enfant est inca-pabl

de l'enfant reste stationnaire. 1901. — Les progrès continuent. La parole est libre et compréhensible, il emploie le verbe.

es surfaces. Il exécute bien tous les mouvements à la gymnastique. La parole est libre, l'enfant commence à écrire. Sa tenue e

tout à fait propre, le jour, mais pas encore complètement la nuit. La parole reste défec-tueuse, il n'est arrivé encore qu'à p

quoi, il est fier, et va montrer à tout le monde qu'il est propre. La parole aussi se développe, il pro-nonce papa, maman, pip

entrée (16 août 1902), l'enfant est atteint d'idiotie avec gâtisme et parole presque nulle. La turbulence est grande; l'enfant

ation au point de vue du gâ-tisme, un peu aussi au point de vue de la parole limitée seu-lement aux mots papa et maman et actu

ourd'hui, se tenant mieux chaussé et cassant moins de carreaux. —? La parole se développe, l'en-fant cherche à faire des phras

duit il se montre très confus, très vexé. Il a beaucoup gagné pour la parole , il fait effort pour répéter les mots, commence à

ps et de ses vêtements. 1904. — Cet enfant ne gâte plus le jour, la parole est de moins en moins défectueuse, il s'habille e

lévrier 190.-*. — 1904. Physionomie peu expressive, rictus continuel, parole affectée d'un chuintement prononcé. Lucien, beauc

ression, bouche toujours entr'ouverte ébauchant un sourire perpétuel, parole complètement nulle, tel était cet enfant lorsqu'i

. Les défauts d'articulation étaient nombreux; tous les organes de la parole se mouvaient avec peine, les consonnes étaient im

e élève s'est prêté volontiers aux exercices de la gym-nastique de la parole , peu à peu l'articulation s'est modifiée. Uéchola

nues plus rares. 1904. — Itzikowi... continue à s'améliorer pour la parole , les progrès ont marché de pair pour l'écriture e

syllabaire. Nous obtenons davan-tage à l'aide des lettres mobiles. La parole , chez cet enfant, continue à s'améliorer. 1901.

rs très fugitive et empêche ses progrès pour la lecture. 1903. — La parole s'est beaucoup améliorée, notre élève construit d

nstate aux réflexions qu'il nous fait. Sa conversation est suivie, la parole est encore affectée d'un chuintement très prononc

t descend les escaliers sans aide. Très en progrès éga-lement pour la parole , il répète et comprend maintenant tout ce qu'on l

pour la teigne. 1903. — Pard... connaît maintenant les couleurs. La parole est moins défectueuse. 1904. — Notre malade s'h

âgé de 2 ans \\i(Fig. 14). A son arrivée, il gâtait nuit et jour; la parole et la marche étaient nulles. Ne mangeant pas seul

certain nombre de mots connus comprend pas encore l'application. La parole est très amélio-rée, l'articulation est nette, il

1/2 (1905). Fio. 17. — Charm.... à 13 ans 1/2 (1903}. 1904. — La parole est presque normale; il lui arrive très souvent d

ans une sorte de demi-sommeil, indifférent à tout ce qui l'entourait: parole , jeux; nous ne parvenions pas à secouer sa torpeu

aie. Il fait l'addition et la soustraction. Il tient conversation, sa parole a encore quelques légères défec¬tuosités. Il joue

85, entré le 21 mai 1894. Imbécillité avec myopie, tris prononcées. Parole et marche singulières, gâte quelquefois le jour,

de l'échelle de l'idiotie, ayant tous les tics et manies des idiots : parole nulle, poussant des cris sauvages, mordant ceux q

é pour le calcul; il commence cependant à faire seul l'addition. La parole est encore défectueuse. Néanmoins notre malade a

miplégie gauche. A son arrivée le 27 mai 1899,11 gâtait jour et nuit. Parole limitée à papa, maman, pa pour pain. — Aujourd'hu

in. — Aujourd'hui (1900), il ne gâte plus; il exprime ses besoins. La parole à fait de grands progrès; il. dit tous les jours

ée (1899), Fél... se tenait à peine debout et gâtait jour et nuit. La parole , très défectueuse, était presqu'in-compréhensible

presqu'in-compréhensible. Cet enfant a été rendu propre en 1893 et sa parole , très améliorée, commence, à cette époque, à être

nt dont il est affecté. Cet enfant a été notablement amélioré pour la parole . 1902. — Il commence à syllaber et à compter; l

opre. 1903. — L'amélioration continue lentement mais sans arrêt. La parole est plus nette. 1904. —? Il est rendu propre. L

les mouve-ments. Ce qui laisse le plus à désirer, c'est la classe. La parole étant très défectueuse, il lui est très difficile

bres étaient pris d'un tremblement convulsif. Il fallait employer les paroles les plus douces pour la consoler et la rassurer.

porel sur-tout; de sorte que notre malade a moins songé à dire de ces paroles plus ou moins désobligeantes à l'égard de sa fami

899, à l'âge de 9 ans, atteinte A'idiotie profonde avec surdi-mutité, parole et marche nulles, gâtisme complet. — Cette enfant

Elle lave le linge avec pié-caution et se rend utile partout. Comme parole nous n'avons pu obtenir les résultats que nous dé

e, à la buanderie: elle aime beaucoup laver. Sous le rapport de la - parole , elle a fait des progrès nota-bles. Elle s'exprim

ssitôt les premiers exer-cices-de notre enseignement: exercices de-la parole , de la mar-r che, traitement du gâtisme, etc. P

e la cuiller, la mastication est beaucoup moins lente qu'au début. La parole se développe en essayant de répéter tout ce qu'el

rche même à tenir con- Blanche s'habille et se déshabille seule, la parole est meil- versation. Elle s'améliore de jour en

tateuse, née le 15 juillet 1891. A son entrée, elle était gâteuse, la parole et la marche étaient nulles, elle ne savait ni s'

e a appris à parler, elle sait soute-nir une petite conversation, la. parole est encore un peu défec-tueuse, principalement po

uents. Elle est devenue affectueuse et aime qu'on s'occupe d'elle. La parole est un peu lente, ce qui ne l'empêche pas d'être

us n'avons aucune fugue. Il y a chez elle de l'en-fantillage dans ses paroles , dans ses jeux, dans ses habitudes, mais on ne re

geait, ni ne buvait seule, ne pouvait pas se tenir sur les jambes, la parole était nulle. Elle gâtait nuit et jour. Rien ne po

e 28 août 1899. Idiotie complète. — A l'entrée, le 19 septembre 1902, parole et marche nulles, • gâtisme absolu; malgré cela,

bien à table. Malheureusement ses progrès sont toujours lents pour la parole qui est limitée à quelques mots les plus usuels;

en octobre 1900, atteinte d'idiotie complète, avec gâtisme, marche et parole à peu près nulles. Les progrès faits par l'enfa

t à fait incompréhensible; aucun signe, aucun geste ne suppléait à la parole , l'enfant essayait les premiers pas en chancelant

nce également à copier, forme bien les lettres et les chiffres. La - parole est plus facile, le défaut de prononciation moins

urs triste et préoccupée, répondait à peine quand on lui adressait la parole . Rien ne nous faisait présager les grands changem

compte de son état. Elle causait peu, la voix était tremblotante, la parole lente et saccadée. Les senti-ments affectifs n'ét

assée, son regard n'avait aucune fixité, elle possédait l'usage de la parole , mais son air timide, l'empêchait de répondre dir

a Fondation en juin 1901, atteinte à!idiotie avec gâtisme, marche et - parole nulles. Les progrès faits par cette enfant sont

ion, en juin .1901, atteinte d'idiotie avec hémiplégie, marche nulle, parole limitée à ces deux mots; papa, maman. A son entré

'imbécil-lité -prononcée, avec luxation congénitale des hanches. La parole était libre chez cette enfant qui répondait aux q

e son entrée en 1894, la physionomie annonçait peu d'intelligence; la parole était bonne mais tout à fait enfantine; elle mang

enfant suit toujours la même marche vers une amélioration notable. La parole s'est encore modifiée depuis l'année dernière et

904) chez cette enfant des progrès sous bien des rapports. D'abord la parole : elle com-mença par dire bien des mots, construis

ut à fait propre. C'est surtout sous le rapport de la propreté, de la parole et de la marche que les progrès de cette enfant s

t que cette enfant s'est nota-blement améliorée sous le rapport de la parole , de la marche, de l'alimentation et du gâtisme.

s signalions les progrès l'an-née dernière, continue à s'améliorer. Parole , marche, nulles au début; gâtisme complet, cette

ir triste et maussade, le regard sans vivacité, le teint jaunâtre. La parole était lente, la voix faible, son caractère était

déshabille elle-même, procède entièrement à ses soins de toilette. La parole , autrefois lente, est maintenant très vive. Elle

e parlait peu, son vocabulaire ne s'étendait guère qu'en mensonges ou paroles grossières. Indifférente à tout, ni réprimandes,

songes ou paroles grossières. Indifférente à tout, ni réprimandes, ni paroles affectueuses, rien ne la touchait. Aucun goût, ni

mais très sensible aux réprimandes et très joyeuse si on lui dit une parole d'en-couragement. Les sentiments affectifs s'étan

sique qu'intellec-tuel s'est produit en peu de temps. La marche et la parole ont été très rapides; le gâtisme a complètement d

rait que la pitié, le regard était triste et morne, le teint pâle. La parole était défectueuse, elle avait un défaut de pronon

-vre l'enseignement médico-pédagogique. Signalons la création de la parole , la correction des vices de prononciation, des im

ne se rencontre guère ou s'empresse de retirer dès le lendemain les paroles compromettantes échappées dans l'effroi de l'ar

rande lenteur des facultés psychiques, une physionomie hébétée, une parole empâtée. Son passé était excellent. Emile Mer..

ais distingue les questions et les injonctions d'après le ton de la parole ; il goûte encore la musique. - Autopsie. Des deu

succion, de la déglutition. D'autres sont acquis : tels celui delà parole qui ne se produit pas quand l'enfant n'entend p

n. M. de GUDDEN. Prenons l'aphasie. L'hypothèse d'un centre de la parole n'existant normalement que d'un côté est incompré

l'exercice et de la coutume, qu'elle ne se transmet pas, et que la parole se développe plus tôt que cette habitude de se se

de se servir de telle ou telle main. Supposons que le centre de la parole se limite, sur un cerveau normal, exclusivement

e. Tous répondirent unanimementet prêtèrent même serment de leurs paroles , que cet état durait depuis one mois environ, et

veiller activement en toutes ses actions et de relever ses moindres paroles . La mère cependant et sa fille (elles com- pren

et lui affirmait que sa mère allait bientôt revenir vers elle. Ces paroles la calmaient un instant ; mais bientôt les cris

le passage du peigne ; les troubles du sommeil (rêves, cauchemars, paroles , fatigue au réveil, etc.) ; l'obtusion du sens

e la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Quelqu'un demande-t-il la parole pour la discus- sion générale ? - M. Dupré, p

on générale ? - M. Dupré, président de la commission. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. Dupré. M

ésident de la commission. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. Dupré. M. Dopré, président de la commi

des déclarations sérieu- sement motivées de la haute Assemblée, ces paroles calmeront les esprits, apaiseront l'opinion si

du 27 mars 4-i9o et à Pinel, qui les premiers ont fait entendre ces paroles mémorables : « La folie est un mal du ressort d

bien ! ) Archives, t. XIII. 1 0 146 SÉNAT. M. LE président. La parole est à monsieur le rapporteur. ' M. Théophile Ro

es d'approbation sur un grand nombre de bancs.) M. LE Président. La parole est à M. le Ministre de l'intérieur. M. Sarrien

passer à la discussion des articles. M. DE GAVARDIE. Je demande la parole . (Exclamations à gauche.) M. le Ministre. L'hon

en 1 très bien ! sur un grand nombre de bancs.) M. LE Président. La parole est à M. de Gavardie. M. DE GAVARDIR. Messieurs

s, et très certainement personne ne pourra les reconnaître dans les paroles que je vais prononcer, j'ai vu là des hommes co

orable. (Très bien ! très bien ! à droite.) 111. LE président. La parole est à M. le rapporteur. SI. le rapporteur. Mess

divers bancs). , M. le Président. Quelqu'un demande-t-il encore la parole pour la discussion générale ? ... La discussi

verbale est l'im- possibilité de comprendre la signification de la parole entendue, et même de tous les sons devenus conv

us loin l'observation et qui; outre qu'ils ne comprenaient pas la parole , n'entendaient pas le tic-tac de la montre, tan

nsiste dans l'impossibilité de saisir nettement ou de comprendre la parole , coexistant avec une audition suffisamment nett

ation de l'intelligence, l'impossibilité de saisir distinctement la parole ; 2° le défaut d'imagination orale; 3° l'impossi

n déterminée, on mettait en lumière son défaut de compréhension des paroles d'autrui. Lui demandait-on de donner la main, i

(li 188'1, f,,isc. I, P. 91.) 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. nombre de paroles était ce qui frappait d'abord. Elles étaient in

asie; néanmoins celle-ci n'est pas constante, et les troubles de la parole volontaire observés sont de nature assez divers

La formation des images orales consécutivement à l'audition de la parole est absolument nécessaire soit à l'intelligence

de la parole est absolument nécessaire soit à l'intelligence de la parole , soit à son imagination, soit à sa répétition.

plus généralement une impossibilité d'arti- culation correcte de la parole volontaire. DE 1,A SURDITÉ VERBALE. 187 II. T

ar la seule impossibilité, plus ou moins complète, de comprendre la parole . Tel est le fait de M. Giraudeau' : « Lorsqu'on

l y a surdité des mots; mais 1 Batemau. De l'aphasie ou perte de la parole et de la localisation de la faculté du langage

mots. Seulement il répétait, comme automatiquement, les dernières paroles des phrases qu'on lui adressait, et s'impatien-

la copiant, le malade de M"° Skwortzoff ne pouvait comprendre la parole qu'en la répétant. Dans les deux cas, à un exam

, par laquelle se fait cette répétition n'est pas atteinte; mais la parole ne sera pas ' Skwortzoff. Loc. cit. ; Obs. X, p

ration orale. Alors deux choses pourront se pro- duire : ou bien la parole , qui n'avait pas été comprise tout d'abord, ser

plique le fait par l'inté- grité de la mémoire des mouvements de la parole ; dans le second cas, par le défaut de fonction

cette mémoire. Mais qu'est-ce que la mémoire des mouvements de la parole ? On donne généralement ce nom au centre io (ce

tion centripète, celle de présider au souvenir des mouvements de la parole accomplis, sans cesser de la considérer comme a

trifuge, celle de présider à l'accomplissement des mouvements de la parole . Je pense qu'on a tort, de désigner ainsi le ce

e contestation, c'est que le centre io préside aux mouvements de la parole : c'est donc un centre d'impulsion motrice. Or,

rie. 11 ne mérite donc pas le nom de mé- moire des mouvements de la parole , mais plutôt celui de mémoire des impulsions or

d'admettre l'existence d'une véritable mémoire des mouvements de la parole . Pour la mettre en évidence, il suffit de se ra

reprenaient aussitôt. Ce n'est pas par l'audition de leur propre parole qu'ils se corrigeaient;, c'est donc qu'ils étai

tion, en pareil cas, que celle de la mémoire des mouvements de la parole . Et ce que je dis de la parole est également ap

de la mémoire des mouvements de la parole. Et ce que je dis de la parole est également appli- cable à l'écriture; s'il y

qu'en écrivant; de même, grâce à la mémoire des mouvements de la parole , il est facile de comprendre les faits d'écholali

déjà cité). Ainsi donc, il y a lieu d'admettre, relativement à la parole , deux ordres distincts de mémoire : l'une qui m

des impulsions orales affectée à la production des mouvements de la parole , l'autre véritable mémoire des mouvements de la

ements de la parole, l'autre véritable mémoire des mouvements de la parole , destinée à la perception, au contrôle de ces d

insiste sur ce point : la formation des images des mouvements de la parole est une fonction spéciale, parfaitement distinc

n'est guère admissible. D'ailleurs la mémoire des mouvements de la parole , au sens où je la considère, est une dépendance

dre parler, se reprennent aussi ; leur mémoire des mouvements de la parole a donc fonctionné correcte- ment, alors que leu

n; chez ceux-ci le plus souvent la mémoire des mouve- ments de la parole est conservée, alors que celle des impulsions o

aris, 1886. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE. mémoire des mouvements de la parole (écholaliques de Voisin, de Béhier, de Marcé).

nclure de cette discussion : 1° que la mémoire des mouvements de la parole est distincte comme fonction et comme localisat

des impulsions orales et non celui de mémoire des mouvements de la parole ; 3° que la mémoire des mouvements de la parole,

des mouvements de la parole; 3° que la mémoire des mouvements de la parole , dont la localisation est encore inconnue, doit

mé, trois centres cérébraux distincts, destinés à la fonction de la parole , deux sensoriels et un moteur, celui-ci (io, Fq

ulsions orales : c'est le centre de la mémoire des mouvements de la parole . Grâce à cette conception, il devient bien faci

non d'intelligence de ces mots (voir Fig. 4).. i. Il le' Cas. La parole pénétrant en Au suit le trajet in- tracérébral

voiemp io actionnent le centre de Broca, io, et par la voie iod, ia parole est répétée; 200 CLINIQUE NERVEUSE. cette par

la voie iod, ia parole est répétée; 200 CLINIQUE NERVEUSE. cette parole ne sera pas comprise s'il y a interruption des

des trajets mpIV et Paefmo IV. 2e Cas. Après avoir été répétée, la parole , non com- prise d'abord par suite de l'interrup

de temps après d'oscillations dès qu'elle n'était pas appuyée. La parole a été embarrassée presque au début de la maladie.

l'abolition des réflexes rotuliens, le nystagmus, l'embarras de la parole , l'absence de troubles de la sensibilité, d'ano

des cordons postérieurs ; quant à l'incomplet développement de la parole et au strabisme, on ne saurait se prononcer. Le m

la question à l'ordre du jour. M. Falret, qui a pris le premier la parole , est venu donner la consécration de sa grande e

ce du 15 décembre 1885 '. M. Loehr, senior, ouvre la séance par des paroles de bienvenue. 11 mentionne la mort de MM. Eckel

iots ou crétins et pour le traitement des jeunes épileptiques. M La parole est à M. le rapporteur. - M. THÉOPHILE Roussel,

pellerai l'idiot absolu, celui qui n'arrive pas même à proférer une parole ; mais il y a 266 SÉNAT. beaucoup d'idiots qu

l'article fer. M. Dupré, président de la commission. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à M. Dupré. M

ésident de la commission. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M. Dupré. M. Dupré, président de la commi

ès bien ! sur plusieurs bancs.) . . 111. ne GAVARDIE. Je demande la parole . ' · M. LE Président. La parole est à M. de Gav

. 111. ne GAVARDIE. Je demande la parole. ' · M. LE Président. La parole est à M. de Gavardie. , M. DE GAVARDIE. Messieu

dans cet article. M. LE PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t-il encore la parole ? ... M. TFSTELIN. Je la demande, Monsieur le P

TFSTELIN. Je la demande, Monsieur le Président. M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M. Testelin. M. TESTELIN. Messieurs, je n

, l'honorable M. Testelin me semble avoir mal compris la portée des paroles qui ont été prononcées par M. le commissaire du

dont elle propose la création. ,l M. GEORGES Martin. Je demande la parole . f *' ' M. L PRÉSmszJT, L'a parole est à \l. Ge

M. GEORGES Martin. Je demande la parole. f *' ' M. L PRÉSmszJT, L'a parole est à \l. Georges Martin. r , 11. GEORGES Marti

on de l'établissement. » M. LE Président. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'ar- ticle 3... ? M. DE GAVARDIE, de sa

RÉSIDENT. Montez à la tribune, monsieur le rapporteur, vous avez la parole . M. le RAPPORTEUR, à la tribune. Le Gouvernemen

de la commission. (Très bien 1 gauche.) M. LACOMBF. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. Lacombe.

1 gauche.) M. LACOMBF. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. Lacombe. 280 sénat. M. Lacombe. Mess

é. (Très bien ! ) M. le Président. Quelqu'un demande-t-il encore la parole sur l'article 3' ? ... Je le mets aux voix. (L'

oit réservé. (Adhésion.) M. le PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'un des quatre premiers paragraphes de l'a

ir une durée de plus de six mois. » M. DE Gavardie. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. de Gavardi

mois. » M. DE Gavardie. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. de Gavardie. M. de G\VARDIE. Messieurs

it ? M. LE MINISTRE DE l'intérieur. C'est évident ! Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à M. le ministr

érieur. C'est évident ! Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M. le ministre de l'intérieur. M. le Mini

onsieur le président, je demande à dire un mot. M. LE Président. La parole est à M. Paris. M. Paris. Messieurs, les explic

donnent satisfaction. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'article ? ... Je consulte le Sénat. (L'ar

graphe 3 soit réservé. M. LE Président. Quelqu'un demande-t-il la parole sur les 4°r, 2°, 40, 5° et 6° paragraphes de l'

ne soulève aucune difficulté. (Assentiment.) Personne ne demande la parole sur le paragraphe lor ? ... Je le mets aux voix

n ou ne préside personnellement aux soins qui lui sont donnés. » La parole est à M. Lacombe pour développer son amendement

amendements qui ont été déposés. M. Roger-Marvaise. Je demande la parole . M. le PRÉSIDENT. La parole est à M. Roger-Marv

sés. M. Roger-Marvaise. Je demande la parole. M. le PRÉSIDENT. La parole est à M. Roger-Marvaise. M. Roger-Marvaise. Mes

RGES MARTIN. Modifiez le texte ! L M. ROGER-MARVAisE.'Je demande la parole . M. LE Président. Ne parlez pas tous à la fois,

ranger ». M. Paris. Je demande à dire un mot. M. LE Président. La parole est à M. Roger-Marvaise, qui l'avait demandée a

t une erreur que je rectifierai. , AI. LE RAPPORTEUR. Je demande la parole . ' M. le Président. La parole est à AI. le rapp

, AI. LE RAPPORTEUR. Je demande la parole. ' M. le Président. La parole est à AI. le rapporteur. AL le Rappouteur. Le S

le président, de continuer la discussion de la loi. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. le ministr

a discussion de la loi. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. le ministre de l'intérieur. M. le Mini

t commencé à parler vers huit à dix mois ; 346 CLINIQUE NERVEUSE. parole courante dans le cours de la seconde année * ; il

éi forme des extrémités supérieures et inférieures, de la tête ; la parole était saccadée ; cet état a duré une demi- heur

et mM<MMe< ? K6fc'HM. ! <eM ? 's(MMëes. Usage subit de la parole à la suite d'une frayeur ou d'une ivresse provo

mélancolie stupide. Etat général assez bon. Aucun mouvement, aucune parole pendant la journée. Rigidité des membres. - Eta

eptoïde. La nuit il se pelotonne en chien de fusil, et marmotte des paroles incohérentes. 1885. Janvier. Même état. -Les

es, le chatouillement forcé du thorax lui font pro- noncer quelques paroles . Il essaie de repousser ceux qui le ta- quinent

rlé assez longuement avec un de ses camarades qui le taquinait. Ses paroles sont or- durières et prononcées avec vivacité.

ec une clarté qui contraste avec son impossibilité de comprendre la parole . Celle-ci est perçue par lui comme un murmure c

ement, sans précaution, sans renforcer ma voix ; quand j'adresse la parole aux membres présents de sa famille, F... ne me

nonce, qu'il il répond correctement aux questions, qu'il répète mes paroles sans difficulté; et cela aussi bien en patois,

e façon assez peu correcte, mais il n'ajamais mieuxlu.-Il entend la parole parfois dans ses rêves; mais il ne comprend pas

n (appréciable ou non) des voies cérébrales destinées à conduire la parole jusqu'au centre des images orales (fibres appar

brute et incomplète. Imagination volontaire et invo- lontaire de la parole possible. Pas d'amnésie verbale ni de trouble d

ndait très bien tous les autres sons, et saisissait parfaitement la parole , bien que je m'ex- primasse à voix très basse,

ulation des mots, nor- male et facile; enfin M. B... peut rêver des paroles entendues et peut se représenter mentalement, à

ister sur ce point, quand on parfait vite, M. B... ne saisissait la parole qu'au prix des plus grands efforts, et parfois

te, me parait assez minime en ce qui concerne les sons ; quant à la parole , il l'en- tend réellement mieux de l'oreille ga

e en criant, je m'approche de son oreille gauche, je lui adresse la parole , sans élever sensiblement la voix, mais en ayan

ours suffisamment celle-ci ; mais il ne pouvait y discer- ner des paroles ayant un sens. C'est donc bien un exemple de su

on de la partie du faisceau sensitif affectée à la conduction de la parole qui aboutit au centre des images orales (trajet

d'abord à nous figurer le mécanisme normal de l'intelligence de la parole . Normalement la parole s'introduit par Au, (fiq

e mécanisme normal de l'intelligence de la parole. Normalement la parole s'introduit par Au, (fiq. 5) suit le trajet a i

l'absence d'amnésie orale et de troubles dans l'articulation de la parole . La surdité verbale brute paraît en outre coïnc

la perte de la perception nette de la DE LA SURDITÉ VERBALE. 379 parole (et sans doute aussi par la perte de l'imagina-

es auditifs) caractérisée par le défaut de perception nette de la parole , par le défaut d'imagination orale, par l'amnés

s), caractérisée par l'impossibilité de comprendre et d'imaginer la parole , avec pos- sibilité de répéter les mots prononc

'aide duquel il m'a été possible d'en expliquer la production. La parole pénètre eu Au et parcourt le trajet Au a b mp, ll

a ef mo IV, l'entendement perçoit et apprécie les mouvements de la parole . (La lésion d'un point quelconque du trajet P a

P a efmo IV entraîne la perte de la mémoire des mou- vements de la parole ; - quand cette lésion coexiste avec celle du tra

. C'est seulement'à partir de mai 4884, qu'il a commencé à avoir la parole un peu lente et difficile ; c'est vers le mois

ur la commissure droite, il la creuse assez bien en gouttière. La parole est notablement altérée, et l'articulation, un pe

lettre (toutes les syllabes ont été essayées). Le ton général de la parole est un peu analogue à celui que l'on observe da

l y a lieu d'établir un rapport franc de causalité. Intégrité de la parole , de l'entendement, de la motilité. Les foyers r

formes et épileptiformes ; enfin, à un moment donné, troubles de la parole rappelant,, sauf la tendance à scan- der ceux d

stait ni tremblement aux mouvements intentionnels, ni nystagmus, ni parole franchement scandée ; intégrité des pé- doncule

certains muets hystériques recouvrent d'eux-mêmes, à la longue, la parole ce n'est pas une raison suffi- sante pour les e

UAL, président, après avoir salué l'assis- tance, consacre quelques paroles émues à la mémoire du docteur de GuDDKN ; les m

ance du mardi 30 novembre 1886. M. Théophile ROUSSEL. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. Théophile

. M. Théophile ROUSSEL. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. Théophile Roussel. M. Théophile ROUSSE

la com- mission. M. Théophile Rousses, rapporteur. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à M. le rapport

hile Rousses, rapporteur. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Messi

ragraphe 3 est supprimé. M. le Président. Quelqu'un demande-t-il la parole sur la nou- velle rédaction proposée par la com

ent. M. le Président. Nous arrivons, messieurs, à l'article 7. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Messi

vernement, de proposer au vote du Sénat. M. Lacombe. Je demande la parole . M. le Président. Permettez, monsieur Lacombe !

dent. Permettez, monsieur Lacombe ! M. Roger- Marvaise a demandé la parole avant vous. La parole est à M. Roger- Marvaise.

eur Lacombe ! M. Roger- Marvaise a demandé la parole avant vous. La parole est à M. Roger- Marvaise. M. ROGEIi-iIAItVAI3

bien) très bien ! sur divers bancs.) M. DE Marcère. Je demande la parole . (M. de Marcère se dirige vers la tribune.) M

e je veux adresser à la commission. M. LE Président. Vous avez la parole . M. de Marcère. Messieurs, les observations qui

u'il propose. (Très bien ! sur divers bancs.) M. LE Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Je cr

oi. (Très bien ! à gauche et sur divers bancs.) M. LE Président. La parole est à M. le commissaire du Gou- vernement. .M

l'organe il n'y a qu'un instant; nous comprenons parfaitement les paroles , la citation éloquente qu'il a empruntée à M. le

droit de soigner leurs aliénés. M. Rogek-Marvaise. Je demande la parole . LE commissaire du GOUVERNEMENT. Dans l'article

. Première dent il 14 mois. Dentition complète à (/). Début de la parole à 14 mois. Début de la marche à 18 mois. Propre

ains. Cauchemars. Cris. Février 1898 : torticolis et troubles de la parole ; perte de la vision à droite en 3 jours; céphal

te en 3 jours; céphalalgies. Entrée à Saint- Antoine en avril 1898; parole lente; moitié gauche de la face moins mobile qu

st-à-dire en mars 1808, la marche devient encore plus difficile, la parole un peu embarrassée ; en trois jours s'établit u

lorsqu'on l'inter- roge ; elle répond aux questions posées, mais la parole est lente, difficile, et elle fait des efforts

ngite. A 13 ans, marche de plus en plus difficile, embarras de la parole , cécité de l'oeil droit en trois jours (' ? ),

0 mois. Dentition complète à 2 ans. Propreté et mar- che à 10 mois. Parole a 15 mois. - Convulsions de 7 à15 mois, intéres

as eu de convulsions; dentition complète à 2 ans. Propre à 10 mois. Parole à 15 mois. Vers l'âge de 2 ans, c'était un très

il pleure sans cesse ; le sommeil est entrecoupé de cauchemars ; la parole devient nasonnée, et impossible au début de 190

e ne pas tenir un engagement : car la personne à qui l'on manque de parole est lésée dans un de ses droits, la parole donn

nne à qui l'on manque de parole est lésée dans un de ses droits, la parole donnée équivalant à la concession d'un droit ;

ou ce projet ne lésait personne (1). Comment peut- on appliquer ces paroles à notre situation actuelle ? Est-ce que nous ne

ulsives qu'ils ont obser- vées manifestaient constamment dans leurs paroles , leurs propos, leurs gestes, etc., un penchant

les entoure, ab- sorbés par le monde invisible, ils prononcent des paroles embrouillées, apparemment dépourvues de sens, p

l organe. Tous les systèmes peuvent être atteints. L'organe do la parole est le siège fréquent de localisation de cette ém

'aphonie, du mutisme et des troubles divers de l'articulation de la parole . D'au- tres localisations s'observent dans le s

ité et épilepsie, hémiplégie spasmodiquc, nystagmus, troubles de la parole , accès répétés et escharres. Antécédents héré

le contact de personne, toujours prête à frapper ou à proférer des paroles grossières, si on veut changer ses habitudes ou l

dernières côtes. L'état mental a peu varié, mais les troubles de la parole se sont accrus, les mots sont bredouilles, scan

eulement chez les hystériques. Le monde scientifique accueillit les paroles du maître avec enthousiasme. Tous les médecins

brillant, soit par l'apposition des mains sur le front, soit par la parole . Peu importe aussi combien de phases existent d

dées délirantes de richesse. Inéga- lité pupillaire. Troubles de la parole . Mal perforant du pied gauche. » C'est un mal

sente de l'inégalité pupillaire, le signe d'Argyll-Robertson. La parole est traînante avec des accrocs aux mots d'épreuve

entourage.Elle ne le tlit qu'une fois ou deux et ce sont les seules paroles qu'clic 111'0- REFUS D'ALIMENTATION DANS LA D

t incomplète. Au moment où se produit une secousse convulsivu, la parole est inten ompue. La malade éprouve une sensatio

éresse pas la masse de l'organe et, ne produit pas de trouble de la parole . Les mains présentent un tremblement également,

âcheux ; et comme, jusqu'ici du moins,per- sonne n'a encore pris la parole pour faire remarquer quelles peuvent en être le

teurs appréciables. Les réflexes rotuliens sont très exa- gérés, la parole est lente, traînante, sans troubles intellectuels

qui réapprit il parler mais qui présente encore certains troubles : parole hachée, lente, exigeant tout un travail cérébra

s très suggestibles, il faut ce défier du la suggestion. La moindre parole inconsidérée leur trace une ligne de conduite e

e du la psychothé- rapie. On nu conçoit pas un bègue, un homme à la parole hési- tante ou embarrassée, faisant de la sugge

s inutile; aussi la question de la culture utile l'adaptation de la parole il la pratique du la psychothérapie doit rester à

ne discussion, elle esl, une fois encore, incapable d'articuler une parole , .lu 1Ï1 pnotise. Pendant son ",UIl1- meil, je

il est envisagé comme cause ettantotcommeenet. La suggestion est la parole qui sort de la bouche du l'hypnotiseur, c'est a

des fonctions d'un sens déterminé, mais ce sont les (roubles de la parole qui, relativement, sont les plus fréquents. Nou

Il était atteint d'idiotie ; la marche était très défec- tueuse, la parole et l'attention nulles. Il était triste, avait l'a

normale; l'attention s'éveille et la gaîté s'observe. 1894. -- La parole , nulle à l'entrée, semble naître. Quel- ques mo

emi. A son entrée (23 juillet 1892), l'enfant ne marchait pas, la parole était nulle, le gâtisme complet. L'attention étai

en les trois premiers mouvements de la gymnastique des échelles. La parole s'est sensiblement développée, mais en conserva

essé ou tombe. Les progrès en écriture et en lecture sont lents. La parole reste toujours défectueuse au point de vue de l

l était atteint d'idiotie complète, avec épilepsie et gâ- tisme. La parole était nulle ; l'enfant était turbulent et mé- c

ts. - A la suite des exercices de gymnastique, de toi- lette, et de parole , l'enfant s'est amélioré. Il a débuté par une p

gâtisme. (D Remarque : ce fait n'est pas rare. Des enfants, dont la parole est limitée à quelques mots, prononcent parfois

oins fréquents. L'amélioration continue, tant au point de vue de la parole que des exercices classiques. La tenue est meil

nIÉDICO-I'1 : DAGOGIQUE DES IDIOTIES. 247 n-âteux depuis un an. La parole , limitée à quelques mots seu- lement, est aujou

ns 1/2. Idiotie complète avec 11licrocéPltalie TRÈS PRONON- CÉE. La parole , la marche, la préhension, la propreté, l'at- t

L'enfant n'a subi presque aucun changement (Fig. 13).. - 1889. La parole semble vouloir venir, et il prononce : « Oh ! p

déc. 1893. Atteint à l'entra, le 24 septembre 1902, d'idiotie, avec parole défectueuse. Phy- sionomie niaise, air craintif

et de se ronger les ongles. 1903. -- Légère amélioration pour la parole , la toilette, le lavage et la gymnastique. Touj

ré le 14 décembre 1896. A l'entrée, est atteint d'idiotie complète. Parole et marche nulles. Gâtisme. L'enfant est inca- p

at de l'enfant reste stationnaire. 1901. Les progrès continuent. La parole est libre et compréhensible, il emploie le verb

surfaces. Il exécute bien tous les mouvements à la gymnastique. La parole est libre, l'enfant commence à écrire. Sa tenue

ut à fait propre, le jour, mais pas encore complètement la nuit. La parole reste défec- tueuse, il n'est arrivé encore qu'

oi, il est fier, et va montrer à tout le monde qu'il est propre. La parole aussi se développe, il pro- nonce papa, maman,

trée (16 août 1902), l'enfant est atteint d'idiotie avec gâtisme et parole presque nulle. La turbulence est grande; l'enfa

on au point de vue du gâ- tisme, un peu aussi au point de vue de la parole limitée seu- lement aux mots papa et maman et a

jourd'hui, se tenant mieux chaussé et cassant moins de carreaux. La parole se développe, l'en- fant cherche à faire des ph

it il se montre très confus, très vexé. Il a beaucoup gagné pour la parole , il fait effort pour répéter les mots, commence

orps et de ses vêtements. 1904. Cet enfant ne gâte plus le jour, la parole est de moins en moins défectueuse, il s'habille

eV/ICI' 19oa. - 1934. Physionomie peu expressive, rictus ccntinuel, parole affectée dun chuintement prononcé. Lucien, beau

ion, bouche toujours entr'ouverte ébauchant un sourire perpétuel, parole complètement nulle, tel était cet enfant lorsqu'i

Les défauts d'articulation étaient nombreux; tous les organes de la parole se mouvaient avec peine, les consonnes étaient

lève s'est prêté volontiers aux exercices de la gym- nastique de la parole , peu à peu l'articulation s'est modifiée. L'éch

enues plus rares. 1904. - Itzikowi ? continue à s'améliorer pour la parole , 1 les progrès ont marché de pair pour l'écritu

labaire. Nous obtenons davan- tage à l'aide des letties mobiles. La parole , chez cet enfant, continue à s'améliorer. igo

ours très fugitive et empêche ses progrès pour la lecture. 19o3. La parole s'est beaucoup améliorée, notre élève ronstruit

tate aux réflexions qu'il nous fait. Sa conversation est suivie, la parole est encore affectée d'un chuintement très prono

escend les escaliers sans aide. Très en progrès éga- lement pour la parole , il répète et comprend maintenant tout ce qu'on

po-jr la teigne. 1903. - Pard ? connaît maintenant les couleurs. La parole est moins défectueuse. 1904. -- Notre malade

chiffres, com- mence à tracer quelques bâtons très irréguliers. La parole continue à s'améliorer et nous obtenons un peu

é de 2 ans 112 (Fig. 22).A son arrivée, il gâtait nuit et. jour; la parole et la marche étaient nulles. Ne mangeant pas se

THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. comprend pas encore l'application. La parole est très amélio- rée, l'articulation est nette,

de choses(Fi ? 2 5). 272 THERAPEUTIQUE PEDAGOGIQUE; 1904. - La parole est presque normale; il lui arrive très souvent

une sorte de demi-sommeil, indifférent à tout ce qui l'entourait : parole , jeux; nous ne parvenions pas à secouer sa torp

e. Il fait l'addition et la soustraction. Il tient conversation, sa parole a encore quelques légères défec- tuosités. Il j

à progresser lentement; il aime à rendre des services ménagers. Sa parole s'est beaucoup amé- liorée. TRAITEMENT D11

85, entré le 21 mai 1894. Imbécillité avec myopie, très prononcées. Parole et marche singulières, gâte quelquefois le jour

l'échelle de l'idiotie, ayant tous les tics et manies des idiots : parole nulle, poussant des cris sauvages, mordant ceux q

pour le calcul; il commence cependant à faire seul l'addition. La parole est encore défectueuse. Néanmoins notre malade

plégie gauche. A son arrivée le 27 mai 1899,il gâtait jour et nuit. Parole limitée à papa, maman, pa pour pain. Aujourd'hu

in. Aujourd'hui (Igoo), il ne gâte plus; il exprime ses besoins. La parole à fait de grands progrès; il dit tous les jours

e (1899), Fél ? se tenait à peine debout et gâtait jour et nuit. La parole , très défectueuse, était presqu'in- compréhensi

u'in- compréhensible. Cet enfant a été rendu propre en 1893 et sa parole , très améliorée, commence, à cette époque, à être

dont il est affecté. Cet enfant a été notablement amélioré pour la parole . 1902. - Il commence à syllaber et à compter; l

re. 1903. - L'amélioration continue lentement mais sans arrêt. La parole est plus nette. 1904. Il est rendu propre. Les

mouve- ments. Ce qui laisse le plus à désirer, c'est la classe. La parole étant très défectueuse, il lui est très diffici

es étaient pris d'un tremblement convulsif. Il fallait employer les paroles les plus douces pour la consoler et la rassurer

sur- tout; de sorte que notre malade a moins songé à dire de ces paroles plus ou moins désobligeantes à l'égard de sa fami

9, à l'âge de 9 ans, atteinte d'idiotie profonde avec surdi-mutité, parole et marche nulles, gâtisme complet. - Cette enfa

e lave le linge avec pié- caution et se rend utile partout. Comme parole nous n'avons pu obtenir les résultats que nous

nt ; on constate alors chez le malade de l'embarras manifeste de la parole , un air de satisfaction et des idées mégalomaniqu

gales, réflexes normaux, strabisme de l'oeil gauche. Embarras de la parole , état démentiel simple. Troubles sphinctériens

paralysie générale au début. Perte de la mé- moire. Embarras de la parole . Inégalité pupillaire ». Absence de renseigneme

s marqué de la FOLIES TRAUMATIQUES ET ACCIDENTS DU TRAVAIL. 315 parole . Trouble paralytique de l'écriture. Inégalité pup

ure à l'usage des enfants arriérés ou présentant dos troubles de la parole , par Joseph Boyer. Edition illustrée de 150 ligur

à l'asile; par- le de son accident durant la crise. Embarras de la parole , obtu- sion intellectuelle. Oscillations pupi

ifestait par une sécré- tion rétroéjaculatoire du sperme. Voici les paroles de LW wenfeld (2) : : à l'appui des faits démon

à la buanderie : elle aime beaucoup laver. Sous le rapport de la - parole , elle a fait des progrès nota- bles. Elle s'exp

ôt les premiers exer- cices de notre enseignement : exercices de la parole , de la mar- che,' traitement du gâtisme, etc. -

la cuiller, la mastication est beaucoup moins lente qu'au début. La parole se développe en essayant de répéter tout ce qu'

IQUE DES IDIOTIES. 383 Blanche s'habille et se déshabille seule, la parole est meil- Fm, 41.- Harb ? il l'âge de 4 ans 1/2

atmse, née le 15 juillet 1891. A son entrée, elle était gâteuse, la parole et la marche étaient nulles, elle ne savait ni

a appris à parler, elle sait soute- nir une petite conversation, la parole est encore un peu défec- tueuse, principalement

nts. Elle est devenue affectueuse et aime qu'on s'occupe d'elle. La parole est un peu lente, ce qui ne l'empêche pas d'êtr

n'avons aucune fugue. Il y a chez elle de l'en- fantillage dans ses paroles , dans ses jeux, dans ses habitudes, mais on ne

ait, ni ne buvait seule, ne pouvait pas se tenir sur les jambes, la parole était nulle. Elle gâtait nuit et jour. Rien ne

très affectueuse. Amélioration au point de vue de la marche, de la parole et de l'alimentation. LXIX. BuL ? (Marguerite),

28 août 1899. Idiotie complète. - A Ventrée, le 19 septembre 1902, parole et marche nulles, gâtisme absolu; malgré cela,

en à table. Malheureusement ses progrès sont toujours lents pour la parole qui est limitée à quelques mots les plus usuels

octobre igoo, atteinte d'idiotie complète, avec gâtisme, marche et parole à peu près nulles. Les progrès faits par l'enfa

à fait incompréhensible; aucun signe, aucun geste ne suppléait à la parole , l'enfant essayait les premiers pas en chancela

s triste et préoccupée, répondait à peine quand on lui adressait la parole . Rien ne nous faisait présager les grands chang

ompte de son état. Elle causait peu, la voix était tremblotante, la parole lente et saccadée. Les senti- ments affectifs n

IER. BIBLIOGRAPHIE Y, - Enquête scolaire sur les troubles de la parole chez les éco- liers belges : par Romna. (Extrai

na s'est livré à une enquête très sérieuse sur les trou- ])les delà parole chez les écoliers normaux ou anormaux : 16.000

antes. Les écoliers de première année présentent des troubles de la parole : mais, au cours des études, les blésités dis-

s graphiques indiquant clairement la progression des troubles de la parole sui- vant l'âge, l'état intellectuel et le séjo

ique mentale. marquée à gauche ;la pointe est déviée de ce côté. La parole est extrêmement embarrassée et presque incompré

t difficile- ment à tout petits pas en traînant la jambe droite. Sa parole est incompréhensible, aucune syllabe ne pouvant

rte de la mémoire, sensiblerie, automatisme, embarras extrême de la parole avec parésie spasmodique des membresinférieurs.

ns suivantes : Physionomie hé- bétée. Aussitôt qu'on lui adresse la parole et qu'il veut répondre, une émotivité énorme se

e prolonge indéfiniment ; s'il arrive à se calmer, l'embarras de la parole est tel que ses réponses sont peu près incompré

gêne de la marche, ensuite des mains en troisième lieu, gêne de la parole ; entre temps, névralgies lombaires et sacrées,

lèvres est paré- sié à droite ; la luette est déviée à gauche. La parole est extrêmement difficile et on ne comprend que

omènes spasmo-paraly- tiques des membres inférieurs, embarras de la parole , inégalité pupillaire, mouvements fibrillaires

ents à la fois fibrillaires et ataxiques (mouvement de trombone) la parole .est très embarrassée, par suite de la para- ly

sée, son regard n'avait aucune fixité, elle possédait l'usage de la parole , mais son air timide, l'empêchait de répondre d

Fondation en juin 1901, atteinte d'idiotie avec gâtisme, marche et parole nulles. Les progrès faits par cette enfant sont

ion en juin 1901, atteinte d'idiotie avec hémiplégie, marche nulle, parole limitée à ces deux mots; papa, maman. A son ent

bécil. lité -prononcée, avec luxation congénitale des hanches. La parole était libre chez cette enfant qui répondait aux

n entrée en 1894, la physionomie annonçait peu d'intelligence; la parole était bonne mais tout à fait enfantine; elle mang

fant suit toujours la même marche vers une amélioration notable. La parole s'est encore modifiée depuis l'année dernière e

4) chez cette enfant des progrès sous bien des rapports. D'abord la parole : elle com- mença par dire bien des mots, const

à fait propre. C'est surtout sous le rapport de la propreté, de la parole et de la marche que les progrès de cette enfant

ue cette enfant s'est nota- blement améliorée sous le rapport de la parole , de la marche, de l'alimentation et du gâtisme.

ignalions les progrès l'an- née dernière, continue à s'améliorer. Parole , marche, nulles au début; gâtisme complet, cette

triste et maussade, le regard sans vivacité, le teint jaunâtre. La parole était lente, la voix faible, son caractère étai

abille elle-même, procède entièrement à ses soins de toilette. La parole , autrefois lente, est maintenant très vive. Elle

parlait peu, son vocabulaire ne s'étendait guère qu'en mensonges ou paroles grossières. Indifférente à tout, ni réprimandes

nges ou paroles grossières. Indifférente à tout, ni réprimandes, ni paroles affectueuses, rien ne la touchait. Aucun goût,

ais très sensible aux réprimandes et très joyeuse si on lui dit une parole d'en- couragement. Les sentiments affectifs s'é

ue qu'intellec- tuel s'est produit en peu de temps. La marche et la parole ont été très rapides; le gâtisme a complètement

it que la pitié, le regard était triste et morne, le teint pâle. La parole était défectueuse, elle avait un défaut de pron

vre l'enseignement médico-pédagogique. Signalons la création de la parole , la correction des vices de prononciation, des

elle hyperlrophique avec tremblement intentionnel et troubles de la parole . , 504 asiles d'aliénés. Clonus du pied.

n hypnotique, par Pa- marl, 330. - Enquête scolaire sur les de la parole chez les écoliers belges, par Romna, 425. - -

; 4° les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5" les exercices élémentaires relatifs à l'en

(Charles), 8 ans. 7f ! toh'e, épilepsie, turbulence;- Absence de la parole , et compréhension presque nulle. Actuellement l

..., Paccl..., Sterling..., ; signalés déjà comme améliorés pour la parole ont continué à progresser sous ce rapport, leur

de 1901, p. xiii, x;v). Un enfant, ICziI : ov...lIc : lix), dont la parole était complète- mcnt nullc à son arrivée, comme

réquem- ment. En 1900, nous signalons u't progrès notable pour la parole . - Lero..., trouve et prononce tous les mots pour

on est nette, seulement la langue semble se mouvoir avec effort, la parole est lente, un peu embarrassée et présente une a

une sorte de demi-sommeil, indifférent il tout ce qui l'entourait : parole , jeux; nous ne parvenions pas il secouer sa tor

e. Il fait l'addition et la soustraction. Il tient conversation, sa parole a encore quelques légères défectuo- sités. Il j

é envers ses camarades, la grossièreté et même l'obscénité dans ses paroles et dans ses chants. Actuellement il est doux,

le rictus inintelligible tend à disparaître . Cet enfant, dont la parole était complètement nulle son arrivée et dont le

s grossier et plus caressant. L'onanisme a été moins fréquent. La parole et encore défectueuse, les phrases incorrectes,

e la mort nous la enlevé. Il avait fait beaucoup de progrès pour la parole qui était devenue presque normale; pour la lect

e en relation avec son milieu, il est préparé à l'édu- cation de la parole , apte à profiter de plus en plus des leçons de

aisant chanter des rondes enfantines à rythme bien marqué, dont les paroles plus ou moins naïves ont été remplacées par d'a

iration nous ont puissamment aidé pour pré- parer l'éducation de la parole et corriger le bégaiement. 130U11NGVILLL, Bicêt

sure d'améliorer la prononciation des enfants et de développer leur parole , ont été envoyés .successivement, par séries, a

blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la parole (syllabes simples ou répétées ou combinées); 2"

septembre 1900, atteinte d'idiotie complète avec gâtisme; marche et parole nulles. L'amélioration produite chez cette enfa

octobre 1900, atteinte d'idiotie complète, avec gâtisme, marche et parole à peu près nulles. Les progrès faits par l'enfa

-à-fait incompréhensible aucun signe, aucun geste ne suppléait à la parole , l'enfant essayait les premiers pas en chancela

Fondation en juin 1901, atteinte d'idiotie avec gâtisme, marche et parole nulles. Les progrès faits par cette enfant sont

ion en juin 1901, atteinte d'idiotie avec hémiplégie, marche nulle, parole limitée à ces deux mots : papa, maman. A son en

sèques ont eu lieu le 17 octobre. Appelé inopi- nément à prendre la parole nous avons prononcé l'allocution suivante : .

rnelle ; grand-père paternel paraplégique. Accouchement au forceps, parole seulement il 4 ans, accès de colère. De temps e

particulier. - Anomalie de la dentition. Marche à 2 ans. Gâtisme. - Parole limitée à quelques mots. Station assise en tail

t le 26 mai. Amélioration. 1900. Réintégration la Fondation Vallée. Parole un peu plùs développée; prononciation défectueu

ser. Marche à 2 ans. Est encore gâteuse la nuit pour les urines. La parole est limitée à quelques mots. On arrivait assez

s, affectueuse avec ses parents. Inattention est facile à fixer. La parole est limitée à quelques mots. L'enfant ne cherch

re dent à 14 mois : dentition anormale. Marche à 2 ans, Début de la parole après 3 ans, évolution très lente et incomplète

mplète, on ne sait. Elle a marché à deux ans (son frère à 13 mois). Parole , début après trois ans. A 10 ans, elle parlait

sition suivie d'un écoule- ment aussi restreint. (Voir p. 34). La parole est limitée il des mots mal prononcés, d'une voix

ion aux anneaux et aux barres parallèles. Sait écrire 1, 2 et 4. La parole est plus libre, M... se mêle aux conversations.

tra- vaux manuels, la musique, danse la polka et le quadrille. La parole est toujours défectueuse. Elle parle entre ses

ès s'espacent ; mais l'intelligence s'affaiblit de plus en plus; la parole devient traînante, le malade entre'en déchéance

que lorsqu'on lui adresse directement la DÉCHÉANCE ; SUICIDE. 41 parole ; ses réponses sont pénibles, lentes à venir, exp

il ne se soumet qu'à regret et manifeste son mécontentement par des paroles grossières. Il évite de jouer ou d'échanger une

mée, demandant du papier pour écrire à sa mère, échangeant quelques paroles avec l'infirmier de service, et contrairement à

r la cuisse. Première dent à 11 mois, dentition complète à 3 ans. Parole et marche nulles. L'enfant n'a jamais eu d'accès

licale ; eczéma; arrêt de déve- loppement physique et intellectuel; parole , voix, etc. 1893-1894. Julep avec extrait de gl

s aller à la selle. On n'ajamais essayé de lui apprendre Ù lire. La parole est assez limitée, comme nous le verrons tout à

, lourde, sans expression. Ce ne sont pas des idiots complets. La parole , toujours plus ou moins impar- faite, existe à

e- ment et sont plus brillants. Les mouvements sont plus vifs, la parole est moins lente, le malade est moins engourdi.

s deux jours jusqu'à la date du 30 septembre : les mouvements et la parole sont plus vifs, l'in- telligence est un peu plu

plus courte, il meurt en quelques minutes sans prononcer une seule parole . L'interne de garde, appelé, ne peut que consta

s répétées de neuf mois à trois ans. - Marche à deux ans et demi. - Parole nulle. Gâtisme. - Intelligence nulle. 1890 :

ressive des tics. 1895 : Guérison du gâtisme. - Développement de la parole . - Accès de colère persistants. 1896 : Progrè

, faire les premières règles, etc. -Notions usuelles très étendues. Parole libre. Guérison des tics. Lem... (Georges), né

Lem... ne s'aide en rien, sauf qu'il se sert un peu de la cuiller. Parole nulle. Il mange seul en se servant uniquement de

isme. Pendant toute l'année 1891, l'enfant ne fait aucun progrès. Parole nulle. Gâte la nuit et le jour. - 1891. 20 juin

ntre de la bonne volonté. Octobre. Va seul aux cabinets le jour. La parole est toujours Fig. 21. Lem.... (Georges) en avri

la bouche. 1894. 16 juin.-Même état des organes génitaux (Fig. 21). Parole toujours nulle. Parait comprendre ce qu'on lui

gymnastique des échelles. . Décembre. Essaie de balbutier quelques paroles : «attends, va voir. » Place quelques lettres e

prépuce recouvrant entière- ment le gland ; région anale normale. Parole améliorée, essaie de répéter les mots, mais avec

onférence, 4 centimètres ; phimosis. Testicules égaux. Anus normal. Parole très améliorée, commence à faire. de petites 14

e. L'écriture s'améliore. Progrès abso- luments surprenants dans la parole qui était absolument nulle. Chaque jour il empl

otte pas. Testicules du volume d'un oeuf de moineau. Anus normal. Parole encore défectueuse, mais Lem ? a acquis cette ann

culté pour le calcul, fait l'addition, commence la soustraction. La parole est encore défectueuse pour certaines consonnes s

et déterminent l'idiotie complète : absence de développement de la parole , persistance du gâtisme, impotence des membres,

eloppée. A partir de 1895, les tics ont diminué, puis disparu. La parole est venue, l'enfant a appris à se laver, à s'habi

nés et rachitisme des membres inférieurs ri seize mois. Début de la parole à deux ans; prononciation défec- tueuse pendant

deux ans. Premièredent à sept mois, dentition complète à deux ans. Parole un peu tardive : à deux ans elle ne disait que

amines ». Sommeil calme, prolongé. Voix souvent rauque, voilée ; la parole est libre. L'intelligence est au-dessus de la moy

marchant, simultanément elle pousse des cris perçants, prononce des paroles grossières. Durant cette période d'exacerbation t

6 mois, dentition complète à 2 ans ? . Marche et propreté à un an. Parole à zig mois. Pas de convulsions. Accès de colère

sevré à un an. Première dent à G mois; dentition complète à 2 ans. Parole à 16 mois. Marche et propreté il un an. Antéc

contact, et à la douleur, diminuée. Intelligence : assez ouver- te. Parole : normale, lit et écrit bien. Tableau du poids

ent à si.v mois. Dentition complète a ? ans. 'q Pas de convulsions. Parole deux ans. Marche à un an. Pèrityphlite à 7 ans

- sionomie douce, un peu triste. Regard un peu vague. - R... a la parole tantôt libre, tantôt embarrassée et incompréhen-

précédents. Elle parle sans cesse mais on ne peut la comprendre la parole ne peut pas sortir. Il faut l'habiller, la forc

ister pour la faire marcher, manger, asseoir ou se tenir debout. La parole reste incompréhensible. Quoiqu'elle n'arrête pa

. - L'état de notre malade reste stationnaire au point de vue de la parole . Continuellement l'enfant passe la main sur son

'ouvroir elle exécute le travail qu'on lui donne mais sans dire une parole . Elle est très lente dans tout ce qu'elle fait.

les autres enfants dans tous les exercices mais très lentement, la parole est plus compréhensible, elle répond mieux aux

tes les questions qui lui sont posées elle répond franchement, sa parole et tous ses mouvements sont moins lents, sa démar

mois. Dentition complète à ? . Début de la marche à 20 mois, de la parole à 2 ans, de la propreté à 3 ans. - Convulsions

es mains, surtout de la droite. Description du malade à Ventrée : Parole défectueuse; - incapacité de se déshabiller, de

défaut. Première dent à 5 mois. Début de la marche à 20 mois, de la parole à 2 ans. Propre à 3 ans. Caractère turbulent. A

omomanie) ont débuté vers 20 mois. Il était en retard pour tout. La parole était limitée à quelques sylla- bes plus ou moi

(Fig. 27). État mental. Ler.. est très turbulent ot coléreux. Sa parole est très défectueuse; pour dire : cc bonjour mada

'enfant sort de l'infirmerie guéri. 1900. Januier. - Ler... dont la parole était pour ainsi dire nulle à son arrivée, dit

ette, seulement la langue semble se mouvoir toujours avec peine, la parole est lente, un peu embarrassée et présente une c

nnoncer qu'il exercera ses malpro- pretés dans son lit, et il tient parole . L'état de Ler... se maintient stationnaire jus

- sions survenues à six semaines, le retard de la mar- che, de la parole et de la propreté (1). A 3 ans et demi, convuls

ais- sance, devenait noir. ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. 237 René Parole : répétait quelques mots jusqu'à sa rougeole :

enfant cle 17 ans qui avait présenté uniquement des troubles de la parole , et dont une soeur était idiote ; -, c'est le c

chez un jeune homme de 19 ans qui avait présenté des troubles de la parole , du stra- bisme interne et quelques troubles de

i des troubles moteurs des membres inférieurs et des troubles de la parole . II. Nous ne croyons pas que l'atrophie cérébel

tc. 3° les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5° les exercices élé1 ? 1Cntai- res relatifs à

enfant atteint d'idio- tie complète il Ventrée, ne marchait pas, la parole était nulle, le gâtisme complet. flllJOtl1'Cl'I

nulle, le gâtisme complet. flllJOtl1'Cl'It2Ll, il est amélioré, la. parole est bonne, l'enfant cependant conserve une pron

les lettres et les chiffres et il reconnaître les légumes. Pour la parole , il a fait des progrès, il cause assez convenab

la fourchette. Est propre le jour et la nuit, va seul au siège. Sa parole s'est notablement améliorée, sa prononciation e

ant atteint d'idiotie profon- de, très-borné, marchait à peine ; la parole était nulle, et il gâtait la nuit et le jour. I

dans le service atteint d'idiotie complète avec gâtisme ; marche et parole nulles. Aujourd'hui, il parle, marche, s'habill

rnommer par les autres la petite misère). Il était grand gâteux, la parole était nulle, et à table il ne savait pas manger

- miplégie, pris a son arrivée en mai 18119, gâtait jour et nuit. Parole à peu près nulle, limitée a papa, maman, pa pour

ur pain. Aujourd'hui, il ne gâte plus; il exprime ses besoins. La parole a fait de grand ? progrès; il dit tous les jours

descend les escaliers sans aide. Très en progrès également pour la parole , il répète et comprend main tenant tout ce qu'on

tes, que nous avons signalé l'année dernière comme amélioré pour la parole a continué ses progrès; il dit tous les jours d

yllabairc. Nous obtenons davantage à l'aide des lettres mobiles. La parole , chez cet enfant, continue à s'améliorer. G°

t vers nous et, sans être interrogé, nous cause avec iL propos ; sa parole nous surprend souvent par la longueur des phras

e bien, mais enfin arrive à se faire comprendre, si ce n'est par la parole , du moins par l'écriture. Nous devons joindre

A son arrivée, se tenait à peine debout et gâtait jour et nuit. La parole , très défectueuse , était presqu'incompré- hnes

squ'incompré- hnesible. Cet enfant a été rendu propre en 1893 et sa parole , très améliorée,commence, à cette époque, à êtr

l'échelle intellectuelle ayant tous les tics et manies des idiots ; parole nulle, poussant des cris sauvages ; mordant ceu

pour le calcul; il commence cependant à faire seul l'addition. La parole est encore défectueuse. Néanmoins notre élève a

Enseignement DU chant. XVII tion des cnfants et de développer leur parole ont été envoyées successivement, par séries, au

res (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l'éducation de la parole (syllabes simples ou répétées ou combinées); `

triste et préoccupée, répondait à peine quand on lui adressait la parole . Rien ne nous faisait présager les grands changem

s ensuite et tient aujourd'hui conversation, raisonne même bien. La parole est libre, la prononciation n'est pas défectueu

s signalions les progrès l'année dernière continue à s'améliorer. Parole , marche, nulles au début; gâtisme complet, cette

fait. Pas de convulsions, ni à la rougeole, ni avant, ni après. Parole : répétait quelques mots jusqu'à sa rougeole :

enfant de 17 ans qui avait présenté uniquement des troubles de la parole , et dont une soeur était idiote ; Atrophie du c

chez un jeune homme de 19 ans qui avait présenté des troubles de la parole , du stra- bisme interne et quelques troubles de

i des troubles moteurs des membres inférieurs et des troubles de la parole . II. Nous ne croyons pas que l'atrophie cérébel

ovoquées par la dentition. Début de la propreté vers 6 azzs; -de la parole vers 9 ans. Apathie habituelle ; parfois accès

« elle prenait un bâton et faisait semblant de jouer du violon. » Parole vers 9 ans, elle est entrée il. Trousseau (servic

s fréquents. Démence et déchéance progressives. Intelligence nulle, parole difficile, traînante, nasillarde. Mort causée p

eur apparition de bonne heure, pas de retard de la marche, ni de la parole , propre de bonne heure. Antécédents morbides

btuse dans ses trois modes. L'intelligence est à peu près nulle, la parole est lente, difficile, traînante, nasillarde com

semble s'être amélioré mais on ne note pas de progrès, quant à la parole . Il est plus gai, crie moins souvent, a plus rare

ire. Autre grand-oncle paternel, alcoolique. Cousin arriéré pour la parole . Mère et sa famille, rien de particulier. Pas

Accouchement normal. - Première dent à 6 mois. Marche à 13 mois. - Parole à ? Chute sur la tête à un an. Onanisme. Pneumo

a parié que vers 5 ou G ans, et qui maintenant, va au collège, a la parole très libre et apprend très bien. Il a 11 ans. I

. Le début de la marche a eu lieu à l'âge de 13 mois ; quant à la parole , il est impossible de déterminer la date de son d

rend pourtant a peu près tout ce qui concerne les objets usuels. Sa parole est à peine ébauchée ; Traitement médico-péda

e. L'enfant, malgré sa bonne volonté, ne fait aucun progrès pour la parole . Il n'est plus gâteux et com- mence ;'¡ se lave

5 cm. anus normal. Novembre. Arrêt des douches. Décembre. - La parole est devenue fort intelligible ; l'enfant sait d

s. Juin. - L'amélioration continue, surtout au point de vue de la parole , qui devient de plus en plus intelligible. L'en

e 10. Juillet ? L'enfant a fait des progrès satisfaisants pour la parole , l'écriture, la lecture, et la gymnastique. Son i

cle paternel était alcoolique, et un cousin a été arriéré pour la parole . II. Le développement physique de l'enfant n'a

idiotie profonde avec gâtisme, impulsions violentes et onanisme; la parole était nulle. Malgré cela, sa physionomie était

, mais son caractère était toujours emporté, et les progrès de la parole étaient nuls. En juin 1897, ilcom- 76 Améliorat

adoucit. En décembre de la même année, les progrès s'accentuent, la parole devient plus intelligible ; la propreté est com

a pris assez de lait, il le rejette en soufflant. L'attention et la parole ont toujours été nulles. La sensibilité général

des membres inférieurs. Pas de contracture. Intel- ligence nulle : parole presque totalement absente ; ne mange pas seule

se rendre compte de l'état des autres modes de la sensibilité. La parole est presque nulle ; elle se borne à quelques mots

xie à la naissance. - Première dent à 2 ans. Jamais de convulsions. Parole et marche nulles. Consti- pation habituelle. Ré

ixième mois de la grossesse. Marche à 11 mois. Convulsions ci 1 an. Parole vers 2 ans. Accès d'épilepsie. -Câtisttte iater

- lioré sous tous les rapports et notamment au point de vue de la parole dont les organes sont plus souples et plus doci

e à vingt et un mois. Jamais de convulsions, Imbécillité. Fugues. Parole très limitée. Période d'excitation. Réponse par s

nsan- guinité. Inégalité d'âge de 7 a ? is. Pas de convulsions. - Parole nulle. - Impossibilité de se tenir debout. - Af

n au 6e mois de la grossesse. Marche à 4 mois. Convulsions à 1 an. - Parole vers 2 ans.- Accès d'épi- lepsie. Gâtisme inter

e toute petite. Première dent à 4 mois. Dentition complète à an ? Parole et marche nulles. Gâtisme. - Accès de colère. T

nt en arrière. Actuellement Tabour... a gagné au point de vue de la parole un certain nombre de mots usuels. Il mange seul

aissance. - Première dent à 5 mois. Dentition complète à 22 mois. = Parole et marche nulles. Gâtisme. Jamais de convulsion

erme, naturel. Première dent à un ans Marche à 14 mois. Début de la parole , limitée à quelques mots, à deux ans. Jamais de

a tt Microcéphalie. 189 lecture, au moyen des lettres en bois. La parole , presque nulle à l'entrée a beaucoup gagné : La

ossesse, accouchement, rien de particulier. Première dent à 6 mois. Parole nulle. Impossibi- lité de se tenir debout. Affa

in 1891, est entré le 28 janvier 1898. A l'entrée, il y a 2 ans, la parole était inintelligible. Au réfectoire, il se serv

les pierres; il n'avait aucune notion d'écolage. Actuellement, la parole s'est notablement améliorée. Il mange propremen

is. Mar- che presque impossible à l'entrée (5 ans). - Début de la parole , limitée à « papa, maman », à un an. Jamais pro

bille seule. Le gâtisme a totalement disparu. Au point de vue de la parole l'enfant a fait quelques progrès. En résumé une

est tout prêt pour les leçons de choses, pour l'enseignement de la parole , le perfectionnement des sens, les notions d'in

; 4° les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5° les exercices élémentaires relatifs à l'ens

re cette année. L'amélioration continue, tant au point de vue de la parole , que des exercices classiques. La tenue est mei

(Edmond), 13 ans. Est arrivé gâteux, ne marchant pas et privé de la parole . Actuellement, il parle bien, il marche. Sa ten

parlait pas, marchait mal et ne savait rien faire. Aujourd'hui, la parole est compréhensible, malgré un excès de timidité

le), Cour.... (Georges). - Cinq enfants ont été améliorés pour la parole : Itziko ... (Félix), Le Bi... (Cyrille), Riq.. (

ion, bouche toujours entr'ouverte ébauchant un sourire perpétuel, parole complètement nulle, tel était cet enfant lorsqu'i

s défauts d'articu- lation étaient nombreux; tous les organes de la parole se mouvaient avec peine, les consonnes étaient

ices de la gym- Petite école complémentaire.. xvii nastique de la parole et peu à peu l'articulation s'est modifiée. L'é

a fait beaucoup plus d'accueil à son père lors de ses visites, la parole est devenue moins rare ; il a commencé à penser

it il se montre très confus, très vexé. Il a beaucoup gagné pour la parole , il fait effort pour répéter les mots com- menc

tre en relation avec son milieu, il est préparé à l'éducation de la parole , apte à profiter de plus en plus des leçons de

aisant chanter des rondes enfantines à rythme bien marqué, dont les paroles plus ou moins naïves ont été remplacées par d'a

spiration nous ont puissamment aidé pour préparer l'éducation de la parole et corriger le bégaie- ment. Notion du '\0)1

sure d'améliorer la prononciation des enfants et de développer leur parole , ont été envoyés suc- cessivement, par séries,

44 vues ont été cédées à la Petite École pour l'enseignement de la. parole , ainsi que 30 bandes amusantes, sur verre. (1

blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la parole (syllabes simples ou répétées ou combinées); 2"

u de durée et il est rare qu'elles ne cèdent pas il quelques bonnes paroles . Apprenti serrurier médiocre. ( : nbol·.....

xercices de la marche, des jointures, massage, gym- nastique, de la parole , etc., etc. Nous faisons assister les parents à

ôt les premiers exerci- ces de notre enseignement : exercices de la parole , de la marche, traitement du gâtisme, etc. Pe

cuiller, la mastication est beaucoup moins lente qu'au début. La parole se développe en essayant de répétertout ce qu'ell

4 ans 1[2. Idiotie complète. -A l'en- trée, le 19 septembre 190 ? , parole et marche nulles, gâtisme' absolu; malgré cela,

n'est pas rare. - Même défaut de correspondance, souvent, entre la parole et l'é- tat réel. 1 C Traitement médico-pédag

s n'avons aucune fugue. Il y a chez elle de l'enfantillage dans ses paroles , (1,,iis ses jeux, dans ses habi- tudes, mais o

pte de son état. Elle causait peu, la voix était tremblotante, la parole lente et saccadée. Les sentiments affectifs n'éta

ni ne buvait soûle, ne pouvait même pas se tenir sur les jambes, la parole était nulle. Elle gâtait nuit et jour. Rien ne

e, son regard n'avait aucune fixité, elle possédait l'usage de la parole , mais son air timide, l'empêchait de répondre dir

Assistance et enseignement. I. ... Traitement et éducation de la parole chez les enfants idiots et arriérés ; - l'AU

ts et arriérés ; - l'AU 11 «Ol H.MCVII.I.Ii et .1. nOYER (l), La. parole étant une fonction très complexe exigeant pour

intellectuel, et de simple et naturelle qu'elle était au début, la parole est devenue de plus en plus conventionnelle et

les représenter ? Que si les muets intelligents ont des idées sans parole , n'est-ce pas parce qu'ils ont il la place de c

t par là que nous débuterons. Si l'enfant n'est, Enseignement de la parole . cxxxiii pas atteint de surdité complète (1) no

souvent bien trouvé en suivant l'ordre suivant : Enseignement de la parole . cxxxv qu'une syllabe isolée, nous apprenons d'

înmes à leur faire répéter non pas seulement l'air, mais encore les paroles , ce qui avait pour nous un autre intérêt. Nous

ce. Le désir de sortir sera un stimulant déplus pour provoquer la parole . On se butte souvent une obstination aussi bizarr

t bien fait ! » L'idiot est souvent très suscep- Enseignement de la parole . ' CLXXVII tihlc, il comprendra la plupart du t

un oeuf), et certainement la ne s'arrêteront pas les progrès de la parole chez cet enfant. Séguin a fait remargucravecrai

eproduit un refrain quelconque, dont il est incapable de redire les paroles , c'est une suite de syllabes redoublées qu'il f

roprement dite, (Voir p. sx, vxtv. W ot. wvttt). Enseignement de la parole . cxxxix au maître de s'ingénier à amuser l'élèv

rûler, Julien manger, voilà les phrases que nous Enseignement de la parole . CxLI tâchons de provoquer, phrases qui se comp

diots qui semblent ne pouvoir aller plus loin au point de vue de la parole . Ils continuent à acquérir de nouveaux mots, et

auche, nous lui apprendrons il toucher le palais Enseignement DE la parole . EUX LIAI il se mettre en gouttière, à frapper

ots de cette catégorie, il sera bon au préala- r Enseignement de la parole . CXLV ble, pour lâcher d'augmenter la capacité

anée latérale des hras et alternative des jambes. Education DE la parole . CXLVII Exercices du souffle. a) Faire éteind

r groupe. CL Traitement \IÉDICO-PÉD : 1GOGIQUE. Education DE la parole . CLI CLII Traitement \fÉCIC : O-PI;D1GOGIQLE.

7CLlII CLIV Traitement \IÈDICO-PÉD.1GOGIQtE. Éducation DE la parole . CLV Syllabes simples, 5e groupe. la lala : l

.GIQUE. Syllabes s;ï-pTès; .6ë.)t;l<oupe. ? ; Éducation de. la parole , CLVJtj Le maître dira lcuiom lui-même, et le f

DAGOGIQUE. ... I.. Syllabes complexes 1er groupe. Education DE la parole . CLXI CLXII Traitement médico-pédagogique. Co

atrophie, fis- sures, brièveté du. frein); le palais (déglutition, parole ); - lesamygdales -le pharynx (végétations adé

nt, cou, épaule, bras, coude, poignet, main, doigt, Education DE la parole . CLRIII poitrine, dos, côté, ventre, hanche cui

- coolique, il présente un retard notable dans l'apparition de la parole , de la dentition, de la marche et de la propreté.

i pendant la grossesse. Début, de la marche à 2 ans ; début de la parole à 6 ans. Gâtisme à l'entrée dans le service. Quel

; début de la marche à 12 mois ; propre avant 18 mois, début de la parole avant 18 mois. Jamais de convulsions, coléreuse

89 ; il était alors idiot com- plet (marche, préhension, attention, parole nulles, gâtisme); (Fig. 20, 21). Peu à peu, il

gence à peu près nulle. Traitement. Hydrothérapie et exercice de la parole . Sirop d'iodure de fer. Température à l'entré

1 re dent tar- dive.à j ? ) Dentition complète à 2 ans.Début de la parole vers 18 mois, delà marche, 2 ans. - Pas de conv

lement les exercices scolaires, la gymnastique, l'éducation, de la parole , etc., le sujet s'est amélioré. Evolution des o

artir de cinq mois. - Marche des con- vulsions. - lielai(1, dans la parole . Onanisme. Turbulence. Clastomanie. Intelligenc

ité générale intacte dans ses trois modes. - Intelligence nulle. La parole fait complètement défaut. 1892-1893. - Traite

ps et des syncopes. Première dent (t 10 mois. Marche et début de la parole il 6 alls.- Grincement de t<eK ? )'o ! /u- s

idents. (Mauvais traitements du mari, etc.) Première dent à 1 an. Parole à 2 ans. Marche à 16 mois. Pas de convulsions. Bé

es du cordon. Pas de convulsions. Début de la marche à 6 ans, de la parole à 7 ans ; accès de colère à 10 ans, qui ont néc

à la dentition définitive qu'à l'âge de 14 à 15 ans. - Début de la parole à l'époque normale. Marche à 16 mois. La mère n

intelligence est celle d'un enfant de 10 à 11 ans ; c'est un niais. Parole facile et régulière. Il... - sait lire et écrir

ents normaux. Convulsions il. 2 mois. Retard dans la marche et la parole . Taille normale à sept ans. Dans la suite crois

eux ans. Elle a marché à vingt-six mois. Elle est encore gâteuse. Parole limitée à quelques mots. Mémoire et raisonnement

à 2 ans. Convulsions de 3 mois à 3 ans. Méningite à 3 ans. Obésité. Parole à 4-5 ans. Fièvre typhoïde il 7 ans. - Hallucin

omplète vers trois ans. - Marche et pro- preté à 2 ans. Début de la parole vers 4 ou 5 ans. Antécédents morbides : Convuls

ître ses parents; elle s'attache aux personnes qui la soi- gnent. Parole à peu près nulle. Par intervalle elle parait com-

te à 2 ans. L'enfant ne marche pas encore et n'est pas propre. La parole , limitée à quelques mots, a débuté vers l'âge de

ation des organes génitaux. Quelques progrès pour la marche et la parole . 1895. Aucune modification des organes génitaux

modification des organes génitaux exter- nes. Progrès marqué de la parole et do la marche. , 116. - 7'tto ? Les mamelles

ion delà teigne. Progrès notables pour la marche et surtout pour la parole . Lcholalic. L'enfant sait dire son nom, son âge

is. - Dentition complète, marche, propreté, tardives. - Début de la parole à 15 mois, évolution lente, pronon- ciation déf

été propre qu'à 2 ans 1/2, plus tard que ses frères et soeurs ».-La parole a débuté à 15 mois, son évolution a été très le

rement (Fig. 44). L'audition des bruits, des sons musicaux et de la parole , est normale ; elle est la même des deux côtés.

lente et retardataire en tous points (dentition, marche, propreté, parole ), et cela, pourrait-on dire, dès la vie '1*7-tl

vements f m taux n'ayant été perçus par la mère que vers 6 mois. La parole surtout a progressé très lentement, elle a touj

de 2 ans 1/2 à 5 ans. - Jamais de convulsions. - Marche, propreté, parole , nulles ci l'entrée. - Signes classiques du MYX

nulles. De Fin 53. 192 De quelques formes de nanisme. même, la parole . L'enfant fait entendre seulement des gro- gnem

omplète à 15 mois. Marche à 9 mois. Propreté à d5 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de mal convulsif à 6 mois. Convul

L'enfant perçoit normalement les bruits, les sons musi- caux et la parole . Son attention et sa mémoire auditive sont prop

dentition complète à deux ans et demi. - Début de la marche, de la parole , de la propreté à dix mois. - Etat de mal convu

ent à huit mois. Dentition complète à deux ans et demi. Début de la parole , de la marche et de la propreté à dix mois. Pas

est diminuée du côté gauche ( ? ) Intelligence très peu développée. Parole naturelle, mais l'enfant ne fait que répondre a

nements sur leur nombre, ni sur leurs caractères. Marche à 15 mois. Parole à 4 ans. Propre de bonne heure. Repris par sa f

tement artificiel irrégulier. Première dent : 16 mois. Mar- che et parole nulles. - Gâtisme. - Convulsions dès le 6a mois

III. - Assistance et enseignement. 1. Traitement et éducation de la parole chez les enfants idiots et arriérés ; par BOURN

; - 3°les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 4° les leçons de petite gymnastique ; - 5° le

son intelligence s'éveille. - Six enfants ont été améliorés pour la parole : .10 Bobliq... (Maurice), demi-sourd, pris à s

G.), absolument muet il y a 3 ans, a fait de grands progrès pour la parole et la classe ; il commence à syllaber, nomme le

re d'améliorer la pronon- ciation des enfants et de développer leur parole , nous les avons envoyés successivement par séri

? J, suivie d'un état d'hébétude. - Altitude inclinée de la tête. - Parole , attention, affectivité, nulles. - Marche à deu

du nettoyage et pleure si on veut l'en empêcher. On l'exerce à la parole ; il apporte peu d'attention aux exercices. 1892

ent. Juin. - Lapous... fait peu de progrès, au point de vue de la parole . 11 place les chiffres, les couleurs, les lettres

elligents. Jamais de convulsions. - Marche 15 mois. - Début de la parole à 3 ans. - Propre à 6 a ? is. - Aptitude à l'inst

e à 3 ans. - Propre à 6 a ? is. - Aptitude à l'instruc- tion nulle. Parole traînante. -1884 : Urticaire ; diar- rhée ; - a

sous sa main. Quoique assez délicat, il ne serait jamais malade. La parole a toujours été traînante et il terminait chaque

ésente, ainsi que celui des différentes par- ties du corps, mais la parole traîne surtout sur la fin des mots. - Poids : 3

e de l'oeil gauche. - Mouvements choréïqtces. - Tic de la face. - Parole lente. - Prostration et contractures. - Traitem

ent, Del... a des mouvements c/wreï ! ,on)1es et des troubles de la parole . On prétend que l'intelligence n'est pas affaib

e est sans cesse en mouvements, comme si elle avait la chorée. - La parole est lente, sacca- dée, nasonnée. Del... regarde

ions de l'enfant, les mouvements choréiformcs, les troubles de la parole , la persistance du caractère enfantin, l'affaib

mois; la date de la dentition complète est inconnue. - Début de la parole à 18 mois, de la marche à deux ans, difficile p

'âge de 10 ans. Première dent à 4 mots. Début de la marche et de la parole à un an; cessation de la marche et de la parole

la marche et de la parole à un an; cessation de la marche et de la parole . Gâtisme ; incapacité de s'habiller. - Accès de

difficulté. - Première- dent à 4 mois. Début de la marche et de la parole vers un an, mais à la suite d'une bronchite, qu

us marcher et avait perdu ce qu'elle savait au point de vue de la parole . Toutefois l'absence de convulsions, de symptôm

l'oreille gauche et de la joue gauche, suppuration prolon- . gée. - Parole et marche complètes à 3 alls. - Rougeole et coq

urri au biberon jusqu'à 2 ans. Première dent on ne sait à quel âge. Parole à 2 an : a. Marche à un an. Il n'aurait jamais

ce de la trachéotomie. Viscères nor- maux. - Rate volumineuse. La parole est lente. L'état intellectuel est affaibli, l'en

t la grossesse. - PremIers signes d'idiotie à 3 mots. - Début de la parole toujours limitée it quelques mois ic 33 mots. -

tard. En effet, à un moment, il s'est produit de l'hésitation de la parole , puis un véritable embarras qui s'est accentué

int. - Première dent vers un an : dentition complète il Début de la parole à 33 mois, papa, ni ohé ! et de la marche à la

ge insupportable : - 106 SCLÉROSE hypertrophique ET méningite. La parole est nulle. Elle parait comprendre quand on l'ap-

ômes que nous venons de relever, nous rappel- lerons les suivants : parole nulle, incapacité de s'aider en quoique ce soit

e, de grincements de dents, pas de traumatisme d'au- cune sorte. La parole était limitée aux mots : papa, maman, qu'il pro

te de cette opération : « c'est venu insensiblement dit la mère. La parole n'a pas subi de modifications. Pourtant il comp

voir que l'enfant était atteint d'idiotie à un degré pro- noncé : parole bornée à deux mots même mal appli- qués, gâtism

de la face à la naissance.- Début de la marche à 15 mois,- de la parole à18mois,-de la propreté à. 2 ans.-Intelligence

à 15 mois environ. Le début de la marche fut à 15 mois; celui de la parole à 18 mois. Il fut propre à 2 ans envi- ron. Il

se rend compte de la longueur, de l'épaisseur et de la pesanteur. Parole . - Il a l'accent nasillard, articule nettement le

neville, Bicêtre, 1895. 10 146 Perversion des INSTINCTS. Alors la parole prend à la fois un ton malicieux, sar- castique

ière dent à 6 mois ; dentition complète à 15-18 mois. - Début de la parole et de la propreté à un an ; - de la ma1'- che à

- Émotions vives à 2 ans et demi suivies d'une perte complète de la parole et d'accès de colère. - A 6 ans, retour brusque

atisme grave : boïterie, crises céphalalgie ques ; - troubles de la parole ; - gâtisme intermittent, etc. - Aggravation à l

dent à 6 mois; dentition complète de 15 à 18 mois. - Début de la parole à 18 mois, de la marche à un an. Premières et u

jour même, il a pe1'Clu com- plètement, affirme-t-on, l'usage de la parole . Avant cette double émotion, il parlait « comme

émotion, il parlait « comme une pie », prononçait tous les mots; sa parole était plus développée que celle des enfants de

: « me... » et aussitôt, assure- t-on, il a recouvré entièrement la parole . De 6 à 10 ans, on n'aurait rien noté de partic

les mêmes. Parallèlement l'intelligence aurait un peu baissé, la parole serait devenue moins libre et l'enfant, de temps

qu'il présentait se sont aggravés; il est devenu « tout drôle », la parole lui a manqué progressivement; il gâtait plus souv

hthalmie, etc. ; ni vers, ni onanisme. 1891. 4oiei-déceaaaba·e. - Parole lente, très défectueuse ; on a peine à comprend

et les chiffres, à boutonner et nouer. Il lace plus facilement. La parole est toujours défectueuse. Il exécute assez bien

grande diffé- rence entre les temps froids et les temps chauds. La parole est moins défectueuse. Il fait mieux les exerci

ît7*acfure des membres inférieurs qui rend la marche impossible. La parole se limite progressi- vement. Le gâtisme est à p

nérale de l'enfance. lente colère qui aurait excité le centre de la parole . C'est là un cas à rapprocher des cas d'aphasie

elligence était entièrement conservée; que, après le retour de la parole (6 ans), jusqu'à 10 ans, il ne présentait rien

t à la répétition de ces crises, l'intelli- gence s'affaiblit et la parole devient moins libre. A 12 ans, une nouvelle émo

a mort presque subite de son père - aggrave la situation de C... La parole est de plus en plus compromise, le gâtisme s'ac

icale ; eczéma; arrêt de développement phy- sique et intellectuel ; parole , voix, etc.. 1893-1894. Julep avec extrait de g

s sont un peu dégonflées ; les mouvements sont toujours lents; la parole , le carac- tère et la voix n'ont pas changé.

apidement et sont plus brillants. Les mouvements sont plus vifs, la parole est moins lente, le malade est moins engourdi.

s deux jours jusqu'à la date du 30 septembre : les mouvements et la parole sont plus vifs, l'intelligence est un peu plus

isseuses situées à la nuque et sur les côtés du cou ont diminué, la parole est plus nette. 12 juillet. - Les mains et le

même dissi- pée et dissipe les autres. Elle est devenue câline ; sa parole est plus nette. J ? i. 2a. - Taes trois malad

g-huit mois ; marche à seize mois. - Propre à dedans. Début de la parole à dix-huit mois. - Jamais de couMtstOts. Consta

us tard que ses frères et soeurs), pro- pre à deux ans, début de la parole il dix-huit mois. -.JaH1aÍfI de convulsions. -

ement per- verti, aime les saveurs fortes, mettrait du sel partout. Parole , léger défaut de prononciation, zoli pour joli,

ès coquette ; n'est pas égoïste ; as- sez docile, ne désobéit qu'en parole ; très affectueuse ; n'a pas la notion du bien

ion le mot de Cambronne. Elle sait qu'elle fait mal en disant des paroles grossières ; quand elle arrive à se retenir, sa c

frères morts de convulsions et deux autres de méningite. Marche, parole et propreté précoces. - Rougeole il 7 ans. Débu

(mère plus âgée.) Peur à la fin de la grossesse. - Première dent et parole sa un an. Marche a 18 mois. - Gâtisme constant.

er; 3° les exercices pour l'éducation delà main, des sens et dela parole ; 4° les leçons de petite p/rnnatilue; --5° les

es mieux en mesure d'améliorer la prononciation et de développer la parole des enfants, nous les avons envoyés successivem

des proposi- tions de SI. le Rapporteur. Si personne ne demande la parole je mettrai aux voix l'adoption de l'ensemble de

très vives durant le 1 cr et le 2c mois de la grossesse. Dentition, parole , marche nulles. Convulsions à 5 mois suivies du

nements héréditaires et personnels. Gingivite. Oreillons. Rougeole. Parole , attention, nulles. Rotation de la tête. Préhen

la langue et rotation de la tête; mastication défectueuse; marche, parole , atten- tion, nulles. Balancement de la tête. A

pouce. Alternatives de diarrhée et de constipation. . Connaissance, parole , marche, préhension nulles. -Klep- tomanie; gri

autre soeur a eu des convulsions. Emotion vive durant la grossesse. Parole , attention, pré- tension) marche, mastication n

n, pré- tension) marche, mastication nulles. Amélioration pour la parole et la marche. Invagination intestinale ; mert.

IRURGICAL. 31 Première dent à mois. - Début de la marche et de la parole à à un an. Bronchite à 1 an; cessation de la ma

role à à un an. Bronchite à 1 an; cessation de la marche et de la parole . Gâtisme. - Incapacité de s'habiller. Accès de

abondantes de la tète suivies d'un peu d'amélioration. Marche et parole nulles. ? ll'Lll)1S772e externe; cécité com- pl

de cris. - COJne112en1S de tête .contre les Lic·s. -131e1haile, : - Parole et marche nulles, -jambes déplus en plus faible

dès le premier jour. Secondes convulsions à -1 mois. - Début de la parole à 18 mois. - Premières dents à f 111()i ? - Ne

e. Lymphatisme. - Sentiments affectifs nuls. - Marche, attention et parole nulles. Tics de la bouche et des yeux. Onanisme

Première dent à 9 mois; dentition complète à 2 ans '/2' Début de la parole il. 1G mois. Bronchite à 7 mois 1/2' - Rachitis

) suivie d'un état d'hébétu- de. - Attitude inclinée de la tête. - Parole , attention- connaissance, affectivité nulles. -

ant cinq ou six fois dans le premier mois. - Première dent à 2 ans. Parole limitée à quelques mols. - Marche nulle. Onanis

ite à 7 mois. Pre- mière dent à 3 ans. Dentition complète à 10 ans. Parole nulle. Début de la marche à. 8 ans. Accès de cr

us le rapport de la lecture, du calcul, etc. Pour l'éducation de la parole et pour corriger les vices de prononciation, no

e 18 mai 1871 (22 ans). Entré en 1879. , 1882. Amélioration de la parole . Connaît ses lettres, sait compter jusqu'à 10,

t de mendicité ont disparu. 1889. - Amélioration très notable de la parole . Sait bien se faire comprendre. - Fait la multi

rec- tion. Asphyxie à la naissance. Marche à 3 ans. Début de la parole vers 3 ans. - Rachitisme à '( ans : séjour à 13e7

xie très prononcée il la naissance. Marche à 19 mois. - Début de la parole après 2 ans. Propre à 4 ans. Convulsions intern

'époque où le père était déjà très exalté. Marche tardive. Gâtisme. Parole nulle. Rougeole à 3 ans 1/2. Varioloïde vers 4

oyer. Gâtisme. - Aucune notion relative à l'ins- truction primaire. Parole presque tout à fait nulle. Pro- nonciation très

nulle. Pro- nonciation très difficile. 18au : Amélioration de la parole , attention plus facile à fixer. Exécute tous le

nguinité. - Inégalité d'âge d'un an (mère plus âgée). Début de la parole vers un an, limitée à l'entrée à quelques mots.

ments de la petite gymnastique, mais saute encore diiIicilemcnt. La parole s'est notablement améliorée. Il commence à fair

ts sur les antécédents héréditaires et person- .. nels du malade. Parole nulle ; préhension très défectueuse, ne se sert q

petite gymnastique; connait toutes ses lettres, amélioration de la parole , zézaie- ,ment', sait se servir de la cuillère,

du couteau. .Caractère timide. , 1881 : Eruption scarlatiniforme. Parole plus développée, prononciation toujours défectu

entourent ; il distingue les couleurs, les figures géométriques. La parole est un peu plus développée, prononciation toujo

de la forme des objets; progrès constants à l'atelier de couture; parole de plus en plus libre, persistance du zézaiement.

Retour partiel des mouvements du bras à 5 ans. - - Marche à 3 ans. Parole à 4 ans. Pinç... (Jean Victor), est né le 4 Nov

sans expression, il ne se rend pas un compte exact de ce qu'il lit parole difficile, Écriture de. la main gauche, .lisible^

aissance. Convulsions à 2 ans. -Début de la marche à 14 mois, de la parole vers 2 ans. Propre vers 5 ans. - Fièvre scarlat

uec aphasie consécutives ; otite double. -Retour progres- sif de la parole un mois après la scarlatine. -Diminution de la

consanguinité. - Inégalité d'âge de sept ans. Pas de convulsions. - Parole nulle. Impossibilité de se tenir debout. Affaib

nts » de dents et un balancement antéro-postéricur du tronc. « La parole est absolument nulle. Il cric et pleure une parti

e placer sur le vase à des heures régulières ; exerci- « ces de- la parole ; sirop d'iodure de fer, huile de foie de « moru

ur à trois ans. Pas de con- vulsions. En avril 1892, albuminurie. - Parole et propreté très tardives. Onanisme. Surdité co

is 1/2. Premières dents à 9 mois, dentition complète à 2 ans 1/2. Parole à 16 mois. Bronchite à 7 mois 1/2. - Rachi- tis

s. Premières dents à 9 mois ; dentition complète à 2 ans et demi. Parole à 16 mois. Marche à 4 ans et demi, seulement il é

ute mal ce qu'on lui commande. Il sait parler, cause dillicilement, parole brève, saccadée en pin- çant les lèvres et appu

cès montât] lies rares. Il 108 Paralysie générale DE l'enfance. parole s'embarrasse, est bégayante ; les facultés intel-

er fré- missement de la pointe de la langue. Pas d'embarras de la parole . Affaiblissement de la mémoire : il se trompe sur

e même pour le goût. - L'acuité auditive est plus faillie à gauche. Parole libre, lecture courante sans expression ; mémoi

ement ce qu'il avait appris. 11892. Juin. - Léger tremblement de la parole qui est traî- nante. Tenue de plus en plus débr

eait salement, et on a fini par être obligé de le faire manger ; la parole s'estembarrassée, la démarche s'est affaiblie ;

de déché- ance, notamment sur les troubles de l'attention, de la parole , et sur la lenteur du malade à reprendre connai

geole et coqueluche. Turbulence. - Physionomie hébétée. Onanisme. - Parole et sens spéciaux nuls. Etat de mal épileptique;

la fin de 1887 ses connaissances avaient sensiblement diminué : la parole était devenue plus lente; dans les premiers tem

is, têle volumineuse. - Faiblesse de la jambe droite. - Début de la parole à.15 mois, de la marche à 2 ans 1/2; marche seu

eole et une fièvre ( ? ) durant son séjour à l'Asile Clinique. La parole , était alors presque nulle ; il était gâteux pour

ards, il y avait un arrêt de développement : marche à trois ans , parole presque nulle, attention difficile à fixer, mas

en rien de particulier. Gâtisme complet et continu. Intelligence et parole absolument nulles. 2° Cyphose de la colonne ver

'alzl 8 joul's).-Cécitépassagère, . disparition des rudiments de la parole , contracture du bras-, ¡ Hydrocéphalie ; observ

Développement anormal de la tête de17 mois' à 14 a ? is. A/arche et parole à 6 ans. - Retour de la vision à 18 mois. - Gât

pés. Il a des tics coordonnés complexes, est gâteux com- plet. Sa parole exprime tous les mots, mais son esprit ne leur

rocéplcalie congénitale. Impotence musculaire. - Cécité. Gâtisme. - Parole incomplète. Accès épileptiques. Tentatives d'éd

sa situation, si ce n'est que ses membres sont plus amaigris. La parole et l'intelligence sont les mêmes. L'enfant n'a ni

u sein, sevré à 2 ans. - Début de lamarche ai, 20 nois.-Dé62ctde la parole à un an. - Bron- chites répétées durant les tro

es de congestion cérébrale. Chute à 3 mois. Première dent à un ans. Parole à 15 mois. Marche à 22 mois. Accroissement de l

à un an. Dentition complète à 3 ans. Marche à 22 mois. Début de la parole à 15 mois. Son voca- bulaire a toujours été trè

tal (d'après les notes de la Petite Ecole où l'enfant est placé.) - Parole à peu près nulle, pas de mots distincte- ment p

on complète à 4 ans. Début de la marche, 3 ans et demi. Début de la parole , 4 ans. Convulsions à 2 ans. Gâtisme. Rougeole.

des convulsions à 5 ans. Début de la marche à un an et demi; de la parole à 3 ans. Strabisme convergent dès 2 ans. Insomn

uis revenu il lui, il se mit à jouer comme s'il n'avait rien eu. La parole a débuté à 3 ans. 11 n'a jamais été Description

ment. Marche à 18 ou 20 mois ; propre vers le même âge. Début de la parole à 2 ans. Ce ne fut qu'à 3 ans qu'on s'aperçut d

ux bien que la mémoire soit généralement mau- vaise. Le début de la parole est tardif. L'enfant com- mence le plus ordinai

-Sevrée à. 18 mois.- Début de l'accroissement de la tête à 10 mois. Parole à 2 (1) Noir (J.). - Étude sur les lies. Obse

ourd'hui. Jamais l'enfant n'aurait eu de con- vulsions. Début de la parole à 2 fins. Première dent il .'< mois. Dentiti

de l'enfant est expressive et intelligente malgré son infirmité. La parole est nette, elle s'exprime très bien, correctement

ble durant l'ivresse. Circulaire du cordon.- Allaitement maternel.- Parole : 3 ans.-Prop1'elé : 2 ans Marche : 4 ans. - Pa

leau de leur misère le touche très médiocrement. Assez attentif aux paroles qu'on lui adresse, il répond d'une façon arroga

la chaire de clinique des maladies du système nerveux, mes premières paroles seront l'expression de ma gratitude envers ceux q

le malade de vue et à défigurer la maladie. » Yoilà, à mon avis, des paroles excellentes. J'ai tenu à les citer textuellement,

l offre actuellement les phénomènes suivants : embarras spécial de la parole qui est presque inintelligible, tremblement fibri

les peuvent marquer le début, mais il y a bientôt de l'embarras de la parole , de l'inégalité pupillaire, etc. 3° Variété par

, dans cette forme, prédominance des troubles moteurs, embarras de la parole , tremblement des mains et de la langue qui est an

engourdissement d'une main, des lèvres, un embarras temporaire de la parole et des idées, une aphasie transitoire, etc. C'e

la main ou d'un côté de la langue, une aphasie, ou un embarras de la parole temporaire, des attaques épileptiformes, etc.3.

affaiblissement de la vue du côté droit, accompagnés d'embarras de la parole , de parésie et d'engourdissement du membre supéri

une deuxième attaque, sans perte de connaissance, avec embarras de la parole . L'intelligence reste obtuse pendant 24 heures ;

prédominaient à droite. A la suite de cette attaque, l'embarras de la parole a persisté. — Huit jours plus tard, il a eu une q

atrième attaque du même genre, avec recrudescence de l'embarras de la parole et faiblesse du bras droit. — Enfin, le 5 mai, il

émarche titubante ; ses mains tremblent, sa langue tremble aussi ; sa parole est à peu près inintelligible ; sa physionomie es

ment important. P... n'éprouvait plus guère alors de difficulté de la parole , il disait seulement de temps en temps un mot pou

ts. Se souvenait-il d'une conversation. Recherchait-il un propos? Une parole donnée? Le lieu de la conversation, la physionomi

qu'il lui faut maintenant consulter, non sans efforts. Les mois, les paroles retrouvés lui semblent résonner à son Oreille, se

la vision mentale, il lui est d^venujnécessaire d'avoir recours à la parole intérieure?,..e,Laux mouvements darticulation de

tement la sensation de Vaudilion intérieure, précédant l'émission des paroles , sensation qu'il ne connaissait pas autrefois.

s la représentation visuelle des choses. Seule, la représentation des paroles lui reste, et celles-ci appartiennent à peu près

mes rêves se sont également modifiés. Aujourd'hui, je rêve seulement paroles , tandis que je possédais auparavant, dans mes rêv

nouvelle pour lui, de l'audition intérieure précédant l'émission des paroles . C'est dire que, privé actuellement de l'image vi

mme un voile inerte. Elle présente également un certain trouble de la parole , quelques lettres sont particulièrement mal prono

s accès de délire passager pendant lesquels il mâchonne, prononce des paroles incohérentes et voit des brigands, des assassins

nce : ou encore, l'enfant frappe du poing, du pied, prononce quelques paroles incohérentes, puis, tout est terminé. Mais, le pl

nt tirées en dehors, il mâchonne, ferme les yeux, prononce quelques paroles incohérentes et tout peut être fini. Mais, parfoi

de dite des attitudes passionnelles, pendant laquelle il prononce des paroles et pousse des cris en rapport avec le délire somb

ystérogène, le délire est toujours sombre, furieux, ac- compagne de paroles grossières, d'injures : « Canailles, chameaux, ca

Prussien..., un coup de pierre..., il veut me tuer;» telles sont les paroles qu'il profère d'une façon parfaitement distincte.

plus parfaite encore, la suggestion pourra s'effectuer à l'aide de la parole , soit seule, soit, mieux encore, associée aux ges

tandis que chez nos femmes hypnotisées, c'est de la suggestion par la parole que relève la paralysie. Eh bien, Messieurs, cett

n la plus rigoureuse du mot, en ce sens qu'il ne peut proférer aucune parole . J'ajoulerai qu'il est plus que ¦muet, car, tandi

entations motrices nécessaires pour la mise en jeu du mécanisme de la parole articulée. Il s'agit donc là, en définitive, d'

e ! Arrêtée à quelque temps de là, Hélène G... perdit subitement la parole , après le premier interrogatoire. Cette fois, dir

'insisterai sur le début lent et progressif de cette difficulté de la parole : s'il ne peut parler, ce malade crie encore, tou

encore, difficilement à la vérité — mais il le peut, — prononcer des paroles indistinctes. Chez lui, ce n'est pas la perte de

ystérique spontané. Elles aussi ne peuvent ni crier, ni articuler une parole , ni même chuchoter ; et pourtant, les mouvements

emain matin, peu de temps après son réveil, il retrouva subitement la parole . i. Voir, en particulier, les Laçons XXI et XXI

bétude, la stupeur même par moments, d'ailleurs, pas d'embarras de la parole . 11 se plaint d'une céphalée gravative et, quan

, est le même, Or, quand chez le sujet somnambulisé on suggère par la parole ridée d'impuissance motrice d'un membre et qu'on

emarquer que toutes les suggestions ne sont point mises en jeu par la parole ; il en est qui se développent en conséquence de

i de perfections, dit Hérodote, mais muet et recouvrant subitement la parole au moment où un soldat ennemi va frapper son père

omplètement la vue pendant cinq jours; une autre fois, elle perdit la parole qui revint au bout d'un temps très court. Les con

lsions se reproduisaient de temps en temps, elle perdit de nouveau la parole et en resta tout à fait privée pendant 14 mois ;

rétablit. Enfin un jour, après avoir beaucoup dansé, elle recouvra la parole et fut guérie. » Ou trouve dans les mémoires de

ne jeune fille de quatorze ans frappée de paralysie et de perte de la parole par suite de frayeur. Wells (Medic. Communicati

n de ses facultés intellectuelles. Une nouve'le attaque lui rendit la parole . En 1355, Sédillot présentait à l'Académie des

arynx presque paralysé. Je restai 72 jours articulant péniblement mes paroles ; je pouvais me faire comprendre cependant. » 11

de la jambe gauche et de plus, il y avait un muLisme complet. Aucune parole , aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche. « Mais

première fois. Le 4 juin, nouvelle crise de sommeil cataleptique. La parole revient quelques jours plus tard et il sort le 21

hôpital à la fin de novembre, toujours muet. Quelques jours après, la parole revint subitement, sans cause émotionnelle ; mais

t quelques jours du bégaiement. A la suite de ses autres attaques, la parole n'était pas revenue tout à coup ; il avait commen

hées ; depuis quelque temps, ces attaques sont suivies de perte de la parole . L'aphasie dure quelques jours et tout rentre dan

t soumis à un traitement tonicrue, bromure et à l'hydrothérapie. La parole revient quelques jours après, mais il bégaye un p

dix heures, un médecin qu'on a appelé constata la perte absolue de la parole ; la malade ne sait ni lire ni écrire. A son ar

t et dit: «et puis..., non. » Le 6 mai. La malade prononce quelques paroles . Il n'y a plus d'apparences de déviation de la bo

sure que cette sensation de pression disparaît, le malade recouvre la parole . Chez Gué..., pendant cet état de mutisme, la s

is après une nouvelle crise. D'autres fois, c'est spontanément que la parole revient; il sent que « quelque chose se relâche d

intacte. Le mutisme n'est pas absolu comme le jour où il a perdu la parole ; il prononce a, é. Les jours suivants, il paraît

nes persistèrent pendant une quinzaine de jours, époque à laquelle la parole revint et la surdité commença à s'atténuer. Je

eur, elle crie: «Méchante, j'ai peur » ; et à partir de ce moment, la parole revient. Obs. VIII (publiée par le Dr Thermes,

pouvait parler, mais à voix basse et pour ainsi dire en soufflant ses paroles . Ors. X. — (Debove, Soc. méd. des hop., 10 nov.

de ces attaques de cécité, il devint aphasique pendant huit jours; la parole revenant, la vue disparaît, et ainsi à plusieurs

phasie; il est ainsi jusqu'au lendemain, puis brusquement recouvre la parole , mais s'aperçoit que son bras gauche est inerte.

'intelligence. Après quelques jours cependant, et progressivement, la parole revint et la contracture cessa. Obs. XIII. — (S

cria: Oh! dearl yes. Elle put ensuite parler lentement et recouvra la parole d'une façon complète. La paralysie des jambes dis

ce, la malade crie avec vigueur, et les jours suivants, la voix et la parole reviennent ; il faut à la malade un certain effor

cri perçant, et à partir de ce moment, on ne put tirer d'elle aucune parole . Gela dura huit jours, pendant lesquels ayant ret

r et de parler, conservation parfaite de l'intelligence, retour de la parole avec bégaiement spécial pendant un certain temps.

d'une frayeur, d'une émotion quelconque, le malade est privé de la parole . Nous disons, en général, car dans certains cas (

XIX) l'aphonie existait depuis un certain temps avant la perte de la parole . Dans un cas de M. Revilliod, il est dit que la p

ans autre paralysie, le mutisme absolu. D'autres fois, la perte de la parole arrive subitement, sans cause accidentelle bien a

la voix chuchofée persiste. Le malade peut se faire comprendre par la parole à voix basse. Les muscles phonateurs ne fonctionn

mbreuses de physiologie delà phonation; dans le chuchotemenl, dans la parole à voix basse, le larynx n'intervient pas, les cor

une paralysie du laryngé supérieur ne peut expliquer le mutisme ; la parole à voix basse peut subsister, le larynx seul est a

chez les hystériques qui n'ont aucun trouble de la phonation ou de la parole . Ainsi donc, dans le mutisme hystérique, nous t

ent la demande, si le sujet sait écrire. A la période de retour de la parole , quand l'aphonie est moins complète, la différenc

sion organique, on peut observer cette dissociation : abolition de la parole , conservation de l'écriture. Mais elle n'existe j

lligence, que nous constatons chez l'hystérique. 4° Le retour de la parole est également subit dans la plupart des cas; mais

es jours à des semaines, du bégaiement, une certaine hésitation de la parole . Chauffât (obs.I) avait lui-même bien remarqué ce

s'accompagna de paralysie de la langue. Au bout de quelque temps, la parole redevint normale, ainsi que les mouvements. Mai

ns la rue, frappée d'une hémiplégie gauche, avec perle complète de la parole . Il a persislé, depuis, une parésie du côté gauch

la parole. Il a persislé, depuis, une parésie du côté gauche, mais la parole était revenue au bout de deux ans, lorsque, en 18

1885, survint une nouvelle attaque suivie d'un simple embarras de la parole , caractérisé par des troubles transitoires de l'a

e, une quatrième attaque amena une perte complète et permanente de la parole . Depuis cette époque, il existe une paralysie lab

mme impression faite sur l'oreille ; 2° comme actes de l'organe de la parole ; 3° comme impression faite sur l'œil parles carac

ux accès à treize ans : nonchalance ; inappétence, difficulté de la parole ; - course, parfois saut, sans perte de connaiss

le mieux. Cet état ne dura pas longtemps. L'appétit disparut, la parole devenait quelquefois inintelli- gible, quelquef

aces, mouvement anormal des mâchoires et de la langue ; quelquefois parole embrouillée ou même impossible. Balancement de

uls petit, contracté, spasmodique ; respiration un peu embarrassée; parole bégayante, incompréhensible, à peine perceptibl

agné d'aucune espèce de malaise ; le malade riait, était sobre de paroles , mais il possédait sa connaissance. Au bout d'un

t jamais cependant, non plus que le tremblement de la langue, et la parole était toujours incompréhensible. Toutes les aut

s- sance. Hébétude consécutive, trois jours après, embarras de la parole . Mort le sixième jour après deux nouvelles attaqu

'épilepsie. Elle était dissipée le lendemain. Le troisième jour, la parole s'em- DE l'épilepsie PROCURSIVE. 67 barrassa;

t plus du tout à la volonté, elle ne peut pas serrer du tout ; la parole est brève, saccadée, quelquefois impossible; les

e choeur à Sienne. BIBLIOGRAPHIE. 129 faire est de laisser la parole aux auteurs : « La plupart des pos- sédés créés

ite de la séance du mardi 30 novembre 1S861. 1. M. LE Président. La parole est à M. Lacombe. M. Lacombe. Messieurs, je cro

e favorable. (Approbation sur plusieurs bancs.) M. le Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Je de

teur. Je demande à faire une observation en ré- ponse aux dernières paroles del'honorableM. Lacombe. A propos des pénalités

nérales, qui sont édictées dans l'article 67. M. LE PRÉSIDENT. La parole estàM. Roger-Marvaise. M. Roger-Marvaise. Messi

très bien ! et applaudissements.) M. Rocen-llAnvaisr. Je demande la parole . (Aux voix ! aux voix ! ) M. LE Président. Vo

la parole. (Aux voix ! aux voix ! ) M. LE Président. Vous avez la parole ; mais je vous fais ob- server que vous avez déj

é de le tenir enfermé. » M. LE Président. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'amen- dement de M. Roger-Marvaise, qui s'

ses. Parlez ! parlez ! 1 152 SENAT. M. DE Gavardie. Je demande la parole sur ce point, si personne ne la demande. M. L

role sur ce point, si personne ne la demande. M. LE Président. La parole est à M. de Gavardie. M. de GAVARDIE,. Messieur

gens. (Hilarité.) Si vous voulez bien accorder toute liberté à mes paroles vous verrez, plus tard, si elles ne sont pas ju

Aux voix ! aux voix ! M. LE Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Je donne une nouvelle lecture de l'amende

t, il y a de mauvais précédents en pareille matière ! Je demande la parole pour un rappel au règlement. M. LE Président.

e mette aux voix une négation ? Ce n'est pas possible. Vous avez la parole contre le règlement (Sourires), mais veuillez v

ns ses li- mites. M. de Gavardie. Messieurs, je ne demande pas la parole , comme le dit M. le président, contre le règlem

st déjà assez compli- quée comme cela. M. MoRrLLET. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à M. Morellet.

omme cela. M. MoRrLLET. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M. Morellet. M. 1\IOII.LLET. Messieurs, j

le est à M. Morellet. M. 1\IOII.LLET. Messieurs, je n'ai demandé la parole que pour une SENAT. 159 question de mise en o

pourront pas excéder trois mois. » M. LE Rapporteur. Je demande la parole . M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M. le rapport

is. » M. LE Rapporteur. Je demande la parole. M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Messi

COMBE. Pas complètement, monsieur le président. M. LE Président. La parole est à M. Lacombe. M. Lacombe. Messieurs, le Sén

e que je maintiens mon amen- dement. l. M. DELSOL,. Je demande la parole . . M. LE Président. La parole est à M. Delsol.

ement. l. M. DELSOL,. Je demande la parole. . M. LE Président. La parole est à M. Delsol. M. DELSOL. Messieurs, les obse

bien ! très bien ! ) M. LE Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Nous allons procéder par voie de réserve

il y a un paragraphe réservé. M. DE GAVARDIE. Peut-on demander la parole sur l'ensemble des paragraphes votés ? M. LE

s votés ? M. LE Président. Non, monsieur de Gavardie, vous aurez la parole quand on votera sur l'ensemble de l'article.

é à voter sur l'ensemble de l'article que vous pourrez prendre la parole . M. DE Gavardie. Et je vous le promets ! (Rires

roite. - Asphyxie à la naissance ; convulsions à dix-huit mois; - parole et marche tardives ; - rougeole; - ophthalmie. -

ent, en raison de son état d'imbécillité. - Durant l'examen, pas de parole , pas de toux ou toux incomplète. L'auscultation

a eu plusieurs fois des convulsions ; n'a pas été en retard pour la parole , la marche et la propreté. De cinq à douze ans,

rée à gauche ; pas de déviation, ni de tremblements de la langue. Parole libre ; pupilles égales, normales. Il court après

es les nuits, il est quelquefois grand gâteux. Léger embarras de sa parole ; pas de tremblement des lèvres et de la langue.

lontaire et défécation. Après les accès il veut se sauver, il a la parole embarrassée, on dirait qu'il va devenir paralys

ids du corps. Juliette G..., complètement privée de l'usage de la parole , est gâteuse, malpropre; elle mange ses excréme

a face, inégalité de la dilatation pupil- laire, hésitation dans la parole , cela pourra bien sembler à M. Gail- lard, de V

ngourdissements dans les mains et les pieds; dé- marche incertaine, parole anxieuse avec bégaiement. Diagnostic. Affection

: M. TANNEN. M. SNELL. Du mutisme chez les aliénés. La perte de la parole , abstraction faite de l'aphasie, est un acciden

développement- intellectuel ne se plie pas à l'apprentissage de la parole ou ne se prête qu'à un ap- prentissage rudiment

tel autre reçoit un ordre qui lui enjoint de ne pro- noncer aucune parole , de tenir les yeux si fixement fermés que les b

s. Sa femme est venue le voir une fois ; il ne lui a pas adressé la parole et s'en est détourné. Il est indubitable que ce

u une malade demeurer sept ans sans parler, puis elle a récupéré la parole pendant trois mois, enfin elle est redevenue mu

nce du mardi 30 novembre 4 886 1. - M. LE Rapporteur. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à M. le rapport

1. - M. LE Rapporteur. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Messi

nde à donner quelques explications sur ce point. M LE PRÉSIDENT. La parole est à M. de Gavardie. M. de Gavardie. M. le rap

IDENT. Contentez-vous d'exposer votre opinion, et ne donnez pas aux paroles de vos collègues une interprétation qu'ils n'ac

le 9 n'est pas réservé.) M. LE Président. Quelqu'un demande-t-il la parole survie para- graphe 10r de l'article 9 ? ... Je

omment ! il n'y a pas de discussion sur cet article ! Je demande la parole . M. le Président. Vous avez la parole, monsieur

cet article ! Je demande la parole. M. le Président. Vous avez la parole , monsieur de Gavardie. M. DE GAVARDIE, Je deman

aux voix l'ensemble de l'article 10. M. de Gavardie. Je demande la parole sur l'ensemble de l'ar- ticle 10. M. le Prési

re. M. de G1V,\RDIC. C'est la première fois que je prononce cette parole dans cette assemblée... M. LE Président. Monsie

vant des interruptions de ce genre. Celui qui a osé prononcer cette parole que M. le président aurait dû réprimer, celui-l

ecouvrait la plaque étant tombé, M. le Préfet de la Seine a pris la parole en ces termes : « Mesdames, Messieurs, « Cett

reconnaît pas, le prend pour NI. Mossé et à ce titre lui adresse la parole . Celui-ci lui ayant répondu, elle reconnaît que

en crise du second type avec les bras en croix et l'abolition de la parole . On la ramène en crise du premier type par la c

sens paraissent éteints ; mais l'ouïe est conservée, ainsi que la parole . Elle entend tout ce qu'on lui dit, répond et s

es caractères communs, dans l'attaque du premier type, l'ouïe et la parole sont conservées, tandis que dans l'attaque du s

conservées, tandis que dans l'attaque du second type, l'ouïe et la parole sont abolies. Au fond, ces deux types d'attaque

du cou, des muscles de la face; signes plus marqués du côté droit. Parole scandée et embarrassée. Mouvements rares au rep

à l'asile de Rhodez, en 1880, « un dimanche », ce qui est exact. Parole . - La prononciation rappelle celle d'un enfant «

e laissait sortir avec un commissionnaire... malade lui-même.» La parole est scandée par des mouvements. Il peut allonger

ent fortement et les paupières se ferment presque entièrement. La parole est lente. Il semble qu'il soit obligé de faire u

ain gauche; par exemple, pour gratter là terre, creuser un trou. La parole a toujours été absente, il cherchait à se faire c

r. Il'passe d'habitude son temps couché ou assis sur un fau- teuil. Parole et marche nulles. Traitement : toniques; exercice

ce malade est toujours doux. Son rire ressemble à un grognement. Sa parole se traduit toujours par des éclats de voix. Qua

uit dès qu'il essaye de proférer un son, est le grand obstacle à sa parole . Il mange géné- ralement seul et assez propreme

patte d'oie se creuse, mais un peu moins que chez Derno... .. La parole , chez lui, est très limitée; il dit : « Non, papa

loi portant révision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. La parole est à M. le rapporteur sur l'article 11. ' Vo

preuve de la façon dont ce devoir était . SÉNAT. 425 rempli, ces paroles du ministre de l'intérieur, dans l'exposé des m

atteindre le but que nous nous étions proposé. Je laisserai donc la parole à l'honorable M. Bardoux pour développer et sou-

loigne davantage de la rédaction de la commission. Je donne donc la parole à M. Combes pour développer son amendement. M.

les marques d'approba- tion.) 1 ? -) SÉNAT. M. le Président. La parole est à M. Bardoux. M. Bardoux. Messieurs, l'hono

ve approbation sur un grand nombre de bancs.) M. LE Président. La parole est à M. le commissaire du Gouver- nement. M.

de son ministère à la Chambre des députés, - m'oblige à prendre la parole à sa place, alors que vous auriez aimé à eutend

donne mon adhésion à ces réserves. M. RoGER-MApvAisE. Je demande la parole . M. le Président. M. Boulanger était inscrit av

. Boulanger était inscrit avant vous, mon- sieur Roger-Marvaise. La parole est à M. Boulanger. M. Ernest Boulanger. Messie

rez plus utilement quand viendra la discussion sur l'article 12. La parole est à M. Roger- Marvaise. M. ROGER-MARVAISE.

pporteur. Oui, monsieur le président. M. DE Gavardie. Je demande la parole . (Exclamations à gauche.) M. LE PRÉSIDENT. La p

Je demande la parole. (Exclamations à gauche.) M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M. de Gavardie. M. DE Gavardie. Messieurs

lques bancs à droite.) M. LE Président. Personne ne demande plus la parole sur l'amendement de M. Bardoux ? (A suivre.)

les internes et employés de l'asile. - hui. BouR- NEVILLE a pris la parole et prononcé le discours suivant : Mesdames, Mes

ologie, t. IV, p. 313. VARIA. 447 Le président a ensuite donné la parole à M. le Dr DAGONNET, qui s'est exprimé ainsi qu

sdames, Messieurs, Je ne me proposais pas de prendre aujourd'hui la parole ; mais, comme je l'ai fait chaque année avec pla

longtemps encore, en 1836,Esquirol nous faisait connaître, dansdes paroles indignées, les conditions déplorables dans lesq

e, ils sont incapables de fixer leur attention et de comprendre les paroles qu'on leur adresse, de juger les objets extérie

, nous en sommes convaincus, eux et leurs successeurs. Ensuite la parole a été donnée à M. le Dr Taule, directeur de l'a

onfler. ses joues, etc. La pro- nonciation est très défectueuse, la parole est lente et bredouillée. Mais la malade n'a au

sie générale. Affaiblissement des facultés mentales. Embarras de la parole . Iné- galité pupillaire. Contusions multiples.

eint de paralysie générale avec idées ambitieuses. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » M. le Dr Vallon a égal

ale « avec affaiblissement intellectuel et physique. Embarras de la parole . » C'est un homme de petite taille, bien musclé

thique et indifférent. La mémoire est mauvaise ; l'em- barras de la parole est accentué. Les pupilles n'agissent pas à la

tion et quelques préoccu- pations hypocondriaques. Hésitation de la parole . Inégalité pu- pillaire. » Maigre, petit, bru

de satisfaction. Pupilles resserrées et inégales. Hésitation de la parole . » Quelques mois avant son entrée, la malade av

e aclivité dévorante : elle concevait des projets irréalisables. La parole devint traînante deux mois plus tard. , , D..

riles de satisfaction. La mémoire est défaillante. L'embarras de la parole très net. Depuis trois semaines (décembre 1896) e

paralysie générale. Idées ambitieuses. Emotivilé. Hésitation de la parole . » (De Ch. Vallon.) . ' Rien de particulier d

onfectionne des chapeaux admi- rables ». Turbulence. Embarras de la parole ; inconscience de sa situation. » (D1' Paul Garn

hypocondriaques et quelques idées de satisfaction. Hésitation de la parole , inégalité pupillaire. » Pas d'antécédents alco

é de 1895. L... Elisa est de taille moyenne, d'un faciès triste. La parole est hésitante, la mémoire est mauvaise. Pupille

c irritabilité. Légère excitation par intervalles. Hésitation de la parole . » N'a jamais eu de maladie vénérienne. Pas d'e

e avec idées de satisfaction ; propos incohérents, hésitation de la parole , inégalité pupillaire. » Aucun antécédent héréd

la gauche plus que la droite. Tremblement fibrillaire de la langue. Parole lente et embarrassée. » Ch... Charles est gra

le avec idées de satisfaction, propos incohérents, hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. a Mariée à 35 ans, n'a j

e hallucinations de l'ouïe, perte de la mémoire, hésitation de la parole . Elle n'a jamais eu d'attaque ni de vertige. Hémi

nérale avec idées ambitieuses. Propos incohérents. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » En 1895, elle avait

des mains. Pupilles resserrées et inégales. Légère hésitation de la parole . » Eschares petites comme une pièce de un franc

alysie générale avec idées hypocondriaques. Légère hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » C'est une femme de moy

emme de moyenne taille, brune, apathique. La mémoire est faible, la parole hésitante. Les pupilles dilatées et inégales, r

aques, idées de persécution, excitation, insomnie. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » C'est un homme de ta

s facultés mentales. Inconscience de sa situation. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. Contusion à la région fe

ques idées puériles de satisfaction et de fortune. L'embarras de la parole est fort appréciable. Les pupilles sont inégale

sfaction, conscience très incomplète de ses actes. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » (Magnan.) TROUBLES TRO

de diar- rhée. L'affaiblissement intellectuel est très accentué. La parole très embarrassée. Les pupilles inégales. ' Il

nce. Cons- cience très incomplète de sa situation. Hésitation de la parole . Déjà traité. » II... Charles est de taille m

leurs l'empêchaient de dormir. Inégalité pupillaire. Embarras de la parole . ' ' ' La peau des deux jambes est sèche, rugue

de ne pas répéter ce qu'on vient de lui dire, parce que ce sont des paroles qui lui ont endolori les oreilles. Tantôt elle

DE mouvements DU membre inférieur droit associés A l'exercice DE la parole chez un aphasique; par M. SAIXTON. Certains hém

leur faire craindre ou espérer, à persister à leur donner de vagues paroles ou de banales consolations ? 11 faut que le médec

t la plupart des signes de la paralysie générale : hésitation de la parole , inégalité pupil- laire, etc. Après avoir été

ement de se relever. Le côté droit était complètement paralysé ; la parole était très gênée. Elle resta dans cet état troi

ances, sa figure exprime l'iu- différence. Elle n'adresse jamais la parole spontanément ni à ses voisines, nia ceux qui vi

t de symptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires, troubles de la parole , troubles des réllexes, etc. En somme, il faut

ès a été une amélioration d'un cas de démence avec hésitation de la parole , tremblement des mains et faiblesse des jambes.

conscient dans la vie humaine; 2° M. MOURAVIEFF. De l'origine de la parole ; 3° M. J. Rossolimo. La peur et l'éducation.

e géné- rale. Affaiblissement des facultés mentales. Embarras de la parole . Légère inégalité pupillaire. » M. le Dr Vallon

faction : cons- cience incomplète de sa situation. Hésitation de la parole . Inéga- lité pupillaire. » (Magnan.) . Syphil

nfusion dans les dées. Inconscience de sa situation. Embarras de la parole . Inéga- lité pupillaire. » Pas de renseigneme

énérale avec idées incohérentes de satisfaction. Hési- tation de la parole . Inégalité pupillaire. » La maladie remonte à j

malade une certaine diminution delà mémoire et l'hé- sitation de la parole . En février, un ictus congestif s'est déclaré et

ce ; cons- cience très incomplète de sa situation. Hésitation de la parole , inégalité pupillaire ». (Magnan.) Elle est ent

sement des facultés mentales est très pro- noncé ; l'embarras de la parole accentué ; les pupilles paresseuses et inégales

différence; conscience incomplète de sa situation; hésitation de la parole . » C'est une femme de taille moyenne. Ses facul

si bien. A eu la syphilis en 1890. Actuellement, l'embarras de la parole est très net ; les pupilles sont inégales. Mémo

ale, avec idées ambitieuses. Propos inco- hérents. Hésitation de la parole . Entorse du pied gauche. » Le malade B... Josep

à sa situa- tion. La mémoire est satisfaisante. L'hésitation de la parole existe toujours et les pupilles sont inégales.

passagère. Hallucinations multiples et pénibles. Hésitation de la parole . Tremblement des mains. » C'est un homme bien m

ns. » C'est un homme bien musclé, d'une physionomie apathique. La parole est hésitante, la mémoire très affaiblie ainsi qu

avec idées de satisfaction. Propos incohérents. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » Inconscient de son éta

rence. Conscience très incomplète de sa situation. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. > C'est un homme pe

hypocondriaques et quelques idées de satisfaction. Hésitation de la parole . » (Magnan.) C'est un ancien alcoolique. Il ava

action. Inconscience'de sa situa- tion. Lenteur et hésitation de la parole . Paralysie générale pro- bable. » Le diagnost

inconscience de la situation. Embarras très caractéristique de la parole ; tremblement fibrillaire des lèvres et de la lang

el et physique. Idées de satisfaction. Emoti- vité. Hésitation delà parole . Pupilles très resserrées, la droite plus que l

de vivre, et souriant, cause de ses châ- teaux et de ses palais. La parole est hésitante et embarrassée. Les lèvres trembl

hie, indifférence. La mémoire est nulle, il y a de l'embarras de la parole et inéga- lité pupillaire. Le malade conserve t

te de paralysie générale avec idées mélancoliques, hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. Gâtisme par moments. » (

e. Cinq mois avant son entrée D... Cécile perdait la mémoire, et la parole devenait un peu hésitante. La malade est petite

n'a que quelques idées vagues de satis- faction et de richesse. La parole est embarrassée, la mémoire nulle, les pupilles

onscients : idées de persécution, propos sans suite, embarras de la parole . » Petite, maigre, turbulente; elle demande sa

re soigner chez elle ; elle se dit millionnaire. L'em- barras de la parole est caractéristique. Tremblement fibrillaire des

paralysie générale. 187 serrées et inégales. Quelques accrocs de la parole . Tendance à la paralysie générale ». Le certifi

ution. Agitation. Propos ambitieux et incohérents. Hésitation de la parole . > Signé, M. Briand. C'est une femme de tail

onnante, apa- thique. Les pupilles sont inégales et paresseuses. La parole hési- tante. La mémoire très mauvaise. La malad

e et cons- cience très incomplète de sa situation. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » C'est une femme de m

belles robes, de beaux yeux (strabisme gauche). L'hésitation de la parole est très nette. Les pupilles sont inégales et n

paralysie générale, affaiblissement des facultés; embarras de la parole , idées de satisfaction. » (Dr Dagonet.) C'est u

t aussi quelques idées de richesse sans cohérence. Hésitation de la parole , inégalité pupillaire. La mémoire est mauvaise. L

avec idées de satisfaction; propos incohé- rents. Hésitation de la parole ; inégalité pupillaire. » C'est une femme petit

iante et satisfaite ; elle est riche, belle, a une voix superbe. La parole est hésitante ; la mémoire mauvaise. Les pupill

issement des facultés; actes inconscients ; myosis ; embarras de la parole ; arrêtée pour vol. » C'est une femme grande e

avec diminution notable de la mémoire. Embarras très prononcé de la parole . Les pupilles sont contractées et iné- gales. E

ons hypocondriaques. Inconscience de sa situation. Hésitation de la parole . Très légère inégalité pupil- laire. » (Dr Ch.

il n'a aucune idée de richesse ou de satisfaction. L'embarras de la parole et l'inégalité pupillaire sont accentués. La pe

générale. Affaiblissement intellectuel et physique. Embarras de la parole . » Le père s'est suicidé. G... Antoine est peti

ion. Les pupilles sont inégales. La mémoire nulle. L'embarras de la parole est très caractérisé. Grand gâteux. Couché depuis

énérale avec idées incohérentes de satisfaction. Hési- tation de la parole . » C'est un homme grand, blond, bien musclé. Le

lles sont inégales et n'agissent pas à la lumière. L'embarras de la parole est assez net. Il a des idées de richesse : il

e. Affaiblissement des facultés. Actes inconscients. Embarras de la parole , habitudes alcooliques. » La mère est morte apr

cient. Inégalité pupillaire. 190 CLINIQUE MENTALE. Embarras de la parole très marqué. Idées de richesse. La sensi- bilit

de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » C'est un homme de tail

de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » C'est un homme grand e

e, a des millions, va construire des maisons, etc. L'embarras de la parole est des plus accusés. La mémoire est très affai

de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. » Il a eu la fièvre typh

générale avec idées incohérentes de satisfaction. Hésitation de la parole . Inégalité pupillaire. Brûlure à la cuisse droite

et conserve quelques idées vagues de satisfaction. L'embarras de la parole est caractéristique; tremblement fibrillaire de

action. Cons- cience très incomplète de ses actes. Hésitation de la parole . Inéga- lité pupillaire. » C'est une petite f

ence : conscience très incomplète de sa situation. Hésitation de la parole , inégalité pupillaire. Habitudes alcooliques an

elle n'a pas de diarrhée. I. La statistique. Donnons maintenant la parole aux chiffres, ils sont plus probants que les di

constatations on peut admettre que chez ce malade le trouble de la parole résultait de l'absence du contrôle des organes

p. 171-372. IDIOTIE HYDROCÙPIIILIQUE ACQUISE. 289 quatorze mois. Parole ci deux ans. Marche à dix mois. Bronchite et co

dent à quatorze mois; douze sont sorties à seize mois. Début de la parole à deux ans, dit « papa, maman. » Début de la ma

lante prétend qu'elle reconnaît la voix de sa mère. Intel- ligeuce, paroles nulles. Accès de suffocation se montrant prin-

e tempérance devront-elles opérer ? La propagande par l'écrit et la parole , c'est parfait : mais c'est notoirement insuffi

s à parler pour dire quelque chose, à conformer leurs actes à leurs paroles , et à porter leurs convictions courageusement é

pseudo- nystagmus de lilippel et Durante (saccadé non arythmique). Parole mal articulée presque incompréhensible. Aucun t

auditive (hallucination psycho-sensorielle) et transmet ensuite ses paroles à la façon d'un interprète. Il n'est alors qu'u

r entièrement et sa personnalité seconde ou délirante prononcer des paroles , sans que sa personnalité propre en ait conscie

loin de ce monde, et machina- lement, je prononçai à haute voix ces paroles : « Je suis bien « loin, bien loin. » Je savais

ents de la mimique, de la mastication, de la dégtu- tition... de la parole , se font d'une façon absolument normale La resp

s plus complexes, et en particulier à ceux de l'ex- pression par la parole , la voix du démon finissant par se faire entend

it indépendante, il met en mouvement de lui-même le mécanisme de la parole , il prend un corps et se traduit par des discou

ndividu. Ce cercle d'idées qui agit librement sur les organes de la parole , l'individu lui-même n'en a pas conscience avant

oir de doutes... L'hallucination consiste évidemment à entendre des paroles que les malades pronon- cent bas, à leur insu e

même comme dans le rêve, se produit spontanément ; elle se forme en paroles ... Il s'établit alors une sorte de lutte entre

automatique. « Pendant le sommeil, le rêveur prononce souvent les paroles qui expriment les idées de son rêve, tantôt il se

ades éprouvent des impulsions irrésistibles à jurer, à proférer des paroles blasphématoires et des malédictions. « A leurs

ENTALE. tamment entre ses dents, les yeux fixés contre terre, des paroles inintelligibles. - Le diable, d'après Villis',

ire une mouche ou une fonrmi que nous aurions sous les yeux (par de paroles articulées à l'oreille). On lui a extrait les i

e j'ai peu d'opérations libres. Quand je veux parler on m'arrête la parole ; à la messe je suis arrêté court ; à table, je

bique et confond les syllabes. Point de troubles paralytiques de la parole ; elle répète généralement avec exactitude les

un trouble de conductibilité dans le domaine du centre moteur de la parole . Pas d'hémianopsie; pas de pertur- bation dans

86. Aphasique. Mouvements du membre inférieur droit associés à la parole chez un , par Sainton, 58. Arrêt DE développe

nous avons eu l'occasion de citer plusieurs cas dans lesquels les paroles grossières s'associaient aux tics '. Ces deux p

sont des Invisibles qui lui font des compliments, lui adressent des paroles aimables, lui présentent des personnages, le co

quement repoussé et qu'elle ne s'est pas suffisamment rebiffée; les paroles bienveillantes de son mari ne parviennent pas à

vient coprolalique; elle profère malgré elle, des blasphèmes ou des paroles injurieuses. Devant le médecin elle dit tout à

la conversation, elle surveille tous les mots, fait atten- tion aux paroles de l'interlocuteur pour repousser toute expressio

dit-il, tout ce qu'il fait, et des téléphones qui divul- guent ses paroles et ses idées que les publicistes, les députés, to

le monde lui vole. Il entend parfois des injures, d'autres fois des paroles flatteuses telles que : ·C'estVictor Ouzo », il e

nable en se détournant vers un arbre ou un mur pour expulser les paroles ordurières. Un malade de M. Maudsley, qui, avec

comme par une nécessité physique, de proférer des blasphèmes ou des paroles obscènes. Quand je passe dans les rues ou que q

quel- qu'un entre dans l'appartement où je me trouve, une de ces paroles se présente à mon esprit et demande, pour ainsi

rage remarquent quelques bizarreries dans sa con- duite et dans ses paroles . En l'interrogeant, elles constatent qu'elle ne

était, avait des rêves la nuit et disait assez haut en dormant des paroles que ses voisines ont pu entendre'. En rêve, ell

être réussir à manifester ces souvenirs d'une autre manière, par la parole même. Mais cette malade n'arrive jamais à les d

istraire, mais en évitant cette fois d'attirer son attention sur la parole . Je lui donne un livre à lire, ou mieux je lui

res circonstances, le rêve, le sommeil hypnotique, l'écriture et la parole , obtenues pen- dant qu'elle est distraite par q

ait attention à son écriture, dès qu'elle sent, ou entend sa propre parole , tout s'arrête et il n'est plus possible de man

mp- tôme local : aura motrice, douleur persistante, trouble de la parole , etc. En lisant les observations favorables, les

la mémoire, sont très affaiblies. Con- ceptions lentes et diffuses. Parole lente mais bien articulée. Les attaques d'épile

mblait de tous ses membres et suffoquait, incapable de proférer une parole . Sa femme a essayé de le calmer, et lui a fait

tionnelle ou autre, le système vaso-moteur réagit vivement, que des paroles aigres, des actes violents se font jour à la plus

ersement un homme intelligent, s'exprimant très bien, comprenant la parole , peut avoir perdu la faculté de lire. D'autre p

entre B d'association des lettres quelque part dans le centre de la parole ; la tumeur interrompait donc la voie A6B (dysl

sie transi- toire des muscles des yeux. Les accidents du côté de la parole datant d'un an ; plusieurs accès d'aphasie; au

s quatre semaines, l'aliénation mentale a disparu, le trouble de la parole s'est rapidement accentué. C'est l'intelligence

é mécanique de lire et qu'il n'existe que de faibles troubles de la parole sponta- née. 11 y a eu aussi une attaque d'apha

moment, ni simulation ni exagération. M. KoemG. D'un trouble de la parole survenant par accès chez une paralytique généra

le de coordination entre l'intonation et les mouvements qu'exige la parole restés parfaits. Dans les deux autres cas, ce s

division et des termes proposés 1. Pour M. Moeli le mécanisme de la parole ou la formation du mot suppose une première dis

une première dislinction fondamentale. Il ne faut pas confondre la parole parlée avec la parole écrite. En second lieu, les

ion fondamentale. Il ne faut pas confondre la parole parlée avec la parole écrite. En second lieu, les éléments qui sont e

ésentés par des lettres, des lettres que l'on vient d'apprendre. La parole écrite (le langage ' des lettres) dépend de l'i

ntravée, il se produit de l'alexie et de l'agraphie. L'acte de la parole et de la répétition des mots, celui qui préside z

a répétition des mots, celui qui préside z ' à l'intelligence de la parole et de l'écriture, constituent des fonc- 1 . '

ion de la pensée de l'indi- vidu, pensée qui exige l'exercice de la parole intérieure et ne se fixe que par son incarnatio

héorie des localisations suffit-elle à expliquer les troubles de la parole jusqu'alors observés ? - Tout récemment, cori-

st à peu près^impossible d'expliquer certains cas de troubles de la parole par les divers schémas en question. Prenant le

e est insuffisante, au même titre que la doctrine des centres de la parole , pour expliquer ce fait. On a recherché, chez l

' . 1° Les schémas qui ont actuellement cours sur les centres de la parole ne suffisent plus à expliquer tous les faits dé

plus à expliquer tous les faits décrits jusqu'ici de troubles de la parole ; -2° A mesure que s'enrichit le matériel d'observ

mente également; -- 3° Dans les publications sur les troubles de la parole , il faut s'attacher surtout à les décrire, non

se montrer d'une extrême prudence dans l'analyse des troubles de la parole à la lumière de ces postulata; -5° Le principal

-5° Le principal mérite des schémas dressés sur le mécanisme de la parole est de former un point de repère pour l'examen

e est de former un point de repère pour l'examen des troubles de la parole ; - 6° Il est à souhaiter de trouver un schéma p

ogique beaucoup plus compréhensif que les schémas des centres de la parole comme con- ducteur dans l'examen des symptômes

onvient de s'efforcer d'introduire dans l'examen des troubles de la parole , surtout quand il s'agit d'un ralentissement da

Grasheyt qui a observé par les nouveaux procédés les troubles de la parole , il faut tenir compte de la succession des phén

aient douter des relations que j'ai établies entre le trouble de la parole et le trouble de la mémoire, qu'à cette époque

e et, qu'en même temps que cette amélioration, il avait recouvré la parole . J'ajouterai que l'impotence totale du malade q

l pas que cet effort qu'on lui impose, influence les troubles de la parole . Il est bien des malades chez lesquels on cons-

que du côté gauche; l'hémianesthésie droite continue à exister, la parole est plus nette, la scoliose est en voie d'évoluti

EWNIKOFF et les Drs RossoLIMo, CHATaLOw, DARx-' caEmTCx ont pris la parole au cours de la discussion en analysant certains

ltent : de troubles de la fonction du langage, et de troubles de la parole . * En ce qui concerne le langage parlé, qui, il

reconnaît celles qui tien- nent : à une éducation défectueuse de la parole , à des malformations bibliographie. 141 congé

il intellectuel ou l'exciter encore en mettant en oeuvre ces douces paroles du grand poète : Suscipe, parue puer, risu cognos

enant de tous les pays du monde entier pour se perfectionner par la parole du grand maître. Le nombre des travaux qu'il a

un mot triste tel que : mort, enter- rement, cercueil. L'une de ses paroles pouvant avoir pour consé- quence de faire' ente

abille à la hâte et sans tenir compte des sages remontrances et des paroles rassurantes de son mari, elle court chez sa par

iverses, tandis que le syndrôme nerveux (migraine, trou- bles de la parole , etc.) peut en accompagner n'importe quelle for

arement encore d'autres troubles nerveux, tels que l'embarras de la parole ou l'engourdissement d'un membre (cas de Baralt

e la main droite, et quelquefois aussi de la gauche. Troubles de la parole seulement à la fin des accès. Migraine vio- len

t d'épilepsie partielle (sensitivo-sensorielle) avec embarras de la parole . L'en- gourdissement débutait toujours parle pe

à toute la moitié du corps, il était bientôt suivi d'embarras de la parole et de troubles dans les idées. Non seulement la

endait pas bien compte de ce qu'elle faisait et elle prononçait des paroles inco- hérentes, dont elle ne gardait aucun souv

ait une chose pour une autre; mais, il n'y a pas d'em- barras de la parole ni aucun symptôme d'engourdissement dans aucune

les moteurs, les syndromes épileptiformes. a). Les troubles de la parole pendant les accès d'amblyopie. transitoire, de

plus souvent à un trouble de l'intelligence, qui rend au sujet les paroles correspondantes aux idées qu'il voudrait exprim

écuter (dysa2,lhi,ie). Souvent il n'y a qu'un simple embarras de la parole , mais quel que soit le degré de l'aphasie, la s

etit mal. Après les attaques, lorsqu'elle se levait, embarras de la parole . Les accès épileptiques sont souvent accompagné

ar un ensemble de symptômes plus particulièrement du désordre de la parole , de la surdité verbale qui répondaient à une lé

EN FOYER DE la protubérance ET, EN particulier, DES -troubles DE la parole ANARTHRIQUES; par ST. MARKOWSKI. (Archiv f. Psy

la protubérance n'entraînent pas nécessairement des troubles de la parole , alors même que ces foyers ont détruit toute la

, il y a lieu d'admettre que les voies motrices qui commandent a la parole passent par les deux moitiés de la protubérance

si d'admettre que, dans la protubé- rance, les voies motrices de la parole occupent les parties médianes et postérieures (

r à droite. De même que pour les actes coordonnés volontaires de la parole le mouvement coordonné qui préside à la mise en

trouble de la déglutition comme nous expliquerons le trouble de la parole , par l'interruption, dans le bulbe, de ces trac

localisation identique, produisent simultanément des troubles de la parole et de la déglutition. De l'étude analytique des

hrie sont plus rares que les foyers unilatéraux sans troubles de la parole du tout. L'anarthrie REVUE d'anatomie ET de PHY

douleur dans les yeux, céphalalgies, vertiges, ralentissement de la parole , par moments incontinence d'urine passagère. In

une parésie permanente des extrémités droites et des troubles de la parole . En revanche, on trouve dans la moelle de l'inf

evez ont une telle notoriété que le secret n'existe plus et que vos paroles ou vos écrits n'appiennent plus rien à personne

i en retireraient un gland béné- fice. M. BOUItNEVILLE demande la parole pour rectifier certains points de la communicat

es aliénistes ! » M. RITTI, médecin de Charenton, a pris ensuite la parole , et doué, comme il l'a dit lui-même, de la boss

lance des asiles de la Seine, 308 SOCIÉTÉS SAVANTES. à prendre la parole . Il s'est exécuté aussitôt et, avec sa grande c

Riu avaient été les aimables organisateurs - M. le préfet a pris la parole et souhaité la bienvenne aux membres du Congrès

préfet, M. Boullé, membre de la commission des hospices, a pris la parole en ces termes : Messieurs, Je viens à mon tou

court. M. le Dr BOURNEVILLE, invité par M. le Préfet à prendre la parole , dit que les choses utiles ont été dites par M. l

encore, mais depuis'lors elle a perdu complète- ment l'usage de la parole . Il y a deux ans, elle eut vingt-quatre convuls

qu'elle touche plusieurs fois le même objet en prononçant quelques paroles à voix basse; parfois même, on la voit s'éloign

un objet; quelquefois ses lèvres remuent et elle prononce quelques paroles à voix très basse, mais elle ne veut donner aucun

bouche et pénètrent jusqu'à l'estomac. Un peu plus tard, toutes les paroles , tous lesbruits, tous les sifflets de chemin de

dans l'imagination, que j'y vais, l'estomac rempli des bruits, des paroles , des sifflets de chemin de fer que j'entends; je

z les paralytiques généraux. Du reste il n'y a pas de trouble de la parole . - Réflexes. Ils sont égaux des deux côtés et p

ns analyser très brièvement les troubles de l'intelligence et de la parole . Parmi les troubles de l'intel- ligence, le phé

crémasté- riques sont très faibles des deux côtés. Troubles de la parole . - F... présente un bredouillement et un bégaie

nt l'accès de migraine. » Il suffit de réfléchir un instant à ces paroles de Baralt, pour voir comme la théorie des réfle

troubles, dont on pouvait déjà se douter d'après les troubles de la parole , de la mémoire et de l'intelligence, maintes fo

ans le lobe occipital (Samelsohn) 2.. Et, même les troubles de la parole , si souvent observés pen- dant les crises d'amb

semble, d'après les nombreuses observations, que les troubles de la parole accompagnant l'amblyopie tran- sitoire ne vont

u champ visuel. Cela prouverait, d'accord avec les troubles de la parole et avec les observations d'épilepsie sensitivo-

- pagnée) lorsque dans les accès il y a encore des troubles de la parole , de l'intelligence, ou de l'épilepsie partielle o

motilité, des altérations des fonctions cérébrales, notamment de la parole et des activités psychi- ques analogues, peuven

t du développement des images contenues dans une idée. J'emploie la parole pour faire aux malades, que vous connaissez, de

ends pas bien ce qu'on me dit, ma tête est devenue trop dure et les paroles ne peuvent pas pénétrer... je me perds dans mes

formes de la folie du doute, et les sujets dont vous rapportez les paroles sont des malades complexes chez qui se sont dév

ous serez, je crois, frappé comme moi d'une contradiction entre les paroles et les actes de la malade. Elle déclare qu'elle

ces idées justes s'opposent à la pensée contra- dictoire que notre parole éveille dans l'esprit. Ensuite, comme le disait

efforts visibles et le mou- vement de ses lèvres, de prononcer une parole , pas même d'émettre un son (aphasie motrice et

es- tée très vive, car le malade saisit très rapidement le sens des paroles (pas de surdité verbale) et des phrases écrites

ges, attaques apoplecti- formes, troubles oculaires, troubles de la parole , tremblement intentionnel. Cependant, par l'ana

Tessier ont appelé l'attention, il ne rappelle que de très loin la parole scandée des malades affectés de sclérose multil

élat, qui délirent dans leurs actes mais ne délirent pas dans leurs paroles , malades parmi lesquels se trouvent un grand nomb

e douleurs lancinantes signe de Romberg z vertiges - troubles de la parole affaiblissement de l'intelli- gence. A l'opht

u tronc. Bien que déprimée, elle avait l'in- telligence indemne, la parole saine. Pupilles très larges, égales, réagissant

de Louvain, explique le rythme de certaines pensées et de certaines paroles et le rattachent au fonctionnement rythmé de ce

ale, à forme circu- laire, par Rottenbiller, 72; - troubles de la parole par accès dans la par Koenig, 100; - aiguë, p

e, par Koeppen, 280. PARA3fYCLONUS MULTIPLES, par IIomen, 83. Parole (troubles de la) insuffi- sance des localisatio

tc. ; 4° les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5° les exercices élémentaires relatifs à l'ense

— L'enfant à l'entrée était atteint de gâtisme, avec privation de la parole et compréhension nulle. — Actuellement, il est pr

e la parole et compréhension nulle. — Actuellement, il est propre, la parole est bien développée; l'enfant raconte ce qu'il vo

ueux. —• Aujourd'hui l'amélioration est notable au point de vue de la parole et de la compréhension. Il est tout a fait propre

.. (Maurice), Mich... (Victor). Six enfants ont été améliorés pour la parole : Gro..., Itziko..., Fél..., Le Bih..., (Cyrile),

nt il disait; ma Tavet, maintenant il dit fort bien Madame Bonnet. Sa parole devient de jour en jour plus intelligible. Aujo

uver-te, physionomie douce mais sans expression, gâtant nuit et jour, parole nulle, attention impossible à obtenir; tel était

les Comptes-rendus précé-dents son amélioration pour le gâtisme et la parole ; le déve-loppement de l'intellect continue lente

animaux. Il trace des bâtons et les lettres qui s'en rapprochent. La parole est pres-que normale; l'écholalie n'existe plus,

nnée dernière comme rendu propre (p. XVlII) a beau-coup gagné pour la parole et l'adresse de ses mains. Il sait lacer, nouer,

s dans les Comptes-rendus précé-dents (1) a été très amélioré pour la parole qui n'a plus com-me défaut qu'un chuintement asse

a. .. (Lucien), 11 ans. Physionomie peu expressive, rictus continuel, parole affectée d'un chuintement prononcé. Lucien, beauc

e front la lecture, l'écriture, l'orthographe, et nous ajouterons, la parole . Pour l'écriture le tracé de verticales, d'horizo

cture à l'usage des enfants arriérés et présentant des troubles de la parole . — Paris, 1901. Progrès Médical, 14, rue des Carm

mesure d'améliorer la prononciation des enfants et de développer leur parole , ont été envoyés successi-vement, par série, au n

l'école Bonnet (René G'se . .) qui retient non seulement l'air et les paroles , mais aussi la page où se trouve tel ou tel chant

nd blanc, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éducation de la parole (syllabes simples ou répétées ou combinées); 2° P

es de la marche, des jointures, massage, gym-nastique, exercices delà parole , etc., etc. Nous l'ai-sons assistcrles parents à

son entrée en 1891, la phy-sionomie annonçait pou d'intelligence; la parole était bonne mais tout à fait enfantine; elle mang

ir triste et maussade, le regard sans vivacité, le teint jaunâtre. La parole était lente, la voix faible, son caractère était

déshabille elle-même, procède entièrement à ses soins de toilette. La parole , autrefois lente, est maintenant très vive, Elle

rait que la pitié, le regard était triste et morne, le teint pâle. La parole était défectu-euse, elle avait un défaut de prono

e parlait peu, son vocabulaire ne s'étendait guère qu'en mensonges ou paroles grossières. Indif-férente à tout, ni réprimandes,

onges ou paroles grossières. Indif-férente à tout, ni réprimandes, ni paroles affectueuses, rien ne la touchait. Aucun goût, ni

hui chez cette enfant des pro-grès sous bien des rapports. D'abord la parole : elle commen-ça par dire bien des mots, construi

à 7 mois. — Dentition complète à 2 ans. — Début de la marche et de la parole à 17 mois. — Propreté à 18 mois. — Début de l'épi

à 7 mois ; dentition complète à 2 ans. — Début de la marche et de la parole à 17 mois. — Propreté à 18 mois. Les p7-e?me?'s

vers la déchéance. — Pupilles dilatées, la droite plus que la gauche. Parole légèrement pâteuse. Pas de tremble-ments des lèvr

5. Juillet.— Même état (les organes génitaux, des pupilles et de la parole . 1897. Janvier. — On remplace l'élixir par des

. — Même traitement. Juin. — L'enfant parle de moins en moins et la parole , quelquefois, est incompréhensible. Il est moins

e est de plus en plus diffi-cile. Par moments, il syllabe à peine. La parole s'embarrasse de plus en plus. Il hésite toujours

as si bête que ça, moi na ! » Il vague dans la classe, accompagne les paroles qu'il prononce d'un dandinement du corps ou d'une

ent, sans parvenir à trouver une place. Juin. — Même embarras de la parole , congestion fréquente de la face; dilatation des

ite. Première dent à 14 mois. Dentition complète à (?). Début de la parole à 14 mois. Début de la marche à 18 mois. Propre à

mains. Cauchemars. Cris. Février 1898 : torticolis et troubles de la parole ; perte de la vision à droite en 3 jours; céphalal

roite en 3 jours; céphalalgies. Entrée à Saint-Antoine en avril 1898; parole lente; moitié gauche de la face moins mobile que

'est-à-dire en mars 1898, la marche devient encore plus difficile, la parole un -peu embarrassée; en trois jours s'établit u

se lorsqu'on l'inter-roge ; elle répond aux questions posées, mais la parole est lente, difficile, et elle fait des efforts po

ningite. A 13 ans, marche de plus en plus difficile, embarras de la parole , cécité de l'œil droit en trois jours ('?), parés

mois. Dentition complète à 2 ans. — Propreté et mar-che à 10 mois. — Parole à 15 mois. — Convulsions de 1 àibmois, intéressan

pas eu de convulsions; dentition complète à 2 ans. Propre à 10 mois. Parole à 15 mois. Vers l'âge de 2 ans, c'était un très b

, il pleure sans cesse ; le sommeil est entrecoupé de cauchemars ; la parole devient nasonnée, et impossible au début de 1905.

poque la dentition fut complète. — Elle ne connait pas le début de la parole , de la marche et de la propreté. C'est à 4 ans

ondants. Il n'y pas de taches sur la che-mise. L'intelligence et la parole sont satisfaisantes. La digestion et la respirati

cis sur la dentition, qui a été tardive cependant. — Mar-che à 2 ans, parole assez tard. Prenait bien le soin et était aussi é

s, dit la mère, elle tient des propos très sensés, d'au-tres fois les paroles ne se suivent pas bien. L'enfant n'a pas été à l'

. Ouïe normale : l'enfant perçoit les bruits, les sons musicaux et la parole . Mesures de la tête. 1900 1901 1902 190

aler du côté du périnée et de l'anus. Au point de vue fonctionnel : parole sifflante, lèvres et dents serrées quand elle par

andinant. L'enfant a fait surtout des progrès au point de vue de la parole : elle ne prononçait que quelques mots de patois à

semaine. Hydrothérapie froide. Sirop d'iodure de fer. Exercices de la parole . — 14 mars. Vomissements, pas de diarrhée. Rien à

arésie marche l'idiotie de l'enfant, le gâtism e, la difficulté de la parole . II. Physiquement cl; mentalement inférieure l'

lgré des conditionstrès mauvaises, a eu une influence heureuse sur la parole , qui est devenue déplus en plus distincte. L'affe

cider en laissant, ouvert le ro-binet du gaz...; a des troubles de la parole , urine et défèque sous elle..., actes inconscient

u massage, des leçons de toilette, d'habillement, des exercices de la parole , pour la correction des vices de prononcia-tion.

èvres, de la langue, des joues, de la respiration ; — exercices do la parole par la pro-jection des mots, etc.) On les fait

. Le fantôme a l'air profondément triste, mais il ne prononce que des paroles de consolation. Elle revoit aussi « Alphonse » ;

ses Leçons sur les maladies du système nerveux. Nous lui laissons la parole : « 1° Tantôt, c'est une douleur vive, très viv

à tour avec lenteur, Pas de tétanisrae. C. Glonism; bientôt remplacé paroles grandes secousses. 3° Phase de résolution. — La

par la mimique expressive à laquelle elle se livre, ainsi que par les paroles qu'elle laisse échapper, il est fa-cile de suivre

n. La malade semble lutter pour se soustraire à des étreintes, et ces paroles lui échappent : c Au secours! Au secours ! — Ah!

a jambe gauche est demi-fléchie, et relativement molle (fig. 58). Les paroles qu'elle laisse échapper montrent clairement ce qu

... quand on a une fille de vingt et un ans... » Presque toutes ces paroles sont prononcées à demi-voix, les dents serrées et

s sont en quel-que sorte stéréotypés : les gestes, les attitudes, les paroles même ne varient pas. Pour donner une idée de la

obile plusieurs minutes; tantôt accompagnées de gestes violents et de paroles appropriées1. Il Fig. 65. — Attitude passionnel

ent sur toute sa personne (fig. 68.) Un jour nous avons recueilli les paroles suivantes : Fig. 68. — Attitude passionnelle.

e le mur près duquel est appuyé son lit (fig. 70). 11 lui échappe des paroles comme celles-ci, qui rnon- Fig. 71. — Attitude

aimé que toi. Elle affecte des poses théâtrales accompagnées de ces paroles : « Donne-moi ton amour (fig. 77).» « Ne m'outrag

apport avec la na-ture de son hallucination. Elle laisse échapper des paroles comme celles-ci : ce Viens!... tu ne veux pas?.

!... les bourreaux!... Voilà la mort! Voilà la mort. (Elle répète ces paroles d'une voie terrifiée, jusqu'à sept fois de suite.

attaque où l'hystérie a une part elle répète automatiquement quelques paroles (toujours les mêmes) qui s'y rapportent, mais sa

ut courir les sauver. » (Tous ses mouvements sont en rapport avec ces paroles .) Son effroi augmente : « Ils vont périr!... s'

ravit. Puis elle se calme, paraît rêver, converse à voix basse ; ses paroles sont inintelligibles. Elle chante entre ses dents

orbée dans ses réflexions, elle parle toute seule, et l'on entend ces paroles prononcées à demi-voix : « Je n'irai pas à l'éc

isième, elle agit. Ici, de la mimique, des attitudes variées; là, des paroles , des discours. Si la quatrième période se parle,

de leur vivacité, et sont rendues par des gestes, des attitudes, des paroles qui ne varient pas. Le délire de la quatrième pér

aciturne, elle fuit la société, il est impossible de lui arracher une parole . Ou bien elle est prise, par accès, d'un rire n

roite, maintenue quelques minutes. Les contractures disparaissent, la parole revient, elle entend. Mais alors survient un ho

arrêtait les progrès de la maladie. C'était ici le cas de répéter les paroles de Brodie : « N'y touchez pas ! » L'affaiblisse

ttes, exprimant une terreur profonde. Elle prononçait à ce moment des paroles qui indi-quaient qu'elle voyait le diable ou d'au

n-nelles; il y a des gestes d'effroi, certaines poses plastiques, des paroles entre-coupées et indiquant la lutte et l'effroi.

onnés l'animent; elle fait même certains gestes et prononce certaines paroles qui dénotent l'exaltation des sens, pure création

La jeune personne tomba tout à coup et resta sans mouvements et sans parole . Il y eut ensuite contraction vive des muscles ma

ndissait sur son lit. Elle ne répondait pas quand on lui adressait la parole , et ne faisait aucun mouvement lorsqu'on entrait

buant tous ses maux, et elle terminait ses imprécations par les mêmes paroles grossières. Parfois ses monologues roulaient sur

ignes de tuberculisation à l'auscultation. Elle louche légèrement; sa parole est lente et un peu embarrassée; elle est très su

ns la description qu'il donne des accès d'hystéro-épilepsie, cite les paroles mêmes de M. Charcot, dont il approuve complètemen

in-coordonnés. Pendant ces attaques on observe une sorte de délire de paroles et d'action, sans que cependant il semble y avoir

lesquels le malade se plaint, mais ne recouvre point ordinairement la parole . Quelquefois cependant on voit de longues attaque

ompagnent parfois de cris qu'arrachent la terreur ou la colère, ou de paroles plus ou moins incohérentes, est plus ou moins com

st on peut dire, uniquement constituée par un accès sôit de délire de paroles , ou d'action, qui est plus particulière aux enfan

ement dans les yeux, et sa langue se retourne, la pointe en haut, l^a parole est coupée net. Puis quelques contractions appa

lit, elle estde fort mau-vaise humeur, et répond par des injures aux paroles qu'on lui adresse. Elle est contracturéc du bras

sse qui agite tous les membres, les traits de la face se plissent, la parole est brusquement interrompue et la malade perd le

e barre. Dans d'autres accès il y avait des étouffements, perte de la parole ou loquacité. La malade était tantôt gaie, tantôt

oilà mon... » Et ses gestes accentuent encore la signification de ses paroles \ Je rapprochei^ai des extases de Gen..., les a

dorée. Notre-Seigneur lui a parlé, mais elle ne peut se rappeler ses paroles . Elle n'a pu lui répondre, tant elle était émue.

e récita alors plusieurs prières; mais au con-traire de son chant, sa parole était rapide, confuse, et je ne pus comprendre ce

., elle commence à parler : elle chante le salve regina. Sa pre-mière parole est celle-ci : « oh! que de tristesse ! » puis vi

ttaque continue ainsi offrant un mélange de contracture, de délire de paroles , de chansons, et de retours momentanés à la raiso

loroforme. Gl... à la suite de ses attaques entre dans un délire de paroles qui se prolonge quelquefois. M. Bouimeville.a con

e des Saints-Pères. Tu te figures que j'en ai six à quinze ans... Les paroles s'en vont, les écrits restent... Dans des mo-ment

ques, et son bavardage continue encore : c'est un véritable délire de paroles . « Quand cette chose-là est arrivée, il méritai

se croit dans un monde idéal, tantôt il est au lycée et il adresse la parole à ses camarades, tantôt il se trouve transporté s

ge exprime une vive anxiété. La malade ne manifeste cependant par ses paroles aucune idée délirante. Son père est mort à cinq

une autre, elle eut des mouvements désordonnés, de l'agi-tation, des paroles ininlelligibles, une figure grimaçante, un peu d'

t entourée de personnes de sa connaissance auxquelles elle adresse la parole , voit des animaux courir dans sa chambre. Elle a

intérêt, sans objet, uniquement pour mentir, et cela non seulement en paroles , mais encore en actions, par une sorte de mise en

tement avec l'opinion qui place dans le cerveau gauche le siège de la parole . Au milieu de sa lecture l'occlusion de l'œil dro

œil gauche qui agit sur le cerveau droit n'entrave en aucune façon la parole , pendant que l'occlusion de l'œil droit qui agit

ner le sujet non seulement par des bruits variés, mais encore par des paroles dont la signification peut faire naître les hallu

ue l'hallucina-tion disparaît, soit spontanément, soit chassée par la parole de l'observateur, l'état cataleptique revient imm

a malade absolument passive est impressionnée de la même façon par la parole de qui que ce soit. Née à la voix d'un observateu

répond aux questions qu'on lui adresse, mais si c'est l'œil droit, la parole est supprimée à l'instant même ^ 1. En poussant

y a bien impression psychique ; un bruit quelconque aux oreilles, des paroles qui ont un autre sens, la même phrase en langue é

culaire n'existe plus. L'anestliésie totale à la douleur persiste. La parole est conservée, et, de même que dans l'état précéd

p de tonnerre. Chez toutes deux, il y avait perte de la voix et de la parole , et les autres symptômes musculaires caracté-rist

ille ou s'il dort, dit Cerise. Cependant il n'est pas insensible à la parole , lorsqu'elle lui est adressée avec une grande éne

avec une grande force; son visage l'exprimera vivement ainsi que ses paroles , M. Carpenter s'est convaincu de la vérité du fai

commande. Nous savons en outre que, chez cette malade, le siège de la parole , suivant la règle habituelle, est dans le cerveau

on apparaît. Son visage s'illumine, elle se met à genoux, profère des paroles d'admiration, et, si on lui en demande la raison,

ne soutient aucune discussion. En un mot, elle est fascinée et n'a de paroles que pour dépeindre ce qu'elle voit. Sans aucune r

Sans aucune résistance de la part de la malade, l'observateur, par la parole seule, peut faire disparaître l'hallu-cination. E

et se comportait vis-à-vis d'elle de la façon la plus inconvenante : paroles obscènes, attouchements lascifs, etc.. La nuit, e

res. Elle ne peut plus parler. Une séance d'electrisation lui rend la parole et la gaieté. Le sommeil la reprend à deux heures

re l'oreiller. Par instants elle pleure, marmotte entre ses dents des paroles inintelligibles, pousse quelques cris inarticulés

labiale droite, de petits mouvements coiivulsifs; au môme instant, la parole de la malade (ne ressentant rien de particulier,

e n'avoua qu'après s'être trahie, pendant l'accès qui suivit, par des paroles comme celles-ci : « Mon enfant... emmenez-le... j

s étranger qui pro-duirait la suffocation. Au milieu de tout ceci, la parole est entrecoupée par instants, mais la série des l

La catalepsie persiste. A deux reprises un peu d'agitation; quelques paroles incohérentes. Le 10. Au matin la malade a paru

intervention, mais elle ne nous reconnaît pas, et ne prononce aucune parole . L'un de nous passe dans la pièce voisine, ferme

rois derniers jours. On a beau rap-peler à la malade ses actes et ses paroles , elle ne peut croire ce qu'on lu dit et en demeur

douleur vive à la tempe gauche. Enfin elle avait repris l'usage de la parole pour dire qu'elle venait de voir ses parents d'Am

ut quand celle-ci est tirée hors de la bouche; la voix est faible, la parole hésitante et tremblante. Il s'a-gite, soulève la

its, et l'on me ramena dans la pièce que j'avais quittée. Ma première parole fut celle-ci : suis-je sotte! je prends cela pour

nt plies qu'elle récolte dans tous les coins. Quand on lui adresse la parole , sa physionomie s'épanouit et à toutes les questi

isuelle et de leur faculté auditive; d'autres perdaient l'usage de la parole , et tous restaient insea- sibles aux moyens d'e

tirait et repoussait son vent. Elle s'entendait bien parler, mais les paroles finies, elle ne se ressouvenait nullement de ce q

tait point ensuivi, à quoi la fille ne répondit que par un torrent de paroles impures, sales, déshonnêtes, qui ne faisaient auc

e de son internement, elle ne répliquait pas; la contradiction de ses paroles ne paraissait pas l'em-barrasser. Tous les déta

eraient pas effectivement possédées,elles croiraient l'être sur votre parole , tant à cause de leur mélancolie, qu'à cause de l

ontrer par quelque couleur au visage en répétant beaucoup de fois ces paroles : Ascende ad partes superiores, et quand ces pauv

a marque de la présence du démon qui contraint par le pouvoir de leur parole , signalait ainsi son ar-rivée dans le corps de la

: Adora Deum tuum, créa-lorem tiiuni; et plusieurs autres semblables paroles . Ladite supérieure pressée a dit : Adoro te. Lors

t dérision, a fait des mouvements lascifs, réitéré plusieurs fois une parole sale. Etant après conjurée par ledit Barré de dir

la part de Dieu de parler congruement, aurait encore répété lesdites paroles : Deus non volo ; et aurait ledit Barré dit que v

'abrégé de toute bonté et moi de tout mallieur : qu'ayant proféré ces paroles , il devint encore plus forcené, et témoigna une g

vait aussi obsédé son âme, et que c'est de Ici que sont procédêes ces paroles , qui semblent approcher du désespoir, et qui ont

re de mensonge celui qui le faisait, il n'eût fallu que rapporter les paroles mêmes de Job, qui disait : J'ai horreur d'avoir a

rreur d'avoir ainsi parlé, et je m'en repens sur le sac et la cendre. Paroles qui marquaient son péché et le sentiment qu'il en

au désert, son dessein était de pénétrer dans ce secret; mais que ces paroles :Tu ne tenteras point le seigneur ton Dieu, le la

xorciste chanta le Magnificat,etc., et lorsqu'il vint à ces dernières paroles : Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto, cette

mmanda à l'instant de faire satisfaction à la Vierge de ces horribles paroles , en se vautrant sur la terre en forme de serpent,

rciste avec le sacrement en main, lui ayant commandé de satisfaire de paroles , ce visage changea et devint hideux, et la tête s

e même jour, sur le soir, la même forme du crucifix lui dit, avec des paroles amoureuses : « Ma chère fille, mon épouse,donne-m

à sœur Anne du mal du père confesseur et de ses supérieures, avec des paroles trompeuses, les louant d'une façon et les blâmant

îtresse; elle avait comme l'esprit perdu. Quand elle pensait dire une parole , elle entendait sensiblement que l'on se dépitait

ux transformations; il se travestit comme lui de geste, d'habit et de paroles ; il donne les mêmes enseignements et consolations

rire ce chien, il est trop attentif à ce qu'il fait » ; proférant les paroles sacramentelles criaient : « Ces chiennes de parol

» ; proférant les paroles sacramentelles criaient : « Ces chiennes de paroles nous font enrager, dis-en d'autres. » Deux ou tro

s s'excitaient les uns les autres, soit par des menaces, soit par des paroles de forfanterie. « Dagon, qui possédait la mère

, s'élancer et sauter sur les autels, tâcher â tout rompre, dire cent paroles d'insolence, demander à tout le peuple des ado-ra

s tilles ne seraient pas possédées, elles croiraient l'être sur votre parole . » Malgré cette sage et prudente réserve, des e

ation effroyable. Elle, c[ui auparavant ne pouvait faire entendre ses paroles , se mit â jeter des cris épouvantables et l'on vi

raient sans cesse le progrès de la paralysie; privée de l'usage de la parole . » Elle fut guérie sur le tombeau de M, de Paris,

les convulsions devinrent plus intenses, qu'elle perdit l'usage de la parole et qu'on crut qu'elle avait cessé d'exister. En r

, qui avait eu le temps d'arriver auprès d'elle, lui adressa quelques paroles pieuses. « Elle entra dans des agitations si horr

ord si timide et si farouche, qu'on ne pouvait tirer d'elle une seule parole , et qu'elle paraissait presque imbécile. Cependan

t-on point grâcieuser des assistants de leurs amis, d'oeillades ou de paroles obligeantes. Mais d'ailleurs, les bras des Berneu

ancèrent, l'un à droite, l'autre à gauche du banc, et murmurèrent des paroles à l'oreille des jeunes filles qui tremblaient tou

s paroles à l'oreille des jeunes filles qui tremblaient toujours. Ces paroles n'arrivaient pas jusqu'à nous ; mais en ce moment

je voyais des lèvres perfides toucher leur visage, je distinguais les paroles à peine articulées de leurs confessions, et la ro

tes aux gémissements inarticu-lés et à la confession à demi voix; les paroles de quelques-unes se détachaient de temps en temps

'une jeune fdle qui pendant trois semaines perdit ainsi l'usage de la parole . D'autres devinrent sourdes et aveugles. « La dur

urvenait géné-ralement alors que les sujets étaient déjà privés de la parole et pour peu de temps seulement. » On n'a pas cher

nut avait eu 70 attaques et jusqu'à 7 en un jour; elle avait perdu la parole et fiisage de ses membres » Le petit livre ^ du

atitude, de triomphe et d'adoration. On voit à leurs regards, à leurs paroles , à leurs supplications désespérées, à leurs geste

rs maîtres... J'ai vu une personne qui a été entièrement privée de la parole pendant trois heures dans une circonstance, et pe

ainsi que les in-structions, les promesses, et autres passages de la Parole divine qui ont été lus ou entendus dans la jeunes

tère, de ses* promesses. Oh ! comme nous compre-nons maintenant cette parole du Christ à ses disciples : « mon esprit vous dir

sacré, exprimés d'une façon qui ne laisse rien à désirer et pour les paroles et pour la musique. D'autres, de nature poétique

nce, comme pour répondre â un personnage importun, et l'on entend les paroles sui-vantes ou autres semblables : « Non, je ne ve

té, catalepsie, extase, visions, clairvoyance, perte temporaire de la parole , de l'ouïe et de la vision, paralysie transitoire

uacité irrésistible et par une manie croissante à vou-loir prêcher la parole de Dieu, par des visions et des prophéties. Cet a

eut prouvé si manifestement l'esprit de la sainte et la vérité de ses paroles , il eut en elle moult grande dévotion, et l'eut p

n parlant, ou plutôt parlent en pensant, sans avoir la conscience des paroles qu'elles prononcent, de même Marie de Mœrl, médit

1894, admis le 31 mars 1899. Idiotie complète; marche, préhension, parole , etc., nulles. Gâtisme. Sait maintenant marcher

i. A .son entrée (2 : ! juillet 1592), l'enfant ne marchait pas, la parole était nulle, le gâtisme complet. L'attention ét

mouvements de la gymnastique des échelles (1'ir. 7, 8, 9, etc.). La parole s'est sensiblement développée, mais en conserva

(26 juillet 1898), l'enfant était gâteux, idiot, épi- leptique. La parole était complètement nulle. L'enfant était peu af

ahurie, souffreteuse, l'attitude mauvaise et la marche lente. La parole était presque nulle, le gâtisme complet. Aucune

des soins de toilette ni des exercices classiques. Actuellement, la parole est plus coin- préhensible. - Le gâtisme a disp

Edmond), né le 2 mars 1891, (9 ans). A l'entrée (6 juin 1894), la parole était nulle. L'enfant était gâteux et ne mar-

. (Edmond), né le 2 mars 1891 (9 ans). A l'entrée (6 juin 1894), la parole était nulle, l'enfant était gâteux, ne marchait

il mange seul et pro- prement ; sait nouer, boutonner et lacer. La parole qui, au début, était nulle s'est aussi beaucoup

donner tous les soins de toilette ; en outre, au point de vue de la parole il a fait beaucoup de progrès. Les deux autres

ment très amendés sous le rapport du gâtisme, de la marche et de la parole . Tous les enfants sont exercés à la gymnastique

; - 4° les exercices pour l'éducation de la main, des sens et de la parole ; 5° les leçons de petite gymnastique ; - 6° le

n couleurs. Ces exercices sont complétés Fig. 39. Education de la parole . xxxv par d'autres dans lesquels la couleur n'e

ont été fabriqués dans les ateliers des enfants. Éducation de la parole . Nous distinguons parmi les exercices ayant pou

'idiotie compliquée d'impul- sions violentes. - Cet enfant, dont la parole était absolu- ment nulle à son arrivée en novem

s-mêmes. L'intelligence s'est améliorée d'une façon notable et la parole a suivi cette progression. Del ? qui vient mainte

rnière les progrès sous le nom de Le Roy, continue à s'améliorer. - Parole nulle au début. - Cet enfant a com- Bourneville

ait tous les symptômes de l'idiotie profonde ou de second degré. La parole était absolument nulle, il ne pous- sait que de

d'idiotie et d'instabilité mentale, continue à s'améliorer pour la parole . Il fait de petites phrases, trouve les mots pour

d), 12 ans, atteint d'idiotie profonde, était gâteux au début et la parole à peu près nulle. Il est enfin parvenu à exprim

ette, seulement la langue semble se mouvoir toujours avec peine, la parole est très lente, un peu embarrassée et présente

ectueuses ; nous avons signalé l'année dernière ses progrès pour la parole . Chaque leçon de lecture était pour lui une leç

haque leçon de lecture était pour lui une leçon d'articulation ; la parole ayant ainsi marché de pair avec la lecture, not

re d'améliorer la prononciation des enfants et de développer leur parole , ont été envoyés successivement, par séries, au

s (grandes lettres noires sur fond blanc), pour l'éducation de la parole syllabes simples ou répétées ou combi- nées) ;

ides : Pouz ? et Mora... Six ont été notablement améliorées pour la parole : Kracl11 ? Poz ? Dev ? Le Br ? Caza ? Gudef...

taires, fait les trois premières opérations de l'arithmétique. Sa parole s'est notablement améliorée, sa prononciation e

idiotie myxoedémateuse. A son entrée cette enfant était gâteuse, la parole et la marche étaient nulles, elle ne savait ni

e a appris à parler, elle sait soutenir une petite conversation, la parole est encore un peu défectueuse, principalement p

l'ardoise. Deve... (Rose), 8 ans, atteinte d'idiotie avec gâtisme, parole , marche, mastication nulles, l'enfant était ali

matisme abdominal durant la grossesse. - Asphyxie à la naissance. - Parole et marche tardives. Convulsions il un an. - Hém

nelle, tremblements, étourdissements ? Cousin, caractère bizarre. Parole a deux ans et demi, propreté à deux ans. - Rou-

se passe autour d'elle, incapacité de s'habiller seule, gâtisme, parole presque nulle, etc. IV. Au point de vue de l'hé

t simultané de la mémoire, déchéance intellectuelle, embarras de la parole , peurs exagérées et sans motif. Description du

gauche ; rien à signaler sur le toucher, le goût et l'odorat. - La parole est libre ; rire très facile. Les fonctions dig

enfant a eu un développement physique normal ; pour la marche et la parole , on a cependant constaté un léger retard ; il a

i-heure blanches et anesthésiées, la sensibilité y étant abolie. La parole est libre. Les organes des sens ne présentent r

ier. - Premières dents à 6 mois; dentition coin- plète-à 15 mois. - Parole et propreté à 2 ans. A 3 ans, peur, suivie la j

e faire manger pendant quatre semaines. Après les convulsions, la parole était perdue. Le premier mot qu'il prononça, le

scription du tremblement : Très léger tremblement de la langue ; la parole est assez libre (' ? ), le malade parle un peu en

nté un Peu il droite, surtout dans l'actc de boire. Aujourd'hui, la parole est assez libre, non scandée : « Par- fois, ell

tombé par terre. Le tremblement de la tète serait, plus intense. La parole , parfois, est presque inintelligibie. Il vient

ts : amblyopie, diplopie, nyslag- mus, céphalalgies, embarras de la parole . Les détails que nous avons donnés au cours de

dispensent d'insister davantage. Toutefois, en ce qui concerne la parole , nous devons dire que la mère du malade et lui-

y avait souvent une pause entre chaque syllabe et que, parfois, la parole devenait presque inintelli- gible, phénomènes q

s. Dentition complète à 2 ans. Marche ;t 13 mois, propreté à un an, parole vers 18-19 mois. Mis à l'asile à 3 ans et demi

avait rendu la marche impossible et la préhension très limitée. La parole , l'attention, les manifestations intellectuelle

on, indifférence au bruit, infixité du regard, absence d'attention, parole nulle, aucune connaissance des personnes, ni pl

tions de l'ouïe, refus d'aliments, idées de suicide. Troubles de la parole . Incohé- rence et enfantillage. » Le lendemai

e la dentition a été complète. - Début de la marche à 9 mois, de la parole à 1 1 mois. Propre à 3 ans seulement, et de 10

normale dans tous ses modes. L'enfant parait assez intelligente, la parole est libre. Les fondions digeslives et respirato

parle plus des choses saintes, elle est surexcitée, prononce des paroles incohérentes. - La diarrhée persiste, l'enfant gâ

e la tête. - A partir de 9 ans crises épileptiformes. - Début de la parole à 2 ans. - Première dent à 8 mois. - Dentition

Puberté prématurée. 217 La physionomie exprime la souffrance. La parole est nulle et cependant la malade comprend bien

e)netit à terme et facile. - Allaité par sa mère. - Marche a un an, parole vers 16 mois, propreté vers un an. A l'école il

arrive d'ordinaire après ses accès, il divaguait et prononçait des paroles sans suite; il délirait également . dans ses ac

utour de l'établi pendant une dizaine de minutes, en prononçant des paroles inintelligibles. Quand on l'a arrêté, il a rési

e heure. Il voulait se jeter par la fenêtre. Il aurait prononcé des paroles qu'on ne lui a pas répétées. Sa femme est encor

e son lit descendait. Sa figure est très éveillée, intelligente, la parole facile. 15 juin. - L'enfant est morte à l'hôpit

s peu touchée. La malade n'aurait jamais présenté de troubles de la parole . Cependant la commissure buccale droite est un

membres supé- rieurs normaux. Pas de tremblements de la langue. La parole est normale. La sensibilité cutanée à la doul

est diminué. On observe des légers tremblements de la langue. La parole , quoique traînante et paresseuse, n'est pas hésit

ngue bien les couleurs. La langue offre des légers tremblements. La parole est claire. Le réflexe pha- ryngien normal, le

et à l'accommodation. La langue offre des légers tremble- ments. La parole normale, ne présentant aucune difficulté. Le ré

uscles de la face et de la langue. 44 if PATHOLOGIE MENTALE. La parole est bonne, mais toujours lente, il parle en tenan

e pas de trem- blements fibrillaires de la langue et des lèvres. La parole est nor- male. Il n'y a pas de tremblements aux

pressive; quand la malade nous voit, ou quand nous lui adressons la parole , elle commence à sourire et tâche essaye- de no

etc., absents). Légers tremblements de la langue et des doigts. La parole courante et normale. La marche est bonne. Le ré

, l'enfant ne distingue rien dans la demi-obscurité (héméralopie) ; parole normale. Etat psychologique. L'intelligence n'e

goût et l'odorat pervertis. La marche lente et sans sûreté. Comme parole il est à noter que le malade. répond très diffici

offre de légers tremblements et garde les impressions dentaires. La parole n'est pas altérée. Les doigts tremblent moins.

disait qu'il avait beaucoup de bétail, beaucoup d'argent, etc.; la parole élait altérée). La mère de la malade est bien p

é et seulement si nous insistons longlemps sur la même question. La parole très lente et basse, presque imper- ceptible. L

mières, etc. Elle se tient retirée dans un coin, sans prononcer une parole , sans demander la moindre chose même la plus né

ormie, on l'a enfumée et qu'elle ne peut pas s'en rendre compte. La parole n'est pas altérée. Les réponses sont claires et

se, un mode d'as- sistance qui laisse un certain nombre libres, sur parole , de circuler dans ou hors des asiles, dont les

avait à l'asile de Murthley un tiers des malades hommes libres, sur parole , dans l'intérieur de l'asile ou de ses dépendance

quels il s'adresse dans son cours, de prêcher la sobriété par leurs paroles et par leurs acles, convaincu qu'ainsi, ils pou

ération des réflexes rotuliens, léger clonus des pieds. Hémicranie. Parole irrégulière, sacca- dée. III. Nicolas S... (6

marche vacillante à évolution progressive. A l'âge de quatorze ans, parole ralentie. Etat présent. Occiput aplati, front d

tractions intentionnelles dans les muscles supérieurs de la face. Parole irrégulière, par à coups et saccades, zézaiement

sement de la science, correspond l'amoindrissement de la foi. Ces paroles peuvent s'appliquer au délire religieux qui sév

hologique que porte à la fois sur les mouvements extérieurs, sur la parole et sur les mouve- ments intérieurs de la pensée

mains et de l'écriture, du côté des lèvres, de la langue et de la. parole , des phénomènes ataxiformes qui rappellent de p

tération. G. Devr. XXI. Les centres et voies de communication de la parole et de l'écriture ; par J. Rosa. (Celatnulbf. f.

ts musculaires qui doivent être exécutés au moyen des organes de la parole pour arriver à émettre les sons qui composent le

QUES. motrices et les centres destinés à Vexéculion mécanique de la parole et de l'écriture. Ici la voie de la parole r-

culion mécanique de la parole et de l'écriture. Ici la voie de la parole r-f- qui va de l'image phonétique l au centre d

de perception par l'ceil des mouvements que font les organes de la parole pendant l'acte de la parole, elle passe par le ce

s mouvements que font les organes de la parole pendant l'acte de la parole , elle passe par le centre 111 des conceptions d

le centre 111 des conceptions des mouvements de l'instrument de la parole qui accompagnent le son du mot. Un enfant qui

ocient la blépharoptose, la fatigue de la nuque, les troubles de la parole et de la déglutition. A noter l'absence d'atrop

gnait en ville), je vais l'étouffer, ôtez-le, voyons, ôtez-le. » Sa parole est brève, saccadée, impé- rative. Un instant a

l'asile de Naugeat, Limoges est choisi pour-le Congrès de 1901. La parole est ensuite donnée à M. le Dr Anglade, qui expose

des maîtres éminents, qui nous assistent et nous entourent, ptît la parole en cette circonstance, n'ayant d'ailleurs, pour

émianesthésie gauche et un tremblement du bras droit. Plus Lard, la parole devient et reste scandée, spasmodique, monotone

nt faire penser à l'hystérie. Mais les vertiges, les troubles de la parole , les patésies durables à gauche, la persistance

r Pierret (de Lyon), l'un de nos rapporteurs''qui prendra demain la parole à la séance matinale ; nous le connaissions dep

t du congrès de Limoges en 1901. M. le Dr BOUBILA a pris ensuite la parole : Mesdames, Messieurs. Avant de répondre aux

is ensuite la parole : Mesdames, Messieurs. Avant de répondre aux paroles trop flatteuses de notre éminent Président, per

santé des maîtres de la science aliéniste et neurolo- giste dont la parole autorisée a jeté un si vif éclat sur nos séances.

est encore et plus sou- vent par des déviations. Les troubles de la parole , de l'écriture, les atechnies font partie de ce

mpossibilité de fixer l'attention, l'impulsivité, l'incohérence des paroles et des actes, l'alternance de la loquacité et d

l'abri du besoin; il ne se laisse pas convaincre Ce sont de vaines paroles dites pour le rassurer, et en admettant même que

APERÇU GÉNÉRAL DE PATHOLOGIE ET DE THÉRAPEUTIQUE DES VICES DE LA PAROLE ; Par le D' LADtsi.AS OLTUSXEVSKI (de Varsovie)

le el Ics nffectinc naco-pliary ngiennec. L'étude des vices de la parole l'ut longtemps liée à la mé- decine générale et

s erreurs à notre point de vue actuel, embrasse la pathologie de la parole presque entière. Depuis cette époque, on a publ

rvations personnelles cliniques de l'autre (1050 cas de vices de la parole )-, nous tâcherons de présenter une nou- velle c

âcherons de présenter une nou- velle classification des vices de la parole , des considérations sur leur pathogénie et thér

dernières. Il faut avoir en vue quatre troubles principaux de la parole : le nudisme, le balbutiement, y compris la pro

s une anatoino-pathologique, suivant laquelle les anomalies de la parole se diviseront en deux classes : '1° d'origine cor

érentes variétés de ce vice, il faut connaître la psychologie de la parole . Or, les mentions que nous trou- vons ;t ce suj

der- selben zu seiner Inteligenz. Berlin, 1806. De l'hygiène de la parole (en polonais), 1896. Allgemeiner kurzer Abriss

s cérébrales chez )'enfant avec diverses catégories des vices de la parole (Guzela Leharska, 1898). 8 Fiinf Iteitr;iae z

, 1895, 1896, 1897,1898). Sixième contribu- tion aux anomalies delà parole (Dleclycyza, 1898). 452 THÉRAPEUTIQUE. depu

jours, sont souvent erronées et ne concernent la psychologie de la parole que d'une façon indi- recte, car il s'y agit av

ation des souvenirs verbaux. Kussmaul comprenait le mécanisme de la parole d'une façon plus large comme un ensemble d'asso

ux mémoires verbales, devant suffire par elles-mêmes à l'acte de la parole . Enfin, la nouvelle école psychologique depuis

x de l'association, par conséquent, en ce qui concerne l'acte de la parole , la différence entre la mémoire verbale sensori

ionnés, nous croyons toutefois que la psychologie rationnelle de la parole ne saurait être approfondie, (leconsidérei-la b

le APERÇU GENERAL DES VICES DE LA PAROLE. loi) mécanisme de la parole (Flechsig), mais qui possède la faculté d'émett

t, nous attribuons au centre moyen un rôle fort important dans la parole intérieure qui consiste 1L relier les conceptions

partient dans la suite au centre postérieur. Avant que l'acte de la parole ne devienne automatique, l'enfant doit, pendant

it, voici quels sont les points fondamentaux delà psychologie de la parole . Les mé- moires sensorielles verbales, inhérent

citations du monde extérieur qui accompagnent l'acte d'écouter la parole , car chaque mot est composé de sons et de bruits

ment la mémoire d'associa- tion du centre moyen. Pour comprendre la parole etl'écriture, ainsi que pour parler et écrire s

spontanément, il faut se servir du centre psychique postérieur. La parole , dans le vrai sens du terme, n'est point un réf

socier dans le centre moyen pour produire 4o4 THÉRAPEUTIQUE. la parole automatique, tandis que pour faire des observa-

térieur. Deux mécanismes peuvent donc être actifs dans l'acte de la parole psychique : l'un, infé- rieur, à peu près autom

supraangularis). Les différentes opinions sur la psychologie de la parole avaient leur pendant dans la façon d'envisager

RCU GÉNÉRAL DES VICES DE LA PAROLE. 455 circonvolution frontale. La parole intérieure est conservée, les sujets peuvent li

e normal de la part du centre auditif le sujet ne comprend pas la parole qu'on lui adresse, parle, lit et écrit paraphatiq

automatiques des mots qui forment l'élément le plus important de la parole intérieure. Le mutisme orga- nique du centre po

crire aussi machinalement (action automatique du centre moyen) la parole reste incomprise, le sujet parle, lit et écrit pa

l'affaiblissement de la mémoire auditive empêche de comprendre les paroles et les phrases qu'on prononce ; 3° alexie avec

- pathologiste. Il faut y distinguer Y établissement tardif de la parole et la mutilé proprement dite. Le premier tient à

ts mais incapables de parler spontanément quoiqu'ils comprennent la parole des autres. Pour nous c'est de l'aphasie motric

l'aphasie motrice sensoiielle orga- nique en ce que la perte de la parole spontanée tient dans la première aux troubles d

DES VICES DE LA PAROLE. 457 - On appelle balbutiement un vice de la parole aussi important que le mutisme et qui consiste

sensorielles et à l'irrégularité consécutive de l'automatisme de la parole . Le balbutiement pathologique d'origine cortica

ement la prononciation vi- cieuse d'une ou de plusieurs lettres, la parole restant absolu- ment compréhensible. L'origine

n de la cavité naso-pharyn- gienne n'appartient pas aux vices de la parole proprement dits. Le nasonnement ouvert consiste

exacte des deux cavités ne peuvent être prononcés distinctement. La parole devient tout à fait incompréhensible. Le naso

e l'enfant. Le bégayement appartient aux vices dysphatiques de la parole et doit être considéré comme une névrose se carac

illet 1898 nons avons observé ,1.050 sujets atteints de vices de la parole . Sur 217 muets, 9 (3 adultes, G enfants) ont su

s recueillies nous fait voir que la majorité des cas de vices de la parole se rapportent à la famille des dégénérés dans l

rie et de la pratique : c'est ainsi qu'elle élucide les vices de la parole chez les enfants tels que le mutisme et le balb

pasmodique'». De concours avec la philosophie, la psychologie de la parole , les lois de son évolution chez l'enfant et l'é

malies, la logopathologie amène à créer l'hygiène rationnelle de la parole . Par consé- quent, elle ne cède pas en importan

n contribuant à la propagation des idées justes sur l'hygiène de la parole et les vices de cette dernière. On verrait alor

s parler; il est dans l'impossibilité absolue d'articuler une seule parole soit à haute voix, soit à voix basse, et tousses

éjà été funestes, il craignait de perdre de nouveau ou la vue ou la parole . Cet accès dura deux mois, comme le premier, il

algré tous ses efforts, il lui est impossible d'articuler une seule parole ; il parvient seule- ment à émettre un son guttu

staxis assez abondante, et une heure plus tard il avait recouvré la parole . Ce troisième accès de mutisme s'est donc termi

brusquement, le malade recouvrant entièrement tout d'un coup la- parole perdue depuis plusieurs semaines. Ces accès de

becs de gaz et on éclaire largement la salle. La vive clarté, les paroles bienveillantes des veilleurs ne tardent pas à les

xcitations physiologiques normales des sens : objets bien éclairés, paroles distinctes, interpellations pres- santes et int

ceinte qui leur était t réservée. M. Doutrebente prend ensuite la parole et, dans un discours très applaudi, rend un hom

le souvenir de son père, a remercié vivement le congrès en quelques paroles empreintes d'une douce émotion. Le buste remarq

pel, 217. Paralytiques généraux. La descen- dance des - -, 243. Parole . Pathologie et thérapeutique des \ices de la ,

de sonnettes, flacons de diverses odeurs, etc.), l'éducation de la parole (exercices de prononciation), les promenades av

a été adressé hier au soir à domicile. Si personne ne demande la parole sur la discussion générale, je vais donner lectur

ion dans un délai plus ou moins rapproché. Personne ne demandant la parole , je mets cette question aux voix. La commissi

ctions ministérielles. M. le Président. Si personne ne demande la parole , je vais mettre aux voix l'adoption de ce règle

seil géné- ral. M. le PRÉSIDENT. - Si personne ne demande plus la parole , je mets aux voix l'adoption des conclusions du

lamptiques durant la grossesse. - Lymphatisme. - Idiotie complète : parole et marche nulles; gâtisme; aucune connaissance

Accès de cris. Cognements de tête contre les murs. - Blépharite. - Parole et marche nulles : jambes de plus en plus faibl

ns dès le premier jour. Seconds convulsions à 4 mois. - Début de la parole à 18 mo8 Premières dents à 6 mois. - Ne marche

nance à droite ou à gauche. Pas d'autres convulsions. Début de la parole à 18 mois. - Première dent à G mois ; dentition

ied gauche est plus arqué que le droit. Sen- sibilité normale. La parole est limitée aux mots : papa et maman. S.. ne sais

é. - Inégalité d'âge de 10 a tzs. Première dent à mois. - Marche et parole à 20 mois. Méningite à 2 ans 1/2, auec convulsi

impossibilité de parler. - Retour progressif de la marche et de la parole . - Début précoce de l'athétose. - Début de l'ép

la naissance. Elevé au sein par sa mère jus- qu'à 7 mois. Marche et parole à 20 mois. Il a été pro- pre de bonne heure. -

nes la mar- che est devenue possible, mais en traînant la jambe; la parole est revenue peu à peu vers la même époque et s'

Abcès du sein droit, un peu au-desssus du mamelon. Mémoire bonne. Parole libre. Le T... peut converser; il s'ha- bille e

thétosiques. Il en est de môme dans le membre inférieur droit. La parole et la prononciation sont gênés par des mouve- m

fréquentes, suivies d'une paralysie du côté droit avec perte de la parole . 52 Syndrome : imbécillité, hémiplégie, ÉPILEPS

environ après la terminaison de cette méningite, la motilité et la parole ont commencé à revenir en même temps qu'apparai

leptique. - Méningite à 4 mois auec convulsions ( ? ). - Marche, parole , propreté, mastication nulles. - Cécité complèt

cle71t tt ? l 17-t ; Cleî LI itio Il complète à 3 ans. - Marche et parole à 2 ans et demi. - Mobilité exces- sive. - Coqu

un an; den- tition complète à 3 ans. - Début de la marche et de la parole à 2 ans et demi. - Les premiers symptômes de so

eux. - z Jamais de convulsions. - Rougeole à 4 ans ( ? ). Marche, parole , préhension nulles.- Gâtisme, - Contractures des

n'a jamais pu marcher et est toujours resté couché. Le début de la parole a eu lieu à 3 ans. l'as de renseignements sur l

e la mère durant sa grossesse. III. Thil... n'a jamais marché. Sa parole ne s'est jamais développée chez lui, et il a to

caractère et de ses habitudes : Iloch..., ne prononce pas une seule parole . Il crie de temps en temps et ses cris très per

oujours gâteux, il avait parfois la diarrhée durant une semaine. Sa parole , à 3 ans 1/2, se bornait à quel- ques mots : pa

mes ont remarqué les progrès notables qu'il a faits surtout pour la parole ; il a ajouté à son vocabulaire les mots : « du

à 7 mois. Pre-' mière dent à 3 ans. Dentition complète à 10 ans. - Parole ' nulle. - Début de la marche à Sans. - Accès d

ans. - Première dent à 3 ans passés; dentition complète à 10 ans. - Parole nulle. - Début de la .marche à 8 ans. Il marcha

- Douches de 25 secondes; 2 séances de gymnastique; exercices de la parole . Mai. L'enfant est exercé à la petite gymnasliq

ts. - Son caractère est toujours doux et affectueux. 6 juin. - La parole est toujours nulle, mais l'enfant semble mieux

n qui ne fut achevée qu'à 10 ans ; marche à un âge avancé (8 ans) ; parole limitée à quelques mots ; gâtisme persistant, e

s'habiller et à se laver, à déve- lopper dans une petite mesure la parole mais nous n'aurions pas conquis davantage. . '

ant cinq ou six fois dans le premier mois. Première dent à 2 ans. Parole limitée il quelques mots. Marche nulle. Ona- ni

de 6 mois à 4 ans. - Rémission des convulsions de 4 ans à 6 ans 1/2 Parole etpropreté précoces. - Marche à 18 mois. - Roug

Idiotie, cachexie, cécité. - Leucome total adhérent des deux côtés. Parole et marche nulles. - Entérite à deux reprises. M

n entrée il Bicêtre. Grincements de dents. Accès de colère. Tics. Parole à peu près nulle. 13l'oncho-pnewnonie. AUTOPSIE

rconférence : 23 centimètres. Corps thyroïde à pe ne perceptible. - Parole nulle. Thorax assez développé; sternum projeté

la prédisposition héréditaire. Le (le la dentition, l'absence de la parole , etc., semblent indiquer un état congénital que

J lUes de plus en plus éloignés. Rémission des convulsions à un an. Parole nulle. Demi-parésie à droite uers 2 ans 112. -

l'époque du sevrage, ni sur la manière dont se fit la dentition. La parole est encore nulle à l'heure présente. Premières

u point de vue clinique l'enfant était atteint d'idiotie complète : parole et marche nulles, gâtisme, etc. L'existence de

gie droite. - Nouveau* accidents couculsifs à partir de 13 ans. - Parole et marche nulles; - gâtisme incomplet Atrophie

re dent iL cinq mois. Dentition longue iL se compléter. Début de la parole à onze mois; n'a jamais pu dire que « maman ».

res qu'il répète constamment, l'asymétrie crâ- nienne, l'absence de parole nous permettent, en le comparant à des cas semb

ics chez les idiots. mentis, l'absence pins ou moins complète de la parole , le manque absolu de volonté, sont les symptôme

lles plus ou moins éloignés (Julie Ler..) (1). Parmi les lies de la parole , notons celui qui consiste en une sorte d'explo

Idiotie, cachexie, cécité.- Leucome total adhérent desdeuxcotës. - Parole et marche nulles. - Entérite à deux reprises. -

abondantes de la tête suivies d'un peu d'amélioration. - Marche et parole nulles. - Strabisme externe ; cécité com- plète

dès le premier jour. - Secondes convulsions à 4 mois. - Début de la parole à 18 mois. - Premières dents à 6 mois. - Ne mar

clamptiques durant la grossesse. - Lymphatisme - Idiotie complète : parole et marche nulles; gâtisme; aucune connaissance

n de particulier. Grand père maternel, quelques excès de boisson. - Parole nulle. - Marche à 2 êlns t/2 et incom- plète. P

e à Bicêtre. - Grin- cements de dents. - Accès de colère. - Tics. - Parole à peu près nulle. - Broncho-pneullzonie. - Mort

ntrée à Bicêtre. - Grincements de dents. Accès de colère. - Tics. Parole à peu près nulle. - B1'OnClzo-rJne219110n1e. AU

naissance, revenant à diverses reprises jusqu'à deux ans et demi. Parole nulle, gâtisme, etc. Charet... (Charles), né le

ments survenus dans sa physiono- mie. A l'entrée (8 février 1887) Parole nulle, ne se sert que de la cuiller, gourmand,

lée et souriante. Il se déshabille, s'habille se lave bien seul, la parole s'est notable- iment développée. Il reconnaît l

après la 15 mois. Première dent à 12 mois. Gâtisme intermittent. - Parole limitée quelques mots à l'entrée. Marche à 13 m

l'entrée. Marche à 13 mois. Turbulence. Grimpeur. - Clastomanie. - Parole développée et propreté vers 1881. Plaie du cuir

ception durant l'ivresse. - Première dent à six mois, - Marche et parole nulles. - Gâtisme à l'entrée (3 ans). - Salacit

Amélioration très remarquable ; développement de la mar- che, de la parole , etc. Dupu.. (Marius),né le 30 juillet 1881.

ne physionomie souriante et intelli- gente. A l'entrée (1884) : - Parole nulle, gâtisme, se sert assez bien de la cuille

es portes, balance son corps d'avant en arrière, etc. En 1892 : - Parole libre, raisonnement assez développé, réponses p

nvulsions jusqu'à cinq ans. - Crises plus rares à partir de 5 ans. - Parole à six ans. - Gâtisme accidentel. Laumail... (Gu

de consanguinité. Inégalité d'âge de 7 ans. Pas de c9nvulsions, '- Parole nulle; - Impossibilité de se Traitement MÉDICO-

cements de dents a et un balancement antéro-postérieur du tronc. La parole z est absolument nulle. Il crie et pleure une p

le placer sur le vase à des heures régulières ; exerci- « ces de la parole ; sirop d'iodure de fer, huile de foie de « mor

phies; est devenu tout à fait propre. Il marche, court et saute. La parole s'est notablement développée, il dit les Traite

re de rapporter d'urgence un rapport... M. STRAUSS. - Je demande la parole sur cet incident. Dites le nom , M. Després. Vo

L ASSISTANCE DES ENFANTS IDIOTS. Ensuite M. Fallières a donné la parole à M. Bourneville, qui s'est exprimé en ces term

eilleur moyen de prouver votre reconnaissance, c'est de répéter les paroles que votre camarade vient de prononcer. Ne soyez

de M. Fallières, obligé de se retirer avant la fin, a prononcé les paroles suivantes : Mes enfants, Je profite de l'occa

placé au fauteuil de la présidence de celte fête pour me donner la parole ... Rassurez-vous,je n'ai pas préparé de discour

ue démocratique doit avoir àcceur d'augmenter le nombre. Ces bonnes paroles ont été accueillies par les applaudisse- ments

aax accès à treize ans : nonchalance; inappétence, difficulté de la parole ; - course, parfois saut, sans perte de connaiss

le mieux. Cet état ne dura pas longtemps. L'appétit disparut, la parole devenait quelquefois inintelli- gible, quelquef

aces, mouvement anormal des mâchoires et de la langue ; quelquefois parole embrouillée ou même impossible. Balancement de

uls petit, contracté, spasmodique ; respiration un peu embarrassée; parole bégayante, incompréhensible, à peine perceptibl

pagné d'aucune espèce de malaise; le malade riait, était sobre de paroles , mais il possédait sa connaissance. Au bout d'un

t jamais cependant, non plus que le tremblement de la langue, et la parole était toujours incompréhensible. Toutes les aut

sance. - Hébétude consécutive; trois jours après, embarras de la parole . - Mort le sixième, jour après deux nouvelles att

'épilepsie. Elle était dissipée le lendemain. Le troisième jour, la parole s'em- DE l'épilepsie procursive. ,15 barrassa

t plus du tout à la volonté, elle ne peut pas serrer du tout ; la parole est brève, saccadée, quelquefois impossible; les

à dix mois; Bourneville, 1887. 4 50 DE l'épilepsie PROCURS1'E. parole courante dans le cours de la seconde année ' ; il

réiformes des extrémités supérieures et inférieures, de la tête; la parole était saccadée ; cet état a duré une demi- heur

a eu plusieurs fois des convulsions ; n'a pas été en retard pour la parole , la marche et la propreté. De cinq à douze ans,

irée à gauche; pas de déviation, ni de tremblements de la langue. Parole libre ; pupilles égales, normales. Il court après

es les nuits, il est quelquefois grand galeux. Léger embarras de sa parole ; pas de tremblement des lèvres et de la langue.

e droite. Asphyxie à la naissance; convulsions ri dix-huit mois,. - parole et marche tardives; - rougeole; - ophthalmie. -

ent, en raison de son état d'imbécillité. - Durant l'examen, pas de parole , pas de toux ou toux incomplète. L'auscultation

ontaire et défécation. ' Après les accès il veut se sauver, il a la parole embarrassée, on dirait qu'il va devenir paralys

parloir. 1885. 3 mars. - La mémoire est assez bien conservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des périodes d'e

passait autour de lui ; il a dit distincte- ment : « J'ai soif.» La parole est assez correcte, mais d'une façon particuliè

e après les accès. Aujour- d'hui, le malade est agité, prononce des paroles incohérentes, cherche à se lever. Le pouls est

tuée ainsi que le montrent les notes de l'école et son écriture. La parole est un peu traînante ; tremblement de la pointe

léger tremblement de la langue et des lèvres, de l'embarras de la parole . - La mémoire est nulle. La miction est involonta

frères morts de méningite. - Asphyxie à la naissance - Marche et parole ci quatre ans. - Convulsions à treize mois. - Inc

ère, convulsions et tumeurs blanches. - Première dent ci sept mois; parole ci un cacz, marche à quinze mois. - Coqueluche

ie, automa- tisme. - Dilatation pupillaire droite. - Embarras de la parole . - Etat de mal. - Mort. Autopsie. Persistance

es accès il devenait méchant, coléreux. - A son entrée à Bicêtre la parole se bornait aux mots : « Merde, sale vache. » Il

ouleur parait bien conservée, quoique perçue avec assez de lenteur. Parole nulle. i 1S84. - Organes génitaux. - Poils roug

etsnce. Pupilles égales. - Pas de tremblement de la langue. Aucune parole ; il ne se rend nullement compte de ce qu'on lui

tion très notable qui permet de le ren- voyer à la petite école. La parole est très limitée, il ne dit que DE L EPILEPSIE

ciliaire. - Pas de tremble- ment de la langue ni des lèvres. Parole réduite au mot« merde qu'il prononce et répèt

he, puis amé- liorée, reparaît et envahit aussi le côté droit; la parole , peu développée, se limita de plus en plus, ce

plaqués. - Altitude de la tête quelquefois penchée en arrière. - Parole lente, le plus souvent tremblée. - Sensation inte

e. La tête et la nuque étaient quelque peu inclinées en arrière. La parole peu cou- lante, hésitante et irrégulière nécess

rotation, dé- marche chancelante, bégaiement et tremblement de la parole . Les phénomènes procursifs diffèrent quelque pe

u cou, des muscles de la face; signes plus marqués du côté droit. - Parole scandée et embarrassée. Mouvements rares au rep

à l'asile de Rhodez, en 1880, « un dimanche », ce qui est exact. Parole . -La prononciation rappelle celle d'un enfant « r

e laissait sortir avec un commissionnaire... malade lui-même.» La parole est scandée par des mouvements. Il peut allonger

fortement et les paupières se ferment presque entièrement. t. La parole est lente. Il semble qu'il soit obligé de faire u

ain gauche; par exemple, pour gratter la terre, creuser un trou. La parole a toujours été absente, il cherchait à se faire c

r. Il passe d'habitude son temps couché ou assis sur un fau- teuil. Parole et marche nulles. - Traitement : toniques; exerci

ce malade est toujours doux. Son rire ressemble à un grognement. Sa parole se traduit toujours par des éclats de BOURNEVIL

uit dès qu'il essaye de proférer un son, est le grand obstacle à sa parole . Il mange géné- ralement seul et assez propreme

la patte d'oie se creuse, mais un peu moins que chez Derno... La parole , chez lui, est très limitée ; il dit : « Non, pap

quoique très lentement et très péniblement, de marcher seul. La parole , réduite à quelques mots chez ce dernier, est, au

re- tenir une conversation. La voix est nasonnée, gutturale et la parole est scandée; tous les deux sont obligés d'exercer

tous les deux sont obligés d'exercer un effort avant de parler. La parole s'accompagne chez tous les deux de contractions

sent pas se rencontrer dans l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au premier abord. Toutefois, un

es atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de la parole vont en s'aggravant dans la sclérose en plaques

t n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux. Les troubles de la parole qu'on remarque chez les athéto- siques dès qu'i

n maternelle persistante du second mois à la fin de la grossesse. - Parole et propreté tardives. -'Accès de colère. - Sévi

; il a une fille do 6 ans, bien con- formée, mais en retard pour la parole ; cette enfant comprend bien tout, mais ne peut

u sa première dent à huit mois et ses vingt dents vers deux ans. La parole a été lente à venir; elle n'a parlé que vers de

position leur fut soufflée d'abord par ma mère (ce sont ses propres paroles ). Elle s'électrisa d'abord seule, et répéta dan

but est d'établir cliniquement : que les fibres, sans lesquelles la parole ne peut être exprimée, se trouvent dans le trac

u bord externe du ventricule latéral, les agents de transport de la parole , correspondent particulièrement à la troisième

la même une mention à part. Je propose de les appeler artères de la parole ou DE L'A- PHASIE. On devine que l'hémorrhagie

e donnera lieu à l'hémiplégie vulgaire et à un simple trouble de la parole , tandis que l'hémorrhagie limitée aux rameaux d

aux cap- sulaires extra-nucléaires amènera la perte absolue de la parole et un simple trouble paralytique. Signalés par

ns l'un comme dans l'autre cas, il survient une perte absolue de la parole ,' une aphasie permanente. En fait de lésions di

ment, sa volonté s'exprimant par des signes paraissent intacts ; la parole ne se rétablit pas. Mort seize mois vingt et un

le malade peut articuler quelques mots; avant la fin de février, la parole est à peu près revenue. Mort le 22 avril par su

eurs se sont contentés simplement de cons- tater que la perte de la parole existait dans un cas comme dans l'autre, sans s

ature et le siège de cette perturbation, suivant que la perte de la parole mettra plus ou moins de temps à disparaître, ou

it d'éléments actifs, seuls les faisceaux chargés de transmettre la parole ont été interceptés, non par la totalité de l'a

s graduelle- ment hémiplégie droite complète, embarras, perte de la parole . Mort le 5 décembre. Autopsie. Intégrité de l

l'intimité de cette substance la cause matérielle de la perte de la parole . C'était en un mot par rapport à la troisième f

à ce point irritable qu'elle s'excitait dès qu'on lui adressait la parole . Dans les premiers jours de 1879, le calme augm

r le diable en se masturbant, marmottait seul, entre les dents, des paroles sans suite, était incapable de tout tra- vail s

int notable. Pas d'affaiblissement paralytique, pas de tremblement; parole bien articulée, pas de traces de scrofule ni de

nes, attaques répétées, passagères, caractérisées par une perLedela parole , tantôt unique, tantôt accompagnée de monoplégi

mois avant l'apparition des premiers phénomènes, d'une perte de la parole également soudaine, sans perte de connais- sanc

perte de connais- sance ; il recouvre quelques minutes plus tard la parole , ruais le soir du même jour, il perd soudain co

udain connaissance pendant trois quarts d'heure. Le jour suivant la parole est encore un peu em- barrassée, niais ce troub

arythmiques se succè- dent cinquante à soixante fois par minute. La parole et la dégluti- ' Archives de Neurologie, t. II,

parfois elle, se cache sous son drap; mais elle ne prononce aucune parole . Ces hallucina- 13f; CLINIQUE NERVEUSE. tio

-six ans. Pendant une occu- pation domestique chancelle1 et perd la parole ; paralysie du bras droit, et plus tard'du memb

capsulaires frontales extra-nucléaires, d'où la perte totale de la parole . D'ailleurs, l'hémiplégie étant incomplète, et

tions capsu- - ]aires extra-nucléaires chargées de transmettre la parole ; elle est située en dehors et au-dessous de l'ar-

é- miplégie et d'aphasie. Pendant que la paralysie per- siste, la parole revient peu à peu. Dans l'observation XL du mêm

e, il nous reste à parler des cas dans lesquels 4° La perte de la parole coïncide avec une lésion de l'in- sula et l'int

différent ou plutôt nul, parce que les faisceaux conducteurs de la parole en seront distants de- 12 à 15 millimètres au l

rte constitution. h n juin 1809, perté`dé5connaissancé étjeue dê la parole . En février 18<0, jdeesijustejî,-< ? ttaj

sculeux et coritenântzûlie sérosité brune, cause de la perte de la' parole ; ensuite, un ramollissement du lobe postérieur,

r ? 9c v`W 1«n`vv n(1\v iy^nttn1 \o .\4 ? ) sangles véhicules de la parole , au.moment.ouits, se 8JU9(] to aavjti ,0'uijiii

a eu aphasie. On n'avait pas fait attention qu'ici le trouble de la parole n'avait été qu'ér7aénèré.'Q ? r ? Nul doute qu'

rieur exécute encore quelques mouvements volontaires ; face, rien ; parole facile; sensibilité générale obtuse. Observat

Traits déviés à droite ; commissure labiale, droite tirée en haut ; parole difficile; sensibilité générale obtuse. OBSERVA

r, incomplète du membre inférieur : déviation des traits à droite ; parole difficile; hoquet ; sensibilité générale obtuse

les particularités afférentes au point que nous traitons ? ,-) La parole est difficile dans les deux derniers cas, etq f

ces cas, la lésion eût été plus profonde; cee simple trouble de la parole n'eût fait place à une , .' ' . u/ 1 bjj " "" v

ale très marquée, épigastre douloureux ; intellect conservé, pas de parole . Mort le 1er novembre. Sous les cireoizvo- luti

me frontale, quelle qu'elle ' soit, ne renferme pas le centre de la parole , ce qui revient à dire que ce revêtement cellul

r ·'il.lr, rrr ·T <trn ? J7'Tt Pi ' . 91 AdaW n 9'eOrc· 1 de la parole avec la destruction de 1 écorce,dans chaque,-)

le sang nutricierdes irradiations cap- su)aires conductrices de la parole est indépendant de celui de l'écorce et de tout

llaire correspondante. Il est donc probable que les vaisseaux de la parole ne fonctionnaient pas dans le cas de M. Charcot

concourraient à la confirmer. Resterait à expliquer la perte de la parole observée quelquefois à l'occasion de certaines

utorisé à>'affirmer. que les troisièmes fron'ales président à la parole . Déjà, DU DÉLIRE CHRONIQUE. 173 depuis 1879,

dans l'endroit vers lequel se dirigent les faisceaux vecteurs de la parole , c'est-à- dire à la partie moyenne des circonvo

cinations. Elle n'est point, encore parvenue l'incohérence dans ses paroles ,' niais la transition ap.1 d eiili'e les idées qu

.ce qui a motive son în- , '* - ,- ^ > ' 1 ,L , fternement. La parole est épaisse ; i/étatdeja.langue n éstgllsr idiqûé

ombe, il -s'affaiblit dé plus , en. plus et perd, tout, à. fait la, parole . Alite'par - 'affaibHt de, p)usea. piuset perdt

pt ans. Début de la maladie, il y a 'quatrp'mbis. Pupilles égales.1 Parole lente, parfois 'hésitante pour ', U ? 1" 1 l,h

de sa,première altaquer(il y, a quinze jours) de l'hésitation de la parole , de l'insomnie;, a été, vio- lent ; a refusé'de

te consolation suprême d'être payées de leurs sactifices, par une parole d'affection ou de reconnaissance. Elles faisaient

Ïi ? a lie'û'p ? les--s-oiiis de AI. Kirn. A la suite, dequel- ques paroles de bienvenue, il, émet 1 espoii- ,que le concours

K0nigs)utter) et consacre à la mémoire de M. Weyert (d'Owinsk) des paroles de regret. L'as- semblée se lève par respect po

infliger une douleur sans le tuer. ? (.3 / ! M. I·NECHT prend la parole Sur les rapports qui existent entre les anomali

qué chez des individus névropathiques. M. Wernicke prend ensuite la parole sur un cas de tabès avec symptômes encéphalique

plus inférieurs de l'iiilelli- gonce (absence presque totale de la parole , etc.), un développe- ment somatique extrêmemen

premiers mouvements de la mastication et de l'ar- ticulation de la parole sont arrêtés, mais pas toujours, par une raideu

heures du matin. Jusqu'à sept heures, il n'avait prononcé aucune parole ; à ce moment il s'est plaint d'avoir soif. La fac

ccès ni vertiges depuis hier. Le matin, il aurait prononcé quelques paroles , il s'est affaibli pro- gressivement et e-t mor

c affaiblissement des jambes, parésie des sphincters; trouble de la parole . Quatre ans plus tard, ce sont des symptômes de

grande modification dans l'articulation de quelques syllabes que la parole devient inintelligible ou difficile à comprendre.

'un maître d'école furent les suivants : troubles paralytiques delà parole , céphalalgie, état nauséeux, bientôt suivi de par

rlsruhe), et consacre à la mémoire de ces hommes de bien de chaudes paroles d'adieu : l'assistance tout entière se lève en

et Lehmann, de Sarreguemines. M. Schultze (d'Heidelberg) prend la parole sur la maladie de Friedreich. Il s'agit, comme

convulsions fibrillaires des muscles de la face, un embarras de la parole excessif, de l'ataxie des extrémités supé- rieu

ment aussi les facultés rétrogradent d'une façon très prononcée, la parole et la marche deviennent difficiles, si bien que,

- tions, même dans la station debout, pour conserver l'équilibre. Parole lente, traînée, avec des temps d'arrêt à propos d

rès avancé de la démence ne permet pas un examen plus complet de la parole , de la vue, de la sensibilité. Il sait son nom,

émoire de M. Stei- nauer qui vient de mourir, le président donne la parole à M. Moeli qui désire soumettre quelques prépar

e. Dès lors, paralysie du voile du palais 384 SOCIÉTÉS savantes. ( parole nasonnée). A fin septembre, parésie bilatérale de

ent l'usage du bras qui demeure simplement parésié comme le facial. Parole normale. Hyperes- thésie de la joue droite, au-

rgane sur lequel il agit (développement, arrêt); la pensée agit, la parole , participe de cette loi. Dans ces conditions, l

perpraxie), mais il n'a pas de fonds de volition. Les troubles delà parole , des mouvements organiques, de la fonction trop

és), 106, 383. Paranoïa secondaire, 250, 253. Paraparésie, 377. Parole (du siège et de la direction des irradiations c

gation des problèmes ardus de la responsabilité individuelle ». Les paroles du président de la Société d'hypnologie de Paris

e déroulent, ils s'accompagnent de mouvements, de gestes, d'actes, de paroles . Ils sont donc connus non pas seulement par le so

atiques qui les traduisent au cours du sommeil. Tantôt, ce sont des paroles confuses, des sons indistincts, des plaintes, des

e, le soutenir de ses représentations oniriques et aussi des actes ou paroles qui les ont accompagnées. Spontanément, il racont

le malade prétend n'avoir pas rêvé du tout. Et, cependant, certaines paroles , certains mouvements survenus au cours de son som

fique, par M. Louis Favre; — Les Traditions populaires relatives à la parole , par le D' Chervin ; — deux brochures consacrées

été entendue en tant que question, avec le sens que comportaient mes paroles ; mais il est clair qu'à l'excitation auditive pe

cas. Réveillé, il ne se rappelle ni avoir révé, ni avoir entendu mes paroles . Mais, deux jours après, il revient me voir et, t

e la somnoformisation, certains actes, certains mouvements, certaines paroles ont clairement dénoté que toute vie psychique n'é

e. * Souvent, au réveil, il ne se rappelle plus très exactement les paroles qu'il a entendues ; il ne pourrait pas les répéte

lles lui servent comme de « talisman ». Il y a plus. A entendre les paroles annonciatrices de la guerison, le sujet éprouve u

Encore, encore ! Je voudrais bien en entendre encore !... Je bois vos paroles , comme le sable boit la pluie ! » (1) Dans tout

nt encore en ce qui coaceroe l'hyponarcose, je m'applique a citer les paroles textuelles de mes malades. Pendant le cours d

ssaient de jouer leur râle par un acte de leur volonté réfléchie. Les paroles dont il a besoin se présentent d'elles-mêmes aux

reste, prendrait-il le temps de peser et préparer méthodiquement ses paroles ? Il en est de même des poètes. J Bien plus fréque

avec un terrain prédisposé. Traditions populaires relatives à la parole , Par le docteur Chekvix. I section du filet

gue est bien constituée, tant au point de vue de la succion que de la parole future. A Krouchovo (Vilayet de Monastir, Macéd

l à un homme éloquent; et celui de langue de saint Paul à un homme de paroles médisantes D'une personne qui parle beaucoup, on

ères l'exigent comme étant indispensable au développement futur de la parole . Les médecins l'exécutent également à l'aide de

Cette personne présentait des troubles de langage, et la perte de la parole s'était faite progressivement et parallèlement av

ctérisée par de grands mouvements cloniques. M. JoffroY, prenant la parole à propos de ce cas, fait remarquer que les phénom

réalise aucune suggestion à échéance ; toutefois, quelques gestes ou paroles témoignent d'une certaine activité onirique; mais

intes, des gémissements, des sons indistincts, des monosyllables, des paroles confuses qu'il est parfois fort difficile d'inter

un. » J'ai appris par expérience personnelle combien sont justes les paroles du grand poète français. Nous devons cependant

s. Il n'y a eu aucun phénomène convulsif. Au bout de quinze jours, la parole a commencé à revenir petit à petit. .Vous somme

ous reproduirons, sont très applaudis. Le ministre prend ensuite la parole . Il établit un rapprochement entre Charcot et Ren

à la vérité. » La Revuede l'Hypnotisme a tenu, en reproduisant ces paroles éloquentes, à s'associer une fois de plus aux hom

la dernière rigueur. Ayant laissé ce prélat leur porter de trompeuses paroles de paix, il fit garrotter, à mesure qu'ils arrivè

expansif et gai, se concentra en lui-même; dans la vie, il disait les paroles nécessaires, ne songeait plus à plaisanter, comme

écoute, ne se laisse pas convaincre, remercie tout de même des bonnes paroles . Rentré chez lui, il prend un pistolet et se brûl

ous les médecins en nom de Paris, espérant trouver chez l'un d'eux la parole rassurante et ferme qui le délivrerait de son ang

gement de médication que d'être rassuré. Il écoute fixement, boit vos paroles , se met à sourire. Un projet lui tenait à cœur; i

ricité, immédiate dans ses effets, viendra renforcer l'autorité de la parole médicale et la fera pénétrer plus profondément.

sa place ou supposé tel ! Que de fois les ai-je entendu répéter, ces paroles , que l'on ne médite pas assez : ¦ Mais vous parle

uvant fixer un point quelconque; 2° Ne pouvant être attentive ni à la parole ni au geste ; 3° La persuasion ne pouvait même av

, du bavardage, qu'il ne pourra parler que lorsqu'on lui adressera la parole , qu'il a le dégoût des pratiques solitaires auxqu

u involontaire et existant toujours plus ou moins, par le sérieux des paroles prononcées avec gravité, soit aussi parce qu'ils

acquise sur ce point me permet d'être très catégorique. Pour que nos paroles impressionnent un incontinent, il est indispensab

ent mental. Les hésitations, les défectuosités et balbutiements de la parole chez les bègues ne sont que la résultante de trou

pplication des méthodes rationnelles de correction des troubles de la parole , telles que la méthode Chervin, les bègues étaien

estable efficacité dans le traitement des troubles fonctionnels de la parole . Après le traitement systématique de l'aboulie, d

BIBLIOGRAPHIE Bégaiement et autres maladies fonctionnelles de la parole ('), par M. le Dr Chervin. — vol. de 500 pages.

Sous ce titre : Bégaiement et autres maladies fonctionnelles de la parole , M. le Dc Chervin, Directeur de l'Institut des Bè

s indispensables à connaître sur quelques troubles fonctionnels de la parole et notamment sur le bégaiement. La faveur avecl

intérêt. Dans une première partie, après avoir montré le rôle de la parole dans la Société, M. Chervin propose une classific

la Société, M. Chervin propose une classification des troubles de la parole , basée sur l'analyse des actes qui constituent le

Discours du D' Bérillon Je suis d'autant plus heureux de prendre la parole dans cette belle réunion que je suis un des plus

ez. — Le réveil et la mort de la dormeuse de Thenelles. — Prennent la parole : MM. Bérillon, Voisin et Pau de St-Martin. M.

aboulie essentielle et son traitement psychothérapique. — Prennent la parole ; MM. Jules Voisin et Paul Magnin. M. Félix R

ournant autour d'une de ses diagonales prise comme axe. — Prennent la parole : MM. Paul Magnin et Le Menant des Chesnais. La s

n, lui-je, quand cela serait, quel mal y aurait-il »? Je prononce ces paroles d'un ton péremptoire, non pas pour leur donner un

rroboré ce qui n'était dans son esprit qu'une simple possibilité; mes paroles pouvaient avoir chez elle joué le rôle d'une véri

ente brûlure. Je vais rapporter maintenant un autre cas d'après les paroles d'une accoucheuse de Saratow Mme A.-P. Konstantin

. Après avoir ouvert la séance, M. le professeur Blanchard donne la parole au D' Bérillon. L'Ecole de psychologie, par M

marche alors est incertaine et ressemble à celle d'un homme ivre : sa parole est lente, hésitante, difficile. A peine réveillé

ne substance parasiticide qui ne soit pas en même temps homicide ? La parole reste sur ce point à de plus autorisés. Dans no

s périodes de réveil. Tantôt, le dormeur ouvre les yeux, dit quelques paroles , fait quelques gestes, puis se rendort ; une jeun

ne, un jeune prêtre fut pris en chaire d'un étourdis-sement subit; la parole expira sur ses lèvres, il s'affaissa sur lui-même

les Evangiles, Mathieu IX, 24, Marc V, 39, et vous y trouverez cette parole de Jésus, à propos de la fille de Jahire : « Elle

et étudié dans sa clientèle. MM. Paul Magnin et Bérillon prennent la parole à ce sujet. Les communications portées à l'ordr

lle et la puissance du souvenir ; applications pratiques. Prennent la parole : MM. Bloeh et Bérillon. M. Félix Kegnault. — P

Psychologie de l'entraînement dans la course en flexion. Prennent la parole : MM. Bérillon, Demonchy, Btech, Magnin. M. Bér

'Espagne et employées par une mystique pour faire pénitence. Prend la parole : M. Bérillon. La séance est levée à 6 h. 45.

it aux ordres qui lui sont donnés, mais personne ne peut en tirer une parole . Il se refuse même à répondre par écrit. Il compr

cial ; et tout le temps que dure le procès, ils ne prononcent pas une parole . Ils écoutent avec la plus grande indifférence l'

otion traitée avec succès par la suggestion hypnotique. Prennent la parole , MM- Bérillon, David (de Xarbonne) et Lionel Dau-

ment des buveurs français par la suggestion hypnotique. Prennent la parole , MM. Demonchy, Magnin, Voisin. 5° Dr Delics (de

alades et épuisés, les membres paralysés et ayant perdu l'usage de la parole , traînait une vie misérable et en était arrivé au

to do. Do it with all the might (). Nous n'avons jamais oublié les paroles de Stanley. Nous y avons trouvé l'explication de

subconscience ; il fait souvent des rêves pénibles ou bien entend les paroles qu'on prononce auprès de lui ; au réveil, il prés

érillon. p. 172. Bégaiement et autres maladies fonctionnelles de la parole , par Chervin, p. 185. Caractères distinctifs de

ie des), par Bérillon, p. 277. Traditions populaires relatives à la paroles , par Chervin, p. 54. Traitement hypnotique dans

d'asthme depuis dix-huit mois, est prise brusquement de perte de la parole avec incons- cience et convulsions. Cinq semain

parloir. 1885. 3 mars. - La mémoire est assez bien conservée; la parole est libre. Le malade est sujet à des périodes d'e

pendante, Mistral reste de longues heures immobile. marmottant des paroles indistinctes qu'il accompagne de gestes d'hésit

n mai 1881 une atta- que d'apoplexie suivie de perte complète de la parole ; il la récu- père, mais en ayant perdu la notio

an encore, et petits accès épileptiformes. Finalement trouble de la parole consistant en hésitations, ra- lentissements tr

sant, qu'il lise à haute voix ou des yeux. Intégrité complète de la parole qu'il comprend, qu'il émet spontanément, qu'il

te rapidement. Le 20 juillet, retour à la maison : allure anxieuse, parole encore lente et embarrassée, disparition de la

te de la séance du jeudi 2 décembre 18S6 '. M. PAR'S. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. Paris. M

embre 18S6 '. M. PAR'S. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. Paris. M. Paris. Messieurs, j'approuve

s'y associe également. M. le Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Nous nous trouvons toujours en présence d

nistration publique déterminera au surplus leurs fonctions. » La parole est à M. Bardoux. M. BARDoux. Messieurs, quelqu

ticle Il. (Très bien ! sur divers bancs.) M. LACOMBE. Je demande la parole . - M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M. Lacombe.

s bancs.) M. LACOMBE. Je demande la parole. - M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M. Lacombe. M. LAcomBE. Messieurs, en ado

ent, lors- qu'ils le jugent convenable. D Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'article 13 ? M. Paris, de sa place. Vou

, et de la bonne teuue des archives. » Quelqu'un de- nlaude-t-il la parole sur l'article 14 ? ' ! M. DE Gavardie. Je désir

nt sur ce point, avant de discuter 1 article. M. LE Président. La parole est à M. le commissaire du Gouver- nement. 11

tion s'il en désire de plus étendues. M. de Gavardie. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à 111. de Gavar

endues. M. de Gavardie. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à 111. de Gavardie. DE Gavardie. Il me semb

e que j'ai dit. 11f. le Président. Quelqu'un demande-l-il encore la parole sur l'article 14 ? 111, de Gavardie. Seulemen

et la commission étaient d'accord. 111, DE GIVARDIE, Je demande la parole . M. le Président. La parole est à 111. de Gavar

cord. 111, DE GIVARDIE, Je demande la parole. M. le Président. La parole est à 111. de Gavardie. AI. de Gavardie. Messie

e l'acceptera pas. M. le commissaire du Gouvkrnement. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à JI. le commis

missaire du Gouvkrnement. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à JI. le commissaire du Gouver- nement. M

en ! sur un grand nombre de bancs.) AI. de G.aVARDIB. Je demande la parole . (A suivre.) VARIA JEUNE PRODIGIEUX DE L'ÉVÊQ

ssi les membres supérieurs; de plus, le nystagmus, l'embarras de la parole , la perte des réflexes, la marche même de la ma

distincte- DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 233 ment : « J'ai soif.» La parole est assez correcte, mais d'une façon particuliè

après les accès. - Aujour- d'hui, le malade est agité, prononce des paroles incohérentes, cherche à se lever. Le pouls est

tuée ainsi que le montrent les notes de l'école et son écriture. La parole est un peu traînante ; tremblement de la pointe

léger tremblement de la langue et des lèvres, de l'embarras de la parole . La mémoire est nulle. La miction est involontair

rères morts de méningite. - Asphyxie a la naissance'. - Marche et parole à quatre ans. - Convulsions à treize mois. - Inco

re, convulsions et tumeurs blttliches. - Première dent « sept mois; parole Ii un an, marche 11.lJuin ? e mois. Cotlitelzic

'exaltation théâtrale, d'extase tragico-religieuse que revêtent les paroles et les actes des malades. Ils déclament et réci

on » est une crampe coordonnée du centre cérébr11 des organes de la parole qui est absolument spéciale à la Catatonie. Il

e sommeil. Dans ce cas aussi il se produit un véritable délire de parole . » M. Landouzy a publié une observation dans la

ans l'ordre, mais l'inégalité pupillaire et un léger embarras de la parole persistent. L'état mental et l'état physique se

eux épigastique et état syucopal. Elle s'affaisse sans proférer une parole et meurt vers onze heures dans un coma apoplect

dans les observations le retard de développement dans l'enfance, la parole tardive, l'instabilité et la faiblesse d'esprit,

de paralytique général. On cons- tatait en effet de la démence, des paroles sans suite, une immo- bilité fixe et rigide de

une immo- bilité fixe et rigide de la pupille, du tremblement de la parole , comme s'il allait pleurer; mais l'affaiblissem

ui résulte de la destruction du centre de coordination moteur de la parole articulée, et l'aphasie amnésique dans laquelle

Suite de la séance du jeudi 2 décembre 1886 '. M. le Président. La parole est IL M. deGavardie. 111 : de Gavardie. Messie

teintes de la vérité, parce que vous vous redressez souvent sous la parole vengeresse signalant les torts et les violation

e secret des familles. M. le Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Hui. LE Rapporteur. Je demande à répondre

teur. Je demande à répondre à M. de Gavardie. 1li. LE Président. La parole est à 111. le Rapporteur. Lut. le Rapporteur. M

t de ce répertoire sur lequel M. de Gavardie vient de prononcer des paroles qui pourraient semer des alarmes qui seraient t

article tout entier. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'ar- ticle 15... ? Je le mets aux voix. (L

sur celle de la commission permanente. » Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'article 16 ? M. de Gavardie, de sa place.

Lui. LE Président. Montez à la tribune, je vous prie ; vous avez la parole . M. de Gavardie, à la tribime. Il me semble imp

Nous avons voté cette institution. Donc, si personne ne demande la parole , je vais mettre aux voix ce paragraphe et nous

he et nous en aurions ainsi fini avec l'article 8, sauf à donner la parole sur l'ensemble. M. de Gavardie. J'avais réservé

e nous avons voté tout à l'heure. 1VL, de Gavardie. Je demande la parole . 1VI. LE Président. Vous avez la parole. M. d

de Gavardie. Je demande la parole. 1VI. LE Président. Vous avez la parole . M. de GAVARDIE. Je vous en supplie, messieurs,

les accès il devenait méchant, coléreux. A son entrée à Bicêtre la parole se bornait aux mots : « Merde, sale vache. » Il

ouleur parait bien conservée, quoique perçue avec assez de lenteur. Parole nulle. ' 1881. Organes génitaux. Poils rouges a

aveetsuce. Pupilles égales. Pas de tremblement de la langue. Aucune parole ; il ne se rend nullement compte de ce qu'on lui

tres fois elle s'agite comme une désespérée. Elle répète toutes les paroles qu'on lui dit ou qu'elle entend autour d'elle.

de la verbigération une crampe du centre cérébral des organes de la parole ; il en serait de même du mutisme, qui serait dû

quoique très lentement et très péniblement, de marcher seul. La parole , réduite à quelques mots chez ce dernier, est, au

re- tenir une conversation. La voix est nasonnée, gutturale et la parole est scandée; tous les deux sont obligés d'exercer

tous les deux sont obligés d'exercer un effort avant de parler. La parole s'accompagne chez tous les deux de contractions

sent pas se rencontrer dans l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au premier abord. Toutefois, un

es atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de'la parole vont en s'aggravant dans la sclérose en plaques

t n'est pas modifiée par l'occlusion des yeux. Les troubles de la parole qu'on remarque chez les athéto- siques dès qu'i

ordinaires; 2° bradylalie, bradyartliie, bégaiement, lenteur de la parole , changement de timbre de la voix, vociférations

cientes, assez fréquemment sales et salaces, en les accompagnant de paroles sans suite ; 5- obnubila- tions partielles, con

est nette, il n'y a pas la moindre blésité et cette intégrité de la parole serait, vous en conviendrez, bien extraordinair

après l'observation de M. Séglas : Débilité mentale, troubles de la parole ; ignorance profonde, inversion sexuelle, perver

ous examinez la malade, vous trouverez une femme intelligente, à la parole facile, aux réponses nettes et pré- cises ; ell

ur le côté psychique : « Retard de développement dans l'enfance, la parole tardive, l'instabilité et la faiblesse d'esprit

; l'observation 1 en est un exemple, surtout en ce qui concerne la parole et l'instruction de la malade qui n'a appris à

478 8 sociétés savantes. Faiblesse des extrémités ; troubles de la parole comme ceux des lésions bulbaires, troubles de l

e Président. Nous arrivons à l'article 16. Quelqu'un demande-t-illa parole sur cet article ? M. Paris. Je la demande, mons

M. Paris. Je la demande, monsieur le président. M. LE Président. La parole est à M. Paris. M. Paris. Messieurs, la commiss

'article 29 de la présente loi. » M. le Rapporteur. Je demande la parole . M. le Président. La parole est à M. le rapport

oi. » M. le Rapporteur. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. M. le

nt diplomatique du pays d'origine, etc. » Quelqu'un demande-t-il la parole ? M. de Gavardie. Je la demande, si personne ne

la demande. (Rires et exclamations à gauche.) M. le Président. La parole est à M. de Gavardie. M. DE Gavardie. Messieurs

: Aux voix ! Il faut ré- pondre ! , LE Rapporteur. Je demande la parole . A gauche. Non] Ne répondez pas ! M. le Prési

e la parole. A gauche. Non] Ne répondez pas ! M. le Président. La parole est à M. le rapporteur. M. le Rapporteur. Assur

(Très bien ! à gauche. Aux voix ! ) M. DE Gavardie. Je demande la parole . (Réclamations à gauche.) M. SCIIEUItER-1ESTNEI

nergie; il présente du tremblement des mains, sans embarras de la parole ni hallucinations dé la vue -et de l'ouïe; ses-pu

e droite incomplète; elle a de la cécité verbale, de l'agraphie, la parole volontaire spontanée est abolie, ainsi que la p

l'agraphie, la parole volontaire spontanée est abolie, ainsi que la parole en écho; elle ne peut écrire sous la dictée.

La malade a la compréhension de l'écriture, la compréhension de la parole , la possibilité de copier quelques mots. La par

préhension de la parole, la possibilité de copier quelques mots. La parole volontaire spon- tanée est revenue en grande pa

le volontaire spon- tanée est revenue en grande partie ainsi que la parole en écho ; la malade peut lire un peu, mais ne p

t suivi de douleurs aux autres articu- lations. b. Troubles de là parole . Ces troubles qui ont existé chez le malade de

ements. Ce symptôme céphalique a figuré, associé aux troubles de la parole chez le ma- lade de I'Observation XXV, qui étai

ent se mouvoir, la durée a été la même que celle des troubles de la parole . d). Symptômes gastriques. Comme symptômes ap

ns soutien. Voix. Elle est rauque, le timbre en est très bas. Les paroles , presque inintelligibles, sont lentement pronon

o-psychologiques1. Les membres du congrès qui désireront prendre la parole sur ces questions du programme, ou faire des co

velles du projet de loi. M. le Président. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'article 22 ? .. Je le mets aux voix. (L'a

i, c'est le singulier au lieu du pluriel. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'article ainsi modifié ? ... M. DE GAVARDI

ident ? AI. LE Président. Il est supprimé. Personne ne demande la parole sur l'article 25 ? ... Je le mets aux voix. (L'ar

lacements volontaires. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'ar- ticle 32 ? ... Je le mets aux voix. (

onsécutive à l'inter- nement. ' M. le Président. Demandez-vous la parole , monsieur le rappor- teur, pour répondre à M. d

vient de se produire. M, le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'article 33 ? ... Je le mets aux voix. (L'

en donne immédiatement avis aux familles. Quelqu'un demande-L-il la parole sur cet article ? M. de Gavardie. Il est imposs

ésident. Ce n'est qu'une simple observation. Personne ne demande la parole sur l'article 31 ? ... Je le mets aux voix. (L'

r et de l'administrateur. » M. le Président. Personne ne demande la parole ? ... Je consulte le Sénat. M. de Gavardie. J

de lire l'article 31. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'ar- ticle 35 ? ... Je le mets aux voix. (

ou locaux sont confiés au préfet. M. le Rapporteur. Je demande la parole . M. LE Président. La parole est à M. le rapport

éfet. M. le Rapporteur. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M. le rapporteur. M. le Rapporteur. Messi

en ! très bien ! ) ! ) M. le Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Je mets aux voix l'article 36. (L'article

'expiration de leur peine ? Non ! 1 M. LE Rapporteur. Je demande la parole . ' M. LE Président. La parole est à M. le rappo

! 1 M. LE Rapporteur. Je demande la parole. ' M. LE Président. La parole est à M. le rapporteur, M. LE Rapporteur. Messi

ation serait juge. (bar- ques d'approbation.) M. le Président. La parole est M. le rapporteur. M. le Rapporteur. Je répo

au mot « sont » les mots « pourront être ». Personne ne demande la parole sur cet amendement ? ... Je mets aux voix l'art

celles du 2- paragra- phe de cet article. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'ar- ticle 39 ? M. LACOMBE. Je la demand

LACOMBE. Je la demande, monsieur le président. M. LE Président. La parole est à M. Lacombe. M. Lacombe. L'article 39 est

anes du système nerveux 'il en lire le diagnostic : 3° Examen de la parole . Revue de ses diverses anomalies; travaux de fu

sie, dans lesquels cette partie de la faculté de perception de la parole , en rapport avec le sens de l'ouïe et le sens d

ntes, ce qui montre que la partie de la faculté de perception de la parole en relation avec le sens de l'audition est déra

ésigner par leurs noms. Au bout de trois semaines, le trouble de la parole avait presque entièrement disparu, et c'était p

t aucun rapport avec le texte imprimé ; mais il est évident que ses paroles n'étaient pas en rap- port avec ses impressions

malade, on verra que les conducteurs centripètes de réception delà parole étaient intacts; c'était la fonction centrifuge

que, parmi les symptômes de la période du début, les troubles de la parole ont plus d'une fois figuré comme constituant un

re de symptômes, mais à titre de forme clinique. Les troubles de la parole font alors à eux seuls tous les frais du tablea

comprendre très bien ce qui était écrit, soit en lui adressant des paroles , le malade concevant parfaitement bien ce qu'on l

au bout de laquelle le malade a brusquement récupéré l'usage, de la parole . Depuis lors, il se 'portait bien, continuait à

raux, j'ai prédit au malade et à ses parents que ses troubles de la parole disparaîtraient très rapidement. 1 Nous lui avo

leinement confirmé, en effet, le malade a recouvré intégralement la parole . La durée totale de l'aphasie n'avait pas été d

lire ni écrire. Au bout de trois à quatre minutes, ce trouble de la parole disparait subitement et complè- tement. Ce reto

lètement. Au bout de six à sept minutes, un troisième trouble de la parole , tout à fait pareil aux deux autres précédents

à sept minutes d'intervalle, un quatrième et dernier trouble de la parole a atteint le malade, exactement sous le même as

que les trois autres. Après cinq minutes environ, ce trouble de la parole disparaît et le malade n'avait plus rien. Pas d

impossibilité de parler. - Incapacité incom- plète de concevoir la parole entendue. Impossibilité de com- prendre tout ce

ment par coin- pression. Immersion à 4 heures du soir. Retour de la parole au fond de la mer. Guérison complète à 5 heures

étour- dissements, ni bourdonnements d'oreilles, ni troubles de la parole , ni paralysie, soit de la face, soit des extrém

t l'acte par lequel l'opérateur impose une idée à son sujet, par la parole ou par des gestes ; un phénomène suggéré est do