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1 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
péculatif, que de la réalité objective des choses. ! Enfin, amené à parler des faits d'hypnotisme nouvelle-ment remis à l'ét
ît résumer les propriétés curatives des agents aesthésio-gènes,jeveux parler de l'électrisation statique. Les premières tentat
sa physionomie trahit la présence d'hallucinations dont nous aurons à parler dans un instant. Ces accès de tristesse ou de m
'un seul côté, ont été signalées par les divers auteurs. Baillarger parle d'une femme atteinte de monomanie religieuse qui
i à droite que les bourdonnements étaient le plus forts. Il n'est pas parlé d'hémianesthésie3. Chez nos malades, les exempl
retourne : personne. Pendant qu'elle travaille, des voix connues lui parlent à l'oreille. Elle les entend des deux côtés, 1.
mes que voient Bar..., Marie B... et Ang... dans leurs hallucinations parlent aussi. Quelques instants avant d'avoir ses atta
odromes de l'attaque. Avec les troubles cérébraux dont nous venons de parler , ils précèdent ha-bituellement de plusieurs jours
it ordinairement partie des phénomènes douloureux de l'aura dont nous parlerons plus loin. Je ne ferai que signaler ici les bor
e entend encore tout ce qui se passe autour d'elle, mais elle ne peut parler ni faire aucun mouvement. Fig. 7. — Contracture
ais. Ses mâchoires se serrent l'une contre l'autre, elle ne peut plus parler . Parmi les troubles de la motilité qui précèden
inaperçue. Ayant déjà traité longuement des hallucinations, je n'en parlerai pas ici. La vision des couleurs se perd complèt
. Les signes prodromiques dont il a été question jusqu'ici, peuvent parlé dès le début de ce travail. Après une guérison te
se contour-ner la pointe en haut contre le palais. Elle ne peut plus parler , mais elle entend; un brouillard descend devant s
- mune à toutes nos malades et dont il a été déjà question. Je veux parler de l'ovarie ou hyperesthésie ovarienne qui ne dif
e point. La même chose existe chez toutes les malades dont nous avons parlé . J'ajouterai qu'en général l'excitation qui arr
ileptoïde est précédée de quelques phénomènes convulsifs variés, sans parler ici des phénomènes dou loureux de Y aura hystériq
l'attaque hystéro-épileptique que nous étudierons plus loin, je veux parler des attaques démo-niaques. b). — Phase tonique
confondre avec les con- torsions de la deuxième période, dont nous parlerons plus loin, si l'on ne remarquait qu'au tétanisme
e à un si haut degré les grandes convulsions toniques dont nous avons parlé , offre également et comme une conséquence naturel
eu à peu, troublé seulement par les grandes secousses dont nous avons parlé , qui prédominent sou-vent aux membres supérieurs
é des convulsions toniques et des attitudes du tétanisme. Il en a été parlé assez longuement lors de la description de la pha
entre les attitudes tétaniques de la première période dont nous avons parlé , et les attitudes illogiques de la deuxième pério
es delà troisième période et les attitudes passionnelles dont il sera parlé plus loin. L'attaque se répète ainsi un grand n
oins à être poursuivie Fig. 77 et 78. —¦ Attitudes passionnelles. parles visions d'animaux, Mais la troisième période de l
ort longtemps, mais il fait partie de la quatrième période, dont nous parlerons plus loin. . En dehors de ses attaques, Gen...
ations qui rappellent aussi les principaux événements de sa vie. Elle parle d'un certain Al-phonse, l'appelle « ingrat » et l
t avec une violence inouïe, en rapport avec la dans laquelle il est parlé de Ler..., montre qu'en 1863, les atta-ques de Le
ui mettent l'observateur à l'abri de toute erreur de ce genre. Sans parler delà régularité de succes-sion des diverses pério
re ou des autres points hystérogènes. Suz. N... dont nous venons de parler est sujette, en dehors de ses attaques, à des acc
t ; elle se retrouve avec Er-nest. Absorbée dans ses réflexions, elle parle toute seule, et l'on entend ces paroles prononcée
qui carac-térisent la troisième période et dont nous avons longuement parlé . On conçoit que prenant toutes deux leur origine
es variées; là, des paroles, des discours. Si la quatrième période se parle , la troisième se joue. Les hallucinations sont la
S'il touche aux grandes émotions passées.de la malade, c'est pour en parler comme d'un fait éloigné et non pour les faire rev
je l'ai écrit. Je l'ai quel-que part avec toutes mes lettres... Elles parlent de M. X..., de M. Z... Elles sont cachées... On c
ar Rourneville et Regnard, t. II, p. 129. du délire dont nous avons parlé , elle s'arrête soudain, l'effroi peint sur ses tr
faits de ce qui a lieu chez une autre de nos malades dont nous avons parlé , Gl..., qui, au moment où se termine la troisième
contracture, la pointe en l'air, appuyée contre le palais. Elle veut parler et. ne peut pas, les mâchoires sont fortement ser
nze heures, elle est dans une sorte de rage de ne pouvoir entendre ni parler . Elle fait signe qu'elle souffre beaucoup dans l'
l'urine claire est un signe pathognomo-nique de l'hystérie. Mathieu parle de P « émission d'une sorte de mucus vaginal, si
t état peut durer quinze jours, un mois, et même davantage. Georget parle d'un cas où l'attaque avait duré quarante-cinq jo
s depuis peu dans le service de M. Charcot et dont il n'a été que peu parlé précédemment; nous verrons comment les attaques d
phatique du théâtre.) Ce n'est pas plus diffi-cile que ça... Quand on parle , on sent ce qu'on dit, et voilà tout. » Tout d'
s yeux grands ouverts sont mouillés de larmes : «Je voudrais qu'il me parle ... Oh ! non, je ne me ferai pas actrice. » À pein
efois elle se frotte les yeux, recouvre un instant connaissance, elle parle à sa mère. Mais bientôt survient la raideur, et u
raidit et la période épileptoïde se développe, passant successivement parla phase tonique et la phase clonique. b). Contors
souvient même pas d'avoir appelé sa tante à son secours, de lui avoir parlé avec toutes les apparences du retour à la connais
it combien nous avions raison. Un de ses frères appartenant à l'armée parlait pour l'Al-gérie. La nouvelle de ce départ faillit
aitement hydrothérapique qui dans ce cas eut plein succès, il est peu parlé de la forme spéciale des accidents convulsifs. M.
as, appelant son frère; elle s'agenouillait, joignait les mains; elle parlait à des animaux. Pendant tout le temps elle accusai
es passionnelles à propre- richer. — Hystéro-épilepsie. • 14 ment parler , car la malade est toujours maintenue dans le déc
onnaissance. La ma-lade n'entend plus, ne sent plus, ne voit plus, ne parle plus. Après un temps variant entre trois et cin
ntanément les phéno-mènes suivants : La malade ne voit pas, elle ne parle pas, elle n'entend pas ; il lui est im-possible d
is bientôt les mots sont nette-ment articulés; seulement la malade ne parle plus qu'anglais, elle ne peut prononcer un seul m
euvent apparaître les symptômes de compression cérébrale. Les auteurs parlent d'un état de syncope ou de coma qui aurait simulé
'exaltation et l'aberration des fa-cultés intellectuelles : la malade parle et dirige d'abord ses idées avec jus-tesse; puis
(Potion antispasmodique1). » HUITIÈME OBSERVATION. M. Baillarger parle d'un cas d'épilepsie qui nous paraît bien plutôt
es hystériques à phénomènes extatiques, cataleptiques, etc. : je veux parler de l'abstinence plus ou moins prolongée. A divers
sym-ptômes suivants : à six heures et demie du matin, elle a cessé de parler , s'est couchée sur le côté gauche, en raison de l
es hurlements. Quand les mouvements convulsifs s'arrê-taient, elle se parlait à elle-même; le plus ordinairement elle commençai
erd pas encore connaissance cependant; elle entend tout, mais ne peut parler , sauf dans quelques cas où elle crie : « Ah! je s
n: «Maman, réponds-moi! etc., » et Y attitude de V extase dont il est parlé , suffisent à ca-ractériser la troisième période.
alade pousse des gémissements, de petits cris plaintifs, mais ne peut parler . La face rougit, le corps se raidit, les bras son
souvent aussi ses yeux sont tellement naturels, qu'ils semblent vous parler , on est tenté de croire qu'elle voit; une bougie
tés de l'attaque sur les-quelles nous reviendrons plus loin. Il y est parlé de convulsions consistant en « une série de mouve
s minutes. La malade éprouvait une contrariété évidente de ne pouvoir parler , et essayait de le faire. Tout d'un coup, elle fa
coup, elle faisait un soupir, disait : « C'est cela», et se mettait à parler couramment. D'autres fois, une courte période d'a
quelle l'œil le plus exercé aurait de la peine à se reconnaître. Nous parlerons ail-leurs des signes précurseurs ou prodromes d'u
t d'une manière différente que les spasmes intérieurs dont nous avons parlé plus haut; il est toujours bien facile de les dis
bles des atta-ques de la petite hystérie ou hystérie vulgaire. Sans parler des phénomènes rangés dans notre seconde pé-riode
incohérentes que leur arrachent leurs spasmes, on les entend souvent parler ou répondre à des êtres qu'elles aperçoivent ou q
quel on attribue une influence extraordinaire sur le sang. Cet auteur parle d'une femme dont l'ob-servation est citée par Pes
une heure. » Après l'attaque elle reste quelque temps sans pouvoir parler , et ne peut, malgré tous les efforts, parvenir à
pour ainsi direqu'un'pas de ces rêves, tantôt mimés seulement, tantôt parlés , qu'on observe à la fin de l'accès convulsifde la
e, et encore est-elle bien incomplète comme on pourra s'en convaincre parla suite. J'ai déjà signalé plus haut (page 69) qu
imposer au médecin, si des signes diagnos-tiques certains, dont nous parlerons dans un instant, ne révé-laient leur nature émine
g-temps et se composer d'un nombre considérable de crises. M. Gharcot parle d'une malade dont Vétat de mal a persisté pendant
ant l'état de mal épileptoïde, les propriétés d'arrêt dont nous avons parlé . Et l'on peut voir, sous une action aussi simple,
ussitôt la malade ouvre les yeux, semble revenir à elle, mais elle ne parle pas encore. On prolonge la compression, et la con
caractère est très doux. Depuis deux ans qu'elle est en France, elle parle bien la langue française, et elle est devenue ass
on, les extatiques sont tantôt silencieux et immobiles, et tantôt ils parlent , ils chan-tent, ils gesticulent, ils prennent des
uent à éprouver un contentement, une quiétude d'esprit indicible et parlent avec ent/iousiasme de toutes les visions déli-cie
assez souvent l'hystérie. Zimmerman, dans son Traité de Fexpé-rience, parle d'une dame douée de beaucoup de sensibilité et de
eunesse des accidents hystérique's. Quelquefois cette dame cessait de parler ; elle se sentait embrasée d'un amour divin, confo
ées par le même auteur. Crucifiement. —Les attaques dont nous avons parlé jusqu'ici consütuent de véritables altaques démon
d, fort, tout en or. La sainte Vierge est dorée. Notre-Seigneur lui a parlé , mais elle ne peut se rappeler ses paroles. Elle
lle répondit raisonnablement aux questions qui lui furent adres-sées, parla de sa grossesse et put préciser la date exacte de
vaguait, et au mouvement de ses lèvres on pouvait reconnaître qu'elle parlait seule; mais son délire, de-venu intermittent, n'é
e les yeux. Le regard est terne, voilé. »Vers 5 h., elle commence à parler : elle chante le salve regina. Sa pre-mière parol
elle voit la Vierge; ses yeux se remplissent de larmes. Elle prie et parle d'une façon peu intelligente. Au bout de quelques
monde des vivants. On lui présente des gâteaux qu'elle mange et elle parle aux personnes qui l'entourent. » Une demi-heure
t sous le nom de folie hystérique aiguë les accès délirants dont nous parlons : (( Dans la première forme (forme aiguë), ce s
ui l'a choisi, Ei-iiest!... Te rappelles-tu quand lu me chantais : Ne parle pas, Bose,... ); A ce moment ses membres se con
voyou. » Repos; les bras sont croisés. 1. Gl... est ici désignée parla première lettre de son nom de baptême. (c Toi q
en valent pas un... Ça ne signifie rien. » (C'est à son frère qu'elle parle ). « Mais tu allumes le feu auprès de maman... Emi
à droite, disant : « Non! non ! C'est une affaire ter-minée, ne m'en parle plus. » L... se débat : « Sale marchin!... Mon
is, obligé de s'arrêter dans un pays voisin, M... s'y laissa sé-duire parles charmes d'une chanteuse de café-concert, avec laq
urir dans sa chambre. Elle a des moments de profond abatte-ment, elle parle de mort, etc. Affusions vertébrales, bromure à do
ut à coup. Mademoiselle X.... devint triste, mélancolique, ne voulant parler à personne, refusant toute espèce de nourriture e
tement de la première, commença à se faire entendre aussi. Celte voix parlait presque sans discontinuer tant que la crise durai
ait cette voix, il n'y avait pas de confusion, ni d'incohérence; elle parlait avec une conséquence rigoureuse, répondant d'une
elques variétés de l'attaque de délire hystérique dont nous venons de parler , une analogie frap-pante qui pourra faire craindr
r éprouvé des accidents nerveux semblables à ceux dont nous venons de parler . Ce premier accès dura deux mois environ. Un seco
i méritent le nom de délire hystérique. Nous en avons déjà longuement parlé au sujet des symptômes de la période prodromique
ns, etc.; ce qui ne les empêche pas, une fois que vous cessez de leur parler , de tenir en arrêt leur imagination vagabonde, de
objet de son délire. Tantôt elle reconnaît parfaitement celui qui lui parle ; tantôt elle est le jouet d'il-lusions et commet
urrait voir là sous une autre forme l'amour de la notoriété dont nous parlions tout à l'heure. Agitation. — Les accès délirant
t peuvent affecter tous les sens. Nous en avons déjà assez longuement parlé . Je ne ferai que rap-peler ici la prédominance de
de léthargie hypnotique, l'action des zones hys-térogènes, dont j'ai parlé , page 32, persiste avec cette particularité bien
iologiques qui embarrasseraient plus d'un médecin. On peut en juger parles quelques expériences que je rapporterai plus loin
dé-crits, un certain nombre de phénomènes d'ordre psychique dont nous parlerons plus loin. raideur. Mais l'état cataleptique es
dans la catalepsie produite par une vive lumière dont nous avons déjà parlé . Il peut se développer alors, sous des influenc
ces mouvements ont alors moins de précision, ils ne sont pas exécutes parle membre cor-respondant; à un saut complet la malad
par l'énergie avec laquelle elles expriment son sentiment. Mais elle parle fort peu. La ressemblance avec les attitudes pass
ation n'est pas possible. Elle écoute, sur les instances de celui qui parle , mais n'entend rien. De la main droite elle rec
tique. Il a beau chercher à provoquer les autres phénomènes dont j'ai parlé , soit en exécutant des mouvements sous ses regard
occasionna en môme temps le singulier trouble mental dont nous avons parlé , elle demeure complètement indif-férente aux coup
'état de somnambulisme. Elles diffèrent de celles dont nous venons de parler et qui se produisent dans fétat cataleptique, en
e ne sont pas possibles. De même que les illusions dont je viens de parler , les hallucinations de tous les sens, à l'excepti
ter, mais Suzanne est alors dans l'état de suggestion dont nous avons parlé dans les expériences précédentes, car, l'hallucin
développent facilement. Gl... pendant l'état de léthargie provoquée parla fixité du regard présente tous les signes de l'hy
ne s'en produit pas moins, mais l'état spécial d'attraction, dont je parle , n'existe pas; la malade demeure im-passible. Cep
qu'il ne faut les admettre qu'avec la plus grande réserve et je n'en parlerai pas ici. 4° État cataleptique; 2" État de sugge
ui lui donne des soins habituels. Si c'est une autre personne qui lui parle le résultat est nul. Lorsque l'infirmier l'in-vit
ité, ou premier sommeil, Car... est fort mauvaise somnambule, elle ne parle pas, elle est comme engourdie; elle entend cepend
-être les résultats obtenus par M. La-sèguc sur certaines hystériques parla pression des globes oculan^es. En effet, la catal
ire passer la malade par les différents états nerveux dont nous avons parlé . Les caractères de cette variété de la léthargi
na-ture qui se rattachent à l'état d'hyperesthésie spéciale dont j'ai parlé , qui ne se produit que sous les plus légères exci
oc. cit.) Il y a loin de là aux actes d'automatisme dont nous avons parlé plus haut et qui succèdent avec la fatalité d'un
de l'état de somnambulisme dans l'état de suggestion dont nous avons parlé , et la même action continuée pendant les deux éta
nq heures du matin. Mélan-colie jusqu'à dix heures. Elle ne peut plus parler . Une séance d'electrisation lui rend la parole et
près avoir présenteles petits mouvements cloniques dont il a déjà été parlé et demanda si on n'allait pas bientôt retirer son
ari: a Guillaume».Son mari a essayé parfois de lui répondre et de lui parler , mais elle est toujours demeurée insensible à ses
me une personne qui sort difficilement d'un sommeil ordinaire. Je lui parlai , elle me répondit qu'elle me reconnaissait, que j
doublement de la crise. Ce fait paraissait si extraordinaire que l'on parlait de simu-ktion. La présence de l'hyperexcitabilité
ouvoir magnétique de telle ou telle personne, ainsi un de ses oncles, parle simple contact de la main, arrêtait instantanémen
les caractères de l'état cataleptique. Math... dont nous avons déjà parlé offre ce singulier mélange. Math. (10 juillet 1
ernier, l'autre le 15 du même mois, d'une affection hystérique causée parla suppression de leurs règles. L'aînée n'eut que ci
nt alors la tenir, elle qui, avant l'accès, avait à peine la force de parler . Notre malade eut, pendant l'espace de deux moi
s tour-ner, les bras fléchis et suspendus, sourire également avant de parler , comme une statue à ressort susceptible de toute
, prit une nouvelle face bien plus dangereuse que les précédentes, je parle de l'apoplexie. Le premier accès dura trois jours
ivante: elle resta assise durant tout ce temps, lejouretla nuit, sans parler et sans donner le moindre signe de vie. Elle mang
pathologie interne, par S. Jaccoud, Paris 1870, t. p. 406. 4. Ou ne parle guère de l'une qu'on ne parle de l'autre, dit Del
coud, Paris 1870, t. p. 406. 4. Ou ne parle guère de l'une qu'on ne parle de l'autre, dit Delasiauve au sujet de l'extase e
trée de l'air dans sa poitrine, elle revint complètement à elle, nous parla quel-ques instants, pour retomber encore dans un
'ai pas présenté d'autres signes d'hystérie (du moins il n'en est pas parlé ), les accidents singuliers qu'on observa paraisse
Quand ils furent finis, la malade, assise dans son fauteuil, se mit à parler pendant une bonne heure et demie sur le ton et da
, mais elle ne paraît point voir et les yeux sont fixes; elle ne peut parler , mais elle répond aux questions qu'on lui adresse
e est absolue ; le pouls est calme et régulier... Le 7. Somnolence. Parle peu, mais raisonnablement. Anesthésie. Le 8. As
la menace et la fatigue; par moments, au milieu de ses plaintes, elle parle en riant et en plaisantant à son persécuteur invi
ions ; puis la malade se réveille en pleurant. Elle se met aussitôt à parler d'une voix forte, se plaignant d'un violent senti
pour éteindre ce feu imaginaire. Quelquefois elle semble faire, pour parler , des efforts infructueux, et ses lèvres s'agitent
es exprimer. Vers 6 h., cette agitation se calme peu à peu. Elle ne parle plus qu'avec peine. A 8 h., elle est retombée d
parfaite. Le 19. Demi-somnolence. La malade a sa connaissance, mais parle peu et avec difficulté. — Amblyopie. — Anesthésie
sté plus haut. Quelques extraits montreront les analogies dont nous parlons et seront une preuve de plus en faveur de la thès
ce qu'il appelle lenoctainbulisme. Le noctambulisme est le rêve mimé, parlé ; il ne sort pas des limites physiologiques. Le s
je la touche, je ne produis ni secousse ni tressaillement; si je lui parle , elle ne répond pas ; tous les sens paraissent ab
minutes. —La scène change, la sensibilité est exquise. La ma-lade se parle à elle-même très distinctement, exprimant ses plu
t tel passage qu'elle cite ou approuvant tel autre. Si tandis qu'elle parle , je la touche, elle se tait, même au milieu d'un
n de voix est tout à fait différente dans les deux cas. Quand elle se parle à elle- même, elle le fait avec une volubilité
assible, quelle que soit la conversation que l'on ait avec elle; elle parle lentement et comme si elle cherchait ses réponses
yeux, se soulève faiblement. 12 h. 32 minutes. — Somnambulisme; elle parle . Réveil à 1 heure Dans l'observation suivante e
uls est calme, elle rit et s'écrie: « Ah! queje suis contente! » Elle parle des fleurs du jardin du Luxembourg, et chante des
cette nouvelle phase, notre jeune homme se promenait les yeux fermés, parlait et faisait des calculs sans lumière aucune. L'hyp
ouleur sincipitale ; elle s'endort les yeux ouverts, marche, s'agite, parle . l\ n'y a pas de chute au début de l'accès. L'éta
le mode de cette combinaison. On ne s'aperçoit de la somniation que parla fixité du regard et les modi-fications dans l'att
l s'était établi ; notre sujet ouvre lentement les yeux et se remet à parler et à agir comme si rien ne lui était arrivé. A
s'endort qu'à la condition de lui tenir la main. Si cette parente lui parle , même à voix très basse, elle répond immédiate-me
e sommeil n'avait été pro-longé que de dix minutes. La malade a voulu parler ; mais la contrainte à la-quelle elle venait d'êtr
es de ce quartier avaient déjà observée plusieurs fois. Elle se mit à parler avec une vivacité et un esprit qu'on ne lui voyai
ais tiors cel état; elle changeait quelquefois de propos, et semblait parler à plusieurs de ses amies qui s'assemblaient autou
ble à toutes ces irritations. » Pendant ces entrefaites, comme elle parlait d'un ton plus animé et plus gai, on nous annonça
n'est pas si parfaite; car un jour dans son attaque on la trouva qui parlait à son image qu'elle voyait dans l'eau ; et aux de
tion de l'alcool, de l'absinthe, de l'opium et du hachisch 1. Je ne parlerai pas ici des effets du protoxyde d'azote, qui d'ap
ent disparu le jour, ils se montrent encore pendant la nuit. » M... parle volontiers des hallucinations qu'il a éprouvées,
lui, dans son magasin ; il croit voir sa femme et ses en-fants, leur parle , les engage ci fuir, à échapper au danger, se dét
e le 3 juillet. A son entrée, les hallucinations sont incessantes, il parle , crie, est sans cesse en mouvement. La nuit se pa
secoue des torchons qui sont couverts d'ordures; répond aux clients, parle à son patron, se cache et veut fuir pour éviter l
es, tomberait à chaque pas. Pourtant il arrivait jusqu'à mon lit sans parler , et se couchait sur moi; c'était alors une sensat
un travail pénible, l'animal mit au monde sept petites créatures. Je parlai de personnes que je n'avais pas vues depuis plusi
mmettre des indiscrétions; mais je m'ar-rêtais en disant : — J'allais parler , mais il faut que je me taise. — Je ne puis décri
agissant à la surface du corps. Les agents i3esthésiogènes,dont on parle beaucoup aujourd'hui, rentrent dans cette catégor
e tout opposé dont ils sont en quelque sorte les précurseurs, je veux parler de la contracture permanente. ANALOGIES ENTRE L
du côté opposé. Chez une de nos malades dont nous avons déjà souvent parlé , Alphonsine Bar..., qui est hémianesthésique gauc
ent l'occasion d'observer chez une de nos malades dont nous avons peu parlé jusqu'ici, mais dont l'histoire est rapportée tou
es de la contracture hystérique à côté de celles dont nous avons déjà parlé . Je désire faire ressortir ici l'influence des
ide dans le même sens. é) Je rappellerai les faits, dont nous avons parlé plus haut, de contracture provoquée sur les hysté
trement la production des contrac-tures artificielles dont nous avons parlé et qui toutes sont évidem-ment de nature réflexe?
e observé en 1878 chez une des malades, dont nous avons bien des fois parlé dans le cours de ce travail, Louise Gl..., et qui
scription des différents états nerveux provoqués dont j'ai longuement parlé plus haut; je désire simplement mettre en lumière
sion ovarienne et des zones hystérogènes (pag. 28 et 32) et il sera parlé plus spécialement des courants continus et des in
grandes analogies avec celle des hystéro-épileptiques dont nous avons parlé dans le cours de ce travail et que ce cas paraît
iques; elle est prise à chaque instant de vertiges; elle peut à peine parler , elle a tout oublié, jusqu'à son nom ^, etc., etc
à la suite de vives frayeurs avant l'époque de la menstruation. J'ai parlé plus haut de la violence de ses attaques convulsi
ence de la musique sur les attaques Les expériences dont nous avons parlé plus haut montrent l'influence des vibrations son
une secousse comme par le choc d'un appareil d'induc-tion. Nous ne parlons pas de la commotion, autre forme de décharge brus
ommunes, justiciables ou non des autres formes d'électricité. Pour ne parler que de l'hystérie, le fait que nous avons dès le
ts de l'action œsthésio-génique utilisée pour le diagnostic dont nous parlerons plus loin. Quand cette anesthésie limitée est con
emblable-ment pour avoir négligé les précautions dont il nous reste à parler . Délire hystérique (démence). — Nous l'avons vu
nos malades, dans cet état d'automatisme hypno-tique dont nous avons parlé plus haut. La musique était alors la maîtresse ab
'au cou, ce qui leur procurait quelque soulagement. Enfin on pourrait parler d'autres phénomènes qui, par leur infinie variété
s une sensation de brûlure comparable à celle qui aurait été produite parle contact xle l'eau bouillante sur ces parties. Les
lard nous rapporte sur Anne Langen les détails suivants : « Si Anne parlait en ses accès, cela semblait se faire par le moyen
uel qu'autre qui tirait et repoussait son vent. Elle s'entendait bien parler , mais les paroles finies, elle ne se ressouvenait
fût. S'il advenait que quelque homme de bien, dévot et craignant Dieu, parlât â elle, lors il semblait que le diable l'en punit
e la langue et des parties servant à la respiration, elles ne pussent parler durant l'accès. Or, étaient les unes plus tourmen
les point l'appétit et ne laissèrent de prendre nourriture. Le diable parlait souventes fois par la bouche des jeunes, lesquell
i tenait aussi la langue parfois en telle sorte qu'ill'empêchait de parler . D'autrefois je lui ai ouï proférer des propos ri
de la chorée rhytmique. « l^*" de février 1611 (c'est MichaëUs qui parle ), à l'exorcisme, Belzebud conti-nuait â tourmente
ur, elle s'aperçut soudain d'un changement étrange en la personne qui parlait à elle. Ce n'était plus la personne de son père c
Urbain Grandier, qui changeant de propos aussi bien que de figure lui parla d'amourettes, la sollicita par des caresses aussi
é pour l'accusé; la mère prieure en fut tellement troublée qu'elle ne parlait plus que de Grandier, qu'elle disait être l'objet
son accusation, un « prêtre nommé Timothée se présenta à elle et lui parla comme s'il eut été Atha-« nase. Elle le crut auss
ges folles scandalisaient tous les assistants par leur impudicité, et parlaient , pour nous 1. Manuscrit de la bibliothèque de T
mais qu'elles étaient bourrelées par leurs consciences, et forcées â parler pour leur décharge, et pour donner gloire à Dieu
lupart des assis-tants, qui ne croyaient pas que ce fut le diable qui parlât ainsi par ruse, et seu-lement pour faire dépit au
res revêtus de pouvoirs spéciaux conjuraient le démon et le faisaient parler . Le but de l'exorcisme était triple : 1° provoque
stérie, que l'on interrogeait le diable et qu'on cherchait à le faire parler . Les extraits suivants des procès-verbaux du ba
sur une couchette vis-à-vis de la grille. M. Pierre Barré, prêtre, a parlé quelque peu de temps à ladite supérieure, puis a
ant été incontinent dit par quel-ques-uns de la compagnie que c'était parlé incongruement, et le démon exorcisé et adjuré de
é incongruement, et le démon exorcisé et adjuré de la part de Dieu de parler congruement, aurait encore répété lesdites parole
exorcismes pour faire entrer ladite supérieure en convulsion et faire parler son prétendu démon. Et pour cet effet ont été cha
ssé d'extraordinaire. Mais que presqu'au même temps que le père Surin parlait à Monsieur, et qu'il allait finir l'exorcisme, d
ser son royaume, et le mettre en état de ne plus subsister, selon que parle l'Évangile, d dit qu'il per-dait beaucoup de gens
pour frapper l'exorciste, parce, disait-il, qu'il le contraignait de parler au profit des hommes, au lieu qu'il ne désirait q
ter les paroles mêmes de Job, qui disait : J'ai horreur d'avoir ainsi parlé , et je m'en repens sur le sac et la cendre. Parol
a de faire un mépris absolu de toutes ces illusions sans raisonner ni parler avec le diable... » Lorsqu'on chantait au chœur
louant d'une façon et les blâmant de l'autre. Une fois, elle croyait parler à sa mère-maîtresse, l'étant allée trouver en sa
lle fut bien étonnée d'y voir la mère-maîtresse, à qui elle venait de parler dans sa cellule, et lui dit donc son étonnement,
fois la voir si elle ne lui faisait le signe de la croix avant de lui parler . » Durant les jeûnes, elle apercevait devant ed
r sa tête; après quoi elle demeura toute interdite des sens et ne put parler ni remuer; ayant seulement la vue et l'esprit lib
ns épou-vantable à regarder. î Les voilà tous deux qui se mettent à parler de la maison de Louviers, et comme toutes les rel
tout aussitôt dans le feu... » )) Un ange de lumière, dont il sera parlé bientôt fort souvent, me jure, me per-suade, m'av
'avoir ces méchantes pensées-lâ? Il repart : «Ne fais point de bruit, parlons d'autre chose, je m'en vais quérir la communion..
rir au parloir; j'y fus aussitôt, et lui, demeura dans la cour pour parler à un religieux qui prêchait l'octave du Saint Sac
e bê:e... beaucoup plus grande qu'un cheval qui jetait feu et flammes parla gueule, volant, rugissant et criant : « C'est à c
ienne de chapelle, qui nousfait enrager.» Elles venaient me tirailler parle bas de mon aube, par la chasuble ; disaient : « 1
oisième, qui était sœur Louise de Pinterville pos-sédée par Arphaxat, parlait encore raisonnablement et avec toute modestie aux
fut qu'en celte posture elle ne laissa pas de rouler sur le plancher, parler , crier, jetant en outre par les parties infé-rieu
oucement, qui l'un qui l'autre, et ensuite en se pourmenant toujours, parla en termes très élégants et signiticatifs du conte
à entrer en furie et proférer quantité de blasphèmes, puis se prit à parler de sa petite Madeleine, sa bonne amie, sa mignonn
ire confesser et communier non seulement les cinq fdles dont il a été parlé , mais douze ou treize autres prétendues obsédées
cins, fut que ladite sœur Barbe de Saint-Michel, dont nous avons déjà parlé , se battit la tête l'espace d'un quart d'heure en
et d'étourdissement ^. » Un des buts des exorcismes était de faire parler le diable, afin d'obtenir de lui la révélation de
éclaré avoir encore quelque chose à me dire (c'est le môme auteur qui parle ), me suivit jusques auprès du grand autel, se pla
ngtemps; qu'il était sorti six fois, et avait été forcé de revenir me parler pour me dire les volontés de Mariette ; je le con
re je ne comprends pas cela; si tu as à me faire savoir quelque chose parle plus clai-rement, » et lui tournais le dos par fo
. Ce démon (chose admirable, au lieu qu'il faut presser les autres de parler , nous forçait à l'entendre, comme étant expressém
vation partielle des sens : « Le diable Gonsang (c'est Bosroger qui parle ) mit une fois la sœur de saint Au-gustin en une h
dix ans, devait faire prochainement sa première com-inmiion, elle ne parlait que de son bonheur; un jour, en sortant de l'égli
-ticuler, à tourner rapidement leurs mains l'une autour de l'autre, à parler , crier, jurer et à faire toutes sortes de contors
» Elles frappent sur les meubles avec force et vivacité, commencent â parler ou plutôt à vociférer; ce qu'elles disent toutes
ommes des diables de l'enfer! » Et comme c'est toujours un diable qui parle par leur bouche, le prétendu diable raconte quelq
, ce qu'il a fait depuis en enfer, etc, etc.... » A mesure qu'elles parlent , toujours avec la même véhémence, toute leur phy-
ts cloniques généraux qui se oient chez toutes les autres, et elle ne parle presque jamais. Dés qu'elle sejjt eiiir sa crise,
es jambes, ni à peine remuer les bras; j'ai essayé (c'est le père qui parle ) plusieurs fois de la mettre debout, mais elle ne
ption. » {Ibid., p. 65 et 66.) L'épidémie ne se termina qu'en 1862, parla dispersion des malades et leur internement dans d
s descriptions pathétiques, la prétention d'opérer des miracles et de parler des langues inusitées, les impulsions aux actes e
ncer que sa jeunesse serait bientôt renouvelée comme celle de l'aigle parla ve-nue du prophète Elle et faire plusieurs autres
de reconnaître la véritable nature des accidents morbides dont il est parlé . J'en citerai quelques exemples dans lesquels l
fs qui se rappro-chent des soubresauts, des secousses dont nous avons parlé et même de la chorée rbythmique. La femme Geoff
sance, mes yeux se renversaient, et que tous les mouvements dont j'ai parlé ci-dessus avaient beaucoup plus de violence. Je s
tente de lui faire prendre quelques aliments; elle cède au besoin de parler , de s'agiter, fait mille contorsions ridicules, i
rès de la veuve Thévenet, ces deux filles passèrent toute la soirée à parler , à sauter, à prêcher, à faire des actes de la der
nt leurs plus beaux discours et leurs principales prédictions, qu'ils parlent des langues étrangères, c{u'ils découvrent les se
après leurs discours se sont ressouvenus en général, qu'ils y avaient parlé de la venue du saint prophète, et de ce qui en se
ce, stupidité, basse naissance, qui, dès qu'elles sont en convulsion, parlent néanmoins très exacte 1. Carre de Montgeroa, lo
bout, la fête en bas, mais on ne passa pas la mesure dont je viens de parler . A huit heures et demie, on couche la croix à p
des pointes, ce qui fait l'effet d'une couronne d'épines. Je la vois parler avec action, on m'a dit qu'elle déclamait en lang
parmi lesquelles une des plus remarquables est celle dont nous avons parlé plus haut, qui eut pour berceau le cimetière de S
rères qui ne le sont pas..... Michaud fils, dans son pre-mier voyage, parle comme témoin oculaire de ces rassemblements dans
d'autres choses semblables. Cependant les deux prêtres continuaient à parler bas aux jeunes filles; de temps en temps ils mont
apporte un cas de clair-voyance. l\ en est qui deviennent muettes; on parle d'une jeune fdle qui pendant trois semaines perdi
ditions du salut ou sur les si douces promesses du glorieux Évangile, parlent avec une humble, douce et sainte familiarité de L
voir ou entendre des choses divines, surnaturelles, et est forcé d'en parler , ou, comme on le dit parmi le peuple, de prêcher,
les vêtements rouges et autres futilités ; bien des fois les malades parlaient desvisions qu'ils avaient dans le ciel et aux enf
vrais fidèles); les enfants furent bons, droituriers et saints, qui, parla grande largesse 1. Recueils d'anciens textes ba
merveilleuse qu'elle devait faire au ciel; car avant qu'elle sût bien parler , faisait signe d'oraison et preuve de contemjdati
it que, de même que certaines personnes pensent en parlant, ou plutôt parlent en pensant, sans avoir la conscience des paroles
d cela ne suffit pas, semblable à un enfant qui ne saurait pas encore parler , elle regarde son confesseur et le prie avec les
croix. 11 ne fait aucune attention à ede, ne la re-garde pas, ne lui parle pas. Elle décrit avec la même précision et la mêm
nière année, et qui possède sur le compresseur Poirier, dont il a été parlé plus haut, l'avantage d'être portatif et de ne po
2 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
avez-vous bu ce vinaigre? — Parce qu’elle (beaucoup de somnambules parlent d’eux ii la troisième personne) allait, par l’eff
. « On a tort de croire que 1 esprit est là, dans la table qui vous parle ; c’est comme si l’employé du télégraphe croyait
la valeur du premier venu qui nous accoste : il suffit de le laisser parler pour juger de sa moralité, de sa science ou de so
imilaire à celui des tables parlantes. Ce n’est pas le somnambule qui parle , c’est l’esprit qui raisonne en lui, comme dans l
s tables : il faut autant de temps et les mêmes conditions pour faire parler l’un que l’autre. La présence de certaines person
ront des conseils si sages, que nous serons obligés d’avouer que Dieu parle par leur voix. » Le commerce des mauvais esprit
ous dites quelquefois : « Cela n'est pas un rêve ! » « En effet, on parle , on discute, on se promène, on travaille, on mang
il subissait encore une crise nerveuse ; c’est alors qu’il commença à parler et à répondre aux questions qui lui étaient faite
rvis pour propager leur puissance, comme ceux du paganisme pour faire parler leur sibylle ; que l’homme a donc une puissance d
es si peu connues? En admettant que ce soient des esprits qui fassent parler les tables et les medium, n’est-il pas évident qu
tant en révolte ouverte contre lui. C’est ainsi que plusieurs organes parlent lorsque notre volonté veut les faire taire, l’esp
se pourtant que ton pouvoir ne saurait embellir; cependant tu la fais parler ! Imagination, comme la mort, ta 11’es qu’un mot
u'elle imite en cela ce philosophe ancien qui niait le mouvement. Que parlent -ils encore du libre arbitre, du moi, ces philosop
t son génie s’est porté vers l’étude des choses matérielles. Mais que parlons -nous de savants? Hélas I nous nen n’avons point
ont pour un temps compromis leur santé. Mais les esprits dont nous parlons ont-ils des formes? — Sans doute, et rien n’est
t rien n’est plus certain. — Comment donc s’en assurer? — D’abord parles yeux. — Mais je ne vois rien que la matière.
ière plus certaine encore que celle des pratiques dont nous venons de parler (les tables), et qui relèvent des mêmes phénomène
yés par Es-culape, ou grâce au somnambulisme, si vous voulez que nous parlions moins poétiquement. n J’ai suivi exactement, di
la lettre d’Aspasie et par Aristophane. Strabon, par exemple, nous en parlera indirectement en son -17" livre, quand il nous en
it passé dans les églises chrétiennes. Saint Augustin, en effet, nous parle , dans sa Ci/c dit Dieu (I), d’un prêtre de son te
ières, et l’on s extasie devant ces merveilles. « Or, les tables ne parlent nullement; elles entrent en mouvement, voilà tout
nner une perte nouvelle et qui nous laisse des regrets : nous voulons parler de la mort de M. le prince Gaston de Montmorency.
ations semblable à un être rationnel, et réagissant, à son tour c’est parler pour ne rien dire ; Sunt verba tt vocet, prœter
nt voir et entendre des choses divines, surnaturelles, était forcé de parler ou, comme, on le disait parmi le peuple, de prêch
ait parmi le peuple, de prêcher.... (1) » Bien des fois les malades parlaient des visions qu’ils avaient dans le ciel et aux en
énomène en question : Perpignan , 2“ décembre 185.”. .....Dois-je parler de l’ascension humaine? A ce mot, combien l’inc
qui préoccupe aujourd’hui un si grand nombre de magnétistes : je veux parler de l’enlèvement des hommes. J’ai cherché à me r
s réflexions suivantes, dans son premier-Paris du 15 janvier : a Je parlais dimanche dernier des tables tournantes excommunié
tre suffisamment les faits de la cause : « Attendu qu'il est établi parles débats, qu'au nmis de novembre dernier, dans la c
s environ, et l'autre depuis deux ou trois mois, mais dont je n'avais parlé à personne, ni même y avais fait aucune allusion.
nifestation ; mais depuis lors d’autres manières ont été trouvées. Je parlerai seulement de ceux des nouveaux procédés que j’ai
« Les médiums parlants constituent une autre classe. Quelques-uns ne parlent que lorsqu’ils sont dans un état de transe, mais
ne parlent que lorsqu’ils sont dans un état de transe, mais d’autres parlent dans leur état normal. Dans ces cas, il semble qu
ses idées à elle, quelquefois eu «lC-pil du mortel par lequel elle parle . J’en ai u ,m ou deux de cette classe, auxquels i
oir qui agit. 0 Une autre, et la dernière classe de médiums dont je parlerai , se compose de ceux qui voient ou semblent voir l
t. Et comment en serait-il autrement? Voici une intelligence qui nous parle chaque jour ; qui établit réitérativement son ide
tentent de connaître les choses futures par les expériences dont nous parlons ? L a-venir est couvert à nos yeux d’un voile imp
tures; ses pythonisses, élevées sur la «table à trois pieds,» agitées parle dieu, lisaient dans l’avenir. Tout le culte ido-l
titres. « Est-il nécessaire, après ce que nous avons dit, que nous parlions des communications avec ces âmes déjà séparées de
, la force de nos observations subsiste. Que les phénomènes dont nous parlons soient véritables ou qu’on les regarde comme de p
ÉTÉS. Tribunaux. —Voici l’issue du procès de somnambule dont il est parlé dans notre dernier numéro. TRIBUNAL CORRECTIONN
tude des journaux de meltre les noms et les adresses de ceux dont ils parlent dans les articles autres que ceux qu’on appelle d
nom el mon adresse dans ce journal; j’ai lu d’autres journaux qui ont parle de ces deux faits, et je n’y ai vu ni mon nom ni
manifeste ? M"' Roger. J’ai annoncé que j’étais somnambule, que je parlais pendant mou sommeil; mais que je ne promettais ri
vateur. (2) Kosographe, 1816, t. IV, p. 6C> Les individus dont parle l’abbé l'aria cuiraient, après avoir été saignés,
— Étant le 20 janvier dernier chez M. Brichard, notre collègue, il me parla de la grande sensibilité magnétique de son jeune
re sur un bien plus grand nombre de sujets que le précédent ; je veux parler de l’attraction exercée sur le, petit doigt de la
mère. •> 5° Divers. Indépendamment des signes dont je viens de parler , il en existe encore un assez grand nombre qui, s
e par votre simple présence, à ces dangereuses expériences. Vous n’en parlerez point dans la chaire évangélique, mais à occasion
-œcuménique. Plusieurs évêques ont décidé qu’elles tournent, qu’elles parlent et qu’elles prédisent l’avenir. « E11 effet, Mg
ieu, ne sont faites en réalité que pour l’esprit des ténèbres? « Je parle de celles qui auraient pour objet : « D’hériter
vré aux expériences des tables, les a fait non-seulement tourner mais parler , et a obtenu en ce genre les succès les plus sati
ouchent au matérialisme, s’ils n'y arrivent pas, et par conséquent, à parler franc, leur théorie ne peut soutenir un examen sé
sionnables absorbent le fluide, partout où il est mis en circulation, parla volonté du magnétiseur. S’il en était autrement,
l'œuvre et ils ont réussi. Alors, de s’écrier : «Que vient-on nous parler de volonté! En avons-nous eu besoin pour produire
ent absurdes à la raison sévère. Non-seulement les tables tournent et parlent , mais elles s’arrêtent par des signes de croix, o
it infernal que les phénomènes magiques «les tables qui tournent, qui parlent et se disent animées des âmes de personnes ayant
l’aspiration recommandée par M. Gautier, ni de la force volitive dont parle M. Bégué, et nous avons toujours parfaitement réu
in des faits. Ils venaient s’ajouter à tant d’autres dont j’avais ouï parler , sans en avoir jamais vu un seul, mais dont il m’
fut donné au presbytère pour l'heure d’après Vêpres. J’ai promis de parler naïvement; il faut ne rien taire. Vêpres finies,
, u iM/ueris-ne latine ? » lui dit M. Bertrand. Pas de réponse. « Parles -tu latin? » reprit-il en français. La table fra
: « Interrogez-le, s’il vous plaît, maintenant. — Peux-tu encore parler ? » lui dit M. Bertrand. Immobilité complète et
profond silence. J’enlevai mon chapelet. n lit maintenant, peux-tu parler ? » reprit M. le curé. La table frappa un coup.
le jugeront opportun, une décision au moins pratique. Pour nous, nous parlons comme témoin. Nous avons cru ne pas pouvoir taire
! oui ! » répond la table impatientée. Je l’empêchais également de parler , en posant sur la table ma montre qui n'avait été
réalité, tiennent à un trouble de cette circulation nerveuse dont je parlais tout à l’heure, et sont déterminés, comme tous le
ipéties de ce drame muet. Pour moi, lecteur, me contentant de vous en parler au point de vue magnétique , je vous dirai que la
ou§ sommes décidément dans le siècle des progrès. Que venez-vous nous parler de méthode et de principes, d'influence animique
les Chinois de porcelaine), tous les phénomènes produits jusqu'alors parle magnétisme ne sont plus qu'un jeu. Pourtant il
dèlement possible. « «Quelle duperie involontaire de soi-même! Vous parlez de fluide.....il n’en existe pas, il n’y a que
fait qu’augmenter son trouble, son anxiété; elle le fuit, elle ne lui parle qu’avec embarras; un obstacle mystérieux, indéfin
ier, jour où vous l’avez magnétisé. Dans cette même séance, Auguste parla de trois autres accès qui devaient avoir lieu les
rité. La fatigue succède au combat. Il s’asseoit, se repose, rêvasse, parle , dit des sentences qu’on 11'entend pas toujours b
sur la poitrine ; il se relève avec peine, marche, s’asseoit encore, parle de choses diverses qu'on entend mal, dit des sent
irconstances. » S” DIVINATION. Chardin, dans son Voyage en Perse, parle en ces termes de la faculté de divination : o J
l On ne peut raisonnablement nier que les phénomènes variés dont nous parlons soient destinés à produire des résultats importan
dans un cas où les autres soins sont presque constamment inefficaces, parlait aux sens de tous; et quand, entouré de félicitati
ote fournie au comité par un de ses membres, car c’est l'histoire qui parle et tranche la question. Mesmer employait l'eau
, si l’esprit d’intolérance ne s’en était mêlé aussitôt. Nous voulons parler de cette étrange et déplorable opposition qui, né
ement la pasquinade du cimetière Saint- Médard, en défendant de faire parler les tables ailleurs que sur les tréteaux des ch
l’espèce, cette grande vitesse au commencement du mouvement ou, pour parler plus juste, au bout d’un temps très-court (car to
nnaîtra que le souvenir est la conséquence de l'observation, ou, pour parler plus juste, d’une perception attentive, et que le
éterminé, ou tout autre acte volontaire et prémédité. D’ailleurs ne parlons plus des actes qui nous sont communs avec les ani
elles-ci sont d’une niaiserie à décourager leurs auditeurs, celles-là parlent comme des livres, font des vers ou composent de l
général les sujets qui ont le plus d’action sur les autres. Nous ne parlons pas des symptômes indiqués par le docteur Louyet,
ionnels d’un guéridon, il n’importe; seulement, le plus souvent, s’il parle , il s’entendra parler; s’il écrit, il gardera le
ec Salomon se passaient-elles presque toutes en discussions, ou, pour parler plus juste, en disputes. Du reste, et c’était p
e n ont pour origine que cette sorte de résultante animique dont j ai parlé . Je connais un groupe d’expérimentateurs qui a
l’opinion publique rattache de trop près à mon sujet pour que je n’en parle pas, quand ce ne serait que pour avouer qu’il m’e
es, quelquefois jusqu’au narrateur qui improvise le récit. Nous avons parlé de l'illusion collective produite sur des sujets
r), c'est une voie d'exploration (1) Nous avons déjà plusieurs fois parlé de l'imagination comme d’un des éléments de l'act
es proclamer devant vous. « Maintenant, Messieurs, nous devons vous parler du présent et envisager l’avenir. « Vous le sav
s vif enthousiasme. M. Morin, de Nogent, notre actif collaborateur, parla ensuite ; voici le discours qu’il a prononcé :
fête où vous étiez heureux de venir glorifier le nom du maître, nous parlerons de vous et nous nous fortifierons de vos exemples
alves d’applaudissements. Un autre orateur puissant, M. Salvat, qui parlait pour la première fois dans ces agapes, s’est alor
a vérité mesmé-rienne. C’est la deuxième des trois périodes dont j’ai parlé . Bientôt, n’en doutez pas, on fera plus que d'a
avec ces éternelles lois morales qu'il a gravées dans nos cœurs ! On parlera de la religion menacée ! Comme si toutes les véri
damite reflette, Comme un volcan qu’on croyait mort, Voyez : Pieu parle , el lo chaos Dévoile ses magnificences; L'human
ssi vasle scène Que celle de la vio humaine, Que celle où Mesmer va parler ?... Lo rayon qui part do la Franco Déjà décrit
« Ce que pourrait être un chéno « Sans racines et sans tronc 1 » ( Parlé ). L’historien reprend son récit Air de la Gasco
répètent malheureusement trop souvent dans notre port : nous voulons parler de la mort d’un enfant de six ans, appartenant au
e haute importance qui se rattache à ce fatal accident : nous voulons parler de la manière dont le cadavre de cet enfant a été
ns la comédie diabolique que je vais raconter, je m’abstiendrais d'en parler ici ; mais, comme 011 le verra, il paraît qu’elle
la société comme peuplée de morts qui, cependant, allaient, venaient, parlaient , mangeaient , propageaient même leur espèce, ains
est assez connu de nos lecteurs pour que je puisse me dispenser d’en parler ici. Le meilleur éloge qu’ou puisse faire du Caté
le 9 février 1852. Indépendamment des signes locaux dont nous avons parlé , la malade accusa les signes sympathiques suivant
la malade respirait plus facilement, la lividité de la face, produite parla gêne de la circulation, avait disparu; la voix re
oulet mit en usage chez cette dame à cha- que séance : nous voulons parler du massage de son goitre. Celte pratique, qui est
nalytique, critique, philosophique et médicale' du magnétisme animal, parle D' Bellanger. Ce Mémoire, d’une assez grande éten
en avoir la fin. Voilà pourquoi nous avons attendu jusqu’ici pour en parler ; nous voulions connaître ses conclusions pour l’
mirable de la puissance des infiniment petits. Grégoire de Tours nous parle d’un homme piqué par des abeilles, qui tout à cou
mauvaise conformation ou d’une débilité organique, puisque son crétin parla sciemment, puisqu’il manifesta de l’amitié et ret
mme chez l’idiot. Qui sait si les histoires miraculeuses du chien qui parla à Cimon l’Athénien, lorsqu’il s’éloignait du Piré
sus. Il répète tous les sermons des Pères, même les plus confits ; il parle Écriture sainte comme le premier des gros bonnets
dées rayonnantes ou par rayons vibratoires. Mais qu’ai-je besoin de parler ? Matteuci continue en ces termes: « Il y a dans
un système nerveux à un autre, comme l’a admise Cuvier. Et quand j’ai parlé de l’assimilation des fluides, en supposant qu’il
xtrémités! Si je puis charger un homme, comme une bouteille de Leyde, parle courant qui s’établit de mes extrémités sur lui,
les phénomènes, qu’ils n’étaient que le résultat de la force produite parla chaîne magnétique. Nous avons vu avec peine la
ouvements nerveux et musculaires de nos doigts. Les savants avaient parlé , et c’était la cause qu’ils avaient attribuée à l
t d'observateurs. Non content de faire tourner les tables, on les fit parler , et Dieu sait quel flux de bavardage inonda notre
e bavardage inonda notre mobilier. Mais qui répond nos questions? qui parle dans les tables? Ce n’est pas le bois ; c’est don
ce à nos pasteurs spirituels; nous devons, sans doute, lorsqu’ils ont parlé , nous courber avec soumission sous leur décision,
ens, devoir être la vérité. C’est le cri seul de notre conscience qui parle . 1° Toute personne soumise à l’action d’une cha
au milieu de nous. Avant de commencer une troisième expérience, on parla de la répugnance que l’on éprouvait à se mettre a
que de la folle du logis. Tel croit l'intervention diabolique, fait parler le démon. Un autre, par délicatesse de conscien
ède plus efficace que tous ceux dont on avait usé jusqu’ici. Je lui parlais alors des cures surprenantes accomplies par le ma
tendait comme un sifflement aigu dans l’intérieur de son corps ; elle parla des remèdes qui avaient été employés jusqu’alors
doctrine ? Se comprend-il lui-même? Qu’est-ce que cette magie dont il parle tant, qu’il nous promet toujours et dont il ne no
ure ? Enfin le cinquième numéro va être plus explicite, l’oracle va parler : fave te linguis, prêtez toute votre attention à
n peu, mais pas assez pour le faire sortir définitivement. » Je lui parlai de l’action qu’avaient sur cet agent les plaques
) Ce nom me fut donni' par la malade mimo. Les oplilliolmologues n’en parlent point. — Nystcn, dans sou Dictionnaire de Médecin
e M. d’IIérisson est là, dans la pièce voisine. « M"‘c .le M... lui parle alors avec autorité, parvient à la calmer et à la
elle a fait entendre par signes qu’elle n’y voyait pas et ne pouvait parler . Comme elle cherchait elle-même à se démagnétiser
passes et l'attouchement ; alors seulement la xmiimmbule a commencé à parler , mais sans presque pouvoii fiiire entendre sa voi
dont vous ôtes accueilli et traité. Elle vous voit, au moment où elle parle , magnétiser à plusieurs reprises un objet en méta
. de suivre sans le quitter l’individu qu’elle voit et dont elle nous parle . « Elle reprend alors : « —11 reste làpresque
e à chanter; le voilà avec une jeune dame. Oh! qu’elle est belle! Ils parlent à présent; ils se font des amabilités, et puis
, et puis toujours des roulades. C’est ennuyeux cela, parce qu’ils ne parlent pas en français... « Ici, on a pensé qu’après t
sieurs colonnes à la question des tables parlantes et des esprits. Il parle incidemment du magnétisme et cite quelques faits
u une réponse affirmative. Emma lui dit que la petite fdle (la lettre parlait seulement d’un enfant, et néanmoins la lucide ava
ue son rail était fixe; en lui parlant, je trouvai qu’elle ne pouvait parler ; lui ayant pris la main, je remarquai que tout s
es et sa poitrine, et je lui rendis la souplesse; alors elle se mit à parler et se montra très-lucide. Elle voyait la boule il
; après une sorte de lutte, elle fondit en larmes et fut incapable de parler : elle était endormie. Ayant calmé ce que je rega
s, étant au lit, elle demeura sans parole et sans mouvement. On lui parle , elle ne répond pas ; je la pince, elle ne donne
sensibilité lorsque je la pince. Le pouls n’offre rien à noter. Elle parle seule, suit son idée dans son discours sans s’int
le s’y oppose, et désigne elle-môme le lieu où il faut les brûler. On parle d'aller chercher le prêtre; elle s'y oppose encor
ire entendre la parole humaine, et par conséquent de leur apprendre à parler , et il y a réussi. Voici son procédé : « Je pre
ois de mars dernier à ce procédé, m’a donné les mêmes résulta) s ; il parle mieux que le précédent, mais écrit moins bien, ce
de la création, ont déjà ramené les phénomènes merveilleux dont nous parlons à des lois naturelles. C’est avec peine que j’a
ans tous ces phénomènes, sauf pourtant les esprits frappeurs, dont je parlerai en d’autres temps, un effet de magnétisation non
te. Aussi, de peur de faire prendre.au lecteur une fausse piste, ne parlerons -nous pas de la partie théorique du livre, et nous
nte aborder des phénomènes qui ressortent du magnétisme ; nous allons parler des esprits. — Loin d’être un mal, ce serait un b
de chaque séance, elle donne habituellement le nom de l’esprit qui a parlé . Parfois elle répond aux questions par oui et non
ister. « A sept heures du soir, conformément à l’intention exprimée parles esprits, nous entrâmes dans la salle; il y avait
ême rapidité. Elle prit la trompette d’étain et s’en servit pour nous parler . Elle revint à la table, prit un crayon et écrivi
, et sa figure prit le type séraphique le plus caractérisé. Nous ne parlerons pas des expériences qui furent faites, soit pour
naturel placé dans les conditions si favorables dont nous avons déjà parlé et ayant foi au magnétisme, à l’aide duquel il es
, dans des cas fort rares, deux de ces petits corps ronds dont il est parlé se manifestent au Üeu d’un, et qu alors le mal es
rent bannis l'empire, et cette proscription dura deux siècles. Nous parlons ici sans haine et sans passion ; mais nous ne pou
règles supprimées. Les médecins aujourd’hui sont trop faibles pour parler de sorcellerie et de superstition, il y a dans la
e est bonne, mais d’un caractère irrésolu et sans force; enfin, je ne parlerai pas de quelques proches parents dont les facultés
e est naturelle; sa gaieté vive se change souvent en tristesse ; elle parle constamment. Le pouls est presque naturel, mais u
nquille, la figure un peu colorée et le pouls assez vibrant. Sans lui parler de ce qui s’était passé, je lui proposai une saig
e et les sorciers qui avaient jeté sur lui un sort funeste ; d’autres parlèrent de fureurs utérines, d’extase, de contemplation o
st nécessaire pour diagnostiquer positivement celte affection. J’ai parlé d'une faculté d'imitation qu’elle possédait à un
tion qu’elle possédait à un haut degré. En effet, chaque fois qu’elle parlait de quelqu’un elle en prenait immédiatement le rôl
de savetier en particulier. Voici notre jeune homme qui, après avoir parlé du tranchet, de la poix, du tire-pied, etc., se m
avoir parlé du tranchet, de la poix, du tire-pied, etc., se met, pour parler vulgairement , à faire le savetier. Sa main, en g
fanfaronnade, elle n'est point dictée non plus par le désir de faire parler de moi ou de faire croire à un pouvoir mensonger,
faculté d’exprimer mes pensées. Je sens profondément, mais si je veux parler , les mots me manquent. Veux-je écrire, c’est pis
rieuses le don de tout com-u prendre, de tout lire dans le inonde, de parler et d’écrire u noblement, dans le genre plaisant e
eux jeté sur l’abîme qui sépare les penséps de. l’expression, — et il parlait en vers ! Nous avons vu, au commencement de ce
re sorcière,et mise à la torture par ordre delà faculté d’Helmstaedt, parla le plus pur allemand, pendant que ses jambes étai
a. Pendant le cours de cette maladie, qui dura bien une année, elle parla trois jours en vers, vit trois autres jours sur e
aine de ce parent, qui eut effectivement lieu dans laisemaine. Elle parla et écrivit une langue inconnue qu’elle' appelait
e les œuvres du démon. Séjour ii Weinspcrg. La guérison dont j’ai parlé était, au reste, bien loin d’être radicale, car l
vie ; elle se voyait souvent double comme la première fois dont j’ai parlé plus haut, et vêtue tantôt de noir, tantôt de bla
suite qu’il était noyé, et il mourut de cette manière, non sans avoir parlé à ses amis de ce rêve, qui l’épouvantait. Accid
lement. Leurs yeux sont tous étincelants. Elles peuvent non-seulement parler , mais produire des sons, tels que soupirs, frôlem
te du cœur dont les mouvements ont été non-seulement vus, mais perçus parles assistants au moyen du toucher. A ce signe éviden
s’en joignit un autre non moins sensible de la respiration ; je veux parler du mouvement d'élévation et d’abaissement des côt
et dirige, tous obéissent à leur nature, à cette voix mystérieuse qui parle en eux et les incite tantôt au bien, tantôt au ni
vez tous raison, mes bons amis, et je ne saurais vous blâmer. Faire parler de soi est un crime; je n’y puis rien, pourtant.
e qu’ils vous croient faillies; prouvez-leur qu'ils ont tort. Ainsi parlé -je à moi-môme un de ces derniers soirs, tandis qu
où elle pourrait au moins fournir d’utiles renseignements. Reste à parler des moyens pécuniaires à l’aide desquels l’in--st
rdeur et de générosité chez tant d’amis du mesmérisme. 11 est beau de parler et 4’écrire pour la bonne cause, mais il vaut enc
ne pouvoir s’y méprendre.» A.-8. MORIN. VARIÉTÉS. Causeries. — Parlez de moi, dites quelque chose île nous, tel est le
l a vu des gens prétendre que les tables et les chapeaux pensaient, parlaient , écrivaient, étaient doués d’intelligence.... Sup
de voir, en disant qu’il est absurde qu’une aiguille de métal pense, parle , écrive, converse; le visiteur, fier de sa qualit
m ne peuvent s’exprimer que dans leur langue usuelle. Un esprit lui a parlé en espagnol, par l’organe de deux jeunes dames qu
’anglais, et cependant, quand il est sous l’influence des esprits, il parle et chante en allemand. Ce qu’il y a de plus remar
enant en la possession des ignorants. Ces petits coqs dont nous avons parlé retournent en tout sens cette perle; n’en connais
; loin de reculer, nous irons au contraire de l’avant, et après avoir parlé de You/il qu'ils ont en main, nous montrerons leu
aine du surnaturel. » (Tome I, p. 246.) Ici c’est le théologien qui parle , et son embarras est \ i-sible en présence du sav
en défaut. Les tables ne se bornent pas à tourner ou à danser, elles parlent , et parfois assez bien; les coups qui se font ent
ur qui possède parfois des connaissances supérieures aux miennes, qui parle de sujets qui me sont étrangers, qui soutient des
comme quatre. Le moi que j'ai trouvé tantôt. Sur le moi qui vous parle a de grands avantages: Il a le bras Tort, le cœ
ations. Le maguétisme rentrait naturellement dans son sujet ; il en parle très-avantageusement; il en considère les admirab
poléon, où il raconte ce qui suit, comme en ayant été témoin : « Ou parle souvent des pressentiments dont quelques militair
a réunion devint medium, la table se mit à frapper des coups et à lui parler , elle articula le nom de Wylie Wilson. Aucun de c
commencement de son poëme. On se sépara. Un des membres de la réunion parla de ces faits à sa femme, qui était incrédule rela
e, et qu’il avait écrit des poésies. La fille d’une dame du Delà-ware parla alors d’un poëme dont il était l’auteur, intitulé
tout. Qui donc lui donne la connaissance du temps et des choses? Qui parle en lui pour lui révéler même ce que les sens, à l
ppelle l’histoire d’un bon curé qui, pour effrayer ses ouailles, leur parlait du jugement dernier et leur montrait Dieu courrou
est se la représenter comme présente quand elle est absente, ou bien, parla combinaison d’éléments réels empruntés à nos souv
’a plus besoin que de fluides? Puisque la persistance de l’ouïe (sans parler des autres sens) suffit pour prouver que les nerf
une telle audace s’adressant à une femme de ma qualité. Je crus qu’il parlait à une autre, et je ne répondis pas. « — Réponde
irch rapporte ainsi ses paroles, page 356 : « Je ne sais comment on parla de pressentiments, de rêves, de présages; chacun
c’est vrai; et si M"* d'Oberkircli veut me « promettre de n’en jamais parler à ma femme, je vais vous « le raconter. Je vous p
de m’arrêter comme lui, je fus forcé de « marcher comme lui. Il ne me parla plus, et je ne sentis « plus le désir de lui adre
reporte les idées au magnétisme et fournit à l’écrivain l’occasion de parler de Mesmer et des frères Puységur. Ces fragments s
outeux qu’on en trouvera la lecture intéressante. M"* d’Oberkich ne parle tant des rois que parce qu’elle vivait dans l’int
gnétisme, mais à la sympathie et aux pressentiments. « La princesse parlait souvent de Martinez Pasqualis, ce théosophe, ce c
stamment. Nous sortîmes de là enthousiasmées et nous ne cessâmes d’en parler pendant tout le dîner.....» L avant dernière ph
du maréchal par son second fils, qui est aujourd’hui, au moment où je parle , en 1789, ministre de la guerre. L’aîné est mort
btins des effets. J’endormis cette enfant, mais sans pouvoir la faire parler . J’avoue que cette séance me fatigua beaucoup, et
environ un quart d’heure, puis elle dit d’elle-même qu’elle désirait parler au maréchal. « — Je sais ce qu’il va me demande
un fait bien étrange que de voir sa pensée divulguée avant qu’il eût parlé . « En ce moment entra le marquis de Peschery, l
t indigne d’un gentilhomme , et je ne m’en consolerais « pas. Voyons, parlez , ne craignez rien. Je n’ai pas peur. «i La mort e
e. 11 est auteur d’un livre intitulé Y Art de magnétiser, mais il n’y parle guère que de lui, de ses voyages : c’est son hist
er imprimeur à Nantes, recouvra aussi complètement l’ouïe et apprit à parler . M. Lafontaine a magnétisé un grand nombre d’au
faire accroire qu’un certain tableau saignait. (On peut librement en parler , ce n’est pas pour ce fait qu’elle a été condamné
visiter pour chasser le démon de mon corps. Au moment même où je vous parle , ils prient et formulent cet exorcisme : « Prin
559; — qui dictent, 665, 691 ; — qui écrivent, 223, 559, 641 ; — qui parlent , 559, 562, 658 ; — qui soulèvent et déplacent des
3 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
, p. 53o. Ml. S Hippocrate, dans son Traité des Maladies sacrées, parle «le gens qui, pendant leur sommeil, se livraient
ertaines maladies qu'Hippocrate appelle divines, sans l’avoir appris, parlent latin, font des vers, discourent prudemment et ha
ouleurs! Je poussai la crise, ce qui lui occasionna des vertiges : il parlait , s’occupait tout haut de ses affaires. Après deux
ision médicale et d'instinct médical, dont nous avons déjà longuement parlé dans ce Journal (1). Nous ne discuterons pas de
e rares intervalles. « Dès que le somnambule, dit Deleuze, cesse de parler de ce qu’il sent pour parler de ce qu’il imagine,
que le somnambule, dit Deleuze, cesse de parler de ce qu’il sent pour parler de ce qu’il imagine, il s'égare d’autant mieux qu
guérit, car si elle ne voulait pas guérir, et si le mouvement dont on parle n’existait pas dans son sein, nous demandons comm
le 9 août 1850. Circonstances commémoratives. — Je vais laisser ici parler la malade qui, dans le sommeil magnétique où on v
t obligé de s’absenter ; je reste donc seul près d’elle, et, sans lui parler de la crise, j’attends et j’observe. A huit heure
tte malade, elle nous présenta tous les effets ordinairement produits parle magnétisme, et, de plus, une clairvoyance extraor
dans la même nuit, l'enfant prononça un soi-disant discours. Nous en parlerons brièvement. La jeune fille s’endormit aussitôt
ité attentive les paroles qu’allait prononcer la jeune dormeuse. Elle parla lentement et distinctement, en très-bon allemand,
de la loi, ses bienfaits pour le genre humain et ses miracles ; elle parla ensuite de la passion, réprimanda les Juifs qui,
RIEUX. Mon cher Monsieur du Potet, Voilà le récit dont je vous ai parlé , récit qui m’a été adressé par une personne digne
ve, et que vous en fassiez l’usage que bon vous semblera. Je laisse parler le narrateur : « Les faits extraordinaires dont
jugez bien que j’ai dû apporter une grande circonspection et, pour parler en toute franchise, une véritable défiance dans m
ne doivent jamais s’éloigner les livres élémentaires. Les hommes qui parlent au peuple ne doivent rien dire qui puisse être re
s de l'étude; nous n'avions pas d’œuvre démocratique, si nous pouvons parler ainsi. Nous ne voyons aucun livre que la modicité
es alchimistes du moyen-âge, el retrouvé à la fin du siècle dernier parle docteur allemand Mesmer, le véritable vulgarisate
iais ma découverte qu'en raison de mes intérêts personnels? » Ainsi parle ce charlatan , qui n’a eu qu’un but, répètent des
mpruntant à lui-même ses couleurs, il se tient à l’écart pour laisser parler son modèle. Réserve de bon goût, qui a porté bonh
e fille se réveilla en priant son père de venir auprès d’elle, et lui parla des belles choses qu’elle vit dans l’endroit où e
ainsi de tous les actes dépendants du libre arbitre de l’homme. On parle d’abus... de scandale;... mais, Monseigneur, ne s
ue c'est que Mm* Schmitz, née Baud, dont, sans doute, elle a voulu me parler ? Quant à moi, qui l’ai gardée plus de six mois da
étendre et se propager davantage. Pour cette raison, il m’arrive d’en parler bien souvent, et, par suite, d’être mis au défi.
ures la personne n’était pas revenue à son état naturel. 11 protesta, parla d’en référer au consul; on lui répétait que c’éta
ils s’exposent. Baron DU POTET. Revue «les Journaux. — Nous avons parlé (tome IX. page 547), d’un appareil à magnétisatio
, proposé par M. Lequine. Le feuilleton du Siècle du 18 janvier 1852, parle de cet appareil en tenues très-favorables pour l’
ce la conscription, accise les droits-réunis, pour les faire accepter parles masses, c’est-à-dire parla moyenne de la raison h
es droits-réunis, pour les faire accepter parles masses, c’est-à-dire parla moyenne de la raison humaine, que notre illustre
er la médecine et la a chirurgie saus être sur les listes dont il est parlé aux art. 25, « 20 et 34, et sans avoir de diplôme
Je ne sais, dit-elle, que le premier vers de la chanson dont vous me parlez -, mais je ne me la rappelle pas. » Quelques jo
qu’il n’y en a jamais eu de véritables et de bons, ou bien que Satan parlait par la bouche de tous? Non, certainement, Monseig
e personne moins familière que Votre Grandeur avec la science, je lui parlerais des vertus hygrométriques des cheveux, de leurs p
tête ; ou bien l’apparition des infernales maladies dont je viens de parler , qui ont fait jusqu’à présent et (pii font encore
e monstres et de fantômes grotesques grossis par l’imagination , dont parlent nos vieilles chroniques. Je ne chercherai donc
par induction la possibilité, le peut-être! Les faits viendront assez parler d’eux-mêmes quand le temps en sera venu. Quant
e saint Augustin , de sainte Thérèse et des Pères de l’Eglise qui ont parlé de l’extase, de l’état mystique de certains anach
science, vous le savez aussi bien que moi; tous les auteurs modernes parlent de travaux consciencieux dans leurs écrits, c’est
Que la femme est plus ithérée que l’homme ; plus voisine , pour ainsi parler , des intelligences célestes, et plus en rapport a
a même force qui hier me repoussa violemment m’empêche aujourd’hui de parler . « Embarrassé, je la réveillai; puis, dirigeant
able ; il fut pleinement satisfait. M11* Bis'son, dont je vais vous parler , est une pauvre fille d’une trentaine d’années; à
ns distinction de sexes. « C’est l’avis du Dr Lœwe, devienne, et il parle en ce sens. Tout être vivant, dit-il, est organis
diums ne peuvent faire produire que les Coups, il y en a d’autres qui parlent toutes les langues, anciennes et modernes, connue
tent en communication avec les hommes des âges les plus reculés, vous parlent de toutes sortes de choses, passé, présent et ave
ait, et qu’ils ont maintenant la certitude de pouvoir parvenir à nous parler (tout bas, bien entendu), avant la fin de cette a
étisme. Plusieurs orateurs ont pris part à la discussion, et tous ont parlé dans 1111 sens favorable, mais en restant au dess
suivant du Journal de Francfort : « Que les Américains, dit-il, ne parlent plus uniquement de leur table moviny et les Allem
s les salons, au foyer de presque toutes les familles. Mais je veux parler sérieusement. Il paraît que l’organisme humain dé
le précieux aveu que voici : La rotation «les tables. • - 11 faut parler sérieusement d'une chose sérieuse. Mais avant d
tées dans l’esprit de mes honorables visiteurs. Je ne veux absolument parler ici que pour mon propre compte. Ce que je dois co
Gazette de Cologne et ses merveilleux récits. Depuis huit jours il ne parlait que des tisch-r.üeken, et plus il en parlait, plu
Depuis huit jours il ne parlait que des tisch-r.üeken, et plus il en parlait , plus il trouvait d’incrédules. 11 avait beau dir
liée par MAI. Mayer et Flatau. Je me rappelle qu’en commençant j’ai parlé de révolution. J’ai dit révolution dans les préju
n du 10 de ce mois : I-si rotation iiiaKiiôtiiiue. Comment ne pas parler d’abord du phénomène à la mode, la rotation magné
quelque chose qui l’est encore davantage. C’est un homme grave qui va parler , et la première partie des faits qu’il relate s’e
les mains étaient bien posées sur la table (c’est de la grande que je parle , car, vu la pesanteur, il n’y avait pas d’illusio
magne, il n’est point question d’esprits frappeurs avant 1761 , on en parlait en France plus de deux siècles auparavant. En eff
aient au service des hommes doués d’une volonté assez forte pour leur parler en maîtres. Les rêveries fantastiques des poètes,
é bien davantage si sa parole eût pu être partout entendue. Habitué à parler devant un tribunal, cet orateur cherchait en vain
ir pu recueillir, ne laissa rien à désirer, et lorsqu’il eut cessé de parler , un long murmure d’approbation vint lui prouver c
ses successeurs? h — Mesmer? scs successeurs ? Jamais je n’en ouïs parler . «Et, pour distancer ses rivaux dans la course
vaise odeur (sic). Mais c’était votre faute, après tout ; car vous ne parliez jamais que de choses bouffonnes ou niaises, telle
des magnétomanes ; mais quand c’est moi, moi votre champion, qui vous parle , vous devez me croire sur parole; sinon vous n’êt
ie, lie, el lie et toc. Je viens aux passants Savants, ignorants. Parler Magnétisme, Sans charlatanisme; Eu dépit des
etc. Mais, 6 prodige! ô merveille inouïe! Par sa vertu le muet va parler ; Le sourd aussi va recouvrer l'ouïe, Que de t
d par notre Charité! A tous les passants, Ignorants, Savants, Parlons Magnétisme Sans charlatanisme; En dépit des sot
nous ne saurions mieux terminer cette fête qu’en priant AI. Jobard de parler . » C’était de toute justice, et M. Jobard ne e
s lesquels on ne souffrirait pas ! » Voici la fable dont nous avons parlé ; en la disant, M. Jobard avait, il paraît, magnét
péritoine ne peut être ici révoqué en doute, car j'ai pu le constater parles signes physiques les plus certains que la science
nombre est de quelques heures ; il en est de plusieurs jours. Georget parle d’une malade chez laquelle la première attaque du
ours rencontré chez les femmes très-sensibles au magnétisme ; je veux parler du bruit du souffle des carotides, que l’on désig
LOUYET, Docteur-médecin. INSTITUTIONS. Soclété do mesmérisme de Parla . DES OBJETS MAGNÉTISÉS (1). Jusque-là même qu
uire sur les plages transatlantiques que vous avez habitées. . Vous parlez avec sympathie de ces faits surnaturels qui vous
tendre parler du sujet qui a fait naître tant de sympathies, comme je parlerais du typhus ou du choléra ; mon langage résulte du
e, destinée à circuler sans cesse et à réaliser les œuvres vives dont parle ¡’Évangile? Ce -sont des personnes recomxnandab
ns par être à peu près dans le cas de ces âmes chargées, dont on nous parle , qui, malgré leurs aspirations, ne peuvent monter
s à regarder comme une autorité péremptoire dans la question. Je veux parler de Saint-Martin, le philosopjw inconnu, intellige
, une chose qui est au-dessus et à part du cours de la nature? Or, de parler , de penser, de combiner, de transposer volontaire
a France, toutes ces bouches éloquentes sont fermées, mais les tables parlent et elles tournent ! Les journaux ministériels se
se lasse. Comme le président du banquet, tous les autres orateurs ont parlé sous l'influence de la même hallucination, présen
ce. C’est à la dernière catégorie que M. Ed. Aubert appartient ; il parle du magnétisme en homme qui l’a bien étudié, et qu
un fait. Quand on fait soigneusement l’expérience dont nous venons de parler , on pose sur le meuble l’extrémité d’un doigt de
avec nous. Une foule de personnes font, comme on dit vulgairement, parler des lubies ou des elutpcaux ; les unes n’ont pour
n peut avec facilité laire toutes les épreuves possibles. « Nous ne parlons pas ici de bien d’autres expériences faites avec
M. I)*** avait dans sa poche le dernier écu dont il ne nous avait pas parlé . « h° Ai-je un piano chez moi, demande un médec
e force physique : elle ne raisonne pas ; et les phénomènes dont je parle dénotent une origine essentiellement intelligente
prédiction de Cazotte, et quelques autres, qui ont tant étonné (je ne parle pas des incrédules qu’elles ont rencontrés), surp
n vous prédispose à le mieux comprendre : le fait d’un somnambule qui parle de lui à la troisième personne, et le fait d’un m
périence lorsqu’il ne sera plus question de les endormir. « Je vous parle donc, Messieurs, d’un moyen plus facile de faire
aveu à vous faire, l’aveu d’un sceptique , c’est quelque chose ! Que parliez -vous de tables, de chapeaux et de saladiers qui t
i, pour ma part, le café et le marasquin excessivement incrédules. On parla tables tournantes, car ça dure encore, bien que f
gue. Depuis quelques mois, trois théâtres ont joué des pièces oü l’on parlait du magnétisme et parodiait ses pratiques. A l’A
e scène de sommeil dont l’effet dramatique est des plus heureux. On y parle d’Urbain Grandier et de Cagliostro. — On nous m
jeune prêtre, relevant de l’évêché de Como, a été suspendu pour avoir parlé favorablement du magnétisme en chaire, et est men
nièrement que la plupart des écrivains médicaux se croient obligés de parler du magnétisme, pour éviter le reproche d'incomple
’un résultat de l’imagination sur le centre nerveux. Est-il besoin de parler des trembleurs des C.évennes, des convulsiounaire
ut récent, qui est le troisième connu dans la science écrite, je veux parler d’une hernie étranglée réduite par le magnétisme.
a médecine, avec son jargon barbare et ses incertitudes, vous a seule parlé ; c’était nécessaire pour l’assise de l’observati
a statue-, elle pleure, un sourire effleure ses lèvres, et si elle ne parlait pas alors, son expression en disait assez pour qu
l'embrasse de ses deux bras et la couvre de caresses; elle ne pouvait parler , puisque la pointe de la langue était tellement c
d ces idées passaient, elle voyait son fils mort à deux ans, elle lui parlait d’une manière incompréhensible pour nous, seuleme
e sais pas lire le latin , moi, et je n’ai pas assez étudié pour vous parler comme lui ; mais je le comprends tout de même.
udra beaucoup de moutarde aux jambes, beaucoup , beaucoup ! — Quand parlerez -vous librement? — Attendez... samedi. Demain il
s médicales; seulement tout se passa comme elle l’avait annoncé: elle parla librement à l'heure juste tfn’elle avait prédit
S. hi'oniqnc. — Mmc Hayden, la médium américaine dont on a beaucoup parlé dernièrement à Londres, à propos de communication
De tout ce brait accessoire il ne reste déjà plus rien, et si nous en parlons nous-même, c’est moins par intérêt que pour reste
imées ; 2° Intelligence des langues inconnues ; 3° Faculté de les parler ; û° Connaissance des événements futurs ; 5° C
i président aux phénomènes du magnétisme, et même qui font tourner et parler nos tables. Les diables, comme on voit, joueraien
esprits ; c’est ainsi qu’ils ont cru pouvoir expliquer la faculté de parler des langues inconnues et la connaissance presque
’à rétablir la sainte inquisition. Tantôt c’est la pure ignorance qui parle , etjeme tais ; tantôt encore le demi-savoirélève
vait jamais lire. Quoi qu'il en soit, j’entrerai dans la question, je parlerai des esprits sans corps et du démon. Je laisserai
idérées comme base de la science et du progrès actuel, dans lequel il parle avantageusement du magnétisme. « Votre serviteu
nes les plus recommandables par leur caractère, par leur instruction, parle rang qu’elles occupent, témoins des faits en plus
avec les personnes qui l’entouraient, faisait divers signes, mais ne parlait point; il n’articulait que des sons dont la signi
ns à sa famille. Le père, frappé de cette communication, résolut d’en parler à son fils dans le courant du prochain paroxysme
l’impression d’une vive lumière, elles restèrent insensibles. Je lui parlai en élevant la voix, je fis beaucoup de bruit auto
gez un fait qui n’est pas moins constant que celui dont vous venez de parler : c’est l’image des objets qui se peignent sur la
hilosophes et des physiologistes qui se sont occupés de la vision ont parlé de l’image des objets comme d’une de ses circonst
nt elles-mêmes plusieurs fois les expérimentations. «Nous n’avons à parler maintenant ici de cette science que sous le rappo
foule d’écrits favorables ou contraires, dans lequels il est beaucoup parlé du magnétisme. Il est certain que cette sorte d’e
dont le magnétisme ne peut rendre compte. L’individu actionné peut parler à l’instar des tables tournantes, c’est-à-dire qu
is sur des matières qui lui sont inconnues. Ce n’est donc pas lui qui parle : il joue le même rôle que le fd métallique dans
ur en soit invisible. Le moyen de communication dont nous venons de parler n’est pas le seul. En voici un dont nous avons ét
elui de leur magnétiseur; et ce double fluide se trouve encore doublé parla ferme volonté quelles ont. « Ne voyant alors qu
uits propagés par la médisance vinrent aux oreilles de l’autorité. On parla de sommes considérables extorquées à des malades
ase, pour prouver aux païens la puissance du saint nom de Jésus, leur parlait ainsi : « Que celui qui voudra l’éprouver vienn
tre rédemption chasse le démon. Si c’est un mauvais esprit qui fait parler la table, et qui frappe mystérieusement, comme il
etnones divinœ suœ gratte sumat effectum. Quand une table tourne ou parle , et qu’on entend frapper sans voir personne, si L
rois semaines environ, des crises semblables à celle dont je viens de parler se renouvellent tous les soirs, et pendant toute
lle entrée en somnambulisme qu’elle nous dit que la crise dont elle a parlé commencera à neuf heures, qu’il faudra la forcer
des opinions fait place à l’appréciation des personnes. M. Foucault a parlé de « profond dégoût », de « scènes burlesques »,
e matière; j’ai levé les épaules comme un autre quand on a commencé à parler des tables; j'ai refusé de croire avant d’avoir v
oups pensé par lui, et il s’agissait de savoir si la personne dont je parle parviendrait à arrêter la table au chiffre qu’ell
es d’illuminés» et de leurs questions importunes ! Dorénavant on ne parlera plus, on ne répondra plus! Après cette étude si c
nul prêtre, aujourd’hui, n’oserait, si ce n’est dans quelque village, parler ouvertement du démon. C’est que nul d’entre eux n
e démon qui fait taire chaque jour votre conscience, lorsqu’elle veut parler et vous faire entendre sa voix ; c’est lui qui vo
sance humaine n’est capable de vous tirer de scs griffes ! Ah! vous parlez comme un curé, vont dire les mêmes hommes. Sans d
dire les mêmes hommes. Sans doute, cela est vrai ; mais celui-ci vous parle par réminiscence du passé ; moi je vais traduire
ions l’emploi de leur moyen de guérir les maux; à Rome, nul n’oserait parler ouvertement du magnétisme. Abrutissement de l’e
s Morin, dans nos derniers numéros , avec un magnétiste dont il a été parlé plusieurs fois dans ce Journal, et notamment tome
ut. Vous avez eu raison , il y a huit jours, de dire qu’il fallait en parler sérieusement, comme d’une chose sérieuse. Les rai
es pour un certain nombre de phénomènes, il en est d’autres, et je ne parle que de ceux que j’ai vus ou que j’ai produits moi
ressant aux fidèles assemblés, dit : « Mes frères, c’est Dieu qui a parlé par la bouche de l’il— « lustre Dominicain : alle
lique. « 1° Ont-elles désigné les plaignants? Non; Mmc Barthélémy a parlé d’un homme portant lunettes, en bras de chemise e
étisme et du somnambulisme. Revue des .loiiciiaus. — Nous venons de parler d’un article de M. Arago, c’est une étude sur la
IIense-quis, ancien représentant du peuple. ¡1 Indépendance, belge parlait , dans un de ses derniers numéros, d'une lettre ad
rdonné d’intituler ce livre : Saurons le genre humain. « Je vous en parle pour deux motifs : « Le premier, c’est pour réc
uses. Loin de revendiquer pour nos alliés ceux qui ne sont animés que parla passion du lucre, et qui ne vivent que de l’astuc
t. (1) Pour éviter toute confusion avec mon homonyme, dont il a été parlé dans le dernier numéro du Journal du Magnétisme,
ion publique et a donné lieu à la polémique la plus animée. Nous n’en parlerons qu’au point de vue du rôle de la volonté. Que p
les. Ce qui se passe appartient donc à l’ordre magnétique. Nous 11e parlons ici que des faits dont on peut, du moins suivant
n arrière ! Le inonde spirituel s’explore partout, et vous ne nous en parlez point; les tables tournent sans que vous essayiez
, et je ne veux rendre aucun de vous responsable de mes erreurs. Je parlerai du diable, des anges, de Dieu même, si la fantais
s le sanctuaire, comme d’aucuns le prétendent? Le fait est qu’on n’en parle plus depuis qu’un grand journal a mis la sourdine
adame, j’en fais tourner, mais je n’y crois pas. — Pourquoi donc en parlez -vous si souvent dans votre journal? — Dame! il
plus leur arracher un mot sur ce qui se passe dans le sanctuaire. On parle cependant de révélations fort importantes, de med
l’état électrique de l’atmosphère et le fluide humain. Nous laissons parler la Patrie : « Quelques personnes qui ont voulu
elque temps après, me trouvant à Zurich en société avec des dames, on parla de portraits, et je leur montrai le mien. Pendant
, 10 juillet 1853. a Monsieur le rédacteur, « Je croyais qu’on ne parlait plus des tables qui tournent, qui parlent ; des m
ur, « Je croyais qu’on ne parlait plus des tables qui tournent, qui parlent ; des montres, des bagues qui entendent, qui obéi
qu’elle veut qui agisse et qui pense. « Tant de gens sérieux m’ont parlé avec enthousiasme de faits de rotation opérés sou
n, pas encore !... — Mais qu’est-ce donc enfin? — Je ne puis plus parler ... mon être s’évapore et va se confondre avec les
, c’est encore des tables, mais non des tables tournantes que je vais parler , car toutes les exceptions dilatoires, toutes ces
c bonheur h la solution du problème. C’est de M. Foucault que je veux parler . « Cette question, dit, en parlant de l’homéopa
ces du mécanisme involontaire, et par cela même plus concluants. J’en parlerai dans un prochain article. Cette expérience de l
près les vêpres, le guéridon du salon de compagnie (c’était celui qui parlait le mieux et tenait les discours les plus édifiant
s tromper ensuite. — Mais ne souffrais-tu pas d’être obligé de nous parler de Dieu, de la Vierge, des saints, etc., et surto
s l’esprit a pris congé de nous par ces paroles : — Dieu me force à parler ainsi; l’enfer me réclame, adieu. Interrogé de
er que c’était pour éprouver notre confiance et notre foi qu’il avait parlé de la sorte, et il a persisté dans cette comédie
quinze sous ! « Mais je craignais d’être trompé. Un monsieur à qui je parlais de cela (celui-là. même qui est possesseur de vot
elle a fait des essais, et elle a fort bien réussi. » « Je voulais parler des deux essais que j’ai faits moi-même. Je le qu
sciences touchent à la politique. Mais où vais-je? N’ai-je point à parler du diable? Je suis si plein de mou sujet, que l’o
ans ma pensée. Je n’en doutais plus le lendemaih ; car, la forçant de parler , elle traduisit mes pensées secrètes, et pour se
nt, soit même mentalement? — Les tables n’entendent rien ; elles ne parlent pas et ne sont susceptibles de recevoir aucune tr
domaine ordinaire du magnétisme. Mais les tables n'entendent pas, ne parlent pas et ne peuvent, en tant qu’objets inanimés, re
ant, où se ti ouvaient réunies plusieurs autres personnes, 011 vint à parler magnétisme. Aucune des personnes présentés n’y cr
ent la n ême arme dangereuse entre des mains inexpérimentées, je veux parler de la pharmacie, des substances qu’on assimile au
les professions de médecin, de chirurgien et d’accoucheur. « 11 ne parle pas de celle de magnétiseur, ne la prévoit pas. D
rrèterez-vous? et pourquoi donc alors le texte ne se borne-t-il pas à parler des médecins au lieu d’entrer dans une nomenclatu
serve cependant un aspect vénérable et plein de dignité. Quand on lui parle de sa réputation, il répond : « Maintenant, je «
l’empreinte déjà effacée et imperceptible pour d’autres yeux, puis ne parla plus de l’affaire. Un an et demi plus tard, Galib
sme du 10 novembre donne comme aussi simple qn’ingénieuse : je veux parler du zoo-magnétoscope ou bio-électromètre inventé p
de ce problème. Nous n’avons jamais tenu compte de l’aspiration dont parle M. Gautier ; nous ne nous sommes point écartés de
r l’architecture, la médecine et même la navigation aérienne. Je ne parlerai pas ici des Chinois qui, à ce qu’ils disent, conn
rement au travail de M. Ker-ner, quelques livres de magnétisme en ont parlé , mais seulement comme texte explicatif des oracle
ait, attendait avec résignation sa fin prochaine. Quelqu'un alors lui parla du magnétisme, et surtout de là lucidité de ma fi
diaboliques. L’électricité est détrônée, le gaz et la vapeur on n’en parle plus. Tout est aux esprits, aux apparitions, aux
assez de connaissances pour pouvoir émettre, comme les gens dont nous parlons , une opinion arrêtée, et il se borne à présenter,
4 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
je vais transporter vos esprits dans le domaine de l’inconnu, vous parler do phénomènes réels, mais qui s’expliquent diffic
sur mon passé et vous faire suivre la route que j’ai parcourue, vous parler des choses merveilleuses que j’ai vues. Ne vous h
, il fait plus, il grave jusqu’aux pensées, et ce tableau s’anime, il parle votre langage, mieux que vous-même. Puis tout s’e
apidité. Cette transformation était accompagnée et aidée, sans doute, parla musique et les chants des autres derviches qui, c
nstants. On l’assit sur une chaise, et là elle se mit à gesticuler, à parler de Dieu et des saints, qu’elle déclarait voir par
; elle ne sent ni les piqûres, ni les brûlures. Dans cet état elle parle de sujets bien au-dessus de son intelligence ordi
autour d’un guéridon, quel serait le sujet de la conversation ? — Ils parleraient crimes, vol, assassinat, etc. — Si c’étaient des
que si moi, je me mettais à la table avec mon système contraire, elle parlerait dans mon sens. — Eh bien ! cela viendrait juste
ux, les yeux dans une projection fixe en face du guéridon. — De qui parles -tu? répliquai-je. M. G*** ne bouge pas; il ne se
moi qui te convie d’abord à une première réponse. L’homme ne doit pas parler , c’est la science seule ; si elle n’est point prê
nt eux-mêmes les conséquences des prémisses. Aujourd’hui nous voulons parler de la phase actuelle du magnétisme, et nous allon
toutes les nouvelles lunes, dont le rédacteur avait aussi la manie de parler de sciences sans y rien connaître au fond ; mais
et la corbeille de eiyui est toujours sur son... fond. (2) Nous ne parlons pas du degré de développement plus ou moins con-
litU, lalternante et la comporte «gaiement développées, nous eussions parlé plus juste, mais nous n'aurions été compris de pe
caractère que nous avons indiqué comme convenable à cette étude. Nous parlons d’ailleurs à des magnétiseurs, dont la première q
um tant que les expériences l’ont intéressée, est dans le cas dont je parle . Et cependant, j'ai essayé sans succès, ainsi que
u Potet veut imprimer aux études magnétiques. Nous avons cru devoir parler avec quelques développements de ce point si délic
efforts ne se dirigeaient pas dans cette voie. Nous n’avons plus à parler , pour terminer cet article, trop long peut-être d
lté. Cependant, indépendamment des effets matériels dont nous avons parlé , et qui pourraient conduire à démontrer le commer
session d’après le rituel : Signa autem dœmonii obsidentis sunt : Parler en phrases suivies (pluribus verbis ) une langue
citer les entités morbides des vieilles écoles du moyen-âge, ils vous parlent de diathèses constitutionnelles, de diathèses acc
pe magnétique de Cherbourg, qui avait coopéré aux expériences dont je parlais tout à l’heure, M. E. P...., m’a raconté une anec
rganes de la vie aboutissent au cerveau. Ou voit, quand M. du Potet parle de donner une nouvelle impulsion au magnétisme, q
lle n’en conservait pas moins l’idée des rapports des objets. Elle ne parlait point, avait les yeux largement ouverts, les pupi
ait impossible d’obtenir d’elle une réponse, et que maintenant elle parle , s’adressant à son mari, à ses enfants, etc., et
‘ a,s,s an fond de mon appartement, toule porte était close, et je ne parlai , „ ; 'ë'l0n' »ou. tl, bien I tout 4 coup la mour.
ciproques les éléments diffus de cette voyance troublée, où l’on nous parle d’un «temple de docteurs » (les réunions de votre
xprime à peu près constamment les mômes idées et les mêmes sentiments parles mêmes images. « Il est plus téméraire peut-être
r, c’est-à-dire étranger à nous, et ce n’est pas du dehors qu’il nous parle : quand l'âme plonge en elle-même, elle l'y trouv
oigné au plus haut degré les facultés extraordinaires dont nous avons parlé lout à l’heure, et qui les a appliquées ù la plus
mbre et y aperçut une femme jeuneet belle, en compagnie d'un ours qui parlait . La femme adressaau ca-pitaineles provocations le
sont sans suite quand on m'ordonne , au nom du Souverain Maître , de parler ... et de dire vrai! » (Cette réponse fut écrite d
... et de dire vrai! » (Cette réponse fut écrite d'un trait spontané, parla main de \lUaOctavie). Drs voyants supérieurs pr
deux personnes (ignorant cette langue), et le docteur qui se mit à la parler . Toutes les réponses à ses questions ne furent pa
re ! je lis tes préoccupations ! Tu penses à de l’argent!... » — Il parle d’argent!... C’est un mauvais esprit! interrompt
ée par des lois invariables. Je vous prie d’observer que je ne vous parle pas ici de vaines chimères ni de simples imaginat
aire n’est qu’une duperie, se repaissant de vaines apparences. Mais parlons sérieusement. Pour le physiologiste-rnagnétiste
mon oncle, il faut que vous me donniez la résolution et le talent de parler aux trois médecins, et la force de les convaincre
ne sais quoi, je me suis avisée d’assister à cette consultation et de parler aux médecins. C’était plus fort que moi, je n’y p
re 1854, étant en vision magnétique, rue des Pyramides, à Paris, elle parla de moi (j’étais à Versailles; elle no m’avait vu
lien, Dieu ! moi qui ne crois pas aux esprits... c’en est un qui me parle (*)l.. » Elle se penche en écoulant. — « Il me co
près ainsi pour M"* Octarie j tlie entend distinctement C esprit lui parler à Cortillt. Il eat présumable, en pareil cas, que
évenir d’évilcr sa morsure? ( J II n eu besoin '¡'avertir que je ne parle qu’en physiologiste sYlo» ant do spiritualisme el
fet, il passa la journée à faire les exercices gymnastiques dont j’ai parlé précédemment, c’est-à-dire à sauter sur les porte
oir exaucé sa prière cl de lui avoir rendu la santé ; au moment où il parlait désignant l'heure exacte : onze heures huit minut
l’horloge, examine en souriant ses visiteurs consternés et commence à parler très-nettement. « Mais, îi chaque demi-minute,
tion que l’on voudra sans qu’elle fasse le moindre mouvement. On peut parler très-haut, crier même à scs oreilles, elle 11’ent
ndant la veille, d’après votre théorie, c’est votre propre esprit qui parle . Si c’était pendant votre sommeil, à quoi, dans l
et thèse en robe noire avec rabat et bonnet carré, ne peut décemment parler comme tout le monde, et doit ressembler un peu à
arler comme tout le monde, et doit ressembler un peu à ce savant dont parle Rabelais -qui, pour raconter qu'il s’était promen
endrait, et l’un des plus beaux privilèges de certains savants est de parler pour n’être pas compris ; de sorte que quand le m
i présentent les phénomènes d’insensibilité et de catalepsie (pour ne parler que des plus vulgaires) : que M. Latour essaie d’
’ignorance , et me sens de force à le prendre par les cornes et à lui parler dans les yeux. Dire que depuis six mille ans il
c’est cette observation qui a donné naissance au proverbe : quand on parle du soleil on en voit la queue ? — Les rayons, oui
es de s’unir à lui? — Il faut avoir bien compris le phénomène pour en parler en si bons termçs, fut la réponse. Je vous le d
r la vie de notre maître, à vous faire connaître son origine, ii vous parler de ses luttes et de ses malheurs. Non, tout ceci
. Telle est lacause de sa supériorité sur tout ce qui l’environne. Ne parlons donc qu’avec modestie de notre industrie, des édi
de vous mon excuse. « Messieurs, ce siècle dont je ne dois pas trop parler , ce siècle d’industrie démolit notre vieil édific
use allocution, à laquelle l’émotion de l’orateur lui-même, lorsqu’il parla de cette médaille d’or si bien gagnée et qu’on vo
s avons bien souvent et depuis longtemps entendu M. le baron du Potet parler en public, mais jamais nous n’avons trouvé autant
on quim’ouvrait un large champ pour pouvoir enfin, moi, le premier, parler publiquementdu magnétisme devant cette assemblée
ec laquelle je causais à une table que nous avions fait admirablement parler . C’était en Allemagne. Nous nous entretenions du
s-je écrire ? — Non, répondis-je, n’écrivez pas , et continuons. Vous parlez du magnétisme, et n’en avez aucune notion ; dites
ance qui vient d’en haut, u Eh bien, repris-je, répondez donc. — N’eu parlons plus, je vous prie, dit-elle en me regardant, vou
bras toujours tendu vers moi. Je dus résoudre la catalepsie. « Vous parlerai -je d’une jeune personne qui, exaltée par les expé
e aussi bien pour détruire que pour produire les phénomènes dont nous parlons . Le magnétisme existe donc, et n’eût-il pour lu
’exactitude des faits observés par des personnes comme celles dont je parle . Ce sont des hommes de science et de froide raiso
nature à être entièrement inconnues aux personnes présentes. Je veux parler des cas où l’on ne demande pas ce que l’on sait d
nombre de ses enfants, son jour de naissance, etc., mais où l’on fait parler l’intelligençe, quelle qu’elle soit, de la table.
nom de famille est inconnu à toutes les personnes auxquelles j’en ai parlé depuis), ni son existence, ni son histoire ; pers
Depuis longtemps elle est sujette à des crises, dans lesquelles elle parle avec beaucoup d’éloquence et d’entrain. Elle est
r Kovv (voir plus haut). Il faut ajouter que je ne lui en avais point parlé d avance. Comme elle le fait toutes les fois qu’i
s de la première expérience, venaient d’elle, quoiqu’à son insu. Je parlerai .ici d’un cas arrivé à une amie qui a étudié ces
nscience du résultat seulement. Les deux médiums américains dont j’ai parlé sont pleinement convaincus que les réponses vienn
vitation, l’attraction chimique, l’attraction de la cohésion, etc. On parle aussi de l’électricité comme d’un fluide, on parl
cohésion, etc. On parle aussi de l’électricité comme d’un fluide, on parle du fluide magnétique (de l’aimant), mais pas autr
le du fluide magnétique (de l’aimant), mais pas autrement que nous ne parlons du fluide magnétique (mesmérien). Ce sont des inf
um, exercée à son insu. J’avoue que la théorie des esprits qui nous parlent par les tables ou par les coups est de beaucoup p
ne leçon qu’il a donnée sur les abus et les dangers du spiritualisme, parle de plusieurs cas de ce genre. Il dit qu’un médium
elligence du médium lui-même et étaient tout à fait trompeuses, et il parle de plusieurs autres cas analogues. Mais il ne nou
peut distinguer les communications trompeuses des véritables ; il ne parle d’aucun critérium à cet effet, et il me semble qu
ci doivent avoir la même origine, si l’on veut être logique. On m’a parlé , et j’en ai pu lire aussi, de faits d’un ordre su
tenant assez longtemps que cette malade a eu des visions dont elle me parla souvent, mais qui paraissaient ressembler à des s
vision ; le bateau trop chargé de monde avait chaviré, et le journal parlait des malheureux qui se débattaient dans l’eau, d’a
le résultat de la suggestion de la pensée, ou bien une imposture. Il parla longuement des merveilles de la suggestion, ou fe
Comme ce fut le vœu de toute la société, je l’ai fait, et je leur ai parlé pendant plus de deux heures sur le magnétisme, la
ême ne se comprend plus, — j'ai, dis-je, fait tourner, damer, écrire, parler bien des tables, des guéridons et des crayons-cor
s l’aînée des deux sœurs pour marquer que c’était d’elle qu’il allait parler , il écrivit : Toi, la grande, tu le marieras dans
aient décédées à un mois d’intervalle l’une de l’autre ! Je ne vous parlerai pas de ma douleur à cette funeste nouvelle, mais
meilleur accueil, vous vous êtes demandé comment les ombres pouvaient parler sans bouche matérielle et penser sans cerveau. Ne
serait peu gracieux et vous n’auriez pas les dames pour vous. Je ne parlerai pas ici de tout ce qu’a dit un de vos collaborate
lulle atteigne colto viri/ih', cotto majorité, tunl (IómIiòon. J'ai parlé , il y a un imitant, do clutter le» faits; lei, un
s d’abréger les plusieurs siècles de recherches et d expériences dont parle Tardy de Slontravel ? C’est, en tout cas, mettre
uéries exclusivement par le magnétisme direct. Des faits semblables parlent trop éloquemment d’eux-mêmes en faveur de notre c
appliquai l’autre sur sa bouche, de manière qu’elle ne put ni voir ni parler . Je pris, en outre, la précaution de placer, debo
Nous trouvâmes et retirâmes en effet de la plaie l’insecte dont avait parlé la malade, ensuite de quoi la cicatrice se forma
qu’il plairait à un fou de fermer les yeux et de le nier ? — Vous ne parlez que d’or, d’argent, d’é-cus, de bourses grasses e
oici le fait à l’appui : Hier, 6 avril, la jeune somnambule dont je parle vint chez moi, selon son habitude, pour être magn
e l’ai guérie, il y a un mois environ, d’une grave aménorrhée dont je parlerai une autre fois). A peine entrée dans la chambre,
nge pas pour examiner des jongleries ; et, sans que le fait dont nous parlons donne une sanction complète au magnétisme, il mon
upent spécialement du magnétisme. Il y a plus : quelques journaux ont parlé de l’ouvrage, et l’ont fait d’une façon bienveill
u proprement dit, et nous oserions affirmer que les critiques qui ont parlé du livre de M. Philips ne l’avaient pas lu. Cep
ous subissons l'usage, parce qu’il y a toujours inconvénient à ne pas parler la langue reçue. Dans tous les cas, 011 n’a le dr
citerons M. B. Dubois, qui ne sait pas ce que c’est qu’un son et qui parle aussi nettement (nous allions écrire aussi facile
acilement) qu’une jeune fille avec ses compagnes, et non seulement il parle , inaisil enseigne avec succès l'art de la parole
ts au début de leur expérimentation. » Certes, chacun a le droit de parler ou de se taire; mais transporter dans la science
de moi-même : on s’occupa des passagers de l’Arctic, dont je vous ai parlé . « Je fus pénétré de l’idée que les esprits d’u
res , et j’obtins de lui un récit exact de beaucoup de choses. « Il parla avec beaucoup d'admiration des efforts faits à bo
iration des efforts faits à bord du vaisseau par celui qui nous avait parlé le premier ; cet homme s’était emparé du commande
ntir son action et se faisait obéir partout où il se montrait. « Il parla aussi de la conduite de l’équipage quand tout esp
ouchante et qui fit sur nous une vive impression. « L’esprit qui me parla en dernier lieu me dit être un Européen, dont le
s’étaient inculquées chez nous dans notre vie mortelle. Ainsi, juge , parlez -leur. Ils peuvent tous vous entendre et s’instrui
nt devant eux , et qu’ils doivent apprendre à connaître tôt ou tard : Parlez -leur clairement et avec douceur ; car vous ne pou
urs que vous pouvez soulager. « Conformément à cette invitation, je parlai quelques minutes. Je raisonnai avec eux de la gra
n objet d’elle, quelle sera alors son occupation. J’étais fondé à lui parler ainsi, parce que des expériences de ce genre m’on
me jamais endormi complètement, et qui d’ailleurs, à demi endormi, ne parle qu’en se réveillant, mon petit somnambule tend se
« Il convient peu aux protestants, dit le Chroniqueur de Fribourg, de parler de l’ignorance superstitieuse des populations cat
vous laissez point arrêter par les clameurs des repus et des blasés. Parlez -nous, parlez-nous des facultés de l’âme, de tout
point arrêter par les clameurs des repus et des blasés. Parlez-nous, parlez -nous des facultés de l’âme, de tout ce qu’elles o
lle brandissait avec colère un éventail en guise de poignard, et elle parlait sans cesse d’immoler un ennemi : elle était comme
ennemi : elle était comme transfigurée. Elle dédaraqu’elle pourrait parler toute espèce de langues ; que si elle avait un pi
ais, et le surlendemain en anglais. Effectivement, ce jour-là elle ne parla ni ne comprit l’italien ; elle parlait avec tant
ffectivement, ce jour-là elle ne parla ni ne comprit l’italien ; elle parlait avec tant de volubilité qu’on ne pouvait parvenir
r à la comprendre ; il sembla «aux personnes qui l’écoutaient qu’elle parlait grec, et l’on ne réussissait à lui faire comprend
le, elle dit n’en avoir aucun souvenir, et n’.avoir jamais «appris ni parlé d’«autre langue que le français. Elle dit être Pa
e langue que le français. Elle dit être Parisienne, et comrn.e on lui parla en français, elle se moqua de ses interlocuteurs,
son entourage, ne savait cette Langue. On craignait donc qu’elle ne parlât sans être comprise, comme il était arrivé du grec
instruits et fort recommandables. Dès que la malade s'éveilla, on lui parla en italien et en français : elle demeura stupéfai
parlée avec le plus de perfection. Le jour suivant, elle se remit à parler italien, mais ce fut en pur toscan , et non dans
s faits extraordinaires, persuadé, d’après les règles canoniques, que parler des langues non apprises et prédire exactement le
ntolérables. Le docteur Raffaele, qui secondait M. Cervello, se mit à parler avec autorité à la malade, en lui disant qu’il vo
ion de faire partager ses convictions. « Depuis longtemps, M"' R... parlait de la lucidité de M" Ogier, lorsque M. le comte d
ôt : « Madame, vous êtes mariée (c'é-v tait vrai) : je voudrais .vous parler de votre santé ; mais « comme nous ne sommes pas
étonnement. 11 formula cette question. Que diriez-vous si Madame vous parlait de ceux qui ne sont plus ; si elle vous en faisai
mmes. Celle-ci est téméraire, remplie de dangers, voilà pourquoi j’en parle peu et laisse à tous les autres la responsabilité
pagnes, des animaux , et surtout des hommes avec lesquels l’opérateur parle , et ceux-ci répondent soit par des gestes, soit e
sur la demande de l’opérateur : il est bien entendu qu’on peut aussi parler avec ces images. « Un jeune homme de l’âge de v
s arbres; mais ces corps étaient dépourvus de mouvement, ne pouvaient parler , agir, manifester une pensée qu’on les supposait
s, que quelques personnes supposent que, toutes les fois qu’une table parle , cil« est animée par un esprit ayant eu vie. Non
r sont faites, tout comme ils peuvent descendre sur une somnambule et parler par sa bouche. Mais ce sont, nous dira-t-on , d
ant, aucunement tenté de recourir au suicide.... La dame âgée dont je parle ( sur la demande de laquelle il fit ces expérienc
ant. Sur les ’200 opérations de tumeurs scrotales dont nous venons de parler , tumeurs dont la moindre pesait 10 livres et dont
mnambule, sans que personne l'ait questionnée à ce sujet, se mit à en parler , affirma que l'accusée était innocente du larcin
' ses prescriptions sans en rien dire au médecin. « Elle ne pouvait parler qu’avec une très-grande difficulté et en bégayant
écution plus facile. « Quoi qu’il en soit, il demeure constaté que, parle seul in-stin t somnambulique, elle est parvenue à
de fer, ne manquent pas de s’y arrêter. C’est ce qui nous engage à en parler . « Elle avait eu pour fondateur un puissant sei
i en quels termes D. Lelong , auteur de XHistoire du Diocèse de Laon, parle de cette jeune fille que quelques siècles auparav
porta également à un éminent degré le don de prévision. Nous voulons parler d’Ade de Roucy, épouse du fameux Thierry d’Avesne
e eut aussi celle de pénétrer les pensées, de lire dans les cœurs, de parler diverses langues, ce qui lui valut, comme à tant
es au moyen-âge, de passer pour possédée du démon. Mais nous laissons parler à ce sujet l’annaliste du Hainaut au seizième siè
ndant elle fut rendue si ignorante, elle qui, durant « son exorcisme, parlait grec, lu lin et autres langues, quelle « fut rend
rnu, à cause « de sa haute mitre. Quand aucuns espritz ne vouloient « parler et tenoient les bouches serrées des patientes, le
nages les plus éminents de la Belgique. « Mais puisque nous voici à parler de Malplaquet, nous dirons qu’à une lieue de là,
rs privilégiés est passé. C’est ce qu’il importe de rappeler avant de parler d’un homme qui exerce une attraction puissante su
s a aussi subi l’influence dejMesmer, de Puységur et de Deleuze, sans parler de Fou-rier et de Saint-Simon. Il ne s’alarmera d
usée par l’introduction d’un insecte dans l’angle interne de l’œil et parles manœuvres maladroites d’une jardinière qui s’étai
ons l’étudicr, observer Iss phénomènes qu’il présente à nos sens : il parle , il chante, il écrit, il nous raconte l'histoire
quelques-unes étaient très-intéressantes et instructives ; les autres parlaient des personnes du cercle, leur reprochant certains
ne de la science qui nous occupe. Peut-être ce fait dont je veux vous parler vous pa-raltra-il très-ordinaire, et parmi les no
uiai 1856. VARIÉTÉS. 11 y avait longtemps qu'on n'entendait plus parler des tables tournantes et des esprits frappeurs ,
austique. L’Ane savant, tel est le titre que portera son journal ; il parlera un peu de tout, et de bien d’autres choses encore
velle-Orléans, dont la véracité est bien connue : « Une dame qui ne parle que l’anglais, qui n’est jamais sortie de son pay
a dernière fois, et il y a de cela plus de trente ans. — Mais elle ne parle donc pas.l’anglais ? — Elle n’en savait pas un mo
le va et vient, les yeux fermés ou parfois ouverts; elle voit, écrit, parle , et de retour h l’état ordinaire, elle n’a aucun
dans vos explications, il me faudrait aborder le domaine spirituel et parler de l’autre monde. L’inquisition, dont je publie a
a qu’elle le connaissait bien, quoiqu’elle ne l’eût jamais vu, et lui parla avec tant d’esprit, de hardiesse et de honne grâc
invisibles, et s’arrogent, dans leur audace téméraire, la faculté de parler sur la religion, d’évoquer les âmes des morts, de
oit en personne, soit représenté par tel ou iel de ses acolytes, font parler les tables, et que c’est à nous de nous tenir |en
t le monde, j’ai commencé par douter, par aier même, qu’une table pût parler . Je faisais, à cet égard, la grande objection des
, et j’ai fini par reconnaître non pas qu’une table pouvait penser et parler , mais que quelque chose pouvait penser et parler
le pouvait penser et parler, mais que quelque chose pouvait penser et parler par l’intermédiaire d’une table, ce qui est bien
aurait méprise, sinon mauvaise foi. Non, la table ne pense pas et ne parle pas; elle sert d’instrument, et voilà tout. Est-c
rerai pas, une personne des plus honorables, dont j’aurai occasion de parler plus-loin, et qui exerce sur les tables une influ
ourtant, nous le voulons. — Satan. — Où sont les deux dont tu nous as parlé ? veux-tu nous le dire? — Non. Sont-ils près de la
sieurs fois, 1 oreille basse : a 11 est donc bien vrai que les tables parlent ! » Ces deux premières expériences furent le pr
plus d’ardeur pour la science, plus de zèle pour la vérité , vous ne parleriez pas ainsi. Le temps qu’on met à faire la conquête
’esprit peut se troubler, s’inquiéter, se frapper outre mesure. Je ne parle pas des gens que domine le sentiment religieux ;
r foi aux révélations ni aux récits de l’être ou agent quelconque qui parle par les tables, ou qui écrit par le crayon. Je co
e j’ai été sincère et véridique autant qu’on peu» l’être. J’aurais pu parler de bien des choses encore ; dire ce qui se fait e
C’est là. un grave événement. Comme depuis longtemps on n’entend plus parler de l’iuquisition, on pouvait la croire supprimée
qui précède, on voit qu’il s’agit moins du magnétisme à propre1-ment parler que du somnambulisme. La décision du 28 juillet 1
chérit sur les précédents quant à la réprobation du somnambulisme. Il parle , nous ne savons pourquoi, de femmes au tempéramen
s invisibles et s’arrogent, dans leur audace téméraire, la faculté de parler sur la religion, d’évoquer les âmes des morts, de
ès-peu connue en Europe et dont il est inutile de c> préoccuper. Parler sur la religion n’est pas le fait habituel dtj so
ce sujet, nuig ne voyons pas qu’ils fassent plus de mal que s’ils en parlaient à l'état de veille. 11 y a des somnambules qui, d
janvier 1856. Comme une preuve que la force magnétique, développée parla volonté d’un magnétiseur, peut aussi opérer sur u
nt au Palembang par suite de mauvais temps. « Le médecin a beaucoup parlé à bord du magnétisme. « Je vois avancer le Pale
e, il se trouve dans la grande cachutte, avec toute la compagnie ; on parle beaucoup ensemble; mais L... n’écoute pas, il est
5 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
hetées au marché, elle bégayait sans pouvoir achever son mensonge, et parlait très-clairement quand elle se décidait à dire la
ais cent fois plus offensé par ceux que sa lumière éclaire, quand ils parlent sans attendre et sans chercher le rayon divin.
précipitant à genoux, elle lève les yeux au ciel et promet de ne plus parler sans avoir bien vu et sans être bien sûre de ce q
ion, de ne plus jamais mentir et de garder le silence plutôt que de parler avant d’avoir Lien vu la vérité. Nous eûmes l’att
donc me faire manquer à mon serment? Attendez « quelques minutes, je parlerai quand je verrai ! » En effet, depuis lors, elle n
pas trop se fier aux récits transtellaires tie leurs somnambules, qui parlent ordinairement des choses d’en haut d’après les im
x sommités de la science médicale de notre pays ; nous allons laisser parler le fameux Ambroise Paré, dont le jugement sera po
e ne l’avais point encore découvert, personne jusqu’ici ne m’en avait parlé ! c'était donc un profond secret ? Jetais impatien
l’homme qui sent, c’est sa vie qu’il doit désormais défendre. Ne lui parlez plus des plaisirs du monde, il est insensible à
re. N’attendez pas de moi un magnifique langage, quoique j'aie à vous parler de grandes choses ; vous savez mon histoire, je n
vention, mais qui ne vient point de la nature, peut être délaissé. Je parlerai comme un Français du vieux temps, mais toujours d
uelque chose encore , mais seulement la partie où mes sens auront peu parlé , celle enfin où il n’y a que des probabilités, ma
science officielle ne vous a montré qu’un cadavre; lorsqu’elle vous a parlé de la vie, elle l’a étudiée elle-même sans compre
st-il dit autre part (i), « le Saint-Esprit descendit sur eux, et ils parlèrent divers langages, et ils prophétisèrent... Et Dieu
choses sous un autre point de vue. « Le Mémoire dont nous venons de parler , Messieurs, est toutefois un document important d
Vous connaissez, Messieurs, le rapport qui fut fait, le 11 août 1784, parles commissaires chargés par le roi de l’examen du ma
n’est qu’une chose transitoire; et le magnétisme, qualifié, en 1784, parla science, de charlatanisme et de duperie, en a app
r ; « Cest que sa volonté peut être absorbée; sa faculté d’agir, de parler même enlevée ; « C’est que la violence est faci
ans le salon d’attente, à causer avec uue dame qui ensuite a été vous parler avant qu’il n’entrât lui-même dans le cabinet de
x-sept ans, et elle est brune, tandis que la personne dont ma femme a parlé dan» sa consultation magnétique devait, d’après s
ents sur des expériences. La Faculté lui laissa à peine la liberté de parler , puis elle rendit contre lui (le 17 décembre 1780
que parais-eent les pratiques magnétiques et somnambuliques employées parles prévenus dans leurs rapports avec les époux Lemoi
dit en souriant l’amie en question. Le lendemain la femme dormit et parla . Ce mari magnétiseur était dans le ravissement
nt sans le savoir, et lui donnaient la fermeté, le courage. Puis je parlai des faits; n’en laissant voir qu’une partie, je v
ion. Je partais du simple pour aller au composé; mais quand il fallut parler de la vue sans le secours des yeux, de la prévisi
ou plutôt voit ce que l’œil ne peut apercevoir. Est-ce sa raison qui parle et l’avertit? Non; c’est un éclair parti on ne sa
ut son corps une sorte de tremblement convulsif, et dès lors l’oracle parle par sa bouche. Alors, au gré de scs caprices, de
lle un premier entretien dans lequel elle aurait cherché à vous faire parler , afin de pouvoir vous répondre aisément quand vou
quand vous iriez ensuite la consulter? — R. Non, elle ne m’a pas fait parler ; ainsi un fait ; je ne lui ai pas dit que j’avai
t grand nombre de gens voudraient bien faire une utopie. Essayez de parler magnétisme à un savant de la Faculté, et vous pou
mmeil lucide enfin, dont Mesmer se méfiait tellement qu’il n’en a osé parler qu’à quelques intimes. Non-seulement cette luci
et très-éloquent professeur de la Faculté de médecine, M. Malgaine, a parlé longuement du magnétisme, dans sa leçon du 3o déc
édiatement je fus attiré vers un groupe de personnes amies que je vis parler près de moi. Quel élan de joie indicible se répan
ontrôle pour vérifier la sincérité di ses révélations; mais lorsqu’il parle de lui-même, d ses actions, de sa propre histoire
ment dont nous avons été forcé de supprimer les trois quarts. Solon y parle de son détrônement, comme s’il eût jamais été roi
rois fragments d’ouvrages dont les magnétologistes n’ont point encore parlé . On sait avec quel sans-façon Napoléon tranchai
2 juillet 1816. » « L’empereur, aujourd’hui, était fort causant. On parlait de rêves, de pressentiments, de prévisions, ce qu
ité tous les lieux communs qu’amènent d’ordinaire ces objets, jusqu’à parler de sorbiers et de revenants, l’empereur a conclu
née à nous entretenir des prodiges qu’il avait opérés , jusqu’à faire parler des muets, à reconnaître le sexe d’un enfant dans
influents à la cour, sont partout indiquées; mais nulle part il n’est parlé de ses rapports avec le roi. De ce silence il est
nstance l’auteur rapporte, p. 87, les quelques mots dont nous voulons parler . Au retour de sa deuxième comparution à la barr
e roi paraissait avoir lus. On passa bientôt à la médecine. Quelqu’un parla du magnétisme : « J’aurais bien voulu en voir que
re le but de ma visite, non plus qu’à aucune autre personne ; je n’en parlai pas non plus à M. Anctin. MmeRose me palpa pendan
où demeurait alors M“* Rose; celle-ci était endormie; M" Chapelle me parla d’expériences pour prouver qu’elle n’était pas so
Dieu ou de l’Église serait jugée digne des flammes éternelles : nous parlons devant des hommes du monde qui savent excuser que
nt la tôte ; cette circonstance était exacte, et la malade n’en avait parlé qu’à son mari, qui n’en avait fait pari à qui que
combattre. De lit les panacées qui doivent guérir tous les maux. Sans parler du D1 Sangrado, qui traitait tous ses malades ave
r toutes les bouches. I.e public ne comprendra jamais comment on a pu parler d’escroquerie quand personne n’a été lésé, quand
ttre d’aussi mesquines considérations. « Comment ! s’écrie-t-il, vous parlez de salaire, de moyens d’existence, de pain pour v
s personnes qu’il voyait à bord du l’Hamilton Ross , au temps dont il parlait , il répondit qu’il voyait le capitaine et le doct
es circonstances sans importance, telles que celles-ci : Le capitaine parle en ce moment au timonier; le second capitaine est
ue se porte l’espoir des affligés. A peine constate-t-on une guérison parla magnétisation seule, contre trente qu’enregistre
el est exclusivement réservé le concours pour la médaille dont il est parlé ci-dessus, il est probable que la méthode puységu
uplé le vide immense de l'inconnu, qui en a coloré les ténèbres, fait parler le silence; qui y a répandu des jouissances infin
ne peut pas manquer de produire un résultat fructueux ; nous voulons parler de l’état auto-extatique dans lequel le clairvoya
t que nous essaierons de tracer les limites de leur extension. Nous parlerons aussi de cette circonstance arrivée à la même épo
changements dans sa physionomie, cfu’on ne sait réellement pas si on parle à un voyant. Mais comme il sait que cette tensi
ons historiques les plus légitimes, établissent que le parchemin dont parle ici Solon, ne fut inventé que trois cents ans plu
iences et Arts, séant au Caire pendant l’expédition (lome I, p. Il1), parle du voyage de Bonaparte à Souez, et dit : « Le gén
hef, accompagné d’une escorte considérable, a été voir ce port. Je ne parlerai point du canal... dont il a fait le premier la dé
s avaient une écriture alphabétique et phonétique; donc ils pouvaient parler leur écriture; donc, enfin, pour communiquer leur
ice est coupable, mais elle ne sera pas condamnée. » L’oracle avail parlé ; c’est ainsi qu’on croyait faciliter les investig
lles. Il débuta par quelques mois de convenance, s’excusant d’avoir à parler après tant de bouches éloquentes ; puis, continua
moignaient de la vive satisfaction du monde magnétique représenté là. Parler de dévouement, d’abnégation, d’efforts d’intellig
u même polypier. C’est l’explication du dicton universel s quand on parle du soleil on en voit les rayons, ou bien... trivi
le tourbillon du monde médical, n’oublia jamais le magnétisme; il en parlait souvent comme d’une grande découverte que le temp
8 heures du soir, une des séances quasi-publiques dont nous venons de parler . Voici comment elle procède : Le public rangé
rovocation , el dont la direction n’est pas toujours facile : je veux parler de la contagion, que les médecins appellent fièvr
tinues de haut en bas. Celle exlase bâtarde n’est donc, à propreinenl parler , que la destruction incessante de l'extase vérita
ent à leur sentir, je ne comprenais pas une de leurs paroles, mais je parlais mentalement avec eux; je ne comprenais pas, mais
» Puis tout à coup celte femme se met à frotter un meuble, cessant de parler au milieu d’une phrase. Sa fille venait d’ouvrir
tôt illuminée d’une rougeur passagère, voit tout, me raconte tout, me parle comme si rien d’anormal ne se passait en elle ; p
ent déjà; elles me peuvent toucher, car je suis sans tache ; elles me parlent familièrement, car l’innocence a voix délibérativ
rons heureux!.... » Ici Louise se retourna vers moi, et me dit : « Je parle , à Londres, au seul ami que j’eus ; j’aime la har
s pas encore vu; il sc cachera sous des habits d’homme, et tu croiras parler à un homme, et son œil, ombragé par des sourcils
aire. Voici les explications que j’ai données : a Cette jeune fille parlait donc bien français? — Oui, elle avait pour oncle
l’émulation et de l’amour, ils parvinrent, au fond de l’Allemagne, à parler un français assez pur. Le pasteur, qui accueillit
é partout : dans les salons, à l’atelier, dans la presse, chacun en a parlé avec l’intérêt d’un événement important, et ce co
euse fable, le Premier ballon , éditée, il y a déjà plusieurs années, parla Démocratie pacifique, et que son spirituel auteur
de, indistinctement. Aujourd’hui, parvenu au seizième lustre, exténué parles fatigues, on m’abreuve encore d’amerlumepour avoi
ENCORE CN’ MOT SUR LES PERTES UTÉRINES. Mous nous sommes abstenu de parler du magnétisme contre les hémorrhagies utérines, n
c qu’on lit au paragraphe 29J de VOrganon : «Je crois nécessaire de parler encore ici du magnétisme animal, dont la nature d
do la vie. {Note de M. Taxil). décidée du mesmérisme positif, je ne parle pas de l’abus qu’on en fait si souvent lorsque ré
un salut de la main !..... Hahnemann n’est pas plus exact quand il parle du somnambulisme, et il est aisé de voir qu’il n’
r l’homéopathie que celui qu’ont indiqué les savants dont je viens de parler . J’ai quelquefois rencontré des sujets si impress
d’un médicament inoflensif en apparence. De quelle erreur veut donc parler le D' Taxil, lorsqu’il dit qu’à elle surtout doit
doit entreprendre de développer cette assertion. L'erreur dont nous parlons , est celle constituée par les doses massives du m
rléanais, Dans le numéro de votre journal du 11 courant, nous avons parlé au point de vue homéopathique du magnétisme, comm
Vous y réfléchirez, M. J. B. Au reste, à la renaissance des arts, on parlait beaucoup de la médecine d'attouchement. En 1600,
isme; car saint Mathieu, qui était un receveur de deniers publics, ne parle pris de la vertu sortie du corps de Jésus-Christ
les avis; un magnétiseur ne peut en traiter qu’un petit nombre : l’un parle , l’autre agit. i. B. Le courtois Docteur rét
us oser soutenir l’utilité des doses massives. En effet, 011 évite de parler du fond delà question, pour nous attribuer, mal à
ur, et qu’un magnétiseur ne peut en traiter qu’un petit nombre : l'un parle , dit M. J. B., l autre agit. Cette distinction no
ne plus oser soutenir l’utilité des doses massives, » que «j’évite de parler du fond de la question ?...» Il fallait dire que
e parler du fond de la question ?...» Il fallait dire que je laissais parler M. Gauthier; il fallait remarquer les guillemets,
ai même une autre autorité, sans doute inconnue de M. Taxil : je veux parler de l’habile chirurgien James Esdaile, de Calcutta
r la signification de ce mot, au Traité pratique dont nous avons déjà parlé , lit, pour en finir, et en attendant que les homé
... qu’on 11c prend pas la peine de prouver. Il est vrai qu’on nous parle encore d’Aubin-Gauthier et de M. du Potcl, car si
, messieurs les magnétiseurs, c’est un do vos plus grands maîtres qui parle !..... Los faits du DrEsdaile, de Calcutta, nous
sion de la somnambule enceinte, nous regrettons que le médecin en ait parlé si tôt. Il ne l’a vue qu’une seule fois, sur l’in
nais. Monsieur, Il est vrai , nous n’aurions pas dû nous hâter de parler si prématurémentdu singulier phénomène magnétique
Taxil, dans sa lettre insérée dans votre journal du 26 mars dernier, parlait d’une prédiction somnambulique dont il sc proposa
is, et c’est là le point de doctrine contesté dont le médecin a voulu parler . Les faits constatés sont donc : i° L’annonce
26 expiré, de publier in extenso. On voudra bien observer que n’ayant parlé du magnétisme que comme moyen thérapeutique, el a
uleversés en lisant qu’un médecin , professeur de l’Uni-versité, osât parler en faveur de la lucidité, de l’agent magnétique,
ité est, dans mon opinion, identique à l'influence magnétique exercée parle procédé ordinaire, parce que, si l’on insiste, le
idère combien la clairvoyance est fréquente à l’état de veille ; sans parler des prophètes et autres voyants de l’antiquité, n
ade appelle le sommeil magnétique. Dans cette dernière position, elle parle , agit comme elle a toujours agi et parlé. Seuleme
ette dernière position, elle parle, agit comme elle a toujours agi et parlé . Seulement, elle est plus facilement impressionné
'électricité terrestre, la circulation du sang, etc. Ce soir, il doit parler de Vac-quiswitè, organe qui me paraît devoir être
Ses élèves ont dû former, aujourd’hui même, une société : je vous en parlerai plus tard, s’il y a lieu. — Vous comprendrez que
t ce que nous avons fait depuis bien longtemps, et ce dont je vous ai parlé dans le temps : du magnétisme myologique (1) ; il
ntives, dans l’attente de voir aborder ce sujet, mais en vain. Nous parlerons des expériences dans la suite et plus en détail.
rt que vous avez fait de mes séances publiques, vous avez quelquefois parlé de la science que je propage comme si vous la s
r comme ils paient le médecin. Parmi les élèves de M Fiske, 0Il m'a parlé de trois qui auraient guéri des cholériques. L’un
ce point controversé. tile batterie galvanique dont je vous ai déjà parlé , ce n’est qu’une simple éprouvette : son action,
sur un aulrc pôle, vers le milieu du front; on presse fortement et on parle vile et fort. S’il s’agit d’une douleur, on va fo
mentels ail righl ! qui sont l’équivalent du mot psi, dont je vous ai parlé autrefois (i). II produit des illusions et des
rs le Dr Rodgers, son ami apparemment, se rendit auprès de lui et lui parla amicalement; mais la folie furieuse se manifesta
biologie, elle a cessé d’avoir la vogue, et finalement on n’eu a plus parlé . Notre correspondant résume ainsi la dernière pér
ée hier, en présence du juge Tomkins, dans notre ville. Le juge Guyon parla pour la défense, il fut suivi de trois procureurs
dans leur temps, comme la chaleur el la lumière. Cependant, je vais parler , quoique ce soit téméraire; car je prévois fort b
sme est pratique partout; mais 011 trouve encore bien des gens qui en parlent sans en rien savoir, et c’est dans l’espoir de le
ayons d’abord de raisonner un peu ; nous laisserons ensuite les faits parler . Les incrédules rient et appellent grimaces les p
tout...... c’est un des éléments de la vie; et si beaucoup de gens en parlent sans en rien savoir, c’est que nul n’a pu dire en
complément dans la phénoménologie du magnétisme animal, -qu’on pourra parler de ce dernier comme remède; jusque là celui qui s
en bonne santé, mais ce n’est là qu’une exception dont nous aurons à parler une autre fois. Quant à la première de ces deux r
ux encore et moralement et physiquement à la fois, s’il est permis de parler ainsi, que ne le fait le magnétisme. Entendons-no
pu conserver la vie à ce bon citoyen, à ce père de famille dont vous parlez . Mais permettez que nous vous disions, en termina
citer encore des guérisons? Ne dit-on pas qu’elles ne prouvent rien? Parlons donc de ces cas où la médecine n’ayant rien fait,
étudier pour ensuite le faire employer sous leur direction. Nous ne parlons pas de ces soi-disant docteurs qui disent ne voul
vos deux honorables médecins en faveur de la magnétisation dont vous parlez . Oui, oui, multipliez vos faits de guérison, il
étal de sommeil lucide que scs traits prennent l’expression dont nous parlons . Éveillé, c’est autre chose. Alors, volontiers, o
dormir, et la sympathie avait produit l’étrange contre-coup dont nous parlons . « Les premières expériences auxquelles nous as
une des dernières leçons du cours qu’il fait au Jardin-des-Plantes, a parlé du magnétisme. Depuis longtemps ce savant avait a
ce chapitre, déjà bien ancien, du premier livre de notre science. Il parle de Saint-Médard, des affections dues à l’imitatio
e toute puissance. Tous les extatiques, tous les somnambules, ne vous parlent -ils point d’une substance lumineuse et de brillan
omes théologiques de Zoroastre rapportés par Pscllus et par Plelhon , parlent souvent du feu intelligent, principe de notre int
lez avec une constance inébranlable qui ne vous permette jamais rl’en parler , car c’est offenser la religion de faire confiden
pourquoi, dans son hymne du Yerbe sacré aux partisans de la vertu, il parle en ces termes : « Vous, « amis de la vertu, je vo
la connaissance, s’il vous était permis « de m’écouter; mais, moi qui parlerais , et vous qui « m’écouteriez , nous serions égalem
es de leur maître. Aussi le Christ mémo, étant encore sur la terre, parla sous condition el de manière qu’il n’y avait que
e me lie; libre comme l’oiseau , je puis gazouiller à ma fantaisie et parler sur la nature comme je la sens, comme elle s’est
t-ils, grand Dieu S J’ai peur de moi même alors que j’écris ou que je parle ; car le frein qui m’arrête dans mes aveux et mes
rissent et le nombre des guéris augmentent de jour en jour. Les faits parleront bientôt si haut, qu’il restera peu d’incrédules;
pu dire ce que vous lui présentiez dans une boîte. Vous n’avez pas parlé , vous avez pensé, voulu, et vous avez été compris
aire naîlre dans l’organisme ou dans le moral du sujet. Ainsi je vous parlerai d’une même maladie, existant chez le frère et che
oute probabilité. Si cette lettre n’était déjà bien longue, je vous parlerais des critiques que mes travaux sur le fluide m’ont
ée, et les membres qui devront remplacer le tiers sortant seront élus parla voie du scrutin et pris parmi es gouverneurs. Les
lle qualité pourront y assister durant les heures d'occupation fixées parle comité pour mesmériserr les patients recommandés
Le sommeil magnétique présente bien des degrés; mais nous ne pouvons parler ici que de ce qu’on appelle somnambulisme lucide,
ente ans, malade depuis plusieurs années, et qui, comme la femme dont parle saint Luc, avait tout dépensé avec les médecins c
ys, elle n’en sait pas le patois, son langage (quand il lui arrive de parler ), est correct et choisi, son accent doux et pur.
ns cette famille, où tout est étrange. La jeune fille dont nous avons parlé serait, dit-on, douée de la myslérieuse faculté d
autres. Un sieur D..., propriétaire à Rourg-la-Reine, auquel on avait parlé de la spécialité mystérieuse de la femme S...,
nce même pour le terme de toute connaissance, el s’imagineront que je parle pour ne rien dire, el promets pour ne rien donner
, plagiaire maladroit de Swedenborg , m’adresser ses invectives et me parler en prophète. « Il vit, di t-il ,j>armiles lomb
e qui commençait à y répandre la mort et le deuil (1). Aulu-Gcllc (2) parle de l’influence de la musique comme d’un traitemen
quels nous citerons M. A. Gauthier (2), ont avancé « que les sons qui parlent d’un instrument magnétisé font plus d’effet sur u
ntre diminuait sensiblement. Yoilà le point où nous sommes arrivés, parles efforts énergiques d’une volonté puissante, par
vement mes confrères à essayer personnellement, car il faut agir, non parler : « Je veux des faits, et non des paroles, » sera
s avait raison : M. du Potet magnétisa et guérit; voici comment il en parle : a Broussais, la lumière de l’école, le seul d
e comme dernière ressource.....» Nous dirions volontiers à ceux qui parlent aussi étourdiment du magnétisme : Étudiez-le plut
-son, de Londres, non moins bon juge en ces matiè- res. Après avoir parlé de l’hôpital d’essai que le gouvernement anglais
ce dans le somnambulisme; mais, enfin, je fis ce qu’elle désirait. On parlait beaucoup dans les journaux de la célèbre Mme Otom
n , ce malade aura encore une fois besoin de mes visions. » Ainsi a parlé Mme Otom, en l’état magnétique, le 5o juillet 185
6 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
aturel et l’habitude que nous avons des travaux historiques. Guérir parles moyens magnétiques a été un art divin que les anc
de la baguette divinatoires, de voir îi travers les corps opaques, de parler diverses langues sans les avoir apprises, et de l
magnétiques, et dont aucun •aite, aucun auteur moderne n’a cependant parlé . Ces personnages, nous en avons été retrouver l’e
ade bon nombre de recommandations, entre autres, de ne pas bouger, de parler le moins possible, etc. Aussitôt le docteur parti
, mais accompagnés d’une fâcheuse adynamie. L’enfant connaissait et parlait difficilement. J’ajoutai au traitement les vésica
ger. Elles avaient plus d’élévation , chacun se sentait meilleur ; on parlait plus volontiers de grandes actions , de choses su
Il est d’autres adversaires que nous combattrons à outrance. Nous ne parlons pas de ceux qui insultent à toute croyance, à tou
jours. Quelques esprits se sont déjà rendus visibles. Mais il ne faut parler de tout ceci qu’en petit comité , en quitter le r
olées, comme des holocaustes à cet art mensonger ; il n’en faut point parler . Beaucoup de vivants portent avec eux dans leurs
extrémités, procédé qui, d’ailleurs, est conseillé avec juste raison parle candidat. n Je passe à la syncope. Le candidat
s sur les affaires du temps. C’est pourtant la science des écoles qui parle par tant de bouches , car les savants n’ont-ils p
musique, de la chimie , delà physique. On y transmue les métaux, on y parle , on y rit, on y soupire et y pleure. Quelle s
ndre à l’instant: Pour qui donc nous prenez-vous, car tandis que vous parlez , qui est-ce qui prend soin de la maison, la netto
se trouve quelquefois chez les simples d’esprit. Celui qui la possède parle une langue étrangère, nul ne le comprend ; mais l
s que la barrière qui nous sépare des cieux se soit rompue, car on ne parle maintenant que de communications spirituelles, d’
ous, plus avancés, nous irons trouver cet ouvrier spirituel, nous lui parlerons par signes, il nous (La suite au prochain num
! j’examine de près : la demoiselle dormait ; le prétendu sorcier lui parle ; elle lui répond et se dit guérie bientôt. Qui f
ujet un lucide aussi éminent qu’Alexis. Mais nous aurions voulu qu’il parlât seul et exempt de toute influence étrangère, comm
i orthodoxe qu’il dit être, applique au phénomène dont nous venons de parler le nom de communion des vivants et des morts ; le
euvent se témoigner à nos sens. Mais c’est bien plus : les esprits ne parlent pas seulement à l’aide des objets magnétisés. De
qui est comme innée dans le cœur humain : que Dieu n’a pas seulement parlé aux anciens, qu’il n’y a pas eu qu’une seule révé
ut le premier, dans les régions du surnaturel et de l’infini. Je veux parler de M. Hume, gentleman américain, qui est à la foi
lle a frappé des pieds, selon ses ordres. Il ne la louche pas, il lui parle . A sa voix, une cloche est montée le long de la j
e, M. Armand Arouet, y a été tout particulièrement mêlé. Nous voulons parler des con-vulsionnaires de saint Médard. Les mervei
ènes n’ont été mieux prouvés, démontrés. — Eh bien ! voyez comment en parle Voltaire dans son Dictionnaire philosophique, son
x que le Christ a dit : Je vous assure en vérité que les pierres môme parleraient qu’ils ne croiraient pas, et n’est-ce pas aussi p
s des brillantes soirées qui ont eu lieu cet hiver à Paris, dit : « Parlons d’une soirée qui n’est ni dansante, ni dramatique
patiente et recueillie. On n’y voit point, comme dans la soirée dont parle le collaborateur de l'Estafette, des hommes léger
ssent pas tous des initiés, à un degré plus ou moins avancé ? Nous ne parlons pas des bardes sacrés, d’Ossian, dont les hymnes
si bien sur le inonde surnaturel que sur la terre. Le livre dont nous parlons , présente donc quelque injustice dans ce mutisme,
trologiques, üb ne commen--ceraicnt pas, avant même (le discuter, par parler d'impossibilités apparentes. Wilson, dans la préf
Comme conclusion, nous considérons les deux ouvrages dont nous avons parlé comme très-sérieux, très-graves ; nous les recomm
lequel nous désirons appeler l’attention de la société : nous voulons parler des magnétisations faites aux séances publiques.
poison funeste pour détruire un poison moins dangereux. Nous voulons parler de la vaccine. La fièvre se guérira sans quinine,
e de ceux qui exercent; et, depuis plusieurs années, on n’entend plus parler de semblables poursuites ; on a sans doute compri
et de l’ouïe. Jeme baissai vers elle, lui soufflant sur la face, et, parla seule force de volonté, la parole revint comme pa
es, des épingles, etc. De Saint-André, dans ses Lettres sur la Magie, parle d’une jeune fille de son temps, qui, après avoir
ons dans les sujets magnétiques de haut titre. En ce moment où l’on parle tant à Paris de M. Hume, il n’est peut-être pas s
e. Nous avons trouvé chez lui à un haut degré le diagnostic dont nous parlions plus haut, de la susceptibilité timide, et, de pl
eux se montre à chaque instant. Aussi, pendant un temps. qui donc parlait du magnétisme ? Personne. On ne s’occupait que du
e de nombreux adhérents. Nous avons remarqué un passage où l’auteur parle du magnétisme. « En ce moment, dit-il, une collec
intéressantes du livre de M. Louis Peisse. Jamais le rationalisme n’a parlé un langage plus clair, plus sensé, plus méthodiqu
èreté a été la cause de tant d’erreurs et de faux jugements. Quand on parlait de magnétisme et de somnambulisme devant nos sava
nce nous ont servi! On ne rit plus de nous , môme à l’Académie. On ne parle plus de nous envoyer au château de Charenton ou d
a maladie annonçaient une mort prochaine. L’homme dont je vous ni parlé ci-dessus finit par me dire que c’était la maladi
auxquelles peut donner lieu le magnétisme, il en est une dont il est parlé peu souvent et que j’ai voulu répéter bon nombre
ter bon nombre de fois venant de vous en donner connaissance. Je veux parler de Y inculcation des rêves. Il y a longtemps dé
On voit d’autres médiums qui ne savent pas ce qu’ils xpriment (je ne parle point de ceux qui sont entrancés, car pour eux ce
veut le faire écrire, ou sur l’organe vocal, lorsqu’il veut le faire parler : les imitations d’écritures et les communication
le et moi, étions h une table, seuls dans le salon. L’esprit qui nous parlait était un ancien marin, et vraiment son langageéta
les phénomènes du spiritualisme, le nombre en a diminué. Ainsi, à ne parler que des deux journalistes dont nous avons combatt
nes, un bien grand changement. L’un, dans des articles subséquents, a parlé en termes plus sérieux des médiums et paraît disp
é ces mots : « Dans deux jours vous serez averti. » « Ici je laisse parler M. Armand de T... lui-même, n — Cette réponse sin
, et on a découvert l’aimant. Le pâtre avait raison. Le premier qui a parlé des antipodes a soulevé des éclats de rire , et s
de la boussole a été traité de fou , comme Galilée ; le premier qui a parlé d’uu monde transatlantique a failli ne pas le déc
e fait croire à l’aimint vivant. On a tant ri des paradoxes dont j’ai parlé tout à l’heure, que je n’ose plus rire. Qui sait!
e d’elle-xnême; quant à la seconde; elle est aussi peu concluante, on parle de doctrines plus ou moins légères et coupables,
emier numér«, avec cette épigraphe : « Ils ne sont pas morts. « Parlez -leur : ils vous répondront. » Oui, parlez aux e
ls ne sont pas morts. « Parlez-leur : ils vous répondront. » Oui, parlez aux esprits avant de décider qu’ils appartiennent
éclairés et plus parfaits que moi-même? Mais non, il s’agit bien de parler aux esprits , la Civilta cattolicu, après avoir f
vous avez déclaré vous-même qu’elles étaient réelles, que les esprits parlaient et se manifestaient par les tables et les médiums
à faire quand on est simple académicien, c’est que la dame ou la fée parlait cette nuit-là un français un peu risqué. Le len
uvrages recommandables dout nous avons rendu compte. Nous n’avons parlé jusqu’ici que des somnambules agissant avec le co
ien fort, hein ? Laissez-moi bien saigner... C’était madame Ogier qui parlait ainsi. 11 suffit au lecteur de relire cette der
s l'opération à côté, le frisson me prenait, et je me gardais bien de parler de vous. Ce n’est que, vaincue par la douleur et
; il y a quelque chose à faire dans cette voie... J'afiïrme n’avoir parlé à qui que ce soit de mon idée avant cette expérie
es oreilles , elle parut réfléchir un instant, comme si elle écoutait parler , et me répéta exactement les paroles prononcées s
e pause , le premier Aïssaoua saisit une feuille de cactus, semblable parla forme un battoir de blanchisseuse, hérissée d’épi
sultats que présente le fanatisme des diverses sectes dont nous avons parlé . Nous déplorons, avec l’auteur, le délire du fa
tres. Note de la Rédaction. Nous nous abstenons habituellement de parler des traitements magnétiques, auxquels il arrive d
ché peu d’importance aux procédés dans la magnétisation, nous venions parler de la méthode comme d’un point grave. Les uns y v
; s’il est fort, je suis impérieux et véhément, et c’est sans langage parler que ces faits ont lieu ou plutôt c’est la langue
igence, une force qui n’a rien de matériel; ce n’est pas la chair qui parle ou qui examine, qui vous écoute et vous considère
ue magnétique, si féconde en heureux résultats. Jamais je n’ai si peu parlé magnétisme et jamais je ne l’ai pratiqué avec plu
cé pour donner des soins au petit-fils de la femme Gauthier dont j’ai parlé plus haut. Ce jeune homme, âgé de dix-sept ans, d
nom glorieux que les savants y avaient effacé ; J'allais le premier parler d’ingratitude à ces bons Allemands, j'allais leur
de notre journal. M. Petit d’Ormoy, car c’est de lui que nous voulons parler , s’est exprimé en ces termes : AUX ENNEMIS DU M
avez daigné m’honorer l’an dernier, à pareil jour, quand j ai laissé parler devant vous un cœur tout rempli de gratitude pour
oire naturelle dans six universités, je puis surtout à cet égard vous parler en connaissance de cause. En effet, mesdames et m
Ne racontez pas de merveilles Aux aveugles privés d'oreilles, Et ne parlez pas des esprits A ceux qui n'en sont pas pétris;
peu, mais elle restait la bouche ouverte, ne pouvant ni respirer, ni parler . Je crus comprendre aux sigues qu’elle me fit alo
t attestés par un corps savant : les personnes qui jusqu’ici n’en ont parlé qu’avec un superbe dédain , croiront peut-être qu
u colonel deBau-dus, ancien aide-de-camp du maréchal Bessières : On parle souvent des pressentiments dont quelques militair
pourrais citer plusieurs exemples bien remarquables; je me bornerai à parler de celui que me présentèrent les dernières heures
evons communément et qu’ils nomment astrale. En magnétisme, on nous parle également de cette lumière astrale, sans nous la
— et accréditées sur les reflets de ce même agent magique qui fait parler les tables et répond en frappant contre les murai
vie, elle apparaît aussi en parfaite forme humaine. « L homme peut parler avec les esprits et les anges ; et les anciens da
r avec les esprits et les anges ; et les anciens dans cette terre ont parlé fréquemment avec eux. Mais aujourd’hui c’est dang
onnée de ténèbres, de nuages et d’obscurité. « Le Seigneur (i) vous parla du milieu de cette flamme. Vous entendîtes la voi
s non-voyants et les non-croyants. Et, je l’avoue, autrefois j’aurais parlé comme eux. A présent, pour mon acte de contriti
uffrir... je souffre aussi I... Cependant j’aurais bien envie de vous parler de cette personne, dans un moment, si ce n’est pa
ienne, après avoir longtemps nié, bafoué le magnétisme, a fini par en parler sérieusement. — En ces derniers temps, de nombreu
pas de ceux qui tournent le dos et haussent les épaules quand on leur parle des faits extra-naturels (donnons-leur provisoire
haussant les épaules, et ce fut bien fait. Que les opérateurs dont je parle en fassent leur meâ culpà. Pour ma part, je m’e
la planchette, comme si elle eût embrassé Jullie elle-même... J’ai parlé tout à l’heure de vers obtenus au moyen de la pla
o-dicétait bien autrement saisissant. Aussi, depuis la séance dont je parle , n’y en eut-il pas une dans laquelle on ne demand
mes essais, je crois moins encore depuis leur campagne perdue. — Ne parle pas ainsi ! dit doucement madame 0... Son mari,
n se calme ; puis il indique, d’après nos usages convenus, qu’il veut parler . — Eh bien 1 qu'est-ce encore? — La lettre qu
utes les théories rivales sont réduites à nier ou à se taire. Je veux parler , vous le devinez, de ce que l’on est convenu d’ap
est très-réservé sur ce sujet, et il dit que les journaux qui en ont parlé , n’ont pu que conjecturer et ont recueilli au has
s , commenceront par prendre sérieusement des informations au lieu de parler au hasard de ce qu’ils ignorent, et de se livrer,
mes, altirmait-elle, n’ont point d'ombre. Elles peuvent non seulement parler , mais exhaler dos gémissements, des soupirs, prod
aginable existera, * répétait souvent Iiclvétius. Il avait raison. Il parlait comme un inspiré. Son langage élait celui d'un in
ombrables libères d:'. tout le territoire corporel. Bornons-nous ;ï parler du cerveau, parce qu’il est l'intermédiaire de l'
e de s’exprimer avec clarté et précision, dans la langue d’Amdo. « Il parlait peu; mais ses paroles renfermaient toujours un se
e d«fourbe. Il vient du mot italien ciarlatano, dérivant du ciarlare, parler beaucoup. En philosophie magnétique, cette signif
même rayée des programmes, et, dans les cours, les cliniques, on n’en parle que le sourire sur les lèvres. Qu arrive-t-il de
raideur, reprennent leurs fonctions, la voix revient au moribond, il parle et fait connaître qu’il est sujet à des accès de
ersonnes qui se sont engagées au secret ; que les journaux qui en ont parlé n’ont pu que conjecturer et ont recueilli au hasa
ardé. Le Spiritual Telegraph dit que les.journaux qui, en France, ont parlé des expériences de M. Hume n’ont pu que conjectur
comme controu-vées. D'abord, tous les journalistes de Paris n’ont pas parlé sur la foi d’autrui. Plusieurs ont vu, et, de ce
, de ce nombre, est M. Méry, rédacteur de la Presse. Mais eussent-ils parlé sur la foi d’autrui, qu'ils seraient certes aussi
Fort émue et vivement frappée de cette vision , madame de *** en parla . Sur le portrait quelle traçait de celui qui s’ét
ée en France, M. de Morny s’est arrêté à Plombières. L’Empereur lui a parlé de Home et lui a raconté les miracles dont il ava
lexion philosophique, aucun aperçu des pays qu’il a parcourus ; il ne parle même pas de lui ni de ses sensations. Le docteu
je suis journellement témoin du contraire avec celle dont je viens de parler . Lorsque, pendant les sommeils lucides, cette som
à une recherche, loin ou près ; aussi, dans ces moments-là, si tu me parles , je ne t’entends pas; si tu fais du bruit, je ne
oujours croissant d’écrivains distingués qui, dans leurs ouvrages, en parlent d’une manière avantageuse et se plaisent à en con
ident que le prétendu témoignage n’en est pas un. Bien que M. Huzar parle de la Genèse avec le plus profond respect et l’in
comme le M. Marphurius de Molière, notre sceptique soit roué de coups parles invisibles jusqu’au point d’être obligé de faire
ses prescriptions. L’épuisement de la malade était extrême. Laissons parler RI. du Potet : « On n’apercevait plus, chez la ma
allait qu’elle se promenât tous les matins au soleil, et qu’on ne lui parlât pas, à l’état de veille, de ce qu’elle avait anno
orable Ch. W. Cathcart, ex-membre du congrès, et dont nous avons déjà parlé (p. Il2), écrit que les médiums peuvent être atta
entend le bruit de ces instruments, et même quelquefois une voix qui parle ; on y voit une main qui écrit, et diverses mains
avait trois personnes, MM. Alv..., Gail... et le pharmacien ; qu’on y parlait de toi et que j’avais entendu Alv... dire qu’il v
e notaire Alv... qui avait tenu les propos de la veille, et tu lui en parlas sans.lui dire que tu savais qu’ils venaient de lu
e, si ce sont des magnétiseurs, — comme cela doit être, puisque je ne parle que pour eux, — ils auront trop tôt oublié qu’ava
nglais dont ou s’est moqué, c'est le récit e.vucl d’un fait vrai. parla méthode de Gagliostro, c’est-à-dire à l’aide d’uu
aucun ne lixe et 11e retient mieux les images que l’eau circonscrite parle verre. Là, on peut faire apparaître des personnes
mbule, pendant ses recherches lointaines, entend son magnétiseur, lui parle , et par conséquent meut ses organes. Que ce soit
ent indiqué la foi comme condition nécessaire, mais.no.us avons aussi parlé d’assistants étant ani- mes d'un esprit passi
u voisine au moyen de petites bandelettes de taffetas gommé. M. Gerdy parla des contorsions de la jeune fille au commencement
din, il se dépêcha de retirer sa proposition et on n’en entendit plus parler , comme en fait foi la lettre de M. Marcillet repr
son précieux fardeau, et quand les magistrats et la Compagnie lui ont parlé de salaire et de rémunération , il a demande quel
quiet... vous allez aimer. On fut surpris de cette prophétie ; Home parle rarement de ce qui doit arriver; Home croit cepen
’il lui ferait voir le fantôme de celle qu’il devait aimer. Je laisse parler Eugène lui-même, me racontant comment Home avait
le que j’allais aimer. Il se recueillit pendant un quart d’heure sans parler et sans lever les yeux sur personne. Enfin il se
illeurs et les incrédules. M. Siemelink est le même dont nous avons parlé à la page 552 du Journal du Magnétisme, année
ous le verrez faire des mouvements pour se lever, prenez-lui la main, parlez -lui d’abord avec douceur, il vous répondra, et en
s jamais se lever la nuit. Ce moyen réussit. Ce succès, dont il a été parlé plus en détail dans le numér«du Jour mil du Magné
a payé si cher un genre de courage plus périlleux que celui dont nous parlons . Le docteur Ordinaire n’est pas le seul dont
que. Pendant la route, le général magnétisa l’enfant qui se mit à parler un langage extraordinaire. Le catholique étonné p
ce : C’est, répondit celui-ci, parce qu’un objet bénit m’a empêché de parler . Le catholique montra aussitôt au général les feu
et bien observer, ont été, clans les circonstances dont nous voulons parler , parfaitement remplies, cl voici, sans autre préa
’est pendant ce repas que je fis connaissance du célèbre médium. Nous parlâmes de voyage, du magnétisme, du spiritualisme, sans
rieux auxquels j’ai été en butte après tant d’abnégation ; je ne vous parle même pas de mon désintéressement pour cette pauvr
seul à sa disposition , et dut. laisser sa signature inachevée. Mais parlons des coups en tant que manifestation physique du m
aider sa mémoire. — 11 n’aurait d’ailleurs pu en faire usage, car il parlait les yeux fermés. — Il étala une érudition théolog
eurs amis dont le fils est un médium moteur remarquable. -le lus reçu parle père et par le fils avec une hospitalière cordial
au-dessus de sa tète. Dans cette situation critique, l’enfant voulut parler ; ses paroles firent évanouir la force qui le sou
’ôtre riche des biens de ce inonde, et, tel que le vrai disciple dont parle l’Evangile, il a laissé là ses aiïaires et sa mai
asse ensuite les deux bouts de la corde dans les deux trous dont j’ai parlé tout à l’heure, et les pieds sont liés à leur tou
a semaine dernière, présent mois de novembre, une dame de nos amis me parle des inquiétudes qu’elle concevait pour sa fdle, j
ntropico-magnétique et il ne s’est nullement trouvé à l’entrevue dont parle le Pays. RECTIFICATION. ERRATUM. — C’est par
) , a pris possession d’elle. Louna ajoute que l’âme de cet homme lui parle . On la voit, en effet, entrer en conversation ave
taté pendant plusieurs mois celui dont il s’agit avant d’oser vous en parler . Mais de quel phénomène s’agit-il donc ? Mon Dieu
laquelle nous posons tranquillement les mains, et les bruits dont je parle ne tardent pas à se produire. Ces bruits, sur not
es arguments. Le titre d’académicien ne peut conférer le privilège de parler au hasard de ce qu’on ne connaît pas ; une plaisa
ivers instruments, 201, 210, 238, 334, 390, 490, 628 ;— qui chantent, parlent , causent des bruits, des fusillades, 659, 236, 33
7 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
que Mesmer et Puységur ont érigés en corps de doctrine. Nous voulons parler de la possession des religieuses de Louviers , af
oudun, où on retrouve les phénomènes analogues à ceux dont nous avons parlé au sujet des sœurs Augustines du Quesnoy dans le
vait merveilleusement suspendre ou précipiter à son gré. Ceux qui lui parlaient trouvaient en lui une condescendance pleine de bo
he le déplacement d'une foule d'objets. Les journaux ont suffisamment parlé de ces jeunes filles pour que nous n'ayons pas be
quit le secours de l’Eglise. Elle déclara qu’elle avait été pervertie parle prêtre Mathurin Picard, directeur spirituel du co
qu’elles soient, leurs accidents étant tous différents. 2° Qu’elles parlent intelligiblement la bouche ouverte et la langue t
lle. 3° Que dedans leurs plus violentes convulsions et accès, elles parlent , ce qui est contre la nature de ces maladies. h
s postérieurement à la possession des religieuses de Louviers, et qui parlent de cette affaire, le plus sérieux est celui de Gô
s et en rire. Il est curieux do voir avec quel sans-façon ces auteurs parlent des choses les plas sérieuses. Morin, dans son Hi
ise mine et sont fort maigres, leurs vêtements sont en lambeaux ; ils parlent une langue étrangère. Ce sont des naufragés, car
e, ouvre un champ vaste à de graves étuctee. ¡Tarais -déjà, du reste, parlé de cette théorie dans cet ouvrage «pie je viens d
on influence. En ce moment elle était sourde et muette. La faculté de parler lui fut d * bord rendue au moyen de passes dirigé
s reprenaient leur activité. A la suite de cette opt ration, elle parla librement, et entendit la voix de son magnétiseur
ue, pour se mettre en garde contre toute supercherie, il voulut luire parler seul les Uibles. Il lui fut répondu qu’il n’aurai
e, le mauvais esprit prenait sa plate , contrefaisait son écriture et parlait en son nom. Comment, après de pareilles déception
rêveur éveillé. M. Girard n’est pas le premier médium qui ait fait parler la vierge Marie. Mais on a remarqué généralement
eux bien. Mais elle n’a sans doute pas oublié le syro-clialdéen qu’on parlait de son temps à Nazareth. Que M. Girard veuille bi
t rachetée par un caractère sérieux qui seul pouvait nous autoriser à parler ici de ces recherches historiques. L’intérêt, d’a
avoir été écrite vers 1663, et qui est adressée à une religieuse, il parle de lui en ces termes : « Depuis mon arrivée dans
paraissait terrifié chaque fois que le charmeur le « regardait ou lui parlait , et, en vérité, ce serait chose im-« possible que
n a, au contraire , attribué à la nature seule ce chef-d’œuvre : on a parlé d’emboîtement des germes qui allaient toujours en
diront si nous avons le sens commun. BERRUYfcR. CHRONIQUE. u On parle , depuis quelques jours, d’une démarche d’un certa
ins pour les incrédules (et il y en a toujours beaucoup), laissons-le parler lui-même : « L’auteur étant toujours à la recherc
est fort rare, il juge à propos de s’y incorporer momentanément pour parler par cet intermédiaire. L’erreur que nous reproc
té avec des chevaux barbes, de couleur grise. Le cheval dont nous parlons n a jamais pu Être ferré , et toutes les fois qu’
it est vrai, il ne rend que plus intéressante la découverte dont nous parlons , et à propos de laquelle son auteur vient d’ouvri
la mauvaise saison, elle commença, dès le premier jour de décembre, à parler de prédictions : elle annonça qu’elle en ferait u
une pensée qui me vint dans ce moment. « A Mesmer. « Veux-tu nous parler sur le magnétisme? Réponse. Le fluide que dég
être aussi d’asphyxie. « Ces gros serpents courts, dont je viens de parler , la couleuvre ordinaire et le céraste, c’est-à-di
citer : « On raconte les histoires les plus merveilleuses, et on ne parle d’autre chose en ville depuis huit jours que des
quer de soi. Ce n’est que depuis quelques jours qu’on a commencé à en parler . » (La Presse du 16 mars.) Government liouse,
médium Home. Son prestige toutefois a quelque peu diminué, et l’on ne parle plus de ses réceptions aux Tuileries. 11 n’en est
t, et mourut peu de temps après ; et elle fit le legs dont nous avons parlé , comme un gage de sa reconnaissance pour celui qu
aux anecdotes qui circulent sur son compte ; il refuse absolument de parler , d’écrire ou de figurer partout ailleurs que dans
t. ¿'ne autre force, non moins puissante que celle dont je viens de parler , est le fluide vital ; et je nejvois pas pour que
ées, seront des axiomes dont il ne sera pas permis de douter, et l’on parlera de noire stupidité actuelle comme nous parlons de
mis de douter, et l’on parlera de noire stupidité actuelle comme nous parlons de la superstition du moyen âge. Déjà même la for
poison funeste pour détruire un poison moins dangereux. Nous voulons parler de la vaccine. La fièvre se guérira sans quinine
agnétique, auraient à traiter des maladies du genre de celles dont je parlerai . Daignez agréer, mon cher maître, mes sentiment
1857.) J’ai été appelé auprès de ce malade dans l’intention d’aider parle magnétisme l’effet des prescriptions médicinales,
t suffi pour faire disparaître tous les symptômes dont nous venons de parler , et la guérison n’a pas tardé à se montrer. Il
ron du Potkt. Dans un dos hauts quartiers de Paris, tout le monde parle d’un fait étrange que je vous donne sans commenta
nts; elle était pâle, effarée; ses dents chiquaient; elle essayait de parler et n’arrivait qu’à balbutier quelques mots ininte
t. — Je viens de voir ma sœur, répéta-t-elle avec énergie. Elle m’a parlé , elle m’a touché la main, je l’ai vue comme je vo
Sart-le-Moine eurent connaissance de la tradition dont nous venons de parler , et quelques recherches furent tentées par eux, m
, au point que je puis maintenant marcher et écrire avec facilité, et parler et vpir comme tout être qui n'aurait jamais été m
cteur vint chez moi avec M. Long, le mari de la dame dont je viens de parler . Je lui parlai de madame Lombard, qui était très-
moi avec M. Long, le mari de la dame dont je viens de parler. Je lui parlai de madame Lombard, qui était très-malade de la fi
verons-nous à produire ce prodige ? Par l’union de toutes nos forces, parla concorde de toutes nos intelligences, par l’harmo
otre triomphe et notre puissante arme Pour battre l’incrédulité. On parle de magie et sorciers, l'anathème Est bien lancé
tation faite aussi sous les auspices du génie de Mesmer, nous voulons parler de la société philanthropico-magnétique, qui join
principales causes de l’antagonisme des mesmé-nstes, c'est que, sans parler des mécomptes, le spiritualisme, l’instar des
n spectacle qui se passait aux yeux de la voyante. Ainsi, lorsqu'elle parlait de tel objet, elle ajoutait: On m'en montre une,
des tours de passe-passe. MM. Dubois (d’Amiens), Burdin et Mabru ont parlé , c’est à la nature à obéir et à mettre de côté to
ement des sens, la prévision, l’instinct des remèdes et le pouvoir de parler des langues étrangères ou inconnues. « Relativeme
ue très-peu de magnétistes ont attribué aux somnambules la faculté de parler des langues non apprises ; les écrivains les plus
tième siècle. Mais, pour envisager Bodin tout entier, il fallait bien parler de Bodin démonographe. M. Baudrillart ne l’a fait
’a fait que succinctement et avec peine; il regrette d’ètre obligé de parler de son héros sous de tels rapports, qui ne montre
hardis jurisconsultes de l’époque, le critique hardi dont nous avons parlé , F. Hotrnan, mit, nous dit Bayle, une application
, danslabiographied’Antoine Lemaistre, que M. de Vallée a occasion de parler de Bodin et de la sorcellerie. « Un demi-siècle
conditions préétablies. Ces essences invisibles sont par la prière, parles conjurations, à la disposition de l’homme qui peu
sa sincérité. ("est. Benvenuto Cellini, l’orfèvre florentin, qui parle ainsi dans ses Mémoires : u Au milieu de cette
s arrêté par la volonté du premier et par les lois de discrétion pour parler de son livre avec détail, nous pensons qu’il nous
ables en cequ’elles sont généralement sans danger grave. Cependant il parle de quelques faits magiques analogues aux préc
il est vrai, n’appellent pas les esprits diables ou démons, ou, pour parler plus clairement, ne croient pas à une interventio
a eus à vaincre pour obtenir la réorganisa-tion de la nouvelle ; il a parlé avec cbaleur de la grandeur du but et du rôle imp
s une apparence d’extase ; son mari me dit à l’oreille qu’elle allait parler et qu’elle était en trance. En fait, avec une fai
iscours provenant des esprits haut placés dans les sphères et dont je parlerai à la fin de cette lettre). Nous devions passer de
oposais de quitter le cercle, quand je me sentis pris par les jambes, parles mains, et, malgré mes efforts pour me délivrer, j
uis obtenir la guérison de mon fds, qui, à l'âge de huit ans, ne peut parler , quoiqu’il ne soit pas sourd; il est tout à fait
ivre commence par une prolixe et fastidieuse introduction où l’auteur parle de tout et de beaucoup d’autres choses encore, ma
primer la feuille de papier, pourvu que les yeux étant tenus abaissés parla pression des doigts d’un autre personne, l'objet
ue je crois parfaitement rationnels. Depuis plus de soixante ans on parle de magnétisme, et dans cet espace de temps, une f
exerçant à Marseille, à ce qu’il paraît, la profession de guérisseur parle magnétisme. Chaque jour elle allait prendre sa sé
se différence dans les moyens de le produire ! Ici, c’est une âme qui parle directement à une âme, son égale en genre, laquel
il resterait à expliquer par quel prodige de mécanique le meuble peut parler et, mieux encore, écrire. C’est là le •« /... Et
ntiment et pour obéir à quelques exigences de position que nous avons parlé de l’ouvrage de M. Mabru. Nous ne lisons jamais l
Saint-Germain qui restent, encore ouverts pour une société d'amis, on parlait de magnétisme et de somnambulisme , un des thèmes
pays et surtout dans le château de X..., où l’on s’empresse encore de parler d’elle à tous les visiteurs. Quand on quitta le
pris de trouver une porte ouverte , à laquelle se tenait un homme qui parlait anglais, qui venait d’arriver d’une contrée loint
de se trouver ; ce n’est pas seulement au public d’un théâtre qu’il a parlé ; mieux que cela, c’est à tout le momie; car voic
'environnait ! « Je cherchai dans ma raison le parti pris dont j’ai parlé , et j’eus assez de peine à le retrouver.... Indig
prit? Nul, je pense ; il y a, au contraire, une voix impérieuse qui parle sans parole, que nos organesenicndcnt parfaitemen
t plus désormais que mauvaise foi ou une ignorance impardonnable. parler , engourdissement de (ont le corps, souvent petits
le constituer, pour les mœurs, un danger dont nous aurons occasion de parler plus bas. Au troisième groupe correspond le som
et peut-être dénaturées. a) Inutile de faire remarquer que nous ne parlons ici que des faits réels, positifs, et que nous re
entre électriser, endormir et somnambuliser qu’entre vivre, sentir et parler . Le dernier état suppose sans doute les deux autr
t plus terrible ; un sourire amer errait sur ses lèvres blanches ; il parla d’une voix rude : « Il parait que je t'avais
évention y voir quelque clioso de surnaturel. Nous niions ici laisser parler quelques hommes, dont le caractère et l'autorité
nne pour reconnaître la possession du démon. Voici ces signes : a ) Parler ou comprendre une langue étrangère sans l’avoir a
ues. Ainsi on voit, dans le premier cas, des sujets qui non-seulement parlent , marchent, montent sur des toits, se baignent et
peut facilement déterminer cet agent physique naturel dont nous avons parlé . Cet avis est encore partagé par un grand nombre
; l’ouïe parut peu à peu se rétablir. La malade ne pouvait pas encore parler , mais, par des signes de tète, elle exprimait le
sme, il lui reproche ses réticences et la manière dédaigneuse dont il parle de ceux qui, sans être reçus médecins, exercent l
’ai peur pour les insensés qui s’en rapportent à votre savoir. Vous parlez toujours des nerfs comme si vous les connaissiez,
il médecin, toutes ses connaissances ne lui serviraient point; ce qui parle en lui ne vient pas de l’école, et si vous voulez
doit lui savoir gré de la manière favorable et sympathique dont il a parlé du magnétisme devant un tribunal. C’est en cela q
uvez et en vous disant éclairez-vous , nous savons très-bien que nous parlons à des sourds. D’autres plus habiles que moi sauro
Tout en vous annonçant ma prochaine arrivée, permettez-moi de vous parler de mes exploits magnétiques. Ce que j'appelle exp
e , quelque fût d’ailleurs la distance qui nous séparât. Je vous ai parlé de sa clairvoyance : malade depuis longtemps, sou
lusieurs reprises toujours inutilement... Enfin le temps expiré, elle parla .—a Combien j’ai souffert 1 Ah ! j'avais là un vil
btins plus que je n’avais demandé. Après avoir donné son signalement, parlé de scs occupations, elle m’annonça que j’aurai un
use, crut que sa sœur était désormais hors de danger. h Après avoir parlé de son mari et de ses enfants, madame Park se rap
tion d’une personne affaiblie par la fièvre ou la maladie. Si nous en parlons , c’est afin que l’opinion publique ne s’égare pas
endre la parole. A l’une de ces séances, madame S. A. G. se leva pour parler . Elle resta quelques moments silencieuse et immob
pondre aux questions par des signes de tête, mais sans pouvoir encore parler . Elle demeura dans cet état pendant seize jours
instruments fonctionnent, que les épurations se font. Nous constatons parles scories rejetée9, par l'activité des émonctoi-res
eau dirent qu’elle vivait. En effet, elle ouvrit les yeux F Le médium parlait dans le jargon des Indiens et frictionnait l’enfa
enée aux extrémités et le pouls sensible au poignet. Bientôt l’enfant parla , disant : « Boire ! » première parole échappé
y avait à peine quelques minutes, glacée par la mort, me regardait et parlait I elle vivait encore! L’Esprit indien, dans son
e se rendit à notre appel. Ma femme, que les Esprits font quelquefois parler , n'ayant pu subir aucune influence, absorbée qu’e
la remarque « quelle allait avoir une Autre crise. » J'avais à peine parlé , que le médium tomba sur le plancher,, se tordant
intervention d’un bon esprit? Est-ce par les procédés FE-liphas Lévy, parla clavicule de Salomon? ou bien a-t-on, comme Tobie
oujou appelé c/i/oirc. Il y a bieu loin de là au débordement dont parle la Revue, et si les habitants ont cru un instant
mi du magnétisme. Voici les faits rapportés par M. Auguez : Il nous parle d'abord des communications d’un revenant (sic) ;
nté. Cependant, environ neuf mois après la vision dont nous venons de parler , M. X... fut atteint subitement d’une bronchite a
nous servir de ce messager. Le proverbe populaire qui dit : Quand on parle du loup on en voit la queue est né d’une observat
fait déjà de deux Européennes : elle vous empoisonnera. Ayant ainsi parlé , la somnambule s’arrêta, et la visiteuse ne fit
M. M... et se retira. Pendant plus d’un an, M. M... n’entendit plus parler d’elle. Que l’on juge de la surprise de ce magnét
. Le seizième jour, un jeune homme, avec lequel il s’était lié, lui parle de son bonheur au jeu. — Moi! je n’ai jamais jo
se détournent de moi comme si j'étais un fou , pourtant je n’ai point parlé de mouvement perpétuel, de quadrature du cercle,
de plus en plus, elle eut recours alors à l’empirisme. (On lui avait parlé d’une femme de Cassano (Lombardie) , qui jouit d’
par conséquent, nous sommes les instruments. Noire conscience nous " parle et nous ordonne, notre intelligence nous permet d
extrêmement violentes ; tantôt elle paraissait être en somnambulisme, parlait , répondait aux questions, se levait, exécutait le
n’eût pris à partie que ces magnétiseurs charlatans dont je viens de parler , et qui sont les plus mortels ennemis de la scien
cette lettre, il dira : « Que m’importe ! c’est un homme du monde qui parle . Or, que me fait à moi, que fait à la science l’o
, Georget mourut à la veille de le commencer. Maintenant laissons parler Arago dans un de ses derniers écrits, l’éloge de
un signe à la clef, pour avertir les lecteurs s’il plaisante ou s’il parle sérieusement. — De temps en temps, les auteurs
ureux effets delà calomnie. Lorsque ce membre distingué de l’Académie parlait du magnétisme, aa voix résonnait comme un cuivre.
sentirent tous que cette amorce était placée sur un piège à loups. On parla longtemps de ce fameux prix, on en inséra l’annon
e ; mais je ne sentais plus que confusément; j’ai essayé deux fois de parler , mais la puissance de M. Collyer m’en a empêché.
Collyer m’en a empêché. Il assura que précédemment il n’avait jamais parlé à ce docteur, si ce n’est une fois par hasard, l’
que Frédéric se trouvait dans un élat de clairvoyance extraordinaire, M. John Parle , que le magnétiseur avait reconnu pour être doué
demeurant fixes et ne paraissant rien voir. On lui demande s’il peut parler : il répond très-bas : Oui, monsieur. Après un pe
nd effort à faire pour pouvoir me mouvoir. Quand vous m’avez invité à parler , je sentais que vous attendiez tous ma réponse, e
entais que vous attendiez tous ma réponse, et cependant je ne pouvais parler . « M. Jones a agi sur Frédéric qui, au bout de
de sa part aucun mouvement, si ce n’est les convulsions dont il a été parlé : et cependant, quand on avait fait claquer les d
es découvertes ; puis, voir si l’âme, dégagée des liens de la matière parle sommeil, ne pourrait, dans certains cas et par de
usement la prétention de vous dire ce que fait, au moment où ils vous parlent , une personne absente ; où se trouve un objet éga
s qui n'en savent pas plus long qu’elle. —Voyez donc comme mon enfant parle bien, dit un père, idolâtre de son bambin , il a
e. — 10 Décembre. les déductions se succèdent au gré de celui qui parle et enseigne , et les erreurs, les contradictions
s, ('.’est de là sans doute qu’est venu ce proverbe : le dernier i/ui parle a toujours raison. Chaque professeur d’éloquence
aissent comme spéciales à. l'organisme, qui constituent ii proprement parler la vie, sont-elles sans lien avec la force princi
qui ont été traduites en français, et dont le Journal du Magnétisme a parlé lorsqu'elles ont paru. Depuis , ce savant profess
ible à ce genre de manifestations serait l’organisme humain, ou, pour parler plus exactement, certains organismes humains priv
s se manifester à droite ei â gauche chez l’homme, se manifesteraient parles mêmes propriétés dans les aimants et dans les cri
leur contact fait éprouver ces sensations singulières dont nous avons parlé . Cette circonstance d’observation , — si elle e
une physionomie tranquille et souriante, mademoiselle Kurz gesticule, parle , tend les mains comme si elle voulait s’élancer d
ar instants, sans que sa raison puisse maîtriser la voix inconnue qui parle en lui et qui agite son être. Le sceptique le plu
rstition, et ou le voit souvent eu proie à des alarmes non justifiées parla raison. Je ne voudrais pas d’autres preuves de l’
é de bonne heure & chercher à voir le diable etàpou-voir le faire parler . « 11 n’oubliait rien, jusqu’aux plus folles lect
e traitait avec considération, mais il ne souffrait même pas qu’on en parlât avec mépris et raillerie. Quant à madame de Pompa
traire; après six mois d’essais, j’ai obtenu tous les phénomènes dont parlent les auteurs. Ces essais ont été faits, non su
ssait sur des personnes que je n’actionnais point et les endormait. Parlons maintenant des remarquables phénomènes du somnamb
uoi ! vous deviendrez poitrinaire ? vous badinez ! — Oh ! que non, je parle sérieusement. Dans huit jours ma mère mourra et c
ysé par M. Dumas en 1834, lut proposé pour remplacer l’é-ther en 1847 parle docteur Simpson d’Eldimbourg. L’Allemagne fut la
ont l’impuissance de l’art doit seule être comptable. » Après avoir parlé avec éloge des anesthésimètres de MM. Snow, Charr
ie de médecine, va plus loin que M. Robert, et, au lieu de dosage, il parle de régularisations ; il croit que le dosage est u
, 579; — qui apparaissent, 10, 191, 219, 409, 444, 494, 559 : — qui parlent ou murmurent des chants reli- gieux, 10, 415, 4
8 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
ffets que l’on a été réduit à n’expliquer que par des fictions ? te Parles rayons de son électricité péotétique, dardés à di
essant derepousser l’ennemi commun, le guérisseur non officiel. Qu’il parlât au nom de la science, comme Raspail, cru* bien, c
ail, les plaignants n’auraient eu qu’à produire l’article, et si l’on parlait aussi irrespectueusement des notaires, des épicie
ute avec les savauis; mais avec vous !.... Hom. — Et vous-onème qui parlez , qu'ètes-Vi.us donc ? Qu'est-ce que cette science
trente-cinq substances différentes avant de formuler la loi dont vous parlez , vous auriez vu qu'il en avait trouvé le germe da
veuses. Les impressions morales ont action sur presque tout, ou, pour parler plus juste, surtout l’organisme ; sur le système
manié les sujets k l'état de charme, cette sorte d'état dont je vous parlais tout à l’heure, qui avons un procédé pour diriger
e. Manlitjs Saixes. (Extrait du Glaneur du Gard.) On a beaucoup parlé sur le danger des inhumations précipitées; celle
antipathique, cela dépend entièrement d’elle-même. Bien qu’elle sache parler , elle répondra peu à vos questions, parce qu’elle
is j’ai quelque chose dans la poitrine et dans la tête qui me force à parler , et sans m’inquiéter du jugement des hommes, je p
qui me force à parler, et sans m’inquiéter du jugement des hommes, je parle , je parlerai. ii D’ailleurs, peut-être préten
ce à parler, et sans m’inquiéter du jugement des hommes, je parle, je parlerai . ii D’ailleurs, peut-être prétend-on que je s
tout. Je n'ai que l’embarras du choix pour citer : néanmoins, pour ne parler que d’un, — à la jarretière duquel les autres von
« Et de quel droit?... Tu veux... tu ordonnes? Mais qui es-tu pour me parler ainsi?... Je ne te connais pas... » (Dans cet éta
nt cinq ans, il avait fait le métier de médium, qu’il avait été censé parler au nom des morts , qu'il avait fait mouvoir et pa
avait été censé parler au nom des morts , qu'il avait fait mouvoir et parler les tables, qu'il avait obtenu de très-grands suc
us inspirer une légitime réserve dans l’examen des phénomènes offerts parles , médiums : c’est donc bien à tort que certains se
tion avec des esprits supérieurs, on voit tout simplement un individu parler ... par la bouche, comme saint Paul, écrire avec l
vérifier la dernière partie des prévisions et des vœux dont il a été parlé dans ce même lieu, il y a trente-six ans! » « P
moins bizarre. Puisque la réponse du docteur Roux à l’article où je parlais incidemment de l’homœopathie , — car le but spéci
ette branche de l’art de guérir, — puisque celte réponse m’a ramené à parler de l’homœopathie, que le docteur me permette de l
ngtemps une tumeur cancéreuse au sein droit. (L'Union et son critique parlent d’une jambe coupée par M. Cloquet dans l’état de
et celui dont je vais retracer les principaux caractères. Laissons parler le docteur Borlée : « Pendant ses accès de somn
rler le docteur Borlée : « Pendant ses accès de somnambulisme, elle parle souvent à haute voix de tout ce qu’elle a dit et
mais out aussitôt elle recommençait... Pendant son somnambulisme elle parlait , lisait, tricotait, mais elle ne conservait nul s
ersonnage et sur le discours qu’elle lui tiendrait. Toutefois elle ne parlait pas ; mais ses gestes et sa physionomie étaient l
une grâce admirables : je m’assieds à mon tour près d’elle, et je lui parle à l’oreille d’une voix assez forte; mais elle ne
ma demande, le préfet applique la sienne ; pas de sensations; il lui parle alors avec bonté ; elle sourit, s’enhardit, lui e
tirage du contingent de la commune , son impossibilité (1) Il sera parlé de ce moyen plus loin. (2) Il faut nutor quo le
réserve extrême. Rentrée chez elle , le somnambulisme cessa; elle ne parla plus de cette soirée. Un autre soir, son impati
ont elle se dit pénétrée pour guérir les maladies les plus incurables parle simple toucher. Ses traits réguliers sont relevés
n’est pas uniquement moral ; il y reste encore, s il m’est permis de parler ainsi, un mélange d’influence organique directe q
paroles. Lorsque l'esprit est désincarné depuis plusieurs années, il parle volontiers par tableaux qu’il fait passer devant
s : je résolus d’en vérifier par moi-même la réalité, et je commençai parles plus simples. Le résultat de mes expériences, en
s clairs et les mieux développés, je m’avançai dans cette voie tracée parles auteurs, et grâce à ces guides et aux efforts de
produits par le magnétisme animal ; mais ceux mêmes qui m’en avaient parlé me l’avaient représenté sous de telles couleurs,
plantes , des animaux , ainsi que celle des astres. Je'découvris, parles sensations qu'elles ressentaient, que les êtres o
pelle le don des langues, c’est-à-dire la faculté de comprendre et de parler des langues non apprises, ce qui, comme on sait,
e recourir à ir.i démons ou autres esprits. Quant à la faculté de parler des langues non apprises, l’auteur ne l’admet pas
passifs et servent à la manifestation des pensées d'autrui ; le sujet parle et écrit, mais c’est un Esprit qui parle par sa b
pensées d'autrui ; le sujet parle et écrit, mais c’est un Esprit qui parle par sa bouche, qui écrit par sa main ; l’Esprit a
ut de dix minutes,-ainsi que le constata le médecin présent,—l’enfant parlait ! ! ! Plusieurs mois après, quelques petits symp
assez connu ici, même de plusieurs médecins, si vous croyez devoir en parler dans votre cours, monsieur le baron, il ne pourra
,, M’y aurait-il pas malentendu? Les médecins homœopa-tlies qui ont parlé à M. Petit-d’Ormoy n’ont-ils pas voulu dire seule
ours, que les corps savants sont hostiles au magnétisme. A proprement parler , cette assertion n’est vraie que de l’Académie de
ers du magnétisme. Dans ce chapitre, l’auteur ne se borne même plus à parler des effets médicaux de cette, sorte de. somnambul
urant laquelle le malade tout à la fois gesticule, se promène, écrit, parle , fait des vers, chante, danse et devient presque
a sommation se divise en sommation spontanée et artificielle. Nous ne parlerons que de la dernière. « Par un examen sévère et e
n spontanée, mais cela sort du cadre que nous nous sommes imposé; 11e parlons que du magnétisme. « Quant à la cause prochaine
n’est pas en les envisageant sous ce dernier rapport'que l’on pouvait parler de ces matières à l’institut. Cependant il y a un
de l’esprit humain/ Cependant, quelle que soit la manière dont on en parle , n’est-ce pas déjà, aux yeux d’un philosophe , co
mblent à des aveugles dissertant des couleurs (nous 11e voulons point parler ici de M. Maury, dont nous estimons trop l’immens
nous allons eu reproduire un des passages les plus curieux. L’auteur parle de la lutte du christianisme et du paganisme, fai
je venais de justifier toutes mes affirmations. En terminant, dois-je parler d un pharmacien, juif d’origine, qui avait apport
ogue empoisonnée et détruire ainsi la croyance au magnétisme? Dois-je parler de deux autres de ses confrères qui, d humeurplus
elle-même les trois paissances, sentir, connaître, vouloir. — Mais ne parlons ici que du sens. « L'âme se sent. Elle sent trè
toute cette immensité qu’elle est. Elle sent cette possibilité, dont parle Bossuet, d’être rendue conforme à tout. Elle
Elle sent cette prodigieuse essence, pleine de germes, dont Thomassin parle ainsi : « Germes d’idées mêlés à notre essence, à
ret et incorporel. Mais ceci rentre déjà dans le sens divin dont nous parlerons ci-dessous. « Que dire de ce sens obscur, ineff
essaire d’ajouter deux points fort importants, peu connus, et dont ne parlent pas d’ordinaire ceux qui étudient l’âme. « Ceux
Ils n’admettent pas ce mot de Joubert : « Les idées claires servent à parler ; mais c’est toujours par quelques idées confuses
ents constitue l'état vrai de l’homme : état très-rare pour nous, qui parlons ici, et rare aussi, nous le croyons, pour la plup
on prochain comme soi-même. « D’ordinaire, ceux qui analysent l’âme parlent bien peu de ce sens d’autrui : on ignore même des
s étoiles tomberont du ciel. » — Plus tard, de savants astronomes ont parlé clans le môme sens, Leibnitz entre autres, qui a
ritual Telegruph, qui semblent tellement convaincus du succès, qu’ils parlent déjà de reprendre cette affaire à la Compagnie. M
eil. Nous ne comptions pas sur un aussi grave témoignage. Lorsqu'il parle des effets de l’ivresse, de la passion, de l’enth
ans les détourner de leur signification? Enfin, la personne dont il parle qui, dans les états de crise, semble transformée
es influences extérieures, puisqu’elle sent, conçoit, imagine, pense, parle , désire et veut, comme les rêves le prouvent. D'o
que les enfants qui n’ont pas encore la conscience du moi, elles parlent d elles a la troisième personne; quelquefois même
n’est appelée je ou moi ; mais c'est l’âme qui voit l'autre et qui en parle . Voilà encore une face de la vie transcendante ou
., et on verra dans ces faits autant de preuves de cet état dont nous parlons , qui s’est manifesté de diverses manières dans to
dans tous les temps, et que la psychologie doit chercher à expliquer parla méthode transcendante, puisqu’il échappe à la con
consciences et par conséquent deux moi qui se voient objectivement et parlent l’un de l'autre, comme s’ils étaient deux personn
n d’amertume ou de bonheur. Dans cet état, elle ne peut ni penser, ni parler , ni agir, elle n'a point l’esprit présent ; elle
ice à l'E-vangile et à son Auteur; ils avouent que Jésus a vécu, agi, parlé , souffert comme nos quatre Evangélistes le racont
elligence, qui a provoqué de longues recherches, et dont on a souvent parlé en dehors de la consultation spiritualiste. Dans
r était complet. « Alexis, prenant ensuite la main de ma femme, lui parla d’événements passés et notamment de la perte bien
er la fameuse cravate rooirequi bien souvent manque son effet. Maison parlait beaucoup et l’on agissait peu.'Cependant, dans le
il vint àTuft*8es joueurs -la bizarre fantaisie d’interroger le sort parla voie des cartes, et de jouer à l’écarté, et au de
oa regrettera amèrement cette faute de la science. Mais nous devons parler du banquet, et faisant trêve aux chagrins que nou
s dans le chaos à l’état neutre ou cataleptique peuvent en être tirés parla volonté du déicule terrestre qui peut également p
et ayant à peine conscience de ce qu’elle fait. « Quoique intimidée parla présence detantde personnes qui ont les yeux braq
ier jusqu’à quel point les anciens auteurs étaient sincères quand ils parlaient des oracles avec Respect. Il en est parmi eux qui
erver que, les faits étant supposés exacts, ne pourraient s’expliquer parle procédé de M. ScliifF. Ce docteur et ses partisan
au magnétisme artificiel, M. Guislain proposa de réveiller la malade parles moyens ordinairement employés pour éveiller les m
s moyens ordinairement employés pour éveiller les magnétisés endormis parle mesmérisme. Je m’appliquai donc à faire des passc
m’appeler ; elle était tout à fait sourde à la voix dte‘ ceux qui lui parlaient . Elle était d’une agitation indicible lorsque je
au ce vaste sujet, mais seulement d’ajouter quelques traits, ou, pour parler plus simplement, de reproduire sur ce sujet quelq
a cour et lui demanda ce que faisait lord Leicester au moment où elle parlait . Le docteur montra sa pierre polie à la souvera
s adversaires actuels de M"' Berney se trouvent deshomœo-pathes. 11 a parlé des séances de Mongruel et du chanteur pétrifié p
d’orties mr l’ipiderine. Ayant quitté la main que je tenais pour parler avec les médecins, ils me prièrent de lui adresse
ite santé ; mais, co nme j’avais eu soin de recommander de ne pas lui parler de ce qui s'était passé, elle n'éprouva aucun emb
s cures que j’ai eu le bonheur de faire à l’aide du somnambulisme, je parlerai moins ici d’un traitement qui a été prescrit par
vue rétrospective. «Voyons d’abord quel est le sujet dont j'ai à parler , et ensuite comment il est tombé dans le somnambu
bien des faits plus étonnants les uns que les autres. [ « Avant de parler du fait qui doit être et sera le principal sujet
lité de la consultante qui avait pris des détours pour l’éprouver, il parla de lui-même et avec tant de volubilité et de just
elle réunion. Dans la séance où a eu lieu le refus dont je viens de parler , on a fait aussi l'expérience par l'alphabet, que
nécessaires au bonheur des hommes ? Oui, il en existe, et la nature a parlé depuis longtemps ; mais qu’a-t-on fait et que fai
et plusieurs autres personnes. La noctambule, tout en travaillant, se parlait à elle-même ; quand on la questionnait, 011 éprou
ier, un instant après, qu’il y eût du monde dans la salle, et elle se parlait à elle-même comme si elle eût été seule. A la f
e. J'appelai de leurs noms chacune de mes sœurs; mes sœurs se prirent parla main, sans me répondre. Puis tous se rassirent.
e chiffre 2 multiplicateur. Tout s’est trouvé conforme. « Nous ne parlons pas ici des tours de cartes qui sont aussi mervei
Nul savant n’a osé aborder cette étude ; très-peu d’hommes môme osent parler de leurs rêves, et pourtant ils décèlent une vie
parfois révèlent les faits de l’avenir. Nous louons M. Conrot d’oser parler de ce qui lui est personnel. Puisse-t-il être imi
nonçaient la résidence de Gand que je ne connaissais pas alors ; j’en parlerai plus loin. Je vais parler de Schleifmuhl, à une l
nd que je ne connaissais pas alors ; j’en parlerai plus loin. Je vais parler de Schleifmuhl, à une lieue de Luxembourg (au del
nous reçoivent; je venais pour teñirles écriture^, « et non pas pour parler de galanterie, je faisais le sourd; en-ii fin, fo
un caractère à ne pas être heureux sur terre. Comme l’amie à qui elle parlait ainsi lui disait de ne pas penser à de pareilles
maniant familièrement sans que jamais un d’eux en fût mordu. Pline en parle ainsi : Crates de Pergame dit qu’en Hellespont, à
incontinent, ce qu'ils ne faisoient aux autres. » Puis, après avoir parlé des Marses et des charlatans qui trompent la créd
ur la scène. • Le lendemain, se trouvant suffisamment rétablie pour parler , elle fit appeler le régisseur et lui demanda qui
ir nul compte de la quantité, qui s'exprime par le temps et l’espace, parla proximité ou la distance, mais seulement de la qu
nfant le plus petit. Ses yeux se remuaient pt ses lèvres paraissaient parler , mais elle ne disait rien. La bonne se montra prê
que madame Golïe était à la dernière extrémité et qu'elle voulait lui parler . Elle alla donc à Mailing le même jour, et la tro
rappela les parole« de la bonne ; car jusque-là elle n’en avait point parlé , croyant qu’il y avait en illusion de sa part. Th
il y a de quoi convaincre bien des incrédules. A qui couvient-il.de parler «tid’agir au nom du magnétisme? Evidemment cette m
leversent tout; chaises, meubles, poteries, objets divers sont remués parles invisibles. Cent témoins ont vu ce tumulte, quelq
;i de fer. — En 18&7- 1838, à Fischbacà, dans le Luxemboorg, on parlait des chemins de fer : nous pensions, comme beaucou
sont maintenant acceptées par tout le monde. Non-seulement »m journal parle de la puissance magnétique sans crainte des raill
ré, la vie so manifesta de nouveau et bientôt même la jeune fille put parler . Alors elle rendit compte de tout ce qui s’était
exagéré. Depuis ce temps, son esprit e«L singulièrement, altéré. Elle parle de tuer son père et sa inèrc, et même elle s’est
rtance. L’honneur de la découverte revient à celui qui le premier fit parler un muscle quelconque. Eh bien ! M. Schilï lui-mêm
uestions inconnues du médium, ou bien invitez l’Esprit à s’entretenir parle frappement de coups au fur et à mesure que vous p
édaction ■ vait donné, je l’avoue, beaucoup de tablature, je veux parler de Y écriture directe par les Esprits. Le phénomè
veiller le sujet? Ici commence la gravité de l’alTaire. Laissons donc parler la science. Deux docteurs ont été appelés comme e
, on devrait tout simplement en convenir et se récuser, plutôt que de parler à tort et à travers en relatant des opinions tout
ttre le magnétisme ou fluide magnétique. » Attendons que l’oracle ait parlé , et gardons-nous bien de devancer son jugement so
s on meurt de la guerre sans aller à la guerre ! » J'ai voulu lui parler , me soulever, courir à elle; elle s'est reculée!
ait pour être en état d’évoquer les morts, de les faire apparaître et parler à son gré. Plus habile, en fait de mise en scène,
nait de descendre, il laissa le jeune homme dans son cabinet sans lui parler ; maisquand il fut en haut, il l’aperçut à table a
ter l’escalier, et passer à côté de lui d’une manière naturelle, sans parler de l’inconvenance qu’il aurait commise en agissan
t que si elle en pouvait boire, elle dormirait, et elle ne cessa d'en parler pendant tout le jour le 13 décembre.» Le lendem
lendemain. Depuis le 4h jusqu’au ’21 décembre, elle resta tranquille, parla peu, mais soupira beaucoup et ne demanda plus son
et fait encore des systèmes aussi erronés que ceux des anciens. Je ne parle pas de ceux qui, niant un Créateur, pensent que l
du «côté de lui-même. L’une vous est connue par vos propes « sens et parles instruments dont la science a doué l’œil de « l’h
e, et proposer d’enfermer comme fous ceux qui croient que Dieu leur a parlé (p. 129), ce qui comprendrait tous les prophètes,
courent le danger de voir leur sang se figer dans leurs veines. Je ne parlerai pas davantage de l’influence que peuvent avoir le
sang, par suite de l’acide carbonique exhalé et de 1 oxygène absorbé parla respiration, est devenu négatif, il se trouve rep
rès-obscur et très-controversé qui se rattache à ce symptôme, je veux parler du déplacement des sens et en particulier du tran
délayé dans de l'eau. « M. Moreau (de Tours) demande si, lorsqu’on parlait à l'extrémité de la chaîne en communication avec
précieuses indications. Dans le rêve, en effet, c’est l’instinct qui parle . Ceci me rappelle une observation que je vous dem
ompte une foule d’adhérents. (1) Nous pensons que M. Ferrus a voulu parler de l'emploi de la lucidité des somnambules, et no
c la nature elle-même, et opérer d'aussi grands prodiges qu'elle : il parle par exemple, et sa voix peut être instantanément
is bien loin d'avoir la certitude que ce sont les morts qui m’ont parlé , mais je le voudrais de tout mon cœur. Excepté la
ourrier du Havre : « M. Home, le célèbre médium, dont il a été tant parlé 11 y a deux ou trois ans, et qui avait été à peu
à cette séance, non-seulement évoqué les ombres, mais il aurait fait parler de la façon la plus étrange des personnages morts
ette soirée était encore sous l’impression qu’elle avait éprouvée, et parlait de l’étrange influence du médium dans des termes
ement piqué la curiosité générale. M. le docteur Clever de Maldigny parle dans le Journal du Magnflisme, t. .W, p. 72, d’un
ser par Paris. L'autre soir, dans un salon de la Chaussée-d’Antin, on parlait magnétisme. Lord Brougbam a déclaré qu’il croyait
it, la sueur perle sur son front... Enfin, elle fait des efforts pour parler , elle balbutie, elle bégaie. « C’est..., dit-
it une persécution chrétienne pour l’an 1792. La persécution annoncée parle grand astrologue devait au contraire durer n jusq
r ainsi dire, les entraves qui la rattachent à l’organisme ; ou, pour parler d’une manière moins métaphorique, sa sphère d’act
nétisme animal. Ce n’est pas un initié aux mystères du magnétisme qui parle , mais un ancien praticien qui, dans un état déses
t à la peau, la respiration rede- vient normale et la malade nous parle . Nous laissons couler 7 à 800 grammes de sang et
distance supposée de l’origine du son peuvent être imitées simplemént parles variations dans l'intensité du son, pourvu que ce
e dans mon ouvrage de la Thérapeutique divine et humaine. Ces dessins parlent d’eux-mêmes ; pour tout magnétiste, il n’y a pas
ène étrange, un phénomène tellement étrange, que j'ai besoin, pour en parler à l’Académie, de prendre quelques précautions ora
il annonçait la publication d’un ouvrage sur le magnétisme, et où il parle des expériences dont il a été témoin en Angleterr
orsque la connaissance de ces faits a été popularisée pour ainsi dire parles magnétistes, faute de pouvoir les faire accepter
e, et en fait sur l'afflux au cerveau de la vitalité propre du sujet, parla concentration de son esprit. Cette sorte d'abstra
idère combien la clairvoyance est fréquente à l’état de veille ; sans parler des prophètes et autres voyants de l’antiquité, n
a môme chose, sous des habits différents empruntés aux Grecs. Ne nous parlez donc plus du somnambulisme, mais de Yhypnobase ;
cher certains magné-tistes qui ne veulent absolument point qu’ôn leur parle d’Esprits) ; n’y eût-il, dis-je, que cela, les ma
ion et fait le reproche de ne pouvoir montrer aucun des faits dont je parlais Cette accusation a même pris la forme d'un défi d
e du reproche de manque de mémoire. Quand, dans mon argumentation, je parle de M. Morin comme d’un écrivain spirituel, plein
508, 587 ; — qui se mettent en contact avec des personnes, 383; — qui parlent , 384, 490, 508: — qui se laissent saisir au dague
9 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
l s’adresse en français aux corps savants et au public; à Londres, il parle en latin TOME Vin. — N" Si. — 10 JANVIER 1 au c
n article intitulé ide VEther et du Chloroforme, dans lequel l’auteur parlait du maguétisme de façon à montrer combien il était
sa rareté même, perdre beaucoup de son prix. » Le fait dont on veut parler est l’opération d’un cancer au sein , faite en 18
ncer qu’il ne s’en est produit qu’un exemple en soixante ans. Je ne parlerai pas de moi, et pourtant j’aurais plusieurs cas d’
Gibon, devant quatre témoins. En mai 1846, dissection et excision, parle Dr Loysel, d’un paquet de glandes dégénérées, don
nt nous sommes spiritua-liste, et, bien avant M. Cahagnet, nous avons parlé de l’immortalité de l’âme en termes qu’aucun croy
parallèle entre les visions des lucides de M. Cahagnet et celles dont parle l’Écri-ture? Ont-elles même rien de commun avec l
lucides de M. Cahagnet? Quant à ce qui m’est personnel, et dont j’ai parlé précédemment (tome YII, p. 89), la vision a été f
des âmes évoquées ne savent plus rien en revenant sur terre; si elles parlent aux lucides, c’est en patois parisien. Deleuze, l
idence. C’est en étudiant surtout avec soin ces voix mystérieuses qui parlent parfois à l’âme des voyants, et qui, dans beauc
si peu de chose de la science antique, que je n’ai point le droit de parler de mes œuvres avec vanité. Le6 sciences mortes
s connaissances au premier venu? Non, il ne serait point compris : il parle une langue étrangère. Vous le voyez, magnétiseurs
plus de ressources, et se sont retirés abandonnant le malade, qui ne parlait plus, et respirait à peine. « M. le curé est ap
er la guérison qu’un an après : l’air de santé de la personne dont je parle venait à l’appui de son aveu, constatant que du l
nconséquence au manque d’égards. Puisque l’occasion se rencontre de parler de M. Cahagnet, saisissons-la pour en finir avec
un objet magnétisé, avec un orateur, pour qu’à l’instant où celui-ci parlerait , son discours et ses mouvements fussent traduits
ne supposition gratuite ; mais le Télégraphe traumatique, dont il est parlé ci-après, lui donne un haut degré de vraisemblanc
très-rare; cl le m'a annoncé la mort de doux personnes, et je vous parlerai de celte prévision dans quelque temps. Elle demeu
été rien écrit dans les autres langues. L’active propagation faite parles sociétés magnétiques de Paris et de Lyon au moyen
étisé, et un sommeil de vingt-quatre heures, interrompu fréquemment parle réveil spontané, triompha totalement de cette inf
énomènes offerts par les deux Smyrniote9 dont nous avons précédemment parlé (Voy. t. II, p. ooo). Il en viendra d’autres plus
que le litre et la forme du savant. Ah! monsieur Roger, comme vous parlez bien! qucvous savez de choses ! combien nous somm
tait pas encore présenté dans ma pratique mesmérique à Calcutta. Je parle de l’invasion de l’état de veille par l’état de s
core endormie ; mais elle s’éveilla quand je la touchai et que je lui parlai . Elle me dit qu’elle avait eu un sommeil rafraîch
étiseurs italiens : vous en connaissez quelques-uns. Ainsi je ne vous parlerai pas du Dr Poeti, de Turin, dont votre journal a a
idées en m’ef-forçant d’être concis; mais je sais d’ailleurs que je parle à une intelligence qui n’en saisira pas moins au
i bien que l’homéopathie. C’est ici, peut-être, que je devrais vous parler des expériences magnétiques tentées dans les conf
chacun sa tâche avec bonne volonté. La Société dont je viens de vous parler , ou, je dirai mieux, le Comité qui en est la part
sont presque réguliers. Du i3. 11 peut se mettre sur son séant, et parler assez distinctement; il a repris l’usage de la ja
ste insensé pendant huit ou dix jours. 11 devient souvent violent, et parle avec incohérence. On le mesmérisera une heure p
s, chaque magnétiseur ambulant se vantait d’en avoir fait entendre et parler pour le moins une demi-douzaine. Mais qu’importe,
al, ne demande pas mieux que de voir pour croire ensuite. « Je vous parlais dans ma dernière d’une famille de médecin, espr
’est produit à la tribune législative. Les journaux du 20 décembre en parlent dans le compterendu de la séance de (’Assemblée c
eurs œuvres de critique un cachet que nous réprouvons. Ainsi, pour ne parler que du fait qui nous concerne, le magnétisme, ast
s plus tôt rendu compte de sa brochure, et nous n’en aurions même pas parlé , si notre Journal n’était pas le Moniteur du magn
qui a joui à certaine époque d’une immense réputation : nous voulons parler de la trunsphintalion. Ce n’est pas la rénovati
éments suffisants pour appuyer nos convictions à cet égard. Nous ne parlerons pas de la propagation de ces hideuses maladies d’
yeux. 11 fait partie de la double manifestation de la vie, dont nous parlons plus haut. Des communications s'établissent avec
e furent point résolues; mon sentiment ici n’est rien, les faits vont parler d’eux-mêmes. Opération. Par un acte de mon en
fondir, de profiter de ses dires. Inconnu, sans titre officiel pour parler au nom de la science, je me suis tu jusqu’ici : a
moi, et puis vous prononcerez. Dans le mois de décembre dernier, on parlait de la présence du choléra à Paris ; je consultai
mais prière plus légitime que la mienne ne leur aura été adressée; je parle au nom des victimes qu’a faites et que peut faire
ellement cache à tous les yeux : le naturel vrai de l’être. La nature parle par les organes, et non plus d’après les convenan
es doutes sur la natnre de la cause des perceptions dont je vais vous parler . Je ne croirai d’une manière absolue que lorsque
s besoin de bandeau , ¡1 en faut un sur la vue du vulgaire. Mais, que parlé -je de sagesse ; en est-il aujourd’hui chez les ho
veau, déterminer un somnambulisme magnétique. Bientôt la dormeuse eût parlé d’elle-même, révélé les causes de sa maladie, et
ration, J. DARRIBES. CATALEPSIE. Nous avons déjà plusieurs fo¡9 parlé , d’après tas feuilles de Nantes, d’un cas extraor
tre concours, écrivez tandis que nous produirons. Et pendant que nous parlions ainsi, l’article qu’on va lire s’écrivait. La pré
, alors! Ce n’était plus cette jeune fille presque vulgaire dont j’ai parlé : elle était transfigurée!....... Ses formes ph
s Etudes, l’auteur croit prouver, à l’aide de moyens dont nous allons parler , que le choléra est dû à un défaut d’équilibre da
ectricité positive ou négative (i). » L’instrument dont on vient de parler est bien la baguette divinatoire, la baguette de
tée par un plusgrand nombre de médecins que celle dont nous venons de parler , savoir l’intoxication de l’organisme par un poi
sme pendant de longues années, de tous ceux à qui la nature refuse de parler . Je ne veux point rester comme un homme qui, ayan
de recueillir des bravos. On est toujours sûr d’intéresser lorsqu’on parle de l’inconnu, quand il s’agit du merveilleux ; et
a timidité à écrire. J’ai souvent cherché à les stimuler ; mais s’ils parlent peu, ou plutôt s’ils n’écrivent pas, je vous assu
ans ; c’est au point qu’aujourd’hui les médecins souffrent qu’on leur parle de cet animal de magnétisme (j’entends les médeci
lade depuis cinq ans, et que des médecins voulaient faire voyager. On parlait d’hypertrophie du cœur, à l’endroit duquel on voy
é le moyen de faire « des somnambules qui ne mentent jamais; qui ne « parlent point à vide, qui ne cherchent point à de-« viner
ersonne » (le malade qui nous occupe); et, dès cet instant, je ne lui parle plus. Quelquefois son nouvel état l’absorbe si
t impuissante à traduire vos pensées, car mon désir est sincère. Pour parler dignement de Mesmer, il faut une haute intelligen
n'est pas lucide; Eli non, non, non, Le sujet n’est pas bon. ( Parlé : ) Consultation de Mme lAmide : dix francs la sé
sc consolide : A qui doit-on l’honneur D'un progrès si rapide ? ( Parlé :) la Somnambule. * C'est aux médecins! » ( Chanté
e le fluide, Prendra-t-on, dites-moi, Monte Cristo pour guide 1 ( Parlé :) la Somnambule. ■ Oui. » — Eh non, non, non .
vec marn’ Aristide, Lorsque le mari sort, Lisent-ils l'Énéide? ( Parlé :) la Somnambule. • Ils lisent l’Énéide. » — Eh
nt Thiers est lo séïde, Hencontre-l-on chez eux line vertu rigide? ( Parlé :) la Somnambule. « Mais, oui! » — Eh non, non,
tenir en bride, Est-ce par les rigueurs Que leur sort se décide? ( Parlé : ) la Somnambule. « Mais, oui ' » Eli non , no
ise que M. du Potet som-nambulisa à Saint-Pétersbourg, et dont il est parlé tome Ier, page 544 de ce Journal. — Nous avons
uments les plus vieux toutes traces de croyances; et, si la pierre ne parle plus à vos sens, vous retrouverez en vous-mêmes l
maintenant de son état une élude sérieuse. C’est un événement dont on parle dans tout l’hôpital. Revue des Journaux. — C’es
traitement selon la lucide de M. Cahagnel. — i.'Estafette du 26 mai parle du commencement do résultat obtenu par la magnéti
s remèdes les plus ignorés en même temps que les plus efficaces; font parler des langues qu’on n’a jamais apprises, mettent à
nscient : l’hémor-rhagie ayant amené le délire. Je défendis qu’on lui parlât . Quand je revins, à quatre heures, avec M. Kemp,
ule sur les sujets relatifs à la vie future. Afin que ce monsieur pût parler avec la plus grande facilité, je le mis en rappor
e était belle, elle était semblable à une inspiration. Le jeune sujet parla de la nature immortelle de l’âme, de sa béatitude
nt. Souvent il regrettait les erreurs de ses heures de la veille , el parlait de son état naturel comme d’une existence excepti
n du plus profond chagrin ; tellement , qu’il semblait hors d’état de parler . Quand je lui eus demandé la cause de sa tristess
n je le regrette profondément! » Rendu à son état de veille , il rit, parla , et parut tout indifférent que de coutume. » /^T
, et d'un chatouillement dans les narines. Le médecin dont nous avons parlé remarqua, en plaisantant, qu’après tout, le docte
uteurs modernes traitent la question; presque tous, il est vrai, n’en parlent encore que vaguement : les uns par calcul, les au
e l’Université de Berlin, l’un des savants les jJliis renommés qui va parler . Dissertant sur la forme vitale, il dit (page 2
on de ce terrible problème : le traitement du choléra!____ Quand je parle de machines naturelle«, on comprend que je fais a
selon les besoins de la nature !.... Donnons à la chose son nom : je parle du magnétisme, de cet autre lluide analogue au ll
cès ; mais, comme je n’ai pas eu le bonheur d’en être témoin, je n’en parlerai pas autrement. Je me contenterai de dire que puis
prérogatives et de ses phénomènes les plus merveilleux. Nous voulons parler de ceux qui résultent du pouvoir, de la dominatio
tes deux jusqu’aux dernières limites, il est bien entendu que nous ne parlons pas de cette puissance d’un ordre inférieur qui a
endant ce temps que l’action s’est le plus développée. Est-ce, enfin, parla communication de la pensée ou du sentiment? Pas d
les fous, les muets de Bellecombe. Chacun voulut tenter de les faire parler ; questions, prières, menaces , violences, tout f
et le descendit dans un puits dans l’eau jusques au menton. Si tu ne parles , lui dit-il, je te noie. L’autre resta impassible
ue l’absenco de l’influence du frère ainé surtout, finirait par faire parler quelques membres de la famille. On conduisit les
nnées de séjour ici, souvent fréquenté nos séances; et s’il n’a point parlé du magnétisme dans cet écrit, c’est qu’il ne l’a
l'entraînement devint mémo si général, si impérieux, que Mesmer ayant parlé de quitter la France, le gouvernement s’en inquié
ui , et dès la première fois somnambule. On s’aperçut bientôt qu’elle parlait en vers, et, comme cela contrastait avec son igno
S FLUIDES CONNUS? 11 y a peu de choses, peut-être, dont on ait tant parlé sans rien conclure, que du mesmérisme. A peine ét
’ouvrage des chercheurs du mesmérisme, nous avons cru bien faire d’en parler , et de nous arrê-réter plus particulièrement à fa
électricité et le galvanisme, qu’elles s’en rapprochaient encore plus parla base de l’agent. Mais après avoir, comme vous, fa
ience» médic., t. 24, p. 1G. (2) Observations, p. 47. Ilippocrate parle , en scs Aphorismes, de l'in-Uuencc avantageuse qu
fluide nerveux, qüi peut s’arrêter et amener la mort. • Fieniis (i) parle d’un malftiteuf qui, conduit à l’échàfhild, tadÜt
hez lui les organes de la parole. L’histoire atteste qu’il continua à parler . Péklin cite l’observation d’un homme qui fut
e qui s’en est mêlé, les plus sages n’y ont pas moins donné. » Nous parlerons peu des propriétés merveilleuses que les anciens
Y envoûtement , etc., ne méritent pas d’occuper notre attention. Nous parlerons seulement de deux remèdes fort anciens, qui ont j
. Porta adopta cette doctrine. Quelques faits extraordinaires, dont parlent dans leurs ouvrages Santanelli, VanHelmond, Maxwe
aitement, en admet l'influence salutaire. Nous nous abstiendrons de parler de toiltes ces inventions auxquelles la superstlt
e, un article qui semble fait à Paris , dans lequel il est longuement parlé de somnambulisme à propos des événements de la Ho
et 11 août, analysant le livre du somnambule américain, J. A. Davis, parle du magnétisme ironiquement. — Le Charivari, du
le permit qu’il y eut des insensés. « Nous n’avons point ici à vous parler de doctrines : mais à vous entretenir de brillant
t dit ; elle soutenait qu’elle avait fort bien dormi, quoiqu’elle eût parlé souvent pendant quatre ou cinq heures, presque sa
orps des (1) Voy. Traité du Magnétisme, et Traité du Somnambulisme, parle D1 Bertrand, ainsi que l’ouvrage cité de Carré de
rveux, que l’on observe chez la plupart des somnambules. Nous avons parlé de l'invulnérabilité du corps des extatiques ; ce
nous aurons fait aux autres. Messieurs, toutes les œuvres dont nous parlons , méconnues par le pouvoir, n’ayant souvent pour t
sous vos yeux une longue liste de propositions ; mais, M/* pressé parle temps, voulant ne pas différer davantage cette so
dont la simplicité de cœur n'était égalée ou surpassée peut-être que parla bonté, dût à la beauté de son âme, aux soins de P
nstruite par Puységur, elle se trouva ensuite guidée dans sa carrière parles conseils d’un éminent magistrat consulaire dont l
tés et de sa clairvoyance. Chronique. —M. le D' Ducros, dont il est parlé dans nos derniers numéros, vient d’être emporté p
’est cette prospérité qui a déterminé le changement de lieu dont nous parlons ; le local que la Société occupait rue Saint-Honor
un nouveau monde. Vous ne comprendrez rien à notre langage; car nous parlons une langue qui vous est étrangère : pourtant c’es
frappés de vertige, et sont pour nous comme ces aveugles-nés à qui on parle de la lumière du jour, des beautés de la nature q
os enfants le feront un jour. Mais, que suis-je moi-même, pour vous parler ainsi? Rien, ou presque rien; car j’ignore ce que
us signalant ces vérités en l'honneur de l'adepte zélé pour lequel je parle , que j’espère vous fournir l’occasion d’un acte d
voir dans ce moment là ; il me fallait attendre. Un de mes amis me parla de M. de Rovère, je me décidai à l’aller voir. Il
re, n’indique la source où il l’a puisée. «......On n’entendit plus parler de Mesmer « qu’à l’époque de sa mort, arrivée d
qui voient sans sourciller ces affreuses horreurs ! Ose maintenant parler d’âme et de facultés divines ! Ose soutenir que c
ine, qui, en même temps qu’elle purifie le corps, fortifie la pensée! Parle d’une philosophie douce et consolante, qui porte
sse de côté son instinct pour écouter la voix non moins puissante qui parle en lui. 11 n’est pas le maître de son inspiration
n contraste choquant, la nature produit des hommes à esprit faux, qui parlent el agissent comme s’ils avaient la vérité. C’es
ils leur donnent pour pâture leurs propres erreurs. Ah! si j’osais parler de moi! de ce qui m’est personnel ! de mes propre
ble, si toutefois il n’y a pas guérison. Aussi, dans le cas dont nous parlons , espérant beaucoup, je continuai environ un moi
extatique de A. 3. Davis, ce somnambule amé- ricain dont on a tant parlé ; de celui de la célèbre voyante de Prévorsl, ains
rtier en celles de M. Mongruel. — Le Courrier du Hâvre des 6 et 20, parle des mêmes faits que son confrère. Ces deux jour
om, était inconnue au monde. » L’état de cette double faculté, pour parler nette- (1) Dans la vie spirituelle, l’âme perço
hées, et connues seulement de Dieu. Quand, après cela, je commençai à parler aux esprits, j’étais indigné de ce que je ne pouv
10 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
au large! et vous traiter en ennemi, absolument comme si vous alliez parler de liberté en Russie ou de christianisme à Canton
rait-il en imposant les mains? 11 ajouterait au trouble. Je ne vous parlerai point non plus du médecin, qui chaque jour ordonn
purge tour à tour sans se soucier de la vie de ses malades. ' Yous parlerai je de la profession magnétique qui commence à s’é
e? Hélas! il est en vous; évoquez-le afin qu’il vous éclaire; il vous parlera en faisant naître des instincts dont vos esprits
un instant pour émettre mes pensées. Dans ma dernière lettre, je vous parlerai sans voile et sans allégories. (La tuile procha
amener une attaque. Il ne lui restait en effet aucun souvenir d'avoir parlé pendant son sommeil. Alibcrt dit que cette observ
«Voilà assurément l'exaltation mentale la plus inouïe dont il soit parlé dans les annales de la psychologie humaine. Quoiq
TES. SOCIÉTÉ DU MAGNÉTISME DE PAB1S. Nous avons omis jusqu’ici de parler d’une société établie à Paris en 18i2, comme la c
mme il était toujours dans les discussions scientifiques, ou quand tu parlais des Jésuites que lu voyais partout; car tu les dé
crise, qui n’est autre chose que cet effort de la na -turc dont j’ai parlé , pour rétablir l’ordre qui a été troublé. Ce re
ouvait limitée aux nerfs optiques, embrassant un plus petit rayon. Je parle de nerfs optiques, parce que-jc ne mets pas en do
des signes de (été aux questions qu’on lui adressait; plus tard il parlera . Arrivé chez moi, je m’empressai de mettre en p
aissait âgée de quarante ans. Elle alla droit à 1 émir en vue, et lui parla pendant une minute environ, sans doute pour l’ins
e affreuse lumière. — Je suis résignée k tout, s’écria la jeune dame; parlez , je vous en conjure. — Malheureuse sœur, j’aperço
rencontré Irène qu’il aime et dont il se sent indigne, et n’osant lui parler , il a osé bien davantage: il a tenté sur elle une
ier sa fille avec le comte Annibal, le mauvais sujet expert dont nous parlions tout à l’heure. Déjà même on est allé à l’église
che, à propos des opérations qui se font pendant l’ivresse éthéreuse, parle également de l'insensibilité magnétique. Elle pro
s idées. — Dans le Siècle du 8, M. Pierre Durand, à propos d’Irène, parle du magnétisme comme un dévoué partisan. Ce feuill
es yeux sains (I), pour s’assurer de la sensibilité de la rétine, ose parler de moralité. — L'Abeille médicale, dans son der
§ II. — Lyon. (Fin.) Mes chers élèves, je vous ai bien longuement parlé , il est temps de conclure; c’est donc lin dernier
re ce journal; car, tout en cherchant à tous inslruire, je puis aussi parler à d’aulrcs hommes qui sont en communion de pensée
en les feuillets sans crainte, et bientôt les docteurs qui l’ont fait parler à leur guise vous inspireront de la pitié. N’espé
e la jambe, la mâchoire inférieure déviée, pouvait à peine manger, et parlait avec difficulté; sa langue se mouvait avec peine,
yante : dans quinze minutes il ouvrit les yeux, et dans vingt-sept il parla pour nie remercier de ce que je lui avais rendu l
nétisme, qoijnsqu’à ce jour n’avait point admis l’étude du magnétisme parla méthode expérimentale, venait de décider qu’elle
oit que son opinion prévaut au dehors, et que, quand l’un des siens a parlé , tout le monde est convaincu. Mais leurs écrits,
as laissé piquer sans se plaindre. Après avoir répondu à VAbeille, il parle de la Mouche en ces termes : « L’autre insecte,
n. — Un nouveau journal de médecine espagnol, cl Te-legrafo medico, parle du magnétisme en termes favorables, et promet de
tion, tous les symptômes du somnambulisme naturel se montrèrent. Elle parla d’une foule de choses incohérentes, répondit cepe
11” Marguerite allait beaucoup mieux, et, dans une de mes visites, je parlai de magnétisme à plusieurs de ses amies qui l’ento
texte et les considérants de cette mesure despotique dont nous avons parlé (t. 111, p. 334), le rapporteur ajoute : « Il n
uverte nouvelle ; voici qui est plus important. «Lorsque nous avons parlé de magie nous en admettions l’existence, convainc
grandes opérations mourir de résorption purulente. A l’Académie on ne parle pas de ces désastres, mais l’humble praticien qui
une scène magnétique. — L’Esprit public du 24, à propos de l’éther, parle des magnétiseurs en termes peu flatteurs. Cette g
e du 18 contient tout entier le rapport du docteur Perdrix, dont nous parlons page 144. — Le Bulletin de thérapeutique, criti
e syllogisme au lieu de regarder la nature et de faire du tout des cl parle essentiellement différents. L’astrologue se dit
ille formes diverses ; lorsque les historiens de tous les peuples ont parlé de son existence, qu’importent les dénégations de
es, murmurant, articulant quelques mots ; et c’est au moment où il va parler que l’opérateur intervient. Mais méconnu d’abord
qui ont marqué dans le magnétisme. — Le Corsuire-Salan des 8 et 1G parle beaucoup du magnétisme, en style plaisant, bien e
ènes électro-physiologiques. Ce n’est point encore du magnétisme dont parle le savant italien; mais l’agent dont nous avons m
ibre, plus animé, et sans qu’elle vous flatte, même sans qu’elle vous parle , plus content de vous-même: cette personne, soyez
inités encore secrètes, ces fluides, lorsqu’ils ne sont point dirigés parla pensée, par l’intention, le vouloir, vont pourtan
tte singulière circonstance, et par égard l’un pour l’autre, ils n’en parlèrent plus. Cependant aucun d’eux ne voyait approcher l
manque jamais de raisons pour lui fermer l’entrée du temple, on n’en parle point; l’oubli entoure son tombeau, tout est fini
e est plongée dans le sommeil magnétique^ elle obéit à l’opérateur, parle , marche, rit, pleure au gré du maître.....La sc
ns le règne et l’étude des sciences occultes. » — Le docteur Pidoux parle beaucoup du magnétisme dans un article sur l’éthe
é depuis lors. N’est-il pas étonnant d’entendre un ennemi des erreurs parler des somnambules de Mesmer? Conçoit-on qu’un homme
e se prit à rire ; mais Joséphine, avec sa grâce eufantine, lui ayant parlé d’une prédiction qui lui avait été faite autrefoi
e tirait parti de la superstition de l’empereur, en lui disant : o On parle de ton « étoile, mais c’est la mienne qui l’influ
it réellement pas? Constant s’est mépris : il est vrai que l’empereur parlait quelquefois de son étoile, mais en plaisantant. A
ités sur cette mesure d’ordre, tout h la fois juste et naturelle! « Parlons du fameux Livre de prophéties de maître Noël Oliv
phine, qu’il savait être très-superstitieuse. Un soir donc il arrive, parle de ses immenses projets, et termine en remettant
celle-ci m’a beau-« coup surpris. » 011 changea la conversation et parla d’autres choses» • A son retour de l’ile d’Elbe
ereur se rappela les coquillages d’Egypte et cette prédiction ; il en parla au colonel Abd.... « Je n’ai jamais voulu rien
y avoir aucun doute à cet égard. « Comme on doit bien le peuser, on parla beaucoup de cette prophétie, qui fut copiée par u
hèque de l’Hôtel-de-Ville. Quand Bonaparte monta sur le trône, on lui parla de celle prophétie; il voulut la voir, et depuis
ranger, où il existe réellement. « A l'occasion de cette visite, on parla de l’affilialiou de Bonaparte à la secte universe
cun témoigna à l’instant le désir de la consulter. Elle était sourde, parlait très-difficilement; son ensemble tenait de l’imbé
tant de zèle. » _ I.a petite Espagnole électrique dont nous avons parlé dans notre dernier numéro n’a pas trouvé grâce de
sent prennent le visage qui sied si bien à leur aplomb, quand on leur parle de végétaux ou de magie pour guérir ; car la prem
t-on résister a la séduction quand l’harmonie qni roule sur nos têtes parle si haut le langage de la divinité? Mais l’athée,
avait jamais démenti ces conjectures, car, comme nous l’avons dit, il parlait très-rarement. Plusieurs fois des âmes charitable
diculc attaché à cette question, et dans maintes occasions il en a parlé favorablement. Le récit qu’on va lire est extrait
es de l'école. Que dire du magnétisme? il y a si longtemps qu’on eu parle sans jamais s’ètre entendu! En Allemagne, on l’él
es magnétiques, et elle put s’endormir au bout de vingt minutes; elle parla , TOME IV.—KO 4«.— 25 MAI 1847. 10 dit qu'el
ous avions reçu des disciples de Mesmer, ces hommes dont nous voulons parler nous repoussèrent et, nous flétrirent. Eh bien, n
temps, plein de feu, de génie. Sans doute, Messieurs, nous pouvons parler des grands hommes, mais les artistes ont le privi
bler la raison, Qu’on s’apprête à punir, qu’on ose, h nos oreilles, Parler d’amende, de prison!... Vous n'avez donc voulu
al archiviste. Ces deux fonctionnaires et le comité dont il va être parlé à l’art. 7 formeront le conseil d’administration,
ettes et des dépenses en général; celles-ci seront ordonnancées, soit parle président du Jury, soit par le président du comit
, chaque année, huit jours avant l’assemblée générale dont il va être parlé art. 22 ci-après. Les archives resteront au bur
ien circonstanciée les faits qui y auront donné lieu, il sera terminé parlas conclusions du comité. Art. I j. — Il esl bien
ers des sortants, pris sur les neuf premiers membres, seront désignés parle sort; les trois membres restants seront renouvelé
Pitié, où elle était traitée pour les accidents dont iious venons de parler , lorsque, à la suite d’une contrariété très-forte
par l’un des moindres résultats du manque de centralisation dont nous parlons : l’ignorance où nous sommes restés depuis deux an
faits se sont produits au sein de la Société depuis que nous n’avons parlé de ses travaux. Un grand nombre de membres ont ét
ympathiques et mé-tastatiques. Nous avons déjà, tome III, page 354, parlé d’un état qui simulait la grossesse, récit corrob
ifier la justesse. HOPITAL MAGNÉTIQUE DE LONDRES. Nous avons déjà parlé du projet de cet établissement philanthropique, à
près la Démocratie pacifique, le résumé des travaux dont nous voulons parler . « M. démens, professeur de sciences naturelles
suites dirigées contre la dame l’onson, somnambule, dont nous avons parlé page 85 de ce volume; il n’en était rien. Elle a
sez oublieux de leur gravité, assez ignorants « de la pathologie pour parler sérieusement de l’ho-« mœopathie. » Puis, pour év
ais capable de dire: C’est un cube? De même on décrit l’hystérie sans parler de l’utérus, et cela parce qu’on n’a rien pour l’
nci science me défend d'éthériser désormais. » Voilà deux faits qui parlent sans ambages, deux faits qui prouvent tout ce que
rire; mais cela m’est égal ; .je crois rendre un service : je veux parler de l’emploi du magnétisme. (Mouvement.) o SI. L
dans celle enceinte se sont très-bien trouvés de ce qui est proscrit parla médecine; beaucoup admirent ce moyen curatif nouv
s l’intérêt des populations. C’est toujours du magnétisme que je veux parler . Je le recommande donc à l’attention de la Chambr
les disciples d'Hahncmann n’ont que peu employé le magnétisme et n’en parlent jamais qu’avec une réserve dubitative ; quelques-
our les quatre cas suivants, au résumé de la correspondance dont nous parlons . A. — Mademoiselle Eulalie de Peindray, paralys
Ces quatre cures ont été obtenues par M. La-caussade, dont nous avons parlé comme fondateur de ia société magnétologique de P
u, l’engagea d’avoir recours il ce moyen. Lui, qui n’avait jamais ouï parler du magnétisme qu’en mal, rit beaucoup de la crédu
touchant les hernies. Il me dit en avoir guéri beaucoup. Alors je lui parlai de ma femme qui en avait une du nombril depuis sa
ant toujours, occasionna il y a sept ans de violentes coliques. On en parla au médecin, qui la déclara incurable, disant qu’i
traordinaire que, dans votre intéressant journal, il ne soit pas plus parlé de cet homme incomparable par son zèle, son coura
e magnétisme est à l’ordre du jour; dans un moment où partout l’on en parle , soit pour l’exalter ou le ridiculiser, pour l’ad
par moi-même le magnétisme, d aulant plus que Rome n’avait pas encore parlé , pour, dans le cas d’existence, l’adopter s’il ét
e toujours! A quoi bonde MESMER combattre la doctrine? L'expérience parle , et la raison s’incline... Le temps a renversé
’affaiblissement ou la surexcitation de l'élément nerveux : le succès parlera bientôt pour leur cause et fera taire ceux qui gl
avez daigné lui consacrer, ces douleurs ont entièrement cessé. Vous parlerai -je de ma mère, qui depuis trente ans était privée
et qui maintenant se trouve soulagée et en voie de guérison ? Vous parlerai -je aussi de ma tante, madame Nodiot, dont l’estom
lisme ; il n’a pas compris que l’âme du somnambule, détachée du corps parla magnétisation, subit les influences de toutes les
s et ne peuvent marcher isolées; c’est pour cela qu’il a entrepris de parler de magnétisme dans un journal d’homoeo-pathie. No
y respirer l’air natal, Elle consulta deux fois le somnambule dont je parlais tout à l’heure, et qui formulait avec tant de pré
qu’un savant; tel était Lysimaqne, petit-fils d’Aristide, qui, réduit parla misère à faire le métier d’oniromanle, se tenait
omère nous dit aussi que les songes viennent de Jupiter. Nous avons parlé des tablettes des songes qui servaient à Lysimaqu
ts pour en recueillir « les oracles (2). » Julien, dans le Misopogon, parle des bonnes vieilles qui sc roulaient sur les tomb
le de décider à quel ordre de ces brigands appartient le barbier dont parle M. Esdaile; cependant tout porte à voir dans ces
isonniers à la barre. L’action fut si prompte, qu’il cessa soudain de parler et d’entendre; mais les personnes placées en face
ès avoir cessé de l’entendre on voyait ses lèvres s’agiter comme s’il parlait encore. Il était si profondément influencé, que l
d’Alexis étaient presque identiques. Alors il me vint l’idée de lui parler du pauvre malade, et je lui demandai s’il croyait
ne ho-mœojHithiipic. — Le New Orléans commércial Time du 20 juillet parle du magnétisme avec beaucoup d’imparlialité à prop
in etl’évèque d’Oxford, s’y intéressent vivement depuis peu. » — On parle de la prochaine publication d’un ouvrage intitulé
énérable docteur Billot : Une exploration du monde spirituel. Nous en parlerons d’une manière plus explicite. PETITE CORRESPOND
aquaient avec force, et les convulsions de ma bouche m’empêchaient de parler ; en vain je voulus combattre le mal et me livrer
e me rends aux faits, et le magnétisme a cela de sublime, c’est qu’il parle de lui-même : aussi la semaine suivante, c’est-à-
ssait en moi en dehors de ma volonté; j’entendais assez bien quand on parlait , mais je ne pouvais vouloir, et une demi-heure ap
vec le même succès que je m’acquitte de la première, dont je viens de parler . Il est vrai que je vois avec plaisir s’augment
e démon a scs ordres pour le faire agir comme il lui plaît. On nous parle des magiciens de Pharaon comme agissant ope demon
quité ; car David dans le Ps. LVII, et Jérémie dans le chap. VIII, en parlent comme étant en usage dans l’Orient et comme une c
défenseur de la religion n’est pas dépourvue de fondement. On nous parle aussi de la pythonissc d'Endore évocant, opedemon
nous passons au Nouveau, le chapitre VIII des Actes des Apôtres nous parle de Simon le magicien qui étonnait la Samaric par
ôt posé mon livre et je suis sorti pour voir celui qui demandait à me parler ; j’ai trouvé un huissier, qui de suite me fit lec
et la relation abrégée du traitement magnétique de la demoiselle dont parle M. Barthet (Voy. page 107). Le même journal nous
érisme dans ce pays : « Depuis quelque temps nous entendons souvent parler de guérisons ducs au magnétisme ou au somnambulis
em? (EviiteiLi.) Ainsi, deux voyageurs dans leur simple éloquence Parlaient à ¡’inconnu, qui feignait l’ignorance, Et suiva
té envers l’humanité souffrante. D’un autre côté, Jésus-Christ nous parle , dans son Evangile, de deux arbres : l’un bon don
i manière que le fut celle des illustres personnages dont je viens de parler , et que l’Eglise expose à la vénération des fidèl
: Les phénomènes produits par le magnétisme thérapeutique, car je ne parle nullement du somnambulisme, surpassent l’imaginat
on peut porter dans mon esprit l’opinion de ces hommes qui prétendent parler du magnétisme thérapeutique sans l’avoir jamais e
au de la science Survit et ta gloire commence. L'expérience enfin a parlé ! Vainement l'erreur furibonde Résilie encor : déj
ne puis en ouvrir les premières pages sans pleurer beaucoup; il y est parlé de ma mère, qui m’a dit adieu sitôt! Ne riez donc
e reconnaître celui de mon rêve. — C’était bien assez comme cela. « Parlons , pour finir de M. de Fonfgibu! Un dimanche qu’une
dding excellent, et je rentrai dans ma pension, et je n’entendis plus parler jamais de Fontgibu, ni de plum-pudding... « Dix
ents, prit insensiblement une autre tournure, et M. B... en vint à me parler de magnétisme. Un article, parM. Alexandre Dumas,
te puissance dont il n'avait encore qu’une idée si imparfaite. Je lui parlai de vos belles expériences, et je lui promis môme
étisé sans qu’il s’en aperçût; car tout d’un coup, pendant que je lui parlais , il s’élait senti comme envahi par une atmosphère
tation de sa conviction a produit un bien immense. — Le Droit du 20 parle de la déconverte d'un trésor par une somnambule
agrandissant le lieu de ces réunions. BIBLIOGRAPHIE. Nous* avons parlé , page 160, d’un ouvrage qui doit paraître sous, l
ase, pour prouver aux païens la puissance du saint nom de Jésus, leur parlait ainsi : « Que celui qui voudrait l’éprouver vienn
ait en pleine jouissance de tous ses sens, qu’il voyait très-bien; il parlait haut et ferme comme à son ordinaire. Il avait dor
alarmes, jusqu’à ce que, finissant leur carrière, leur bouche voulant parler , il leur soit défendu de retourner vers le passé.
le fois dit les eauses qui empêchent l'adoption franche du magnétisme parles médecins. Chaque jour en fournit des preuves. Leu
voix se fasse en'.endre, bien que tout indique que madame IS*** veut parler . A celle prostration évidente succède rapidement
qu’une imagination déréglée pourrait enfanter dans son délire. Elle parle en s’agitant el chacun peut entendre des phrases
désormais. » Que ce somnambule puisse, dans l’état où il se trouve, parler , répondre aux interrogations qui lui sont faites,
emèdes qu’ils nous proposent, l’expérience nous ayant démontré qu’ils parlent au hasard et que fort souvent ils se trompent.
royance à l’existence d’un fluide opérateur des phénomè- na dont on parle , et que l’on exécutât les expériences comme si un
-moi voir ou sentir moi-même un fait comme ceux dont vous venez de me parler , ou reproduisez-le sur telle ou telle personne qu
de tout le monde. Je laisse chaque lecteur méditer un tel fait, il parle assez éloquemment et est assez feilileen enseigne
s naturels les plus communs comme les plus rares, y compris ceux dont parle la mythologie el les vieilles légendes, ceux qui
ne sont comprises que par des âmes d’élite, et ton cœur ne l’a jamais parlé que pour t’appeler à des convoitises charnelles,
arlatan, et qui, aujourd’hui encore, grimacent le rire lorsqu’on leur parle du magnétisme, que feraienl-ils de la magie, de c
coloré les passions sans rien nous apprendre du coeur humain. Ici il parle à tous les yeux ; nous pouvons lire dans tous ses
vons lire dans tous ses replis. Attendez, lecteurs, ceux qui voient parleront ; je n’aurai même pas besoin de les y contraindre
médecine, garantissent suffisamment l’au-ihenlicilé de ces cas, sans parler des autres ; d’ailleurs le fait essentiel de l’
11 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
Ignominieusement chassé de l’hôpital Saint-Jacques POUR AVOIR FAIT PARLER UNE MORTE. Air de Fualdcs. Dans la ville capi
ier, Qu'on devrait brûler à Pâques, A fait un horrible coup Dont on parlera beaucoup. Du lit d'une Irépassée Un malin il s’
loyaux, réunir des faits méconnus ou contestés, les vérifier les uns parles autres, prouver l’existence des seconds par celle
tière, se sont-elles transmis le dépôt précieux des sciences occultes parla voie de l’initiation? Au nombre de ces sciences l
nt notable dans la fréquence; la respiration se fait avec un calme si parlait que les mouvements de la poitrine sont à peine pe
hiqve du magniti$me. soupirs, pleurs, rire convulsif. Difficulté de parler , déglutition fréquente et difficile, afflux consi
é sont justes et sévères , si sa conscience est « nette, le magnétisé parlera bien, pensera bien, agira « bien et sera honnête
est doué de propriétés si éminemment curatives qu’il guérit, non pas parle procédé suivi, mais malgré la défectuosité de ce
me si on avait agi sur elle. Mademoiselle Gobin, dont il a déjà été parlé , devient de plus en plus sensible à Vinfluence vo
ien obtenu du magnétisme ; je peux en dire autant pour moi-môme. On parle déjà de la présenter à l’examen des savants. Je s
continuellement des visites, qui finiront par devenir af-fluentes. On parle beaucoup d’elle à Mamerset à Bel-lesme; plusieurs
te qu’on s’en émeuve, et serait-ce inconvenance ou hardiesse que d’en parler ? Il est concevable qu’en politique, dans l’histoi
nt tout seul. » Ce préambule était nécessaire ici, car nous avons à parler de phénomènes étranges, difficiles à classer, et
ectrique; « mais nulle commotion n’ayant lieu ni par le contact, « ni parles bons conducteurs, j’approchai un pendule « de sur
esprit tout autant que les grosses masses de matière remuées: je veux parler de l’éreetion des poils. C’est encore M. Beaumont
inaire, quand, la flexion du corps étant presque complète, le contact parla robe eut lien, lachni.se me fut violemment arrach
le haut mérite reçoit son tribut d’admiration, il achète cette faveur parla tranquillité de toute sa vio; le mérite plus obsc
Une sorte de réaction avait lieu contre moi, et l’impression produite parles faits diminuait en raison de mon insistance. Il f
Puységur la conserva jusqu’ù la fin de sa vie ; il avait le droit de parler en maître. Pourquoi donc ai-je eu un moment de co
du 27 janvier l’engage « à laisser de côté le magnétisme, dont il « parle comme un aveugle pourrait parler des cou-« leurs.
sser de côté le magnétisme, dont il « parle comme un aveugle pourrait parler des cou-« leurs. Le Journal de la Guilloli'ere ac
les plus « importantes des découvertes, rien de mieux ! mais » qu’il parle du magnétisme comme d’une rêverie, « c’est montre
va à plus de dix reprises les effets des courants dont nous venons de parler . On ne pouvait conserver aucun doute sur leur exi
o grand homme ne voit rien, ou si peu que ce n'est pas la jteine d’en parler . Un autre grand homme , lu les verras tous, ref
dans la maison où elle demeurait alors. Un an plus tard el'e se lit à parler beaucoup dans son sommeil; il Ili semblait alors
es on l'entendait souvent se plaindre de l’infirmité qu elle avait do parler en dormant. Elle disait aussi qu’il était fort he
ovembre 1845. Prévisions.—J’ai déjà eu, Monsieur, l honneur de vous parler de ma somnambule et de la suprenante lucidité don
tés merveilleuses de la jeune Cottin. Les seuls journaux qui en aient parlé avec impartialité sont : le Constitutionnel, la D
es idées des hommes qui la dirigent) ; la Gazette des Bains, qui en a parlé cinq jours avant les aulrcs ; enfin le Messager
s forts, qui lui arrivaient par les voies ordinaires ; mais si on lui parlait , même à voix très-basse, dans le creux de la main
ées. Bien plus, elle entendait encore, même quand la personne qui lui parlait n’était qu’en communication médiale et lointaine
où une partie quelconque « do ses vêtements venait à les toucher; on parlait « même de guéridons renversés à l’aide du simple
r nos grands hommes. Plus despotes qu’aucun des potentats du Nord, ne parlez point devant eux d’innovations; innover! mais c’e
à-dessus, j’allais dire plus, que nos grands hommes. Passons. Puis on parle des étoiles filantes; ici encore je dois avouer,
interprète de l’Académie, qu’elle y perd son latin. Un autre savant parle des cochons, c’est-à-dire de leurs os ; il consta
quai-je; un rêve est toujours involontaire, ce n’est qu’une illusion. Parlez avec sincérité. — Mon Père, dit-il alors, à peine
science et la bonne foi ne peuvent être suspectes. Laissons d’abord parler M. D***, de Cluny. « U y a environ un an qu’à l
mestique do confiance, vieillard plein de sens et d’observation, nous parla de la baguette divinatoire, de ce qu'il en avait
désespérés. Sans doute il y a souvent de cruels mécomptes, mais on en parle très-peu. Et, du reste, il ne faut pas essayer de
bien sans globules, pourvu toutefois que quelque pratique bizarre eût parlé à son imagination. Il faut quelque peu de simplic
eine d’intérêt, devait-elle se borner aux phénomènes dont je viens de parler ? Non; notre curiosité devait être piquée plus enc
nt toujours en personnalités, nous nous sommes abstenu jusqu’ici d’en parler , et nous félicitons la Tribune d’y avoir mis fin.
ses yeux à droite et à gauche plutôt que sur la personne à laquelle H parlait $ da reste, n'ayant rien de ces airs étranges qui
ier de magicien. Habillé comme les écrivains ou les tommes de loi,.il parlait fort simplement de toutes choses et même de sa sc
uoique habillé à l’eu- ropéennc, il avait été élevé dans le pays et parlait facilement l'arabe. Acliined, remarquant son inqu
ers, je l’endors « immédiatement; mais elle reste les yeux ouverts, « parle et gesticule comme éveillée. » En me disant cela,
serve comme son plus précieux talisman. Ecoutez-le, comme le prophète parle par sa voix; prêtez l’oreille aux réponses effray
heur. Oh! viens, ma sœur chérie, Vois, je te tends les bras ; ■ Parlons , de ses liens ton âme est affranchie.... * Par pi
sabre avec fourreau de ce métal. « De retour au Caire, je sus qu’on parlait déjà de ma science, et un matin, à mon grand éton
e sains à ne rien craindre, car la crainte prend quelquefois quand on parle du médecin, nous leur dirons un mot du dernier sy
situation de tout ce qui 6’y. passait, et, sans perdre iun moment ni parler à personne, de le lui venir dire.à l’oreille. En
it été d?abord Savait rapporté a l’oreille de M. le duc. « Il ne me parlait guère de ces; choses-là, paree que je prenais la
Il le demanda tout de sniteà la petite fille, qui n’avait jamais ouï parler de Versailles, ni vu personne que loi de là cour.
ie pour surveiller l’exécution du programme des expériences dont nous parlerons tout à l’heure. La séance a été inaugurée par u
dans les sciences. Ces considérations nous amènent naturellement à parler d’une opération importante qui a été faite mercre
ue, portant un instant noSre- gards vers le passif nous allons vous parler de Mesmer, qui découvrit le magnétisme et jeta le
rappeler qu’elle « me blâme, et mon premier soin doit être de faire « parler ma respectueuse soumission pour ses moin-« dres d
le tourbillon des passions déchaînées, se trouvaient mal placés pour parler de mesmérisme; quelques-uns seulement, comme les
aînement et l’erreur, et ce n’est qu’avec une grande réserve que nous parlons des propriétés singulières de cet état. Cependant
nforme à son esprit, rend compte du banquet mesmérien. A ceux-là d’en parler sérieusement, à celui-ci plaisamment! L'Estafet
s, peu importe. Il y avait communication de pensées, et c’était moins parla cupidité des prêtres que par leur ignorance si le
âme en ce moment paraît aller dans les cieux. Bientôt elle essaie de parler ; sa parole est d’abord confuse, des mots entrecou
t croit voir le diable, depuis qu’un magnétiseur s’est avisé de faire parler devant elle une cataleptique qu’on crovait morte!
soit un charmant jeune homme. Sfr-**'*/!. Aveugle somnambule. —On parle beaucoup en ce moment de M,e Durel, fille d'un mi
ur, pendant un sermon, ayant aperçu une belle femme, il la mande, lui parle doucement et l'engage à céder à ses désirs. Elle
s sur un auditoire de femmes par un pré-« dicateur fanatique qui leur parle d’une voix ton-« nante, avec des yeux étincelants
ntatives ont deux ans de date; tous les journaux scientifiques en ont parlé comme d une nouvelle défaite des magnétiseurs, et
* Les effets sont les mômes, mais naturellement quelque peu amoindris parles frottements et la pression (consultez sur ce les
pareillement entrepris par un fameux médecin du temps, Torralba, dont parle Cervantes dans la deuxième partie de Don Quichott
la projection excentrique de la lumière spirituelle. Plutarque nous parle de «certaines exhalaisons de « la terre, qui se m
re, au lieu de recevoir cette impulsion de la volonté propre. Je ne parle pas de tous ces phénomènes de fascination d’un êt
e que son influence ne se mêle pas aux autres actions dont nous avons parlé , leur prêtant quelquefois de nouvelles forces, ma
mais quj ne sont encore que des phénomènes, ne pouvant dé-gager, pour parler la langue de Kant, le noumene pur de son enve'opp
r la quantité de mouvement mesurée par l'ouverture des angles décrits parla paille. « Je note mon éloignement de l’appareil
Estafette du 10 contient un feuilleton sur la vie de Mesmer; il y est parlé de faits dont les biographes ne font nulle mentio
e tristes enseignements sur le mystère de la vie humaine. Après avoir parlé avec une facilité surprenante : « J’éprouvai, dit
(1) Confetiioni de saint Augutti". mes yeux; les Tous dont j’avais parlé , se dessinant sur le fond de la salle comme sur u
e ce fût l’auteur de l'aul et Virginie et des Etudes de la nature qui parlât , et malgré les atteintes morales de la Révolution
r quiconque l’approchait; mais privée de ce dernier moyen d’agression parla paralysie de la langue, elle fit dès-lors de gran
e en bas de la scène; et, pourvu qu’il meure à terre, il n’en est pas parlé . On voit là des hommes tout criblés de coups et c
n : « Vous vous trompez, et vous êtes troni-«. pés. » On nous avait parlé , dans cette même leçon, des phénomènes étonnants
iquée immédiatement et en toute sécurité, ^t qu’ils peuvent également parler à haute voix sur l’eu.' de la malade, sans craint
il n’y avait ni malaise, ni syncope, ni léthargie, car la patiente a parlé à plusieurs reprises. Interrogée souvent, elle a
a seconde, voici quelques raisonnements à l’appui. Je commencerai à parler de l’état du somnambulisme, et à dire mon avis su
e grande efficacité, quelle que soit la puissance du magnétiseur, et, parles procédés résultant de ma théorie, tous pourront o
a rendu compte de notre banquet mesmérieu d’une manière si plaisante, parle de nouveau de magnétisme dans son numéro du 28 de
rocès de Marie I5u-caille, accusée de sorcellerie et condamnée à mort parle tribunal de Valogne, vers 1700, qu’elle « tombait
nous l’espérons, sans fruit pour le progrès du magnétisme. Nous avons parlé dans le dernier numéro de la séance publique donn
acquérir une instruction solide. C’est donc sans crainte que je vous parle à cœur ouvert; je ne redoute point que vous conda
e je no crains ni do vous déplaire dans mes conseils, ni de vous trop parler de magnétisme. (La suite au prochain numéro.)
me le plus calme qui se puisse imaginer. Je ne pus toutefois la faire parler , et je jugeai convenable, puisqu’il n’y avait plu
nstant dans la journée; mais comme il y avait des témoins, elle ne me parla nullement de son évanouissement ni des causes qui
e ce qui peut vous soulager, et jamais ce qui peut vous blesser; elle parle toutes les langues; elle voit d’un pôle à l’autre
venu, ainsi que le premier, plier le genou devant le baron... Je ne parle pas de ces belles ladys sur qui notre magicien av
rveilleux, qu’elle traite communément d’imagination française. Vous parlerai -je en dehors de la tourbe incrédule de ces êtres
ence de Mesmer, enrichie des travaux des de Puy-ségur et des Deleuze, parleront des choses de l’autre monde. Us créeront un nouve
endorment îous les jours. L'Entr'acte du 23 et le Charivari du 2!) parlent de la somnambule de Toulouse qui joue un rôle dan
d’écrire encore. La (iazette de Erance et le Journal de Paris du 19 parlent de la persécution dont un magnétiseur vénitien vi
poque du 27, à propos d’une communication de M. Gcndrin à l’Académie, parle ù plusieurs reprises des effets magnétiques, qu
académique. Dans la Ile rue des Deux-Mondes du 15, il est beaucoup parlé du somnambulisme ù propos d'un roman américain.
\S écriture, naturelle est la faculté de dessiner tout ce qui peut parler aux yeux. La langue et l’écriture de convention
sical, commençait un jour son article par ce spirituel paradoxe : « Parlons musique. Je puis en parler savamment, « car je n’
n article par ce spirituel paradoxe : « Parlons musique. Je puis en parler savamment, « car je n’en possède pas le premier m
tte fantaisie paradoxale était une réalité, nul ne serait plus apte à parler magnétisme que M. Couturier, car il n’en sait pas
eur du merveilleux, ni les malades, fatigués des remèdes inutiles. On parlait de quelques cures opérées par les somnambules;
Cornac, mécompte avec M. Malgaigne , mécompte avec [’Académie ! sans parler de ceux dont je vous ai préservé. Vraiment, c’est
sque toujours avant d’arriver il succombe. Et viendrez-vous encore me parler de gloire, vous, conscrit de cinq mais!... Mais c
de mandat, et il faut de nouveau la consulter. « F.n elfet, pour ne parler que du somnambulisme, qui frapperait-on? un être
nul ne peut mieux faire que nous. Ecartez donc tout homme qui viendra parler de notre imprévoyance, signaler nos erreurs et le
malheurs irréparables qui en sont la suite. Punissez surtout ceux qui parlent de créer un nouvel art, plus fécond que le nôtre
rie des gens de mauvaise foi, parmi les pires des aveugles. Nous ne parlons ni de la seconde vue, ni des voyages d’oulre-mer,
lé : Fluide lyrique, dont le fond est magnétique. Le Charivari du 3 parle encore de magnétisme dans un sens plaisant, mais
un très-essentiel. Mais on n’a jamais toutes les perfections. Nous parlons de ce livre pour mémoire et pour qu’il soit class
apport académique, distribué par milliers, faisait taire les voix qui parlaient déjà en ma faveur. Ma maison devenait déserte, et
ssi présomptueux, aussi sûrs d’eux-mêmes que ceux dont nous venons de parler . Ils pullulent dans Paris et se répandent en prov
ru y trouver la raison de certains phénomènes astronomiques : je veux parler du mouvement diurne de la terre et de sa révoluti
L**‘. Chacune de ses crises enfante un drame dont il est le héros; il parle haut, gesticule, frappe. Et sur qui frappe-t-il?
n’a pas encore osé, sur les places publiques, comme le Christ, faire parler les muets, ressusciter les morts, faire, en un mo
es de profondeur. « Dès le premier moment où le sieur C... avait pu parler et indiquer son domicile, on avait fait prévenir
zette des Tribunaux du 6, et la plupart des journaux quotidiens du 7, parlent de l’assassinat du somnambule Ferdinand C____ L
que son système nerveux s’assimile fictivement. On nous a beaucoup parlé de la transposition des sens. On nous a dit, on a
, on a écrit, que certains sujets, dans l’état somnambulique , savent parler des langues qu’ils ne connaissent pas dans l’état
ssent pas dans l’état normal. Ainsi on aurait entendu des somnambules parler latin, grec, hébreu , anglais, allemand. Je crois
f Dieu. » Vous voyez, messieurs, que la somnambule Cia*. risse no parlait nullement les langues étrangères : elle les enten
te ne trouvent leur explication dans un effet de mémoire. Si le sujet parle dans un idiome qui lui est inconnu, je supposerai
onorable président, qu’il ne m’est plus permis d’y toucher. Je vous parlais tout à l’beurede la transmission de pensée comme
ent impossible toute opposition franche, sérieuse, raisonnée. Je veux parler de : somnambulisme, insensibilité, attraction.
age 99: l°nc III, page 129. Revue des journaux. — L'Entr'Acte du 23 parle d’une scène de somnambulisme arrivée au bal de l’
ue. — En 1815, à notre connaissance, 27 journaux dans 49 articles ont parlé du magnétisme favorablement. En 184G, le nombre
12 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
vant d'être vu à l'œuvre, peut être jugé déjà, du moins sommairement, parle seul examen de ses tendances scientifiques. A c
graphie des caractères plus fixes, plus matériels, si l'on peut ainsi parler , que ne le sont les symptômes eux-mêmes. On ne s'
natomiquement et physiologiquement. VII. Puisque j'en suis à vous parler des difficultés que le clinicien •encontre dans l
n, non plus de cette imitation d'une maladie par une autre, dont nous parlions tout à l'heure, mais bien de la simulation intent
xé à l'extrémité du membre étendu [fig. 1, R), servira à enregistrer, parla méthode graphique, les moindres oscillations de c
pourraient être invoqués, qui montreraient que la simulation, dont on parle rug. S. — Schéma da tracés obtenus sur une hyst
u genou se révélera encore lorsque le malade va descendre de son lit, parle côté gauche, et se mettra à marcher. Vous voyez c
'aucune autre des théories proposées ne peut être acceptée; ainsi, on parle de la propagation de l'inflammation articulaire,
ne guérison rapide? Cela est vraisemblable; et cela me conduit à vous parler du traitement. Toutefois, auparavant, faisons r
s analogues à celui qui nous occupe, et dont j'aurai occasion de vous parler bientôt. Mais, j'en viens au traitement. Il s'a
que nous avons observées, mais encore chez les sujets mâles dont nous parlerons bientôt. Elle consiste en ce que l'étendue du cha
es convul-sives. Le diagnostic, parait-il, fut hésitant ; on aurait parlé d'une lésion organique, et le pronostic aurait ét
orte de constriction thoracique. L'attaque est ordinairement coupée parla chloroformisation. Abandonné à lui-même, il se co
is les deux membres, le tronc, la tète ; la malade n'est pas affectée parla faradisation de la peau. Il y a, en outre, une hé
ficielle dans l'autre. Ces deux faits, vous disais-je, se rapprochent parles analogies les plus frappantes, bien que dans le p
ort ; toujours est-il que M. Klein, l'auteur d'une des thèses dont je parlais tout à l'heure, et faite sous l'inspiration de M.
aintenant à l'examen fonctionnel du membre gauche. Commençons d'abord parles muscles innervés par le plexus lombaire ; ces mus
par Je triceps sont normaux, b) Les mouvements d'adduction effectués parles adducteurs, innervés par le nerf obturateur, sont
lusieurs mois sous notre observation. Il est intelligent et actif. Il parle et écrit assez correctement. Comme il dirige lui-
et écrit assez correctement. Comme il dirige lui-même son magasin, il parle beaucoup, et écrit chaque jour de nombreuses lett
ron deux jours, puis un sifflement constant, s'exagérant quand on lui parlait ou s'il était sous le coup d'une émotion morale.
nyme droite est limitée par une ligne parfaitement verticale, passant parle point de fixation; c'est donc une hémianopsie typ
s suivantes. Enlisant l'imprimé, le malade ne meut pas ses lèvres, ne parle pas à voix basse, bien que ce soit son habitude,
uable que, dans sa Médecine pratique, qui date de 40 ans, M. Gendrin3 parle de malades qui « se trouvaient dans l'impossibili
us capable de la reconnaître ». Une des observations dont Trousseau parle dans une de ses cliniques 4 appartient à cette ca
t ce grand observateur, un malade qui ne sait plus lire, cependant il parle à merveille. Il ne peut déchiffrer le titre d'un
oue un rôle important dans l'histoire clinique de notre cas ; je veux parler du phénomène de l'hémianopsie, dont nous avous eu
l « les diverses formes de la mémoire » — c'est toujours M. Ribot qui parle — « out une indépendance relative, il est naturel
des paroles, sensation qu'il ne connaissait pas autrefois. M. X... parle fort bien et fort couramment le français. 11 dé
déclare néanmoins qu'il ne peut plus penser en français et qu'il ne parle celte langue qu'en traduisant sa pensée de l'espa
, les notions appartenant à la catégorie du sens musculaire, fournies parles mouvements de la main, dans l'acte d'écrire, ne s
e. Sous ce rapport, il appartenait à cette catégorie d'individus dont parle M. Gallon \ qui lisent en quelque sorte mentaleme
a langue et des lèvres nécessaires pour prononcer le mot; la seconde, parla répétition des mouvements de la main et des doigt
arole, quelques lettres sont particulièrement mal prononcées, et elle parle comme si elle avait de la bouillie dans la bouche
ée avec soin. Le fils est un exemple de ces cas de transition dont je parlais plus haut [fig. 34 et 35). Il existe chez lui une
ie. — Pronostic variable suivant les cas. Messieurs, Je veux vous parler aujourd'hui, à propos des cas de sclérose en plaq
ment confondue avec le tremblement de la sclérose en plaques. Je veux parler de la chorée ou plutôt des mouvements choréi-form
rose en plaques et dans les autres tremblements dont je viens de vous parler , la direction générale du mouvement, si elle est
de tremblements ou mouvements involontaires, je vais maintenant vous parler d'une affection qui constituera notre troisième g
rfaite de certains mouvements intentionnels et logiques, dont je vous parlais dans ma description générale. Quand le début est
ait cesser la crise et alors, pendant un moment, la malade reste sans parler et sans pouvoir remuer sa langue. Ici l'origine
imagination avait été mise en tension constante, avant la possession, parle maiin esprit qui revenait chaque nuit dans la mai
t. Pendant l'attaque, Julie pousse quelques grognements, rit, mais ne parle pas, Celle-ci se compose d'une série d'accès anal
se raidit, se met en arc de cercle : puis l'enfant court, se promène, parle tout haut, crie au voleur et enfin va se jeter su
, à savoir l'hystérie à forme épileptique ou hystéro-épilepsie. Je ne parlerai pas de l'opium à haute dose, pas plus que des aut
r bien des fois, sans doute, dans le cours de cet enseignement ; j'en parle chaque année, depuis tantôt quinze ans, et plusie
out chez les mâles, l'hystérie naissante, l'hystérie infantile. Je ne parle , en ce moment, que de celle-ci ; car, lorsque cet
et dont on prétend faire la caractéristique de la maladie. Je ne vous parlerai pas des six ou huit grandes hystériques actuellem
oie d'évolution. Dans Y étal ment ai do, Rig..., aujourd'hui, comme parle passé, c'est toujours, l'anxiété, la peur, la tri
dents, un rôle bien plus important que la blessure elle-même. Je veux parler delà terreur éprouvée par le malade au moment de
is, a persisté pendant près de six jours. Alors, quand le malade veut parler , quelques sons rau-ques, inarticulés, sortent seu
ns qui les concernent vous seront communiqués. Je laisserai les faits parler d'eux-mêmes et je relèverai seulement par quelque
remblement, et qu'une fois les convulsions arrêtées, il s'était mis à parler à haute voix sans se réveiller. Pendant les mois
it effort pour remonter le long de sa cuisse, et pendant ce temps, il parle du « ver solitaire ». La scène de Sceaux revient
e temps que font défaut les notions du sens musculaire. Mais, pour ne parler que de l'anesthésie cutanée, partout où elle exis
rigueur, on pourrait le dire composé de trois lentilles. On comprend, parla , que dans de certaines conditions plusieurs image
, je vous l'ai dit, se distinguer par des caractères propres. Je veux parler de la macropsin et de la mi-cropsie qui, suivant
et, tandis qu'à droite, la force dynamométrique se traduit à la main parle chiffre 70, elle ne donne à gauche que le chiffre
es cas d'hystérie les plus vulgaires; elle marque, si l'on peut ainsi parler , la transition, et nulle part la série n'est un i
ndrai une fois de plus sur un sujet qui nous a occupés déjà1, je veux parler de ces paralysies singulières qui ont été désigné
les deux autres phases de l'hypnotisme. Ainsi dans la catalepsie —je parle ici seulement de la catalepsie vraie, telle que j
ambe et à la cuisse les mouvements les plus étendus sans être arrêtés parla moindre résistance ; la percussion du grand troch
résultat désiré; chose remarquable, ici encore, bien que nous n'ayons parlé que d'une contusion sur la hanche, la malade s'es
atique légère portant sur l'épaule et constituant, si l'on peut ainsi parler , une véritable suggestion traumatique. Mon sent
le sujet est névropathe, moins il est hystérique, si l'on peut ainsi parler , plus les accidents pa-rétiqu* s et sensoriels co
tions-là, peut être considérée comme représentant, si l'on peut ainsi parler , une esquisse de rigidité cadavérique survenant c
embre rigide. Il ne faudrait pas trop s'y fier cependant, et, pour ne parler que de la contracture des hystériques éveillées,
érique n'est pas une affection extrêmement rare ; il en a été souvent parlé , et vous le trouverez signalé dans tous les écrit
la faculté qu'il avait perdue. Il lui sera possible de chuchotter, de parler à voix basse, mais il restera aphone ; il ne pour
e ». Le chuchottement, Messieurs, n'estpas autrechose qu'un langage parlé et articulé. Ce phénomène est, remarquez-le bien,
e occurrence, — qu'il lui était impossible d'articuler un seul mot. « Parlez à voix basse, lui dis-je » ; à peine put-il esqui
e hystérique tel que nous l'avons décrit. Je lui ordonne de crier, de parler , de chuchoter, il ne peut absolument rien faire d
ut lent et progressif de cette difficulté de la parole : s'il ne peut parler , ce malade crie encore, tout au moins. Il y a par
e ne plus ni l'entendre ni la comprendre. Elle fait alors effort pour parler plus haut, mais vous continuez le même jeu et ne
ou tel doigt individuellement, etc. Troubles trophiques. On a déjà parlé de l'amaigrissement du membre; il faut ajouter qu
es motrices de ces centres. Elles seraient principalement constituées parle « sentiment d'innervation », de « décharge nerveu
déjà le fait sous une forme plus faible. Penser, c'est se retenir de parler ou d'agir. » « Les actions mentales s'accomplisse
ne sait dire s'il a, oui ou non, fléchi son poignet, etc., etc. Je ne parle pas de la pression dynamomélrique qui, pour la ma
re, comme dans l'amyotrophie articulaire où l'autopsie n'a pas encore parlé ; il est certain qu'elle dépend du système nerveux
'aphonie et plus souvent la dysphonie, car les malades peuvent encore parler à voix basse, se rencontrent de loin en loin chez
, au sortir d'une attaque hystérique, s'aperçut qu'elle ne pouvait ni parler , ni émettre aucun son, bien qu'elle fût en pleine
s assez facilement, les consonnes avec plus de peine. Le 30 avril, il parle et lit à haute voix, mais non sans fatigue. Après
essouflé et obligé de s'arrêter un momentpoursereprendre.il évite de parler spontanément. On constate au laryngoscope que l
it seulement qu'il avait quelque chose dans le cou qui l'empêchait de parler . Ch. est sorti de l'hôpital à la fin de novembr
un mot ; il ne peut crier, il ne peut émettre aucun son. Quand on lui parle , il comprend parfaitement, saisit immédiatement u
urs plus tard. « Je suis..., je suis allé faire. » « Oui, oui, je parle un peu mieux. » « Corn..., comment. » On lui
hyro-aryténoïdien). Il ne sort aucun son ; la malade ne peut non plus parler à voix basse. Le mutisme est absolu. Il n'existe
lonique, etc.). Quand le malade reprend connaissance, il ne peut plus parler ; il pousse des sortes de gloussements qui viennen
de l'argent. A son arrivée à l'hôpital, il n'entend pas quand on lui parle tranquillemen t ; mais si on parle fort et près d
ital, il n'entend pas quand on lui parle tranquillemen t ; mais si on parle fort et près de son oreille, il comprend. Il répo
accidents. Vers ce moment, en effet, elle devint aphone, ne put plus parler qu'à voix basse, et, dans l'espace de deux mois,
alade cessa d'être muette ; elle n'était plus qu'aphone, elle pouvait parler , mais à voix basse et pour ainsi dire en soufflan
face, etc.. ; à certains moments, X.., n'est plus agité, mais ne peut parler ; il correspond par écrit avec les personnes qui l
côté droit du corps; en même temps, il était dans l'impossibilité de parler , bien qu'ayant conservé l'intégrité parfaite de l
à terre, sans perdre connaissance, mais resta 48 heures sans pouvoir parler . Obs. XIV. — (Wilks, Discases of the nervous Sy
prendre le lit, elle avait eu de temps en temps des impossibilités de parler (speech had begun to fail) et depuis un an, elle
oise, elle se mit alors à remuer les lèvres, comme si elle ne pouvait parler . Après bien des efforts, et des séances d'électri
aralysie des mains il y a 15 mois. Depuis dix mois, elle ne peut plus parler ; la perte de la voix a été subite; elle communiqu
e fara-disation, le 24, elle s'écria: Oh! dearl yes. Elle put ensuite parler lentement et recouvra la parole d'une façon compl
eparaissent du côté gauche. Bref, un mois après son entrée, le malade parle à voix basse mais assez distinctement pour donner
près cinq ans de silence. Pendant trois ans, elle n'avait même pas pu parler à voix basse, chuchotée. Les cordes vocales étaie
ns l'état décrit jusqu'à son retour d'Angleterre. A ce moment, elle parlait par moments à voix haute, mais pendant une partie
rs et accidentellement d'une semaine au plus, où la malade ne pouvait parler qu'à voix chucholtée.Elle est et a toujours été b
ant retrouvé tout son entrain, elle répondait par signes quand on lui parlait . Le matin du neuvième jour, elle prononça « mamma
res principaux suivants : début soudain, impossibilité de crier et de parler , conservation parfaite de l'intelligence, retour
complète. Il y a extinction ou raucité de la voix ; impossibilité de parlera voix haute ; mais la voix chuchofée persiste. Le
ionnent pas ou fonctionnent mal et le sujet ne peut émettre un son ni parler haut, de façon à se faire entendre à dislance ; m
on lui dit : je n'entends pas... tu dis... mais tu ne peux donc plus parler ... et au bout d'un instant, la malade est aphasiq
instant, la malade est aphasique .fît aphone, ne pouvant ni crier ni parler , s'impatientant de ne pouvoir répondre aux questi
rras quelques lignes qui font comprendre sa pensée : « Je ne peux pas parler , écrit-elle, « par exemple, » vous voyez bien que
attaque d'hémiplégie, la malade lisait son journal tous les jours et parlait distinctement. En 1879, nouvelle attaque ; cett
e actes de l'organe de la parole; 3° comme impression faite sur l'œil parles caractères (écrits ou imprimés); 4° comme actes d
13 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
Où esl le magnétisme ? vous répondrez : Venez, il est ici. Nous ne parlons à aucun des bénéfices que celle entreprise peut o
nt et M. du Potet, i la confection de l'inventaire estimatif dont est parlé i l'article 11. Art. 37. Les fonctions de commi
mal de mon renommé confrère, le docteur Maurice Pocti, dans lequel il parle de quelques-unes des maladies que j’ai traitées e
l il parle de quelques-unes des maladies que j’ai traitées et guéries parle mesmérisme. Cet ouvrage est, je crois, le premier
es, par des esprits prévenus : « Que vient-il, au xix® siècle, nous parler de magie • et faire revivre les contes du vieux t
D’ailleurs, l’ave-» nir n’existe pas, et c’est être insensé que d’en parler . » Que savez-vous, aveugles que vous êtes, si Die
ent point qu’un jour son opinion serait confirmée. Et lorsque je vais parler de l’àme, peut-être des moyens de l'apercevoir, l
bientôt sur le terrain du magnétisme. L’orateur développa sa thèse, parla de sa toute-puissance, et pour en donner une preu
os : un geste du roi l’avait retenu à sa place. A son tour le médecin parla du tort que les veilles font à la santé; mais Cha
t une illumination. Charles regarda ces fenêtres quelque temps sans parler . Cependant le comte Brahé, étendant la main vers
r, il prononça hardiment la formule bien connue : « Si tu es de Dieu, parle ; si tu es de V Autre, laisse-nous en paix. » L
germer. Il est inutile de s’en occuper ; c’est pourquoi j’ai cessé de parler magnélisme au milieu des bruyères intellectuelles
pinion, ou du caprice, ou de l’ignorance des hommes !.....Se mouvoir, parler , voir, entendre, penser, fut-il jamais soumis au
sprit des fous, de chercher d’autres fous qui consentent à n’agir, ne parler , ne voir, n’entendre, et ne penser, qu’autant qu’
eur avait rendu un compte inexact des opérations du mois, qu’il avait parlé d’opérations sans douleur qui, en réalité, ne fur
continuâmes de le stimuler avec l'ammoniaque et parvînmes à le faire parler distinctement; alors il se plaignit de ne pouvoir
insisté, avec peu de succès, je crois. Ces hommçs étaient capables de parler et d’agir, et faisaient la demande raisonnable qu
n a sa manière de voir les choses dans ce monde , laissons maintenant parler les apologistes du magistrat français de Pau, el
us loin. Si ce n’est pas en vertu de la loi médicale dont je viens de parler , mais en vue de la loi des associations que l’aut
Je me plais à penser que oui, mais je ne sache pas que nos maîtres parlent dans leurs ouvrages d'aucune matière capable d’ar
vait eu ud si heureux résultat. Le frère de M'"* R. D., dont il est parlé plus haut, est un jeune homme de 19 ans environ,
é par les chefs et les prêtres dans les collèges sacrés. Nous voulons parler de cette force intellectuelle qu’on a appelée pro
ochain numéro.) VARIÉTÉS. I-cs trois Jours. — Heureuse époque! je parle du printemps, tu vas voir reparaître les fleurs e
ous espérons faire connaître cette œuvre posthume du maitre. — Nous parlions naguère de l’introduction du magnétisme comme élé
veux pas que le lecteur s’en rapporte à un seul témoignage; laissons parler le comte Léon de Laborde, et l’on verra, d’après
culier. Vous avez le vôtre, j’ai le mien ; eh bien! nos » esprits se parlent entre eux comme il leur plait, sans *> que nos
rte importante pour ces contrées en essayant de traiter indirectement parle moyen de l’eau magnétisée. J’ai obtenu pour la gu
uvert le moyen de faire des somnambules qui ne mentent jamais, qui ne parlent point à vide; qui ne cherchent point à deviner à
oir et la loi, hâte-toi de paraître dans cette confusion des esprits; parle à la foule égarée, car dans cet instant tout est
sée. Le somnambulisme se déclara presque aussitôt. Mais au lieu de me parler de sa maladie, et de chercher les moyens de la co
a réserve commandée par le temps et la prudence. En agir autrement et parler après l’événement, c’est fairq soupçonner de sa b
e, contient un paragraphe sur le magnétisme. C’est le seul qui en ait parlé ; il termine en disant avec justesse que c’est le
les peuples ont une confuse tradition ; alors, sans doute, la nature parlait plus haut et plus clair à son esprit; l’homme con
le monde me nomme souvent, mais je ne puis résister au besoin de vous parler à cœur ouvert. Il est une science, perdue aujourd
gne, sourd et muet de naissance, âgé d’environ 20 ans, a entendu, iet: parlé dès la première séance. Il a déclaré n'avoir jama
:parlé dès la première séance. Il a déclaré n'avoir jamais entendu ni parlé de sa vie. Plus tard je vous rendrai compte des
sujet; nous en extrayons le passage suivant : u ......Je dois vous parler d’une cure que j'ai faite à Ostende. Une demois
cœur-serré; personne ne réclamait contre tant d'injustice; je voulus parler ; mais, le bruit croissant encore, il me fut impos
retrouverait les objets. On fut exact au rendez-vous. La somnambule parla , dit quelle voyait la voleuse et qu’elle pouvait
février, intervint le jugement de la septième chambre dont nous avons parlé . Le sieur Cavailhon seul a interjeté appel. L
On me fera voir les personnes : je ne les toucherai pas, je ne leur parlerai pas, j’employerai seulement ma méthode pour recon
tuante n’a été élu; de même que plusieurs autres dont nous n’avons pu parler , tels que MM. Foissac, Bésuchet, Ch. Lesseps, Mar
té le fait que voici: Se trouvant à Lisbonne, où il avait quelque peu parlé du magnétisme, on le fit trouver avec un professe
lamentations pour le présent et nulle espérance pour l’avenir. S’ils parlent quelquefois du beau siècle de notre littérature,
ur l’origine du magnétisme animal jusqu’à Mesmer.ll en arrive ainsi à parler des croyances qui régnaient dans le monde ancien
re à faire penser que le somnambulisme ait été l’instrument dont nous parlons , l’habile conteur ne peut cependant nous tromper;
ins respectée que l’Esprit ? Mais vous oubliez que la matière dont je parle est à tous égards, et surtout relativement à ses
es nouvelles individualités la matière est nécessaire. P. Mais vous parlez maintenant d’Esprit et de matière comme les métap
mer jusqu’à ce qu'ils soient garnis de toutes leurs plumes. P. Vous parlez d’êtres rudimentaires ; y a-t-il d’autres êtres r
que le somnambule,-pendant la seconde moitié de son discours, m’avait parlé du fond de la région des ombres ? Edgar A. Poe.
tinent qu’aux Antilles, et ailleurs, il s’ensuit que beaucoup de gens parlent de la chose, qui fait partout des progrès incessa
forcer quelque jour, et nous nous attachons à produire des faits qui parlent pour notre cause en condamnant assez souvent la l
dans ses études, et de s’en abstenir dans tout autre cas. Aussi, n’en parlerai -je pas autrement : depuis longtemps d’ailleurs je
pandre !... Dans des expériences telles que celles dont je viens de parler , il faut beaucoup de sang-froid, une extrême prud
igne la myologie... Il fut un temps où il n’eût pas été convenable de parler de ces phénomènes, mais on peut tout dire aujourd
stribuer aujourd’hui les médailles du jury magnéüc/ue. M. Mermoud a parlé en termes éloquents de l’utilité de propager le m
TOSB VI. — Ri" 71. — 10 JUIN 1848. 11 lui disait, soit qu’on lui parlât français ou anglais, mais il ne répondait que par
lle voulut maintenant essayer du magnétisme, dont elle entendait tant parler , et, avec l’approbation de son médecin, elle me f
enais ordinairement pour me donner le divertissement dont je viens de parler auprès d’un de ces pauvres êtres transis de peur,
e ressent du milieu dans lequel on vit. Ainsi ces jours derniers on a parlé beaucoup d’une prophétie mise en circulation par
système social de Fourier. Et celui-ci, guidé par sa loi sériaire, a parlé du somnambulisme comme s’il avait étudié le magné
est de même du magnétique ; on opère sur lui sans le connaître. J’en parlerai à la notice suivante. « Je ne doute pas que, da
e des critiques qu’on vient de lire. L'ouvrage de Deleuze dont il est parlé ici ne peut être «pie l'Histoire critique, où il
rmer l’enseignement de l’histoire en remplaçant les anecdotes royales parles actes de la nation. Cette réforme n’intéresse pas
M. le Directeur du Journal du magncwîftfc.. Monsieur, Je vous ai parlé , il y a quelques semaines, d’une cure magnétique
. Du Potet. Revue des Journaux. — Enfin les savants se décident à parler officiellement du magnétisme; le Moniteur univers
int de vue, non plus que la Démocratie pacifique, car le somnambule a parlé du grand réformateur Charles Fourier et de ses ma
scussions avec leurs somnambules. Si vous le pensez, vous pourriez en parler à vos lecteurs. Recevez la nouvelle assurance d
-dire après 14 eu 15 séances, la malade était complètement guérie : parlait bien, marchait lestement, ne faisait aucunes cont
es crises se représenteraient; je lui recommandai surtout de ne point parler de ce qui venait de se passer, craignant que l’im
u la dénaturer complètement. C’est sans haine et sans colère que nous parlons ainsi ; mais nous jugeons ce qui se ferait par ce
ilement comment l’auteur a pu s’égarer. Il n’a point magnétisé; il ne parle point des faits physiques purs du magnétisme; il
és de l’âme humaine, dire ce qu’elle peut en dehors de son enveloppe, parler des attractions et des apparitions ; mais ces gra
ns cependant de sa franchise, nous dirions presque de sa témérité car parler du magnétisme c’en est une dans certain monde com
os éloges et à nos remerciments. Nos réserves étant faites laissons parler M. Matter : Fischer, dcr Somnambulismus, 3 vol.
st démentie par tous les faits de l'enquête. Les sensations produites parles courants dont la direction avait été vue ne se so
s autres l’attribuent à un langage de convention, mimique, digital ou parlé , dans lequel toute question contient sa solution
faire une visite. Je compte aujourd’hui voir aussi M. Koreff. Nous parlerons de vous. Chronique. — L’ancien procureur du roi
es aux intérêts de l’investigation, tout ce qu’il fait se paye. Je ne parle pas des anciennes conférences, de celles du docte
-dessus d’un bureau, s’est trompé absolument sur tout le reste. Je ne parle pas du résultat d’autres conférences avec d'autre
s britanniques de l’Inde. Plusieurs ouvrages (■!), plusieurs journaux parlent de cures et de prodiges. Le Times a registré le
magnétisme ne se Imrne ni à la thérapeutique ni aux recherches, pour parler le langage de nos affiches. Les affaires du corps
le. C'est lui, sans doute, le témoin oculaire de tous les jours, dont parle le titre du curieux ouvrage que j’analyse (1).
du jour où il serait élabli que l'âme mise eu une certaine condition, parle magnétismeou autrement, peut se passer des organe
cience de l’âme en peine et en prison. Cela est si vrai qu’au lieu de parler comme elle fait maintenant de nos merveilleuses f
eur merveilleuse audace, de leur liberté, de leurs conquêtes, elle ne parlerait plus lors que du fâcheux esclavage que leur impos
e, nous ferons connaître notre opinion sur son dernier chapitre. Nous parlerons comme magnétiseur et non comme méderin. M. Char
estes, il ne s’ensuit nullement que le principe de pathologie dont je parlais plus haut, le respect et l aide même des symptôme
1848. Prix : 5 Ir. C’est avec une sorte de crainte que nous allons parler du livre de M. Caliagnet. Nous n’aimons pas juger
la vision et non l’apparition. Mais comment se fait-il que les ombres parlent sans bouche matérielle ! Sans doute on objectera
és sous le rapport du charme des descriptions. Tous scs habitants y parlent comme de simples mortels. 11 me semble que l’âme
gnalé, est assez rare; mais si on y joint les circonstances dont j’ai parlé pour les malades qui changent de méthodes et de m
e genre d’action rentre dans le même ordre que celui dont je viens de parler . Une idée nouvelle se répand, les uns l'accueille
oint de doctrine, tout aussi extraordinaire que ceux dont je viens de parler . Ce point de doctrine consiste à prétendre que
différente de la matière, mais inhérente à elle. Hippo-crate aussi a parlé de cette même force élémentaire, qu’il appelait C
trouve naturellement sa place dans cette énumération. M. Ordinaire en parle en ces termes : « Sous le titre de magnétisme,
ns profond, sommeil qui se distingue quelquefois du sommeil ordinaire parles phénomènes les plus étranges. Le sommeil, dans ce
n est infiniment plus importante et instructive. Tous les auteurs qui parlent du lluide, subtil agent des phénomènes de la magn
ité du conducteur au nord, afin que ce même courant, qui se manifeste parla position de l’aiguille ai-mnntée, accélérât et en
œopathique, par le docteur Aug. Rampon. Ceci nous donne occasion de parler du pharmaco-magnétisme, imaginé par le jeune doct
ce dont il s’agissait: Le nommé Triaux, l’anti-magnétiste dont j’ai parlé dans l’un des précédents numéros, avait magnétisé
nge dans certains pays. Depuis lors l’engouement a cessé et l’on ne parle plus du pharmaco-magnétisme. En comparant ce qu
itude à l'égard des réservoirs magnéto-minéraux de M. Blanc puisqu'il parle du « transport électrique » comme appui. L’espr
uide magnétique, soit l’agent de la dissolution des glandes dont vous parlez ? El s il nous répond : Oui; uous lui demanderons
Et le 28 juin de la même année a eu lieu la réforme dont nous allons parler . Ces modifications ne sont presque que des addi
est sombre et nébuleux, et si l’amour-propre domine le somnambule, il parle comme s’il voyait réellement; quelquefoi» aussi c
aut d’abord que nos lecteurs écoutent les plaignants : leur raison va parler ; qu’ils entendent l'exposé de leurs plaintes et
celui où je me trouvai en rapport forcé avec les individus dont j’ai parlé , il se forma un aréopage que j’appellerai magnéti
5° Illusion (les sensations. » Le magnétiseur proposa que l’on prit parla main sa somnambule; qu’on lui commandât de marche
trouvaient constatés dans de nombreux procès-verbaux. Or, qui pouvait parler du diable avec une plus grande connaissance de ca
es ou fausses, consignées dans les procès-verbaux dont nous venons de parler , que s’emparaient avidement les jurisconsultes d’
était prononcé par les exorcistes, et en ce qu’une d’elles avait même parlé irlandais. Elles obéissaient à des commandements
é, j’aborde le récit, et pour le rendre plus naturel, je vais laisser parler le personnage en question, comme s’il recommençai
groupe de maisons dont je lis le tour pour bien m’assurer que la voix parlait toujours du même centre. Je revins donc me placer
nce pour la reproduire sur moi plus efficacement, et qu’il ne pouvait parla pensée seule me la transmettre d’une manière auss
ce genre de tortures ; mais n'anticipons pas sur les événements, j’en parlerai en son lieu et place. Je crois devoir faire remar
tentative infructueuse, je me rendis auprès de la personne dont j’ai parlé , et lui remis mes plans. Il est à propos de dire
mte de Beaumont. Il avait connu Mesmer chez Marie-Antoinette, et n’en parlait jamais qu’avec éloge. Les habitués de nos confére
enouard n’a pas cru devoir traiter la question du magnétisme; il n’en parle que par incidence. Cette abstcusion de sa part pe
taient l’art, la doctrine des Arioliens, ces guérisseurs habiles dont parle Moïse de Khorène? M. Re-nouard ne le dit pas, ain
Ces passages sont les seuls de VHistoire de Ut médecine, où il soit parlé du magnétisme; lésons en est trop outrageant pour
médiatement ma chambre pour me mettre à la recherche de cet homme, et parles moyens de direction que je possédais j’arrivais p
t dérangé dans cette opération tant par les personnes qui venaient me parler que par des parents que j’étais obligé de recevoi
rtions et donnait pour l’avenir plus de poids à mes paroles. Quand je parlais de mon état, on avait 1 air d'en rire, de le cons
sensations et de mes souffrances, et jugeant qu’elles étaient réelles parla conviction qu’ils en avaient puisée dans nos long
d compte d’une affaire de police correctionnelle dans laquelle il est parlé de somnambulisme. La plaignante,rendant compte de
mes inspirations pendant le sommeil. A peine avais-je commencé à lui parler , qu’il me dit qu’il quittait au moment même un de
ent, est plus à même de les analyser et de les décrire. Maintenant, parlons un peu de l’état actuel denotre malade, puisque v
t de l'inlerrogcr à ce sujet? M. Guinand jeune, auquel vous en avez parlé dans ce sens , m’a fait part do votre désir, et j
t, la « copie écrite. » Zoomagnétisme. — Vingt fois déjà nous avons parlé , dans ce Journal, de l’applicabilité du magnétism
Alors, tenant de chaque main ces moyens de répression, il commença à parler doucement à ce cheval, en lui faisant des signes
mp. » «Les somnambules, dit Bertrand (Traité du Somiumb. , p. 235), parlent souvent comme si un être distinct, séparé d’eux,
econde vue. » (Walter-Scott., Ivanhoë. ) Rollin ( llist. ancienne ) parle d’un homme dont la vue s’étendait à deux cents li
BIBLIOGRAPHIE. PHYSIOLOGIE, MÉDECINE ET MÉTAPHYSIQUE DU MAGNÉTISME; parle D' Ciurpignon , médecin à Orléans. Un vol. in-8,
pétons-le donc à ceux qui veulent marcher résolument vers l’inconnu ; parlez des bases fixes, immuables, que fait connaître l’
de Paris , M. Bérard, fait actuellement un Cours de Physiologie. 11 a parlé du magnétisme il plusieurs reprises, à propos de
il y eut sensible amélioration dans son état. • Je ne pus la faire parler qu’à la treizième séance. Elle se plaignit d’une
us d’une autre espèce, moins imaginaires que ceux dont nous venons de parler ; par des actes coupables qui ne manqueront pas d’
trevoir la nature? Mon ignorance me sauve du péril; cependant je dois parler sur des faits mystérieux, presque tous du domaine
ur des faits mystérieux, presque tous du domaine de l’esprit. Mais en parler n’est point les expliquer; et on peut exposer ses
14 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
e réponse que nous puissions faire à ces objections, c’est de laisser parler le célèbre Laplace. « De tous les instruments q
éplace brusquement. Aussi, comme pour l’exorciser, s’il est permis do parler ainsi, dès que la crise approche, elle l’entoure
icule. Dans de telles conditions, la sagesse nous commande de ne plus parler qu’avec circonspection, et surtout de n’expérimen
ganisations avec lesquelles on obtient des résultats palpables et qui parlent à toutes les intelligences. Je veux parler de deu
ésultats palpables et qui parlent à toutes les intelligences. Je veux parler de deux sujets offrants des phénomènes physiques
complimente la malade sur sa bonne mine. Comme je tiens à ce qu’on ne parle pas encore de magnétisme, on attribue ces heureux
ête fort lourde, et assez douloureuse. YqHS S£»vez que je veu* vous parler de Mrae San-t^fé ? — Oui. Êtes-vous disposée ^
présence d’esprit pour vous répondre avec politesse quand vous m’avez parlé après. Veuillez agréer mes excuses pour ce manq
voici enrôlé dans le nombre des sots , dont M. du Potet vient de nous parler ; des soi-disant incrédules, qui croient malgré eu
ou fatigué. . , MmeB., somnambule fort remarquable, dont nous avons parlé dans un article précédent (j), nuançait ainsi le
cret lui fut caché, afin, sans doule, d’exercer son génie. Ceux qui parlent d’immobilité, de temps d’arrêt, de retour en arri
nimalité pure qui incitait le cœur de quelques-uns; l’intelligence ne parlait plus, mais seulement de sauvages instincts. Ne vo
ues jours, de voir et de consulter une somnambule dont vous avez déjà parlé dans deux numéros de votre journal, Mrae Gournay,
is elle est toujours prête, toujours disposée, pendant son sommeil, à parler en vers, à improviser des quatrains, à adresser d
réellement le sens que nous attachons à la science magnétique ; sans parler , toutefois, des moyens de la pratiquer par l'empl
Swedenborg a connu le ipagnélismq et tous ses faits, quoique-sans en parler j le révélateur du monde des esprits , en vertu d
e concernant les entretiens des esprits avec l’homme.... L'esprit qui parle est dans tes mêmes principes que celui à qui il p
.. L'esprit qui parle est dans tes mêmes principes que celui à qui il parle , qu’ils soient vrais ou faux; de plus, il les exa
urs. Il résulte de cela qu’il n’y a que des esprits enthousiastes qui parlent aux enthousiastes; que des esprits quakers qui ag
ivement fausses et rnètiààti'gfoes. b‘ N° 1 gd2 : d Des èbpïlts qui parlent , il y en a peu qui doitèht êtrè crus. Rien n’est
a peu qui doitèht êtrè crus. Rien n’est plüs familier aux esprits qui parlent , qué de dire qu’unè chose est ceci ou cela; ear l
ssent-ils ceht, ils répondraient tous différemment... Aussitôt qu'ils parlent d’une chose qu’ils ne connaissent pas , ils disen
’était plus ressemblant.' C’èSt pourquoi il faut qüe ceux qui Veulent parlé * avec les esprits se tiennent Sür leur garde, de
s, j’ai été mis dans Cétat où sont les anges," et dans cet état, j’ai parlé avec eux; et alors je i comprenais tout. Mais qua
m’-a • semblé assez juste 4 et j’ai compris pourquoi, par lé contact, parle massage, par (Insufflation j’obtenais des effets
de marbre, et les adoraient. Vous vous trompez, car si les voyants parlent , c’est votre écho que vous on tendez. Ils sont im
es lois du destin, en ne mourant pas comme de simples mortels; qu’ils parlent des langues inconnues et ressuscitent leurs morts
gens qui voudraient pouvoir utiliser le télégraphe traumatique dont a parlé M. Jobard; mais les difficultés qui s’y rattachen
s hommes de l’art. Mais le docteur en question semblait oublier qu’il parlait à une femme, et qu’il assistait à une séance de S
En publiant quelques-unes dés lïomb'reuâes guérisons que j’ai faites parle magnétisme, je n’ai eu d’autre but que d'indiquer
ours a subi tant de*, péripéties-, qu’il nous a été impossible d’en parler jusqu’ici. Les deux première» leçons avaientatt
donnait lieu à une confusion de personnes. Ce jeune avocat a beaucoup parlé , rtiâis rien produit. EnOriçant dki résultats âd
médecin homéojpatf»e, qui ? dans un opuscule que nous avons analysé, parle un peu du magnétisme, l’a remplacé. Mêlant le mag
it reposer l’enfant, et lps explications commençèrent. Laissons, ici, parler M. Gandon. « Le président mp rpmerci^ beaucoup
-je, il peut contiriiuer, delà ne lé fatigue pas. Celte fois, je ne parlerai pas. « Et je commençai. A peine avaii-je mont
r vqir la jeune malade, qui n’hésila pas à lui dire ; « Vous venez de parler à.çe monsieur; je vous en « prie, iaissez-xppi, i
« — Porte?-moi fiu jwdin, a-t-elle dit; voilà tout* « — Lui a-t-ou parlé de moi? .j,:. .i;. « — Qui ; mais lorsque je su
rcher à en découvrir les causes. Déjà un magnétiste de Lyon m’avait parlé , à mon début dans la science, de cette étrange fa
aux facultés médicales la faculté poétique. Je pourrai, grâce à lui, parler aussi facilement en vers qu’en prose*. Je deman
jours, le consulter; mais il y avait tant de monde, que je ne pus lui parler . J’avais des soupçons sur le peu d’efficacité du
face de sa barrière, un individu lisait une affiche dans laquelle on parlait de somnambule, et la colla contre la barrière ; p
et la colla contre la barrière ; puis il ajouta : « Celui qui voudra parler au « médecin, donnera 10 fr. » Je n’avais pas cet
nous fûmes sortis, je dis au domestique que j’avais payé 10 fr. pour parler en secret au médecin , et que je voulais avoir ce
remier jour, 3o fr., le second a5 fr. Il exigeait 10 fr. pour laisser parler à son maître. Il croit que sa femme dormait réell
un cerveau fêlé. Je penche pour la seconde hypothèse, parce qu’il m’a parlé d’astrologie judiciaire , de religion : je crois
gistre des cas montre qu’elle a été prouvée d'une manière triomphante parle traitement d’au moins neuf espèces d'affections.
nt. Elle fit le même jour sa déclaration au commissaire de police, et parla du vol dont elle avait été victime à plusieurs lo
on, au lieu d'affaiblir ses soupçons, les confirma davantage; elle en parla au banquier, ctcclui-ci, non-seulement l’engagea
M. Alph. Esquiros, sur la vie future, dans lequel il sera longuement parlé du sommeil lucide, auquel l’auteur emprunte la pr
en avait jamais lu un seul ; et lorsque, dans son étal mesmérique, il parla des planètes, il ne possédait pas la plus légère
en, il m’a été donné de discourir avec vous (c’est à Swedenborg qu’il parle ), et d’être instruit par vous de ce qui concerne
se serve pas du langage des esprits, le seul qu’il lui soit donné de parler ? Car, ne dit-il pas, dans son traité du Ciel et
s anges peuvent prononcer, en partie, l’hébreu ; donc ils peu- venl parler un langage humain. Ou est habitué à de pareilles
nuit, et qu’ils ne comprenaient pas.— Quant à moi, pendant le jour je parlais , et pendant la nuit je ne me taisais pas. — Or, d
niers ne se rappellent aucune chose. Que si, par exemple, on les fait parler ou écrire sur des sujets qui dépassent leurs conn
qu’il ait écrit; au contraire, car il ajoute plus loin : irais moi je parlais pendant le jour, et la nuit je ne me taisais pas
ego autem per diem loquebar,ctpernoctem non tacebam). Or, unhomme qui parle tout le jour et toute la nuit, doit être nécessai
lité des fortunes, des talents et de l’intelligence dont nous voulons parler ; vous ne nous ferez point l'injure de croire à sa
: ■ Mon mari m’agace les nerfs ! ■ Ce sont les nerfs, etc. Vous parlerai -je de nos drames, Remplis de pleurs, d’assassinat
ercerez une fonction qui vous rendra égales à l’homme; et vous serez, parles nobles facultés dont la nature vous a douées , le
e toute la création; il est ce souille répandu sur les eaux dont nous parle l’Écriture : il sera désormais le flambeau qui do
i souffrent et qui espèrent; cette société de croyanls unis entre eux parles liens que forme la sympathie, vivant de la même v
, remords de tous ses pas, Témoin vengeur, providence cachée, Oui parle avec le crime, et dit tout lias: • Celte voit,
qo'il entend ; II enlr’ouvre son cœur quand il me sent paraître ; Je parle dans la voix dont s'inspire le prêtre, J'éteins,
me..... Et l’abîme u son ciel, et la nuit a son jour; L'indicible a parlé , la douleur a son baume. Le silence a des voix,
âme, et en acceptant ses rapports avec les intelligences supérieures. Parler des anges aux voltairiens, aux sceptiques, auxesp
recherches expérimentales, c’est ce que je fais. Trop d’écrivains ont parlé du magnétisme d’après quelques expériences incomp
nc du moment de calme où se trouvait déjà la somnambule, je commençai parla questionner ainsi qu’il suit : « Dites-moi, mon
ient pu rendre stables et profitables les principes du magnétisme, et parla empêcher les ténèbres et faire au contraire la lu
mènes de la seconde vue fictive et ceux du somnambulisme ? Allez donc parler aux gens du monde, et à bien des savants même, du
riétés de l’éther et du chloroforme. Allez, maintenant, magnétiseurs, parler de vos attractions et suspensions cataleptiques !
s, juin 1850. Chronique. — Mmc de Saint-Amour, dont il est beaucoup parlé , comme guérisseuse spiritualiste, dans les écrits
les écrits magnétiques, était dernièrement à Paris. — On a beaucoup parlé récemment d’un événement inattendu; il paraît que
FERMER. C’est encore d’un médecin, Messieurs, dont nous allons vous parler , M. le Dr Ferrier, de Caen. En suivant cet ordre
ement à ce que, dans l’ancien temps, on eût appelé un miracle, il fit parler devant tous les jeunes catalepliques, mortes en
de ce fait; ses conséquences sont trop bien senties; mais nous devons parler du dévouement avec lequel M. Gravé l’accomplit. V
lement disposé à écouter le savant en toutes choses , lors même qu’il parle de merveilles, tant on craint d’opposer des doute
e des mesmériens par une médaille de bronze. VIII. — M. YALLETTE. Parler aujourd’hui d’insensibilité à la doulenr, d’anest
e, soit par des faits, des discours ou des écrits. Nous avons souvent parlé de ses travaux : ajoutons-y encore quelques trait
c mon secours, fait presque des miracles, Tient à peine à la terre et parle en inspiré; Comme la Pythonisse en rendant ses
uite : 18 mai 1849. « Les moyens à employer (c’est la Sibylle qui parle ) pour découvrir les intrigues de votre adversaire
ongruel, se trouvait une dame qui disait être venue consulter, et qui parlait beaucoup, circonstance rappelée également par le
se fût annoncé comme le frire de sa femme, la sibylle ne voulut point parler devant lui ; au bout d’environ dix minutes, la da
r en prévenir celle-ci. Cette femme, pour nous donner le change, nous parla d’un vol dont ses maîtres avaient été victimes, e
fet, la somnambule y fut prise. Comme je l’avais prévu, avant de nous parler , elle causa avec la bonne comme pour lui donner u
condamnée â i5fr. d’amende. (Droit et Gazette des Tribunaux.) On parle d’une prochaine fournée de devineresses. Nous s
ol commis chez une portière du quartier de la Bourse, dont nous avons parlé page 229, les soupçons nés des indications de la
gnétisation volontaire; je laisse de côté les autres causes : j’en ai parlé dans mon dernier Irai té. Quelle est donc la ca
e laisser séduire par le spiritualisme du Dr Ordinaire, et convaincre parle rationalisme du Dr Perrier. Ce sont là, non deux
st pas par le fluide non du magnétiseur, mais ambiant dans l’univers? parla puissance que l’âme possède en elle-même? Mais il
avec M. Jacobs, honorable négociant de Londres , j’eus occasion de parler des phénomènes remarquables que j’avais rencontré
à la volonté humaine un foyer où se concentre le feu divin , et d’où parlent des rayons lumineux. Aussi, a-t-on dit avec raiso
, qui s’adressait aux fidèles assemblés: « Mes frères, c’est Dieu qui parle par la bouche de « l’illustre dominicain. Allez,
départis à chacun pour l’utilité de l’Église. « L’un reçoit le don de parler avec sagesse, l’autre de « parler avec science; c
e l’Église. « L’un reçoit le don de parler avec sagesse, l’autre de « parler avec science; celui-ci reçoit la foi, celui-là «
concours pour la dé- fensc sera légitime ; mais, le jour où la loi parlerait plus haut, force serait de s’y conformer. « Non
qu’elle fréquentait cette maison , sans avoir jamais eu l’occasion de parler à l’accusé. Le i4 juin dernier, vers neuf heure
qua l’éclairer : il leur importe peu de, comprendre la langue qu’ils parlent ; et on pourrait les comparer à ce moine hypocrite
si elles ne peuvent s’élargir, et comprendre le fait qui nous frappe, parlons de là, tâchons de dresser une théorie nouvelle, d
ent étonnant, bien autrement inexplicable que l’état de rêve. Je veux parler du somnambulisme, qui peut être naturel ou provoq
des émotions, des passions; il aime, il hait, etc. Le somnambule peut parler , écrire, calculer, dessiner, faire de la musique,
me répondit, ce qui était l’exacte vérité, que j’étais venu pour lui parler d’une dame à laquelle je portais un vif et tendre
i ses éclats de rire ; elle crut que je voulais plaisanter, que je ne parlais pas sérieusement. Eh bien! lui dis-je, je trouver
se souvenir, en aucune façon, de ce qui vient de se passer; il vous a parle , il a soutenu avec vous la conversation, la discu
aladie et de prescrire un traitement rationnel, qu’ils n’ont celui de parler une langue étrangère qui leur esl inconnue; ils n
plus fondé et de plus sensé sur le magnéiisme animal. Nous laissons parler noire auteur avec l'autorité de la science et un
as allée consulter la femme Mongruel? — Oui, monsieur,j’avais entendn parler de madame par la voie des journaux : je suis allé
e plaidoyer de M® Jules Favre n’a pas duré moins de deux heures. 11 a parlé des phénomènes magnétiques en homme initié de lon
15 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
tains cas succéder une réaction puissante. Ainsi la théorie dont nous parlons ne peut suffire, et il faut aller au delà. II.
ion de la moelle épinière dont elle reçoit des nerfs (2). M. Muller parle à peu près de la même manière. 11 assure, en effe
s de l'axe (1). Quoi qu'il en soit, le ventricule enroulé dont nous parlons est propre à la région des couches optiques. La c
expansion très-remarquable qui remonte vers le cervelet, et dont nous parlerons ailleurs. Dans la plupart des animaux, les cord
la rendre plus claire, il me faudra anticiper un peu sur l'avenir, et parler de structure : sans cet artifice, mes paroles dem
une conception plus parfaite de leur harmonie. Voilà pourquoi nous parlerons ici, mais sommairement, de structure. Qu'on se fi
résentent plus que toutes les autres cette divergence dont nous avons parlé . Cette bande se distingue au commencement de la v
détails indispensables compléteront l'histoire de ces parties. Nous parlerons en premier lieu de l'espace interpédonculaire ; i
aux du cervelet. Les autres sont les cornes latérales dont nous avons parlé . Les parties que recouvre la paroi antérieure d
analogies sont dissimulées par une modification dont nous avons déjà parlé , et qu'il faut maintenant expliquer plus au long;
déjà parlé, et qu'il faut maintenant expliquer plus au long; je veux parler de l'enroulement de toutes les parties de l'axe d
ius et le corps calleux; ajoutez à cela l'enroulement dont nous avons parlé , et la similitude, je veux dire l'analogie, est c
nes, la série des mammifères. Les trois masses, dont nous venons de parler , sont subdivisées en plusieurs lobes plus ou moin
le Gorille, si j'en juge par l'absence de la fossette dont nous avons parlé . Si le premier lobule du vermis latéral est rem
ment les différences intrinsèques des harmonies organiques. On peut parler d'une manière générale du nombre et de la compl
on intérieur. Or, le pli intérieur qui répond à la scissure dont nous parlons fait saillie à l'intérieur de la corne postérieur
ait à les changer aucun avantage réel. Les deux scissures dont nous parlons divisent la face interne de l'hémisphère en trois
ui existent entre la surface des hémlspbères et le crâne. J'ai déjà parlé de la relation singulière qui existe entre le lob
continue de la manière la plus évidente avec la tubérosité dont nous parlons . Une étude attentive de ces faits ne laisse subsi
accumulation de probabilités résulte une certitude. Nous venons de parler du bulbe, en tant qu'il résulte d'une modificatio
ductions qui n'ont point dans la moelle d'analogues visibles. Je veux parler des olives et des fibres arciformes. E. Les oli
gées dans une dépression du faisceau antérieur. Comme nous avons déjà parlé de leur forme, de leur grandeur et de leurs relat
forme, de leur grandeur et de leurs relations, nous nous bornerons à parler ici de leur structure. Cette structure est peu
je l'aurais voulu l'étude de ce singulier organe. F. Il me reste à parler des fibres qui composent l'écorce du bulbe. Ces f
it en effet alors que toutes ces fibres antéro-postérieures dont nous parlons naissent de la face postérieure des faisceaux moy
l'organisation; pour rendre ces choses claires, il faudrait à la fois parler , dessiner, modeler, démontrer sur la nature ; à t
ité des démonstrations. Quant au cervelet, M. Baillarger n'en a point parlé . Or, je puis assurer que sur ce point M. Hannover
de fibres antéro-postérieures sous-jacentes dont nous allons bientôt parler . Ce plan, émané du corps calleux, est le tapis
uiront à la découverte/l'un fait de la plus haute importance; je veux parler du plan que forment, dans l'épaisseur du centre o
ires des bandelettes optiques. Outre les expansions dont nous avons parlé , le corps calleux envoie : (a). Des plans fibre
des plus grands hommes qui aient jamais écrit sur le cerveau, je veux parler de Willis, signale dans son discours sur l'anatom
à mon tour, la préparation de M. Foville et, sauf le point dont j'ai parlé , le résultat qu'on obtient avec lui est incontest
trouver le rapport qui lie entre eux ces résultats opposés dont nous parlons . En effet, à priori, la différence des conclusion
la disposition de ces feuillets épanouis, lïnfo-liation du chou, pour parler le langage de Malpighi, n'est pas la même dans to
écouvrir cette origine. Il est alors visible que l'éventail dont nous parlons , résulte de l'épanouissement de la racine princip
avec le système de choses extérieures, quelque chose des rêves. Pour parler avec certitude sur ces choses, il faudrait avoir
Foville, pl. XX, fig. 5. Ainsi, dans l'homme, le système dont nous parlons est une commissure entre les deux hémisphères tou
les nerfs olfactifs et les lobes eux-mêmes manquaient ; on n'a point parlé de surdité. Viennent ensuite les tubercules quadr
ce centre de chacune des fibres périphériques qui s'y rattachent. Je parle ici de l'homme, car dans certains animaux très-in
mières. Pendant que les premières modifications dont nous venons de parler s'effectuent, l'embryon subit dans sa partie céph
isément induire en erreur. Quoi qu'il en soit, à l'époque dont nous parlons , c'est-à-dire vers la neuvième semaine, les vésic
ng, et les lobes optiques sont désormais relégués au troisième. Je ne parle pas ici des lobes olfactifs, qui, pendant toute l
ience, et dont la domination est encore à peine contestée. Quand on parle du cervelet, il ne faut jamais oublier la protubé
eloppement de chaque organe encéphalique pris à part. Après quoi nous parlerons de l'encéphale considéré dans son ensemble. Ces c
rps calleux et la voûte sont bien développés; dans le fœtus dont nous parlons , ils existent à peine à l'état de vestige. Les ve
immenses et dilatés en ampoules; ils ont, dans les animaux dont nous parlons , les dimensions réduites de l'âge adulte. Les cou
aissant normal, bien que fort inférieur en taille aux nains dont nous parlons , a des circonvolutions très-compliquées où tous l
auteur. Il élait admirablement proportionné, plein d'intelligence, et parlait couramment plusieurs langues; ce n'était pas là u
là un microcéphale vrai. Le fameux Bébé, quoique à peu près imbécile, parlait couramment. Sa lête était relativement fort gross
système nerveux céphalo-rachidien. (a) Valsalva l'un des premiers a parlé de nerfs allant à la durc-rnère. Il les fait déri
ns sont si dures qu'à peine peut-on les briser à coups de pierres. Il parle ailleurs (Calliope, XXII) d'un crâne sans sutures
cet égard, il y a beaucoup de différences entre les moyennes obtenues parles divers observateurs; c'est ainsi que la circonfér
sultats peu certains. § 5. Des déformations du crâne. Après avoir parlé des formes normales du crâne, disons quelques mot
ladies amènent , celles par exemple que produit l'hydrocéphalie. Nous parlerons de celles qui dépendent de certaines compressions
ation des centres nerveux. Les cellules multipolaires dont nous avons parlé , leurs connexions réciproques, les rapports qu'el
ervelet. On pourrait s'étonner peut-être de voir l'auteur dont nous parlons préférer l'hypothèse d'un entrecroisement à celle
mais il est probable que les fibres sensibles de tous les ordres, je parle de celles du tronc, ont àla fois un effet direct
eureux de pouvoir en dire autant de tous les organes dont nous allons parler . CHAPITRE III. DE L'ENCÉPHALE. § 1. Fonctio
rience, qu'elle est mieux expliquée par la théorie de M. Flourens que parles hypothèses de Magendie. Il eût fallu, pour conclu
imites sont anatomiquemcnl si difficiles à établir. Il nous reste à parler des lobes olfacUjs. Longtemps on les a pris pour
cet exemple ? Comment ne vit-il pas que toutes les sensations perçues parla muqueuse nasale ne sont pas nécessairement des od
forme de l'âme ne serait pas l'image du corps. L'Écriture « n'eût pas parlé de ses meihbres corporels, si ces membres « n'exi
tre absolu n'est que dans les substances élémentaires. Locke, qui a parlé de l'immatérialité de l'âme avec beaucoup de forc
ous connaissons l'esprit par les siennes. Nul, à cet égard, n'a mieux parlé que saint Augustin. L'âme, dit ce grand homme,
rable, sans doute, mais se rattache sans doute au phénomène dont nous parlons ici. 3° Un troisième ordre de sentiments locali
gré de la pensée et de la volonté. Les sensations dont nous allons parler maintenant sont d'une autre nature. Il dépend tou
remarqué un fait qui résulte de la symétrie des êtres animés, je veux parler de cette tendance naturelle et presque automatiqu
avec les sentiments humains, est donc le sens social par excellence. Parler à un homme qui n'est ni sourd, ni prévenu, c'est
si s'établissent ces échanges, ces liens invisibles que l'habitude de parler un même langage crée entre les hommes d'une même
ne même nation, on disait autrefois d'une même langue; et en effet, à parler des langues différentes on communique si peu qu'o
qui choque manifestement l'expérience commune. Le chevreau, dont nous parlions tout à l'heure, ne se meut point en sens inverse
r ses confrères par leurs noms, les caractérisait par leurs ouvrages. Parlait -il de l'un d'eux, il s'exprimait ainsi : « Mon co
homme né en Italie, et qui n'avait jamais été en Allemagne, se mit à parler tout à coup l'allemand, comme si un démon eût par
emagne, se mit à parler tout à coup l'allemand, comme si un démon eût parlé par sa bouche. Un médecin célèbre entreprit sa cu
. L'homme fut ainsi guéri; mais il perdit en même temps la faculté de parler l'idiome germanique (1). De même dans les rêves,
a mémoire, élevons-nous d'un degré dans l'étude de l'intelligence, et parlons de l'imagination. Les sensations résultent des
cette idée beaucoup d'éléments qui sont du domaine de la vue. Nous parlons ici de l'homme exclusivement, et il est indispens
e; dans le cas contraire, c'est la réminiscence. C'est ici le lieu de parler de certaines réminiscences de l'ouïe, parce qu'el
— Formey. Mém. de l'Acad. de Berlin. T. VIII, 1746, a beaucoup mieux parlé sur ce point. (2) De molu musculorum c. iv. (
mbule et l'homme éveillé étaient deux êtres différents (1). » Deleuze parlait , il est vrai, du somnambulisme magnétique ; mais
s de songes, Melp., § 184. — Béallie (Réflexions sur les songes, § 1) parle d'un homme qui avant d'être malade n'avait jamais
rs ont pu se demander comment on pouvait, dans le même quart d'heure, parler modes et philosophie, guerre et colifichets, agri
osophie, guerre et colifichets, agriculture et danse. C'est que, pour parler avec suite, il faut avoir un but, qu'on ne doit j
nt jamais eu grande créance chez les esprits sévères. Aristote, qui a parlé de ce sujet avec une extrême réserve, ne peut dis
e serait par exemple un combat naval. Souvent une chose dont on avait parlé fortuitement se réalise; qui empêche que cela n'a
t paralysée. Tel était encore le cas de cette femme dont Guntlier a parlé (1); elle rêva qu'elle recevait le fouet. Le mati
e et respire. Alors elle est chair, elle est vivante, elle agit, elle parle comme l'écho, en répétant sous une intonation par
ait avec horreur ces mystères nocturnes. Les rêves dont je viens de parler sont rarement primitifs. Ils se développent comme
es, marchait un jour dans de hautes herbes ; un de ses compagnons lui parle de serpents, on en voit souvent en ce lieu ; au m
les limites de cet ouvrage ne nous permettent aucune prolixité. Nous parlerons maintenant des hallucinations de ces sens, que l'
évidemment naissance, dans cette habitude des gens préoccupés qui se parlent à eux-mêmes. « C'est dommage, Guillot, que tu n
conseil de celui que prêche ton curé. » C'est ainsi que les Gascons parlent fréquemment, conversant avec eux-mêmes à haute vo
ela ne t'étonne point, ajoute Marcus, ne vois-tu pas que celui qui te parle de loin élève la voix? Mais s'il te parle à l'ore
ois-tu pas que celui qui te parle de loin élève la voix? Mais s'il te parle à l'oreille il murmure à voix basse. Que serait-c
mmes sur l'avenir (1) ? Les deux hallucinations dont nous venons de parler sont fort complexes. Dion et Brutus entendent le
i sont fort analogues à celles-ci, mais ce n'est pas ici le lieu d'en parler . Les hallucinations sont essentiellement des ph
cependant mes jambes sont de paille. Ce fou, pressé par son médecin, parlait comme Galilée con- (3) Cf. Moreau. Du Hachisch
être, en effet, la raison organique de ces merveilles. Après avoir parlé rapidement de ces actes anormaux de l'imagination
mille autres ont raconté des histoires pareilles. La religieuse dont parle Simon Maïole ne sentait pas des coups d'épingles
ns distinctement, parce qu'elle emprunte l'idiome russe que ce malade parle moins facilement que les autres. Ainsi, plus l'
beaucoup plus. Quelquefois « c'est une foule, une cohue; c'est à qui parlera le plus haut « et émettra les pensées les plus di
s; telle est, entre mille autres, la bizarre fantaisie de ce fou dont parle Boerhaave : il s'imaginait que ses jambes étaient
haînée et l'attention faisait défaut. Les troubles dont je viens de parler dépendent d'une excitation idiopathique et direct
n admission dans un hôpital de fous. Quand M. Calmeil eut achevé de parler , Glenadel lui dit : Monsieur, rendez-moi encore u
donna bientôt raison. Les tables ne tournèrent plus seulement, elles parlèrent ; que dis-je ? elles écrivirent. Un fluide, un ag
inations dans les astres, leurs voyages dans le monde sublunaire. Ils parlaient du passé et de l'avenir. D'ailleurs, assez impoli
chie. Les tables n'inspiraient plus la Pythie. Celte fois, le trépied parlait seul. Les portes du monde invisible s'ouvraient à
ue. Ici l'erreur n'est point possible, et cependant le fait dont nous parlons a, avec le mouvement des tables, la plus évidente
raisons d'un autre ordre, admit la (1) Tertullien a magnitiquement parlé de ces influences du regard. « Quantum velis lion
x jeunes filles unies par le côté dorsal de leur corps, dont Buffon a parlé (1), s'aimaient tendrement, mais se querellaient
l'oreille, et faciles à distinguer de ces dernières. Ces paroles, qui parlent des prophéties, des paraboles, s'accompagnent d'u
répond elle; et elle s'étonne quand le médecin ajoute : mais je vous parle sur l'estomac. Mettait-on sur l'estomac de la mal
ence arbitraires, et le prix que certaines castes privilégiées (je ne parle ici ni des Turcarets, ni des parvenus) attachent
sions savantes, point de syllogismes compliqués. Mais il y a là, pour parler comme Leibnitz, de véritables consecutions, en d'
ueilli sur ce point des observations du plus grand intérêt, dont nous parlerons dans un instant (1). § z. De l'intelligence.
s, est son privilège exclusif. Il est donc bien certain que l'homme parle , et nul philosophe, si absurde qu'il ait été, ne
it été, ne l'a contesté. Mais il n'est pas évident que les animaux ne parlent pas; et bien des gens affirment que chaque espèce
sonnette. M. Dureau de la Malle a raconté un fait semblable. Laissons parler le spirituel écrivain : « Un chien « fut amené à
réjouit le public. Dans ces mêmes circonstances, le Papion dont nous parlons ne se tenait pas pour battu. Saisissant sa queue
reau de la Malle; telle fut encore la petite chienne braque dont j'ai parlé ; mais, je le répète, dans l'ordre de ces actions
le langage, non par la raison, mais par la génération. On a beaucoup parlé de ces oiseaux qui, pareils aux hirondelles, diri
ne peut rien hors du domaine naturel de l'instinct, ce sont là, pour parler le langage de Leibnitz, de simples consecutions,
tit chien. C'était vraiment fort bien dit; en effet, bien qu'elle lui parlât toute la journée, il avait tout appris, hors à pa
ien qu'elle lui parlât toute la journée, il avait tout appris, hors à parler ; et ce n'était pas qu'il fût sourd, loin de là. P
On a très-peu d'exemples avérés de mammifères ayant, je ne dis pas parlé , mais imité quelques paroles de l'homme; car nous
Ces faits sont fort rares. Qu'en faut-il conclure? Que les mammifères parlent ou chantent? Non, sans doute, mais qu'ils imitent
en est de même des corbeaux ou des perroquets auxquels on a appris à parler . Ils répètent machinalement des phrases comiques,
ion de l'acte. C'est ainsi que le chien, dont M. Dureau de la Malle a parlé , aperçut empiriquement la relation qui existe ent
rte, après avoir attendu longtemps l'occasion d'y rentrer. Celui dont parle Creilingius n'apprit la même chose qu'après avoir
ai vingt « mots pour la même idée. Dans ma langue même, j'ai le « mot parlé et le mot écrit. Tout est signe pour l'homme, « t
is tout au plus ; ceci s'accorde assez bien avec le fait dont Leroy a parlé . On sait, dit-il, que les pies sont fort cautel
antérieure, et peut-être ces cas de duplicité morale dont nous avons parlé , reconnaissent-ils pour cause certaines affection
toutes les sensations le sont avec elle. Les faits dont je viens de parler peuvent être mis au premier rang parmi ceux à l'a
assent à peine en complication celles d'un fœtus de six ou sept mois, parlent ; mais aucun singe n'a jamais parlé. Un saïmiri a,
d'un fœtus de six ou sept mois, parlent; mais aucun singe n'a jamais parlé . Un saïmiri a, relativement au volume de son corp
ale que M. Baillarger m'a permis d'observer; cependant cette négresse parlait avec intelligence. Or, quel saïmiri a jamais appr
avec intelligence. Or, quel saïmiri a jamais appris, je ne dis pas à parler raisonnablement, mais à imiter machinalement une
16 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de l'administration de l'acéto- phénone, les malades se levaient, parlaient à haute voix, etc., et cela sans qu'aucune obse
rapeutique. faible dose, ces mêmes malades restent dans leur lit, parlent à voix basse, et les observations ont plus de p
e. * Dans ses accès d'agitation, cette malade ne cesse la nuit de parler , de converser à haute voix ou de réciter des priè
très turbulente. La nuit, elle reste couchée, mais chante, crie, parle sans répit. Du 8 au 11 décembre, on donne 0,90 ce
ple par alcoolisme, érotisme. Se réveille plusieurs fois la nuit, parle et crie. Cette malade prend pendant deux jours
ques jours ; le malade ne repose pas du tout la nuit et ne cesse de parler à haute voix. Pendant cinq jours consécutifs (d
potion ordinaire, en tout 1 gr. 65. Dès le premier jour, M. M... ne parle plus qu'à voix basse, mais pas de som- meil. L'
nuits, la malade ne dort pas, ne se couche même pas, et ne cesse de parler à très haute voix dans le dor- toir de ses proj
. Depuis son entrée, ce malade ne dort pas la nuit et ne cesse de parler , jeter des cris d'épouvante. Pendant dix jours co
s aliénés rusés, dissimulés, menteurs, et par pyromanes j'entends parler non des malades qui mettent le feu pour obéir à
s questions : « Je ne suis pas coupable, je ne sais de quoi vous me parlez ? » L'examen direct ne sau- rait être dans ces
épondre au médecin : «Je ne sais pas, c'est une idée qui me passait parla tête ». Inutile de les interroger sur es troubl
e que les confidences de quelques rares pyromanes assez francs pour parler en toute sincérité et assez intelligents pour a
oduisent là, car les pyromanes sont des paysans. Nous voici amené à parler des caractères propres à ces individus. Tous no
ps rusé, dissimulé, arriva à faire des demi-aveux, puis finit par parler en toute franchise. Ces confidences méritent d'
le représen- taient taciturne, sombre, fuyant la société, aimant à parler sans cesse de feu et à raconter qu'il avait reç
apercevoir que les dispositions noires de son esprit, son besoin de parler d'incendies coïncidaient avec les époques des c
le, la coïncidence des crimes avec la taci- turnité et le besoin de parler d'incendies, alors que d'ordinaire le sujet éta
ivement développée. Ce malade n'était pas complète- ment idiot : il parlait , bien que d'une manière très imparfaite; il com
iés dans ces dernières années, je citerai les deux suivants insérés parle D' Brunet, dans les Annales mé- dico-psychologi
'est encore à cette dernière que revient la prépondérance. Quand on parle d'affec- tions infantiles des centres nerveux,
appartienne aux cin- quante personnages mariés dont nous venons de parler ; les 49 autres n'ont engendré aucun enfant qui
ES. frais; autrement, c'est l'asile qui l'installe. L'appareil dont parle M. Freusberg est un cône enfoncé dans la porte
n est de même de la folie de la puberté; elle est évidemment formée parla succession de dépres- sions, délires hallucinat
vant midi, et se rendirent au village de Galz, dont nous avons déjà parlé . Etant entrés dans la maison où logeait la jeun
ils n'avaient pu observer si elle dormait réellement, parce qu'elle parlait sans cesse, même au moment où elle semblait le
Là, toutes les côtes faisaient saillie et n'étaient recouvertes que parla peau, absolument comme un squelette. Bien plus,
ient être à même de bien connaître le cas de la jeune fille et d'en parler sciemment, pour savoir depuis combien de temps
quel- ques petits détails à y ajouter. Premièrement, nous devons parler de la situation du pays où est née'Apolloniè et o
. Il me raconta également que la chute des cheveux, dont nous avons parlé plus haut, qui s'était produite du côté droit d
but du projet de la commission au nom de laquelle j'ai l'honneur de parler . Cette commission, le Sénat ne l'a pas formée à
rateurs, les hommes d'Etal, les publicistes, les magistrats,- et je parle des plus éminents, - sont condamnés à reconnaît
ement. On chercherait vainement le danger de leur association. L'un parle au nom de la santé et de ses besoins; l'autre,
le caractère de l'arbitraire, ils le perdent par leur union. Je ne parle que pour mémoire des responsabilités qu'ils dimin
rrivée à cette conclusion, que la sortie d'un des aliénés dont nous parlons n'aura lieu qu'en vertu d'une décision de la cham
ices ? Il serait surpris si je descendais de cette tribune sans lui parler de ceux qui vont être la suite de notre projet.
a révision. Assurément, je ne voudrais pas rabaisser la loi. dont a parlé M. le président de la commission en termes si j
Assurément, messieurs, c'était là une grande oeuvre, et puisque je parle de la création des asiles départementaux d'aliéné
fet où la loi a été faite, les expertises médico- légales dont nous parlons étaient un fait très exceptionnel. La science d
de celle qui, àsesyeux, est la plus importante de toutes : je veux parler des ar- ticdans le titre Ier, se rapportent à l
posés par la commission du Sénat dans la partie du titre 1" dont je parle . L'honorable M. Dupré disait tout à l'heure qu'
Je ne serai pas bien Joug. Un sénateur à gauche. Continuez ! (Oui 1 Parlez 1 parlez ! ) M. de GAVARDIE. Nous avons le temp
ai pas bien Joug. Un sénateur à gauche. Continuez ! (Oui 1 Parlez 1 parlez ! ) M. de GAVARDIE. Nous avons le temps, au Sén
historiques complètes. J'ai visité quelquefois ces cabanons dont on parle et qui étaient parfois scellés, pour ainsi dire
e plus en plus igno- rant... (Bruit et rires à gauche.) laissez-mot parler un peu librement dans ce siècle qui devient de
-là ! Non; il dit : « Apportez-moi une harpe ». De ce jour-là, sans parler des précédents, le traitement des maladies ment
l'était autant qu'une loi humaine peut l'être, et les abus dont on parlait , venaient tous j'aurai tout à l'heure à citer, à
qu'une loi humaine peut l'être, Il n'y a que cela à faire. On vous parlait des abus... Mon Dieu ! vous savez toutes les exag
Mais vous n'y avez pas songé 1 Chose singulière ! A mesure qu'on parle de progrès et de liberté, SÉNAT. 163 nous voy
ne absolument païenne et révolution- naire. On voit, à mesure qu'on parle davantage de liberté, cette intrusion de l'Etat
1 à droite.) Vous n'avez pas confiance dans la famille ! Vous me parlez d'in- convénients ; mais où n'y ena-t-il pas ?
tion, au choix des hommes et à la Providence dont aujourd'hui on ne parle plus assez. Voilà ce que ce grand ministre, qui p
à l'objet qui les produit, mais ne comprendra pas le sens des mots parlés . » Je ferai seulement observer que la surdité v
orales. Ces sortes de résidus, d'imprqssions spéciales, ou, pour parler comme M. Taine, de sensations qui ont con- serv
de répéter les mots prononcés par autrui; 4° l'im- possibilité de parler volontairement d'une façon cor- recte. Le plu
e trop loin (obtusion auditive verbale), n'empêche paslelau- gage parlé correct tant qu'il est spontané, et ne le rend
ot, évoquée par le signe écrit, suffit donc pour que les langages parlé et écrit soient corrects et en rapport avec l'idé
difficulté ou l'impossibilité de l'imagination volontaire des mots parlés . Or, pour que cette imagination orale soit poss
'ils s'entendent parler, bien que habituellement on ne s'écoute pas parler ; dans tous les cas, les sourds eux-mêmes, qui n
us les cas, les sourds eux-mêmes, qui ne peuvent pas s'en- tendre parler , se reprennent aussi ; leur mémoire des mouveme
p, il y a formation des images orales correspon- dantes; celles-ci, parla voiemp io actionnent le centre de Broca, io, et
lité dans tousses modes est intacte; aucune hyperesthesie. Quand il parle , surtout s'il parle depuis un peu longtemps, il
des est intacte; aucune hyperesthesie. Quand il parle, surtout s'il parle depuis un peu longtemps, il lui arrive souvent
us les sens. Ce même hoquet lui arrive aussi quelquefois sans qu'il parle . On constate parfois aussi des contractions mus
culier ; ces contractions sont aussi plus fréquentes quand le sujet parle . En observant pendant un moment les bras, ou vo
ches laborieuses, un certain nombre de tiaités dont les auteurs ont parlé de la température chez les épileptiques : Segui
a plus for- melle Wahnsinn de Verrûcktheit, comme on peut le voir parle rang qu'il leur assigne dans sa classification. E
e, tête brûlante, palpitations de coeur, constipation, insomnie; il parle constamment de Dieu, du diable, d'or : aucune s
ait rejeté ma mo- tion d'interdiction concernant l'aliéné dont j'ai parlé . Je n'ai fait aucune proposition semblable, n'a
à faire entrer le sourd- muet dans la vie de relations, à le faire parler même, et que, par d'autres moyens d'éducation n
rétin ne soient pas des aliénés proprement dits, je suis forcé d'en parler , messieurs, parce qu'ils ne sont guère' jusqu'à
partie de la population qui tombe sous les coups delà justice. Sans parler des impulsions maladives irrésis- tibles qui tr
te une catégorie d'indi- vidus très dignes de pitié, dont on nous a parlé et dont il est absolument nécessaire de s'occup
nion publique. Ce traitement religieux, dont l'honorable rapporteur parlait peut-être un peu légèrement tout à l'heure, ce
à présenter cette . SÉNAT. 275 exception, cette anomalie dontj'ai parlé dans la dernière séance, d'un Etat qui exerce u
xaminons a trait à une autre question que celle dont nous venons de parler et dont il me reste à dire quelques mots pour r
mon but en proposant cette adjonction. Du moment que la commission parle d'un tuteur, c'est qu'il s'agit d'un mineur ou
malade par des liens intimes, parenté ou tutelle. M. DELSOL. Nous parlons , nous, des aliénés étrangers, c'est-à- dire qui
e je trouve dans l'article h du projet. Dans l'article 67 on nous parle de dispositions pénales, c... de cinq jours à u
dans la famille proprement dite, par les proches parents dont on a parlé tout à l'heure. Cette disposition s'applique aux
! L M. ROGER-MARVAisE.'Je demande la parole. M. LE Président. Ne parlez pas tous à la fois, messieurs; c'est le moyen d
être immé- diatement placé dans la catégorie des étrangers dont un parlait tout à l'heure et assimilé à un directeur d'asi
A la séance suivante (le 6 janvier) M. le D'' Savei-Moouilewitsch a parlé « Des principes de l'organisation d'it ? ze maiso
nt du traitement, ne pourront être envo- yés à ces travaux. Ils ont parlé ensuite contre la suppression ab- solue de tous
s à onze mois, il était alors maigre et ché- tif, ne marchait ni ne parlait , on ne sait s'il avait eu des con- vulsions, la
jusqu'à quatre ou cinq ans presque toutes les nuits. Il a marché et parlé à seize mois, a été pro- pre à la même époque.
extrait de la prison de Gaillon et réintégré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j'écrivis une lettre à M. l
ion du lecteur pour qu'il soit superflu d'y insister : nous voulons parler de son- arrestation, de sa condamnation et de s
s faible, et la jambe droite est plus courte que la gauche ; il n'a parlé qu'à sept ans; 11" garçon intelligent, mort à t
é de dix à douze mois ; il était gros et fort. Il aurait commencé à parler vers huit à dix mois ; 346 CLINIQUE NERVEUSE.
ider : une première fois, il y cinq 1 Tous ses frères et scpurs ont parlé de bonne heure ; la dernière par- lait très bie
départ toujours courant ; la face était pâle, livide ;il se remit à parler après quelques instants. Trois jours après cett
ervation de son intelligence. La facilité avec laquelle il se mit à parler après six années de mutisme nous démontre encor
lent Esquirol, Georget.Morei, Guislain, etc., ce malade n'aurait pu parler si facilement. Une certaine éducation lui aurai
algésie. - Cyanose des extrémités. Répond à peine aux questions, ne parle pas de ses hallucinations. Pupilles égales, pet
t, dans la cour, gardant l'immobilité la plus complète. Refuse de parler , ne répond même pas par signes, mais ses yeux sui
our de lui. Il semble n'entendre ni ne voir les per- sonnes qui lui parlent et cependant l'expression de son visage est cel
demande s'il a eu du plaisir à boire, il fait signe que oui. On lui parle de le faire déjeuner avec des huîtres, des truf
épond nettement : « du bifteck ». On le presse de questions, on lui parle en souriant et. en lui cares- sant le visage. S
rrière, il dit : « A l'assassin. 01), le méchant ! » Il n'avait pas parlé depuis plusieurs années, si ce-n'jest quand on
s des aliments tout seul et les porte à sa bouche. Aujourd'hui il a parlé assez longuement avec un de ses camarades qui l
u- coup. z4 Juin. S'est levé et habillé seul, À mangé seul et a parlé à plusieurs reprises différentes mais il emploie
ues- tions qu'on lui pose. Ne veut pas dire ce qui l'empêchait de parler . La tuberculose fait des progrès. Sueurs et fièvr
malade soit la cause de la di- minution de la force de résistance à parler . Il y a la, sans aucun doute, une corrélation d
rvation I. Surdité verbale incomplète. Imagination normale des mots parlés . Défaut d'amnésie verbale. Articulation des mot
e un murmure confus, inarti- culé, sans signification. Quand je lui parle naturellement, sans précaution, sans renforcer
nde s'il peut à volonté imaginer, se représenter mentalement un mot parlé . Il n'a pas trace apparente d'amnésie verbale.
ire et de les comprendre, la possibilité de se représenter les mots parlés (rêves) et le défaut d'amnésie orale et de trou
sayait de lui faire saisir en élevant lavoix..le me mis alors à lui parler très bas, mais très lentement, en scandant les mo
s entendues et peut se représenter mentalement, à volonté, les mots parlés . DE LA SURDITÉ VERBALE. 371 Ici encore la sur
trouble de l'ar- ticulation des mots. Imagination possible des mots parlés . B... (Louis), né et domicilié àCh... (Gard), â
es gestes et l'expression de sa physionomie : * avant qu'elle m'ait parlé , dit-il, je sais ce qu'elle veut dire. » Pour u
e que de la droite, et il tend toujours la première, quand on lui parle ; en réalité la différence, si elle existe, me pa
tres. Je donne- rais bien ma fortune pour être guéri. Quand on vous parle est-ce que vous n'entendez pas le bruit de la v
autre trouble à signaler dans la sphère du langage soit écrit, soit parlé . A la suite de notre entretien, B. Louis, entho
X. F... et de B. L... que le centre des images orales était suppléé parle centre des images écrites, puisque la mémoire d
ive, caractéri- sée par la possibilité de saisir nettement les mots parlés , de les imaginer et de les prononcer correcteme
ubler l'équilibre psychique; le malade ne délire pas à pro- prement parler , il raisonne à faux, c'est un paradoxal (folie
maladies mentales les différentes formes de Paranoïa3. A proprement parler , Morselli semble n'admettre que deux formes typ
aire dégénérative fait partie du sous-groupe des Paraphrénies formé parles dégénérescences psychiques (Pa- raphrénies dépe
canal. Au-dessous de la racine de la verge donne le méat urinaire. Parle toucher rectal on constate en avant et au nivea
ectification au procès-verbal de la séance..de samedi. Lorsque j'ai parlé , à la dernière séance, de l'homme qui le premie
grande ignorance des questions que j'ai à y traiter. Puisque j'ai parlé de Séguin, je dois ajouter que ses travaux écri
imple 'observation. Les deux réserves dont M. le président vient de parler ne peuvent être mises en discussion que lorsque
arbitraire, l'aliéné appartenant aux familles les moins favorisées parla fortune. Pour tous, le vrai refuge c'est l'asil
ures, les aliénes qu'elles veulent garder auprès d'elles. On nous a parlé de ce pavillon construit dans un parc afin de n
à soigner... M. LE marquis DE Carné. C'est de l'article 8 que vous parlez ! M. GAZELLES. Oui, mais l'article 8 se lie int
nt a été de prendre une sauvegarde contre les séquestrations faites parles familles. Maintenant, faut-il ajouter que la pe
17 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ombreux et des privations. Quelle que soit alors l’énergie déployée parle magnétiseur, la dose de fluide émise et la sensib
oppées. Ainsi, nul ouvrage n’existant en anglais, les peuples qui parlent cette langue se trouvaient sans moyen de s'instru
hine était fort commode pour l’expérience comparative dont nous avons parlé plus haut. Ce n’était pas aux somnambules qu’on r
quelque chose que je ne montrai qu'à M. Regazzoni, en le priant de ne parler qu’italien. C’éiait la grenouille. 11 la vit, et
es, et cela d’une manière tout à fait désintéressée. « Le fait dont parle le Dr SchiiT, relatif à une fille qui lui fut pré
mourir. Il avait précédemment adhéré à la doctrine magnétique, et en parla plusieurs fois avec autant de savoir que d’éloque
mpter sur le respect de la part des médecins. —Le malade dont je vous parle offrait un cas de démence bien constatée, et une
des procédés des Indiens qui guérissaient du choléra à Cadix, et dont parle votre Journal. C’est du magnétisme tout pur, et l
es. — Les opposants au magnétisme sont de plusieurs classes ; nous ne parlons ici que de celle des médecins; elle est la moins
e est nécessaire ; car il faut savoir attendre le moment où la nature parlera , puis faire bon marché de la reconnaissance des m
es drogues, à l’opium, au haschich, etc. ; les voyants du Caire, dont parle M. de Laborde dans ses voyages , n’avaient qu’à c
es drogues, à l’opium, au haschich, etc. ; les voyants du Caire, dont parle M. de Laborde dans ses voyages , n’avaient qu’à c
perdu son plus puissant attrait, la nouveauté. Mais il y est beaucoup parlé de Mesmer, du magnétisme, du Dr Despine, du somna
simples conjectures. On objectera peut-être qu’alors les tables ne parlaient pas encore, et que l’intelligence manifestée par
à Lyon, chez un vieux négociant, que j’entendis pour la première fois parler de magnétisme et d’une somnambule que l’on se pro
uillard, comme de la fumée, et cela m’empêche de voir ce monsieur qui parle là-bns... » Elle fit pendant une heure des effo
et c’est assez. Elle est joliment contente, la jeune personne. Ne lui parlez pas de remèdes en ce moment; elle rit trop avec s
ître ceux de leurs enfants... Et bien, moi, j’ai mon bon ange, qui me parle par la bouche et voit par les yeux (de l’esprit)
passé. Elle avait recommandé, pendant son somnambulisme, qu’on ne lui parlât pas, dans son état de veille, de ce qu’elle avait
; il est fou ou comme fou. Son état est difficile à peindre. Il veut parler , il ne le peut. En vain fait-il des efforts. Il t
Ah! grands maîtres des écoles! vous haussez les épaules quand on vous parle de magnétisme. Vous souriez d’un air supérieur et
difficile de tirer une ligne de démarcation entre les deux. Ainsi, le parler ordinaire dans le sommeil peut être rapporté à l’
re condition, suivant la définition qu’on adoptera dans la nôtre ; ce parler appartient au somnambulisme, parce que les mouvem
une impression. Toutefois, avec un peu d’adresse, on pouvait la faire parler sur toute espèce de sujets, il suffisait de ménag
aduellement les transitions. « Le cas bien connu de l'officier dont parle le docteur James Gregory appartient à cette class
t été très-at-tachée et l’avait soigné dans sa dernière maladie. Elle parlait constamment de lui, retraçait toutes les circonst
ns nous-mêmes été particulièrement frappé dans le somnambulisme amené parle procédé hypnotique deM. Braid (1). Nous avons (
nt un autre au-dessus avec autant de précision que s’il eût été guidé parla vision. L’impression donnée ici par le sens muscu
M. Braid, soit par une suggestion appliquée directement, si l’on peut parler ainsi, à ces muscles mêmes, soit par une suggesti
elle elle fait croire, et qu’elle débarrasse de ses souillures ! Je parlerai brièvement de la rotation des tables et autres in
ette faculté croient que des esprits leur apparaissent et qu’ils nous parlent par leur intermédiaire. Assistons à une séance
uvement. Cette table est celle de quarante-cinq kilogr. dont il a été parlé . L’expérience ci-dessus décrite me fut suggérée
sont les deux premières), nous dirions pour toute réponse qu’elle ne parle pas non plus de l’existence du Nouveau-Monde, ni
maine n’exige ni études, ni connaissances préliminaires », il ne veut parler que de la possibilité physique de magnétiser pris
Ceci, du moins, est net et précis, et c’est bien l’abbé Caupert qui parle . La division en trois groupes principaux des nuan
ende-Dorée elle-même nous fourniraient nombreux et puissants. Nous ne parlerons donc que pour mémoire de saint Jérôme et de saint
a livinité elle-même. Quand je dis magnétiseurs, je n’entends point parler de ces hommes qui endorment un somnambule ou magn
uter de l’existence des esprits ; mes somnambules en voyaient et leur parlaient . J’avais moi-mûme communication avec eux, et je c
l n’est pas douteux qu’il y a un immense avantage ii pouvoir obtenir, parle moyen d’un meuble peu coûteux et maniable ce nous
et moi aussi. Ce qu’il convient de vérifier, c’est si l’esprit qui parle se trouve effectivement dans la table, ou si c’es
e ne magnétiserais plus jamais personne, excepté les malades. On ne parle ici que d’un somnambule anglo-américain d’une gra
ter les suivantes : D’abord celle de mon beau-père, dont je vous ai parlé l’an dernier. Puis un cas d’aliénation mentale.
Celle-ci en une seule séance.) Je ne puis résister au désir de vous parler aussi d’un jeune garçon dont la naïveté nous a di
t qui avait assisté à la scène de conjuration magique dont nous avons parlé , raconta au mari de cette fenune tout ce dont ell
es ces cérémonies n’ont rien arrêté ; les somnambules ont continué de parler , les tables de tourner et de jaser à leur manière
re des signes auxquels on reconnaît les cas de possession, le fait de parler en langues inconnues. Ceux qui ont établi ce crit
rium ont pensé, avec quelque apparence de raison, qu’un homme ne peut parler une langue qu’il n’a pas apprise, à moins d’être
nt, et la motivât. Bien que, dans sa seconde partie, dont nous allons parler tout à l’heure, il se montre partisan des esprits
ues; 2° Le je ne sais quoi avec lequel l’auteur s’est entretenu, ne parle et ne comprend que les langues que sait l’auteur
Les conséquences sur son moral pouvaient en être fo;*t graves ; sans parler des inconvénients qui en résulteraient pour sa fa
le malade s’exposait sans le savoir. Préoccupé de cette idée, j’en parlai à un de mes parents qui connaissait le Dr Dugnani
éunis, j’exprimai l’opinion émise auprès de mon frère, et j’en vins à parler des sorts, si redoutés par les gens de la campagn
n confiant en lui-même, et surtout ne. prenne pets peur. Je laisserai parler les faits. La première malade sur laquelle j’eu
isez : éminent. 2° MAGNÉTISATION A TEMPS. Le somnambule dont j’ai parlé l’année dernière (t. XIII, page 48), présente un
par tempérament, quelquefois insensible par abrutissement ou inanimé parla maladie même, qu’on nous dise où est l’action psy
dire tous, ont individuellement éprouvé. Tous, et il nous suffit pour parler ainsi de faire un appel à nos propres souvenirs e
état. Transporté dans cette vie merveilleuse, le somnambule (et nous parlons ici seulement de certains sujets rares et privilé
tions, et qu’à la seconde le liquide était trouble et odorant; on m’a parlé aussi de lavements d’urine, d’herbes choisies et
iquité par les gynmosopliistes de l’Inde, par es mages de la Perse et parles initiés aux grands mystères, le magnétisme paraît
nétisme animal. Ce n’est pas un initié aux mystères du magnétisme qui parle , mais un ancien praticien qui, dans un cas désesp
evient à la peau, la respiration redevient normale, et la malade nous parle . Nous laissons couler 7 à 800 grammes de sang, et
e, le mcilium n’éprouve aucune secousse. Ainsi, dans le cas dont vous parlez , la somnambule, qui est le véritable medium, n’ép
i, et que ce pauvre éther, ce fluide universel dont les physiciens ne parlent jamais qu’avec crainte et comme «l'un être pure
s grandes questions métaphysiques, physiologiques et physiquesdontils parlaient à chaque instant, et ne s’y sont jamais arrêtés.
étions par la nature du sujet? Nous avions d’abord l’intention de ne parler que du Magnétopkile de Turin, et peu à peu notre
seront acceptés par tout le monde........................... Ainsi parlions -nous dans la Revue franco-ilutienne du 29 mars ;
e sera la Justice. « Je me prive volontairement, messieurs, de vous parler des croyances religieuses, et sur quoi elles se f
savants de cette époque. Ce n’est point l’orgueil qui nous fait vous parler ainsi, et pour exalter chez vous le mérite que vo
ns de magio naturelle; enfin, sa théorie sur le miroir magique, où il parle effectivement d'esprits animaux etd esprits ambia
n des maladies par le concours du somnambulisme lucide, je ne vous en parlerai pas, messieurs, convaincu que, sur ce sujet, votr
présomption qu’il puisse paraître y avoir en cela de ma part, de vous parler d’un fait qui m’est tout personnel et auquel je b
nds succès par le moyen de cet agent. Le conseil m’en avait été donné parle Dr Hublier, de Provins, qui s’occupait lui-même d
maladies ressortissant de l’art vétérinaire guéris encore. Je ne vous parle point de centaines d’autres cures dont j’ai été e
ures dont j’ai été en outre depuis le témoin ; bien moins encore vous parlerai -je de celles dont j’ai moi-même été l’auteur depu
réunis! et cependant ce n’est rien encore, messieurs, car je ne vous parle ici que d’un seul point de la France, et quoique
ut le globe. Eh bien! supposez, par la pensée, le calcul dont je vous parlais tout à l’heure accompli par tous les magnétiseurs
uper et s’emparer de la pratique ostensible de celte humaine faculté, parla raison que leur intérêt personnel coin-sidera tou
restent toujours dans leur statu quo. Al. de Mirville, après avoir parlé de l’impossibilité dans laquelle moi et les perso
torisés par notre évêque, comme le rituel l’exige. Je me bornerai à parler des autres moyens auxquels l’enseignement catholi
approchant souvent des sacrements, surtout le’digne évêque dont j’ai parlé , et moi, nous étions sans foi ou du moins avec un
du lunatique à cause de leur incrédulité et de leur peu de foi, nous parle du P. Ventura paralysant complètement les tables
ontradiction avec moi-même lorsque, refusant aux tables la faculté de parler des langues inconnues, je reconnais cette faculté
’il s’était trompé en rapportant le fait du P. Mario. M. le marquis parle ensuite de cet esprit qui écrit le Pater en espag
ous faites comme tous ceux qui disputent sans jamais s’entendre; vous parlez d’une chose quand il s’agit d’une autre ; et, par
is la chose n’est cependant pas aussi simple que vous le croyez. Sans parler encore du somnambulisme, ne vous arrive-t-il pas
Plus de lumière, plus de chaleur, plus d’électricité ! Qu’01111c lui parle plus de ces fadaises. C’était bon de croire à ces
mmeil, par exemple, etsurtout dans le somnambulisme naturel ? Pour ne parler que de ce dernier, quel est le sens, je vous prie
le désir de mourir; enfin, dans des cas excessivement rares, audition parle creux de l’estomac et le bout des doigts et commu
e moral devait naturellement subir le contre-coup. La statue, dont il parle , inclinait réellement la tète, le tableau saignai
vec la disposition cérébrale de M. Segond, je veux dire celle dont il parle et qui fait la base unique de son système, il exp
n digne, par son insouciance et sa cruauté, de ces médecins dont nous parlions tout à l’heure? Eh quoi ! vous avez à votre dispo
es éclatants, disons-nous, dont M. Segond a grand soin de ne pas nous parler , ont bien, quoi qu’il en pense, une valeur supéri
, propriété qu’il partagea avec Achille et Vespasien. » Que Thouret parlât ainsi qu’il l’a fait, cela se comprend encore jus
pus au public des résultats bien différents de ceux de Thouret? Sans parler de Paris, où ils abondent, il n’v a peut-être pas
efuse au témoignage de ses sens, si, comme ces pécheurs endurcis dont parle le Psal-miste, il a des yeux pour ne point voir e
grand nombre, —presque tous ceux qui ont écrit sur le magnétisme, ont parlé de son application au traitement des maladies; et
iques qu’exécute naturellement la mère. Que l’enfant qui commence à parler se heurte, et il présente en pleurant son Iront o
fficile, et qui, en réalité, ne l’est pas plus que dans celle dont je parle . M"10 Leroy (Alexandrine), âgée de trente-cinq
té de guérir, de consoler (ojntulari), «lo dominer (guberuulorcs), de parler toutes 1rs langues (generis linguarum), de les co
sont-ils des Puissances? Tous ont-ils la fac iltü de guérir, celle de parler les langues, celle de les comprendre ? » Tome X
té, (I) Voy. Journal du magnétisme, t. XIII, page 2S5. Elle doit, parla même raison, exalter chez le sujet sa croyance à
nce des époux J'ai appris que deux ans après l'amélioration dont j'ai parlé et qui avait fuit croire à uuc guérison absolue,
eillante que les êtres peuvent exercer l’un sur l’autre. Nous voulons parler de l’exorcisme. Il est bien entendu, dans tout
sais que si le coup était bien visé, le corps serait atteint. A ne parler que des cas qui ont laissé des traces historiques
on, qui était si commun chez les badauds du moyen-age. Cependant on parle 1 un certain policenum du troisième district, qui
gle se développa avec assez d’intensité pendant la seconde nuit. J’en parlai avec les gens qui me servaient de guides, et je r
upé de retrouver sa caravane. Delà, toutes les hallucinations dont il parle . Cela me fait souvenir que moi-même, il y a quatr
al. L’occasion était belle pour faire revivre les dénions dont 011 ne parlait plus. O11 en est donc venu à discuter sérieusemen
s examiner sérieusement et chercher la loi qui les régit. Encouragé parle succès de sa première publication, M. de Mirville
t qu’un mois avant l’opération qu’elle consulta M. Tubbs. Je laisse parler maintenant le docteur Elliotson : ..... « M. Tu
que, mais, ainsi qu’elle nous ledit ensuite. elle pouvait entendre et parler , avaler et marcher, bien qu’elle fût incapable d’
ttacher la maladie actuelle à aucune affection nouvellement ressentie parle jeune malade: elle fut le résultat d’une cause su
er a pu contribuer à exagérer la disposition nerveuse dont nous avons parlé . Du reste, jamais on n’a observé sur lui, dans le
est pris d’un délire intense pendant lequel il exprime son effroi et parle des différentes impressions qu’il a ressenties en
pléera par des bavardages débités avec assurance, ou fera adroitement parler le consultant, puis 011 trouvera moyen de l’étonn
la volonté des personnes qui les mettent enjeu; les tables tournent., parlent , se font l’écho fies pensées des opérateurs, conv
Dans le temps où, dit M. Tliury, chacun s’amusait à faire tourner et, parler des tables, ou à conduire sur le papier des crayo
rattachent naturellement à la question que nous traitons. Nous avons parlé du fanatisme, et nous avons repoussé la valeur tr
pas et dans lequel tous tombent sans l’apercevoir. En ellet cet homme parle , et ses adversaires peu à peu ébranlés, émus, hés
ue jamais des objets inorganiques n’ont été mus par le magnétisme, je parle d’une façon trop absolue; car plusieurs opérateur
tructions. » Jean est l’autre intelligence conseillère, dont il fut parlé tout à l’heure. C’est le type suave d’une délicie
dans leur langage, dans leurs mœurs et dans leur sommeil! Les fleurs parlent , vivent et dorment !... Je savais tout cela !...
peuvent produire à plus forte raison les autres phénomènes dont on a parlé , et, par exemple, mouler de la cire sans être obl
pour reconnaître qu’il n’y avait rien de plus merveilleux. Quelqu’un parla d’un cas où une clef avait été enlevée d’une port
se mettre au-dessus des sens; mais cet état est fort rare, et il faut parler ici de ce qui est ordinaire & l'entendement.
du malaise, signe toujours certain d’une crise. Cependant, qu’on lui parlât ou non, les crises n’en avaient pas moins lieu, à
on venait à prononcer devant elle le nom de marchand, de même aussi à parler soit de Dieu , des saints, hommes ou choses ayant
ms de marchand, de Dieu, des saints, même le mot ciel, aussi bien que parler religion, j’ai amené des accès immédiats ; si on
bien que parler religion, j’ai amené des accès immédiats ; si on lui parlait de son père, on était loin de produirç les mêmes
se calma. Le pinceur était allé ailleurs continuer ses cures. On on parle moins, maison en parle encore; parlons-en si vous
était allé ailleurs continuer ses cures. On on parle moins, maison en parle encore; parlons-en si vous le voulez bien. Un j
leurs continuer ses cures. On on parle moins, maison en parle encore; parlons -en si vous le voulez bien. Un jour on apprit en
; il montre l’avenir de cette belle découverte ; il espère même que, parles progrès du somnambulisme, on pourra perfectionner
ignes d’être étudiés, parce que nous nous en moquons et que nous n’en parlons qu’avec un dédain très-peu philosophique. » « U
ux fixés sur un buisson à environ vingt verges (1) devant lui. On lui parla , mais il ne put répondre. On le secoua poulie tir
ts de doigts, mais que je craignais bien de ne pas réussir. « Je ne parlai à personne de la suggestion de l’esprit, décidé à
: pensez quelle société! Je n’ai pas encore eu lu moindre occasion de parler de mes découvertes et de mes connaissances. » C
r corps n’en ont pas plus de souci que le cousin de sa gaine, et n’en parlent qu’avec mépris. Quand on a assisté, comme nous, à
ser pleine liberté à leurs sujets en leur inculquant l’habitude de ne parler que quand ils verront bien, ce qui est facile à o
un autre esprit s’en empare et le fait manoeuvrer à sa guise, le fait parler , écrire et penser d’après ses facultés qui n’ont
nt et que l’autre s’en va; ce qui explique comment l’esprit d’emprunt parle souvent à la troisième personne de celui qui est
— qui se mettent en contact avec des personnes, 577, 581, 621; — qui parlent , 578, 620 ; — qui créent des corps d’une durée pa
18 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
tion, nouvelle panacée universelle. « Celui d'entre nous qui aurait parlé , il y a trente ans, de traiter ses malades au moy
médecin est maître de la place : le fumeur cassera sa pipe, et je ne parle pas au figuré. VI Mais quels moyens employer?
t de son rêve et semblait surprise lorsqu'on lui disait qu'elle avait parlé en dormant. La mère de la malade nous avait app
rlé en dormant. La mère de la malade nous avait appris que sa fille parlait souvent eu dormant. Depuis quelque temps, j'obs
mbait très facilement dans l'ordre d'idées suggérées. Ainsi, je lui parle devant vous d'une lutte survenue entre deux homme
le de mourir comme cela... » Je change le cours de ses idées et lui parle d'une parade de la foire : deux clowns amusent la
le sommeil normal. En effet, ses camarades lui ont souvent dit qu'il parlait à haute voix en dormant. Ils se sont amusés a lui
ort avec l'opinion courante chez beaucoup de gens qui, lorsqu'on leur parle de les endormir, s'empressent de vous dire : « Su
endormir, s'empressent de vous dire : « Surtout, vous ne me ferez pas parler en dormant Chez les deux sujets que nous avons
me qui, directement, avec l'aide des intermédiaires exécutifs, pense, parle ou écrit. Tout sentiment, toute sensation, toute
que se produit le plus distinctement la dualité dont je viens de vous parler . Ainsi soumis à ce délire de son imagination, l
ais dans la même direction, sont-ils si avantageux? Tous ces faits ne parlent -ils pas clairement pour une orientation par la vu
maitre de conférences a l'École des hautes études. Je voudrais vous parler d'un cas récent et fort curieux d auto-suggestion
spéciale; elle ne voit ni n'entend (par hypothèse) ; elle ne peut ni parler ni mouvoir ses membres, flasques et pendants; la
nt i droite. La malade entend les sons et les bruits. Mais, si on lui parle , elle se borne à tourner insensiblement la tête d
ques millimètres carrés les uns des autres. B..., qui entend et qui parle , ne voit pas (toujours dans l'hypothèse). Rainald
s, jue de leçons dont nous nous efforcions de faire notre profit. « Parlerai -je ici du charme des relations que vous savûz éta
rs j'ai affirmé qu'avant huit jours la guérison serait radicale. J'ai parlé haut et ferme, j'ai ordonné, et les effets de la
, je m'occupai de la parole et commençai à lui suggérer qu'il pouvait parler . Je lui fis d'abord répondre : Oui, a certaines
cile; et aussitôt cette série terminée, je fus certain qu'il pourrait parler facilement. Je lui fis quelques questions banales
ent, puis, je lui suggérai qu'il continuerait à entendre et à pouvoir parler après son réveil et Je l'éveillai par suggestion
ant continuellement. Je fis remarquer le gonflement de mon estomac et parlai de mes palpitations continuelles et de plus en pl
u'il faudrait savoir y faire appel et la réclamer de moi, car je n'en parlerais plus... Mes prévisions furent bientôt justifiée
le professeur Charles Richet. Quoiqu'il soit toujours téméraire de parler de l'avenir en fait de science, on peut essayer d
le moindre souvenir de ce qui était arrivé depuis le 13 juillet. Elle parlait bien, raisonnait correctement, avait conservé tou
outes sortes de confusion et de difficultés. Ainsi je n'aurai pas à parler de l'hypnotisme, du somnambulisme, de la doctrine
vent à contraindre le dormeur à des actes d'un homme éveillé. On fait parler les bègues pendant le sommeil, on excite les mala
s photographies de cataleptiques, de personnes en léthargie, on a ouï parler de meurtres suggérés, des expérimentations étrang
rez en faisant ce que je vous dis ». Et les intelligents, vous leur parlerez comme vous parleriez à vous-même. Vous leur expli
e je vous dis ». Et les intelligents, vous leur parlerez comme vous parleriez à vous-même. Vous leur expliquez l'idée idéoplast
de feu. mais encore en suggérant avec énergie au malade hypnotisé : « Parlez , je veux que vous parliez ». La force active rési
ggérant avec énergie au malade hypnotisé : « Parlez, je veux que vous parliez ». La force active résidant dans chacune de ces m
estion : par exemple appliquer une lame magnétique de grande force ou parler d'un nouveau médicament de rare énergie. Le génie
si vous les traitez pendant cet état de sommeil, comment pouvez-vous parler alors d'un effet conscient de la volonté ? J'y
ire des choses pour être reconnues et respectées. Aussi, lorsque je parle de fonctions psychiques les mettant en contraste
semble une insipidité aussi grande d'admettre une force vitale que de parler d'une force de bataille on de la force d'État. Le
son naturelle, il faut créer des conditions favorables. On a toujours parlé d'une « vis modératrice naturelle » (A). Cette co
rer l'hypnose avec le sommeil naturel. S'attarder à ces débats, c'est parler pour le roi de Prusse. M. Bernheim a dit que be
, au maréchal-des-logis Christian, qui n'a rien. Et qu'on vienne donc parler au gendre des exploits nocturnes du beau-père.
ien qui endort les gens en leur faisant des signes el qui les force a parler . Je vous demande un peu cette invention ! Tout en
le président le menace de faire venir le songeur, cet homme qui fait parler les gens malgré eus. Matins proteste, il crie, il
elle heure est-il ? Mathis. — Onze heures et demie. Lb soxobur. — Parlez ... je le veux. Mathis. — Les gens sortent de l'
— Oui... Je forai le coup!... je risque... je risque... Le songeur. — Parlez 1 Mathis. — Il faut pourtant que je voie... Je
e. L'éloquence n'est pas l'art de bien dire, ni surtout l'art de bien parler pour ne rien dire. « On juge de l'habileté d'un m
l sans s'arrêter, sans prêter son attention. Voit-il le juge bâiller, parler avec son voisin, se lever de sa place, s'informer
. Mais s'il voit les juges, attentifs et les yeux fixés sur celui qui parle , témoigner par des signes d'approbation que le di
de la haute éloquence n'est pas esthétique, mais moral. Si l'orateur parle de son mieux, s'il cherche à charmer son auditoir
tous disposés a croire ce qu'on nous dit au moment même où l'on nous parle , et par conséquent suggestibles jusqu'à un certai
emblée, dès les premières phrases, montre non seulement que l'orateur parle seul, mais que seul il pense. Tant que ses audite
ion. — « Examinons ce qui se passe dans une assemblée devant laquelle parle un orateur. Je suppose que l'émotion ressentie pa
e par 750. Que si l'on applique la même loi à celui qui est debout et parle au milieu de cette foule silencieuse, ce ne sera
ion. En général, quand une personne avec qui vous discutez commence à parler fort et surtout à prendre la voix de tète, vous p
t la bouche. Plus nous aurons d'affection pour la personne qui nous parle , mieux nous nous prêterons à ses moindres intenti
r plus de prestige à un homme augmentera son autorité. « Si celui qui parle s'énonce avec facilite, s'il garde une mesure agr
c'est une personne de qualité, s'il est suivi d'un grand train; s'il parle avec autorité et avec gravité, si les autres l'éc
ence est l'énergie morale. L'homme de volonté s'impose. Quand il nous parle , il ne nous supplie pas en lui-même d'adopter ses
revenir à la charge. On est souvent tenté de trouver que les avocats parlent trop longtemps. A quoi bon entasser tant de raiso
non prévenu. Elle sera impuissante à dissiper une prévention. 11 faut parler longtemps pour désorganiser peu à peu l'idée que
i sont les véritables principes directeurs de notre conduite. Il faut parler àchacun sa langue. A l'égoïste on montrera que so
elle, par la voix, par le geste, par l'expression du regard. Il faut parler avec assez de passion et de force pour entraîner
nous émeut dans un discours, ce n'est pas tant la chosp dont on nous parle que l'émotion visible de celui qui nous parle. On
t la chosp dont on nous parle que l'émotion visible de celui qui nous parle . On (1) Dramaturgie de Hambourg, trad. Ed. de S
nce matérielle : ils vont directement frapper l'auditeur. La voix qui parle n'agit pas seulement sur l'auditeur par le sens d
ar le IV Pan. JOIRE (de Lille). Le terme de contagion, a proprement parler , ne devrait s'appliquer, d'une façon absolue, qu'
filles de Milet remonte à la plus haute antiquité. Plusieurs auteurs parlent d un transport de même nature qui saisissait les
ngrès M. Bernheim a rapidement laissé de côté ce point de détail pour parler d'expériences sur les anesthésies tactiles cl sur
insensibilités hystériques en général. Quand même M. Bernheim aurait parlé de ces expériences-là avant 1887, ce que je ne cr
r, de tous points à celui déjà fait à ce magistrat. Pendant qu'elle parle , j'examine Angélina : son accent est celui de la
te, éprouvant le besoin impérieux de se rendre intéressante, de faire parler d'elle à tout prix et d'attirer sur elle l'attent
Elle aboie, elle se coupe la langue entre les dents dès qu'elle veut parler . Son visage est agité par des grimaces incessante
Parfois mémo, hôte et locataire se querellent violemment : le renard parle alors d'une voix étrange et tout à fait différent
s hypochondriques étaient des plus nombreuses, et il est inutile d'en parler ici; les deux seuls phénomènes intéressants qu'il
maladies de penser à leur conscience, et de ne pas différer à leur en parler quand la violence du mal ne leur permet plus d'y
s les centres impressionnables du sujet, Heureusement, le médecin lui parle avec calme, lui dit très simplement : • Couchez-v
at de somnambulisme. On leur suggéra que, tout en pouvant continuer à parler et à écrire, il leur était devenu absolument impo
muscle* du pharynx et de la langue. Non seulement elle ne peut crier, parler , chuchoter, mais encore elle no peut accomplir l'
endormir, et an bout de dix seconde. vous vous réveillerez et pourrez parler , voir cl entendre. » Il fallut longtemps et rec
et dans dix secondes vous vous réveillerez, puis vous entendrez, vous parlerez et vous verrez. R. — Va donc le coucher (2). Mm
méchante. Elle travaillera toujours désonnais sans rien dire. Elle ne parlera plus n'entendra plus et ne verra plus rien. D.
'est à charge ; adieu. D. — Vous pensez donc mourir cette nuit pour parler ainsi ? H. — Pals-moi le plaisir d'aller te cou
En attaque somnambulique. délirante, Mme X... tutoie tout le monde et parle souvent d'elle-même a la troisième personne. (3
). D. — Vous allez dormir cinq secondes, puis vous verrez, entendrez, parlerez et boirez. R. — Oui. Tout de suite, si tu veax.
yon et écrivit : « Ou'est-ce qui sonne comme cela dans mes oreilles ? Parle donc plus fort. Je n'entends pas » Ce n'est que
lui rendre la parole. il suffit ensuite de lui affirmer qu'elle peut parler et la suggestion réussit. J'arrête ici l'exposé
ant de perdre conscience de lui-même, cesse de voir, d'entendre et de parler . L'attaque terminée, c'est une véritable résurrec
attribuaient au miracle ou à la supercherie, les phénomènes présentés parla fameuse Louise Lateau. Ce n'est qu'an commencemen
ecevoir chez moi, qu'elle pourrait y faire un malheur. Quand on lui parla de se faire hypnotiser, elle s'y refusa d'abord.
re hystérique dont j'ai fait le sujet de ma thèse inaugurale. Je veux parler de la scoliose hystérique, c'est-à-dire de la dév
répond plus. Bien plus ! Je débouche alors l'oreille droite, et je parle à haute voix, criant et chantant, mais en me plaç
t, mais en me plaçant devant son oreille gauche, et ayant l'air de ne parler que pour elle seule. Il ne perçoit pas, bien que
arriver. C'est une « idée fixe, une vraie monomanie. — Quand on me parle de la morphine, j'en « parle comme d'une chose
xe, une vraie monomanie. — Quand on me parle de la morphine, j'en « parle comme d'une chose qui ne me lente pas ; si j'en s
qu'il en soit, voici les considérants du jugement dont nous venons de parler . Ils méritent d'être lus attentivement : * Atte
balle est éliminée avec le pus. Les microbes eux-mêmes trouvent à qui parler dans l'organisme humain, car notre sang et nos ti
d'avoir épuisé la thérapeutique relative à l'agoraphobie. Elle ne me parlait de ce dernier trouble que pour m'intéresser à son
d'un état de délire qui dura quatorze jours. Pendant son délire, elle parlait d'événements passés, chantait et riait, mais de t
suggestibilité, quelque analogie avec les sujets dont nous venons de parler à la .Société. Nous pensons que ces faits expérim
isse les fosses nasales était presque desséchée. J'essayai de faire parler ma nouvelle pensionnaire, mais ce fut eu vain ; s
tait vivement la tète comme au premier jour de son arrivée. Si on lui parlait alors, la croyant consciente de ce qui se passait
uggestion. « Vous pouvez fermer la bouche, lui dis-je, vous pouvez me parler ». cl m'adressant à la religieuse qui la gardait
comme on sait, divisées en intra et post-hypnotiques. Maack, de Kiel, parle aussi de suggestions prœ-hypnotiques. Les idée»
n jusqu'au prince de Ilohenlobe, au commencement de ce siècle, sans parler du diacre Paris, qui jouissait du pouvoir d'accom
es amis. Il demande des détails sur ces cures miraculeuses dont lui a parlé la rumeur publique. Bien entendu, les encourageme
le vrai champ d'application pour l'hypnotisme. « M. de Dekterew ne parle pas de maladies nerveuses d'enfants proprement di
; E.. s'éveille an moindre bruit, au premier appel ; mais endormi, il parle souvent et à plusieurs reprises on la, vu, pendan
! » prononcée à voix basse à l'improviste derrière lai, pendant qu'il parle , la détermine immédiatement. E.... réveillé avec
il est fatigué, disparaissent pendant le sommeil. E... a toujours parlé à haute voix- pendant son sommeil, incommodant se
on faisait pour ma femme m'était reproché; ils ne nous avaient jamais parlé des trois mille francs de ma femme et nous n'os
fort irrité contre sa belle-mère: sous l'influence de* suggestions il parla bientôt d'une façon plus calme de ses relations a
amais céder a son premier mouvement et de toujours réfléchir avant de parler ou d'agir, E... fut autorisé a sortir de l'hôpita
sont très longuement étudiés dans la thèse de Dufestel dont j'ai déjà parlé . Je n'y insiste pas et je passerai seulement en r
utité pendant un an parce que son père l'avait menacé de le tuer s'il parlait . Motet (4) raconte l'histoire d'un enfant paresse
voir jeté à l'eau un certain C... qui l'a beaucoup étonné parce qu'il parle dans un musée au milieu de figures de cire. Sa mè
peine fait-elle de temps à autre quelques mouvements des doigts; elle parle a haute voix, disant qu'elle est malade, qu'elle
rère sur le cadavre d'un homme issu d'une des tribus dont je viens de parler . (R. de P.). C'est donc un tort de voir dans l'
s satisfactions que lu donnes à ceux qui n'ont pu le suivre. « Sans parler des médecins qui, grâce à ta réputation détestabl
e pins aisée encore si, par générosité, tu les leur abandonnes : sans parler des pharmaciens et autres parasites de la naïveté
il répond presque toujours si on insiste et si on lui dit qu'il peut parler ... Le sujet dans cet état est apte a manifester l
serait livré aux caprices de la simulation. La simulation, dont on parle tant lorsqu'il s'agit d'affections nerveuses sans
19 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
(La-Roche-sur-Yon) : Note sur le traitement de l'incontinence d urino parla suggestion. Durand’de Gros (Arsac, Aveyron) : C
vait au sujet de la Vendée : « L'éducation n'est pas la même, faite parles sommets et par les bas-fonds » (•’). Les agréga
e en Judée par les caboteurs du golfe d’Oman et du gvlfe Pcr-sique et parles caravanes.D’ailleurs Joshua qui,comme tout sémite
tes. Cette cure avait vivement impressionné Auguste Voisin et il n’en parlait qu’avec émotion. Après lui je me suis appliqué
uire ces remarquables effets. En outre le malade est flatté qu’on lui parle de sa nature spirituelle et de la divinité qui es
mal, il le redoute, il est victime d'une auto-suggestion, il hésite à parler et bredouille ou bégaie d’autant plus. » M. Dup
(La-Roche-sur-Yon) ; Note sur le traitement de l'incontinence d’urine parla suggestion. Durand de Gros (Arsac, Aveyron) : C
t les cas de suggestion indirecte, analogues à celui dont je viens de parler , on peut poser en principe que, d’une manière gén
de cette femme est un peu immobile; elle a une certaine difficulté de parler , mais a conservé toute son intelligence; elle ple
vicieux, dégénérés ou arriérés. L’œuvre du l)r Bérillon synthétise, parle côté expérimental celle de Dumontpallier, dont no
tise, parle côté expérimental celle de Dumontpallier, dont nous avons parlé plus haut, et par le côté psychothérapique celle
qui voulaient bien guérir par le moyen du sommeil provoqué; il acquit parla une expérience consommée, ainsi qu'une réputation
scents, les degrés du sommeil provoqué, l'influence psychique exercée parla mère sur le fœtus, les étals passifs, le sommeil
otiques, l'état de veille et les étals d'hypnose, etc. Enthousiasmé parla puissance singulière «le la suggestion, M. Bernhe
moyen. Il a eu recours au fameux sérum anti-alcoolique dont on a tant parlé tons ces temps-ci, mais il n’en a retiré aucun ef
es morts au moyen de pratiques, de formules magiques, et de les faire parler . Les esprits pénétraient dans le corps de I’évoca
faire parler. Les esprits pénétraient dans le corps de I’évocateur et parlaient par sa bouche, avec cette voix caverneuse, moitié
au moins augmenter notre illusion. Lorsqu’un ventriloque moderne fait parler une poupée devant les spectateurs, la bouche de l
a mâchoire, se meuvent, grâce à un truc ingénieux, comme si la poupée parlait réellement ; pendant ce temps, la physionomie du
éellement ; pendant ce temps, la physionomie du ventriloque qui, lui, parle en réalité, reste impassible et sans mouvements.
s. Le témoignage de notre œil nous enseigne que c'est la poupée qui.a parlé , et quoique le spectateur soit prévenu du contrai
, 1’ülusion se produit très facilement. Lorsque le ventriloque fait parler une poupée ou un personnage situés à une grande d
de ses disciples, il se faisait, chaque matin, souhaiter la bienvenue parle fleuve, qui lui criait : c Salut, Pythagore ». L'
de ventriloque est une voix au timbre étrange, qui n’est produite, ni parle mécanisme de la voix de poitrine, ni par le mécan
a voix des personnes les plus diverses. Lorsque des ventriloques font parler les poupées, dans les théâtres, ils imitent simpl
s approximative, s'est imposée et s'impose encore si aisément. Pour parler en voix de ventriloque, il faut, les lèvres resta
oient le jour. Quant à l'affirmation que les statues antiques avaient parlé par ventriloquie, ou que, tout au moins, l’illusi
en honneur: elle a chez eux un caractère religieux, elle sert à faire parler les morts. Ce sont les veuves qui constituent la
nce religieuse que les esprits des morts peuvent être évoqués, qu'ils parlent réellement, avec celte voixsingulièrequi est natu
lte voixsingulièrequi est naturelle aux morts. Est-ce la statue qui parle , animée par l'esprit ? est-ce l'esprit liïl-même.
encore adorés. Le médium entre en extase, l'esprit pénètre en lui et parle par sabouchc, avec une voix fortement modifiée, q
bouche. Comment les hommes n'auraicnt-ils pas, du la même façon, fait parler les statues antiques, puisque, dans leur esprit,
l'esprit sc trouve là; le prêtre, qui connaît les rites pour la faire parler , s'y trouve également; on entend une voix d’un ti
textes nous indiquent que, chez les vieux Egyptiens, les slalues parlaient constamment : directement, semble-t-il, avec les
divinité. Les artistes ventriloques, de nos jours, sont bien obligés, parle septicismedeleurs auditeurs, de mettre des mâchoi
», l’âme du mort, que l'on voyait dan s les songes, élait capable de parler . Ces songes, l'antiquité aliait les chercher dans
iquité, on fut convaincu qu’elle se produisait en effet. Les morts ne parlent point, et cependant l’antiquité tout entière les
ait formées de l'âme, du double, permettaient de croire que cette âme parlait ; on avait d’autre part le plus grand intérêt à l
âme parlait ; on avait d’autre part le plus grand intérêt à la faire parler . Les nccromanls de tous les temps n’avaient qu’à
taient légitimes et normaux, des prêtres faisaient venir les morts et parlaient pour eux. avec celle voix spéciale qu’ils devaien
origine, dont émergeait une seule idée nette, c’est que le mort avait parlé . Ce phénomène primitif, cette illusion vocale d
les concepts de la voix juste et de son créateur. Puisque les morts parlent , les statues des dieux parlent aussi ; par un
t de son créateur. Puisque les morts parlent, les statues des dieux parlent aussi ; par une tendance à l’idéalisation, le
secondairement conçue, mais devenue essentielle, l’âme, le dieu, qui parlent par la bouche du médium, du prophète, comme le mo
dieu, qui parlent par la bouche du médium, du prophète, comme le mort parle par la bouche du nécromancien, et le prophète dev
s termes des langues sémitiques qui y correspondent, voulaient dire o parlera la place de » à la place du Dieu. Une pareille
Ciel. Le prophète est, comme le nécromant, possédé par un esprit qui parle par sa bouche, il ne lui manque que le fétiche mo
les fétichismes les plus primitifs les plus enfantins, aussi bien que parles systèmes spiritualités ou dualistes les plus tran
lte croyance, en prenant simplement et très naturellement, lorsqu'ils parlent pour un autre, une voix étrange, ainsi que le fai
autre, une voix étrange, ainsi que le fait M,le Couesdon, lorsqu'elle parle au nom de l’ange Gabriel; comme le fait aussi la
e fait aussi la célèbre M“*° Pipper, le médium américain, lorsqu’elle parle pour un esprit. Assurément tous ces illusionniste
s, mais, si vous le voulez bien, associés à celui de Charcot; je veux parler des cliniciens et des savants qui ont constitué l
conciliation et aux clTorts communs des deux écoles dont je viens de parler . Cette conciliation était beaucoup plus facile à
es. IS hypnotisme, cette science troublante, dont j’ai tant de fois parlé ici, a eu son Congrès, son deuxième Congrès Inter
it être prudente, modérée, bien maniée. Cette persuasion, dont nous parlions tout à l’heure à propos de l’hygiène, c'est ici q
tion. Ces recherches sont, soit directes, soit indirectes. Si je ne parle que des recherches directes, ce n’est pas que je
coup plus grande dans l’état d’hypnose partielle systématisée dont je parle . Dans cet état, le sujet peut, par exemple, sup
r la vie psychique ultérieure. Pour ne pas sortir de mon sujet, je ne parlerai pas de la valeur immense de cette hypermnésie pou
employaient l’hypnotisme. Mais, pour des raisons diverses, dont je ne parlerai pas, quelques-uns m’ont fait d'autres objections.
ur diiïérente et j’ai pu étudier alors les différents effets produits parle même agent selon la profondeur du sommeil. Donc
ques et qui puissent s’en servir dans un but criminel. Cependant en a parlé il y a quelques années, et l’affaire Ht un certai
hose. Le véritable danger est pour les médecins. Je vous en ai déjà parlé , et j’y reviens, car je considère que c’est pour
e craint sa mort, le secoue, et lui demande s’il dort. Quand il lui a parlé , elle se recouche; mais elle recommence ce manège
leur famille. La dame qui abîmait ses robes, et dont je viens de vous parler , ne pouvait marcher sur des pavés pour ce motif,
et surtout remarquable par sa pondération et sa grande mémoire, sans parler des qualités spéciales aux autres aveugles. Deu
s persécutions, à savoir la conspiration de l’inertie et Pétouffement parle silence. Des hommes moins bien trempés auraient
peuple a conscience de cette puissance, car il a créé les locutions : parler comme un perroquet, singer son semblable. L’imi
caractère commun : aboutir à un résultat fatal, déterminé à l’avance parla sensation causale. Les sentiments, les passions
point discuter avec chaleur, sont celles d’une bonne suggestion. Qui parle avec emportement, semble dire : je veux te convai
Revue d hypnol. nov. 1893, p. 135.) J'entends encore M. Regnault parler de catalepsie et de léthargie hypnotiques. Je cro
s. Signalons pourtant un de ces sujets qui ne sait pas et ne peut pas parler , mais dont l’oreille est si musicale qu’elle rend
d, voir le pape. Ses propos sont d'un esprit lucide. Mais si on lui parle du diable, on voit tout de suite qu'on a affaire
ations, où parait un certain talent. Elle veut aller à Rome à pied et parler au Pape. Elle se croit enlevée dans les airs, ell
, au cours de ses analyses psychologiques, M. Renouvier était amené à parler des phénomènes que nous appelons, de nos jours, h
accompagnent la lésion, évoluent parallèlement à elle et, pour ainsi parler , l'entretiennent, 3° Enfin (lorsque véritableme
grâce douteuse, il n’importe. La question n’est pas de savoir si l'on parle avec éloquence, mais si l'on parle avec exactitud
estion n’est pas de savoir si l'on parle avec éloquence, mais si l'on parle avec exactitude. Le pouvoir de la musique s’exe
ent la parole dans les conférences. En première ligne, je dois vous parler de notre maître vénéré Dumontpallier, le savant m
eval, ou de rendre visite à ses amis (2). » Les derniers faits dont parle là M. Ballet ne sont que des illusions paramnésiq
faite. Cette objection consiste à considérer les monoïdéîsmes dont je parle comme de nature hystérique. « Je crois, m’a dit M
sons analogues à celles qu’on obtient à Lourdes et dont vient de nous parler M. Félix Regnault, ont déjà été rapportées il y a
tes de douleurs névralgiques du côté du sein, elles y pensaient et en parlaient sans cesse, redoutant un cancer du sein. Or, il s
leur sang de couler ; les incantations grecques dont il vient d’être parlé ont pu modifier heureusement certaines plaies, to
e ne voir, ne comprendre, ni môme entendre. II est muet. Quand on lui parle , il ne répond pas. Une autre particularité dign
e cet arbre. Son regard n’est plus égaré, il s’arrête sur celui qui parle . Un vague éclair d’intelligence semble l’animer.
un jeu de cartes et lui propose une partie de piquet. Il joue sans parler , mais étale son point, ses tierces, ses quintes,
eine. M. Félix Regnaült. — Des sueurs émotives dont il vient d’ótre parlé , je rapprocherai : 1° les sueurs froides causées
ur Raymond. Voici un homme âgé de 28 ans, mégissier ; il tremble et parle difficilement ; de plus, il a un léger degré de n
t et pas beaucoup plus quand il accomplit un mouvement volontaire. Il parle difficilement, mais son débit n’est ni précipité,
vec un accent et un ton de voix pareils à ceux de la personne qui lui parle , des phrases entières, mais encore il récite en q
re musicale et le langage musical s’exercent parallèlement au langage parlé , mais en sont séparés, ce qui fait que l'un ou l’
llules pyramidales du chien, après de violentes souffrances produites parle froid, et cette cause, l’émotion, se joignant cer
re cet esprit d’opposition, on peut émettre des doutes sur le succès, parler interrogativement, etc. On use la résistance en
plus pouvoir trouver ses mots ni condenser ses idées. Cependant elle parle avec volubilité pendant des demi-heures et des he
ndent-elles, les fait suivre, devine leur pensée avant qu’elles aient parlé , etc. En somme, elles se rendent très malheureuse
résence, M“° C... est comme engourdie et ne sait pour ainsi dire plus parler ; elle ne retrouve sa pensée qu'une fois sortie d
ns un état suffisant d’hypotaxie. Elle n'a jamais dormi, h proprement parler , et n'a jamais complètement perdu la conscicnce d
ort. Alors elle bavarde à tort et à travers, raconte ce qui lui passe parla tête, même les choses les plus intimes; elle s’ha
tourent, mais sans les reconnaître, à moins que son rêve ne l'amène à parler de ces personnes : alors elle converse avec elles
le. Elle s'intéresse beaucoup à un de ses voisins, Georges, dont elle parle souvent pendant ses accès de sommeil. Or, Georges
est un remède non constant dans ses effets et qu’il est impossible de parler d’une posologie de l’hypnotisme. L’indécision e
lication d'un courant galvanique, elle est, depuis lors, incapable de parler ; souvent même, elle ne peut chuchoter; pour caus
mêmes relais que les autres voies motrices, et qu’elles sont formées parle même nombre de neurones. La rétraction des neur
dans laquelle cet élément me parait jouer le plus grand rôle; je veux parler du vaginisme, question qui appartient autant au p
caces. On a présentes à l'esprit ces opérations compliquées imaginées parles chirurgiens, depuis Sims, pour mettre un terme à
mpagnes dévouées, mais extraordinairement jalouses. Quand leurs époux parlent de retourner en Europe, elles leur font boire un
c’est qu’on ne sait pas assez ce qu'est en réalité le suicide ; je ne parle pas, bien entendu, de ces drames, dont les phases
ue pour la savante Compagnie que ce brave homme de bon sens, qui sait parler — il Ta souvent prouvé — avec à propos et finesse
e Jules Soury : « Tout ce qui a été fait de grand sur la terre, et, à parler simplement, peut-être tout, est l’œuvre de dégéné
e la complication d'hystérie ni même de la synthèse mentale dont on a parlé .... Je conclurai en disant qu’un médecin, un th
20 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
us le nom d'hypnotisme correspondent à ces sommeils particuliers dont parlait Bichat. Ils en sonE la reproduction expérimentale
consultation, mais avec des phénomènes nouveaux. Elle ne pouvait plus parler et était toute tremblante. Quand on lui faisait u
ouvements, ainsi que la mâchoire inférieure ; quand la malade voulait parler , elle se mettait à bégayer, au point qu'on ne pou
montra qu'elle se refusait à ma proposition. Je lui dis alors d'en parler à son mari et de venir me revoir le lendemain ou
n complète. Je lui suggère alors qu'elle ne tremblera plus, qu'elle parlera très bien et je l'invite à répéter ces mots. Elle
son réveil, à lui faire des suggestions intenses ; je ne cesse de lui parler avec assurance et autorité ; j'annonce formelleme
he est aujourd'hui plus facile, en ce que les faits dont nous avons à parler , étant directement observés dans la nature, compo
naître ? Il faut ici que j'arrive à un éclaircissement nécessaire. Je parle des sciences physiques ; à proprement dire, toute
ité. Et cependant chacun de nous ne sent-il pas que l'étude dont nous parlons est devenue et devient chaque jour plus indispens
indéfiniment, je me bornerai, parmi les innovateurs dont je viens do parler , à vous en signaler un très petit nombre. C'est
une sorte de préparation dont le double but est : 1° Qu'on puisse lui parler à l'oreille sans l'éveiller ; — 2° que la suggest
râce à cette règle du synchronisme, on ne se laissera pas entraîner à parler trop vite ; le malade aura plus de chances (1)
peler suggestion iNTiusom-nique. cinq ans: sur 22 aliénés traités parla suggestion hypnotique, 14 avaient été complètemen
a maladie et entretient sa contracture. Lorsque le second médecin lui parle d'ankylosc, fait intervenir le chloroforme, immob
lle-ci fait appel à l'hyperesthésie, laquelles'emmagasine, pour ainsi parler , dans l'esprit de cette femme qui est une névropa
professionnels pour instruire toutes espèces d'animaux. Nous voulons parler de M. P. Ilachel-Souplet, qui, le premier, a cons
ts : « Le temps n'est pas loin où tout docteur en médecine, qui osait parler de magnétisme animal, était gourmande par ses con
racté. Il no se présume pas et doit être prouvé. » La violence dont parle l'article 1111 n'est pas forcément une violence p
t cependant éminemment religieux, car il s'agit de l'Kxtasp, ou, pour parler plus précisément, de la Transverbération de saint
de repos et de contentement qu'en Dieu seul. Cette douleur dont je « parle n'est pas corporelle mais toute spirituelle, quoi
ieuse de plaire, flirtant avec ses cousins, et elle laissa sans doute parler ses sens puisqu'elle nous dit : « Quand je comm
la leur eût refusée aussi bien qu'aux autres! « Ces parents dont je parle n'étaient qu'un peu plus âgés que moi; « nous éti
imaient extrêmement, mon « entretien leur était fort agréable; ils me parlait du succès de leurs « inclinations et de leurs fol
durant frois mois de très grandes douleurs au lieu dont je « viens de parler ... Les médecins qui me virent durant les deux pre
mêmes et s'ils demeurent ouverts ils ne voient près-« que rien; si on parlait à cette personne, elle n'entendrait même pas « ce
veiller, mais sans espoir de succès,, je le confesse, je me mis à lui parler doucement, à voix basse, très basse d'abord, et e
t que son enfant n'urinait plus jamais au lit depuis que je lui avais parlé pendant son sommeil. Une seule séance avait suf
région axillo-mammaire. M. Félix Regnault. — La fausse tumeur dont parle M. Bourdon (de Méru) a été décrite par Potain, so
sur le traitement de l'incontinence d'urine par la suggestion (1), parle Docteur A. Culleiuie, Direclcur-Médecin de l'As
e je lui dis : Marie-Louise, réveillez-vous complètement, j'ai à vous parler . Lentement elle revint à elle, me regarda et pr
fait le jour de son entrée, on constate une impossibilité absolue de parler à voix haute. Elle n'a conservé que le chuchoteme
res habituels : le chant à haute voix est conservé, ainsi que le rôve parlé (3). L'aphonie n'est donc que partielle ; les con
core un peu, il a parfois des rêves, dans lesquels il marche, agit et parle sans s'éveiller. Il désire beaucoup guérir et i
ort bien touteb les nuits, tranquillement, sans rêver, ni marcher, ni parler . Ayant répété plusieurs fois ces suggestions, a
e que peu de vétérinaires oseraient poser le diagnostic hystérie : on parle d'épilepsie et surtout de rage. En effet, tout
et la traiterai quelque jour à fond, aujourd'hui je me contenterai de parler des agents provocateurs. Je prendrai comme guid
tous les cas, des troubles d'origine manifestement psychique. J'ai parlé trop brièvement de l'hystérie, j'ai passé rapidem
, parfois même se jette' par terre. Elle prétend qu'elle ne peut plus parler , parce qu'elle a dans sa bouche « deux parlements
dont l'un prime l'autre, etc'estprécisément celui-là qui l'empêche de parler . En effet elle parle en hachant ses mois, en pron
e, etc'estprécisément celui-là qui l'empêche de parler. En effet elle parle en hachant ses mois, en prononçant seulement la p
t quatre années et demie à peu près station-naire ; seulement elle ne parle plus du tout, car le « parlement du silence » a p
e guères un litre, elle peut être beaucoup plus considérable. LaCanec parle d'un jeune homme qui perdit ainsi 5 kilogr. de sa
mir avec des sueurs fort grandes qui l'affaiblissoient beaucoup, sans parler d'un dévoiement continuel. » f1). Trois mois en
chose qui lui donnoient envie de rire » (;). Mais ensuite on ne nous parle plus que de sa tristesse, soit qu'il se fût produ
e la compassion pour celles qui paroissoient la craindre » (fi). Elle parlait même de ce désir aux autres « avec tant d'ardeur
rt du tems, elle me dit (c'est encore Angélique Arnauld d'Andilly qui parle ) que Dieu l'avoit néanmoins un peu consolée cette
prendre simplement comme un arrêt de l'hémor- (1) Saint Chrysostome parle aussi de démoniaques qui malgré les menaces, malg
cles de la langue. Chez plusieurs enfants chorolques qui ne pouvaient parler et se mordaient la langue, nous avons, en une ou
cuillerée soit absorbée. Mais pendant tout ce temps je n'ai cessé de parler ; je fais des suggestions autoritaires en même te
era et sera supportée aussi bien que les précédentes, etc., etc. » Je parle , je parle, je parle ainsi sans discontinuer, je m
a supportée aussi bien que les précédentes, etc., etc. » Je parle, je parle , je parle ainsi sans discontinuer, je m'empare de
e aussi bien que les précédentes, etc., etc. » Je parle, je parle, je parle ainsi sans discontinuer, je m'empare de l'attenti
ntion de la malade, je l'empêche de réfléchir à quoi que ce soit ; je parle une heure durant. Je suis très fatigué, mais la t
67 ans. intelligence et énergie. — Sa biographe, Louise du Mesnil, parle de la « facilité de son génie » (;>) et de son
ison de Marguerite Périer, nièce de Biaise Pascal, guérison dont j'ai parlé ailleurs(a); et, à cette occasion, Dalencé (ou d'
shabillant de ne pas voir ni sentir cette horrible grosseur dont j'ai parlé , et de se trouver tout à fait guérie » ('). En
XI). Une fois il emploie une parole magique pour guérir un sourd qui parlait difficilement a Ephphatah », mot magiquearaméen q
urg (Marc VIII, 23), ou encore il tire de la foule à part un muet qui parlait difficilement (Marc VII, 33). Il ne pouvait gué
foi. Cette foi communicalive; Jésus l'avait au plus haut degré. Il ne parlait pas comme un rhéteur qui cherche à vous convaincr
toujours la loi. Mais, suivant la tradition des poètes orientaux, il parlait par sentences et maximes, employant le mot qui fr
surtout trouver ses disciples. Il avait eu des précurseurs : Josèphe parle d'un Juda de Garnala (rive orientale du lac Tibér
hrist (Actes II, 22) l'appelle « un homme accrédité auprès des Juifs, parles eflets de puissance, les signes et les miracles q
de ne pas faire Un fait, toutefois, est à noter : pendant qu'elle me parle et m'expose son état, son ptyalisme est comme sus
demain de l'électroculion de Czolgofz, après que l'on a déjà beaucoup parlé de ce genre d'exécution, il nous parait intéressa
eau et du système nerveux central. Comme nous ne pourrons jamais vous parler des fonctions du cerveau de l'homme sans nous ins
isait descendu d'AJcinous le Phéaclen, l'hôte d'Ulysse. «Apollonius parlait donc des libations, et disait qu'il ne fallait pa
ne, puis tout à coup de se mettre à pleurer sans cause, ou bien de se parler à lui-môme et de chanter. On croyait généralement
'est apparu, pas même pour me prouver qu'il fût Immortel. » « Ainsi parlait ce jeune téméraire. Cinqjoursapres.il reparla du
celle de vérité. Et puis, dans cette réunion, nous aurons notre franc parler ; il nous sera loisible d'interpréter et de juger:
n'était venu que pour goûter les plaisirs vénériens ; a mais il leur parla de toute autre chose : il leur annonça les parole
s qu'elle hantait cette « maison, elle n'avait vu entrer personne qui parlât de Dieu ou qui a leur fit espérer grâce ; mais qu
t se contentait-il des avant-goûts, agissant ainsi que ces maris dont parle Sencque (Controverses II, livre I) : Novimus ista
un phénomène psychique, l'influence de l'idée sur l'organe, et, pour parler plus clairement, la puissance de l'âme sur le cor
ente. Il y avait confirmation du fait le plus curieux dont nous avons parlé plus haut : l'apparition tardive d'une partie d'u
ué, on observe tous les intermédiaires, soit du moins au plus et sans parler des périodes mixtes, le somnambulisme et la catal
ez une malade, je lui appuyais sur le vertex. Quelqu'un étant venu me parler , je cessai la pression et laissai là ma malade. L
uvais pour l'un est bon pour l'autre. D'ailleurs, depuis longtemps on parle de suggestion thérapeutique, c'est-à-dire de sugg
es reins, et une pesanteur dans le bas-ventre. Pendant qu'elle me parle , les douleurs reparaissent. Je la prie de s'étend
et, lorsque l'action du chloroforme s'éteint, la douleur revient non parles muscles ou les articulations, mais par la peau, l
à l'aide de la suggestion. En effet, après l'avoir hypnotisée, je lui parle en cesjermes : * Tout à l'heure, dès que je vou
et pas du tout confiante, ni docile comme à l'habitude. — Allons, parlez -moi franchement. Vous avez quelque chose sur le c
'aurait ennuyé de vous le demander. Toute ma vie, -j'ai eu horreur de parler de ces choses-là, surtout à un homme, comme - a
elle; sa mémoire demeure obstinément fermée toutes les fois qu'on lui parle de sa lettre à Jeanne et de sa tentative de suici
achial. Mais, en outre, elle présente une aphasie amnésique : elle ne parle que si on lui donne le commencement d'un mot ; el
ESSIONNELLE A propos de la pétition des masseurs et magnétiseurs. parle docteur L. Salomon (de Savigné-l'Evèque) Il est
e criminelle, et c'est justement de la Sociologie Criminelle que nous parlerons aujourd'hui et dans les leçons suivantes. Je vo
de l'autre, — que se rattachent les deux écoles criminelles dont nous parlions tout à l'heure : l'école classique et l'école pos
il existe diverses hétéro-suggestions. L'auto-suggestion dont nous parle M. Coste de Lagrave consiste à répéter machinalem
'hypnose Par M. le docteur Corisin La malade dont nous voulons vous parler ne présente pas un grand intérêt au point de vue
tes fois. Mais si nous avons tenu, M. le D* Bérillon et moi, à vous parler d'elle, c'est parce que nous avons pu observer tr
pu observer chez elle mieux que chez les autres et dont je dois vous parler . Je serai bref et je me bornerai à vous indiquer
assise devant une glace fixée au fond du couvercle d'une boite et parle rapidement, sans s'arrêter. Je ferme cette boite;
apidement, sans s'arrêter. Je ferme cette boite; la malade continue à parler , jusqu'à ce que, m'entendant causer, elle cesse e
nue à parler, jusqu'à ce que, m'entendant causer, elle cesse enfin de parler . Je soulève le couvercle de la boite ; immédiat
rire involontaires, elle se met de nouveau à causer sans répit. Elle parle de sa vie passée et de sa vie présente. Elle a pe
e ; c'est la vue de la glace qui lui a donné son hallucination ; elle parle même quand elle ne voit plus la glace ; elle parl
llucination ; elle parle même quand elle ne voit plus la glace ; elle parle tout le temps, comme si elle tenait conversation
mots se précipitent, les phrases se suivent avec rapidité, la malade parle sur tout sujet, elle cause à un être imaginaire,
insi avec elle, je relève la glace et aussitôt elle rit et commence à parler comme une automate; cette parole automatique est
ressantes. Son père était un homme nerveux qui avait de la tendance à parler seul, comme ces gens qui, lorsqu'ils sont préoccu
mme ces gens qui, lorsqu'ils sont préoccupés, remuent les lèvres sans parler ou parlent haut. Une de ses tantes était une hyst
ns qui, lorsqu'ils sont préoccupés, remuent les lèvres sans parler ou parlent haut. Une de ses tantes était une hystérique à gr
cependant reconnaître — (c'est toujours le droit pénal classique qui parle ) — il faut cependant reconnaître que dans ccrlain
la démence. Et alors —(c'est toujours le droit pénal classique qui parle ) et alors, — pour punir le criminel je mesure la
poussé au crime — et seulement après ces observations, nous pourrons parler du droit répressif. Parce que seulement cette m
'une leçon à mon cours à la Salpétrière le 30 janvier 1902. on ne parle pas à la malade. En même temps que ce tremblement
i est très jaloux et veut savoir ce que fait sa maîtresse. Comme elle parle , la nuit, en dormant, il en profite pour lui fair
ue les héros de la bonté; chacun de vous est ce que le sort l'a fait. Parler ainsi au malfaiteur, c'est le fermer à double tou
21 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
hez eux pressentiment, divination, est presque toujours — pour ne pas parler d’une façon plus absolue — la déduction inconscie
éthode pour faire triompher une idée sinon d’amener sa reconnaissance parles savants compétents, chargés d’enregistrer le cata
ttérateurs à la suite, les journalistes sérieux et les chroniqueurs , parlent du magnétisme, non pas pour le discuter ou le pro
et les merveilleux résultats de la puissance humaine. Qui donc ose parler des sommités médicales de nos jours, de ces princ
re il faudrait le voir, et encore 1 Précisément comme ceux à qui l’on parle des invisibles, et qui vous répondent : faites-mo
édecins ont pu le constater, je fis quelques passes à mon dormeur qui parla aussitôt de lui-même. Mais, comme c’était dans le
ite osseuse qu’assez longtemp:? après la naissance, et qu’enfin, sans parler de l’éducation qui doit jiaturellement les modifi
eul fait plus que par une bataille gagnée. oSiBE, je n'ai pour vous parler ainsi que ma droiture et ma sincérité, je n’ai qu
fait naître ; mais passons sur celui-ci, il serait trop scabreux d’en parler maintenant. Voici d’autres conséquences tirées
grandes pour notre pauvre intelligence : c'est une étude à part; trop parler serait aller contre le but qu'on se propose, d'éc
nséquent à faire naître une conviction plus formelle. Nous avons déjà parlé ici, d’après M. Azam, des effet« cataleptiques qu
es au lieu de se diriger vers la racine du nez, il est inutile de lui parler raison, il parle, lui, mais ne vous répond pas,
iriger vers la racine du nez, il est inutile de lui parler raison, il parle , lui, mais ne vous répond pas, parce qu’il ne v
ètes qui pourrait bien être apocryphe. Quant au prophète dont je vais parler , ses vers latins, imprimés en 1723 par le profess
ndre une douleur de l’épaule jusqu’aux pieds, d’où elle sortait enfin parles orteils. Une chose remarquable, c'est que lorsqu’
aucun mouvement : Grealrakes fit résoutlre la plupart de ces tumcur.s parla seule a])|iliciiiiün de sa niaiii; il ouvrit avec
que les faits dont l'explication absolue et complèle peut être donnée parla science, il y aurait ken jîeu de vérités admissib
. Cette noble et grande nation qui a conquis le monde , non-seulement parles armes, mais p^r J’iptelljgencc, ^profondis-sait m
pocrate, les Phidias, les Appelles? S'il y en avait, on n’aurait plus parlé de ceux-ci, on aurait trouvé, dans nos écoles d'a
endait aussitôt la santé. » Les prescriptions des somnambules, dont parle Hi[)pocrate dans le temple d’Esculape àEpidaure,
e sieur Jardin, était atteint en sortant de la cour de l'embarcadère, parles brancards d’un tilbury, et, quelques heures après
s((uc rocommandalioii, la fille Jardin, ne sachiiiit trop si son père parlait sfrienscmenl, Ini de-iiiamUi ce que pouvait conlc
s, dans tentes les classes de la soci¿(é et surtout dans la presse, à parler de cette collection. Il yadsnsla ljibliiilii'qu
cience positive dont vous êtes un des plüs solides représentants { mû parles mêmes seutiments sans avoir le mêmemotifv j'ai pa
théorie; ses ouvrages étant déjà publiés, il était trop tard pour en parler , et sa mort fut trop prompte pour qu'il pût recti
ne vous fais ici qu'une objection, Monsieur; que serait-ce si je vous parlais de la transmission de pensée, de la vue à distanc
z d'ouvrir, dans le sein de l’Académie, mais après cent combats? Ne parlez point de Mabru ; croyez-moi, faites peu de cas de
merciai la compagnie du silence qu'elle avait bien voulu observer, et parlai longuement, à dessein, de la personne que j'étais
,«i'r tes miens. Mors U's appa- reils organiques dont je viens île parler pnirentrn action ; le globe (le IVil est comprini
de livres de philosophie, donnez-nous ou du très-nomeau, l’esprit qui parle en vous a une trop courte vue ; vous ne représe
ule semble encore augmenter ; elle prétend voir l’enfant près d’elle, parle de son physique avec une exactitude étonnante, do
ique, soit au moral. Je i-eviendr&i sur ce dernier fait, et je ne parle ici que des consultations médicales ; quant aux l
est pas nouveau, mais de bonne pratique en pareille occasion. Je veux parler de l’aiguille aimantée. Suspendue soit au-dessus
sance parfaite, non dans la marche de.s ti'ois astres dont nous avons parlé , mais bien du jeu de leurs organes, des mouvement
ent UD phénomène admirable ; phéncunène qui, au premier abord, semble parler beaucoup en faveur des spiritualiates ; mais qu'o
’exemple, ne m'imitez point; faites de Tépicerle avec les savants, ne parlez point du ciel avec les prêtres, delà médecine div
VARIÉTÉS. DE U CBOY&NCE A LA TRANSMIGRATION DES AMES. Il est parlé dans le Pouranam des Indiens d’une multitude prod
it si fort qn’on ne pouvait l’éveiller, n Cependant, comme les barons parlaient ensemble, l’enchantement passa. Le roi se dressa
pratiquent le magnétisme, surtotit pour guérir les malades : je veux parler du retentissement des douleurs du malade sur le m
s, une séance de magnétisme.» M. Manlius s'étant éveillé en entendant parler de lui, consentit, non sans beaucoup de peine, à
cas fut encore exactement vrai. Après cela, quelques convives ayant parlé de l’inlluence que pouvait exercer Yiltusionisme
réconciliation franche et définitive. 1 On m’accuse encore d’avoir parlé sans iiel et sans mépris de la phrénologie, du me
ses? c La conscience de ceriaina se révolte fi penser que leur âme, parla suggestion d’une idée qni vient la surprendre, qu
rminera les limites aux coursdeses infranchissables niveaux. La /ot a parlé , elle ne se taira jamais : le dernier soupir de l
ction. » les magnétiseurs sont si prodigues quand ils veulent, pour parler leur langue, exercer sur de pauvres patients l'in
es lois de la nature et Dieu, Je remets en mémoireifdont noua avons parlé tlans d’autres numéros, el pour inscriro dans n
r, c’est-à-dire étranger à nous, et ce n’est pas du dehors qu’il nous parle ; quand l’âme plonge en elle-même, elle l’y trouv
igné au plus haut degré les facultés extraoi-dinaires dont nous avons parlé tout à l'heure, et qui les a appliquées à la plus
ion des âges modernes; il fallait donc essayer d exprimer une opinion parla catégorie d’ètres exceptionnels auxquels appartie
ais leur l6te est remplie d’idées qui ne sont point les vôtres ; vous parlez une langue qu’ils ne connaissent point, de 1 iroq
plus ouvrira de pareilsétrangers. Pourtant si vous insistez, si vous parlez du devoir des savants, des bienfaits que vous app
u premier chef. Ces philanthropes avaient coloré leur supplique ; ils parlaient de leur amour du bien public, des malheurs qu'il
ion de ses amis, Ces letlres dont il s'agit sont de lui. Je vais te parler d’un phénomène intéressant pour toi, et te demand
puis des sons inarticulés sortent pressés de sa boucbe, puis enfin il parle très-clairement. Ce sont des choses extravagantes
udence, ne questionne qu’avec méthode, car tu n'aurais rien de bon. — Parle d’abord de lui, de sa santé, des moyens de le gué
promet d’ètre tranquille, et je m en retourne ; un instant après, il parle haut, je vais près de lui. je lui fais des reproc
lo se préparer pour quecetia fêle ne le cède en rien è sos aînées, on parle même d'unu réunion desdl-veriies écoles pour fair
degré de la perfection, c’est alors qu’elle a la propriété dont nous parlions tout à l’heure. Ceci diffère des autres remèdes e
ux et les complexions les plus dépravées. « Plusieurs sages ont peu parlé de cette chose, bien moins d’une antre qui lui re
(1), |t) Fiat dans son second canon des remèdes simples, en a voulu parler quandildit : Jle$tunccrlainremède,cachép{irlessag
On vient de voir avec quelle précaution les savants d'un autre âge parlaient du merveilleux principe du magnétisme, comme ils
te imE^e vous apprendra, lecteurs, comment on traitait les hommes qui parlaient avec franclûse. On les brûlailbel et bien, en p
ériences que nous avons faites ont pu être incertaines, mais écoutons parler Newion, l’iiomme le plus savant qui ait jamais ex
l’état magnétique, durant lequel ce jeune homme marchait, courait et parlait comme s’il avait été éveillé. Rappelé à son état
publique. Une des personnes secourables qui lui venaient en aide m’en parla un jour, et me procura l’occasion de la voir, el
ntage sur ce qui le concernait, on lui posad’autres questions. , Il parla encore pendant près d’un quart d’heure, et dit de
) Quant au phénomène dit d« a6iri lournantei, bous en av«j déjà assez parlé pour ne pas croire nécessaire d'y revenir ici.
celte aoaée, comme dç çputum« ^3 mai, et parait devoir ¿tr^ splendide parla réunion désirée des ijifTérenles écoles magnétiqu
t professé à la Cllcique ce qui suit :« Pendant plus de dix ans, je parlai et j’écrivis contre le magnétisme, parce que je n
e dans nos né\TOses, fébriles on non, si variées, ces protées dont je parle depuis longtemps déjà. Ce serdt le cas de rappele
vie même. La colère serait main*-tenant superQue, nous n’avons plus à parler qu’à des esprits à moitié convaincus. Gardons ce
rs reprises. M. le docteur Léger, qui ne s’était point préparé pour parler à cette fête, ne nous a permis de recueillir que
cien émérite, notre président, qu’il fut le premier magnétiste qui me parla n des bonnes et mauvaises forces de la nature. »
obscurs, dont la réunion d’éjjte devftni laquelle j'jii l’honneur de parler , atteste l’importance 1 A la synthèse des faits
s déciivent ainsi : On fait venir un de ces hommes de la classe des parlas oti des cliameliers habitués à ce métier, qui, po
4 peu de frais dans nos jardins roologiques. l’anesthésie pi'éalable parle chloroforme n’est qu’une pré-.oaatïon humanitaire
sée infaillible comme l’Église. Ces fictions ne sont plus admissibles parle temps qui court, sous peine des plus fâcheux dési
la science du jour sentiront la rougeur monter àleur front lorsqu’on parlera devant eux de magnétisme. Dans ce fait rapporté
WJlLPOLS. Toœ« ttcoDd, p. 15. LeUr«78*, !•' février tîTO. On ne parle que de la giuérison de M"* la duchesM de Luques :
ques que m’a suggérées le roman de M. Clément de La Cbave. Quand je parle d’observations critiques, je ue veux pa» m’attrib
. Clément de La Chave, avec qui nous aurons peut-être l’occasion d'en parler plus longuement dans une autre circonstance dont
on auxiliaire obligé. Les guérisons opérées par l’ImposiUon desmains, parla prière même, nous révèlent cette puissance mervei
par là, jusqu'à la plus complète évidence, que les craintes dont j’ai parlé plus haut n’ont aucun fondement. Je crois que cet
intellectuelles, le faisait écouter avec bien plus d'intérêt quand il parlait . Il était question un jour entre nous de choses é
me dire s'il voyait comme les clairvoyants : il me répondit : « Si je parle de choses absentes, de choses que je ne puis touc
ni les autres pussent observer rien de particulier dans ina façon de parler . Nous vîmes ce jeune homme, baissant la voix, div
coltons ce qu'ils ont semé. — Il y a quelques années, on n'avait qu’à parler magnétisme pour exciter des rires de pitié. La mé
issance d’un chapitre du Journal du Magnilisme, tom XIV, p. où il est parlé de l'invention du docteur Braid. Rien de nouvea
unssorlesautres, on peut dire que les fluides méukphysiques dont nous parlons sont le produit du frottement des idées, de leurs
n soulagement, et qui était plutôt allée eu empirant, 27. Ayant ouï parler de Jésus, vint dans la foule par derrière et touc
sis devant elle, sans la loucher, et je lui demanda mentalement de me parler . Bientôt je sentis qu’elle résistait à mon dési
étaient avant la maladie. Le 3 mîû, la muette me fait signe qu’elle parlera bientôt. Le bien continue. Le 5 mai, Pauline se
renseignements bien com -plets àleur égard, je me réserve de vous en parler plus exactement par une autre correspondance. L
láis vouloir ranimer des divisions unanimement regrettées. Quand je parle de considérnlion» philotophiques, on doit entendr
ver ou pour pousser en avant les peuples choisis?... Faut-il, pour ne parler que de notre ère, rappeler l’événement de César e
ainsi un instant bien favorable à la cause magnétique, car les faits parlaient hautement en sa faveur et eussent donné du poids
été ilc tout temps assez fréquentes. Dans ees mémoires, Saint-Simon parle d’un grand .sei-ifiioiirqui s’imaginait Ctrc clii
anguedoc, s’était introduit parmi les Camisards. n L’un de ceux qui parlaient dans l’inspiration, dit positivement que ce mécha
r la lettre en question par le courrier du soir, et n’en avait encore parlé à per-sonne (2). » Une autre cataleptique de Pe
ais te Sùir veau, son hôtesse, avec toutes sortes de précautions, lui parla de la santé altérée du père de M. B..., et finit
p rouge, en sorte que, lorsqu’il est bien éclairé, ses rayons entrent parle trou dans la chambreobscure. Ce seront donc des r
el ov8t«ur célèbre, et ils le d’oyaient; tes forçait à ce litre & parler au public, et ils s’exécutaient. Leur âme était i
rel’atmosphère de la pierre, puisque l’intéressant quadrupède dont je parle la distingue entre toutes les autres. Pourquoi ce
tc. Paris, 1786.) Hippocrate possédait-jl l’initiation complète? Il parle bien d’une force première qu’il nomme aussi le Cv
d’autres petites choses. Qu’entendiez-vous ainsi ? — (( Je voulais parler de contractions du cordon et d or-(jasmes locaux,
ablie. A son réveil, elle était toute confuse, rougissait, voulait me parler et semblait hésiter ; enfin, elle me pria de la l
nt nie formellement l’existence du fluide magnétique, et cependant il parle en divers endroits des forces vitales qui animent
clans le savoir el la loyauié bien reconnue de la personne dont j’ai parlé , ne mo permciiani pas tle croire (|ue sa miHhücle
lus facile sur la personne qui aurait été souvent magnétisée. Je ne parlerai pas de ces personnes qui élèvent si liaut dans le
successivement les cinq modes de magnétisation dont je viens de vous parler , ayant soin de toujours terminer par de grandes p
tête de leur faire voir les propres créations tic ieuresprit, je veux parler ici de l’pspritdecelui qui opère ou magnétise. L’
ontrera que la société actuelle ne diffère guère des temps passés. On parle de progrès; sans le contester, nous voyons nos sa
durée. a Je crois que c'est là le Pluton dont les poëtes ont voulu parler ; que ce sont là les royaumes ténébreux, parce qu
erge et partageaient lamême chambre. L'un des deux avait Tbabitude de parler en dormant et répondait alors aux questions que s
levait néccssaireniciit au quotient de la perfection ; les autres (je parle des raisons dissidentes), individuelles ou collec
noys Donc u:« üieu QUI PUMT us CftlHES SECRETS. « Le philfeophe qui parle ainsi croit certainement en Die«i. » (¡¡/ein, p.
ux des créntures qui les environnent ; ils voient, ils entendent, ils parlent ; ils échangent entre euxleurs affections ; ils in
us le consiilerons autrement ([UU par le passe? Laii^.uis dune encorc parler le Clirist lui-ITlâlIlG * «Jéi^ujdit ces choses
oscs, c’est tendre vers elles... «La pensée est grande, et conduite parla parole vers quelque chose, elle y parvient en vér
il se servait étaient tout magnétiques. 11 serait dangereux de trop parler de ce phénomène : Beaucoup sur les indications qu
ios. — Quels sont les caractères qui distinguent l’agent subtil, dont parle M. le D'Ordinaire, du fluide magnétique propremen
mystiques, los illuminés, les somnambules, les Esprits même qui leur parlent , l'ont appris i leur tour par les moyens connus,
sance formidable dans la main des hommes 7 CoQvenons-en : les faits parlent plus haut que les opinions humaines. En voici deu
st déjt un nvage. • m GvLbRjisTuaafe, ddns «ne âf. tet vôjasees. Je parle de nous tous, car tous, àdes poinis divers, nous
. sang froid, parliculièrement dans les Insectes et les vers. Caldesi parle d'une tortue qu'oo avait privée de la tète, et qu
er à l'incunnu ce que cela voulait dire, lorsque ccliii-ci le prrnant parla main te fit lever, et lui raontraiU sur l'arbre m
résentent la plus belle chance aux résultats de l’homœopathie. Est-cc parla puissance de l’imagioation ? Je vous ai transcr
sommes tout ouvriers dans une science ^ui est un mystère en partie : parler en maUre serait du dtrnter ridicule. Si (les ma
t éveillé ; Il jouit de la plénitude de ses facultés ; il se meut, il parle , il raisonne ; il accomplit tous les actes de la
n avais prise. Je ne crois pas avoir besoin d’analyser ce fait, qui parle assez de lui-même en prouvant une fois de plus ou
qu’il la guérirait complètement. Malgré toutes les instances faites parles médecins, la jeune fille avait été d’un mutisme c
ste à faire des passes avec les mains, puisqu’il est d’expérience que parla volonté seule on peut produire les mêmes effets.
de percer les ténèbres qui nous environnent. Il est vrai qu’on a fait parler Dieu, il est vrai que nous avons son code révélé,
é, m'inspira cette révolte? Il faut bien que quelque chose aussi m’Mt parlé , car je ne suis que l’écho de choses bien plus ha
e moment, confond ma pauvre raison. Ainsi, ouvrez cette boite; non, parlez sans précaution du magnétisme devant quelques méd
éplacent des objets, Iancent des projectiles, etc., 138, 379; — qui parlent , 28; — qui écrivent, 161 ; — qui donnent des déta
22 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
dévoués dans la cruelle maladie qui le lui enleva plus tard, et n'en parlait jamais sans une reconnaissance pleine d'effusion.
s lointains climats pour qu'on lui procurât un cerveau de baleine, et parlait chaque jour du bonheur qu'il sentirait quand il v
ressa de lui rendre visite, de le consoler, de le rassurer; il ne lui parla que de l'espoir de le voir bientôt guéri, et de l
foi de ceux qui écoutent comme la proclamation du droit de celui qui parle . Leuret le sentait bien : aussi, dès qu'il fut ch
animale, dît M. Oken , a commencé par là masse nerveuse, c'est-à-dire parla chose la plus élevée, par celle que les physiolog
ne dit-îl quelques mots de leur système nerveux ; Swammerdam (2) en a parlé plus explicitement ; ensuite sont venus Alexandre
les verlébrés et les articulés aussi bien que chez les mollusques, je parlerai successivement, dans ce chapitre, du système nerv
chial communiquent chacun directement avec le ganglion labial, et que parla ils doivent faire participer ce dernier aux propr
r tour l'influence du ganglion labial. Icirevient la question dont je parlais en finissant l'article précédent/savoir, si la di
celui de..................là 0,403 Outre les nerfs dont je viens de parler , il sort de chaque ganglion céphalique un cordon
rtie de leur étendue,-par un vaisseau artériel. De ce double ganglion parlent comme autant de rayons, un grand nombre de nerfs
bes, est de.......... ^Qmm. La somme des diamètres des nerfs qui en parlent , est de. .................. 9,72 Ce qui établit
se. Le ganglion sub-œsophagien postérieur, outre les nens dont j'ai parlé et dont plusieurs vont aux branchies, donne aussi
soin, toutes les parties du système nerveux de l'escargot, et pour ne parler ici que de ce qui concerne ce genre de mollusques
ulés, pour qu'il n'en soit pas fait à part une mention spéciale; j'en parlerai tout-à-l'heure et je montrerai la transition qui
amment chez les insectes. Les mollusques eux-mêmes, dont M. Serres ne parle pas, et qui pourtant n'auraient pas dû (i) « La
e nerveux, sont aussi les plus élevés pour leur instinct. Aristote en parle dans plusieurs passages de son Histoire des anima
les arêtes des poissons. » Cette faculté de changer de couleur, dont parle Aristote, est commune à tous les céphalopodes ; e
appelle un autre que l'on retrouve quelquefois chez l'homme.; je veux parler de la ressemblance des traits, des facultés et dé
; le reste du système nerveux est au-dessous du tube digestif. J'ai parlé de deux cordons latéraux qui se rencontrent sur l
étudié le système nerveux du lombric de terre et de la sangsue, j'en parlerai avec détail et j'ajouterai sur ce point quelques
réponse à cette question se trouvera dans l'article suivant, quand je parlerai de la structure microscopique de la chaîne gangli
ons le même fait dans les autres animaux articulés dont il me reste à parler . Serait-ce là le point de départ, la première ind
crois pas qu'il soit nécessaire d'y revenir maintenant. Quand j'aurai parlé delà structure microscopique de la moelle rachidi
n'ai pas entrepris de composer un livre sur la métaphysique ; si j'ai parlé de l'âme des bêtes, ce n'est pas avec l'intention
es insectes ; mais auparavant, afin de procéder du simple au composé, parlons d'abord des animaux articulés inférieurs, c'est-à
s demeurent; d'autres qui réunissent, comme la fripière dont il a été parlé dans le chapitre précédent, des fragmens de coqui
du contraire sont beaucoup plus fré-quens. C'est encore M. Duveau qui parle : c Je terminerai , dil-il, par un trait dont je
prennent de conserver les reines qui doivent les conduire. Cet auteur parle d'une ruche vitrée qu'il observait au temps où se
aire pour satisfaire au besoin présent. (1) Jusqu'à présent je n'ai parlé que des femelles; c'est qu'elles jouent le princi
ez les abeilles. Pour accomplir toutes les actions dont je viens de parler , il faut que les abeilles aient des organes d'une
8° Ganglions inférieurs. Les derniers ganglions dont il me reste à parler sont, chez certains poissons, aussi volumineux qu
ion, ni même sur l'existence de chacun des ganglions dont je viens de parler . Le ganglion cérébral a été confondu avec les gan
a description de l'encéphale ne serait pas complète, si j'omettais de parler des paires de nerfs qu'il fournil; ces nerfs SOil
sés d'une cavité; Car en effet, les proîongemens médullaires dont ils parlent , présentent une cavité dans leur intérieur; mais
es appartiennent donc à un système de fibres, dont je n'ai pas encore parlé , à celui des fibres transversales. 5e Paire, ne
aux de toutes les classes; on peut également comparer chaque nerf (je parle de ceux que l'on parvient à mesurer exactement) a
pathétique....... là 18,155 L'abducteur.......1 à 1,161,955 Je ne parle pas des autres nerfs dont la forme est trop irrég
ssi tranchées. Je vais d'abord décrire ses dispositions générales, je parlerai ensuite des différences qu'elle présente. Elle es
nt pas aussi constamment, et M. Serres qui, autant que je sache, en a parlé le premier, a peut-être eu le tort de les trop gé
ement dans un sillon. On verra la raison de cette différence quand je parlerai de la structure de la moelle. La forme de la mo
c'est qu'aujourd'hui on voit toute autre chose que les globules dont parlent les frères Wenzel et qu'on le voit bien clairemen
nce ; et celle d'un autre anatomiste allemand, M. Langenbeck, dont je parlerai tout-à-l'heure. J'ai déjà mentionné les faits p
k et pour M. Ehrenberg; les fibres noueuses dont M. Langenbeck seul a parlé , sont très variables entre elles; les intervalles
et j'ai pu voir partout la même structure que celle dont je viens de parler . Du moment où j'ai exercé la pression, jusqu'à la
parent du ganglion dont ils émanent. La matière granulée, dont j'ai parlé plus haut, constitue la matière grise qui se trou
ns que j'ai examinés; tels que le rouget, Table, le goujon, etc. J'ai parlé d'une disposition particulière que présente la ra
nt en grande partie composés. A l'occasion des lobes optiques, j'ai parlé de fibres transverses qui forment, pour ces lobes
oisent les nerfs optiques. La dernière commissure dont j'ai également parlé , unit entre eux les deux ganglions cérébraux. L
culière. Je reviendrai ailleurs sur ces granules , je vais maintenant parler des fibres. 3. Diamètre et nature des fibres du
me parfaitement semblables dans tous les nerfs. Plusieurs auteurs ont parlé du volume des fibres nerveuses, et ils en ont dét
déjà dit que ce sont des canaux: il faut le démontrer. Mais avant de parler des expériences que j'ai faites à ce sujet, je
brable de globules. M. Valenlin (3) nie l'existence des globules.dont parle Laulh; il lés attribue à un commencement de putré
la carpe, et d'autres globules isolés beaucoup plus petits. Si je ne parle pas des uns et des autres dans chacune de mes exp
la moindre nodosité, et cela non-seulement dans l'expérience dont je parle ici, mais dans un grand nombre d'autres, entrepri
écrire aucune page de l'histoire des poissons, dit Laeépède (l), sans parler d'attaques et de défenses , de proie et de dévast
; il paraît être plus délicat sous le ventre, que partout ailleurs. Parlons des mœurs des poissons, et comme parmi les animau
onnées plus satisfaisantes, mais ce n'est pas encore ici le lieu d'en parler . Le degré d'ouverture de l'angle facial ou angl
mammifères. Haller, Cuvier, MM. Serres, Desmoulins, Carus, etc. ont parlé d'une manière générale de l'encéphale des reptile
e, plutôt qu'elle ne les sépare. La surface interne du lobe , ou pour parler plus exactement, de la lame optique, est parsem
nt gris que l'on découvre en ouvrant le ventricule cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche optique. M. Carus décrit
ecroisement des fibres des nerfs optiques chez tous les reptiles ; je parlerai bientôt de cet entrecroisement. 3epaire. Nerfs
arce qu'il se rapporte directement à l'origine de ces nerfs : je veux parler du volume considérable de la moelle au niveau de
fulcrales, ces dernières s'enfoncent dans le sillon latéral dont j'ai parlé tout-à-l'heure, les autres s'étalent à la surface
structure du système nerveux cérébro-spinal des reptiles. Avant de parler de la structure de la substance nerveuse, je cons
es ; elles sont très ténues. Pour voir la commissure dont je viens de parler , il faut, avec des ciseaux très fins, enlever d'u
le sentiment du danger; elles se montrent attentives à l'éviter, soit parla fuite, soit en se retirant sous leur carapace. La
Ils ont vingt, trente, et jusqu'à cinquante pieds de longueur. Pline parle d'un de ces animaux qui se présenta devant l'armé
amelles dans le corbeau, 14 dans le faucon, et 13 dans l'oie. Gall ne parle qu'en passant de l'encéphale des oiseaux ; il reg
s premiers anatomisles qui ont décrit le cerveau des oiseaux ont déjà parlé , s'étale en manière de patte d'oie, se dirige ver
lige de faire. Les oiseaux crient, gazouillent, ramagent, chantent, parlent , par conséquent ils entendent, et rouie de plusie
nt pour le manger. (1) La plupart des oiseaux, dont il vient d'être parlé , mangent exclusivement des animaux mammifères, oi
la femelle. Parmi les animaux , les oiseaux seuls savent chanter et parler ; ils ont un chant qui leur est propre, une langue
ouvent on a vu le perroquet répondre à propos. Entre eux, les oiseaux parlent et se comprennent ; ils ont des tons différais po
es passions. Les hirondelles ne s'assemblent jamais pour partir, sans parler Oeaucoup plus qu'elles ne font en tout autre temp
ans parler Oeaucoup plus qu'elles ne font en tout autre temps. Le coq parle à ses poules, les appelle, les agace, les gronde;
e sont, de tous les oiseaux, ceux qui apprennent le plus facilement à parler , qui retiennent le mieux ce qu'ils ont appris, qu
nt, et qui ont le plus de sentimens (i) Rhodiginus cité par Bulïon, parle d'un perroquetcendré qui récitait correctement le
veut lui faire dire ; mais la cage l'attriste et le rend muet, il ne parle bien qu'en liberté. « Dans ses jours de gaîté,
perroquets paraissent avoir des rêves, car on a entendu ces derniers parler en dormant. Après le perroquet, les oiseaux qui
merle, le sansonnet, le bouvreuil, le serin, etc., et d'autres qui ne parlent pas, comme le moineau, la poule, le dindon, l'oie
r M. le docteur Desportes, présentent un exemple du contraste dont je parle ici: le geai est glou* ton ; quand il s'agit d'un
tif, j'arrive à ce qui concerne la forme de cet organe. Je n'ai pas à parler ici de la forme de la moelle épinière, ni de cell
hénomènes intellectuels. Quant au cervelet, je n'ai pas non plus à en parler , parce que sa forme ne diffère pas sensiblement d
à l'accomplissement des fondions intellectuelles. On voit que je veux parler du cerveau. Certaines parties du cerveau ont élé
naturœ imagines. (1) Malacarne, décrivant l'encéphale du chevreau, parle d'une circonvolution placée à la partie interne d
fondes de toutes, mais sans leur reconnaître aucune régularité. Laulh parle toul-à-fait dans le même sens (4), et les frères
nus (2). M. Serres, qui lui a donné le nom de lobe d'hippocampe, en a parlé dans le même sens que Treviranus, et M. Lélut (3)
es muscles qui vont s'insérer à l'occipital. » Voy, t. n, p. 116. Et, parlai d'un autre phrénoloçisle, le même auteur ajoute :
les se trouve un sillon crucial (s. c), l'analogue de celui dont j'ai parlé à l'occasion des groupes précédemment étudiés, pu
le double signe 1£ placé suivant la longueur du cerveau. J'ai déjà parlé de la circonvolution latérale externe du cochon ,
dis qu'elle est double en arrière, la circonvolution dont je viens de parler peut être considérée comme représentant une secon
adhère à la partie supérieure du pédoncule cérébral, et dont je vais parler . Bandelette demi circulaire, aussi appelée cent
fig. U du mouton, etc.). Entre les quatre parties dont je viens de parler , savoir : la commissure antérieure, la commissure
de la glande pinéale jusqu'au limbus porterior, dont il vient d'être parlé . Deux commissures appartiennent à la couche opt
s antérieure, moyenne, postérieure, et la voûte à trois piliers. J'ai parlé des commissures antérieure, moyenne et postérieur
de si nombreux rapports entre la plupart des organes dont je viens de parler , et ceux de l'encéphale de l'homme que je me born
ervant, ainsi que je l'ai dit tout-à-1'heure, de les décrire quand je parlerai de celles de l'homme. En procédant d'avant en arr
s un même article tout ce qui concerne les uns et les autres, pour en parler seulement dans le volume suivant; ici je me borne
développement des diverses régions du crâne; on pressent que je veux parler du crâniomètre dont l'usage ne peut être de quelq
sion comparative de ces deux parties. Le point de départ dont je veux parler est le corps calleux : tout ce qui est en avant,
al, et du cervelet, que des portions détachées. Plusieurs auteurs ont parlé de l'encéphale de l'éléphant ; ce sont Blair (1),
marque, ne pas s'en tenir à l'aspect qu'offrent les éminences dont je parle , dans l'encéphale de l'homme. Il faudrait voir ce
e nécessaire. En esquissant l'histoire psychique des mammifères, je parlerai d'abord de l'intelligence et des instincts des ca
donc, je change ici l'ordre établi dans le premier paragraphe, si je parle d'abord de l'état psychique des carnivores, il n'
n, des choses incroyables; mais comme je ne l'ai pas vu, j'aime mieux parler seulement des deux autres que j'ai observés avec
de rapporter qu'auprès de Zeitz, dans la Mismic, il y a un chien qui parle . C'est un chien de paysan, d'une figure des plus
r à des mots allemands, et sur cela se mit en tête de lui apprendre à parler . Le maître qui n'avait rien de mieux à faire, n'é
que le chien avait bien trois ans, quand il fut mis à l'école. Il ne parle que par écho, c'est-à-dire après que son maître a
vie sociale a affaibli en eux l'instinct de la conservation. Je ne parle pas des ruses que les chiens emploient dans la po
pour être riche en histoires sur les mœurs des animaux sauvages (1), parle , d'après le physicien Démétrius, de la rencontre
rveau du renard et des caractères du cerveau de la fouine : j'aurai à parler des rapports qui lient le cerveau de la fouine à
diffèrent trop du sarigue et des autres animaux dont il vient d'être parlé , pour trouver place ici. Aucun d'eux, excepté peu
lui faire aucun mal. Si le maître veut faire affront à une autre, il parle à l'éléphant qui prendra avec sa trompe, de l'eau
ux entendirent, ils cessèrent de manger pour courir vers le lieu d'où parlaient les sons, et témoignèrent leur surprise par des m
age d'action et un langage de voix. Auraient-ils une sorte de langage parlé que nous ne comprenons pas? L'ensemble avec leque
'amour des petits; on sait de quelle circonvolution cérébrale il veut parler , c'est celle que j'ai appelée la troisième circon
u'au mouton ou au lapin. Je ne refuse pas ce genre d'épreuve, et j'ai parlé de deux renards dont je conserve encore les cerve
comparant assidûment les crânes d'animaux, je trouvai, c'est Gall qui parle (l), je trouvai une différence caractéristique en
es allégués par Broussais sont de toute vérité, les sentimens dont il parle existent chez le mou- (1) Gazette médicale, i83
me. L'étendue de la surface cérébrale des ruminans dont Desmoulins ne parle pas, celle du mouton en particulier, est, proport
23 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
l indifférent et peu affectueux. Il a le sommeil agité par des rêves, parle toute la nuil. Il est gourmand, il mange gloutonn
Imuche ouverte, a le sommeil agile, réve beaucoup, rit aux éclats et parle en donnant Elle a uriné au lil toutes les nuits j
a Irauroup de peine à la nHeiller le matin : elle rêve fréquemment el parle en dormant. On nous la représente comme affligée
sans cesse le même — mais il y a dans ce récit des lacunes — el elle parle des circonstances concomitants du viol comme une
p!ii|iart des cas la sensualité et la luhri-cité comme mobile. Elle parle de ses a amants ». qu'elle a eus ou qu'elle aura,
ait peut du reste être rapproché, car le père de renfaut dont je vous parle pensait sérieusement à porter cette all'aire en j
aient pour eux les règles de l'hygiène. Hérodote (344 ans avant J.-C. parlait des mains des dieux : Pline en taisait aussi l'él
auraient certes pu trouver quelque chose de mieux. Et puisque je vous parle de l'envoûtement, qui-je vous dise rapidement en
s réunions, votre président éphémère se propose, aujourd'hui, de vous parler d'une question, dans laquelle il a pu; dequis qui
empoisonner le pain du pauvre. Il ne faut jamais se baisser pour parler au grand publie, mais Imijnurs viser en haut : si
breuses somnambules pii se prétendent extra-lucides et qui. alléchées parle beau billet de mille francs, voudraient essayer d
t pour ainsi dire â ma porte, à trente melres de distance. Elles m'en parlèrent , et me demandèrent «l'essayer mon art. J'hésitais
t je le priais de bien observer le cas pour m'en rendre compte. Je ne parlai ni «le mes soupçons ni de la suggestion d'insensi
quelquefois, parée que je liens avant tout à être bien compris. Je parle des états passifs en général, et particulièrement
sous ses deux aspects opposés, en tant qu'il est profond ou léger. Je parle au long surtout des rêves qui ont lieu dans eel é
trefois dans un ouvrage 1 suri nu «les étals passifs dont je viens de parler , sur le sommeil, ouvrage dans lequel j'ai déjà ab
dinaire, l'opinion de A. Maury. l'auteur le plus compétent qui en ait parle . On trouvera que. quoique peu nettement rendus, l
est «leharrassée de sa peur morhide. X cM •ou ¡ws en droit alors «le parler ici de vraie guérisou. mais 11011 pus d'une améli
'elle voit en passant de son bureau, l'aime et veut l'épouser. Elle parle avec une grande volubilité, se montre très raison
mort quelques jours avant. elle croyait entendre la voix de Louis lui parler , et surtout elle se disait incessamment poursuivi
les obsessions de Louis : mais elle ne reconnaît pas son erreur, elle parle par momenl- de cet entretien dans les bureaux de
tout d'abord au pôle d'inertie. Les faits du genre de celui dont je parle et qu'où peul rendre nombreux presque à volon
il profond, que je viens d'effleurer; et ceux du sommeil légerdont je parlerai spécialement plus loin. Dans ce qui va suivre,
mais aussi quand par suggestion ou par autosuggestion, ils écrivent, parlent , se mettent en mouvement, etc. En entrant dans le
ction pensante. On peut dire (pie l'un des hémisphères cérébraux nous parlait par la bouche de la spirile. et que l'autre hémis
e nerveuse répartie partout ailleurs dans l'organisme. J'ai souvent parlé de la mémoire. Est-ce que les nombreuses ¡dees qu
pôle d activité de l'esprit, rêves île la seconde classe dont je vais parler tlans cette seconde moitié de mon travail. Je lés
du sceau de la raison. En dehors des quelques sensations dont j'ai parlé plus haut, et qui y ont été des éléments rares, j
uémorîclles de la vision, images psychiques, s'il en fut, que j'ai, parle souvenir, puisé la grande majorité des matériaux
e, on accepte sans broucher des absurdités pareilles à celles dont je parle ! Il est un côté de ce qui se passe dans !cs rêv
lle qui s'appuie sur la pathologie. Les quatre malades dont je vais parler sont tous hystériques à un remarquable degré. Mai
lle fût profondément hvpnotisée avec amnésie au réveil, la malade nie parlait tout à fait raisonnablement et bien qu'elle se re
aryngoscope ne révéla rien qui valût la peine d'être noté. Quand elle parlait sa voix n'était pas affectée. En plus de ces trou
d'une jeune fille hantée, disait-on. par les esprits, en particulier parles esprits frappeurs. Depuis longtemps, elle était d
La vue de l'assassin lorsqu'il rentra dans le pavs l'exaspéra : if parlait jour et nuit de le tuer, il le menaçait et sa le
e les meubles et les portes; puis la crise passe, il est calme, doux, parle comme tout le monde et donne des explications pla
it-il. parce qu'il a des manières communes qui l'exaspèrent. — Je lui parle de ses sentiments religieux très exaltés chez lui
quences a en tirer n'étant pas insignifiantes, je ne redoute pas d'en parler . Honni soit qui mal y pense. Dans mou premier som
otions. — ce que prouve le sujet du rapport Devergie dont je viens de parler . — et qu'ils sont entraînés irrésistiblement, san
orticolis intermittent survenant sous l'influence d'un rave. Ouôrlson parla sugjsstion hypnotique. Par M. le docteur Joies
les escrocs à bonnet scientifique, comme celui dont je viens de vous parler ». Tel est. messieurs, l'objet dont j'ai cru de
e que vous négligez, et c'est le meilleur dans l'orrurrence : je veux parler de la Commission medicale provinciale. M. Crocq
par la Chambre se borne, en réalité, à ajouter aux garanties établies parle Sénat une garantie de plus, puisque, cela va de s
'ai pas constatée, et je n'y crois pas. M. Thiry. —Allons donc ! Ne parlons pas de cela ! M. Masoin. —- Mais, messieurs, to
extrême abondance, re qui l'inquiète beaucoup. Or je ne lui avais pas parlé de son aménorrhée; celte perte fut donc un phénom
excessive de fortiOeren même temps le moral et le physique des sujets parla gymnastique, l'hydrothérapie, le séjour à la camp
s champs et une !onnc éducation morale. Le chirurgien dont nous avons parlé est un bon exemple à citer ; il n'a pas lardé a s
e, même excessive, n'est malheureusement pas chose bien rare et. sans parler des drames divers dont elle est assez souvent l'o
nt MM. C.rocq de Bruxelles el de Enrhas se sont occupés" M. de Rochas parle d'une couche sensihle s élevant île ipiehpies cen
mémoire. L'n des malades avait oublié trois langues sur quatre qu'il parlait couramment. L'asthénie psychique dont ils souff
ude d'exégèse, il sullit de constater que le» plus vieux chroniqueurs parlent «l'un certain Ahasvérus ou Cartophilus eourant le
te observation que je dois l'étude des faits dont j'aurai plus lard à parler , et dans lesquels j'exposerai des compositions ar
e courant, qu'on supposerait aller de l'opérateur ii l'objet, ut l'on parlait de sensibilité transmises» travers une personne i
r de lui demander en chantant les choses dont il a besoin. Quand il parle à haute voix, et «piand il chante il bégaie beauc
et sans pouvoir demander ce qu'il désire, il fait des tentatives pour parler mais cela lui est impossible, deux minutes après
is il se met en colère contre lui-même à cause de cette difficulté de parler . Son bégaiement est en quelque sorte intermitte
n quelque sorte intermittent, quclqucfoispcndanl cinq ou six jours il parle mieux mais la plupart du temps il ne peut pas art
sième séance le 7 septembre sa guérison est reconnue indiscutable. Il parle , il lit, il récite bien, il demande :à table ce q
elle devenait très attentive. La gué ri son fut obtenue complètement parle procédé suivant : on lui faisait réciter des leço
ainsi, tel malade qui bégaie en hollandais, ne bégaie plus lorsqu'il parle en anglais ou en français. Dans les ras où l'inti
de 20 à 30 et de 80 à 90. Alors je l'éveillai et elle put continuer à parler de sa voix naturelle. Toute la procédure avait du
récit va suivre ont été pratiquées sur Lucy W.... la malade dont j'ai parlé dans mon article sur les usages thérapeutiques de
cet actr, et sans que je guide cette main. En même temps qu'elle me parle , sa main écrit : Vous êtes bon. Comme je lui dema
eux ou trois jours. « Je dors mal ; j'ai le sommeil agité. « Sans parler de cent autres petites misères. Croiriez-vous que
urprit beaucoup le médecin qui en alhrmant que. m elle ne pouvait pas parler , elle pouvait chauler à haute voix. Elle luî en f
inférieure à celle qui lui avait été métaphysiqucment attribuée. Sans parler des contestations d'ordre métaphysique rencontrée
uver l'attribut par le substratum ou le substratum par l'attribut. On parle de l'éther des physiciens, mais cet éther est que
iciens, mais cet éther est quelque chose qui vibre et qui ondule ; on parle du potentiel. comme si le potentiel n'était pas s
e dont la théorie opposée ferait un épiphéiioineiic ne prenant aucune parla la détermination de l'acte volontaire. Au point
uche, la jolie s'aplatit et d'horribles grimaces se lircnl quand clic parla . Puis, une sécrétion séro-purulente s'écoula en p
déjà tant recherchée qui avait déterminé tous les accidents dont j'ai parlé jusqu'ici, moins l'apparition des crises nerveuse
le, de» indices plu» ou motn» vague» qui qui la mirent sur 1« voie de parler comme elle Ir lit. Car chaque foi» que plu» lard,
quelle présente toujours une légère déviation des lèvres lorsqu'elle parle et que les hernies, longtemps inaperçues, montren
irectes de cette ancienne malade, qui habitait alors Metz : on m'en a parlé comme d'une personne dont la prestance indiquait
les. D'après leur état d'esprit, ces médecins ne purent guère agir ni parler autrement qu'ils le firent. C'est une telle dis
dans tous les temps, aux auteurs des grandes découvertes. Et pour ne parler que de ce qui touche â la science qui m'occupe, —
des médecins ont prise pour une jonglerie, c'est qu'on doit, avant de parler sur des choses que l'on ignore, les soumettre â l
vant de rentrer chez elle, elle rencontre des personnes amies et leur parle avec beaucoup d'animation et de naturel. M. Hougi
t insensible. Donc, elle écoule son dangereux visiteur ; celui-ci lui parle (1) Déposition deMme Daujon. Journal des Débatx
le le regarde avec compassion d'abord, avec terreur ensuite, quand il parle de sa mort prochaine. Les yeux « papillotants s d
sagacité du médecin le plus compétent cl le plus exercé. Nous voulons parler de ces symptômes d'ordre purement subjectif, dési
ois qu'il s'est plaint de ces sensations, ¡1 y a longtemps qu'il u en parle plus à personne. Ce malade est franchement neur
s Avec ces verres-là, il ne distinguait plus les yeux de ceux qui lui parlaient , mais il s'exposait à commettre certaines bévues
d'une vue excessivement courte, il n'éprouve aucune difficulté à loi parler . Chez ce malade, l'iuftucuce héréditaire est tr
s ou images qui constitue la délibération et le choix dont nous avons parlé précédemment. Cette coordination peut être extrêm
eur qui développe les arguments les plus logiques, mais au tribun qui parle avec le plus île fougue el de conviction. Mais
tz. voire du professeur Germain Sée. tous maîtres qui sont, révérence parler , comme les meilleurs auteurs de la parfaite cuisi
que sou estomac aimait le rythme. Goutte. — Miiord Lanesbrow. dont parle Pogc dans ses Epitres morales. se mettait à danse
hypnose : d'autres étaient excités, se jetaient de côté et d'autres, parlaient haut pendant leur sommeil. Ces états constituaien
e la guérîson. Dans la nuit en effet la Sainte-Vierge apparaît et lui parle ; mais la malade reste couchée. La suggestion est
halalgie. Pendant l'hypnose, elle répondait à son nom fictif suggéré, parlait avec volubilité de tout ce qui se passait dans la
ux pour la mère d'endormir son enfant en le lierçant, en le captivant parla chanson du sommeil. Car c'est le procédé de la mè
à celle étude un esprit suffisamment affranchi, du moins si j'en juge parles assertions suivantes : « Seeligmiiller a montré
nfirme ce raisonnement théorique. Joséphine I).... dont je viens de parler : ne peut se rappeler à son réveil qu'elle a mis m
d'un an, mais je ne l'ai jamais hypnotisée, et je n'avais même jamais parlé d'hypnotisme devant elle, quand clic me fait appe
femme a-t-elle clé déjà endormie? — Non jamais. — Eh bien, ne lui en parlez pas et laissez-moi faire. Nous rentrons dans la c
mari était assis devant elle, j'étais debout derrière lui, et elle me parlait sans le voir, demandant pourquoi il n'était pas l
là continuez à vous reposer en dormant tranquillement, » Puis nous parlons avec M. G... de tout autre chose et tout à coup j
t sur sa poitrine, ses bras retombaient inertes le long de son corps; parlait -il avec animation à quelqu'un, voyait-il un de se
Par M. F. Varinard, directeur de la Graphologie. Je vous ai déjà parlé de la graphologie, au point de vue de sa démonstr
relation intime entre le caractère d'une nation et la langue qu'elle parle et on peut connaître les tendances, les sympathie
idèle* avaient vu s'accomplir dans la ville suinte. Et les malades ne parlaient jamais sans remercier la bonté du dieu par l'offr
s, tremblent en y songeant, hésitent et ne peuvent s'y décider. Béard parle encore d'un prédicateur célèbre qui, dans sa chai
né au lit. Son sommeil est troublé par des rêves, des cauchemars ; il parle à haute voix en dormant. Il est plongé assez di
succès attribués aux médicaments ou aux manœuvres diverses, dont nous parlions plus haut, sont dus, au moins dans une certaine m
sie infantile à l'âge de 3 ans. Jusqu'à l'âge de 8 ans, il n'a pas pu parler nettement subissant de temps en temps une aphasie
24 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
mies réalisées, au dortoir, la nuit, pour les chemi-ses et les draps, parla pose des enfants sur les sièges, au coucher, au m
, à être pro-pre, à se laver la figure et les mains, à manger seul, à parler n'est-ce pas déjà un résultat digne d'être rele-v
M. Mesnard, se sert pour sa leçon du tableau roulant dont nous avons parlé souvent. Il rappelle aux enfants qu'ils ont assis
ns du Dr Clin), et des médicaments antiscrofuleux, ont continué comme parle passé à être, avec les purgatifs, surtout chez le
vec intégrité presque parfaite des facultés intel-lectuelles (nous ne parlons pas de l'irritabilité habi-tuelle du caractère) d
l'arrondisse-ment, au département, à la nation. De mémo en histoire, parler du temps présent d'abord, pour remonter clans le
manie (Klastô, je brise) Coprolalie {Kopros, ordure ; laleô, je parle ) Coprophagie du grec Kopros, ordure et phagem
ie (écho, écho, hinùsis, mou-vement) Echolalie {Écho, l léo, je parle ). Kleptomanie (hlepto, je vole) Krouomanie
e l'absence on la faiblesse de l'idèation. L'enfant entend, mais ne parle pas, sans qu'il y ait lésion des organes phonateu
ucluse, de l'asile-école de Bicêtre, de la Fondation Vallée — pour ne parler que du département de la Seine. En qualité de r
traitement médico-pédagogique, des procédés qui la composent, nous ne parlerons que des résultats. Ce préambule était nécessair
araître et l'en-fant commence à répondre plus exactement quand on lui parle . U devient gai, chante et commence à s'approprier
ugace qu'elle soit, a été appelée par l'éner-gie mise à les prononcer parles domestiques, les charretiers, etc., et aux reproc
, etc., et aux reproches que leur valent ces mots. 1902. — L'enfant parle , fait des phrases, il rapporte même sur les autre
eux et se tient plus propre. 1904. — Il continue de s'améliorer, il parle très bien, tient bien une conversation et, malgré
s habitudes de mal propreté. 1905. — Les progrès sont sensibles. Il parle , raconte et in-terroge. Il n'est plus gâteux. Il
ioration devient notable; l'enfant n'est plus en mieux quand on lui parle . Il s'intéresse à tout ce qui se fait autour.de l
e de se guider. Fio. 13. — Maz..., à 19 ans (1904). faut plus lui parler de l'école, et, en dépit de tous les essais, il a
t normale. La physionomie réfléchie, froide et dure. Bien qu'il sache parler , il faut le contraindre de répondre quand on lui
n qu'il sache parler, il faut le contraindre de répondre quand on lui parle (ce qui parfois suscite une colère, l'enfant y ét
s. Il avait l'habitude de se cogner la tête, et chaque fois qu'on lui parlait , il la cognait davan-tage. Il était enclin à de n
is il est toujours assez obstiné pour répondre quand on veut le faire parler , et ne perd pas l'habitude de rire. — Son attenti
tité. — A son entrée,en mars 190Ç, cet enfant gâtait nuit et jour, ne parlait pas, indifférent à ce qui se passait autour de lu
e de ses camarades, Félix, par esprit d'imitation, a fait effort pour parler et prononce quelque mots dont il ne com-prenait p
enu complètement propre nuit et jour, comprend tout ce qu'on lui dit, parle encore avec difficulté mais d'une façon assez int
vant en arrière en poussant une sorte de plainte ininterrompue. Il ne parlait pas ou du moins ne disait que papa et pain avec b
e, il répète et comprend maintenant tout ce qu'on lui dit, commence à parler un peu de lui-même. La voix est basse, caverneuse
caverneuse et l'articulation laisse beaucoup à désirer, mais enfin il parle avec à-propos, nous comprenons ce qu'il veut dire
tive a fait place à un peu d'animation. Il a commencé à s'habiller, à parler , à s'attacher à nous, à son frère. Devenu rrio.'n
e soutenu sous les bras, ne mangeant pas seul, gâtait nuit et jour et parlait avec difficulté. Cet enfant à commencé en 1897 à
moins maladroites. En 1899, il est parvenu à se déshabiller seul et à parler plus intelligiblement. Il gâtait encore très souv
. — Il commence à syllaber et à compter; l'intellect se développe, il parle , raisonne et fait part de ses réflexions, il a be
ée, gâtait toutes les nuits et souvent le jour, mar-chait avec peine, parlait avec volubilité, comme un perroquet, répétant des
Actuellement, il est propre le jour et la nuit, est moins loquace, parle , avec plus de lucidité; la somnolence que nous av
tion chez cette enfant. Elle n'était pas patiente avec ses compagnes, parlait fort peu avec le personnel, n'aimait pas le jeu e
sa taille mesurait 84 centimètres, son poids était de 22 kilos. Elle parlait , mais ses réponses étaient très lentes, ne tenait
36. — Lar... à 8 ans (1901). che, ne courait, ni ne sautait. L'enfant parlait , mais elle sive n'annonçait aucune intelligence
vive, alerte dans ses mouvements; marche, court, saute avec agilité; parle facilement, s'exprime avec volubilité, soutient b
éshabiller. (Planches vu a xn.) Aujourd'hui (1899), elle a appris à parler , elle sait soute-nir une petite conversation, la.
lité et de rachi-tisme, avec ferversions instinctives. Cette enfant parlait , causait, marchait, ne gâtait pas, mais elle étai
enue à marcher seule, à s'ali-menter elle-même assez proprement. Elle parle franchement et sans le moindre défaut de prononci
ît au son de la voix, toutes les personnes attachées au service. Elle parle bien,- sans défaut de prononciation, demande tout
é par dire quelques mots, puis des phrases; aujour-d'hui (1900), elle parle bien, sa voix est claire, sans défaut de prononci
ucune notion, sur tout ce qui concerne les exercices classiques. Elle parle bien, répond directement aux questions qui lui so
ndiquait aucune intelligence, le regard était sournois, elle savait parler , mais était incapable de tenir conversation, l'at
et sans but, rien chez cette enfant n'annonçait l'intelligence. Elle parlait , mais avait un défaut de prononciation pour la le
t s'est fait en elle: Gâtisme, colères, caprices tout a disparu. Elle parle et marche très bien. En classe les progrès sont n
— Rien de particulier à signaler. Cette enfant est propre, marche et parle bien, ses progrès sont lents en classe; elle fais
ement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'enfant parlait mal au début, était maussade, restait inerte; auj
eur petite maman. Elle essaie de répéter tout ce qu'elle entend, elle parle à propos. Elle mange seule, mastique très bien. E
s chiffres et les lettres et commence à les assembler. Elle marche et parle de mieux en mieux. Amélioration notable. LXXXV.
de la physionomie était dure et effrontée, le regard malicieux, elle parlait bien, mais riai n'était suivi dans son langage; e
99), la physionomie manquait d'expression, son air était hébété; elle parlait très peu, sa voix était nasillarde; elle mangeait
ntrée en 1903. La physionomie n'annonçait pas d'intelligence, elle ne parlait pas, ne marchait pas, ne mangeait pas seule, ne s
(1904), l'ensemble de la physionomie est beau-coup plus éveillé; elle parle très bien et sans aucun défaut de prononciation.
Elle joue avec ses petites compagnes, recon- naît les personnes au parler , à la marcher La sensibilité tactile est aussi tr
, la sensibilité tactile est toujours très développée. Elle marche et parle de mieux en mieux, le gâtisme a complètement disp
st totalement changé, l'enfant est devenue plus enjouée, affectueuse, parle même beaucoup, tient conversation, s'amuse aux ré
assez intéressante, elle est gaie et très ouverte, elle qui autrefois parlait à peine. Elle n'est pas mala-droite pour les ouvr
bre 1892, atteinte d'idiotie. A son arrivée, elle ne marchait pas, ne parlait pas, gâtait nuit et jour. Aujour-d'hui (1899), l'
s, ne parlait pas, gâtait nuit et jour. Aujour-d'hui (1899), l'enfant parle et sait soutenir une conversation comme les enfan
tôt en traitement, elle commençait à s'améliorer, devenait plus gaie, parlait avec moins de lenteur et s'expri-mait avec facili
toilette. La parole, autrefois lente, est maintenant très vive. Elle parle beaucoup, raisonne bien et s'exprime de même. L
uchait à tout, aimait à détruire. Aucun sentiment d'affectivité. Elle parlait peu, son vocabulaire ne s'étendait guère qu'en me
rachitisme. Cette enfant était gâteuse nuit et jour, ne marchait pas, parlait à peine, ne pouvait ni s'habiller, ni se déshab
défectueuse, elle avait un défaut de prononciation (bégaiement), elle parlait peu, ne se ser-vait que de mots pour désigner un
rée à la Fondation en 1896, atteinte d'idiotie et d'é-p-ilepsie. Elle parlait peu, mais n'avait pas de défaut de prononciation.
et a appris à marcher (Fig. 53). 1897. — Amélioration notable. P... parle bien et très fran-chement, sa tenue est bonne. Il
maintient et augmente : ainsi le veut la méthode scientifique dont on parle tant, mais qu'on ne suit guère. Nous termineron
25 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
roûtes dans les cheveux, glandes au cou, (l) Elle ne marchait ni ne parlait quand les convulsions sont survenues. ophthalmi
, que l'enfant ne s'en sert pas. Puis, les accidents aigus produits parles convulsions ayant disparu, si on lève l'enfant, o
ccès; puis, qu'elle est devenue sourde, qu'elle « ne s'entendait plus parler , » que son bras gauche était engourdi et qu'elle
ue chose de particulier dans le regard. — A deux ans et demi, elle no parlait pas. A cette époque, une explosion de gaz l'effra
incapable de se servir du bras droit. A sa sortie (2 mai 1868), elle parlait un peu mieux qu'à son entrée. Son père l'avait
o-labial droit est plus accusé que le gauche, surtout quand la malade parle ou rit. La commissure labiale droite est tirée. L
es renseignements qui nous ont été donnés, soit par les parents, soit parles surveillantes, que nous tracerons les caractères
êtrière, jusqu'à 8 ou 10 accès en un jour (1). Pet..Lef..., dont nous parlions tout à l'heure, (l) La malade de I'Obs. I, inte
n nourrice. Quand elle est revenue, à 13 mois, elle ne marchait ni ne parlait et ne semblaitpas comprendre. En la rendant, la n
it est effacé; le gauche est accentué, principalement quand la malade parle ou rit. — La bouche est petite. — Les lèvres sont
ts que T. prononce mal; d'autres qu'elle est impuissante à dire. Elle parle souvent en serrant les dents :] tamisole pour cam
s haut est parfaitement soutenable. Les malades dont nous venons de parler , celles qui appartiennent au même groupe que nous
choires sont énergiquement contracturées, ce qui empêche la malade de parler , car, durant cette sorte d'accès, elle ne perd pa
enfin, la tête se tourne à gauche et la malade a beaucoup de peine à parler . L'eosemble de ces accidents constitue un accès i
s, rit niaisement. Hier, dans la journée, elle poussait des oh I oh ! parlai t de sa mère, prétendait qu'elle était en dentell
t trois jours et l'agitation a cessé. 17 novembre. — P... refuse de parler . Elle a l'air renfrogné, mécontent. Elle ne veut
38°,2 à 6 heures et demie. (l) Les secousses, dont nous avons déjà parlé bien des fois, au lieu d'être plus ou moins isolé
périodes et la malade retombe dans l'état de rigidité dont nous avons parlé . D'autres fois, il y a un peu de ronflement et d'
mie exprime le dédain, puis redevient calme. Bientôt V... recommencée parler presque bas : « C'est à Fontainebleau, sous un ch
e mettre à l'amende... Je partirai pour l'Italie... » Elle se plaint, parle bas, d'une manière inintelligible. Nouvelle att
période de délire. « C'est la planche!... Non, non... » Puis, elle parle anglais : Let me... I shall go out ... I would no
pas?... Je vous ai dit que je connaissais la ruse... » (Ensuite, elle parle plus bas, tantôt en français, tantôt en anglais.)
i... (C'est de « madame » qu'il s'agit). Je vous écrirai ; mais ne me parlez jamais du colonel dans vos lettres... Que voulait
ieux fait de rester folle... Mais c'est passé... Je vous jure de n'en parler à personne... Mais quel est l'homme qui est entré
X...). Quelquefois, ses compagnes l'entendent causer en dormant; elle parle entre les dents, tantôt en français, tantôt en an
a langue se croche, se retourne. La parole est gênée, et plus dans le parler que dans le chant. Elle porte l'index au nez, mai
malade » commença à se plaindre et l'un de ses gardes lui » ayant parlé , elle dit : « Ah ! Jésus ! cela que j'ay sur » mo
Dieu » pour moi, je m'en vais mourir. » Puis inclina la tête » et ne parla plus. Ce qui nous donna grande tristesse, » car e
demi, elle a été placée chez des parents à Bordeaux. Elle a marché et parlé assez tard, et aurait eu plusieurs ophthalmies.
rte livrée.Lepèrede L... est mal avec sa femme, ne veut pas qu'on lui parle de sou fils.peut-être parce qu'il pense que ce n'
ns, se fait des peurs. Elle revoit l'ouvrier peintre, dont nous avons parlé ; —un chien qui se jette sur son frère, le mord e
nouvelle attaque, survenue après un repos de 20 minutes, est arrêtée parla compression ovarienne gauche. — T. R. 38°,5. \k
. L... a revu le charriot des morts. Quand les hommes qui l'entourent parlent , il sort des flammes de leur bouche. Elle a vu au
abolis des deux côtés; l'ouïe est très-affaiblie : L... prétend qu'on parle bas pour la taquiner : la notion des couleurs est
attaques, la langue restait contracturée et la malade ne pouvait pas parler . A la suite de cinq attaques qui se sont succédé
après la cinquième. Période de délire. — X... crachotte, puis elle parle : « Cochon! Cochon!... Je le dirai à papa... Cocho
finit, la mâchoire et la langue reviennent à leur état naturel. L... parle avec un certain embarras ; elle dit que sa langue
valent pas un... Ça ne signifie rien. » (C'est à son frère quelle parle ). « Mais tu allumes le feu auprès de maman... Emi
ne à droite, disant : « Non! non! C'est une affaire terminée, ne m'en parle plus. » Décubitus dorso-latéral ; les paupières s
so-latéral ; les paupières sont closes ; la face est naturelle ; L... parle bas : « Chose arrêtée, en un mot. Elle se débat,
en un mot. Elle se débat, demeure ensuite tranquille, et bientôt elle parle bas, avec énergie, la physionomie exprime la fray
baiser des lèvres. Repos ; soulère un peu la tête, regarde à droite, parle bas. ElFroi ; plaintes ; elle se tortille : « Scé
Lis !. . • Eh bien Emile, c'est Emile, et toi, c'est toi... » Elle parle bas : • Va t'en trouver ton Antoinette, va !... T
'embrassait, il me faisait des choses. . . Je ne sais le nom... (Elle parle alors de son frère qui s amusait avec les petites
d'attaques, elle est prise de son délire de paroles dans lequel elle parle de son escapade et des scènes un peu légères qui
à la Salpêtrière ... à moins de faire comme la jeune fdle dont je le parlais tout à l'heure... [Elle se débat parce qu'Emile n
puis, cherche sous l'oreiller, etc. Dans l'après-midi, elle semblait parler en elle-même : tantôt elle riait, tantôt elle gri
ui Ta violée, est venu deux fois aux cours de M. Gharcot ; elle lui a parlé la seconde fois et Pa menacé de le dénoncer s'il
r de Rabuteau. 2 arril — Inhalations dV-ther. Bientôt elle se met à parler . « Je n'ai pas le temps (bis). . • Madame est l
tête, croise les bras, cache sa figure avec ses cheveux et ses mains, parle bas, fait avec la tète des signes affirmatifs et
, s'asseoit sur son oreiller, cache sa figure dans les mains, pleure, parle bas... et se réveille : la série est terminée.
lus importants, aux attaques des malades dont nous avons précédemment parlé . Nous y retrouvons toutes les périodes qui consti
rmi les-» quelles cette situation de leur corps, dont on avoit » tant parlé à Richelieu, ne fut pas oubliée. L'Exor-» ciste v
o-rée, paralysie, crampes, contractures. a) Nous avons trop souvent parlé des secousses pour qu'il soit utile de revenir su
elle voit sa tête, ses cheveux, qui sont rouges; il la fixe, et s'il parle , c'est pour la contrarier. Attaques (1). — Aura
alades dont (l) Leçons de novembre et décembre 1878. nous avons parlé jusqu'ici. Nous nous bornerons à faire remarquer
ément triste, le visage est décomposé. Elle refuse de manger, ne veut parler à personne. Nous la faisons coucher et nous prati
suite, elle s'est levée, promenée, la tète encapuchonnée, refusant de parler , ayant l'air triste. Par la compression nous
est allée se coucher dans la cour. Elle était triste, ne voulait pas parler et avait une contracture du poignet gauche. P
ère de St-Louis de Louviers ; Rouen, J. Lemonnyer, 1878, p. 24. » parler , me pesoit autant qu'vne maison ; me frappoit » l
t quelques Religieuses ; et » me trou vay auprès de Picard (1). Il me parle aussi-» tost et me dit: Hé bien, mon cœur, t'avoi
ous trouver le cœur noble et généreux d'avoir encore le courage de me parler quand vous venez à la division. Mais ne lui faite
26 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
recouvre, en dehors, le plexus veineux péri-ganglionnaire dont nous parlerons plus loin. L'irrigation artérielle du récurre
s rétro-pharyngé; ce sont là des veines musculaires, à proprement parler , dont les branches originelles se détachent tou
alades de cette catégorie ne diffèrent pas de ceux dont je viens de parler : leurs idées de grandeur sont de même nature.
trième période, celle de pseudo-démence. Tant qu'ils vivent,.et je parle de ceux qui atteignent un âge avancé, leur délire
l me dira à la visite; mais je ne sais j amais si c'est L... qui me parlera , ou si au contraire ce ne sera pas Henri de Bourb
s uniquement pour dire ce qu'il acceptera. Il ne tarit pas quand il parle de ses talents, de sa finesse, de sa perspicaci
foule de tatouages symbolisant ses idées délirantes. Ici je ne veux parler que de la forme même de son délire : il présente
s je l'ai vu entrer dans des accès de colère terrible, quand on lui parle de sa femme, ou du médecin qui l'a soigné dans l'
e. , 40 CLINIQUE MENTALE. · Il en est autrement du malade dont je parle maintenant, et qui est ici depuis 1867; il avai
l la quittait, et pendant plu- sieurs semaines, on n'entendait plus parler de lui. Puis il revenait comme si de rien n'éta
i fait, accuse son domestique de l'espionner. S'anime dès qu'on lui parle de son frère. · Je crois que ce serait forcer l
peu connus et assez insuffisamment étudiés de l'hystérie; je veux parler de l'émission plus ou moins répétée de sons lar
t dans la bou- tique, que B. M... fut prise de ce mutisme dont je parlais tout à l'heure et qui fit place au bégaiement q
re, se montrent assez fréquemment dans la maladie des tics. Je veux parler des exclamations dites éClwlaliques. Je vous ra
TANÉ .DE L'ASTASIE-ABASIE PAR LA PRESSION DE CERTAINES REGIONS, Parle Dr E. WEILL, '0 Médecin des hôpitaux, agrégé à
hasie sensorielle. Surdité verbale et paraphasie. Le malade ne peut parler spontanément, répéter les mols, lire à REVUE DE
if du tabès par rap- port aux groupes organisés dont nous venons de parler . Sont atteintes : '. des premières : les zones
aussi large que possible des enfants idiots et épilepti- ques. Sans parler des essais de l'assistance et du traitement des e
gique et à l'admirable dévouement du Dr Bourneville. M. Timofeëff parle des millions dépensés pour la création à Bicêtr
n traitement rationnel leur donner une instruction appropriée. Sans parler des idiots au dernier degré qui sont une gêne é
dans la préface d'un livre intitulé : Le Palais de Justice à Paris, parle d'une expérience à faire pour résoudre chez l'hom
convulsions dans le cours de ses premières an- nées. Il a marché et parlé de bonne heure ; il n'a pas uriné tard dans son
érieures du visage, quand le malade ouvre la bouche ou se dispose à parler ; 2° Un embarras de la parole très marqué lorsqu
r- laines lettres ou syllabes et parfois des mots entiers. C'est le parler typique de la paralysie générale progressive. Q
sive. Quand il répond sim- plement aux questions qu'on lui pose, il parle lentement, d'une voix faible, avec des arrêts b
ette épilepsie sensitive s'est accompagnée d'une impos- sibilité de parler qui a duré quelques instants encore après que l
aintenant, quand on le remet sur la voie de son délire et qu'on lui parle de prêtres, le délire assez vague et effacé red
Il 114 9 r ? ". Il , l' Ce n'est qu'incidemment que je suis amené à parler du suicide dans - l'alcoolisme et seulement pou
nt plus celles qu'on observe chez les malades dont nous venons de parler plus haut. Ainsi, nous avons vu des persécutés
re acquise. Je ne pense pas devoir mentionner l'homicide com- mis parles sujets désignés sous la nom de fous moraux . La
econde où les dissemblances l'emportent sur les ressemblances. Sans parler des névralgies rebelles souvent bilatérales sig
atrophie optique est toujours bilatérale d'emblée ». Et Dreyfous en parle en ces' termes : « Plus exceptionnellement on v
en général peu élevé ; les diverses observations publiées jusqu'ici parlent toutes en ce sens. Dans le cas d'Oppenheim, la
contraire, ces symptômes, presque pathogno- moniques - nous voulons parler des deux premiers sont absents, de fortes proba
irmatif en faveur de l'origine diabétique de cette glycosurie, sans parler de l'existence à un moment ou l'autre des sympt
che ainée. Nous y relevons encore une choréique dont nous venons de parler . La quatrième génération se compose de douze en
haut. Depuis qu'elle éprouve ces phénomènes, « elle est obligée de parler sa pensée et de causer seule tout le temps; aup
nsée et de causer seule tout le temps; auparavant elle pensait sans parler . D r i i t . ' J. Séglas et P. Bezançon, toc.
: pendant quelque temps son âme était entrée dans la sienne et lui parlait intérieurement. Elle a toujours une voix intéri
nts degrés de l'hallucination verbale motrice. «Elle est obligée de parler sa pensée, » ou bien elle remue simple- ment le
agir autrement, je ferais mieux de changer d'idée. Il lui arrive de parler toute seule; elle se sent alors réelle- ment fo
ve de parler toute seule; elle se sent alors réelle- ment forcée de parler . « Si je reste comme ça, je ne pourrai plus ser
e représentations mentales motrices c'est qu'elle arrive ainsi à se parler à elle-même à haute voix. Observation Il. - La
tive de Grie- singer). Elle souffrait de voir des lumières, de voir parler un enfant; tout lui faisait mal, etc. Il y a
ne les entends pas, je les -coin- prends. Je cause en moi-méme sans parler cependant. Il m'a fallu arriver jusqu'à aujourd
t men- songe, archi-mensonge. Elle croit que tout est faux. Elle ne parle que de ce qu'elle sait faussement. Ainsi autref
. Elle est tellement âne qu'elle n'ose plus ouvrir la bouche pour parler . On devine sa pensée et elle ne devine pas la p
s motrices, puisque la malade « cause en elle- même » comme si elle parlait « mais sans parler réellement ». Chez elle il y
la malade « cause en elle- même » comme si elle parlait « mais sans parler réellement ». Chez elle il y a une dissociation
i souffrirai et pas toi. Il lui semblait que quel- que chose d'elle parlait .. · DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES
Des gens voulaient lui faire du mal. Elle croyait que tout le monde parlait d'elle, sans pouvoir désigner qui. On la mépris
ine. Elle se reprit à délirer : on doit la mé- priser ; ses voisins parlent d'elle en arrière. Elle avait de l'insomnie.
lle présente une certaine incertitude inquiète dans le regard. Elle parle vite, avec volubilité, en articulant à peine. E
es choses, » puis s'adressant à nous : « Ce n'est pas à vous que je parle ; est-ce qu'on peut cacher ça, » en montrant sa po
voir répondu à ce moment à une voix qui lui aurait reproché d'avoir parlé de son amant, et en frappant sa poitrine, elle
st pas agréable de les entendre, dit-elle, parce qu'il faut qu'elle parle . Ces deux voix se disputent ensemble, mais c'es
lade se plaint que son nez grossit et qu'il lui faut un effort pour parler au laryngoscope, les piliers sont presque réuni
tion, ne peut pas être expliqué dans une autre langue que celle que parlait l'enfant. R. M. C. XXV. UN cas de chorée associ
it tout ce qu'on disait dans les deux chambres voisines, bien qu'on parlât à voix basse, par respect pour ses dépouilles mor
développement intellectuel ). A propos du sens musculaire, l'auteur parle des tics et des mouvements involontaires et san
t consacré au langage et ce n'est pas le moins intéressant. Langage parlé et écrit, dessin, sont étudiés dans leur rappor
a collection de ces vieux travaux sur l'idiotie et les idiots (sans parler de l'intérêt qu'ils présentent ainsi réunis, au
elle ne m'avait point semblé folle. D. Mime Dourches vous a-t-elle parlé des démarches qu'elle avait faites pour reprend
a produit sur elle une grande impression. Bien qu'elle n'eût jamais parlé à ce chanteur qui ignorait la passion qu'il avait
ont fermés avec un léger mouvement vibratoire des paupières, on lui parle , elle n'entend, ni ne répond; si on la pince, e
mécontente de leur absence, et se plaint de ce que personne ne lui parle , 4 Vous êtes donc tous devenus muets ! ... Pourqu
lui parle, 4 Vous êtes donc tous devenus muets ! ... Pourquoi ne me parlez -vous pas ? » Elle ne sait avoir quelqu'un près
des bras, quelques déplacements de la tête, mais elle ne cessait de parler de choses incohérentes et déraisonnables parmi
le n'eut plus d'autre préoccupation que celle de départ dont elle parlait sans cesse. Dans ses crises, elle récri- minait
e époque-que son médecin, de plus en plus inquiet, vint me voir, me parler de cet état, et me demander si je ne craignais
onsidérable. Elle en est le facteur principal et je n'entends pas parler simplement de l'apparition du dissemblable, c'e
n'est pas sourd ne comprend plus ce qu'il entend, mais continue à parler , à écrire, à exprimer par des signes ce qu'il p
ent : voici bien des années que tous les professeurs de philosophie parlent tous les ans à leurs élèves des différents type
tableau noir un schéma célèbre que vous connaissez bien. Pour ne parler que du sujet qui doit nous occuper spécialement,
uis heureux de les lui offrir. 'Messieurs, j'ai l'intention de vous parler de l'état mental de certains malades, mais il f
s flammes. En outre il suffisait, quand il était bien calme, de lui parler d'incendie et surtout de lui montrer une petite
point qui lui apparaît à gauche, il supprimera le point blanc et ne parlera que du point rouge qui lui apparaît à droite; o
ont été d'accord avec les conclusions des auteurs précédents. Je ne parlerai pas de l'interprétation proposée par - ces aute
en- dant que l'oeil droit était fermé ' , mais nous aurons à vous parler plus tard de ce souvenir. Concluons seulement que
dire' : c Si vous n'êtes pas content de notre insensibilité, n'en parlez pas, ce n'est pas nous qui vous l'avons signalée
te opération avec la perception extérieure, dont nous n'avons pas à parler ici, et vous rappellera que son caractère essen
au premier moment, il regardera et écoutera une personne qui lui parle , sans se préoccuper des impressions tactiles qui
t à leur suite des mouve- ments ; eh bien, les sensations dont nous parlons même non senties par le sujet se manifestent pa
de principes anormaux. La recherche de l'albuminurie a été faite parle procédé clas- sique : l'urine est acidulée avec
mentent de nombre la fréquence de l'albuminurie augmente. Nous ne parlons pas de quantité. Il est curieux en effet de voi
r sur son caractère, il devînt préoccupé, triste, sombre même. Il parlait peu et ses réponses étaient sèches et brusques, i
it chez lui. Plusieurs personnes qui le virent à ce moment, qui lui parlèrent même, n'ont rien remarqué d'extra- ordinaire, n
une idée délirante nait tout à coup dans son cerveau. Des voix lui parlent , lui disent qu'il est perdu ; il étouffe, sa tête
core très ému, très tremblant, la figure couverte de sueur, mais il parlait sans divaguer et il se rendait très bien compte
erche à se rendre compte de l'état des sentiments affectifs. On lui parle de sa femme et de ses NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICI
sorte en disant qu'ils étaient héréditaires d'eux- mêmes. , A..., parle fait de son affection cérébrale, est donc deven
ifeste la réaction pathologique du cerveau infirme dont je viens de parler , du cerveau en dégénérescence.' La clinique app
capable de tout. Je corromps tout lé monde.» Phraséologie mystique; parle comme si elle prêchait. Rhumatisme déformant. A
sentais cela dans mon âme et je le disais. J'entendais comme si je parlais moi-même. C'étaient des voix intérieures ; c'ét
conver- 388 RECUEIL DE FAITS. sation mentale si accentuée qu'elle parle elle-même de voix intérieures qui se contredise
er de chez elle; elle partait et revenait aussitôt. Elle se mit à parler tout le temps en répétant des mêmes phrases. El
elle croyait qu'on la regardait dans la rue, mais non pas qu'on lui parlait . r Je marche si bêtement, dit-elle, que les petit
s dû ne pas faire ça ; ou j'ai eu tort de dire telle chose. Elle se parle continuellement ainsi à elle-méme et tout haut en
ut en se faisant de continuels reproches. Elle se sent forcée de se parler ainsi. Elle a toujours ses idées religieuses. E
390 RECUEIL DE FAITS. questionner sa mère pour savoir qu'elle se parle continuelle- ment à elle-même et qu'elle s'y se
et les illusions. » Nous pensons que les pseudo-hallucinations dont parle Schuele ne sont autre chose que les voix intéri
cause toute seule « dans sa tête », parfois même, il lui arrive de parler haut sans pouvoir s'en empêcher. Il est évide
ce malade (un nègre du Congo), sont d'autant plus incomplets, qu'il parlait à peine quel- ques mots d'anglais : il est entr
de pensionnaires qui mettent le désordre dans les services, je veux parler de ces alcooliques à séquestrations multiples e
, que ceux-ci ont subi un arrêt de développement et que, par suite, parle mécanisme que l'on connaît, se sont manifestées
par : débilité mentale avec puérilité originale dans ses façons de parler et d'écrire, allures extérieures et attitude bi
uence puissante des siens, de sa force, de ses talents spéciaux (il parle , dit-il, sept langues, a des connaissances philos
decine clinique proprement dite est restée très stationnaire. Je ne parle pas, bien entendu, des pro- grès de la patholog
eurs qui ont pris la parole au banquet. Vient après M. Joffroy, qui parle au nom des élèves devenus agrégés : - MON CHE
ce. Si nous sommes agrégés (puisque c'est au nom des agrégés que je parle ), c'est à vous que nous le devons. Quand nous é
27 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
tte époque, les diverses observations dont j'aurai l'occasion de vous parler dans un instant sont toutes, sans exception, conf
à connaître ces hystéries à forme d'épilepsie partielle, et, pour ne parler que du mode crural, puisqu'il s'agit ici de la ré
ordinaire, il faut, enfin, compter aussi sur les cas mixtes. Je veux parler de ces cas dans lesquels il y a, à la fois, paral
à cette même région para-centrale, les lésions les plus variées. Sans parler dos lésions traumatiques et sans vouloir rappeler
vue thérapeutique contre la lésion paracentrale tuberculeuse ? Je ne parle pas des moyens banaux et en général peu efficaces
lleurs nous donner l'explication de ces divers phénomènes. Je ne vous parlerai pas des lésions tuberculeuses disséminées dans le
les choses bizarres qu'elle voit, nous arrivons cependant à la fairo parler et elle nous fait le récit suivant. « Elle étai
Il crie, il pleure, il grince des dents. Verre orange. — Le malade parle indistinctement; il veut se lever de son lit, tou
ec le verre vert, c'était arracher des pommes de terre. Enfin il nous parlait d'aller chercher du vin à la cave, ce qui corresp
te observation, bien qu'un peu incomplète en ce sens que le malade ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations
à elle-même pour nous rendre compte de la nature de son délire. Elle parle beaucoup, mais ses jeux de physionomie sont peu e
ès bon, tu sais, très rafraîchissant quand on a soif... Ecoute, ne me parle pas beaucoup, je suis très énervée, très agacée,
sthésique, elle ne réagit pas.) « Voyons, Charles, taquin! Je ne vous parle pas, Monsieur. J'aime pas ces manières-là... J'ap
s la même hallucination ; chacun l'interprète à sa manière et agit ou parle selon son interprétation. C'est là précisément un
ucun souvenir de ce qu'il a fait pendant la nuit. Tel le sujet dont parle Voltaire, qui pendant son sommeil saute tout à co
moins, mais ne voit que le rêve qu'il poursuit; il marche, gesticule, parle , crie ou chante. Voici des bêtes noires, il se pr
ais, en réalité, i n'en est rien, ainsi qu'on peut s'en rendre compte parla constatation des signes somatiques de cet état. I
le soit toujours aussi nettement séparée en ses quatrephases. Nous ne parlons ici, bien entendu, que de la grande hystérie, hys
malade est en proie à des hallucinations visuelles terrifiantes. Elle parle , lutte contre des gens imaginaires qui veulent lu
ait pas se douter de la présence des personnes qui l'entouraient, lui parlaient , sinon quand ces personnes ou les objets ambiants
ns, envoyé à M. Charcot par M. Hil-lairet (2). Celui-là se promenait, parlait , jouait aux dames, faisait des calculs pendant la
ntempestifs. Il faisait son ouvrage, travaillant bien et adroitement, parlait , voulait aller aux Halles, etc., etc. Ses camarad
stamment les mêmes que le malade nous à fait voir ici et dont il sera parlé plus bas. Dans sa première crise, il voyait des v
environ. Il dit ne se souvenir de rien, ne comprend pas quand on lui parle de la bête et du poteau. Quelque temps après un
s mouvements ont duré quelques secondes à peine. Aussitôt le malade a parlé : « Ah ! voilà les soldats..... Attention, s. v
x du malade, change pendant la période délirante. A l'état normal, il parle posément, doucement, avec une parcimonie de geste
était en proie à ces conceptions délirantes provoquées, le malade ne parlait pas. Comme il présentait d'autre part, à ce momen
née à Saint-Denis, où son père habite depuis 35 ans. Elle a marché et parlé de bonne heure ; n'a pas eu de convulsions. Elle
rne) : Dites donc, vous, espèce de serin, faites attention à qui vous parlez , je suis comme il faut et je n'écouterai pas tout
e Boulogne. Sont-ils beaux tous ces chevaux! Regarde, Paul (puis elle parle bas pendant quelque temps)..... « ..... Oh! me
ambe : t Voyons, Charles ! taquin '. Je Charcot, t. ii. 8 ne vous parle pas, Monsieur... J'aime pas ces manières-là... J'
au genou. Pendant son enfance, Poig... a eu des convulsions et on a parlé de méningite. Depuis lors il fut bien portant. A
s la région iliaque gauche, l'autre au-dessus du mamelon gauche, sans parler d'une troisième sur laquelle nous reviendrons plu
donc au niveau de la rétine une de ces plaques hystérogènes dont nous parlions plus haut (v. p. 85). Le délire de la phase pas
is autre chose : « Tiens ! comment que tu vas, mon vieux ? (il semble parler à quelqu'un) T'es toujours garçon perruquier?...
n publique politique, il discourt ou, semblant écouter un orateur qui parle , il l'approuve, le désapprouve, applaudit, acco
nt, à un degré qu'on ne peut imaginer. On peut crier à ses côtés, lui parler dans les oreilles, promener les doigts autour de
ois coups sur la table. Le malade, changeant de ton, et comme s'il se parlait à lui-même, écoutant : « Voici « l'ouverture...
teau de papier gris... » Avec ironie, changeant de ton, comme s'il se parlait à lui-même : « Ah ! que c'est vieux.,, je parie q
elettres », sans fortune, vivant tant bien que mal de sa plume. Il ne parle que de reportage, de théâtre, de misère d'écrivai
la Salpê-trière, après avoir observé choses et gens autour de lui, il parlait souvent, dans son délire, de l'hôpital, des malad
t avec un camarade dans un bureau de rédaction de quelque journal, il parle à cet ami imaginaire, se plaignant de l'exigence
peut dire cela sans figure des somnambules hystériques. A proprement parler , ils revivent tel ou tel incident de leur vie pas
nstituant à lui seul, à cause précisément de ce monoidéisme dont nous parlions plus haut, leur vie présente. On ne saurait donc
ent être secoué d'un petit frissonnement. Puis, le voilà qui se met à parler . Nous lui donnons des suggestions, nous l'enivron
ambule ressemble à une somnambule hypnotique ! Celui-là est actif, il parle de lui-même, va, vient, exécute, suivant son état
que de l'hypnose. Chez la somnambule hypnotique, au contraire, sans parler de la présence, dans les grands cas au moins, des
vé, du moins mal i nterprété. Voici, en effet, dans quels termes j'en parle dans le troisième volume de mes leçons (3) : «
e. Mais, revenons maintenant au somnambulisme hystérique, dont nous parlions plus haut, et à propos duquel nous sommes entrés
iver à se faire une conviction à ce point de vue. geait de façon de parler dès qu'elle est en somnambulisme. Alors, en effet
çon de parler dès qu'elle est en somnambulisme. Alors, en effet, elle parle nègre, remplaçant je par moi, comme les enfants,
de cela d'autres analogies, et en particulier celle dont je viens de parler , rapprochent indubitablement les deux cas l'un de
suivie d'attitudes passionnelles variées pendant lesquelles le malade parle , crie, chante, gesticule. Cette période, dont la
econnaître les personnes de sa connaissance dans l'état prime. » Elle parle à M. Ladame, qu'elle connaît fort bien dans l'éta
escription de l'auteur) pour permettre une autre interprétation, sans parler encore de cette sorte d'amnésie rétrograde qui ac
e instruction et une éducation complètement à refaire. A proprement parler , il s'agit plutôt, dans ces deux cas, d'amnésie a
rs phénomènes. Il ignore absolument sa paraplégie et, quand on lui en parle , il demande si « on se moque de lui. » De plus, d
on aise et exempte de toute souffrance. Elle va, vient, court, saute, parle comme une personne ordinaire. J'ai même pu consta
et qui en caractérisent ordinairement les différents états. J'ai déjà parlé de la diathèse de contracture que l'on met en évi
choses qui n'existent pas. « La prend-on donc pour une folle? » J'ai parlé plus haut de la suggestion transportée par ordre
tée par ordre de l'état B dans l'état A. C'est là, si l'on peut ainsi parler , une sorte de suggestion post-hypnotique et nulle
'aspect d'une personne normale. Elle va, vient, marche, court, danse, parle comme tout le monde. Depuis six ans qu'elle est d
que épileptiforme, identique aux périodes précédentes dont nous avons parlé plus haut. En outre, elle porte à un très haut
ffel. En revanche, elle ne sait pas ce qu'on veut dire quand on lui parle de la guerre de 1870-71, du siège de Paris, de la
s à propos de Marguerite D..., réussit parfaitement chez elle. J'ai parlé aussi, à propos de Marguerite D..., de l'épisode
t de veille). Lorsque, à l'aide d'un des procédés de réveil dont je parlerai plus loin, on provoque artificiellement chez Mari
mène qui ne paraît pas habituel chez les vigilambules. En effet, sans parler des autres, de Félida, de la dame de Mac Nish, et
es différences assez grandes suivant les sujets. Tous savent marcher, parler , dans la condition seconde. Mais, tandis que les
marcher, parler, dans la condition seconde. Mais, tandis que les uns parlent correctement, les autres ont oublié leur grammair
s uns parlent correctement, les autres ont oublié leur grammaire et « parlent nègre » comme la dame américaine de Mac Nish, par
l'homme un sujet de préoccupation et d'étude pour toute sa vie. Nous parlerions notre propre langue avec les mêmes efforts qu'exi
le voit, dans presque tous les cas, le malade est, si l'on peut ainsi parler , en meilleure situation dans son état second ; il
autres cas publiés et qui existait chez l'une de nos malades. Je veux parler de ce retour spontané périodique de l'état prime
pas ou ne paraissait pas entendre ce qui se passait autour d'elle, ne parlait que quand on l'interrogeait. A part l'existence d
emble beaucoup à celui des somnambules les moins concentrés dont nous parlions tout à l'heure. Y aurait-il donc entre ces deux
avorable. Vous avez déjà remarqué certaine réticence, lorsque je vous parlais du caractère pourtant si accentué de l'amnésie de
Enfin, elle sembla reprendre ses sens, reconnut les assistants, leur parla et les embrassa, mais ce retour à la raison fut t
pour fuir une vision terrifiante. On la retient, On la calme, on lui parle ; elle répond en reconnaissant l'erreur de ses se
avec mouvements convulsifs et délire de parole. Dans ce délire, elle parlait de son mari qu'elle voyait mort et de ses enfants
e ses voisines qu'elle rêvait à haute voix, que, dans ses rêves, elle parlait parfois de tel ou tel événement de la période amn
. Ce sale chien, il m'a mordu et a déchiré toute ma robe. » Ces rêves parlés témoignaient déjà hautement du dépôt inconscient,
erses reprises. Quant à la goutte, elle est classique : elle a débuté parle gros orteil gauche, où existe actuellement un top
vingt-deux ans?). Obèse. Début du tabès à l'âge de quarante-neuf ans, parles douleurs fulgurantes. Etat actuel (mai 1889). S
seconde où les dissemblances l'emportent sur les ressemblances. Sans parler des névralgies rebelles souvent bilatérales signa
l'atrophie optique est toujours bilatérale d'emblée. » Et Dreyfus en parle en ces termes : « Plus exceptionnellement on voit
st en général peu élevé; les diverses observations publiées jusqu'ici parlent toutes en ce sens. Dans le cas d'Oppenheim, la ma
au contraire, ces symptômes, presque pathogno-moniques — nous voulons parler des deux premiers — sont absents, de fortes proba
irmalif — en faveur de l'origine diabétique de cette glycosurie, sans parler de l'existence à un moment ou l'autre des symptôm
anche aînée. Nous y relevons encore une choréique dont nous venons de parler . La quatrième génération se compose de douze en
er, mais encore par ses localisations spéciales chez ce malade. Je ne parle pas ici de la face, au niveau de laquelle l'appré
bre figurent les quatre cas à accès exclusivement nocturnes dont nous parlions plus haut. Nous ne donnerons pas les observations
ie (?) ayant duré 20 ans. Convulsions dans l'enfance. N'a marché et parlé que vers 3 ans. Strabisme interne de l'oeil droit
de ce chapitre toutes les auras hallucinatoires, bien qu'a proprement parler on puisse à la rigueur les faire rentrer dans cet
ry (1) ne mérite plus guère aujourd'hui d'attirer l'attention, car il parle de globus hystericus qui se manifestait, chez un
ue. Enfin, plus récemment encore, M. le Pr Charcot a plusieurs fois parlé dans ses leçons, à propos des auras épileptiques
au contraire, elle reste presque toujours au second plan ; le malade parle de son attaque et spontanément beaucoup moins des
rs et, enfin, le besoin d'aller à la garde-robe, dont nous avons déjà parlé plus haut. Observation XLII. Danj... Denise, 43
ez peu connus et assez insuffisamment étudiés de l'hystérie ; je veux parler de l'émission plus ou mois répétée de sons laryng
traient dans la boutique, que B. M... fut prise de ce mutisme dont je parlais tout à l'heure et qui fit place au bégaiement que
aire, se montrent assez fréquemment dans la maladie des tics. Je veux parler des exclamations dites écholst-liques. Je vous ra
ui vont vous être présentés, ainsi que la critique des faits allégués parles auteurs, nous conduisent à penser, au contraire,
à la suite du travail d'un excellent observateur, M. Magnan, que l'on parle d'une hémianesthésie alcoolique présentant tous l
28 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
a quatre ans. que. la connaissant bien déjà, je n'avais pas voulu en parler , de peur d'ajouter aux embarras qu'on pouvait me
ise vis-à-vis d'une science qui, bien qu'à peine naissante, fait trop parler d'elle pour que les autorités ecclésiastiques pui
hui d'écarter comme méprisable et définitivement jugée ; nous voulons parler de l'ingérence du démon dans nos affaires. Avec u
lairée par sa discussion. Naturellement, je n'ai pas l'intention de parler ici de Bouddha, que je considère comme une figure
dédire. En face d'une telle interrogation, la science se taira. Pour parler , elle attendra de savoir. D'ailleurs, ce n'est
objection scientifique ni philosophique; c'est le simple bon sens qui parle . « Soyez sans inquiétude, répond le P. de Bonni
e stable; un rien peut suffire a l'ébranler. L'instinct, en revanche, parle , et le langage qu'il tient est impérieux. C'est p
parfois. La liste de ces auteurs, disons-nous, n'est pas longue. Sans parler de Galien, d'Am— broise Paré, de Silvaticus, de P
anormal dans les actes, sauf la perversion psycho-cérébrale dont nous parlons : « Chez beaucoup de personnes qui n'ont jamais é
qu'alors qu'il était devenu l'instrument passif dont il vient d'être parlé ; » Qu'à aucun point de vue, David ne saurait d
Mais nous avons le droit de nous étonner en entendant des magistrats parler de magnétisme, de médiums, en gens qui ignorent l
il a atteint son but. Après l'intéressante préface dont nous avons parlé , vient un catalogue de tons les périodiques ayant
gative, et voici qui pourra contribuer encore à les augmenter. J'ai parlé , dans le dernier numéro de la Repue (2). de l'exp
e voir ni l'entendre, M. Bernheim ajoute : t Je le réveille, je » lui parle , je corne à ses oreilles, il ne sourcille pas ; s
alise que les idées que j'exprime impersonnellement, si je puis ainsi parler , et comme si elle les tirait de son propre fonds
aincue qu'elle exprime sa pensée propre: « Monsieur Liébeault, vous parlez donc aussi au mur, maintenant ? Il faudra que je
s. Comment pourrait-on, dans tous les cas que nous venons d'examiner, parler comme MM. Binet et Féré, « pour l'œil, comme pour
ions visuelles ou auditives, en empêchant qu'elles ne fussent perçues parle cerveau. Eh bien ! nous croyons que c'est là une
u contact d'un officier affligé de cette infirmité, qu'il n'a plus pu parler quand on l'a mis en rapport avec un enfant paraly
ive. — Les idées d'indignité sont très prononcées, bien que la malade parle peu, et à plusieurs, reprises le délire s'est rap
au tic tac d'une montre, soit à un bruit violent et soudain, produit parla résonance d'un gong chinois, etc. En présence d
on, alors, on ne saurait trop y insister, n'a aucun but. A proprement parler , c'est à titre de phénomène pathologique, de mani
possession de l'organisme est consommée et la névrose se trahit soit parles spasmes qui en constituent un des syndromes carac
1888. ¦ Très honoré confrère, j>.....Le jeune homme dont vous parlez fi) était un garçon vigoureux d'une vingtaine d
t trouver entre le sujet de cet épisode et le malheureux insensé donr parle M. Delbœuf, qui croyait avoir le ventre rempli de
qu'il serait plus convenable de classer tous les phénomènes dont nous parlons dans le magnétisme, qui, comme nous l'avons dit.
régulières, logiques, justifiées. Mais l'éton-nement le prit quand on parla de suggestion mentale, d'influence occulte rayonn
e avoir rempli consciencieusement son devoir, car il n'a qu'à laisser parler les faits. La commission a pu constater dans ses
d'abord remarquer que le rapporteur est un Cire impersonnel et qu'il parle au nom de U commission. « M. Luys est étonné de
me l'une avec l'autre. Ici, arrêtons-nous un instant. Je viens de parler de libené. Quels que soient les arguments qu'on
qu'on appelle les névrosiques, les gens qui sont constamment dominés parle monde extérieur, par les impressions qu'en reçoiv
eloppée en raison inverse de ce» . actes instinctifs dont je viens de parler . Cette base nous étant donnée relancement à l'a
ence du • principe intellectuel, et ce rapport inverse dont vous avez parlé tout à l'heure ? On peut admettre ou ne pas adm
, les oiseaux doués d'un ccr-uia développement cérébral... Quand je parle d'animaux inférieurs, je ne veux pas dire inférie
'on endort sans péril de passion? L'auteur prétend que les magnétisés parlent des langues qu'ils ne connaissaient pas, devinent
thérapeutique fût capable de remplacer celle des substances dont nous parlons . Mais les effets de l'hypnotisme ne se bornent pa
sé-rreuscs, de ne pas employer les narcotiques; il endort son malade parles procédés hypnotiques ordinaires, connus. Le suj
'une foi religieuse trop prompte à s'alarmer. L'Eglise veille; elle parle , elle enseigne au nom de la Vérité qui ne trompe
ant de ne point méconnaitre la nature nerveuse des troubles présentés parle malade. Nous avons vu, en effet, qu'undiagnostied
ilement les images visuelles de forme.On luidemande de se représenter parla pensée le Panthéon, par exemple. C est alors avec
dit-il. une voix avant qu'il prononce les mots. S'il lit bas, la voix parle bas. Lui fait-oa penser une phrase, « je suis sou
n me parait complète, il veut le bien et travaille â faire le bien. U parle avec horreur de sa vie passée, disant que c'est l
existence qui commence pour lui, la reconnaît aimable etdésirable, en parle avec joie.yacquicsccdctoutson cœur. Et ne croyez
es, et au bout d'un certain temps il entre en somnambulisme. Il rêve, parle , chante et va se promener. Dans les premiers temp
orieuses. A part certaines dispositions tout à fait personnelles dont parle Debackcr, et qui consistent dans l'intolérance ab
radis... Maïs, c'est de l'Enfer et de ses tortures sans fin qu'on lui parle ; c'est du sentiment de sa propre déchéance qu'on
mant, en manière de conclusion, un tour aphoris-tique à sa pensée : • Parler religion à un très jeune enfant, c'est vouloir qu
nté et le bonheur, à l'âge adulte, un retentissement formidable. Sans parler de l'irritabilité maladive qu'entraîne, comme con
peut-être présomptueux à quelques-uns qu'un médecin allopathie vienne parler publiquement de 1'homœopathie et dire ce qu'il en
gt; ; cependant, à moins que l'on n'admette que ceux-là seuls peuvent parler de l'homccopathie qui n'entendent rien à la médec
il, elle nie cherche des yeux et ne paraît pas me voir. J'ai beau lui parler , lui crier dans l'oreille, lui introduire une épi
oi» ficaiionde l'objet vu; c'est l'amnésie visuelle. si je vous parle , vous ne m'entendrez pas. D'ailleurs, vous ne me
s sensorielles négatives restant inefficaces. La somnambule dont je parle réalisait tout à la perfection. Logique dans sa c
nce par aucun sens. On avait beau lui dire que j'étais là, que je lui parlais : elle était convaincue qu'on se moquait d'elle.
ferceuse. vous jouez la comédie ! » Elle ne bronche pas et continue à parler aux autres personnes. J'ajoute, d'un air convainc
ent de rien. Je lui dis : « Vous m'avez vu tout à l'heure! Je vous ai parlé . » Etonnée, elle me répond : a Mais non, vous n'é
nd : a Mais non, vous n'étiez pas là ! > — * J'y étais; je vous ai parlé . Demandez à ces messieurs. > — * J'ai bien vu
? Nous sommes absor-j bés par un travail intellectuel, pendant qu'on parle et discute à côté de nous. Nous n'entendons rien,
ant, du couteau, et cela a provoqué les raideurs dont nous avons déjà parlé . Il lui dit aussi que de loin comme de près, clic
, on peut, en insistant, obtenir d'elle quelques réponses ; mais elle parle avec effort, par phrases entrecoupées. Ainsi, ell
lic en relatant des faits de cette espèce- L'entourage des malades ne parle pas davantage ; il s'agit le plus souvent de phén
uestion tout entière a fait l'objet d'un long et sérieux examen. On a parlé à diverses reprises, dans le cours de cette discu
monde scientifique, de l'autorité la plus justifiée, n.>as voulons parler de l'Académie des sciences, vient de récompenser
avait frappé mon esprit, je rapportais le fait d'une prostituée dont parle Charpignon dans sa Physiologie du Magnétisme, laq
lle va se troubler, elle perd contenance ; qu'elle va ne pouvoir plus parler , elle ; reste muette. — 7 séances, tant de sommei
jambes, sueurs, inielligence lourde, pas d'initiative, ne songe pas à parler et à agir, mais répond brièvement quand on lui pa
ne songe pas à parler et à agir, mais répond brièvement quand on lui parle . En outre, il a un caractère -auvage et il fuît t
ment il est comme hébété, stupide. Il n'a aucune tendance à agir et à parler , il répond par oui et par non et va comme on le p
e vous touche, si je vous pique, vous ne le sentirez pas ; si je vous parle , vous ne m'entendrez pas: vous ne me verrez pas »
nt prouvé. Comment, à la vérité, ne serait-on pas surpris et séduit parle caractère en apparence étrange de certains faits}
t pas fait pour conquérir à l'hypnoiisme l'auemion des savants. On ne parlait de rien moins alors que de la guérison des maladi
en médecine, la suggestion ne tient-elle pas une grande place? Je ne parle plus de la suggestion provoquée durant le sommeil
Paris, car c'est elle dont, à différentes reprises. les journaux ont parlé , la désignant sous le nom de dormeuse de la Salfê
légère. Les attaques ont duré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées parles crises de sommeil. Les attaques antérieures étaie
ictime d'un de ces accidents, fréquents chez les hystériques, je veux parler des paraplégies, qui peuvent parfois disparaître,
question de l'exercice illégal de la médecine, ne pouvait manquer de parler des magnétiseurs. Voici les renseignements qu'il
is hier s'est maintenu. a séance. — Hypnose très rapidement obtenue parla simple fixation du regard. Suggestion. — a Vous
un voisin de lit. Il continue d'ailleurs à être transporté de joie, parle en pleurant de sa guérison, et dans un de ces acc
é ¦??? la routine qui s'efforce d'éterniser des agissements réprouvés parla science et par la raison. Quel rapport entre la
erver Delasîauvc (t), l'éducation tout entière est là. » A proprement parler , c'est à amplifier les ressource; existant en pui
es membres. A son réveil, elle n'entendait plus les personnes qui lui parlaient et percevait à peine le lie tac d'une montre. Les
se réveillait plus ébranlé, plus névrosé qu'avant cette crise. On lui parlait , elle n'entendait plus ; sa sensibilité du côté d
ntourage. Je lui disais : D. — Entendez-vous ces messieurs qui vous parlent : Faites bien attention !... Elle prêtait I ore
z-vous entendu tomber une chaise sur le parquet "r R. — Non. Je lui parlais très bas, à voix muette, elle m'entendait très ne
ation avec elle, en touchant du doigt ma main, quand vous voudrez lui parler . Faites et agissez comme si je n'étais qu'un simp
té chez elle les laits de transmission auditive dont je viens de vous parler , et toujours avec des résultats identiques à ceux
s, l'objet d'une étude suivie, et d'une longue observation recueillie parle D' de Molènes, mon interne en 188t. J'extrais de
applique uniquement qu'à l'expérimentateur ; qu'un des assistants lui parle , l'interpelle, lui dise des choses agréables ou d
te à l'état de corps inerte. — Entendez-vous ces messieurs qui vous parlent , qui vous demandent ceci, cela r lui dit M. Mcsne
Non. répond-elle, je n'entends absolument rien ; ces messieurs ne me parlent pas. — Entendez-vous ces clefs ? dit M. Mesnet,
je n'ai rien '. D. — Et à moi r R. — Rien non plus, si vous ne me parlez pas. Elle prend une feuille de papier sur laque
signalant un dernier caractère propre à ce genre de névroses, je veux parler de la transmission facile à une autre personne de
pnotiques. Mais, je le répète encore et j'insiste sur ce point, je ne parle ici que d'expériences tentées sur des personnes à
ccords plaqués, la partie chantante qu'elle met ainsi en valeur. Elle parle un tout autre langage que sa congénère, elle a se
c., sur l'âme de l'hypnotisé, [tout comme il existe un langage écrit, parlé , mimé et d attouchement, qui réagit à l'état de v
ère n'est que la seconde lorsque le sommet de ses vagues, si l'on ose parler ainsi, est éclairé par ce [miroir subjectif indéf
mangeaisons partout (suggestion sensible}. » ; Quelqu'un d'ennuyeux parle : je n'entends plus ce qu'il dit (hallucination n
nse; j'ai sommeillé un peu, voilà tout. Nous quittons la voiture et parlons d'autre chose. Cependant le soir, au dîner, ma
si elle lui adresse directement la parole ; mais quand cette personne parle du sujet à la troisième personne si elle dit par
le malade peut porter un n'avait pas ce sens, et nous ne voulions parler que d'une anesthesie par inconscience. Je crois,
l'étude des symptômes de ht paralysie générale. Dans la seconde, il a parlé des applications de l'hypnc-tisme au traitement d
iginaire des environs d'Anvers, habitait Paris depuii longtemps et ne parlait et n'écrivait qu'en français ; mais dans cette ci
ins le péril auquel on s expose * en j^uan: avec l'hypnotisme, » sans parler des troubles psychiques et nerveux qui en sont ma
propos de F..., notre hystérique hypnotisable dont je vous ai souvent parlé . Nous nous sommes placés dans les mêmes condition
insomnies, etc. Je n'insiste pas sur tous ces fans, dont je vous ai parlé dans mes leçons sur l'hypnotisme thérapeutique, e
s aliments dout et gras? acides et salés? amers et astringents? i3* Parlez -vous en dormant? 14' Au point de vue des impres
peu, bien qu'à l'autopsie on ait constaté que les centres du langage parlé étaient détruits sans retour. Je connais une obse
t. Ce n'est pas de la sensation, mais du sentiment que nous voulons parler , de l'aptitude de l'esprit i sentir vivement et a
29 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
la suggestion avec certains états extraphysiologiques, dont j'ai déjà parlé , le cum-berlandisme, les tables tournantes et la
tre 0 du sujet contrôle toujours son polygone. Dans les cas dont nous parlons au contraire, 0 ne contrôle plus et 0 du voisin s
propre. Ainsi dans aucun des états physiologiques dont je viens de parler , le polygone n'est complètement et absolument éma
s chaque ville, être pris pour M. X. lui-même, le grand sportman dont parlent les journaux. Il passe, grave et serein, la corne
ui l'emporte ne s'intéresse point à la vitesse qu'il acquiert; je parle de ces trépidations parce qu'un poète leur a cons
la. voix et du geste.....» Les romanciers et les poètes ont souvent parlé de la vitesse, mais pour la décrire magnifiquemen
Si l'artiste aime à s'élancer dans l'espace, ce n'est pas pour jouir parla vue, ni par l'ouie. Non, c'est d'abord parce que,
s de la conscience vigile, tantôt systématiquement cachées au médecin parle malade. Et ainsi apparaît une nouvelle forme de c
aroles qui les ont accompagnées. Spontanément, il raconte : - J'ai dû parler ... J'ai du dire ceci... J'ai dû gesticuler, me pl
éve quelques secondes après avoir ouvert les yeux. Il faut que je lui parle pour qu'elle se rende compte qu'elle n'a pas quit
et enfin dans la langue. Il ne peut plus alors ni remuer les bras, ni parler , et cela survient à n'importe quelle heure du jou
longs que ceux des singes; elle dut aimer l'homme mystérieux qui lui parlait de l'au-delà et qui parfois, le soir, quand les o
ative, ta subordination à l'opinion d'autrui. Comprimé jusqu'à 18 ans parla vie de collège, étouffé de 18 à 25 ou même 30 et
à-vis de l'alcool d'immunités singulières. Leur téte est solide ; ils parlent , l'œil brillant, la face rutilante, le verbe haut
on primitive. ß Ici, j'en reviens à mon début. L'homme dont je vous parle , vous le connaissez bien. Dans son beau temps, il
.... Je suis emballé sur ce que j'entends... Quand vous avez cessé de parler , je me suis dit : Encore, encore ! Je voudrais bi
ions qu'ils éprouvent ou les douleurs qu'ils ressentent. Savoir faire parler un malade est une des qualités les plus nécessair
parce qu'on croit qu'il empêcherait l'enfant de téter et plus tard de parler . M. le Docteur Desaivre, de Niort, m'a écrit qu
er dans une matière aussi peu précise que les superstitions dont nous parlons * » * • ¦ Mme Roy,sage-femme à Sâint-Christo
podwardzano, c'est-à-dire à la langue liée. Mais en grandissant, s'il parle avec difficulté, on l'opère. L'opération, en somm
ouveau-nés, mais seulement à l'âge de deux ou trois ans lorsqu'ils ne parlent pas. I Miss Marian Roalfe Cox, de Londres, me
gue de saint Paul à un homme de paroles médisantes D'une personne qui parle beaucoup, on dit qu'elle parle comme un ciaràuli.
paroles médisantes D'une personne qui parle beaucoup, on dit qu'elle parle comme un ciaràuli. Il semble qu'on attache à cett
frein de la langue au nouveau-né pour que celui-ci, plus âgé, puisse parler facilement. Pour obéir à cette croyance, la sage-
re attache une grande importance à cette opération : le nouveau-né ne parlera pas bien s'il ne la subit pas. Et à quelqu'un qui
uveau-né ne parlera pas bien s'il ne la subit pas. Et à quelqu'un qui parle mal on dit qu'il n'a pas eu le frein coupé, de so
sorte que cette expression : couper le frein, équivaut à commencer à parler . Avoir le filet coupé c'est bien parler. (11 Un
frein, équivaut à commencer à parler. Avoir le filet coupé c'est bien parler . (11 Un accoucheur des premieres années du xix*
es Nous retrouvons à peu près partout la même phrase lorsqu'on veut parler de quelqu'un qui parle beaucoup, qui parle trop o
eu près partout la même phrase lorsqu'on veut parler de quelqu'un qui parle beaucoup, qui parle trop ou qui parle bien : Ce
ême phrase lorsqu'on veut parler de quelqu'un qui parle beaucoup, qui parle trop ou qui parle bien : Celui qui lui a coupé
on veut parler de quelqu'un qui parle beaucoup, qui parle trop ou qui parle bien : Celui qui lui a coupé le filet n'a pas v
adeo bet gadan amyegnin. Ce qui veut dire : On lui coupé le filet, il parle trop. (Dr Mauricet, de Vannes). Autriche. — E
t suspendue, mais la subconscience veille; celle-ci est impressionnée parles diverses excitations sensorielles et elle reçoit
appelle la lucidité de certaines somnambules ; il se laisse aller, il parle d'abondance; avec un grand luxe de détails et des
mmeil avec le plus grand succès dans beaucoup de cas. En 1896, il a parlé sur le même sujet au Congrès de Psychologie à Mun
ue le sommeil par lui-même peut faire et il affirme qu'on ne peut pas parler d'un traitement psychique sans une hypnose profon
er une séparation qui s'effectue grâce au petit salon dont nous avons parlé plus haut. La suggestion se fait de préférence
De 20 à 67 0/0 du nombre général des malades qui peuvent être guéris parla suggestion hypnotique à quelque catégorie qu'ils
avec la jambe et le bras droits paralysés; de plus, elle ne peut plus parler du tout. Pendant la nuit, elle a eu la sensation
mble au premier abord qu'il n'y aurait pas grand besoin de venir vous parler de choses dont la réalité ne fait doute pour aucu
idemment, réduisant les proportions. Après tant d'ignorants qui ont parlé de travers, bien entendu, de choses qu'ils ne con
endu répéter, ces paroles, que l'on ne médite pas assez : ¦ Mais vous parlez trop ! Agissez donc ! » Quand nous sommes, méde
ents dans le traitement moral entrepris. Ce n'est pas à dire qu'il ne parlera que de récompense et d'encouragement ; une admone
as, et ce pas fut vite franchi. D'où le changement d'attitude dont je parlais tout à l'heure, changement difficile à interpréte
faisait l'amputation, et, pendant tout le temps, elle ne cessa de me parler . Depuis, elle est de fort bonne humeur. Elleman
à la dédicace de l'église de l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon faite parle pape Ranieri de Bieda (Paschal II], donna une cha
'elle souffre d'un déplacement de la matrice, dont elle ne m'a jamais parlé et que le pessaire avec ceinture hypogastrique qu
ile, qu'il a horreur de la malpropreté, du bavardage, qu'il ne pourra parler que lorsqu'on lui adressera la parole, qu'il a le
ile et. maintes fois, de faire acte de propreté ; il a beaucoup moins parlé et ne l'a guère fait que pour le nécessaire. Il a
availle décidément mieux et est plus propre, il ne bavarde plus et ne parle que pour le besoin, ce qui étonne surtout ses maî
teux et quelque peu contrit, il me vint l'idée d'agir ou plutôt de... parler en conséquence, c'est-à-dire d'essayer de faire c
la suggestion hypnotique, je commençai devant ses parents étonnés, à parler gravement à cet enfant, (non moins étonné et qui,
oles impressionnent un incontinent, il est indispensable que nous lui parlions à haute, à très haute voix. Souvent même nous dev
réveiller. — « Mais, qu'est-ce que tu diras à la maman ? Allons vite, parle ! Qu'est-ce que tu lui diras ?» — « Maman, pipi !
des cochers, des palefreniers, des infirmiers, auxquels il suffit de parler à un animal, quel que soit son caractère, pour qu
bureau et à me mordiller l'oreille sans me faire de mal. Quand je lui parlais sur un ton affectueux ou que je la caressais, ell
. Le vétérinaire major Alix, dans son traité sur VEsprit des bêtes, parle de l'hypnotisme chez le cheval ; il cite notammen
ui-même est une suite d'actes matériels). Nous disons qu'un homme qui parle raisonnablement et qu'un homme muet qui agit rais
l possède la mémoire fonctionnelle. Il ne faut pas ici, bien entendu, parler de volonté, c'est-à-dire d'acte raisonné ; mais i
de imaginatione gallinae. Cependant Daniel Schwenter, de Nuremberg, parle d'expériences analogues dix ans avant le père Kir
ous n'aviez qu'une médiocre confiance, disparaîtra à la date indiquée parles petits cartons, parce que vous croirez fermement
ère d'une influence hypnotique, c'est qu'il ne bégayera pas lorsqu'il parlera seul dans sa chambreun enfant bègue parle netteme
ne bégayera pas lorsqu'il parlera seul dans sa chambreun enfant bègue parle nettement lorsqu'il joue avec le chien de la mais
à l'accommodation et quoique l'expérience de dédoublement des images parle prisme n'eut pas réussi à différentes reprises.
ec le pouce, mais avec Vindex. — C'est donc bien de Vindex qu'a voulu parler Albert Le Grand-— Le pouce serait en Savoie* (3
pas très clair d'ailleurs, même dans la légende, car, à l'origine, on parle seulement « d'ossements « du martyr d'Hérodiade (
lisation aux maladies oculaires; et on trouve là encore l'utilisation parla religion chrétienne, dans le but de réaliser un m
ortant d'indiquer de quelle manière il faut les faire disparaître. Il parle également du grasseyement, de la voix eunukoïde e
iter à le suivre. Mais voilà qu'un autre prophète qui a beaucoup fait parler de lui dans l'Ouest, comme guérisseur, Joseph Sch
buta comme petit employé, sans ressources. Depuis douze ans il a fait parler de lui, et il n'y a qu'un an ou deux il a créé, à
qui la décide à venir me trouver à Saratow. J'essaie de l'endormir parles procédés ordinaires (f) et je n'obtiens aucun eff
celle de la maladie du sommeil proprement dite. Les individus dont je parle s'endorment malgré eux, partout où ils se trouven
ls cherchent à se réveiller, mais ils sont incapables de remuer ou de parler . Ce sommeil pathologique, toutefois, diffère de
totale. Lorsqu'il présentait Eudoxie, Charcot disait : a Nous pouvons parler de son cas devant elle; elle ne nous entend pas;
e le cas dans son livre De la République, Thespesius le Cilicien dont parle Plutarque, puis Ste Christine, St Sauve, Drithelm
c. Les premiers médecins de Vienne sont appelés en consultation ; ils parlent devant elle sans se gêner, puisqu'il est admis qu
analogue à celui d'Eudoxie ou de Marguerite B.... • * Devant vous parler des sommeils pathologiques, je n'ai voulu vous en
s cet état ne réagit pas non plus aux bruits les plus forts : on peut parler , marcher, tousser à côté d'elle, frapper dans les
r faire qu'une sensation soit esthétique. II ne suffit pas en ceci de parler d'un sentiment de plaisir d'ordre supérieur, car
s venus d'ailleurs, on est en droit de se demander s'il est permis de parler de Part comme ayant une existence propre. On ne p
endra, en esthétique comme ailleurs, à remplacer la méthode deductive parla méthode inductive. Avec la première de ces deux m
ges au beau et qu:en revanche le bien plait. Mais, tandis que le beau parle plutôt aux sens, le bien est du domaine de la vie
fitant de cette passivité acquise, il le traitait par l'âme, ou, pour parler plus exactement, par le système nerveux, grand ma
se à trop peu de choses la plus grande part qui leur est due. Je veux parler de l'installation de ces restaurants de tempéranc
Alice Bêrillon, professeur au lycée Molière.......... 5 Dr Ducor, à Parle . . ........................ 5 M. Fiessinger, In
l en résulte un certain sentiment esthétique de satisfaction, et nous parlons de beauté caractéristique, lorsque nous voyons no
ontraire utiles. De plus, tout exercice doit être surveillé et dosé parle médecin ; on ne peut abandonner un nerveux à sa p
ncieux et comme absorbé par sa douleur. Mais depuis lors, il n'a plus parlé . Ouvrier bronzeur, il n'a cessé de se livrer régu
ualité. Ses yeux expriment quelque vivacité d'esprit et lorsqu'on lui parle , ils expriment qu'il approuve ou désapprouve ce q
it quelque analogie avec celui des sectateurs russes dont je viens de parler . Bien que cet homme n'accomplisse pas d'actes i
on ; il s'est vraisemblablement fait à lui-même le serment de ne plus parler ; il a dû, pour des raisons que nous ignorons, s'
ciens maîtres tels que Velasquez et le Titien, van Dyck et Hais, nous parlent comme si ceux qu'ils ont représentés se trouvaien
ression du subjectif ; plus l'artiste a de génie plus sa personnalité parlera dans ses œuvres ; en revanche les œuvres des tale
urtant l'œuvre d'art nous charme, parce que l'artiste lui-même nous y parle et qu'il a su rendre ce qui l'attirait lui-même e
uelque chose d'analogue dans les jugements esthétiques. Un chirurgien parlera d'une splendide opération ou d'une magnifique tum
ail, une femme qui, de plus, présente l'état d'exaspération dont j'ai parlé plus haut, c'est courir au-devant d'un échec. Le
ou à la douleur; on devra donc se surveiller devant elle et ne point parler de son cas inconsidérément. Cela même ne suffit
ait, on a trop rarement recours à ce procédé pour les malades dont je parle ici. Plusieurs exemples empruntés à la clinique d
. Le malade se décourageait de plus en plus, se désolait de son sort, parlait aigrement de la médecine en présence du docteur e
(3) Bérillon. Tremblement à forme parklnsonienne traité avec succès parla suggestion hypnotique. Revue de l'hypnotisme, V.
30 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
me qui souffre ; ce qu’il demande avant tout, c’est la santé. Que lui parlez -vous des progrès des arts et des sciences? Il voi
pratiquer. Nous rechercherons le magnétisme dans l’antiquité, nous parlerons des hommes qui en possédaient la connaissance, ma
Nous ne laisserons passer aucun Fait de quelque importance sans en parler et le rattacher à ce qui est déjà connu. Nous tâc
des remerciements, car c’cst sa cause que nous plaidons. Moi, j’aurai parla contracté de nouveaux engagements avec vous, ceux
est celui qui a découvert l’agent dont nous poursuivons l’étude, sans parler des obstacles qu’il a rencontrés auprès des corps
araissait être un sommeil naturel assez léger; et quelqu’un lui ayant parlé dans cet état, il s’éveilla comme en sursaut. Peu
vis ce jeune homme pour la première fois, il était éveillé, et je lui parlai du magnétisme, cherchant ainsi à l’amener à en su
es traits devint apparente, et, pour la première fois, il commença de parler . Je ne veux pas être magnétise, disait-il ; je ne
ement du côté de la porte. Je cherchai à me défendre doucement et lui parlai avec calme, cherchant ainsi à agir sur sa raison.
uite au prochain numéro.) (I) Mesmer enlend, à la En de ce Mémoire, parler du somnambulisme! il ne pouvait encore lejuger; m
ées seront des axiomes dont il ne sera plus permis de douter, et l’on parlera de notre stupidité actuelle comme nous parlons de
mis de douter, et l’on parlera de notre stupidité actuelle comme nous parlons de la superstition du moyen âge... Tout annonce,
visiteurs.» A son retour il apprit, en effet, qu’elle avait cessé do parler à quatre heures quinze minutes, après quoi aucun
, obtenu des guérisons surprenantes, ce qui est vrai, je ne veux vous parler que de ce qu’il y a déplus évident dans le magnét
e incontestable que le magnétisme active l’absorption? » Bientôt nous parlerons de ces cas et do bien d’autres qui ont échappé à
eci est impossible. Sans ramener nos lecteurs aux miracles, sans leur parler de ce qu’a pu produire dans certains cas une caus
ement. Abandonnant tous les cas qui paraissent surnaturels, nous ne parlerons que de ce qui peut être soumis au jugement de la
menter la vitalité; ceci obtenu, produire des crises-, je ne veux pas parler de convulsions, mais de mouvements dans les fluid
i deux cas où vous pourrez constater le travail critique dont je vous parle ; ils contiennent aussi des faits singuliers qui d
e la toux est arrêtée, et que mademoiselle Rose semble dormir. Je lui parle , elle ne me répond pas. Plus tard, elle s’agite p
ne lui donna pas la moindre animation. Dans un autre sommeil, elle me parla encore de l’empoisonneur et me remercia de ne poi
ts de tonnerre ; ma propre voix me semblait si forte que je n’osais parler , de peur de renverser les murailles ou de me fair
ences minutieuses, un examen consciencieux qu’on a acquis le droit de parler ainsi. Il n’en est rien ; cependant, pas une tent
i fis connaître que j’étais près d’elle; elle me reconnut, mais ne me parla pas. 11 me vint tout à coup la pensée de la magné
s de la matière k plus divisée par le mouvement intestin dont je veux parler ici. On peut comparer l’opiniâtreté des physici
tre seul dans un endroit sombre; il avait une répugnance invincible à parler , à faire quelque chose; toutes les figures lui pa
ue dans ce cas l’expérimenté subit l’influence de la personne qui lui parle et que celle-ci pourrait lui imprimer la directio
nnaît ceux qui l’environnent; mais on voit que c’est avec peine qu’il parle ; il serait bien plus heureux qu’on l’abandonnât à
M. B... il a l’air excessivement content; il rit, chante, gesticule, parle avec une volubilité extrême. Les idées se suivent
ire deM. D... change; il s’asseoit dans un coin, ferme les yeux et se parle à lui-même5 il a l’air d’un inspiré. Nous l’entou
et se parle à lui-même5 il a l’air d’un inspiré. Nous l’entourons; il parle de science, donne des définitions ; puis, comme u
; la pupille est moins dilatée. « 11 abandonne l’improvisation pour parler des pays étrangers. On nous avait affirmé que les
t lieu sur une série d’idées, redevient général. M. D... chante, rit, parle avec une grande vivacité; il n’a aucune souffranc
t souvent besoin de boire ; Cinterlocuteur pouvait également le faire parler et agir comme il le voulait... « Aucun symptôme
evons examiner. Outre les deux systèmes nerveux dont je viens de vous parler , il y a les netfs de la sensibilité, bien distinc
ire un peu votre marche. J’en ui dit assez sur ce point; plus tard je parlerai avec plus d’étendue de l’organisation de l’homme
gnétisme ceux qui. nous liront, agrandissons le champ des phénomènes, parlons du somnambulisme. (La suite au prochain numéro.
e, durant l’extraction, dans une conversation, elle ne cessait pas de parler , et le moment de l’avulsion n’était marqué que pa
plongée, malgré moi, dans son sommeil, et souvent il lui arrivait de parler sans être interrogée. Un jour elle se prit à dire
uestions aussi oiseuses.... Tu veux consulter Yoracle? laisse-le donc parler et t’examiner en silence; laisse-le fouiller en t
crois également vraie, c’est que Le livre tvdouiablc du compte dont parle lEcriture est Pâme elle-même de chaque individu (
rendormais; quelques moments après, j’étais encore réveillé : c’était parle bruit de tna porte, qu’on ouvrait; et cette idée
lâches, tomberait à chaque pas. Pourtant il arrivait jusqu'à moi sans parler , et se couchait sur moi ; c’était alors une sensa
nt. Il en est un autre dont l’usage est entièrement inconnu ; je veux parler de celui qui est contenu dans les ventricules du
redit. Ce n’est plus Townshend l’homme, c’est Townshend le prêtre qui parle . C’est ici que commence 1a lecture philosophiqu
e, et, croyez-le, je ne touche ici que les plus petits faits produits parle magnétisme. 11 annonce une si grande révolution d
s pythonisses, les cITets les plus singuliers des changements dont je parle . Il est de ces malades qui distinguent fut ilemen
er les procédés opératoires dont il allait faire usage, ce chirurgien parlait aux élèves, et leur montrait la partie qu’il alla
en est point exempte. Voici l’exemple récent dont nous voulons vous parler : Nous le tirons du Journal du Havre (1844): «
l’état de torpeur où vous m’avez vu. « Incapable de me mouvoir ou de parler , j’ai pourtant «encore ma connaissance, et ce tem
onseiller l’ingestion d’une légère dose d’opium à tous ceux qui ont à parler devant un auditoire nombreux. La belladone, au
naturel, mais troublé par des causes encore inconnues. Ensuite, nous parlerons du somnambulisme naturel, de Y extase non magnéti
lleurs. Mais quelle surprise! Dans toutes ces demeures somptueuses on parle ma langue avec autant de pureté que moi-même. Sui
et soulager ceux qui souffrent. Inhabile à bien dire, je ne pourrais parler dignement de leurs ouvrages , et laisse à un autr
st étranger de cette étrange découverte. En arrivant, je trouve à qui parler : mes travaux, ma pratique aussi m’ont été profit
z du moins que votre civilisation est bonne à quelque chose. Mais que parlai -je de civilisationPjjlci ces institutions se sont
ées et sans aucunecommunica-tiort. Mais comment m’y prendre pour vous parler de cette magie et vous la rendre compréhensible ?
ulement à maintenir l’exaclilude de notre récit. » —Nous avons déjà parlé de l’étonnante faculté de l’abbé Paramelle(l), qu
M. C'est le colonel Gurvvood, gouverneur de la Tour de Londres, qui parle . .......Quelques instants après. mon hôte, pa
sommeil naturel succéda cette disposition somnamhulique qui permet de parler et d’agir. Le magnétiseur était M. Marcillet, l
rit à d’autres officiers qui assistaient comme lui au siège dont j’ai parlé .... — Cherchons bien, cependant.... Oui, je vois
ents el qui jetait par les yeux de véritables étincelles de feu, sans parler des affreux mouvements de sa tête, non plus que d
cause des phénomènes mes-mériques; il ne s’attache qu'aux faits, qui parlent beaucoup plus haut que les raisonnements, ce qui
que est décidée. Laissons le chirurgien terminer cette relation; il parle à la Société. o Les circonstances sous lesquell
tre triomphe est assuré comme celui de l’établissement de la science. Parler peu de somnambulisme, mais insister sur la cause
résente des difficultés. Ici, par exemple, à Saint-Pétersbourg, on ne parle , on ne veut que du somnambulisme. Chacun a une de
qui le présente ne veut plus consentir à être magnétisé; il craint de parler , on lui a fait peur, il recule; l’assurance que j
t bien que mal dans différentes affections. Je ne veux pas ici vous parler davantage du sommeil magnétique qu'on a de nos jo
ns le domaine des sciences. Ce n’est qu’avec réserve que vous devez parler des facultés merveilleuses de vos somnambules, ca
et celte certitude qu’il a de lui-même le fera réussir. Je ne vous parle pas ici des procédés pour établir le rapport cnir
xiste un obstacle insurmontable. Mais comment apprendre ces choses? Parle travail et en réfléchissant souvent sur les cause
l’état naturel. Ce jeune homme m’obéit sur-le-champ; mais, loin de me parler et de répondre aux questions que je lui faisais,
es affections chroniques rebelles à la médecine, dont je vous ai déjà parlé , c’est là qu’il vous faut toute l’attention possi
y provoquer ou déterminer en un mot l’éclosion (si nous pouvons ainsi parler ) de certaines facultés refroidies peut-être, endo
e d’une vie plus heureuse. Mais j’oublie qu’ici ma lâche est finie; parlons pour d'autres pays. Baron du Potet. MANUEL DU
de perfection de la matière qui l'environne. Les symboles dont nous parlons , si occultes pour beaucoup d’ètres, peuvent pourt
instance de ce que pouvait être le magnétisme, dont il entendait tant parler , sans pouvoir jamais savoir ce que c’était, et me
s nommé Régis, âgé de quinze à seize ans. Le lendemain toute la ville parlait des choses merveilleuses qu’il en avait obtenues
ne puisses les sentir ni les entendre, s'ils le touchent ou s’ils te parlent , lorsque tu seras réveillé. » L’enfant esl arra
.., il déclare qu’ils ne sonl pas là. Vainement MM. T... el I)... lui parlent et le touchent; il ne les voit pas, il ne les ent
isa' réussir, même en prenant les hommes un à un. Les fails dont nous parlons sont d'une na- turc si extraordinaire, si propr
ents par leur savoir, faisant môme partie de ces corporations dont on parle . S'il y a des savants d’un côté, il y en a aussi
les ont pleinement réussi, et le fait de la transformation des objets parla volonté du magnétiseur a été surabondamment const
t accent de conviction qui gagne toutes les consciences droites, il a parle du magnétisme, des fails dont il est la cause, du
r se palper toutes les régions du corps avec ses mains; elle imite au parlait toutes les souffrances des malades; elle imite le
sont satisfaits. Le Journal de Reims, dans son numéro du 7 novembre, parle des deux faits dont j’ai l’honneur de vous entret
une réserve prudente, et l’explication pour le songe du ministre dont parle Abercrombic pourrait, à la rigueur, être invoquée
'extatique voit ses parents, ses amis décédés, il les reconnaît, leur parle et les touche, il les perçoit en la forme qu'ils
mercredi dernier, à une séance do magnétisme de M. Lafonlaine; je 11e parlerai pas des expériences d’insensibilité, expériences
ore.... Point du tout; je vous l'ai dit, vous « serez alors gouvernés parla seule philosophie, par « la seule raison; ceux qi
ompli. —Voilà bien des miracles (et cette fois « c’était moi-même qui parlais ), et vous ne m’y met-« tez pour rien ? — Vous y s
état magnétique par M. Wuilly, chante à un ordre mental, el s’arrête, parle même moteur, sur telle syllabe qu’on désigne à so
narcotique eût touché le nerf olfactif. Sliss Budd, dont nous avons parlé à l’occasion des expériences phrénomesmériques, e
répondre. Les masseters étaient contractés au poinl de l'empêcher de parler . Madame Jaminct, magnétisée en quelques seconde
31 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntition, fut complète. D ? commence à dire quelques mots à 14 mois, parle tout à fait bien à 2 ans, sans défauts de pro-
he- mars, de sauts dans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait lire et écrire. Les sentiments af
vèle rien de particulier. L'intelligence est peu éveillée. L'enfant parle assez bien. 1899. - Puberté. Aisselles, thorax,
peu près nulle, pas de vomissements, selle quotidienne.- L'enfant parle presque à voix basse ; fait des phrases : « moi,
Alors l'excita- tionlit place à une dépression profonde. Elle ne parla plus et resta au lit pendant deux mois. Cet état
. A) État mental. Excitation intellectuelle : la malade ne cesse de parler avec volubilité, en s'agitant d'une fa- çon dés
n de la France un peu importante. Il est trop court, parce qu'il ne parle nul- lement de la situation que l'adoption du p
ment. » Mais, comme ce désir ne serait peut-être pas suffisant, ils parlent d'argu- ments innombrables à l'appui de leur th
l, c'est encore un abus ; ils ne font pas remarquer que Bourneville parlait ainsi avant la création de tout concours, à une
atteint peut se trouver dans l'incapacité absolue de se mouvoir, de parler et de penser. Un peut donc comparer cet état à
ÉTÉS SAVANTES. quels l'intimidation est réalisée par l'influence ou parla présence d'autrui, la timidité comporte donc un
ibuer à l'éducation et ce qui est sous la dépendance de l'hérédité. Parla , l'emploi du la suggestion hyp- notique facilit
secondes ; dans l'utatsecoml, il lutte contre le réveil, se plaint, parle et répond aux questions posées. II. Un jeune ho
aire timidité. Il n'ose sortir seul, le soir, dans Paris ; il n'ose parler à haute voix devant une personne éti-aiigère.11 j
dormie pour la première fois à la fin de novembre. Aujourd'hui elle parle à haute voix et peut même commencer à chanter ;
l des services ad- ministratifs au ministère de l'intérieur désigné parle ministre, président ; 2° Trois professeurs, tit
ulûment et malproprement, suce toute la journée une croûte de pain. Parle peu et rarement spontané- ment, répète de temps
intérieurement d'un feuillet gé- latineux adhérent. De ce feuillet parlent des cloisons qui décom- posent la tumeur en de
u malade est placide comme un masque, la bouche petite, et quand il parle , c'est sur- tout la langue qui se meut, les lèv
s grand. CLINIQUE MENTALE Mal perforant et paralysie générale : Parle Dr MARIE, médecin en chef il el 1(- 1)\I.ollin
fibres qui pressent sur la vessie urinaire peut être provoquée : a) parles émotions psychiques ; b) par l'irritation de pa
et dans tous ceux de po- liomyélite antérieure, il ne se produisit, parle heurt du dos du pied, ni flexion dorsale, ni fl
tible. Puis, le premier segment dorsal est insuffisamment irrigué parles artères radiculaire ; les artères radiculaires an
uvercle de verre ; l'aiguille revient graduellement au zéro si l'on parle de- vant la plaque de verre à la distance de 40
l'autre quand on approche le doigt ; elles paraissent l'('poussées parle doigt. Même chose a lieu quand, après décharge
'il obéisse oubien il est pris d'une contraction tonique d3bu- tant parles talons et quile fait choir en avant. Lorsqu'il s'
coup plus souvent qu'on ne pense peut-être les enfants martyrs dont parlent les journaux sont des arriérés, des débiles ind
sonde comme précédemment. 27 novembre. 1900 il. mai 1901. - S. : Parle , se lève en se bornant au strict nécessaire.-A.
nde par la bouche, et huit jours après, on put recommencerle gavage parla narine droite. La malade était assez docile et
et puerpéralité chez une épileptique atteinte de chorée ancienne; Parle 1)' AIt51111OL)J, médecin-adjoint de l'asile de L
vulsion choréi- que, les centres nerveux, affaiblis déjà auparavant parla prédisposition héréditaire, ont été frappés de
rtains asiles comme ceux de là Bretagne, la majorité des malades ne parle pas français'; aussi le re- 196 asiles d'alié
ouvé les nécroses par inflammation ou par arrêt de circulation dont parlent d'autres auteurs : c'est que la stase lymphatiq
gnes, donc destructives de la glande ; or n'est, une chose acquise, parla clinique et l'expérimentation que les lésions des
de l'infantilisme et du myxoedèmu. Amélioration rapide et notable parles tablettes du corps thyroïde. Observation VI. --
ller une fonction qui sommeille. G. C. \ Ul. Le traitement des tics parla rééducation; par M. ]>OKOT, (Lyon 11lt : cli
asique rééduqué. 11. Lwv montre un ancien aphasique qui réapprit il parler mais qui présente encore certains troubles : pa
xcép7zalocÈlrs de l'angle interne de l'orbite (vaiïelu faciale) ; Parle Dr C. Clair (novembre 1904), 61 pages. Dix obse
s sur son expé- rience, sur celle de maîtres incontestés, et dictés parle double souci des intérêts des inculpés et de la
ique du système nerveux pathologique est caractérisée : d'une part, parla spécialisation de plus un plus établie des tra-
les procédés d'examen devien- nent plus pratiques et plus rapides. Parla combinaison des diffé- rentes méthodes entre el
use, de l'asile- école de Bicêtre, de la Fondation Vallée pour ne parler que du département de la Seine. En qualité de r
aitement médico-pédagogique, des procédés qui la composent, nous ne parlerons que des résultats. Ce préambule était nécessa
re et l'en- fant commence à répondre plus exactement quand on lui parle . Il devient gai, chante et commence à s'approprie
valent ces mots. 2M3 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. 1902. L'enfant parle , fait des phrases, il rapporte même sur les aut
eux et se tient plus propre. 1904. - Il continue de s'améliorer, il parle très bien, tient bien une conversation et, malg
abitudes de mal- propreté. igo5. - Les progrès sont sensibles. Il parle , raconte et in. terroge. Il n'est plus gâteux.
jourd'hui existante; l'enfant répond de mieux en mieux quand on lui parle . Il s'intéresse à tout ce qui se lait autour de
- maintenant, il ne FiG. 21. - Xi il la ans (1901). faut plus lui parler de l'école, et, en dépit de tous les essais, il
normale. La physionomie réfléchie, froide et dure. Bien qu'il sache parler , il faut le contraindre de répondre quand on lui
'il sache parler, il faut le contraindre de répondre quand on lui parle (ce qui parfois suscite une colère, l'enfant y ét
Il avait 1 habitude de se cogner la tête, et chaque fois qu'on lui parlait , il la cognait davan- tage. Il était enclin à d
il est toujours assez obstiné pour répondre quand on veut le faire parler , et ne perd pas l'habitude de rire. -- Son atte
- A son entrée, en mars igo3, cet enfant gâtait nuit et jour, ne parlait pas, indifférent à ce qui se passait autour de lu
de ses camarades, Félix, par esprit d'imitation, a fait effort pour parler et prononce quelque mots dont il ne com- prenai
u complètement propre nuit et jour, comprend tout ce qu'on lui dit, parle encore avec difficulté mais d'une façon assez i
nt en arrière en poussant une sorte de plainte ininterrompue. Il ne parlait pas ou du moins ne disait que papa et pain avec
il répète et comprend maintenant tout ce qu'on lui dit, commence à parler un peu de lui-même. La voix est basse, caverneu
verneuse et l'articulation laisse beaucoup à désirer, mais enfin il parle avec à-propos, nous comprenons ce qu'il veut di
ve a fait place à un peu d'animation. Il a commencé à s'habiller, à parler , à s'attacher à nous, à son frère. Devenu moins
soutenu sous les bras, ne mangeant pas seul, gâtait nuit et jour et parlait avec difficulté. Cet enfant à commencé en 1897
ins maladroites. En 1899, il est parvenu à se déshabiller seul et à parler plus intelligiblement. Il gâtait encore très so
- Il commence à syllaber et à compter; l'intellect se développe, il parle , raisonne et fait part de ses réflexions, il a
gâtait toutes les nuits et souvent le jour, mar- chait avec peine, parlait avec volubilité, comme un perroquet, répétant d
Actuellement, il est propre le jour et la nuit, est moins loquace, parle avec plus de lucidité; la somnolence que nous a
on chez cette enfant. Elle n'était pas patiente avec ses compagnes, parlait fort peu avec le personnel, n'aimait pas le jeu
tion 11. Un autre malade, dont l'observation nous a été communiquée parle Dr Levet, de Cassens, est tombé dans un incendi
s rare, aujour- d'hui que l'antisepsie s'applique partout ; je veux parler de l'infec- tion de la plaie, qui fut le siège
e général à cause de l'obtusion intellectuelle, de la difficulté de parler et de l'inégalité pupillaire. En janvier l90 ?
1902, cinq ans après son accident. 4° L'examen du sujet. Nous avons parlé de l'examen local,- concernant le point d'appli
m- possibles à analyser, à approfondir, on aurait encore démontré parla , d'une manière exacte, que le processus de la pen
s éducateurs du XtX" siècle. Outre les volumes dont, nous venons de parler , la Bibliothèque d'Education spéciale comprend
oraine du trauma- tisme et de ses suites chirurgicales (quand il en parle avec détail, c'est par ouï-dire afliI"ITIc-t-il
availler à la forge, comme au temps de son coup de pied de cheval). Parle seul avec un interlo- cuteur imaginaire. Il se
vis à-vis des compa- gnies et, patrons responsables, etc. ? (Je ne parle pas des honoraires médicaux, pour lesquels ici
u moment où cette lueur se répandait, la malade pouvait se mouvoir, parler , raisonner même. Dans le cours de la première a
Le cas mentionné présente de l'intérêt sous quatre rapports : 1° Parla combinaison d'accès de migraine avec des crises
a taille mesurait 84 centimètres, son poids était de 22 kilos. Elle parlait , mais ses réponses étaient très lentes, ne tena
44. Lar ? à 8 ans (1y01). che, ne courait, ni ne sautait. L'enfant parlait , mais elle TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES
ive, alerte dans ses mouvements; marche, court, saute avec agilité; parle facilement, s'exprime avec volubilité, soutient
shabiller. (Planches vu A X11,) Aujourd'hui (1899), elle a appris à parler , elle sait soute- nir une petite conversation,
é et de rachi- tisme, avec perversions instinctives. Cette enfant parlait , causait, marchait, ne gâtait pas, mais elle ét
e à marcher seule, à s'ali- menter elle-même assez proprement. Elle parle franchement et sans le moindre défaut de pronon
au son de la voix, toutes les personnes attachées au service.. Elle parle bien, sans défaut de prononciation, demande tou
ar dire quelques mots, puis des phrases; aujour- d'hui (1900), elle parle bien, sa voix est claire, sans défaut de pronon
une notion, sur tout ce qui concerne les exercices classiques. Elle parle bien, répond directement aux questions qui lui
S IDIOTIES. 413 intelligence, le regard était sournois, elle savait parler , mais était incapable de tenir conversation, l'
IJOIN montrent un sujet guéri depuis un mois d'un hémispasme facial parla méthode de Schloesser. Chaque injection fut sui
talban à l'aide d'un sortilège de sa façon. ? Comme le vieux cavalier parlait ainsi, le convoi de Pina- hel, qu'on .ro5-aitmo
et surtout le pleurer spasmodiques. Le malade ne peut essayer de parler sans se mettre aussitôt à sangloter et a pleurer
faiblesse croissante de ce côté avec une difficulté progressive de parler et de se faire comprendre. Il y a trois ans env
nvolontaire de salive (pleurer spasmodique;. Chaque fois qu Il veut parler , le même syndrome se développe et se prolonge i
langage, encore faut-il étudier attentive- ment sa mimique quand il parle . Pas de pleurer spasmodique; c'est un malade ga
rer spasmodiques, pas d'autre signe bulbaire que la difficulté à parler . Il comprend bien les questions qu'on lui pose
- mite entre la membrane de l'abcès et le tissu nerveux.- Ziegler parle simplement d'un (issu de granulations qui se tran
t sans but, rien chez cette enfant n'annonçait l'intelligence. Elle parlait , mais avait un défaut de prononciation pour la
'est fait en elle : Gâtisme, colères, caprices tout a disparu. Elle parle et marche très bien. En classe les progrès sont
Rien de particulier à signaler. Cette enfant est propre, marche et parle bien, ses progrès sont lents en classe; elle fa
ement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'enfant parlait mal au début, était maussade, restait inerte; a
r petite maman. Elle essaie de répéter tout ce qu'elle entend, elle parle à propos. Elle mange seule, mastique très bien.
chiffres et les lettres et commence à les assembler. Elle marche et parle de mieux en mieux. Amélioration notable. - LX
la physionomie était dure et effrontée, .le regard malicieux, elle parlait bien, mais rien n'était suivi dans son langage;
), la physionomie manquait d'expression, son air était hébété; elle parlait très peu, sa voix était nasillarde; elle mangea
e en 1903. La physionomie n'annonçait pas d'intelligence, elle ne parlait pas, ne marchait pas, ne mangeait pas seule, ne s
04), l'ensemble de la physionomie est beau- coup plus éveillé; elle parle très bien et sans aucun défaut de prononciation
AITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 471 naît les personnes au parler , à la marcha La sensibilité tactile est aussi t
sensibilité tactile est toujours très développée. Elle marche et parle de mieux en mieux, le gâtisme a complètement disp
totalement changé^, l'enfant est devenue plus enjouée, affectueuse, parle même beaucoup, tient conversation, s'amuse aux
sez intéressante, elle est gaie et très ouverte, elle qui autrefois parlait à peine. Elle n'est pas mala- droite pour les o
1892, atteinte d'idiotie : A son arrivée, elle ne marchait -pas, ne parlait pas, gâtait nuit et jour. Aiijour- d'hui (1899)
e parlait pas, gâtait nuit et jour. Aiijour- d'hui (1899), l'enfant parle et sait soutenir une conversation comme les enf
t en traitement, elle commençait à s'améliorer, devenait plus gaie, parlait avec moins de lenteur et s'expri- mait avec fac
oilette. La parole, autrefois lente, est maintenant très vive. Elle parle TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 4
hait à tout, aimait à détruire. Aucun sentiment d'affectivité. Elle parlait peu, son vocabulaire ne s'étendait guère qu'en
chitisme. Cette enfant était gâteuse nuit et jour, ne marchait pas, parlait à peine, ne pouvait ni TRAITEMENT MEDICO-PEDA
fectueuse, elle avait un défaut de prononciation (bégaiement), elle parlait peu, ne se ser- vait que de mots pour désigner
rée à la Fondation en 1896, atteinte d'idiotie et d'épilepsie. Elle parlait peu, mais n'avait pas de défaut de prononciatio
et a appris à marcher (Fig. 61). 1897. - Amélioration notable. P ? parle bien et très fran- chement, sa tenue est bonne.
intient et augmente : ainsi le veut la méthode scientifique dont on parle lant, mais qu'on ne suit guère. Nous terminer
omiquement de celle de l'enfant etde l'adulte, mais elle en diffère parla durée, beaucoup plus longue chez le foetus en rai
32 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
des déséquilibrés. Je préfère l'emploi de cette dernière dénomination parla simple raison que fort souvent, parmi ces prétend
uelles de premier ordre. M. Ciiarcoï (au malade) : Voulez-vous nous parler de ce qui vous arrive lorsqu'il s'agit pour vous
erons l.M. le professeur Erb, d'Heidelberg, dans une lettre publiée parle Neurologisches Central-blatt (,n° 24, 1888, p. 68
puisse se produire sous l'action des causes occasionnelles dont nous parlions tout à l'heure : traumatisme ou choc nerveux. On
squ'il appartient à l'hystérie, se présente chez notre sujet; je veux parler de la diplopie monoculaire ; cette anomalie se mo
le mot hystérie ne signifie rien, et peu à peu vous vous habituerez à parler d'hystérie chez l'homme sans penser le moins du m
: Comment vous appelez-vous, mon enfant? La mère. — Elle ne peut plus parler depuis quelques jours. 1. Gazette des Hôpitaux,
ue les mou vemcnts étaient très forts. Elle ne pouvait presque plus parler , laissait tout tomber. Les jambes sont faibles pr
us voyez que ce n'est pas la culture intellectuelle qui l'a perdu. Je parlais tout à l'heure de sa sobriété : nous avons à cet
la description d'une hémiplégie. Il ne suffirait pas actuellement de parler sommairement d'une paralysie plus ou moins intens
ment indiqués dans plusieurs observations d'intoxication Fig. 14. parle sulfure de carbone, en particulier dans deux obse
épassé les limites de la moitié latérale gauche de la moelle. Je veux parler d'une rétention d'urine qui aurait duré plusieurs
itiés latérales ou d'en déterminer la compression. Mais il suffira de parler de ce qui concerne la lésion traumatique ; c'est
mais modification profonde de la sensibilité de la peau. A proprement parler ce n'est pas l'anesthésie proprement dite qu'on y
on spinale ou d'une lésion organique desfaisceauxpostérieurs. Je veux parler du phénomène de dysesthésie, comme je l'appelle,
cette vibration douloureuse ou pour le moins fort incommode dont nous parlions il n'y a qu'un instant à propos du pincement. Je
ens nerveux et jamais il n'avait été malade avant un accident dont je parlerai dans un instant. Il a servi dans l'artillerie pen
e répète, les amyotrophies en question sont fort rebelles. Je puis en parler en connaissance de cause car j'ai sur ce sujet qu
tout. M. Charcot : Je le crois bien. J'ai tenu, Messieurs, à faire parler ce malade devant vous, longuement, parce qu'il ex
tige par accès. J'ai eu bien des fois l'occasion l'an passé de vous parler du vertige de Mé-nière et de son traitement par l
qui, de l'extrémité du pied, s'étend jusqu'au niveau du genou. Nous parlerons plus tard cle l'anesthésie cutanée qui se montre
une rude profession, déployer une grande force. Je me réserve de vous parler un peu plus tard de sa famille considérée au poin
est névropathe ; dans l'enfance il a eu des convulsions ; la nuit il parle , s'agite, gesticule. t. Comme cela arrive dans
ôté du tronc, croise ses jambes avec un grand luxe de mouvements ; il parle très difficilement, en changeant sans transition
malade est porté hors de de la salle), le voilà parti, nous pourrons parler de lui plus librement. Eh bien, messieurs, je vou
e, avec Lendet (Mémoire sur les chorées sans complications, terminées parla mort. Arch. de Méd. 1853, 2° série) et avec le Dr
ication de ce genre, par le fait même de la chorée si l'on peut ainsi parler . Ce sont les cas du dernier groupe qui devront
terminaison fatale. 2e Malade. Le second sujet dont je veux vous parler maintenant est une jeune épilep-tique âgée de 15
consistera dans la majorité des cas, — normalement si l'on peut ainsi parler , — dans la combinaison de deux névroses parfaitem
pas possible de dire l'adresse de la maison où ildemeure. Cette femme parlait d'ailleurs très facilement, avec une certaine vol
iné par le fait de causes aussi différentes en apparence. Ainsi, de parles symptômes céphaliques, voilà notre sujet nettemen
elle chez des sujets, qui frappés à l'âge d'élection, avaient atteint parla suite un âge très avancé. C'est là sans doute la
, les principales phases de sa maladie. A la malade : Veuillez nous parler , je vous prie des premières douleurs que vous ave
premières douleurs que vous avez éprouvées. La malade : Vous voulez parler de 1876 ? M. Charcot : C'est cela même ; vous a
S'agit-il ici de l'une ou de l'autre ? Avant de rien décider laissons parler les faits. A la malade : Combien de temps cette
é quatre jours, qui a marqué le début de l'affection. A la malade : Parlez -nous de ce qui s'est passé après la douleur du do
tout, M. Charcot : Voyons, ne mêlons pas tout, procédons par ordre; parlez -moi d'abord des douleurs des jambes, puisqu'elles
malade : Contez-nous l'histoire de ces vomissements dont vous m'avez parlé bien des fois. La malade: Monsieur, je vous l'a
Çharcot: Est-ce des douleurs dans le dos ou dans les jambes dont vous parlez ? La malade: Je n'ai plus souvent de douleurs d
au moindre attouchement ; mais c'est des douleurs des jambes dont je parle ; ce sont ces douleurs qui souvent occasionnent m
st en jeu ici; et les vomissements par accès dont, en ce moment, nous parle notre malade ne sont pas autre chose que les fame
ue à chaque pas, il y a une esquisse du dérobement des jambes dont je parlais tout à l'heure (giving way of the legs), de telle
opsie. Vous connaissez la valeur diagnostique de ces faits-là établie parles recherches de M. Parinaud (1). Le résultat de c
ères affections du nerf optique n'est pas la même, si l'on peut ainsi parler , que celle qui se voit dans l'hystérie. Dans cett
fatalement progressives de l'amaurose tabétique. Il me reste à vous parler de la dyschromatopsie qui, dans ce cas particulie
u que celui de la vision pour le bleu. On sent là, si l'on peut ainsi parler , l'influence de l'hystérie et cette influence, on
station est fort difficile et la marche impossible. L'enfant ne peut parler . Il éprouve une grande difficulté à tirer la lang
plus se tenir. M.Charcot [Auxauditeurs). — Je vous ai bien des fois parlé des choréesmolles et je vous ai fait remarquer qu
pointes de feu, sur les divers points de l'incurvation spinale. Soit parle fait du traitement, soit par toute autre influenc
spinale par mal de Pott. Cette paraplégie latente, si l'on peut ainsi parler , peut en effet, comme cela s'est vu chez B. ..ot,
te affection, les pseudo-névralgies (symptômes radiculaires)dont nous parlions tout à l'heure ouvrent le plus souvent la scène ;
mieux, d'agents provocateurs qui, par un mécanisme dont nous aurons à parler tout à l'heure ont mis en jeu une affection purem
erses affections, soit organiques soit purement dynamiques et pour ne parler que de celles-ci, on peut rappeler que, à côté de
onséquence d'un choc local, B...ot a « localisé », si l'on peut ainsi parler , « son hystérie » dans les membres inférieurs où
qu'elle est le produit d'une suggestion par contre-coup ou autrement parlé , d'un raisonnement inconscient par analogie. On
Par le fait d'une coïncidence assez singulière, nous avons encore à parler du mal de Pott à propos de notre second malade. J
ntes : Au début, se produit une aura prémonitoire; nous en avons déjà parlé à propos de l'étude des douleurs rachidiennes et
ur lui le « doux baume des âmes blessées » « balm of hurtminds » dont parle Shakespeare. En effet les images qui, pendant qu'
ction spinale ou cérébro-spinale autres que le tabès. Déjà nous avons parlé de « l'impuissance » en dehors de toute lésion or
pal de la conférence d'aujourd'hui. Il s'agit donc maintenant de vous parler de nos propres recherches dont la mise en œuvre d
ent. M. Charcot : Voilà bien une fracture d'ataxique. Au malade : Parlez -moi, je vous prie, de votre marche; que s'est-il
ade. M. Charcot : Il y a encore un autre résultat obtenu dont il ne parle pas, sans doute par discrétion, mais que nous ne
et sans canne. Il y a déjà un mois que je viens seul. M. Gharcot : Parlez -nous de vos douleurs, de vos urines, Le malade
bement des membres inférieurs dont j'ai eu souvent l'occasion de vous parler à propos de l'ataxie locomotrice. Mais le tabès a
être un peu trop exaltés dans ces derniers temps, il est équitable de parler des méfaits qu'on peut, à juste titre, lui impute
lle elle s'assied.) Combien y a-t-il de jours que vous ne pouvez plus parler ? Expliquez-moi votre cas... Répondez ! M. Charc
jeudi, à la suite d'une crise de nerfs et d'une attaque. Je voudrais parler , mais on dirait qu'il y a quelque chose qui m'en
et n'était qu'aphone elle aurait tout au moins conservé la faculté de parler à voix basse, ce qui n'est pas5 ainsi que je vous
et repousser toute intrusion? 2e, 3e et 4e Malades. Lorsque l'on parle de neurasthénie ou d'hystérie mâles, il semble qu
pressive de la mise en jeu exagérée des forces physiques, etc. ; sans parler du shock nerveux produit dans les grands accident
le. Elle sera bien intéressante à relever quelque jour ; mais je puis parler d'après ce qui m'a été dit par plusieurs de mes c
é, émotivité excessive, sommeil troublé par les rêves dont nous avons parlé déjà : tantôt il est poursuivi par des animaux me
affectée par l'occlusion des yeux. Je ne voudrais pas omettre de vous parler d'une sensation de pression, de constriction péni
: les caractères cliniques de la contracture, survenue épisodiquement parle fait de la chute,suffit déjà pour l'établir : mai
est morte ! » Qu'y a-t-il de vrai, dans ce récit confirmé d'ailleurs parle mari? Quoi qu'il en soit,il s'agit, vous le voyez
à l'avenir d'être étudié. Il ne nous reste plus pour en finir qu'à parler de thérapeutique. Que faire pour combattre la con
l s'agit. Il ne me reste plus, pour en finir avec ce cas, qu'à vous parler des antécédents tant héréditaires que personnels
lui parfaitement isolés ; j'ajouterai qu'ils sont, si l'on peut ainsi parler ,tout à fait silencieux, tranquilles, exempts,en d
se met à tourner de l'encre de Chine. A ce moment, le professeur lui parle et c'est alors seulement qu'il reprend possession
donc les faits d'automatisme tranquille, pondéré, si l'on peut ainsi parler , c'est-à-dire sans accompagnement d'actes tragiqu
ois quarts d'heure (1). Mais ce n'est là encore, si l'on peut ainsi parler , que du petit automatisme et d'ailleursle caractè
même en quelques cas. Mais elles se produisent à sec si je puis ainsi parler , sans déterminer, au moins dans la plupart des ca
t ». 3° Dans un troisième groupe l'anomalie est, si l'on peut ainsi parler , de sens inverse, c'est-à-dire que les vomissemen
yez, de quatre à cinq heures seulement. 5° Cela nous conduit à vous parler de faits qui ne sont pas fort rares, dans lesquel
de temps en temps. M. Ctiarcot : Nous verrons cela tout à l'heure ; parlons seulement pour le moment de la première crise. Ne
jambes comme je le fais aujourd'hui. M. Ciiarcot : C'est bien, mais parlez -nous de vos crises gastriques. 1» Loe. cit. Mal
prêter, Messieurs, attention à la voix qu'émet notre malade quand il parle . Il détonne à chaque instant ; de plus, de temps
dire. Le fait est qu'à l'exemple de ces névropathes voyageurs dont je parlais l'autre jour, il est mû, constamment, par un beso
retendue de la cuisse ; aujourd'hui elles se sont, si l'on peut ainsi parler , concentrées sur le genou. La recherche des sti
, un peu pâle seulement et déprimé mentalement. Je me réserve de vous parler en temps et lieu de ses antécédents héréditaires,
st elle-même la marche normale dont elles ne sont, si l'on peut ainsi parler , que la caricature ne consistent pas seulement en
le à reconnaître. Après cet exposé sommaire des faits, faut-il vous parler de théorie? A cet égard, Messieurs, nous n'aurion
n séjour à l'hôpital, le voir pour prendre de ses nouvelles, il lui a parlé sans le reconnaître, et a, d'ailleurs, complèteme
par névrite périphérique, ou les ramollissements cérébraux dont nous parlions tout à l'heure ; de ces dernières affections, on
guérira, vous l'entendez bien,de l'accident local, du syndrome; je ne parle pas ici pour le moment de la maladie tout entière
a leçon de mardi dernier. Cet homme guérira, vous disais-je, ou, pour parler plus exactement, les troubles abasiques qui font
is en effet depuis longtemps que, chez les hystériques mâles, — je ne parle que de ceux qui fréquentent les hôpitaux de Paris
ue si, pendant qu'il marche, on vient inopinément pousser le malade parle dos, les trépidations reparaissent pour un temps.
s transition portée à son maximum, toute mécanique si l'on peut ainsi parler , et qui très évidem-mentdépend de ce que les tend
s lequel cotte fois l'équinisme ainsi produit, est maintenu désormais parle fait de la rétraction des tendons d'Achille, comb
été touchées du doigt par la fatalité antique, aujourd'hui remplacée parla fatalité héréditaire ; ils pourraient s'écrier l'
loi militaire. Il parait s'être fort amendé depuis lors. Je ne vous parlerai de son histoire, de ses antécédents qu'il ne nous
vret de licence, sale, crasseux « à vous tirer des larmes. » Quand il parle , il ne peut pas assembler deux mots de suite, tan
bégayait encore plus que son fils ; c'est dire qu'il pouvait à peine parler . C'était un ivrogne abominable, méchant, qui ne c
e dans l'histoire de l'hystérie et qui ici est fort accentué. Je veux parler d'une atrophie musculaire, sans accompagnement de
ai l'avantage de pouvoir utiliser les observations. Nous avons déjà parlé de l'amaigrissement considérable qu'aux membres i
ations, les plus habituelles, les plus classiques, si l'on peut ainsi parler , ont avec la paralysie infantile un trait commun
rie. Il y a encore un autre caractère qui nous manque et dont je vous parlerai tout à l'heure. Je voudrais auparavant, puisque l
t déjà fort ébranlée, lorsque, il y a vingt et un jours,il fut frappé parla foudre dans les circonstances que nous allons étu
rsé à terre, et bientôt après je perdais connaissance. M. Charcot : Parlez -nous de ce choc que vous dites avoir ressenti dan
te dans ses draps et s'est tourné du côté du mur ; il pouvait à peine parler tant il bégayait. » — S1 adressant au malade : To
avoir entendu la décharge électrique qui les a produits (1). Pour ne parler ici que de la foudre globulaire ou en boule, comm
r, avec ce que dit Sestier des troubles psychiques immédiats produits parle foudroiement. Il est presqueconstant, assure-t-il
rendre compte decette hémiplégie croisée, quela femmedont onvient de parler fut directement blessée par la foudre au pied gau
coup de celui que produit l'hypnotisme, compléter, si l'on peut ainsi parler , la paralysie hystérique déjà existante, et l'amp
s recherches, d'en aligner un certain nombre (1) ; mais je n'ai voulu parler ici que de ceux où la paralysie s'est produite im
éviter à tout prix. Les circonstances m'amènent, messieurs, à vous parler maintenant de deux autres cas d'abasie qui ont ét
e s'observe chez lui; mais si l'on vient à le pousser même légèrement parles épaules, il oscille, et l'on voit alors, dans les
us souvent, les symptômes d'atrophie musculaire progressive, débutant parles éminences thénar et hypothénar, avec secousses fi
ervicale hypertrophique, certaines formes du tabes, telles sont, sans parler de la lèpre anesthésique, les diverses affections
naître, le diagnostic est resté flottant jusqu'à l'époque, où éclairé parles travaux récents relatifs à 1. Gharcot. Leç. sur
me d'hallucinations. Tantôt il se croyait dans un train en marche, il parlait à haute voix, s'adressantaux voyageurs, appelait
n purement dynamique, sans lésions matérielles appréciables ; je veux parler de la contracture spasmo-dique hystérique. Mais v
ire que la guérison est complète, absolue. Puisque j'en suis à vous parler des guérisons de la pachyméningite, je puis vous
érie, 543, 549. — Hystérie et neurasthénie, 457. — (Lésions produites parla ), 446, 447. Fulguration. — (Paralysies par), 43
33 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mière vue, la face ne présente rien d'anormal; mais quand le malade parle ou quand il veut siffler, on s'aperçoit que la
la commissure buccale droite est un peu abaissée ; quand la malade parle , la commissure gauche est plus tirée que la dro
à peine touché ; la déviation ne se décou- vre que quand la malade parle . La pointe de la langue se dévie légèrement à d
ssure buccale droite est abaissée, mais légèrement; quand la malade parle , la joue droite est soulevée par l'air expiré;
naso-génien gauche est plus accentué que le droit. Quand la malade parle et surtout quand elle rit, sa bouche se dévie v
ue la gauche ; la déformation est surtout accentuée quand la malade parle : les plis de la face du côté droit sont alors
ecousses brus- ques dans les muscles du côté gauche quand le malade parle ou rit. Le facial supérieur gauche semble contr
ntensité des troubles moteurs. Et si, à notre avis, on ne peut plus parler d'intégrité réelle du facial supérieur dans l'h
était paralysé ; la paralysie du facial supérieur se caractérisait parla chute de la paupière et l'abaissement des rides
if PATHOLOGIE MENTALE. La parole est bonne, mais toujours lente, il parle en tenant la bouche fermée. Les extrémités des
'avoue lui-même; il cassait les vitres, mangeait des excréments, ne parlait rien. Il est très récalcitrant. ' Les sentiment
des réponses, quoique bien courtes. 15. Même état. 5-20 octobre. Il parle plus, n'est plus si retiré, ne reste plus seul.
malade a l'aspect triste, est très abattue, elle reste retirée, ne parle pas, répond avec grande difficulté seu- lement
ffection pour ses enfants est exagérée, elle pleure quand on lui eu parle et demande qu'on la laisse partir pour voir ses
ents, et même les médicaments. A partir du 15 janvier 1896, elle ne parle plus, et on observe que la salive s'écoule de s
ré, descendait seul à la cave pour y boire surtout du cidre pur, ne parlait jamais à la pêche, qu'il aimait beaucoup, sans em
ue cette maladie est purement locale, non héréditaire, à proprement parler , transmissible par inoculation seulement, et ca
c quelques chances de succès. Ladouche froide remplacée quelquefois parla balnéation tiède, l'électricité statique devron
s différentes : 1° Une réaction motrice, dans les muscles desservis parle nerf : flexion des premières phalanges et exten
e du mot. Il n'en sera donc plus question dans la suite, et nous ne parlerons que de la pré- sence ou de l'absence de la réac
accusations. 25 octobre. L'état mental est complètement rétabli. Il parle et répond immédiatement aux questions. Il ne ga
du malade est humble, il est continuellement couché par terre, sans parler , sans manifester aucune impression de ce qui ar
lui semble que quelqu'un l'appelle la nuit quand elle dort, qu'elle parle à Notre-Dame. Elle n'a pas de zoopsies. Elle ma
d'hallucinations ni de zoopsies. Elle n'a pas d'impul- sions. Elle parle continueilement, pleurant de temps en temps, mê
ique. - La malade se tient habituellement à l'écart, ne fraie et ne parle pas avec les autres malades. Sa figure dénote l
est fixe, elle ne parait pas s'intéresser à ce qui l'entoure. Elle parle très peu, répondant avec grande peine à ce que
avée. · Etat psychique. La malade est retirée d'habitude, elle ne parle pas aux autres malades. Sa figure exprime la souf
ans. Elle dit qu'elle a commis tant de péchés qu'on ne peut plus en parler , entre autres elle dit avoir péché envers son m
a pas été convenable devant les hommes, car elle chante et rit sans parler . Elle s'accuse encore que sa mère l'a envoyée à
ue sa mère l'a envoyée à l'école et qu'elle n'a rien appris. Dieu a parlé avec elle et l'a réprimandée d'avoir fait tant de
118 PATHOLOGIE MENTALE. même les images saintes pendues aux murs parlent avec elle. On voit par là qu'il existe des hall
son cer- veau, pour pouvoir mettre ses lèvres en mouvement et pour parler . Observation XXVII. La nommée Smaranda-J. Radul
énétrer, à chaque heure du jour et de la nuit dans nos asiles, sans parler des inspections spéciales relevant du ministère
avait le bon esprit de le dire. Ici encore, les partisans, ou pour parler plus justement les demi- partisans de la sépara
celle du directeur-médecin de nos asiles et personne, cependant, ne parle , là-bas, de la séparation médico-administrative
de travail- leurs et a réalisé les plus gros bénéfices ». M. Josse parle d'or, on voit qu'il est orfèvre, mais à cela il
s, alors même qu'ils prendraient l'engagement solennel ne ne pas se parler , 145 ORGANISATION DES ASILES. et vous verre
le joli cri d'indignation que vous soulèverez dans le public, sans parler d'autres choses. Par sa disposition, par son af
es entre le nez et l'appareil reproduc- teur s'expliquent en partie parle lien de sympathie qui existe entre les divers t
BOISSIER. XII. Pseudo-appendicites et affections pseudo-viscérales; parle professeur Albert Abrams. (Occidental médical T
as de tumeurs cérébrales opérées avec succès et suivis de guérison; parles D''s Thomas Omra et Georges Wiliamsok. (British
faite. A. Marie. V. Les enfants arriérés, leur traitement éducatif; parle D'LEY. (Anvers, 1898, brochure in-80 de 16 page
nts de cet établissement se présentaient à l'hôtel et demandaient à parler à M. C... Mis en présence de celui-ci, ils lui
st celle signalée par mon oncle, le Dr du Crozant dont nous avons parlé plus haut et qui permettrait de reconnaître la ma
atigne; il peut reconnaître ses amis, mais il est incapable de leur parler raisonnablement et il oublie de suite qu'il les
ration des représentations psychiques, troubles du langage écrit et parlé , troubles de la mimique, troubles de la volonté
XXVIII. Hypothèses sur la pathogénie des paralysies hystériques; parle Dr Guinaiid (Revue de médecine, 1898.) Deux hyp
ent et elles seraient du ressort du conseil a créer dont nous avons parlé plus haut. P. KERAVAL. IL Une visite à l'Asile
endance des paralytiques généraux. M. Briand voudrait que lorsqu'on parle de la descendance des paralytiques généraux, on
la crampe des écrivains ou graphopho61e, le bégaiement, la peur de parler ou 1(iliophobie, la peur de coudre ou )'ttpop/t
cas d'abcès cérébelleux consécutif à un abcès de l'oreille moyenne, parle même. - Comme on le voit, ce premier fascicule
chronicité mais à évolu- tion diamétralement opposée. Nous voulons parler des déli- res systématisés dits secondaires 1,
temps de purger l'hérésie est arrivé ; que c'est Dieu lui- même qui parle , qui ordonne par cette bouche * ! » » 2° Délire
n et qui vit mécanique- ment, comme cette vieille mélancolique dont parle M. J. Da- gouet, qui ne se souvenait pas qu'ell
malade est d'une activité exubérante, il est toujours en mouvement, parle sans cesse, ne connaît ni le repos ni la fatigu
lle parait susceptible d'en fournir de plus précieuses encore. Sans parler des ptomaïnes, dont la recherche est des plus d
at, l'hypothermie, surtout dans l'insuffisance hépatique. Nous ne parlons pas, bien entendu, des signes tirés de l'analys
d'oublis absurdes, extravagants, poussés au comble. Le malade aura parlé correctement, sans erreur, de faits passés; en
t muet, jus- qu'au rêve d'action, en passant par le rêve simplement parlé . Ecoutez et regardez attentivement un malade qu
llé, s'il est permis de s'exprimer d'une façon aussi paradoxale, il parlait sans diffi- culté et racontait qu'il avait rêvé
ba spontanément dans le même rêve et, tout d'un coup, se mit à nous parler comme si nous étions ses camarades et les offic
lemands, en France par Chaslin, la plu- part des auteurs qui en ont parlé sont revenus sur cette comparaison avec le rêve
aiguë, qui désignent des états analogues. Nous avons gardé, pour en parler en dernier lieu et à part, un article publié pa
hoses d' auto-intoxication ont des rapports avec les vésanies. Sans parler des délires d'auto-intoxication qui peuvent sur
rons rien du pronostic des psy- choses auto-toxiques, en ayant déjà parlé à maintes reprises dans le cours de ce travail
s de la main nécessaires pour représenter l'image graphique. Pour parler et pour écrire, cinq groupes d'idées sont indispe
1° les images objectives (conceptions relatives aux choses dont on parle ou sur lesquelles on écrit) ; 2° les images phoné
es caractères écrits ou imprimés)1; 4° les images motrices des mots parlés , c'est-à-dire des mouvements nécessaires pour r
e phonétique l au centre d'articulation A passe, dans l'intervalle, parle centre des mouvements B. La voie u-r-y qui va d
ertain qu'elles fussent le résultat d'une injure faite à la cellule parla substance toxique qui, quelle qu'elle soit, doi
etc., à des névrites viscérales. G. D. LX. Tabes et traumatisme; parle Di, DO4.DI EU-1,AVIT (deLamalou), ancien intern
vait devant elle quelque tableau effrayant ; elle voit des animaux, parle de cra- pauds, de poissons, de serpents qui rôd
t chez une femme anté- rieurement atteinte de goitre exophtalmique; parle Dr Gautier. (Rev. métl. de la Suisse romande, 1
attribuaient aux dieux, ou les populations du Moyen Age terrorisées parles visions de l'au-delà et qui la mettaient sur le
898 et le nôtre enfin en 1899. C'est qu'en effet, à Marseille, sans parler plus longtemps de ce Archives, 2" série, t. VII
ui faire étudier la médecine ; j'ai nommé le D'' Audiffrent. Vous parlerais -je du D'' Lachaux, un de nos doyens, élève de M
u D'' Lachaux, un de nos doyens, élève de Morel, dont ce dernier me parlait souvent et qu'il avait en grande estime ; son f
at paranoïen, le délirant sera plus mélancolique qu'orgueilleux. Il parlera comme un mégalo- mane et réagira comme un mélan
fet, primitif, notamment chez ces malades négateurs d'emblée dont a parlé le rapporteur, et qui sous l'influence de l'aut
cette forme que l'on observe les délires systématisés dont nous a parlé 111. Iégis. Ils ne méritent peut-être pas le nom
euse a déterminé les lésions en agissant directement sur la cellule parla réaction à distance sur le cylindraxe. Les expé
au moment où la malade se sentait mieux que les troubles, dont j'ai parlé ci-dessus, ont apparu. Il serait évidemment tro
u à peu, il se développa une véritable confusion mentale; la malade parlait , sans qu'on put établir de lien entre ses phrases
ent des maladies mentales. Le premier des pro- jets dont nous avons parlé plus haut, celui qui consisterait à créer des f
roits, n'en jouit pas et ne sent pas le besoin de les exercer, sans parler que la natalité est très faible dans ces cas. M
tre décidées par des experts, au nombre de trois au moins, désignés parle tribunal, et après une observation du malade pe
ever du tapis est très caractéristique. Le malade répond lentement, parle peu, ayant visiblement de la peine à réfléchir
us sommes complètement d'accord avec l'auteur, c'est lorsqu'il nous parle de thérapeutique mentale, et qu'il expose les p
tion. , Si l'on y réfléchit, on voit que le bègue, étant inhabile à parler , 428 VARIA. peut malaisément fournir les ex
oublante. il ne dirait rien du tout lorsqu'il faudrait au contraire parler et risquerait ainsi de com- promettre la troupe
se traite, ses interjections, ses hausse- ments d'épaule lorsqu'il parle de lui-même, et certaines de ses phrases où par
lle compromis à cause de lui. Il était déshonoré ;. toute la presse parlait de lui, sûrement il allait être mis à pied, et le
à délirer qu'à la suite de la lecture de ce journal dont nous avons parlé . Jusque-là il avait con- tinué à remplir les fo
de parents, et écrit à sa femme des lettres très correctes où il ne parle pas même de ses idées, ne voulant pas, dit-il, su
me ses idées et admet que beaucoup d'entre elles sont fausses. 11 parle de rentrer à son foyer, de reprendre ses occupati
'incendie du Bazar de la Charité. Elle s'en montre très frappée, en parle toute la soirée, dort mal la nuit,et dès le lende
n d'acquérir une provision de souvenirs verbaux indispensables pour parler automatique- ment. La même chose se passe quand
entre moyen. Pour comprendre la parole etl'écriture, ainsi que pour parler et écrire spontanément, il faut se servir du ce
ieure est conservée, les sujets peuvent lire et écrire sans pouvoir parler ' ; 3° L'aphasie auditive (surdité verbale) due
entre auditif le sujet ne comprend pas la parole qu'on lui adresse, parle , lit et écrit paraphatique- ment ; . 3° L'ale
à l'ccphasie motrice avec alexie et agraphie. Le sujet ne peut pas parler spontanément, ne comprend pas l'écriture et n'e
n automatique du centre moyen) la parole reste incomprise, le sujet parle , lit et écrit parapha- tiqtiemetit 1 .)" Y alex
) observée chez des enfants assez intelligents mais incapables de parler spontanément quoiqu'ils comprennent la parole d
bcorticale chez les enfants très jeunes est habituellement provoqué parles affections du labyrinthe ou de l'oreille moyenn
le sujet doit exercer avec conscience jusqu'à ce qu'il parvienne à parler correctement sans y mettre de l'attention. Notr
nonçait sa marchandise en criant, quand tout à coup il ne peut plus parler ; il est dans l'impossibilité absolue d'articuler
ue- ment : P... se trouvant avec des amis se mit tout d'un coup à parler comme avant, d'une façon nette et correcte. Penda
. Le 7 décembre, il se présente au palais de justice et demande à parler au substitut de service. Introduit devant ce magi
l travaillait comme d'habitude quand tout d'un coup il ne peut plus parler ; il et pour la troisième fois frappé de mutism
ubconscients si fréquents dans l'hystérie. Le malade ne pouvait pas parler , ce qui lui a fait croire que sa langue était p
éforme dans le reste de l'armée. Ces chiffres peuvent se traduire parles énoncés suivants : 1° Il y a. aux bataillons d'
ur demande, d'experts civils pris sur la liste dressée chaque année parles tribunaux du ressort. » Ce voeu est adopté à l'
aités comme malades. Quant aux enfants aliénés ou dégénérés, dont a parlé M. Giraud, leur place n'est nullement dans les
oles. Les mêmes remarques s'appliquent aux disciplinaires, dont a parlé M. Mabille. Lors du Congrès de la Poclielle, nous
ages dou- teuses, il voit en plein éclairage les infirmiers qui lui parlent et le sujet, comme en plein jour, se calme, ras
ée en même temps. Mâchon- nement incessant, grande difficulté pour, parler , bredouillement, acuité auditive et visuelle di
semaines plus tard il parvint à se servir de l'auri- culaire. Il a parlé aussi vite que ses frères et soeurs. Il est intel
ux jambes ; mais la marche est toujours difficile, et lorsque, tenu parles mains, cet enfant veut faire un pas il glisse p
ieux mécanismes à pression hydraulique ou à air comprimé. Le prêtre parlait dans un long tuyau qui aboutissait derrière la
nes physiologiques et l'émotion gaie succède naturellement au rire. Parla suggestion, il ne suffit pas d'atteindre le sym
de lire et de commenter quelques passages de John Lubbock). 11 faut parler à l'hypnotisé longtemps et avec conviction ; il
neurologistes dans l'étude DE la . psychiatrie ET DE la neurologie; parle 1), ESKRIDC.E. - La psychiatrie et la neurologi
34 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
re mal de Camper, de Hu-naud, de Séverin, et de tant d'autres qui ont parlé de cette maladie avant le célèbre chirurgien angl
deux catégories de gibbosités, assurément je ne vous en aurais point parlé . A la vue simple, on apprécie facilement leurs ca
itisme n'est pas la déviation essentielle de l'épine dont je viens de parler ; beaucoup de médecins confondent à tort ces deux
l'étiologie, l'âge, qui établissent la distinction. J'aurais à vous parler d'une foule d'autres affections qui offrent quelq
Il faut également reconnaître les cas de mal double, triple ; je veux parler des foyers pathologiques multiples, séparés par d
ient quelquefois au fond de la dépression circulaire dont je viens de parler . Diagnostic différentiel. — Les abcès symptomat
bcès ganglionnaires. — Les abcès dorso-cervicaux, dont les auteurs ne parlent pas, peuvent être confondus avec les abcès gang
tion. On remarquera que le savant confrère que je viens de citer ne parle que d'un petit nombre de sujets sur lesquels il a
elativement au principe posé par M. Duchenne, que le malade dont il a parlé a guéri. Ainsi, il est probable que l'altération
ongé à écrire ex professa sur la carie vertébrale; l'ouvrage où il en parle est une simple dissertation sur les effets du mou
en vue que les abcès extérieurs visibles, toutes les fois que je vous parlerai d'abcès par congestion ; je me suis expliqué plus
que je mets sous vos yeux sont relatifs à la catégorie de cas dont je parle . Ce premier enfant est depuis deux ans à l'hôpita
e chez les malades de cette première catégorie? Non, assurément. Sans parler des nouveaux remèdes dont vous-mêmes pourrez dote
le troisième, on voit des abcès, ordinairement sans paralysie. Je ne parle pas de ces abcès qui sont bornés à la surface des
e celle qu'exercent les cautères. Les moyens révulsifs doux dont je parle en ce moment, vous les connaissez tous : ce sont
rrait y avoir recours, ainsi qu'aux cautères volants dont je viens de parler , chez les malades vigoureux , et seulement lorsqu
que ou l'intérieur du bassin. C'est probablement un de ces abcès dont parle Abernethy, et qui résultent d'une sécrétion de pu
s efforts de la nature. » Le même auteur ajoute plus loin : « Pour ne parler que de mon observation personnelle, durant l'espa
voisinage de la gibbosité, des vomitifs et des purgatifs. Palletta a parlé aussi de l'emploi des purgatifs.! David s'est bor
rs. La première cause est peu probable chez l'enfant dont je viens de parler ; je crois plutôt à l'existence d'un point gangre
luxations sont le résultat des destructions osseuses dont je viens de parler . Ces luxations se produisent surtout dans l'artic
lonne vertébrale, des destructions plus étendues que celles dont j'ai parlé jusqu'à présent. On a vu, très-rarement il est vr
le ne se bornent pas à produire seulement les effets dont je viens de parler dans la région qu'elles occupent; elles en produi
de souffrance. On observe chez ces malades les phénomènes dont Rust a parlé ; quand ils se lèvent, ils sont obligés de tenir l
diverses de la tête et du cou dans l'affection sous-occipitale? J'ai parlé du mouvement réflexe; c'est là une première cause
extrémité céphalique. Je passe à un autre genre de lésions, dont je parlerai d'abord d'une manière générale, afin de mieux pré
es affections de l'âme humaine. Différents moralistes, des poètes ont parlé depuis longtemps de cette variété de torticolis.
ibère, disait : Incedebat cervice rigida et obstipâ. Horace nous en parle encore, lorsqu'il dit de ceux qui cherchent à cap
efois donné un torticolis par genre, par bon ton. Dans Lucien, il est parlé des petits maîtres qui penchent la tête de cette
plusieurs mois. k° L'élément scrofuleux est le dernier dont j'aie à parler ; i! prédomine dans cet hôpital ; c'est presque le
t traitée généralement par cette méthode de Pott dont j'ai longuement parlé dans les précédentes leçons. J'ai encore à exprim
maladie, et vous observerez des phénomènes analogues à ceux dont j'ai parlé . Les généralités exposées à l'occasion des affe
e ordre de faits. En décrivant le mal vertébral supérieur, je vous ai parlé des luxations et des ankyloses (1) Dixième leço
aisse s'accumule partout où il y a un vide à combler. M. Sédillot a parlé encore de relâchement, de ramollissement de la ca
z le supposer ; elle est bornée par les deux ligaments en X dont j'ai parlé . Je vous laisse à déduire plus complètement les
nir inférieur en étendue. M. Parise a publié un fait dont j'ai déjà parlé , et sur lequel je dois revenir. Ce fait, recueill
embre, et dont la cause réside aux environs de la jointure. J'ai déjà parlé de la luxation centrale, constituée par le passag
lus grand nombre des médecins. Il faut d'abord convenir que Verduc ne parlait pas en parfaite connaissance de cause : à l'excep
une cavité dans une pièce de bois avec un taraud. Les auteurs dont je parle se sont servis, en effet, de cette comparaison.
, — tout cela paraît le produit d'une illusion, d'un mirage, et, pour parler sans métaphore, d'une simple erreur de diagnostic
ifiée ! Ce n'est pas une rechute qui a eu lieu dans les cas dont je parle ; en voici une preuve. En 1841, une demoiselle fut
pratiqué cette dernière opération sur une jeune fille dont je vous ai parlé , sans aucun accident immédiat ni consécutif. Le j
s latéraux, non pas internes, externes, mais droits et gauches; je ne parle pas des obliques; l'énigme de leur action n'a pas
uses très-multipliées, convulsions, maladies cérébrales, etc. Je ne parle pas des cas de paralysie musculaire partielle, do
par Andry, qu'avait eu recours l'éminent chirurgien dont je viens de parler . Les moyens qui forcent l'œil à se porter sur u
2° On peut dire qu'aujourd'hui le deuxième résultat dont nous allons parler est la règle; c'est une quasi-perfection. H reste
oit plus, ou difficilement, le défaut de convergence dont je viens de parler ; l'abduction paraît complète comme l'adduction.
ons dans l'étiologie d'une foule de difformités du squelette; je veux parler de la rupture de l'équilibre musculaire par des c
eur première période. C'est à ce titre que je les décris ici. Je veux parler des pieds plats et des pieds creux. Pied plat.
ence congéniale de certains os, de certains muscles du pied. Palletta parle de deux talus produits par l'absence du triceps s
sit ; il s'y développe une véritable bourse muqueuse. Je n'ai point parlé jusqu'ici des os placés au-devant du scaphoïde et
d'un pied bot avec des vices de conformation multiples, dont je vous parlais il n'y a qu'un instant. Celle enfant est venue au
e pied en l'élargissant. Cependant j'ai vu le contraire. Je vous ai parlé de l'absence congeniale de quelques os dans certa
ds bots accidentels, et les plus rares des pieds bots congénitaux. Je parle de l'équinisme pur ou dominant, et non de l'équin
c. Le pied équin valgus et le valgus équin, dont il me reste à vous parler , offrent la réunion de l'extension et de l'abduct
es derniers muscles sont sollicités à agir par deux causes; d'un côté parla volonté, d'un autre côté, parce que leur contract
es autres procédés mécaniques. Aussi l'article d'Hippocrate dont j'ai parlé indique-t-il déjà la manière de s'en servir pour
ons à la description des machines. 2° Partie jambière. — Nous avons parlé de leur partie podale ou pédienne. La partie jamb
dedans. Dans le pied équin, il suffit du ressort élastique dont j'ai parlé . Une étude approfondie des paralysies, et en pa
ts observés au cou qui inspira la ténotomie du pied aux médecins dont parle Thilenius, et plus tard à Sartorius, à Mi-chaelis
ar la piqûre, afin que le trombus soit moins volumineux. Je ne vous parle pas de la précaution puérile d'appliquer les doig
donc encore à la jambe qu'il faut faire la section. Il nous reste à parler des longs fléchisseurs des orteils. Quoique ces m
égulièrement, et il est resté la déformation du pied dont je viens de parler , et une flexion considérable du coude et de la ma
doute, car cette opération a peu cours aujourd'hui. M. Velpeau a bien parlé , dès 1839, de la section des ligaments latéraux d
avec succès par Vallin (de Nantes) dans un talus dont je vous ai déjà parlé . Le second moule en plâtre que je vous présente m
contre dans la pratique des hôpitaux. Tous les cas dont je viens de parler n'ont trait qu'au varus. Voici deux moules qui re
térer. En même temps qu'a lieu la décomposition dont nous venons de parler , un travail analogue s'opère dans les os courts e
s aux courbures latérales essentielles de l'épine, dont j'espère vous parler un jour. En voici plusieurs exemples; il est impo
ourbure latérale essentielle de la colonne vertébrale ; je ne vous en parlerai point en ce moment. Je ne m'occuperai que de cell
e de l'enfance en une inflammation locale n'est pas soutenahle. Je ne parle pas de l'ostéomala-cie des adultes, à laquelle l'
causes débilitantes, comme les tubercules et les scrofules, dont j'ai parlé précédemment. C. On peut en dire autant de l'hu
agir sur ces quadrupèdes comme sur les petits chiens dont nous avons parlé . M. Leblanc m'a affirmé que des équarrisseurs ont
eur tête, qu'ils laissent tomber de côté et d'autre. C. Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel
éphalie et où il n'y avait qu'un rachitisme. M. Fischer, de Boston, a parlé d'un bruit de souffle qu'on entendrait dans l'hyd
entretenir cette année des courbures pathologiques du rachis. J'ai parlé en 1855 des courbures symptomatiques du mal verté
uilibration anormale vicieuse, tendant à déformer le squelette. Je ne parle pas encore des cas où nous pouvons être forcés de
tique du rachitisme quand elle ne dépend pas du mal vertébral. J'ai parlé de ces courbures, et j'en ai montré des exemples
les dans mes leçons sur le rachitisme (1). Déjà, en 1855 (2), j'avais parlé de la cyphose rachitique, en la comparant à celle
vertèbres lombaires et des ligaments inter-vertébraux. "Wenzel (1) parle d'un homme qui contracta une lordose pour (1) K
mbaire, à moins qu'elle ne soit compliquée de cyphose dorsale. On a parlé de troubles des fonctions digestives, d'indisposi
à cet effet sonl les lits à extension ; j'aurai occasion de vous en parler de nouveau dans la suite ; ces lits sont égalemen
faits qui soient à ma connaissance , je ne puis, vous le voyez , vous parler de la lordose dorsale essentielle ; .je ne vous e
ler la lordose cervicale, produite par le mal sous-occipital. J'en ai parlé dans mes leçons de 1855. Je ne ferai également
are de compléter une observation. C'est le nommé E. Goizet, dont j'ai parlé dans mes leçons de 1855 (1), et dans un mémoire s
oulogne) la communication de faits intéressants à ce sujet. Je vous parlerai bientôt peut-être des paralysies en général ; je
ez l'homme adulte, au lieu delà courbure simple, verticale, dont j'ai parlé tout à l'heure, sans doute à cause de la soupless
ne puis le taire, à beaucoup de médecins eux-mêmes. Les premiers vous parleront de leur épaule qui grossit, d'un côté fort, d'un
ur moi, comme pour Boyer (2), Shaw (3), Delpech (h), cette manière de parler n'est propre qu'à faire naître une fâcheuse confu
dans les courbures uniques, telles que celle-ci, dont je vous ai déjà parlé , qui a succédé à un empyème; la saillie est alors
sur la pointe du pied. C'est un cas tout à fait exceptionnel. On a parlé d'une torsion, ou plutôt d'une rotation du bassin
mme ils le feraient dans un rachis normalement plus court. Je ne vous parle pas encore des apparences de rétraction qu'on a c
r subissent quelques changements. Plusieurs auteurs anciens qui ont parlé des courbures de l'épine, Haller (2), Morgagni (3
les monstres, se lie, comme la cyphose et la lordose, dont je vous ai parlé précédemment, à de grands désordres des cavités s
use de scoliose, mais par le mécanisme des flexions latérales dont je parlais il n'y a qu'un instant. Mais la scoliose par fl
ucoup de scolioses spontanées doiveut leur origine. Je vous ai déjà parlé d'une grande cause d'inégal développement ties ve
us la forme d'une gibbosité médiane, comme dans la cyphose. Je n'ai parlé que de la scoliose commune, à courbure dorsale pr
s diurnes des courbures antéro-postérieures normales, dont je vous ai parlé à l'occasion de la cyphose. Il se produit par un
ion que l'on voit le contraire, comme chez un prêtre sexagénaire dont parle M. A. Séverin (1), et qu'une double bosse n'empêc
pulmonaire qu'à la plus grande proximité du cœur et du cerveau, dont parle Morgagni (3), qu'on doit attribuer la facilité de
eune fdle a succombé. Divers auteurs, Delpech (2) entre autres, ont parlé des lésions fonctionnelles de la moelle épinière
doute sur l'existence du mal vertébral. (1) VIIIe cas. — Je vous ai parlé des conditions nouvelles de la vie que crée la tr
l'enfance, commence à présenter le caractère spécial dont je vous ai parlé , l'allongement apparent dû à son étroitesse d'un
u'on leur attribue souvent une utilité qu'ils n'ont pas. Je ne vous parlerai que pour mémoire des exercices qui impriment au t
izontale, ou s'il est combiné avec les moyens dont j'ai encore à vous parler . 2° Exercices avec suspension par les parties s
ce des appareils et pour les manœuvrer plus commodément. Je ne vous parlerai que pour mémoire d'un sommier à plateaux séparés
eunes enfants qu'il peut être avantageux de soulever souvent le corps parles mains, par les coudes, par-dessous les bras, dele
effet les croix de fer lui soient antérieures, puisque Dionis (4) en parle déjà comme d'une chose connue. Dans les appareils
érales, résiste moins quand elle est prise à temps. Je n'ai presque parlé que des changements qui se produisent dans le rac
35 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
it dans le Discours V de son oeuvre La Dioptrique, à la place où il parle des images du monde extérieur dans notre oeil :
la faculté de la vue et la décadence de l'intelligence. Ranson (4) parle d'une tumeur du corpus callosum. On pouvait obs
ence de soi- même, est le centre frontal. Je ne veux pas beaucoup parler ici d'une autre hypothèse, concernant la constr
ue physiologique, - une « théorie » dont j'ai eu déjà l'occasion de parler (2), qui doit son existence aux images de cellu
nce. On pourrait t peut-être me citer des faits physiologiques, qui parlent en faveur de la Neuronthéorie, par exemple les
te, que malgré toute la variété des impres- sions (Treviranus) tout parle en faveur de l'unité de la conscience et qu'ell
hsig dit dans son oeuvre Gehirn und Seele, et il a l'habitude de ne parler que des choses qui lui sont positivement connue
me telles dans le système nerveux périphérique. Beaucoup de raisons parlent en faveur de ceci que toutes les voies de la do
Boulogne veut expliquer les contractures tardives, du moment qu'il parle des parois du kysle. (21 R B. Toun, Clirical le
duire sans elle. I ! faut seulement que les cellules cérébrales, d'où parlent ces fibres, soient lésées ou que le faisceau so
aiaus,publiée le 27 septembre 1873 dans la Gazette médicale. Pitres parle aussi des mouvements chez les hé- miplégiques (
es mouvements asso- ciés, mais Westphal, Onimus, Pitres et Camus ne parlent pas, comme Hitzig, du rapport entre ces mouveme
até- goriques ; on sait en effet Jackson, Goltz, Nothnagel, pour ne parler ^que des pre- miers en date, y ont insisté que
nterstitielle qui a remplacé les fibres dégénérées. On ne peut donc parler ici d'une absence de dégéné- rations secondaire
n portants. Né à terme, élevé au sein, il a commencé à marcher et à parler à l'âge d'un an. Il n'a eu que deux maladies in
rs auteurs, Tobiesen, 74 COCHTELLElIIOK'f Lannois, Rapin (obs. I) parlent de veines, réseau veineux, varices, à la surfac
ité où il ne soit question de cette particularité, de la- quelle on parle également dans bon nombre de monographies. Mais,
ssoires de son lit une ancre, symbole de sa profession. Weiandt (2) parle d'une maniaque qui s'habillait en Iphigénie. Ta
des paroles criées et un rire aussi effréné que bruyant, le dément parle avec un calme plein de satisfaction, avec un sé
gonia, près de Païenne, un état psychopathotogique des auteurs : il parle çà et et là de l'extinction plus ou moins complèt
ésumer les conclusions dans cette synthèse d'imperfection dont j'ai parlé plus haut. On peut tirer beaucoup de déductions
cupe, sont comprises des altérations des aptitudes dont je viens de parler , altérations plus ou moins distinctes, selon les
ncement des bords des os, surtout le long de la ligne mé- diane, et parla fermeture irrégulière des fontanelles latérales.
une seconde attaque : subitement il s'aper- çoit qu'il ne peut plus parler et que son côté gauche est paralysé. Cette fois,
ce niveau un nombre assez remar- quable de fibres colorées en noir parle liquide de Marchi. Cela se voit princi- palemen
des cours de l'asile par un habitant de la ville de R. Celui-ci lui parle d'autres personnes du même pays parmi elles se
embres de sa famille, depuis plusieurs années décédé, lui a souvent parlé d'une personne assez énigmatique et ténébreuse, l
puis donc dans mes rapports avec les ancien- nes compagnes de M..., parler et agir dans une certaine mesure, comme un homm
ir dans une certaine mesure, comme un homme bien élevé peut agir et parler avec les anciennes amies de pension de sa femme
B... s'app e- lait Eugénie; la religieuse du Bon-Sauveur dont.nous parlons ne peut donc que s'appeler Eugénie. La physiono
M. X... voulant que l'on sache bien qu'il n'agit, de même qu'il ne parle , que par délégation de Rome et avec l'aveu du S
ute simple qui ne se dément jamais, à une intelligence riante et un parler un peu sans façon qui n'est pas sans charme. Il
i n'est pas sans charme. Il la voit très bien en laïque. Elle lui a parlé maintes fois d'un certain papillon bleu dont il
age personnel seulement) de noms connus. C'est toujours M. X... qui parle . Et voilà comment « Baucis devint tilleul, Phil
Il y a autant de variétés d'infantilisme vrai qu'il y a, si l'on peut parler ainsi, d'hypothyroïdies partielles, et il est i
tiennent pas en place et chan- gent à tout instant de besogne. Ils parlent avec une volubilité singulière et s'excitent en
e déshabillait et essayait de fuir tout nu. Pendant quatre jours il parlait sans cesse avec incohérence, racontant qu'il aima
d'occuper la première place, de donner facilement des conseils, de parler en public. Il est vivement décidé, mais change
culation de la hanche. Je me demande pourtant de quelle hanche il parle , delà saine ou dela malade, car c'est sur le cô
ppe pas, à l'époque de sa mort, la malade âgée de plus de trois ans parle à peine ; cependant elle appelle par leurs noms
coté gauche, le moins atteint, que le paraplégique dont nous avons parlé avant lui ne l'est de son membre droit, le moin
à un sujet cliniquement beaucoup moins intéressant et dont nous ne parlerons en conséquence que très brièvement ; mais ce ca
es premiers pas au seizième mois et marchait bien à deux ans ; elle parla précocement. Le développement physique fut norm
nt cette insuffisance relative qui est cause du strabisme dont j'ai parlé plus haut. Dans les attitudes latérales extrême
t n'eut à souffrir d'aucune des maladies de la première enfance. Il parla et mar- cha précocement ; la première et deuxiè
teux de sa petitesse et de sa faiblesse ; il s'offense si on lui en parle et refuse de répondre. Il ne joue ni ne rit jam
signalé l'acromégalie chez deux frères et leur père ; Schwoner (4) parle d'un cas où la mère était acromégalique et les
hypophyse, il règne encore une si grande obscurité, pour- quoi l'on parle toujours d'hyper ou d'hypofonction, et pas de fon
me, que, selon Tamburini, suivrait un hypopituitarisme, on pourrait parler de dispituitarisme, ce qui peut-être, avec plus d
une altération primitive de l'hypophyse.Deux des cas dont vient de parler repoussent cette hypothèse, et ils ne sont pas
à ces derniers temps, c'est-à-dire jusqu'en 1905, on avait toujours parlé d'altérations pi ogressives, d'exostoses, d'épais
deux séries de recherches dans mon premier cas d'acro- mégalie, ne parlent -ils pas dans le même sens. En effet, d'une fort
res à l'échange dans cette maladie s'accompagnent de celles causées parles altérations des glandes dites à sécrétion inter
sieurs fois, sans qu'il y ait eu perte de connaissance. - Examen. - Parle et cause volontiers avec une certaine lenteur dan
ns osseuses. Nos malades n'ont aucun trouble de l'audition. Meltzer parle de l'at- teinte possible du nerf auditif. La
prochant ce fait de constatations faites chez des hydrocéphales, en parle de la façon suivante, dans une publication réce
mécanique, les vibrations qui courent le long dû fil. Je n'ai pas parlé de l'action modificatrice des influences morales,
'attitude de l'adoration, les jambes se mettent à genoux pour ainsi parler . Quand la pensée est en colère, l'organisme dep
térie. En 1904, dans l'étude sur la pathogénie des névroses dont je parlais en commençant, je disais que, dans les manifest
, il n'est plus un stigmate, mais un accident comme un autre. Je ne parlerai pas des stigmates neurasthéniques qui ne m'ont ja
organes atteints pour ne plus voir que la cause de leur maladie, on parle de pneumococcie, cte colilacilloae, de streptococ
erait guère de nos jours à intituler Passe temps, un livre « Lequel parle de la misere D'humaine conversacion » et dont
res de ceste vie Qui font maint homme deshaicté ; Le second livre parlera ' D'homme qui au monde s'amord ; - Le tiers l
de bon- nes conditions de santé physique. Il a marché à 11 mois et parlé de bonne heure sans difficulté notable et sans
des jambes. Tantôt il passé au contraire des semaines entières sans parler , portant parfois, d'un geste machinal, la main
aux environs des vendanges de 1907, Pierre se réveille, se remet à parler et reprend ses occupations. Son caractère change
e le voudraient Dupréel Pagniez (Ferranini). Je ne pense pas devoir parler ici des autres syndromes analogues à l'infantil
i n'est pas admis par quelques auteurs et nié par De Sanctis. Je ne parlerai pas non plus de l'infantilisme myxoedé- mateux
identes intéressaient la glande interstitielle du testicule. Nous parlerons plus tard un peu plus longuement des rapports ent
ux, nous force à mettre en relief que si dans ce cas on ne peut pas parler d'infantilisme partiel on doit néanmoins parler
cas on ne peut pas parler d'infantilisme partiel on doit néanmoins parler d'infantilisme général avec une considérable pr
sement des épiphyses ; malgré tout cela il n'admet pas qu'on puisse parler d'un infantilisme rachitique qui formerait une en
absolues mais cependant des présomptions assez fortes nous voulons parler des nombreuses maladies vé- nériennes avouées p
ire le mauvais allaitement.) Comme cause de l'infantilisme présenté parles deux soeurs Ser... nous admettons donc l'influe
cyanose, d'hyper5lobulie, etc., et toutes les données de l'anamnèse parlent contre l'existence d'une lésion congénitale valvu
non plus aucune preuve d'hypoplasie vasale (l'examen radioscopique parle nettement contre une telle hypothèse). Nous n'a
y a donc autant de variétés d'in- fantilisme qu'il y a,sil'on peut parler ainsi, d'hypothyroïdies partielles. » Malgré to
ilisme de Brissaud et aux infantilismes mixtes. Nous avons toujours parlé d'intégrité relative du corps thyroïde parce qu
aux observa- tions cliniques et aux expériences physiologiques qui parlent en faveur des liens fonctionnels existant entre
rophie quelconque. L'observation déjà citée .de Vigoureux et Delmas parle aussi en faveur de cette théorie ; dans ce cas
nt la glande diasthématiyue. Le cas de liedlich cité par Schiller parle dans le même sens. Dans le cas de tumeur de l'h
par trop simple et pas assez prou- vée, tous les cas cliniques qui parlent contre la doctrine qu'il soutient et à laquelle
de la vie à son propre infantilisme, et par conséquent nous pouvons parler sans illo- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTIL
iles de Brissaud et les myxoedémateux frustes de Thibierge (nous ne parlons même pas des myxoedémateux crétins et semi-crét
, du moins réduites; de telle façon qu'on peut dans un certain sens parler d'un psychisme en miniature. Mais cette réducti
La durée relativement longue du développement (plus de deux ans) ne parle pas absolument contre le diagnostic de tumeur cér
ontra pas la moindre altération delà selle turcique : ce fait aussi parle contre l'hypothèse qui nous a paru d'abord si séd
thèse,qui n'est du reste pas encore basée sur des faits assez prouvés, parle le fait de l'intégrité de l'hypophyse chez la s
se de la tumeur sur les fissures orbitales. Un dernier argument qui parle contre l'hypothèse d'une tumeur est donné par l
la selle turcique) pendant que tous les autres symptômes cliniques parlent contre une telle supposition diagnostique. Mais
babilité en plus qu'une néoformation de l'hypophyse. Nous voulons parler de celle forme rare d'hyd2,océlhalie idiopathique
forme d'hydrocéphalie idiopathique ou mé- ningite séreuse primitive parlent la disposition congénitale qui se dévoile par l
sement du crâne etdel'exoph- talmie ; mais tandis que de tels faits parlent en général pour l'hydro- céphalie, dans le cas
entée. L'examen histologique nous donna une légère lymphocytose qui parle en faveur de notre hypothèse préférée ; la quan
conduire au diagnostic d'une forme spécifique. Pour ce diagnostic parle enfin la marche rémittente de la maladie qui av
ernière hypothèse diagnostique et que la marche même de la .maladie parle en ce sens; si nous réfléchissons à présent que l
u'à gauche où il existe un volumineux durillon. La pince constituée parles orteils a, commecelle des mains, une grande for
ules rondes. Les lésions des cellules nerveuses sont très nettes,et parles colorations au bleu deUnna,ou mieux encore aprè
ond : « des brûlures de l'été passé ». Ni la mère ni la fille ne me parlent des complications qu'elles considéraient, toutes
nt on ne m'avait pas encore dit un mot. La jeune fille n'avait donc parlé à personne de la nouvelle ulcéra- tion à la jam
née l'année dernière ; et j'ai fait comme lui, c'était inutile d'en parler à personne ». J'insiste inutilement pour obteni
de la gorge ; les accès con- vulsifs typiques. L'histoire clinique parle encore d'une liéillillypoesillésie d'un champ v
ainsi plusieurs semaines après la dernière séance d'ir- radiation, parle aussi pour l'origine nerveuse de la radiodermite.
cée par le système nerveux ? On peut faire des hypothèses : on peut parler N'influences trophiques, on peut par- ler de ré
ue « ces cas ne courent pas les rues », puisque nous ne pouvons pas parler par expérience personnelle sur cet argument, il f
ène se produit avec une certaine fréquence chez les urémiques, nous parlons d'une péricardite urémique. Cette péricardite u
u bien des douleurs très fortes avec un épanchement rapide, nous ne parlons plus d'une péricardite urémique, mais plutôt d'
les basedowiens d'une façon indépendante de toute autre maladie, nous parlons de diarrhée basedowienne » ; et nous posons ce
par l'opium tandis qu'elle est indépendante de toute émotion, nous parlons d'une diarrhée chez un sujet basedo- wien. '
ription des altérations trophiques de la peau de nature hystérique, parle longuement de la gangrène hystérique, et il nou
hystérique ? D'autre part, toute l'histoire clinique de ce syndrome parle pour une auto- suggestion. Chez tous les sujets
t étiologique, si général dans le observations de gangrène cutanée, parle contre l'idée d'un caprice simu- lateur de chaq
omène est très difficile à expliquer. Je crois qu'il est inutile de parler d'une diathése spéciale, d'une névrose spé- cia
ue intelligent, instruit, qui a des vomissements. Il arrive, il lui parle , il lui démontre que son chimisme gastri- que e
ment avait commencé à la suite d'un excès de travail d'écriture. Je parle avec la malade en présence des étudiants, je lu
si du tremblement qui l'em- pêchait de coudre dont elle n'avait pas parlé . Cela va sans dire. Mais elle était guérie seul
ui avais affirmé : « Vous pouvez écrire. » Puis- que je n'avais pas parlé de l'aiguille, la suggestion qui ne raisonne pas
Le grand médecin, le maître, arrive, il fait sa visite minutieuse, il parle avec le malade, il lui promet la guérison ; il
étendaient sentir un léger souffle sur la peau du visage ; d'autres parlaient d'une légère sensation de tremblement du corps
orps ; d'autres encore d'une odeur spéciale. Plu- sieurs femmes ont parlé d'une gêne spéciale dans la respiration ; un gran
es de 1 'hystérisme. Et cela est vrai particulièrement lorsqu'on ne parle pas des sensations subjectives des sujets, mais
u lieu d'être en état d'é- bauche, on a bien le droit, je crois, de parler d'une faculté spéciale de l'hystérie. On peut
cet état psychique particulier fait défaut, on n'a pas le droit de parler d'hystérie, même en présence d'un phénomène objec
mène objectif qui présente les caractères du pithiatisme. J'ai déjà parlé des phénomènes ob- jectifs des maladies organiq
itement des altérations trophiques de la peau de nature hystérique, parle longuement de la gangrène hystérique et il nous a
et certaines intoxications, doivent entrer en ligne décompte, sans parler du rôle capital que joue aussi l'hérédité prédisp
36 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
l'âge de 14 ans, elle n'avait pas fait sa première communion. Elle ne parlait pas le français, mais le patois béarnais dont l'I
ature, il est pour nous d'une importance si grande qu'il nous faut en parler . Bernadette était atteinte d'un asthme ; cet as
; c'est qu'elle est prise par la crise nerveuse, l'Extase, dont nous parlerons tout à l'heure. Pendant ce temps, sans que Bern
adie, elle se rond compte de tout ce qui se passe autour d'elle, elle parle , répond correctement à toutes les questions qu'on
e de laséance annuelle et du banquet. Il rappelle les services rendus parle D'Albert Robin à la clinique et à l'enseignement
e ne manqua de se communiquer insensiblement, imitativement, pour parler comme lui, à toutes les recherches sociologiques
e considérée comme une des représentations de l'Aphrodite barbue dont parle Macrobe. M. de Cesnola a trouvé deux exemplaire
oisines. Au temps de Persée, elles avaient pour sœur Méduse. Pline en parle comme de femmes sauvages hérissées de crins. Selo
ni les raisons profondes ni les considérations de haute sagesse, dont parle M. Henri Lasserre, ne l'eussent empêché de courir
écouvrir le mécanisme de ses visions. Hallucinations hystériques. — Parlons d'abord des hallucinations hystériques, et pour l
n aura, ou même sans préliminaire bien appréciable, le sujet cesse de parler et demeure immobile II se trouve tout à coup sépa
e exprime rétonnement, l'admiration, la béatitude : parfois le malade parle , esquisse un geste, une attitude en rapport avec
liquer mot pour mot à Bernadette, car ce n'est pas autrement que nous parlent d'elle ses biographes, en racontant les crises d'
d'intensité lorsqu'il y avait rechute, son intensité étant pour ainsi parler , parallèle aux troubles nutritifs (le psoriasis a
ctoscopie cérébrale; mais il était nécessaire de le rappeler avant de parler de l'ectothérapie cérébrale. Si, lorsque les li
cteurs, c'est dans les récits des auteurs catholiques dont nous avons parlé au début, l'abbé Fourcade, Mgr de Ségur et M. Hen
l'enfant une brûlure au premier ou au deuxième degré ; de ceci on ne parle pas, c'eût été intéressant de le savoir; dans leu
sidérable, M.Robin pense que les travaux inspirés par l'hypnotisme et parla suggestion donneront l'explication de beaucoup de
du Df Liébeault, du à une souscription dont l'initiative a été prise parla Société d'hypnologie et par l'Ecole de psychologi
l vît une petite filletle qui jouait toute seule. La tentation de lui parler et de la mener dans une écurie voisine l'assailli
t une force d'inhibition qui prévalut et il dépassa l'enfant sans lui parler . Depuis ce jour, il n'a plus éprouvé de tentation
l n'a plus éprouvé de tentation, et d'après ce qu'il m'a dit, il peut parler à des petites filles et même les embrasser sans l
minés, que les adieux sont déjà faits, si quelqu'un a l'imprudence de parler , à un point de vue quelconque, de l'animal désign
ssaubras précepteur de la Maison du Temple de Noggarda, près Pamiers, parle d'un coffre sur lequel il vit placer une idole. (
. Rappelons pour mémoire l'émission involontaire d'urine dont on ne parle pas et pour cause, mais qui devait exister chez B
éputation de haute moralité, d'un âge assez avancé pour ne plus faire parler de lui, n'avait jamais dit une parole, jamais fai
isait à cette époque autant de bruit que Lourdes en ce moment ; on en parlait partout : les curés dans les Eglises, les bonnes
ces secrets n'avaient pas grande importance, car depuis lors on n'en parle plus et ces secrets venus du ciel ne jouent aucun
reconnu l'existence de l'eau cachée à un demi-mètre du sol et avaient parlé à Bernadette de la possibilité de faire jaillir a
in gauche 4- 43*. Je m'arrête dans cette longue énumération, laissant parler des chiffres dont certains rapprochements s'impos
ert par le président, M. le Dr Glorieux, divers toasts ont été portés parla Doctoresse Ioteyko; par le Dr Sollier, au nom des
Autorités. — Précisément à propos de suggestion, nous sommes amené à parler de l'intervention des autorités administratives e
ttéralement bouleversée: les uns criaient à la superstition, d'autres parlaient de supercherie, d'autres de manœuvres frauduleuse
ve. » Dans son mandement de 1862 relatif à la Grotte, Mgr de Tarbes parle de la source en ces termes : « L'enfant obéit, ma
En outre de mes cas personnels, je rappelle ceux qu'ont rapportés parla suite, nos collègues Bourdon (de Méru), Pau de Sa
nu au monde à terme, nourri par sa mère, l'enfant marchait à 10 mois, parlait à son heure, mais ne possédait que quatre dents à
le certificat d'études primaires, puis le certificat de grammaire. Il parlait l'anglais, l'italien et le français, mais il
les du langage qui peuvent s'observer chez l'enfant. Si l'enfant ne parle pas du tout, il peut s'agir de surdité, d'un simp
ou de troubles intellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'enfant parle , mais parle mal, il faut faire le diagnostic de t
les intellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'enfant parle, mais parle mal, il faut faire le diagnostic de trouble de la
lle force, que six hommes ne pouvaient la maintenir. Entre temps elle parlait le latin et reprochait quelquefois leurs péchés à
p tentante pour qu'une dévote exaltée pût résister au besoin de faire parler d'elle et de se couvrir de gloire. L'hystérie, co
lui, ce sont incontestablement des exemplaires des idoles juives dont parle la Bible et que les archéologues, malgré des rech
tement. Très accorte, très aimable et très gaie, elle aime beaucoup à parler avec les médecins et les personnes du sexe mascul
lle du 31 mars dernier, les bons et les mauvais simulateurs : je veux parler des simulateurs de bonne foi et des simulateurs d
imulateur convaincu : c'est le type du bon simulateur dont nous avons parlé . Molière avait déjà décrit un exemple des plus
rgea d'eau bénite et pria avec le capucin. Il était guéri. L'auteur parle ensuite de la cause de la possession. Les parents
une maison à cette dame, lui envoya un matin un gentilhomme pour lui parler . Mme de Castille, encore veuve, était au lit, e
le d'essayer d'avoir meilleur marché de cette maison, qu'il avait parlé à Mme de Caslille, etque Monsieur son mari enfin
t, dès lors pourquoi ne s'exercerait-il pas sur les animaux dont nous parlons ? Chez le mouton, le porc, il n'a été fait aucu
ntrer toute l'importance de l'hypnotisme en psychothérapie et de vous parler très sommairement de quelques procédés thérapeuti
vec lui plus ou moins affirmatif ; un troisième aura besoin qu'on lui parle sur le ton du commandement. Avec celui-ci, il fau
ultats dans le traitement des désordres ataxiques du tabès... je veux parler de la réduction des muscles. * Charcot, vous le
toux violente qui le fit beaucoup souffrir. Il continuait néanmoins à parler . Le 17 juillet, à 4 heures du soir, comme il s'en
que la chaleur naturelle lui manquait. Le 21, il avait grande peine à parler , et, après avoir été un quart d'heure sans connai
traction musculaire souvent répétée devient douloureuse mécaniquement parles secousses et les tiraillements qu'elle occasionne
tristes qui exposent les difficultés de la route, qui les exagèrent, parlent du peu de chance d'atteindre le but, maugréent co
secrétaire général). La Société universelle des sciences psychiques ( parle D' Paul Joire, président). La Société de médecine
nterprétation des mêmes phénomènes. Liébeault a également expliqué, parles états hypnotiques, les tables tournantes,- la bag
ur la valeur thérapeutique de l'hypnotisme (>) : « On a beaucoup parlé , dans ces derniers temps, de la suggestion à l'ét
parce qu'il obtient de meilleurs résultats par l'action psychique que parles remèdes internes! Nous estimons, au contraire, qu
lon, aux délégués étrangers et aux délégués de la ville de Nancy, parle DrLloyd-Tuckey, aux organisateurs de la réunion,
uggestion correspondants. Et ceci m'amène tout naturellement à vous parler de l'influence du geste sur la production de l'id
modifier simplement les accidents locaux de la névrose. M. Grasset parle d'hypnotisme en savant qui théoriquement connaît
nts. Ils sont guéris et cela leur suffît. Et ceci me conduit à vous parler en terminant, de la suggestion impérative. C'es
des quelques procédés psychothérapiques dont je vous ai sommairement parlé , m'a toujours donné les meilleurs résultats dans
ternée à différentes reprises, s'approcha du prédicateur et demanda à parler au pasteur Roeschmann. Elle se plaignit à lui d'ê
entendent des cris épouvantables. Ils entrent et entendent le diable parler correctement l'anglais ainsi qu'une langue orient
e de sommeil profond, si on fait du bruit à côté du malade, si on lui parle fort, si on le remue, il se réveille exactement c
rdu ; il a des crises de désespoir et, bientôt, des envies d'en finir parle suicide. Quelques jours avant le concours, je l
is paralysé au point de ne pouvoir même s'enfuir. Il n'aurait pas osé parler devant quelques personnes, ni traverser une rue q
te entre toutes.............. Ce jeune homme ne vient certes pas de parler comme un orateur; maïs il a pu cependant coordonn
Il est malsain de a dormir les yeux ouverts, ou la bouche ouverte... Parler et ronfler de nuit est une très grande incivilité
cesse qu'il ne joue, le kleptomane qu'il ne vole, l'amoureux qu'il ne parle de l'objet aimé, l'ivrogne qu'il ne boive. Seulem
secours M. Bérillon. Il les aurait fort bien guéris tous deux. Je ne parle pas de la gale, M. Bérillon ne prétendant nulleme
ation soit quelque peu accentuée, dans l'incapacité de se mouvoir, de parler et même de penser. On peut donc comparer cet ét
ur ce sujet possèdent rarement une expérience réelle. » C'est de ce parler superficiel qu'est sorti une sorte d'axiome offic
is sur la suggestion hypnotique. Mais avant d'y arriver, il nous faut parler encore un peu de sa philosophie, car elle joue un
a rouvert une enquête bien inutile, car toutes les questions dont il parle ont été résolues par Bernheim, Liégeois, Beaunis,
par des voies détournées, ni imposer sa volonté ! Avions-nous tort de parler de sophismes ? M. Dubois tonne contre la sugges
sse à la foi aveugle, Vautre au raisonnement logique affiné. » Pour parler ainsi, il faudrait être sûr de ne guérir que par
chèvre en train de dévorer à belles dents les légumes mis en réserve. Parle même procédé que celui relaté ci-dessus, la chèvr
moins, au cours des réceptions de nouvel an dans sa famille, elle dut parler beaucoup, chanter, fatiguer son larynx, notamment
menteuse. J'endors cette jeune fille devant vous ; je vais la faire parler . Vous l'entendez, jusqu'au fond de cette salle, a
re imitation d'acte et de la qualifier ainsi toutes les fois qu'on en parle . distinguer à l'occasion ces diverses variété
rtificiellement cet état d'âme que la croyance ou la préparation dont parle IL Dubois provoque naturellement; il n'y a donc p
gestions) tout médecin peut observer que les malades qu'il guérit (je parle de malades atteints de troubles fonctionnels) son
le diminue avec le traitement par la conviction. il. Dubois omet de parler de ce qui est le plus important. Xous verrons plu
us sommes d'accord. Cela ne peut être le cas car if. Dubois oublie de parler de l'hypnose en elle-même ; cette omission n'est
façon générale, tous les cas de vomissements de la grossesse. Il n'en parle pas dans son livre. Xous ne nions pas que tous le
e et les nausées disparaissent au bout de quelques jours. M. Dubois parle beaucoup des psychonévroses menstruelles, mais pa
aissance : quand elle se réveilla une heure après, elle ne pouvait ni parler , ni émettre le moindre son. On m'appelle auprès
x minutes elle se ré- veillera et sera complètement guérie ; elle parlera sans la moindre difficulté. Une fois qu'elle es
a fréquentent m'ont affirmé qu'elle se porte toujours bien et qu'elle parle depuis lors aussi bien qu'avant sa dernière crise
37 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
s adultes sérieux qui comprennent la valeur de ce qu'ils disent et ne parlent pas légèrement. Je le répète : c'est une vérita
lui commandai de prendre un peu de bouillon, et sur le désir exprimé parla malade, encore endormie, on y ajouta un jaune d'œ
e rester absolument immobiles au réveil de la malade et de la laisser parler , agir, demander, etc.. sans manifester aucun éton
s plusieurs semaines, et lui racontai les progrès de l'aîné. » Je lui parlai de ses proches auxquels il attribuait bien à tort
t parus et de quelques faits musicaux, et pendant près de deux heures parla avec hésitation, fort lentement, mais le plus sen
ventuels et mobiles dont j'ai maintenant à vous entretenir... Je veux parler du sommeil hypnotique. Le sommeil s'obtient che
ouve ensuite à Bonneval. il a eu une paralysie de la jambe gauche; il parle de M. Camuset (2e état de Bonneval). Sa paralys
plète. Il. est à Ro-chefort, prononce des gros mots, traîne la jambe, parle de M. Berjon, l'insulte, etc. Enfin, son hémipl
radicalement par cette méthode en peu de jours. Le malade dont j'ai parlé à Grenoble était un homme âgé de trente-cinq ans
lle aimait, critique, prend du mauvais côté ce qu'elle prisait ; elle parle en athée de la religion et de Dieu, tandis qu'ell
e éducation, conditions qui ont créé en nous cet état anatomique dont parle le Dr Bordier, cette mémoire matérielle des cellu
veux qui en sont le siège, ce sont les régions émotisées dont je vous parlais tout à l'heure qui en sont devenues le siège d'él
ttitudes expressives qu'on leur imprime, combien ils traduisent, sans parler ni entendre, automatiquement par leurs gestes, le
oit la personne qu'il ne voyait pas tout d'abord, et l'entend si elle parle . 11 peut engager avec elle une conversation, comm
itablement péril en la demeure, et si l'esprit de nos jeunes gens, je parle de la masse, et non pas des cas exceptionnels, do
(c'est-à-dire de conserver la mémoire de ce qu'il a dit ou fait), il parle , il répond, et par ses réactions coordonnées il d
d'un cran, et il passe à la période de somnambulisme lucide. Alors il parle , devient loquace, et sa parole suit l'envahisseme
nisme humain. Tant que le sujet est en scène, tant qu'il faut qu'il parle , qu'il récite un rôle, qu'il chante, il continue
ral. Vous le voyez alors, s'il marche, s'arrêter sur place ; — s'il parle , devenir silencieux ; — s'il exprime une phrase m
d'hui, quand on entre dans un asile d'aliénés, on n'entend plus guère parler de Satan et de sa troupe ; en revanche, on trembl
atique concurremment avec la gymnastique et la massotherapie, je veux parler de l'hydrothérapie. SOCIÉTÉS SAVANTES Deuxi
'il s'agit d'atteindre un but à l'aide d'une pierre, l'enfant dont je parle , bien que pouvant lancer un projectile alternativ
nce, et nous ne voyons souvent que les défaillants. Esquirol, qui a parlé le premier de la monomanie d'ivresse, disait déjà
qui la frappent; elle aboie quand elle entend aboyer ou même quand on parle d'un chien. Elle n'a pas besoin d'entendre les br
par une nourrice jusqu'à onze mois. Elle a marché à quatorze mois, a parlé vers l'âge de deux ans. La dentition a commencé à
ous ses souvenirs, il arrive que la mémoire s'ouvre et que le patient parle parce qu'il se rappelle. Voici une expérience,
tout ce qu'il dit est bien la vérité. 11 sait qu'on lui a défendu de parler , mais il parle parce qu'il se rappelle. Des exp
it est bien la vérité. 11 sait qu'on lui a défendu de parler, mais il parle parce qu'il se rappelle. Des expériences identi
ée qui persiste trois jours dans le second; M. Focachon n'avait pas parlé pendant l'expérience, le sujet Ignorait le conten
e spectacle très saisissant : Pendant que l'enfant, éveillé marche ou parle avec quelqu'un, si le bruit annoncé vient frapper
fasse pendant son sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de mères parlent k leur enfant endormi. Elles savent que l'enfant
état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un sujet en train de parler qu'il est devenu muet. Au moment même, le sujet s
ier la fréquence du pouls de douze pulsations. Chez le malade dont je parle , un médecin russe a obtenu la même modification.
ui demandai s'il me voyait ; il fit signe que non. Je lui ordonnai de parler , de dire bonsoir. Il essaya, mais ne put articule
n mot. « Voulez-vous répondre ? s — Our, par signe. « Refusez-vous de parler ? » — Non, par signe. Les paupières étaient fermé
lui ordonne de dire bonsoir à la gouvernante. Il essaye, mais ne peut parler . Enfin, il se déshabille seul, se met au lit et j
abille seul, se met au lit et je le quitte en lui suggérant de ne pas parler et de ne pas se lever. Ainsi fut fait. Le lendema
coup. Mêmes succès que la veille. J'oublie de lui suggérer de ne pas parler à 10 heures du soir, il parle en rêvant, mais il
le. J'oublie de lui suggérer de ne pas parler à 10 heures du soir, il parle en rêvant, mais il ne se lève pas. » J'ai hypno
é comme guéri. Il ne se lève plus. Cependant je l'entends quelquefois parler . • Cette observation me parait intéressante au
d'elle depuis quelque temps, n'a pas cessé de fonctionner. « Je ne parle pas, a-t-il dit, d'autopsies medicóles proprement
decin sur la nature de la maladie à laquelle a succombé le malade. Je parle d'autopsies faites dans un but purement scientifi
as même autopsie; c'est contre cet oubli qu'il faudrait réagir. Je ne parle pas des hôpitaux, où les autopsies sont toujours
et sont, en fin de compte, autopsiés pour cette maladie spéciale. Je parle des autopsies à domicile, sur des personnes dont
ans ces derniers temps par MM. Bourru et Burot, de Rochefort; je veux parler de l'action médicamenteuse à distance. Certains s
rtefeuille, comme elle nie avoir écrit la lettre. Mais les apparences parlent plus haut que ses dénégations. Aucun doute ne sub
lune de miel qui dut être bien courte, puisque l'auteur dédaigne d'en parler , Louis Chassin se met en devoir de dissiper les m
un sujet d'une sensibilité exquise aux pra-tiques de l'hypnotisme. 11 parle au baron Robert, qu'il connaît de réputation, des
raité que Jean Mornas, de J. Claretie, dont nous avons eu occasion de parler ici. Dans ce dernier ouvrage, l'intrigue est tout
de ces taits, j'en possède d'autres non moins démonstratifs; je veux parler d'enfants de lycées atteints de pelade et mainten
ux, surprenants, incompréhensibles accomplis par les malades. Faire parler d'elles, tel étant leur but principal, elles y ré
sme. Par la suite, les faits vinrent en démontrer l'exagération. Sans parler de Galien, qui déjà avait timidement mis en doute
ifier le fait du sommeil à distance ; j'aurai peut-être l'occasion de parler quelque jour de diverses particularités, mais act
chez M . X... Je trouve Mme B... éveillée ; je lui dis que je voulais parler a M. X... M. X..., en effet, était là. Il fut sur
ont fait du bruit et m'ont réveillée. C... (la cuisinière) alors m'a parle et je ne sais pas ce que je lui ai répondu. » C
plus d'elle. Dans la journée, de 1 h. 15 à 1 h. 40, j'ai occasion de parler d'elle à un de mes amis et je lui montre comment
est-à-dire C. et Mme B...), mais encore de ne pas les voir ni de leur parler , même pour leur dire des choses insignifiantes, d
valeur. Elle m'a donné cette impression personnelle subjective, dont parle quelque part M. Ochorowicx, et qui entraîne la co
a vue à 6 h. 52, Mme B... était déjà en état de somnambulisme. Elle n parlé une fois à C..., mais C... ne se doutait de rien,
mnambulisme. A 2 h. 20, je sors du cabinet où j'étais caché, je lui parle et je la trouve en état de somnambulisme. Elle me
M. Dumontpallier et moi. des faits de cet ordre, et j'en ai moi-même parlé , sommairement d'ailleurs, dans un travail présent
ouchement s'est bien effectue et à terme. Antécédents personnels. — Parle à un an, marche à 15 mois. Première dent à 10 moi
et non le langage des anciens, le latin, par exemple. On a coutume de parler d'« inversions latines ». On a peut-être raison e
d les accès sont imminents, elle a des battements de cœur ; elle veut parler , mais ne peut pas dire un mot. et c'est alors que
connaître les personnes de sa connaissance dans l'état prime. Elle me parle du Dr Ladame comme si elle s'adressait à quelqu'u
. Elle dort actuellement pendant toute la nuit, ne se lève plus, mais parle encore souvent en dormant. Je l'hypnotise et lui
ais parle encore souvent en dormant. Je l'hypnotise et lui défends de parler pendant le sommeil. Je lui affirme qu'elle n'aura
llé complètement aphasique et paralysé d'un côté du corps. On n'a pas parlé de l'apoplectique de Londres, mais du dormeur de
ssez peut-être pour en avoir entendu parler. On a, en effet, beaucoup parle de dormeuses dans ces derniers temps. Mais je sui
hases quelconques de l'hystérie. Et d'ailleurs — je peux bien vous en parler , puisqu'elle ne m'entendra pas, — quelques-unes d
ombres et bizarres. Ils cherchent constamment la solitude; autant ils parlent et gesticulent lorsqu'ils sont seuls, autant ils
s, théâtre, rien n'y manque. Cette vie, dont elle a entendu vaguement parler , l'attire par son inconnu, et elle s'y lance; les
pation de son enfant (dont magnétiseur lui a peut-étre maladroitement parlé ) a provoqué, apres la séance, des hallucinations,
nous verrons le malade s'agiter, sa face devient vul-tueuse, il vous parle des choses les plus extraordinaires ; bref, il a
e majorité des personnes se réveillent au moment où nous commençons à parler , mais si on a la chance de tomber sur un de ces i
urrait obtenir la même chose dans le sommeil vulgaire si l'on pouvait parler au sujet sans le réveiller, et le faire répondre,
la possibilité de l'action des médicaments a distance: Je vais vous parler aujourd'hui d'un malade intéressant sous plus d'u
extérieur, aux précédents, fut joint aux seize tubes dont je viens de parler . Il me reste maintenant à dire comment la commi
ére et que l'on constate que les phénomènes dont l'honorable membre a parlé hier sont décrits dans les ouvrages de certains m
nt le sermon, pour avoir battu leurs femmes et surtout pour avoir mai parlé du gouvernement de nos magnifiques seigneurs, ou
faire sa toilette. Elle tient les yeux presque absolument clos et ne parle à personne pendant ses allées et venues, puis ell
fort Il y a six mois, au Congrès de Toulouse, j'ai eu l'occasion de parler (i) d'un cas absolument typique d'une maladie sin
s grande austérité et par des exercices de dévotion excessifs dont je parlerai plus loin ; ils n'avaient pas encore le privilège
arîqa de Sidi Mahmed ben Aïssa; elle est fort compliquée, et, pour ne parler que de leur dikr qui est une sorte d'oraison ou l
eils possédés. Ainsi on ne les verra pas fumer, ni boire, ni rire, ni parler pendant leur séance : le Cheikh leur adresserait
m de maladie des tics convulsifs. L'année dernière, au moment où j'ai parlé de la jeune malade qui en était atteinte, son éta
cuments linguistiques qu'ils n'avaient pas. Comme j'ai promis de ne parler aujourd'hui que de ce qui est fait, je n'insister
ventaire bien long pour une période bien courte ; et pourtant je n'ai parlé ni des publications sur la psychologie de l'enfan
ur les sociétés animales. Avant de quitter la France, il me reste à parler du procédé à peu près unique d'expérimentation qu
e dialectique fléchit devant l'observation rigoureuse des faits. Sans parler des recherches de Forget, frappé de la proportion
teurs. Si M. le professeur Ball a entrepris, dans ses cliniques, de parler de la folie érotique, ce n'est point assurément p
ets à ordre, un cautionnement, etc. De même encore, un jour qu'elle parlait des honoraires plus que modestes qu'elle avait re
du but qu'on se propose: c'est un procédé anti-éducatif, si l'on peut parler ainsi. Peut-être parviendra-t-on à lui faire remp
mains. Nous le tenons captif sous l'action de notre regard, nous lui parlons avec une gravité qui n'est pas exempte d'abandon,
résister à notre action. Quand nous l'avons ainsi subjugué, nous lui parlons de sa faute, nous lui en faisons comprendre les i
tre ses mauvais instincts. Nous insistons, nous martelons, pour ainsi parler , dans son esprit les résolutions que nous lui dic
t. Son développement s'est fait normalement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire. A l'
s, puisqu'on propose de les interdire. J'ai lu le rapport, mais on ne parle que d'accidents survenus à la suite de pratiques
l'usage. Et c'est, comme pour les femmes affectées de gastralgie dont parle Magnus Huss, sur les voies digestives et sur la n
au soir, on s'ingénie à le tromper! Avec quelle précipitation ne lui parle-t -on pas du Paradis et de ses voluptés ineffables ?
38 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
s adultes sérieux qui comprennent la valeur de ce qu'ils disent et ne parlent pas légèrement. Je le répète : c'est une vérita
lui commandai de prendre un peu de bouillon, et sur le désir exprimé parla malade, encore endormie, on y ajouta un jaune d'œ
e rester absolument immobiles au réveil de la malade et de la laisser parler , agir, demander, etc.. sans manifester aucun éton
s plusieurs semaines, et lui racontai les progrès de l'aîné. » Je lui parlai de ses proches auxquels il attribuait bien à tort
t parus et de quelques faits musicaux, et pendant près de deux heures parla avec hésitation, fort lentement, mais le plus sen
ventuels et mobiles dont j'ai maintenant à vous entretenir... Je veux parler du sommeil hypnotique. Le sommeil s'obtient che
ouve ensuite à Bonneval. il a eu une paralysie de la jambe gauche; il parle de M. Camuset (2e état de Bonneval). Sa paralys
plète. Il. est à Ro-chefort, prononce des gros mots, traîne la jambe, parle de M. Berjon, l'insulte, etc. Enfin, son hémipl
radicalement par cette méthode en peu de jours. Le malade dont j'ai parlé à Grenoble était un homme âgé de trente-cinq ans
lle aimait, critique, prend du mauvais côté ce qu'elle prisait ; elle parle en athée de la religion et de Dieu, tandis qu'ell
e éducation, conditions qui ont créé en nous cet état anatomique dont parle le Dr Bordier, cette mémoire matérielle des cellu
veux qui en sont le siège, ce sont les régions émotisées dont je vous parlais tout à l'heure qui en sont devenues le siège d'él
ttitudes expressives qu'on leur imprime, combien ils traduisent, sans parler ni entendre, automatiquement par leurs gestes, le
oit la personne qu'il ne voyait pas tout d'abord, et l'entend si elle parle . 11 peut engager avec elle une conversation, comm
itablement péril en la demeure, et si l'esprit de nos jeunes gens, je parle de la masse, et non pas des cas exceptionnels, do
(c'est-à-dire de conserver la mémoire de ce qu'il a dit ou fait), il parle , il répond, et par ses réactions coordonnées il d
d'un cran, et il passe à la période de somnambulisme lucide. Alors il parle , devient loquace, et sa parole suit l'envahisseme
nisme humain. Tant que le sujet est en scène, tant qu'il faut qu'il parle , qu'il récite un rôle, qu'il chante, il continue
ral. Vous le voyez alors, s'il marche, s'arrêter sur place ; — s'il parle , devenir silencieux ; — s'il exprime une phrase m
d'hui, quand on entre dans un asile d'aliénés, on n'entend plus guère parler de Satan et de sa troupe ; en revanche, on trembl
atique concurremment avec la gymnastique et la massotherapie, je veux parler de l'hydrothérapie. SOCIÉTÉS SAVANTES Deuxi
'il s'agit d'atteindre un but à l'aide d'une pierre, l'enfant dont je parle , bien que pouvant lancer un projectile alternativ
nce, et nous ne voyons souvent que les défaillants. Esquirol, qui a parlé le premier de la monomanie d'ivresse, disait déjà
qui la frappent; elle aboie quand elle entend aboyer ou même quand on parle d'un chien. Elle n'a pas besoin d'entendre les br
par une nourrice jusqu'à onze mois. Elle a marché à quatorze mois, a parlé vers l'âge de deux ans. La dentition a commencé à
ous ses souvenirs, il arrive que la mémoire s'ouvre et que le patient parle parce qu'il se rappelle. Voici une expérience,
tout ce qu'il dit est bien la vérité. 11 sait qu'on lui a défendu de parler , mais il parle parce qu'il se rappelle. Des exp
it est bien la vérité. 11 sait qu'on lui a défendu de parler, mais il parle parce qu'il se rappelle. Des expériences identi
ée qui persiste trois jours dans le second; M. Focachon n'avait pas parlé pendant l'expérience, le sujet Ignorait le conten
e spectacle très saisissant : Pendant que l'enfant, éveillé marche ou parle avec quelqu'un, si le bruit annoncé vient frapper
fasse pendant son sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de mères parlent k leur enfant endormi. Elles savent que l'enfant
état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un sujet en train de parler qu'il est devenu muet. Au moment même, le sujet s
ier la fréquence du pouls de douze pulsations. Chez le malade dont je parle , un médecin russe a obtenu la même modification.
ui demandai s'il me voyait ; il fit signe que non. Je lui ordonnai de parler , de dire bonsoir. Il essaya, mais ne put articule
n mot. « Voulez-vous répondre ? s — Our, par signe. « Refusez-vous de parler ? » — Non, par signe. Les paupières étaient fermé
lui ordonne de dire bonsoir à la gouvernante. Il essaye, mais ne peut parler . Enfin, il se déshabille seul, se met au lit et j
abille seul, se met au lit et je le quitte en lui suggérant de ne pas parler et de ne pas se lever. Ainsi fut fait. Le lendema
coup. Mêmes succès que la veille. J'oublie de lui suggérer de ne pas parler à 10 heures du soir, il parle en rêvant, mais il
le. J'oublie de lui suggérer de ne pas parler à 10 heures du soir, il parle en rêvant, mais il ne se lève pas. » J'ai hypno
é comme guéri. Il ne se lève plus. Cependant je l'entends quelquefois parler . • Cette observation me parait intéressante au
d'elle depuis quelque temps, n'a pas cessé de fonctionner. « Je ne parle pas, a-t-il dit, d'autopsies medicóles proprement
decin sur la nature de la maladie à laquelle a succombé le malade. Je parle d'autopsies faites dans un but purement scientifi
as même autopsie; c'est contre cet oubli qu'il faudrait réagir. Je ne parle pas des hôpitaux, où les autopsies sont toujours
et sont, en fin de compte, autopsiés pour cette maladie spéciale. Je parle des autopsies à domicile, sur des personnes dont
ans ces derniers temps par MM. Bourru et Burot, de Rochefort; je veux parler de l'action médicamenteuse à distance. Certains s
rtefeuille, comme elle nie avoir écrit la lettre. Mais les apparences parlent plus haut que ses dénégations. Aucun doute ne sub
lune de miel qui dut être bien courte, puisque l'auteur dédaigne d'en parler , Louis Chassin se met en devoir de dissiper les m
un sujet d'une sensibilité exquise aux pra-tiques de l'hypnotisme. 11 parle au baron Robert, qu'il connaît de réputation, des
raité que Jean Mornas, de J. Claretie, dont nous avons eu occasion de parler ici. Dans ce dernier ouvrage, l'intrigue est tout
de ces taits, j'en possède d'autres non moins démonstratifs; je veux parler d'enfants de lycées atteints de pelade et mainten
ux, surprenants, incompréhensibles accomplis par les malades. Faire parler d'elles, tel étant leur but principal, elles y ré
sme. Par la suite, les faits vinrent en démontrer l'exagération. Sans parler de Galien, qui déjà avait timidement mis en doute
ifier le fait du sommeil à distance ; j'aurai peut-être l'occasion de parler quelque jour de diverses particularités, mais act
chez M . X... Je trouve Mme B... éveillée ; je lui dis que je voulais parler a M. X... M. X..., en effet, était là. Il fut sur
ont fait du bruit et m'ont réveillée. C... (la cuisinière) alors m'a parle et je ne sais pas ce que je lui ai répondu. » C
plus d'elle. Dans la journée, de 1 h. 15 à 1 h. 40, j'ai occasion de parler d'elle à un de mes amis et je lui montre comment
est-à-dire C. et Mme B...), mais encore de ne pas les voir ni de leur parler , même pour leur dire des choses insignifiantes, d
valeur. Elle m'a donné cette impression personnelle subjective, dont parle quelque part M. Ochorowicx, et qui entraîne la co
a vue à 6 h. 52, Mme B... était déjà en état de somnambulisme. Elle n parlé une fois à C..., mais C... ne se doutait de rien,
mnambulisme. A 2 h. 20, je sors du cabinet où j'étais caché, je lui parle et je la trouve en état de somnambulisme. Elle me
M. Dumontpallier et moi. des faits de cet ordre, et j'en ai moi-même parlé , sommairement d'ailleurs, dans un travail présent
ouchement s'est bien effectue et à terme. Antécédents personnels. — Parle à un an, marche à 15 mois. Première dent à 10 moi
et non le langage des anciens, le latin, par exemple. On a coutume de parler d'« inversions latines ». On a peut-être raison e
d les accès sont imminents, elle a des battements de cœur ; elle veut parler , mais ne peut pas dire un mot. et c'est alors que
connaître les personnes de sa connaissance dans l'état prime. Elle me parle du Dr Ladame comme si elle s'adressait à quelqu'u
. Elle dort actuellement pendant toute la nuit, ne se lève plus, mais parle encore souvent en dormant. Je l'hypnotise et lui
ais parle encore souvent en dormant. Je l'hypnotise et lui défends de parler pendant le sommeil. Je lui affirme qu'elle n'aura
llé complètement aphasique et paralysé d'un côté du corps. On n'a pas parlé de l'apoplectique de Londres, mais du dormeur de
ssez peut-être pour en avoir entendu parler. On a, en effet, beaucoup parle de dormeuses dans ces derniers temps. Mais je sui
hases quelconques de l'hystérie. Et d'ailleurs — je peux bien vous en parler , puisqu'elle ne m'entendra pas, — quelques-unes d
ombres et bizarres. Ils cherchent constamment la solitude; autant ils parlent et gesticulent lorsqu'ils sont seuls, autant ils
s, théâtre, rien n'y manque. Cette vie, dont elle a entendu vaguement parler , l'attire par son inconnu, et elle s'y lance; les
pation de son enfant (dont magnétiseur lui a peut-étre maladroitement parlé ) a provoqué, apres la séance, des hallucinations,
nous verrons le malade s'agiter, sa face devient vul-tueuse, il vous parle des choses les plus extraordinaires ; bref, il a
e majorité des personnes se réveillent au moment où nous commençons à parler , mais si on a la chance de tomber sur un de ces i
urrait obtenir la même chose dans le sommeil vulgaire si l'on pouvait parler au sujet sans le réveiller, et le faire répondre,
la possibilité de l'action des médicaments a distance: Je vais vous parler aujourd'hui d'un malade intéressant sous plus d'u
extérieur, aux précédents, fut joint aux seize tubes dont je viens de parler . Il me reste maintenant à dire comment la commi
ére et que l'on constate que les phénomènes dont l'honorable membre a parlé hier sont décrits dans les ouvrages de certains m
nt le sermon, pour avoir battu leurs femmes et surtout pour avoir mai parlé du gouvernement de nos magnifiques seigneurs, ou
faire sa toilette. Elle tient les yeux presque absolument clos et ne parle à personne pendant ses allées et venues, puis ell
fort Il y a six mois, au Congrès de Toulouse, j'ai eu l'occasion de parler (i) d'un cas absolument typique d'une maladie sin
s grande austérité et par des exercices de dévotion excessifs dont je parlerai plus loin ; ils n'avaient pas encore le privilège
arîqa de Sidi Mahmed ben Aïssa; elle est fort compliquée, et, pour ne parler que de leur dikr qui est une sorte d'oraison ou l
eils possédés. Ainsi on ne les verra pas fumer, ni boire, ni rire, ni parler pendant leur séance : le Cheikh leur adresserait
m de maladie des tics convulsifs. L'année dernière, au moment où j'ai parlé de la jeune malade qui en était atteinte, son éta
cuments linguistiques qu'ils n'avaient pas. Comme j'ai promis de ne parler aujourd'hui que de ce qui est fait, je n'insister
ventaire bien long pour une période bien courte ; et pourtant je n'ai parlé ni des publications sur la psychologie de l'enfan
ur les sociétés animales. Avant de quitter la France, il me reste à parler du procédé à peu près unique d'expérimentation qu
e dialectique fléchit devant l'observation rigoureuse des faits. Sans parler des recherches de Forget, frappé de la proportion
teurs. Si M. le professeur Ball a entrepris, dans ses cliniques, de parler de la folie érotique, ce n'est point assurément p
ets à ordre, un cautionnement, etc. De même encore, un jour qu'elle parlait des honoraires plus que modestes qu'elle avait re
du but qu'on se propose: c'est un procédé anti-éducatif, si l'on peut parler ainsi. Peut-être parviendra-t-on à lui faire remp
mains. Nous le tenons captif sous l'action de notre regard, nous lui parlons avec une gravité qui n'est pas exempte d'abandon,
résister à notre action. Quand nous l'avons ainsi subjugué, nous lui parlons de sa faute, nous lui en faisons comprendre les i
tre ses mauvais instincts. Nous insistons, nous martelons, pour ainsi parler , dans son esprit les résolutions que nous lui dic
t. Son développement s'est fait normalement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il savait lire et écrire. A l'
s, puisqu'on propose de les interdire. J'ai lu le rapport, mais on ne parle que d'accidents survenus à la suite de pratiques
l'usage. Et c'est, comme pour les femmes affectées de gastralgie dont parle Magnus Huss, sur les voies digestives et sur la n
au soir, on s'ingénie à le tromper! Avec quelle précipitation ne lui parle-t -on pas du Paradis et de ses voluptés ineffables ?
39 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
illes dilatées ; petites plaintes ; mouvements des lèvres ; la malade parle bas, sans qu'on l'entende d'abord ; puis, elle ap
tée à la période tonique ; l'inhalation étant continuée, W... délire, parle de son amie Cri... : « Je connais bien ton histoi
passé toute la journée assise par terre dans la cour; elle refuse de parler et de manger. — A minuit, attaques qui ont contin
ements eloniques, puis cri modulé, repos. Période de délire. — Elle parle d'un Emile, qu'elle voit dans le laboratoire, aup
veil, sans attaques, retour du délire. Elle prend diverses attitudes, parle bas et pousse, à intervalles plus ou moins longs,
petites secousses. Respiration forte, rapide. W... regarde en l'air, parle bas. Réveillée par la compression ovarienne, elle
eoit sur son lit. Le regard exprime l'épouvante, puis la menace. Elle parle bas. Durant cette série, nous avons pratiqué pl
d'éther ait été poursuivie durant vingt-cinq minutes, la malade a peu parlé ; son délire est discret. Le plus souvent, on est
ontracture des muscles de la langue et du larynx : elle ne peut pas parler du tout. On essaie vainement, après l'avoir endor
us devons signaler les suivants : modification du caractère, refus de parler ou de manger, énervement, envies de casser, de dé
lles a dû escalader la porte pour ouvrir la porte. W... s'endort sans parler davantage. Relevons en passant que, dans le som
rendormir, « parce que ça lui revient toujours à l'esprit. » Elle ne parle pas tout haut. — Dans les rêves agréables, elle s
ières droites, la parole est supprimée ; on referme l'œil droit, elle parle , compte 1, 2, 3, 4, 5, 6 ; à ce moment, on écarte
ents cauchemars : des hommes lui faisaient peur, la menaçaient ; elle parlait tout haut. Depuis qu'elle est malade, le sommei
eux jambes, principalement la gauche ; elle s'imagine aussi qu'on lui parle . Aussitôt qu'elle s'endort, elle a des rêves, les
s ai pas dites... Il y ades choses quejevous ai cachées.» Invitée à parler , elle raconte que pendant la Commune elle était c
née à terme, a été allaitée par sa mère jusqu'à 14 mois, a marché et parlé à 15 ou 16 mois. Durant son enfance elle a eu :1a
a rigidité générale augmente, sans qu'il y ait de mou- 1 Nous avons parlé maintes fois de Vamaurose hystérique, entre autre
de l'hyperexcitabilité musculaire, etc. On ne parvient pas à la faire parler . — Les tentatives faites pour écarter les paupièr
des cauchemars, tombe dans des précipices, veut se retenir, se débat, parle tout haut et se réveille brusquement. Les inciden
s précipices, enlevées par les vagues, etc., etc. Elles sont agitées, parlent tout haut, prononcent des paroles entrecoupées, s
sa figure ; elle croit que des hommes se cachent sous son lit ; elle parle tout haut. Maintenant tous ses rêves sont pénible
re que des attaques de sommeil. Plusieurs des malades dont nous avons parlé , Math... et V... nous ont assuré avoir eu des acc
échapper à cette vision ; mais elle le voyait quand même. Plus on lui parlait du diable, plus elle le voyait et ses attaques de
ions diaboliques. Gomme elle fréquentait moins l'église, qu'on ne lui parlait plus du diable, elle se tranquillisa peu à peu et
Les personnes chez lesquelles la malade a été placée, il y a 9 mois, parles sœurs de l'ouvroir où elle était auparavant, nous
er au sommeil. A 5 heures de l'après-midi, il lui était impossible de parler , bien qu'elle n'eût pas de contracture. Une de se
n lit et est allée dans la cour où elle se promène seule, refusant de parler à qui que ce soit. A 10 heures, nous la faisons
fois, elle frotte ses paupières. Elle semble ne pas avoir la force de parler . Sous l'influence de l'électrisation, elle parle
s avoir la force de parler. Sous l'influence de l'électrisation, elle parle ; mais, bientôt, elle est envahie par le sommeil.
ite, dort pendant toute la journée du 23, est réveillée le 24 à midi, parla compression, et est agitée durant quelques heures
ier, elle a eu une sorte d'accès de rire inextinguible ; elle n'a pas parlé . Les phénomènes sont les mêmes. — Tandis qu'on la
une boule qui remonte. » Dans le jour, elle est quelquefois agitée, parle seule, chante, fait la demande et la réponse, rit
s qu'elles tiennent à la main ; par instant, elles sont incapables de parler , quoi qu'elles fassent; elles ont une tendance t
de courbature, de douleurs de tête, ont la vue troublée, refusent de parler . Des crises avortées, des rires inextinguibles, d
trefois, parce que, à la veillée, à l'église, on entendait sans cesse parler du diable, des sorciers, etc.; elles sont devenue
intéressé. —Bientôt les individus soumis à l'hypnotisme se prirent à parler médecine et à prescrire des médicaments : les pre
clairement ce que l'on veut faire comprendre, et dans le cas dont je parle , je voudrais bien être sûr que cet impondérable e
ni de vous dire tout ce que vous m'avez demandé et même plus; je vous parlerais plus ouvertement si j'osais; mais je crains que c
exemple. Le soir même un interne, venant dans le service, est venu me parler , il m'a pris par la main en me disant « Bonjour »
uestionne : « Qu'est-ce que tu vois? » — Pas de réponse. Bientôt elle parle : « 11 vient m'embrasser... Nous coucherons ensem
s ces messieurs ». Elle chante pendant quelques secondes. Puis elle parle : « C'est bon l'éther,.. mon amour, embrasse-moi!
le est triste, craint d'avoir été inconvenante. Bientôt elle cesse de parler . En une ou deux minutes, elle est dans la résolut
Elle est incertaine, ne sait rien de ce qui s'est passé ; R... lui a parlé , elle n'en a pas souvenance. Elle se plaint de fa
. Puis, elle a été en garde jusqu'à 8 ans. Elle a marché à 18 mois, a parlé de bonne heure, mais n'a été propre qu'à 3 ans. A
i elles dilbient leurs heures en latin, menus suffrages, ou qu'ô leur parlait de iouer, ou de follaltrer, elles ne fentoient pl
oc. cit., p. 161). Planche XXIX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE —Souvent, elle parle de se marier; elle voudrait faire un riche mariag
le à celle d'une pièce d'un franc. Il n'y a pas de douleur spontanée. Parla pression, on détermine une douleur vive qui s'irr
mps en temps des secousses dans les épaules, les bras, la tête, aussi parle-t -elle d'une façon entrecoupée. Après les attaque
se sauve delà Salpêtrière, avec une autre malade, Rob..., en passant parle bâtiment que l'on est en train de construire pour
en esprit au Sabbat, par ce premièrement que l'ectafe dont nous auons parlé luy aduint au Ieudy, qui eft la nuiclt ordinaire
dant la parole tant qu'elles font ainfi. Et les belles au contraire y parlent , semblent auoir plus de raifon que les personnes
r fait rafraifchir Je ferment folemnel, qu'ils ont fait de rie iamais parler de Dieu, de la vierge Marie, ny des saincts sainc
40 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ÉRIE CHEZ L'HOMME. 19 observait en général chez les femmes. Si j'en parle , c'est que ces deux observations renferment au
, le Dr l\Iohamed-ben-Larbey (d'Alger). Nous entendons sans cesse parler des aventures mys- térieuses d'Orient, des épre
moindre des causes, criant pour un objet qui nous ferait à peine parler plus haut. La douleur serait la seule impres- s
t complète puisque ledanseur s'in- terrompt, choisit des exercices, parle même aux spec- DE l'hystérie CHEZ l'homme. 33
s les Histoires de Salmuth, etc. De ce genre est « l'épilepsie dont parle Bootius {Traité des affections omises, ch. vi)
s attaques de convulsions. Le cadavre ne fut point ouvert. Serres parle , à propos des maladies de la protubé- rance, de
iformes qui les accompagnaient, la rémission même observée, etc., parlent en faveur de l'épilepsie procursive. Nous ajou-
brève. Un quart de minute après, il reprend son travail, se remet à parler à ses ouvriers, à leur donner ses ordres; mais
ans les Archives de Virclaouz (1880). - Nous aurons éga- lement à parler incidemment sans nous y arrêter lon- guement de
A la suite de cela, on est à se demander pourquoi tous les auteurs parlent de méningo-encéphalite dans la paralysie géné-
de temps (OEuvl'es complètes, t. III), Rey Régis (de Montpellier,) parle de paralysies motrices dé- pendant de la perte
e la .sueur et des troubles trophiques qui se ma- nifestent surtout parla ténacité des ulcérations cutanées. D'autre part
s qu'il nous cite comme n'ayant pas eu d'idées ambitieuses; je veux parler de l'officier de marine très célèbre par différ
les aliénés, tandis que Saint-Pétersbourg a 1,955 places; autrement parler : à Moscou, il y a 1 lit pour 1,183 personnes; da
commis très souvent par ce genre de malades. XII. M. Korsakoff a parlé de l'assistance des aliénés chez eux ou par le
spécialistes, résultait une situation détestable des malades, sans parler des aliénistes eux-mêmes qui avaient toujours de
maison d'aliénés pour tous les zemstwa auquel ce type serait imposé parle gouvernement im- périal. C'est dans l'élaborati
'article ? et celles de l'article 8 : l'article 7, le seul dont ait parlé M. le rapporteur, l'atticle 8, le seul ou à peu
parlé M. le rapporteur, l'atticle 8, le seul ou à peu près dont ait parlé M. le commissaire du Gouvernement. Je crois, du
des modifications les plus considérables proposées àla loi de 1838 parla commission. Cette loi n'avait prévu, édicté aucun
ous avez la parole; mais je vous fais ob- server que vous avez déjà parlé deux fois sur le même sujet. M. ROGER-IARVAISE.
on, à mon point de vue, n'a pas été complètement traitée, je veux parler de la question de principe qu'exposait tout à l'h
st cette opinion qui ne s'est pas encore produite. Voix nombreuses. Parlez ! parlez ! 1 152 SENAT. M. DE Gavardie. Je de
opinion qui ne s'est pas encore produite. Voix nombreuses. Parlez ! parlez ! 1 152 SENAT. M. DE Gavardie. Je demande la
ble de savoir à quels individus s'appliquent ces séquestrations. On parlait tout à l'heure d'aliénés qui ont été parqués. O
République qui, la première, a eu cette audace 1 Mon Dieu ! et je parle ici de la République au point de vue théorique
audissements ironiques à gauche.) Attendez ! c'est un vieux mot. On parlait souvent, avant ,1789, de République, entendez-l
) Vous voulez entrer dans la fa- mille ! Et de quel droit ? Vous me parlez d'individus arrêtés, et vous prétendez qu'il vo
ne pas garder les leurs, ils s'en débarrassent très volontiers ! Ne parlez donc pas des indigents, et, s'il y a des abus,
ublique ? Est-ce que les voisins ne sont pas là, et Dieu sait s'ils parlent , les voisins, et les voisines surtout ! (Hilari
tromper sur le vote, avec cette manière compliquée et savante dont parle M. le président et qu'il voudrait maintenir.
iendront les distinctions savantes et les chinoiseries dont on vous parle . (Rumeurs sur divers bancs.) Oh ! je dis « chin
r exception qu'on vous accorde, à vous, personnellement le droit de parler sur l'ensemble d'un article. Mais il ne s'agit pa
rticulières, le corps est recouvert de pustules phlegmoneuses, elle parle , elle plcure, elle rit, fait tout ce que font l
tla névrose qui leur donne naissance est peu évidente. Nous voulons parler , plus spécialement, de la paralysie partielle l
terai peu de réflexions à la description qui précède, car les faits parlent d'eux-mêmes. Il ne paraît pas douteux que chez
ce n'en était pas moins celle des gens dont l'union a été consacrée parla loi.. Je n'exagère pas en disant que la moitié
' Mais il faut se demander aussi si les maladies dont je viens de parler , ou d'autres du même genre, peu- vent détermine
ant on le crùt mort. Il a marché et a été propre à deux ans; il n'a parlé assez bien qu'à trois ans. Vers quatre ans, rou
ppement exagéré de la. tête. Il a commencé à marcher à trois ans, à parler à cinq ans répétant ce que l'on disait; il n'a
VE. Les phénomènes post-procursifs, et ici nous n'enten- dons pas parler des actes automatiques (marche, etc.), observés
yons apparaître ces sortes de tapotements sur place dont nous avons parlé pré- cédemment à propos de Vall... (Obs. II) et
ions, était bien venant quoique chétif. Il a mar- ché à dix mois, a parlé à dix-sept mois, a été propre vers deux ans. A
.tants, l'enfant se levait et courait, il n'aimait pas qu'on lui parle dans ces moments-là. Il avait peur; sitôt que ça
ade. Juliette qui ne peut pas prononcer un seul mot, qui n'a jamais parlé , qui est incapable de rece- voir même l'éducati
« Je me garde bien, nous écrivait-il confidentiellement, de jamais parler de mon frère, parce qu'ils me tourmenteraient d
illère a conscience de l'état morbide qu'il vient de traverser ; il parle de l'affection cérébrale dont il a subi le choc,
Vous le voyez, ajoute M. Garnier, que c'est bien à tort que l'on a parlé de divergences entre les médecins appelés à voir
ruyamment des larmes et soupirant profondément surtout quand on lui parle de sa fille. La mention de sa femme et d'un aut
malade n'est pas tout à fait en pleine possession d'elle-même, elle parle à tort et à travers ; elle prend du laitage. Le
eant elle s'affaisse brusquement, puis revient à elle et continue à parler o à à manger, croyant avoir dormi ; légers trembl
légère. La malade dort beaucoup, mais son sommeil est agité; elle parle beaucoup pendant son sommeil, tandis qu'elle deme
aire, dans la mélancolie, dans la folie systématique. Les idiots ne parlent pas, parce que leur développement- intellectuel n
inations. A Hildesheim encore, est un aliéné qui depuis neuf ans ne parle pas : âge quarante- deux ans; aucune tare héréd
ien jeûné pendant quarante jours. Il reste de six à huit jours sans parler ; et s'exprime alors par signes : c'est un ordre
nce. Discussion. M. HERSE. A vu une malade demeurer sept ans sans parler , puis elle a récupéré la parole pendant trois moi
nue muette. M. SCIIOLZ. A vu à l'asile de Brème deux malades ne pas parler ; l'un depuis trois ans, l'autre depuis un an. M
trois ans, l'autre depuis un an. M. EN6ELKEN. Un de ses malades ne parle pas depuis quinze ans ; mais il joue comme tout
usieurs côtés intéressants bien mis en évidence par M. Achard. Sans parler de l'existence et des caractères de J'attaque a
de l'obstruction, on ne respecte pas l'assemblée devant laquelle on parle ... (Très bien ! très bien ! à à gauche et au ce
a suggestion et est commandé par elle. La malade dont nous allons parler nous paraît pou- voir éclairer le débat. Son hi
d parfaitement aux questions qu'on lui pose. Quelquefois même, elle parle alors avec une très grande volubilité et racont
rousse, que je ne vois pas et que M. Mossé qui est devant moi ne me parle pas. » Cela dit, elle retombe dans l'attaque de
ier mais par erreur va jusqu'au troisième; ce n'est qu'en entendant parler au second qu'elle des- cend à l'étage voulu et
questionne, s'étonne qu'il ne lui réponde pas; un élève ayant voulu parler pour lui, elle reconnaît que ce n'est pas sa vo
es du réveil. Cela indique que si, dans cette période, elle ne peut parler , du moins elle entend. 26. Nouvelle application
ue. Il est intéressant d'étudier d'abord sa névrose spontanée; nous parlerons ensuite des phéno- mènes provoqués et nous pour
sommeil c'est la contracture généralisée. Bourneville et Regnard parlent peu des contrac- tures dans les attaques de som
ommeil. Seulement, beaucoup de malades (celles de Richer notamment) parlent , mais sans entendre; elles causent seules, sans
ans l'état de l'ouïe et de l'intelligence. Tandis qu'elle entend et parle dans l'at- taque du premier type, elle n'entend
tend et parle dans l'at- taque du premier type, elle n'entend ni ne parle dans l'attaque du second. On pense immédiatem
croix ; en tout cas, on ne peut plus en faire entendre ni la faire parler . La compression du facial est donc un procédé p
ente aucun des trois états du grand hypnotisme. On ne peut même pas parler ici de ces phases intermédiaires ou de ces état
s modifications de la grandeur absolue de l'excitant, autre- ment parler , la perceptibilité différentielle dépendrait se
ue où il fut ramené à Bicêtre sur les instances de sa famille. Il a parlé «en bégayant)), vers deux ans; il a été propre de
role est lente. Il semble qu'il soit obligé de faire un effort pour parler : la lèvre supérieure a des contorsions, elle s'a
irait qu'elle est raide. Parfois aussi, il ouvre la bouche avant de parler . Lorsqu'il parle un peu à la manière des. enfan
raide. Parfois aussi, il ouvre la bouche avant de parler. Lorsqu'il parle un peu à la manière des. enfants - les sillons
ave jusqu'à huit ans. - Impossibilité de marcher, de s'habiller, de parler et de manger seul jusqu'en 1880. Gâtisme. z- Pr
gère à chaque geste qu'il essaye de faire pour saluer ou essayer de parler quand on s'approche de lui. 23 juillet. - Le
Sa parole se traduit toujours par des éclats de voix. Quand il veut parler , sa figure se contracte, se tord plus ou moins
qu'il en est ainsi chaque fois qu'il est contrarié. Lorsque Lem... parle , la langue reste presque tout le temps contre l
à l'in- terruption des impressions visuelles qui gagnent le cerveau parla bandelette optique droite. Celle interruption p
lconque d'aliénés ne sera définitif qu'en vertu d'un jugement rendu parle tribunal en chambre du conseil. Messieurs, je n
de présenter tous les ans un compte-rendu public du service. Je ne parlerai pas en ce moment de l'inspection générale des a
er des proportions en rapport avec l'importance du service. Je ne parlerai pas non plus du comité supérieur, dont le Gou-
eprésentants du Gouvernement qui ont été reçus dans son sein. Je ne parlerai que des commissions permanentes, sur l'organisa
que, ne permirent pas SÉNAT. ! dU à ceux de la commission dont je parle d'arriver à leur dernier terme; mais l'institut
cette séance et sur lequel la com- mission n'a pas pu délibérer. Je parle de celui de MM. Combes, Testelin, Higal, Crézou
ra à leur sortie. » 11 n'y a qu'un point à relever en ce moment, je parle de ces mots : «Après un concours public. » Ces
effet, messieurs, les lacunes de la très belle loi de 1838 ? Je ne parlerai pas du silence qui avait été gardé sur les alié
effet, la surveillance générale sur les SÉNAT. 439 personnes nous parlerons tout à l'heure de la surveillance relative aux
je fais allusion pourraient en dire autant. Je sais bien qu'on nous parle tous les jours et c'est le langage de notre hon
mets au défi de me citer des faits j'entends des faits sérieux ! Je parlais tout à l'heure de la statistique criminelle; ma
e le dit très bien l'honorable M. Lacombe. Donc, les abus dont on parle , j'attends encore que l'on en fasse la démonstrat
ui n'a pas été mêlé à ces compli- cations infinies dont je viens de parler se laisse parfois influencer et arrive à dire,
ecteurs; toutes les lacunes de la loi de 1838 étaient là. Lorsqu'on parlera de la question des con- cours publics, si d'aut
France, c'est d'imiter ce qui a été fait à Paris pour les hôpitaux, parle conseil municipal; ce qui été fait pour les asi
l'un et l'autre, l'excellente pratique des pays dont nous venons de parler . 11 est donc du devoir du ministère de l'intéri
41 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
vation) ; alors seulement il ouvre largement les yeux, et, cessant de parler , se livre le plus souvent avec le bras à des mouv
répare à sortir les jambes du lit pour commencer les scènes dont j’ai parlé au commencement de cette observation ; mais il su
r eaux, par fiolles de voir dire quelques paroles à l’oreille ; faire parler le Diable sous la forme d’un Roy, aussi enchanter
is devant elle, sans la toucher, et je lui demandai mentalement de me parler . Bientôt je sentis qu’elle résistait à mon désir.
: — Vous prenez Vautre pour moi. C’était encore le somnambule qui parlait . Edgar Poë, ce malheureux homme de génie qui s’
et ils se sentent entraînés dans le tourbillon du vertige. Vous leur parlez , ils ne vous entendent plus ; vous les avertissez
le spiritualisme : C'est une évocation véritable, un prêtre qui fait parler un mort, me scène magnétique et magique. Tous les
ur un mal de tête qui la tracassait et qui, dans le moment où elle me parlait , l’empêchait pai sa violence d’ouvrir les yeux.
le premier à en rire, et je me serais par conséquent bien gardé d’en parler . Ne sait-on pas suffisamment d’ailleurs que je su
n’avons pas le droit de nous alarmer. Ah! si je devais être seul à parler , j’envisagerais sous toutes ses faces la grande c
indissoluble des deux Sociétés magnétiques, représentées aujourd’hui parla Société de magnétisme de Paris, est un gage assur
s par des théories et des faits de la nature de ceux dont je viens de parler que ce progrès s’accomplira. Vous voulez des Espr
intérieur que les temps sont venus où l'humanité doit être réintégrée parle progrès de toutes les sciences à la fois. Mesme
ence a du retentissement dans nos journaux, et que vos lettres en ont parlé , j’ai écrit à M. du Potet les impressions que je
prendre sur celte figure; c’est de la vraie science dont nous voulons parler , de celle que les savants et les médecins ont aba
mais il est mort de suite. Nous n'en finirions pas si nous \oulions parler des cas où l’inanité de la médecine, son impuissa
déjà cité, il en est un qui a « une grande importance : nous voulons parler de l'égale « répartition de la chaleur animale. L
herché la cause îles effets qu’il a observes attentivement. Les faits parlent toujours plus haut que la théorie, mais l'un et l
sentiment dont elle ne pouvait se rendre compte, et qui la forçait à parler . Au reste, elle ne paraissait attacher aucune imp
ce. On trouve extraordinaire que la jeune fille dont nous venons de parler rainasse les quelques sous qui lui sontjetés.—On
hes; mais elles demeurèrent .“ans résultat, et l’on n’entendit plus parler de l'animal. Tout était oublié, le chien et la
este il n’éiait pas question de magnétisme et c’était un confrère qui parlait . 11 faut croire que V Académie dut songer à chois
’en tiendra pas là. E. A. M. Paris. Voici la lettre dont nous avons parlé plus haut : VU DOCTEUR COMET. Mon cher Confrè
qui suivaient son état de somnambulisme. .On n’osait même pas lui en parler , car elle en témoignait une sorte de honte. Tout
es ni de laisser périr qui pourrait C-.tve guéri ou du moins soulagé, parla seule raison qu’il faudrait changer quelque chose
du degré de clairvoyance auquel il sera parvenu. Et si celui dont je parle en ce moment s’est récusé lui-même, une fois rent
nts et de la part de ceux qu’elle intéresse plus directement, je veux parler des magnétistes. Passons à l’expérimentation.
d ou négatif de l’aimant, il sentira le souille frais dont nous avons parlé plus haut. Au pôle sud, il percevra un souffle ti
rant. CAUSERIE MAGNÉTIQUE. Dans ma dernière causerie, j’ai plutôt parlé des médecins que des savants proprement dits. J’a
et formait au centre celle tache ou plutôt ce cercle dont nous avons parlé plus haut. Les Orientaux en portent dans leurs
ué avec ardeur est prédisposé au nazar. De même, quand quelqu’un veut parler de ses propres qualités avec prétention, il ne co
on que possédait Catherine Beutler, cétle jeune fille dont nous avons parlé et qui découvrait des minéraux agglomérés dans le
vez été le témoin oculaire ; jen’en ai pasle temps et, de plus, je ne parle jamais que de ce que je crois connaître et de ce
au point de vue de la logique. Vous dites : « C'est un Esprit qui parle par la bouclie du somnambule, comme « par le pied
laisser faire ses propres fonctions à un autre, qui prend sa place et parle par la bouche de ce corps, pendant que son premie
lle votre attention notamment sur ce passage de l’Évangile, où il est parlé d’un homme possédé par un Esprit qui s’appelle Lé
ez facilement l’explication des violentes convulsions du possédé dont parle saint Marc, tou- (J) Sailli Marc, chap. V, vers
votre conviction nouvelle : « Et la preuve que c'est un Esprit qui parle par la bouche du soinnam-« tuile, comme par le pi
and iEsprit s'est retiré. » Mais sans doute que c’est un Esprit qui parle par la bouche du somnambule, c’est son moi, son E
près votre théorie, il faut nécessairement que Y Esprit étranger, qui parlait et voyait par les organes matériels du somnambule
souvenir; je le réveille ; cinq ou dix minutes se passent sans qu’il parle de rien ; j’applique alors ma main ou l’extrémité
tériel d’une force surnaturelle ou extra-naturelle, toute la presse a parlé de l’évolution d’une table ovale pesant en réalit
uer ému, surpris, mais non fixé sur les causes ou les moyens; je veux parler du docteur E. Léger. Obligeamment invité, ainsi
t. Quand à la seconde expérience, quoique je l'ai vu faire, je n'en parlerai pas aujourd’hui parce qu’il y avait divergence en
oppe, communie, pénètre, mouvementé et modifie celui dont nous allons parler . Disons auparavant que, dans le magnétisme vulg
l’état extatique, loin de la craindre, il semble la désirer, et vous parle de son corps comme d’un objet étranger qu’il voit
l apparut à un cultivateur qui, de grand matin, entrait à la ferme. — Parlez -lui, dit la veuve. — Je n’ose, répondit cclui-ci
ltant ; enfin à ce que, en général, ils sont mal dirigés..... Je ne parle pas ici des endormeurs, de ceux, comme le dit s
qués au front du signe de l’incapacité et du mauvais vouloir. Mais je parle des magnétiseurs sérieux, de ceux, en un mot, qui
1861 : : Dernièrement, après la mort d’Abd-ul-Medjid, on a beaucoup parlé ici, surtout dans les hautes régions, d’un certif
uvre. On veut faire décider que les docteurs auront seuls le droit de parler dans la section médicale. Nombreux discours à ce
que ne sachant pas faire un discours suivi, et tremblant à l’idée de parler en public, au point que j’ai été obligé de m’asse
llié secret du Bureau m’avertit qu'il y avait plus d’une heure que je parlais . Je ne suis pas bien certain que je fusse entré
Un allié demande la parole — pas celui au manuscrit, — l’autre. Il parle et soulève une tempête. On se lève; j’ai cru un i
eur, deux docteurs, trois docteurs, et puis d’autres docteurs encore, parlent à la file, pour citer des observations personnell
tats inconscients ou conscients de ces causes désharmoniques, et sans parler des autres éventualités de troubles, vous aurez l
intra-crànienne peut frapper d’impuissance la mémoire ou l’aptitude à parler , à juger, à enchaîner les idées (*). Chaque opéra
familière de s’entendre appeler. Était-ce bien à lui cependant qu’on parlait ? — A votre tour, capitaine Forster ! reprit Nad
, fièrement la tête comme le serpent avait relevé la sienne, et qu’il parla ainsi, sans arrêter ni ralentir le travail sortil
me est toujours éveillée. Il faut bien s’entendre sur ce mot. Veut-on parler de l’intelligence (*), l’assertion n’est pas exac
vie que nousappclons le sommeil. Mais le philosophe spiritualistc ne parle ici, bien entendu , que de la lit ce cercle de
ommité de l'autre (l'Es-prit), multipliez-en les activités indicibles parle nombre infini des atomes les plus élémentaires au
Macario, quelque chose de fort étrange et de fort étonnant. « Je veux parler d’un phénomène sympathique très-exquis et très-dé
e le somnambulisme magnétique (1), est précisé- (I) M. d'Arbaud qui parle de la catalepsie en amateur, bien qu'il lui plais
, lui a très-probablement valu le nom de grand sympathique. « Je ne parle pas ici des effets provoqués par le galvanisme. I
citement, avec la volonté de l’intime foyer de l’âme: Calmez-vous, ne parlez plus! calmez-vous, ne parlez plus! Au bout de peu
l’intime foyer de l’âme: Calmez-vous, ne parlez plus! calmez-vous, ne parlez plus! Au bout de peu de minutes, la loquacité, de
e auparavant, se bornait à répéter par intervalle : « Monsieur, je ne parlerai plusl monsieur, je ne parlerai plusl (1) (I) Ce
ter par intervalle : « Monsieur, je ne parlerai plusl monsieur, je ne parlerai plusl (1) (I) Cela se passait dans l’automne de
magnétique. Ils ont très-bien réussi. C’était plus ordinairement parla prière que le commandant Laforgue, rue Serviez, n
ne qui ne voulait pas nous laisser monter sur le pont! >; « J’ai parlé des somnambules, et des tables tournantes et des
AVIS AUX ABONNÉS. Î.A THÉRAPEUTIQUE MAGNÉTIQUE. Je vais bientôt parler seul. On doit me rendre cette justice que, pendan
ux pièces étaient disposées de manière que l’on pouvait se voir et se parler de l’une à l’autre. Bruce, absorbé dans son trava
e conversation dans une langue qu’aucun de nous ne connaissait. S. M. parlait en espagnol, et le crayon, avec la rapiifM «/P l’
nt mes essais, je crois moins encore depuis leur campagne perdue. —Ne parle pas ainsi, dit doucement madame Ogier. Son mari,
Magnétisme : Confession Spiritualité, p. 374 et suivantes. — De qui parles -tu? répliquai-je. Le docteur Camus ne bouge pas ;
La nature a des voies mystérieuses qu’ignore encore le médecin, elle parle par des symptômes, c’est à nous de comprendre. Ce
use n’est que provisoire, et l’homme de cœur saura s’honorer lui-même parla noblesse de sa réparation (1). (1 ) Le journal
e est peut-être de plusieurs milliers d’années. El encore, lorsque je parle de la création du monde, je n’entends parler que
undnes- eihlr. (S) Par la lumière île la lune, je »'entends point parler de celle qui n’est que le résultat de la réfracti
oïse, du reste, établit lui-même celle différence car le lux, dont il parle d’abord, lut créé le premier jour, tandis que le
ation était proprement ce que l’on nommait TCipopamioc- Pausanias (3) parle d’un miroir qu’on tenait avec une ficelle sur la
entuni « arcebar. » Gervais de Tilbury dans son Olia imperialia (1) parle aussi de ces magiciens : « Asserunt nigromantici,
leur chef sur un trône. Or, l’enfant dont M. le comte Léon de Laborde parle dans la première opération magique exécutée par A
s, De sagarum natura etpolestate, p. 58 (Marpurgi, 1588.) (2) Je ne parle ici que de l’énergie murale et non üi: mouvements
hiens, 166, 210 ; — qui écrivent sur des papiers déposés, 207 ; — qui parlent de vive voix, font des révélations, etc.. 108, 26
42 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
a vingt ans ;par le Dr Paul Magnin, au nom de l'Ecole de Psychologie, parle DpSaint-Yves Ménard, membre de l'Académie de méde
guérir les troubles du langage, le . bégaiement entre autres ? Il en parle si peu qu'on ne sait exactement ce qu'il veut dir
érir, mais les cas de timidité; j'ai vu des malades m'affirmer qu'ils parlaient et lisaient très bien dans leur chambre (je n'ai
mbre (je n'ai jamais pu le contrôler) tandis que dès qu'ils avaient à parler à quelqu'un ou à un auditoire, le bégaiement les
r l'insomnie dans !c groupe des symptômes du polygone dont nous avons parlé précédemment. Sans doute, le raisonnement et la c
xiste. Et si on le conteste, nous admettrons que c'est une manière de parler ; car, si les chanteurs ne doivent pas crier, ni p
frisson d'horreur. Citons enfin la voix chuchbtée. Cette voix qui parle bas, nous émeut peut-être avec moins d'éclat, mai
n plus pratique. Elle nous entraîne à l'action. Pendant que l'orateur parle et s'agite, ceux qui sont dans le secret des Dieu
, voix froides non productives d'émotion, n'étaient qu'une manière de parler ou correspondaient à un fait physiologique. J'ai
oint pensé du tout. Dire que nous y avons pensé inconsciemment, c'est parler pour ne rien dire. Alors faut-il aller jusqu'à
doit éclairer le fond du tableau et auréoler la figure. Pour cela je parlerai , non de Bérillon, mais de ses origines et de son
me que vous connaissez-tous. Et c'est là, la touche lumineuse dont je parlais tout à l'heure, ma tâche est terminée. . Je sais
r, lui répond-elle, j'ai du sang dans la bouche, s — a Oui! mais vous parlez ! » Aussitôt la malade se tait, l'aphonie reparaît
atrice. » Alors, il l'endort de nouveau et lui suggère qu'elle pourra parler au réveil et qu'au coup de 5 heures de l'horloge
es de l'horloge elle se rendormira spontanément. Il la réveille; elle parle aisément et la sœur de service qui en a reçu l'or
e parle aisément et la sœur de service qui en a reçu l'ordre, la fait parler sans arrêt. Vers 5 heures, il rentre dans la sall
ea son assistant à suggérer chaque jour à la malade la possibilité de parler plus longtemps, puisque le moyen avait réussi. Et
t d'employer l'hypnose dans la pratique médicale. Ceci me conduit à parler du dernier point soulevé par Mil. Dubois et Grass
ommuns en médecine, qu'il faut relever pourtant... seulement quand on parle de l'hypnotisme ! C'est vraiment curieux ! L'hypn
s hypnotisés par Donato. Le Dr Ladame qui n'a donc jamais hypnotisé a parlé dans son livre la Névrose hypnotique des dangers
révêtent pas ce caractère pénible qu'on oublie de signaler lorsqu'on parle des représentations publiques. il. Grasset parl
signaler lorsqu'on parle des représentations publiques. il. Grasset parle dans son livre de « l'inconvénient », * le seul s
Grasset ait oublié de lire l'enquête allemande ! Crocq lui-même n'en parle pas dans son livre postérieur à cette enquête.
i paradoxal qu'il paraît. (Il n'est évidemment pas question, quand on parle de suggestion médicale hypnotique, du fait qu'on
de ces cas-là avec augmentation des troubles psychiques dont veulent parler nos contradicteurs ? Il est évident que dans ces
sur les centres psychomoteurs du malade. Que le médecin apprenne à parler à ses malades mieux qu'il ne le fait, et qu'au li
moins qu'on coupait les amygdales de tous les enfants, afin qu'ils ne parlassent qu'anglais et qu'ils ne puissent plus causer le «
tré en relations avec le Dr Bérillon, je me sens plus autorisé à vous parler de son caractère. Au risque de blesser sa modesti
dévouement qui double le prix du service rendu. Ceci m'amène à vous parler de sa bonté. La dépense d'énergie et d'activité q
Le lendemain, je reçois la visite de Madame Z. Elle vient aussi me parler de son fils et me donner de nouveaux détails sur
a peur de son père ; ou plutôt, les façons de faire de celui-ci, son parler , son regard le glacent, l'intimident, l'annihilen
e gai, à avoir de l'entrain, à oser regarder les gens bien en face, à parler à quiconque avec assurance et sans aucune timidit
t plus de lumière), où le froid tenaillait les survivants, nous avoir parlé de chevaux qui vivaient encore, elle eut une tell
annoncé la somnambule et le récit de Berthon consiste en ce qu'elle a parlé de sept mineurs vivants, et que Berthon a toujour
mineurs vivants dans la mine le 31 mars, c'est-à-dire le jour où elle parlait . Il ne faut pas oublier que parmi la troupe esc
l'horreur de cette réalité. 6. Quant au vieillard de 60 ans dont a parlé la somnambule, je n'en ai pas trouvé trace dans l
x vivants. Je dois dire que je ne me rappelle pas que M. Fabius m'ait parlé de ces chevaux, mais on a vu qu'il les mentionne
sible qu'il y ait eu d'autres mineurs vivants au moment où Mme Berthe parlait , à savoir les quatre mineurs perdus par la troupe
oupe des escapés du 30 mars, et peut-être aussi les cinq mineurs dont parle Simon). Elle a parlé d'un vieillard de 60 ans,
mars, et peut-être aussi les cinq mineurs dont parle Simon). Elle a parlé d'un vieillard de 60 ans, (dont les journaux que
a parlé d'un vieillard de 60 ans, (dont les journaux que j'ai lus ne parlent pas). Elle a parlé, d'après M. Fabius, de cheva
de 60 ans, (dont les journaux que j'ai lus ne parlent pas). Elle a parlé , d'après M. Fabius, de chevaux vivants. (On les a
sourit au médecin et lui tend la main. Elle promet à la gardienne de parler demain ; elle sait se tenir debout pour quelques
un bout de papier elle écrit son nom et sa date de naissance. Elle parle , le 20 décembre, pour la première fois, avec la s
ela lui est encore impossible en présence du médecin ; elle promet de parler après demain avec le médecin. Mange et dort bien.
pour lui d'une lecture agréable un certain jour, vos cœurs à tous lui parlent en ce moment un langage plus touchant, plus amica
s de cette terre de Bourgogne, qui produit des hommes fiers, au franc parler et à l'intelligence libre. (Vifs applaudissements
évoués ou maîtres auxquels je dois le meilleur de moi-même, vous avez parlé de mes mérites. Vous les avez exagérés. Sans vous
Pourquoi ceux qui innocentent M"e Heuster aujourd'hui, n'ont-ils pas parlé plutôt? Pourquoi, surtout, l'avoir condamnée sans
pnologie. Une autre circonstance, c'est que Braid dans ses écrits parle toujours de « ma méthode », de « ma théorie », de
apport médico-légal ayant trait à une voyante qui avait fait beaucoup parler d'elle dans la région où elle exerçait son métier
état d'hypnose est assez profond et les suggestions, ainsi renforcées parla vision hallucinatoire, ont une intensité très gra
our les avoir vus et bien vus... Quand je dis : « Tout le monde », je parle de certains voyageurs éminents et privilégiés, te
à ces enfants : à manger, à marcher, à être propres, à s'habiller, à parler . On tachera ensuite de leur donner quelques notio
justifie ce mouvement. Il suffit d'ailleurs dans l'espèce humaine de parler de puce ou de poux pour qu'un certain nombre de p
et presque exclusivement chez les sujets présentant, si on peut ainsi parler , un état psychique comparable à celui des tiqueur
ndignation contre « ces superstitions nouvelles et dangereuses » dont parle Suétone, contre *> l'exécrable superstition »
es » dont parle Suétone, contre *> l'exécrable superstition » dont parle Tacite, et un mépris « de ces conceptions surnatu
quelque lumière sur cette crise d'angoisse avec sueur sanglante dont parle l'évangéliste Luc, sur l'impossibilité où il fut
ne finesse touchant à l'astuce, un à-propos touchant à l'esprit. Je parlerai de ses émotions, de son penchant à la tristesse e
Sanglé vient d'en faire un magnifique éloge, et il est dificile "d'en parler dans un plus beau langage. Je me bornerai à ajout
irrémédiable. Dans son discours, M. le professeur Pinard n'a voulu parler que de la morale professionnelle du médecin. Tout
dues, que plusieurs pages de cette revue seraient nécessaires pour en parler convenablement. Le lecteur m'excusera donc si je
s libre, indépendant, ne relevez que de vos impressions personnelle*, parlez de la pluie et du beau temps et quand il pleut, d
oureuse. D'autre part, la question présente un intérêt social. Sans parler du malaise causé par la constatation de la timidi
uand il se rapprochait de nous. Il nous disait en passant : t De quoi parliez -vous ? » Saisis de terreur, nous ne répondions ri
e fait à la conscience de leur responsabilité. C'est ici le lieu de parler du irac amené par • la visite de l'inspecteur »,
les classes. Tous ne sont pas comme le regretté Adrien Dupuy (pour ne parler que des disparus), inspecteur général, qui savait
ployé dans une maison de nouveauté et, outre sa langue maternelle, il parle très bien le français, l'anglais, l'arabe et l'it
r hautement sa reconnaissance à notre égard. La guérison dont je vous parle date de trois ans ; depuis lors, elle ne s'est pa
seur dans les hôpitaux, il a connu les éclatants succès et n'a jamais parlé que dans des amphithéâtres regorgeant d'auditeurs
e passer des hommes, nul ne peut se vanter d'être inutile aux autres. Parla , on vaincra du même coup la tendance à l'égoisme
e dans le monde et non timides. Jusqu'à présent, nous n'avons guère parlé que des inconvénients de la timidité. Elle doit p
que des enfants « sages comme des images ? » Ils n'osent ni remuer ni parler . Quelle sécurité pour les mères et les gouvernant
fin de mieux la distinguer de l'autre forme qui est endogène, je veux parler de l'autosuggestion. Dans l'autosuggestion, vou
une manière plus opportune à l'occasion de l'un d'entre eux ; je veux parler de l'ablation des végétations adénoïdes et de l'a
de la rééducation de l'attention dans le traitement de l'hystérie, parle D' Paul Magnin, professeur à l'Ecole de psycholog
e fois devant lui, vous n'éprouverez pas la moindre émotion, vous lui parlerez avec une grande facilité comme si vous parliez à
dre émotion, vous lui parlerez avec une grande facilité comme si vous parliez à un de vos intimes ». Pendant toute la séance,
quoi : toutes les fois que je suis avec des camarades ou des amis, je parle bien ; mais quand je me trouve en face d'une pers
on visage, je suis incapable de penser, les idées ne viennent pas, je parle comme vous me voyez ». En effet, ce malheureux do
sans plus jamais sentir la moindre émotion, absolument comme si vous parliez à vos camarades. » Les séances sont répétées d'
ins et me faire connaître le succès de mon traitement. En effet, il parlait très bien sans la moindre trace de son ancien bég
ment fort peu d'élèves. Mais, dès que l'Ecole de médecine constatait, parle succès croissant d'un professeur libre, la nécess
esseurs, surchargés par les examens, par les jurys de concours, tenus parles services des hôpitaux, parles diverses fonctions
amens, par les jurys de concours, tenus parles services des hôpitaux, parles diverses fonctions officielles dont ils sont inve
gnet, magnétiseur swédengorgien, — son école existe encore et j'en ai parlé dans Les petites religions de Paris, — se constit
s : Les Phénomènes d'Autoscopie par le Dp Paul Sollier dont j'ai déjà parlé . adèle maginot • voit u les défunts qu'elle ne
hiques extraordinaires et mal définies encore se manifestent. Je ne parle point des saintes célèbres, telles que Lidwine de
ndarmerie, vient fort à propos souligner la ligne boulonnée dont nous parlions . Les effets de la double rangée de boutons, lor
oitrine. Il y a ici effet de contrevenu-ment, et cet effet, dont nous parlerons tout à l'heure, se retrouvera dans l'équipement d
els de l'acte réflexe sont donc les suivants: 1° Il n'est pas produit parla volonté. 2° Il succède à l'excitation périphéri
43 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
les bases d'une classification scientifique. Le Dr Bérillon a ensuite parlé des traitements médico-pédagogiques applicables a
uinque, directeur de l'Etablissement médico-pédagogique de Créteil, a parlé des méthodes de lecture appelées à donner les mei
nous donnerons à nos enfants le mens sana in cor-pore sano, proclamé parle poète comme le but suprême de l'éducation. »
hui 18 juin, que l'enfant se tient parfaitement sur ses jambes, qu'il parle et que la cicatrisation est complète. J'ai tenu à
lque temps après il reprenait ses sens ; au bout d'une demi heure, il parlait , et le lendemain on ne pouvait plus se douter de
upières à demi comme le font les myopes quand ils visent au loin. Son parler est doux et persuasif. L'appartement servant de
ont le rôle est prépondérant dans tout choix d'uniforme, nous voulons parler de la couleur. Depuis les temps les plus reculé
ots de l'emploi du métal dans l'uniforme. Nous avons eu l'occasion de parler des effets puissants de « boulonnement » produits
ait, se laissât brider, seller et monter ! Les journaux anglais ont parlé de prodige, de miracle !... Cela dénote de le
. Tout cela peut constituer un danger pour l'humanité. En m'entendant parler ainsi, M. Milne (14) demeura ébahi et me dit : «
ur troublante de leurs propres âmes ». « Par la vivisection du moi, parla découverte dessous-moi, nous possédons la clef de
-même et aux autres, devenir sicut dit, pareils à des dieux, ou, pour parler plus simplement, des hommes maîtres d'eux-mêmes e
minue, puis disparait. Mais Benita reste un peu hébétée, sans presque parler ni manger. Un an après, un second rebouteur, sa
econd rebouteur, sans lui donner aucun médicament, réussît à la faire parler et manger... pendant quelques mois. Puis, suiva
nue, son activité décroit, son intelligence s'obnubile, elle s'alite, parle et mange de moins en moins, absorbant encore, pen
e voit de même qu'elle entend. Si l'on entre dans sa chambre, si l'on parle d'elle, si l'on ouvre la fenêtre, elle grogne ; s
n temps, puis tous les jours, et à rester assise sur une chaise. Elle parle toujours peu, mais se souvient des personnes et d
Les anormaux à l'Établissement médico-pédagogique de Créteil (1) Parle Dr L. Dufestel, Médecin inspecteur des Ecoles.
telle ou telle catégorie sociale, arriéré, vicieux, criminel, pour ne parler que des états qui nous occupent. Or, dès que l'
tunité et de son efficacité. Que se passe-t-il, en effet ? Et je ne parle ici que des faits multiples que j'ai pu observer
e l'enfant sera placé dans les ¦¦ circonstances favorables », dont je parlais plus haut et qu'en réalité, à la puberté pourra c
lent exister entre l'hypnotisme et l'hystérie, et ceci m'amène â vous parlez de l'hypnose, en tant que moyen de traitement de
Oh ! mon Dieu ! » Aussitôt après, je me rendis compte que je pouvais parler . » Traditions et mœurs persannes Tous les ans
bien que c'est le professeur Joffroy) a proclamé qu'à l'avenir, pour parler d'une cordiale et large hospitalité, on ne dirait
te communi- . cation signifie proprement : « religion mahométane ». Parler de religion devant un public français serait, à l
lle intervient essentiellement dans la pédagogie. Je dois donc vous parler de cette religion que j'appelerai, plus spécialem
Coran, l'histoire, la poésie et les Hadis,enseigne-leur la science de parler à propos, défends-leur, les rires incongrus, incu
aujourd'hui regardée comme le foyer même de l'anarchie. Et je ne parle pas seulement ici des tendances politiques. Je pa
ie. Et je ne parle pas seulement ici des tendances politiques. Je parle , écrit le correspondant russe du journal des Déba
camenteuses utilisées par la thérapeutique moderne, dont nous voulons parler , mais de quelques arbres particuliers auxquels le
e doit ni indiquer ta chose ni employer le mot, parce que la loi n'en parle pas ; il doit s'en tenir au texte strict de la lo
z l'ignorer. Vous nous avez dit dans la discussion : « Si je cesse de parler de responsabilité, c'est que j'ai sur la conscien
de ne pas faire ce que vous leur demandez. Vous ne pouvez pas ne pas parler le langage que comporte la notion de la liber
à la vie commune. *** A vrai dire, M. Ballet consent que l'expert parle de responsabilité... pour les cas extrêmes. Les g
nt, en bloc, comme une notion extra-médicale, et nous n'aurons plus à parler de responsabilité atténuée. » C'est celle-ci qui
ne s'en sont pas fait faute. Il est extrêmement risible, en effet, de parler de « tiers de fou », de « quart de fou !... » Mai
s dites exactement la même chose que cette chose dont vous refusez de parler et dont vous voudriez qu'on ne fit plus mention.
? Vous ne pouvez pas protester contre cette expression, puis-que vous parlez , vous-même, de degrés dans l'obnubilation de la c
s. N'a-t-on pas dit que si l'on doit penser avec les savants, il faut parler avec le commun ? Mais le mot responsabilité n'e
à pris des libertés avec ce texte. Et puis, ce même texte, — qui ne parle pas, il est vrai, de responsabilité, — ne parle p
même texte, — qui ne parle pas, il est vrai, de responsabilité, — ne parle pas non plus des précisions, des distinctions, de
ues, alors- que vous les réprouvez si énergiquement chez autrui. Vous parlez de sens moral, surtout de la « notion du bien et
dont la responsabilité ne sera nullement « responsable ». Donc, ne parler que de faits matériels, c'est sans utilité pratiq
tion, dès qu'on s'attaque à la complexité psychopathologique et qu'on parle le langage même que comporte la réalité vivante s
ur laquelle on expertise. Ecoutons encore M. Francotte : « Quand nous parlons de volonté, d'aboulie, d'impulsions irrésistibles
ibles, d'émotivité, nous faisons autant de psychologie que quand nous parlons d'unputabi-lité, nous soulevons autant de problèm
la question des enfants anormaux a déjà presque une histoire. Sans parler de la tentative de création faite, il y a dix ans
renait des consultations pour les enfants des écoles communales, sans parler non plus des premiers articles sur les arriérés s
n médico-pédagogique (1). — Les médecins spéciaux dont nous venons de parler seraient en outre chargés d'une consultation. C
vé le souvenir de son voyage à Paris. Elle se montre fort gentille et parle avec sympathie du médecin qui sait rendre les enf
'un perfectionnement très notable. On peut arriver à leur apprendre à parler , à accomplir des actes utiles, à devenir propres.
le souvenir de ces événements. Dr Bérillon. — La question soulevée parle Dr Regnault pourrait provoquer une intéressante é
récisément les sujets moyens, les jeunes gens faibles, débiles (je ne parle pas des malades), ceux, enfin, dont une mauvaise
du Parlement quand il avait plus de 80 ans. J'ai entendu Luther Marsh parler longuement et tard, dans la nuit, au dîner qui lu
ntalement et physiquement que je connaisse. Il dort, se promène, lit, parle , agit comme un jeune homme. » La liste nécrolog
Gaze est un des disciples de cette doctrine en faveur de laquelle il parle comme « un des douze o, et sa mission est, pour l
pourraient être compris dans la quatrième catégorie dont nous allons parler . 4° Destruction des petits, malades ou monstrue
la science et de l'industrie européennes. Des Conseils généraux, élus parle peuple, furent convoqués dans toutes les province
use ; poitrine contractée et comme étranglée, dos arrondi, etc., sans parler du surmenage avec dilatation du cœur, si fréquent
canne, le bâton et, chez les hommes faits, l'escrime. Il me reste à parler d'un dernier exercice physique : c'est la gymnast
plus chauds des responsabilités partielles comptent en général (je ne parle pas pour M. Farez bien entendu) parmi les représe
uer d'avoir, une seulefoisdans sa vie, réalisé l'état de liberté dont parle cette définition ! Plus que jamais nous tournon
'auteur des Lamentations : « Seigneur Iahvé, dit-il, je ne sais point parler ; je suis un enfant, b — Dieu lui toucha la bouch
dée comme une cause d'irresponsabilité. Le premier cas de folie, dont parle l'Histoire Sainte, est celui de David. Les juri
nt une telle puissance aux yeux des peuples qu'il leur suffisait de parler pour être écoutés et que les rois même respecta
es centaines de mille d'existences humaines ont été sacrifiées. Je ne parle pas de l'énorme rançon qui nous a été imposée, ca
grand jour avec des pierres tombant du ciel, de familles persécutées parles crachements des esprits, mâchant le« Sirih » ; no
our ceux qui étudient les superstitions et le folklore./ Je vous en parlerai d'après ce que j'ai vu moi-même et lu chezKnebel
st presque impossible de se procurer des amulettes. Les Javanais n'en parlent jamais. Voilà la raison pour laquelle je ne puis
Toulzac, médecin-lé gisle à Versailles Le malade dont je vais vous parler est un débile intellectuel qui, attaqué par un in
s, il est hospitalisé à Berck. A sept ans et demi, il est sourd et ne parlait pas encore. « Mais à partir de ce moment, au fu
ir de ce moment, au fur et à mesure qu'il grandissait, il apprenait à parler . « A l'école, ses camarades, le voyant souffret
15 ans, c'était à Paris, dans une église, je ne sais pas. » « J'ai parlé des troubles de l'articulation des mots, je dois
uelles des délits ou des crimes, entraînant des châtiments déterminés parla loi, sont l'objet d'excuses. Ces excuses ne figur
société pourapprécierle degré de responsabilité d'un inculpé, et sans parler des renseignements de tout ordre qu'il peut se pr
ologie. {Présentation de malade) Le mois dernier, M. le Dr Bérillon parlait ici même des rapports de l'hémianesthésie avec ce
ypnotisme ; elle est même d'autre part assez clinique. Tiendra-t-on à parler le langage anatomique, au mot « zones » il suffir
» 'portrait, lettre). par M. le Dr Witry (de Trêves) Je vais vous parler de deux malades que j'ai guéris par l'hypnose ave
septembre, à ma consultation, elle est si émotionnée qu'elle ne peut parler qu'au bout d'un certain laps de temps. Sa face es
a connaissance, ni suivre les cours, croyant qu'on allait se mettre à parler de son affection et qu'elle ne pourrait dissimule
agrin, d'une grave maladie, etc. Donatus est peut-être le premier qui parle du blanchiment brusque des cheveux (1588). Parry,
e l'état de l'homme possédé par une divinité. Souvent les prophètes parlaient en s'accompagnant de musique soit vocale, soit in
que, quoique Toghlak comprit assez bien l'arabe, il ne pouvait pas le parler couramment. Il est donc probable qu'il eut recour
as en vue cette dernière, quelle est précisément la maladie dont elle parle ? Pour moi toutes ces questions sont résolues p
ladie dont elle parle ? Pour moi toutes ces questions sont résolues parles remarquables Ira-vaux du professeur Munch, qui co
ne maladie « pure » le botak et non au zaraath ; les versets 45 et 48 parlent du deuil de « l'impure t, atteinte du zaraath et
nte du zaraath et de son éloignement de la société. Les versets 47-59 parlent du zaraath des vêtements et de : . : -'. itati !.
nt être chez d'autres assez étendus, assez continus pour qu'on puisse parler d'une hysté-risation de la mentalité sans qu'il f
l'enfant la base de toutes les manifestations hystériques et on peut parler d'une hystérie infantile physiologique. L'hystéri
pas préoccupé un seul instant des dangers que des demi-fous, pour ne parler que de ceux-là, peuvent faire courir à des nation
5. (Voir la Revue de l'Hypnotisme de mai (906.) Ceci m'a-.mène à vous parler de ce cas déjà ancien, car les deux guérisons fur
docteur Jaguaribe quelques pages élogicuses et reconnaissantes où il parle de l'Institut psycho-physiologique de Paris, et d
44 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à sept mois. Dentition complète à dix- huit mois. Elle a commencé à parler à huit mois, a été propre à dix mois. Ni bave,
naturelle. La malade n'est pas réglée. Pas d'ona- nisme. Mich... parle , comprend et répond bien, marche lentement, pa-
ez lentement, semble parfois en proie à des cauchemars ; s'agite et parle quelquefois tout haut la nuit. , Elle est d'u
agnes et joue volontiers avec elles. Elle dit s'en- nuyer beaucoup, parle souvent de ses parents. Elle n'a jamais pleuré.
e qui se passait à son sujet, de ce qui lui arrivait ; jamais il ne parlait de ce qui pouvait lui man- quer, de la raison p
t une atrophie papillaire bi-latérale intense. M. Bonnier, invité à parler , bien qu'étranger à la Société, a trouvé chez c
, puis au petit pot pendant dix-huit mois. A marché à douze mois, a parlé à peu près bien à dix-huit mois, va à l'école d
petit pot. N'a jamais été malade. A marché à douze mois environ. A parlé à peu près à la même époque. Un troisième enfan
facilement, a fait ses premières deuts à sept ou huit mois. Il n'a parlé franchement qu'à l'âge de trois ans et on a remar
os inco- hérents, au milieu desquels il demandait à être interné et parlait t de l'infirmerie du Dépôt. Laissé seul, il se
re 1901. Depuis quelques jours cepen- dant, inquiet de son état, il parlait de se faire soigner. Mais il ne se souvient plu
que ce travail peut avoir une importance particu- lière. Pasteur, parla découverte des microbes et des ferments, a fait
le qui présente la forme la plus classique, la plus clinique pour parler en médecin, celle dont les accidents nerveux se
même à travers la traduction, forcent parfois notre admi- ration parla beauté du style, par la splendeur des images- e
DE SAINTE THÉRÈSE' seur, « car je ne crois pas que ce soit moi qui parle depuis ce matin ». Cela dura jusqu'au retour
porter la gloire à Dieu seul; comme les oiseaux, à qui on apprend à parler et qui ne savent que ce qu'on leur enseigne ou
niques du couvent, enfin l'hérédité maternelle dont nous avons déjà parlé au début, avaient pro- duit chez elle une faibl
s. Formation DES miracles hystériques. Il est très important d'en parler , car c'est cet état dont il s'agit dans la plup
fus en état de mort î. 4a Des contractures dont elle vient de nous parler ; elle nous dira ailleurs : « Tous mes nerfs s'
- dre compte elle-même; des hyperesthésies, au contraire, elle en parlera fort souvent : « Mon corps était si doulou- reu
nt cette période, un sommeil hypnotique de quelques jours dont nous parlerons longuement tout à l'heure. Tels sont les princi
pu apprendre ni à lire ni à écrire, a mis longtemps à apprendre à parler . Actuellement elle est simple, tacile, aisément s
oisième paire simulant une pachyméningite cervicale hypertrophique; parle Dr IIEL- DENBERG (de Gand.) (Journal de Neurolo
qui ne le sera jamais. En quelques mots pleins d'émotion, l'orateur parle de Lui. J. Falret qui s'éteignait pen- dant la
ans à évoluer avant d'arriver à l'hémiatrophie totale et a commencé parle membre inférieur gauche, s'étendant ensuite au
blement de la langue, des mains et des muscles faciaux, lorsqu'elle parle . Les réflexes rotuliens sont très affaiblis ; l
umière. L'écriture est troublée. Le discours paralytique. La malade parle peu et fait l'impression d'être démente. Obse
euse, distraite; il lui était difficile de marcher, elle commença à parler mal, se plai- gnait d'un mal de tête et d'un tr
- gnait d'un mal de tête et d'un tremblement des mains. La malade parlait peu et si on ne lui donnait pas à manger, elle ne
ens, explique son mutisme ordinaire en disant qu'elle n'osait point parler , essaie quelques travaux d'aiguille. Mais le 13 j
mal. Son regard est terne, effaré, distrait de ce qui l'entoure. Il parle seul ; fait demandes et réponses ; semble écout
persiste même en dehors des époques. Notre observation nous semble parler dans ce sens. L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE Pa
était près de moi et je connus que c'était la même personne qui me parlait ordinairement ; comme j'ignorais qu'il peut y a
ar le témoignage des sens, soit en la touchant, soit en l'entendant parler ou se remuer, tandis que dans cette sensation,
un autre chapitre, sainte Thérèse raconte que chaque jour Dieu lui parlait , tantôt avec amour, tantôt avec colère. Comme u
r sentiment. Lorsqu'elle eut des visions du démon, elle entendait parler autour d'elle comme s'il y avait des gens qui com
émon lui apparaissait quelquefois sous des formes horribles; il lui parlait d'un ton menaçant, avec des gestes et des grima
allucinations de la vue et de l'ouïe de sainte Thérèse; nous allons parler maintenant des hal- lucinations de la sensibili
souvenir glorieux à l'occasion du centenaire de l'Internat, je veux parler d'André Mazet. - J'ai parcouru l'ordre du jour
tre, peut-être inconsciemment, par cette mentalité médicale dont je parlais tout à l'heure et que vous saviez trouver ici ?
ntre les névroses et les psychoses à base d'anxiété nous est fourni parla névrose d'angoisse, dont on a voulu SOCIÉTÉS SA
ans l'exposé de son rapport et à propos du traitement, M. Lalanne a parlé de l'hydrothérapie froide chez les anxieux; je
de loi chez beaucoup de déséquili- brés obsédés (Pitres et Régis); parler d'infantilisme c'est « favori- ser une erreur e
mental des tiqueurs. Nous y avons longuement insisté, avant même de parler d'infantilisme psychique. Lorsqu'un tiqueur se
ée par M. Noguès, aussi bien que par MM. Meige et Feindel : je veux parler des relations si étroites qui unissent, au poin
ic du cheval est un tic aérophagique, grave parce* qu'il dimi- nue, parle météorisme abdominal dont il est la cause, l'apti
de tic tonique parce que, pour moi, le tic est par essence ou, pour parler plus simplement, par définition, un phénomène c
Meige, le principale protagoniste de l'opinion dont il vient d'être parlé , dire que ce n'était. pas là la seule catégorie
ne symptomatologie et un état physique bien différents de ceux dont parle le rapport de M. bogues. Ce malade qui n'étai
? Evidemment, il est d'un tout autre ordre de faits que ceux dont a parlé M. Noguès II est nulle- ment lié à la dégénéres
on s'adresse à un animal plus élevé dans l'échelle animale. Pour ne parler que des réflexes tendineux, mes expé- riences p
de l'omnibus où elle se trouve à plusieurs kilomètres de chez elle parla pluie, le vent, la neige et les orages, préféra
que M. Meige n'ait été plus loin qu'il ne voulait, quand il nous a parlé de l'infantilisme des tiqueurs. Je sais bien qu
e sujet sera placé devant un miroir. Il faut qu'il puisse contrôler parle secours de la vue les incorrections de ses atti
moindre douleur. Je le fais lever, je l'habille et il m'accompagne parla main jusqu'à laporte de l'appartement, puis se
nviction égale, identiques toujours par le fond et quelquefois même parla forme. C'était soit l'énoncé d'un fait qu'elles
toires, elle se montre la plus renfermée, la plus défiante. Elle ne parle qu'entraînée par les propos de ses soeurs : ell
idées, leurs termes. Sa méfiance ne s'endort pas un instant. « Nous parlons , il y a peut-être un appareil ici. Vous nous de
ses soeurs, regrettant de ne pouvoir modérer leur expansion elle ne parle que pour rectifier, pour compléter, pour confir
rouvailles. C'est elle qui découvre le secret des castors dont nous parlerons tout à l'heure : elle imagine peut-être certains
restitue, plus intenses. Jeanne il/..., cinquante-neuf ans. Nous parlons , en dernier lieu, de l'aînée, parce qu'elle est
regarde ses soeurs comme attendant d'elles un signal. Son refus de parler ne procède d'aucun calcul ; elle préfère seulem
un calcul ; elle préfère seulement ne pas se souvenir. Isolée, elle parle la première; seule des trois, elle accepte d'éc
nt elle : « Vous avez abusé de sa faiblesse. Vous saviez à qui vous parliez ». C'est, au total, une personne neutre, toujou
pas. Lui-même ne l'a peut-être pas très bien su. Mais nous avons eu parla suite les preuves d'un complot 302 CLINIQUE MEN
bles de l'ouïe eux-mêmes sont professionnels : ses interlocuteurs parlent attelage, organisent le déchargement d'une voitur
rsonnes qui le soignent et sait différencier leurs attri- buts ; il parle avec justesse de son ancienne profession, de sa v
on s'aperçoit bien vite que le niveau mental s'est affaibli : sans parler de ses tendances ambitieuses qui lui font dire
ent ce que leur description brutale aurait de peu divin, aussi n'en parle-t -elle que d'une façon voilée; c'est une orgueill
liquées à ces divines mamelles et ne savent plus que jouir. » Ainsi parle sainte Thérèse, dans son livre des Conceplions
t état, j'étais comme hors de moi et j'aurais voulu ne rien voir ni parler à personne; c'était un bonheur et une gloire, a
Thérèse. Ce qui nous reste à dire est plus curieux encore : je veux parler des Oraisons de la sainte; dans le livre de sa
hose qu'une jouissance de Dieu. L'âme en cet état ne sait si elle parle ou si elle se tait ; si elle rit ou si elle pleur
. On comprend quels sentiments de pudeur ont empêché la sainte de parler de l'émission involontaire d'urine, qui accompa
r le travail que nous venons de faire pour les oraisons ; nous n'en parlons donc que pour mémoire. BONNE roi DE sainte Th
complète avec gâtisme ; marche et parole nulles. Aujour- d'hui, il parle , marche, s'habille et se déshabille seul ; il se
de qui porte sur lui-même un jugement défavorable, qui se déprécie, parle de sa déchéance physique et morale et exprime d
de gloriole, par vanité, par désir de se mettre en scène, de faire parler d'eux. Chez ces malades, le roman de l'auto-acc
avoués spontanément et souvent sans l'intervention de la torture, parles sorcières et leurs complices, devant les tribunau
ne série d'infractions moins graves, leur sont coutumières. Je veux parler des paralytiques généraux au début de leur mala
erie, le vol. l'abus de confiance ou le faux, paraîtront déterminés parles besoins d'argent du coupable dont les affaires
embres du Congrès de com- mencer ce petit livre élémentaire dont je parle , et que tout magistrat, tout juge d'instruction
é une perturbation pro- fonde de la nutrition générale caractérisée parla diminution de la quantité des urines ! hypercli
ÉTÉS SAVANTES., giquemeni de ce même processus, et ne diffèrent que parla distri- bution des lésions et par la rapidité d
Rapport médical, pour 1901, sur l'asile public de Saint-Robert, ' parle D1' J. Bonnet, médecin en chef. - Nous avons dé
Blois n'est pas une renfermerie. « La méthode récente du traitement parle séjour au lit, de l'ali- tement, méthode surtou
tre chambre, au lieu de se tenir dans la chapelle ? Pourquoi nous parler de notre commerce et ne pas dire un mot de religi
uestion sont trop ridicules pour que nous ayions le droit de lui en parler devant témoins (elle appelle témoins des enfant
elle s'étonne de ce que nous ne la connaissons pas, « elle, dont on parle tant, qu'on persécute tant, elle, l'auteur d'un
son invraisemblance et son énormité. Un jour, lisant un journal, il parlait de la guerre du Transvaal, sa mère s'écria : «
équents. Caractère sournois. Menteuse « depuis qu'elle a commencé à parler . » Kleptomanie. - Paresse. Fugues. Accusation d
is fourbe et sournois, menteuse, du reste a menti du jour où elle a parlé . A été en classe de quatre à treize ans : ses m
corrections qu'elle encourait. Elle perd l'argent qu'on lui confie, parle mal de son père à tout le monde et finit par le
n'a pas le regard franc, elle baisse toujours la tète quand on lui parle ; très peu expansive ; est loin d'être timide ;
s compagnes ; mais peu affective ; ne témoigne pas sa sympathie ; parle de son père qu'elle semble aimer ; elle raisonne
vec troubles dans le territoire de la branche externe du spinal : parle Dr Batigne. (Revue neurologique, octobre 1899.)
orieux rayonnement, servi de bréviaire à tous ceux qui à l'étranger parlaient notre langue. Son premier commenta- teur, le De
nir médecin honoraire. Son oeuvre fut considérable. Nous avons déjà parlé de son traité classique La Gazette médicale de
e Dr Dubuisson, le successeur du D1' Dagonet à l'Asile clinique (lu parle D Quesneville), l'autre par le Dt L. Picqué, chir
ie à réaliser, ainsi que cela a lieu dans certains asiles dont nous parlerons . Un point intéressant à relever concerne la bou
compliqué que la reproduction monotone, mais transitoire dont nous parlions tout d'abord. D'après Magnan : « L'obsession
vent il me faut interpeller un passant, entrer dans un magasin pour parler , demander quelque chose, afin de me donner une
achent leur étal d'âme et se concentrent en eux-mêmes, évitant d'en parler jusqu'à leurs plus proches. Ce n'est que lorsqu
e en appa- rence. § 8. Il nous reste, pour terminer l'autposie, à parler des organes abdominaux. Le tube digestif, la
son existence avant sa mise en observation, T... se décide enfin à parler et raconte les faits suivants, qui montrent bie
es fibres radiculaires qui se dirigent vers les colonnes de Clarke, parle du reste nettement en faveut de l'exis- tence d
. Etudes sur l'évolution et l'involution de la cellule ner- veuse ; parle Pr Marinesco. (Revue neurolojiquc, octobre 1899.)
ier constamment ses impressions et ses sensations mentales les unes parles autres. Deux vérifications constantes, le plus so
ctuelles contrôlent et relèvent les sentiments et les penchants, et parla , les lobes aniétieurs sont pour le reste du cerve
e de son père il y avait une prédisposition à la folie. L'enfant ne parla qu'à deux ans et demi et montra de bonne heure un
E MENTALE. 527 i relations sexuelles en dehors du mariage. Quand il parle des femmes, d'ailleurs, il ne sort guère des li
ue ses admirateurs consi- dèrent comme son oeuvre maîtresse : Ainsi parlait Larathustra, dans laquelle, comme dans tous ses
x jours sans mouvement et sans parole. Quand il revint à lui, il se parla à lui-même à haute voix, chanta bruyamment. Il
re du trai- tement, .M. Faucher s'exprime ainsi : « Nous avons déjà parlé , dans nos rapports précédents, de la lutte entr
assassin jeter Mm0 Hérault dans le puits, ajoutant que s'il n'a pas parlé plus tôt c'est qu'il craignait la vengeance de ce
use. Nouvelle contribution à l'étutle de l' - et à son traitement parle broiritiie de camphre, par Bournemlle et Amba
45 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
e, où son autonomie est encore discutée par quelques auteurs. Je veux parler de cette maladie que le médecin qui l'a le premie
nt, en plus ou moins grand nombre, les doigts des mains. Si je vous parle ici, Messieurs, de la scléroclactylie et de la lè
eance de mon collègue, M. Hanot. Il était d'ailleurs opportun de vous parler de cette maladie, après nos récentes leçons sur l
n moi, par quelques auteurs. Mais, avant d'entrer au cœur du sujet, parlons en premier lieu de ces affections qui entraînent
ennent qu'à la sclérodermie et qui lèveront toute hésitation. Je veux parler du masque scléroder-mique, qui, s'il existait, po
lèpre. C'est de la forme anesthésique exclusivement que je veux vous parler et encore en tant qu'elle affecte les extrémités
a des léproseries et où la maladie porte le nom de Spedalsked. Je ne parle pas de l'Asie (la lèpre est une maladie biblique)
tés de la question, importants au point de vue nosographique. Je veux parler de l'étiologie, de la marche et de la durée, du p
on corps décèlera la présence de ces plaques de morphea, dont je vous parlais tout à l'heure. Enfin, pour ne considérer que les
centuées pour qu'on ait voulu les identifier l'une à l'autre. Je veux parler de lasyringomyélie.Celle-ci est caractérisée tout
fois entretenu, mais sur lequel je ne saurais trop insister. Je veux parler de l'hystérie traumatique. Je me suis aperçu en e
ite. Le malade dit voir double quelquefois. On remarque que, quand il parle de ses vertiges, il louche légèrement. Il est pro
e chacune des deux affections, que de différences entre elles ! Je ne parle pas de leur nature, l'hystérie étant une maladie
autre point de l'histoire de Desf... est intéressant à noter. Je veux parler de ces vertiges qu'il éprouve de temps en temps e
ntraire parfaitement établi par les études récentes qu'il ne faut pas parler du tremblement hystérique, mais bien des tremblem
à l'heure, Tremblements hystériques! A). Tremblement non exagéré parles mouvements volontaires. B). Tremblement I exist
d'étudier sur nature les principaux caractères de l'affection dont je parle , chez la malade en question. Bien qu'elle se prés
re séparées radicalement à titre d'espèces distinctes. Ainsi, pour ne parler que des grandes divisions, à côté de la migraine
s, du moins à l'origine. Ainsi dans la migraine ophthalmique, pour ne parler que de celle-là, il y a lieu de penser qu'une isc
Dans l'étiologie on cite deux ou trois fois un coup sur la tête ; on parle quelquefois d'hérédité nerveuse et migraineuse. C
caractère d'une maladie continue avec exacerbations périodiques dont parle M. Senator dans son fort intéressant mémoire : La
s crises, en même temps que l'hémicranie esquisse, si l'on peut ainsi parler , des accès intercalaires qui ne dépassent point l
ez elle pour essayer de s'opposer au progrès du mal ? Mais avant de parler de thérapeutique, il est bon, je pense, d'indique
pas hydropiques. » La dernière phrase de Sydenham nous montre qu'il parlait seulement d'un œdème blanc. Rajoute que cet œdème
quelques lignes. Depuis Sydenham on a naturellement plusieurs fois parlé de l'œdème dur des hystériques, mais en réalité d
e d'adopter parce qu'elle frappe l'œil tout d'abord, si je puis ainsi parler . Cette forme d'œdème névropathique ne diffère p
s trouvé chez elle, outre les divers phénomènes dont je viens de vous parler , toute une série d'autres symptômes qui nous ont
marquable travail, il nous est facile de noter que l'atrophie dont il parle est toujours une atrophie en masse, soit de la to
plité interne. De la rareté relative de l'anomalie anatomique dont il parle , découle la rareté relative des paralysies absolu
ique, ni douleurs d'aucune sorte en dehors de celles dont nous allons parler plus loin. Il était autrefois tailleur d'habits
es muscles de la région antéro-externe de la jambe. La malade ayant parlé de troubles utérins, d'une métrite avec déplaceme
ute la région externe de la jambe, dans un territoire limité en avant parla crête tibiale,en arrière par la ligne médiane et
Recueillie par M. Par-mentier, interne, médaille d'or des hôpitaux. parlais à l'instant. Décrite, il y a plus de cent ans, pa
ccasion d'observer une nouvelle complication de la sciatique, je veux parler de la paralysie amyotrophique dans le domaine du
senlohr, de Warner, de Bristowe...), de telle sorte qu'il y a lieu de parler d'une ophthalmoplégie externe-névrose; de plus, d
lles nous reviendrons plus loin, on constate que le malade commence à parler du nez depuis février. De plus, il avale souvent
. Trouble de la parole extrêmement prononcé. Elle ne peut arriver à parler qu'en mettant les doigts sous le plancher de la b
pendant ce temps on remarqua qu'il avait quelque chose aux yeux ; on parla de le faire examiner par M. le professeur Panas.
ue depuis six ou sept mois sa voix s'est cassée et qu'il a commencé à parler un peu du nez. Il siffle parfaitement bien et sou
te de son état, s'exagérait même peut-être la gravité du pronostic et parlait de mettre fin à ses jours. Il se peut qu'il ait s
dans une sorte de rire bête, qui s'accentue notablement quand on lui parle ; alors le malade n'en finit plus de rire. Ou bie
donne à sa physionomie un air continuellement pleurard. Si on le fait parler , on s'aperçoit qu'il articule mal les mots et nas
me des signes diagnostiques de cette dernière affection. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des réactions électrique
une raison pour douter de l'origine centrale de la maladie. Pour ne parler que des réactions électriques, que voit-on en e
rd cette absence de troubles dans les réactions électriques dont nous parlions plus haut ne plaide point en faveur de l'idée d'u
hologique pouvait fournir au problème une solution définitive. Elle a parlé , et, à mon avis, d'une façon péremptoire, dans le
l y ait destruction complète, et que l'expérience, si l'on peut ainsi parler , ait été poussée à son terme ultime. Peut-on, d
faire en faveur de ce pauvre garçon ? nous devons en son absence vous parler en toute sincérité. Le voilà, hélas ! à l'âge de
d'autre part, il paraît vraisemblable que ces monoplégies dont nous parlions tout à l'heure et qui paraissent produites par de
ue, tantôt faciale, ou dentaire inférieure *. Les diabétiques dont il parlait étaient de véritables diabétiques et la névralgie
uleurs fulgurantes de l'ataxie locomotrice. Il y a longtemps que j'ai parlé de ce fait dans mes leçons. On en trouve des exem
oteur , sur lequel je crois devoir particulièrement insister. Je veux parler de l'absence des réflexes rotu-liens, qui existe
un malheureux paragraphe qui est complètement à remanier. Quand il parle des paralysies dans le diabète (p. 35) ' Ch. Bo
ssemblances avec le tabès seront plus étroites. Messieurs, quand je parle de paraplégie consécutive au diabète, avec démarc
le dis tout de suite, qu'il est intéressant pour vous de constater. Parlons tout d'abord de la maladie constitutionnelle caus
d'abord de la maladie constitutionnelle cause de tous les accidents, parlons du diabète. Je dois vous dire que divers traiteme
aralytiques et que notre maladie a présentés à un haut degré. Je veux parler d'abord de cet œdème des pieds et de la partie in
elle semble même y être plus fréquente que l'hystérie féminine. Nous parlons ici bien entendu de la grande hystérie, de l'hyst
igé par M. le professeur Pitres 2, dans l'espace de deux ans. Je ne parle pas de l'étranger où la conversion « à l'hystérie
s violents. Pas de maladies caractérisées pendant cette période. Nous parlerons plus loin de ses antécédents héréditaires. A se
ite. Alors il tombe dans un état nerveux indicible et dont il ne peut parler aujourd'hui encore sans émotion. Ses jambes tremb
s causes dans l'hystérie, n'ont pas besoin de commentaires. je veux parler de l'alcoolisme dont l'action, chaque jour renfor
ttra, je l'espère, d'établir l'origine véritable d'un ptosis. Je ne parle pas ici des cas où il y a participation des autre
hypertrophie acromégalique et l'hypertrophie syringomyélique. Pour ne parler que de notre malade, il est certain que l'augment
hypothèse d'une lésion de la capsule interne. L'hémiplégie, dont nous parlons , reconnaît une tout autre origine. Les noms étant
laissons pour aujourd'hui ces lésions graves au premier chef, pour ne parler que des plus superficielles qui sont en réalité l
ion de ce genre une hémianesthésie hystérique soit survenue provoquée parles accidents syphilitiques, les lésions superficiell
lésion de la capsule interne. Et maintenant je n'ai plus qu'à vous parler thérapeutique. Trop souvent, dans cet hospice, en
ssaire, et joignez à l'iodure les frictions mercu-rielles. Quand on parle de syphilis cérébrale en général, il ne faut pas
t Gombault). Ici, les conséquences sont des plus graves, car, pour ne parler que de ce qui concerne la moelle épinière, on ass
visuel qui est le compagnon habituel de la cécité verbale, je veux parler de Vhémiopie. Eh bien ! ce trouble existe et de l
us tard par un médecin qui la soignait, En outre de cet aveu, il nous parla d'une céphalée sur laquelle je me propose de reve
ns son lit, « bientôt il parut évident — c'est toujours M. Féréol qui parle — qu'une nouvelle phase commençait; la malade eut
A la visite du matin, je trouvai une amélioration réelle. La malade parlait , répondait juste et sans délire..... Dans la jour
t dû aux déformations persistantes de la main droite, dont nous avons parlé plus haut. Le réflexe rotulien, à peu près normal
alysie du droit interne du côté opposé et se caractérise cliniquement parla déviation conjuguée des yeux. Ce phénomène est d'
les Bâillements chez un épileptique, dans lequel cet auteur distingué parle également du bâillement chez les hystériques. « C
tremêlent parfois avec la manifestation pathologique dont nous allons parler . II. On peut concevoir que les bâillements so
en pronation, sa mâchoire inférieure tremble au point de Fempêcher de parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux ma
46 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
t en de-hors la cloison du sinus maxillaire, se brisent avec facilité parla moindre pression, et occasionnent de fausses rout
ier sont: l'injection, le cathétérisme et la compression dont il sera parlé plus loin. injections. Procédé dJnel(p\. 4, %
ra fait avec le bis-touri une fausse route suivie par la canule. Saus parler du fait déplorable où la voie a été tracée dans l
teint promptement une grande perfection, quant aux manœuvres, surtout parles tra-vaux de M. Gensoul. Toutefois, en théorie, es
an. Procédé de M. Gensoul. Les instrumens sont ceux dont nous avons parlé plus haut à propos du cathétérisme par' la méthod
e contente de maintenir, abaissé sur la plaie, le muscle orbiculaire, parla pres-sion de haut en bas, sur l'arcade sourcilièr
e hydropisie des deux chambres, caractérisée, entre autres symptômes, parla proémi-nence exagérée et la demi-opacité de la co
ent du premier siècle, Celse décrit méthodiquement l'abaissement sans parler de l'extraction, rien ne prouve cependant que cet
l'extérieur par la narine antérieure, et communiquant avec le pharynx parla narine postérieure. Narines antérieures. Orific
outefois cette opération n'est pas connue des Latins. Galien et Celse parlent assez vaguement de l'art de raccoutrer le nez. Ce
ne dent, la seule qui restât dans la bouche, formait la racine. Khern parle d'un calcul de la grosseur d'une noix. M. Graefe
les effets du selon et des exutoires, qui avaient déjà été conseillés parles Arabes et les anciens. Manne, chirurgien d'Avigno
u. Si, bouchant la narine du côté sain, et faisant renifler le malade parla narine du côté malade, l'air paraît traverser ave
ant qu'ils aient attaché une grande importance à U guérir. Celse n'en parle que succinctement, mais assez néan-moins pour en
ssez considérable pour causer la mort. Du reste, le malade ne doit ni parler ni essayer aucun mouvement des mâchoires pendan
que l'on serait parvenu à assouplir et rendre plus mobile la mâchoire parles moyens d'écartement. Mais, quoique l'on cite plus
a compression et la ligature. (a) Compression. Maisonneuve réussit, parla compression per-manente établie entre la fistule
n préalablement d'en aviver les bords. Nous ne croyons point devoir parler de l'extirpation de la glande parotide, moyen ext
upart des grands chirurgiens. Cependant en parcourant les faits cités parles auteurs on est surpris du nombre d'opérations de
pocrate recommande de la faire avec une lancette ; Celse et Aétius en parlent , mais déjà ne la regardent pas comme curative ; A
et plus sûr de la pratiquer avec l'un des serre-nœuds donl nous avons parlé plus haut. STRAPTIYLOPLASTIQUE. Dans le cas o
ule un malade dont la tumeur avait le volume d'un œuf. Mais M. Mayor, parle nombre de succès qu'il a obtenus dans des cas trè
ation ou la respiration artificielle, à l'aide d'une sonde introduite parle la-rynx, dans les cas d'obturation de la glotte,
du plus gros calibre, l'introduire par une narine et la faire glisser parla fosse nasale, jusque dans le pharynx; faisant alo
ont guéri étaient dans ce cas. Ainsi donc, sans se laisser décourager parla situation apparentedu malade, etsans se perdre da
emps, suivant le procédé de Boyer, que nous décrirons plus loin. 1° Parla bouche. La bouche étant largement ouverte, avec l
déjà mise en usage par Paul d'Egine, et recommandée à différens âges parles plus grands chirurgiens, Paré, Cheselden, Louis,
maladie elle-même. Au moyen âge, G. de Salicet et Guy de Chauliac ne parlent de l'em-pyème qu'avec réserve. A la renaissance,
e la collection arrive sous la peau, n'exige aucune description. %" Parle bistouri. Procédé de M. Velpeau. Ce chirurgien po
cuer néan-moins le pus, et pour remplir l'espace, d'y suppléer plutôt parle liquide moins offensif de l'injection, qu'on lais
refoulement. PARACENTÈSE DU PÉRICARDE. Est-il bien nécessaire de parler de la ponction du péricarde, et le temps est-il v
ions cbondro-costales des cinquième, quatrième, et troisième côtes et parles espaces intercostaux correspondans. Son sommet da
, aux vaisseaux diaphragmatiques supérieurs; des arté-rioles fournies parles dernières intercostales remontent sur ses in-sert
ée, la solu-tion s'en présente d'elle-même. Comme les accidens causés parle corps étranger sont certains, tandis que l'hémorr
ité de l'abdomen. On retire ensuite la canule, et le liquide s'écoule parla sonde. L'objet de cette modification est de n'opé
région ombilicale est, autant que possible, le lieu d'élection choisi parle chirurgien. Le malade étant placé dans la situati
une collection de la vésicule biliaire. Aujourd'hui on sait que c'est parle moyen des adhé-rences péritonéales entre les feui
aucune opération de ce genre n'a encore été pratiquée. Enfin, c'est parles mêmes moyens qu'il convient d'ouvrir toutes les t
est dans les cas de ce genre qu'a été pratiquée la gastroto-mie. Sans parler des faits anciens rapportés par A. Paré, Graeger
ir et à se convertir en une pâte, serait bien plus facilement expulsé parles selles. Quoi qu'il en soit, M. Reybard ayant perc
s contemporains; car Guillaume de Salicet et Guy de Chauliac, cpii en parlent , blâ-ment cette méthode et lui préfèrent la sutur
été pratiquée qu'un petit nombre de fois avec des succès divers. Sans parler des chirurgiens du siècle dernier, Ricberand et B
pporter une modification récente, tentée par M. Amussat, et dont nous parlerons plus loin. Quant à la manœuvre opératoire, elle
d'une main, tandis que de l'autre il dirige le bout supérieur attiré parles anses de fil pour l'invaginer dans l'inférieur, d
i avait plus de génie chirurgical que tous les docteurs de son temps, parla d'une opération de la hernie étranglée. Sans rech
caparer la majeure partie des viscères du bas-ventre. Il y aurait à parler ici de la manière dont se comportent dans la tume
enveloppes qu'il tire la raison de sa conduite. Autrement, et afin de parler un langage plus clair, la théorie de l'étrangleme
pas été entièrement stérile, il faut reconnaître que l'é-tranglement parle collet du sac est plus fréquent encore qu'on ne l
loïques du colon. Enfin il est pos-sible que l'intestin soit étranglé parles bords d'une déchirure survenue dans le sac, ou pa
anneau crural. Etudions d'abord cet anneau à l'état normal, puis nous parlerons de la manière dont les hernies se comportent par
in, il faudra s'aider de quelques-uns des moyens dont il nous reste à parler . 20 Position donnée au malade. Au lieu de place
uère rappeler que comme un fait curieux celui de ce jeune o mme, dont parle J.-L. Petit, qui fut débarrassé de sa hernie étra
soutenir ces diverses pratiques. Le plus souvent aucun motif réel ne parle en faveur de l'un de ces moyens adjuvans, plutôt
ables de jeter du doute dans l'esprit de l'opérateur. Nous avons déjà parlé de la présence de plaques graisseuses et de kyste
es deux. Enfin une hernie étranglée peut avoir été réduite en masse parle taxis, et néanmoins que l'étranglement continuant
osé général de l'opération de la hernie étranglée, nous n'avons point parlé de certaines méthodes opératoires qui sont à-peu-
ffet, cité des exemples de cet accident, devenu ordinairement mortel, parla difficulté où l'on se trouve de reconnaître d'abo
2 lignes) au-dessus de l'anneau. S'agit-il d'un étranglement produit parle collet, au niveau de l'anneau infé-rieur, on pour
Il en résulte d'une part que l'é-tranglement, causé plus fréquemment parles parties fibreuses, marche avec plus d'acuité , et
en retirera un avantage réel. Dans l'exposé qui va suivre , nous ne parlerons que de quel-ques-unes des méthodes nouvelles, et
ds formés par la peau et la membrane muqueuse, et leur exacte réunion parla suture en-chevillée. Nous avons même imaginé, afi
ice civil de Versailles. Le même Duret de Brest, dont nous avons déjà parlé ; MM. Legris, chirurgien de la marine, Serraud, ch
'est pas sûr, aussi a-t-il été rejeté par tous les auteurs qui en ont parlé : Sabatier , Boyer, Dupuytren, M. "Velpeau, etc.;
n. En i83o,, il présenta à l'Académie un mémoire dont nous avons déjà parlé , qui contient deux observations d'opéra-tions de
s anus artificiels ont beaucoup de ten-dance à se rétrécir. Fine en a parlé dans son mémoire. Le second malade de M. Amussat,
pêcher le rétrécissement. V imperforation profonde est caractérisée parla présence d'une cloison membraneuse complète qui i
s d'y remédier sont le tamponnement et le cautère actuel dont il sera parlé à propos des tumeurs hémorrhoïdales. Pansement.
ez abondante ; on y remédie par des lavemens froids et astringens, ou parle tamponnement. Si le polype était situé trop hau
'un bistouri droit il opère en poin-tant, et doit remplacer son doigt parla sonde cannelée. Une inci-sion de grandeur convena
, mais le vin lui est encore ajuste titre préféré. Un chirurgien dont parle Monro, se servait, d'alcool pur ou affaibli; Earl
is le trois-quarts blesse quelqu'une des branches fournies au scrotum parles ai tères honteuses internes et exter-nes, l'artèr
pas de manœuvres autres que celles de l'injec-tion vineuse, nous n'en parlerons pas plus longuement ici; seu-lement nous ajoutero
l'hydrocèle; nous nous réser-vons de les passer en revue, après avoir parlé succinctement du traitement qui convient à chaque
assin suffisent. Les autres liquides étant fort peu usités, nous n'en parlerons pas. Avec le vin on est forcé de pousser immédiat
soin de faire passer les aiguilles dans les trous dont nous venons de parler . On a fait encore d'autres pinces sur lesquelles
à lui-même, il subit une des diverses transformations dont nous avons parlé , et l'on ne peut espérer d'en obtenir la guérison
fois de croûtes jaunâtres et d'ulcérations superficielles. Celle dont parle Dionis était inégale, très dure et bosselée ; ell
cas dans lequel la tiuneur pesait 8a ki-logrammes et demi. Celle dont parle M. Caffort avait 83 centimè-tres et celle de M. C
se avant d'en opérer la section. Celse est un des premiers qui en ait parlé , Paul d'Egine suivait ce précepte. Parmi ceux qui
rocédé ordinaire. Lorsqu'on a fait l'incision dorsale dont nous avons parlé dans la méthode par incision, on saisit successi-
iale du prépuce. J. L. Petit et Boyer sont les seuls auteurs qui en parlent . Procédé de J. L. Petit. Pour guérir cette affe
urbure sous-pubienne sur-tout, qui est la plus importante, est formée parles trois portions de l'urètre qu'on appelle bulbeuse
; toujours elle se répand sur les parties voisines et les vête-mens, parle défaut du canal susceptible delà conduire plusloi
ner. Les sondes anciennes avaient de grandes courbures ; cel-les dont parle Boyer sont courbées dans le tiers de leur longueu
flexibles. L'idée de soulager les malades et d'éviter l'accident dont parle J.-L. Petit a stimulé l'imagination des chi-rurgi
en gomme élastique possèdent toutes les qualités dont nous venons de parler , elles peuvent rester dans les organes génito-uri
re genre ont été signalés et peuvent exister réellement; nous voulons parler de la contraction spasmo-dique des fibres muscula
: i " on éprouve la sensation d'un ob stacle vaincu; a° l'urine sort parle pavillon de la sonde lorsqu'elle est creuse; 3° l
est bien vrai qu'on ne peut refuser à Lieu-taud l'honneur d'en avoir parlé un des premiers, puisqu'on trouve sa proposition
nt véritable du canal que la contraction spasmo-diqne dont nous avons parlé plus haut. 3" Rétrécissemens organiques. M. Amu
rumens ils laissent encore beaucoup à désirer. Nous voudrions pouvoir parler d'un nouveau genre de dilatateur imaginé par M. P
des rétrécissemens déjà traités par de petites sondes ou bougies, ou parla cautérisation. A ces divers titres, mais à ces ti
'une petite boîte à cuir destinée à empêcher que le caustique dissous parles humeurs de l'urètre ne vienne, pendant l'opé-rati
, vient se loger dans la petite entaille de la canule dont nous avons parlé ; sur l'autre côté règne une lame tranchante plus
Philadelphie, sont pour ainsi dire les seuls cpii aient continué à en parler favorablement et à l'appliquer.Il est certain que
d'inciser soient rares, attendu que les méthodes dont nous avons déjà parlé suffi-sent le plus souvent, il paraît néanmoins q
à vaincre le rétrécisse-ment par les autres méthodes dont nous avons parlé , et qu'il y aura urgence d'évacuer la vessie, com
à l'introduire ; toutefois , si cela arrivait, il faudrait commencer parles bougies, mais revenir aux sondes en gomme élastiq
a pensé que cela tenait à ce qu'une petite quantité d'urine, poussée parles contractions de la vessie, s'insinuant entre la s
e goutte d'urine : tel est le cas d'un jeune homme d'Abbeville , dont parle Boyer. Après avoir fait usage de la sonde ouverte
la femme que chez l'homme. Chaussier et madame Lachapelle en avaient parlé les premiers. Wardrop en a rencontré un cas, et M
t situé plus profondément, les divers instru-mens dont nous venons de parler ne pouvant pas servir, on en a imaginé une foule
terait pas beaucoup de difficultés. Les instrumens dont nous allons parler sont d'une application plus générale. (a) Pince
ment est fort bon, mais la sonde se trouve bouchée par le lobe lié et parle mandrin. Le second de ces instrumens (Pl. 54, f
sillon à l'extrémité antérieure de l'al-galie, afin qu'on fût averti parla sortie de quelques gouttes d'u-rine, qu'on est ar
terminer à-peu-près ces nuances, et perçoit les qualités des surfaces parla nature de son glissement, qui est doux sur les fa
signaler un calcul cpii n'existe pas. — i° Calculs non reconnus. Sans parler ici des calculs non soup-çonnés, c'est un fait qu
l'erreur est due à la coexistence de colonnes charnues dont le choc, parla sonde, se confond par le son et le toucher avec c
age par un ressort qui imite le choc d'un calcul. Les maladies citées parles auteurs comme, pouvant simuler la pierre sont : l
riste, qui périt victime d'un prétendu remède dissolvant. Galien, qui parle de ce mode de traitement comme d'une méthode usue
s'il paraît bien qu'Azzabravi, ou, si l'on veut, Albucasis, n'a point parlé de la lithotritie vésicale, il n'est pas moins pr
es traces? on l'ignore; quoi qu'il en soit, un écrivain du xv° siècle parle de la lithotritie comme d'une méthode sinon effic
s. Quoi qu'il en soit, c'était un grand pas défait. Il était démontré parla qu'on pouvait pénétrer dans la vessie avec de gro
e pas, chez le malade, quelques-unes des contre-indications dont nous parlerons plus tard; s'as-surer si l'on peut facilement int
labe au moyen de la rondelle et de la vis de pression dont nous avons parlé , on pousse le foret jusque sur le calcul, et l'on
gal, faisant agirla pression de dedans en dehors; c'est à pro-prement parler plutôt l'éclatement que le brisement de la coque
ntes, de même au reste que la mé-thode par brisement direct, dontnous parlerons plus tard, avaient paru dangereuses à quelques pr
d'Ebn-al-Harrar, du colonel Martin et de M. Elger ton dont nous avons parlé dans notre historique. JVeiss, coutelier de Lon
d'une vis de rappel. L'instrument de M. Colombat dont nous avons déjà parlé dans l'article précé-dent, peut aussi agir par pr
Malgré tous les perfectionnemens incontestables dont nous venons de parler , les instrumens à pression et à percussion lais-s
t 3o), et à double cuiller (fig. 29). Appréciation. Nous avons déjà parlé de l'instrument de Jacob-son ; il nous reste à fa
ires sont atteints de quel-ques-unes des maladies dont nous venons de parler ; que la vessie contient une ou plusieurs pierres
uvent le faire pen-cher vers l'une ou l'autre opération. M. Civiale a parlé le premier d'un état d'atonie de la vessie avec a
fâcheux, autant par les douleurs qu'il fait éprouver aux malades, que parle temps qu'il fait perdre pour terminer l'opération
le siège d'un gonflement con-sidérable, comme si le mal avait débuté parla couche cellulo-graisseuse; 6° au-dessus de l'apon
tient les viscères. 20 Prostate. Cette glande, dont nous avons déjà parlé à pro-pos de l'anatomie opératoire de l'urètre, e
différente de l'ordi-naire , mais qui est trop insignifiante pour en parler , Ledran introduisait dans la vessie le cathéter c
nt est au repos, renfermée tout entière dans la fente dont nous avons parlé . Son tranchant règne sur sa con-vexité, et se ter
aire au procédé de Frère Côme quelques modifications dont nous allons parler . Procédé de Boyer. « Pour éviter, dit-il, les a
auche, on lui fait subir le mouvement de bascule dont nous avons déjà parlé , et lorsqu'il est suffisamment relevé, on pousse
nes un écoulement plus facile. Aucune des inci-sions, dont nous avons parlé précédemment, ne peut permettre, comme celle-ci,
our terminer ce qui a rapport aux tailles périnéales, il nous reste à parler du manuel opératoire en général,et plus spécialem
uire les tenettes, on les saisit de la main droite, à pleine poignée, parles anneaux, on allonge le doigt indicateur sur leurs
, si outre un volume considérable, le calcul est étroitement embrassé parla vessie dure et raccourcie, on est obligé d'user d
nt par où le sang s'écoule. Quelquefois les petites pierres, poussées parles contractions de la vessie, s'échappent seules par
es, les muscles et le tissu graisseux du périnée dont nous avons déjà parlé . Sur la ligne médiane il n'y a aucuns vaisseaux d
dé de Rousset, même avec toutes les modifications dont nous venons de parler , présentait plusieurs inconvéniens dont on a beau
peut y substituer avec avantage l'un des suspenseurs dont nous avons parlé ; celui de M. Behnas est un des plus commodes, en
le principe de la suture après la taille hypogastrique, entendent-ils parler de la suture de la vessie proprement dite. M. Pin
ne opinion. Enfin, à supposer que l'occlusion im-médiate de la vessie parla suture du Pelletier, la seule raison-nablement ap
u'on lui suppose, fatigue souvent la vessie et ne peut être supportée parles malades; il est à-peu-près impossible que les lèv
division dupéritoineetles infiltrations d'urine, dangers réels et qui parlent en faveur de l'opinion le plus généralement reçue
consigné dans \e Bulletin médical de Bor-deaux ( 1833) une opération parle procédé de A. Dubois, dans laquelle il retira un
iquer la taille chez la femme. Des trois méthodes dont nous venons de parler , la taille vestibulaire, et la taille urétrale pa
t d'autant moins se presser de la juger que ses résultats, rem-brunis parla critique, ayant été obtenus avec les premiers app
ort peu de ce qu'elles sont dans les autres parties du corps, nous en parlerons aussi brièvement que possible. CATHÉTÉRISME DE
s bien reconnue avant Levret. Bueff paraît être le premier qui en ait parlé dans son traité de Concept, et Degener. Homin. 15
ÉLÉPIIANTIASIS DE LA VULVE. Larrey est un des premiers qui en aient parlé . Delpech rapporte (t. ier de sa Clinique chirurgi
ntimètres de large pendait hors des parties génitales; il était formé parla paroi postérieure du vagin, qui ne tenait plus qu
r assez long-temps pour donner de véritables inquiétudes. M. Vel-peau parle de deux dames qui en furent prises le troisième j
singulièrement à la palpation des organes de l'abdomen et du bassin , parla pression qui fait distinguer les différentes sort
rapprochement ou l'écartement était effectué par une vis. Albu-casis parle aussi d'un spéculum à deux branches destiné à dil
ales, enfer, séparées par des vides, il peut être facilement remplacé parles spéculums cylindriques fenêtres (Pl. 45, fig- 5).
lindrique,il faudra en avoir de différentes dimensions, qu'on désigne parles numéros i,a,3. Quant au spéculum brisé, il peut s
e guide pour arriver au col. La rosace du vagin dont nous venons de parler , présentant quelque ressemblance avec le col utér
ouam n'en ont retiré aucun avantage. Le peu de bons résultats fournis parla suture, jusqu'à présent, tient à plusieurs circon
chercher à s'assurer de. l'état des parties, soit par le toucher soit parle spéculum, avant que le temps nécessaire à la réun
nablement tenter il'autre méthode que celle de M. Vidal; nous voulons parler de celles dans lesquelles la cloison vésico-vagin
une femme de 68 ans (Guerbois, Thèse de concours, 1834)- M. Vel-peau parle d'une femme, atteinte d'une pareille fistule, qui
la nécessité d'avoir recours aux moyens chirurgicaux dont nous avons parlé dans l'article précédent. i° La cautérisation n
ules étroites, ou pour terminer la cure de celles qu'on aura traitées parla suture; celles qui ont une étendue un peu considé
s. 20 Suture.—Procédé de Saucerotte. La malade dont nous avons déjà parlé , avait la cloison recto-vaginale perforée au-dess
nches fut introduite par le vagin dans l'intestin perforé, et l'autre parle rectum, jusqu'à ce que sa plaque fût ar-rivée au
des débris d'embryon résultant d'une grossesse extra-utérine. Nous en parlerons à l'article opération césarienne. Diverses sort
s de mer sont aussi recommandés dans ce cas. Aux pessaires, dont nous parlerons plus loin, Chélius préfère, avec raison, l'emploi
ellement le vagin par la cautérisation, l'excision ou la su-ture , et parle rétrécissement de la vulve. 1" Cautérisation. M
Ireland. Il recommande de détacher les bande-lettes , dont nous avons parlé , sur les côtés du vagin, et de leur donner 27 mil
ile et plus sûr de remédier aux descentes de matrice par ce moyen que parles autres, est le premier qui en ait fait l'applicat
r. Ces pessaires, quoique meilleurs que tous ceux dont nous venons de parler , manquent cependant de souplesse , et doivent êtr
ar devenir difficile à supporter. Les pessaires dont nous venons de parler sont destinés seule-ment à soutenir la matrice* c
n, qui donnent le plus souvent lieu aux acci-dens dont nous venons de parler . Contre-indications. Si les pessaires détermine
core leur usage doit-il être accompagné de moyens généraux, dont nous parlerons bientôt, de façon à ce qu'ils ne servent, pour ai
on ; mais, chez les modernes, cette affection avait été fort négligée parles auteurs et par les praticiens, au point qu'il fau
dernier s'appropriant, pour ainsi dire, Jadécouverte, après en avoir parlé dans ses brillantes leçons, publia sur ce sujet,
hercher le col avec un instrument en forme de cuiller, et M. Colombat parle d'un instrument de son invention , qu'il trouve p
tres du bassin. Lorsque , par l'un des procédés dont nous venons de parler , on est parvenu à réduire l'utérus , il faut le
i° Corps étrangers du vagin. Outre les pessaires dont nous avons déjà parlé , Dupuytren y a rencontré une fois un pot de faïen
encontre d'abord une enveloppe tantôt très mince, et seulement formée parla muqueuse; d'autres fois plus épaisse, et formée à
artie inférieure, puis dans toute son étendue, et se laisse parcourir parles vaisseaux qui servent de moyen d'union, en sorte
rac-tions méthodiques, il l'amena dans le détroit inférieur, et finit parla détacher. Dans un de ces cas, il fallut faire une
on prend celle-ci avecla main droite, et, pendantque la pince, fixée parla main gauche, reste immobile, on fait décrire à la
erreuses, proprement dites, ont été connues de tout temps. Hippocrate parle d'une servante de Larisse qui, à l'âge de 60 ans
nombre d'observations sur ce sujet : depuis, tous les auteurs en ont parlé . Tant que ces corps restent renfermés dans la m
L'UTÉRUS. Les ouvrages de médecine opératoire les plus modernes ne parlent que du cancer du col utérin , et disent que les o
n. Appréciation des méthodes. Des deux méthodes dont nous venons de parler , la seconde, celle cpii consiste à couper le col
lorsque la matrice est dans un état de prolap-sus complet, et envahie parla gangrène ou la dégénérescence cancéreuse; et 3" l
ccouchement, qui en est la cause ordinaire; car alors l'anneau, formé parle col autour de la tumeur, est encore souple et peu
ns larges et leurs at-taches au vagin, avec de longs ciseaux conduits parla main droite. Procédé de M. Langenbeck (pl. 76 ,
'os coxal, dont il fait partie, on le sépare de celui de l'autre côté parla symphyséotomie ordinaire. Dans le seul cas où M.
deux fois avec succès, son procédé, néanmoins, n'a point été agréé parla majo-rité des praticiens. 4° Incisions obliques
upportables pour la femme. De tous les procédés dont nous venons de parler , celui dans lequel on fait l'incision sur la lign
LE. Elle consiste à inciser la matrice en conduisant les instrumens parle vagin. Deux circonstances fort différentes peuven
centre, 2.3g, 240.—Ecrasement direct des calculs, 24°-242. Ecrasement parla percussion seule, 242-244; écrasement par pressio
e sur la paupière supérieure; la seconde, la guérison toute nouvelle, parles sections de muscles rétractés, de certaines vues
-elle encore reconnue jusqu'à un cer-tain point en opérant, ou prévue parla théorie générale de M. J. Guérin sur la transform
pliquer à la section des muscles droits « la méthode sous-cutanée. Je parlerai plus loin de ce procédé « et de ce qui m'est reve
si nouveaux, quand ils auront décrit leurs procédés, nous laisserons parler les au-teurs eux-mêmes. Section à découvert.
paupière inférieure avec l'index; c'est-à-dire que c'est le patient, parla seule force de sa volonté, qui doit contenir ses
u'il n'est pas commun. 5° Granulations. Bourgeons charnus. Laissons parler à ce sujet M. Baudens (p. 5i). « Au bout de qui
ples de quatre ou cinq muscles; à propos de ce dernier accident, nous parlerons de l'opération nouvelle imagi-née par M. Baudens
ectés, tantôt s'annonçant par des efforts convulsifs avant de pouvoir parler , et tantôt débutant par une prononciation facile,
leur que les pre-miers à-peu-près nuls pour l'opération. Quelques-uns parlent la bouche entrouverte toujours au même degré; ils
e, ainsi que de tout temps on l'a observé chez les enfans, arrêt qui, parla difficulté où se trouve la langue de se mouvoir,
. Il a eu des enfans qui bégayent. M. Dieffen-bach, dans sa brochure, parle d'un père qui a eu neuf enfans dont plusieurs att
la traduction. « Des ancyloglosses (fetde ceux qui peuvent à peine parler . (2) « Parmi les bègues, les uns le sont de nai
laisse sous cet organe une cicatrice dure. Ceux qui en sont affectées parlent difficilement, raison pour laquelle ils sont appe
ais-sance, d'abord hésitent longuement lorsqu'ils veulent commencer à parler , mais enfin , l'obstacle vaincu , ils parlent ave
'ils veulent commencer à parler, mais enfin , l'obstacle vaincu , ils parlent avec assez de volubilité; cependant, s'il se prés
t par cela même qu'ils font avec lenteur des efforts pour commencer à parler , en même temps que la tension sous la langue devi
esloys, dist Episte-moii. Le bon mary vouloyt que elle parlast. Elle parla par larl dumedicin et du chirurgien qui luy ooupp
iglolte que elle auoyt souliz la langue. La parolle rei'ouuerte, elle parla tant cl lantquc sou mary retourna au mediein pour
etourna au mediein pour remède de la faire taire, etc. noncer ou do parler ; la langue alors n'est, retenue par aucun ligamen
Dieu, je fus si heureux, que peu de temps après, mon frère commença à parler , et depuis, Dieu merci ! il parle et articule on
temps après, mon frère commença à parler, et depuis, Dieu merci ! il parle et articule on ne peut mieux. » (a) Fabrice de
e intellectuel des siècles qui nous ont précédés, de parvenir à faire parler les muets. Pour terminer cet historique des fai
ur qu'il ne reste plus d'obstacle qui empêche l'enfant de téter et de parler . On pourra aussi se servir d'un bistouri, en avan
vre postérieure de la plaie fut, au moyen de la suture dont j'ai déjà parlé et d'un double crochet, amenée assez en avant pou
o-glosses sont intacts. Arrêtant alors l'opé-ration, M. Aniussat fait parler son malade : très souvent cette section suffit, e
hors de la bouche: il en résulte que les sujets peuvent continuer de parler . Nous en avons vu plusieurs, après guérison compl
long, de quelques semaines à deux mois , les malades ont continué de parler ; mais , en règle générale, dit M. Baudens, dès qu
concavité de la mâchoire ; un guide plus sûr encore peut être fourni parle doigt indicateur gauche introduitdans la bou-che
sion de l'artère submentale prouvée par l'autopsie. Enfin, M. Baudens parle d'un engorgement lympha-tique des glandes du cou
on difficile et douloureuse. Dans quelques procédés, la difficulté de parler augmente le lendemain de l'opération, et continue
lips a cité quelques guérisons. M. Dufresse-Chassaigne, qui a opéré parle procédé de M. Vel-peau, compte sur 17 sujets , 7
nt contraire. A un autre point de vue, en consultant le chiffre avoué parles chirur-giens, si intéressés à publier les succès
simple contracture permet d'obtenir l'allongement immé-diat du muscle parles moyens propres à l'effectuer : l'extension, le ma
d nombre de cas , à obtenir un redressement assez complet, uniquement parle secours des machines. Sans prendre parti dans c
nt sujets tant d'autres muscles de struc-ture moins fibreuse, et qui, parla nature de leurs usages , sont fréquemment au repo
ises le strabisme, le bégaiement et la ténotomie dont nous avons déjà parlé . Toutefois nous croyons, à propos des ponctions,
s d'une action physique, chimique et vitale : physique, en favorisant parles espaces libres qu'il laisse sous la peau , au fur
éreuses qui succèdent assez souvent aux épanchemens sanguins produits parles opérations de myo-tomie sous-cutanée; opération r
4° M. Ricord pour la ligature sous-cutanée des veines dont nous avons parlé dans le traitement du varicocèle. 5° Enfin M. J
pince et le bistouri. — Figure 10. Excision à la paupière supérieure parla surface de la conjonctive. Figure 11. Excision
la ponction de la trachée avec le trocart de Bouchot. Cet instrument, parla forme ellipsoïde et aplatie de sa canule, n'offre
la tumeur dans la paume de la main droite (a), chasse graduellement, parles mouve-mens des doigts, les viscères vers l'anneau
vant, n'étant formé que par les aponévroses. En de-dans il est limité parle tendon du muscle grand droit; il n'y a donc-point
les tégumens et le cordon. B. Procédé de M. Gerdy. La peau conduite parle doigt indicateur est insinuée sous l'anneau obliq
ttent de varier l'articulation avec le ressort sous l'angle nécessité parle volume de l'abdomen. Figure 6. Procédé de M. Ve
ément sous un angle moins ouvert.On voit que le dard, avant de sortir parla paroi abdomi-nale, traverse le repli peritoneal e
. d. Section transversale, en arc, de l'espace vestibulaire, opérée parla main droite du chirurgien. Tome 7. Pl.65. D
s la découverte de détail de MM. Bonnet et Guérin, tout en confirmant parle résultat même de leurs recherches sur ce point sp
47 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de vous citer les noms, que ceux dont j'ai volontairement omis de parlerions sans exception, ont considéré la manie et la mé
oire sur la folie circulaire, forme de maladie mentale caractérisée parla repro-- duction successive et régulière de l'ét
gardent le silence sur.la nou- velle entité, psychiatrique, ou n'en parlent que pour la condamner. C'estainsi que Régis,
La pression était douloureuse à ce niveau. mais sans irradiation. Parla radiographie on put aflirmer qu'il manquait au mo
la radiographie, bientôt remplacée dans l'immense majorité des cas parla radioscopie infiniment moins dispendieuse, est de
que etc'est il son propos que l'auteur expose sa méthode. Il débute parle massage, mais celui-ci est réservé aux muscles
il une lésion cellulaire ré- parallle, qui leur a paru liée, d'une parla a l'état cuto-toxiqne ré- ARCIllVES,2- série, 1
la psychose elle-même, l'expression de l'injure faite à la cellule parle poison. VI. Crises gastriques tabétiques, élong
x, elle sourit, puis elle se remet à manger, à marcher, à écrire, à parler . Ce réveil est complet et définitif en janvier
1. Bérillon. Certains auteurs ont essayé de traiter des kleptomanes parla suggestion hypnotique ; n'ayant pu réussir dans
Mais ce sont les mêmes malades que les auteurs ont en vue, qu'ils parlent de mélancolie pure ou d'état mélancolique dans le
t la mélancolie : par la dépression ou la stupeur, par l'anxiété, parles idées délirantes. Au point de vue il il convien
l'on s'accoutume trop fa- cilement à l'inexprimable misère produite parles maladies men- tales ; et l'on paye sans hésiter
par l'alcoolisme dans les différents Etats-avec la valeur produite parle trafic de l'alcool. - 4. Diminution de la force
anisation du ma- tériel concernant les aliénations mentales causées parla syphilis. 3° «(.Effets delà contagion syphiliti
eure est formée en haut par le pulvinar et le trigone et plus bas parla deuxième limbique (L 2). Il n'existe pas, même
résultats positifs. Enfin, le reproche de \I. Régis de n'avoir pas parlé des rapports de l'hématologie et de l'urologie
motrice, et ceci distinguerait symptomatiquement les faits dont je parle des faits de paraplégie médullaireet d'hémiplé-
uve- nir, ne pas connaître le premier mot de la chose dont on lui parle , etc., etc. Comment dépister ici le mensonge, la
evient criminel par suite d'impulsions déréglées, sans qu'on puisse parler de troubles mentaux proprement dits. Quelquefoi
s les asiles des sujets dont ce n'est pas la place. Le rapporteur parle enfin de sujets partiellement responsa- CONGR
s administratives 182 CLINIQUE MENTALE. coutumières dont on lui parle , et les nombreuses démarches aux- quelles il se
épare un « matricide ». «Voici un épisode du délire dont je vous ai parlé . On peut y voir comment une suite de circonstan
g-Saint-llonoré (avril-juillet 1899) deux fois par semaine. Elle me parle une fois de ma famille, « de ma mère, de ma pau
la comtesse V ? je viens à par- ler de ma famille et elle aussi me parle de ma famille, un matin après le petit déjeuner
qu'il faut prendre une résolution défi- nitive, attendu que je lui parlais de rentrer dans une Trappe. Il me conseille d'a
s..le le vois montant l'escalier de l'Obser- vatoire. à la lin - me parler de ma mère, comment elle allait, en insistant s
i, je déjeune chez Mme C ? à Toulouse. Entre autres choses, elle me parle de ma pauvre mère, me conseille de me retirera
te précipita- tion. Dès lors, le malade est véritablement assiégé parles hallucina- tions ; un soir, au café, tout le mo
upart de ceux qui y participaient et que j'ai revus, m'ont, depuis, parlé comme auparavant, Et, de celte farce, je n'en a
i manquait ce dont elle avait besoin ; mais on ne put l'apprendre à parler . Elle avalait difficilement, ne pouvait se ser-
brusquement, et la malade se réveille en- core tout oppressée, nous parle et se plaint de son estomac, qui lui semble bie
ves, c'est-à dire représentant tous les malades dont nous venons de parler , tous les deux ans. avec l'indication de leur p
r. Les médecins adjoints des asiles publics d'aliénés sont recrutés parle concours annuel, ayant lieu à Paris dans le pre
des services administratifs au minis- tère de l'inférieur, désigné parle ministre, président; 2° Un professeur ou agrégé
utes les formes mentales et dont les caractères spéciaux, dont nous parlerons dans un instant,ne proviennent pas du délire.
lité des singuliers phénomènes de la troisième con- dition formulée parle Professeur Bail, et que nous a éga- lement offe
àses devanciers, débute bien en- tendu par Moreau de Tours, puis il parle du cas très in- téressant de Baume, des deux de
n'explique pas du tout pour cela la folie gémellaire. Tout d'abord, parla raison donnée tout à l'heure pour la prétendue
hanges organiques, et c'est le cas pour deux jumeaux ; ils auront parla , en venant au monde, les mêmes puissances vir-
- même une diminution de l'opération, et cela est confirmé encore parle grand nombre des réactions mauvaises. LES POI
jet L, 3 normales et 2 avec du brome. Quant à l'in- fluence exercée parle brome, elle ne peut pas être établie d'une mani
de vingt ans, il y a déjà plus de quarante ans que Clous- ton (1) parlait aux aliénistes des ravages de cette affec- tion
ations publiées principa- lementdans les périodiques de psychiatrie parles D'" LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'ALIENES.
s. Une étude statistique a été faite pour l'asile de Hil- desheim parle D'' Snell (2) qui, sur 1240 décès survenus de 1
il un modèle de rapport médical dressé sous l'orme de questionnaire parles inspecteurs hollandais, rapport dans lequel son
et des motifs qui l'auront nécessitée sera aussitôt donné au Préfet parle Directeur- Médecin. (l)Nous les accordons dep
Ii1t1111 passe en revue tou- tes les théories émises sur l'hystérie parles différents auteurs, en fait la critique et se r
neux ; la malade, très délirante, qui croyait avoir le ventre rongé parles esprits malins, n'a nullement été améliorée par
- quels il réclamait des commissions, était déclaré irresponsable parle 1)' Dubuisson. Routier ayant continué ses escroqu
nterrer des morts que « Camille « n'apportait pas assez vite. Il ne parlait pas à ses enfants. Le médecin vint alors, lui
vite. Il ne parlait pas à ses enfants. Le médecin vint alors, lui parla , mais il ne lui répondit point, continuant son
c'est-à-dire deux jours après son entrée il l'hôpital, il cessa de parler . Le jeudi 7, il commence à comprendre, mais répon
ait où il est ; il comprend ce que nous lui disons, mais il ne peut parler , cependant il sort la langue, la meut en tous sen
une mimique difficile à comprendre, il explique qu'il voudrait bien parler et qu'il est comme lié à la gorge, qu'il éprouve
Pendant la journée du 8, l'état reste stationnaire, le ma- lade ne parle pas. Nous le revoyons le 9 avril, il vient de f
MENTALE. D. Depuis quand ? - R. Je ne sais pas. ' D. Depuis quand parlez -vous ? R. Hier après-midi, je crois. Il parle t
' D. Depuis quand parlez-vous ? R. Hier après-midi, je crois. Il parle très bas, répond parfois par gestes, il ne peut
e crois. Il parle très bas, répond parfois par gestes, il ne peut parler plus haut. « On dirait que ça me Lient là», dit-i
r ? dire où, je ne sais pas. Il ne se souvient pas qu'il ne pouvait parler avant-hier. D. En quelle année sommes-nous ? -
sé. Il souffre toujours au niveau de la région temporale gauche. Il parle à voix moins basse qu'avant hier, cherche moins
e ce qui s'est passé, ne sait plus que l'avant-veille il ne pouvait parler ; bien plus, l'amnésie rétrograde embrasse une p
e au milieu des phrases, ne sachant plus de quoi il est en train de parler . Nous lui offrons un cigare, il le place auprès
que j'avais un bouchon à la gorge, qu'on me serrait, et je voulais parler pourtant, je faisais les mouvements, mais je ne
. 8 avril. Il est toujours muet, cependant la nuit dernière, il a parlé à trois reprises, tandis qu'il rêvait. 12 avril
ière, il a parlé à trois reprises, tandis qu'il rêvait. 12 avril. Parle un peu plus haut mais est incapable de crier
que j'avais un bouchon à la gorge, qu'on me serrait, et je voulais parler pourtant, je faisais les mouvements, mais je ne
e, puis de l'aphonie étudiée ail- leurs, et dès qu'il s'est remis à parler , le 8 avril, on n'a pu constater chez lui qu'un
e motrice légère, no portant que sur quelques mots. 12 avril. D ? parle plus facilement qu'hier, ilne cherche plus ses
t mais il ne peut le dire qu'après quelques secondes. 27 juin. Il parle maintenant couramment. 17 juillet. Le malade es
de ses chansons. Surdité verbale. 13 avril. - Tandis que nous lui parlons , D ? regarde nos lèvres, afin dit-il de mieux c
t de ne pas toujours comprendre ce qu'on lui dit, surtout lorsqu'on parle un peu vite, il répond quelquefois non quand il
lquefois non quand il faudrait dire oui. 7 mai. « Quand les malades parlent à plusieurs dans le fumoir, il faut que je rega
vant pas à comprendre ce qu'il voulait dire. Quelqu'un au fumoir me parlait de céder et je ne me suis souvenu de la signifi
is souvenu de la signification de ce mot que lorsque j'ai entendu parler de vendre. » 8 mai. Nous lui parlons de prestig
mot que lorsque j'ai entendu parler de vendre. » 8 mai. Nous lui parlons de prestige, il répète le mot, ne le comprend p
scmenL. Etat mental. 13 avril.- Dès le moment où D ? recommença à parler , son unique préoccupation fut de se demander ce
suis bien nulle part, il faut que je sois avec quelqu'un, qu'on me parle , ou bien je me demande ce que je vais devenir,
al dans la tête. Quand je ne regarde pas les lèvres des malades qui parlent dans le fumoir, je ne comprends presque plus ri
moir, je ne comprends presque plus rien, aussi quand deux personnes parlent entre elles à côté de moi. je crois toujours qu
ent dans un état spasmodique plus accusé encore lorsque le malade parlait ou souriait. Le pli naso-génien était plus marqué
u, cessant la nuit pendant le rêve; deux jours après le sujet, peut parler , mais il est aphone et amnésique. Amnésie très
o-psychologique a élaboré un rapport documenté dont nous avons déjà parlé ; il se termine, au point de vue des moyens prév
ron liiiissiiiiiiii avait adopte un projet de des Asiles-Hospices parla création d'As'ilcs-Villages.. Archives, 2- séri
une décom- pression Iropbrusque, dont une douzaine se sont terminés parla mort. L'imprudence joue un grand rôle dans l'ét
passent seules par le IX, celles de la moi- tié antérieure passent parle V ou le VII. Vague. Hyperesthesie très accusée
nx àgauche qu'à droite. Gène delà déglutition : reflux des liquides parle nez. Corde vocale gaucho en position cadavériqu
ar le repas d'épreuve. Acidité totale q= 47.5 ; teneur en HC1 = 2 ? Parle cathétérisme des uretères, on constate que le r
L. XXIV. Association des idéeschezles idiots et les imbé- ciles ; parles 1) ? Boulanger et Hermant. (Bull, de la Société d
pour réclamer son internement. . Si elle ne possédait rien, on ne parlerait pas probablement de son internement et cependant
ruction où travail- lait six ou sept ouvriers. Elle fut interpellée parla femme de l'un d'eux,le sieur Richard. Des mots
anatomiques. Dans cette communication, mon intention est de vous parler de l'ergographie appliquée au diagnostic des ma-
t pédagogique, la médi- cation par la glande thyroïde. Médication parla glande thyroïde. 1. Le traitement est commencé
déformation spécialo des mains et des oreilles bien mise en relief parla description détaillée de la maladie, par lesfig
uble de la volonté, si hien que le sujet, non seulement ne peul pas parler ni écrire, mais ne veut traduire par aucune manif
celle formule : ' Dans l'aphasie hystérique, le sujet ne peut pas parler , dans lo mutisme hystérique vrai il ne veut pas
ne peut pas parler, dans lo mutisme hystérique vrai il ne veut pas parler . L'auteur propose, an point de vue de la claail
1J0 ? in Lyon méd. 8 juillet t906.) Observation d'une malade guérie parles injections d'antip;- rine en quinze jours, d'un
jours. A l'entrée. Leptoméningite aiguë suppurée diffuse, prouvée parle tableau clinique et la ponction lombaire (liquide
ismes. Diagnostic posé : Abcès encéphalique masqué antérieurement parle syndrome méningitique aigu. Mort au 15° jour. A
des timides ont la sensation du trouble apporté dans leur organisme parle choc émotionnel de l'intimidation. Ils se rende
prescrire aux Procureurs généraux, et qui devra être aussi établi parles Premiers Présidents, relativement aux visites et
48 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
oir quelque chose d'actuel. Le magnétiseur n'a pas non plus besoin de parler pour être cru et pour être obéi : il lui suffit d
de foi sans idée, besoins d'activité sans moyen d'action. Quand nous parlons maintenant d'obéissance, nous entendons par là un
ntraires au témoignage direct des sens, mystères, métempsycoses, sans parler d'absurdités telles que l'art des augures, l'astr
ssives et enchaînées est la règle : la magnétisation mutuelle dont je parlais tout-à-l'heure, n'est que l'exception. D'ordinair
e, c'est parce que toute société présente la cascade dont je viens de parler , et à laquelle, pour être sur stable. sa hiérarch
t. Tels les Germains dans le monde romain: ils oublient l'allemand et parlent latin, ils font des hexamètres, ils se baignent d
, dans une société, c'est se mettre au ton et à la mode de ce milieu, parler son jargon, copier ses gestes, c'est enfin s'aban
cette demi-somnolence qui précède le sommeil profond où le somnambule parle et se meut. C'est un état social naissant, qui se
ri de jeter le flacon ; elle n'en voulait plus et de ce jour, elle ne parlai plus jamais de cocaïne. Douleurs, crises, besoi
resse scientifique et la presse politique quotidienne en ont beaucoup parlé . Quelques esprits tapageurs ont. à tort, fait gra
lement beaux. Tel le jeune assassin Ducrett. tel le criminel dont parle Lavater et qui ressemblai! à l'un des anges du ci
e intérêt le roman de M. L. Achille, intitulé : Un Raffiné. Nous n'en parlerons ici qu'en ce qui se rapporte à une séance d'hypno
, il a voulu se faire une exacte idée de ce qu'on nomme hypnotisme et parler en connaissance de cause de la valeur thérapeutiq
eine qu'il a prise de visiter une clinique de l'hypnotisme avant d'en parler et de ne pas avoir abórdeles questions qui nous i
ns l'anti Vaneris lues. Il y a cinq mille ans les livres chinois en parlaient et les médecins (1)Un vol. in-12. Société d'édi
ue vingt-trois ans. ses cheveux étaient gris. Il était très pieux, et parlait religion aux officiers et aux canoniers de sa bat
eillé pour lui faire une telle question. Evidemment il ignorait avoir parlé dans son sommeil. Je fus blessé dangereusement -l
, poussés au délire par une vanité sans bornes, par le désir de faire parler d'eux, de conquérir la célébrité (Ex.: Guiteau et
que la volonté y ait la moindre part » (3). Si ces auteurs ont voulu parler de l'amour normal, de ce que j'ai appelé l'amour
e a l'envers. n'ont fait qu'émettre un paradoxe. Mais s'ils ont voulu parler de l'amour morbide, de cette passion qui ne conna
in envers ses malades, envers ses confrères, envers la société. Je ne parle pas du devoir envers Dieu, c'est â l'Eglise qu'il
é : tant mieux f les selles trop abondantes épuisent ! El il se met à parler d'autre chose, à conter les petites nouvelles du
née, pour être heureux de vous en reposer un instant dans le monde, a parler d'autre chose. Le Docteur Becclos n'est pas un
mplir, ordonnez; c'est le terme reçu el le mot propre. Si vous avez parlé de soupe verte, ne concède? pas le bouillon gras.
Qui nous révélera le mystère de la vie psychique du cerveau ? Est-ce parle scalpel de M. Meynert ou par les patientes recher
meurent assises sans bouger, ne convient nullement à leur santé. Sans parler des influences fâcheuses pour la santé qui peuven
elle a des cauchemars, du délire hystérique. Dans son délire, elle parle de l'enfant mort, « Si le petit A... vivait, dit-
3° Deuxième stade où il prend un aspect joyeux, satisfait, chante et parle correctement Les mouvements sont faciles, mais il
i alternent avec de la dépression ; il est alors abattu, somnolent il parle encore avec logique, mais lentement. Ce stade peu
st tourmentée par une facilité extrême à rougir, surtout lorsque l'on parle devant elle d'actes in- délicats, ou lorsqu'elle
nous fûmes appelé a Mouy. Cinq minutes après notre arrivée, la malade parlait et depuis deux ans fa guénson s'est définitivemen
u réveil. Dans cet état, par des suggestions répétées on la stimula à parler à haute voix. Les assistants purent constater !e
r Gouel, de Paris, nous demande d'appliquer a la malade le traitement parla suggestion. Le 20 janvier, des la première séance
ent. Par contre, nous avons eu l'occasion d'appliquer le traitement parla suggestion à un grand nombre de malades atteints
e un malin dans . son lit. L'occasion me parait favorable pour vous parler du suicide des hys-tériques, et je la saisis avec
r leurs actes, d'étaler une certaine mise en scène, le désir de faire parler d'elles et d'afficher des poses théâtrales, sont
les divergences des aliénistes qui ont étudié cette question. Pour ne parler d'abord que des plus modernes, voici quelques ind
rplexe. » Ball la rattache aux délires avec conscience. Dagone!. n'en parle nulle part. Meyner: (1). dit qu'elle appartient a
ondriaques ». Scbolz, enfin, dans son manuel qui sort de presse, n'en parle qu'à l'occasion des troubles élémentaires de l'in
hez les malades, il a passé dans la science, et l'affection dont nous parlons présente ce caractère singulier qu'elle pourrait
bien elles sont un mobile plus ou moins énergique, c'est à dire, pour parler le langage moderne, qu'elles deviennent des obses
dans la même catégorie que ceux des auteurs français dont nous avons parlé . Les uns et les autres sont des obsessions avec c
tuhift fur Psychizytie, 1872 p. 300 de la folie du doute. Je veux parler du mémoire de Westphal,(1) publié en 1877 sur les
ifiante : les nerfs de la tête sont atteints, je ne puis ni-penser.ni parler clairement, la mémoire disparait. Je souffre atro
égligée Jusqu'à ce jour par les médecins psychologues. Pendant que je parlais à foréille gauche du malade, il lui semblait qu
it tenté de le croire après avoir lu l'article de M. Voisin (1) où il parle de la guérison dune morphinomane. Je crois que la
l précédent et qui.peut-être, s'y . tachent même étroitement. Je veux parler de ces faits d'habilité surprenante exécutés par
réagisse avec violence. M. Sanson. — Il serait bon de s'abstenir de parler de magnétisme à pro-pos des faits que M. Cagny vi
par le serpent et à Adam par Eve jusqu'aux grandes guerres engendrées parle fanatisme religieux et politique, jusqu'aux horre
e par lestrèslégers mouvements du bras et des cuisses dont nous avons parlé plus haut. Enfin, le 14, on se décidait à alime
de reprendre à la première occasion ses méditations. » J'ai laisse parler le malade, car les lambeaux de phrases que je vie
jets qui, pendant les accès de somnambulisme spon- \ tanéou provoqué, parlent d'eux à la troisième personne. Au premier abord,
présentait nettement ce phénomène. Quand elle était endormie, elle ne parlait d'elle qu'à la troisième personne : a Marguerite
tranquille. — Mais qui êtes—vous donc, lui demandai-jc un Jour, pour parle ainsi au nom de Marguerite? — Je sais son amie. —
c lesquelles elle était en relations quotidiennes : mais elle ne leur parlait pas avec la même familiarité qu'à l'état de veill
servante, pendant trois mois, croyait tous les soirs être un évêque. parlai et gesticulait en conséquence. —Un pauvre apprent
sa propre personnalité; et se créant une personnalité nouvelle, elle parle , pense, agit absolument comme elle se figure, ave
avec tes res-sources de son imagination et de sa mémoire, que devrait parler , penser et agir une religieuse, une petite fille,
personne à l'état normal, ce concevoir idéalement le type dont on lui parle ; elle le réalise avec une remarquable intensité
t. Il y en a qui peuvent comprendre les phrases simples quoiqu'ils ne parlent pas. Cher quelques animaux 'même, la faculté Je l
cs. « Le temps n'est pas loin où tout docteur en médecine qui osait parler de magnétisme animal était gourmande par ses conf
compétents sont intenwiévés. Des opinions contraires sont émises. On parle de responsabilité atténuée. L'avocat de l'accusée
u développement de son ventre, bien qu'elle la connût fort bien et en parlât librement quand elle retombait en condition secon
e ancien maître, vous êtes à l'hôpital; ce n'est pas M. X... qui vous parle , c'est M. Pitres. » Alors Albcrtine, éclatant de
survenue réellement la scène qu'elle reproduit dans son délire. Elle parle , pense, agi:, comme elle parlait, pensait, agissa
u'elle reproduit dans son délire. Elle parle, pense, agi:, comme elle parlait , pensait, agissait à cette époque. Elle ne se rap
s que.par les comptes rendus des journaux. Lorsque tout le monde en parlait , de auditu. j'ai exprimé mou opinion dans le Jour
lé Hypnotisme, Suggestion, Psychothérapie, Études nouvelles (1). On parle plus que jamais d'hypnotisme, surtout depuis le p
ence l'École de la Sal pétri ère et l'École de Nancy. Mais plus on en parle , moins ou s'y retrouve, car le magnétisme est (
rel, Moll, van Renterghem, van Eeden, Wetterstrand, Delbceuf, pour ne parler que de ceux qui ont publié le résultat de leurs e
toujours sérieusement et convenablement pratiqué. Jusqu'ici je n'ai parlé de la suggestion qu'au point de vue purement expé
qui va suivre, il est utile d'ouvrir une parenthèse ; nous venons de parler d'Écoles ; il est nécessaire de s'entendre. Dep
égeois : t Mais tous ces crimes commis par les somnambules, dont vous parlez tant, montrez-nous-en donc un seul, un véritable,
st irresponsable. Ainsi s'effondre le rapport des experts. Ah! vous parlez de condition seconde, répond M. Brouardel, avec c
e mot hypnotisme. Voici, lui ai-je dit devant M. Liégeois, comment je parlerais (2). Deux choses sonl admises par tout le mondo
rofonde », dit le rapport ? Sans doute, en présence du magistrat elle parle avec volubilité, elle est rouée, elle est roublar
és en dedans, la respiration calme, les membres presque inertes. Elle parlait cependant, répondait aux questions qu'on lui posa
prendre ces paroles de découragement, il faut savoir que je lui avais parlé , quelques mois auparavant, de ??? Intention de Ut
ent. Il était visible que le travail se ralentissait. I.a patiente ne parlait plus et semblait dormir plus profondément. J'en a
circonstance rappelée plus loin. rappelait parfaitement que j'avais parlé , vers 9 heures, d'une application de forceps, m
ble. Alors qu'elle était encore au milieu de sa grossesse, on avait parlé un jour dans son entourage d'une de ses amies don
lement hypnotisé par 6es compères. Quant au point bien délimité, dont parle M. Delbœuf, quant à son expérience concluante, sa
oi cette indifférence? Il existe à cela des causes multiples. Je ne parle pas des sceptiques distingués qui nient de parti
une partie du public médical. Si ces mots étaient supprimés, si on ne parlait que de thérapeutique psychique, thérapeutique sug
e est rejetée avant d'avoir franchi l'œsophage; l'impression produite parle liquide sur le pharynx réveille dans le sensorium
onge dans un désespoir profond ; elle s'enferme, refuse de sortir, et parle de se jeter par la fenêtre. Elle a des hallucinat
es hallucinations conscientes ; elle voit son fils, elle l'entend lui parler . Deux ans après se manifestent des impulsions à t
rire. Elle a oublié aussi et l'Exposition et la tour Eiffel dont elle parlait tout à l'heure, en un mot toute cette phase de sa
mot acerbe n'est pas encore sorti des lèvres de M. Liébeault. et s'il parle avec quelque ironie des méprises de ses collègues
s'il parle avec quelque ironie des méprises de ses collègues, il l'en parle jamais avec malignité. L'épreuve prolongée n'a pa
lement vaincu et même après des efforts désespérés il ne pouvait plus parler lorsque par la suggestion je le rendais muet. D
ent pour la consulter, il dure un quart ou une demi-heure. Alors elle parle haut, en bon allemand, et répond aux questions qu
par le haut et les paupières fermées. Immédiatement, je me mis à lui parler , en m'etforçant de me faire obéir par suggestion.
réussis à lui lever le bras et à le lui fixer. Elle commença alors à parler en bon allemand, très haut et avec volubilité, d'
volubilité, d'abord d'une façon confuse, puis plus clairement. Elle parla d'elle à la troisième personne « cette femme » et
nt. Elle parla d'elle à la troisième personne « cette femme » et me parla en me tutoyant. Demande (de moi) : Combien d'en
appelait un commencement de crise d'hystérie. Peu après elle se met à parler le même langage dont il a déjà été question, se p
nt ce temps, de l'assister et de la protéger. a/os. — Qui es-tu qui parles ainsi? La somnambule. — Je suis un esprit et m'
iété de Biologie, 1666. dans ces dernières années (1). Nous roulons parler des crises clilori-dietmes du tabès. Dans l'obser
sent, comme l'a dit M. Gley, de véritables expériences », et. pour ne parler que de l'instinct de la génération, ils montrent
49 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
t suivant m'u paru en être la preuve. La malade dont je veux vous parler est, en effet, un de ces types ad-mirablomen; dou
hode de traitement. J'estime que jo le dois aussi à une cause dont je parlerai à la fin de cette communication. Je renouvelai
'une façon nette combien est fausse l'opinion encore courante dont je parlais au début de cette communication. Elle nous port
ans mes rêves. Je n'ai jamais observé le dédoublement du moi dont ont parlé quelques auteurs. Les sentiments affectifs sont
apparaître un être qu'il a perdu, père, frère, compagne. Cet être lui parle , va, vient, agit dans les occupations auxquelles
er par avance an Médecin-Directeur : D* Henry Lemesle, a Loches, 00 a Parla , II, ??. des Gobellns (5e). Les malades atteint
dea ????*. 9, ?????? dea Pacos, LE VÉSINET ;S.-et-O.J ? ?? miaule* de Parla , per* Mm-Uni (X Iraio* par >???. Pari», Imp:
............ 10 — Etranger.................. 12 — Les abonnements parlent du 1er juillet ei du i" janvier de conque année.
que par les résultats dont elle s'enrichit chaque jour : nous voulons parler de la Cure de Sommeil. Il serait superflu d'ins
rouvèrent la santé, après avoir dormi dans le temple d'isis. Galien parle d'un temple de Vulcain près de Memphis où l'on al
ir pour guérir. Pausanias (Description de la Grèce, I. X, chap. 32} parle des lits qui étaient disposés dans les temples d'
d'importance à la suggestion et pas assez au sommeil. « Le traitement parle sommeil profond et prolongé répond à « des indica
t une qui nous a fourni quelques documents intéressants; nous voulons parler des Ephèmèridcs de l'académie des curieux de la n
beaucoup de points de vue elle était admirablement douée. Ainsi, elle parlait couramment plusieurs langues et était fort habile
nd-assoupissement. Mais, malgré ce succès, je ne puis obtenir qu'elle parle . Je décide alors de changer de méthode et je me t
, dit la mère, je t'amène le docteur. > — Elle n'avait pas fini de parler , qu'une voix criarde et irritée me lançait aux or
es de ce quartier avoient déjà observée plusieurs fois. Elle se mit à parler avec une vivacité et un esprit qu'on ne lui voyoi
is hors de cet état, elle cbangeolt quelquefois de propos et sembloit parler à plusieurs de ses amies qui s'assembloient autou
rien dans ce cas, et n'opéroient pas plus que sur le somnambule dont parle Adrianus Alemanus, qui traversoit la Seine à la n
aujourd'hui aguerrie contre ce mal, et ne se fait pas une peine d'en parler ; Jamais elle n'en a été alarmée comme d'un mal da
t bien faire la connaissance de l'une d'elles, mais il n'a jamais osé parler à aucune ; « elles sont trop compliquées, dit-il
ven, éditeur. Paris 190%. L'Administrateur-Gérant : Ed. BERILLON. Parle Imp. A. Quelqueleu. rua GcrMrt. 10. HYPNŒUM L
et-O.l à 33 minutes de Paris, pan Sat*t-ùtan '¦ i trains par Jour). Parle . Imp. QUKLQUEJEU, rue Gerber:. 10- REVUE DEL'
s recherches anatomo-cli-niques de Brocn, de Chareot et de Pitres. Il parle même d'ondulations et d'oscillations, c'est-à-dir
s les conversations faisait preuve d'un jugement droit et clair. Elle parlait couramment plusieurs langues, en particulier l'es
t; Légué, examina la malade avec moi; reprenant l'observation publiée parle 1)' Bérillon, y ajoutant ses propres constatation
a l'autre membre inférieur, et le corps tout entier est bientôt agité parla trépidation qui l'envahit également. C'est à cett
l'éducation du langage de so faire, et que, bien au contraire, M. B. parlait à son réveil le patois de son enfance et non celu
no pouvait lui ouvrir la bouche ; aussi élait-on réduit à la nourrir parla voie rectale. Pour réveiller cette malade, il éta
Moins d'une demi-heure après, la jeune fille se réveille et se mot à parler . Elle reconnaît son entourage, sa gaité revient,
, ils sont soulagés de leurs maux. Profitant de l'occasion, je vous parlerai d'un soi-disant sorcier, paysan d'une province de
' Stembo, de Vilna, p. 113. 4. Deux cas d'hystéro-épllepsle traités parla suggestion hypnotique, par M. le D* Joseph Vias
18Î3. bordés de longs cils noirs ; sa face élait surtout hideuse parle développement exagéré des lèvres a demi ouvertes,
hideuse parle développement exagéré des lèvres a demi ouvertes, elle parlait difficilement et chantait en espagnol dans les co
n le voit, absolument muette sur les qualités morales dont nous avons parlé plus haut. Cela n'a rien d'étonnant, car Julia Pa
rs assez volumineux, sans qu'il en résulte aucune gène apparente pour parler et rire. La deuxième dentition est complète, sauf
eux. En somme, l'aspect général de l'enfant est assez distingué. Elle parle facilement l'anglais, mais un peu à sa manière. E
dort profondément, mais se réveille encore, des que je commence a lui parler àroreillc! Alaséance suivante, il s'endort encore
celte fois, je le laisse dormir profondément dans son coin, sans lui parler ni m'approcher de lui. Au bout d'une heure, je le
.-??.) ? S) minute» da Parta, t*n 1?1?1-/???* (70 train* par Jotin. Parla , Imp; QUELQUEJKU, m* Gerbert, 10- REVUE DE L'
U (du Véstnet) ; Félix REGNAULT; Charles RICUET, prof, àia Faculté de Parla ; Van RENTERGHEM. (d'Amsterdam) ; Von SCHRKNK-NOTZ
poitrine et son extrémité descend jusqu'au nombril. A n'en juger que parla tête, on se croirait en présence d'un vieillard b
est originaire de Genève et a reçu la plus brillante éducation ; elle parle français et répondra k toutes les questions qu'on
te différence qu'elle continue, tandis que les bègues graphiques dont parle If. Bérillon ne le sont que SOCIÉTÉ D'HYPNOLO
'a paru traduire exactement l'état de la malade dont je viens de vous parler . Quand nous sommes en bonne santé, nous passons p
re en temps de paix, son officier d'ordonnance en temps de guerre. Il parle au nom du dieu à toute la race d'Israël. Il implo
oul, Iahvé lui lit savoir ceci : * Voilà l'homme dont je t'ai « ainsi parlé : celui-ci dominera sur mon peuple » ('). Alors
ns médicales «, a dernièrement obtenue de Pie X. Le pape parait avoir parlé longuement sur les miracles. Voici le passage ess
durant toute la journée. ¦ VAdministrateur-Gérant : Ed. BÉRILLOX. Parla , imp. A. Que!qu«|co, rue (ierberl.10. HYPNŒUM
e protéger le foyer paternel, non ; d'un côté, c'est la vengeance qui parle ; de l'autre, l'orgueil de se dire invincible.
e surnaturel mais était éminemment scientifique. Peine perdue. « Vous parlez ainsi parce que vous devez le faire ; mais je com
29 janvier 1904). » • Nous voudrions aujourd'hui, Messieurs, vous parler de la neurasthénie, en tant que représentée par l
eunes gens qui se destinent aux professions libérales. Mais nous vous parlerons un peu longuement peut-être de la neurasthénie et
rgie qui sévit chaque jour davantage dans notre société. Si l'on n'en parlait pas autrefois, c'est qu'elle n'existait pas : la
s recrutement surtout, sont invoqués toutes les fois que l'on vient à parler de l'abaissement de l'aptitude physique militaire
dea Pages, 0, aTenuo des Pages, LE VESINET 'S.-el-O.l i 30 minutes do Parla , par* tataf.baia» (ÎO traîna par joun. Paris Im
rre et Suggestion : Le soldat russe et le soldat japonais. Conférence parle capitaine Quenaidit tuile et fin), p. Î04. 3. N
en voulu occuper la chaire d'Histoire de la philosophie médicale : 11 parlera avec sa haute compétence des Grandes /îguresméo'i
'étoile barbue. » Ce fut Barnum qui l'emporta, et elle savait à peine parler qu'elle commençait à parcourir te monde. On la pr
usage, il faut d'abord réparer les pertes nerveuses. Il me reste à parler de la mystérieuse Ecole du Saule. Cette Ecole d
qui le gouvernent. Les*Kamîs, ces vieux conducteurs de la nation, ont parlé — mieux vaudrait dire on les a fait parler — et o
nducteurs de la nation, ont parlé — mieux vaudrait dire on les a fait parler — et on obéit. C'est l'oracle antique, et le cult
s'éveillent tout à coup et ne parviennent plus à se rendormir. On a parlé de l'absence de tout sommeil. Elle est réelle et
ssai sur l'avenir de la Chimie «, dans l'idée qu'il avait été inspiré parle diable en l'écrivant. Le grand philosophe Hobbe
raire. Un dernier enfin, Messieurs, et il est d'hier, est venu nous parler d'une phobie toute récente qu'il n'osait confier
vous savez prescrite par les règlements. II est presque amusant de parler , pour clore la série, de la peur de l'eau, représ
de choix pour obtenir le résultat que l'on ambitionne. Pouvons-nous parler , autrement que pour mémoire, de l'internement de
, l'homme peut se trouver dans l'incapacité absolue de se mouvoir, de parler et de penser. C'est pour désigner cet état que le
rompant violemment avec les errements du passé. Si l'explosion dont parle Kant n'est ressentie que par une très faible mino
eux qui paraissent le plus enlisés dans la veulerie, l'explosion dont parle Kant. A l'appui de cette thèse je pourrais mult
Je l'extraits des impressionnants mémoires qui nous ont été transmis parle général Marbot. Il concerne le maréchal Lanncs, d
faits sont entrés dans le domaine scientifique. Je me bornerai à vous parler de la méthode qui permet, par l'emploi de l'hypno
e qui nous a amenés à la construction du sthénomètre dont nous allons parler . L'appareil comprend un socle a, en matière app
TI0.N DE GIRDESMÀUDlS DES MESSIEURS HEU CHARITE G, Rue Ondlnot, O — Parla lofiroua» — ûnd«*-Miim— a iemUdUt pour Pari*, la
............ 10 — Etranger.................. 12 — Le» aboancmcnl» parlent du 1" juillet et du I- Janvier de chaque année-
lution de ces produits le nom de Solution psychologique. Il indiquait parla son utilité pour favoriser et compléter les cures
la pourrait bien se réduire à une conception ethnographique dont nous parlerons dans la quatrième partie, sous la rubrique d'Info
u. La partie historique a été écourtde et je ne vous ai seulement pas parlé de cette langue Prakrit des Bohémiens qui est au
re 78 = 6X13. c'est-à-dire le produit du premier nombre parfait, six, parle plus néfaste des nombres, treize, dont le caractè
............ 10 — Etranger.................. 12 — Les abonnements parlent du 1- juillet el du Janvier de chaque année. LE
it restée quelque temps triste et mélancolique, demeurant assise sans parler , puis qu'elle avait présenté de l'excitation, qui
le besoin d'uriner, mais pas aussi souvent qu'à l'état normal. Ce qui parlait aussi en faveur de la nature fonctionnelle, ou, p
stérie, les malades sont peu accessibles à l'hétérosuggestion ; mats, parle fait qu'ils dorment, ils détruisent d'eux-mêmes l
usique fait appel à la névropathie, l'entretient et la développe ; je parle surtout des exécutants. Ceux-ci se surmènent sans
0 Dieu.' o Dieu 1) sur des tons plaintifs et suppliants. Le pasteur parlait toujours. Il racontait les légendes de la Bible,
;t-0.) à » minute* de Pari*, fer. iatáx-Luara ,70 iralna par Jour). Parla , Imp. QL'KLQL'EJEU. me Gerbert, 10- RBVUE DE
lcooliques apparaît quelqu'une des préoccupations dont nous venons de parler , telles que la situation de la famille et l'aveni
c'est qu'il n'y a pas d'issue possible; une Idée lui passe un moment parla téte, c'est de se suicider; mais cette pensée ne
urcentage comme exagéré, puisque toutes les personnes dont nous avons parlé précédemment ont été soumises à l'orthopédie ment
état dure sans discontinuer depuis 28 jours. Entre temps, on lui a parlé de moi; elle me connaît déjà de nom. De plus, ell
e recommandé ; à la cinquième, il note l'adresse; à la sixième, il en parle à sa femme: à la septième, il se promet d'acheter
il se promet d'acheter; à la huitième, ¡1 achète; à la neuvième il en parle à ses amis: a la dixième, les amis en parlent à l
hète; à la neuvième il en parle à ses amis: a la dixième, les amis en parlent à leur femme. Alors la multiplication survenant v
bassin et sur différantes questions de chirurgie obstétricale. Il ne parlait pas avec une grande facilité. Son débit était len
vait réussi & se servir de sa langue non seulement pour manger et parler , quoique difficilement, mais aussi pour écrire et
tées par des mouvements à peine perceptibles. Il est guidé uniquement parla vue et ne répond rien quand des œillères l'empêch
oi, tout ira bien. « Comme je te l'ai dit, va aujourd'hui à X... et parle franchement à ton père, sans détour. i Ma volon
i Ma volonté te suivra toute la journée. Si tu n'as pas le courage de parler , écris ce que tu veux et ce que tu feras. « Dis
à tout ce qui l'entoure, sans préoccupations d'aucune sorte. Elle ne parlerait paB si on ne lui adressait pas la parole ; cepend
en traiter ce sujet : celles du musicien, celles du psychologue. Sans parler de ses ouvrages purement philosophiques, je rappe
50 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
t à une petite vieille, pissait encore au lit et commençait à peine à parler et à marcher. A partir de 4 ans, l'intelligence s
— Aux convulsions succèdent des phénomènes délirants : L... divague, parle de chiens enragés, de gardes-champêtres, de forêt
col de la vessie, etc. Crucifiement. — Les attaques dont nous avons parlé jusqu'ici constituent de véritables attaques démo
d, fort, tout en or. La Sainte-Vierge est dorée. Notre Seigneur lui a parlé , mais elle ne peut se rappeler ses paroles. Elle
t indubitable, » reçue unanimement dans toute l'Église, et aprouvée » parla Sorbonne. Sarquoi il répondit qu'il n'avoit pas »
ite Sœur Claire, qui pendant tout ce tems de » l'exorcisme ne fit que parler à tors et à travers, sans » aucune attention aux
et demi à 16 ans, elle était toute drôle, triste, refusant souvent de parler ; de plus, ses colères étaient plus fréquentes. S
me femme de chambre. Elle était alors parfaitement développée et elle parle d'elle, à cette époque, avec un certain amour-pro
à l'observer nous -même. A son arrivée, elle refusait de manger et de parler . La persuasion, les menaces [Y] ayant échoué, nou
mènes qui nous frappèrent le plus furent Yhé- (l) G..., refusant de parler et de manger, je me contentai, le premier jour, d
à faire la remarque que c'était un avantage d'avoir une malade qui ne parlât pas , les autres étant trop bavardes et je recomm
t (Oise). Elle prétend que, dans les premiers jours, elle refusait de parler et de manger. Au bout de six semaines, on signa s
s du service. Février. — Attaques fréquentes. Le 10, elle refuse de parler , est engourdie, absorbée. Le 11, elle semble se r
Attaques presque quotidiennes. G... est abattue, prostrée, refuse de parler . — Même état le 18 février; ce jour là l'inhalati
eiller. 26 février. — Les règles ont paru hier. Attaques suspendues parla compression alternative des deux régions ovarienn
vement de 5 à 10 centigrammes. 11-13 mars. — Refuse de manger et de parler . De" temps à autre, attaques. 16 mars. — Genevi
6 mars. — Geneviève est dans un état de prostration profonde; elle ne parle ni ne mange. Sous l'influence de la compression o
Elle n'a pris aucun aliment depuis hier matin. Tantôt elle refuse de parler , tantôt elle injurie les infirmières, la sous sur
qu'il fait à la fenêtre, cet idiot-là? » (C'est d'un corbeau qu'elle parle )... « Oh ! il m'a donné un coup de bec! » et elle
l'arrivée prochaine de ses attaques, quand elle cesse brusquement de parler . On remarque aussitôt que les modifications, déjà
e est empreinte d'une sorte de tristesse résignée (Planche XIX). Elle parle de sa mère, de son premier amant, amant de cœur s
, de son premier amant, amant de cœur si on l'en croit, Camille, elle parle de son second amant, le père de sa fille, de sa f
délire mélancolique n'est pas constante. Outre celles dont nous avons parlé , il en est d'autres dans lesquelles Geneviève est
ques mots au sujet d'une malade qui vous intéresse beaucoup : je veux parler de lhys-téro-épileptique, Geneviève L... En passa
. est en cellule ; elle continue de proférer des menaces ou refuse de parler ; actuellement, elle est couchée dans la ruelle du
e heures, elle est à la fin de la période de délire. Elle se lamente, parle de l'ancienne surveillante du service des épilept
et rejette tous les torts sur les autres. Avant notre arrivée, elle parlait de diverses personnes du service médical, de M. X
itrite d'ample. Au bout d'une quinzaine d'inspirations, G... se met à parler : « J'étouffe... Ote le chiffon... Mon frère !
jours été convenable avec moi... Je me fâche après lui... Il m'a fait parler (1)... Il ne se fâche pas. » — Elle divague (1J
a eu du délire, causait sans cesse. Ce matin, au contraire, elle ne parle pas. Elle est couchée sur le dos ; la tète est da
ventre, regarde les personnes qui l'entourent avec des yeux effarés ; parle entre ses dents, envoie des baisers, lève les jam
G-... frappe à la porte, disant : « Ouvre-moi ; on m'appelle. » Elle parle à voix basse, embrasse sa main, se couche sur son
intellectuels : ses manies de se cacher, de se sauver, de refuser de parler (2) ou de manger, le besoin de déplacement qu'ell
ez de malheureuses femmes, hystériques comme Geneviève : nous voulons parler des possédées et, en particulier, des possédées d
u de ce pacte, le diable, disaient-ils, était dans l'impossibilité de parler . Les adversaires de la possession assuraient que
pu facilement reconnaître... Disent encore que la Mère Prieure... ne parlait plus que de Grandier, qu'elle disait être l'objet
s plus renommées par leur exaltation religieuse (1). (l) Nous avons parlé plus haut du voyage de Geneviève en Belgique. Nou
en vain, de voir Y hystérique belge. Des gens du pays, auxquels elle parlait du but de son voyage, se seraient moqués d'elle.
s fait quelques recherches relativement aux secousses dont nous avons parlé à diverses reorises. M. Briquet ne les décrit pas
été élevée en nourrice. Rentrée à \ 8 mois à Paris, elle marchait et parlait à peine. Jusqu'à 14 ans, elle n'aurait pas eu d'a
ssion à la Sal-pétrière qu'auparavant. Dehors, avec son père, elle ne parle que d'hommes, de mariage, d'envie d'avoir des enf
igure est grimaçante. Quelquefois, M... écarte un peu la compresse et parle : « Je le vois bien... Ça fait du bien... Je t'ai
apidité [trépidation). e) Chez M..., les secousses, dont nous avons parlé plusieurs fois (1), n'offrent rien de particulier
hacun faisant sa difformité différente (1). » Dans son délire, M... parle peu. Ses hallucinations d'ailleurs, sont aussi de
51 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tions physiologiques, aussi est-il peu d'endroits où l'on ait moins parlé de folie urémi- que que dans les asiles. » Il e
les moyens d'in- vestigation clinique appliqués aux aliénés. Sans parler de l'examen des urines systématiquement pratiqu
sont pas dus à l'alcool, mais à l'auto-intoxication rendue possible parles altérations organiques produites par l'alcool.
et des urines nous a montré souvent que l'auto-intoxication révélée parle délire est complexe et peut dépendre du mauvais
l'albuminurie. D'une façon générale, et ce fait a été constaté déjà parle professeur Raymond, l'augmentation de la quanti
n'y a pas de trouble de la parole, mais le malade cherche ses mots, parle peu. Les réflexes patellaires sont conservés. L
rare, mais sans troubles réels. Le malade qui est d'origine suisse parle assez mal le français. Les réflexes patellaires s
de quelques jours il est devenu moins confus et moins triste : il parle peu, mais joue volontiers avec ses camarades de s
s visites dans des établissements intéressant l'hygiéniste. Nous ne parlerons que du cours de psychiatrie, fait en 12 leçons
toujours méchant et sournois avec ses cama- rades (Fig. 7). 1896. Parler toujours défectueux dans l'articulation. Les pro-
façon à peu près normale, permettant à cette femme d'apprendre à parler , de s'instruire même un peu, à une époque où, en
cence (manies, 78 SOCIÉTÉS SAVANTES. peurs, etc.). Ils guérissent parles mêmes procédés que l'homme, isolément, rééducat
icale. Ce sont des manifestations de cette activité passive, dont a parlé M. Brissaud à propos des aptitudes cataleptoïde
e traumatisme, et qu'il existe clini- quement un tabes traumatique. Parles observations relatées dans ce travail il ressor
, moteurs ou trophiques. VII. Le mensonge chez la femme hystérique; parle Dl Richard. La femme hystérique a une tendance
parle Dl Richard. La femme hystérique a une tendance très marquée à parler contre la vérité. Mais peut-on inférer de cela
martyr de la Petite-Marie (près Nogent-le-Rotrou). Nous avons déjà parlé de ce petit martyr, Henri Jousselin, qui parait
X VI. 10 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Le traitement de l'épilepsie parle travail manuel et la gymnas- tique ; par le Dr
x observations de paralysie générale dans lesquelles l'amélioration parle traitement mercuriel intensif a été très nettem
cher, surtout dans la jambe gauche, de la difficulté d'avaler et de parler , une fatigue générale, le retour des aliments par
t. Parole bulbaire accusée, surtout le soir; la malade se fatigue à parler , notamment quand on la fait compter, elle perd
te l'attaque, et celle sur laquelle elle va se propa- ger; l'auteur parle ici de l'épilepsie vraie, celle dont la condition
e la lésion, elles sont probablement identiques et ne diffèrent que parle degré, le première étant plus violente et raccom-
t terme à sept mois, actuellement âgée de cinq ans, ayant marché et parlé à trois ans, mais dont l'intelligence est actue
à la ferme à l'heure du repas, elle articula nettement : « Je. puis parler , donnez-moi du pain ». La nouvelle se répand bien
que nous l'avons remarqué, s'observe chez des personnes, où on peut parler d'une constitution idéo-obses- sive ; par consé
troubles moteurs qui font partie du syndrome catanonique : je veux parler des tics, des ges- ticulations, des attitudes,
, suivant la date à laquelle elle se produità partir de l'infection parle chancre. Plus les lésions sont précoces et plus
sence fréquente de microbes que l'on pour- rait invoquer. Mais, qui parle d'infection microbienne incrimine les toxines d
, né à Paris, le 21 octobre 1891, entré le 10 avril 189. Cet enfant parle à peine, gâte nuit et jour; pâle, d'apparence m
ette enfant est entrée à la Fondation en 1896, à de trois ans. Elle parlait peu, mais n'avait pas de défaut de prononciatio
e, dans les regards en bas. Ce phénomène s'explique très simplement parles liens anatomiques (expansions aponevrotiques) q
r; de là une dessication, bientôt suivie de desqua- mation. Ni pour parler , ni pour manger, ni en aucune autre cir- consta
auxquels il se croyait exposé. Les tics furent rapidement améliorés parla discipline psychomotrice. Au bout d'un mois ils
guré; il se décida à vivre comme tout le monde, à manger de tout, à parler sans s'imposer de ne pas rapprocher ses lèvres.
nie consécutives à la persistance de ces symptômes. Guérison rapide parle traitement local. Ille OBs. M-1 D..., quarante-
rieurs bien marqués, il se présente de l'érotonaunie. Il se met a parler de somatisation, c'est-à-dire de la guérison des
e persécution et finalement des idées de gran- detw et de richesse, parle de ses maisons, t'ait des testaments, etc. Ces
écriture, c'est-à-dire du langage écrit et le bégaiement du langage parlé . L'état de conscience dans lequel se manifesten
stration de convenance ou expérimentale (Poncet). Déjà Becker avait parlé du retard d'ossification des cartilages, cause de
enons pas sur ce travail très complet dont il a été très longuement parlé dans les Archives. XXII. L'état mental des parr
ales, sans compter les examens sommaires aux- quels il a été soumis parles docteurs Legrand du Saulle, Bergeron, etPdul Ga
plus de démêlés avec la justice, mais en 1898 on entend de nouveau parler de lui. Au mois de mai il insulte dans les rues
'avait jamais occupé ces différents postes, et la lettre fut saisie parle Commissaire central. Il n'en fallut pas davantage
de ses facultés. On constate qu'il parait halluciné, que souvent il parle seul, qu'à chaque instant il monte à la fenêtre
11 lui casse la tête de toutes ses histoires, mais il lui délend de parler et même de le regarder quand il se livre à ses
même de le regarder quand il se livre à ses excentricités. Enfin il parle à chaque instant de faire assommer ceux dont il
mshire. L'épilepsie était connue dès l'époque d'Hippocrate qui en parle dans ses écrits et lui donne le nom de « mal sacr
a loi permet de faire un tel arrangement. Dans ce travail je n'ai parlé que du traitement des épileptiques dans des col
te agitation, comme le faisait récemment remarquer Ielizer, et ne parler que d'agitation intense, forte, ou faible. Néanmo
lle les états d'enfance spirituelle des auteurs mystiques dont il a parlé avec M. le Dr Vallon, à propos des psychoses re
e l'enfance et se conforment par leur atti- tude, leur vêture, leur parler , etc., à cette illusion. Aperçus et démonstrati
e et peu communicatif, aigri par ses infirmités naissantes, il ne parlait que pour se plaindre; déjà à cette époque cédant
entourage. Puis des hal- lucinations de l'ouïe survinrent, « on lui parlait d'une maladie vénérienne qu'il avait contractée
ider après un tel déshonneur ». Depuis lors il se tenait à l'écart, parlait seul, et de temps à autre allait en pleurant tr
e lendemain, il était fort déprimé, et c'est en pleurant qu'il nous parla de ses idées de suicide. Il présentait en somme
frappe par sa puissance mystérieuse, l'imagination et fait accepter parle cerveau ses effets curatifs. Une instrumentation
ommeil avec le plus grand succès dans beaucoup de cas. En 1896 il a parlé sur le même sujet au Congrès de Psychologie à Mun
le sommeil par lui-même peut faire et il affirme qu'on ne peut pas parler d'un traitement psychique sans une hypnose profon
une séparation qui s'effectue grâce au petit salon dont nous avons parlé plus haut. La suggestion se fait de préférence
n particulier, aux mentaux qui refusent de se laisser suggestionner parles moyens ordinaires'; elle permet de les traiter ma
ulaire ministérielle à laquelle il est fait allusion. M. A. Marie parle des aliénés en liberté qui commettent des cri-
l lui restait à apprendre à diriger sa langue et à s'en servir pour parler comme le petit enfant apprend à se servir de sa
es transformations qui se sont produites. 11 s'ensuit qu'il ne faut parler d'incurabilité que quand on a, pendant plusieur
nte et compréhensible. Or, c'est à cela qu'il faudrait arriver pour parler d'un succès. Pour conclure, et je suis convainc
(B.) .) 372 SOCIÉTÉS SAVANTES. occipital. Si nous écoutons un mot parlé , quelclues fibrilles termi- nales du nerf acous
ion qui pourra survenir. Ce n'est pas aujourd'hui que nous pourrons parler des résultats obtenus ; nous le ferons l'aiz pr
, elle aurait montré des idées de culpabilité, d'indignité, elle ne parlait presque plus, elle prétendait que ses compagnes
ce toutefois, ne montrant même pas la moindre émotion lorsqu'on lui parle de sa famille, lorsqu'on lui propose de rentrer
fréquents, la malade continue à s'occuper automatiquement, elle ne parle que lorsqu'on l'interroge, ses facultés sont ma
évoquer un souvenir, reste ahurie lorsqu'on la presse de questions, parle parfois seule, mais son CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
23 juin : Semble incapable de comprendre la moindre question, ne parle pas, ne mange pas seule. 2 juillet : Répond à q
d'Is'... (Renseigne- ments confirmés). Elle était alors inerte, ne parlait pas, ne man- geait pas, ne s'intéressait à rien
de suicide et ne s'explique pas, ajoute-t-elle, pourquoi elle ne parlait pas et ne mangeait pas ; il lui semble même qu'el
ainsi pendant un an. En décembre 1900 une rémission commence, elle parle parfois spontanément, écrit à sa famille, mais
en quelque sorte, automa- tiquement, comme elle travaille ; elle ne parle presque jamais spontanément mais elle répond, l
is pas, probablement parce que je ne mangeais déjà pas et que je ne parlais pas. Elle a bien peu de spontanéité, elle me pa
et que je ne parlais pas. Elle a bien peu de spontanéité, elle me parle maintenant assez volontiers lorsque je la quest
de répondre, qu'elle ne comprend rien à cela, qu'elle n'a jamais pu parler à cette surveil- lante avec laquelle elle vit d
fres tonométriques qui correspondant aux points douloureux signalés parles patients et ceux qui correspondent aux points s
troisième attaque d'alié- nation, ne dort pas, refuse de manger, de parler , mort par pneu- monie. A l'autopsie : dure-mère
emens d'origine morphinique se distingue de celui des alcooli- ques parla gaité : le malade est le héros et non la victime
elle a l'égard de certaines personnes, notamment des médecins. Elle parle sans contrainte aux autres malades et aux infir
ger qu'avec sérénité. Chaque jour de la vie fut si bien rempli, que parler de leur disparition avec d'autres sentiments qu
nt aidé dès le début et favorisé le développement de la station. 11 parle ensuite des travaux des médecins de la station
ent amené à mettre à l'essai ce traitement resté classique, je \eux parler de l'administration raisonnée du sulfate de quini
fréquentent cette station, ont pu apprécier les bienfaits ; je veux parler de la rééducation des muscles. L'esprit largeme
Chez ceux-là le symptôme est facile à constater et à étudier. Ils parlent haut, en public comme dans la solitude. Cependa
mono- logue à voix haute. Certains malades, qui ont l'habitude de parler seuls à voix haute, le font seulement en présen
firmiers) ; mais dès qu'un visiteur les approche, ils se taisent ou parlent plus bas, il faut même beaucoup de temps à cert
oix haute lorsqu'il se trouve dans la salle, et se tait ou du moins parle à voix très basse, s'il se promène dans la cour
ix très basse, s'il se promène dans la cour. Il en est d'autres qui parlent constamment à voix basse, qu'ils soient seuls o
re, c'est-à-dire qu'un aliéné peut à certains moments de la journée parler à voix haute, à d'autres moments à voix basse s
, 2' série, t. XVI. 31 482 CLINIQUE MENTALE. paralytique général, parle en public à voix haute, sans se laisser intimid
chaque jour, pour répondre à ses hallucina- tions. D'autres aliénés parlent à voix basse, mais seulement lorsqu'ils sont se
ion dominante et exclusive. Parmi les aliénés monologueurs, les uns parlent conti- nuellemeut, d'autres à certains instants
lus ou moins rapidement l'individu cesse tout monologue, ou bien ne parle plus que de temps en temps. A côté de ces monol
e pendant la journée est très considérable. Ceux-ci, en général, ne parlent que de temps en temps et non d'une façon contin
et, pris sur le fait, n'avouent pas et pré- tendent ou n'avoir pas parlé ou n'avoir, fait que répondre à des interlocute
nt précoce à forme parano.de, avec dette différence toufefois qu'il parle toujours de la même voix monotone : « Je dési
ouai, décapité à Paris. Je suis mal babillé. Je me présente ainsi. - Parle moi d»ncun peu. Je n'ni rien à vous dire, Monsi
ait des gestes, ou bien il écrit dans l'es- pace et plus souvent il parle à voix très haute. Chez lui il est très facile
de la parole involon- taire et inconsciente qui est pour le langage parlé l'analogue de l'écriture automatique. Notre maî
Inc. Il sait te comprendre. « Cons. Je ne comprends pas, je ne puis parler . « I. Elle est prêtre cette fille. ÉTUDE CLIN
s méritent d'être signalés. Leur délire est calme, tranquille ; ils parlent à voix basse, souvent marmottent entre leurs de
zgcge ·é/lexe (B,obertson). On sait qu'en ce dernier cas, le malade parle , émet des idées généralement très banales ; ell
de la conversation usuelle, se trouve souvent chez les aliénés. Ils parlent le langage réflexe mais aucune idée ne correspo
ne va pas... c'est malheureux qu'on ne peut plus faire un pas sans parler de guerre » L'étude du monologue dans son conte
ons pronostiques tirées des caractères intrinsèques, il convient de parler d'abord du contenu du monologue. L'importance d
., autrefois délirant très actif et prolixe dans ses monologues, ne parle plus qu'eu termes des plus concis de ses nombre
e, parallèle à l'évolution de la maladie elle- même. Le persécuté parle d'abord à voix basse, puis à voix haute dans un
de son affection il ne soliloque que dans la solitude, plus tard il parlera en pu- blic et à voix haute. De même il présent
gelsemium. H. de lIIU5GR : 1VE-CLAY. XXXI. Narcolepsie et obésité; parle Drp. Salnton. Sous le nom de narcolepsie, l'aut
araît : dans la vision binoculaire, un des plans visuels étant fixé parle tube. Il y a diplopie. Nous retirons le tube, l
des oedèmes : oedème froid et gélatiniforme du pied, non influencé parle lit ni par le lait, l'auteur eut l'idée d',tp-
(idiotisme du premier degré). Un troisième, âgé de 9 ans, danse, parle , chante, frappe des mains, embrasse les enfants
52 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
de Paris Au commencement de 1888, M. le Dr Bérillon était autorisé parle Conseil supérieur des Facultés à faire à l'Ecole
de crises. Sa convalescence fut courte. J'aurai l'occasion de vous en parler plus tard. II est donc vrai que certains sujets
i que certains sujets peuvent être hypnotisés, sans qu'on s'en doute, parles manoeuvres et les manipulations des gens qui les
on, il ne m'était pas permis de l'examiner à cause des douleurs. Sans parler , je fis poser l'enfant sur un fauteuil et, après
eune domestique atteint de pseudo-méningite, dont je vous ai déjà parlé . Témoin des accidents convulsifs qu'il présentait
tres plus négligées et qui parfois deviennent prépondérantes. Je veux parler des conditions morales crées par l'entourage. O
ais dès que je m'écartais de lui, il ouvrait les yeux et se mettait à parler . Néanmoins je l'engageai à ne pas se décourager ;
a maladie, il se dédoublait évidemment en deux personnages : l'un qui parlait , souffrait, gesticulait ; l'autre qui entendait,
e, hardiment, sans crainte, sans timidité; tenez-vous avec assurance, parlez avec fermeté, vivez avec confiance ». Et je le fa
ermeté, vivez avec confiance ». Et je le faisais encore aller, venir, parler , agir. Chaque jour je répétai, pendant une heur
ets et de ses rapports avec les autres éléments du syndrome ; je veux parler de la communication faite par MM. Pitres et Régis
épliquera rien et n'exécutera pas votre suggestion; mais, si vous lui parlez , non plus en votre propre nom, mais d'une voix so
eur lorsque celui-ci s'adresse directement à lui et non pas lorsqu'il parle à la troisième personne. Ce rapport s'étend à d'a
es de disparaître sous l'influence d'une nouvelle suggestion. On nous parle de sujets que l'expérimentateur n'aurait pu révei
dans une direction1 déterminée. 7) L'excitation du système nerveux parla suggestion ne peut être que de courte durée. 8)
gis-saitdans des circonstances généralement désagréables. Venait-on à parler devant elle d'un acte indélicat, d'un vol, d'un a
e jadis, elle est maintenant triste, sombre, préoccupée ; elle ne parle de rien moins que de se suicider» et l'on doit de
895) sur le traitement des vomissements incoercibles de la grossesse, parlent de tous les remèdes et procédés connus, excepté d
ieu, un besoin nouveau, et ne trouvent d'expansion que parce qu'elles parlent au nom de ce besoin nouveau. Si le peuple angla
sement corporel, sur quoi votre collaborateur, M. le Docteur Farez, a parlé avec beaucoup de compétence. Je n'ai pas eu d'aut
o Moll paru en décembre 1892 dans Zeitschrîft fur Hypno-lismus, où il parle chaudement de la dettede reconnaissance contracté
rdial et considération profonde. » Bkchtsiief. M. Raymond a répondu parle télégramme suivant : ¦ En ces jours mémorables où
sse, qui a amené le mouvement de soulèvement du genou dont nous avons parlé . Il a senti ensuite ce mouvement s'accentuer et,
qu'il en est de même dans les expériences suivantes dont nous allons parler , la concordance est véritablement frappante. Se
tendue le fasse sortir de i'élat d'attention dans lequel il était, il parle ainsi que d'autres personnes et arrête là l'expér
utant, en chantant ; elle ne peut rester deux minutes en place ; elle parle continuellement avec une incohérence absolue dans
ble aux piqûres d'épingles. Dès que j'étais sorti de la salle, elle parlait aux employées et aux élèves. Elle a mangé les
s, il lui semble qu'un de ses maîtres se tient là derrière lui et lut parle impérieusement; le plus souvent l'hallucination n
des paraissent être son unique préoccupation ; toutefois, quand il en parle , il s'anime, et les moindres détails de sa vie d'
. « Supposez, dit-il, que l'opérateur, pendant qu'il fait des passes, parle et prédise ce qui va arriver ; la manifestation v
u sujet dans son état normal. Il est à espérer que dans l'avenir on parlera moins de l'état mental * automatique », et que le
t, exprimer mon appréciation sur les services rendus â la science parle regretté professeur Delbceuf, dont la mort prémat
débuts que de noter parfois que tels agités qui dorment, continuent à parler pendant leur sommeil, et à faire, la nuit, un bru
r de leurs rêves comme s'ils avaient pensé ou agi les choses dont ils parlent à l'état de veille; ils passent, en définitive, d
ité, par la suractivité nébuleuse des images mentales. Faut-il encore parler des terreurs nocturnes des jeunes enfants? Le cau
rapprocher également l'impression de « déjà vu » dont nous avons déjà parlé plus haut, et sur laquelle nous préparons un trav
s chez une petite fille. Onanisme et onychophagie traités avec succès parla suggestion. (Revue de l'Hypnotisme, 1891, 8* anné
e assez longue distance. Ces crises se répètent chaqne fois qu'on lui parle de sa femme. Elles surviennent aussi à l'occasion
paraître en moins de trois mois. Emerveille du résultat, comme j'en parlais à un de mes amis, ennemi des interventions chirur
sur le récit ou les détails de son histoire, il faut éviter de lui en parler à l'état de veille, sans quoi, elle ne tarde
s. Je dus m'exécuter parce qu'il ne fallait pas la contrarier. Elle parlait d'un ton menaçant et serait devenue facilement fu
us extraordinaire dans les expériences plus précises dont nous allons parler . Dans ces expériences, la sensibilité du sujet ne
de la sensation chez le sujet hypnotisé. Que le verre d'eau soit tenu parle sujet lui-même, ou qu'il soit tenu par trois, qua
oulu la tuer, M"* E. P.. répond : a Je ne t'ai pas tuée puisque lu me parles ! » C'est de ces paroles mémos que Delbccuf préte
(1) ». Et comment Delbœuf a-t-il pu croire à la comédie jouée même parles très bons somnambules en matière de suggestions c
ondu, avec un parfait bon sens : • Je ne t'ai pas tuée, puisque tu me parles ! » SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Sé
avons évidemment qu'à nous incliner. Incidemment M. Hartenberg nous parle de l'effroi que le seul mot d'hypnotisme provoque
ns faites à l'état de veille, qui nous répondra que notre collègue ne parle pas sous l'influence d'une suggestion? Il ne vo
enue dans des maisons de santé pendant plusieurs années, a été guérie parle sommeil provoque. M. le professeur Bernheim a vu
se inaugurale (1852) sur les Paralysies hystériques. Certes, on avait parlé de «es troubles de la sensibilité générale chez l
ur, apparaissant sur un sol préparé et à l'heure propice. » C'était parler , dans un langage philosophique élevé, d'un être f
n des décharges électriques : persistance, disparition par le choc et parla chaleur; en outre, une première excitation par un
té absolue de lutter contre les éléments psychiques dans les maladies parle moyen de la suggestion hypnotique, et vu, dans be
nsciente. Vers l'époque où se produisirent les vols dont nous avons parlé , le Dr X.., ayant rencontré N.., l'avait entraîné
nné à mal faire, après son « réveil, — tous ces vols se manifestèrent parle contre-coup d'une « imitation se répétant de l'es
ngara le limite d'autre part, nous ne dirons rien, n'en voulant point parler mal ; nous ne dirons pas l'encombrement qu'on y t
eurs dans son étude sur le sport ('J. Un entraîneur sait qu'il doit parler différemment à l'entraîné, suivant son caractère.
ppelée s'installe dans la conscience; elle s'hypertrophie, pour ainsi parler , au détriment des autres, puis devient exclusive
ité est encore l'élément principal de cette croyance par coutume dont parle Pascal : « La coutume fait nos preuves les plus f
e à favoriser certains attentats d'une nature particulièrement grave, parles les terribles conséquences qu'ils peuvent entraîn
déroulée, en 1865, devant la Cour d'Assises du Var et dont nous avons parlé fort en détail, dans une publication antérieure(J
de lettres, me tourmenta et, pendant les traitements suite vants, ne parla que de son amour. Par contre, il ne me recommanda
engins plus perfectionnés encore. Le miroir à alouettes était devancé parle miroir magique, le diapason et le gong de la Salp
science à une orthopédie morale. Ils corrigent les vices des enfants parla suggestion, augmentent la santé, redonnent du cou
ai donc en pure perte et mon temps et ma peine ; si, au contraire, je parle haut, le dormeur ne restera pas insensible à ma v
ient pas au réveil l'exécution précise des injonctions. » Si, ayant parlé du contenu des suggestions, je passe à leur forme
que nous lisons et écrivons, mais que nous n'avons pas l'habitude de parler , il nous semble que nos interlocuteurs articulent
ns vite, nous en aurions probablement saisi le sens. De même si, pour parler à notre aliéné endormi, nous conservons le rythme
e sa puissance de synthèse mentale et réalisé un « temps inadéquat ». Parlons donc très lentement à ce malade : il aura ainsi l
ion, le suggestionneur peut bien se laisser entraîner et en arriver à parler beaucoup plus vite qu'il ne convient : il sera dé
puis, s'il se peut, trois... Nous en arriverons ainsi peu à peu à lui parler suivant le rythme de la conversation ordinaire. D
sachons nous taire au moment opportun. En outre, pendant qu'on lui parle , le malade parait bien ne pas être tout à fait in
'impression s'accentue. Le passage brusque du jour à l'ombre atténuée parle vitrail ou la veilleuse, suscite Pidée vague du m
dants en proie aux esprits étrangers. Alors le bonze ou le mufti peut parler . Le prêtre peut monter en chaire, et déployer cet
ente longtemps de grandes attaques d'hystérie dont elle no nous a pas parlé lorsqu'elle nous a amené sa fille. Le grand-père
que vous soignez, a elle-même des crises terribles, dont elle ne veut parler à aucun médecin. Elle a encore plus besoin d'être
ganisme des effets physiologiques curatifs ou autres. On a beaucoup parlé , dans ces derniers temps, de la suggestion à l'ét
accompagnent la lésion, évoluent parallèlement à elle et, pour ainsi parler , l'entretiennent; 3" Enfin (lorsque véritablement
suggestion pendant le sommeil naturel n'est pas seulement, pour ainsi parler , le succédané ou le substitut de la (1) Lorsque
° 2203. ladies et les revers livrent chaque mortel à ceux qui lui parlent de la divinité », a dit d'Holbach Il est nécess
onner un aperçu du caractère et des ouvrages de ces trois hommes dont parle Gilberte. Corneille Jansen, dit Jansenius, et Du
des magistrats, des ministres d'Etat, des évéques. Il était patronné parle cardinal de Bérulle et par Vincent de Paul, auque
nom en donnant des leçons de théologie, et le Nécrologe de Port-Royal parle de « ses talens pour la conduite des âmes. » Humb
ement neutralisées par des suggestions directes « lorsque l'opérateur parlait à haute voix et prédisait ce qui allait arriver.
absolument opposé à cette notion. Il esta espérer qu'à l'avenir on parlera moins de cet état soi-disant automatique et que l
e manifestait par un affaiblissement si considérable qu'il ne pouvait parler sans fatigue, par uno paraplégie incomplète, par
se, et familière attirait, parce que chaque auditeur croyait qu'il ne parlait que pour lui. On courut à ses sermons, dont Antoi
53 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
a section des enfants. Ce n'est plus le médecin chef de service qui parle , c'est l'homme soucieux du bien-être des malade
cet incident. Dites le nom , M. Després. Vous voulez, n'est-ce pas, parler de M. Bourne- ville ? Eh bien, M. Bourneville a
table, la nécessité de l'assistance des enfants dont nous venons de parler . Il s'agit là d'une grosse question, car leur nom
s les Histoires de Salmuth, etc. De ce genre est « l'épilepsie dont parle Bootius {Traité des affections omises, ch. vi)
attaques de convulsions. Le cadavre ne fut point ouvert. Serres' parle , à propos des maladies de la protubé- rance, de
, la rémission même observée, etc., DE l'épilepsie PROCURSIVE. 23 parlent en faveur de l'épilepsie procursive. Nous ajou-
brève. Un quart de minute après, il reprend son travail, se remet à parler à ses ouvriers, à leur donner ses ordres; mais
dans les Archives de Virchow (1880). - Nous aurons éga- lement à parler incidemment sans nous y arrêter lon- 1 Nothnage
ris à onze mois, il était alors maigre et chétif, ne marchait ni ne parlait , on ne sait s'il avait eu des con- vulsions, la
jusqu'à quatre ou cinq ans presque toutes les nuits. Il a marché et parlé à seize mois, a été pro- pre à la même époque.
ait eu souvent de fugaces. i" décembre. - Suppression du traitement parla pilocarpine et l'hydrothérapie. 1883. 6 févri
extrait de la prison de Gaillon et réintégré à Bicêtre. N'entendant parler de rien, le 28 août j'écrivis une lettre à M. l
ion du lecteur pour qu'il soit superflu d'y insister : nous voulons parler de son arrestation, de sa condamnation et de so
us faible, et la jambe droite est plus courte que la gauche ; iln'a parlé qu'à sept ans; 11° garçon intelligent, mort à t
de dix à douze mois ; il était gros et fort. - 11 aurait commencé à parler vers huit à dix mois; Bourneville, 1887. 4 50
er : une première fois, il y a cinq 1 Tous ses frères et soeurs ont parlé de bonne heure ; la dernière par- lait très bie
départ toujours courant ; la face était pâle, livide; il se remit à parler après quelques instants. - Trois jours après ce
nt on le crût mort. Il a marché et a été propre à deux ans ; il n'a parlé assez bien qu'à trois ans. Vers quatre ans, rou
oppement exagéré de la tête. Il a commencé à marcher à trois ans, à parler à cinq ans répétant ce que l'on disait; il n'a
VE. Les phénomènes post-procursifs, et ici nous n'enten- dons pas parler des actes automatiques (marche, etc.), observés
yons apparaître ces sortes de tapotements sur place dont nous avons parlé pré- cédemment à propos de Vall... (Obs. Il) et
ions, était bien venant quoique chétif. Il a mar- ché à dix mois, a parlé à dix-sept mois, a été propre vers deux ans. -
courait, il n'aimait pas qu'on lui DE l'épilepsie PROCURSIVE. 85 parlât dans ces moments-là. Il avait peur; sitôt que ça
l. - Pas d'asphyxie à la naissance. - Bien venant, il a marché et parlé de bonne heure. A dix mois, il eut des convulsion
l'a repris, il avait toutes ses dents. De bonne heure, il marchait, parlait bien, était intelligent. - Sa santé a été bonne
E. 99 100 DE l'épilepsie PROCURSIVE. orifices dont nous venons de parler est de H millim., l'orifice anormal occupe les
rticulière; il ouvre de grands yeux ou plisse le front; quand il va parler , il semble faire un effort pour ressaisir la noti
oute la salle de l'infirmerie, va à un lit vide, essaie de l'ouvrir parle pied, finit enfin par relever le drap et se cou
divers auteurs qui ont traité de l'épilepsie ont, pour la plupart, parlé de l'automatisme, souvent, il est vrai, en term
suffisants, de porter un diagnostic rétrospectif. Nous avons déjà parlé incidemment des lésions rencontrées à l'autopsie
a été nourri au sein par sa mère jusqu'à deux ans ; il a commencé à parler de bonne heure; il parlait convenablement et ma
a mère jusqu'à deux ans ; il a commencé à parler de bonne heure; il parlait convenablement et marchait bien à dix-huit mois
étant d'une intelligence au-dessous de la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 124 DE l'épilepsie PROCURSIVE.
URSIVE. 127 'ils DE l'épilepsie PROCURSIVE. - On ne peut le faire parler , ni lui faire tirer la langue. il mange seul, m
croisant avec la scissure précentrale inférieure dont il a déjà été parlé et qui se trouve plus en avant. La première fro
sans convulsions, ni paralysie. - Première dent à huit mois. Il a parlé a un an, n mat- ché qu'à trois ans et n'a été
ent sur lui-même. - Le côté gauche est plus faible que le droit. Il parle , mais en trem- blant beaucoup; il sait épeler,
- Grossesse bonne; pourtant, à huit mois, la mère a été émotionnée parla mort de son second enfant. Elle au- rait été pr
que où il fut ramené à Bicêtre sur les instances de sa famille. il parlé « en bégayant », vers deux ans; il a été propre d
role est lente. Il semble qu'il soit obligé de faire un effort pour parler : la lèvre supérieure a des. contorsions, elle s'
irait qu'elle est raide. Parfois aussi, il ouvre la bouche avant de parler . Lorsqu'il parle - un peu à la manière des enfa
raide. Parfois aussi, il ouvre la bouche avant de parler. Lorsqu'il parle - un peu à la manière des enfants - les sillons
ave jusqu'à huit ans. - Impossibilité de marcher, de s'habiller, de parler et de manger seul jusqu'en 1880. - Gâtisme. - P
78 DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. voix. Quand il vent parler , sa figure se contracte, se tord plus ou moins
qu'il en est ainsi chaque fois qu'il est contrarié. Lorsque Lem... parle , DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 1
st scandée; tous les deux sont obligés d'exercer un effort avant de parler . La parole s'accompagne chez tous les deux de c
role qu'on remarque chez les athéto- siques dès qu'ils commencent à parler ne se manifestent qu'un temps assez long après
ches laborieuses, un certain nombre de traités dont les auteurs ont parlé de la température chez les épileptiques : Segui
° une fille morte à deux ans 1/2 du croup, elle était intelligente, parlait très bien ; elle avait marché à 13 mois et avai
vingt dents vers deux ans. La parole a été lente à venir; elle n'a parlé que vers deux à trois ans. Elle n'a été propre qu
s difficile. Son sommeil, qui est long, est très agité; elle gémit, parle tout haut en rêvant ; ello a peur qu'on ne la t
s- tions qu'on lui pose et y répond à peine ou mal; parfois, elle parle d'un autre sujet. Son langage, sa manière d'être,
0 ; T. R. 39°. Le malade avait eu trois selles abondantes. Il avait parlé un peu ; il ne voulait pas dire pourquoi il s'éta
it eu de la diarrhée à 3 mois. Il a commencé à marcher à un an et à parler à 13 mois. Il n'a guère été propre qu'à 2 ans 1
des gens l'électrisaient et qu'il fallait les faire arrêter ; il ne parlait que du commissaire de police. Son père fut de n
ains ; je veux quatre francs par jour et vivre indépendant. » Il ne parlait pas d'incorporation (1). Son père est alors ven
l avait à peine 9 ans. Après sa mort et jusqu'à sa maladie, il n'en parlait jamais. On en était même surpris. Il n'en était
s'était révolté contre son père. On as- sure que jamais il n'avait parlé d'incorporation avant son entrée à Sainte-Anne,
és, Achille G.... Je vous attends dimanche. Je voudrais bien vous parler . Le même jour il adresse la lettre impérative s
sous de jambon et quatre sous de pain. Il marche toute la nuit sans parler à personne, dit-il. Le lendemain il reprend le
nne, dit-il. Le lendemain il reprend le chemin de Bicêtre et rentre parla grande porte. Il dit s'être évadé parce qu'il a
fuse d'aller travailler à l'atelier de tailleur. Quand son père lui parle de ses anciennes idées, il détourne la conversa
bre. Sa mère est venue le voir dimanche der- nier. Il ne lui a plus parlé d'incorporation. 28 novembre. Hier il s'est éva
iquement. Dansd'autt'es moments, il présente une légère excitation, parle seul, gesticule, s'agenouille, embrasse la terr
s que sa mère avait avec lui. Semblable au mari d'une sorcière dont parle Boguet (1), « il estoit en- trappé par les jamb
ssé- dées de nouveau par les individus qui ont tenté de les avoir parla violence (1). Il en est aujourd'hui ainsi chez
54 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
e allusion à deux ordres de faits bien différents. Je veux d'une part parler des malades qui, soumis déjà à un traitement, vie
que vous ayez tout dit celle conjuration, ainsy aussitost qu'il vous parle , il faut traiter avec luy et ensuite vous le renv
ète. La suggestion à l'état de veille n'ayant rien donné, on le plaça parles moyens habituels (pression des globes oculaires)
ère, une petite vieille, la face ratatinée, les mains recroquevillées parle rhumatisme, couchée en chien de fusil, regarde cu
nir. Par exemple, un officier anglais, hypnotisé par Hansen, se mit à parler une langue dont il n'avait plus l'habitude, maïs
t muet, aveugle, paralysé, anorexique, et, au réveil, il ne peut plus parler , voir, marcher ou manger. Qu'ils aient été plei
ivant les croyances ou la tournure d'esprit du dormeur, le personnage parlera de loin, en vertu d'un lien télépathique, ou bien
ines aptitudes et un entraînement constant. Beaucoup de neurologistes parlent de l'hypnotisme comme s'ils en ignoraient les pre
utre, peut-être inconsciemment, par cette mentalité médicale, dont je parlais tout à l'heure et que vous saviez trouver ici.
sommeil ordinaire, mais Preyer rejetait les deux manières de voir et parlait de kataplexie ou paralysie de terreur, état dans
pois ; pendant cette opéra-lion, il est indispensable que personne ne parle au porteur de verrues. Les médecins ont une t
de nourriture, dormant très peu. Elle ne pouvait pas se tenir debout, parlait difficilement et, dans la matinée du 10 août 1901
contemporaine. Et pourtant si vous voulez exciter sa verve railleuse, parlez -lui d'occultisme et de spiritisme. Vous le trouve
« qu'elle lui a fait mal ». On ne rit pas de l'homme adulte quand il parle de l'esprit qui fait tourner !a table. Ils sont p
ière peccante et son siège dans l'organisme. Les Anciens avait déjà parlé d'un duel de cette nature, du duel de l'organisme
e les doctrines galé-nistes ; il ne cite ni Fracastor, ni Mercuriali, parle seulement de Paracelse, se déclare franchement co
et tousse de plus en plus fort pour me montrer que j'ai tort de lui parler ainsi. Jusqu'à maintenant, j'ai observé chez ce
t la voie à la toux. On sait que chuchoter est bien plus fatigant que parler à haute voix. La conscience de ne pas pouvoir éme
à ceux qui n'ont pas étudié les hallucinations, dont nous allons tant parler dans ce mémoire (1). 1° En une impression faite
aux sons, aux odeurs, aux saveurs, aux sensations diverses du tact. Parlons des hallucinations de l'ouïe qui jouent un grand
ue certaines gens qui s'occupent de magnétisme, non contents de faire parler les tables causeront familièrement avec les grand
ouvre les portes des chambres voisines pour chercher la personne qui parle ; il monte dans son grenier, il descend dans sa c
tes les terreurs de l'enfer, suivant que Jésus-Christ ou le démon lui parlera . Du reste ces hallucinations sont les mêmes che
blic : ainsi dans le courant de la vie ordinaire, la malade dont j'ai parlé plus haut, travaille, s'occupe, lit, et cause ave
organes de la reproduction ; c'est surtout de ces dernières dont nous parlerons . Chacun se rendra compte de ce qui se passe dans
chez les aliénés le rêve a lieu sans le sommeil : le malade dont j'ai parlé , qui entend la voix de son ancienne cuisinière, s
dans le sein du Sauveur ; on aime Dieu comme on aime un amant; on lui parle , on le prie avec la même langue dont se servent l
des religieuses dans les couvents ; Marie Alacoque dans ses mémoires parle le même langage que le Père Capucin dans son livr
à la réunion de la Société d'hypnologie du 20 mai, M. de Coynart nous parla de son curieux ouvrage sur Mlle de la Ville, il t
apparition. Un ange, nommé Jassenim, se manifesta devant elle et lui parla . Sur ces entrefaites elle fut envoyée à Paris dan
hez un sujet un certain nombre de phénomènes automatiques et le faire parler , agir, penser, sentir au gré de l'expérimentateur
lui. — Le premier venu en aurait fait tout ce qu'il voulait. — Pour parler , il n'est jamais en retard, mais pour agir, ce n'
eut me tuer. Où fuir ? On ne voyait aucune de ces apparitions dont il parlait , mais il prenait les mugissements de nos taureaux
saisis d'effroi et serrés les uns contre les autres, nous n'osions ni parler ni bouger. Mais lui, tirant son épée, se précipit
ces les plus artistiques comme aux objets les plus vulgaires. Nous ne parlerons pas davantage des maîtres dans l'art de constitue
ehors calmes, dissimule la violence de sa passion. * Il nous faut parler ici de quelques psychoses avec conscience qui vie
es d'extase ; ce sont celles-là qu'elle vient de décrire et dont elle parlera encore ; si c'eût été un autre témoin qui eût rac
ût raconté la scène, il nous eût dit ceci : elle cesse tout à coup de parler et demeure immobile, les yeux fixes et mi-clos; e
gravé l'entretien, ne vont pas jusqu'au bout et omettent à dessein de parler de la saignée, conseillée par Jésus comme rafraîc
renait à la lettre les phrases des romances et des cantiques, où l'on parle à chaque instant d'un cœur qui brûle d'amour tant
x fondé par le docteur Liébeault {de Nancy) sera décerné annuellement parla Société d'Hypnologie et de Psychologie à l'auteur
phénomènes de suggestion. Les livres traitant de l'hypnotisme, je parle des livres sérieux, sont remplis d'observations d
ade fut fort étonnée; comme dans le cours de la conversation, j'avais parlé d'une façon irrévérencieuse de cas semblables gué
ènes de l'hypnotisme, par M. le Dr Wijnaends Francken, de La Haye Parler d'une explication éventuelle des phénomènes de l'
enant qu'il est contagieux, on lui montre qu'un devoir lui est imposé parla nécessité de ne point attenter à la santé d'autru
occupée par Mlle X.... Il neconnait pas celle-ci ; il ne lui a jamais parlé ; il ne fixe aucun regard sur elle ; il l'ignore.
à une broderie quelconque, elle entend tout à coup le violoniste lui parler ; elle regarde et le voit sur la terrasse de la m
ussi j'en suis attristé pour l'auditoire. Il faudrait, en effet, pour parler comme il convient de la méthode en psychologie zo
es et de Marly, Georges Leroy, qui avait appris à connaître les bêtes parla pratique et qui fut dans ses belles Lettres sur l
te purement polygonal et avec 0 il peut penser à autre chose. Si on parle avec un sujet, ce sujet peut répondre consciemmen
ement sans se donner le temps d'y penser et d'y réfléchir et alors il parle avec son seul polygone sans intervention de 0.
douloureusement toutes les phases de son agonie comme l'actrice dont parle Darwin. Condillac distinguait en lui le Moi d'h
porté à un très haut degré et devenir le cauchemar, le rêve actif ou parlé (2) . A ce même groupe appartiennent les mouvemen
tre quelquefois dans des colères épouvantables, Or, quand j'ai pu lui parler dans ces moments difficiles et user de la suggest
ouver treize à table. Cela arriva une fois à l'un de ses lundis. Théo parla immédiatement de se retirer. Sainte-Beuve, qui ne
à la seule influence de la suggestion à l'état de veille. Lorsqu'on parle d'hypnotisme, il importe donc de considérer (1)
Que cette idée vienne par l'oreille, exprimée par une autre personne, parles yeux, formulée par écrit ou consécutive à une exp
rester. S'il se tait, il y songe, s'il ouvre la bouche, c'est pour en parler . Sous l'empire de l'idée fixe, les sentiments alt
e conservée au début de certaines affections des plus graves, je veux parler de l'endocardite infectieuse. Là, il existe de la
la maladie, comme en santé ils dominaient les circonstances. Quand on parle des caractères dans les maladies, on ne saurait t
rien l'impressionnait, les larmes lui venaient aux yeux quand on lui parlait de sa retraite qu'il désespérait d'atteindre. On
emble pour la mauvaise humeur habituelle aux roquets tuberculeux dont parle M. Lépinay. Le cardiaque est un obéissant et un d
s'intéresse à rien, ne veut voir personne et ne répond pas si on lui parle . La solitude, le silence et l'obscurité, voilà ce
us aucune tendresse à son enfant ; elle ne joue plus avec lui, ne lui parle plus et s'en désintéresse absolument. Lors des
tématique à l'endroit de l'hypnotisme et de la suggestion. Si l'on en parle , c'est pour l'écarter d'emblée au nom de ces
ordre, trois fois il lui fit la même réponse; Gabriel lui dit enfin : parle au nom du maître de la création qui a fait l'homm
tains deviennent alors éloquents, leur geste, leur voix, leur mode de parler diffèrent de l'état normal; après l'excitation, i
chez les prophètes, et prouve pour le peuple leur qualité : car Dieu parle par leur bouche. Cette croyance est restée toujou
usqu'au ciel. « Il donne des fruits dans chaque saison. Le Seigneur parle aux hommes en paraboles, afin qu'ils réfléchissen
ui amena l'ange Gabriel, se rendit de nuit jusqu'en face de Dieu, lui parla directement, et conversa avec les anciens patriar
du polygone... » qu'on n'a jamais noté les autres). Nous voulons parler de celui de Tartini. Nous en dirons quelques mots
ce moment déjà il est possible que les parents de Tartini lui aie'nt parlé du diable et avec Whiton Calkins on peut retrouve
que les livres pieux et les plaques de marbre « omettent à dessein de parler de la saignée, conseillée par Jésus comme rafraîc
au XVIIP siècle ; au XIX', Mgr Sougaud, le P. Daniel et Cucherat, ont parlé très longuement de la fameuse saignée. Je pourrai
e sur parole; enfin pour terminer ce petit procès, le récit dont nous parlons remplit les pages 379 et 380 du tome II de Vie et
x, mais cependant sur quoi M. le Dr Rouby peut-il bien se fonder pour parler des choses apprises dans les « Conversation des r
plateaux passent de mains en mains, illustrant les maladies décrites parle professeur. Pour les maladies nerveuses, les ma
C'est là, Messieurs, que je vis se dérouler ce tableau dont je vous parlais tout à l'heure, tableau violent dont les lignes n
ui persiste encore. Il aperçoit sa femme et la reconnaît. Il veut lui parler et bredouille. Enfin il parle : — Je suis perdu
sa femme et la reconnaît. Il veut lui parler et bredouille. Enfin il parle : — Je suis perdu, lui dit-il, puis, des mots s
l'usage lui revient. Maintenant il retrouve la mémoire des mots et parle librement. Mais l'amnésie des faits est totale.
mpossible poureux. Ils se laissent influencer par le dernier qui leur parle et il faut parfois en arriver à les isoler pour l
l'Asclépieion d'Athènes, le Lourdes du temps de Péri-clès. Si nous en parlons d'avance, c'est dans le but de donner à M. Hamon
que ! Arrivons à un fait plus grave, dont vous avez bien eu tort de parler , M. Hamon, car il est accablant pour les membres
ontmartre. J'admets que dans les sept livres cités par M. Hamon. on parle de la saignée rafraîchissante, mais on n'en parle
és par M. Hamon. on parle de la saignée rafraîchissante, mais on n'en parle pas dans les milliers de livres de piété vendus a
55 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
etite école et de la petite école) complémentaire, dont nous allons parler plus loin, ont fait régulièrement les exercices
. Compte-rendu de 1900, p. m).- L'amélio- ration continue, l'enfant parle aujourd'hui très bien, interroge et répond exac
aujourd'hui très bien, interroge et répond exactement quand on lui parle . Il a appris a con- naître quelques lettres et,
ître et l'enfant commence à répondre plus exacte- ment quand on lui parle . Il devient gai, chante et commence à s'appropr
- lioré pour la parole qui était complètement nulle à son entrée, parle davantage et plus distinctement. Cet enfant qui
utenu sous les bras, ne mangeant pas seul, gâtait nuit et jour et parlait avec difficulté. Cet enfant a commencé en 1897 à
maladroites. En 1899, il est parvenu it se déshabiller seul et à parler plus intelligiblement. Il gâtait encore très souv
inuellement et ne se réveillait que pour pleurer et se plaindre. Il parlait à peine, ne s'habillait pas seul, et n'avait au
u'il faut le faire manger, le laver, l'habiller ; il est gâteux, ne parle pas, ne sait même pas, par signes, exprimer ses
, du dortoir, de l'école, les animaux, etc.. Bien que l'enfant ne parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- na
ction de leur maître, M. Gov, à un concours de gymnastique organisé parla commune du Kremlin- Bicètre où ils ont obtenu u
mille francs - sans compter les économies de linge dont nous avons parlé , devrait en bonne justice être employée, nous l
trefois, à Bicêtre, que deux consultations, une de médecine faite parle médecin de l'Infirmerie générale, une de chirur-
é et de rachitisme, avec perversions ins- tinctives. Cette enfant parlait , causait, marchait, ne gâtait pas, mais elle ét
ucune notion iL son entrée. Ces deux cas et celui dont nous avons parlé (p. lxxxiii) montrent que, même chez les enfant
ement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'enfant parlait peu au début, était maussade, restait inerte ;
totalement changé, l'enfant est devenue plus enjouée, affectueuse, parle même beaucoup, tient con- versation, s'amuse au
ux d'appareils spéciaux et l'enseigne- ment des arts mécaniques. Je parle , ajoute l'auteur, pour ces nombreux enfants qui
les enfants arrivent Ù apprendre à lire, il écrire, à calculer, à parler assez correctement, il part évidemment quelques-
e charge pour l'assistance publique, comme le propose M. Robin ? Il parle des dégénérés, des inutiles, d'une façon généra
(IilasLG, je ltrise) Coprolalie (liopros, ordure ; laleù, je parle ) Coprophagie du grec liopros, ordure et ])I
peur) Dacnomanie (Hfnô, je mords) Echolalie ICcho, laléo, je parle ). Krouomanie (1ÙOll(¡, je heurte) Onychopha
de l'idéal ion. Mutisme Langage nègre L'enfant entend, mais ne parle pas sans qu'il y ait lésion des organes phona
sept mois. Dentition complète il dix- huit mois. Elle a commencé à parler à huit mois, a été propre à dix mois. Ni bave,
naturelle. La malade n'est pas réglée. Pas d'ona- nisme. Mich... parle , comprend et répond bien, marche lentement, pa-
ez lentement, semble parfois en proie à des cauchemars ; s'agite et parle quelquefois tout haut la nuit. Elle est d'une
agnes et joue volontiers avec elles. Elle dit s'en- nuyer beaucoup, parle souvent de ses parents. Elle n'a jamais pleuré.
ime maintenant causer avec ses maîtres, se préoccupe de son avenir, parle de s'engager, et comme on lui fait remarquer qu
e plier à la discipline militaire, il se rend à nos raisons et n'en parle plus. Il sort de temps en temps pour aller chez
ents. Caractère sournois. 31eîitetise « depuis qu'elle a commencé à parler . » Kleptomanie. - Paresse. - Fugues. - Accusati
is fourbe et sournois, menteuse, du reste a menti du jour où elle a parlé . - A été en classe de quatre à treize ans : ses
corrections qu'elle encourait. Elle perd l'argent qu'on lui confie, parle mal de son père à tout le monde et finit par le
n'a pas le regard franc, elle baisse toujours la tête quand on lui parle ; très peu expansive ; est loin d'être timide ;
s compagnes ; mais peu affective ; ne témoigne pas sa sympathie ; parle de son père qu'elle semble aimer ; elle raisonne
e aisément. En même temps que la saillie pilastrique s'accuse (nous parlons d'un os normal) et que la surface externe s'éla
ux peu vigoureux et de certains os malades. Bien que nous ayions il parler encore de deux autres variations, nous pouvons
, tandis que la première dépend de causes purement mécaniques. Nous parlerons néanmoins de celle-ci en premier lieu, car elle
été soumis à notre observation et les rares excep- tions dont nous parlerons d'ailleurs, loin d'infirmer cette règle général
pour tous les détails au mémoire préliminaire dont nous avons déjà parlé puis- que nous nous bornons ici il des conséque
cale, et que dans cette position l'inclinaison est différente. Pour parler plus exactement, les axes anatomiques ont une i
normale il y avait tous les intermédiaires. De mème, on n'a jamais parlé des particu- larités morphologiques liées il ce
e les a mis dans une situation analogue à celle dont nous venons de parler , et lorsque la croissance s'est ter- minée, l'o
y a une distinction à faire entre les longueurs du fémur. Quand on parle de la longueur d'un fémur, il est bon de spécif
e l'enfant à la naissance. Nourrie au sein, par sa mère. L'enfant a parlé de bonne heure, on ne peut préciser davantage,
it lente, confuse, absolument comme celle d'un enfant qui apprend à parler , alors qu'avant la rougeole elle parlait assez
d'un enfant qui apprend à parler, alors qu'avant la rougeole elle parlait assez bien. l'as de scarlatine, pas de convulsion
onne, l'enfant a bien dormi. Durant la journée, on remarque qu'elle parle continuellement seule, fait des gestes avec les
oration au point de vue intellectuel, bien que la malade continue à parler seule, et il rechercher l'isole- ment. Elle a d
mpagnes, elle aime beaucoup ses soeurs, ses frères, son père ; elle parle souvent d'eux et manifeste le désir de retourne
lle est un peu nonchalante et l'on doit souvent la stimuler. Elle parle fréquemment de sa famille qu'elle semble aimer be
mauvaise. Elle n'accepte sa nourriture qu'après l'avoir flairée. Ne parle pas. Gâte continuellement. Insomnie. 10 février
toujours l'inquiétude. Parfois mouvements des lèvres comme si elle parlait , crispation de la face, yeux, pleins de larmes.
.. a peu de spontanéité, toutefois elle cherche à taquiner. Elle ne parle pas encore, sourit ou fait une légère grimace q
soeurs, elle a dit : « Au revoir, Marthe. » Elle refuse toujours de parler au personnel et à ses camarades, elle est gâteu
mars. Tantôt elle mange seule, tantôt il faut l'exciter. - Elle ne parle pas. - Elle ne voulait pas se rendre au bal don
o- fonde méditation ; elle semble revenir d'un rêve, quand on lui parle vivement. Les pleurs et les larmes se succédent r
à tous et parait heureuse. 9 mat. Marguerite s'habille, se lave, parle , fait la dictée, travaille iL l'ouvroir absolum
erie du 1"' au Gjuin. Durant tout le mois elle a été déprimée. Elle parle beaucoup, à propos de tout, s'ima- TUBERCULOSE
ifies. Elle s'est mon- trée calme et résignée. Sommeil interrompu parla toux, des sueurs, de la diarrhée, et des douleu
rt des troubles de la parole ; elle aurait dû presque réapprendre à parler . 111. La première attaque de folie est survenue
ires, s'imagine qu'on veut l'empoisonner, flaire ses aliments, ne parle pas, s'affaiblit physiquement, gâte, refuse de
ait le bouffon des autres enfants qui s'en moquaient, parce qu'elle parlait peu, et la battaient. » La mémoire serait assez
s, diphtérie, coqueluche). Son caractère était enjoué, mais elle ne parla jamais, ne marcha pas et ne fut jamais propre.
56 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
é l'année der- nière déjà comme étant devenu propre, avait appris à parler , à se laver seul et à mieux comprendre tout ce
ivé gâteux, ne marchant pas et privé de la parole. Actuellement, il parle bien, il marche. Sa tenue est propre et soignée
A\1.. (Gaston), 14 ans. A l'entrée, l'enfant était grand gâteux, ne parlait pas, marchait mal et ne savait rien faire. Aujo
ETI'rE école complémentaire. xv et bien que sa mère prétendît qu'il parlait , il avait été impos- sible de lui faire articul
de ses camarades, Félix, par esprit d'imitation, a fait effort pour parler et prononce quelques mots dont il ne comprenait
rcices scolaires. Idiotie. - Co'rT.. (Henri), dont nous avons aussi parlé dans le Compte-rendu précédent, est arrivé à la
BIlL. (Cyrille). -A son entrée, cet enfant gâtait nuit et jour, ne parlait pas, indif- férent à ce qui se passait autour d
l faut le faire manger, le laver, l'habiller ; qu'il est gâteux, ne parle pas, ne sait même pas, par signes, . F'ig. 10.
e l'école, les personnes, les animaux, etc.. Bien que l'enfant ne parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- na
la grande .école (1). Dans notre Compte-rendu de 1899, nous avons parlé des services que nous rendaient, au point de vu
u Dr Clin), et des médicaments antiscrofuleux, ont continué comme parle passé il être, avec les purgatifs, surtout chez
16.000 francs sans compter les économies de linge dont nous avons parlé , devrait en bonne justice être employée, nous le
sans but, rien chez cette enfant n'annonçait l'intelligence. Elle parlait , mais avait un défaut de prononciation pour la
t peu expressive, le regu'd n'annonçait aucune intelligence, elle parlait , mais zézayait un peu. ne construisait que des ph
e a marcher seule, à s'alimenter elle-même assez proprement. Elle parle franchement et sans le moindre défaut de pronon-
- dinait de droite il gauche; ne courait, ni ne sautait. L'enfant parlait , mais elle zozotait il chaque mot et il fallait ê
ive, alerte dans ses mouvements; marche, court, saute avec agilité; parle facilement, s'exprime avec volubilité, soutient
ndiquait aucune intelligence, le regard était sournois, elle savait parler , mais était incapable de tenir conversation, l'
daigneusement lorsqu'on émet devant eux la possibilité de les faire parler ? (1) Ce travail a paru dans les Archives de ne
nt 1111mIco-pÉDAG.oGIQUE. Nous étudierons d'abord les idiots qui ne parlent pas. nous nous occuperons ensuite de ceux qui p
idiots qui ne parlent pas. nous nous occuperons ensuite de ceux qui parlent mal. Idiots qui ne parlent pas. - Les idiots qu
nous nous occuperons ensuite de ceux qui parlent mal. Idiots qui ne parlent pas. - Les idiots qui ne parlent pas sont très
eux qui parlent mal. Idiots qui ne parlent pas. - Les idiots qui ne parlent pas sont très nombreux. S'enferment-ils dans le
it même dire que c'est pour ces deux raisons que nos mala- des ne parlent pas. En effet, si les idiots sont muets n'est-
e, est toute secondaire, pour le but qui nous occupe. Les idiots ne parlent pas, comment peut-on faire pour provoquer en eu
, mais, et c'est la grande majorité des cas, chez les idiots qui ne parlent pas, ces lésions localisées n'existent pas, sau
ue sorte et il développer la faculté du langage. Pour apprendre à parler , il faut d'abord savoir écouter, d'où nécessité
s'étonnent que les enfants idiots auxquels on essaie d'apprendre à parler arrivent avec tant de peine il prononcer les sy
malades formeront, si l'on veut, la transition entre ceux qui, ne parlent pas, et ceux qui parlent mal. Edmond B... appar
'on veut, la transition entre ceux qui, ne parlent pas, et ceux qui parlent mal. Edmond B... appartient il cette catégorie.
ancêtres désignaient-ils autrement les ani- maux dont ils voulaient parler ? A mesure que les progrès s'effectueront, que
nt on lui fait énoncer le nom, non seulement notre élève apprend il parler mais encore il s'habitue il n'employer que des
ère à maintenir son attention. Donnons un exemple. Henri 1)... ne parlait pas ; il disait à peine et rarement à propos pa
), messi (merci). En le soumettant à la méthode dont nous venons de parler , il est arrivé à prononcer le mot bouton. Nous
personne, idée pour ainsi dire secondaire, car l'idiot ne peut que parler delui-mème et enfin le temps, qui est aussi que
ter mille exemples semblables. Le moyen de corriger cette faconde parler exige encore des exercices spéciaux. Il faudra
rriverons, en peu de temps, à de grands change- ments. Idiots qui parlent mal. - Les idiots, dont nous allons maintenant
mal. - Les idiots, dont nous allons maintenant nous occuper, savent parler . Ils peuvent ex- primer leurs besoins, leurs pa
ment et arrête les sons au passage ; l'enfant fait des efforts pour parler correctement, projette de la salive et fait ent
ité d'orthophonie, mais pour dessein (L) Goguillol. Comment on fait parler les sourds-muets. cxiliv v Traitement JII : nIC
ussi pour les séances cle. projections destinées à leur apprendre à parler ou à corriger les vices de prononciation. Nous
ensuite l'exercice inverse. z ....De cette façon l'enfant apprend à parler et acquiel-t' .des idées simples et tout-à-fait
'ononciation et non .- de' ? 3 -lecture. Ne -faut-il pas-apprendre ^ parler avant d'apprem-, dre à lire : ? ...- .- . ? . -
rbes exprimant les actions habituelles de l'enfant. Manger, dormir, parler , marcher, courir, jouer, promener etc. Dans l
es filles : Outre les deux infim11ères-insliLll' trices dont il est parlé plus haut, trois infirmières seraient nécessair
é à la charge d'une grande tante tout il.fait indigente. On m'avait parlé de le placer à la campagne, mais c'est un pauvr
iments affectifs assez développés. Etat intellee/n el : l'enfant ne parle pas. mais il comprend la plupart des mots qu'on
Etal intellectuel, La... comprend à peine les questions posées. Ne parle pas. Intelligence à peu près nulle. Traitement.
s. . Sensibilité intacte. Traitement du nanisme et de l'obé- sité parla glande thyroïde. Amélioration. Nous nous borner
. Dentition complète il 2 ans. Début de la marche il 3 ans. Elle ne parle pas encore et ne sait dire que quelques mots in
ité du doigt. - Vestibule profond. L'un des malades dont nous avons parlé précédem- ment (OBS. XL11 et dont l'on trouvera
pression ; l'en- fant parait timide et baisse la tête dès qu'on lui parle . Les pommettes et le menton sont très rougets.
lèvres sont cyanosées. Mais la respiration est normale, et l'enfant parle bien. La tempéra- ture atteignant vers le soir
rent encore plus nettement les types lésionnels dont nons venons de parler . Certains points de la région en sont pour ains
a- teux mis de côté où l'indication est formelle, dont nous avons parlé , y a-t-il des lésions de la glande thyroïde ? ' ?
e est peu bruyante et aime mieux rester assise que de jouer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et
. 207 elle n'a pas de tremblement de la langue ni des mains. Elle parle toujours très lentement et à voix basse. Au point
ts qu'elle fait dis- paraître en les jetant dans les cabinets. Elle parle toujours à voix basse, avec lenteur et hésitati
idait une inégalité de poids des hémisphères cérébelleux ; on sait, parles statistiques publiées à diverses reprises dans
se crista- galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla pression normale de l'hémisphère sain, qui n'es
rieur du rocher en même temps qu'un léger tassement de cet os (nous parlons toujours par comparaison avec le côté malade).
ant est sombre, doux et timide; il se borne à répondre quand on lui parle , mais jamais n'entame la conversation de lui-mê
on lui parle, mais jamais n'entame la conversation de lui-même, et parle toujours à voix basse. Il n'est pas du tout aff
epris par sa famille à 4 ans : on constate qu'il est arriéré, qu'il parle mal et est peu développé pour son âge. Il n'a p
tremblement de la langue ni des mains, pas d'inégalité pupillaire, parle lentement, quand il parle, mais pas de bégaieme
ni des mains, pas d'inégalité pupillaire, parle lentement, quand il parle , mais pas de bégaiement. Comme il est redevenu
appée à diverses reprises d'attaques de paralysie. Elle n'aurait pu parler durant les deux dernières années de sa vie. Dan
ière dent à 16 mois. La den- tition n'est pas complète. L'enfant ne parle pas, ne marche pas et n'est pas propre. Antéc
57 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
très satisfaisante. A l'entrée (14 Dec. 1896), il ne morchnit pas, ne parlait pas, et ne mangeait pas seul; il était grand gâte
ne mangeait pas seul; il était grand gâteux. Actuellement, il marche, parle , raisonne même bien, s'habille et se déshabille s
ontinue de s'améliorer; men-tionné déjà l'an dernier. Cette année, il parle très-bien, tient bien une conversation et, malgré
, à être pro-pre, à se laver la figure et les mains, à manger seul, à parler n'est-ce pas déjà un résultat digne d'être rele-v
vée, gâtait toutes les nuits et souvent le jour, marchait avec p'ine, parlait avec volubilité, comme un perroquet, répétant des
Actuellement, il est propre le jour et la nuit, est moins loquace, parle avec plus do lucidité; la somnolence que nous avo
02, p. XIII). Idiotie. — Itziko. .. (Félix), 9 ans, dont nous avons parlé déjà l'an dernier (p. XVI) conlinue de s'améliore
. Idiotie microcéphalie. — Chai. .. (Louis), 13ans, dont nous avons parlé plusieurs fois dans les Comptes-rendus précé-dent
est parcourue) ; il faut aussi dans beaucoup dé cas leur apprendre à parler , ou tout au moins à corriger une articulation déf
jamais de vue que nous avons affaire à des malades qui ne savent pas parler ou qui parlent mal, qui ne commencent qu'à savoir
que nous avons affaire à des malades qui ne savent pas parler ou qui parlent mal, qui ne commencent qu'à savoir regarder et im
uisque moins bru-yantes. Comme nous avons en même temps à apprendre à parler , répétons-le encore, les articulations complexes
s du D1' Clin), et des médicaments antiscrofuloux, ont continué comme parle passé à être, avec les purgatifs, surtout chez le
vec intégrité presque parfaite des facultés intel-lectuelles (nous ne parlons pas de l'irritabilité habi-tuelle du caractère) d
, autrefois, à Bieêtro, que doux consultations, une do médecine faite parle médecin de l'Infirmerie générale, une de chirur-g
eur petite maman. Elle essaie de répéter tout ce qu'elle entend, elle parle à propos. Elle mange seule, mastique très bien. E
itôt en traitement, elle commençait à s'améliorer devenait plus gaie, parlait avec moins de lenteur et s'expri-mait avec facili
toilette. La parole, autrefois lente, est maintenant très vive, Elle parle beaucoup, raisonne bien et s'exprime de même. La
éfectu-euse, elle avait un défaut de prononciation (bégaiement), elle parlait peu, no se servait que de mots pour dési-gner un
), la physionomie manquait d'expression, soii air était hébété ; elle parlait très peu, sa voix était nasillarde; elle mangeait
trée en 1903. La physionomie n'annonçait pas d'in-telligence, elle ne parlait pas, ne marchait pas, ne mangeait pas seule, ne s
urd'hui, l'ensemble de la physionomie est beaucoup plus éveillé; elle parle très bien et sans aucun défaut de pro-nonciation,
it. Elle joue avec ses petites compagnes, recon-naît les personnes au parler , à la marche. La sensibilité tacti-le est aussi t
plète. — Gauth... (Marcelle), 5 ans. A son entrée (mai 1903), elle ne parlait pas, ne jetait que quelques cris inarticulés. Ell
chait à tout, aimait â détruire. Aucun sen-timent d'affectivité. Elle parlait peu, son vocabulaire ne s'étendait guère qu'en me
trée à la Fondation en 1890, atteinte d'icliolio et d'épilepsie. Elle parlait peu, mais n'avait pas de défaut. Elle uàlait nuit
— Toutes les filles sont exami-nées au point de vue de leur dentition parle dentiste do Bicôtre. Nous recommandons à notre pe
nstitution do la Commission des enfants anormaux, dont nous venons de parler . Cet article a été reproduit dans la Clinique inf
et de l'adolescence, nous ont profondément peiné. Pourquoi, avant de parler , no pas voir, se renseigner ? N'est-ce pas là une
re et que deux ans plus tôt cet enfant était gâteux, ne marchait pas, parlait à peine par monosyllabes et semblait destiné à pa
llement à la petite école. A l'entrée, il était gâteux, ne pouvait ni parler , ni manger tout seul. Actuelle-ment il est propre
ération. Il restera dans la première divi-sion jusqu'à ce qu'il sache parler , faisant la gymnastique des échelles, apprenant à
it pour ses progrès possibles (1). L'enfant qui marchait a appris à parler , il va entrer dans la classe où des chiffres et d
quartier des garçons est toujours tenu d'une façon très satisfaisante parle ménage que j'y ai installé il y a 12 ans. L'aspec
de nos sujets et à l'absence de toute aptitude chez les autres, sans parler des infirmités et imperfections physiques plus ou
— Dans toutes nos observa-tions, nous notons les professions exercées parles parents. cées par les parents. Le tableau suiva
nution considérable des rien faire en classe. Il lui est pénible de parler , de se dépla-cer. Il a toujours l'air hébété aprè
dimension d'un œuf de moineau. — Même traitement. Juin. — L'enfant parle de moins en moins et la parole, quelquefois, est
dentition fut complète. D... commence à dire quelques mots à 14 mois, parle tout à fait bien à 2 ans, sans défauts de pro-
cauche-mars, de sauts dans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle sait lire et écrire. Les sentiments af
vèle rien de particulier. L'intelligence est peu éveillée. L'enfant parle assez bien. 1899. — Puberté. Aisselles, thorax,
dor. — Allaitement mixte, on partie par le lait de la mère, en partie parle lait de vache, sevré à 11 mois. Pendant 3 mois, i
n à peu près nulle, pas de vomissements, selle quotidienne.— L'enfant parle presque à voix basse ; fait des phrases : « moi,
bligation de le mettre en cellule. Il croit voir ses parents, il leur parle et gesticule jour et nuit. La physionomie exprime
do cette observation. Et ce n'est pas la première l'ois crue nous en parlons . Les enfants qui comme H.., ont une hérédité char
d jour, ouïe normale. — Digestion et respiration régulières. L'enfant parle difficilement et très indistinctement. Par moment
Goût; l'enfant aime mieux les aliments sucrés (frian-dises apportées parles parents) que les acidulés. Mastication lente, pas
ue fonctionnel : parole sifflante, lèvres et dents serrées quand elle parle . — Appétit bon, consti-pation. Gâtisme continuel
ant distinctement les mots français, comprend mieux ce qu'on lui dit, parle en français à ses parents, chante très souvent,
peine, mais elle préfère se traîner et cric si on l'en empêche. Elle parle de plus en plus distinctement, aime le chant et l
les lettres, lace et boutonne de même avec indifférence et sans goût. Parle plus distinctement, chante parfois. Propre le jou
dans les asiles par placement volontaire, sauf ceux qui sont arrêtes parla police. Le nombre de ces placements estallé en au
...... 58 X. Thymus et glande thyroïde chez les enfants anormaux, parle même........ 62 TROISIÈME PARTIE Clinique, th
58 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
certainement syphilitiques, quoiqu'elles n'aient pas, à proprement parler , les caractères classiques du syphilome. Nous c
aitement la méningo- encéphalite gommeusc, mais lorsqu'il s'agit de parler d'une méningo-encéphalite diffuse embryonnaire,
r dix d'origine syphilitique et que son substratum ana- tomique, je parle de la paralysie générale vraie, est une inflamm
d'ataxie à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 1 proprement parler ; la station debout, les yeux fermés, est très d
ortance et il faut attirer son attention sur ce point pour'qu'il en parle . Les pupilles sont égales, p'unctiformes et imm
pupilles sont égales, p'unctiformes et immobiles. Lorsque le malade parle , tous les muscles de la face sont animés 24 ' P
rtures. Il marmotte encore quelques mots dépourvus de-sens, mais ne parle à personne. Le 6 novembre, à la visite, on le t
es les manières possibles..., je chante avec une voix gracieuse (il parle avec affectation)..., avec une voix forte (il h
alade ne peut plus quitter son lit; il est beaucoup plus calme ; il parle encore de son talent de chanteur, mais posément;
ntelligible que la veille. Dans la soirée il s'affaisse et cesse de parler . Le 8 le malade est dans un état comateux ; la
one marginale de Westphal qui est parfaite- ment intacte; en dedans parle centre ovale de Flechsi, qui est déjà un peu pl
terrogée à ce pro-.) t pos répond que dans' cet état, elle ne' peut parler parce que dans le ? temps qu'elle pense à'cequ'
que, sont apparues.les idées spéciales, constituant, à proprement- parler , le. délire de négation, i qui ne s'est' ainsi 'r
rapportée par Stefanowski. L'exer- cice du trapèze et la suspension parles bras provoquaient l'orgasme vénérien chez l'enf
le DES paranoïaques ÉROTIQUES au point DE vue DE la DÉGÉNÉRESCENCE; parle Dr, Ferrari. (lv. 57. si fren., fasc. II-III, 1
prédisposition7. tôutêrspéciale à ce genre de formations- ? Je veux parler dé la 'cachexie ''stfumiprivè^ `1 où l'appariti
' entré les deu`substancesf ? ? -0 *' ' Le plaques dont je viens de parler se composent de lamelles épaisses, solides, étr
s difficiles à classer dans l'un quelconque dé*ces groupes. Je veux parler des formes intermédiaires et des, formes compos
évidemment une autre origine. ' D'autre part, Blocq et Marinesco parlent d'images corolli- fornaes qui, d'après eux,' se
nt généralement les groupes névriculaires des extrémités. Pour ne parler que du sciatique, on voit les deux poplités se pl
cipital gauche et de l'in- terruption des fibres d'association qui, parle corps calleux, vont au lobe occipital droit, il
ette pratique. 164 CLINIQUE MENTALE. 1 des filles ou même de leur parler de cela. Si d'autres jeunes gens le font, je vo
m'aurait fallu une heure pour me re- mettre ; j'étais sans pouvoir parler ; elle en a profité. » Devenuplus grand, et avan
e pour sa part qu'une importance secondaire, et lorsqu'on le laisse parler de lui-même, sans le guider par les questions,
t avoir existé (folie de doute sur laquelle nous reviendrons). » Il parle ensuite à tort et à travers de Charles VII, de
rès grave, je m'en suis déjà entretenu chez M. F... ; si je vous en parle , c'est que c'est très important, car tout cela es
vraiment que le capitaine Dr... » . Et sans transition, il se met à parler de la guerre de 1870, «qui a été un malheur »,
souvent inconscient;; le, malade ne connaît que,parce qu'on lui en parle , i;uqu'ilse oit'dans une glace. Cependant'il se
edevenu presque nor ? mal. j II était^d'habitude.triste^et^ sombre, parlait peu, se promenait- continuellement seul dans la
s DE la cécité bilatérale avec les ARFECTIONS des lobes occipitaux; parle Dr SEPPILI R2U. sp. di fi-en., t. XVIII, fasc.
de l'opération, paralysie des extrémités droites, impossibilité de parler ; mort trois jours après. Autopsie. Bien qu'on a
rtères cérébrales (Etude , sur la non-terminalité des artères de la parle Dr Biscorrs. - (Nouveau Mo ? ztîiellie ? -Wécli
e 'la plupart des hommes sont droitiers, ainsi certaines personnes, parlent avec leur hémisphère droit' tandis que les autr
ec leur hémisphère droit' tandis que les autres; plus nombreuses, parlent avec leur hémisphère gauche' 1 I s,1" ua Des su
u, qui, longtemps après leur guérison, ne pou- vaient, sans frémir, parler des frayeurs qu'ils avaient endu- rées. 1 ... i
nation' du ' C'est peut-être le-'cas du paralytique général dont'je parle plus haut, qui assiste toutes les nuits aux 'dé
courtes;attaquesépileptiformes ? il ne^pouvait , ni, marcher, ni parler .] ,L<\sro*f"I 9ps'ssls usopz>JS; 9'\T) xfr3
naturel- lement le, contrasteqde lalsommëdinte,lligénçë manifestée parla malade avec éelle de .sonypelitJfrèye;l qût ,gt
.,qu'il,,est ^ nécessairerde nourrir.eLd'habilier, qui. ne, peuvent parler » et.qui r sont simplement agites ou turbulent
'O , .Observation détaillée. des. deux faits. dont M. Alac Dowal a parlé dans, le, travail publié par lui, sur ce, sujet
les persécutés ne se ressemblent' pas cliniquement parlant. Sans parler du délire chronique, aujourd'hui accepté et carac
BRI.&ND répond qu'il ai cherché le signe cl'Ar.3,11-Bol)erLsoii parle procédé ordinaire; mais qu'il n'a tenu compte que
tat latent a afin de gagner le plus possible'» : Voilà, pour ainsi' parler , l'économie du traitement mé- dico-pédagogique
laire. Comment expriirient-ilsrcertains sons, quel est leur mode de parler ? 1.'âutéilé'â'éttidié'lë làn; : ââéFdës ënfanl
x conventions phoné- tiques de son1pays.B-cLorsqu : il'cb'mmence"à' parler ;llnalgrét le» haut degré' de développement inte
n suit, dans ce mémoire pas a pas 1 évolution syllabique du langage parle . P. Keraval. c 0 t 1]t t 51 t9vao B-198 II -- .
lantes. Ces journaux rendraient ,de .réels services si, au lieu de parler à" tort et à travers'des asiles, ils's'occupaient
e pensant qu'on va venir l'arrêter, craint qu'on ne l'empoi- sonne, parle de mourir, de se jeter à la Seine.' En mai surv
eilles ? ti'-3 R.A Non.r.- C'est toujours, dans ma' bouche i qu'on' parle . Ça me serre Iles dents.31f..onu ? i f'ftûbasnt
s sont simultanées. La 'malade répond tout 'haut « aux gens qui lui parlent dans la "bouche ». Quelquefois on la tutoie ou
t.v»-d'J9y siz.ic.mx ? tl-sep<em6)'e ? P.regarde , ? [ - 1 ? o ? , parle dans -H'iVseptembreJ ' P.; ? en' 1 air, puis' :
? , parle dans -H'iVseptembreJ ' P.; ? en' 1 air, puis' : c, On me parle ans les dents; on me téléphone- continuellement
·i Sn,4 en 3h.i)Rf J ej'Gltr ? 1K ? irT t 15 janvier 1893. ,« On me parle ,toute la nuit, oniiiie brise les dents... ces p
nnes-là savent tout, ce quüs'est,liasséici....c'est 'M. F ? qui me" parle ... c'est une.pression D.période.dé silence pend
MMtj57tjj, c..i;, v91'itilll· ? janvier. - Accès désarmes : «,On me parle horriblement. » P.... désigne par leurs noms,'s
nd nombre^de gens qui lui causent. , Quatre personnes^ l'Asile, lui parlent péndantla nuit ? ·;,i La recherche des signes,
les résultatsj suivants ^il'n'existe . pas de"trismus,.a,proprement` parler ,pas de contracture perma- nente dés musclés rel
ibilité générale (nous sommes-.en chemin de fer... ça marche); Elle parle les dents serrées (trismus probable), exécute d
omatique' -p 20 mars. - P... ne garde aucun'.vêtement : t On. ne me parler i plus dans, les, dents... on a, fait des orgie
des milliards à toucher... Nous sommes- en chemin de fer... » ç P ? parle sans presque desserrer les dents. r »]«< ! '.
ut insister par suite de leur grand intérêt clinique mous voulons parler de l'apparition,. au. cours d'une ? période de ré
rmales, le ' patient- atteint" d'hallucinâtioiis motrices verbales, parle de ' voix intérieures', 'secrètes , de'"voix sa
s, parle de ' voix intérieures', 'secrètes , de'"voix sanssôn, qui' parlent eii pen- sée;'de chuchotements : Lui'' dëmânde-
'en donnait là malade était dès* plus' caractéristiques' : «« On me parle dans la 6ot<cAeJrépétait-eIle ? .\ je n'ente
différemment' : t'J'entends crier dans'là bouche, dit-'éllé; on me parle dans les dents Elle proteste énergiquement/ s'im-
s' accùsées.i : ) : - moi : ? ôrï' mê prësse sur les dents, ''on me parle là dedans ! '» Cette répugnance des iujets' attei
? j'ai une persécution dans les dents. On me serre les dents, on me parle là dedans. » ^' >\ ' ''--- > > -*v %,
ui, chez,cer- tains sujets, « se meut involontairement pendant`;que parlera voix intérienre ak(CHAftCOT) : -4alS il- faut s
ire," qu'elle'n'avait-pas,- au dire de sa soeur,' l'habitude ! de'1 parler seules En -la' faisant lire mentalement nous'av
n état de torpeur ! intellectuelle, : '<*^il avait' de lapeine à parler ) et en outre il avait un' grincement^ des dents p
ucun mot;'il'coïncide encore'avec des accès de-mutisme. -.31' Bayle parle d'un paralytique général chez'lequel ? en outre
mentsfde'dents trèsiaccusés : en;cmémetemps qu'une impossibilité de parler , malgré tous les ..efforts quejfai- sait- Ig. s
: · La première malade , sel plaint «^d'une crampe. quand elle veut parler ,», qui l'empêche de con- tinuer.à articuler ? e
bles'de la'parole; caractériséstpâr une'impos- sibilité complète de parler survenant par accès, s'accompa- gnaient de cont
t;n. ..3, , ' r. , ff *- t * Ajoutons, puisque nous sommes amenés à parler du centre masticateur, qu'on a cru devoir admet
na. Aux mots vagues du début (on la`calomnie; on l'injûrie ? on lui parle dans'les'dents, on la fait trelrlbler.dâossôil'
«" C'est» d'électricité/disait- elle, 'c'est* le1 téléphone"1' qui parle dansma'bouche;')''et elle entamait un`dialogiie
un moment donné, des réac- tions très particulières : nous voulons parler de véritables bouffées à forme mélancolique, qu
ambitieuses et hypocondriaques incohérentes et absurdes (la malade parle de milliards, ses dents repoussent, etc.). Puis
ui leur fait un compliment ou 362 HISTOIRE ET CRITIQUE. le diable parle , passai bouche^ etales,inwiteà venirl prendre
le . de Fauverney Rappelée Claudine Bourgeot ? dont nous avons déjà parlé en disant que Nouvelet i s'était servis d'ellei
sion, des sUrsulines par-1'intermédiaire du diable; qui était censé parler par sa boucher IDn'est pas douteux, en'effet, q
-l ? ( ? ' '<.nrrr) ? 1 nxt " mone, elle feignit, que le diable parlait par sa bouche, et lui dit ces paroles : «.Viens
bulisme d'un officier couché sous la même tente. L'officier dont il parle eut un rêve hallucinatoire curieux, où il se cr
ours à l'individu"peünfamilier'avecle crayon; soit en les congelant parla méthode de Pirogoffet^en1 appliqnant sur les ré
cou- leurs' d'aniline. J Comme1 il est impossible de les' énumérer parle menu, hous"nbusrcontenterons de signaler les co
inamovibilité, conversité pour con- versibilité, etc. ; quand elle parle , les contractions fibrillaires des muscles péri
. Néanmoins, sans transition, elle change de conversation si on lui parle d'autre £ chose et alors raisonne juste.,Toutef
t maintenant.à,son 1 fils des propos peu convenables*; ,'elle,. lui parle de sa jeunesse, de, ( sa beauté, des personnes
tiser, est devenu ! général ; ce n'est.plus que rare-, ment qu'elle parle des prétendues tentatives d'empoisonnement ? PA
te1enîce%que les' vomissements ' ont lieu à sec, si l'on peut ainsi parler ; elles diffèrent également '3desânômâliës signa
ui-ci faisait observer que dans le péril de la voir tirer de prison parles démons, -il-- fallait mettre'les fers'aux pieds '
diligence du procureur général, du complot'fait-par les prêtres'et parles religieuses pour perdre la même soeur Bùvée ivn
spagnol ? , Non mon réé*ren'd ? p'ère hé bien, je m'en -vais. vous. parler » latin afin de voir si, tout ira mieux, en effe
ponce et tout s'en alla dans les foibles mouvements dont nous ayons parlé desquelz après quelque temps la fille revint, s
doit quelques mots, ledit R. P. luy dit alors, hé bien je vais vous parler françois, par ainsi vous ne sauriez manquer à c
u parler les autres langues, jamais il ne peut rien gagner ni faire parler , mais après quelques agitattions sans autres cé
t;' ,« Le R..P. dom Prieur de Saint^Bénigne la voyant en train de parler et.de7 respondre afin, de tirer une, marque n ,
vos coeurs estoient pre- pares je respoirdrois toits langage, je ne parle parle point pour le juge1' auquel il'est permis
eurs estoient pre- pares je respoirdrois toits langage, je ne parle parle point pour le juge1' auquel il'est permis de'lo
rès les litanies,' M. le vicaire général s'approche d'elle et ' luy parle come à une fille, luy remonstre que ses postures
endue non est is tei7poi-e, et choses semblables. Enfin après avoir parlé et pressé plus d'une heure il convia les trois
çu en elle aucun changementny aucun.nouvel effect tant y a qu'il ne parla plus de nouveaux exorcismes et fut con- traint
entant une contri- bution que je; crois tout à fait nouvelle, sinon parla méthode et par les rapports recherchés, du moin
atrie et d'anthropologie criminelle, de relever trois degrés (je ne parle pas d'un degré très léger, qui n'est pas très e
se' fait' sentir l'influence de Gallet de Comte. Féré et Dubuisson parlent couramment de centres'esthé- tiques; moraux; ar
lirantes, ou par'l'émotion, la modification de l'humeur en- gendrée parle texte même des préoccupations phsycho-sensorielle
' ' On' a'conté beaucoup d'anecdotes''sur =Brovvn-Séquard;· on a parlé de sa méthôde`'dé' tcà.vàil; qùi lui faisait cons
Francfort 1893 ont analysé sérieusement les réclamations formulées parles prêtres et répondu aux arguments ainsi qu'aux a
l'idée que sur eux agissent0 dés esprits hostiles, à « proprement, parler , impurs. Tous les °possédés étaient ma- «lades.
59 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: ses persécu- teurs voyaient sa pensée, la violaient, la faisaient parler malgré lui; actuellement, il en est au stade gr
l'incohérence, on s'aperçoit que le 10 O CLINIQUE MENTALE. malade parle de lui parfois à la troisième personne, qu'il a q
sonne, qu'il a quel- qu'un, une femme en dedans de lui-même qui lui parle et lui écrit par sa propre main et à qui il par
lui-même qui lui parle et lui écrit par sa propre main et à qui il parle . Nous l'interrogeons et il nous répond qu'il a
qu'il a deux femmes dans la poitrine qui ne le quittent pas et qui parlent . Il est en conversation continuelle avec elles,
mpruntent sa voix et causent par sa bouche et ce n'est plus lui qui parle : ils sont deux. Il écrit encore deux lettres o
e ses parents. « L... (lui-même) leur dit-il, n'est pas la », et il parle de lui à la troisième personne. Malgré son état
s des hallucinations psycho- motrices, il annonce que le a don » va parler . La voix change et il parle de lui-même comme d
motrices, il annonce que le a don » va parler. La voix change et il parle de lui-même comme d'une personne étrangère : ce «
il parle de lui-même comme d'une personne étrangère : ce « don » parle par sa langue, dans ses dents, il a une conversat
s dents, il a une conversation avec le, malade et avec ceux qui lui parlent . Ce « don » lui dit par- fois des choses fort d
maîtresse de sa main comme de sa bouche. 1. « J'ai quelqu'un qui parle dans ma Bouche; don. 2. « Je veux faire mourir
ciation mimique et parésie faciale gauche. Aspect triste, le malade parle peu, répond par monosyllabes, mais la lecture tra
HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS LA PARALYSIE. 13 nourriture, parle peu, a un aspect inquiet et triste, change conti-
hez toi ».lui dit cette voix. Interrogé, il répond qu'une femme lui parle sans cesse dans la bouche, l'ait remuer sa lang
, malgré lui et lui dit des injures, il serre les dents pour ne pas parler , mais il parle malgré lui. Mouvements de pandic
lui dit des injures, il serre les dents pour ne pas parler, mais il parle malgré lui. Mouvements de pandiculations. Le
ements de pandiculations. Le 25 juillet, marmotte toujours, sa voix parle sans cesse dans sa bouche ; ptosis complet à dr
onne, mon vieux B... » et interrogé sur la nature de cette voix qui parle par sa bouche sans cesse le jour et la nuit et
t un délire spécial relatif aux organes génitaux et spontanément en parlent . Or, avons-nous dit, tel fut le cas pour sept d
nne alors complètement son ancien délire génital; quand on lui en parle , il parait ne plus s'en souvenir. En mai 1892, il
pouiller complètement de leurs vêtements et de se mettre nus. Je ne parle pas de ceux qui agissent ainsi parce qu'ils lac
istinctes des organes, à la façon des spirites ou des sauvages. Ils parlent ainsi d'intel- gence, de conscience, de volonté
, de conscience, de volonté, etc., comme les docteurs scholastiques parlaient d'humanité, de pierréité (la remarque est de Sp
la remarque est de Spinoza). Que de physiologistes et de cliniciens parlent encore cette langue, et combien de philosophes,
s tabétiques est abandonné par tout le monde : impos- sible donc de parler de la même cause efficiente de l'arthropathie s
e est due aune cause mécanique, traumatique. Mais l'examen des os parlerait plutôt contre cette opinion : on y trouve des alt
a même marche qu'a suivie l'humanité dans l'histoire. Il faudra lui parler des anciens avant de s'occuper des modernes, lui
uelques corvées ; c'est ainsi que sa femme lui ayant plusieurs fois parlé de sa tentative de suicide, lui en ayant à divers
d'après ce que sa femme lui a raconté ultérieurement que le malade parle , puisqu'il cite des faits qui se sont passés pe
ue ne semble le supposer Edinger. Des psychologues d'école, je ne parle pas. Ces psychologues vont répétant, de génératio
1 est aussi incapable de penser comme l'enfant que de marcher ou de parler comme lui. La vérité c'est que si l'esprit de l'e
cent, s'il va droit au but, c'est que l'enfant n'a pas à proprement parler de mentalité ; sa réaction vis-à-vis d'une impr
ction du sciatique et peut-être en partie à l'irritation déterminée parle virus rabique, par la multiplication directe de l
beaucoup plus précoce que l'autre. , Ainsi les conclusions fournies parla statistique sont en parfait accord avec les ind
vail les trois catégories suivantes : 1° Aphémie ou impossi lité de parler par suite d'une affection du centre de coordinati
ut un ictus à la suite de cet accident. Depuis lors, lorsqu'il veut parler , il émet sur un ton amphatique et oratoire des
aient douze ou quinze jours et elle en était devenue très anémique. Parla suggestion hypnotique, j'ai limité ses règles à
ui, cependant, seraient des mieux mérités, car nous voulons surtout parler de la pièce locale. Ce qui nous occupe principa
de la base des orteils, sans qu'il y ait « draguage » à proprement parler , ni boiterie concomitante. La sensibilité aussi
ertain rôle dans la dissociation de la vision binoculaire dont nous parlerons plus loin. III. « Il y a un rapport constant en
diapasons placés sur le front ou sur les dents, ne sont perçus que parle côté sain. En même temps, on trouve une anesthé
fles rouges, mouchoir à carreaux rouges, etc. c). Il nous reste à parler de la vision binoculaire : 1° Dans un premier e
elle, il arrive parfois à .G... d'entendre des voix lui Refendre de parler et lui dire que .celui qui s'avance est attaché
jeter sur elle, entend leurs voix qui la menacent, lui défendent de parler , lui annoncent toutes les souffrances qu'elle v
s états-, psychiques, pendant ces périodes hallucinatoires. d'abord parles phrases qu'elle prononce dans son délire, et pa
pays où l'on garde le sou- venir des premiers troubadours et où le parler régional est encore imprégné des vestiges de la
bienvenue. A vous aussi et aux maîtres au nom des- quels vous avez parlé , merci ! Nous voici en l'amille au milieu du co
que les sourds entendront nos appels, que les muets se décideront à parler . , Parmi les avantages de ce congrès, il en est
plinée et plus complètement soustraite aux « préjugés chéris » dont parle l'auteur du Novum organum, plus tard la méthode
ul appelait la vérité vraie. Souhaitons à la ligue dont je viens de parler longue vie et efficace activité. Elle s'inspire
menace le plus ne sont pas loin de l'entendre et de l'écouter. , Parler dans un congrès de médecine mentale du péril alco
uefois plus, de la période d'excitation. La terminaison peus.ejaire parla guérison complète ou le délire aigu n'est que l
a déjà été cause de débats aussi stériles que si chaque auteur eùt parlé une langue différente. , Les délirants aigus
rber une certaine quantité d'alcool, voici une déclaration adressée parles 69 médecins du Finistère à leurs com- patriotes
suite de rachicocaïnisations et attribuée par eux à l'intoxication parla cocaïne. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXVII.
uvent ni comprendre les mots qu'on leur dit, et qu'ils répètent, ni parler de leur propre initiative. Les malades de ce ge
me et la couleur, après la période d'amé- lioration dont nous avons parlé , diminuent graduellement jusqu'à ce que, finale
. Très souvent, dans l'hystérie, si souvent que .divers auteurs ont parla caractérisé l'hystérie dans les définitions qu'il
cullaire. Il existerait d'abord un premier étage médul- laire formé parle neurone sensitif rachidien et le neurone moteur
duction dépend de l'intensité de l'irritant. Les faits cliniques ne parlent pas non plus tout à fait en faveur de SOCIÉTÉS
e prononciation défectueuse, mais il répond exactement quand on lui parle , fait des phrases et com- prend bien tout ce qu
a- bille et se nettoie seul. Il place les lettres et les reconnaît. Parle assez à propos et prononce assez bien les mots.
ttteint d'i- diotie profonde et d'épilepsie, était grand gâteux, ne parlait pas, ne savait pas manger seul. L'attention éta
i 346 SOCIÉTÉS SAVANTES. à ces soins d'une manière convenable. Il parle , comprend et tient bien une conversation. A la
mplète, avec gâtisme ; marche et parole nulles. Accjo2n'- d'hui, il parle , marche, s'habille et se déshabille seul, et se r
t en arrière, en poussant une sorte de plainte ininterrompue. Il ne parlait pas ou du moins ne disait que papa et pain avec
il répète et comprend maintenant tout ce qu'on lui dit, commmence à parler un peu de lui-même. La voix est basse, caverneu
verneuse et'1'articulation laisse beaucoup à désirer, mais enfin il parle , avec à propos, et nous comprenons ce qu'il veut
éfectueuse. Sterl..., s'isolait, ne jouait avec ses camarades, leur parlait encore moins. A nos questions il répondait par mo
ue bien, mais enfin arrive à se faire com- prendre, si ce n'est pas parla parole, du moins par l'écriture. Nous devons jo
de sensibles SOCIÉTÉS SAVANTES. , 351 progrès en gymnastique. Il parle couramment alors que la parole était nulle jusq
our de son habitation. Alcoolique invétéré, il avait plusieurs fois parlé d'en finir avec la vie. (Le Bon- homme Normand
a plusieurs points que nous n'avons fait qu'effleurer. Nous voulons parler des fibres très délicates qui se rencontrent da
s causes autres que la syphilis, et cette opinion est d'ailleurs en parlait accord avec celle de Babinsky et Charpentier. L
ent les 2/3 des admissions. Le dernier quart des entrées est fourni parles psychoses dites simples (psychoses d'épuisement,
t °, d')Iagent 6, de Wernicke1, de Irafft Ebing 8. Kroe- pelin 9 en parle dans la partie générale de sa « Psychiatrie » e
oute la journée, quelque position qu'il occupe, qu'on essaie de lui parler ou non, il accomplit son ancien geste professio
que le malade n'explique plus. , 4° Stéréotypies dans le langage parlé . Les stéréoty- pies dans le langage parlé sont
réotypies dans le langage parlé. Les stéréoty- pies dans le langage parlé sont d'ordres différents. Certains individus si
stéréotypies diverses mais assez sem- blables il celles du langage parlé . Nous en trouvons d'abord un certain nombre qui
atre sergents de la Rochelle, lui en veulent. C'est eux qui le font parler écrire, l'obligent à se casser la tête et à écrir
. 6° Stéréotypies dans la mimique et les gestes. Outre le langage parlé ou écrit, nous pouvons encore communiquer . ave
la guérir. Elle est restée au début longtemps sur une chaise, sans parler ,immo- ' J. Séglas. Sociélé médico-psychologique
ères. Sa morgue n'a pas diminué. Lui seul est bien, intell- gent. H parle avec quelque dédain de Gambetta, de Victor Hugo.
iagnostics les plus difficiles, les tics et les spasmes. Nous avons parlé plus haut des tics d'habitude. Il nous reste àp
conta, ou rêva d'avoir entendu ces paroles : « Gilbert, lève-toi et parle ». 11 se leva, alla frapper trois fois à la por
prononcer un nom qu'elle connaissait, dit : C'est toi Gilbert et tu parles », il répondit en l'embrassant : « c'est Dieu qui
loué et glorifié ». Cette femme était si étonnée qu'elle ne pouvait parler . Mais étant revenue de sa sur- ~ prise, elle lu
és, se trouvèrent désobstrués et si ce paysan entendit avant que de parler , c'est parce que l'obstruction des nerfs auditi
es Algajer, âgé de vingt-cinq ans, perdit peu à peu la fa- culté de parler à la suite de maux de coeur suivis' de plusieurs
n ordre si constant que depuis quatorze ans, le malade ne pou- vait parler que pendant une heure, depuis midi jusqu'au comme
it l'usage de la parole, Algajer répondait à toutes les demandes et parlait sur tous les sujets avec netteté et préci- sion
mittent est analogue à celle très classique de Mendel, où le malade parlait tous les jours de six heures à neuf heures du m
mais avec beaucoup d'enroue- ment. Quand elle avait la fièvre, elle parlait dans le chaud. M. Le- mery, qui avait ordonné p
llerées de ses vulnéraires. A peine a-t-elle cessé de boire qu'elle parle . 1 Pitres. Leçons cliniques sur l'hystérie et l
qu'on approchât l'oreille tout près de sa bouche ; pour peu qu'elle parlât elle en était si fatiguée, qu'elle était obligé
nder et, apparemment, il fut bien re- pentant. Depuis ce temps elle parle aussi souvent et aussi libre- ment qu'avant ses
ndant quatre heures, elle recouvra la parole et continua dès lors à parler 1. Les faits que nous venons de rapporter indiq
ment de sa chute ne con- naissait que quelques mots d'anglais, mais parlait couramment, outre le français, l'italien et le
i rendit presque instantanément la parole et Jean Mafurlin se mit à parler anglais, français, italien et portugais. L'angl
2° l'effet de l'or- gane sensoriel sur cette série dont on vient de parler est précisé- ment de lui donner un commencement
ons psychomotrices et de la sialorrhée. La voix d'un de ses parents parlait par sa bouche, ce qui lui faisait croire qu'ell
e, ce qui lui faisait croire qu'elle était ventriloque. La voix lui parlait si fort pendant la nuit, que la malade se révei
60 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
ndre compte des procédés employés pour apprendre aux sourds-muets à parler . De la sorte, tout le per- sonnel enseignant co
lu5l fr. îo ; 3° en divers effets mobiliers; 4° dans les loyers dus parles locataires du pensionnat ; 5° dans le capital n
le Jean-Louis.. Il est limité au nord par la rue Benserade, à l'est parla ruelle Jean- Louis, qui le sépare d'une ancienn
ersé par un couloir qui fait suite à la galerie, H, dont nous avons parlé (voy. plan n° 2), et qui aboutit à un préau cou
vis qui l'accom- pagnent. M. TuÉLAT. L'avant-projet dont vient de parler M. le Dr Bourneville n'est que la traduction du
ses et les LXXVI Fondation Vallée. incurables continueront, comme parle passé, à être dirigées sur la Salpôtrière. En
ice de la pharmacie. Les médicaments se- raient fournis et préparés parla pharmacie de l'hospice. Une indemnité serait ac
dit la mère. L'enfant a commencé à marcher à 2 ans et demi, et à parler un peu à un an, assez bien à trois ans et demi. I
accompagnée d'un tremblement ner- veux latéral de la tête. L'enfant parlait moins bien qu'à trois ans et demi, mais il marc
t. Avant d'entrer à l'in- firmerie, il s'isolait dans un coin, sans parler aux au très enfants, ne jouant pas. Très-frileu
e normal. Pas de phimosis. Anus régulier. Parole rudimentaire. Il parle du nez et ne peut proncer que quelques mots : «
euses a disparu complètement. (La coloration par l'acide osmique ou parla méthode deVeiâcrtne donne aucun résultat). Ces
cependant que son développement cérébral était fort retardé. Il ne parlait pas et n'a d'ailleurs jamais parlé. On ne pouva
bral était fort retardé. Il ne parlait pas et n'a d'ailleurs jamais parlé . On ne pouvait pas le faire tenir sur ses jambe
ses pieds s'étaient retournés davantage. 1880. 26 juin. L'enfant ne parle pas : il suce ses doigts, et se balance sur sa
interrompue en son milieu par le pli de passage dont nous venons de parler et n'a aucune connexion avec le reste de la sci
. Il a marché à 2 ans zizi, a été propre vers 3 ans, n'a commencé à parler qu'à plus de 5 ans, convenablement à 8 ou 9 ans
lants ont remarqué aujourd'hui qu'il était beaucoup plus gai, qu'il parlait beaucoup, mais sans divaguer. Cependant cette re-
quels le malade cra- che de l'écume; puis immédiatement il se met à parler . Pas de convulsions cloniques, de morsure de la
n'en est rien et au bout de quelques secondes le malade se remet à parler . L'intervalle qui s'écoule entre deux crises n'
ilieu d'une phrase pendant quelques secondes, puis de recommencer à parler , mais en changeant de sujet. Les sujets de conv
moin ce fait qu'une attaque cesse quelques secon- des après qu'on a parlé haut devant lui de la castration im- médiate co
e toujours les mômes : 9 Paroles ordurières, il appelle des femmes, parle de rap- ports sexuels, et chante des chansons q
e un établissement spécial; il vante sa puissance génitale. 2° Il parle de ses camarades et se plaint du personnel, no-
rmier qu'il appelle tour à tour le «Kroumir» ou l'«étranleur.n 3° Parle de sa maladie, dit qu'elle l'a empêché de se mari
on ne sait de quoi. maternel mort à soixante-quatorze ans, épuisé parle travail, enflé des jambes; il n'avait jamais été
e sa mère était redevenue en- ceinte. Il a marché vers onze mois, a parlé vers deux ans, .a toujours été gâteux. Vers un
; commence à se servir d'une fourchette, connait toutesles lettres, parle assez bien. lia pris le ICI' décembre sa premiè
te la nuit il a chanté « Tiens voilà Mathieu» ou la Marseillaise ou parlé ! « Va-t-en sale bête; bataillon scolaire; l'ar
eau, je te vas crever les yeux.» Ce malin il est moins ex- cité, il parle beaucoup, mais il n'esl pas furieux. Il essaie
its suivantes, Jan. a offert une surexci- tation très marquée; il a parlé constamment durant deux heu- res. Ses propos, t
terai dessin et je l'étranglerai. » Puis : « La vieille coquine (il parlait de sa mère) je la tuerai, je lui volerai son arge
nière fois on avait cru qu'il était mort On ne sait à quel âge il a parlé ; mais à son retour, il parlait très mal, on ne
était mort On ne sait à quel âge il a parlé ; mais à son retour, il parlait très mal, on ne le comprenait pas. Il imitait l
it l'air de la craindre ; il l'a quittée sans pleurer et n'en a pas parlé dans la suite. On ne sait à quel àgo il a march
. Une fois remis, il a été envoyé à Bicêtre. 1885. )4 avril. Arn... parle très vite, il est difficile de le comprendre. I
nt s'appelle mademoiselle ? « s'appelle mademoiselle. » Rarement il parle spontanément, il faut qu'il y soit poussé. Par
Il commence à perdre l'habitude de voler. 1886.Janvier ? lrn.... parle beaucoup mieux, et plus à pro- pos. Il connaît
fécales et urine. Il aurait du prolapsus rectal. « Il a commencé à parler aussitôt que les autres enfants, mais il n'a pa
ent. Le front est bas (36 millimètres), il n'y a pas à proprement parler de bosse frontale, il y a de chaque côté une dépr
et plus facilement les mo- nosyllabes. En général, il bave quand il parle . Il faut le forcer à parler, son habitude est d
nosyllabes. En général, il bave quand il parle. Il faut le forcer à parler , son habitude est d'écrire ce qu'il veut dire sur
ux, pleurait quand sa mère caressait un autre enfant. Il n'a jamais parlé ni marché et a toujours été gâteux. Bave abonda
terminaison de la bifurcation du second pli dont il vient d'être parlé ; l'autre branche de bifurcation descend presque
le retrait de l'arachnoïde qui comblait le cratère dont nous allons parler . En détachant la pic-mère, on s'aperçoit qu'au
omme mamelonnée. Quant à la perforation elliptique, dont nous avons parlé , elle laisse voir dans son fond une masse ellip
cent. 1/2 de haut, limitée en bas par le sillon dont nous venons de parler , en haut par un sillon profond, mais qui n'abou
ade. 27 mai. - L'enfant, hémiplégique à droite, ne marche pas, ne parle pas, ne sait ni se laver, ni s'habiller. L'appéti
it pas comme l'autre. A un an, Paul devint propre; il ne commença à parler et à marcher qu'à deux ans. Il a tou- jours tra
ant à lui, il pleurait ou riait aux éclats. Le saisissement produit parla vue de son père aurait diminué l'intensité des
séparée en deux à sa partie moyenne par le sillon dont nous avons parlé pour la quatrième temporale. Lobe orbitaire et
sque complète- ment divisée au milieu par le sillon dont nous avons parlé à propos de la deuxième frontale. - Le sillon d
historiettes à l'usage des enfants. Son caractère est doux. Elle parle peu et avec beaucoup d'hésitation ; elle s'amuse
intelligence est plus obtuse ; la malade n'a jamais appris il lire, parle moins distinctement et bégaie légèrement. Son c
Sensibilité au chatouillement. Caractère tran- quille et doux. Elle parle en jouant avec les autres enfants. Tendance mar
symptôme qui est un élément remarquable dans tous les cas; je veux parler de la tuméfaction prononcée, avec tendance à la
61 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les tournantes, typtolologie mentale intérieure, messages écrits et parlés , dessins, révélations inspirées, adup- taon d'u
imposa les mains et lui annonça qu'elle sentait que la voix allait parler . En effet, sans qu'elle sût d'avance ce qu'elle
effet, sans qu'elle sût d'avance ce qu'elle allait dire, « la voix parla par sa bouche a elle ». Ce fut une diatribe ass
peu, cette amélioration se fait par oscillations successives. Elle parle abon- damment de ses projets d'avenir et se lai
pas sans initiation véritable dans le spiritisme actif; elle a fait parler des tables comme médium typteur; elle a été médiu
lgarisation des principes de charité. Tandis que les autres esprits parlent surtout au moyen de la table, Deus plus assidu
ent poussée à leur dire « qu'elle a Dieu en elle » et que Jésus lui parle , mais elle n'ose pas; elle consulte Deus en ell
et explications pourraient le faire croire, ce sont les esprits qui parlent ; Cam... cause de toute chose plus naturellement,
dicterai mes lois au sur et à mesure. « Ecris plus encore que tu ne parles scripla manient. » Quelques jours après, elle é
fait doit entraîner celle du second. Elle oublie que nous lui avons parlé de. ce comité lors de son premier séjour; notre
révolte sa justice, aussi affirme-t-elle que ce n'est pas Deus qui parle , ce ne peut-être la voix de personne assure-t-ell
se crista- galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla ' pression normale de l'hémisphère sain, qui n'
eur du rocher en même temps qu'un léger tassement de cet os : (nous parlons toujours par comparaison avec le côté malade).
l'épilepsie elles ne sont pas nécessaires. Il ne faut pas non plus parler de « grand mal » ou de « petit mal » non plus q
nIOURATOFG', est peu démonstratif, car, autant qu'on peut le juger parla brève communication de ce cas, les nerfs périphér
la respiration. Etat présent : une excitation très vive ; le malade parle beaucoup. Une paralysie complète avec affaiblisse
n d'un infirmier. - L'infirmier de l'asile de Bron, dont nous avons parlé dans notre dernier numéro, reconnu coupable de
me essentiel que révèle la pal- pation de la région malade, je veux parler des altérations objectives dont sont le siège l
terrain clinique, on l'ait confondue avec cette dernière : je veux parler de la syringomyélie. Vous n'ignorez pas, Messie
vec les formes anormales; cette même maladie et ceci m'amène à vous parler de affection qui a donné lieu à de longues disc
avités médullaires que la destruction de la substance grise envahie parle bacille lépreux. Cette dernière opinion, à vrai
vous l'ai dit, a été soutenue notamment par M. Zambaco qui, pour ne parler que de la France, a affirmé l'existence de cert
ion et aussi par l'action toxique locale des subs- tances secrétées parle bacille, elles détermineront, selon l'in- tensi
t te combiner les unes aux autres, selon l'identité de l'esprit qui parle et selon Il les circonstances. Quand plusieurs
un jour et compatissant affectueusement aux peines de Cam... lui parle en hallucinations psychiques et Dieu le père pren
s voix, dit la ma- lade, sont comme une émanation intérieure; elles parlent dans ma tète quand c'est mon esprit qui travail
deus, idée ». A partir du mois de janvier, les esprits s'essaient à parler en vers, et Gain... elle-même dans ses écrits c
Voici, par exemple, une pièce très intéressante, en ceci qu'elle y parle de « sa voix », sa chère voix aimante et protec
coeur aux yeux fait monter une larme Sans que sa voix résonne il te parle tout bas Il t'emmène fort loin des choses d'ici
celle qui consiste à entrer en contact matériel (matérialisé pour parler le langage spirite) avec les esprits. C'cst une m
sonnalité au-dessus du commun de l'humanité, cette pureté dont elle parle toujours comme d'un caractère de sainteté et de
elon la réalité qu'elle a prise en grippe, et déses- pérée, elle ne parle plus que de divorcer pour attendre de pouvoir c
tions : « Quelqu'un t'adore qui t'épousera, c'est Dieu, Deus qui te parle ». D'autres fois même il lui dit qu'il s'incarn
lement de s'efforcer de repousser les voix et de se priver de faire parler son guéridon. « Elle a peur, dit-elle, des hall
e jetterait sur un guéridon avec avidité. Au mois de janvier elle parle de spiritisme avec plusieurs personnes avec une p
ions spontanées. L'esprit de l'oncle reparait lui-même. Cam... nous parle un jour de lui et rappelle que de son vivant il d
rt de cette introduction : « C'est à travers ton contrôle que je te parle , ma fille » et un peu plus tard, après une asse
ela même elle se trompe, car à partir du mois de juillet, elle n'en parle plus. Pour le moment. il faut cette évocation s
cette désignation et ne dit plus que « la voix ». Ue même, elle ne parle plus de Kamianisme. Elle garde seulement l'inte
mier séjour au Sanatorium, duraut lequel elle n'avait, en tous cas, parlé de rien que de sa très vague fièvre cérébrale.
dans l'ordre depuis juillet 1902. Cam... 140 CLINIQUE MENTALE. ne parle plus de faire tourner des tables, elle n'a plus d
héologique pagano-chrétien à base astronomique. C'est ainsi qu'elle parle sans cesse de former des élèves, alors qu'un pe
hansons, fait de la musique, ne veut plus s'occuper que d'art et ne parle plus que de religion et des problèmes de la survi
its qui se désiucarnaieut à sa volonté pour lui répondre ou qui lui parlaient spontanément. Cela ne l'étonnait nullement, c'é
on de lumière, il se met à prier. Le lendemain l'esprit de D... lui parle dans la tête en hallucinations psychomotrices c
'a fui n'habite plus en lui- même, il n'y reste que son coeur. Il parle pour un autre, il est une pure machine à parler,
te que son coeur. Il parle pour un autre, il est une pure machine à parler , son cerveau n'est qu'un réflecteur, il est un
rdre des esprits, il refuse de manger, dans l'après- midi, Dieu lui parle et lui ordonne de se tuer. Il quitte sa chambre
conscience éclaircit : durant un quart d'heure il ne pouvait point parler , quoiqu'il comprenait tout; ensuite, il commenç
ait point parler, quoiqu'il comprenait tout; ensuite, il commença à parler , mais d'une voix 'nasillarde. Il ressentait une
llucinations auditives; une semaine plus tard, le malade commença à parler mieux, mais l'affaiblis- sement de mémoire rest
tamment le malade demande les noms des personnes avec lesquelles il parle , mais il les oublie aussitôt. Sa mémoire concer
e dans les polynévrites. W.-P. SERBSKY trouve que dans le cas, dont parle W.-A. 31ouR.&- TOFF, il y avait une psychos
tions verbales, est bientôt pénétré de l'idée que le Dieu Iahvé lui parle et qu'il est son ministre sur la terre ; orgueill
resse de mai. son, pour inviter une jeune fille à danser ; je n'ose parler haut dans un restaurant. Mais cela ne m'a/Fecte
enfant, pas même un chien. Dans une conversation, si c'est moi qui parle , je regarde successivement les yeux, le nez, la
ense à mon mal et perds le fil de mes idées. C'est pis lorsqu'on me parle ! Je sais qu'un regard me couve et que je ne pu
Conseil général. ; M. le professeur BRISSAUD prend la parole. Il parle de M. Théophile de Bordeu, médecin béarnais né à
, que découvrirent à la fin du XIXe siè- cle, Charcot et Pitres. Il parla même d'ondulations et d'oscil- lations, c'est-à
s mêmes tics, des mêmes façons bizarres, affectées ou maniérées, de parler , de marcher, de s'asseoir, de manger, etc. A cô
s, aux anciennes maisons de force. SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 Je ne parle pas, avec intention, des criminels devenus aliéné
er dans le crâne. Tantôt on accusait une guêpe, un taon, un rat (on parle encore aujourd'hui d'araignée, de hanneton ) Dans
e les précé- dents étaient des aliénés condamnés parce que méconnus parles tribunaux; c) une troisième catégorie de cas po
uses. Au point de vue de la topographie des atrophies on pourrait parler dans ce cas d'une topographie segmentaire complèt
le, ont donné leur avis sur la doctrine de M. Freud. M. Arnaud n'en parle pas dans l'intéressant chapitre qu'il a écrit p
normale. Il était très timide et très superstitieux; puis hyant ouï parler des maladies vénériennes, il en eut une vraie p
'essentiel de la maladie, où ils sont prédominants et où on ne peut parler d'aucun autre trouble mental. Outre les états o
ssi par un carac- tère indécent, obscène et cynique. Ici on pouvait parler quelquefois de cela que le malade avait des rep
é- dants d'une manière dépressive. Dans le cas sus-cité le malade parle volontiers avec le médecin de son humeur, de se
symp- tômes psychiques cliniques analogues, sont loin de vouloir parler de si bonne volonté de leurs sensations morbides,
s morbides, comme le faisait notre malade ; d'autres se gênent d'en parler , car souvent les associations obsédantes de con
ue de Moscou, les associations obsédantes de contraste, dont nous parlons , se sont développées chez un malade, de quarante
aliments; la conscience du malade était bien conservée, mais il ne parlait pas volontiers de ses idées obscènes et indécen
lieu chez l'enfant qui apprend à marcher, à se saisir des objets, à parler . Il faut, avant que les mouvements voulus se fa
demi-con- scients, se fatiguent à répondre à de longues questions, parlent lentement comme s'ils sortaient d'un rêve. Ce s
terrompus par la rigidité habituelle. Verbigération quand la malade parle . L'auteur croit devoir rattacher ces accidents à
aident contre un trouble moteur toxique. On n'a pas examiné l'urine parla simple raison que le malade n'a jamais eu d'oed
1901 ) 1.C'est surtout à l'étranger que c'est propagé le traitement parla lumière et la chaleur conjointement. 2. Ce trai
irage dans l'établissement, le traitement de 8.000 francs déterminé parles décrets susvisés de G juin 1863 et 19 octobre 1
scuter les moyens thérapeutiques ou hygiéniques à choisir. Avant de parler du traitement d'une maladie, il faut s'occuper
ions pour un adulte manifestement menacé d'épi- lepsie et dont nous parlerons plus loin. Cette précaution, dont l'utilité est
er d'autres causes principales à l'épilepsie. Nous avons, du reste, parlé déjà un peu de cette question, dans la première
nt curatif général que nous insti- tuons actuellement, et dont nous parlerons plus loin, répond ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET IND
évidemment dues à la suppres- sion des causes adjuvantes dont nous parlons , à l'atténuation de circonstances aggravantes ;
'examen ophtalmoscopique. Bien souvent même quand simplement on lui parlait . Elle répétait alors à chaque moment : je vous
tions de la couche optique par l'envahissement total de celle-ci parla tumeur. Ces faits prouvent que des processus ir
de manger, je remange parce que'j'ai du plaisir. » Au moment où il parle , quel- ques éructations se produisent, puis il
anches sur l'ana- tomie pathologique des idiots. L'auteur aurait pu parler de l'idiotie mon- golienne qui forme un groupe
homme de cinquante-neuf ans perd un beau jour soudain la faculté de parler , ou il s'exprime tout de travers ; il ne peut lir
Mais on em- ploya des artilices de procédure ; dans un cas, il est parlé de mal- formations rendant impossible les rappo
ans et sa mère dix-huit ; elle commença à marcher à treize mois, à parler à quinze mois et fut propre de bonne heure. L
Au point de vue intellectuel, l'inculpée, sans être à proprement parler une débile, a certainement un niveau inférieur à
médecin, d'accorder la sortie. Pour le par- ricide, dont nous avons parlé , nous n'avons obtenu la mise en liberté qu'en p
ents du foetus à quatre mois et demi. Accouchement à terme naturel, parle sommet; durée du travail, six heures; pas de ch
ant est sombre, doux et timide; il se borne à répondre quand on lui parle , mais jamais n'entame la conversation de lui-mê
on lui parle, mais jamais n'entame la conversation de lui-même, et parle toujours à voix basse. Il n'est pas du tout aff
que fait appel à la névropathie, l'entre- tient et la développe; je parle surtout des exécutants. Ceux-ci se surmènent sa
ment un fusil qu'il disait leur avoir remis. Les jour- naux avaient parlé de lui dans leur chronique locale et la police
le vicaire ? vive Ferrer ! place à Ferrer ! » Le nombre de ceux qui parlaient ainsi allant toujours en augmentant le nombre d
e IV ; mais il fut con- traint de la dépenser en cette occasion. Il parlait aussi, mais le bruit et le bourdonnement de tan
cueillis, ou que quelque nécessité subite semblait deman- der, leur parla tout le long de la rue : « Oui, messieurs, pain,
62 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et le plus affectueux souvenir. De temps à autre encore, quand elle parle à un de ses bons et vieux serviteurs, elle laisse
constamment, mon excita- tion augmente. Je ne sais parfois si j'ai parlé ou non, car, quelque bizarre que cela semble, l
vres est insuffisant et il n'en sort aucun bruit. Lorsque le malade parle , on remarque qu'il existe une modifica- tion de
stériques est si diffi- cile à comprendre et à exposer, pourquoi en parlez -vous ? Pourquoi ne pas étudier d'autres problèm
t, elle me regarde avec un air étonné, ne me répond pas, et s'en va parler tout bas à la sur- veillante de la salle. Comme
t facile de constater. Elle a passé trois ans en Angleterre et elle parlait et comprenait la langue anglaise d'une façon tr
tains rêves de la nuit pendant lesquels la malade s'est agitée et a parlé beaucoup, certains délires qui accompagnent la
ue anglaise. Quand elle est en état de somnambulisme provoqué, elle parle de Londres, des parcs, des promenades, de l'éta
ormant des paroles que ses voisines ont pu entendre'. En rêve, elle parlait du chien enragé, de la Salpê- . trière, des méd
les mêmes phé- nomènes de distraction, nous pouvons la toucher, lui parler aux oreilles sans qu'elle se retourne. Je lui d
e qu'à l'insu de la personne; il disparaît quand la per- sonne doit parler ou écrire en son propre nom, en sachant elle-mê
ez long et assez rare. A l'inverse des malades dont nous venons. de parler , il ne suffisait pas de l'hypnotiser d'une faço
parait pas entendre. Dans la seconde, elle ouvre les yeux, remue et parle d'une manière naturelle, mais semble ne pas con
ous voyez qu'elle reste étendue, les yeux fermés, mais qu'elle peut parler , si on insiste. Elle nous raconte ce qui est ar
ux l'association de la sensibilité et de la mémoire dont je vous ai parlé . Certains sujets ont donc des amnésies sous la
se rattachent à des phénomènes de suggestion dont nous n'avons pas parlé , mais c'est du moins un commencement d'explicat
préciser la variété d'aliénation car on cachait la chose et on n'en parlait jamais dans la famille. En outre, un cousin ger
constriction au niveau de l'estomac et de la gorge. Il ne peut plus parler , mais il ne perd nullement connaissance et n'a
E DE l'anxiété neurasthénique ET DES phénomènes QUI l'accompagnent; parle Dr Umberto S'fEFANI. (Riv. sp. di fren., t. XVI
rité ne man- quera pas d'être invoquée, soit par l'accusation, soit parla défense et peut-être ..... par l'une et l'autre
S SAVANTES. tion d'une loi spéciale aux aliénés. Mais partout on ne parle que de cette réforme; les aliénés la réclament;
a débuté, du crime ou de l'alié- nation mentale. Il y a, pour ainsi parler , amalgame des deux éléments, En Angleterre, on
e le châtiment de l'ivrogne causant scandale. De même, à quoi bon parler de l'hygiène publique dans ses rapports avec la s
on de 1883) ' et la discussion qui s'en est suivie à Eisenach 2; il parle notamment de la difficulté constatée par Binswa
s sous des dénominations qui n'ont rien d'anatomique. Il se borne à parler de perturbations dans le son et dans le mouveme
du mot et de l'écriture, mais sur l'expression, l'émission du mot parlé et du mot syllabé. Le mécanisme de la vie concept
et son image se dessine nettement dans ma connaissance. Quand vous parlez une langue étrangère qui ne vous est pas habitu
-je pas écrire une lettre », dit-elle. On lui demande pourquoi elle parle ainsi; elle est incapable de trouver d'explicat
Si les accidents psychopathiques se montrent isolés et, pour ainsi parler , à l'état épisodique, indé- pendants d'un troub
e dans le trai- tement de l'hydrocéphalie, tel qu'il a été appliqué parles chi- rurgiens contemporains, n'offre pas plus d
rd'hui devenues classiques et il semble véritable- ment oiseux d'en parler . Nous croyons cependant qu'on nous saura gré d'
rd les troubles du langage chez les aliénés en troubles du langage, parlé , écrit, et mimique. Ceux-ci sont distingués suc
ngage, et de troubles de la parole. * En ce qui concerne le langage parlé , qui, il est aisé de le com- prendre, prête aux
l'auteur aurait-il fait une monogra- phie complète, s'il nous avait parlé de l'influence provocatrice de la syphilis sur
nvenable d'appeler les réflexions de l'administration. Nous voulons parler des aliénés qui, nés dans d'autres départements
noncer; chez eux, ils s'iso- lent, restent silencieux, redoutant de parler ou d'en- tendre parler leur entourage, car le m
so- lent, restent silencieux, redoutant de parler ou d'en- tendre parler leur entourage, car le mot pourrait par mégarde
e obsession maladive. Mme R..., ne peut s'habiller, se déshabiller, parler , sortir, faire une empiète, manger, se coucher,
verses reprises, préoccupant fortement la malade qui n'osait pas en parler l' à son mari, mais en entretenait avec beaucou
, mais malgré tous ses soins, et quoiqu'elle ait pris l'habitude de parler très lentement, elle est amenée à prononcer san
à la question de la fausse hémiopie chez les hystériques, dont nous parlerons plus bas. l'amblyopie transitoire. 211 de mal
) avec embarras de la parole. L'en- gourdissement débutait toujours parle petit doigt de la main et du pied (sensations d
le tabès et la paralysie générale. Qu'il nous soit permis, avant de parler de ces rapports, de dire quelques mots des autr
ement en même temps que l'amblyopie, ou la suivent de près. Nous en parlerons jus- tement en esquissant les rapports de l'amb
lles observations qui confirment , davantage les rapports dont nous parlons . L'amblyopie transitoire survient (le plus souv
ren- contrer chez les hystériques, sans que cela nous autorise à parler d'une hémianopsie des hystériques. Les caractères
ques commencèrent; sans doute, il y eut endopéricardite (le médecin parlait de cuir neuf). Depuis cette époque le malade av
nes. Il a encore un degré d'aphasie assez marquée; quand on le fait parler , on le voit quelquefois s'arrêter brusque- ment
Cameron, les noms de deux hommes dont l'humanité s'honore : je veux parler de Pasteur et de Lister. On peut dire que les r
is Leeuwenhoeck jusqu'à Erhemberg ont consacré leur vie : je veux parler des vibrions les plus minuscules des êtres vivant
ecin et le chirurgien se trouvèrent impuissants à soulager. Je veux parler des tumeurs cérébrales. ' m Malheureusement,
lable, la famille même vous eût-elle donné par écrit la liberté de parler , car une vérité relative ne peut que tromper la p
ublique- ment par le malade de séquestration arbitraire et que vous parlez pour vous défendre; 2° lorsque les faits que vo
il faut se munir d'une autorisation écrite de la famille avant de parler . Il en est de même lorsqu'on vous demande des ren
le médecin se fasse lui-même appréciateur des conditions où il doit parler ; et le secret médical doit être absolu dans tou
nent bien-être et liberté. La communication de M. Féré nous amène à parler de l'essai qui va être tenté par le département
par les sujets incurables, elles ont été assez sou- vent discutées parles précédents Congrès pour qu'il soit inutile d'y
ment que d'ordinaire elle affecte la physionomie de celle dont j'ai parlé . Cette physionomie s'explique par la nature du
de chirurgie. (31 mars 1891, p. 73.) Cette communication se termine parle résumé suivant : c Les résultats opératoires on
us âgé avait douze ans et demi.J'ai opéré 13 garçons et 12filles. « Parlerais -je maintenant desrésultats définitifs ? Cela devr
vice en 1887 il avait alors quatre ans et demi il ne marchait ni ne parlait et était gâteux; qu'à l'époque du Congrès il co
t saute, il est tout à fait propre, aide à s'habiller, mange seul ; parle de façon à dire le nom de tous les objets et de
la craniectomie semble avoir produit des résultats favorables, on a parlé trop vite; il faut attendre un an ou deux, car
ade, qu'il y a alors en moi deux personnes, l'une qui agit, marche, parle , mais comme si c'était une autre ; l'autre pers
profondes; elle revêt souvent le caractère d'une véritable maladie, parles phé- nomènes somatiques, dénutrition, fièvre, q
c. Au dessert, après l'excellent déjeuner et les bons vins servis parle maître Rigault, - fête gastronomique dont MM. Hal
étranger qu'il dépend pour partie de notre administration, je veux parler du côté matériel, de cet ensemble de soins exté
cas semblable 340 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. qui m'a été fourni parles Drus B. Sachs et A.-B. Gerster (de New- York) e
opération qu'après la première. (Il s'agit de l'enfant dont il est parlé plus haut, IL) 2" Cas. K.-K. fille, malade du D
omatomanes finissent pars'effor : cer de ne plus penser, évitant de parler , d'écrire, de lire, de regarder, s'éloignent dè
MANIE. 383 obsédante du vol et de l'impulsion à voler, d'entendre parler de l'impulsion homicide et de tous les phéno- m
n président de cour d'assises dire aux jurés : « Si le médecin vous parle de la manie du vol de l'inculpé, ayez, vous, la
ir le feu », la langue lui paraissait s'enfler, elle ne pouvait pas parler ; la jambe et le bras se raidirent; le bras pendai
resta paralysée longuement; M'° Gi... resta huit jours sans pouvoir parler parce que, dit-elle, sa langue était enflée. D'
n tremblement très léger de lalèvre supérieure, surtout lorsqu'elle parle ; un tremblement ana- logue se rencontre dans le
ésions de l'écorche, fut posé et main- tenu pendant longtemps; l'on parla même de la trépanation du crâne; le pronostic,
re autres elle avait complètement oublié la langue anglaise qu'elle parlait couramment avant ce moment pour être demeurée t
la façon la plus parfaite la notion de la langue anglaise, qu'elle parlait sans diffi- l'hystérie ET LES maladies organiqu
es persis- tantes, de rigidité pupillaire, de lésions endoculaires, parlent contre l'hypothèse d'une lésion organique, en c
nt suffoqué, sa langue lui parait enflée, paralysée, il ne peut pas parler , il voit les objets ;doubles, ses tempes battent
stigmates nous en avons d'autres non moins importants, nous voulons parler des troubles oculaires carac- térisés par la po
it quelques minutes impuissant à exprimer sa pensée avec le langage parlé . Parfois il lui était possible de se faire compre
autres fois ces troubles disparaissent presque complètement et F... parle comme un individu qui a la langue sèche par la so
mois, ictus apo- plectiforme suivi de troubles du langage écrit et parlé , attaques convulsives avec paralysie consécutiv
teurs sont mieux d'accord sur la nature du trouble visuel dont nous parlons , que sur son siège. En effet, il est facile de
tres, élève du service. MESSIEURS, En apprenant que j'allais vous parler aujourd'hui de la sug- gestion, beaucoup d'entr
elant; c'est un peu abusif vous l'avouerez. Une femme, dont je vous parlais dernière- Archives, t. XXIV. 29 450 CLINIQUE
continue, c'est exagéré. Un autre jour, elle ne peut plus arriver à parler , parce que sa bouche chante tout le temps malgr
sug- gestions. Quand ces deux caractères existent, il ne faut pas parler de suggestion. Quand vous dites à un malade souff
s désirs, la personnalité et la situation présente du malade. Je ne parle pas, bien entendu, de la question thérapeutique;
s jeunes filles. Chez elles, en effet, ces idées, dont je vous ai parlé , ces attaques, ces rêves, ces mouvements sont i
que de l'idée, elle voit son chien, le caresse, sent ses poils, lui parle , etc. Mais remarquez donc que cette jeune fille
du côté droit, qui d'ordinaire est sensible; si vous essayez de lui parler vous verrez qu'elle ne vous entend pas et ne vo
habitudes, des souvenirs, des associations d'idées, mais si je vous parle d'un bouquet, vous ne le voyez pas, vous ne le
les ne suffisent pas à nous faire voir un bouquet dès qu'on nous en parle . Puisque Berthe le voit, dès que je le lui dis,
e qui n'a plus de ressort. « « Il me semble que je marche, que je parle , disait Berthe, mais je ne sais pas ce qui marche
je parle, disait Berthe, mais je ne sais pas ce qui marche, ce qui parle en moi, car moi, je ne fais plus rien, je ne suis
t conservées. - . J'ai pu, dans l'étude du cas typique dont je vous parlais ,' établir une distinction entre les mouvements
e qui a déjà reçu une suggestion ou qui a une idée fixe. Mais je ne parle pas de cela. Certaines hystériques que personne
commande quelque chose, mais par cette complaisance dont j'ai déjà parlé , elle ne présente plus le phénomène de la sugge
n a été très fatigué durant toute l'après-midi d'hier. Ce matin, il parle parfaitement sans la moindre difficulté. La sen
t il est parvenu à mettre en lumière la logique, si l'on peut ainsi parler d'un crime qui semblait inexpli- cable. Il pens
il frappe sur la voisine; la voisine lui apparaît, et, bien qu'elle parle exactement comme sa femme, il frappe à tour de
ication arsenicale et phosphorée. Le noyau s'altère très rapidement parle même procédé que celui que nous avons décrit; m
cations de la suggestion hypnotique à l'éducation et M. Van Eeden a parlé de la théorie de la psycho-thérapeutique d'une
ir des voies nouvelles pour les recherches futures. M. Delbeuf nous parle d'une faculté inconnue d'apprécier le temps qui
63 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
que cette idée fixe hante jour et nuit, c'est dans ces cas qu'on peut parler de conceptions obsédantes. L'agoraphobie et la
tre lettre du 10 et de • savoir que M. le capitaine R... vous avait parlé de moi dès son retour « a Kingston. Je jouis main
mon isolement, « il laisse ignorer et l'assemblée devant laquelle il parle fait semblant « d'ignorer que M. Brouardel sout
r le fœtus, Par M. le Dr LIÉBEAULT (de Nancy). En 1886, j'ai déjà parlé de l'influence de l'esprit des mères sur leurs fœ
induction. Celle observation n'a pas besoin de commentaires ; elle parle d'elle-même. A ce propos, je demanderai à mes con
dait comment il était tombé, il répondait qu'il ne savait pa;. Un lui parlait du figuier el de la fontaine; il répondait : « Un
ns critiques et soigneusement choisis; les auteurs ont tenu à laisser parler les faits plus éloquents que tous les raisonnemen
ts obtenus par la commission scientifique de Londres, dont nous avons parlé plus haut, quoique les travaux de cette dernière,
ue l'hypnotisme? Beaucoup de médecins, et des plus instruits, je ne parle pas du gros public, ont horreur de ces choses, pa
ditée éveille chez lui d'autres idées, j'ai fait une suggestion. Nous parlons , par exemple, de l'état de la France, de la consi
regarder cela. » — J'interviens : * Tiens ! voilà quelqu'un qui vous parle . — C'est un jeune homme. Il veut que je lui pai
e au pédagogue. Molière le tourne en ridicule. Rollin s'abstient d'en parler . Jean-Jacques Rousseau le prend à partie sans mén
contrera certainement un bon nombre que l'on pourra endormir et faire parler , soit que l'auteur de la suggestion criminelle n'
n'ait pas su prendre ses précautions, soit que le sujet s'endorme et parle malgré la défense qui lui aura élé faile. Ce dern
qu'il va vous guérir. > — Il écoute, comme si un interlocuteur lui parlait ; il unit par dire : « Je veux bien, mais c'est tr
r scientifique la réalité des troubles psychiques dont nous venons de parler . Les paralysies flasques et les anesthésies pré
elles qu'il m'était impossible d'être reconnu el entendu d'elle. Elle parlait des menaces dont elle était l'objet, des gens qui
tre cas. Je suis surpris de l'étonnement de M. Ballet, lorsque l'on parle de guérison de certains épileptiques. Mieux que p
oi, après une série d'expériences du genre de celles dont je viens de parler , et auxquelles il avait assisté, par un prédicate
avancer que nous ne soyons en mesure de prouver. M. de JoxQ. — On a parlé tout à l'heure de la résistance que peuvent prése
tion ne lui procura qu'un soulagement momentané. Je ne sais qui lui parla d'hypnotisme. Il vint me trouver. Je répondis éva
i ont cherché en vain de les produire au moyen de la suggestion. Nous parlons de Vhyperexci-labilité neuro-musculaire qui se ma
néanmoins uno pression morbide analogue à la force irrésistible dont parle le Code. En effet, la susceptibilité exagérée a
) Klinke (O.). — « Ueber Zwangsreden. De l'impulsion Irrésistible à parler .» (Allg. Zeitsch. f. Psychiatr.. XLVIII, 1-2.)
u perroquet quand on en approchait laçage. Mon père, avec lequel je parlais un jour des impressions maternelles, me racontait
dans notre clinique. Nous étant approché d'un enfant, sans lui avoir parlé de sommeil ou d'hypnotisme, nous lui disons simpl
la déposi-tion d'un enfant est la seule base de l'accusation (je veux parler des attentats 1 la pudeur), et n'est-ce pas là
la suggestibilîtédans laquelle les met le sommeil provoqué. On peut, parla suggestion, diminuer les souffrances des malades,
ous ai promis de vous communiquer l'observation d'une femme dont j'ai parlé au Congrès d'Hypnologie, comme ayant volé sous l'
pour une année; elle sera révocable et pourra toujours être suspendue parle bureau delà Commission. « En cas de concours av
ourd'hui dans les services d'hôpitaux, et mes maîtres d'alors nous en parlaient comme d'nn syndrome plus fréquent encore dans la
sède beaucoup d'observations analogues. Le malade dont je veux vous parler est ouvrier à la cristallerie de Baccarat. Agé de
agitation, tremblement, contracture des mâchoires et impossibilité de parler ; ces crises hystériformes, sans boule, ni strangu
ression physique et morale intense, ce qui s'explique par l'insomnie, parla douleurcontinue, par les préoccupations d'un ouvr
ifficulté, ce qu'il ne pouvait plus faire depuis dix mois. Je le fais parler pour objectiver son attention sur mes paroles et
s la période bruyante et convulsive, elle entrait en somnambulisme et parlait alors avec des êtres imaginaires; elle se croyait
andonner ses idées délirantes et sans reconnaître la personne qui lui parlait . L'intensité el la durée des attaques avaient f
. Nous n'avons pu noter le raccourcissement du tégument cutané dont parle Gull. Les excitations électriques n'ont rien pr
ipent à celte hémiparésie. La langue est déviée à gauche, et l'enfant parle avec difficulté. Le D' Saint-Hilairc constate che
e-type. Prouvons. M. Le Jeune dit (Ann. par/., col. 159) : ¦ Nous parlons de personnes hypnotisées. Il s'agira de savoir av
te de la loi et décidera avec infiniment de raison que puisque la loi parle d'hypnotiser et de personne hypnotisée, il faut l
t sans cesse à l'excuse préalable : « Messieurs, ce n'est pas moi qui parle , c'est l'Académie... » M. Eeman, pris de la mêm
nchaîner, rendre muets). » C'étaient les démons qui s'étaient mis à parler , aussi s'empressa-t-on de leur pofer des question
re enchaînés par la volonté du sorcier et mit dans l'impossibilité de parler . On demanda donc à la malade, en adressant la que
me étaient et sont encore peu croyables. Celui, par exemple, de faire parler les morts, sachant très bien que les morts, surto
t qu'un Us de substance inorganique. Autant prétendre faire penser ou parler des pierres. Une autre cause était que ces expé
aquer des mains. Le banquier Hirsch. qui était avec eux, demanda de parler avec une personne qui lui était chère; il vit l'i
table magiqae, il n'y a personne qui connaisse le latin, la table ne parle plus en latin; mats le public, qui ne fait pas ce
; mats le public, qui ne fait pas cette critique, croit que le médium parle le latin par inspiration des esprits, comme il se
dement les propositions auxquelles nous arriverons plus loin. Je veux parler des dangers que présente le somnambulisme provoqu
l danger n'esl-ce pas là pour la paix et l'honneur des familles! Sans parler des donations et des testaments — c'est, je l'ai
'une excellente santé jusqu'à l'âge de dix-huit mois, et commençait à parler , quand, le 19 janvier, alors que le Mont-Valérien
er à son oreille, c'était devant sa main éloignée de son corps que je parlais , elle ne répondait presque plus nettement. Je n
llée par le procédé ordinaire. — par simple affirmation suggestive et parle mot : « Réveillez-vous », — elle ouvrit les yeux,
nie cérébrale, avec détire de persécution. A ma première visite, il parlait parfois comme s'il était bien ; il me dit qu'il y
elle lui passât. Le regard vague, indécis, sans fixité, et quand il parle de ses persécuteurs, ses conjonctives s'injectent
esté toujours tourmenté des malins, lesquels avoyent à diverses fois parlé et dit d'ordinaire que ledit Pierre estoit leur m
mois. au bout desquels les dits démons forent charmés et cessèrent de parler Jusqu'à trois à quatre jours avant la mort dudit
trois à quatre jours avant la mort dudit Aymé qu'ils recommencèrent à parler et à tourmenter le possédé, en sorte qu'ils luy f
ns, ce qu'elle a continué jusqu'à Sabmedy dernier, que les démons ont parlé dans son corps, se disants estre vingt dont, diso
hure de 23 pages. — Wattier et C, imprimeurs, 4. rue des Déchargeurs. Parla , 1891.) Debierre (Dr Ch ) et Douser Dr E.). — A
notre collègue que sa malade était réellement endormie lorsqu'elle a parlé , je lui concède qu'elle a été réellement suggesti
ité: auquel cas, les suggestions hypnotiques dont notre collègue nous parle , et dont j'admets provisoirement la realité, n'au
nsable dans l'espèce. Je terminerai par une dernière réflexion : On parle souvent d'hypnotisme, de crimes commis par sugges
ord qu'elle rêvait tout haut la nuit el que, dans son sommeil, elle parlait des choses qui s'étaient dites ou passées devant
elles ont été perçues consiste à la mettre en état d'hypnotisme. Elle parle alors de tout ce qui l'intéresse avec la plus gra
ésultant de la possession démoniaque. Chez la malade dont nous allons parler , il avait été causé par la menace d'un sorcier, a
: « Qui vous a misées meschanu? » Aussitôt les démons commencèrent à parler et dirent : « I* voilà, le voilà, le chien de nos
réciter d'assex longs morceaui de latin, de grec ou d'hébreu, et qui parlaient à peine convenablement leur propre langue lorsqu'
es eaux, incontinent après que ladite femme les cun beues, les démons parlèrent en elle disant que c'estoit la femme Anlonia qui
le corps de ladite Chalande, et que inesinc elle déposante leur ayant parlé en allemand, elle leur respondit en mtsme langue
me inconscient, subit, intuitif, et par sa force bien plus grande. On parle plus spécialement d'hypnotisme.et de suggestion l
umonie et souffre de violents maux de tète. Son médecin, auquel i\ en parle et qui connaissait sa famille, lui dit : « Ce mal
ieu deux jours après, triomphe de la constipation opiniâtre dont j'ai parlé , constipation jusque-là invincible. Elle va à l
fit d'être hypnotiseur pour atteindre à la puissance de Jupiter, — je parle do la puissance morale qui subjugue. M. Tack. —
ontrôle qu'il s'agit d'organiser en matière d "hypnotisme soit exercé parle Gouvernement. Je déclare que le Gouvernement récl
cinés de l'ouïe, ont à leurs trousses une légion de persécuteurs. Ils parlent de la « bande » qui le* tourmente. Tout récemment
vre qu'il avoit sur ses genouils, ce qui le surprit fort, et ne peust parler de demi quart-d'heure, ne sachant si s'estoit au
les sorciers incriminés par nos ancêtres. La malade dont je viens de parler se croyait victime d'un frisson, d'un refroidisse
l y a que sa fille a les esprits ? R. Trois ans, et qu'elle les a ouy parler , et qu'ils estoyent trois et so disoyent estro la
ladie elle a? R Avoir les démons. Comme elle le scait? ¿7. Qu'ils ont parlé . S'ils la tourmentent ? R. Qu'hélas ouy. (1) Ou
it et qu'elle tomba morte (attaque syocopale hystérique). 'Comment il parla à elle? R. Qu'elle entendist sa voix. Qui luy a
avoit dit. Si elle l'avoit demande à l'esprit ? R. Que non. S'il parle tous lesjour? à elle? R. Que non, pas si souvent.
upper par une mouche qu'elle a mis sur son assiette. Comment l'esprit parle à elle ? R. Qu'il parle dedans elle, mais qu'elle
elle a mis sur son assiette. Comment l'esprit parle à elle ? R. Qu'il parle dedans elle, mais qu'elle ne lui demande rien.
i, tandis que s'il est halluciné de l'ouïe il entend des voix qui lui parlent . Tenant de l'extérieur. L'interrogatoire de la
le luy dit lors, et qu'il perla à elle vers Noël et la remontrant, et parla seulement des filles de la maison. Si elle prie
aordinaires, mais certaines circonstances qui tiennent du prodige : « parler une langue inconnue et comprendre celui qui la pa
du prodige : « parler une langue inconnue et comprendre celui qui la parle ; révéler des choses éloignées ou occultes; déploy
s le sixième discours, « Jésus et le miracle », l'éminenl prédicateur parle en ces termes à ses auditeurs : « Je ne puis vo
64 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nous ne trou- vons pas là de description didactique à proprement parler du cas dont il s'agit. On s'en tient à la diffé-
e par M. Charcot au sujet de cette même malade Gom..., dont a été parlé déjà dans les Leçons recueillies par M. Miliott
éguliers, dans lesquels les pieds quittaient le sol. A proprement parler c'était un saut sur place, mais en raison de ce
E ET DE L'ABASIE. 49 s'irradiant parfois à l'épigastre, exagérées parles mouvements, non par la pression. , Fi ? S..
drose; ce sont des sueurs unilaté- rales, des hémidroses. Nous ne parlerons pas ici des éphidroses faciales provoquées. On
out instant, aussi bien au repos que lorsque le malade est éveillé, parle ou mange. Elle n'augmente pas sous l'influence
mie de ce côté et une éphidrose faciale droite, lorsque le malade parlait . Le cathétérisme amena la guérison de cette obl
ormal. Pas d'asphyxie à la naissance. Bien venant, il a marché et parlé de bonne heure. A dix mois, il eut des convulsion
indistinctes qu'il accompagne de gestes d'hésitation. Quand on lui parle et que son attention est éveillée, il relève se
parait pas avoir conservé de l'affection pour sa famille; il n'en parle jamais, et l'évocation du souvenir de sa femme ou
Paris, 1886. 2 .. Les annales de la science, dit cet auteur, sans parler des autres (ainsi l'histoire ecclésiastique de
est qui, par leur fréquence, priment tous les autres; nous voulons parler des phé- nomènes convulsifs de la grande attaqu
qu'elles tiennent à la main; par instants, elles sont incapables de parler , quoi qu'elles fassent ; elles ont une tendance
par jour. 1 Une bibliographie détaillée de la question aétéindiquée parle . Popoff dans un travail sur le traitement de la
upercherie, de l'action attribuée au médicament présenté. Sans même parler il est bien évident que les malades subissaient
aux à forme ataxique, au moment où les lésions, qu'elles débu- tent parla moelle ou qu'elles s'y propagent, s'installent da
s'élever. Pas d'hallucination sans cause matérielle. Le malade dont parle M. G. Ballet n'est pas un véritable hallu- ciné
enseignement de l'écri- ture, de la lecture, du dessin et prend vie parla nécessité de recon- naitre, comparer, juger la
avec paralysie générale, celte atrophie des fibres corticales dont parle Tuczek et présente-t-elle alors des particu- la
sque pas de cellules de pus. L'irritation septique est caractérisée parla production précoce de nombreux extravasats de c
profanes qui ne considèrent pas comme aliénés les malades dont nous parlons . D'un autre côté, il est incontes- table que te
bjectifs de la sensibilité, de la préoccu- pation de sa santé. Sans parler de la lésion des nerfs périphériques, nous ne c
ant d'une affection des nerfs périphériques. Cette cir- constance parle contre une pachyméningite cervicale hypertrophi
19. Fig. 20. 184 pathologie NERVEUSE. par l'oedème; il augmente parle travail ; au repos il ne per- siste qu'au-dessu
e, nous pouvons mar- cher longtemps sans nous en apercevoir. Ribot' parle , d'après Trousseau, d'un musicien qui faisait s
'a repris, il avait toutes ses dents. De bonne, heure, il marchait, parlait bien, était intelligent. - Sa santé a été bonne
a longueur du méat comprenant les deux orifices dont nous venons de parler est de 14 millim., l'orifice anormal occupe les
rticulière; il ouvre de grands yeux ou plisse le front; quand il va parler , il semble faire un effort pour ressaisir la noti
divers auteurs qui ont traité de l'épilepsie ont, pour la plupart, parlé de l'automatisme, souvent, il est vrai, en term
sur laquelle les auteurs ne sont pas encore d'accord : nous voulons parler de ce qui a été décrit en Allemagne sous le nom
ertaine le début de la stupeur (Attonitât). Enfin, si un malade qui parlait se tait d'une façon continue en avant la tête e
de la température chez nos malades, il nous est permis, avant de parler des diverses sensibilités, d'étudier l'état de la
nt ce terme dans sa plus large expression. Ceci nous conduit à il parler de l'état des sens chez les individus atteints de
ent ses droits, et, outre les phénomènes convulsits dont nous avons parlé il peut en survenir d'autres, alors que le ma-
adoptée, mais il faut savoir aussi que les auteurs dont nous allons parler étaient guidés par cette considération, peut-êt
par l'extinction totale de la vie ». Landouzy (p. 68), après avoir parlé de la mort apparente, dit nettement : « Tantôt,
ES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea premier lieu, nous devons parler d'une affection, d'un syndrome bizarre, encore
erva depuis une parfaite santé ; j'ai eu moi-même l'occasion de lui parler plusieurs fois dans la suite, et on l'appela la
jours s'étaient à peine écoulés depuis son arrivée chez lui, qu'il parlait avec tous ses amis et aida même son père à déco
aliénés en Angleterre, où il rend à la justice les services dont je parlais tout à l'heure. L'aliénation mentale- est une mal
le Président. N'interrompez donc pas, monsieur de Gavar- die ; vous parlez assez souvent. AI. LE Rapporteur Oui, monsieur
e commission du Sénat a consenti à supprimer le paragraphe. Je n'ai parlé de ce point, je le répète, qu'à cause des impre
M. le Président. Voici, messieurs, la nouvelle rédaction propo- sée parla commission. « Les médecins en chef nommés sur une
reur ! C'est ce que nous allons dis- cuter. Remarquez que, quand je parle du traitement de la famille, je ne parle pas se
r. Remarquez que, quand je parle du traitement de la famille, je ne parle pas seulement du traitement matériel dans l'int
seulement du traitement matériel dans l'intérieur de la famille; je parle du traitement qui se fait, sous la surveillance
t, sous la surveillance morale, affectueuse, dévouée de la famille, parles soins d'un médecin investi de la confiance de l
vais vous le prouver tout à l'heure je déclare que les abus dont on parle se sont passés dans les asiles publics. Je vo
vus enchaînés au treizième siècle. (On rit.) M. le Rapporteur. Je parle de 1848; c'est encore plus fort. Hui. LE Présid
le paragraphe 3 de l'article ; mais, comme je sais que vous deviez parler sur l'ensemble, il est bien entendu qu'en ce mo
qu'en ce moment vous voulez faire d'une pierre deux coups : vous parlez et sur le paragraphe 3 et sur l'ensemble de l'art
l'article. AI. de Gavardie. Parfaitement, monsieur le président; je parle contre l'article tout entier, parce que cet art
s l'autre jour, il y a cette circonstance bien remarquable dont ont parlé les historiens du temps : lorsqu'on voulait imp
is bien que les petits journaux disent : « Ah 1 AI. de Gavar- die a parlé du traitement religieux. Qu'il en use ! 1 Il y a
récisément pour cela qu'on les chasse des hôpitaux. Si je pouvais parler du conseil municipal de Paris... (Hilarité.) Me
ic, et le secret des familles, et l'intérêt des malades ? Tenez, je parlais tout à l'heure d'un général. Il me vient à l'es-
l'es- prit une comparaison saisissante tirée de l'art militaire. On parle aujourd'hui, vous le savez, de ce qu'on appelle
ent sans raison apparente pour le malade. Tous les muscles innervés parle facial gauche sont paralysés; réaction de dégéné-
- dique et galvanique sont conservées. Il nous reste maintenant à parler d'un fait bien plus curieux encore que tous ceu
E NERVEUSE. de porter un diagnostic rétrospectif. Nous avons déjà parlé incidemment des lésions rencontrées à l'autopsie
a été nourri au sein par sa mère jusqu'à deux ans ; il a commencé à parler de bonne heure; il parlait convenablement et ma
a mère jusqu'à deux ans ; il a commencé à parler de bonne heure; il parlait convenablement et marchait bien à dix-huit mois
étant d'une intelligence au-dessofls de la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 382 CLINIQUE NERVEUSE. Rouge
PROCURSIVE. 383 ' * 386 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne peut le faire parler , ni lui faire tirer la langue. Il mange seul, m
croisant avec la scissure précentrale inférieure dont il a déjà été parlé et qui se trouve plus en avant. La première fro
tir pendant la chute de la tête. Nous avons obtenu le même résultat parla section des pneumo-gastriques, l'excitation de
harcot dans ses leçons sur les para- lysies hystéro-traumatiques, a parlé d'un sujet hystérique qui préséntait à l'état d
st scandée; tous les deux sont obligés d'exercer un effort avant de parler . La parole s'accompagne chez tous les deux de c
role qu'on remarque chez les athéto- siques dès qu'ils commencent à parler ne se manifestent qu'un temps assez long après
isphysikus ayant pratiqué dans la même région de longues années. Il parle de cinquante années et rappelle son mémoire de
M. Séglas nous parait avoir été mal renseigné : Mils M... n'aurait parlé qu'à sept ans, tandis qu'en réalité, elle parla
Mils M... n'aurait parlé qu'à sept ans, tandis qu'en réalité, elle parlait au moins à cinq ans et dans une circonslance fa
en conviendrez, bien extraordinaire chez une personne qui n'aurait parlé qu'à sept ans. - « Elle est allée, ajoute M. Sé
s'assurer que )Il'- D... n'est point le spécimen tératologique dont parle M. Séglas (^symétrie, p1'ognatisme, microcéphal
ement des lèvres et un léger claquement; la malade, qui venait de parler , a prétendu ne pas le faire habituellement et exp
t exceptionnels que nous désirons établir le délire chronique; j'en parle ici simplement pour répon- dre à l'objection de
vio- lettes. Son lic facial a existé de tout temps et été constaté parles personnes de son entourage qui trouvent qu'il l
ulion pour- rait s'accompagner ou non d'hallucinations. Après avoir parlé des illusions et des interprétations délirantes
e, décrit le délire hypochondriaque et, dans un chapitre spé- cial, parle des persécutés qui deviennent des ambitieux. (Dud
as ces accidents. Donc c'est un saturnin qui, de par sa profession, parlait beaucoup (il avait le service économique des ou
peu irrégulièrement; un plus grand nombre de libres nerveuses en parlent , elles sont plus touffues, plus pressées qu'aille
ssance le seul reste de la maladie in- flammatoire. M. H. Wirchow parle encore des cellules qui existent dans la substa
lentissement du pouls, névrite optique, vomissements. M. BER1VHARDT parle de quelques paralysies des extrémités supé- rie
s organiques d'origine centrale ou périphérique, et sera faci- lité parla recherche des stigmates hystériques sensitifs ou
. LE Président. Le Sénat a entendu la modification qui est demandée parla commission, d'accord avec le Gouvernement, au p
empécherlerenou- vellement de ces faits malheureux dont je viens de parler . Lors- qu'on voit ces lois se perfectionner à l
le ministre des affaires étrangères soit entendu. Si les abus dont parle M. le rapporteur existent véritablement, il doit
r trace dans nos relations diplomatiques avec la Belgique dont on a parlé , et avec l'Angleterre dont on a parlé également.
es avec la Belgique dont on a parlé, et avec l'Angleterre dont on a parlé également. Ces inconvénients, ces abus, j'en ni
65 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
être un peu trop exaltés dans ces derniers temps, il est équitable de parler des méfaits qu'on peut, ajuste titre, lui imputer
jeudi, à la suite d'une crise de nerfs et d'une attaque. Je voudrais parler , mais on dirait qu'il y a quelque chose qui m'en
t n'était qu'aphone, elle aurait tout au moins conservé la faculté de parler à voix basse, ce qui n'est pas, ainsi que je vous
e malade. » M. Charcot. aux auditeurs : Allons, cette fois-ci c'est parlait : vous voyez que notre malade peut lire et qu'ell
pas que je les ai endormis ; ils ne se rappellent pas que je leur ai parlé , ni même qu'ils m'ont vu dans la matinée, avant l
la voie, elle ne se souvient pas; je lui rappelle alors que je lui ai parlé , que je lui ai demandé si elle avait jamais été e
i n'a entendu parler des exploits de ces personnages qui,, lorsqu'ils parlent à table, versent de l'eau indéfiniment jusqu'à in
ages auxquels on pense, ou bien l'on fait des gestes brusques et l'on parle tout haut. Tous ces réflexes psychiques ont été é
ntez les angoisses de la peur et une frayeur invincible. Si l'on peut parler d'une autre passion bien plus minime, la passion
isuelles. Le succès avec lequel le Dr Howes réussit à lui apprendre à parler , à lire, à écrire avec les mains est aussi une hi
ièrement par le surnom de femme aux yeux de serpent. Lorsque le roi parla d'abdiquer, quand il était à bout d'arguments, il
, puis s'arrêta tout à coup en baissant les yeux. Quand il commença à parler , un de ses amis les plus intimes qui se tenait à
intimes qui se tenait à côté de lui ne reconnaissait pas sa voix. Il parlait comme un ventriloque, et si je n'avais vu ses lèv
ses lèvres remuer, je n'aurais jamais cru que ce fût le roi Milan qui parlait . . Un eutre officier m'a raconté ceci : « Aussitô
à ceux des diverses médications tentées jusqu'à ce jour. Nous voulons parler de l'hypnotisme, ou, plus justement, de la sugges
etiendrai ici que cette seconde partie de la question : Peut-on faire parler , au moyen de la suggestion hypnotique, un individ
nchant à la masturbation et les obsessions sexuelles dont nous allons parler . Il a eu souvent, dit-il, des pensées de suicide,
et des conditions expérimentales de sa découverte, il savait bien que parler de somnambulisme au début de sa carrière médicale
es faits de délire émotif ou de folie avec conscience. Nous voulons parler de tous les faits qui ont été décrits depuis une
au diagnostic étiologique posé par ma malade elle-même. Je commençai parla rassurer et lui affirmer que si elle voulait bien
s suggestibles : Je commence l'hypnose, c'est-à-dire la suggestion, parle mouvement ou la sensibilité. Je mets les bras du
isé, tout en m'entendant. Le sommeil complet n'est pas nécessaire. Ne parlez pas. Tenez les yeux clos. Ecoutez bien. etc. » Je
tive a la contre-suggestion. Je recommandai à sa famille de ne jamais parler devant elle de ses crises et pendant l'hypnose, j
s parler devant elle de ses crises et pendant l'hypnose, je ne lui en parlai plus ; je me contentai de lui dire : « Votre syst
ivre la voie du crime, ne serait-ce que pour devenir célèbre et faire parler de lui. Qu'une influence étrangère vienne donne
t l'existence a été, comme toujours, des plus accidentées. Je ne vous parlerai que de sa vie criminelle. Un jour, un individu
rien à faire. On objectera sans doute que ces apoplectiques dont je parle étaient tellement bien disposés i guérir, qu'ils
lectuel satisfaisant. Je donne des soins pendant deux semaines sans parler d'hypnotisme. Première séance. — A ce moment (3
cris étaient imputables à ta peur. Il valait encore mieux pouvoir lui parler de la chose qui lui faisait peur et chasser tout
enant les mains, en le fixant avec insistance par le regard, nous lui parlons lentement, avec douceur et fermeté à la fois, sur
crépusculaire, la volonté de l'enfant se trouve affaiblie ; nous lui parlons alors de la faute qu'il a commise ou de ses mauva
de l'éducation pénitentiaire, que ces conefusions seront transmises, parles soins du bureau, a M. le Ministre de l'Instructio
et cependant, après un certain temps, elle devint excessivement gaie, parla au hasard de plusieurs choses tout i fait hors de
part de celte bonne chance, dans un état de joie extrême. Après avoir parlé pendant quelque temps sur ce sujet, il se leva su
s. Si l'auto-suggestion est bien forte, elle a un résultat et je puis parler d'une façon suffisante. J'ai fait des expérienc
u. Le dormenr entend, lorsqu'il a l'esprit fixé sur la personne qui parle , il entend cl enregistre, il accepte sans contrôl
..allait tons les jours dans un milieu où elle entendait très souvent parler de l'hypnotisme dans un sens exagéré et tout à fa
ix mois, en faisant abstraction toutefois de la rechute dont il a été parlé plus haut. Jusqu'à quel point le traitement psy
s elle n'avait pas le moins du monde essayé de remuer les lèvres pour parler , malgré les exhortations, les prières et les inst
aux piqûres d'épingles, etc. le lui ordonnai, pendant l'hypnose, de parler , de dire si elle était tout à fait muette ; la su
ne chambre voisine, la porte ouverte; et, à la quatrième séance, elle parlait et lisait assez haut et assez distinctement. Au
éter les effets pernicieux de cet abandon moral ! Non-seulement on ne parle pas à l'enfant de vertu, d'honneur de probité ; m
nt indiscutable. Chez certains parents il n'y a que négligence : on parle et on agit sans se gêner devant les enfants ; on
s des saillies drôles, mais plus souvent yrossiéres ou obscènes. Elle parle argot et déclare que son frère est un « méque ».
ice de dix-neuf ans qui avait déjà subi plusieurs condamnations. Je parlais tout à l'heure des prostituées. Combien sont entr
environs. Là, il fit connaissance l'un faux-monnayeur dont j'ai déi't parlé dans un autre chapitre. Celui-ci fit miroiter aux
, il s'entend provoquer en duel et, enfin, satisfait de trouver à qui parler , il se rend A quatre heures du matin au rendez-vo
t pendu un grand sac, que le diable, suivant le livre dont nous avons parlé , devait remplir d'or. Pendant l'opération, le s
vec les yeux carrés par les branches des blépharostates, tout violacé parles efforts impuissants qui augmentent la coloration
émonstration; n'ayant éprouvé qn'un seul insuccès dont je ne veux pas parler , parce qu'il fut positivement dû à des obtacles e
ique avec des zones d'anesthésie et et d'hypéresthésie. Dès qu'on lui parlait de dormir il tombait d'emblée dans l'état de somn
qu'il est question de projets de mariage et elle me demande de lui en parler pendant son sommeil. Je lui suggère de ne plus
que, quoique Toghlak comprit assez bien l'arabe, il ne pouvait pas le parler couramment. II est donc probable qu'il eut recour
e palais, mais il y avait des révoltes en grand nombre. Ferishta nous parle de quinze. avec deux invasions du Nord-Ouest. Com
ionnés pour plusieurs annnées. Quand Ibn Batuta retourna à Tanger, et parla de ces faits étonnants, il fut traité d'imposteur
out le mondc comme au temps ou il jouissait d'une parfaite santé ; il parle couramment toutes les langues qui lui août fami
rtout à la provocation constante de la lésion utérine dont nous avons parlé dans le cours de l'observation. Cette complicatio
ucinations, sauf ces voix psychiques intérieures dont nous avons déjà parlé . Elle a du raccourcissement du champ visuel en ba
coup engraissé: « je pèse à présent cinquante cinq kilog. et quand je parlais pour Paris « je ne pesais que quarante-deux. Enfi
ure qui, dés 1886 c'est-à-dire après la maladie dont nous venons de parler , amenèrent X___, â commettre des actes pour les
s, dans la perpétration des actes dont il s'agit, la progression dont parle notre collègue M. Guillot. L'obession leur vientt
lle a toujours le même caractère. Quant au sujet dont vient de nous parler M. Motet, il va beaucoup mieux depuis son séjour
Pitres, Gilbert Ballet, Voisin, Charles Richet, Briand, etc., pour ne parler que des médecins français qui ont expérimenté l
ue le chien est là. qu'il sent sa morsure, que son sang coule : il en parle froidement et d'un air indifférent, comme si ce
ervice depuis plusieurs mois, je m'étais jusqu'ici abstenu de vous en parler , afin de pouvoir un jour vous présenter le roman
et des fourmillements dans les membres. La malade étouffe et ne peut parler pendant toute la durée de la crise. Elle tombe so
ation, mais par pression des globes oculaires, la malade ne peut plus parler , elle fait signe qu'elle entend, produit les gest
uvrir les yeux, la malade entre en contracture, avec impossibilité de parler : la face est immobile, les yeux sont ouverts Elle
notamment, était merveilleusement simulée. Longtemps elle refusa de parler , niant toute initiation et prétendant que tous le
uvent même à rencontre de son intérêt), pour le seul plaisir de faire parler d'elle ou de raviver l'attention près de s'éteind
e traité, il suffit de leur envoyer un morceau de toile quiaêté porté parle malade pendant un i/jd'heurc Leur ignorance des c
iques, et d'une application facile et conséquemment pratique. Je veux parler de la suggestion dans l'état hypnotique, et c'est
exposer comment j'ai procédé dans ce cas, permettez-moi, puisque j'ai parlé du traitement de la contracture par le transfert
ais quelle personne de sa famille une lettre calme et sereine, elle y parlait de son intérieur, de ses enfants, même je crois,
séduire par un homme qui l'a épousée depuis : elle devient grosse et parle de sa situation sans inquiétude et sans tristesse
aires ; immédiatement se révèle une toute autre personnalité. On peut parler librement devant elle, sans qu'elle se formalise,
olontaire. Elles ont une durée écalemcnt très longue. L. ., entend-il parler d'un meurtre, lit-il un fait divers à sensation,
ns : A la page 55 du Magnétisme animal, on peut déjà lire (l'auteur parle de toutes les personnes qui s'occupent d'hypnotis
ants. Lors donc, que je fus appelé a donner les conférences dont j'ai parlé , je demandai que l'on m'autorisât à présenter la
s une forme courtoise qui est toute à l'avantage de D..... Celui-ci parle beaucoup de M. Charcol et de ses élèves. On peu
ns Magnétiseurs et Médecines), cette phrase significative où l'auteur parle des malades, comme aucun médecin ne le ferait; «
dit-on. que les enfants séquestrés et élevés par la sourde-muette ne parlaient pas. Le fait est intéressant, s'il est exact, quo
r leur enfant, soit de le livrer a un décrassement sérieux. Mous ne parlerons que pour mémoire de la repoussante saleté de la p
oque de fanatisme et d'erreur, l'autogra-phisme dont je viens de vous parler n'ait point été connu!! Assurément il existait al
anté parfaite, sous la réserve des troubles nerveux dont nous avons à parler . Sa mère a toujours été nerveuse, d'une extrême
ire a propos de ces expériences théâtrales dont tous les journaux ont parlé . Je demande donc a M. le Préfet de la Seine, vu
sures l'Administration comptait prendre pour empêcher les journaux de parler . Messieurs, c'est une question qui échappe A ma
atente, elle dénote que celui qui l'exprime a du entendre quelquefois parler de l'hystérie, mais quel'étude de cette affection
ose par des sons, chaque image par un mot spécial; on lui apprendra à parler , à sourire, à boire, à manger, à sentir, en un mo
ormale, professeur agregé de philosophie, docteur ès-lettes. (2)je ne parle que des phénomènes constatés pour respecte la rés
s l'erreur vient des mots. Ces états sont inconscients pour celui qui parle et s'analyse : en eux-mêmes ils n'en renferment p
e qui fit aussi grand bruit, et qui ne le méritait pas moins. Je veux parler de l'étude de M. Espinas sur les sociétés animale
u moment qu'on accorde le même nom â ces états si différents et qu'on parle de l'origine et des effets de l'hypnose sans dist
es témoignages de nombreux malades traités, et les expériences faites parles médecins légistes démontrèrent qu'il était dons l
66 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
celui de beaucoup de médecins aux travaux estimables, voilà tout. Il parla et se trouva placé hors pair ; il devint un maîtr
agnétisme proprement dit. Aussi quand, dans les lignes ci-après, je parlerai de la suggestion sans épithète, il sera entendu q
ithète, il sera entendu que c'est de la suggestion par signes (signes parlés , écrits, visuels, auditifs, tactiles, etc.) qu'il
, qui juge, qui décide. Et, ce premier pas franchi, je me vois poussé parla même logique, en constatant que, à côté des actes
des médecins de la localité qui se déclara impuissant à la guérir et parla de la nécessité de l'hypnotisme. C'est alors que,
us nerveux qu'un cheval de charretier, 'et il n'est pas nécessaire de parler , dans ce cas, d'une dégénérescence héréditaire. L
ur do s'en occuper et de la bien soigner, à la condition de ne lui en parler jamais. « Si tu ouvres la bouche pour me dire un
dividu reposant sur la selle, notre homme se résolut à aller à Paris, parler de son affaire au duc d'Orléans. A force de rum
s les dernières années de sa vie, il lui arriva à maintes reprises de parler de l'hypnotisme avec le même dédain dont il parla
aintes reprises de parler de l'hypnotisme avec le même dédain dont il parlait de l'antisepsie. Inutile de dire qu'il ne connais
notisme, il y a bien des questions déjà résolues. Personne n'ose plus parler de simulation. L'influence de la suggestion est a
se. Voici des exemples caractéristiques : Le Df Paul Dubuisson nous parlait d'une femme qui achète au Bon Marché pour 200 fra
intérêt bien déterminé, soit entraînés malgré eux à côte de la vérité parles mirages produits par leur imagination. Les faits,
vertes scientifiques modernes ; ce ne sont pas ceux dont nous voulons parler . Il y a parfois des phénomènes plus étranges enco
, qui ne rentrent pas dans l'ordre des hallucinations dont nous avons parlé plus haut, soit de phénomènes, en apparence purem
Beaucoup niaient en bloc tous ces phénomènes étranges dont le public parlait tout bas ; et quand parfois un fait était ent
tifiques, c'est uniquement pour rappeler que les phénomènes dont nous parlons n'ont pas été complètement dédaignés par les espr
ucune discussion sur des faits qui peuvent encore passionner, nous ne parlerons pas de ceux qui se sont passés depuis un an et qu
ation des asiles d'aliénés, en rapport avec la question du traitement parle repos au lit et l'installation des salles de surv
ans l'action psychique du médecin sur le malade, nous n'avons pas parlé de la mise en scène ; non pas qu'elle représente
rra-t-il en donner une solution certaine ? Evidemment non... ; « Je parlais à l'instant, dit M. Garnier, des paralytiques gén
nous formerons dans l'espèce une demande reconventionnelle pour ainsi parler : oui, dirons-nous, la préservation sociale est i
bitoire du réflexe naupathique. J'y ai pleinement réussi. Je vous parlerai de quatre personnes, deux hommes et deux femmes,
s objets. Malgré tout ce que nous avons pu faire pour le déterminer à parler , il n'a jamais répondu à nos questions. 11 parais
le frère gardien ne soupçonne pas non plus l'alcoolisme. Le malade ne parlait pas, ne voyait pas. On a cru qu'il était aveugle
onomie inerte. On lui a offert à manger : il a d'abord refusé, sans parler d'ailleurs et sans rien exprimer. Quand il se fut
qui font continuellement usage des alcools. Ces individus agissent et parlent d'une manière saine en apparence : ils semblent b
vait aucun souvenir, était revenu auprès de ses amis en disant : « Ne parlez à personne de ce qui s'est passé », Maschka concl
ences que je fais avec lui devant des assistants, je tiens à ce qu'on parle le moins possible.) La pendule marquait dix heure
séance à laquelle, si je ne me trompe, assistait M. W. dont j'ai déjà parle , Gustave me demanda l'autorisation de rentrer
interprétation. RECUEIL DE FAITS Sur un cas de somnambulisme Parle Professeur R. Lépine, de Lyon. J'ai pu de nouve
de ces travaux, comme s'en écartant moins que ceux dont nous aurons à parler plus loin, un volume publié en 1882, ayant pour t
dans son travail intitulé : Pourquoi mourons-nous? dont nous aurons à parler plus loin. En Angleterre, un peu après lui, M. Jo
. (1) Delbœuf. Revue philosophique, loc. cit. (2) Nous oe pouvons parler ici d'un autre ouvrage philosophique du même aute
comme renseignement bibliographique, les travaux dont nous n'avons pu parler dans le texte. Revue scientifique : 1° 3 janvie
* Dans l'action psychique du médecin sur le malade, nous n'avons pas parlé de la mise en scène ; non pas qu'elle représente
1869, reproduit dans le Magnétisme animal, du môme auteur, dont nous parlons plus loin 2. Une br. gr. in-8°. de 49 p. Bruxel
qu'on négligeait des précautions élémentaires, par exemple de ne pas parler devant les sujets, qu'on annonçait tout haut ce q
fondément séparés, — scientifiquement parlant, — nous remettrons à en parler à la fin de cette élude. Je dirai peu de chose
ager entre les quatre docteurs, sur les dangers de cette épreuve. Ils parlaient d'infection possible, d'abcès, etc. Aussi, ce jou
les avait prédits. La blessure non suggestionnée, si l'on peut ainsi parler , devint très douloureuse, la plaie dura un certai
aleur du travail infiniment curieux et suggestif, dont nous venons de parler , mais seulement pour rendre hommage à la vérité,
cette lecture en séance solennelle, il me sera sans doute permis d'en parler à mon tour. Je serai bref. En 1884, j'avais été
intellectuel, creusé de tous côtés ces « puits de mine » dont on nous parlait tout à l'heure, poussé des galeries, abattu le ro
bout de deux ou trois minutes, prendre brusquement congé de vous. Il parle de combinaisons, de séries, tient le langage le p
t surveiller ces soi-disant cercles fermés de nos villes d'eaux (sans parler de ceux de Belgique et de Monte-Carlo) dont l'ent
de maux pénibles, provenant pour la plupart de notre moral. Nous ne parlons point seulement d'affections morbides nerveuses.
ntre nous (encore un préjugé, avouons-le ! Ce cran d'arrêt, dont nous parle M. Bérillon, nous pouvons nous le créer nous-même
x encore, les paroles que vous voulez graver dans votre cerveau. Vous parlez au présent, ne disant pas : « Je veux être maître
se dont l'usage peut devenir dangereuse. « Dans le chapitre dont je parle , on verra avec quelle habileté les Khôdjas savent
nes de ménage. Louis Ch... fut allaité artificiellement, commença à parler vers sept mois, eut sa première dent à quatorze m
r, lire des mots et des phrases, cela constitue des actes psychiques. Parler ces mots, les prononcer à haute voix, cela consti
tés à ce besoin, ne lui opposent aucun empêchement sérieux. Mais pour parler une lange étrangère, les organes doivent se plier
xemple, et le fait vibrer au moyen des doigts. Au piano, il faut donc parler avec les doigts, et ce n'est point là chose facil
avec laquelle les mains ne se trouvaient même pas en contact; enfin, parla guérison qui termina heureusement la maladie. C
aleur des recherches expérimentales. A plus forte raison n'a-t-il pas parlé de leurs travaux. Un troisième obstacle à l'emp
la mère. Son développement a été normal, plutôt même précoce ; elle a parlé et marché de très bonne heure et était jeune fill
sentait. Elle dissimula avec le plus grand soin son infortune et n'en parla même pas à son fiancé auquel elle refusa désormai
s'intéresser à toutes sortes d'études; il s'occupe de littérature et parle cinq langues. M. Inaudi, au contraire, a été tr
ns la suite, nous y voyons ses vues se modifier considérablement : il parle de personnes ayant été entièrement hypnotisées pa
esprit du sujet qui peut, dans quelques cas. permettre de l'exciter à parler ou à donner des manifestations physiques des sugg
nuit. Un fait d'amour maternel vraiment intéressant nous est offert parle pigeon : lorsqu'il éclot, le petit pigeon est imp
ie nécessaire de nos études. » Parmi les expériences dont je viens de parler , je citerai seulement les deux cas suivants qui m
douleur, prématurés pour la plupart, ont été enregistrés, en France : parles docteurs Mesnet, Dumontpallier et Fanton ; en All
Diamandi (de Pylaros, Iles Ioniennes) : Nikomachos de Gerasa, dont parle Lucien ; Mathieu le Coq qui accompagna le duc d
par différents modes de suggestion, soit par le langage intelligible parlé très près de l'ouïe du malade, soit par des impre
des vertus et des pouvoirs de certaines médications particulières. Parlait -on d'un remède nouveau paraissant posséder des qu
où, sans préjuger du séjour qu'elles y font, les impressions acquises parles sens ou venues de la périphérie sont susceptibles
pports de perceptions actuelles ou remémorées (Beaunis), assimilation parles cellules ou neurones supérieurs, dits psychiques,
disposent d'une individualité psychique dont il nous faut maintenant parler . Chacun tient de sa structure cérébrale, façonn
suggérés par les individualités puissantes de l'époque. Que vient-on parler d'âme populaire ou de caractère national? Ce sont
, c'est la suggestion qui émane des hommes exceptionnels. Que l'on ne parle donc pas de l'âme populaire, mais tout au plus du
e, qu'approximativement, presque jamais complètement. Notre langage parle presque dans chaque mot, dans chaque tournure, de
et il éprouve une très grande répulsion pour le piano. Par contre, il parle beaucoup et se sert du langage articulé comme d'u
ement; seule l'aptitude exclusive croit et s'hypertrophie, pour ainsi parler . Mais ces génies partiels ne sont jamais que des
indre pour lui ces fameux « transports au cerveau » dont les mères ne parlent qu'avec terreur ? Et pourquoi non ? Il n'y est pa
oquer en lui, lors de la puberté, cette sorte d'éclipsé dont il a été parlé plus haut, mais encore à faire de lui un exclusif
de leurs causes ; et je tiens pour un fou ou pour un fripon celui qui parlerait d'un remède universel. » En référence aux heureux
67 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ccès ! De ces procédés thérapeutiques quasi innombrables, nous ne parlerons pas sinon pour dire que quand ils ont parfois r
isme; elle se lève les yeux ouverts, va au lit de ses parents, leur parle , veut sortir. On a beaucoup de peine à la faire
miens pour mettre ce projet à exécution. » Au moment oùX... nous parle ainsi, il n'a pas d'hallucinations. Mais bientô
nt à sa soeur : « Ton frère est un criminel. n « Vous laissez ainsi parler de moi à ma soeur, nous dit-il; vous voyez bien
il s'était suicidé). Enfin, peu à peu, l'anxiété se calme et X. ne parle plus. Il reste halluciné; mais, dit-il, entend
Il a deux sortes de voix. Les unes, selon ses expressions, « lui parlent bas, les autres lui parlent par l'esprit». Quand
Les unes, selon ses expressions, « lui parlent bas, les autres lui parlent par l'esprit». Quand on lui dit de causer avec
sonne connue qui se venge de lui. Sa maîtresse lui crie : « Tu as parlé de nos relations ; je t'accuserai d'être un crimi
est curieuse ; les voix deviennent intérieures; plus de cris, elles parlent « par l'esprit » ; alors, le malade est moins a
ATHOLOGIE NERVEUSE. ment vers cette époque que la malade commença à parler . A douze ans, elle fut réglée pour la première
eurolo- gique, mars 1896.) E. B. XIV. Angiome simple du cervelet; parle D'' L. IIEx1'OEN. Chez une femme de quarante an
qui se reproduit à des intervalles plus ou moins longs. Gelineau ne parle pas de l'état des pupilles. 4. L : 1NGRCUTER. P
mi- ' ? alité, les uns psychologiques, les autres biologiques, sans parler des signes de dégénérescence somatique. Dans le
du tatouage est si répandue chez les détenus que l'on peut vraiment parler d'une tendance spécifique, du moins chez les su
de date récente, puisque déjà en 1866 M. le professeur Bou- cliard' parlait après Todd, Gratiolet et autres, de fibres com-
s radiculaires descendantes existent réellement. Sottas', NaoeotLC2 parlent de ces filets descendants alors que Souques 3,
r la deuxième fois, forment le faisceau angu- laire dont nous avons parlé plus haut. Ici cependant la branche postérieure
re, l'autre pos- térieure. Mais auparavant et puisque nous allons parler de fibres endo- gènes et de faisceaux commissur
é souvent constatée de la zone cornu-commissurale dont nous avons parlé plus haut, on trouve intact également le centre o
urdissements fréquents, et sa tête le fait constamment souffrir. Il parle lentement parce que souvent sa langue fourche.
, hébété avec un air de vague béatitude. Interrogé sur son passé il parle volontiers de son service militaire, se donne c
if. 11 présentait des particularités bizarres, il souffrait si l'on parlait un peu haut à côté de lui; c'est au point qu'il
raits sont contracté*, il fait de violents et inutiles efforts pour parler , il n'arrive qu'à émettre des sons inar- ticulé
ntimentvague et aveugle mais bien d'un sentiment profond et éclairé parla conscience. Les masses populaires ont prouvé, e
te. C'est du moins l'opinion qui a paru prévaloir quand M. Sommer a parlé de la signification du signe de Westphall. Sans
le. Ils ont tout au plus une certaine facilité de langage quand ils parlent du sujet qui leur tient à coeur, mais avec cela i
coliques anxieux sont unis aux caractères des persécutés ; je veux parler de la catégorie des malades, que vous désignez so
nt rendre nos divisions d'enfants au seul point de vue médical sans parler du côté philanthropique de la question. CULLERR
votre science et à votre dévouement. Je n'ai garde d'oublier que je parle de- vant des mailres, que l'ombre de l'éminent
de médecine de Bordeaux. Je n'ai, garde, non plus, d'oublier que je parle au milieu de professeurs et., de médecins qui d
i-même sain ou malade. On voit donc qu'il n'y a pas, à pro- prement parler , d'hallucination d'origine périphérique. On m'o
ns auditives avec lesquelles elles alternent. Jamais les visions ne parlent et on ne peut voir les ennemis qui parlent. Il se
t. Jamais les visions ne parlent et on ne peut voir les ennemis qui parlent . Il semble y avoir irradiation et alternance en
ux maladies qui ont avec elle certaines ressemblances; nous voulons parler de la maladie de Raynaud et de l'oedème bleu de
ule, la conversation est silencieuse ; mais si quelqu'un la prie de parler à l'ange, 1111° X... fait ses demandes à haute
dans cette Maison déparlementale de Nancy, les aliénés sont agités, parlent , crient, comme ils sont dans le même dortoir qu
on générale. Quant aux asiles d'alcooliques, il en a été longuement parlé au Congrès de Clermont-Ferrand. Cette question
hode à la cli- nique psychiatrique de Moscou sont surprenants. Sans parler des punitions nous n'avons jamais eu recours au
ordre ce serait le caractère dangereux de l'individu. M. Rouby a parlé de l'hospitalisation des aliénés en Angleterre
ture, il continua à se livrer à un violent désespoir. Lorsqu'il put parler , c'est-à-dire cinq ou six jours après l'acciden
émotivité facilement éveillée chez lui, nous aurons l'occasion d'en parler longuement avec les troubles moteurs que nous a
s, portent bruyam- ment contre le sol, tantôt par la pointe, tantôt parle talon; excep- tionnellement le pied complètemen
nvulsives ont pris naissance, c'est-à-dire dès que le maladea voulu parler , il s'est butté contre le commencement du mot qu'
spasmodiques se produit et ne se dissipe qu'après que le malade a parlé ou un temps relativement long. 264 CLINIQUE men
es poumons, et le malade'est dans l'impossi- bilité d'utiliser pour parler , ainsi que cela a lieu à l'état physiolo- gique
t et selon la succession des mêmes phases tant que le malade voudra parler . Parmi les causes susceptibles d'agir sur les p
ts et pour peu que le malade fût ému on assistait dès qu'il voulait parler au spectacle d'une incoordination musculaire gé
ure ou d'ac- cidents convulsifs autres que ceux dont nous venons de parler . Bien que l'hérédité de K... soit peu chargée,
physiques diverses que nous avons notées au cours de l'observation parlent en faveur de cette manière de voir, et il y a d
vement résumé ce que nous trouvons : à l'occasion unique du langage parlé appa- raissent des phénomènes spasmodiques débu
alies... A quel âge a-t-il percé des dents ? commencé à marcher ? à parler ? Quelles maladies de l'enfance a-t-il eues ?
terapezelica. Naples, 1896, 110 2.) C. 11.11. Syphilis cérébrale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Université de Naples
lexes rotuliens exagérés, surtout à gau- che. Le malade ne peut pas parler , mais il semble entendre, urines involontaires.
érie. Souffle cardiaque NERVEUX. OEDÈME des extrémités inférieures; parle professeur de RENZI, de l'Université de Naples.
dans 10 cas seulement elles duraient encore. La paralysie a débuté parle voile du palais seul 67 fois, par le palais seu
L'asile de Maréville, son état sanitaire et son régime alimentaire, parle D'' J. Giraud ; 3 3° le règlement du service in
e ans plus tard, ce refuge devenait la « renfermerie » dont je vous parlais hier; l'hôpital se transfor- mait en prison et
visité. Ce ne sont pas tant les circonstances d'ordre social dont a parlé M. le préfet, dit M. Pitres, qui nous touchent pa
, guidés par les précieuses indications des inspecteurs géné- raux, parle dévouement éclairé de l'administration, par l'hab
des frissons. Il distingue le tremble- ment en général et partiel; parle du tremblement congénital dont il croit avoir o
yait dans la direction du pont de Levallois, où il put être rejoint parles gardiens de la paix. Conduit devant M. Bouteill
élioration de la coordination commençait à se manifester, la malade parlait tout de suite d'une bonne et d'une mauvaise jam
rait d'insomnie. Il avait la nuit des idées tristes, il sanglotait, parlait de sa mort prochaine, qu'il allait être atteint
; les malades courent en vociférant, veulent rentrer à la maison, parlent d'une façon incohérente, veulent arracher leur pa
copie l'imprimé en manuscrit. L'aphasique moteur sous-cortical ne parle pas spontanément et ne peut répéter la parole e
verbale pure), le langage intérieur est conservé et le malade peut parler spontanément. . L'aphasie transcorticale est hy
la souffrance et enflammées par la fièvre. Pour le consoler, je lui parlai de nos divines Ecritures et du mystère adorable
de leurs cavi- tés viscérales, qu'ils respirent dans leur poitrine, parlent dans leur estomac, etc. Il. Dagonet. Traité d
s), deviennent cardinaux, papes, etc. (mégalomanie religieuse). Ils parlent alors et agissent en conséquence 2. La raison d
Chez les mélancoliques, en revanche, il n'y a pas, à propre- ment parler , d'idée d'attaque et par suite de défense, de rés
de ce qui se passe dans leur intellect. Ils croient, en s'écoutant parler , n'être pas moins passifs que s'ils étaient dép
ui les entourent. « Une ancienne religieuse croyait que ses chats parlaient plusieurs langues. Elle montra à Calmeil l'un d
ion entre ci; cas et ceux qui nous occupent l'altération du langage parlé et de l'écriture avec conservation parallèle du l
leurs propres idées, différaient à peine de ceux qui s'imaginaient parler sous la dictée d'autrui. C'étaient les mêmes id
à leur génie, et peu après ils s'étonnent de sentir que leur bouche parle sans consulter leur volonté, ni leur intelligen
qui lèvent t tous les doutes. Il semble à ces malades qu'on leur parle en pensée ; ils croient converser d'âme à âme,
nconscient de ses propres mouvements imperceptibles d'articulation, parle alors de voix éî31gastitqzie ou pharyn- gienne.
ze)... Ils ont des col- loques amicaux avec une surintelligence qui parle par leur propre bouche (Bertrand). Une malade d
nvolontairement une sorte d'effort comme celui qui a lieu lorsqu'on parle à haute voix. Si l'effort est plus grand, ce n'
Calmeil « L'individu (le théomane), entend souvent l'esprit de Dieu parler dans sa poitrine et il improvise avec plus ou m
et qui s'est identifié à eux. Un malade de J. Moreau (de Tours)3 3 parlait tout haut et prétendait ensuite que c'était une v
influence ma pensée, dit un autre malade du même auteur, on me fait parler malgré moi. » « L'explication de ces phénomènes
istence ou l'alternative, la possession complète par le démon, puis parle bon esprit, les idées de grandeurs naissantes a
ui lui veut du bien, un mauvais qui lui veut du mal..... leurs voix parlent dans sa tète elle se rend bien compte que ce n'
sa tète elle se rend bien compte que ce n'est pas quelqu'un qui lui parle à l'o- reille. Ces deux esprits contraires qui
les visions n'articulent un mot et on ne peut voir les ennemis qui parlent . Il semble y avoir irradiation et alter- nance
se confirment (mégalo- manie). Désormais Dieu l'inspire sans lui parler , et il écrit des avertissements à différents pe
système de secours représentatif en argent dont il a été beau- coup parlé au Congrès des aliénistes de Blois, devint du res
ère ne veut pas prononcer le terrible mot de folie ou aliénation et parle de maladie incurable; c'est un garçon de Paris,
le ministre a également entendu approuver les conditions dont vous parlez . » Par le même courrier M. Pinault, architecte,
sumer dans la phrase qu'il répète sans cesse : « j'entends que vous parlez , mais je ne comprends pas ; je pourrais compter
asie de réception dans laquelle la faculté de comprendre le langage parlé est seule perdue. Le langage intérieur est parf
es nerfs de la queue de cheval, lesquels, sortis du canal vertébral parla solution de continuité, se perdaient dans les par
es une tournure académique ; on interroge fréquemment ; on enseigne parla vue, on fait des exercices pratiques ; on traite
ques. Des exa- mens officiels passés devant ces commissions nommées parla Société dés aliénistes allemands, la distributi
le pavillon. Discussion. M. Meschede. Il y a déjà longtemps qu'on a parlé de l'utilité de la création de quartiers spécia
ant les méthodes assyriennes et clial- déennes. Science divinatoire parles tarots des Gypsies. Miroir magique d'Allan Kard
68 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
EL,iiesL CIIA.1B.RD, incieii iiiieiiie des lig)pitatix (le Pai-is, Parle D' Prnest ClIAIt3.lRD, ancien interne des hôpitau
connue des dermato- logistes sous le nom d'érylhrasma et nous n'en parlerons que pour être complet ; la seconde, qui se ratt
s qui avaient le caractère de constric- tion avaient été présentées parle malade de FOBSER- ovation XV. Quant aux douleur
ien ce qu'on disait; il croyait qu'on se moquait de lui et qu'on ne parlait pas grec, car, « comment arrive- t-il quej'ente
ommun, et qu'on ne se moquait pas de lui, il hésite à le croire. II parlait très bien; il ne savait ni lire ni écrire; en o
t-il, en- tendait parfaitement bien ce qu'on disait ». Il pouvait parler très bien, il ne savait ni lire ni écrire. d).
it pas non plus ce qu'il entendait. Il entendait, dit-il, qu'on lui parlait mais qu'il ne com- prenait pas. Il ne savait ni
s ce qu'il entendait. « C'est curieux, dit-il, j'entendais qu'on me parlait , mais je ne comprenais pas. « Le malade ne sava
seule, aujourd'hui elle ne peut plus le faire. Elle n'a commencé à parler que vers six ou sept ans. Nous verrons ce qu'es
set la fiy. 1, d'après une photographie, prise à titre de curiosité parle garçon de laboratoire de la clinique de M. Char
blié l'observation, ainsi- que chez une autre, Wau...., dont nous parlerons plus tard, il n'a été possible de sentir la gland
part. La méthode étiologique résisterait donc seule si l'on n'avait parlé des classifications mixtes. C'est une classific
aliénés leur devient applicable. M. CIIIlISTI.1\. Mon malade ne m'a parlé d'aucune de ces sensa- sions ; il est vrai que
les à la société départementale favo- rise les admissions dont nous parlons , taudis qu'une société locale combat, et cela d
t la démence avec complète apathie. On joue le mutisme; on agit, on parle , ou écrit avec l'absurdité la plus parfaite. Pu
du cas où une personne ayant commis un délit, ou un crime, ou, pour parler plus correctement, un fait qui pourrait être qu
entales et les études cliniques de l'auteur. Qu'on nous pardonne de parler ainsi; mais est-il un mal plus grand que la déc
sé à M. Liégeois un déclinatoire d'incompétence en la matière, pour parler le langage juridique. Aussi, l'auteur qui, avec
r les hypnoti- seurs, de tous les accidents, y compris ceux dont ne parle pas M. Liégeois, tels par exemple que les attaq
ire, la réponse estaccep- lable, mais croit-on, puisque M. Liégeois parle médecine légale, qu'un tribunal déclarera non s
Les travaux scientifiques antérieurs des candidats seront examinés parle jury et feront l'objet d'un rap- port qui pourr
a malade eut à supporter pendant son séjour à l'hôpital (à en juger parles remarques du médecin qui la soignait alors, il
aussi l'infection syphilitique était indubitable; je me réserve de parler ailleurs de ce cas. Quant à la collec- tion que
té dans le tabes. Comme nous l'avons fait voir, nos observations ne parlent pas du tout en faveur de ce rôle; il me semble
dérations dont le lecteur prendra connaissance plus loin), qu'elles parlent contre l'importance particulière de l'hérédité
200 PATHOLOGIE NERVEUSE. et ceux dans lesquels il n'en était pas parlé , je ne les ai pas pris en considération; j'ai m
m- plètement intacte; les malades n'ont pas perdu le pou- voir de parler ou d'écrire, mais bien que l'audition soit parf
psychique caractérisé par une impossibilité de comprendre les mots parlés , quoique l'organe de l'audition lui-même soit s
le et kinesthésique étaient intactes, car le malade pouvait lire, parler et écrire. Comme c'est seulement depuis peu d'a
rdité verbale et la cécité verbale, la science n'est pas capable de parler très nettement du siège exact de la lésion dans
fixés. On observera que les deux cas de cécité verbale dont j'ai parlé étaient compliqués d'une hémianopsie bilatérale
l'en- lèvement du casque il est pris de mal de. tête ; il essaye de parler , mais il' ne peut y arriver; il a perdu tout à
cident). Le malade se trouve dans une incapacité presque absolue de parler , substituant toujours quel- ques sons inarticul
, qui consistait dans l'impossibi- 234 CLINIQUE NERVEUSE. lité de parler , tandis qu'il comprenait parfaitement bien ce qu'
d'une façon catégorique qu'il entendait parfaitement ce dont on lui parlait mais il ne pouvait pas y répondre car il ne com
mais il ne pouvait pas y répondre car il ne comprenait pas les mots parlés par son entourage. Il entendait si bien que le
t qui se faisait autour de lui était perceptible à ses oreilles. II parlait très bien et aussi correctement qu'avant son acci
on et l'enlèvement du casque à 10 heures du malin, impossibilité de parler . - Incapacité incom- plète de concevoir la paro
ffirme que déjà au fondit a été surpt is de constater qu'il pouvait parler ; i DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES.
ier à Athènes à huit heures du soir, et nous avons remar- qué qu'il parlait très bien, qu'il concevait parfaitement bien ce
54 REVUE CRITIQUE. tion. Depuis les études de la Salpêtrière, on ne parle plus guère de simulation, ou du moins si quelqu
acture ait laissé un souvenir dans l'esprit de l'individu dont nous parlons , et que ce soit là GRAND El'PETIT HYPNOTISME. 2
resque tous, sinon dans tous les cas, que les hypnotiques dont nous parlons sont entachés d'hysté- rie. Eh bien ! cette coe
ntres destinés aux différents groupes musculaires du membre innervé parle centre primitif. Chez le chien nouveau-né, l'ex
ots oùlaneuroglie est ramollie et qui se colorent plus facile- ment parle carmin. Les circonvolutions sont plus aplaties qu
x de la sécurité publi- que ? (Très bien très bien ! ) A proprement parler , la difficulté d'application de ce principe n'e
le cas où un certain système de défense parait avoir été accueilli parle jury ou lui a seulement été présenté, c'est de
chi, Atbertoni, lllorselli, Vizioli, Maragtiano, Riva, etc., sans parler de Lombroso, de Golgi, de Giacomini, de Mossso,
a pathologie du système nerveux. Les temps sont revenus où, pour ne parler que des sciences biolo- giques, il n'est pas pl
ombre de cinq : ce sont les cinq règles ou critères dont nous avons parlé . Enumérons-les rapidement, LES FONCTIONS DU CER
remarquer les auteurs fran- çais et les auteurs. italiens dont nous parlons , les ' Charcot et Pitres. Elude critique el cli
il semble à première vue que la statistique de M. le Dr Korsakoff parle contre les conclusions que nous avons tirées de
soula- gées et ont même totalement disparu, grâce au traite- ment parle mercure et cela quoique les malades nias- sent
ent d'examiner avec une attention extrême les cas qui, semble-t-il, parlent en faveur de ce point de vue. Aussi, tout en pr
ère (les ob- jets se confondent) ; l'examen ophthalmoscopique, fait parle très honoré M. le D''AdeIheim, a démontré l'éta
plus de ressemblance avec le nôtre que celui dont nous venons de parler et par conséquent, nous n'avons à notre disposi
e étio- logique possible, c'est l'intoxication saturnine'. Ce qui parle en faveur de cette étiologie, c'est que pendant
pris a part, appartient au tabes vulgaire. Qu'est-ce qui pourrait parler contre l'existence du tabes chez notre sujet ?
philis dans les antécédents. La marche de la mala- die, de même, ne parle pas contre le tabes ; quoi- qu'elle ait été rap
aigu et dont la marche a été assez rapide. Ce qui pourrait' encore parler contre l'existence du tabes dans notre cas, c'e
ment si rapide du tabès ? 1) l'autopsie, mais nous n'en pouvons pas parler ; 2) la suite typique ou non typi- que du dévelo
ques, myose, symptôme d'Argyt- Robersom, etc.; mais nous avons déjà parlé de cela en ce qui concerne notre sujet et nous
le épinière ou bien encore par ces deux lé- sions à la fois. Sans parler de toutes les névrites si connues main- tenant
tin, le malade commence à vociférer, à crier, à faire des gestes, à parler à haute voix. La figure était très animée. Se
accès de manie transitoire, il avait une loquacité intarissable, il parlait si vite et de questions si différentes, que c'e
nt dilatés, ce qui explique l'amblyopie du malade. , , Si on fait parler le malade, on ne tarde pas à remarquer un certa
istiques ; en effet, le malade avait une loquacité intarissable; il parlait si vite et de questions si différentes les unes
ait ni lire ni écrire. A 5 heures du soir, ce malade commen- çait à parler , mais il ne trouvait pas les mots voulus et très
mieux et vers minuit, il n'y avait plus aucune trace d'aphasie ; il parlait comme avant son accident. Pas de troubles, ni de
de per- sonne. Il retourne au bateau à 3 heures du soir ; on lui parle et on remarque qu'il n'entendait rien et par co
'était le nom de son capitaine. Ayant constaté qu'il ne pouvait pas parler , il fait signe, par la mimique, qu'il se trouve
i firent les frictions ordinaires avec du vinaigre chaud. Le malade parla trois heures après, en disant qu'il avait des dou
e l'étourdisse- ment; le malade ne perdit point connaissance, et il parlait bien pendant quelques minutes encore avant sa m
action volontaire quelconque, quand on veut, par exemple, la faire parler . Mais, de même que les bras, restent pendants, de
ènes, d'autre part celles qui résultent d'agents toxiques fabriqués parles organes eux-mêmes (auto-intoxications). La nutr
éflexes du même côté. Au bout de dix-huit mois, elle com- mençait à parler et l'éducation de la parole se faisait peu à pe
t l'éducation de la parole se faisait peu à peu. A treize ans, elle parlait comme un enfant de deux ans, et elle avait l'in
s trois ans, avait remarqué, depuis quelque temps que lorsqu'on lui parlait , il voyait devant lui une couleur qui persistai
liter Beach, etc., cas dont x aucun auteur français n'aurait encore parlé ». En cela, il se trompe complètement. Nous avons
quer des hallu- cinations et du délire. Les trois malades dont il a parlé ont pu s'injecter impunément durant de longues
me le délire des persécutions ou délire chronique, on fait mention, parla même, de son symptôme le plussaillaul, l'halluc
n de Montyet ne provient-il pas du même fabricant que celui employé parles autres expérimentateurs ? M. A. Voisin n'a jama
peut-elle être susceptible de maladies ? Nous savons bien que l'on parle couramment de maladies de la vue, du mouvement
s de la moelle et du cerveau après des accidents de chemin de fer), parle Dr Cooncss KNAPP. (Boston, 1888. Cupples et Hur
les membres adhérents en même temps que les rapports dont il a été parlé plus haut. Le Comité espère que tous ceux qui s
69 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
nion sur la valeur thérapeutique de l'hypnose (1) : « On a beaucoup parlé , dans ces derniers temps, de la suggestion a l'ét
ftques chez ses parents. On est très mécon-tent de lui au collège, on parle même de le rendre a sa famille parce que, chaque
oles impressionnent un incontinent, il est indispensable que nous lui parlions à haute, h très haute voix. Souvent-même nous dev
réveiller. — « Mais, qu'est-ce qne tu diras à ta maman ? Allons vite, parle ! Qu'est-ce que tu lui diras ?» — Maman pipi ! »
présentait ce malade, l'observation serait trop banale pour que j'en parle ici. Je dirai seulement que M. F. se montre trè
acón a ce que l'enfant ne soit jamais marqué d'un stigmate indélébile parle fait de son passage dans un des établissements d'
sayant de faire de l'hypnotisme dans les conditions défavorables dont parle Bérillon, mais de le réserver pour les cas favora
our) ; l'alimentation forcée par la persuasion, la contrainte et même parla sonde qui fut employée souvent au début, les repa
son austérité,ou celles d'un Pierre aVAlcantara dont nous avons déjà parlé dans une étude antérieure (1). « Ce saint homme
l'universalité des hommes, il y a antinomie complète entre le fait de parler et celui d'agir. Le spirituel chansonnier Th. Lec
ssons aux actes. * Il parait que tout cela est changé. Quand un homme parle dans l'inteution de suggérer son prochain, ses pa
que et à tous ceux auxquels on serait tenté d'adresser le reproche de parler toujours et de ne jamais agir. Notons en passan
». (VI0 lettre à la princesse Elisabeth). La. Fontatse n'a-t-il pas parlé dn « sombre plaisir d'un cœur mélan-c colique »,
il peu en des « établissements d'éducation ”. Pour autant qu'on peut parler d'une collaboration de la famille et de l'école d
eurs de toutes les condamnations et de tontes les railleries. Je veux parler de « l'Hypnotisme ». Liégeois qui avait assisté
à un véritable génie prophétique lorsqu'il écrivait : « L'on n'a qu'à parler avec une robe et un bonnet, tout galimatias devie
st des plus simples. De même que l'on administre les médicaments soit parla voie stomacale, soit par la voie hypodermique, on
r un examen. — Au surplus, n'est-ce pas l'optimisme relatif dont nous parlons qui, sous le nom de tendance indéfinie vers le pr
Mais pour lui c'est un phénomène si coutumier qu'il ne songe pas à en parler ; et nous verrons que bien des psychologues sont
s parmi celles que fournit le tableau de la vie moderne. Nous voulons parler de la curieuse autobiographie que l'écrivain Huys
ucide encore, la tache devient plus malaisée. Dans le cas dont nous parlions tout à l'heure, par exemple, ce n'est pas en invo
morbide, mais que son intelligence était intacte. Or, cette façon de parler sépare outre mesure deux fonctions de la conscien
océdé antiscientifique, une inférence contraire a la logique et. pour parler net, un sophisme. Il se dit homme de science et
ants de son système nerveux (p. 53, en bas). Mais qui donc a jamais parlé de cela ? Quelle étrange opinion a-t-il de l'inte
rononcés à cette occasion ont été renouvelés par les orateurs qui ont parlé à Damvillers : aussi nous nous bornerons à reprod
er leurs misères hautaines, De Palos de Moguer routiers et capitaines Parlaient , ivres d'un rêve héroïque et brutal. (1) Aux as
ont été déterminés aveuglément par le jeu des forces puissantes dont parle , très justement. Binet-Sanglé : voilà ce qui est.
onelle. Il écrit : « C'est alors seulement que nons avons le droit de parler d'une connaissance scientifique des faits, c'est
des esprits (11, Autre cbosc. La préparation générale dont nous avons parlé ne suffit même pas pour obtenir de bonnes observa
ont des lieux de recueillement, on y respire la « paix sereine » dont parle Pasteur. Et. quand le savant opère en pleine camp
tre : « L'état de veille et l'état d'hypnose. » (2) « On a beaucoup parlé , écrivait-il dans ces derniers temps, de la sugge
e. Dr Shirnoff (de Moscou). — Modifications vaso-motrices produites parla suggestion hypnotique. DiscussioniD1* Bérillonet
crayonj qui lui suggère involontairement l'idée d'une tige. Alors il parle au sujet en ces terme, par exemple : « Je tiens d
t, ne correspondent pas avec une exactitude absolue à la région fixée parla suggestion. B. s'endort spontanément vers dix h
que ceux habituellement étudiés dans votre Compagnie. Je vais vous parler des animaux et de leur dressage ; si vous jugez q
t un peu d'éducation. Le chien en est le type De ceux-là je ne vous parlerai pas aujourd'hui. Deuxième catégorie : Celle des
te école ». C'est de ce cheval de « haute école » dont je vais vous parler , car la psychologie de son dressage résume et con
soit « pied à terre », soit monté, les moyens mécaniques, dont je ne parlerai pas. peuvent être différents, mais la psychologie
ibrait surtout A l'idée d'une belle action. Avec quel enthousiasme il parlait do ceux qui «font du bien» ! Il jugeait d'abord l
vie une de « ces hautes consciences inaccessibles a la peur», dont on parlait récemment». Certes Brlssnud fut bien tel que le
n le rôle de la psychologie en médecine, qne Je m'étais enhardi U lni parler de l'idée qni nous avait guidés dans la création
devait faire une cure radi- (1) Gnyau. dans Education et Hérédité. Parle . 1889, p. 2. (2) Carlier : Un cas d'anesthésie
s par Lasègue à l'étude du braidisme et du sommeil normal. Au lieu de parler k tout propos de l'influence thérapeutique «de la
r une série de transitions infinies au cours desquelles les individus parlent , causent, mais sont incapables d'état intellectue
is, M* Guilhermet, ont fait naître dans ma pensée. En lui entendant parler d'erreurs judiciaires, je me demandais, si en mat
niversel. — Au dernier Congrès international de Genève, on a beaucoup parlé des réformes à faire dans le langage psychologiqu
erminologie que les pédants croyaient définitive. Raillée à son début parla science officielle, l'idée géniale de Lamiirck pe
s cacher l'embarras que j'éprouve en me voyant subitement contraint à parler de graphologie à des auditeurs iiui presque tous
e nom de subliminal. Chez tous les déshérités dont je viens de vous parler l'intelligence conserve ordinairement une activit
i intéresse à la fois le nenrologiste et le graphologue, je vais vous parler de deux malades atteints l'un et l'autre de cette
aurait le funeste effet de développer en lui la blâmable habitude de parler en chaire comme un laïque. Cette étrange consulta
éon, écrit des messages sous sa dictée. Tout d'un coup, le médium qui parlait librement pendant que sa main écrivait, s'arrête
nement si précis. Le Dr Jennings, à rencontre de tant d'autres qui ne parlent jamais des procédés auxquels ils ont recours sans
tés classiques qui abordent les anomalies des sensations sexuelles ne parlent que de celles du sexe mâle. C'est à peine s'ils f
ar des perturbations sérieuses de l'activité cérébrale. «11 nous ii parlé de plusieurs malades dont les uns avaient des gus
s dévoiler les défectuosités de leur personnalité morale. Parfois ils parlent sans discernement et se plaisent à dévoiler des p
le point de départ de tous nos mouvements, de nos gestes, du langage parlé , du langage écrit, etc., etc. Pour vous rendre co
at ; d'autres sont chargés de gouverner nos mouvements, notre langage parlé ou écrit, etc. Quelques écrivains soupçonnent q
Sainte Brigitte. (Lib. VI. Chap. 112.) La bienheureuse Vierge Marie y parle du ¦ prépuce de son Fils dans les termes suivants
lique et ses phobies disparaissent d'elles-mêmes. Ainsi, un homme qui parle mal une langue étrangère, cesse d'en user aussitô
rompre avec eux. Je m'étonne qu'elle ait eu tant de difficulté â m'en parler , et, d'après la réponse qui s'ensuit, je vois que
a vie conjugale dans le mariage. Ceci l'affecte profondément. Elle en parle à ses amis, sans vouloir trahir ses appréhensions
ses tourments qui paraissent absurdes, nous a donné la possibilité de parler à la malade son langage symbolique, de dissiper s
ileólas s'étant entretenu avoc lui, déclara qu'aucun de ses sujets ne parlait mieux le russe dans son empire. A coté des langue
Pont dont l'empiro comprenait vingt-deux nations différentes, pouvait parler , dans leur langue, il tous les sujets. Il connais
nt lentement et sont quelquefois d'une intensité telle, que le malade parle de se suicider en cas d'un nouvel accès Le malade
raitement électrique banal. Le malade continua k venir me voir. Il me parlait de ses angoisses, de sa crainte d'un nouvel accès
er ; notre jeune homme n'eut pas d'idées de suicide et il ne m'en parla dans une lettre qu'un an après, au jour de l'anni
if). L'un des avantages de cette méthode est d'obliger le médecin à parler an malade sur le thème de la vie sexuelle. Les in
a. (de Bukharest). En 1885 Dumontpallier, à la Société de Biologie, parle déjà de l'action vasomotrice de la suggestion che
é ne pouvant pas penser à une nouvelle formation des éléments du sang parles organes hématopoïetiques (Moelle osseuse, rate.et
pinion publique et orienter les masses populaires vers une rénovation parla culture intellectuelle et un régime politique ins
ites plus étendues, en raison de la plus grande liberté de penser, de parler et d'écrire. Dans la famille musulmane et pri
© plus souvent adoucie par des sentiments pleins de bienveillance. Il parle facilement ; sa voix est Insinuante et son langag
is. la lucune signalée par !e D' Van Renterghem s'est trouvée comblée parla création de l'Ecole de psychologie. Le nombre cro
squ'il pratique aujourd'hui la psychologie relativiste, pourquoi nous parle-t -il des phénomènes * à partir desquels se différen
'avions vu. Quelle conclusion tirerons-nous de tout cela. Les faits parlent d'eux-mêmes ; l'étude psychologique d'un homme, p
actitude a laquelle peut arriver l'étude psychologique d'un individu, parla graphologie scientifique. J'ajouterai encore au
ntion sur cette amélioration dans le sort des aveugles. Je ne vous en parlerai pas aujourd'hui, mais je vous ferai observer que
yer ; la roue était libre ; le phonographe se mettait à marcher, et à parler ... jusqu'à la rencontre du rebord opposé •de l'éc
70 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
re. Non seulement la malade pouvait dire tout ce qu'elle voulait et parlait même aussi couramment qu'elle le faisait avant
s qu'elles ne l'étaient en réalité. Le fait est que cette femme qui parlait peu,com- prenait tout, et semblait bien avoir c
let 1911, le malade se réveille,un matin,avec de la difficulté pour parler , alors que, la veille au soir et les jours précéd
de difficulté à les prononcer. Pendant les premiers jours, il doit parler très lentement pour être compris : il bredouill
e cacodylé à 0,01. Il se sent mieux. Il n'a plus de difficulté pour parler , et la motilité de sa langue est nettement augm
homérique avec Dieu est terminée. Il m'a vaincu par sa bonté. Il a parlé à mon coeur de père et m'a fait voir l'abîme où
te, jambes, bras, etc. La maladie était extrêmement opiniâtre. Il parle d'un cas probable de guérison, et d'un autre casd
éparation de la chorée électrique du groupe des chorées, et Remak a parlé pour la première fois de l'identification de ce
le des myoclonies, en nous servant des observations dont nous avons parlé et d'autres aux- quelles nous ferons allusion.
lé et d'autres aux- quelles nous ferons allusion. Nous avons déjà parlé des myoclonies symptomatiques, c'est-à-dire, des
. Il y a de très rares cas (Ziehen et Silvestrlni) dans lesquels on parle d'un certain rythme dans la succession des seco
ur classification. Classification des myoclonies. Nous avons déjà parlé des myoclonies symptomatiques et essentielles :
e familial. La première description d'Unverricht, qui date de 1891, parle de cinq frères, fils 'd'un père alcoolique. Wei
us l'aborderons encore tout à l'heure. Il ne vaut pas la peine de parler du diagnostic différentiel entre les mouvements
ssent pas à la distribution anatomique des nerfs. Nous avons déjà parlé de la possibilité d'une confusion entre les choré
le entendait et auxquels elle en ajoutait d'autres. Par exemple, on parlait de pain : elle disait beaucoup de pain. Ce mot
t ; les infirmières s'affolent, envoient chercher interne et médecin, parlent de danger de mort, et les enfants elles-mêmes s
4 ans,est un hypomaniaque typique. Il marche d'un pas alerte ; il parle avec facilité. « Ma santé est parfaite. Moi mal
ôt grivoises, tantôt religieuses. L'hyperidéation est manifeste. Il parle pour ainsi dire de tout et sur tout. Il évoque,
gré té. » Puis il raconte ce qu'il a fait avant de venir nous voir, parle des gens qu'il a rencontrés... Tout à coup, i
«Mon beau-frère S... est un voleur... il m'a volé cent écus... » Il parle parfois de son « temps » de soldat. Il a tiré le
une larme ; muette et immobile, elle ne répond plus à ceux qui lui parlent . C'est encore au cours d'une grossesse qu'elle
ent ce succès, mais il semblait qu'elle le désirait, puisqu'elle en parlait avec tant de goût, elle en discourait tous les
i se lassaient de lui ouïr dire qu'elle ne vivrait plus guère. Elle parlait plus ordinairement de sa mort que des choses de c
le pottique, le rachi tique, l'os- téomalacique, le mitralique..1e parlerai plus loin, quand il sera question du diagnostic
caractéristique, je suis per- suadé que dans ce cas on ne peul pas parler d'achondroplasie associée à l'infantilisme (nat
e où il travaillait à la fabrication des bri- ques ; il apprit là à parler l'allemand assez bien, mais par son intempérance
dut quitter son emploi. Frassi démontre une bonne intelligence ; il parle bien. Il dit qu'il a aban- donné l'alcool à la
et écrire en italien et, comme il a vécu longtemps en Allemagne, il parle et lit correctement l'allemand. Dans ses loisir
roches et aux moqueries, il se fâche, se renferme en soi-même et ne parle plus ; traité avec douceur il parle volontiers
he, se renferme en soi-même et ne parle plus ; traité avec douceur il parle volontiers et avec un certain esprit. Comme il
i peut être déterminée, entre autre, par la dysplasie périostale et parle rachitisme. Quant à la première, qui est rareme
ail). Zosin (5) en publiant l'observation d'un cas d'achondroplasie parle de la « démence achondroplasique ». Ce serait u
cemment sa thèse à l'état mental des achondro- plases pense pouvoir parler d'une manie achondroplasique. Si ce phénomène n
ertainement leur valeur mais il reste à voir s'il n'y a pas lieu de parler dans ces cas d'un syndrome achondroplasique dis
ment suivi. A ma connaissance, nulle part dans la littérature on ne parle d'une semblable observation, dans laquelle l'at
alysie des membres, du cou, de la déglutition et l'impossibilité de parler . On ne constate rien de particulier pour mouvem
de lympliocitose. 8 juin. - Conditions générales bonnes : l'enfant parle avec une voix claire et répond promptemeut aux
rès marquées, de l'hydrocéphalie chronique congénitale. L'enfant ne parle pas, semble amblyopique et présente une parésie d
l y a cinq ans, séjour dans le service de M. le Prof. Jaboulay, qui parla d'une opération que le malade Nouvelle Iconogra
parmi les causes des névrites loca- lisées expérimentales (3) on ne parle pas de la térébenthine. Nous n'avons pu, il est
t assez rarement noté dans la littérature. Jacobsohn et Jamane n'en parlent pas du tout, Batten et Collier font seulement m
. Nous som- mes portés à croire que les résultats de nos recherches parlent aussi en faveur de cette dernière hypothèse. L'
ait créole et tous les ascendants paternels dont on ne lui a jamais parlé étaient déjà créoles. Sa mère était aussi créol
après survient la longue mala- die de 18 mois dont nous avons déjà parlé . Ce n'est qu'au moment de son mariage, à l'âge
a à grandir qu'à partir de 13 ans, et il fut alors un peu fatigué. On parla de « troubles de croissance ». 266 REBATTU ET
dus à des troubles testiculaires isolés, sont peu nombreux. Nous ne parlons pas des observations publiées par Clerc, par Wi
des résultats probants à cet égard (1). Il parait donc démontré, soit parle côté expérimental, soit par le côté clinique, q
me temps de syphilides tertiaires et de vitiligo, asso- ciation qui parle en faveur de l'origine syphilitique de ce dernier
parle en faveur de l'origine syphilitique de ce dernier. Notre cas parle également dans le même sens, car la syphilis est
ns et les Anglais appellent la maladie de Milroy, quoique Nonne ait parlé le premier de ce cas et l'ait décrit. , Je cr
maladie sont très rares, car dans l'histoire de la médecine, on ne parle que de six familles, dont quelques membres en s
régénératrices. Dans les lignes qui précèdent nous n'avons guère parlé des effets ana- tomiques produits par l'injecti
attaque la malade a pu marcher. Elle est restée 4 mois sans pouvoir parler ; elle ne disait que « concon » A son entrée da
la question à la malade pour qu'elle continue à répondre, car elle parle très brièvement. v Avez-vous eu des convulsions
e dit presque tous les mots, mais ne construit pas de phrases, elle parle nègre. Elle a suffi- samment de mots à sa dispo
La malade a un assez grand nombre de mots à sa dis- position ; elle parle nègre. On lui demande comment elle est tombée mal
matégnité. Combien de temps après l'opération êtes-vous restée sans parler ? Trois ans... petit peu... , Compreniez-vous
ucation des aphasiques consiste peut- être moins à leur apprendre à parler , qu'à mettre en valeur un capital verbal qu'ils
et droitier avec l'éducation d'un enfant auquel on veut apprendre à parler , à lire et à écrire ; le premier a en- registré
lles et aux idées qu'elles dési- gnent. Chez l'enfant qui apprend parler , à moins qu'il n'existe préalablement une lésio
désignent les associations psychiques ; entraîner les aphasiques à parler , à écrire et à lire par tous les procédés dont on
d elle fut frap- pée d'aphasie, et malgré cela elle est restée sans parler pendant cinq ans ; cependant la zone du langage
la première malade qui n'est restée que quelques mois sans pouvoir parler . En effet, chez celle-ci les foyers de ramollisse
estion » au cerveau : cécité, surdité à peu près complètes, langage parlé extrêmement réduit ; depuis cette époque, c'est-à
umière. Il n'entend pas, ou mieux il n'entend que son prénom. Il ne parle pas : il n'émet que des sons incohérents; il n'
Durant des heures entières, le malade qui ne voit ni n'entend, ni ne parle , danse en gesticulant et chantant; il ne pleure
yeu-eun. Il sourit fréquemment et parfois intercale dans son langage parlé des cris étranges, sauvages. Il lui arrive de n
n des mouvements qui mettent en action les muscles de la face, pour parler , rire, pleurer, siffler, souffler, faire la mou
e de la bouche ; soit encore de ferme- turede l'oeil dans l'acte de parler , de rire ou de mouvoir les lèvres ; soit, en gé
t de la commissure de la lèvre gauche, surtout accentuée quand elle parlait ou riait : elle constata elle-même à ce moment un
bouche était très apparente au repos et s'exagérait quand la malade parlait ou riait; il existait une dou- leur sourde au n
en plus, la fermeture presque complète de l'oeil gauche. L'acte de parler n'entraîne aucune modification appréciable de la
les impressions psychiques, les mouvements de la face, les actes de parler , rire, souffler, siffler, renifler, mastiquer,
ésie de la moitié gauche de l'orbiculaire des lèvres dans l'acte de parler , de presser un objet entre les lèvres et surtout
t déviés du côté droit, c'est-à-dire du côté sain. Dans l'acte de parler , au contraire, et dans le rire surtout, l'hémifac
des yeux ou bien encore par les efforts que faisait la malade pour parler , etc... » (t) André-Thomas, loc. cit., p. 1275.
ut autant sinon plus de la méningite que de l'ostéite,-nous voulons parler du Kernig. L'abcès ossifluent bombait à la fois
ale, que tout autant que les troubles de l'équilibre sont augmentés parla position couchée. » En somme, les tuberculome
une absence partielle du corps calleux. Il nous reste maintenant à parler du travail auquel nous faisions allu- sion plus
ut d'équilibre. Son intelligence est nulle; il ne comprend rien, ne parle pas, ne peut manger seul, et porte avec difficult
es ensemble elles forment une unité qui est un 'îlot. Si nous avons parlé plus haut de grosses cellules névrogliques, de ce
es, de ce qu'elles deviennent à un certain degré autonomes, on peut parler ici de l'autono- mie de toute une portion de ti
sont recou- vertes des mêmes cellules épithélioïdes dont nous avons parlé à propos de la figure 2 (de la memhrane réticul
que est continuée immédiatement par d'autres formes dont nous avons parlé plus haut, fai- sant un avec elles; 2° les noya
es cellules endolhéliales d'après Key-Retzius) dont nous avons déjà parlé mais aussi d'un très fin tissu réticulé à maill
pathologique dont nous disposons, nous offre certaines données qui parlent pour la contractilité pathologique du gliaspong
es de la même planche). L'élargissement des os se manifesle surtout parle rétrécissement de tous les trous de la base. Le
XVIII, fig. 2) : c'est dans ces cas surtout qu'on pourrait vraiment parler de platybasie. Sur les côtés,on constate en. même
sur l'image radiographique, comme l'hypertrophie dont nous avons parlé . FI'LTDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE
ar des rétractions musculaires et aponévrotiques sans spasmodicité, parla flexion des orteils, les muscles de la région ant
Il semble donc que nous soyons ici en présence non pas à proprement parler d'une déformation tabétique du pied avec lésions
hyse méningée, ayant en vue, chez le premier, les résultats obtenus parla ponction faite à différents niveaux, chez le xx
ux qui rendent complètement tous les éléments du syndrome dont nous parlons , il n'y aurait qu'une question de degré. - Po
71 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
endant un certain temps, la malade comprit mal ce qu'on lui disait, parla mal, en bégayant, eut de la difliculté à se faire
ent hypertrophié. C'est au niveau de l'exostose dont nous venons de parler que la température locale est surtout considéra
t pas certain ; et dans toutes les observations dont nous venons de parler l'examen microscopique des artérioles terminales
ous croyons pouvoir répondre par l'affirmative. Voici les faits qui parlent pour celle manière de voir. CuIPAULT a décrit u
ec le myxae- dème vient évidemment à l'appui de l'opinion dont nous parlons . D'autre part nous estimons qu'on peut considér
ons bien qu'incomplète (car nous ignorons la quantité de 24 heures) parle pourtant toujours dans le sens de l'hyperthyroï
cence on a noté souvent une accélération de la croissance, fait qui parle également pour 1'liypei-iliyi,oï(lisme et qui e
vec Giiiulamila et DONA la menstruation était peu abondante, ce qui parle plutôt pour une insuffisance relative des ovaires
édi- que qu'on devra par contre ajouter à celui dont nous venons de parler . Il aurait été intéressant d'étudier à l'aide d
radiographie la colonne vertébrale de la malade dont nous venons de parler . Malheureusement cela ne nous a pas été possibl
glutition et de la respiration. Examen de la phonation. - La malade parle à voix très basse, presque aphone. Ce trouble s
observer que chez notre malade la polyomyélite a débuté précisément parles muscles du cou et des épaules, c'est-à-dire par
action régulière et bien coordonnée, ce qui constitue à proprement parler une véritable impotence, bien plus qu'une gêne ca
ellules du cervelet préposées à telle ou telle fonction, épui- sées parle surmenage professionnel, seraient insuffisantes à
e des réactions vaso-motri- ces très nettes, à tel point qu'on a pu parler de centres vaso-moteurs cor- ticaux. M. Françoi
ps, elle souffre d'un nouveau spasme fonctionnel : dès qu'elle veut parler à voix haute, elle éprouve une certaine peine à p
le spasme dans les muscles du larynx qui se produit quand la malade parle à voix haute, en public. Sous l'influence d'une c
était aussi obligé de la faire manger. De même elle ne pouvait pas parler quoiqu'elle comprenait en partie ce qu'on lui d
res, linguales, de ptyalisme, de trou- bles sensoriels. Le malade parle posément, sans se reprendre, sans répétitions, sa
me uniforme. Parfois il hésite, s'arrête, fait des efforts, mais ne parle pas et si on le prie de répéter une phrase qu'i
une phrase qu'il sent difficile,il préfère garder le silence ; s'il parle il est forcé de s'arrêter, les mots lui faisant d
es joues se contractent, le ma.ade paraît faire un gros effort pour parler . Lorsque l'interrogatoire se prolonge, les trou
ir le rire, de faire des efforts pour siffler. Dès qu'il cesse de parler , tous ces phénomènes spasmodiques cessent et l'ex
on prolonge l'examen et si le sujet se sent observé. Lorsqu'il ne parle pas, le malade ouvre normalement la bouche, sa la
x s'éteint, la parole devient presque impossible. Quand le malade parle à voix basse, les mêmes phénomènes spasmodiques
enter ce tableau le malade doit garder le silence absolu. Lorsqu'il parle , la contracture prend une allure spasmodique, pro
s. Il se développa normalement, marcha précocement et à deux ans il parlait assez correctement; la dentition fut nor- male.
ral sont de peu supérieurs à la moyenne. On peut tout de même, ici, parler de micromélie ryzomélique car, relativement, les
selles et à la face, normaux à la tête et au pubis. Nous avons déjà parlé de l'hypotonie articulaire ; cette laxilé articu-
rien de bien caractéristique; le plus grand nombre des observations parlent d'un état intellectuel normal ou légèrement enf
f et sur- tout les données de l'examen radiographique nous semblent parler en fa- veur de l'hypothèse d'une forme non enco
tant de grands esprits et remplit tant de pages. Cette science nous parle d'affaiblissement de l'esprit sans nous dire d'un
ntestée ainsi que la radio-activité dont la biologie n'a pas encore parlé . ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 165' ti
des conditions purement physiques, on comprend que l'on puisse déjà parler d'opérations intellectuelles chez les animaux i
onde dans un état d'inconscience manifeste. Pendant longtemps il ne parle pas ou parle de lui à la troisième personne. Ses
état d'inconscience manifeste. Pendant longtemps il ne parle pas ou parle de lui à la troisième personne. Ses actes réfle
it pas d'idée, n'ayant pas de mot sa disposition et d'ail- leurs ne parlerait pas, puisque l'apparition du langage est postérie
son développement dépend des sensations auditives. Le sourd-muet ne parle pas, parce qu'il est sourd. J'ai consacré une bro
SIONNELLES 193 un bégaiement, surtout marqué, lorsqu'il lui fallait parler en public ; ce bégaiement, qui existe encore, e
2) a observé un cas analogue chez un commissaire-priseur, obligé de parler toute la - journée : depuis quelque temps, chaq
urnellement de ses mâchoires qu'il mobilise avec ses mains. Nous ne parlons pas, bien entendu, des anky- loses articulaires
érations : osseuse et musculaire au cours de la myopathie, ou, pour parler plus exactement, de « l'ostéo-myopatlaie » prog
nt consécutifs aux déformations osseuses. , On a entendu beaucoup parler dans ces derniers temps des théories émises par
on de troubles trophiques sont décrits en grand nombre. Podjapolsky parle de l'appari- tion d'une papule après la suggest
alre fois), montre que pendant l'opération on avait, à pro- prement parler , réséqué l'apophyse transverse de la septième ver
xercices préparatoires sont suivis de la rééducation à propre- ment parler de l'écriture. Voici comment on procède. Le mal
le pouce et l'index ; mais jamais de douleurs vives ni sourdes ; il parle seulement de « gêne », de « raideur » et de « f
, d'origine anévrysmatique. Ce diagnostic paraissait être corroboré parla coexistence d'une hémiplégie droite assez complèt
e delà face et du bras du côté droit, d'aphasie, d'impossibilité de parler . La langue était paralysée, elle ne pouvait la ti
Les troubles de la parole sont intéressants. La malade n'a plus pu parler depuis son ictus; elle peut néanmoins prononcer
nts de déglutition sont difficiles et parfois les liquides refluent parle nez. La moitié gauche de la face est le siège d
gies mi- nimes. S'agit-il là de la forme vaso-paralytique dont nous parlions en , commençant ? Notre avis est qu'il ne faut
us sommes occupés de l'examen anatomique de ces cas, mais nous n'en parlerons que dans un autre travail. La question dont nou
ion plus favorable que celle qui est en général admise. De môme, je parlerai d'une méthode de traitement par des exercices m
oujours donné une explication correcte de ces cas. En 1887, Laurent parle dans sa thèse des douleurs qu'on observe souvent
malade a une attaque de crampe tonique des bras, avec diffilcuté de parler , mais non de respirer, et sans troubles de la con
ntre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 401 ce diagnostic parle naturellement l'anesthésie caractéristique : de l
vail, les observations faites dans di- vers travaux n'ont nullement parlé contre cette conception sur les voies de la sen
se de ces symptômes était la même. De toute façon il n'y a rien qui parle contre cette idée qu'il s'agit, dans notre cas
bientôt. Dans l'ensemble, le résultat de nos recherches nous semble parler en faveur de la méthode de Nageotte pour compte
use pour les cas XXVII et XXIX. L'histoiredu cas XXVIII nous a paru parler , lors de l'entrée à la clinique, aussi hien pour
mes d'une parésie des muscles abdominaux. Ce résultat ne semble pas parler très nettement en faveur de l'idée de Wickman.
es moteurs des muscles abdominaux. En conséquence, nos observations parlent en faveur de l'opinion émise par Wickman. Il fa
nce, et rester loin des siens à l'hôpital. Dans le service, elle ne parle pas spontanément, s'adressant seulement aux infir
avoir des communications directes avec l'au-delà : il raconte avoir parlé une fois avec l'esprit d'un ami mort, et à ce s
à ce sujet il reconnaît que personne ne peut le croire, mais il en parle très sé- rieusement comme d'une chose dont il e
et surtout pour les uniformes des gardes nobles du grand duc ; il en parle avec emphase en décrivant chaque détail de leur
nnaît actuellement tous les personnages no- tables de Florence : il parle de cela avec plaisir mais sans vantardise comme
lle qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales ; State a parlé aussi de lésions tabétiformes de la moelle chez l
ucun symptôme d'hémianopsie bi- temporale et l'aspect de la papille parle plutôt pour un défaut de déve- loppement que po
se (cas deNobl, Fuelis e[Sit'elia, cités par Launois et Roy) ; on a parlé de gigantisme hérédo-syphilitique. Dans notre c
Pelersen, Galewski, constataient que le naevus pouvait être limité parles lignes frontières de Voigt et fondaient t la th
n réalité, le tableau clinique et les lésions anatomiques trouvées, parlent plutôt' en faveur des deux maladies différentes
gérés, les douleurs accusées par le malade à son entrée à l'hôpital parlent en faveur de l'origine nerveuse de son affection.
peu évidents dans les quatre membres. De l'examen radiographique je parlerai ultérieurement, quand je rappellerai les cas an
lle aurait acquis, anatomo-palllologiquement, la forme de coin dont parle Abadie, dans le travail que nous avons cité à mai
e dans le gauche où l'on voit l'atrophie musculaire dont nous avons parlé . On aurait en bloc un syndrome comparable à cel
rapide. Pour ce qui concerne la syphilis osseuse je me réserve d'en parler plus tard. ' Récemment Mocquot et Moutier (No
e fond de l'ulcère, l'absence de bacilles de Koch dans la sécrétion parlait contre une forme tubercu- leuse, tandis que la
rche qui, dans ce cas, avait une importance considérable. Je veux parler de la réaction de Wassermann pour la syphilis. Dè
tout au moins en faveur d'une forme familiale d'ostéite déformante, parlent les observa- tions de Pick, Chauffart, Berger (
t celle du fils. Mais cesparticularités ne me furent pas confirmées parles autres per- sonnes de la famille, de sorte que
son temps à circuler dans la chambre d'une façon automatique et ne parle jamais à ses voisins. Décembre 1901. - B .. tra
atoires. En résumé, nos observations rapportées ici ne semblent pas parler contre l'idée qu'il y aura toujours des trouble
dysphagie est apparue. Le malade a aussi une difficulté prononcée à parler , qui est due à la respiration insuffisante. Il me
n'est point du tout altérée, mais il a une très grande difficulté à parler . Le trait qui domine le tableau clinique, c'est
sion du noyau du pneumogastrique (il est probablement plus exact de parler du centre bulbaire de la respiration que du noy
statistique'aussi bien que l'expérience de Wickman citée ci-dessus, parle en faveur de celle conclusion, que le danger de
s savons maintenant, surtout par le travail de Wickman (comme aussi parle travail postérieur de Leegard) qu'il peut se pr
été, soit très considérable, soit plus ou moins complète. Quand je parle d'une « amélioration considérable », je ne pens
ard elle se limite à un nombre plus restreint de mus- cles, mais je parle ici d' « une amélioration très considérable » pou
de la maladie a été continué avec persévérance. Ces observations parlent en outre en faveur de celte conclusion, qu'on p
t depuis devenue presque nor- male.) Mes observations me semblent parler en faveur de la conclusion, qu'il faut attendre
ques, bain, massage, etc., sont si généralement admises que je n'en parlerai pas. Mais il y a une méthode sur laquelle je veux
celle qui nous occupe et se greffe souvent sur elle : nous voulons parler de l'acromégalie. Il ne faut pas voir dans notr
Franchini) a déjà eu l'occasion de montrer qu'il n'est pas exact de parler d'alcalinité à propos du sang, qui d'après la thé
idéré comme un liquide à réaction neutre. Il est préférable donc de parler de la propriété du sang de s'approprier à un de
sang en gras est supérieur à la normale, de telle façon qu'on peut parler dans notre cas d'un léger degré de lipémie ; ce f
tant pas lié à la présence de sucré dans les urines, on ne peut pas parler de lipémie diabétique. On a souvent remarqué
; les faits suscités pourraient peut-être en être une preuve. Nous parlons de cela avec la plus grande réserve, car les ob
ts si nous ne disions pas qu'en faveur de la théo- rie hypophysaire parlent aussi les cas déjà assez nombreux de cette affec-
La théorie hypophysaire de l'acromégalie et du gigantisme soutenue parles liypopituitiristes (Pierre Marie) et par les hype
Franchini) a déjà publiés sur l'échange matériel des acromégaliques parlent aussi dans ce sens. Mais les altérations de l
ous les faits que nous avons exposés jusqu'ici, nous avons toujours parlé indifféremment d'acromégalie et de gigantisme,
pouse la forme de quelque oiseau fabuleux. Ses voiles sont gonflées parle vent. C'est le symbole d'un retour prochain vers
n symbolique de quelque voeu de colère, d'amour ou de vengeance. On parle , depuis des années, de la suppression des priso
force. Il présente un nystagmus latéral et irrégulier. le malade ne parle plus et ne mange plus depuis deux jours, il refus
bumine. Gâtisme. L'intelligence de la malade est très réduite. Elle parle sans difficulté, et ne présente pas des défectu
gantisme précoce avec polysarcie excessive, se croient autorisés de parler d'une obésité hypophysaire et, prenant en consi
récédé l'atro- phie. Contre la sclérose latérale am y o trophique parlent l'abolition des réflexes profonds supérieurs et
ale des membres au proximal, par la présence de la R. D. partielle, parle manque de lipo- matose et d'hypertrophie vraie
aciaux, Contre la dystrophie musculaire du type Wei-diiing-Hoffmann parlent le jeune âge, l'extension de l'atrophie de la p
la poliencéphalite ordinaire infantile, mais au contraire, quelles parlent en faveur de la conclusion qu'il faut faire une
de la paralysie infantile. J'indiquerai d'abord les raisons données parles auteurs en faveur de cette opinion. Medin s'a
es. Les résultats des recherches anatomiques sur la poliomyélite ne parlent pas en faveur de l'idée que, dans les épidémies
ces trois cas semble être si claire qu'il n'est pas nécessaire d'en parler spécialement. Si l'on regarde les histoires de
r lieu dans les membres supérieurs ; par conséquent, tout me semble parler en faveur d'une polynévrite. Il en est de même
du corps autres que les membres inférieurs. Il serait plus vrai de parler des cas avec paralysie d'un type descendant com
eut être expliquée par une infection par les artères, mais que tout parle en faveur d'une voie lymphatique. La question de
s humaines se retrouvent déjà en germe chez les animaux inférieurs, parler par exemple de l'âme des protistes et montrer la
propriétés animales, mais plus compli- quées et perfectionnées. Ne parlons donc plus de l'àme, de la raison, de la volonté
nt là que des expressions psychologiques sans fondement positif ou, parlons -en le moins possible et en les détournant de le
ésirer l'oeuvre de la chair. On ne connaîtrait pas l'homme si on ne parlait de cette importante fonction. Il s'agit du rest
citations du milieu dépassent les limites vitales, et alors on n'en parle pas. Survi- vent seuls les changements compatib
ue les fins naturelles de l'homme sont celles qui lui sont imposées parla nature de la constitution léguée par ses ancêtres
ar le déplacement et le travail « intelligent » des molécules. Sans parler du mouvement brownien, on peut citer, entre autre
pas d'esprit. L'homme est supérieur aux animaux, c'est entendu. Il parle , il pos- sède deux pieds, deux mains, il en dif
72 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on, ce qui empêche le cours régulier du procès d'association ; nous parlerons de cela plus loin, en appli- quant la théorie d
e mutisme de naissance ne nous semble pas constituer à propre- ment parler un cas d'aphémie, d'aphasie motrice. L'aphémie es
trices et ignorance des mou- vements puisque l'enfant n'a jamais su parler . 2 Ladreit de Lacharrière, in Annales des malad
en- dant, et cette fois, on a pu apprendre au sujet en question à parler d'une manière des plus satisfaisantes On trouvera
er les parents qui, en voyant leur enfant grandir sans parvenir à parler , sont épouvantés à la pensée qu'il pourrait reste
et on pouvait le consi- dérer comme n'ayant pour ainsi dire jamais parlé . Or, dès les premiers instants de la présence d
cet élève dans notre classe, nous pûmes nous convaincre que s'il ne parlait pas, en revanche, il était doué d'un degré d'ou
et surtout de compare- . On enseignait pourtant dès cette époque à parler aux muets par surdité. Il est étonnant que l'on
é. Il est étonnant que l'on n'ait pas tenté d'apprendre également à parler aux deux jeunes muets dont il est ici question. N
Méthode d'éducation suivie avec le jeune D... pour lui apprendre ci parler et pour provoquer autant que possible le développ
us simples. Bien que muet, il n'était donc pas de ces idiots qui ne parlent pas parce que, n'ayant aucune idée, ils n'ont r
ue son insuffisance cérébrale ne lui avait pas permis d'apprendre à parler tout seul. Avait-il néanmoins assez d'intellige
age publié en 1890 par M. le professeur Goguillot : Comment on fait parler les sourds-muels. Archives, 2e série, t. IV.
gane de l'ouïe, à développer l'attention auditive. Pour apprendre à parler , il faut savoir écouter. Comme on le sait, l'ac
les sourds-muets sup- pléent à l'absence de l'ouïe pour apprendre à parler . , 36 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. ou pa
urs de la démutisation, dès la période préparatoire dont nous avons parlé , l'oeil de cet enfant avait été exercé à se fix
pas pour ainsi dire. A présent D... entend et comprend quand on lui parle direc- tement à une assez grande distance; il c
qui ne possédaient que quelques sons inarticulés et sont arrivés à parler parfaitement au bout de quelques années de trai
définie. Mais bientôt un nouveau revire- ment se lit; on en vint à parler de dégénérescence protopathique primilive du fa
et que celui-ci ne peut autoriser à publier, il s'est abstenu d'en parler , parce que, malgré tout, il ne peut oublier qu'
estigation de Moreau (de Tours). Il regrette aussi que l'auteur ait parlé des collatéraux dont les descendants pourraient
té, à savoir : du goût et de la vue. Ces changements, sont exprimés parle même épuisement de la force nerveuse ; cet épui
est son enfant n'arrêtera pas là ses exploits, on entendra encore parler de lui. Et plus tard, sans doute, insoucieuse des
ont été récemment ou sont encore dans nos salles, je voudrais vous parler des rap- ports qui existent entre certains cas
ème nerveux. Ce sont d'abord les polynévrites dont nous venons de parler . C'est ensuite la paralysie générale; on discut
tabétique ou des symptômes de tabes chez un paralytique général, on parle de complication, d'ex- tension, ou bien on chan
rantes identiques, la femme surtout était anxieuse, très hallucinée parlait de criminels qui avaient tué ses enfants, crevé
ps d'homme, ou réciproquement); ce qui n'a pas plusdesens que si on parlait d'une lumière verte vue à travers un verre rouge.
ces deux ordres de lésions sont nombreux ce qui s'explique aisément parles connexions spéciales et importantes qui relient c
t les malades et les aliénés, sera donné, à des heures déterminées, parles médecins les plus anciens et les plus expérimen
ervenir une pro- lifération névroglique quelconque. 11 faut aussi parler de la méningite postérieure. Elle eut ses parti
uge foncé. Dans cette étude du processus atrophique, nous n'avons parlé que de la gaine de myéline. Nous ne pouvons donne
ons-nous, Itenaudin, Auzony, Bartome, Follet, llorel, etc., pour ne parler que des morts. M. Marandon de Montyel oublie qu'à
de surveillance qui n'est d'ailleurs pas dans la loi et dont il m'a parlé est une impossibilité; ces commissions n'étant
encore une fois non seulement cela n'est pas spécifié, mais il est parlé au contraire dans l'exposé de motifs d'une assi
e vésicules sur les muqueuses du palais et de la langue. On pouvait parler à juste titre d'une efflorescence universelle,
chez la petite fille, chez l'homme et chez le petit garçon. Ils en parlent , mais sans la décrire. La seconde période est
u mardi 21 février 1888, où il est dit : « On commence sans doute à parler de l'hystérie chez les jeunes garçons, et le nive
chiques et préconise le bromure et l'hydrothérapie. Ces deux thèses parlent surtout de l'hystérie chez les petites filles ; e
ques convulsives et une monoplégie très rapidement guérie. L'auteur parle de cas nombreux d'hystérie infantile qu'il a vu
Les mêmes considérations s'appliquent.à la maladie des tics ; je ne parle pas ici des grands tics convulsifs avec écholalie
de disparaître sous l'influence d'une nouvelle suggestion. On nous parle de sujets que l'expérimentateur n'aurait pu révei
de son Rapport général sur le service des aliénés de la Seine. Il a parlé de stastistiques étrangères rela- tives à la pr
fesseur n1 : 11RET, de la Faculté de médecine de Montpellier, qui a parlé de l'étiologie de la paralysie générale, qu'il
an a vu leurs rapports, M. Magnan. - C'est vrai; mais je ne puis en parler , parce que nos confrères ne sont pas ici pour d
mal tenue, à plus forte raison un établisse- ment public. On nous parle des aliénés comme on en parle dans les romans;
un établisse- ment public. On nous parle des aliénés comme on en parle dans les romans; on leur prête des sentiments,
ense pas qu'il nous donne comme modèle cet asile d'Ecosse dont j'ai parlé moi-même à la Société, il y a déjà douze ans, e
'y a pas eu d'expériences sérieuses, de faites et cependant il nous parlé de Gheel. Pour ce qui est de la dépense, cela n
RNIER. M. A. Voisin se montre étonné de la façon dont M. Toulouse parle des médecins aliénistes. I ! a assisté aux visite
lret père, des F. Voisin, des Delasiauve, des Bail- larger, pour ne parler que des morts et a pu constater qu'ils con- 1 M
'est vouloir jeter le discrédit sur les méde- cins de France que de parler d'eux comme l'a fait notre confrère. » M. TOULO
endant assez vite rassuré. Car sous prétexte d'Open-door, on nous a parlé de beaucoup-de choses qui n'ont rien à y voir,
fait remarquer que l'ophtalmie névro-paralylique ne peut absolument parler en faveur de l'atfec- tion extra-cérébrale bana
57, pour répondre à ce but. Commençons par le directeur, ou, pour parler plus juste- ment par la direction. Comme je ne
s sage serait de lui en laisser l'entière respon- sabilité. p C'est parler d'or, mais notre confrère peut être assuré que
visite et de sortie pour en arriver à un visa plus sérieux, je veux parler des bulletins médicaux. Les bulletins médicaux
n, n'a qu'un préfet : en marche-t-il plus mal pour cela ? z On nous parle à chaque instant de ce qui se passe dans les as
avantages que présente l'exercice de la médecine à la campagne (je parle ici de la Vendée où le paysan reste attaché au so
la région. L'enfant perdait la voix subitement, il ne pouvait plus parler , il ne se faisait plus entendre, il se faisait
omplètement disparu et la marche était normale. Je n'entendais plus parler de cet enfant, Archives, 2e série, t. IV. 20
pourra bientôt plus mar- cher. Je vous défends désormais de lui en parler . » Mais le mal était fait, la suggestion avait
ndant quelques jours la diarrhée verte. A marché à treize mois et a parlé à douze mois. 1894. 18 août. L'affection pour l
ouvre les veux par instants ; mais elle semble ne pas voir. Elle ne parle pas, alors on m'appelle en toute hâte, je trouv
les bras et les jambes, mais elle est toujours indif- férente et ne parle pas. 3 septembre. C'est-à-dire quinze jours apr
cident, la fillette reprend connaissance, elle entend quand on lui parle et paraît comprendre ce qu'on lui dit, mais l'aph
s, elle ne se souvient pas de m'avoir vu la veille alors qu'elle me parlait bien et semblait avoir pleine connaissance. Bie
e incommodé, sans donner aucun signe d'ivresse. Je n'entendais plus parler de notre petit malade lorsque le 18 mai de cett
que nous avons devant nous, ainsi que l'indique la paralysie, sans parler de. cette fièvre sur la nature de laquelle je n
n cas analogue qui soit signalé dans la science. Ce diabète, sans parler pour l'instant de sa nature, hysté- rique ou no
le de liarseille; ils démontrent qu'il existe une vésanie déterminé parle paludisme. Nos malades sont des -militaires, ap
dans le village habité par le bébé, je trouve la grand'mère qui me parle de mon ancien malade. « Son affection ne s'est
soulevés retombent inertes, ils sont en résolution complète. Je lui parle à l'oreille, elle ne répond pas. C'était du som
e, se met à chan- ter, à danser, quelquefois les yeux ouverts. Elle parle avec une volubilité extraordinaire. On l'interr
elle est sous le coup d'hallucinations, elle pleure, elle rit, elle parle avec une plus grande facilité d'élocution qu'à l'
ée plus haut; elle ne sait pas ce que je veux lui dire quand je lui parle de ces clefs dont elle donnait si bien, tout à l'
la vision, ces muets hystériques qui se mettaient tout d'un coup à parler , que tous ces malades, tous ces infirmes ne dev
sont loin d'être aussi brillants que ceux obtenus primitivement. Je parle ici de l'hystérie virile. Si j'ai une telle foi
e se trouve dans un état d'excitation et d'irritabilité extrême, il parle , profère des vociférations et demande , continu
e d'une crise plus violente que de cou- tume, il resta sans pouvoir parler ni comprendre ce qu'on lui disait. Cet état d'a
te d'une attaque antérieure, il était resté trois mois sans pouvoir parler . Il était difficile de rattacher des acci- dent
fut remplacée par une plaque d'argent. Après l'opération, le malade parlait et comprenait ce qu'on disait. 11 sortait bient
suivant laquelle il y aurait un effet mental produit sur le malade parla ténotomie; 9° il conteste l'assertiou du Dr Peter
ives. - Le caractère principal de l'idée fixe patho- logique - nous parlons de l'idée fixe jugée telle, car l'idée fixe méc
cachent leur étal d'âme et se renferment en eux-mêmes, évitant d'en parler jusqu'à leurs plus proches. Ce n'est que lorsqu
e s'atténue et disparaît. Quand la guérison est complète, le malade parle sans émotion actuelle des angoisses qu'il a épr
ette un peu déviée à gauche. Il ne reste plus de la stomatite, dont parle notre patiente, qu'une légère gingivite localis
n est loin encore d'avoir élucidé le mode de cette intoxication. On parle de l'altération de la nutrition générale à caus
les et la force musculaire sont suffisamment conservées ; 4° Sans parler de l'hystérie simulant le tabes et de l'associati
a été fourni, après concurrence établie entre divers fournisseurs, parles magasins du Bon Marché. Après avoir fait l'élog
a été aliénée. Au bout d'un mois de calme absolu, eile est visitée parle mari^qui trouve son état très satisfaisant et d
uelque cas la névralgie seulement peut tuerie malade. - 2. L'auteur parle ensuite de lï £ chialgie (com- munément sciatiq
, composé par le D''chimiste Joseph Pilferi, de Rome. - 5. L'auteur parle sur les motifs qui l'induisirent à essayer cett
paux, encouragés et aidés par les juriscon- sultes et les médecins, parles sociologistes et les moralistes. Les moyens qu'
amène si tard ? » Ce gentilhomme, étant seul et en un lieu inconnu, parlait le plus doucement qu'il pouvait : « Mon ami,
ion correctionnelle. M. Vidal-Naquet rend compte des notes obtenues parles petits Marseillais envoyés en maison de correct
73 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Nous disons que la sclérose équivalait à une section : à proprement parler rien n'équivaut à une section. Mais, au seul po
ENT DES MALADIES NERVEUSES. 19 sont passés au second plan, et si on parle d'elle parfois dans les traités spéciaux, c'est
ique des cas traités par la suspension, et publiés jusqu'à présent, parle suffisamment en faveur de cette méthode. Notre
n a qu'un très petit nombre qui répondent exactement au type décrit parles inventeurs. Osier dit même n'en avoir jamais re
'ayant beaucoup affaiblie, commença à éprouver de la diffi- culté à parler , puis de la gêne et de la fatigue respiratoires.
t provoquer le processus d'irri- tation vasculaire également. Ainsi parle M. Anphimow, en s'ap- puyant sur la bibliograph
ajet, Jean excité, faisait mine de vouloir sauter du wagon, mais ne parlait pas, et restait debout, pitoyable. Jean avait d
e sans aucun motif. Son attitude est étrange jusqu'au 25 mai, il ne parle pas ou répond seulement «oui, oui ». Le 11 juin
ne déformation rachilique du membre infé- rieur avec hernie crurale parla thyroïdisation. M. 1\I £ IGE conteste dans ce c
ne produit aucune élongation de la moelle, mais agit sur la moelle parle redressement de la colonne vertébrale. L'action
nvénients, qui ont formé la série des contre-indications, dont nous parlerons plus loin. Le 17 septembre 1901.- La malade dor
e il faut faire une place à l'action des produits toxiques sécrétés parla néoformation sur les éléments nerveux. Militent
e que des affections somatiques ont été améliorées ou guéries, soit parla suggestion, soit par le choc émotionnel. Traite
Casper, d'un cas d'éreuthophobie pure, attendu que Westphal n'en parlait que sommairement dans sa communication et qu'il
ougeur sont deux choses bien différentes; et s'il suffisait d'avoir parlé de la première pour avoir droit à la paternité
u, en août 1897, et non à celui de liouen, en août 1890, qu'il en a parlé . Notre ami M. Uartenberg lui-même, par un lapsus
eux humides, voilés. Parfois, je me trouble, je dis des bêtises, je parle z à tort et à travers, je tousse, je cherche à
yeux et les oreilles. Impossible. Si je suis en compagnie, alors je parle , je m'étourdis. Si le sujet de conversation s'y p
ne rougis pas, tu vas rougir, etc., et je rougis beaucoup, qu'on me parle ou qu'on ne me parle pas. Cependant, si une dis
rougir, etc., et je rougis beaucoup, qu'on me parle ou qu'on ne me parle pas. Cependant, si une discussion intéressante
. Louis, né à terme, élevé au sein maternel, marche de bonne heure, parle et fait ses dents un peu tard ; ne commence à r
s après, à propos d'une dispute, il perd connaissance, se débat, et parle de l'effroi que les boeufs lui ont causé. Il ne
passant par le nombril. Louis exécute une véritable danse du ventre parles mouvements de projection qu'il imprime aux inte
où je suis ? M. P.... tu vois, encore un peu, je mourais. Eh ! i parle français. Ici, nous sommes Arabes. A ce moment,
ous fous au clou -f- Dites, Monsieur le gendarme, il est défendu de parler entre soi - Nous avons peur du complot + Quelle
core là-bas dans le fond quelque chose qui n'est pas débloqué +l'on parler a changé, tu es devenu fier ! Je suis le plus h
s intenses avec envie de dormir. Louis ? Pugnetta, Caraco : A qui parles -tu ? A un petit Espagnol -j-J'ai trois ans demi z
ue), les yeux ne me font plus mal + Crise z Louis ne m'entend plus, parle des mouches d'Afrique, fait une nouvelle régres
le + Grand soubresaut -j- Je, rêvais que j'étais en Afrique, que je parlais aux Arabes, à l'instituteur, j'entendais l'instit
je l'ai vu, il me semblait que j'avais les yeux ouverts. M. L.-A. parle à Louis qui l'entend et lui répond. - C'est à l'o
ralysie progressive; par le professeur li. v. KRAFFT-ËBiNG; traduit parle D1' W. Alfred CORN. (The mne- j'ican Journal of
ngendré le projet suivant : a il irait demander à son professeur de parler pour lui aux autres maîtres qui lui avaient mis
érale s'insinuant imperceptible- ment, et ne devenant manifeste que parles désordres psycho-phy- siques qui lui appartienn
lie systématisée aiguë ou subaiguë. Ainsi en est-il de ce persécuté parles dreyfusards, dont la conduite n'est pas en rapp
nt plus ou moins rapidement. En traitant les racines et la moelle parle procédé de l3ousch, on obtient des résultats né
elles données, qu'il appuie de faits expérimentaux, il peut ensuite parler en connaissance de cause de la nature des émoti
rer. Si cela allait au gré de nos désirs, nous étions heureux, nous parlions d'elles, etc. J'avais encore une disposition pa
ver : cette manie s'accrut, et si, par exemple, je voyais quelqu'un parler librement à plusieurs per- sonnes, je me transp
plus irri- tante que la réalité, car il m'était encore possible de parler aux hommes, ce dont j'étais incapable dans ma r
gré tout d'y ressentir cet épouvantable regard des hommes dont j'ai parlé si souvent; même dans ce milieu si bon, si droit,
à Berlin et nous avions formé le projet de faire route ensemble. On parlait beaucoup de notre voyage projeté, d'excursions
à la tète ; je restais de longues heures sans dire un mot et si je parlais , je me faisais violence pour ne pas tomber dans
et en réalité, la série des crises convulsives a été peu influencée parles injections de cultures faibles ou fortes en toxin
tes, la vie conceptuelle est pauvre : il suffit de leur apprendre à parler , à articuler par des procédés artificiels. II
liaires et beaucoup d'autres. Ces sujets ont généralement appris à parler tard ou ont longtemps parlé très indistinctement.
. Ces sujets ont généralement appris à parler tard ou ont longtemps parlé très indistinctement. Il y a trois espèces d'ag
sychique prolongé auquel sont soumis les enfants qui ne peuvent pas parler ou qui parlent indistinctement. III. Un délug
ngé auquel sont soumis les enfants qui ne peuvent pas parler ou qui parlent indistinctement. III. Un déluge de mots arriv
. Inversement, l'incoor- . dination des mouvements nécessaires pour parler peut tenir à ce que l'individu n'ayant pas à sa
bien portants, il y a sur- compensation de la mydriase consensuelle parle myosis de l'orbi- culaire. Chez le paralytique
écoce. Il est sous la dépendance d'un trouble du jugement qui, sans parler de la prédisposition vésaniqne, est lui-même fonc
bserver que mon idée n'est pas basée sur les statistiques dont j'ai parlé , je reconnais même que l'interrogatoire et l'ex
t ouvrage, outre les photographies de lépreux -dont nons avons déjà parlé , renferme des photographies de moulages de sain
e en dehors de l'intervention du déposant, mécaniquement pour ainsi parler , et que la volonté de celui-ci n'y est pour rie
mènes dont la nature semblait peu claire jusque-là : nous voulons parler des ecchymoses spontanées et des accès de fièvre
malade, aussi bien que les ecchymoses spontanées dont nous avons parlé plus haut et dont la genèse s'explique sans doute
très sombre, il détournait la tête et ne répondait pas lorqu'on lui parlait . Man- geant peu, il refusait parfois la nourrit
e senso- rielle de Wernicke. Bientôt elle ne répond même plus et ne parle plus spontanément, tout en protestant énergique
ets, faiblement colorés parfois. La réaction, dont nous venons de parler , nous permet de cons- tater, sur des préparatio
CLINIQUE NERVEUSE. un seul côté, à l'hémianopsie bilatérale, qu'on parle d'hémia- nopsie verticale ou horizontale, suiva
ormes : tout à coup, il lui arrivait de rester inerte, sans pouvoir parler , et sans comprendre ce qui se disait autour d'e
ons de la vue. Elle ne pré- sente pas de troubles aphasiques : elle parle , elle écrit, elle entend et elle lit très bien.
ne sorte d'absence, au cours de laquelle elle cherche les mots pour parler et ne comprend pas ce qu'on lui dit. D'autre
roie aune extrême prostration physique et intel- lectuelle, elle ne parlait plus, elle ne reconnaissait plus les personnes
et de petit mal, diminution de l'intel- ligence et de la mémoire - parlent en faveur de l'existence de lésions corticales
culté de comprendre ce qui se disait autour d'elle et la faculté de parler . Au bout de trois heures, elle était revenue à
ement, elle a de nouveau perdu la faculté de comprendre et celle de parler . Cette fois encore, elle n'a eu ni convulsions,
damment des accès de douleurs dans les jambes, dont je vous ai déjà parlé , et qui laissaient à leur suite une hypéresthés
convulsions, elle a simplement perdu la faculté de comprendre et de parler . Au sortir de cet accès, qui a duré environ dix
ont consisté en une perte subite de la faculté de comprendre et de parler . Au sortir de la troisième attaque, beaucoup pl
nt être limitées à l'hémisphère gauche. Différentes circonstances parlent en faveur de ce siège unilatéral du processus mor
origine est représenté par ces mêmes amas gris, mais principalement parles corps genouillés externes, et leurs lieux d'abo
a dû le transporter dans son lit. Revenu à lui, il ne pouvait plus parler ; il ne. pouvait pas d'avantage marcher, à caus
i que vous allez vous en rendre compte de visu, le syndrome réalisé parle malade se résume toujours encore dans cette tri
sylvienne. En effet, chez notre troisième malade, les présomptions parlent plutôt en faveur d'une lésion sous-corticale, c
istes, les trois amas gris centraux, représentés, de chaque côté, parle tubercule quadrijumeau antérieur, par le corps ge
iques d'une haute importance en séméiotique mentale. Nous voulons parler de la variété d'hallucination décrite par les d
nsées. Elle dit alors qu'on l'expérimente, qu'on l'hypnotise, qu'on parle en elle. Elle s'ima- ginait que toutes les pers
es idées qui lui viennent en elle, parfois elle remue les lèvres et parle ses idées, ceux-ci lui répondent. Elle se cause
Cette origine exogène est exprimée par la malade qui prétend qu'on parle dans elle : « J'ai entendu quelque chose, ajout
ose, ajoute-t-elle, souvent comme si c'avait été en moi que l'on me parle ». Parfois elle discute en elle la valeur de se
onner. Cette propriété privée est donc maintenant publique. « On me parle en moi-même, dit-elle; on connaît ma pensée; ce
sychomotrices bien caractérisées. La malade entend des voix qui lui parlent 480 PSYCHOLOGIE. en elle-même. Elle ne locali
e du corps le siège de ses voix, mais elle affirme qu'on lui < parle . Elle fait même plus, elle remue les lèvres pour
'on lui < parle. Elle fait même plus, elle remue les lèvres pour parler les idées des personnes qui causent en elle-mêm
pensées parlées n'en persiste pas moins. Ce sont des personnes qui parlent par la bouche du sujet, qui le font penser, qui
e de notre activilé mentale se manifeste sous la forme d'un langage parlé intérieurement qui se poursuit dans notre for i
de plus en plus inébranlable, qu'une voix étrangère à la sienne lui parle et se glisse dans sa pensée ; et le mirage qui
raisonnement logique, au moins dans ses prémisses, il dit qu'on lui parle et il arrive à distinguer et à décrire toute un
aint de violentes douleurs dans les reins (douleurs fulgurantes) et parle d'aller se noyer ou de s'étran- gler si elles n
re des choses insensées. Il rit sans motif. 11 ne travaille plus, parle de se suicider, se promène presque nu. Il veut
i l'insultait tout le temps, en la menaçant de la mort, si elle ose parler de sa présence. L'insolence de la vieille devin
très accentuée. - Un cas d'¡di9- tie myxoedémateuse, très améliorée parle traitement thyroidien.- Deux observations de co
ces et d'ignorance des mouvements, puisque l'enfant n'a jamais su parler . L'auteur met en évidence l'intérêt pratique que
du langage intérieur (les enfants sont comme ceux qui commencent à parler ), et ceux de l'articulation; les troubles moteu
« Votre enfant ni sourd, ni nettement idiot arrivera probablement à parler par un traitement approprié ». Au point de vu
74 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ans « l'Hebdomadaire Illustré » ; presque tous les journaux et revues parlèrent , se montrant « eusa-pistes » ou « anti-eusapistes
termine toujours la série des phénomènes » (1). C'est ainsi que, sans parler des observations de ce fait dans l'obscurité, 12
ouché à la main, au visage, aux parties sans vêtements. » M. Glowacki parle d'un attouchement au dos, quand il tenait les deu
e par le manque de table, tomba dans l'état de trance plus profond et parlait au nom de John; d'une voix changée : « Vous m'ave
nerveuse, dont on lui dissimule la nature. Depuis lors, il suffit de parler devant elle d'une maladie quelconque pour que son
faction que ce distingué confrère est complètement rétabli. Grasset parle aussi d'un médecin auquel la peur du microbe, soi
Beard avait également observé un prédicateur célèbre qui, en chaire, parlait avec beaucoup d'éloquence et d'autorité, mais qui
s avoir prévenu les parents et la malade, de choisir son jour sans en parler à qui que ce soit, si ce n'est aux aides qui peuv
garçon de 16 ans, A. D..., en nous disant que cet enfant ne peut plus parler ; il prononce à peine quelques mots, mais à voix
le comprendre. Quand on lui en fait l'observation et qu'on lui dit de parler plus haut, il fait visiblement des efforts pour y
dant un jour un air hébété et est resté toute la journée sans pouvoir parler . Celte fois-là la parole lui est revenue spontané
avail. Hier matin, en sortant de chez lui, il était bien portant et parlait comme d'habitude. Dans la matinée, il s'est trouv
chez lui comme d'habitude, il parait gai et a bon appétit, mais il ne parle plus. L'après-midi, il retourne ù son atelier o
journée. Rentré chez lui le soir, il ne se plaint de rien, mais il ne parle pas. On lui fait prendre un bain de pied sinapisé
que sa voix est redevenue ce qu'elle était autrefois et qu'il pourra parler sans difficulté dès son réveil. Je provoque le
l. Je provoque le réveil au bout de quelques instants et je le fais parler à haute voix. Il fut revu quelques jours après
nt, regarda les voisins et murmura qu'elle ne voulait pas être saisie parle dos ; elle en soupçonnait son voisin de l'autre c
éance fatigante. Eusapia se reposait un peu et commençait à rire et à parler , le Dr Harusewicz lui présenta six enveloppes, qu
ifficile ; c'est d'abord le soulèvement de la table, dont M. Reichman parle dans les Nos 358 et 359 du journal cité. « Je fus
ssi avoir une durée et une importance telles que l'on soit autorisé à parler d'un dédoublement de la personnalité, c'est-à-dir
nes personnalités du moi. D'après mon expérience personnelle, un fait parle encore en faveur de cette opinion, c'est que les
en question. Cette méthode d'opération prévient tous les dangers dont parle Zjeussen ; elle laisse intacte pour le patient la
bout de quelques secondes de l'action continue de la lumière reflétée parle bouton ou de la flamme d'une bougie mise à sa pla
de plus, dans le concert déjà si discordant des hypnotiseurs. Je veux parler de cette phrase, sans ambages, énoncée presque en
nt (au moyen de la suggestion hypnotique). En faveur de cette opinion parle le grand nombre de succès obtenus de cette façon.
s après, publiait dans un journal de Pesth, un article dans lequel il parlait avec enthousiasme des expériences de M. Neukomm.
les interpelle sur quelque chose, ils répondent ; mais tandis qu'ils parlent sous l'influence de l'impulsion donnée à leur esp
s faits à, l'appui de cette sorte d'état passif physiologique dont je parle . Autrefois, lorsque je voulais savoir si les suje
olonté, pendant qu'on est sous le court empire des passions dont je parle , perd du coup son pouvoir pour calmer les idées q
Mais, en dehors de quelques cas rares, tels que ceux dont je viens de parler , les folies partielles du même genre que j'ai obs
dente fait voir que M. Br. Reichman ne donne aucune explication et ne parle même point des phénomènes suivants : les changeme
el et conduit infailliblement au but. Dans ce sens seulement, on peut parler d'opérer des guérisons d'hystéries, de neurasthén
pas de réponse, ou réponse retardée sur les questions, difficulté de parler . Deux symptômes surtout fixent l'attention: c'est
mal. Je note encore que dans les expériences de Varsovie, Eusapia ne parlait presque plus de « John King », qui céda la plac
attendue et, sans connaître notre langue, comprend souvent ce dont on parle par la gesticulation et le jeu des visages. Ajout
HRONIQUE ET CORRESPONDANCE Un suggestionneur Russe. On a beaucoup parlé de ce fameux Père Jean, qui s'est présenté à Liva
du réflexe patellaire. Le même auteur cite également un malade dont parle M. le professeur Bouchard... Devenu diabétique so
t et avec beaucoup de bon sens : « Je ne t'ai pas tuée, puisque tu me parles ! » « A qui fera-t-on croire, ajoute M. Liégeoi
ire dépassent les bornes où elles sont renfermées à l'état normal. Ne parle-t -on pas d'écoliers qui, dans des accès de somnambu
it, n'adonné à boire à personne; elle ne sait pas de quoi on veut lui parler . » Encore une fois, tout cela me prouve que Mme
du sulfate de quinine, mais sans aucun résultat. Dans l'entourage on parle déjà d'une tuberculose. C'est dans cet état que l
e le travail, ce sera un garçon. Autre procédé. Quand le premier-né parle pour la première fois, s'il dit papa, il aura un
eude (autre qualificatif de l'ours qu'on représente enchainé). On y parle aussi du Pakkeman (l'homme qui prend). Le Slokkeb
mer un sujet en automate assassin. J..., cette fille dont j'ai déjà parlé , est l'exellente somnambule à qui mes expériences
our un instant, par un de ces dédoublements de personnalité dont j'ai parlé , après d'autres, dans mon ouvrage sur le Sommeil
nous l'avons été de Claude Bernard. Charcot enseigna d'abord (je ne parle ici que de son enseignement officiel, car avant d
la fin. En professant, il était devenu un professeur remarquable, il parlait lentement, n'hésitait jamais, trouvait l'expressi
jamais, trouvait l'expression toujours juste, souvent pittoresque. Il parlait sans aucune note. Cependant il n'improvisait pas,
eait de les relire. Autrement dit, il avait besoin de penser avant de parler , de préciser sa pensée en lui donnant une forme.
lles les lésions et les symptômes étaient soigneusement superposés. Parlerai -je de ses travaux sur les névroses ? Seulement po
rise un corps neutre voisin. II en était ainsi de Charcot, soit qu'il parlât , soit qu'il restât silencieux, car il n'était pas
M. Durand (de Gros), qui était de retour des Etats-Unis depuis 1853, parle de « phénomènes extraordinaires et nouveaux, dont
ation probatoire avait été agréée et qu'un décret de la reine, publié parla Gaceta de Madrid, ordonnait qu'il fut sursis à l'
u moins ressemblants, à l'appui de la présente démonstration. Pour ne parler que d'une seule forme de changement de ce genre,
etite voisine qu'il avait attirée dans sa maison. Mais l'enfant ayant parlé à ses parents de ce qui lui était arrivé, ceux-ci
et que l'on n'exécute que dans certains états de folie. Quant à ne parler que du sommeil ordinaire, il y a déjà des preuves
as le plus souvent les personnes qui l'entourent et même quand on lui parle on l'entend dire : « Je ne vous connais pas. »
s amygdales. Le palais est très voûté, ce qui fait que la malade ne parle pas distinctement. L'appétit n'est pas bon, et il
nie inutile ? Au contraire, qu'on se hâte de l'enterrer et qu'on n'en parle plus. » Les idées émises l'an dernier à Lyon, p
causeur charmant. Je restais donc avec mon expérience isolée; je ne parle pas de celles où je n'eus point de part; si proba
constitue en quelque sorte comme le subtratum ou la trame. Ainsi nous parlons d'un arbre et mentalement nous voyons un arbre, n
nnent au type décrit par Charcot sous le nom de « moteur ». Le moteur parle mentalement, sans remuer la langue, les mots de s
id. Verbo-auditive id. id. entendu id. i) id. Verbo-motrice id. id. parlé id. i) id. Verbo-grapbîque id. id. écrit id. i)
? On sait que Charcot a découvert que tout homme lisait, entendait ou parlait les mots de ses pensées ; de là les types du visu
tention. Je m'explique: M. Pickmann est certainement verbo-moteur (il parle les mots de ses pensées, et, moteur, il agit ment
ée deux statuettes ; vous vous en emparerez avec adresse, après avoir parlé de choses et d'autres, et les emporterez cachées
es choses, au moment même, me parurent suspectes et à éclaircir. J'en parlai à M. Liégeois (auquel je fis part de ma déconvenu
ême après une seule attaque et qui sont restées aliénées. (1) Je ne parle pas des cas où, plusieurs attaques se succédant,
lle confère enfin ce titre de docteur ès-sciences biologiques dont on parle tant. Mais qu'on cesse cette ridicule et piteuse
nt utiles pour comprendre les accidents des hystériques. Je dois vous parler des idées fixes, qui jouent dans la pathogé-nie d
ns la rue elle prétendait l'entendre qui montait chez ello et qui lui parlait , nuit et jour; elle lui adressait de tendres disc
ibrations matérielles, comme les petites poussées des.mains dont j'ai parlé , celles éthériques ou autres que l'on est réduit
75 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amais d'ictus. Ce matin seulement la malade s'esl aperçue qu'elle parlait plus difficilement et éprouvait une certaine gê
ention des cliniciens. Toutes ses parties ont été étudiées. Nous ne parlerons que des lésions du nerf optique et de la rétine
était troublée chez les malades atteints de paralysie générale. Il parla aussi d'un oedème péripupillaire, se présentant
aux l'apparition du zona, du pemphigus et du purpura. » - Bail en parle également dans ses leçons, mais c'est son élève
raître lorsqu'il- regarde à nouveau fixement la personne qui lui parle ; de là son attitude. Il n'a pas de signe objectif
s, personnes de la clinique, complotant contre elle (c'est elle qui parle ), ne lui ont fait que du mal. Les infirmières o
tude sur la lecture de la cellule de Purlcinje (écorce céribelleux) parla méthode de Nissl (bleu de méthylène) chez le lapi
bre de parties dont le développement est certainement anormal, sans parler des petites irrégularités de structure ainsi de
on membre inférieur du côté droit paralysé est animé, pendant qu'il parle , de mouvements particuliers : la cuisse se soul
ire qui alors perdrait toute valeur syndromique. L'observa- tion ne parle ni de l'excitation ni de l'insomnie, si fréquente
is mots, pas haut pourtant ; puis durant quelque temps elle pouvait parler encore en chuchotant, mais bientôt elle perdait
r, sont capables de s'effacer et de disparaître. Ce fait à son tour parle en faveur de ce que le cas donné, malgré ses pa
osseuse, sur la face antérieure de la 4° ou 5° cervicale. La malade parle difficilement et à voix basse; il n'y a ni lésion
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' qu'on examine la malade ou qu'on lui parle ; il est limité au côté et prédomine au membre s
ord inférieur de la cage, thoracique, en bas, et la ligne qui passe parle mamelon et le'bord supérieur de l'omo- plate, e
parole est hésitante et embarrassée. Les lèvres tremblent quand il parle . Les pupilles sont inégales. Notre malade a eu
le. Inégalité pupillaire. » C'est un homme grand et maigre. Il nous parle , le sourire aux lèvres : il est riche, a des mi
n'insiste pas suffisamment. Dans sa thèse d'agrégation, M. Arnozan2 parle des fractures qu'on observe chez les aliénés, e
tte époque, on a remarqué que 11-e M... Clara perdait la mémoire et parlait de fortune imaginaire. Elle pesait 81 kilogramm
E COMPLEXE D'UN ALIÉNÉ (gigantisme, féminisme, cryptorchidie) ; PARLES DOCTEURS Samuel GARNIER, Médecin en chef. E
loppé d'une vaginale imparfaite. Les glandes dont nous venons de parler se continuent par un cordon contenant des vaissea
ntes plus ou moins méconnues ; 5° enfin, elle est guérie facilement parle traitement des idées fixes elles-mêmes. » - A.
Les causes sont aussi nom- breuses et aussi inextricables. Quand on parle des causes de l'alcoo- lisme c'est bien d'un en
rie, t. V. 16 242 hygiène sociale. cussion infinie qu'il faudrait parler , jusqu'au moment où l'on se trouve face à face
chèvement, mais il est grandement désirable tout au moins qu'on ne parle plus d'y colloquer des buveurs. C'est là qu'on
t de sortie avec le dossier administratif, lepropre dossier dont je parle , en attirant mon attention sur le fait que le mal
e transmettre aux médecins tous les documents dont nous venons de parler . B. BIBLIOGRAPHIE. IV. Arclaives d'anthropolo
nger social et on ne tardera sans doute pas à entendre de nouveau parler de lui. N'est-ce pas une nécessité pour lui et po
détenir compte de la déposition du médecin qui, étant spécialiste, parle en toute autorité. Enfin, pour les passionnels
plusieurs reprises; elle avait marché tardivement, elle n'avait pas parlé distinctement avant trois ans, et elle avait eu d
causait toujours une répulsion violente, et lorsqu'elle entendait parler de l'éventualité du mariage elle éprouvait une ag
fille de dix-huit mois, très belle et bien portante, qui marche et parle . - Rien à signaler dans le reste de la famille
ut victime. Quant à la mère, elle perdit con- naissance, le médecin parla de congestion cérébrale, lui fit prendre des ba
tête et le tronc toute la journée ; se déchausse constamment. Elle parle , mais ne prononce bien que les mots a maman » et
lumineusement le D1' Belval au Congrès de Bruxelles, la presse qui parle si hautement de son sacerdoce; qui revendique l
grosses lettres sous le titre des sociétés de tempérance : ici l'on parle mais on agit. Agir ? Mais comment ? Ici encore,
arle mais on agit. Agir ? Mais comment ? Ici encore, l'expérience a parlé . Rien ne vaut, rien ne remplace même la propaga
grande révolution à accom- plir, celle qui doit amener les hommes à parler pour dire quelque chose, à conformer leurs acte
nce totale dont le but est tout spécial (relè- vement du buveur) on parlait au pays d'un sacrifice individuel à faire sur l
lienist and neurologist. E. B. XXXVIII. LE problème psycho-moteur ; parle D1' H. Nichols. Etudiant les relations du proce
.) E. B. XXXII. DES variétés CLINIQUES du délire de persécution ; parles D's TATY et Toy. D'un long et intéressant mémoi
il ne l'entend pas non plus, puisqu'il est en lui. Mais il le sent parler par sa bouche (hallucination ver- bale psycho-m
la vient ! 1 Il me semble que je suis morte... ; il est vrai que je parle , que je marche, que je travaille, mais c'est co
us venons de citer est assez typique à ce point de vue, car il sent parler ses poissons. Il n'entend rien dans les oreille
'exemple le plus simple d'un prolongement ner- veux nous est offert parla cellule périphérique des nerfs des sens, par ce
di- nairement en même temps que les troubles aphasiques dont j'ai parlé plus haut, en même temps aussi que l'anesthésie
uite de cette sorte « d'état de mal hystéro-épileptique » dont j'ai parlé plus haut, et qu'elle a disparu brusquement au
dépendance de la syphilis cérébrale. En faveur de cette supposition parle non seulement l'absence d'autres éléments étiol
-croisent; et d'autres noyaux, notamment de celui du droit interne, parlent des filets radiculaires qui ne s'entre-croisent
et Grasset, dans son rapport sur le traitement du labes (1897), ne parle qu'en quelques mots de l'appareil de Hessing, com
décrit, il y a environ vingt-cinq ans, les lésions dont M. Ballet a parlé dans la dernière séance; elles ne sont donc pas
a paralysie générale. Elles ont été découvertes par M.Magnan,qui en parle dans sa thèse, et plus tard admirablement étudi
ochais à M. Mabilte de faire une pétition de principe quand il nous parlait de lésions diffuses de syphilis, et je lui dema
e à Baixas, se présentait hier à l'évêché de Perpignan, demandant à parler à l'évêque pour se plaindre de prétendues injus
tenant des propos incohérents. q Des employés de la voie, appelés parles témoins de cette scène, eurent toutes les peine
r nous a paru intéressante par sa structure assez parti- culière et parle grand nombre et la disposition de ses métas- ta
la sensibilité offraient une forme assez particulière caractérisée parla dissociation entre les seaasibi- lités cutanées
xactement dans larégion assignée au centre dilatateur de la pupille parles partisans de l'origine médullaire. Ace niveau l
n'avoir plus de corps. Quelques- uns comme le malade de Lcuret, ne parlent d'eux-mêmes qu'à la troisième personne. ». La
tions ancien- nes ; le malade doute seulement des gens dont on leur parle sans les leur montrer, alors qu'ils nient forme
séquence fatale d'une altération cénesthétidue primi- tive. C'est parla perception obscure inconsciente, mais continue,
ocales réitérées qui font croire aux malades que les esprits impurs parlent par la bouche, et que ce sont eux qui vomissent
dit qu'ils ont coutume de s'introduire dans le corps des gens et de parler par leur bouche... Il en cite des exemples où l
quand il porte sur la peau des signes faits par le diable, quand il parle tout seul, qu'il se dit damné, qu'il demande à
, des paroles inintelligibles. - Le diable, d'après Villis', peut parler par la bouche des énergumènes, « en s'insinuant
on lorsqu'il reste pendant des intervalles plus ou moins longs sans parler , sans prendre de nourriture, et qu'il entend pa
r ce qui doit arriver, de deviner la présence de choses cachées, de parler des lan- gues qu'il n'a pas apprises et qu'il n
allucinations auditives ordinaires, entend des voix intérieures lui parler : « Ce sont des mouvements qui se font en moi q
haut; une autre âme est entrée dans la sienne, elle est obligée de parler sa pensée et cause seule tout le temps '. Il y
uet entend une voix épigastrique : « C'est comme si c'était moi qui parle ; j'ai des mouvements dans les lèvres, comme un
ue remuer toute seule. » Elle a d'abord été dans l'impos- sibité de parler au confessionnal, puis elle a dit des gros mots
ans un langage incompréhansible. C'est alors, dit-il, le diable qui parle par sa bouche, il s'établit entre le démon et l
e ajoute : « Ce n'est pas moi qui vous dis cela, c'est l'esprit qui parle : vous comprenez bien que je ne suis pas capabl
ifférait de sa voix ordinaire. Le ton de cette voix, quand l'esprit parle , diffère toujours un peu et quelquefois même to
. Nicole Aubry, de Vervins, est hantée par un spectre ; l'ombre lui parlait intérieurement et exigeait impé- rieusement que
- rieusement que l'on fit des aumônes et des pèlerinages. La voix parle dans la poitrine, lui indique quelquefois d'avanc
ngon qui avait été atteinte une des premières, se mettait parfois à parler tout haut ; elle n'ignorait pas alors qu'elle a
qu'elle articulait des sons, mais il lui semblait qu'un autre être parlait dans son intérieur. Cette religieuse se sentait
dit pas textuellement que le diable se servait de sa langue pour parler , mais il lui semblait que les muscles de sa poi-
ù je suis est telle que j'ai peu d'opérations libres. Quand je veux parler on m'arrête la parole ; à la messe je suis arrê
à l'état chronique il se systématise, se cristallise, si l'on peut parler ainsi, comme le délire des persécutions. Nous
longitudinale postérieure. En tout cas, du noyau du moteur externe parlent un assez grand nombre de libres qui traversent la
tion a été défectueuse. « Selon lui, il est possible que le langage parlé , tout en étant un acte conventionnel acquis, pr
'ancêtres qui, depuis des milliers d'années, ont employé le langage parlé . Pour le langage écrit, bien plus conventionnel q
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 485 le langage parlé et dont l'usage, pour chaque individu pris isolé-
r de ces actes est sous la dépendance évidente du centre du langage parlé ; quant au second, il s'opère par l'inter- média
nt à la fonction du langage, il se refuse à admettre que le langage parlé procède de centres préformés, tan- dis que le l
it relève de centres adaptés. Selon lui, la fa- culté d'apprendre à parler et la faculté d'apprendre à écrire sont dans de
est identique par nature au langage écrit et indépendant du langage parlé . Sa localisation cérébrale n'est pas la même qu
e ne peut lire, ni énoncer des nombres de plus d'un chiffre. Pour parler spontanément ou pour répondre aux questions qu'on
re au toucher même de gros objets. En outre, au moment où la malade parle , le bras droit, fléchi et un peu étendu, est le
s, on constate des rotations choréïformes de l'épaule. Si l'on fait parler longtemps-la patiente, et surtout si on lui pro
une émotion pénible, sous l'influence de ses efforts impuissants de parler , l'autre bras lui-même parti- cipe aux mêmes tr
ii-olog. Centi,albl., XVI, 1897.) Préparations du trijumeau du chat parla méthode de Marchi et AIâeC1 : 1° Quand on a l
es contre les maladies, les sortilèges et les maléfices. Consultées parles paysans, elles ordonnaient tour à tour à leurs
76 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e cela publiés partout. Parmi les inventeurs malheureux dont nous parlions tout à l'heure, il en est qui sont malades. Nous
ique. Dans l'état de poly-idéisme physiologique, il y a, pour ainsi parler , indifférence ou contrebalancement des sentimen
physiologique, puis, l'or- donnancement des idées, dont nous avons parlé , finalement, la sélection d'une ou de plusieurs
accès, quand il éprouve l'excitation intellectuelle dont nous avons parlé , il est également obsédé par le besoin de savoir
es mentales. Quanl à 1' ! tYPcl'idéation obsessive, dont nous avons parlé , il y a bien des années qu'elle ne s'est produite
e de la folie sympa- thique, auraient été plus nombreux et utilisés parles partisans des psychoses sympathiques, si.les al
augmenter le délire. Les vaginites si nombreuses, dont nous avons parlé , sont loin d'être toujours la conséquence d'une
e de la Seine, dans notre visite par- ticulière du 7 avril. Nous ne parlerons pas de l'encom- brement et du remède à y apport
quelques-uns de ces symptômes dont le malade oubliait même de vous parler , inter- venez activement : « Vous ferez de bonn
sis sur une banquette; je lui dis : « Que faites-vous là ? » - « Je parle deutsch, j'arrive de Vienne, et je suis né le 2
orte de chausses et ce qui était le plus embêtent est qu'il fallait parler que le deutsch pendant un an, parce que l'autre
, parce que l'autre jeune homme qui est mort aujourd'hui, ne savait parler que le deutcli. Enfin, je suis resté 4 ans dans
outenue devant les médecins. Dans la suite, chaque fois qu'on lui parle de son idée ambi- tieuse, on semble lui être pa
ques. Dans les assemblées, il se levait et annonçait l'évangile; il parlait au milieu de tout le monde sans permission; on
t elle dissimula l'existence de cette idée fixe. Le jour où elle en parla , ce fut avec beaucoup de gêne et de contrainte et
e la couronne qu'il devait porter et dont il était dépossédé. 11 ne parla et n'agit plus qu'en prétendant au treille. On
à pour moi. Il a dû appartenir certainement au bisaïeul dont j'ai parlé tout à l'heure, et maintenant, cela ne fait aucun
t quitté ce côté de la rue, le malade remarqua que le même Monsieur parlait au même endroit à une personne de sa connaissan
la voyaient guère auparavant la visitent à présent plus souvent, et parlent bien fréquemment (c'est surpre- l'idée fixe. 10
ais rien d'anormal. Il entendit aussi des voix qui l'insultaient et parlaient de lui, principalement celle de sa femme qui se
e de la trahison de sa femme et de la substitution d'enfant dont il parle ; ses argu- ments sont faibles. 1)0 Idée fixe
lente, courbature, anorexie, diarrhée, épistaxis. Le médecin appelé parla de lièvre muqueuse ; mais il délivra plus tard
Etal actuel. Ce malade est plongé dans une prostration légère, il parle peu, la face présente des cicatrices de la variol
nte importance. 11 arrive que tel être, comme s'il était hypnotisé, parle , agit, fait différents actes souvent bien combi
e, plutôt que sur la diminution progressive. L'auteur a aussi guéri parla psychothéraphie l'onanisme, l'onychophagie, la
des formes mentales connues, qui varieront selon le terrain préparé parles prédispositions héré- 166 BIBLIOGRAPHIE. dita
s nous savons que les fibres qui se rendent au centre visuel, ou en parlent , passent immédiatement au-dessous de cette circ
leurs fibres de projection, aient été lésés simultanément. Nous ne parlons pas des autres faits oit les lésions étaient to
q ans, entré le 9 décembre 1896 au n° 6 de la salle Bouquet : il ne parle pas, n'articule aucun mot. Il aurait (d'après l
onomie et des pressions de main qu'elle comprend, mais elle ne peut parler . Chute des paupières, Le 2 mai matin, on consta
je vais mourir ! » et elle tomba. Après sa chute, elle ne put plus parler , mais elle demeura partiellement consciente pen
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. Sur les causes de la cyclopie; parle professeur Francesco Leggb. (Bull. délie scienz
physiologique qui produit ces troubles. Le cervelet est-il, pour ne parler que d'opinions récentes et solidement édifiées su
rimé par la faux du cerveau. Les porencéphalies dont nous venons de parler sont donc d'ori- gine centrale, c'est-à-dire qu
ermet un développement incessant et un perfectionnement continu. 11 parle du rôle prépondérances con- ditions mésologiqne
tité de questions et de chacune il dégage le rôle de la science. Il parle de la chimie transformant l'alimentation, des m
heté pour le soldat ? Non, à coup sûr, vous n'êtes pas accoutumé de parler à des hommes de science. » (La Morale des Jésui
r dans l'état mental du malade : c'est la confusion des idées. C... parle presque continuelle- ment ; ses propos ne sont
rent comme caractéristique des états toxi-infectieux : nous voulons parler de la confusion mentale avec délire onirique. «
entourage; prédominance d'idées mystiques ;- besoin de marcher, de parler ; hallucinations delà vue et de l'ouïe; voit et
u pint le plus élevé des crêtes iliaques au plan horizontal passant parles tubérosités sciatiques) : 19 centim. VI. Réfl
. Réflexions. 1° Il est regrettable qu'il n'ait pu nous être fourni parla famille aucun renseignement sur les anté- céden
s visions d'une foule de gens autour de lui, aux- quels il se met à parler sans en recevoir de réponses, il s'aperçoit alo
e l'oculomoteur commun. Pansier (Electrothérapie oculaire, 1896) ne parle pas de l'examen électro- diagnostique des muscl
t gaie, très souvent rire fugitif. De temps à autre il se dispose à parler , mais n'émet que des sons inintelligibles, aux-
ation dans les mains (mouvements de préhension); mais il commence à parler , se rend compte de l'endroit où il se trouve, s
assez rare et dont la plupart des traités de pathologie mentale ne parlent qu'incidemment. Il étudie spécialement ces déli
e des lésions présentées par deux des malades de M. J. Voisin. Sans parler de l'atrophie du cerveau, qui pour lui n'a aucu
considé- rable surtout parce que la plupart des médecins allemands parlent les langues étrangères, le français ou l'anglai
ce est complète ; le malade reconnaît ses parents et essaie de leur parler . La température monte (39°.0 hier soir, 40°2 ce
nsité, en la formation de vacuoles, en rétractions, etc., pour ne parler que des modifications mécaniques. L'altération
entendre « des idées, des voix secrètes, inférieures, sans langage parlé ». Maudsley le premier nomma ce trouble « hallu
uret rapporte le cas du frère Gilles et du roi saint Louis qui « se parlaient sans aucun bruit de parole », et celui de filme
uyon avec le père Lacombe, son confesseur, qui se comprenaient sans parler , de sorte que peu à peu elle se trouva réduite
ns parler, de sorte que peu à peu elle se trouva réduite à « ne lui parler qu'en silence ». De même Calmeil a observé quel
plusieurs reprises. M. Magnan2 qui, dans ses leçons à Sainte-Anne parla plu- sieurs fois des hallucinations motrices ve
llucinations psychiques ou motrices verbales ; des voix intérieures parlent silencieusement dans l'estomac, dans la gorge ;
voix intérieures et exté- rieures. Au moment où la voix intérieure parle , malgré le malade sa langue se meut. ' Jofiro
ttes, j'ai tout payé. » La malade s'étonnait que la voix intérieure parlât en son nom, 378 CLINIQUE MENTALE. répondant c
LINIQUE MENTALE. répondant comme pour elle; mais souvent cette voix parlait aussi au nom d'un tiers : « Non, aflirmait-elle
térieure était sa voix intime, causant, disputant malgré elle. Elle parlait donc automatiquement; quand les voix des oreilles
ui lui fait croire que la voix intérieure est la sienne, et qu'elle parle automatiquement. Observation II (Service de M.
psycho-mo- trices ; une voix non articulée, mais bien comprise lui parlait dans l'estomac. Cette voix n'avait pas de timbr
s voix non articulées, non entendues, mais bien comprises qui lui parlent , et sa langue remue au moment où elles parlent.
en comprises qui lui parlent, et sa langue remue au moment où elles parlent . C'est bien une hallucination motrice verbale a
C'est un homme petit, maigre, brun; légère asymétrie faciale. 11 parle d'une voix basse, l'air inquiet. 11 a plusieurs
orte de mysticisme chez T... qui n'était point pieux auparavant. Il parlait de Dieu, de la Sainte Vierge, de la protection
imaginaire, mais tout de même c'est bizarre. » Au moment où la voix parle dans la tête ou dans la poitrine, il éprouve une
toxication alcoolique. Les traits sont très anxieux, il se méfie et parle très doucement. Il se penche en avant, regarde le
et moins précises, le malade s'en rend compte lui-même, « on lui parle , dit-il, mais il ne comprend pas ». Plusieurs p
traire prépondérantes chez les moteurs qui, pendant la réflexion, parlent mentalement leur pensée, au lieu de la lire'. 1
remarquer à propos de notre observation I, certains malades croient parler automatique- ment. L'éréthisme du centre cortic
ouvements réels d'articulation, de sorte que les individus semblent parler automatiquement. Cela s'explique. L'excitation
deux mois, trois mois, trois mois et demi. On prend des animaux en parlait état de santé. Ils gagnent du poids pendant les
d'accommodation de la rétine. P. KERAVAL. XXIV. Le bulbe rachidien; parle professeur Mignault. (Union mé- dicale du Canad
ne d'années par la plupart des psychiatres allemands : nous voulons parler de l'alitement ou clinolhérapie (Bettbehandlung
erpéral, la chlorose, les anémies, les troubles circulatoires, sans parler des états fébriles ou subfébriles. Or ces diver
ormir quelques heures. J.-P. Fairet, en 1864, le premier en France, parle du trai- tement par le repos au lit pour certai
oms, causes and 1;,ealmeiil of isanity) insistait, sans cepen- dant parler du traitement pour le lit, sur la nécessité du re
en 1890, le professeur Ball, qui cite la méthode de l'alitement, en parle comme d'une nouveauté expérimentée seulement en
iant l'ataxie développa encore le rôle de la sensibilité tactile et parla le pre- mier de sensibilité articulaire. Dès
simplifiée au point de vue physiologique. Outre qu'il n'y est point parlé des mouvements actifs, le sens de l'orientation
ce de mots pour désigner un fait iden- tique. - Ceci nous amène à parler de l'origine de ces images motrices conservées
tôt sombre, agressif, taciturne, restant des journées entières sans parler à personne, tantôt loquace, incohérent. L'intelli
'est pas libre de ses actions, qu'on le fait chanter, qu'on le fait parler malgré lui et qu'il préférerait être guillotiné »
e malade se plaint d'avoir « du monde dans l'estomac», ce monde lui parle , le pousse à dire ce qu'il dit et l'a forcé ce
.. explique bien que les personnes qui sont dans son estomac ne lui parlent pas à l'oreille, mais qu'il les entend intérieu
e difficilement, et cela, de plus en plus, les deux jours suivants, parle moins spontané- ment, tronque parfois les mots
nd pas ou répond quelque chose qui n'a pas de sens. Spontanément il parle très peu mais parle bien, ou présente de la par
lque chose qui n'a pas de sens. Spontanément il parle très peu mais parle bien, ou présente de la paraphasie verbale et l
une maladie de l'encéphale et non de la moelle. Impossible donc de parler alors d'une polioencéphalite antérieure aiguë o
elle; nom- breux râles des deux côtés. P= 150, et plus. La fillette parle peu et parait hébétée; elle délire et le nystag
e occasion NECROLOGIE. 521 nouvelle de se manifester brillamment. Parler de son style avec ses qualités de clarté, de so
uL 130 : \COUR, XV. Thérapeutique de la scoliose des adolescents; parle D1' A. Chipault (Vigot frères, éditeurs). - Le
ls erraient dans la rue, sans but comme la bête, incapables même de parler . Ces malheureux, atteints de crétinisme, étaien
77 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ma- laise. Une rougeur l'ayant prise en effet, au moment où l'on parlait du Panama, malgré elle l'idée la prit qu'on pouva
catégorie des tendances temporaires à la rougeur émotive, dont nous parlions plus haut, dues à une cause, passagère elle-mêm
e sensation de chaleur à la face. S'il se trouve avec quelqu'un, il parle vite, sans savoir ce qu'il dit, afin de détour-
Troisième degré. EREUTHOSE obsédante (E1'eul/wp/wbie). Nous avons parlé jusqu'ici des individus qui, soit temporai- rme
un magasin, dans un restaurant, dans un café, dans un lieu public, parler ou agir devant du monde, est pour eux d'une dif
maison particulière. Quand ils sont à table, en compagnie, si on parle autour d'eux, si on s'occupe d'autre chose, ils s
n les regarde, si on les interpelle, si surtout ils sont obligés de parler , ils se troublent aussitôt et rougissent. Au th
s de conversation, certains propos les font rougir davantage. Si on parle d'un méfait, par exemple, ils rou- gissent comm
dans tous les sens et grimace, sa langue remue, mais il ne ' peut parler . Son corps est agité d'un tremblement général.
eur donne plus d'assurance, leur permet d'affronter les regards, de parler et d'agir comme tout le monde ; en second lieu,
l a eu constamment les oreilles très rouges, mais le visage pas. il parle sans émotion apparente de ses rougeurs. Il en a p
lle croit ainsi créer le monde à nouveau ; son langage, lorsqu'elle parle , sous l'in- fluence de l'inspiration, n'est qu'
it la guerre des invisibles. On a frappé sa pensée, on la force à parler (impulsions psycho-motrices verbales). En même te
nt. Ces visions lui font comprendre ce qu'on veut lui dire sans lui parler . Chez une autre malade, le diable s'est install
ui de M. H. Dagonet'. « Dieu est en moi, dit la malade, écoutez, il parle par ma voix ;je suis dispensatrice de l'amour d
récite... C'est alors un pouvoir étranger et suprême, qui me fait parler 2. » « Il plut à Dieu, dit un autre prophète cé
E. « Ces théomanes, dit .Montgeron (théomanie des jansé- nistes), parlent comme si leurs lèvres, leurs langues, tous les
iment, et cela, sans le marquer par aucun son. C'est une manière de parler intérieure et subtile. Ces manifestations qui v
les franchir et à entrer en possession de ce bienheureux état dont parle le philosophe inconnu dans son Nouvel Homme, où
96.) E. B. II. QUELQUES erreurs courantes relatives A la folie; i parle D E. Mink. L'auteur est surpris de voir quelle
ixes gravitent dans un sens déterminé. Ce n'est plus à proprement parler l'idée qui est fixe, mais le sens vers lequel con
bien portant. La netteté de cons- cience, l'absence d'hallucination parlent en faveur du malade qui n'apparaît à son entour
reprise de typographie, se mit à négliger ses affaires pour ne plus parler que des lois physiques et s'adonner à toutes so
e malade d'autres objets qui ne con- cernent pas la physique, il en parle et raisonne sainement, sans aucune idée déliran
contré un seul cas. A son avis il est une cause du tabes dont on ne parle pas et qui cependant est fort pro- bable ; c'es
e pharyngite aiguë, suivie quelques jours plus tard de difficulté à parler surtout à articuler les r et s. On constate une p
il y avait un cordon qui tire sur la moitié gauche saine. Le malade parle comme s'il avait une blessure de Ja langue. La
en trois catégories celles à marche régulière qui débutent toujours parles mains et les avant-bras, mais qui peuvent se gé
par- loir central, malgré tous les inconvénients dont nous avons parlé , qu'on se souvienne au moins qu'il y a trois grou
exceptionnel; or, les trois groupes d'aliénés, dont nous venons de parler forment encore une minorité assez importante, a
extraor- dinaire l'accord existe entre tous les aliénistes je veux parler des congés et des sorties provisoires de quelqu
lguée nous sommes désarmés, car le règlement du 20 mars 1857 n'en parle pas. Je ne cacherai pas que j'accorde beaucoup de
nt probablement une fonc- tion différente. Tout au plus pourrait-on parler , pour concilier les faits anatomiques avec la d
ice, Golgi s'est un peu départi de son scepticisme scientifique; il parle et il croit qu'on a le droit de parler, de cell
scepticisme scientifique; il parle et il croit qu'on a le droit de parler , de cellules montées,voire de cellules sensitives
des cellules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continuait à parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuse
en pourrait être de même pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler encore de cellules motrices et de cellules de s
us détestable. Cependant au bout de dix jours elle peut commencer à parler , après un mois et demi de persévérance elle mar
jours une foule de qualités que je ne connaissais pas et dont on ne parle d'ordinaire que dans les oraisons funèbres. Je ne
pessimisme ET DE la neurasthénie; - par RENCUREL. , On a beaucoup parlé , dans ces dernières années, du pessimisme conte
ions du langage sont connues de tous. Aussi n'aurions-nous pas à en parler si ce n'était à cause de leur relation avec cel
où les personnages sont muets. Chez celui-ci les fantômes du rêve parlent . La différence est capitale. Il n'est pas rare
eur de l'importance du langage mimique. Les sourds-muets (nous ne parlons ici que de ceux qui ont de l'instruction), lors
êves abondent en images hallucinatoires visuelles. Les fantômes lui parlent souvent, se servant de préférence du langage mi
nuel et la mimique conventionnelle. Il se rappelle qu'ils lui aient parlé dans ses rêves au moyen du mouvement des lèvres
ormes du langage de transmission selon la nature du fantôme qui lui parle '. Par ordre de fréquence, la mimique occupe le
pas encore complètement la fausse articulation ni l'écriture. Elle parle aux fantômes, en ses rêves, au moyen de la mimi
us que les éléments moins atteints de la mentalité. Nous avons déjà parlé d'un vieux théomane cité par Calmeil1 qui put p
ensations et mouvements. , 182 . CLINIQUE MENTALE. alors me faire parler et agir. C'est ainsi que pour me prouver sa pui
elle appelle les voix théologiques inspirées par les bons anges qui parlent dans sa bouche et forcent sa langue à remuer. I
ès de boisson. Une soeur, morte idiote à dix-neuf ans, sans avoir parlé , ni marché. Une cousine germaine « a la tête faib
vers treize mois qu'ont paru les premières dents. D... a commencé à parler à quinze mois; il n'a marché qu'à dix-huit mois
ssa ces trois mois presque complète- ment au lit, sans bouger, sans parler , paraissant souffrir lorsqu'on le remuait, surt
en traînant la jambe; le bras était .inerte. Lorsqu'il recommença à parler , ce fut en bégayant. L'intelligence, elle- même
e tous les cas dont il s'agit (il n'a retenu que 40 cas, ne voulant parler que de ceux qui ont été soumis au repos sous la
que, en 1891, au dixième Congrès international de Médecine, Quincke parla d'une méthode propre à évacuer le contenu liquide
il n'y a pas eu d'attaques. Il ne semble pas non plus être modifié parla médication bromurée même employée à hautes dose
ital après une orgiede - huit jours : il fut soumis à un traitement parla strychnine et la mor-' phine, et autorisé à boi
DE PATHOLOGIE MENTALE. 233 IL il arrive dans le myxoedème ; on n'en parlera pas ici. Il en est d'autres que l'on peut appel
rreur profonde de la musique : en même temps le malade est assailli parles plus funestes pressentiments; il garde le silen
autrement impressionné. Il prend du trional qui le fait dormir; il parle à peine et ne prend ses repas qu'avec une grand
sur la table, et on lui demande s'il la voit; il répond que oui et parle d'elle comme si elle s'atta- quait à un fromage
au sujet seul mais à toute la famille, M. Toulouse s'abstient d'en parler ne pou- vant oublier qu'il est médecin. S'il n'
a solution des questions légales qui leur sont posées. Les juristes parlent de troubles psychiques partiels quand un sujet
anquille, mais il s'excite et n'est plus maître de lui quand on lui parle des faits qui ont provoqué son internement. Il
leur beauté ; on veut les photographier nues, on les surveille, on parle sur leur compte etc. Une seule présentait des h
obscurci la controverse, c'est que les troubles mentaux présentés parle poète n'ont jamais été caractérisés par ce comple
OLOGIE, 1897, T. III Il r i i I· ï9. 2 Héliotypie H. RACLE, Parla . Vol. III. Avril 1897. N° 16. ARCHIVES DE NEU
ndt, avec l'état de prétendu « mono- idéisme » de l'attention, dont parle aussi Cajal, dans le caput mor- tuum de la psyc
chan- gements de pression. En outre, ainsi que le dit Weigert, qui parle ici de substance de soutènement, les vaisseaux
sur un sujet pendant un temps raisonnable : si le malade commence à parler ou à écrire sur un sujet, de nou- velles idées
e fer. Les cabinets aboutissent à un canal. La plupart des médecins parlent correctement la langue allemande. La paralysie
erveuses des régions infé- rieures du système nerveux central. Nous parlerons des courants centripètes. Nous voyons également
moteurs » prend une signification très différente, suivant que l'on parle de telle ou telle espèce animale, et surtout s'
deux états différents : tantôt il raisonnait bien, était droitier, parlait anglais et pouvait ajissi parler l'idiome du pa
raisonnait bien, était droitier, parlait anglais et pouvait ajissi parler l'idiome du pays de Galles; tantôt il était démen
l'idiome du pays de Galles; tantôt il était dément, gaucher, et ne parlait que le gallois. Dans un état intermédiaire enfi
gallois. Dans un état intermédiaire enfin, il était ambi-dexlre et parlait un mélange d'anglais et de gallois. Dans l'état
tion qu'aux autres symptômes à ces modifications de l'hu- meur dont parle Iraepelin.11 conviendrait d'être réservé, au poin
stic l'existence d'accès convulsifs ou vertigineux. M. Siemerling parle des crises convulsives chez les alcooliques. A
s malades d'une façon préventive par de fortes doses de bromure. Il parle ensuite des attaques épileptiformes qui sont le
amnésie élait très variable, qu'elle faisait défaut quand le malade parlait de ques- tions générales, pour reparaître quand
l'attaque par l'intermédiaire d'une anémie cérébrale, du moins tout parle en faveur de cette théorie et rien ne peut l'in
'internement des aliénés, au Congrès de Nancy, M. Garnier n'ait pas parlé de l'asile aux portes et aux fenêtres ouvertes,
, les malades ont présenté quelques symptômes particuliers. Je veux parler de phénomènes spasmodiques assez intenses, de r
chaque quartier y fût représenté par son surveillant. Si on avait parlé à nos vieux maîtres, dit notre collègue, de lai
ifficilement à l'idée qu'un certain nombre d'aliénés, M. Marandon a parlé de 200, c'est-à-dire plus d'un tiers de sa popu
. A sept ans il a commencé à prononcer les mots papa et maman; il parle avec assez de difficulté et articule si mal les p
développés ne présentent ni atrophie, ni hypertrophie. La malade ne parle pas ; il y a quelques années elle émettait des so
l- quefois quand une lecture l'intéresse vivement. L'inaptitude à parler paraît surtout résulter de l'ininterruption des m
78 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
volumes sans épuiser la matière. Les erreurs, les difficultés dont parle l'auteur anglais, étaient bien naturelles à une
. Quant à ce qui touche la pathologie des nerfs périphériques, sans parler des névralgies, l'observation récente de MM. Chan
e le malade est hystérique; 2o Qu'il n'est qu'hystérique. Nous ne parlerons pas déjà première proposition, puisque, d'après
tabes, on n'en guérit jamais com- plètement. » . Nous ne voulons parler ici que des affections organiques spinales qui
essionnable; la moindre chose la faisait trembler et l'empêchait de parler . Elle avait en outre des migraines. Le malade a
qui lui monte dans le cou et l'étrangle. Il est alors incapable de parler et assez souvent tombe sans connaissance. Il re
i une frayeur si violente qu'il est resté cinq minutes sans pouvoir parler . Il peut cependant rentrer chez lui, mais tout
car il a repris ses sens dans une pharmacie voisine. Les assistants parlaient de « haut mal ». Il n'avait . pas uriné sous lu
'hôpital Bichat. Il était paralysé du côté gauche et ne pouvait pas parler . Ceci ce passait en mars ou avril 1888 (le mala
comme fou »), qui aurait nécessité la camisole de force. On aurait parlé d'in- tervention chirurgicale. C'est surtout de
s accidents ana- logues. Il y resta trois mois ; on aurait, dit-il, parlé de sclérose en plaques. Il y a treize jours, il
onie. Elle pouvait articuler parfaitement, mais, quand elle Voulait parler , elle faisait des expirations si faibles que sa p
répété chaque jour. Le 3 décembre, pour la première fois, elle put parler normalement et répéter d'une voix naturelle la de
elle était sous l'action de la bat- terie électrique, elle se mit à parler et à lire couramment à haute voix. A dater de c
DE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 35 continua à pouvoir parler et marcher normalement; elle avait entièrement
se tenait de- bout, mais elle avait conservé toujours la faculté de parler et le parfait usage de ses membres inférieurs e
tat léthargique, durant lequel il entendait et voyait, sans pouvoir parler . Le lendemain à son réveil, il fut tout à coup co
rrivée chez lui, la parole était redevenue pénible et difficile; il parla subitement très nettement et chanta en ai ticulan
dal (de Bordeaux), ne révèle aucune lésion. Depuis lors, Ch... a pu parler très distinctement et très nettement sans la mo
LA SALPÊTRIÈRE. ligent. Au réveil, ce n'est plus le même homme, il parle , articule parfaitement, il marche sans difficul
symptômes. Le malade marche seul, se sert de ses membres supérieurs, parle mieux. Il y a encore un léger tremblement dans
Tremblement généralisé des mains et devras, même au repos, exagéré parles mouvements volontaires, comme dans la sclérose
endant ce temps on remarqua qu'il avait quelque chose aux yeux ; on parla de le faire examiner par M. le professeur Panas
depuis six ou sept mois sa voix s'est cassée et qu'il a commencé à parler un. peu du nez. Il' siffle parfaitement bien et s
n de Perr..., le malade étudié par M. Charcot'; c'est le malade qui parle : « Quand il m'a vu, M. D... lui a dit : « C'est
d'y revenir dans notre tra- vail sur le délire hystérique dont nous parlions plus haut. Disons une fois pour toutes, avant d
es choses bizarres qu'elle voit, nous arrivons cependant à la faire parler et elle nous fait le récit suivant. « Elle étai
laisir du verre rouge : c'est le duo d'amour; la tristesse produite parle verre bleu : c'est la mer et la descente au tom-
n dernier groupe défaits, aux affections du cerveau lui-même. Je ne parlerai pas des alro- phies partielles qui sont liées i
la question de médecine opératoire (Ci ? l'1-If)). Mais avant d'en parler je ne saurais dissimuler la satisfaction que j'
n des os par la dure-mère. - C'est avec intention que je n'ai pas parlé du périoste jusqu'ici. Faut- il le réséquer ? j
un centimètre sur le pariétal, non loin de la suture médiane. Je ne parle pas ici d'exostoses proprement dites, mais de c
sâgé avait douze ans et demi ; j'ai opéré '18 garçons et'12 filles. Parlerais -je maintenant des résultats définitifs ? Cela dev
nute. Dans cette situation anormale, le malade peut aller et venir, parler , boire, etc., sans paraître le moins du monde i
ans présenter aucun signe de fatigue, ni d'asphyxie. Même lorsqu'il parle , ou siffle, le tracé n'accuse pas de modificati
ongtemps au défaut d'hématose. Il est presque impossible de pouvoir parler , siffler, rire, comme le faisait notre sujet tout
r- rassée et entrecoupée, rappelle d'une façon à peu près exacte le parler lent et comme scandé symptomatique de cette aff
s typiques. Qu'on parcoure la série des faits qui figurent (pour ne parler que des travaux les plus récents) dans 114 NOUV
ue très difficilement la bouche ouverte. Il la mord souvent lorsqu'il parle . Souvent aussi sensation de raideur. En somme
de son état, s'exagérait même peut-être la gravité du pronostic et parlait de mettre fin à ses jours. Il se peut qu'il ait
tre et ami, M. Paul Richer, en donnent l'idée exacte. Du reste, ils parleront mieux aux'yeux qu'une des- cription fastidieuse
de la racine des membres, tandis que les extrémités à pro- prement parler sont presque intactes. Aux membres supérieurs,
d'hallucinations. Tantôt il se croyait dans un train en marche, il parlait il haute voix, s'adressant aux voyageurs, appel
ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 197 sauce, il pouvait parler , manger et boire sans difficulté. Il n'avait pas
s aucun sens; ses membres étaient rigides, immobilisés en extension parla contracture, les avant-bras en pronation forcée,
dont nous avons déjà 224 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. parlé , c'est-à-dire un affaiblissement parallèle des de
ans une sorte de rire bête, qui s'accentue notablement quand on lui parle ; alors le malade n'en finit plus de rire. Ou bi
nne à sa physionomie un air continuellement pleurard. Si on le fait parler , on s'aperçoit qu'il articule mal les mots et nas
des signes diagnostiques de cette dernière affection. Nous voulons parler de l'absence d'anomalies des réactions électriq
une raison pour douter de l'origine centrale de la maladie. Pour ne parler que des réactions électriques, que voit-on en eff
cette absence de troubles dans les réactions électriques dont nous parlions plus haut ne plaide point en faveur de l'idée d
l'appareil nerveux n'a pas été examiné histologiquement; nous moutons parler de l'écorce cérébrale et des ramifications péri
icule fait complète- ment défaut. Les faisceaux radiculaires qui en parlent sont colorés d'une façon claire. Il en est de m
bubon abcédé. Le général continua avec calme et intérêt sa visite, parla aux malades, chercha, en leur adressant des par
aitement soutenable. Mais aujourd'hui que l'anatomie pathologique a parlé , la doctrine unitaire s'impose avec évidence. C
ment quelle en est la configuration normale (fig. 59). Je ne vous parlerai pas de la situation ni de la forme générale de
e dans certaines races, l'oeil revêt un aspect particulier, je veux parler de l'oeil dit mongolique. Ses caractères peuven
ne maladie qui se rencontre assez souvent chez nos malades, je veux parler du goitre exophthalmique. D'autre part on a signa
Du côté des mâchoires outre le prognathisme dont je vous ai déjà parlé , vous examinerez l'asymétrie des arcades dentaire
293 pourriez vous servir de la double équerre dont je vous ai déjà parlé et qui a fourni le principe sur lequel sont con
s-unes constituent de véritables monstruosités, rares et dont je ne parlerai que pour mémoire2. Telles sont Veclromélie ou a
ondrie, grandeur, mysticisme, mélancolie). Du côté des ongles, sans parler des déformations accidentelles et professionnel
, un rêve, une émotion, suffisent souvent : témoin cette femme dont parle Briquet, qui, insultée sur un escalier, tomba i
ne constate aucun corps fibreux, on diagnostique une métrite, et on parle à la malade de grattage. Ayant peur de cette op
ule des diverses manifestations, leur mode de début, leur évolution parlent assez clairement. Nous avons hâte, du reste, d'
rement exprimée par la position de la main représentée1 tombante et parla déformation des doigts figurés dans l'attitude
i les entourent.' ' ' Dans la'- seconde' gravure dont nous 'voulons parler (Pl. XXXII), on constate que- la 'même dispropo
intelligence développée, mais avec de profondes lacunes morales. Il parle couramment plusieurs langues, a publié en Angle-
sur les antécédents héréditaires. Langage très imparfait; la malade parle nègre. Emotivité excessive, irascibilité, qui r
s. Nous entendons l'hérédité dans son acception la plus large, nous parlons non pas de celle qui se borne à transmettre int
uchenne de Boulogne 3a°3 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. parle d'un état de parésie hystérique s'accompagnant de
e de toute tare héréditaire connue. 11 a com- mencé il marcher et à parler vers quatorze mois; dix mois plus lard, il cou-
et à parler vers quatorze mois; dix mois plus lard, il cou- rait et parlait , paraît-il, comme tous les enfants de son âge.' J
ent des accès de toux et de suffocation, sans t retour des liquides parle nez toutefois. En outre il parlait autrefois, et
cation, sans t retour des liquides parle nez toutefois. En outre il parlait autrefois, et actuel 1 lement il ne fait entend
9 des exemples de tabes fort extraordinaires. Ces divers auteurs ne parlent point d'hystérie. En l'absence de détails circo
e du signe de Westphal n'y est pas mentionnée. Par contre, il y est parlé d'une hémiparésie gauche, de l'apparition des tro
Lorry, par exemple, dans son livre De mulationibus morborum; on eût parlé , en d'autres termes, de la transformation d'un
'aux malades riches. Mais la sentence' du dessin qui,est au-dessous parle d'autre manière : « Tes pieds t'ont porté pouf
le, ces crises de somnambulisme précédées de cauchemars et de rêves parlés : elle parle à ses amies, se chicane avec elles,
de somnambulisme précédées de cauchemars et de rêves parlés : elle parle à ses amies, se chicane avec elles, compte à haut
à l'hôpital, il commença à recouvrer la parole; dix jours après il parlait aussi bien qu'actuellement; dans les pre- miers
est de nouveau complètement paralysé du côté droit et incapable de parler . L'aphasie ne dure celle fois que deux jours en
A la suite de cette allaque, il est resté deux heures sans pouvoir parler et trois jours paralysé complètement de ses mem
colonne vertébrale ne sont pas très rares dans l'hystérie. Nous ne parlons pas des saillies de la colonne verté- brale, à
que des cas d'hystérie. » Cette méprise n'est pas douteuse. Pour ne parler que d'exemples récents, nous avons trouvé dans
utures une orientation nouvelle. Les faits qu'il nous reste à citer parleront dans ce double sens. Ons. LXXVI (Roth, in Diagn
demment, même dans la période postparoxystique dont il vient d'être parlé ; il est surtout intense dans la région supérieure
Charcot, avant tout par une amélioration de la démarche et ensuite parla disparition des douleurs lancinantes sur les- q
nce respire dans son air et dans tous ses discours, il est sérieux, parle peu : sa tête en tout temps paraît chargée de gra
79 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ou non, des états acromégaliques héréditaires ou à plus proprement parler des enfants acromégaliques ? Depuis quelque tem
utilement quelques renseignements sur ce point; les deux auteurs ne parlent pas de l'état des épiphyses chez la fillette âgée
sions de la langue et enfin toutes les altérations osseuses relevées parla radiographie. Il est donc inutile de s'arrêter
du thymus (avec des altérations intéressantes dont je me réserve de parler dans un prochain travail), la thyroïde, les par
de Parrot passa pour- tant inaperçue; Kirchberg et Marchand (1889) parlent encore de micro- melia claoaada·omalacia etILau
lacia etILaufranu (189) ayant une plusjuste conception de la chose, parle de claoad·odistroplcica foelalis. C'est à Pierr
nt des types presque communs et que la tradition homérique qui nous parle des Pygmées luttant avec « le peuple ailé des g
s vertèbres et l'absence de tout changement dans les nerfs crâniens parle en faveur de myélome. HÉSUMIL -11 s'agit d'un h
ficile de donner une réponse absolue. Contre la seconde supposition parle le fait que les symp- tômes morbides étaient pr
acines sacrées inférieures (absence d'érection, troubles urinaires) parlent en faveur de lésion de la queue de cheval ; il
inait au-dessus du sacrum). Enfin contre cette dernière supposition parle l'absence absolue de douleurs et de troubles se
gauche (immobilité du pied) confirme celle supposition.En sa faveur parlent aussi l'anesthésie du périnée (bilatérale) tell
vicale la plus comprimée. Outre la configuration modifiée dont on a parlé plus haut, on y voit sur toute la péri- phérie
importance énorme quand il s'agit du traitement opératoire. Nous en parlerons plus loin, lorsque sera exami- née la structure
douleurs des corps vertébraux, qui restent indolores à la palpation parle plutôt en faveur du cancer. Les 80 O FLATAU '
urs pendant les secousses rapides imprimées à la colonne vertébrale parlent en faveur du cancer. Les troubles trophiques de
en faveur du cancer. Les troubles trophiques de la peau et le zona parlent en faveur du cancer. La dégénérescence des tume
égénérescence des tumeurs de même que la formation des abcès froids parle en faveur de la carie. La constatation de la tu
utre direction. Les douleurs radiculaires pendant de longues années parlent en faveur du cancer. Les fractures des os longs
gues années parlent en faveur du cancer. Les fractures des os longs parlent en faveur des tumeurs.Examen du sang : une leuc
ongs parlent en faveur des tumeurs.Examen du sang : une leucocytose parle en faveur du néoplasme, sarcome en particulier.
EURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE Er DE LA COLONNE VEUTÉBRALE 8,1 (nous en parlerons plus loin quand il sera question des lésions hist
compression disparurent (le malade a survécu 2 ans). - - " Caller parle d'un cas de sarcome qui prenait naissance dans le
; elle avait appris par coeur ses prières du matin et du soir, elle parlait assez bien, était questionneuse comme tous les
par ces exemples de quelle façon rudimentaire est réduit le langage parlé chez Marguerite. Elle parle comme un enfant de de
açon rudimentaire est réduit le langage parlé chez Marguerite. Elle parle comme un enfant de deux ans et le t est em- plo
vers l'âge de 10 ou 12 ans. A cette époque, en effet, elle se mit à parler avec la même lenteur et la même intonation chan
ortants sont les altérations du fond de l'oeil ou à plus proprement parler l'atrophie primitive des nerfs optiques. Le pre
côtés de la ligne médiane et les vertèbres cervicales douloureuses parleraient en fa- veur de celle supposition. Il faut insis
al. L'urine est un peu plus claire. Incontinence d'urine. Le malade parle à voix basse, enrouée. Pendant la visite du docte
die, la paralysie intervenue brusquement, le bon état général, tout parlait en faveur d'une affection aiguë on subaiguë inf
meur en était probablement la cause. En faveur de cette supposition parle le fait que ce caractère de la lésion était le
chirurgicale, elle est très restreinte dans ces cas. On ne peut pas parler de l'intervention chirurgicale dans les cas de tu
le que l'on a l'habitude de faire en clinique mentale, lorsque l'on parle des psychoses dites fonction- nelles et des psy
a pas expli- qué le fonctionnement des nombreux champs dont on nous parle , tant enfin, que la chimie du cerveau en sera à
ent la valeur des images livrées d'heure en heure, pour ainsi dire, parles modi- fications que l'on provoque dans les écha
scoliose n'est mise en vedette que pour sa fréquence : comme on en parle plus couramment, on sous-entend les types moins c
DES SCOLIOl'IQUES, ESSAI DE l'ATHOGÉNIE 225 nique, que je prétends parler , non de la timidité accidentelle, de l'intimi-
po- phalangien, est rapprochée de la longueur apparente, déterminée parle niveau du pli interdigital dorsal. 238 S C
n n'est complète qu'à deux ans et demi ; l'enfant est gâteuse et ne parle pas. Malgré une rougeole à trois ans, l'état comm
nt était manifestement anormal : il ne riait, ni ne marchait, ni ne parlait . La première dent n'apparut qu'à 13 mois; la paro
peu supérieure à la moyenne. Le patient lit et écrit très bien, il parle pas- sablement le français ; de parole facile,
de 33 ans, du canton de St-Gal. femme d'Auguste C., dont nous avons parlé auparavant. A la simple vue s'impose la diagnos
n escabeau. Elle aussi a parcouru une grande partie de l'Europe, elle parle plusieurs langues et en peu de temps a appris a
, car elle s'est montrée variable dans les divers cas étudiés. On a parlé de mentalité supérieure à la normale, de mental
e nos cas, quoique dans l'un la tête soit fort grosse, nous pouvons parler de mentalité normale et probablement supérieure
longueur normale des extrémi- tés inférieures sont des données qui parlent aussi contre une forme parti- culière d'achondr
ne forme parti- culière d'achondroplasie. Ce n'est pas le lieu de parler ici en détail de l'histoire et de l'anatomie pa
'à présent observé de mariage entre de tels individus. On a souvent parlé d'achondroplasiques qui sont épousé des femmes
ien n'ont pas procréé des enfants achondroplasiques ; on a en outre parlé d'achondroplasie familiale où plusieurs membres d
s, il est bon d'ajouter : somatiquement. Ce n'est pas ici le cas de parler de dégénérescence psychique, car chez eux, le cré
igues qui sembleraient supérieures à leurs forces; leur histoire ne parle pas de maladies particulières, la tuberculose est
e nous dit même qu'on était très inquiet de ces phénomènes et qu'on parlait dans la famille, depuis quelque temps, d'élépha
ne, sauf la soudure pariéto-occipitale droite, dont nous avons déjà parlé , ne présentent aucune proéminence manifeste. Fa
ute certitude, une pareille présomption. De même on ne pourrait pas parler d'ostéoporose sénile, car, tandis que cette aff
ne endoartérite el nne phléhosclérose. 292 COSTANTINI Ayant ainsi parlé des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne
sur le développement de la syphilis cérébrale ; en général, on n'en parle pas d'une manière parti- culière dans la syphil
marche fatale toujours progressive de l'affection, tous ces points parlaient en faveur d'une tu- meur. L'absence de tout sig
hilitique (méllin- go-myélite syphilitique). Contre cette hypothèse parlait le résultat négatif du traitement spécifique et
ence de symptômes morbides du côté de la partie supérieure du corps parlaient contre la sclérose en plaque. La marche de la m
qu'ils'agissait d'une tumeur médullaire.En faveur de ce diagnostic parlaient les fortes douleurs permanentes ou qui s'exacer
de la maladie, t'age de la malade. Pour le diagnostic de la tumeur parlait aussi, ceteris paribus, le type de l'affection
elles du côté droit (ici on commence à voir l'enfoncement dont on a parlé à propos de l'aspect macroscopique). Sur tout
oubles sensitifs profonds et franchement délimités, tous ces traits parlaient en faveur d'une compression de la moelle épiniè
ugmentation de l'albumine dans le liquide céphalo-rachidien.' Je ne parle pas de l'absence du réflexe iridien à la lumière,
pas moins vrai que dans le cas par eux étudié, Lejonne et Gougerol parlent de douleurs vagues du côté du rachis, douleurs qu
t celui d'un enfant : elle n'a aucune instruction, mais com- prend, parle correctement, donne quelques détails sur sa famil
ns. La première dent perça à un an et peu après l'enfant commença à parler . Elle eut la rou- geole à cinq ans, la coqueluc
tiels, même en prenant en considération les cas indolores dont nous parlerons ci-dessus. On peut le dire à propos des tumeurs m
la même particularité dans le cas d'Oppenheim et Krause. Gowers en parle dans un de ses écrits Dans le cas de Schmoll (t
ent des anesthésies dans la région recto-génitale et celle innervée parles racines sacrées supérieures, des atrophies muscu-
deux localisations : En faveur de l'affection de la queue de cheval parlent le développement lent de la maladie, des accès
épendent du cône (Bruns, Cassirer). En faveur de la queue de cheval parlent la IIe vertèbre lombaire douloureuse, l'irradiati
D'après l'opinion de Bruns, pour l'a(rection de la queue de cheval parlent les douleurs bilatérales depuis le début de la ma
té des lésions produites par la tumeur. Les lésions plus prononcées parleraient en faveur d'une tumeur intra-médullaire. En gén
de ces deux sortes. Eh bien, en faveur d'une tumeur extraméduitaire parlent : une longue durée (quelques mois ou quelques a
lésion transverse). En faveur de la tumeur intramédullaire doivent parler par contre un ta- hleau clinique irrégulier, l'
son de se demander si l'existence d'une dégé- nérescence secondaire parle contre la possibilité de la restitution des fon
ui lui sont adressées ; mais, dans les tenta- tives qu'il fait pour parler , il n'émet que des sons inarticulés. 6 mars 190
épond à aucune question et fait comprendre par gestes qu'il ne peut parler . Il n'est pas capable de dire les noms des divers
du corps calleux. SchrOder reproche à Dejerine, en premier lieu, de parler d'une substance grise sous-épendymaire ; il rappe
matière dépend surtout du fait que nombre d'auteurs croient pouvoir parler indifféremment de nanisme ou d'infantilisme dan
uelques cas, pré- senter des symptômes d'infantilisme et alors nous parlerons de microso- mie ou de nanisme liés à l'infantil
seconde enfance chez un enfant tout à fait nor- mal à la naissance parle toujours en faveur du diagnostic d'infantilisme.
s son oeuvre : JIoîzsli,o2-îtinhisioria, publiée en 1642 à Bologne, parle d'un nain du Dauphiné qui à'1'àge de 41 ans, étai
e sous le nom de Maggi sont les mêmes personnes dont nous venons de parler . J'ai causé avec ces deux nains à Paris et j'ai p
i-mondaine, le petit mulâtre, et surtout la famille Maggi), il n'en parle pas et il ne met pas, au bas de leur photograph
loppement s'est fait sans accidents d'aucune sorte ; il a marché et parlé précocement ; ses dents ont poussé à l'époque nor
nez qui est bien conformé ; sa racine n'est pas aplatie, on ne peut parler de nez camard, mais plutôt de nez en lorgnette
roportions initiales. - Il n'a jamais en la moindre maladie; il a parlé et marché très tôt et s'est montré toujours ext
11lCROSOMll<. : ESSENTIELLE HÉmÉDO-FAlIllLIALE judo Il marcha et parla précocement et la dentition se fit normalement; i
riua Gazzano, âgée de 22 mois, fille de notre troisième sujet. Nous parlerons très brièvement de ce cas, car le très jeune âge
prennent leur origine clans leganglion ciliaire, opinion confirmée parles recherches ex- périmentales d'Apollant, Lodato,
l faut en bien surveiller la puisa- 592 FLA.TAU lion. Son absence parle en faveur d'une tumeur. Ce symptôme n'est pas t
ra- tion. De celte position donnée aux malades pendant l'opération, parlent différents auteurs, Schullze entre autres. En e
es provenant d'aortes altérées. Les petites gommules dont je vais parler ressemblent à s'y méprendre il des tubercules.
dans les parois de l'aorte, ce qui est excessivement rare. Nous ne parlons pas de la tuber- culose primitive de l'aorte, q
t là la raison d'être des enfoncements, des ombilications dont j'ai parlé dans la description micros- copique de l'aortit
re suivi dans sa totalité avec une facilité exceptionnelle. Nous ne parlons pas de son segment massif situé dans la partie
le-ci et qui est aussi caractéristique de l'achondroplasie, je veux parler de l'anormale brièveté du troisième métacarpien e
marquer à ce propos qu'un des frères Maggi (Ernest) dont nous avons parlé plus haut, eut aussi un enfant nain d'une femme
manquent tolalementcliez nossujets adultes. Il nous semble donc que parler d'infantilisme à propos de nos sujets adultes s
que comme d'origine dysthyroïdienne. - ' De quel droit, en effet, parlerions -nous de dysthyroïdie, même fruste, à propos de
Marie semble douter de l'existence possible du nanisme pur ; il en parle de la façon suivante : « le nanisme pur avec pe
r conséquent impuissance sexuelle, nous ne croyons pas qu'on puisse parler ni de nanisme pur ni de microsomie pure. 1\1.
t psychiquement des arriérés, non par le fait de leur nanisme, mais parle fait de l'infantilisme ou de la cérébropathie c
ychique n'existaitpas. Nous n'admettons pas, en somme, qu'on puisse parler de formes pures soit de nanisme, soit de micros
à un dernier point controversé de la ques- tion des nanismes. On parle souvent en clinique de nanisme mitral ; selon nou
infantilisme du type Lorain età la gracililé des formes. Je ne vous parlerai pas non plus du, nanisme lIlit1'al qui ne donne
t de la naissance ; le nanisme est donc primordial, et ce fait nous parle déjà en faveur de la microsomie essentielle car
lexandrine semble être tout à fait t normale ; elle commence déjà à parler ; la pousse.de ses dents ne montre qu'un léger
etitesse, en dehors de tout autre facteur pathologique, nous semble parler en faveur de la répétition chez elle de l'anoma
sée, l'écume à la bouche. L'enfant, bien que retardée, commençait à parler à trois ans, lorsqu'elle présenta une crise con
80 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
et le bulbe est trop bien connue pour qu'il soit nécessaire d'en parler plus longuement. Depuis quelques années, la que
volutions. Il restait donc là une lacune, elle fut comblée en 1883 parle mémoire de Kojewnikoff1, qui, dans une autopsie
t embarrassée, certaines consonnes sont pour ainsi dire escamotées, parler lent, monotone, non scandé. Pas de tremblement
s la salive s'écoule un peu sur ses vêtements. Quand la malade ne parle pas, ses lèvres sont rapprochées, la bouche est f
SCOPIQUE'. - Circonvolutions. - En outre de celles dont nous allons parler , quelques circonvolutions des régions frontale
es renseignements qui suivent nous ont été, vu l'im- possibilité de parler où était la malade, fournis par la fille de cel
art sont morts en bas âge, un seul survit, la fille dont nous avons parlé plus haut. Elle a eu deux érysipèles de la face
ommença à remarquer une certaine difficulté de la parole, la malade parlait confusément, « il semblait qu'elle grelottait l
fusément, « il semblait qu'elle grelottait lorsqu'elle se mettait à parler » ; à ce moment déjà, elle mangeait un peu diff
30 mai 1883, elle quitte l'hôpital et revient chez sa fille ; elle parlait encore, mais très fortement du nez ; ne pouvait
i dans quelques-uns des faisceaux de fibres verticales circonscrits parles expansions du tractus intermedio-lateralis. A
. Pour ce qui est des cellules oblongues, à forme de citron, dont parle le Dr Wollberg1, dans sa thèse d'a- grégation,
senbach prétend que les cas sur lesquels Schulz s'est appuyé 1 pour parler d'altérations artificielles, témoignent pré- ci
de la fatigue, de l'incertitude des mouvements, de la difficulté de parler : doses progressives de une demie à une bouteil
s dont vient de Archives, t. X. 8 ! 1 4 SOCIÉTÉS SAVANTES. nous parler M. Magnan, permettez-moi de vous rapporter un cer
graduelle inclinaison de la tête à droite ; il a lentement appris à parler et à marcher, jamais il n'a eu de rhumatisme ni
mouvements avec les muscles du visage et de la langue quand il veut parler ; les convulsions reprennent de plus belle à l'o
agitées d'un tremblement continuel ; la malade répond quand on lui parle , on peut lui donner désordres, des hallucinatio
instrument sur lequel l'air choisi s'exécute. Bishop lui-même m'a parlé encore d'une autre con- dition facilitant le su
rement, sous l'influence des' mouve- ments du lecteur. A proprement parler , le suggesteur ne fait pas de mouvements; il ne
roposé d'en choisir un, que je parvenais à deviner. Il me reste à parler de l'état psychique des per- sonnes prenant par
sclé- rose latérale amyotrophique des cas où le début s'est fait parle bulbe; il en est ainsi, par exemple, pour les d
t de vue du développement et de la pathologie, n'est à proprement parler qu'un composé de faisceaux secondaires pro- ven
s et soeurs, travaille au jardin mais ne veut pas arroser ; ne peut parler intelligiblement. 60 Thomas, cinquante et un
7° Mungo, quarante-sept ans, indifférent pour ses frères etsoeurs, parle quelquefois à James; solitaire, taciturne, travai
écis. - Une tante paternelle aurait toujours été « imbécile »; elle parlait , mais n'était au courant de rien. Pas de paraly
et un mois, a marché à dix-sept mois, a été propre à deux ans, a parlé vers un an. Premières convulsions internes ( ? )
dernier fait que 1\1.1\1... éprouvait une certaine difficulté pour parler , par suite de l'impossibilité où il était de re
préoccupe beaucoup : il cherche à la cacher à tous les yeux et n'en parle jamais à ses amis. A peine en a-t-il quelquefois
la sortie de Bonneval, V... paraît avoir fréquenté les hôpitaux. Il parle de l'asile de Vaucluse, de la Salpêtrière. Il a
semble croire qu'on se moque de lui. Il se souvient de Bonneval, et parle avec gratitude des mé- decins qui l'y ont soign
grande distance dans le cabinet du chef de service. Là, il se met à parler , comme c'est sa coutume quand il est en sommati
tions qu'on lui pose sur Saint-Urbain, ne comprend pas quand on lui parle de Bonneval et de Bicêtre. Or, un instant après
re de l'oe gauche qui stupéfie le cerveau droit; comme si le malade parlait avec cette hémisphère. Quand il est réveillé, l
'interne du ser- vice. Il s'emporte contre eux, les menace de mort, parle de se suicider, et passe quelquefois plusieurs
t du mois de janvier au mois d'avril. Il se croyait au 17 avril. Il parlait l impersonnellement, comme alors. Ce matin la c
ade avait un véritable délire de mémoire de la première enfance. 11 parlait et agissait toujours comme s'il était à Saint-U
e l'hémi-cata- lepsie gauche. Ceci prouve que, le malade se mit à parler avec son cerveau droit dont il eut à faire l'éd
dement, par toutes les phases que parcourt l'en- fant qui apprend à parler . ' Poussons plus loin l'analyse de cette observ
de la parole. Que signifie ce symptôme ? si ce n'est que le malade parle de nouveau pendant cette contracture avec son c
l'état des facultés, car nous n'avons pas assisté au passé dont on parle . P. K. XII. DE L'INFLUENCE DE la GROSSESSE SUR
ois ans; tes verbes ne, sont ,mis qu'à l'infnjtif, le personnage ne parle de [lui qu'à, la troisième personne, mais il est
oit qui rappellent plutôt l'incprti- tude ct'yn'adylë,aPFrenant,à à parler une'Jaiigue étrangère (parole et articulation Ç
ans,"ces" accès' ont disparu- sponta;tément : ,L'enfant n'a, jamais parlé bien qu'elle'comprit1 touticei qu'on lui , disait
ent idiot de naissance, né prématurément (à 7 mois), n'avait jamais parlé , n'avait même jamais présenté de rudiment du la
rveau avec les différentes fonc- tions de l'organisme. A proprement parler , il faudrait diviser ce travail en deux parties
, notamment- : 1° Par les nerfs optique et auditif; ' , ici' 1 2° Parles nerfs sensitifs de là peau; ' , 3o Et par une p
gie expérimentale des animaux ni celle de la clinique de l'homme ne parlent pas d'une manière absolue en faveur de la théor
insensés, « tu recèles des ennemis du peuple ! ... » « Celui qui parlait ainsi était Coutlion. « Le lendemain, le terrib
.).. - .... Hildesheim. Dans la colonie d'Einum,o.n a en 1882 gagné parla nouvelle construction 25 places; elle offre mai
n décisive à ces renseignements. Contre le tabes dorsal spasmodique parleraient aussi les troubles de la sensibilité et de la v
au con- traire, ont cédé à un mobile futile, s'ils se décident à parler , sont incapables de fournir le moindre rensei-
tifs plus ou moins légers auxquels ils ont cédé, mais ils ne vous parleront pas, comme les premiers, de leur lutte contre l
au Dictionnaire, le plus récent quiait parusur ce sujet, aprèsavoir parlé des aliénés conduits à des incendies par le dél
si bien réussi une première fois. Quant aux absences dont il avait parlé , aux morsures de la langue et à la chute des ob
une longue discussion médico-légale. Les faits, brièvement exposés, parleront d'eux-mêmes. En 1876, une petite commune de l'E
OURNEVILLE et SÉGLAS. Pour terminer ce travail, nous avons encore à parler de deux familles ayant produit plusieurs enfant
urs; il n'a jamais pu apprendre de métier; il ne bégayait pas, mais parlait très vite, et parfois on avait de la peine à le
t placé en garde; il n'a marché qu'à deux ans et demi, et n'a guère parlé distinctement qu'à l'âge de trois ans. A cette'
'avait jamais pleuré, maintenant cela lui arrive quelquefois. Il ne parle pas. Croûtes dans les cheveux; pas d'otites, ni
ble d'être amélioré. Il n'a aucune notion du monde extérieur; il ne parle pas du tout, ne pousse que de petits cris heu !
vé au biberon (lait de vache). - Il a marché vers quinze mois, et a parlé vers dix-huit mois ; il a toujours uriné de tem
me. 12 mars. La stomatite est très améliorée ; le malade mange et parle facilement; il ne crache presque plus ; son halei
ril 1872. Idiotie congénitale. Tête petite, front bas, déprimé : ne parle pas, peu de sentiments affectifs : calme et ino
de colères, quelquefois des accès de cris. 1880. 26 juin. Gui... parle très peu, prononce quelques mots (maman...), ne
ait de l'écume sanguinolente (un an). Il n'a jamais ni marché, ni parlé ; il a toujours gâté. Son regard est vague et ne
ant les deux familles déjà tarées et en accumulant, si nous pouvons parler ainsi, l'intensité de l'hérédité. Les unions co
on de la baguette de verre. La phase de somnambulisme étant obtenue parla friction du vertex, nous suggérons simplement l
royait toujours les re- connaître dans les deux personnes dont j'ai parlé et ces erreurs de personnalité, ainsi que les a
cohérentes, car elle n'en veut plus qu'aux deux personnes dont j'ai parlé , et encore ne sont-ce plus des agents. Cette id
d'ailleurs, disparait le 1.5 septembre, de la façon dont nous avons parlé plus haut. Ce jour-là. elle rit aux propos qu'o
la douleur spontanée et l'hyperesthésie du vertex ont dis- paru. Ne parle plus de mourir. 27. - Attaque de léthargie suiv
cée, mais je voudrais bien que cette personne se montre à moi et me parle catégoriquement. » Elle est d'ailleurs très rai
ive à un état d'excitation assez accentué, elle délire même un peu, parle de fleurs, mais les idées détruites par les sug
ous ne soyons pas convaincu de leur nature diabétique; nous voulons parler des phénomènes que nous avons observés chez une
es et psychopathiques, il résulte qu'on n'a pas tout dit quand on a parlé d'une lésion sise en un point, car bon nombre d
va- nique). P. K. XLII. Tumeurs symétriques A la base du cerveau; parle Dr STRAHAN. (Journal of Mental Science, juillet
encore que son caractère était belliqueux. Dans l'ins- truction, il parle d'intrigues, de calomnie, de persécution. En pr
r dans un. cas l'hérédité' similaire de cette disposition bizarre à parler malgré soi et à raconter ce que l'on voudrait tai
mulait une série de re- proches nullement justifiés. Quand il avait parlé six ou sept heures, il était satisfait et sa fe
81 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des, sur le médecin qui, le premier; ayant traité légitimement N... parla morphine, lui ensuite fourni les moyens d'en co
et par la tendance d'éviter par tous les moyens ce regard : si vous parlez avec ces ma- la<[es-ci en les regardant en l
varié ; on ne constate ni délire, ni hallu- cinations. Le malade parle avec concision, mais son langage est saccadé ;
Le malade parle avec concision, mais son langage est saccadé ; il parle peu. tout en regardant de cote. Le malade lui-m
ait dire de telles choses à sa fille âgée de 22 ans, et pourquoi me parle-t -il décela : Il nie connaissait donc presque dep
rofesseur, que je représente un de ces êtres mal- heureux dont vous parlez dans voire description. Je me retrouve moi dans
nt d'une expression impure de son visage ; dans le 4' cas le malade parle dans sa lettre d'un clignotement très fort des
r les malades, comme on le voit dans les descriptions de cet étal parles malades eux-mêmes, en les privant pres- que abs
promu au bout de 3 ans. De quelle nature est la tutelle dont nous parlons ici ? Nous croyons inutile de le redire encore
e d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. 39 manque. etc., sans parler des multiples affections des arcs réflexes prim
en oeu- vre tendent à grossir la somme de nos connaissances. Ainsi parle àjuste titre M. Weygandt. P. 11ERAVAL. ^-sjV.
mouvement et cependant le patient le sent derrière le dos, comprimé parle tronc qui pèse sur lui, ou bien il le croit sur
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. sible saturée. Les coupes qui parle colorant étaient devenues uni- formément bleu s
le ancienne sur des cas de tuberculose sacrée ou lombo-sacrée, on parle si rarement, tant au point de vue clinique qu'ana
ostic ; on n'explique pas, en effet, les troubles sphinctériens, on parle d'atrophie des mem- bres inférieurs sans en che
pas de lésions (examen par dissocia- tion) ; dans l'autre cas on ne parle pas de l'état des ra- cines. C'est donc avec ra
e- ment décelahlesavecles autres méthodes de coloration employées parle restant de la moelle, ne nous a pas permis défair
la production des accidents. L'intégrité absolue des troncs nerveux parle déjà contre celte hypothèse ; seulement dans le
d'aliénés. Nous avons repris un voeu qui avait été adopté naguère parla Commission ministérielle de 1881 (1) ainsi conçu
grains pulvéruliformes. Il y a identité entre les granules obtenus parla méthode précédente de fixation, et ceux qui for
du sublimé as- socié à l'acide picrique, m'ont (c'est M. Passek qui parle ) donné des résultats analogues à ceux qu'ont pu
- sementde l'influence exercée sur les centres nerveux inférieurs parles centres psychiques supérieurs, ex. : démence cong
gé de représenter les idées en images visuel- les. Il ne commence à parler qu'avec une extrême difficulté puis se hâte pré
ux enfants de cinq et trois ans, frères, qui quoique ayant appris à parler sont atteints de surdité verbale congénitale vr
M. ARNAUD fait remarquer que les deux'malades dont il vient d'être parlé , ayant eu déjà des accès délirants indépendants d
teur coupable. La première sensation éprouvée avait été enregistrée parla mémoireavec une telle intensité que le souve- n
me, au moins dans les populations rurales. Les aliénés hospitalisés parla Seine viennent d'origines très diverses. Sur le
servir de ses mains, galeux, dépourvu d'attention et ne sachant pas parler , de l'éducation du système musculaire à celle d
t soit dans le quartier et surtout pen- dant ce passage ! On a bien parlé de construire un nouveau pa- villon pour diminu
des services administratifs au minis- tère de l'Intérieur, délégué parle ministre pour suivre les travaux du congrès ; A
les nerfs périphériques. La coenesthésie serait dono, à proprement parler , tant par ses origines splanchniques que sensor
chique, le plus souvent héréditaire et difficilement réducti- ble parle traitement moral le plus énergique, peuvent tou-
rique pourrait à cet égard être utilisée. ' Enfin le rapporteur n'a parlé que de l'hypochondrie physi- que et il a néglig
es pénibles évoquées par des impressions senso- rielles trop vives, parla mémoire, l'imagination, etc.; ce sont ces repré
hypochondrie intellectuelle : le malade inquiet de son esprit, dont parle M. Régis, est en réalité inquiet de son cerveau
d'échec complet, ou de récidive douloureuse à brève échéance, sans parler des délabrements définitifs et des trou- bles t
sera très attentivement surveillée, et le. plus possible favorisée, parles frictions stimulantes, les mouvements ac- tifs
ique que l'on évitera, avec le plus de soin, tous les procédés qui, parla durée et l'intensité de leur action, mettent tr
noïdes ; ils n'ont plus aucune notion de la famille, dont ils ne parlent jamais, tout leur est indifférent, ils n'ont plus
brachiaux, - des nerfs dorsaux, du spinal, du plexus lombaire ; - parle pneumogastrique, le phrénique et les in- tercos
le régime alimen- taire, l'air, les changements d'impressions. Elle parle de l'ac- tion des poisons sur le système nerveu
sque soudain M. Fanrel se mit à l'aire du bruit dans sa chambre. Il parlait fort et accompagnait ses paroles de gestes -véh
s plus moi ». z En novembre, la malade, toujours aussi anxieuse, ne parle plus de sa transformation en chien ; mais elle
tes, et le malade, principalement dans les paroxysmes de la nuit, parle , crie, s'épouvante et cherche à se lever, à s'éch
nc au plus tôt dans la seconde semaine que l'on peut anatomiquement parler de processus cons- cients. Nous verrons dans l'
fonctionnel peut être réalisé par intoxication par le chloroforme, parla diminution de l'innerva- tion volontaire des fl
u'il est nécessaire d'y insister. Ils ont le tort, à notre avis, de parler d'activité psycho-pliysiologi- que chez un indi
tard que la respiration seule devient tout à fait régulière. Preyer parle du vingtième mois. Pour ma part, je l'ai observ
au-né anencéphale ou normal, c'est par un abus de termes que l'on a parlé de conscience médullaire. Ce caractère d'un fai
vers le cinquième ou sixième mois après la naissance que l'on peut parler d'une conscience élément. taisre chez l'enfant.
les. Et quand je dis que cet arrêté a supprimé un corps spécial, je parle en fait et non endroit, parce que jusqu'ici les
ats malheu- reux de l'adjuvat, passés au filtre supplémentaire dont parle le 1), Levet..1( ne désire même pas, comme ce d
lpètrière 1904 ,n°4.) Observation, avec photographies, intéressante parla localisation à un seul côté de la paralysie des
tatées furent presque identiques : début vers la trentième année parles membres inférieurs; douleurs lombaires, localisat
n â la symptomatologie du spasme sa- lutatoire (Epilepsia nutans) ; parle Dr DFCROLY. (Journ, de Neurologie), 1904. lie 2
MENCE liPILCPT(QI;E ? 3 rien faire en classe. Il lui est pénible de parler , du se dépla- cer. Il a toujours l'air hébété a
dimension d'un oeuf de moineau. Même traitement. Juin. - L'cnfant parle de moins un moins et la parole, quelquefois, es
ine L... est brune ; elle a le teint mat, les traits alan- guK Elle parle à voix basse, gémit pal' instants. Idées hypocon-
a voix est atone. les traits tristes ; le regard fixé au sol ; elle parle lentement. Le pouls est petit, lent (ego). Les
te la journée et la nuit, elle entend des voix qui la menacent, qui parlent d'elle et la font passer pour aliénée. Les autr
us inconnus ; il se disait l'auteur d'un crime dont .les jour- naux parlaient il ce moment. avait par instants des crises d'ex-
nnaissait personne autour de lui. Par instants, il était loquace et parlait d'événements concernant sa vie. Celle crise pas
t de la tète. Le lendemain, il est triste, abattu, somno- lent ; il parle peu : il dit à sa femme : J'ai peur de vous avoir
, avec quelques taches pig- mentaircs sur les tempes. On l'alimente parla sonde. L'insomnie est absolue. Pendant trois jo
ments qu'on lui don- nait n'étaient pas payés. Plusieurs fois, elle parla de morl et lit même des tentatives de suicide.
convient le mieux aux cliolé- miques. Le lait est largement ordonné parles aliénistes, pour les mélancoliques, et par le p
litz, que les maladies mentales soient heureusement influen- cées parle travail physique ou psychique. Le travail ne peut
, mais frappe certains systèmes, ce qui semble devoir être confirmé parles éludes actuellement en cours au Laboratoire de
e malheureux radote la même idée ou que, finalement indifférent, il parle 101'1 lieu, tout entier à sa besogne quotidienn
dorso-lombaire gauche, métatraumatique. Forme cli- nique curable; parle \)1' II ! : vn.ttou.(lTOOV.Iconor.tlelaSalpo- t
la suggestion dans le demi-sommeil qui suif l'anes- H)esie générale parle chlorure d'ethyle ou le sumnulmnne. Les auteurs
\i"le des ra ? ( ! ans lesquels l'abcès collecté profondé- n)fnHu5e parle trou déchiré postérieur et donne un ahci's rdl'O'
uccombent il des affections intercurrentes. Dans le syndrome décrit parles auteurs, un ne trouve pas d'altérations de l'ét
- lité du caractère épileplique ? Nous en avons souvent en- tendu parler par notre maître, le D" l3uul'ne\'ille, et. notre
s tumeurs cérébrales, la sénilité peuvent la reproduire. L'auleur parle , en terminant, du diagnostic de l'affection avec
blable que cette myélite soit la conséquence de l'ischémie produite parla compression, c'est-à-dire un ramollissement isc
eut y avoir aussi une lésion mécanique directe des fibres nerveuses parla com- pression ; celles-ci alors offrent une con
restes des dernières ver- tèbres supérieures, repoussées devant lui parle segment t inférieur dans le canal vertébral. Gu
moelle peut être fréquemment comprimée directement et défor- mée parles masses fongueuses épiduraleset due la lésion mé
ecte de la moelle, dont l'expression est la déformation, doit être, parles statistiques données et par les observations pu
dans l'espace sous-arach- noïdien et dans l'intérieur de la moelle, parla compres- sion exercée par le tissu épidural Pou
Goll. Mais le Marchi ayant été négatif, les renseignements fournis parle Pal ne suffisent pas pour se prononcer sur l'in
constatation anatomique la plus saillante n'est pas ici représentée parla diminution en fibres nerveuses, mais parles phé
st pas ici représentée parla diminution en fibres nerveuses, mais parles phénomènes d'oedème due la moelle. Si l'on peut a
- dien : le signe dcWcstpIml ne peut pas non plus être ex- plique parla lésion de lapartiecellulairc de l'arc réflexe,
achilléens peut être bien ex- pliquée, dans notre cas particulier, parles lésoins ta- bétilormes que nous rencontrâmes da
e dans les cordons antéro-lateraux ont presque complètement disparu parle contre cette hypothèse. Dans la seconde hypothè
d'une très grande finesse. * - , Les essais expérimentaux pratiqués parles auteurs ne valent guère la peine qu'on s'y arrê
mêmes dilutions etdans le même temps, une agglutination très nette parle sérum de deux comitiales symptomatiques et de t
82 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re en se contorsion - nant et sautillant sur une jambe quand on lui parlait . Aujour, d'hui elle se tient plus convenablemen
justifiait pas d'une façon absolue le maintien dans un asile » dont parlait la lettre ministérielle du mai 18(12 ; ce sont
gie droite, trace de la main gauche les lettres de l'alphabet. Sans parler de la crainte qu'en ont exprimée avec insistanc
fonctionnement indépendant des deux hémisphères. Je crois en avoir parlé dans divers endroits de mes livres. Vous faites
ement double chez les oiseaux (poulet) ; et si, chez l'Homme, on ne parle que d'un seul canal thoracique cela tient à une
Bothryllis sont formées de deux rangées de cellules. La tératologie parlait dans le même sens par suite de l'existence de l
vons du moins dès ce moment que M. Bonne, et avec lui tous ceux qui parlent d'unicité primitive, font une confusion fâ- che
de tirer argument en attendant preuve contraire. Quand donc vous me parlerez d'un organe médian, ne me dites pas seulement :
liste. Tube digestif. Après ce qui précède, je pourrais cesser de parler des organes médians : la question qui les concern
nt pas. Organes génitaux. M. Bonne me fait grief de n'avoir point parlé de l'utérus et du vagin,comme si ces organes prou
morphologiquement distincts. Mais puisque M. Bonne souhaite qu'on parle des origines de la langue et de la glande thyroïd
i les individus monstrueux obtenus dans les expériences dont nous parlons ont été des demi-individus comme les nomme Chabry
és. L'existence des cas phéno- (1) Il est d'autres preuves fournies parla sociologie, preuve tirée de l'existence d'une s
ce.. Cette accu- mulation sous-entend de grossières erreurs. » L'A. parle , cette fois-ci, d'une part, du thymus, d'autre
avez pris, Monsieur Sabatier, votre pensée pour la mienne ; je n'ai parlé du tube digestif (p. 204), après vous avoir cité
omonique ; tout au plus, dans l'hys- térie, pourrait-on quelquefois parler d'un «pseudo-Trousseau »; il coexiste souvent m
raxie motrices. Dans les der- niers temps de sa vie en effet, il ne parlait plus, ne répé tait plus aucun mot prononcé deva
vent pas de sensations, n'entendent pas de paroles, mais qu'on leur parle d'âme à âme, de pensée à pensée ; chez la malad
aillarger,la malade n'entend pas de voix et n'a pas la sensation de parler ses pensées ; les conversa- tions se font d'âme
diant bégayait au point de ne pouvoir se faire comprendre dès qu'il parlait à une personne qui n'était pas de ses intimes.
ente. Un rebouteur lui annonce les plus grands maux ; elle cesse de parler , de manger, s'alite, reste immobile, comme endo
nombreux, relatés jusqu'ici. Au bout de trente ans, Bénita se lève, parle , se souvient des personnes et des choses ; pour
oir, se presentaitaucommissariat du quai de Oestres et. demandait à parler à 11. Picot, commissaire de po- lice, ayant à l
V... sa belle-soeur ; tantôt elle est Mlle P... sa cou- sine ; elle parle d'elle-même à la troisième personne, s'apprécie
elle du suicide et de la vengeance..Mais alors qu'en état de délire parlé , elle est surtout hantée' par l'idée du suicide,
r les X....lamaisj'oserai reparaître chez «nous. le n'osais vous en parler , je craignais que ce soit vrai ; ce- «pendant j
s la lutte contrôles sugges- tions criminelles. Mais il ne veut pas parler pour eux de res- ponsabilité atténuée parce qu'
n- gers, il n'y a pas, entre les accès, d'intervalle à proprement parler lucide. On y observe toujours certains phénomènes
Ces constatations, analogues à celles de Probst et de Camp- bell, parlent d'une façon générale en faveur de la nouvelle c
ité de l'enfant la base de toutes les manifestations hystériques et parler d'une hystérie in- fantile physiologique. Chez
n congrès de médecins aliénistes ne pouvait se réunir à Genève sans parler de J-J. Rousseau. A maintes reprises,nous avons
reusement trop résumées,les idées prin- cipales. M.B. Après avoir parlé des antécédents héréditaires de Rousseau, \I. R
cerveau pendant la vie intra-utérine. M. le Dr ANGLADE(Vaucluse) parle de la méniiigo-corticalite dif- fuse dans la pa
art, vers les couches profondes de l'écorce cérébelleuse. Pour ne parler que de cette localisation du processus, nous po
anger et à moi, on nous a ouvertement reproché de n'avoir pas passé parles asiles avant d'entrer ici; nous tenons à déclar
définir ce qu'il appelle la neurasthénie, car c'est parce qu'on ne parle pas des mêmes choses, qu'on ne s'entend pas. Je
voyons des crises singulières de logorrhée dans lesquelles le sujet parle indéfiniment, à tort et à travers de toutes esp
que la contre partie. Beaucoup d'auteurs ont signalé ces muets qui parlent en rêve en crise, en somnam- bulismé : j'en ai
e la dégradation, de l'altération des fonctions dont nous venons de parler à propos des contractures. H On devrait faire p
uiSE G. RoBINOVITCx, de New-York, 1° L'épilepsie électrique dont je parle ici est celle produite par un courant continu,
de l'équilibre et du nystag- mus. L'insuffisance vestibulaire dont parle le professeur Raymond peut être mise en évidenc
nd. (Lyon médical, 30 décembre 1906, n'- 52.) L'observation publiée parles auteurs est intéressante à plus d'un titre, d'a
u tous les procédés qui composent le traitement médico-pédagogique, parlé du traitement physique, du. travail manuel, du
nt ses travaux sous la présidence de M. Rolland. Dans le texte volé parla Chambre des députés, une disposition avait été
NTALE z Contribution à l'étude des perversions sexuelles : \Cf. Parle prof. Alexandre STCI1ERI3AK (Varsoie)t, OBs. I.
rarement les sen-' timents sexuels particuliers dont nous venons de parler , et ces derniers n'atteignent pas une intensité
ent des sentiments ayant un fond agréable. Le contraste dont nous parlons ne peut être expliqué autrement que par une dis
Ceci bien établi, la malade a changé de système; elle a commencé à parler bien sérieusement et franche- ment et manifesta
e ses « bizarreries » et sa « fureur utérine » ; en même temps elle parlait de sa « bizarrerie principale » avec un entrain
on consiste justement en ce que les résultats immédiats ob- tenus parla coquetterie même - l'état d'excitation se- xuel
iqu'elle ne se représentât pas bien de quelle façon, à proprement parler , elle pourrait satisfaire ses vagues désirs ; il
par ses anomalies sexuelles étranges Jusqu'à présent le malade n'a parlé à personne de ses anomalies, il n'a même ja- ma
ait très bien, même dans l'expression de sa physiono- mie, quand il parlait sur ce sujet. Pareillement la vue d'une femme d
nfance, avait honte de ses pensées concernant le garrottage et n'en parlait à personne ; insconsciemment il traitait ces pe
nt des tendances sexuelles normales. Cette conclusion est confirmée parle fait que les particularités sexuelles des femme
es connaissances psychiatriques. z Ainsi il n'est pas possible de parler de l'intérêt des mala- des sans songer à l'ense
e s'est préoccupée pendant l'année 1905 la Commission dont il a été parlé plus haut ; leur nombre est considérable, il pa
ale ? Il ne le semble pas : car cette femme est som- nambule ; elle parle * la nuit, et selon toute vraisemblance,elle aura
on, son ennemi, tenant en main une valise, la même e dont lui avait parlé son amant, et qui devait contenir des valeurs.
«. « C'est comme moi ; dit M ? e Granet.Je e ne voulais pas vous en parler . » Nous nous sommes fait redire par l'une et pa
ptembre 1904, soit six semaines après son renvoi, comme Marie Forel parlait de Nelly Dor à son amie, elle ajouta incidem- m
té des voix. « On aurait dit que c'était une voix, quelque chose me parlait à l'oreille comme une voix d'homme, on énonçait c
endre conscience, à la manière d'un confident qui ne nous sert qu'à parler tout haut avec nous-même. Sans Marie Forel, ell
oses, elle était à cent mille lieues d'y .penser. Quand elle m'en a parlé , elle a bien pensé tout de suite qu'elle était
En bonne per- sonne, elle a continué à me servir. Nous nous sommes parlé de cela au bout d'une quinzaine de jours (ici,
es nouvelles de l'héritage de sa demi-soeur. » On ne m'avait jamais parlé de ça. J'ai bien une demi- soeur, que j'ai perd
le est riche, je ne compte pas sur sa succession, je n'en ai jamais parlé . Seulement j'attends toujours le legs Piéranton
nes clientes, et elle sait bien que je lui rendrai son argent. N'en parlez pas, à cause de son mari. » · SUR UN CAS DE D
DÉLIRE D'INTERPRÉTATION 347 quelques années il pourrait être (à ne parler que de per- sécution) méconnaissable., La var
ond avec précision aux questions posées. Alsacienne d'origine, elle parle et écrit très bien, l'allemand ; elle parle bien
acienne d'origine, elle parle et écrit très bien, l'allemand ; elle parle bien le français mais l'écrit moins correctemen
sa voix. Il devait être avec le brasseur. Du reste, quand elle en a parlé à son mari, il est devenu lui aussi tout rouge.
hers livreurs de la brasserie des M., qu'elle connaissait. Elle lui parle un instant et le prie, en le quit- tant, de sou
st qu'ils étaient, eux aussi, au courant de ses misères. Quand elle parle du retour à Paris de son mari qui était allé se
issances ; il y en a qui vous lancent des coups de patte ; on ne me parle pas, mais c'est pour moi quand même llle conclu
lle se prend par exemple l'extrémité nasale, si la personne qui lui parle se prend cette même extré- mité. D'autre part
7, présentaient de l'anesthésie et de la xénoglossie (l'a- culté de parler dans une langue étrangère). Après la relation de
n de quelques cas isolés et de contagion des exorcistes, l'auteur parle de l'inquisition : Elle usa des bûchers contre le
a médiumnité paraissent aujourd'hui accessibles ; et le Dr Dupouy parle de Jeanne D'Arc, qui n'est pas une vésanique, com
ralisée et les troubles locaux dus à l'acronévrite; cette connexion parle aussi en faveur de ce diagnostic. La perte de l
le, entre autres, d'expliquer la couleur noire des matières fécales parla formation de sulfate de plomb, et comme le mala
est de même de la mémoire. L'attention est fugace. M... n'a jamais parlé , jamais marché, n'a jamais été propre. Maladies
vu qu'elle ne se tenait pas debout, et qu'elle ne commençait pas à parler , qu'on pensa à l'arriération de l'enfant. Elle
pour se terminer par la mort, après l'une on l'autre période, ou parla guérison. Ici, il n'y a qu'une période, la péri
seules envisagées : « Faute d'une bonne définition, on alla jusqu'à parler de paranoia aiguë curable pour des cas de confu
D'ALIENES La Maison d'Aliénés de Mombello. (Province de Milan.) Parle D' A. MARIE. La maison d'aliénés de Mombello, d
ous les mots. Toutes les formes d'excitation primaire ou «besoin de parler » ont ceci de commun qu'elles sont étrangères au
contraire,dans la « persévération'» ou verbigération, le besoin de parler se satisfait t constamment avec les mêmes éléme
rte pratiquement l'admission d'une certaine liberté. l'on consent à parler de responsabilité et d'irrespon- sabilité pour
83 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
choses qu'on a voulu désigner par le mot. Actuellement, lorsque l'on parle d'hypnotisme, il n'est pas d'esprit un peu cultiv
valeur des mots, on est bien prêt à se comprendre, car on commence à parler le même langage. Les querelles d'écoles rivales n
ore d'entendre la voix émue et reconnaissante d'une personne qui vous parle avec son cœur, sentant bien que vous l'avez guéri
seront préservées de la corruption du monde. L'ainéc ('J a fort bien parlé à M. do Roboars; et, pour la jeune («) elle est s
es, parce que le fils de Dieu veut nous trouver dans la solitude pour parler à notre cœur.... La mère prieure vous salue etvou
ement à tout ce qu'il avait mie d'excellent on elle. » Nicole enfin parle à Gilberte, * de la piété non discontinue » de la
tre exemple, est celui de la dormeuse de Thenelles dont on a beaucoup parlé depuis quelques années, et qui est entrée dans la
us le nom d'hypnotisme correspondent à ces sommeils particuliers dont parlait Bichat. lis en sont la reproduction expérimentale
, dans ces cas rares, est tout différent du transfert dont nous avons parlé d'abord. On a dit que le transfert n'est que le
de i'urine de bœuf rouge. Un jour, unefemmede la campagne vint nous parler . Après bien des détours qui témoignait de son emb
i nous échappe et qui nous ùit penser au-delà des images du rêve dont parlait Anatole. On pourrait comparer l'état mental de ce
association étrange mais nette, et généralement difficile à expliquer parles opinions courantes sur l'association des idées, r
rois ans, n'osant mémo aller à la messe sans leur mère, qui, si elles parlaient dans la rue à quelque amie, leur demandait d'un t
sacrés, chaos de ténèbres sillonné d'éclairs ! Les hygiénistes ont parlé de la contagion par le livre. Que n'ont-ils fait
normale, cause, s'entretient à peu près correctement, mais cependant parle d'une façon légèrement précipitée. Jamais on n'a
e, se déshabille et c'est alors qu'elle se réveille, si on peut ainsi parler et dit à son fils: ? Mais ne devions-nous pas pas
sonnellement. Elle avait été â l'exposition de 1889 ; quand on lui en parlait , quand on lui nommait la Tour Eiffel, elle ne sav
ie. Elles ont disparu quand se sont produites celles dont nous allons parler et nous ne trouvons chez la malade aucun stigmate
rès; l'opéré entend, et ne se souvient plus de ce qu'il a entendu, il parle , et ne sait plus ce qu'il a dit, il voit, et perd
le régime de nos lycées et collèges. (Juand les enfants se lèvent, de parle règlement; ù 6 heures, ils se couchent à 9, ce qu
jour que cette singulière propriété venait de ce que les ventriloques parlaient non en expirant l'air comme nous le faisons ordin
ion des ventriloques est la mémo que celle de vous et moi, quand nous parlons . En examinant le fond de la gorge, on remarque se
nne; en second lieu, nous avons l'habitude, en entendant une personne parler , de lui voir faire certains mouvements des lèvres
ujours à la maison, ne se lavent ou ne se baignent presque jamais, ne parlent ainsi que leur entourage que d'asthme, emploient
efforts de toux, de nouvelles mucosi* tés se forment toujours ; sans parler des effets nuisibles de la toux sur l'estomac, la
a volonté peut avoir d'iniluence sur l'accès. En terminant, je dois parler d'un facteur dans l'éducation asthmatique, qui es
es passes citées plus haut. On combat également avec un grand succès, parla suggestion hypnotique, l'insomnie, cette mère des
auto-suggestions que se fait le malade seront également neutralisées parle même procédé. Le seul trailomenlulilc contre la n
t pour mémoire seulement et ù l'appui de celle communication que j'en parle aujourd'hui, pensanl que la question ne doit pas
ues autres trompaient les longs loisirs de Mari ne-Terrace en faisant parler les tables. Victor Hugo s'intéressait beaucoup au
rrespondance, et elle nous est devenue aussi familière que le langage parlé . A des milliers de milles de distance je guéris d
rientales, que nous connaissons encore bien mal. Il nous est rapporté parle Dr Th. Pascal, qui en a été témoin pendant son vo
sonnes hypnotisées agissaient de la même manière que celles dont il a parlé . Mais celles que j'ai observées ne rentrent pas e
mmes philosophes et où vous étiez certes pour beaucoup? Nous vînmes à parler du roman psychologique. Et nous étions d'accord,
glisse la volonté de la femme. Voici un passage. Le héros du livre y parle lui-même : • ? ...C'est un étrange sentiment, que
te, Mrs Pipers, une Américaine des environs de Boston. Le Figaro en a parlé le premier sous la plume autorisée de M. Paul Bou
— Votre ami, George Pelham, a quelque chose à vous dire. —. Qu'il parle , répondit Hodgson, étonné d'entendre ce nom dans
la bouche d'une femme qui ne pouvait le connaître. M. George Pelham parla — bien entendu — par la bouche du médium. Il ra
émoins ordinaires, devant la gravité de certains faits, impressionnés parles conséquences que peuvent avoir leurs affirmations
s animaux, c soit logé en la partie qui est particulière à l'homme, à parler propre-ß ment ». L'argument n!est pas topique.
é ¦¦¦ l'œil fraternel » du chien Fido, ou comme François d'Assise qui parlait de ses frères * les petits oiseaux » et de ses sœ
areille explication, dît-il, n'est pas admissible : les signes dont « parle Vives sont des équivalents non du rire mais du so
t fort mal le français à l'état de veille, mats, une fois endormi, le parlait couramment et sans faute. Les poisons, comme l'
alade que l'on vient de chloroformer en vue d'une opération, se met à parler en albanais; il avait, il est vrai, appris cette
leillerie, de des Champs des Landes et deBaudri de Saint-Gilesd'Asson parla Fréquente Communion, d'Antoine Arnauld; celies d'
maintenant, suit son cours, il n'y a plus qu'à interroger ou laisser parler le sujet, il donnera des détails sans qu'on les l
mélancolique. II reste des journées entières sans mot dire, ou, s'il parle , c'est sur un ton d'emportement, presque do rage
. A partir de ce moment, les crises devinrent plus aiguCs. M. T... me parla de tuer sa femme, son ami, et de se suicider ensu
parla de tuer sa femme, son ami, et de se suicider ensuite; quand il parlait d'autres membres de sa famille, il divaguait. Com
s survenant à des intervalles de plus en plus rapprochés. H suffit de parler devant elle du spiritisme. Immédiatement, elle pr
souffre actuellement de douleurs dans les extrémités; i! est déprimé, parle à voix basse et ne comprend pas bien ce qu'on lui
ggestion, en ce qui a rapport à l'ouïe ou à l'audition, est pratiquée parle compositeur de musique. Le plus célèbre d'entre
moureux voit la bien-aimée dans sa pensée. Il l'entend parler, il lui parle , toujours dans sa pensée. Il se promène avec elle
e cas pour la suggestion religieuse d'ascendant à descendant, dont je parlerai plus loin. Tel fut le cas pour Du Vergier de Haur
évotion était extraordinaire, il ne pouvait souffrir que Gilberte lui parlât de la beauté des femmes, et il trouvait même mauv
es, parce que le fils de Dieu veut nous trouver dans la solitude pour parler à notre cœur. » Souvent aussi les dévots aiment
9, je recevais la visite d'un commerçant de province, M. B..., qui me parla ainsi : « Ma femme présente depuis plusieurs mois
lui deviendrez par le fait môme antipathique et elle refusera de vous parler , a Nous convenons alors que le lendemain dimanc
u'on lui adresse, ou qu'elle entend prononcer. Lorsqu'on cesse de lui parler et qu'on l'abandonne à elle-même, elle offre très
es sur la voie publique. Mme B... a été très douloureusement affectée parla violence de la campagne antisémite; la vue des pe
ine à la décider; en cette circonstance encore, la cousine, dont j'ai parlé plus haut, nous apporte un secours appréciable. E
tude, de peu d'importance d'ailleuis, de dormir dun sommeil agité, de parler pendant son sommeil et de se lever quelquefois sa
asmes rythmés du diaphragme qui l'empêchaient presque complètement de parler et de déglutir ; son abdomen était animé de contr
étonnante, passer inaperçue pour ceux qui approchent le malade ou lui parlent . Pour ces deux espèces de fugues, il y a consécut
ournée, on l'avait vu avec un de ses amis, rue Lafayette, et il avait parlé d'aller passer la nuit au dortoir des rapatriés c
aris pour touchersapaye mensuelle. Au siège de son administration, il parle de sa fugue, en est émotion né et repart pour tro
ses fugues, à savoir les travaux supplémentaires. Jadis, je vous aï parle d'un enfant de douze ans qui avait fait une fugue
caractères de rigoureuse authenticité dont ils sont revêtus. Je veux parler des procédures dirigées contre des animaux pendan
Je donne une crise, je la laisse se développer, et alors, je l'arrête parla parole ; je dis à la malade : Je vous touche, vos
lle raconte : quelqu'un s'est, de loin, emparé d'elle et l'empêche de parler ; il a avec lui une ß clique » de femmes qui pénèt
84 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
nfant a une physionomie réfléchie, froide et dure. Bien qu'il sache parler , il faut le contraindre de répondre quand on lu
qu'il sache parler, il faut le contraindre de répondre quand on lui parle (ce qui parfois suscite une colère, l'enfant y ét
! ! J2 (7 <lnsl/2)' A son entrée (22 février 189(5), l'enfant ne parlait pas et n'était pas encore tout à fait propre. S
mal tirés et ses vêtements non boutonnés. Actuellement, l'enfant parle assez distinctement; sauf les r et g qu'il ne p
uriait jamais et pleurait continuellement. tl2cjouiol'hui, l'enfant parle , il fait des phrases. Il ne gâte plus, mange pr
illy (7 ans et demi). A l'entrée 12' septembre 18 ! 17), l'enfant parlait à peine, était gâteux par périodes. Il savait à
petite école et de la petite école complémentaire, dont nous allons parler dans un instant, ont fait régulièrement les exe
ires relatifs à Y enseignement primaire, dont nous avons si souvent parlé dans nos Comptes rendus de 1880 à 1898 et que n
les idiots et les arriérés. Les enfants dont nous nous occupons ne parlent pas ou parlent mal ; dès que par une méthode pa
les arriérés. Les enfants dont nous nous occupons ne parlent pas ou parlent mal ; dès que par une méthode particulière nous
x pas la douche. » - « 1' veut du lé (lait), » etc. Mais cet enfant parle avec une telle volubi- lité, qu'il est souvent
abo, la classe et faisons en un mot les leçons de choses. Puis nous parlons à nos élèves de leur famille et leur présentons
fants invalides, qui séjournent dans les locaux dont nous venons de parler et dans la cour située entre leur pavillon et l
e notion, sur tout ce qui concerne les exercices classiques. Elle parle bien, répond directement aux questions qui lui
t pas, ne par- lait pas, gâtait nuit et jour. Aujourd'hui, l'enfant parle et sait soutenir une conversation comme les enf
savait ni s'habiller ni se déshabiller. Aujourd'hui elle a appris à parler , elle sait soutenir une petite conversation, la
n successeur, M. Bedorez, les Notes et Rapports dont nous venons de parler . Nous n'avons pas appris que, jusqu'ici, il ait
doués que les autres, mais normaux par ail- leurs, écoles dont j'ai parlé dans ma circulaire du 27 mars, il existe encore
que j'ai précédemment faites sur les écoles dont il s'agit. Je veux parler du rapport fait en mars dernier. Signé : Au C
supérieure, et s'arrête sur le front à la ligne de striction formée parle bord du béret. Pas de rougeur de la muqueuse bu
rapeutique dans l'é- pilepsie. La plupart des ouvrages récents ne parlent pas du sedum acre ou se bornent à le citer. Il
signaler dans le reste de la famille.] Mère, 38 ans, très nerveuse, parle avec volubilité, s'agite, a des tremblements da
volubilité, s'agite, a des tremblements dans les mains lorsqu'elle parle , ne peut rester en place, pousse de continuels
ans passés, sans accidents nerveux. N'a jamais su marcher seule, ni parler . Vers 4 ans, commence à dire quelques mots : «
tition a été un peu retardée ; l'enfant n'a jamais marché seule, ni parlé et a toujours été gâteuse quoiqu'un peu moins à
de l'attaque il se rend confusément compte qu'on l'entoure et qu'on parle a côté de lui. Il verrait dans ses attaques des
10 heures du soir, dans le lit, IL.. sans ouvrir les yeux se met à parler à haute voix sur un ton de discus- sion ; il s'
s dents ont paru à G mois. Dentition com- plète à 15 mois; l'enfant parlait bien il 2 ans et était tout-à-fait propre vers
connaissant personne : il avait un peu de fièvre. Le médecin aurait parle de méningite. Pas de grincements de dents, ni d
mblement de la langue ; la parole est assez libre (' ? ), le malade parle un peu entre ses dents. Dans la station assise,
s yeux « dansent quand il a beaucoup travaillé).. « Par moments, je parle assez bien, par moments, j'ai un zozottement. L
ssez bien, par moments, j'ai un zozottement. Lorsque je ne puis pas parler tout de suite, il m'arrive de me mordre la lang
d'un tremble- ment tétaniforme de tout le corps qui l'empêchait de parler . Les doigts et les orteils étaient « ratatinés,
s chez l'enfant normal. 163 Altérations pathologiques. - Nous avons parlé plus haut d'un thymus farci de petits foyers d'
ni de secousses. Jamais Gro... n'a donné de signe d'intelligence ni parlé . Il restait toujours couché, car, assis, il tom
ain de divines visions. Tantôt, elle prend le ton de l'exhortation, parle des choses saintes aux autres enfants, leur rec
- Dans la nuit d'hier, Gas... a été très agitée, elle s'est mise à parler haut, crier, chanter : elle s'est levée de son
dre compte. Elle est remise à l'infirmerie, elle ne prie plus ni ne parle plus des choses saintes, elle est surexcitée, p
ue au lit qu'avec difficulté. L'enfant ne fait plus sa prière, ne parle plus de Dieu ni des saints, sa pudeur elle-même
demande -Il descendre jouer avec les autres enfants, les reconnaît, parle ; et joue genti- ment avec elles. Elle est redev
a mère et l'a accueillie avec la plus vive joie. Elle est calme, ne parle plus des choses religieuses, raisonne cor- rect
s comprendre ce qu'on lui disait. - La nuit, elle a été agitée, a parlé haut, prononçant des phrases sans suite. 23 avr
it qu'elle n'a pas la notion de ce qui se passe autour d'elle. Elle parle peu, est calme, triste. 24 avril. - Même état,
ent, veut monter sur les meubles, s'en aller. Il rit, reste hébété, parle d'une façon incompréhensible. Dans son accès de
ccès, aurait duré plus de 2 heures. En revenant à lui il ne pouvait parler . Comme il n'avait pas de papiers sur lui, on l'
nt. Quelquefois cette sensation durai ! cinq minutes. Il n'en a pas parlé , dans la crainte d'effrayer sa mère et sa femme
sont restés égarés, fixes. Elle a suivi le convoi et n'a commencé à parler qu'aux fortifications. - Jusqu'au 22, rien de p
atelier l'ont conduit il l'hôpital St Antoine. Durant le trajet, il parla continuelle- ment d'une façon inintelligible. C
januiei·. - L'enfant est bien portant. Il a douze dents, commence à parler . La fontanelle antérieure présente encore un ce
a encore des secousses. 13 avril. - De temps en temps, quand on lui parle , ses yeux deviennent fixes, et elle ne répond p
85 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ue impossible : c'est à l'excitation particulière dont nous venons de parler qu'il faut ici faire appel, et aux moyens de la p
timent de sympathie qui unit iorcément des hommes qui se comprennent, parlent la même langue scientifique, poursuivent le même
rands traits, le portrait de l'homosexuel. Nous allons, plus loin, en parler en détail. Combien y a-t-il d'invertis sexuels
Pendant deux ans et demie, il trompe médecins et chirurgiens : on lui parle de troubles trophiques,il laisse dire ; on lui pa
urgiens : on lui parle de troubles trophiques,il laisse dire ; on lui parle de lésions dues à des névrites, il laisse dire ;
e l'inversion sexuelle par M. le Docteur Laumonier En venant vous parler de la thérapeutique individuelle de l'homo- -se
elle est, en partie, sous la dépendance du traitement psychique, j'en parlerai à propos de ce dernier. Bien souvent, en entran
e sera, sinon guéri, du moins très amélioré. Mais il ne s'agit pas de parler * morale ; la morale n'a rien à voir dans ce cas,
femmes intelligentes, même un peu pas-bleu qu'il trouvera le mieux à parler sans arrières-pensées de ces questions d'art et d
és ordinaires, et tant qu'il n'a pas reparu, il est bien imprudent de parler de guérison. Enfin, pour terminer, une dernière
mon fils ». « L'apparition fit signe que oui, et quoiqu'elle ne put parler , on sentait qu'elle était aussi émue qu'eux. Elle
préméditation par une personne mal intentionnée. Il n'y a pas lieu de parler ici de ce dernier cas. Les manquements à la métho
uperet et c'est nn cadavre que. paraît-il. on guillotina. Hack-Tuke parle d'un homme à qui l'on accorda un sursis au moment
une lucidité et nne maîtrise de soi étonnantes. Lorsqu'il a cessé de parler , un de ses collègues s'approche de lui et lui dem
e. Enfin, se croyant encouragé par cette dernière, il se décide à lui parler franchement : - Voulez-vous être ma femme, lui di
s, mais nous, nous marchions, nous accomplissions notre devoir : nous parlions et rions même et nous étions comme dos fantômes.
p élever la voix et porter sur une de nos jeunes compatriotes dont on parlait , des appréciations aussi violentes que déplacées
t amené à augmenter les punitions. ?. Châtiments corporels. — Je ue parle que pour mémoire des châtiments corporels justeme
devoir manqué, après explication. Cela ne constitue pas, a proprement parler , une punition. La privation de sortie, dans les
ongée dans un état de fascination visuelle très marqué, se traduisant parle besoin irrésistible de suivre mes yeux dans leurs
L'âme de ton mari vient de me pénétrer et c'est lui, maintenant, qui parle par ma bouche. H te recommande d'avoir en moi la
llègue le réfute aussitôt et très vivement. Hunter cesse .aussitôt de parler et, s'efforcant de contenir l'explosion de sa col
nt à l'encontre du but de la guerre, qui est l'écrasement de l'ennemi parla victoire. Rien n'est plus important par suite pou
nie lassitude qui dominent toute la psychologie du vaincu. Ecoutons parler Sarrazin. » L'observation est un instinct chez le
e guerre, la tâche de me disculper, à vos yeux, d'avoir si longuement parlé de la psychologie morbide du temps de guerre. «
ns plusieurs temples on adore Yichnou sous la figure dont on rient de parler et a laquelle on donne, dit Sonnerat, le nom de V
eurt. Mais, c'est presque de la sorcellerie, cela, et je ne voulais parler que des remèdes honnêtes. Ceux-ci sont plutôt rés
ille, qui s'est exprimé ainsi : « Vons avez entendu juaqn'a présent parler dé l'agrégation par des confrères qoi ne sont pas
'Ici arrivés ft en comprendre ni l'intérêt ni la portée. Quand lie en parlent Ils le font sans . les avoir étudiées et leur ens
ns titres officiels, qui connaissent admirablement l'hypnotisme et en parlent avec compétence. Le fait est tout à fait exceptio
a voix. C'est du moins ce qu'elle lui a affirmé, avec l'ordre de n'en parler qu'après sa mort. Un jour que je fui demandais
aites, dans leor home, par M. l'inspecteur général et Mrs Brereton et parles autres savants anglais. TRAVAUX ORIGINAUX Ura
it, aux courtes épaules, aux pieds solides » (1). 1 G? p Ryner fait parler à peu près de la même façon le héros d'un de ses
a un jour fixement. Il devint comme un Méphisto pour moi. Enfin il me parla . Je crois encore entendre les battements de mon c
ible mystère. Le deuxième soir, le capucin m'aborda de nouveau. Il me parla et m'emmena dans sa chambre. J'étais comme paraly
de sa présence. Jacob Tullins, djins le Journal des Savants, de 1700, parle d'un cheval qui, ayant servi dans dee expéditions
d chasseur et éleveur de chiens de chasse, m'a, à plusieurs reprises, parlé d'un procédé qu'il jugeait infaillible pour fixer
ur dans le cœur des hommes et h fixer leur attachement. Voltaire, qui parle de l'hippomane au mot enchantement du Dictionnair
conr, les gamins criaient : voilà une femme enceinte ; tout le monde parle de moi et me montre du doigt ». A ces paroles, le
a provocation au somnam- 1) Pierre Jaoet : Névroses et Idées Tires. Parle 1904. bulisme. Cette période peut durer de qu
fluence se prolonge en raison de la durée de la séance hypnotique. Il parle avec un grand respect des hypnoses prolongées de
notre gratitude. Ils ont assez bien travaillé pour mériter cela, sans parler de la besogne qui leur Incombe encore. » NÉCROL
sens, dont la bouche est le laboratoire et le nez la cheminée. « Four parler plus exactement, dit-il, le goût sert à la dégust
de soit conduite dans une direction de pins en plus calme. Il ne doit parler que de repos, de tranquillité, etc ; il doit évit
agnait souvent, la nuit, des amis jusqu'à la Place de la Concorde. On parlait littérature, art et le célèbre poète retournait s
des c.ls », dans la rue des Marais. Quant au chantage, Tardieu nous parle d'un célèbre savant parisien qui fut exploité pen
pathologie ; qui touche aux états pathologiques dont il nous reste à parler , et qui serait un peu à la première ce que les fe
er le même parallélisme dans l'examen des autres symptômes connus : Parlons d'abord de la léthargie : Celle-ci est employée p
te année • par un étranger. M. Scié-Ton-Fa, mandarin chinois, va nous parler de G'Evolution de l'esprit militaire en Chine. Do
Je fus témoin de ce fait en traversant le désert de Souakim à Berber. Parla tempête, toutes traces de pas avaient été effacée
des assemblées collectives et régulières, dans les groupes dont nous parlons , il y a place pour des réunions particulières d'h
Incontinence nocturne d'urine sous l'influence d'un rêve ; guérison parla suggestion hypnotique. par M. le Docteur Jules
er une de ces vieilles dames morbides dont le seul plaisir consiste à parler des scandales de la ville, de la santé du prochai
la Riviera et voir si cela lui réussit c'est, dans la plupart des cas parler en pure perte, car la malade viendra l'esprit inq
s irrégularités dans la menstruation chez certaines femmes. Je vous parlerai seulement de deux cas en détail. Le premier est u
un climat méridional. Mais dans le cas particulier dont je veux vous parler ici, je suis porté à écarter les influences purem
ivraison de l'objet précieux: elle avait demandé au joaillier de n'en parler à personne. Il avait cru que ces objets, d'un goû
eurs cosmogonies. Les prêtres, avant d'officier, devaient se purifier parle baume, l'huile et l'encens. (1) Les dieux ont cha
ont admirablement propres, sentent très fort pour notre odorat. Je ne parle pas des femmes japonaises : leur odeur naturelle
fut donnée et acceptée par le sujet ; on le réveilla ensuite sans lui parler de cette suggestion. A la fin de la soirée, je
les-traitements n'anront d'efficacité qu'autant qu'ils auront abouti, parla rééducation psycho-motrice du sujet, au retour et
Elle se présente à moi : elle pleure ; je lui demande son nom, je lui parle : elle pleure ; je veux la soigner ; elle pleure.
isme des brumes du magnétisme, n'avait pas été complet. Il avait bien parlé de l'occlusion des paupières, mais non de leur ré
cclusion des paupières, mais non de leur réouverture ; il n'avait pas parlé du réveil. Aujourd'hui encore je viens de nouveau
les idées qu'en images ». Or, voyez comme ces expressions savoureuses parlent à l'esprit et s'imposent à la mémoire ! Mais l'
volume de l'abdomen et donne lieu au bruit de glou-glou dont il a été parlé plus hautbruit comparable à celui d'un liquide to
rentrerai pas dans ces détails, pourtant si intéressants ; je ne vous parlerai que des » Siang-Kong. C'est le nom que l'on donne
tie a certainement laissé ignorer de beaucoup d'entre vous. Je veux parler de sa personnalité philanthropique et de ce qu'il
dan* 1« pied de sa troisième circonvolution frontale gauche l'est de parler . Si l'on se range a l'opinion de ceux qui admet
eur Wrmv, de Treves-sur-MoseUe Le grand suggestionneur dont je veux parler n'est autre que le prince Alexandre Hohenlohe Sch
tion certifiant * que sa surdité avait été considérablement améliorée parles prières du prince »- Lee pèlerinages auprès du th
l scolaire. De fatigante et ennuyeuse, l'éducation devient attrayante parle seul fait qu'elle est logique et documentaire. ?
cative par eux-mêmes. quand on lo peut montrer les choses dont on parle , ou au moine présenter des gravures. ? est néce
la psychothérapie. La psychothérapie, qui a été logiquementdéfinie parle DrPaul Magnin. /ensemble des moyens psychiques, e
vé, j'ai mesuré de l'œil des centaines de pupilles. • Durant que je parlais , les unes dilatées facilement m'ont paru apparten
par les facteur: exemple, habitude et attente. Dans ce dernier cas on parle de suggestion. ? y a hétéro-suggestion alors qu
rs que l'idée du but visé a été introduite par une autre personue, on parle d'autosuggestion quand elle naît sans cette parti
86 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e nous avons soumis à l'expérience. Nous avons attaché des chiens parles pattes sur la table ci expé- rience et nous avo
nt aux mouve- ments de l'appareil, dont nous avons plusieurs fois parlé . D'ailleurs, en voici ci-dessus un des tracés r
de céphalo-rachidien et de l'anémie conséquente du cerveau. Nous en parlerons plus loin. Quant à la théorie miasmatique et mi
in nous ac- ceptoiis les mouvements spéciaux du navire, dont nous parlerons plus loin. Comme causes occasionnelles nous cit
'image auditive (impression faite sur l'oreille par le mot (langage parlé ) ; l'image visuelle (impression faite sur l'oei
is groupes qui se ressemblent peu anatomi- quement et les autres ne parlent pas de l'anatomie patholo- gique. Les lésions a
'est fait magnétiser pour cela sans résultat. Elle devient loquace, parle souvent dans son délire d'une lettre que dans s
gles ; même état; elle ne cause que tout bas et seule, et si on lui parle elle rit et pleure à la fois, mais ne répond pa
je ne sais plus ce que je fais, je perds ma raison, je ne sais plus parler , je ne sais plus rien faire, je suis indigne de
e; elle travaille un peu et cause bien- : c'est le Seigneur qui lui parle et lui a défendu de manger pour expier ses faut
as digne de vivre. Quand elle riait, c'était parce que des voix lui parlaient ; elle n'avoue pas d'hallucinations de la vue ;
que le schah de Perse l'aimait; elle entendait la voix de Dieu lui parler d'un ton impératif. Elle dit que tous ces sympt
après, mais il a depuis quitté le pays et on n'en a plus en- tendu parler . L'auteur fournit encore deux nouvelles observati
énés cachent soigneusement la syphilis, les paraly- tiques généraux parlent à coeur ouvert ; que de paralytiques géné- raux
e plusieurs observations très intéressantes, et termine son travail parles conclusions suivantes : 1° Les cas relatés dans
ui seront, en même temps que les résultats de la visite dont il est parlé ci-dessus et lespièces dela procédure préalable
nce, placées dans un quartier d'ob- servation ! Messieurs on peut parler librement dans ces questions-là z il faut être
mieux ! Je me suis adressé à vous, mon cher collègue, pour ne pas parler aussi souvent. Si vous voulez écarter la présence
certain point de vue, sont inférieures à celles de l'époque dont je parle . Ne touchez donc pas à ces lois sans une nécess
lui-même qu'il aborde ces sujets quand il lui arrive d'être requis parla justice. Ici, le bon sens et la raison sont des
pports. Toujours est-il que, par l'adoption de l'article et surtout parle rejet de l'amendement, vous leur supposeriez le
on, il faut éloigner d'elle. Tous les fronts s'inclinent quand elle parle au nom du droit et de la loi, parce qu'elle a r
pas la même force; ils n'obtiendraient pas le même respect, si elle parlait au nom de la science médicale, au nom d'une sci
ffet, bien que, dans aucun des établisse- ments dont nous venons de parler , on n'ait fait la moindre allusion à la circula
ui, sans pouvoir répondre. Il s'entendait un peu avec son entourage parla mimique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas de
déjà 5 immersions [c'était le système qui régnait alors, dont nous parlerons au chapitre de I'E< ! 0<oe], de suite sans
. Rien du côté des sens spéciaux; pas de bourdonnements ; le malade parlait bien ; il n'avait ni vertiges ni aucun autre sy
i fait que tous les objets paraissent se mouvoir. A propre-, ment parler l'étourdissement n'est autre chose qu'une sorte
perdu tout à fait la mémoire des mouvements qu'il faut faire pour parler , car ils ne pouvaient pas même articuler un seu
nt et si rapidement riche, qu'au bout de quelques heures encore, il parlait aussi bien qu'avant l'invasion de son aphasie m
ale est loin d'être constant. Nous utiliserons ce fait quand nous parlerons de la pathogénie de ces accidents. Nous prions
que dans d'autres, elle est située au-dessus de la région immersée parle renflement cervical, ou bien occupe aussi la pa
. La relation existant entre les régions des anesthésies partielles parle en faveur de cela. Il n'arrive pas toujours que
in cède la place à une impression plus grande. C'est traiter le mal parle mal. La grande joie peut agir pareillement. Ain
uvent sur lui-même. Le côté gauche est plus faible que le droit. Il parle , mais en trem- blant beaucoup ; il sait épeler,
couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée parle réseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans l
'en partie vrai et seulement pour le faisceau de Meynert, dont nous parlons plus loin. Enfin M. Ballet3 donne à la zone sen
infé- rieur est considéré par Bitot comme un carrefour du langage parlé , qu'il fait en tous points analogue aux carrefour
s du faisceau pedieulo-frontal inférieur, du carrefour du langage parlé de Bitot et dégénérescences secondaires à ces lés
constamment des troubles tro- phiques représentés physiologiquement parla perte de l'exci- tabilité directe, surtout dans
t occuper l'é- tage moyen (PL. II, fig. 2, rose 2). Il y est séparé parles fibres transversales du pédoncule cérébelleux m
rtion sensitive des pyramides. 4, 't ; cordons antérieurs traversés parles libres des pédon- cules cérébelleux supérieurs
pportable : il tenait cette fois la tête et le tronc bien droits et parlait très raisonnablement. J. RoUBtKOYITCU. ' II.
onnussance de L1 névrite infectieuse ai g en \II : LTILOCUL.\llll ? parla . RoSE'UEtM. (r7'(')t61. f. Psych. xviii, 3.)
ut tout d'abord écarter les malades, qui n'ayant pas à proprement parler d'idées de grandeur, ont, de l'optimisme, une opi
'entourage bien moins facilement leurs idées de grandeur, qu'ils ne parlent de leurs persécutions. D'ailleurs, les rares pe
ure la vivisection et à Hypnotisme animal, puisque l'animal ne peut parler . La France nous menace sur ce sujet d'exagérati
ion a mis en évidence les difficultés de la solution. A l'avenir de parler . Hui. Siemens décrit le nouvel asile d'aliénés
rables. A l'é- gard de ces derniers on atout le temps voulu pour en parler ; il y a souvent antérieurement interdiction ou
u sur le coeur : « Ce secret mystérieux, c'est le péché. » Dieu lui parle , il faut qu'elle - prie et travaille. Répétitio
des idées délirantes de la jeune fille. Discussion : - M. WErtDT parle d'un cas de folie gémellaire sur- venu chez deu
et psychopathique identique. Pas d'hérédité. M. ZiNN. La mère dont parle M. Mendel vient d'être admise à Eberswalde. Il
lus d'énergie, redoute tout, tremble et devient confus, s'arrête de parler et se met à trembler sans raison surtout des br
at d'agitation , l'acétone ne se montre dans l'u- rine que lorsque, parla sitiophobie, l'inanition entre enjeu. Sou- vent
it exceptionnelle; il jouit d'une véritable infailli- bilité. Je ne parle pas, bien entendu, de l'infaillibilité au point
nt susceptibles de mettre l'erreur à la place de la vérité. Mais je parle de l'infaillibilité légale, de celle qui doit exi
rme du médecin inspecteur... (Ru- meurs à gauche.) Permettez, je ne parle que de l'argumentation de M. le Commissaire du
LOGIE MENTALE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA. FOLIE COMMUNIQUÉE'; - Parle Dr LEGRAIN, ancien interne des asiles de la Seine
les de la Seine, Médecin de la Colonie de Vaucluse. On a beaucoup parlé de la contagion de la folie, et, en dehors du m
e ajoute : « Ce n'est pas moi qui vous dis cela, c'est l'esprit qui parle , vous comprenez bien que je ne suis pas capable
lle disait à haute voix : « Voilà ton affaire. » C'est l'esprit qui parlait ; elle se révoltait et ne se livrait pas. Cet
a une attitude méfiante, pleine de réticences. Elle est réservée et parle à mots couverts. Cette attitude contraste sin-
s ou ont tremblé- s'ils sont presque ou tout à fait guéris. Pour ne parler que des observations rapportées, on voit l'épil
eu une crise douloureuse consistant en douleurs très intenses, qui parlaient avec la rapidité d'un éclair le long de ses mem
lètement la mémoire des mouvements de l'articulation des mots et il parle comme avant son accident. Pas de vertiges, pas de
és pour la sensibilité tac- tile, thermique, et de la douleur, sans parler déjà de la direction que ces différentes voies
te supposition s'il n'y avait des faits anatomiques, qui paraissent parler en sa faveur. Dans certains cas d'anesthésie pa
de 1-P C... (Observ. IV), les douleurs locales dans les nerfs, sans parler des douleurs musculaires, ce qui s'en va de soi
otre ami, M. le D'' P. Marie, nous a donné la . photographie, prise parle garçon de laboratoire de la clinique de la Salp
plus conserver la tête droite. Il cessa progres- sivement aussi de parler . Vers la fin de l'an dernier, il disait encore
tie. La plu- part des membres présents sont de cet avis. M. SNELL parle de la simulation de l'aliénation mentale. A ses c
ient des cours des valeurs de bourse; de plus, il finit, à force de parler , par tenir des propos qui contredisent «sa prét
est absolument comme dans toutes les exper- tises. Quand l'expert a parlé , si le tribunal n'a pas de doute sur la sincéri
je crois que c'est, au fond, l'avis de l'honorable M. Testelin nous parlons d'un avis du médecin. Ce ne sera donc qu'un avis,
rangent pas. Alors, l'avocat leur dit : Messieurs, je suis appelé à parler par devant le tribunal, et non par derrière. (R
isément à ce qu'on y trouve, car l'auteur ne s'est pas borné à nous parler des formes que la folie affecte chez les enfant
rdés pour les titres permettent de tenir compte des services rendus parles chefs de clinique. 490 bulletin bibliographique
87 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
araître. La partie médiane du noyau du corps res- tiforme dont nous parlons est relativement bien conservée. On y rencontre s
nt des particularités singulières. Nous avons déjà eu l'occasion de parler de l'atrophie indirecte de celui de droite. Celui
lgré les grosses lésions organiques de l'encéphale, dont nous avons parlé , la santé du malade ne fut réellement troublée qu
st l'apa- thie dans laquelle il reste perpétuellement plongé. Il ne parle jamais à ses voisins, répond d'une façon distra
euro-Cibromatose. HoiSNARD(3) clans sa thèse récente, non seulement parle des déformations denotre malade,que nous lui avio
est le point de départ de toutes ces tu- meurs fibreuses ? Nous ne parlons pas bien entendu de fibromes développés d'une f
is les tissus peu fermes, les comparaisons chan- gent ; les auteurs parlent de sacs pendant en avant et. en arrière, de ten-
crise, mais éprouve pour un rien une angoisse avec impossibilité de parler . Tout le temps de sa jeunesse elle se trouvait
rd et mal nourrie, elle dut à quatre mois être mise au sein. Elle a parlé de très bonne heure, maisn'a marché 18 mois ; a
grattage consécutives à la dernière poussée urticarienne. Nous avons parlé du gonflement des membres paralysés lors de la
rection la jeune fille guérit avec cette rapidité miraculeuse dont je parlais tout à l'heure et qui se retrouve dans l'observ
hypothèse basée sur la pneumorrhée. Il est bien entendu que nous ne parlons que de notre cas : dans un cas analogue (8), Br
, dans sa classification des causes qui produi- sent le météorisme, parle de la paralysie hystérique. Axenfeld et lluchar
de l'examen clinique de la face postérieure de la colonne, masquée parle néoplasme, permettait cette interprétation ; cepe
les yeux de leurs opérés. Dans les deux peintures dont nous allons parler , nous retrouverons ces prestidigitateurs a l'oe
uve dans une piteuse situation. Ficelé comme il est, par la tête et parle corps, il ne peut songer à se débattre. Aussi l'e
des maîtres d'hôtel de M. le duc d'York a vu l'homme, et dit qu'il parle d'assez bon sens, qu'il n'est point malade comme
itrine, et ailleurs, lorsqu'il vomit toutes ces matières. Il a même parlé à une dame qui a été présente, lorsque ce pauvre
de deux pouces six lignes et de l'épaisseur de quatre lignes, sans parler des morceaux de cailloux, de fer et de verre qu
entaires. En voici simplement les légendes. C'est l'opérateur qui parle le premier : Ick heb soo langh staen stecken en
s hommes d'autorité dans ces questions entendent exprimer quand ils parlent de narcolepsie. Le fait qu'on ait trouvé à l'au
de notre malade un cas de coma de 2e ou 3e degré. Mais pourrait-on parler du coma de 1 degré ? La description deM. Mayet
e fois éveil- lée, elle recouvre toutesa conscience, écoute, répond, parle , bavarde même. Il y a plus, elle se réveille sp
voir d'une façon certaine si les auteurs des observations ont voulu parler de coma, de sommeil, de somnolence, voire même
. Réponses lentes,pas de délire. Idées mélancoliques et de suicide. Parle peu et ne prend la parole que pour répondre aux
e peu et ne prend la parole que pour répondre aux personnes qui lui parlaient . A diverses reprises, il lui est arrivé d'être
La malade est triste, indifférente, répond d'une manière sensée, ne parle spontanément, mémoire diminuée, céphalalgie dif
. 112 F. SOCA 1er octobre céphalalgie forte. Malade apathique, ne parle pas. Hémiplégie, mé- moire perdue, insomnie. OE
que ou dans les extrémités gauches, vue normale, parole intacte, mais parlait peu. Le malade dormait presque toute la journ
est connue. li4 F. SOCA On voit ainsi que le sommeil vrai (je ne parle pas de somnolence, d'a- brutissementou de coma)
s vertébrales névropatiques (1). Ce travail a été publié in extenso parla Nou- velle Iconographie de la Salpêtriére en 18
sain. Mais, dans les tissus péri-articnlaires (ligaments, tendons, parles molles), sont semés des ilots osseux, indépenda
rqua qu'elle était paralysée et qu'elle avait de la difficulté pour parler . Son mari effrayé la fitco'iduire à l'hôpi- tal
it un foyer ou plutôt deux petits foyers de ramollissement, séparés parle locus neiger qui semble intact : l'un occupe le
n évolution et surtout les caractères de la marche dont nous allons parler à présent ont légitimé d'une façon absolue la nat
; ceci dépend du fait de ce que le pied, au lieu d'aborder la terre parle talon, se pose entièrement à plat sur le sol. O
elevé, pour le moins, une trentaine d'Arracheurs de dents, et je ne parle pas de toutes celles qui figurent dans les catalo
Leyde (1524). Faisant pendant à l'Arracheur de dents dont il a été parlé antérieu- rement, une autre gravure de LUCAS de
s dû nous limiter et borner notre sujet. C'est pourquoi ... nous ne parlerons pas ici de l'importante question des hémiplégies
à cette affection sont extrêmement variés. Sur les 47 cas dont nous parlons plus haut, 21 sont dus à des coups ayant porté
de l'hystéro-traumatisme ne rentre pas dans notre plan et nous n'en parlerons qu'incidemment. Description. Nous diviserons
il se rend compte de lui-même de sa paralysie, soit qu'il essaie de parler , d'appeler, soit qu'il tente de saisir un objet
assez souvent parmi les cas d'hémiplégie traumatique. Nous voulons parler de l'hémianopsie. Sur l'ensemble des cas que no
mbe du côté droit. De plus il était dans l'impossibilité absolue de parler . Il ne paraît pas avoir eu de fièvre : les méde
servent. Et ils sont conscients de leur méchanceté et, si on leur en parle , ne cachent pas la satisfaction qu'ils éprouven
gens pouvant nous renseigner, nous déclarons ce cas douteux et n'en parlerons pas davantage. Il n'en est pas moins vrai que le
sprit ; elle paraît même malicieuse. Elle rêve fréquemment la nuit, parle à haute voix, raconte ce qu'elle a vu ou entendu
ent pris d'un besoin impérieux d'aller à la selle, surtout quand il parlait longtemps : malgré cela, il était plutôt constipé
marche dans les maladies du système nerveux, dont j'aurai bientôt à parler . M. Marinesco ne se contente pas de l'observati
partie chro- matique. La partie achromatique n'est pas colorable parles couleurs basiques d'aniline ; elle est mise en
l s'observe sur les trois quarts des cellules environ. Nous avons parlé plus haut du tassement et de la fonte des corpusc
on rencontre la tache claire plus ou moins grande, dont nous avons parlé et où se font activement la désagrégation et la f
ie des coupes de nos deux ganglions plexiformes. Nous n'avons pas parlé de turgescence, car les résultats obtenus par de
nce. La parole est lente, traînante, légèrement scandée ; la malade parle un peu entre les dents, mais sans efforts ; les
'instabilité, mais qu'il n'existe pas de signe de Rombergà proprement parler ; de môme il peut marcher en fermant les yeux ;
st traînante, hésitante, entrecou- pée, un peu nasonnée : le malade parle entre les dents comme s'il serrait les mâchoire
nde avec les plaies par instruments piquants et nous sommes amené à parler ici, simultané- ment et des hémiplégies à la su
rie, de Bramwell, de Bergmann, de Bechterew, etc. Et puisque nous parlons de coup ayant pénétré dans le cerveau par la vo
re supérieur du même côté. Les parents déclarent qu'elle n'a jamais parlé intelligiblement, ce sont seulement des mots isol
s membres gauches et avait gagné cela à l'opération. En outre, elle parlait aussi bien que les autres enfants de son âge ,
où l'épilepsie jacksonnienne succède à l'hémiplégie. Il nous faut parler maintenant de ce que nous appellerons la guérison
ial A côté de celle terminaison fatale à échéance retardée, il faut parler de la mort qui suit immédiatement, c'est-à-dire
r sa naissance et ses pre- mières années, il sait seulement qu'il a parlé assez tard, on lui aurait coupé le frein de la
ner de suite un exemple. Voici la mère de l'enfant dont je viens de parler (voir PI. LIX, D). Elle a 41 ans. Grisonne fort
nels, qui ont été peu étudiés dans les observations : nous voulons parler de troubles de compression dus aux lésions méca
Cologne, une Opération sur la trte, dont j'ai déjà eu l'occasion de parler . En outre, on s'accorde à considérer ces oeuvre
n de Pica nase, Les limites de notre thèse ne nous permirent pas de parler en dé- tail de ce dernier ouvrage. C'est pourqu
ait peinte une des aventures de Mars et de Vénus. Je me garderai de parler , a,jonte-t-il, des tabatières des jeunes gens o
dit Cohausen, auprès d'une noble demoiselle du nom de Galatllée. On parla de la céphalalgie et elle me demanda un remède
n'est pas là un ornement pour une jeune vierge. ' (1) Ce poète dont parle l'auteur n'est probablement Cohausen lui-même qui
rbite devrait produire des lésions d'autres nerfs de l'oeil gauche. Parla même raison ce n'est pas non plus un anévrysme
points noirs qui se disposent souvent en groupes et dont nous avons parlé plus haut. Ces points noirs, principalement obs
sion du faisceau pyramidal du cordon latéral droit, dont nous avons parlé plus haut, apparaît comme continuation des fibr
r l'hématoxyline d'Apathy. Région lombaire. Puisque nous avons déjà parlé en détail des modifica- tions de la forme du co
cation secondaire des cellules nerveuses ; en faveur de notre doute parle aussi ce fait, que les raci- nes antérieures on
te au point de vue pathogénique. Ainsi, par exemple, nous venons de parler du mécanisme possible d'un développement de la dé
te similitude va nous permettre une description générale. Nous ne parlerons d'abord pas de l'aspect des lésions ni des modifi
s faits qui ont pour lui une réelle importance. Maintenant, il lit, parle et écrit sans grande difficulté B... est devenu t
mais elle n'était pas strictement inconsciente. Elle avait commencé à parler à huit mois. Après cette attaque elle n'essaya
aya pas de le faire pendant trois mois. A partir de ce moment, elle parla aussi facilement qu'auparavant et aujour- d'hui
nt, elle parla aussi facilement qu'auparavant et aujour- d'hui elle parle bien. D'abord la sensibilité fut perdue du côté
, il y a un léger sautillement avec propulsion â droite. Quand elle parle ou se trouve un peu excitée, il y athétose et ell
nte centimes, plus ac- centuée que dans la zone dont nous venons de parler . Le point douloureux est situé exactement dans
de troubles de la parole sauf pour les mots difficiles ou lorsqu'il parle vite .... il n'a plus eu de convulsions En avril
usités sont les plus difficiles. Il répète plus facilement qu'il ne parle Sur le pariétal gauche, à 10 cm. 1/2 de l'arcad
lui pose. La paralysie est la même, 548 RENÉ martial il essaie de parler , mais le plus souvent c'est un bredouillement inc
oubles passagers de la parole et reste plusieurs jours sans pouvoir parler . Il y a un an environ, elle eut une perte de co
une extrême difficulté, on ne peut le com prendre qu'en le faisant parler très lentement, cependant il ne prononce qu'avec
it que cette réaction des cellules névrogliques dont nous venons de parler est une réaction primaire, initiale, due à l'irri
ies qui en ont été four- nies dans les ouvrages dont nous venons de parler . On en trouvera suffi- samment pour s'édifier d
ain gauche. A ce point de vue le malade de M. Ma- rinesco,dont nous parlons plus loin, se conformait à la règle. Cari Vogt av
contrainte et à une règle qui eût con- trarié ses tendances. Vasari parle sans cesse de son- humeur mobile et capricieuse
s les dessins de Vinci. ` . Vasari (3), et c'est déjà plus décisif, parle des caratteri scritti con la lancina a rorescio
ement un peu chétive à sa naissance. Elle a commencé à marcher et à parler à l'âge de 17 mois. Ses parents ont remarqué qu'e
er et à parler à l'âge de 17 mois. Ses parents ont remarqué qu'elle parlait un peu plus difficilement que les enfants de son
s autres que l'ophtalmoplégie elle-même, chez les ascendants. On ne parle pas non plus de fausses cou- ches chez les mère
e est venue à terme, l'accouchement a été normal. Elle a commencé à parler à 14 mois. Elle avait commencé à marcher à la mêm
omparable à ceux que nous avons en vue. Il est vrai que / Follet ne parle pas d'hérédité dans la famille, mais cela doit si
l'on fait intervenir le noyau lui-même. Nous avons déjà longuement parlé du phénomène de la turgescence au cours de l'an
table. 1 Faisant pendant au Médecin des J'eitx (2) dont nous avons parlé en une Faisant pendant au Médecin des Yeux (2)
arlé en une Faisant pendant au Médecin des Yeux (2) dont nous avons parlé en une autre occasion, le Dentiste de DIETRICIJ
voit un perroquet sur un perchoir (4). 1 J'ai déjà eu l'occasion de parler , à propos du Mal d'Amour, d'un tableau de Gérar
connaissait aussi plus d'un procédé d'ob- turation des dents. Sans parler de l'histoire légendaire de la dent d'or, sujet
ac, au XIVe siècle, recommandait l'opium. Enfin Ambroise Paré avait parlé de réimplantation. On le voit, l'art dentaire,
llant une riche moisson de molaires ou de « pierres de tête ». sans parler de pièces de monnaies dont tant de ba- dauds pa
ourgeois, marchands de poissons, artisans, fem- mes du peuple, sans parler des enfants et des chiens, qu'on écrase et qui
aquelle se rouve encore un Charlatan, diseur de bonne aventure, qui parle à ses clients au moyen d'une sarbacane. iOUV,
pharmacie et de divers instruments chirurgicaux. (1) Je n'ai pas parlé des vers rongeurs de dents, me réservant d'y reve
88 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
enir et que, dans leur ensemble, s'appuyant les uns sur les autres, parlent nettement d'une lésion congénitale de la à 20 a
ionnel d'acromégalie chez une petite fille des 14 mois incapable de parler et de se tenir debout. Mais il se contente de fai
gigantesque» des ascendants ou des collatéraux, en vertu de quoi on parle couramment de l'hérédité similaire du gigantism
s autres anomalies morphologiques dont il est porteur. Et puisqu'on parle de l'infantilisme testiculaire, caractérisé par l
provoquée par l'a- blation du corps thyroïde (Rogowitsche, Stieda) parle dans le même sens. Tous ces faits prouvent qu'i
A l'appui d'une relation entre le corps thyroïde et l'ostéomalacie parle aussi la constatation de Monéry (32) qui dans l
malacie est une maladie du corps thyroïde. Révilliod (34), Girard parlent aussi d'une ostéomalacie en rapport avec le thy
le rachitisme et l'ostéomalacie. Les faits que nous venons de citer parlent ,nous semble-t-il,pour l'exis- tence d'un rappor
s ner- veuses, mais aussi la trophicité d'autres tisssus. Pour ne parler que du tissu osseux, nous rappellerons que dans c
out incriminée dans la pathogénie de l'os- téomalacie. Nous voulons parler de l'ovaire. C'est Fehling (74) qui, trou- vant
ue Frenkel et Schuller ont traité avec succès un cas d'ostéomalacie parle lait de chèvre châtrée. Quoi qu'il en soit, l
ours avec des lésions de l'hypophyse. Les recherches expérimentales parlent aussi en faveur de l'intervention de l'hypophys
le thymus dans la pathogénie de ce dernier syndrome nous amènent à parler du rôle du thymus dans les phénomènes ostéogéné
s formes de syringomjélie, des fractures sponta- nées dans le tabes parlent dans le même sens. Au point de vue microscopiqu
lga », Piollet « radius curvus » ; la plupart des auteurs allemands parlent de cette maladie sous le nom de « difformité du p
ne autre condition éliologique d'une certaine importance. J'ai déjà parlé plus haut des cas de maladie de Madelung d'origin
STANTINI doigt auriculaire de plus à chaque main. Il n'a commencé à parler qu'à l'âge de trois ans, après que le médecin l
ente, du côté objectif 'anthropologique, l'anomalie dont nous avons parlé et, en plus, la lèvre inférieure grosse et une
resque tous un doigt surnuméraire aux mains et aux pieds (4). Renon parle d'une famille dans laquelle la polydactylie se tr
TANTINI point que certains de ces auteurs (Spoto) vont même jusqu'à parler d'une transformation morbide de l'hérédité (1 )
'a avec eux qu'un rapport de proximité, on ne peut, dans ce cas-là, parler de schistodactylie puisqu'il n'y a aucune donnée
à cause de la place occupée par le doigt surnuméraire. On doit donc parler alors de polydactylie hétérogène. La cause proc
leurs parents est ignorée. De l'air le plus naturel du monde, elles parlent de leurs enfants comme s'ils étaient tout petits.
res font allusion à leur récent mariage, alors qu'elles viennent de parler , comme s'il vivait encore, de leur mari, décédé
rien à man- ger, il doit mourir de faim, être crucifié, les autres parlent de lui. Le mari d'une malade vient de prendre u
s. Très loquace si on lui pose des questions, elle se fâche. « Vous parlez tout le temps, je ne pourrai rien dire ». Ordin
père des côte- lettes ; je lui prépare tout ce qu'il faut.» « On a parlé , au dîner, de la famille ; il parle peu, mon pè
are tout ce qu'il faut.» « On a parlé, au dîner, de la famille ; il parle peu, mon père, et toujours de la famille ». « Des
s ai vus au tribunal », dit-elle. Elle est attentive aux questions, parle avec une abondance intarissable. Diminution des r
. Depuis deux semaines, début de la maladie mentale : « s'est mis à parler seul ». Le médecin appelé crut avoir affaire il u
t du liquide céphalo-rachidien. Enfin; on serait tenté, chez F., de parler de « tumeur galopante a ; en réalité, nous igno
ôté droit, l'ayant en quelques jours rendu incapable de marcher et de parler . Aussi, le conduisit-elle à l'hôpital, où, à la
tôt menaçant, le plus souvent mimant des grimaces absur- des. Il ne parle pas, pousse de petits cris inarticulés. Les deman
ines hystoires» » et comme ceux-ci « etltre eulx de telle guerre de parler se plaisent et font feste, aussi leur a-t-on faic
ette (1) Ces couplets sont les mêmes que ceux du Triumphe dont nous parlons plus loin sauf des variantes typographiques san
re de Rouen ont négligé à leur damne le précepte : Si vous voulez parler brayes nettes Ne chevauchez point sans lunettes
ou deux soulz les naseaux et les cartilages dudict palays, qui font parler le patient en homme qui a huyé le loup en trompet
n fameux nez, avait perdu sa luette comme nous l'apprend Mézeray et parlait de fa- çon peu compréhensible. Dans l'image du
gue spatule décorée de l'image du Puits, un de ces penonceaux, dont parlent les Chevauchées de l'Asne. Montaiglon suppose q
AULTE ET PUISSANTE DAME VI : ROLLE 187 racle, violette, civette, et parle même d'un bouquet « de mesnues pensées entrelar
e de Blois date de la troisième période (1) Les plantes dont il est parlé çà et là dans le Pourpoint sont : bourrache, cinn
les expressions sur la vérole (France, médicale, 1908, p. 306) n'en parle pas; non plus que la Chronique médicale {passim).
ux foyers et tout à fait exceptionnel d'en trouver davantage. Je ne parle pas ici de foyers hémorragiques d'âge différent.
ec un ou deux foyers ocreux, visiblement anciens. Je veux seulement parler de foyers récents et contemporains. Par contemp
âteux et ne bougeait pas de sou lit. Il remuait bien ses membres et parlait facilement. Il est conduit à l'infirmerie, le 3 j
jours en liant, et les paupières restent sans clignement. Si on lui parle , il regarde son inter- locuteur d'un regard ine
dant un peu plus grand que le gauche sans cependant que l'on puisse parler de distension véritable. Observation IL Femme
dans le mutisme complet ; il se serait tenu la bouche pour ne point parler ( ? ), il aurait été nourri à la sonde ; il aurai
voix très haute (il est assez sourd et on est obligé de crier ou de parler à son oreille pour se faire entendre), garde la
n le réserve pour sa femme, afin qu'elle le mette dans sa soupe. G. parle rarement et à voix basse. Il a les yeux pres- q
on d'Inde, le marronnier. » On essaye en vain de savoir pourquoi il parle ainsi. On le prie d'écrire ; de la main droite il
e, à l'enfant futur, à son nom, à la santé de ses tantes. Il aurait parlé il y a trois semaines de la chaise cassée. Elle
utour de lui. Accueille avec indifférence son père et sa mère, leur parle à voix basse de choses banales et incohérentes.
mains. Dans les quelques périodes d'excitation qu'il a présentées, parle à n'importe qui avec incohérence. On le fait
assez de symptômes pour les différencier de la spondylose. Nous en parlerons avec plus de détails en faisant le diagnostic d
ents courts et aigus. Avec les fixations au formol et au sublimé et parles colorations avec l'hématoxyline, le protoplasma s
tés ou situés en une certaine direction comme si ils étaient lancés parle trou d'une membrane cellulaire ; déjà Ehrlich e
s fixées au sublimé (liquides de Dominici ou de Gilson) et colorées parla triple coloration de Mallory, le nucléole des cel
n du nucléole nous n'avons plus besoin d'insister car nous en avons parlé dans un des paragraphes précédents. Dans d'autr
s cellules en état de dégénérescence pigmentaire on remarque par ci parla quelques cellules d'apparence vacuolaire ou fen
'autre. Depuis elle a renoncé à son travail. A mesure que la malade parle , on constate un enrouement très marqué. La voix
déformations du crâne et l'existence d'une cyphose cervico-dorsale parlent bien en faveur de l'acromégalie, la coexistence
nez, se frotte les paupières. La parole est embarrassée ; le malade parle la langue pendante, remuant les lèvres avec diffi
'est pas absurde de supposer que la région de la base du crâne dont parle Babès (2) et capable, de par l'influence qu'exerc
de cystite. Il y. a lieu de signaler que l'on pouvait, dans ce cas, parler de pseudo- tabes syphilitique. Depuis l'année 1
res comme présentant une certaine débilité d'esprit, et l'on a même parlé de la débi- lité d'esprit achondroplasique. Bou
pe le sol d'une canne qui ne le quitte jamais, on ne le voit jamais parler à personne, il fuit la société de ses compagnon
femme et de ses enfants le laisse parfaitement indif- férent, il en parle comme s'il s'agissait d'étrangers. Au jour de son
bservé dans notre cas, c'est la limitation de l'intelli- gence dont parlent quelques-uns (Parhon, Shunda, Zalplalcha), mais
genre de nains. C'est ce que font notamment Meige et Bauer (1) qui parlent des achondroplases comme des nains « vigoureux
caus- ticité et de vivacité d'esprit, et que pour eux jamais on n'a parlé d'altéra- tion mentale ? Il est bien possible]
rités qui militent plutôt en faveur de leur intégrité mentale. Pour parler encore des bouffons de rois, il est curieux de
t qui nous semble en faveur de cette dernière opinion. Nous voulons parler de la présence de la polydactylie chez les alié
elque chose d'infantile. Quand nous nous approchons d'elle pour lui parler , elle se montre gênée, fait des grimaces, rit et
IA dans la salle, avec une figure hébétée et le regard vague. Il ne parle à personne et répond difficilement quand on lui
el C. Urechie). DE LA POLYDACTYLIE CHEZ LES ALIÉNÉS 395 Lorsqu'il parle un peu plus on observe quelques idées délirantes.
uille, vous me pre- nez la langue, c'est pour ça que je ne peux pas parler comme tout le monde ». - Vous êtes riche ? ` ?
attitudes sans nécessité. Il tient, pendant tout le temps que nous parlons avec lui, la main droite sous le menton. Il lit
chez une même malade. Ces faits auxquels notre cas vient s'ajouter parlent au moins pour la nature pathologique de la polyda
n'eut pas de miction involontaire ; mais il lui était impossible de parler et il bavait abondamment. Ces accidents durè- r
philis. Enfin,si la présence du système pileux antérieur est prouvé parle récit des proches ou la photographie, le dévelo
es présentent-ils du myxoedème ? C'est bien de myxoedème qu'il faut parler et non de troubles hypothyroïdiens, car ceux-ci
secondairement que s'est installée un myxoedème généralisé. Rumpell parle d'une peau qui semble infiltrée de graisse, Saint
nt tout à fait celles d'un enfant peureux. La voix enfin, dont nous parlons un peu arbitrairement dans ce cha- pitre, est c
t par une pesée de lui ou 7 grammes. Nous avons déjà suffisamment parlé du myxoedème vrai, de sa possibi- lité, de son
saire pour la réalisation du syndrome) et l'on est autorisé alors à parler d'infantilisme tardif nyxcedétateux; tantôt c'est
euse normale. Le système ne> veux est normal par ses réflexes et parla recherche de la sensibilité : l'oeil droit a un
que toutes les deux semaines : il s'en inquiète, consulte et on lui parle de pelade ; c'est pour cette affection d'ailleu
s mêmes caractéristiques que les autres articulations dont il a été parlé plus haut. La main droite aussi est large. Le m
s attribuons seulement à la perte du sens articulaire. Nous voulons parler de l'impossibilité dans laquelle se trouve aujour
89 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; ses mouvements'' étaient extrêmement lents, la démarche aussi; il parlait d'une voix ! qu'on entendait à peine. Concernan
sais ». Il manifeste un négativisme très mar- . que ; lorsqu'on lui parle il se détourne, cache sa figure dans un coin, s
oujours en se détournant et en se couvrant de la main. Par- fois il parle à quelque chose. L'articulation des mots est 2lld
est 2lldrl61ta- blement disar trique. Il bégaie sur les syllabes et parle comme si sa bouche était remplie de quelque cho
entières il peut conserver une seule pose quelconque ; quand on lui parle , il se met à rire sans cause et fait des grimac
des illusions sensorielles. ' Par conséquent, contre la mélancolie parlent les faits sui- vants : 1° le délire pas tout à
. Contre la première forme, de même comme contre la mé- lancolie, parle le cours atypique de la psychose et sa transition
la forme à laquelle Kahlbaum donne le nom de catatonie . ' Ce qui parle encore en faveur de la catatonie, c'est la péri
i faire changer sou attitude habituelle. De son gré, le malade ne parle jamais de rien ; très rarement il s'adresse à l
ne cigarette, chez d'autres personnes il refuse d'en prendre. Si on parle au malade, il répond d'une manière monosyllabiq
ée. Sans doute que cela n'est pas une mélancolie pure ici ; nous ne parlons pas déjà de cela, que dans le tout 'j commencem
ancolique stupeureux ; si on la retire de cet état, elle commence à parler et à rire. Avec un sou- rire très gai et quelqu
er de manière à mettre- ses. pieds dans les carrés du parquet. Elle parle en trainant les mots, par- fois on observe chez
e la malade sont toujours tout aussi stéréotypes, comme avant. Elle parle encore moins. L'appétit est bon et elle ne dimi
e cas'au groupe d'une démence précoce généralive. En faveur de cela parle l'abaissement de l'intelligence très-prématuré,
pinion on ne peut indiquer aucune preuve positive, mais contre elle parlent les faits suivants : " 1° Chez les filles, ayan
NIQUE MENTALE. combinaisons du caractère général. En faveur dp cela parle premièrement la connexion de la catatonie avec
t, ou une seule syllabe quelconque. Mais ici on ne peut pas du tout parler de l'exci- tation du centre moteur du discours.
marchait recourbant son corps et en se couvrant de la main, nous parlons alors d'une pose stéréotype. Ensuite il est ind
sycho-physiologie des religieuses; les religieuses de Port- Royal ; parle De Binet-Sanglé (Journ. de Neurologie, 1903, n°45
gie NERVEUSE. voici que le patient discerne en quelle langue on lui parle . Après cela, le sujet arrive graduellement à li
siques, et qu'il peut subsister au repos. G. D. X. Tabes incipiens; parle Dr de Buatt. (Journal de Neurologie, ' 1903, na
ATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES/ 99 surprise, elle se mit à parler très correctement, provoquant elle-même quelque
puis plusieurs années, comme avant la fièvre typhoïde, Larti... ne parle plus. Cherchant toujours la raison de ce phénom
l'observation d'une association du crétinisme et de l'épilepsie. Il parle bien (page 315, loc. cil.) d'une épi- lepsie sy
bles d'être atteints de cette épilepsie. Baillarger et Krishaber2 parlent bien de l'épilepsie chez le crétin, mais ils ne
et des crétineux, ne font plus allusion à ces divisions lorsqu'ils parlent des causes de décès; ils ne dis- tinguent pas l
ux-Salines où les goitreux et les crétins étaient fort nombreux. Il parle , dans la rela- tion qu'il en fait', de toutes l
: l'ivrognerie est un vice commun à Rosières (Loc. cit., p. 27). Il parle aussi de renseignements envoyés par le secrétai
propos de l'étiologie de l'épilepsie, les auteurs de tous les temps parlent bien de l'idiotie, de l'imbécillité, du rachi-
sensibilités (sous réserve, bien entendu, des variations dont nous parlerons plus loin et qui consti- tuent le caractère épi
que ces variations ont des causes absolu- ment différentes dont je parlerai plus tard et je veux ainsi ajouter simplement c
contrer des cas dans lesquels tous les sens, et, si l'on peut ainsi parler , plusieurs subdivisions des sens, sont atteints
achines électriques et magnétiques ; elle entend aussi des voix qui parlent de ses actions et de ses affaires, qui l'insult
d'affections viscérales : « leurs amis voudraient se défaire d'eux, parlent d'eux ; les infirmiers leur en veulent ; les pers
s exprime comme un aliéné. La phase de for- mation du délire,, dont parle M. Head, est postérieure au stade dans lequel l
veloppement n'est pas absolument congénital ; l'enfant a commencé à parler comme un autre, quand, sous l'influence d'une m
nt la valeur de certains résultats théra- peutiques ; l'auteur veut parler des rémissions spontanées que l'on rencontre fr
est souvent la seule réponse vraie à faire dans certains cas; je ne parle pas de celui présenté par M. Tissot puisque le
malgré les plus minutieuses investigations. 11. JOFFROY. - Quand je parlais tout à l'heure de conditions identiques, je ne
. - Quand je parlais tout à l'heure de conditions identiques, je ne parlais que des conditions matérielles car il est bien
tuberculeux. En dehors de « l'illusion délirante chronique », dont parle Letulle, et qui fait que certains malades voien
rte, capables de comprendre ce qui se passe autour d'eux et même de parler : c'est qu'ils n'ont pas eu d'attaques depuis u
, ainsi que l'attestaient déjà les statistiques dont nous venons de parler , c'est que chez beaucoup des enfants idiots, im
si ces centres ont l'impressionnabilité spéciale dont nous avons parlé et que l'on pourrait appeler une constitution épi
ux états, mais aussi dissemblances, celles-ci peut-être explicables parla différence de durée et le degré de l'insuf- fis
s par la suggestion hypnotique. M. Demonciiy. A l'étranger, on peut parler avec succès de traiter l'alcoolisme, car l'alco
ès international de médecine mentale de Paris en 1889, où M. Soutzo parle de l'assistance publi- que des aliénés en Rouma
s; et c'est de cette date que commence ce mode de placement dont on parle dans le traité de M. Ballet. Mais depuis près d
tion à l'élude diagnostique des idées hypochondriaques dénégations, parle De Sigismond Trébosc. (Thèse de Montpellier, 19
je veux vous indiquer tout de suite : les douleurs dont je viens de parler peuvent être, sachez le bien, la première manif
dans votre pratique. Voici d'abord la pauvre malade dont je vous ai parlé . Vous voyez avec quelles précautions on l'appor
nent tous les traités classiques ; pour celte raison, je ne vous en parlerai pas aujourd'hui et je vous renverrai, si vous d
re, de 1 atteinte d'un autre ordre de branches nerveuses. Je veux parler du sympathique abdominal dont les termi- naison
uré d'une gangue si 1 Il'O-lIéop ! ilSi'l"e, élait peu à peu envahi parles cellules épithéliales qui s'in- filtrent dans l
nce fonctionnelle, dont vous avez contemplé un si triste exemple. Parler du traitement, c'est avouer notre impuissance c
e paralysie de l'extenseur propre du gros orteil droit. " Pour ne parler que des auteurs qui ont particulièrement étudié
ravail par l'observation d'un cas analogue qui lui a été communiqué parle le Dl' Conry, de la colonie du Cap. It. DE jIUS
'un homme qui a simplement fait avec lui-même le pacte de ne plus parler . En tout cas ce fait soulève une question importa
complètement voulu comme cela arrive dans la secte dont je viens de parler . M. VOISIN. - Ce malade a dû présenter de la co
il s'est vraisemblable- ment fait à lui-même le serment de ne plus parler ; il a dû, pour des raisons que nous ignorons s
ecte et grossière de l'état musculaire dans l'excitation génitale parle d'ailleurs dans le même sens et plaide, croyons-n
ur dû à l'excès de l'in- tensité de l'image motrice. Lorsque nous parlons de l'épuisement moteur nous dési- gnons, s'ente
ntation de pression sanguine, qui accompagne l'excitation sexuelle, parle également dans le même sens. Si, en effet, l'ac
doute en grande partie au milieu dans lequel elle vivait, aimait à parler souvent de N... dont l'amitié lui tenait au coe
latoire pendant une excitation émotive intense. L'expérimenta- teur parla de l'amour, de la sympathie, et finit, le sujet a
ons nerveuses et pathogénie des amyotrophies d'origine articulaire; parle Dr Pighini, (Riv. Sp. difren. 1903, fasc,1,LlI).
la situation du corps par rapport au courant. Les accidents causés parles courants sont de deux ordres : les uns locaux,
s ponctions sont insuffisantes, l'orifice se cicatrisant trop vite. Parla trépanation on établit une cicatrice à filtrati
exigent impé- rieusement un aide et un soutien réciproques. « On parle souvent des malades brutalisés ou tués .par les i
souvent des malades brutalisés ou tués .par les infir- miers, on ne parle jamais des infirmiers assaillis et tués par les
à être conduit chez un commissaire, et dans le bureau veut se jeter parla fenêtre, car il croit sa dernière heure venue. On
rmis de supposer, étant donnée la confusion des souvenirs lais- sés parles délires, qu'il fut marqué par des conceptions ext
il a voulu se lever, mais n'a pas pu. Parfois il ne répond pas, ne parle plus, enfonce sa tête dans ses épaules, s'effor
xquels on le soumet l'ennuient visiblement, il s'y applique peu, il parle d'autre chose, se laisse facilement di-lrail'e.
initia- tive, certaines singularités, parfois certaines façons de parler ou de se tenir, du mutisme non motivé, quelques
éger embarras de la parole, accrocs surtout évidents lorsqu'on fait parler le malade -pendant un certain temps et qu'on lui
x. Il présente des hallucinations de l'ouïe : le Dieu suprême » lui parle dans les oreilles, il lui dit qu'il est le roi de
s épileptiformes à la suite desquelles il est resté huit jours sans parler et sans reprendre conscience de son état. Il s'
nez à moi tous les jours, etc., etc. » Il est d'ailleurs taciturne, parle peu à ses camarades, mais beaucoup tout seul et
écialement. l. A peine jette-t'on les yeux sur lui qu'il se lève et parle de suite de vous casser la gueule. « Je donne d
s énormes par tout le corps, on la torturait dans les membres. On a parlé beaucoup d'elle et en mal, etc. On note encore
n et frapperait si on voulait insister. Elle s'excite lorsqu'on lui parle , et demande sa sortie en traitant le médecin et
nt du cadre ordinaire par des caractères particuliers, nous voulons parler des idées de persécution tenaces et de longue d
sur Bel-Air. Nous avons décrit son status d'entrée. 22 janvier. A parlé pendant toute la nuit. Ce matin, elle con- firm
anciennes connaissances. Voit des bêtes voler dans sa chambre ; ne parle plus de voix ; prend sa couverture pour un chàle
ne pouvait lui ouvrir la bouche; aussi était-on réduit à la nourrir parla voie tectale. Pour réveiller cette malade, il é
fférence qu'elle est continue tandis que les bègues graphiques dont parle M. 13eRIL- La ? ne le sont que par intermittenc
tres. W. A. nlOURATOPD dit que tout le côté clinique de l'épilepsie parle d'une manière très expressive conlre son origin
, et que la trouvaille de ce dernier dans d'autres hyperkinésies ne parle pas encore contre son rôle producteur dans l'ép
90 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
reux de voir M. Jolly faire indépendamment les mêmes remarques : il parle d'enfants ayant une amaurose hystérique complèt
s affec- tifs 2. M. Jolly reprenant la conception de M. Oppenheim parle aussi d'une faiblesse nerveuse incontestable, qui
abord une distinction aujourd'hui plus nécessaire que jamais : nous parlons du somnambulisme et non pas de l'hypnotisme. Ce
ion, etc. Mais nous n'étudions pas ici toutes ces ques- tions, nous parlons d'un fait particulier et beaucoup plus précis d
19 faite sur des phénomènes douteux et indistincts, et il ne faut parler d'abord que du somnambulisme le plus indiscutable
fugue complète durant des journées entières, dans laquelle le sujet parle et agit en apparence comme une personne normale
subconscientes, etc. Il est bon de s'entendre sur les termes et de parler un' langage précis, même si on se'trompe. Pour
de sent ce développement d'une autre personnalité en lui-môme et il parle sans cesse de possession, tandis que l'hystériq
vue particulièrement, critique, c'est l'âge de la puberté. Nous ne parlons pas seulement de la puberté physique qui a cepen-
toujours un mélange detroublesde diverses fonctions, ça s'explique parle fait que des branches de la même artère nourris
lysie du bras la paralysie de la face. L'hystérique qui ne sait pas parler n'a pas de motif pour oublier l'intelligence du
on altération ? Le malade pourra penser, pourra comprendre les mots parlés ou écrits mais il ne pourra les prononcer : il
ou écrits mais il ne pourra les prononcer : il aura oublié comment parler , l'arti- culation volontaire sera perdue. Cet
aire dans l'histoire de la psychia- trie (1792-1892). Le rapporteur parle de la grande réforme en psychiatrie qui se ratt
mbre des Sociétés scientifiques. Outre les journaux dont nous avons parlé , il a collaboré activement à la Gazette hebdomada
de l'espèce humaine. 74 4 NÉCROLOGIE. Puis, M. le D'' CHRISTIAN a parlé ainsi au nom de la Société médico-psychologique
défendue. Seul il n'avait pas varié; seul il paraissait surpris de parler une langue que son auditoire ne comprenait plus
le (qu'il est profondément regrettable "de ne pas entendre ici nous parler du maître, dont personne n'a plus que lui pu pé
tails du projet d'hôpital proposé par la commission dont nous avons parlé ; ce point est en effet assez étrange : la commi
au jugement définitif, l\1me Cleaves est d'accord avec ceux qui ont parlé avant elle de la colonie : elle constate que Gh
ous silence.) L'utilité d'une colonie comme celles dont on vient de parler n'étant ni contestable ni contestée, sur quelle
les il prenait part, révélait des choses extraordinaires. Ainsi, il parlait souvent d'un grand seigneur russe, un duc de Pe
s grave, en redingote, Faux se présentait à l'Elysée, demandant à parler au président de la République. M. Carnot, qui e
ées; le contenu est un coagulum très finement grenu, teinté en rose parle carmin, qui contient des amas de petites boules
qui, je crois, n'a pas été encore observée dans la moelle; je veux parler de véritables névromes de régénération qui se son
e tableau clinique, tel qu'on l'avait entrevu tout d'abord; je veux parler de cette zone d'anesthésie absolue qui existait
lettres . par d'autres qui ne conviennent pas. Bégaiement écrit et parlé . - ;Faible rétrécissement du, champ visuel (moi
gréable, au sur et à mesure de sa genèse, pour l'hypnotisme ou pour parler dans le sens le plus large^par la suggestion.. La
le, ne 134 REVUEf'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .saurait' être expliqué parle même processus; là lé processus inflam- matoire
parole, mais com- prend l'écriture et les caractères d'imprimerie;' Parle * spontané- . nient' et* écrit aussi, ne peut li
iquant J ¡'Jas ¡Je) trouble 1 de la perception auditive.)Au lieu de parler , ! le patient lance un' psclai,ou un/siffle- .'
un' psclai,ou un/siffle- .'ment; si, on l'émotionne,) il-. arrive à parler : Trouble très prononcé de l'intelligence des.m
ces arthropathies tabétiques Deux cas semblables ont été rapportés parle Dr James Murphy dans le B¡'it.'1ÍiedJ JOll1'n :
vreté dans la provision des mots, contrastant avec les impulsions à parler , entée sur une confu- sion mentale chronique...
oup sur la tête. Trois jours après' son entrée, le malade refuse de parler . Un an après, son mutisme était toujours absolu
ons. \. Enfin, six.ans après son entrée à l'asile,' il se décide, à parler à la femme du, docteur. Son amélioration fut ra
t' des* voix'lui' disant qu'on le' tuerait s'il avait lé malheur de parler ? 1"' ' nu nu 901l £ 'J m`,Tr ? "'1 ? tL' fr n'
s tant de cas démontrent un arrêt avant que l'évolution dont il est parlé plus haut soit complète, que l'ar- rêt de dével
autant d'honneur pour lui-même que de profit pour ses malades. Je parle de ce que je sais personnellement, quand je dis q
é, pour la chaire de clinique des maladies mentales laissée vacante parle décès du professeur Bail. - 1 - J.-B. Charcot e
diagnostic et du pronostic *. Outre les leçons dont nous venons de parler , men- tionnons encore pour 1869 celles qu'il a
mphre dans le trai- tement de l'épilepsie et de l'hystérie. Nous ne parlons que des médica- ments qui ont fait l'objet de p
pour le succès de l'École des infirmières. Nous n'en aurions point parlé si les attaques dont il vient d'être l'objet ne
. CHARCOT. travaux. Sachant l'allemand et surtout l'anglais qu'il parlait , il s'est toujours tenu d'une manière très exac
eulement d'admirer, il pratiqua lui-même et non sans succès. On a parlé bien des fois des dessins qu'il montrait à ses
'aliénés serait fondéf dans 'Jjè ! if département de =la Vendée, et parla loi du 3 juillet» 1846,' il'-est"' autorisé à e
entrale des deux grands pavillons : le rez-de-chaussée y est occupé parle service des. bains, qui comprend pour chaque se
ée, flanquent deux par deux chacune des ailes dont nous venons de parler et sont affectés aux aliénés malpropres et aux ag
'était que faible au repos; elle était plus nette quand les malades parlaient ou quand ils exécutaient des mouve- ments ordin
cas d'un nommé S... qui avait oublié trois langues sur quatre qu'il parlait couramment. Le diagnostic n'est en général pas
.Galles «est devenue presque proverbiale. La jeune fille dont nous parlions récemment était Irlandaise, mais probablement d
se, mais probablement de la même race. Nous n'entendons pas souvent parler de cas semblables dans les pays nord, du royaum
ent avec le corps trapézoïde et les nombreuses cel- lules dont nous parlerons plus haut, un système de connexion cérébelleuse
guet : « les lèvres et la langue tremblent quand la malade est pour parler , à peu près comme chez les paralytiques géné- r
mise par saccades successives; Verdelli : son malade n'a commencé à parler que tardive- ment ; il bégaie ; Seppili : par
Ce dernier mode est assez fréquent. Les exhibitionnistes dont nous parlons appartiennent 1 Magnan. Op. cil. 2 Magnan. Lo
fort. » Tous ces méfaits sont restés inconnus et T... n'en a jamais parlé à personne. Sa femme et ses camauades les ignoren
fils naturel de Dieu ». Il est hanté par des idées de sorcellerie, parle de la « bande noire invisible qui tourmente les
maladies mentales. A l'inverse de l'affection dont il vient d'être parlé , l'épilepsie présente surtout'des altérations q
lligence paraissait normale. Pen- dant plusieurs jours la malade ne parlait pas. Au bout de deux à trois semaines (usage in
rmes pathologiques de l'état anesthé- sique, les émotions. L'auteur parle ensuite des troubles élémen- taires de la volon
s et des hallucina- tions verbales motrices. Elle raconte qu'on lui parlait souvent en elle-même : < On me faisait chant
ée. Elle distinguait deux voix, une d'homme, une de femme. Ces voix parlaient haut et cela « lui pas- sait à l'oreille ». Ell
ille, sauf un léger bourdonnement plus fort quand c'est l'homme qui parle , mais ce n'est pas une voix formulée. Elle perç
ui parle, mais ce n'est pas une voix formulée. Elle perçoit la voix parla bouche et il y a des moments où cela lui fait m
fait cesser la voix pendant quelques minutes. Tout le temps qu'elle parle elle-même, la voix la laisse tranquille ; après
ces, la malade a également des impulsions nombreuses. Parfois, elle parle tout haut malgré elle : une volonté plus forte
dée, cette idée s'en va et elle reste comme abrutie. Elle craint de parler parce qu'elle ne sait plus'ce qu'elle dit. Elle s
des hallu- cinations verbales motrices très accentuées : elle sent parler en elle- même et sa langue remue malgré elle. E
TEURS ET POSSÉDÉS. 445 verbales très nettes; elle se sent forcée de parler malgré sa volonté, de dire sa pensée avant qu'e
é de dire ou de faire ce qu'elle veut. C'est ainsi que, lorsqu'elle parle , elle arrive à dire le contraire de ce qu'elle
écédemment. Ils formulent des idées de grandeur : Dieu, les Esprits parlent par leur bouche; ils sont inspirés, ils 'prophé
e. J'endors notre jeune hystérique. Je lui recommande de manger, de parler , de se lever et de marcher. A son réveil, elle
l'hystérie peut simuler toutes les maladies, les copier, si je puis parler ainsi, points par points, et si l'on n'a pas so
stantanément sa paralysie du membre. La voix revient aussitôt; elle parle avec la même netteté qu'auparavant. Les accidents
dans l'impossibilité d'ouvrir la bouche, d'articu- ler les mots, de parler . Elle faisait entendre des sons, mais des sons
ques- tions. Et il est à peu près impossible de la comprendre. Elle parle comme on parlerait en fermant la bouche et en t
il est à peu près impossible de la comprendre. Elle parle comme on parlerait en fermant la bouche et en tenant la langue imm
aire mouvoir dans tous les sens. C'est ce qu'elle fit. Qu'elle peut parler , articuler les mots. Et elle parle aussitôt d'u
st ce qu'elle fit. Qu'elle peut parler, articuler les mots. Et elle parle aussitôt d'une voix nette sans bégaiement, sans
durant que les quelques minutés qui suivaient la suggestion. J'ai parlé tout à l'heure de chorée de Sydenham prétendue
on III. Myopathie primitive (Type Erb). Hystérie. Je ne devrais pas parler ici de cette malade puisque sur elle je n'ai pa
quelques jours, et qui tout d'abord m'avaient un peu égaré. Je veux parler de la coxalgie hystérique. Voilà plusieurs coxal-
appareil. Ce cas se produisit dans ce pays de Saint-Fulgent dont je parlerai plus loin, pays qui m'a fourni presque toutes l
est essentiel aussi, pour mettre le plus de chances de son côté, de parler avec assurance, de pro- mettre formellement la
venance d'hémoglobinurie périodique ; la seconde est remarquable parles accidents rappelan , . tle ebnleus'syn-ipràtiq- n
lejcasjde l.,BIIUNS lot malade pouvait élever le bras verticalement parla conservation d'un, reste' du'grand déntelé,F(dr
factif est relié à l'écorce du lobe olfactif et de la corne d'Ammon parles bandelettes olfactives [latérales (trousseaux- ta
La régénéra- tion se produit au moyen delà germination, pour ainsi parler , des anciennes extrémités des fibres du bout ce
e et la perte après la guérison de la notion du patois que l'enfant parlait habituellement avant sa maladie, sont les point
91 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ujourd'hui l'éllu- v ration physique. M. Gaufrés, ayant été délégué parle Conseil général au Congrès des exercices physiq
la gymnastique et il tous les exercices physi- ques dont nous avons parlé , les bromures, surtout l'élixir polybrol11uré d
et parallèlement il la série des trois services dont nous venons de parler , s'élève le bâtiment des gâteuses (hospice), du
entres autres, le texte que j'avais eu le bonheur de faire accepter parla Commission parlementaire, concernant l'obli- ga
u, sortent de l'hospice qu'elles contournent et descendent Gentilly parla rue du Paroy jusqu'à l'Ave- nue Haspail où elle
s voisin est situé sous l'avenue Raspail. . Sur le plan dont nous parlions tout-à-l'heure, M. Delahaye a indiqué, par un p
i-après : La Commission, adoptant le programme d'ensemble élaboré parla Sous-Commission pour la construction des divers b
eur internement est tout à fait indispensable et jus- tifié. J'ai parlé tout à l'heure de l'âge d'admission. Un mot de
autres - prouvent la nécessité des mesures réglementaires dont j'ai parlé tout-à-l'heure. 4° D'autres de nos malades sort
ile clinique, le seul qui soit dans l'in- térieur de Paris, et que, parla force même des choses, les malades seront oblig
équitablement classés parmi les gratuits. La distinction établie parle règlement entre les payants et les gratuits ava
Placements volontaires. TCVII Les modifications dont noas venons de parler font l'objet des Art. 91 et 12 du projet nouvea
e jusqu'à 3 ans, eut sa première dent à 7 mois, ne parvint jamais à parler , ni à marcher. La nourrice, dont les renseigne-
ment déviée sur le bord cubital. L'enfant ne reconnaît personne, ne parle pas, et gâte con- tinuellement. L'examen des or
assez chétive. Ne se tient debout que soutenue sous les bras. Ne parle pas, ne parait rien comprendre, ne fixe son atten
de son séjour à la Fondation Vallée, on cons- tate que l'enfant ne parle en aucune façon. Elle ne fait entendre qu'un pe
parfois de battre sa femme. Il est de plus très vantard, bavard et parle souvent de ses rela- tions avec des personnes i
ulsions, suivies de para- lysie du côté droit avec impossibilité de parler . - Retour progressif de la marche et de la paro
ont été suivies d'une paralysie du côté droit avec impossibilité de parler . Au bout de trois semaines la mar- che est deve
il a pris seulement du bromure de potassium. . Septembre. - Le T... parle avec une certaine difficulté à cause de son ath
es maîtres : Il joue peu avec ses camarades, a des idées mystiques, parle souvent de ses prières et du bon Dieu. A l'ate-
! 5, 8 Il. 45. La connaissance revient après chaque accès; l'enfant parle de sa mère et dit qu'il pense qu'elle ne viendr
et n'a pour ainsi dire fait aucun progrès. Elle n'a jamais marché, parlé , ni été propre. Elle est complètement aveugle.
is même, le médecin qui a soigné alors l'enfant s'est trompé et a parlé plus ou moins vaguement de méningite. Ici, l'ex
fois, offrent les caractères des dents normales. Elle n'aurait bien parlé qu'à l'âge de 7 ans. Réglée régulièrement et sa
uels. Ses actes bizarres lui auraient aliéné les voisins qui ne lui parlent plus. Depuis très peu de temps, du reste, elle
ouvé. Le médecin, effrayé par le nombre cle ses convulsions, aurait parlé de méningite et lui aurait fait appliquer un vé
et brillants, fortement cer- t-11 Description du malade. nés. Il parle péniblement. Son débit, entrecoupé de quintes d
s nerveux. Elle parait intelligente ; son visage est régulier; elle parle ave un fort accent alsacien ; elle avoue être v
sauf un, âgé de 17 ans, placé à Hosheim, près Strasbourg, et qui ne parle pas. - Deux tantes maternelles bien portantes,
s habitudes que celle de sucer le pouce droit. Parfois il s'amuse à parler à des images et à glisser sur les fesses, assis
l prononce, ceux-ci : « lui, jardin, à table. » Si on veut le faire parler lorsqu'il n'est pas disposé, il répond : « Peut
mes analogues à ceux de notre malade, mais comme elle savait déjà parler et marcher, elle put, selon ses parents, continue
La commu- nicante antérieure très longue semble tiraillée et tendue parle développement de l'hémisphère droit, ou la rétr
t intelligente ; notons pourtant qu'elle n'a marché qu'à 15 mois et parlé qu'à 20 mois; -3^ fille, morte à quatre mois de
usseau le 28 décembre. Il est indiqué comme non microcéphale; il ne parle pas, ne mange et ne marche pas seul; il est gauch
Elle n'offre rien de particulier. Etat intellectuel. L'enfant ne parle pas, ne comprend rien; tous les mouvements sont
« et le crâne, les traces d'un rachitisme très prononcé, qu'il « ne parle point, qu'il se tient à peine debout, qu'il est m
lexes patellai- res existent et ne sont pas exagérés. L'enfant ne parle pas, gâte constamment, ne donne lieu à aucune m
aines). Des deux enfants vivants, deux filles, l'une a 2 ans, et ne parle qu'a peine, mais elle comprend; elle est très p
formé, droit. Narines assez grandes. L'enfant respire ordinairement parle nez. - Bouche 2 cen- timètres. Lèvres supérieur
'idée de la trépanation chez les idiots, n'est aucunement justifiée parla présente observation. IV. Ainsi que nous l'av
ne fait que commencer à 'marcher, mais aurait sa connaissance ; il parle depuis peu. - Le 4 est mort très jeune, par sui
exprime l'hébétude. Ses joues sont pleines et rondes. Lorsqu'on lui parle , il vous fixe et secoue sa tète de haut en bas
que. Elle a eu sa première dent vers le Il- mois. Elle a commencé à parler à 13 mois. Elle n'a jamais eu de convulsion ? f
ses parents viennent la voir. Marie B... parait assez intelligente, parle bien. Elle est affec- tueuse, et aime qu'on s'o
l tout particulier et bizarre. « Il s'arrêtait sur les trottoirs et parlait à toutes les personnes qu'il rencontrait. » Dep
étée. Il a peur et se met à crier dès qu'on l'approche on qu'on lui parle . Il fait avec les doigts des mouvements bizarre
e lorsqu'il veut avancer. Son état intellectuel est très bas. Il ne parle pas, comprend peu, est d'une instabillité extra-
s mains sur ses oreilles. Il connaît bien sa place en classe. Il ne parle pas. S'il est contrarié, il crie « maman » resp
rge est bien développée. Il se masturbe toujours cyniquement. Il ne parle pas et semble n'avoir fait aucun progrès (Fig.
ce des enfants de Bicêtre. A propos de l'écholalie, dont nous avons parlé ail- leurs et qui est assez fréquente et peut d
plus âgé avait lv ? ans 1/2. J'ai opéré 13 garçons et 12 filles. « Parlerai -je maintenant des résultats définitifs ? Cela dev
uvé grand changement dans l'état de l'enfant. Elle dit que Bl... ne parle pas mieux maintenant qu'avant l'opération. Ses
rématurée des os du crâne, est une conception théorique, démentie parles pièces anatomiques. On peut se demander aussi c
la physionomie est beaucoup moins obtuse.' . A l'entrée : Laum.... parle assez bien avec ses camarades, mais ne répond p
mictions invon- lontaires la nuit. Actuellement (189 ? ) : - L.. parle assez bien, répond aux ques- tions qu'on lui po
plus ou moins « long, l'enfant sera tout à fait propre, marchera et parlera . » Nos prévisions se sont amplement réalisées.
92 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion complète à 15 mois. - il.. ans seulement, elle commence àt \ parler , mais mal. - Marche à 9 mois, propre à 15 mois. J
le est peu bruyante et aime mieux rester assise que déjouer. - Elle parle bien, mais lentement. - Elle commence à lire et
ales; elle n'a pas de tremblement de la langue ni des mains. Elle parle toujours très lentement et à voix basse. Au point
ts qu'elle fait dis- paraître en les jetant dans les cabinets. Elle parle toujours à -voix basse, avec lenteur et hésitat
re que quelques cuillerées de lait. Elle recon- naît sa mère et lui parle . 26. -- La nuit se passe dans un état de prostr
idait une inégalité de poids des hémisphères cérébelleux ; on sait, parles statistiques publiées à diverses reprises dans
es. L'appréciation de leur degré permet de dire qu'elles ont débuté parla moelle. Il existe une dégénérescence des colonn
s centrales ; ce)- les-ci les renvoient passivement à la périphérie parles voies qui h'y rendent. Ces cellules naissent et
Ce processus est descendu par les cornes antérieures, puis remonte parles cordons postérieurs (dégénéres- cence ascendant
De l'obsession dans ses rapports avec la psychasthé- nie curative ; parle Dr MARANDON de IONTYEL. (73u11. de la Soc. de m
actes, surtout chez les débiles et les catatoniques. Tel celui dont parle 31. Kaecke, qui suivait continuellement un autr
Yun (Seine inférieure). Les questions suivantes ont été choisies parle congrès de Pau pour faire l'objet de rapports u
améliorée au bout de deux mois. Celle observation esl intéressante parla multiplicité des phénomènes spasmodiques observ
subite, quand on veut l'obligera il faire ce qui ne lui plaît pas. Parle peu et seulement pour deman- der à s'en aller.
mort accidentelle vient seulement mettre un terme. Ce parallélisme parlait de l'anxiété et de l'excitation libidineuse per
Un \eut le perdre, on l'accuse pour le faire mourir. Par- lois, il parle du paradis, gémit, voudrait être sauxé. Malgré ce
ours croyait-il quelqu'un qui lui en voulait. Et entre temps, il ne parlait que d'en finir. Depuis dix ans, il était toujou
ient dans sa conversai ion ; « toutes les heures», dit celle-ci. 11 parlait sans cesse de hier sa maîtresse, puis de se tue
e voyons à une époque où les trois ordres de causes dont nous avons parlé sont éga- lement agissantes. Mais le régime d'a
ille. sera que la plupart des réponses des directeurs-médecins ne parleront en aucune façon de l'utilisation possible des m
physiques, aux analyses de labora- toire, aux soins spéciaux, sans parler des autopsies et de l'anatomie pathologique dev
loi de 1838, qui décréta la construction d'asiles dé- partementaux, parla de tout ce qu'il iallaitcrécr pour soi- gner le
ourire de pitié méprisante qu'ils vous ac- cueillent lorsqu'on leur parle de l'organisation française. Je n'oublierai de
ERSONNEL MÉDICAL DES ASILES D'ALJHNHS. 123 Alors, que vient-on nous parler d'obstruction du côté des conseillers généraux
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 parties du proloplasina colorées parles couleurs basiques doivent cette particularité à
tre réflexe, en relation avec les mêmes noyaux des nerfs abducteurs parle moyen, chez l'animal, du faisceau longitu- dina
dangereux d'utiliser pour celle question les maté- , riaux fournis parla paralysie, générale progressive, parce que l'on
ptômes décrits comme cal'aell'l'Ïsli(lues (slé- réotypiesdu langage parlé etécril, écholalie, échopraxie, négali- ,im1f',
apable de dénommer les objets qu'il voit, le malade les re- connaît parle lacl, l'ou'ie, etc.; au contraire, dans l'amnésie
de Ka- zan, ont appliqué les idées de Con01ly, ('touffes premiers, parlé du no-reslrainl absolu. Enfin, a Moscnu, S. S.l
u niveau delà profu- SOCIÉTÉS SAVANTES. ICI herance : de ce point parlent des irradiations qui expliquent tous les phénom
tés concrètes dont seulement ils peuv enl se rendre compte. Nous ne parlerons pas de l'enseignement religieux dogmatique : il
mérite tl'i·Inu ltt lian ceux qui s'occupent d'éducation, et aussi parles médecins, qui y puiseront d'utiles indications
er et sur lesquels nous nous arrêterons un ins- tant ; nous voulons parler du refus d'aliments, et du mu- tisme. Dans un
tiw n, a) Stéréotypies de la parole. -La stéréotypie du langa- ge parlé peut porter sur des phrases entières, sur des m
e au premier abord. / Les néolosgimes qui sont fréquemment utilisés parles déments précoces ne peuvent être considérés que
ent spécifique pour chaque malade. Mme G... a pris l'habitude de ne parler qu voix basse et semble avoir perdu l'usage de
ga- STÉRÉOTYPIE DES DÉMENTS PRECOCES. 197 zouille plutôt qu'il ne parle . Cette mélopée s'accroît en intensité, en même
h) Stéréotypies de l'écriture.- A côté de la stéréotypie du langage parlé , il faut faire une place à la stéréotypie du la
vement favori revenant par inter- valles : Mme G...., dès qu'on lui parle , écarte les doigts et considère avec une attent
- vre pas à pas la genèse de cet automatisme secondaire dont nous parlions tout a l'heure. Autrefois, Mme G... faisait vol
trois ou quatre ; ces observations ne varient plus. Pendant qu'elle parle , sa physionomie reste absolument impassible, 'é
l y a des lésions de la substance nerveuse elle-même déjà signalées parle Pr de Grocco et Bozzolo ; elles ont été étudiée
ernier cas, ils se localiseraient le long du trajet nerveux suivi i parle virus injecté. On ne peut les considérer commodes
s l'examen de la substance grise du renflement cervical ou lombaire parla méthode de \Iar- chi révélait à la partie antér
'éclairage I\oelltgen dessine la dilatation oesopha- gienne effilée parle bas. Le rétrécissement est survenu dans l'enfan
ngomyélite, car, dans notre observation, c'est M. lIudo\el'l11g qui parle , il n'y avait pas de décalcification. Mais il e
être prédisposés à cela, à raison de l'altération de structure dont parle Charcot ; le phlegmon en sévissant sur un os déjà
lo-byoïdien et le ventre antérieur du digastrique, innervés s aussi parla branche mol rire du trijumeau, sont égalementatro
istoire de la dynastie Ilobtcin- Gottorp. Le « mal de PuLL (lont on parle est, on le sait, une des formes les plus désast
Un garçon de 8 ans est amené par bon père et sa mère accompagnes parla grand'mère maternelle. C'est un en- fant chétif
bes d'un côté ou de l'autre, il pleure bruyamment au moment et n'en parle plus. 260 PHYSIOLOGIE. Il a des vertiges av
e en revue les anciens traite- ments, mais il rappelle combien même parla mélltodede réduction Itsvcllidue de 13L'issawI,
eune chanteur de 27 ans. XV. L'origine périphérique des psychoses ; parle Dr de Buck. (Bcsll.de laSoc. de méd. ment, de B
de la démence. P. Keraval. »I1. - Note sur les aliénés processifs ; parle Ut' Giraud. (Journ. de Neurologie, 1904, n° 7.)
on observe un type plus dégénératif, moins systématisé, qui débute parla désorienlalion dans le temps et dans l'espace ;
de connaissance pendant 9 jours. D'abord hé- morrhagie par le nez, parla bouche, les oreilles. Puis diabète in- sipide,
urces bibliographiques. P. Keraval. LX1X.La. maladie de Parkinson ; parle P'' IiAY\f0\D. ( -olsc, Icoviogr. de la Salpétr
int. et de l'open-door. ' R. C. XVI. Observation d'empoisonnement parle véronal ; par P. T. IIALD. (Ctt)Y; ? &f.t-)
e des difficultés, s'il en surgit. Celles- ci pourront être évitées parle concours conciliant des représen- tants de la j
monde dans de bonnes conditions, nourrie au sein jusqu'à 18 mois, a parlé et marché en temps normal. Broncho-pneumonie gr
me IL. dont eUe avait fait sa meilleure amie. Un jour que Mlle X... parlait de ses impressions sur Claudine, Jlme 13... lui
s en général. C'est seule- ment des dégénérés mystiques que je veux parler , et déjà le sujet est assez vaste. 11 est d'aut
ue centrale qui s'irri- tent contre la pluie et le vent. Avant de parler des dégénérés mystiques, il me faut dire en quo
e cérébrale à l'influence d'une hémianopsie. Chez le maladu observé parles auteurs, la déviation de la tète et des yeux re
troubles psychomoteurs qui constituent le syndrome catatonique sans parler de toute une autre série de phénomènes délirant
bligation dans laquelle on a mis le. malade de faire un effort pour parler . G. CRRinR. XXIX De l'état mental des épileptiq
oxine ayant un caractère électif. 7" La provocation artifi- cielle, parle réveil forcé du sommeil post-ipilepliyue, de l'au
es deux syndromes ontété guéris, coup sur coup,en une seule séance, parla suggestion faite non pendant le sommeil hypnoti
ravail où il était dit que les Allemands avaient été les premiers à parler de l'inversion sexuel- le; j'ai trouvé, depuis,
année, suivant les ressources de l'asile et les charges supportées parla caisse de retraites pour le service des pension
s. Leur nombre est également par- fois très élevé. Un maniaque dont parle Hévin avalait des clous, des morceaux de bois,
ues heures et l'alimentation n'a pas tardé il se faire complètement parles voies naturelles. Les suites opératoires sont n
traitée dans les rapports sur les années 1896 et 1 ! I()0..le veux parler du personnel de surveillance. «.I'ai déjà signa
agations, des allées et venues des malades confiés à sa garde, sans parler des appréhensions bien légitimes qui l'empêchen
s des impul- sions morbides des malades dont ils ont la garde. Sans parler des infirmiers tués par des malades (et nous en
repasseraient même avant leur sortie. Le certificat de sortie signé parles médecins-adjoints serait contresigné par le méd
Pour l'éducation des enfants on applique le système qui esl établi parla longue expérience des fondateurs de l'Institut, e
médecin suppléant de la Maison Nationale de Charenton s'est terminé parla nomination de notre distingué collaborateur, M. !
93 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
taient de lui rappeler tout souvenir importun. D'elle-même, elle ne parle plus à sa soeur de son ennemie de Chaumes. Bien
aux écoutes, elle croit que les clients qui entrent dans le magasin parlent d'elle et s'en moquent. Elle commente leur atti
le se redresse et répond indignée qu'elle n'est pas malade ; ne lui parle-t -on pas, elle trouve qu'on la néglige. Dans les
re plus stable et plus cohérent, mais non systématisé ci proprement parler . Tantôt ce délire émane d'hallucinations sensor
dégénérescence mentale et des névroses cons- titutionnelles nous en parlerons plus loin. M. Schuele emploie au contraire le t
ltérations du sens du tou- cher, de la température, difficulté pour parler ; inégalité pupil- laires, maux de tête, amnésie
voir la mélan- colie précéder la paralysie générale ; aussi a-t-on parlé de mélan- colie prémonitoire. Mais l'intervalle
g que dans les cas de M. Neisser. Les anciens médecins ont beaucoup parlé de la complication d'une psychopathie]simple pa
de l'Intérieur. Il faut que les malades qui y entrent soient agréés parle Ministre de l'Intérieur. Il se compose d'une divi
partielle qui convient. Mais la loi n'a pas prévu le cas ; elle ne parle que de l'interdiction totale. Or, une interdict
l y a quelques années, douleur au niveau du tendon rotulien gauche, parla pression seulement (acte de s'agenouiller) : t C'
nd, elle n'en représente plus que les décombres. » Le même auteur parle aussi d'une Verwirrtheit astlaénique (à l'exemp
hallucinatoire (halluci- natorische Ve7,wo7,î,e ? îhez'l), avaient parlé de l'incohérence par défaut d'association dans
« La paranoïa acuta (Wahnsinn) se distingue de la Verzuirr- theit parla finesse d'exécution des détails de l'édifice cons
a thèse, Raynaud dit : jamais aucun accident nerveux. Plus loin, il parle de véritables phénomènes hystériformes : envies
ogique. La clinique confirme les données déjà exposées sur le sujet parle Dr Andriez (British Médical Journal, 24 février
itation gastrique, vomisse- ments. Puis inconscience; incapacité de parler ; parésie du côté gauche; coma; mort. A l'autops
n général avec ce fait toutefois que forcément il doit être modifié parles dispositions anatomiques des espaces lymphatiqu
ages verbales. sensorielles et motrices. X... enten- dait qu'on lui parlait du dehors et il se sentait parler et répondre d
ices. X... enten- dait qu'on lui parlait du dehors et il se sentait parler et répondre du dedans. L'hallucination dite i
i empêchent momentanément d'en faire le diagnostic : Nous voulons parler des épisodes maniaques ou mélancoliques de la f
seoir, ne peut tenir la tête. Elle commence seulement à apprendre à parler . Tête un peu petite. Pour obtenir des réflexes
nt jamais immédiatement la demande. Maumy semble réfléchir avant de parler . Ainsi, à cette question nettement formulée : e
cellule par les regards (judas) de la porte. Je n'ai pas besoin de parler pour qu'on se fiche de moi, on s'en fiche bien
et, réintégré à Mazas, Maumy reprend son attitude d'au- trefois, il parle de physique et d'électricité, mais, maintenant en
raduisait dans de nom- breuses circonstances. Toutes les fois qu'on parlait devant elle de la mort, soit à propos de la mor
la pathogénie de la gangrène que nous nous occupons. Nous en avons parlé plus haut. Il s'agit seulement de l'asphyxie et
A ma grande surprise, il eut l'air de ne pas savoir de quoi je lui parlais et quand je lui déclarai nettement qu'il savait
IV. NOTE SUR TROIS cas DE guérison, après LONGUE DURÉE DE la folie; parle Dr CAMPBELL. (An2e7,ican Journal oflnsanity, 1894
autres asiles munis d'un quartier de surveillance continue; nous en parlons d'après une expérience de huit années. M. DEf
kystique de Pick, on peut les produire artificiellement pour ainsi parler à son choix. Voici maintenant un procédé de col
t de l'impôt sur les alcools d'importation devraient être réparties parla Confédération,entre les divers cantons, proportio
a Confédération n'avait voulu qu'augmenter les bénéfices four- 'nis parle monopole, elle aurait dû ne mettre en circulation
possibilité d'une auto-intoxication ; encore l'un et l'autre, ne parlent -ils que de cas tout à fait spéciaux, dans lesquel
Revue de Médecine, 1881). DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 263 parle aussi des phénomènes gastriques, mais ce sont des
insiste surtout sur ces écarts de régime des gros mangeurs, dont a parlé M. Lépine' ; M. Père ajoute cependant : « Il fa
ctive que celle des troubles gastro-intestinaux dont nous venons de parler . L'é- monctoire rénal devait en- effet nous fou
urines présente, en outre, un nouveau point important. Nous voulons parler de la toxicité urinaire. Dès lors, nombre d'expé-
'' il 268 , PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. i résultats non douteux et parler dans le même sens. Aussi, nous ne les rejettero
ent due à la présence, de cef corps indéterminé dont nous venons de parler tout à, l'heure, I comme semblent le prouver le
, la phase d'inquisition soupçonneuse (inquiétude de Magnan,), dont parle Meynert, ou période d'attention exagérée, des p
7 n'en sommes pas nous- 1 mêmes plus certains d'ailleurs quand'nous parlons de'mélan- ' `colie avec idées de persécution, a
nan, et en étudiant les travaux italiens qui, eux aussi, lorsqu'ils parlent de folie systématique dégé- iiérative (paraiioï
281 la Verwirrtheit ou amentia de Meynert, Wille, Chaslin, il ne- parle en réalité que de deux formes de paranoïa. 1° L
nostic, nature) ont été examinés dans les deux chapitres précédents parla raison quela terminologiequi nous occupe repose
ses parents. Dès le commencement de la maladie elle ne pouvait pas parler , seulement murmurer les mots oui et non. Le 8 j
sensibilité était intacte. Au bout d'environ quinze jours elle put parler ; la parésie disparut d'abord de la jambe ; plu
f de cette opération, il serait par trop précoce, je l'ai dit, d'en parler à présent. J'ai publié le cas parce qu'il me se
moelle cervicale. En outre, un grand nombre de fibrilles nerveuses parlent de la masse enveloppante de l'olive pour se dis
ropositions sont à peine intelligibles et raisonnables. Soit qu'ils parlent , soit qu'ils lisent, ils associent toute une pl
passagères, auraient une accélération de l'idéation, penseraient et parleraient avec rapidité, est cliniquement insoutenable; e
visuel plus accusé qu'à l'ordinaire. Aussi tous les auteurs qui ont parlé de ce phénomène comme M. Greco (de Pise), de l'
un certain point considérer comme voisine, la neurasthénie. Je veux parler du travail de MM. Déjerine et Vialet sur une fo
liqué' parce' qu'il présente un spasme'de l'accommodation dont nous parlerons tout l'heure ? ? v *'">* -9l vu[><uiA)
bien des manières, tantôt des deux yeux, tantôt jl'unseuloeil. Ne parlons pas chez elle^de tous, ces,phénomènes de diplopie
i'noven'de,3'éxpé'- riences de suggestion. Je ne vous ai pas encore parlé 'des effets de la suggestion sur le champ visue
vf ? < ? .. ? 'n ? 1 . t .u». '»< . ^ . . ' z aussi étudies, parla malade, qu îln y, a pas toujours en même temps
des années, 'ont toujours été déterminés de la même manière. Je ne parle pas seulement de ses attaques hystériques et, d
après le paroxysme un cer- tain'embarras'de,la parole; les, malades parlent lentement et lêur 7rrorinciâtlôn est'irré'ülièr
lis se retournent lorsque 1 on lait.du.bruit dans la salle. Si l'on parle .devant eux, ils suivent les gestes et la physio
rt de convulsions à sept ans. Antécédents personnels. A marché et a parlé de bonne heure. Convulsions au moment de la den
tout au moins ils n'en sont pas très éloignés. Ils ont une façon de parler toute particulière. La moindre réponse semble l
uit du soufflet entre les dénis serrées. On croit qu'ils vont enfin parler ! puis ils font un mouvement de déglutition et
té gauche est surtout occupé par des restes de bronchite. Le malade parle lente- ment et difficilement quand on l'interro
noncées et son langage ressemble à celui d'un enfant qui s'essaie à parler , compris seulement des personnes de l'entourage
troubles de prononciation sont moindres lorsqu'il s'est abstenu de parler durant quelques heures ; les pre- mières phrase
. Finkelnbourg attesté l'état de raison de M. Feldmann. Mais il · parle d'erreurs persistantes qui ne seraient point des
quence, à l'époque en question, Feldmann était malade. L'orateur parle ensuite des procédés de Finkelnbourg à son endroi
retenu dans un asile. MM. Ungar, THO1SEN, TIGGES, Schulz, SCHREIBER parlent dans le sens des orateurs précédents. Sur la
ngleterre et en Italie. Cette discussion intéressante a été exposée parle Dr Chaslin avec -une grande netteté ; elle résu
es ;examens ont été institués pour cette catégorie de garde-malades parles soins de l'association médico-psychologique. 80
TS COMMUNS. 421 Le préau qu'entourera la grille dont nous venons de parler , grille d'une force et d'une hauteur variables
a présence de ce meuble et des divers ornements dont nous venons de parler projettera de la gaieté et rappellera une salle
considérablement avec l'espèce de malades hospitalisés, nous n'en parlerons pas pour l'instant. Les fenêtres peuvent être d
t autour du dortoir, jointes aux quelques ornements dont nous avons parlé tout à l'heure, transformeraient à peu de frais
ent à chaque suppression du flux hémor- roïdaire. Nous avons déjà parlé de l'alcoolisme, de l'absinthisme et des intoxi
t pourtant avouer qu'elle vient ici se joindre à l'état saburral et parler dans le' même sens. Chez la femme, comme nous l
eil à douche qui contiendra le courant. Le circuit est composé : 10 parle fil métallique réunissant un pôle du générateur
et d'eau du deuxième appareil à douches que dirige le doucheur ; 5° parle fil métallique qui relie l'embout du deuxième a
e part l'insuf- fisance de celles admises jusqu'à ce jour : je veux parler de la con- gestion cérébrale et de l'encéphalit
94 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s publica- tions sur le point suivant : il n'y a pas à proprement parler , de maladies de la bouche il n'y a que des lésion
aux idées que je défends un appui considérable. Non seulement ils parlent assez haut par eux-mêmes, mais, ce qui leur don
é qu'une période préparatoire. En 1883, Albert, cité par Bernhardt, parle d'une névrose particulière de la langue, dans l
vacité de gestes et d'expressions, la volubilité avec laquelle elle parle de ses souffrances, le peu d'attention qu'elle po
n dentaire. De plus, disait-elle, elle éprouvait de la difficulté à parler (nous avons pu constater le contraire) et à lir
manger autre chose que des aliments mous et grande difficulté de parler . Depuis longtemps Mme de X... ne recevait plus pe
o et de Tanzi. Je n'écris pas ici le nom de Roberto Ardigo '; je ne parle pas, en effet, des philosophes : mais l'on peut
de Gabriel Buccola, interrompue par une mort prématurée, je ne puis parler ici que des parties qui ont trait aux localisat
e de désigner sous le nom d'astasie-abasie. Ces noms furent adoptés parla plupart des auteurs ultérieu- rement. C'est don
', et, pour ne rien omettre, ajoutons que le D" Bris- saud vient de parler devant les auditeurs du cours de M. Charcot de
sique et abasique le lendemain. Dans ses observations, Souza Leirte parle de cinq cas du même genre, une petite épidémie
tions manquent pour les autres sur ce point. Le professeur Henoch 2 parle du même syndrome survenu lentement chez un enfa
- contre dans six des observations de Blocq. La petite fille dont parle Souza-Leite sort de famille nerveuse du côté de l
ans aucune partie du champ visuel ; mais les auteuis ne peuvent pas parler de ce fait avec certitude. En enlevant le pli cou
ENTALE. 117 aux organes de l'articulation. Dans ces conditions nous parlons à haute voix sans nous en apercevoir. Suivant l
en scène voulue de fibres d'arrêt, se produit ici malgré nous. Nous parlons sans le vouloir et en même temps nous per- cevo
de Jolly et d'Eisenlohr qui revenant aux vieilles dénomina- tions, parlent , suivant l'élément morbide prédominant, d'affecti
artie la plus contestée de toute l'oeuvre de M. Baillarger, je veux parler de sa théorie dualiste de la paralysie générale
. « Le temps n'est pas loin où tout docteur en médecine qui osait parler de magnétisme animal était gourmandé par ses conf
DIVERS. 137 arrivé à notre distingué confrère M. ItiLti, dont nous parlions dans notre dernier numero,lt. le Dr Mordret, mé
u nom de la commission chargée d'exa- miner le projet de loi adopte parle Sénat, tendant à la révision de la loi du 30 ju
cles de la cuisse. Ce n'est pas ce qu'on peut appeler, à proprement parler , un phénomène intermittent; c'est toujours le m
mais à des notions anatomiques toutes nouvelles pour vous. Je veux parler de l'anatomie des formes extérieures ; il faut
contribuent ainsi à former, avec d'autres filets dont nous aurons à parler , les véritables cordes transversales de la lyre
du prolongement de l'écorce de la corne d'Ammon et dont je viens de parler , pour former les cordes de la lyre; 2° des file
n interne, celle qui se continue avec les nerfs de Lancisi, il n'en parle pas. FOVILLE.-« « Aminci par son bord libre, il
on le voit, avait entrevu le corps godronné supérieur; mais il n'en parle plus à partir de ce moment, pour ne s'occuper q
18 pathologie NERVEUSE. cation entre la « paralysie émotive », dont parle Blocq, entre les paralysies psychiques « depend
locq, entre les paralysies psychiques « dependent on idea ', » dont parle M. Charcot 2, qui, chez les sujets doués'des ap
it pas, il ne semblait pas avoir conscience de ma présence quand je parlais à son oreille et seulement se mon- trait effray
que à laquelle elle fut congédiée. A cette époque la malade pouvait parler , mais elle parlait d'une façon inintelligible e
fut congédiée. A cette époque la malade pouvait parler, mais elle parlait d'une façon inintelligible et on la croyait quelq
ans un le sens musculaire était perdu dans le côté anesthésié on ne parle pas de l'étatde l'autre membre. Dans un autre 3
nception ou à un trouble dans la faculté d'exprimer ses conceptions parla parole. Ony distingue l'état d'agitation, l'affec
pylorique, par un ballon assujetti à un tuyau de verre in- troduit parla ligne blanche à travers le duodénum; - 3° de la
Je suis Gabriel, qui assiste devant Dieu, etj'ai été envoyé pour te parler et t'annoncer ces bonnes nouvelles. 20. Et vo
es nouvelles. 20. Et voici, tu vas devenir muet, et tu ne pourras parler jusqu'au jour que ces choses arriveront, parce
temps dans le temple. 22. Et quand il fut sorti, il ne pouvait leur parler ; et ils con- nurent qu'il avait eu quetque visi
. 64. A l'instant sa bouche s'ouvrit, sa langue fut déliée, et il parlait en bénissant Dieu (Evangile de J.-C. selon sain
ien d'autres choses encore. « Entre nous, taisez-vous, laissez-nous parler et faire. Vous êtes trop modeste pour être bon
entait hier au commissariat du faubourg Mont- martre et demandait à parler à M. Mouquin. Mise en présence de ce magistrat,
c la plus grande facilité, , lui donner des suggestions, le (aire parler , lui faire avouer ce qu'il pense, ainsi que ses
d'autre point de départ que les études de ce dernier. Nous voulons parler , en parti- culier, des centres d'arrêt et de le
tra, je l'espère, d'établir l'origine véritable d'un ptosis. Je ne parle pas ici des cas où il y a participation des aut
l crie, il pleure, il grince des dents. Verre orange. - Le malade parle indistinctement; il veut se lever de son lit, t
le verre vert, c'était arracher des pommes de terre. Enfin il nous parlait d'aller chercher du vin à la cave, ce qui corre
observation, bien qu'un peu incomplète en ce sens que le malade ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucination
IONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 3151 de la nature de son délire. Elle parle beaucoup, mais ses jeux de physionomie sont peu
bon, tu sais, très raffraichissant quand on asoif... Ecoute, ne me parle pas beaucoup, je suis très énervée, très agacée,
tbésique, elle ne réagit pas.) Voyons, Charles, taquin ! Je ne vous parle pas, Monsieur. J'aime pas ces manières-là.. J'app
la même hallucination; Chacun l'interprète à sa manière et agit ou parle selon son interprétation. C'est là précisément
sorte un signe pathognomonique de cette affection. Tel qui lira et parlera des heures entières sans bégayer ne pourra pas, t
régularité, la phonation est troublée. Or, certains bègues veulent parler pendant l'inspiration, à la manière des ventrilo-
er pendant l'inspiration, à la manière des ventrilo- ques, d'autres parlent pendant l'expiratiou, comme il convient. Mais,
e ceux-ci laissent échapper une partie du courant d'air expiré sans parler et ne sont prêts pour la parole que lors- que l
s assez pour l'articulation normale par la bouche. D'autres, enfin, parlent avec une telle précipitation, qu'ils suppriment l
fatigués, à bout d'haleine et dans l'impossibilité de continuer de parler . J'ajoute encore qu il est essentiel de faire r
ni de l'intermittence ni de la disparition dans le chant. Il n'est parlé que de troubles respiratoires : « Si on examine
3).-\I. Desnos. «Il me semble que votre malade a un peu la façon de parler d'un individu atteint de paralysie générale,» -
C. et les troubles respiratoires du bégaiement ordinaire; les faits parlent eux-mêmes et il est bien certain que 1 inspirat
malades de M. Ballet, nous n'avons trouvé la triade dont nous avons parlé . Et, en vérité, plus nous étudions ces cas et m
bègues le désir et l'habitude d'aller vite, plus vite que ceux qui parlent bien. « Les malades dit encore M. Ballet 2 ne p
es pré- sente tous, sauf celui de l'intermittence dont il n'est pas parlé dans l'observation, mais qui devait très probab
position qu'on peut employer chez ceux qui ne peuvent comprendre ni parler , et aussi applicable aux animaux. 412 -. PHYS
aît avec la cause occasionnelle. Les persécutés génitaux, dont on a parlé incidemment tout à l'heure, à propos des troubl
dent, tout ce qu'ils voient s'adresse à eux ; ils s'imaginent qu'on parle d'eux, qu'on les insulte... Ces mots indiquent
rôle. Nous avons vu que les persécuteurs du malade, non seu- lement parlent mal de lui, mais encore que leurs gestes lui font
il se trouve, il n'est plus persécuté. Du jour où il commence à la parler et à penser par son aide, les per- sécutions se
terrain exclusive- ment scientifique et de lui permettre par là de parler avec la même autorité que le médecin-légiste or
rive donc à cette conclusion que les jeunes sujets dont il vient de parler présentaient le tableau clinique de la confusion
95 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
qu'on appelle la capsule de Glisson. Cette gaîne sert, à pro-prement parler , de support aux ramifications de la veine porte.
onaire (Foie cardiaque). b) Nous voici naturellement conduit à vous parler des voies, lymphatiques qui ont partout des relat
de dire du tubercule peut être répété du syphilome miliaire. Je veux parler de ces petites gommes rudimentaires, moins grosse
du revêtement des ca-naux et de la capsule de Glisson, du point lésé parla ligature jusque dans les espaces interlobulaires.
dans une autre circonstance. 3° Pour finir, je n'ai plus qu'à vous parler un instant des canaux biliaires, Vous connaissez
trait aux notions anatomiques. Ce serait pourtant l'occasion de vous parler des vaisseaux lymphatiques et des nerfs du foie,
me manière que l'urée est éliminée etnon à proprement parler sécrétée parles reins, la choles-térine serait évacuée avec la bi
ui accompagne si communément une foule de lésions hépatiques. A. On parle souvent des pigments biliaires. En réalité, à l'é
'un poison vio-lent et occasionner des accidents nerveux graves. a. Parlons d'abord de Vaction dissolvante des sels bi-liaire
l. — Maladies de l'Algérie, t. i, p. 262, b) Ceci me conduit à vous parler de la bile tout à fait in-colore, que contiennent
e l'urée. 1. Messieurs, En terminant la dernière leçon, je vous parlais d'un second groupe à'altérations de la bile, cara
Je ne ferai que mentionner les vibrions, parce que je me propose d'en parler plus longuement dans la suite; même dans les cond
e canal cholédoque. Dans les expériences de ce genre, dont je vous ai parlé précédemment, la bile, accumulée dans les voies b
ent chronique (cancer, kystes hydatiques). Actuellement, je vais vous parler de faits constituant un groupe à part, une troisi
ns hépatiques dif-fuses, à évolution rapide ou même suraiguë. a) Je parlerai en premier lieu de la colique de plomb, à la- (
rquer en outre que, dans ce cas, l'urée est suppléée en quelque sorte parla présence de la leucine et de la tyrosine. cl) M
nt, quant à présent, que je sache du moins, d'observations ad hoc, je parle d'ob-servations régulières. Quoi qu'il en soit,
utre phéno-mène qui lui donne une signification particulière. Je veux parler de Faccroissement de la proportion de l'acide uri
'uricémie peut encore, ce me semble, être bien mis en relief. Je veux parler de la goutte saturnine. Vous n'ignorez pas que la
de l'acide urique. D'un autre côté, il est aussi parfaitement établi, parles travaux de Bence Jones et ceux plus récents de Ba
lédoque, les con-séquences les plus graves pourront en résulter. Sans parler de la déchirure avec perforation des parois du ca
saurait se dé- sintéresser de l'étude des concrétions biliaires et, parla même, se trouvent motivés des détails dans lesque
(1). Le malade avait été soumis à l'usage des frictions mercurielles. Parla fusion du noyau d'un calcul, on obtint un globule
ure, sans traces de substances cal-caires. J'aurai l'occasion de vous parler de nouveau de ce cal-cul et de l'intéressante obs
franchir les voies biliaires. Cela n'est pas tout à fait exact. Sans parler des concrétions biliaires du volume d'une olive o
e affection apyrétique. Sauf le cas par-ticulier dont il sera bientôt parlé , à la vérité, on ne possède pas à cet égard, que
eu près néces-sairement d'infection purulente. C'est ici le lieu de parler de certaines lésions que les cho-lélithes, qui on
rd, soit direc-tement ou indirectement à une issue funeste. Pour ne parler que du canal cholédoque, il n'est peut-être pas s
rétion dans le canal cholédoque après s'être opéré, sans être précédé parles phénomènes cle 1 hepa-talgie, persiste sans s'acc
es expé-riences, instituées chez les animaux, et dont je vous ai déjà parlé , pouvaient faire prévoir en quoi elles consistent
te a été bien constatée (1). II. C'est ici, Messieurs, le lieu de parler de la gravelle et des calculs biliaires intra-hép
tion et aussi de l'inflammation des voies biliaires. Déjà, nous avons parlé de la fine gravelle biliaire qui apparaît souvent
es veines abdominales, etc. 5° Ces considérations nous conduisent à parler d'un ca-ractère différentiel tiré de l'état génér
, la cause principale, fon-damentale, de l'altération du foie dont je parle paraît être l'abus des boissons alcooliques. Afin
e et la physiologie pathologiques de la cirrhose atrophique : je veux parler des lésions que subissent les ramifications intra
blissement de la circulation collatérale dans la cirrhose et que l'on parle quelquefois de la fréquence du dé-veloppement des
s de la fréquence du dé-veloppement des hémorroïdes dans la cirrhose, parle fait de la maladie. La réalité est que les hémorr
diés, de la stase du sang dans les vaisseaux portes abdominaux. Je ne parlerai donc pas de Yascite, du catarrhe gastro-intestina
int de vue théorique aussi bien qu'au point de vue pratique : je veux parler des infarctus tubulaires du 'rein. Les divers can
n est toute différente ; celles-ci, qui ne forment pas, à propre-ment parler , des granulaUons, mais seulement des macules non
cidentelle, et jusqu'à présent ces cas sont rares. Quelques auteurs parlent avec complaisance d'une période congestive, dont
lbuminurie qui est très rare à cet âge, et, dans les deux cas dont je parle , il s'agissait réellement de la néphrite albumine
peuvent survenir dans la néphrite interstitielle, il me reste à vous parler des altérations des vaisseaux que l'on peut retro
inconnues en quelque sorte dans la néphrite parenchyma-teuse. Je veux parler des lésions connues sous le nom de rétinite album
ogie de cette affec-tion aucune condition déterminante. On a beaucoup parlé de l'influence de maladies autres que la scarlati
ue. La mort survient par suite de circonstances variées : j'ai déjà parlé des érysipèles de mauvaise nature et des hydro-pi
s à la fonction rénale, et j'aurai plus d'une fois l'occasion de vous parler de ces expériences dans le cours de nos études.
se momentanément de côté l'albuminurie car-diaque; nous y reviendrons parla suite. Actuellement, nous avons à nous occuper de
d'eau, abondante encore, était faite par petites doses. Dans ce cas, parle fait de l'action de l'eau sur les globules, ceux-
te théorie. C'est de M. le professeur Semmola (de Naples) que je veux parler : « L'albuminurie, dit-il, dans la maladie de Bri
roses et albumineuses qu'on appelle urines cardiaques et dont je vous parlais dans notre dernière réunion. La clinique montre,
-minurie. Cette théorie dont, je le répète, je ne peux actuellement parler que d'une façon sommaire, paraît déjà bien peu so
, comme le veut la théorie de Kuss, à l'état normal pour être reprise parles épithéliums du labyrinthe. S'il en est ainsi et i
96 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
'éducation de ruz ? de la main, et de l'attention. Nous avons aussi parlé autrefois des procédés em- ployés pour inculque
in ( : 31, et des médicaments antiscro- fuleux, ont continué, comme parle passé, à être la baso du traitement pendant l'a
économe. Le travail des enfants couvre : 1° la dépense occasionnée parle salaire de leurs maîtres; 2° l'intérêt du capit
; rapport présenté A la Commission DE surveillance (9 mars 1893) ; parle DI BOURNIVILIE. Messieurs Le le, décembre der
Congrès français de chirurgie, 31 mars 1891, p. 73.) 4 IDIOTIE. « Parlerais -je maintenant, ajoutc-t-il, des résultats définit
a crête occipitale et de toute la partie déprimée dont nous avons parlé , il y a un épaississement assez prononcé comme si
s. Petit à la naissance. - Aurait marché à 9 mois et commencé il. parler à un an. Vers 1-1 mois, peur occasionnée par son
e) est né à Paris le 8avrill880 13 (ans). Al'entrée (mai 1886) : il parle très difficilement, ne se sert que de la cuillè
plus ou moins « long, l'enfant sera tout à fait propre, marchera et parlera . » Nos prévisions se sont amplement réalisées.
igne- ment sur la dentition et sur l'âge auquel il a marché. Il a parlé tard. Il n'aurait jamais eu de convulsions, ni d'
son retour de Forges, il n'a plus sa tète, il bégaye quand il veut parler , ce qui ne lui était jamais arrivé, et le tremb
dans le même état qu'à son arrivée. Il connaît ses noms et prénoms, parle avec lenteur, hésitation, exécute mal ce qu'on
c lenteur, hésitation, exécute mal ce qu'on lui commande. Il sait parler , cause dillicilement, parole brève, saccadée en p
es le= autres à 2 ans f 12' Il a marché à 14 mois et com- mencé à parler à 2 ans. A cet il était à peu de chose près com
ue les couleurs excepté le vert et le violet. Intelligence : Loo. parle librement ; il connaît ses lettres, écrit lisib
du soir. Elevé au sein, sevré à 17 mois, il a marché à 11 mois, a parlé et été propre de très bonne heure ( ? ). A 7 ans,
Juin. Far... fait de petites divisions, des dictées de mots usuels, parle correctement, est docile, courageux, mais remur
fait d'assez bonnes dictées; ses rédactions sont médiocres; il y parle de tout ce qui lui passe par la tète; il sait les
t des plaies à la ligure, aux mains et aime à les faire saigner. Il parle souvent seul, se met en colère sans motif et ve
émur; l'autre moitié de la jambe vient se placer dans l'angle formé parles cuisses, écartées, en dedans d'elles, à 4 ou 5
s optiques qu'elle refoule en avant et sur les côtés, et en arrière parles pédoncules cérébraux. Le pédoncule droit parait
nze mois ; propre à un an, il a commencé à marcher à treize mois, à parler à 20 mois; toutefois, son élocution est restée
conservant sa connaissance ( ? ), il était impossible à l'enfant de parler : sa langue était comme paralysée. Les accès se r
que la gauche, sans qu'il y eut toutefois de déviation du pied. Il parlait presqu'aussi bien qu'aujourd'hui. Repris alors
commandée est faible, c'est ainsi qu'il parait ennuyé quand on lui parle et qu'on veut le faire causer. Il ne réfléchit
s. Elle resta à leur suite, 18 mois paraplégique. Un médecin aurait parlé de maladie de coeur. La dernière soeur, qui est
sein. Il fut sevré à 15 mois. Il n'a pas de dents, ne marche, ni ne parle . - A5 mois, convulsions : ni paralysie, ni cont
paralysie, elle essaye de coudre et de faire de la tapisserie. Elle parle assez bien, sans pouvoir toutefois prononcer ce
qu'à 6 ans dans un mutisme absolu. A cette époque, il se remit à parler , parvint assez vite à apprendre à dire tous les
musique. Depuis l'âgei de 13 ans, il éprouverait de la difficulté à parler et ne chan- terait plus. Lorsque, à 15 mois, ap
t plusieurs os surnuméraires. C'est sans doute de ces os qu'a voulu parler Franck lorsqu'il écrit que « l'examen cadavériq
la grosseur d'une petite amande. , L'enfant est gâteux complet, ne parle pas, il serait coléreux et gourmand. 268. Hyd
ler, car elle ne put jamais pren- dre le sein. A 18 mois, elle ne parlait pas du tout. D'après la mère, elle avait la têt
rbites qu'ils ne le sont aujourd'hui. Vers 5 ans, elle a commencé à parler . Elle avait l'habitude d'enfoncer ses doigts da
e à 4 ans. Début de la marche à 3 ans lj2. A 4 ans, il com- mence à parler , mais. borne son vocabulaire aux mots : papa, m
e vue mental, l'enfant n'a, nous dit la mère, jamais pu apprendre à parler , ni à marcher, il a de fréquents accès de colèr
rudoie, il insulte, mord, entre dans des rages furieuses. Si on lui parle doucement, il est caressant, reconnaissant, mai
et négligée. Il mange gloutonnement et souvent avec les mains. Il parle en chevrotant, rit toujours aux éclats, s'expri-
ue. Pas d'onanisme, ni de kleptomanie ; il est très susceptible. Il parle mal et nasonne. 1885. 4 mars. L'enfant est at
oncer quelques mots à 15 ou 20 mois, mais certains n'ont appris à parler qu'à 3, 4 et ans. La volonté, chez la plupart,
l'observation plus loin. L'observation cle Noire ? dont nous avons parlé à diverses reprises, trouve, ici, sa place natu
se pour les petites filles elle l'est peu pour les plus grandes, et parle généralement d'elles en termes grossiers. Lorsq
ses de nerfs et une paralysie complète, l'empêchant de remuer et de parler Cette paralysie guérit assez vite, mais elle co
ourlées. Cette enfant a mauvaise mémoire, manque d'attention, elle parle correctement, mais est instable et coléreuse. A
eux qu'on a laissé pousser. Elle place des verbes dans ses phrases, parle bien. Elle chante fréquemment chez elle et reti
sses frontales veinées de bleu. Les réflexes sont normaux. L'enfant parle bien, mais se montre à notre égard réservée et
97 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
te école comprend : 1° le traitement du gâtisme dont nous venons de parler , 2° les leçons de toilette qui consistent à app
prononciation défec- tueuse, mais il répond exactement quand on lui parle , fait des phrases et comprend bien tout ce qu'o
abille et se nettoie seul. Il place les lettres et les recon- naît. Parle assez à propos et prononce assez bien les mots.
t atteint d'idiotie profonde et d'épilepsie, était grand gâteux, ne parlait pas, ne savait pas manger seul. L'attention éta
procède aujou)'(/Îlili il ces soins d'une manière con- venable. Il parle , comprend et tient bien une conversation. A la
ie complète avec gâtisme ; marche et parole nulles. Aujourd'hui, il parle , marche, s'habille et se désha- bille seul, et
nt en arrière en poussant une sorte de plainte ininterrompue. 11 ne parlait pas ou du moins Petite école complémentaire. xi
l répète et comprend main tenant tout ce qu'on lui dit, commence il parler un peu de lui-même. La voix est basse, caverneu
verneuse et l'articulation laisse beaucoup il désirer mais enfin il parle , avec il propos, et nous comprenons ce qu'il ve
QUE : résultats. xiii s'isolait, ne jouait avec ses camarades, leur parlait encore moins. A nos questions il répondait par
re, 1900. ? xxxiv Enseignement professionnel. dépense occasionnée parle salaire de leurs maîtres; 'v)0 l'intérêt à 0/0,
e de 3 ans, atteinte d'icliotie à un degré très prononcé. Elle ne parlait pas, le regard était assez mobile, mais sa physio
mencé par dire quelques mois, puis des phrases; aujourd'hui elle parle bien, sa voix est claire, sans défaut de pronon-
u;/a... (Alph.), 10 ans est entrée en juillet 1900. Cette enfant ne parlait pas, ne disait que ces seuls mots. C'est; c'est
onnel pour se livrer à l'onanisme. Elle était gâteuse la nuit. Elle parlait peu, répondait à peine quand on lui posait quel
e ménage aux filles. Les enfants indigents peuvent y être maintenus parles provinces à raison de 40 fr. par mois. Les enfa
La Commission a renou- velé son -ccu.1 Bibliographie. Après avoir parlé de cette réforme dans le Progrès médical et dan
t rares dans ces services et la plupart sont immédiatement comblées parles enfants placés d'office par mesure de sécurité
facilité. Classes spéciales. cm 3° Classes spéciales. Nous avons parlé un grand nombre de fois de la création de class
a demandé il M. Le Roux l'inscription du crédit dons nous venons de parler . Nous prions la Commission de renouveler son vo
ho mesuré depuis le cap bor- dant l'incisurc postérieure et passant parle point culminant de la face inférieure est de 12
dmettant pas l'extrémité du petit doigt. Pas d'onanisme. L'enfant parle à peine . Elle ne prononce que quelques syl- la
parait avoir une tendance à engraisser. Le sommeil est agité. Elle parle mieux, son répertoire de mots paraît plus vaste
ès des tentatives faites pour apprendre à l'enfant à mar- cher, à parler , à être propre, etc. IV. A l'admission, cette m
mère, il a été sevré il 18 mois. Première dent à 8 mois, n'a jamais parlé , marche a 26 mois, gâtisme. Gourmand et vorace,
llectuel. 1899. Rien de particulier pendant cette année. L'enfant parle beaucoup mieux, est plus enjoué mais gâte toujour
d il fait bien et quand il fait mal. Il semble écouter quand on lui parle , et manifeste qu'il comprend C3 qu'on lui dit.
dans une crèche jusqu'à l'âge de 3 ans. On trouvait drôle qu'il ne parlât pas. - On l'a ensuite mis dans un asile, mais l
a ensuite mis dans un asile, mais là on n'en a pas voulu, car il ne parlait pas, « faisait sur les bancs et se salissait ju
de. noncer un certain nombremots : merci, cerceau, pain, dada. Il parle de façon plus intelligible, et se sert maintenant
devient aimable, son caractère s'est considérablement amélioré. Il parle maintenant assez bien ; cependant sa prononciat
en croissant, dans le courant de l'année 1898. En 1899, l'enfant parle de façon intelligible ; il trace des hâtons ssr
e et nomme quelques lettres. - Enfin' il la fin de l'année 1900, il parle de façon il peu près correcte, il écrit quelque
rda. Lisboa, 1894. Microcéphalie. 167 des Microcéphales dont il parle . Les Microcéphales de M. Giacomini avaient un e
servir de ses mains, à manger, à se déshabiller, à manger seul ; il parle nettement, a appris à chanter ; il est devenu p
ce qui a trait il l'anatomie pathologique, puisque nous en avons parlé il y a quelques jours devant vous (4) nous (1)
98 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
AR Le P F. RAYMOND, Médecin de la Salpêtrière. Leçon recueillie parle Dur J.-B. CHARCOT Chef de Clinique. , Messieu
uraient en rien pu modifier notre diagnostic. l'époque dont je vous parle , les réflexes tendineux étaient très exagé- rés
ableau clinique que nous avions devant nous à l'époque dont je vous parle . Parmi les traits qui composent ce tableau, cel
'évolution des accidents, la gravité de certains troubles présentés parla malade, et en particulier les troubles sphinctéri
sthésie qui est habituelle dans les cas de syringo- myélie, je veux parler de l'anesthésie dissociée. Mais pour si habituell
ante. Ceux qui ont soutenu le contraire ont commis une erreur. Sans parler des cas où la syringomyélie était associée à l'
ÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 15 Dans un cas d'Oppenheim dont je vous parlais tout il l'heure, le dernier en date, les cordon
me que le dictamne n'a ni (leur ni lige. Et Virgile, on le voit, en parle tout autrement. Il importe peu d'ailleurs de ra
coll- tenant des pilules, des poudres médicinales, du soufre, sans parler des cautères, pierres ci aiguiser, balances, fi
t dont nous allons chercher à élucider la pathogénie : nous voulons parler des deux zones d'hypel'esthésie super- posées a
lons et commissures, des masses vitreu- ses homogènes. Il n'est pas parlé du cerveau. A notre avis, on ne peut tirer aucu
éditaire associées si fréquemment aux lésions nerveuses. Et si nous parlons de localisation cérébro-médullaire, c'est que,dan
erai à signaler quelques applications pratiques des photogra- phies parles rayons X, la recherche des corps étrangers et l'é
est sans intérêt médical (signalé par M. Paul Arène). Et nous ne parlons pas^des innombrables gravures reproduites par l'i
itique héréditaire qui, jusqu'à l'âge de 2 ans, était intelligente, parlait et marchait bien. Vers l'âge de 2 ans, crises c
93, et une réponse de Pollak (Id., no 2, 1896) dans lesquels il est parlé de paralysies et de contractures des membres ch
reilles et à des écoulements chro- niques du nez. Il n'a commencé à parler que très tard. Il est fréquemment affecté de cr
observations précédentes, nous joindrons un fait dont Mendel (1) a parlé au cours d'une discussion sur les affections syst
d'ulcérations qui auraient existé il cette époque de la vie. Elle a parlé à l'âge habituel, intelligence développée. Vers t
20 ans bien portante ; 5° un garçon de 14 ans 1/2 dont nous allons parler ; 7° une tille de 8 ans bien portante. Le n° 5
e la paupière supérieure de l'oeil droit avec strabisme externe. Elle parlait facilement; elle ne s'est pas aperçue qu'elle e
marqué que le droit ; ces phénomènes s'accentuent lorsque la malade parle ou rit. Les sillons de la moitié droite de la f
'influence du traitement spécifique, les phénomènes dont nous avons parlé se sont considérablement améliorés. Non' seulemen
ond (1) publiés dans ce recueil, la thèse de M. Dufour (2), pour ne parler que des plus récentes investi- gations, font fo
éfaut. Les lésions que l'on trouve alors du côté de la moelle, sans parler des vices et arrêts de développements, dont la
tive, le nain parfait, cet « abrégé des merveilles des cieux » dont parle Eliante dans le Misanthrope, est encore à naître.
- ment à leur visage, un habitus vraiment caractéristique : je veux parler du myxoedème. Crétinisme etm ! Jxoedème march
hargie d'où il revenait pendant quelques moments, mais sans pouvoir parler ». Si l'on ajoute à ces renseignements ceux du
n bronze de Valerio Cioli et les nains de Jan van' Kellen dont nous parlerons plus loin, les portraits de Simon PctcLy et de
de 21 ans, avait la voix d'un enfant de sa taille. Il ne put jamais parler et « criait comme un enfant de trois ans dont il
x, grincer des dents ; on l'entendait tenir des propos incohérents, parler à des êtres ab- sents ou chimériques, décrire d
de St-Géosmes mettait en révolution tout le diocèse de Langres. On parlait de plus en plus de miracle ou de maléfice satan
on avec tous les savants d'Europe, Morgagni, Haller, Sharp, etc. Il parlait avec facilité et ses démonstrations d'anatomie fu
e de 22 mois après lesquels elle jeta beaucoup de sang par le ne ? et parla bouche; cette liémorrlia-ic n'était accompagnée
lin de lune, conjointement avec le crachement de sang dont il a été parlé plus haut, et qui l'avait précédé dans cette luna
couleur briquetée, de la même nature que celles qu'elle avait jetées parle vomissement. Au mois de septembre fut faite u
cette expulsion de pierres comme l'effet d'un remède dont j'ai déjà parlé , et qu'on a administré cette fois il la malade.
t accompagnés de grincements de dents et de cris ; j'essayai de lui parler , elle me dit qu'elle sentait du mal à la nuque et
ur les bras et sur les mains. Enfin, pour terminer, il nous reste à parler de l'état mental de la Fille de St-Géosmes. L
2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE L'évêque de Langres ayant parlé de confier à un autre médecin l'ex- traction de
t à coup et qu'elle fut réduite à la dernière extrémité. » Quand on parla de la transporter à Paris pour la faire examine
de deux pouces six lignes et de l'épaisseur de quatre lignes, sans parler des morceaux de cailloux, de fer et de verre qu
'obscurité qu'ils pré- sentent toujours dans le point essentiel, et parla de trouver une analogie raisonnable avec une ma
lisée. Né à terme, nourri par sa mère, l'enfant marchait à 10 mois, parlait à son heure, mais ne possédai que quatre dents
équilles. Il entre alors en traitement à l'hôpital Beaujon, où l'on parle de névrite ; il y est soigné pendant 3 mois et
paralysies a soulevé différents problèmes touchant leur (1) Nous ne parlons dans cette étude ni de l'hémiplégie ni de la para
malade de maintenir sa langue en position fixe..C'est propre- ment parler de l'ataxie statique mais dans un état statique o
» Sérosité et pus sont, en effet, les deux seuls liquides signalés parles auteurs qui se sont les premiers occupés des ar
rice faite par M. le Dr Chaput ramena 300 grammes de sang/ Chipault parle , dans l'Iconographie de la Salpêtrière, 1894, d'u
llette de 3 ans 1/2, qui jusqu'à l'âge de 2 ans était intelligente, parlait et marchait bien. Vers cet âge, crises convulsi
aralysie arsenicale est fréquente. C'est ainsi que j'au- rai à vous parler d'une communication faite au dernier Congrès inte
ussent pu ajouter que l'eschare au siège, constatée chez la malade, parlait dans le même sens. Mais il y a d'autres élément
tiqué dans une intention criminelle. Tel le cas de cette femme dont parle Imbert- Courbeyre, et qui se trouvant en état d
LPÊTRIÈRE B. Ataxie arsenicale. Messsieurs, jusqu'ici je ne vous ai parlé que des paralysies arsenicales ; or la paralysi
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE En somme, la paralysie arsenicale, ou, pour parler plus exactement, les troubles sensitivo-moteurs
rsiste, elle est en rapport avec le tissu dégénéré dont nous allons parler , la corne postérieure est presque totalement dégé
les coeurs biens nés la patrie est chère, il ne consentit jamais à parler une' autre langue que sa langue natale. Les Ro-
soldats, les bonnes et les petits enfants ébahis, Maccus continue à parler osque, comme il parla jadis devant Coriolan. En
les petits enfants ébahis, Maccus continue à parler osque, comme il parla jadis devant Coriolan. En effet les Osques étaien
99 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ésolobaires d'un centimètre d'épaisseur. Vu la pré- cision réclamée parles recherches anatomo-pathologi- ques, j'admettrai
cupaient la portion sous-corticale du centre ovale; ou bien, pour parler le langage de M. Pitres, dans l'observation de
uellement gai et loquace, en juillet, Mat... devint taciturne et ne parla plus à personne. Il a eu des idées de suicide. Le
iblissement intellectuel pendantl'année 18 i 3. En effet, le malade parle seul, ne répond pas aux questions; on ne peut f
pas, elle peut même monter sur un trottoir ; mais elle ne peut pas parler . Elle prétend qu'elle ne perd pas connaissance,
aiguës de l'enfance, de la puerpéralité, etc., peuvent se terminer parla guérison, en laissant l'organisme en état d'opp
i- tion d'idées hypochondriaques d'un pronostic grave. M. Foville parle de la possibilité d'idées exclusivement religieus
variablement et avec force le mot de Cambronne. De plus, vient-on à parler devant lui, il se fait l'écho fidèle des deux o
ouloir changer son nom, il faudrait se résoudre désormais à ne plus parler de proli- fération de la névroglie. Ce qui prol
. Daus l'intéressant mémuire tu'rl meut de lire, 11. Ké- raval nous parle de l'action narcotique de la paraldéhyde qui pr
des poêles de faïence, excepté aux cellules (chauffage à air chaud parle ous-soi). Système des fosses mobiles parfaiteme
traire, se produit dans cette maladie la contraction idiomusculaire parla percussion du corps même du triceps fémoral; ce
huit cas, M. Blizzard fait remarquer que vingt-quatre fois (pour ne parler que des cas où il en est positivement fait mentio
, en réalité, les'vieillards que nous rencontrons tous les jours ne parlent pas ainsi, il est fort probable que l'acteur qui
e de l'institut d'Alexandrie du 9 mai courant, le D Abbate pacha, a parlé de la morphiomanie en Hgypte, surtout parmi les
l y a longtemps déjà, à propos d'une observation curieuse dont nous parlons plus loin, a fait heureusement ressortir les ca
ions sont comprimées, non détruites, voilà pourquoi la faculté de parler revient au complet, et, par contre, pourquoi ég
istoire de l'aphasie, concerne l'hémisphère gauche, il nous reste à parler des cas dans lesquels 4° La perte de la parol
d'observations sont très rares. J'allais terminer ce mémoire, sans parler de l'insula droit, faute de matériaux, quand MM
s à chaque instant; pendant cette'opé- ration, elle s'interrompait, parlait bas. En février 1883, à l'occa- Aucun Es, t. VI
gnent la portion inférieure à l'îlot sous-jacent dont nous al- lons parler . En tout cas, la queue du lobule pariétal supérie
s plis de passage verticaux (de Gromier), qui déforment, pour ainsi parler , le type. En se reportant à la scissure de Sylv
un paragraphe spécial à deux circonvolutions de passage avant de parler des trois circonvolutions occipitales classiques.
; mauvais état général. Elle est irritable, refuse les médicaments, parle d'une façon peu intelligible, se plaint comme s
'pbihts, c'est 1'i,inpôsslbilité"oiï se"1 trou-1 vait la malade 'de parler .' Cette aphasie1 n £ parâissait']iée/à' aucune1
s 'inarticulé' que la'lmalade'- faisait de plus vifs efforts'1 pour parler ; 4° elle était rarement capable de répéter un mo
s ? Siz môisd'insômnie;r ensuite excitâtionet,idéesde gran- idetïr. Parlé ou, marmotté incessamment ? ^- 'Après des'pertes
lir de, ce moment illrefusaide) travailler; et : fiarn moments ? de parler ou de, répondre; quandil parlait;sesprdpdsétaihpt
travailler; et : fiarn moments ? de parler ou de, répondre; quandil parlait ;sesprdpdsétaihpt·sénsés, sauBen'un'point : pour
t, selon lui,3"accepter là'pathogénie'de'la paralysie générale', de parlés excès alcooliques', sous la double fonnuIe'que'vb
sur les combinaisons .conceptuelles", par. les^. symboles verbaux^ parles souvenirs11 dés sind[\'idus,, par, l'ancienneté
ont en rapport avec les' parois ' vâsculaires. Comme on ne. saurait parler de cellules araignées 'sans toucher. un mot de
te espèce de perturbations de ce genre. Ce n'est pas des gens qui parlent seuls, qui font des gestes et prennent des poses
contente de mouvoir les lèvres, parce que son interlocuteur ne lui parle que sur un ton de chuchotement ; souvent même i
esseurs' spéciaux. M. Kahtbaum eii.1 ? ti,ois résidents qui vivent, parlent , travaillent avec les élevés. L'un d'eux enseigne
sident; ;- chaque orateur, à l'occasion d'une discussion, ne pourra parler plus de dix minutes. Cette motion est adoptée.
, à 23,831 ; soit : I 0, 100 faites par les hommes et 13,131 faites parles femmes. 258 varia. III. Hôpital central d'Ups
larités qui se rattachent à l'autre affection, dont il nous reste à parler . En effet, ce n'est pas de la faiblesse de ses
ccentuer un peu à la su'te des périodes d'attaques dont nous allons parler ; s'atténuer au contraire dans l'intervalle des
s de ces accès différaient sensiblement de ceux dont nous venons de parler ; par rapport à ces derniers, on pouvait les con
dant sa crise, qu'elle n'est pas épileptique, qu'elle voudrait bien parler , mais qu'elle ne le peut pas, etc. Cette crise a
u pcmpltigus aux bras et à la nuque, etcela jusqu'd sept mois; il a parlé ers dix à onze mois, a marché à dix-huit mois;
été comme fou pendant un mois; il ne reconnaissait que sa mère, ne parlait pas ou répétait : « Oh ! est-ce bête ! » Ses ac
lons plus spécialement. On peut enfin nous reprocher de n'avoir pas parlé de l'insula. On la range actuellement parmi les
ovient d'une fillette de huit ans, idiote de naissance, n'ayant pas parlé , ayant été atteinte d'épilepsie. Cet encéphale
ur des gre- nouilles, des oies, des poules, des lapins, des chiens, parla double méthode d'excitation et de destruction d
liniques plaide- deraientau contraire en faveur de la formation, de parla névrite, de tractus sous-cutanés conjonctifs ré
nce blanche, aucune fibre nerveuse à myé- line. P. K. XL.ASPHYxIE parles vapeurs DE charbon. Suppression DE l'excita- bi
itement tonique, réparateur, détermine la guérison ; elle s'annonce parla disparition des réflexes tendineux. P. K. l11
dant, il peut se faire que dans cette interprétation on soit trompé parles apparences; on ne sait jamais en effet si la lési
ais; se tient debout les mains en avant, pendant des heures, sans parler . On ne la décide qu'avec peine à s'alimenter.
colie. Etat actuel : à peu près iclen- tique; ne s'assied pas, ne parle pas ; on est obligé de la nourrir à la cuille
te de chaque forme nosologique qui se compromet, si l'on peut ainsi parler , dans des rencontres diverses, que l'on aura ch
roubles intellectuels développés sous l'influence des intoxications parles solanéesvireuses, le haschisch, notamment et au
en du massage. Les manuels de maladies nerveuses les plus usités ne parlent pas plus que bien des mémoires sur le massage d
ce des douleurs. En somme, au bout de quinze jours le malade était, parle massage, complètement guéri. Il y a de cela deu
emples de guérison très prompte et très complète de sciatique grave parle même procédé. Il en expose la technique en pare
l se soit ' V. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 246. 2 Nous en parlerons alors dans les Revues analytiques. 3 Voir son a
l'hémianopsie, aux symptômes périmétriques décrits ? La clinique a parlé . L'anatomie et la physiologie patho- logiques r
100 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ontre ses persécuteurs. Vaniteux, d'une intelligence médiocre, il parle à tout propos de son exubérance d'intelligence, d
s se servir d'échelle ; son raisonnement m'a paru excellent, car il parlait très bien. Donc, au moment de son arrestation,
ne soit un obstacle insurmontable à cette liberté dont je viens de parler et ne conduise à sacrifier un sexe au béné- fic
l1. le D1' Magnan,a l'Asile clinique, il peut paraître téméraire de parler de quartier cellulaire dans un asile nouveau ;
résultant de la perte de ces images conscientes dont nous venons de parler , troubles qui seraient au sens musculaire ce qu
rées d'une part par les recherches expérimen- tales et d'autre part parles découvertes anatomiques récentes sur le trajet
ces auto-suggestions des aliénés, parce que, souvent, ceux-ci n'en parlent pas, ou, ne guérissant pas, gardent leurs secre
mmobilisée sur l'idée de dormir et plus les effets curatifs obtenus parla suggestion devien- dront importants. Les proc
, célibataire, institutrice, grande facilité à rougir dès qu'on lui parle ; elle s'en afflige parce que sa rougeur attire
. Puis, pendant une dizaine de minutes, il se remet à répondre et à parler normalement ; il retombe ensuite à peu près dan
t mois. Père REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 79 alcoolique. N'a marché et parlé qu'à trois ans. A dix-sept ans, otite moyenne a
est donc nécessaire de se demander de quelle affection on entend parler . Il est évident que si l'on fait rentrer dans cet
t se fit assez bien, quoiqu'il fut toujours un enfant arriéré. 11 a parlé tiès tard et il apprit péniblement à écrire. Son
ira l'attention sur le mémoire de Huntington, dont personne n'avait parlé depuis 1872. Il rapporte deux observations de c
à revenir. Dans aucun des six cas rapportés par Lannois, il n'est parlé d'impulsions au suicide. La même année Bastiane
ffmann, en 1888 aussi, a quatre cas personnels, chez lesquels il ne parle pas d'idées de suicide. Même année le cas de Kl
hez les ascendants d'un alcoolique et des aliénés. Ces auteurs ne parlent pas de suicide. Deux revues critiques sur la ch
e ait été observé comme conséquence de la chorée. Du reste il n'est parlé de suicide que dans les 4 observations suivante
pas avoir manifesté des idées de suicide. Du moins il n'en est pas parlé dans son observa- tion, quoique Iluet le dise p
cide. '' En 1890 Cirincione et Mirto publient 5 observations sans parler de suicide. En 1891 les cas de Jolly et Remak n'e
liées par Sinkler. Schlesinger publie 3 cas aussi en 1892, où il ne parle pas de suicide, Oppenheim et Oppe n'en parlent
ussi en 1892, où il ne parle pas de suicide, Oppenheim et Oppe n'en parlent pas davantage dans leurs observations de 1893.
servations personnelles de l'auteur. Dans deux cas seulement il est parlé d'idées de suicide. Une emme de trente-huit ans
résultat de l'excitabilité maladive des choréiques, dont nous avons parlé . Je relèverai encore une particularité qui se r
à plus forte raison de la « chorée dégé- nérative ». ' J'ai déjà parlé du cas de Kornilow, dont je n'ai pu consulter T
le cervelet. OEdème du cerveau ; les circonvolutions sont baignées parle liquide. L'hydrocéphale externe est très abondant
nn emploie dans les deux sens avant de prévenir de laquelle il veut parler , doivent céder le pas à la description des dive
l'afflux sanguin ; l'atropine stimule les centres vaso-moteurs et. parla , régularise, l'afflux sanguin. Aussi les bromures
sa méthode, les actes réflexes du système nerveux étaient expliqués parles anastomoses des prolon- gements protoplasmiques
de Toulouse, 1899.) Après une étude approfondie du danger présenté parles buveurs d'habitude par opposition au danger moi
Les autres communes suivent de très près celle dont nous venons de parler surtout en Normandie et en Bretagne. Les aliéné
y a quelques mois, et que cette mort avait altéré ses facultés. 11 parlait fréquem- ment, depuis cet événement, de suicide
cédents personnels. Née à terme, élevée au sein maternel. Marche et parle de bonne heure; pas de retard dans sa dentition
à la maison -f- Jeudi ; maman me gronde parce qu'on lui dit que je parle au frère de L... + Vendredi, toujours pareil +
demie du matin, je vais à la procession, à la messe ; tout le monde parle à la messe + Je déjeune et mange de la soupe, d
le 12 juillet 1877 par une attaque d'apo- plexie, m'a été confirmée parle D''Faucher actuellement directeur- médecin de l
pçonné que les anomalies des os longs accompagnent l'épilepsie ; il parle d'asymétrie, mais non d'anomalies ou de mons- t
volume sur les rapports de l'épilepsie avec la dégénérescence, ne parle pas des os; Donaggio publie un article sur le dév
euse de s'instruire, joue volontiers avec d'autres enfants; elle ne parle que depuis un an. La température rectale est no
douloureuse non mutrice; douleurs des membres inférieurs exagérées parla marche, douleurs su perlicielles et des massesmus
ité verbale, de l'agraphie et des troubles très notables du langage parlé (diminution du vocabulaire, périphrases, para-
ait jeté à terre, ses mem- bres se raidissaient, il pouvait à peine parler . Je fus appelé pen- dant une de ces crises. 11
à ces paroles, car le démon est le père des mensonges. « Lorsque tu parles , reprit le sauvage, le mauvais esprit tourne la
éir à ces impulsions. On sait que l'exécution des actes dont nous parlons a par- fois une signification symbolique. A côt
justifiée et par l'absence de péché pour celui qui l'exécute, et parla sanctification de la victime. Se tuer ou se mutil
e. A huit heures elle dormait profondément. A minuit, elle s'agite, parle , se lève interpelle d'un air furieux sa voisine d
entières, voit son mari auprès 294 CLINIQUE MENTALE. d'elle, lui parle ; voit aussi un poteau avec une corde destinée à l
lle-soeur et avait fait le serment de rompre avec elle et de ne lui parler jamais; récemment elle lui a parlé et depuis ce
e rompre avec elle et de ne lui parler jamais; récemment elle lui a parlé et depuis ce temps elle est inquiète, elle se tou
l (parlefacial) à la fois sur d'autres muscles du même organe, dont parle Bernhardt, s'interpréterait ici comme suit. Les
ement, vivement, fortement l'oeil (l3ridsall Uhthoff Hitzig). Ainsi parle M. Westpiul. AI. PILTZ rappelle qu'il s'agit là
ui caractérise chaque mouvement. Ainsi, « en ce qui concerne le mot parlé , c'est dans le centre verbal d'association qu'i
d'hypnotisme » et à M. le Dl' Hartenberg qui demande que l'on ne « parle plus d'hypnotisme, ce mot seul effrayant tout l
indistincte. Apho-- nie devient presque complète quand la malade a parlé quelque temps, puis, après un certain temps de
Pelletier, chef du service des aliénés à la Préfecture de la Seine, parla au nom du Préfet de la Seine et de l'Administra-
er passer quelques heures dans son cher pays de Montrichard dont il parlait toujours avec émotion. C'est là que vont être t
Baillarger, Vulpian, Charcot, est un enseignement pour nous. Vous parliez souvent d'eux, toujours avec émotion et reconna
ient les hallucinations de l'ouïe. Les hommes, cachés pour le tuer, parlaient plus haut. Cela durait deux, minutes environ, p
trent chez elle « innombrables», sui- vant son expression ; ils lui parlent , disent « qu'elle est en catalep- sie, qu'il fa
pour se moquer de lui. Depuis trois mois sur- tout, il est triste, parle de se tuer « pour ne plus avoir d'ennuis ». Sa
phénomènes psychiques actuels qui doivent attirer notre attention. Parlons d'abord de son délire mystique, rare en général
démontrait les conséquences en cas de désobéissance. Maintenant, parlons du traitement de ces malades. La forme du tabès
héories 'pathogéniques de cette névrose. Dès 1700, Théodore Bonet ' parle des troubles de la digestion et des lésions des
ons- cience et ses modalités, l'auteur fait remarquer que lorsqu'on parle des troubles de la conscience comme d'un symptô
'un phénomène de décharge nerveuse. La première forme dont il a été parlé plus haut, c'est-à-dire la perte absolue de la
convulsifs que le premier, il n'a pas eu d'am- nésie. On a souvent parlé d'amnésie consécutive à la pendaison, mais on a
mes rythmés du dia- phragme qui l'empêchent presque complètement de parler et de déglutir. Comme elle refuse de se laisser
mble fort amoindrie. La mémoire est complètement troublée. Brout... parle parfois seul, comme sous le coup d'hallucinations
ée a disparu ; il est calme sur son lit d'où il ne bouge pas, et ne parle que fort peu. 25. Le malade gâte. On l'envoie a
INIQUE MENTALE. Hyperesthésie corticale dans l'alcoolisme aigu' ; PARLES DOCTEURS - 11. COLOLLAN, Et T -I . R 0 Dl El',
rent les hallucinations de l'ouïe. Les hommes, cachés pour le tuer, parlent plus haut. Ils disent : « Attendons que tout le
oisième jour de son arrestation. Il a l'attitude d'un mélancolique, parle à voix basse, fixant le parquet. 11 a bien dorm
que. Ce malade est intéressant à plusieurs points de vue. Nous ne parlerons pas de l'hérédité paternelle, indiscutable. Ce so
de faire quelques réflexions sur les conclusions qui en découlent, parlons des hallucinations, car et d'abord, les phénomè
vée. C'était un névrome. Résultat thérapeutique trop récent pour en parler . Gigantisme et acromégalie. M. ACHARD présente
met que des sons vocaux, il fait du bruit, il gazouille, mais il ne parle pas. C'est encore de ce qui se fait à Bicêtre,
ncore de ce qui se fait à Bicêtre, que s'inspire l'auteur lorsqu'il parle de l'enseignement professionnel. Développer physi
elui qui l'a écrit. Il serait à souhaiter que nos législateurs, qui parlent si souvent d'humanité et de devoirs sociaux, le l
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